Quantcast
Channel: François de Siebenthal
Viewing all 2306 articles
Browse latest View live

Oskar Freysinger est le meilleur candidat au C.F.

$
0
0

On a besoin de vrais hommes d'Etat, non des mauviettes pas encore secs derrière les oreilles ...

Encore quelques jours de suspense....

Quels sont les mérites des trois candidats officiels au Conseil fédéral ?
Le trop jeune Thomas Aeschi ambitionne de gérer la Suisse comme une entreprise ! 
Norman Gobbi, de la Legua ? Vous êtes sérieux ???
Guy Parmelin, aux compétences linguistiques limitées, et c'est un euphémisme ?
Il ne reste donc que le candidat censuré de l'UDC valaisanne, on aura au moins du spectacle et du courage.

Notre destinée... un vêtement sans couture

$
0
0



Lettre de Martin Luther King, rédigée en prison.

“Notre pays et le monde ont grandement besoin d’extrémistes créateurs.
Né le 15 janvier 1929, Martin Luther King est l’une des grandes figures politiques du XXe siècle, acteur majeur du mouvement des civil rights contre les ségrégations raciales et illustre orateur comme en témoigne son discours légendaire I have a Dream. Emprisonné en avril 1963 à Birmingham suite à une manifestation pacifique, il rédige cette lettre-manifeste de son engagement et de son combat pour les droits civiques. Cette lettre lui vaudra le soutien du président Kennedy et d’être libéré quelques jours après. Elle reste d’une actualité brûlante.
16 avril 1963
Chers confrères pasteurs,
Incarcéré à la prison municipale de Birmingham, je suis tombé sur votre récente déclaration qui tient nos activités actuelles pour « malavisées et inopportunes ». Il n’arrive jamais ou il arrive rarement que je prenne le temps de répondre à ceux qui contestent mon œuvre ou mes idées. Si je cherchais à répondre à toutes les critiques qui traversent mon bureau, mes secrétaires ne feraient rien d’autre du matin au soir et il ne me resterait plus assez de temps pour travailler de façon constructive. Mais je pense que vous êtes véritablement des hommes de bonne volonté et que vos critiques sont exprimées avec sincérité, aussi aimerais-je répondre à votre déclaration en des termes qui , je l’espère, seront empreints de mesure et de raison.
Toute injustice, où qu’elle se produise, est une menace pour la justice partout ailleurs. Nous sommes pris dans un réseau de relations mutuelles auquel nous ne pouvons échapper ; notre destinée commune est un vêtement sans couture. Ce qui affecte directement l’un de nous nous affecte tous indirectement. Nous ne pourrons plus jamais nous permettre de vivre sur la notion étriquée et provinciale d’ « agitateurs venus de l’extérieur ». Quiconque vit aux États-Unis ne peut jamais être considéré comme « venu de l’extérieur », où que ce soit dans son pays.
Vous déplorez les manifestations qui se déroulent actuellement à Birmingham. Mais je regrette que votre déclaration n’exprime pas une préoccupation similaire quant aux circonstances qui ont entraîné les manifestations. Je suis sûr que chacun de vous aura à cœur d’aller d’une analyse sociale superficielle qui ne concerne que les effets et n’appréhende pas les causes sous-jacentes. Je n’hésite pas à trouver malheureux que ces manifestations, ou ce que l’on appelle ainsi, aient lieu à Birmingham en ce moment, mais je voudrais insister bien davantage sur le fait, plus malheureux encore, que les instances du pouvoir blanc, dans cette ville, n’ont pas laissé d’autre recours à la communauté noire.
Toute campagne non violente comporte quatre étapes : 1) la collecte des faits qui prouvent ou non l’existence de l’injustice ; 2) la négociation ; 3) l’auto-purification ; 4) l’action directe. Nous avons franchi ces quatre étapes à Birmingham. On ne gagnera rien à prétendre que la ville n’est pas en proie à l’injustice raciale.
Birmingham est probablement la ville des États-Unis où la ségrégation est la plus rigoureuse. Le hideux bilan de ses brutalités policières est connu aux quatre coins de notre pays. Le traitement injuste que ses tribunaux réservent aux Noirs est de notoriété publique. Il y a eu plus d’attentats impunis contre les foyers et les églises des Noirs à Birmingham que dans n’importe quelle autre ville américaine. Ce sont des faits matériels, brutaux, incroyables. Dans cette situation, les dirigeants noirs ont cherché à négocier avec les pères de la cité. Mais les dirigeants politiques ont constamment refusé d’entamer des négociations de bonne foi.
Peut-être demanderez-vous : « Pourquoi l’action directe ? Pourquoi ces occupations, ces cortèges et autres manifestations ? Ne vaut-il pas mieux négocier ? » Vous avez raison d’en appeler à la négociation. En vérité, elle est l’objectif même de l’action directe dont le but est de créer un tel état de crise, de susciter une telle tension que la société, après avoir obstinément refusé de négocier, se trouve contrainte d’envisager cette solution. L’action a pour objet de porter la question de porter la question sur une scène où il sera impossible de prétendre l’ignorer. Je viens de mentionner la création d’une tension comme une partie de la mission d’un résistant non violent. Cela peut paraître choquant. Mais je dois avouer que je ne crains pas le mot « tension ». Par mon travail et mes prédications je me suis montré sincèrement hostile aux tensions violentes, mais il est une sorte de tension constructive et non violente, indispensable si l’on veut faire évoluer une situation. Selon Socrate, il convient de créer une tension dans l’esprit des individus afin qu’ils se libèrent des chaînes imposées par les mythes et les demi-vérités, et s’élèvent jusqu’au libre domaine où règnent l’analyse créatrice et l’appréciation objective ; de même, il nous faut considérer le besoin d’un stimulant non violent qui crée dans la société la tension nécessaire pour que les hommes s’élèvent au-dessus des profondes ténèbres du préjugé et du racisme, vers les majestueuses altitudes de la compréhension et de la fraternité.
Le propos de notre programme d’action directe est de créer une situation de crise si grave qu’elle débouchera inévitablement sur une négociation. Nous vous rejoignons donc, dans votre appel à la négociation. Depuis trop longtemps notre Sud bien-aimé se trouve enfermé dans sa tragique tentative de vivre en monologuant au lieu de dialoguer.
Mes amis, je dois vous dire que nous n’avons pas obtenu le moindre gain dans le domaine des droits civiques sans exercer une pression résolue, légale et non violente. L’Histoire est la longue et tragique illustration du fait que les groupes privilégiés cèdent rarement leurs privilèges sans y être contraints. Il arrive que les individus soient touchés par la lumière de la morale et renoncent volontairement à leurs attitudes injustes, mais comme nous l’a rappelé Reinhold Niebuhr, les groupes n’ont pas autant de moralité que les individus.
Nous avons douloureusement appris que la liberté n’est jamais accordée de bon gré par l’oppresseur ; elle doit être exigée par l’opprimé. Franchement, je ne me suis jamais engagé dans un mouvement d’action directe à un moment jugé, d’après le calendrier de ceux qui n’ont pas indûment subi les maux de la ségrégation. Depuis des années, j’entends ce mot : « Attendez ! ». Il résonne à mon oreille, comme à celle de chaque Noir, avec une perçante familiarité. Il nous faut constater avec l’un de nos éminents juristes que « justice trop tardive est déni de justice ». Nous avons attendu pendant plus de trois cent quarante ans les droits constitutionnels dont nous a dotés notre Créateur. Les nations d’Asie et d’Afrique progressent vers l’indépendance politique à la vitesse d’un avion à réaction, et nous nous traînons encore à l’allure d’une voiture à cheval vers le droit de prendre une tasse de café au comptoir. Ceux qui n’ont jamais senti le dard brûlant de la ségrégation raciale ont beau jeu de dire : « Attendez ! » Mais quand vous avez vu des populaces vicieuses lyncher à volonté vos pères et mères, noyer à plaisir vos frères et sœurs ; quand vous avez vu des policiers pleins de haine maudire, frapper, brutaliser et même tuer vos frères et sœurs noirs en toute impunité ; quand vous voyez la grande majorité de vos vingt millions de frères noirs étouffer dans la prison fétide de la pauvreté, au sein d’une société opulente ; quand vous sentez votre langue se nouer et votre voix vous manquer pour tenter d’expliquer à votre petite fille de six ans pourquoi elle ne peut aller au parc d’attractions qui vient de faire l’objet d’une publicité à la télévision ; quand vous voyez les larmes affluer dans ses petits yeux parce qu’un tel parc est fermé aux enfants de couleur ; quand vous voyez les nuages déprimants d’un sentiment d’infériorité se former dans son petit ciel mental ; quand vous la voyez commencer à oblitérer sa petite personnalité en sécrétant inconsciemment une amertume à l’égard des Blancs ; quand vous devez inventer une explication pour votre petit garçon de cinq ans qui vous demande dans son langage pathétique et torturant : « Papa, pourquoi les Blancs sont si méchants avec ceux de couleur ? » ; quand, au cours de vos voyages, vous devez dormir nuit après nuit sur le siège inconfortable de votre voiture parce que aucun motel ne vous acceptera ; quand vous êtes humilié jour après jour par des pancartes narquoises : « Blancs », « Noirs » ; quand votre prénom est « négro » et votre nom « mon garçon » (quel que soit votre âge) ou « John » ; quand votre mère et votre femme ne sont jamais appelées respectueusement « madame » ; quand vous êtes harcelé le jour et hanté la nuit par le fait que vous êtes un nègre, marchant toujours sur la pointe des pieds sans savoir ce qui va vous arriver l’instant d’après, accablé de peur à l’intérieur et de ressentiment à l’extérieur ; quand vous combattez sans cesse le sentiment dévastateur de n’être personne ; alors vous comprenez pourquoi nous trouvons si difficile d’attendre. Il vient un temps où la coupe est pleine et où les hommes ne supportent plus de se trouver plongés dans les abîmes du désespoir. J’espère, Messieurs, que vous pourrez comprendre notre légitime et inévitable impatience.
Les opprimés ne peuvent demeurer dans l’oppression à jamais. Le moment vient toujours où ils proclament leur besoin de liberté. Et c’est ce qui se produit actuellement pour le noir américain. Quelque chose, au-dedans de lui-même, lui a rappelé que cette liberté, il pouvait la conquérir. Il y a chez le Noir beaucoup de ressentiments accumulés et de frustrations latentes ; il a bien besoin de leur donner libre cours. Qu’il manifeste donc ; qu’il aille en pèlerinage prier devant l’hôtel de ville ; qu’il se mue en « Voyageur de la Liberté » et qu’il comprenne pourquoi il doit le faire. S’il ne défoule pas, par des voies non violentes, ses émotions réprimées, celles-ci s’exprimeront par la violence ; ce n’est pas une menace mais un fait historique. Je n’ai pas demandé à mon peuple : « Oublie tes sujets de mécontentement. » J’ai tenté de lui dire, tout au contraire, que son mécontentement était sain, normal, et qu’il pouvait être canalisé vers l’expression créatrice d’une action directe non violente. Cette attitude est dénoncée aujourd’hui comme extrémiste. Je dois admettre que j’ai tout d’abord été déçu de la voir ainsi qualifiée.
Jésus Christ était un extrémiste de l’amour, de la vérité et du bien, et s’était ainsi élevé au-dessus de son entourage. Aussi, après tout, peut-être le Sud, notre pays et le monde ont-ils grandement besoin d’extrémistes créateurs.
Je n’ai jamais écrit une aussi longue lettre (un vrai livre !). Je crains qu’elle ne soit bien trop longue, car votre temps est précieux. Je peux vous assurer qu’elle eût été beaucoup plus courte si je l’avais écrite devant un bureau confortable, mais quand on est seul pendant des jours dans la terne monotonie d’une étroite cellule, que faire sinon écrire de longues lettres, nourrir d’étrangers pensées, faire de longue prières ?
J’espère que cette lettre vous trouvera fermes dans votre foi. Espérons que tous les sombres nuages du préjugé racial seront vite chassés et que le lourd brouillard de l’incompréhension se dissipera sur nos communautés possédés par la peur, de sorte qu’un lendemain pas trop lointain les lumineuses étoiles de l’amour et de la fraternité brilleront au-dessus de notre grande nation, dans toute leur scintillante beauté.
Vôtre pour la Paix et la Fraternité, Martin Luther King, Jr.

EWR... Widmer Vive-les-Schtroumpfs...

$
0
0


Antipresse logo
N° 1 | 6.12.2015

...


NOUVELLEAKS par Slobodan Despot

Les lauriers du cheval de Troie

Note sur le remaniement à venir du Conseil fédéral suisse
Je n’ai rien de personnel contre Mme Vive-les-Schtroumpfs. Elle est même émouvante avec ses airs d’oisillon repêché. Mais j’ai beau chercher, je ne vois pas ce qu’elle a bien pu faire pour mériter la haie d’honneur que les journalistes suisses ont formée comme un seul clone depuis l’annonce de sa démission.
A-t-elle tenu le budget de son département ? A la bonne heure : c’est le service minimum dans l’exécutif suisse. A-t-elle été coolavec son staff ? Probablement, et tant mieux pour eux. A-t-elle été collégiale avec ses pairs du Conseil fédéral ? Oui. Ou plutôt, ils ont été collégiaux avec elle. Or cette courtoisie n’est pas à porter à son crédit, mais à leur charge.
Car s’il y avait eu ces dernières années un bon motif de briser le consensus gouvernemental, c’eût bien été l’activisme de Mme Vive-les-Schtroumpfs. Et — reconnaissons-le — si l’actuel gouvernement suisse doit avoir sa place dans les livres d’histoire, c’est encore par l’activisme de Mme Vive-les-Schtroumpfs.
Mme Vive-les-Schtroumpfs, rappelons-le, est arrivée au gouvernement suisse comme Flamby à la tête des Français : non pour elle-même, mais contre son prédécesseur. Elle le doit à un complot de cour ourdi par des ennemis jurés de son propre ex-parti. Sa contribution personnelle à la manœuvre n’aura consisté qu’à trahir ledit parti et à en créer un nouveau dont la justification et la carrière se résumeront à avoir servi de troisième pied à son tabouret.
Est-ce donc un hasard si le ministre le moins légitime de ce gouvernement a entrepris le chantier le plus ambitieux : la dislocation de la place bancaire suisse ?
Entendons-nous : je n’ai jamais eu trop de sympathie pour les banquiers, et j’en ai encore moins depuis le passage de la nettoyeuse. Je les croyais murènes repliées dans leur trou mais prêtes à mordre, ce n’étaient que des mollusques tapis dans leur carapace. Qui ont fini tout ronds, coquille comprise, dans le ventre des requins sans même avoir compris ce qui leur arrivait.
Mme Vive-les-Schtroumpfs a introduit dans son action une panoplie de procédés ordinairement réservés aux méchants de série B. A la félonie inaugurale, elle ajouta le mensonge : elle mentit notamment dans l’affaire Hildebrand puis lorsqu’elle nia avoir incité la Finma(1) à livrer les noms des employés des banques. Au mensonge, elle ajouta la trahison doublée d’un viol de la Constitution, lorsqu’elle jeta en pâture aux Américains ces employés bancaires qui n’avaient fait qu’obéir aux ordres. Au viol constitutionnel, elle ajouta l’abus de pouvoir en imposant la Lex USA malgré le double refus du Conseil national. N’eût-elle été une femme, n’eût-elle été élue dans le seul but de confisquer au premier parti de Suisse un siège auquel il avait légitimement droit, on l’aurait rapidement surnommée Ganelon. Ou Gargamel. Ou Iznogoud. Intronisée par la trahison, que pouvait-elle faire d’autre que trahir ? Mais ses yeux étonnés d’oisillon qui vient d’éclore faisaient tout oublier.
La dislocation est donc accomplie, au sens militaire du terme : le QG a changé de location. Les paradis fiscaux sur Terre ont toujours été anglo-saxons, et ils le restent. Mais ils récupèrent de belles parts de marché en provenance d’un casino imprudent qui a voulu jouer les pensionnats de jeunes filles.
Or voici que la productrice de ce vaudeville qui a ravi Londres, Hong-Kong et tout l’État du Delaware, mais qui a englouti tout un pan de la prospérité suisse, est appelée, ici même, « Mère Courage ». Quel courage ? Sans doute celui de croiser tous les matins dans son miroir ces yeux d’oisillon mal réveillé. On la dit compétente, mais on ne précise pas en quoi ni à quelle fin.
Nos journalistes méconnaîtraient-ils leur langue au point de confondre courage et toupet, audace et irresponsabilité, diplomatie et collaboration ? Auraient-ils perdu tout recul critique ? Auraient-ils oublié ce qu’équité, curiosité et esprit d’investigation veulent dire ? Je n’ose le croire. Ces gens ont tout de même été formés dans des universités parmi les plus coûteuses du monde. Non, la seule explication possible est que je n’ai pas lu la presse suisse ces derniers jours, mais les journaux américains en traduction française. Eux, ils ont de bonnes raisons de féliciter Mme Vive-les-Schtroumpfs. Tiens, cela ne m’étonnerait pas qu’elle se voie bientôt proposer une chaire de lobbying dans une université d’outre-Atlantique.

Le trait de Maëlle

Maëlle

Le désinvité de la semaine

Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il n’est pas prophète en son pays. Philosophe politique original et respecté à l’étranger, Eric Werner est totalement ignoré du milieu intellectuel et médiatique suisse. Il vient de publier un essai bouleversant sur le sens et l’actualité immédiate de la figure d’Antigone. Autrement dit, de la résistance innée de l’être humain face aux pouvoirs arbitraires et abusifs.

Main courante

TECHNOLOGIE | Scandale des moteurs polluants : de nouvelles marques impliquées | Les constructeurs automobiles rivalisent d’imagination pour contourner la législation antipollution. A ce petit jeu, après le scandale Volkswagen aux États-Unis, Renault ne passe malheureusement pas la contre-visite, en Allemagne cette fois. Les nouveaux diesels de Renault sont-ils aussi propres qu’ils l’affirment ? La question se pose à la lecture d’une étude d’ICCT (International Council on Clean Transportation). L’enquête portait sur trente-deux véhicules de dix constructeurs différents, commercialisés en Allemagne. Dont une Renault compacte de type Mégane. Toutes homologuées officiellement, ces voitures ont fait l’objet d’une contre-expertise, en subissant chacune deux tests antipollution : le test actuellement en vigueur, appelé NEDC, et le test WLTC, plus poussé, qui doit normalement être appliqué à partir de 2017 dans l’Union européenne. Soumis au test NEDC, le véhicule Renault est le seul à dépasser la barre fatidique de 80 mg d’oxydes d’azote par kilomètre. Avec de tels résultats, il n’aurait donc pas dû être homologué. C’est encore plus frappant avec le test WLTC, où la Renault échoue cette fois très largement. Elle affiche un taux d’oxydes d’azote rejetés neuf fois supérieur à la norme Euro 6 qu’elle doit respecter. Dans ce deuxième volet d’analyses, Volvo et Hyundai sont également épinglés, pour des taux quatorze fois et sept fois plus élevés que le seuil légal. Nouveaux scandales en perspective ?
SOCIÉTÉ | Zahia en Marianne | Les attentats de Paris et de Saint-Denis du 13 novembre ont ému le monde entier, et les stars aussi sont nombreuses à avoir réagi aux attaques sanglantes qui ont fait 130 morts et plus de 300 blessés. Une multitude de people ont donc produit des performances diverses et variées en hommage aux victimes. Dans le lot, une personnalité étonnante, Zahia, l’escort girl qui fut particulièrement choyée par les stars de l’équipe de France de football. Devant l’objectif des artistes Pierre & Gilles, elle n’a pas hésité à poser en Marianne sous la devise républicaine « Liberté, égalité, fraternité » ! Chacun appréciera…
MÉDIAS | Les journaux misent sur Facebook « Le Parisien », « 20 minutes » et « Les Échos » vont être les trois premiers journaux français à publier des articles directement sur Facebook grâce à une nouvelle fonctionnalité qui permet un affichage quasi instantané sur téléphone mobile. Le premier sera Le Parisien, sur les appareils Apple, suivi dans la semaine du quotidien 20 minutes, puis des Échos début 2016, ont annoncé ces quotidiens à l’AFP. « Paris Match », l’éditeur Condé Nast, les sitesDemotivateur et Ohmymag ont également prévu de rejoindre le dispositif, selon Facebook. En utilisant le nouveau processus,Instant Articles, les journaux renoncent à attirer les lecteurs sur leurs propres sites, au nom du confort de navigation.
GÉOPOLITIQUE | Rapprochement France-Russie : un « déjeuner de soleil » ? | « En s’engageant sur le théâtre syrien, Poutine a fait tomber les masques des autres acteurs. Moscou a aujourd’hui besoin de Paris et la France, de la Russie », relève Caroline Galactéros dans « Le Point ». Pour conclure avec lucidité : « Souhaitons que ce rapprochement ne soit pas “un déjeuner de soleil”. Il est à craindre en effet que certains acteurs ne tentent de mettre à mal une alliance franco-russe efficace qui va nécessairement dévoiler les doubles jeux et les hypocrisies de la “coalition” anti-Daech déjà à l’œuvre, assemblage de carpes et de lapins… et de pompiers pyromanes. »
SÉCURITÉ | État d’urgence, prélude à l’Etat policier ? (Blog du Monde diplomatique) | Frédéric Lordon stigmatise l’« État de police » et l’inévitable indignité de la dictature où le gouvernement français finira par se vautrer. Il dénonce au passage le rôle des médias de service public dans l’abrutissement du public et la dépossession des outils de pouvoir. « L’État de police, qui est en train de s’abattre sur nous, nous fera-t-il passer nos seuils ? »
COMMUNICATION | Flanquez-moi ces diapos aux oubliettes ! | Enfin, un poids lourd de la communication en public dénonce la religion de Pauvre Point et des incontournables slides de texte que les conférenciers ne font que paraphraser, masquant la pauvreté de leur expression. « Les diapos ne véhiculent pratiquement jamais rien d’utile. Si vous avez des graphiques qui illustrent, mais vraiment, ce que vous dites, alors oui : vous pouvez en passer quelques-unes. Mais vous feriez mieux de laisser tomber, car votre public va s’endormir. » (Eric Sherman sur Inc.com)

Pain de méninges

De l’illettrisme haut de gamme
« Quand on n'est pas allé à l'école qu'on est illettré, qu'on a été placé très tôt dans un atelier ou mis aux champs pour garder les vaches, on ne possède pas la culture qui permet de disposer d'un jugement ou de se faire un avis. Cet illettrisme n'est plus. Il s'est métamorphosé. Celui de notre époque, massif, démesuré, immense, paraît plus grand encore, car ce qui fut longtemps sagesse populaire, morale ancestrale, bon sens paysan et qui pouvait alors suffire pour constituer un esprit sain, a disparu sous les effets conjugués de l'information de masse, d'abord avec la télévision, ensuite avec la prolifération numérique. Jamais l'illettrisme n'a été autant haut de gamme, concernant parfois plus les diplômés que ceux qui ne le sont pas, tant le bourrage de crâne idéologique fait sa loi depuis plus d'un demi-siècle. »
Michel Onfray, entretien dans Éléments n° 157, octobre-décembre 2015.

Présentation

L’information telle que vous l’espériez

L’Antipresse est une lettre d’information rédigée par Slobodan Despot et Jean-François Fournier. Elle paraît chaque dimanche matin à sept heures. Elle est gratuite, mais financée par les dons de ses abonnés.
L’Antipresse est née de notre sentiment d’étouffement et de désarroi face à l’appauvrissement constant de l’information des médias de grand public, au relâchement de leur langue et de leur style, à leur incohérence intellectuelle, à leur parti pris devenu structurel, à leur éloignement préoccupant de la réalité vécue par la plupart des gens.
L’Antipresse n’est pas contre la presse, mais en face, comme Anticythère fait face à Cythère. Ce n’est pas une réfutation des lieux communs de la presse, mais un élargissement des perspectives sur les choses qui nous concernent. Aux phrases toutes faites, nous opposons un langage vivant. Aux stéréotypes, une vision individuelle. A la pensée unique, la variété des points de vue. A l’hypocrisie de rigueur, une franchise du ton et du regard.
L’Antipresse s’intéresse à toute l’actualité, en particulier celle concernant le domaine francophone. Elle éclaire les zones d’ombre de l’information et s’attache à mettre en évidence les partis pris sous-jacents du discours officiel.
L’Antipresse n’est ni de droite, ni de gauche, et encore moins du milieu. Le milieu médiatique, s’entend, qui se soucie moins de diffuser l’information que de la canaliser, moins de former l’opinion que de la censurer dans l’œuf. Son rôle dans l’Occident d’aujourd’hui est comparable à celui de la presse officielle en URSS.

AU PRESSE-CITRON de Jean-François Fournier

L’empereur Sepp le Grand, le roi Platoche Ier et les journalistes de la cour

Icône, idole, sauveur du football français, l’actuel président de l’Union des associations européennes de football (UEFA) bénéficie de la clémence corporatiste des journalistes sportifs dans les affaires dites de la corruption au sein de la FIFA (Fédération Internationale de Football Association).
Il y a quelque chose de sidérant à parcourir depuis quelques semaines les pages sportives de la presse francophone. Voire même des rubriques plus sérieuses, de type enquêtes et reportages. En Suisse, on y cherche vainement les coups de plume vachards à l’encontre du président Sepp Blatter (FIFA). Et en France, il faut carrément prendre une loupe pour dénicher un uppercut dirigé contre le président Michel Platini (UEFA). Les journalistes suisses rechignent à dire les quatre vérités sur un homme de pouvoir qui a tant fait pour eux (accréditations facilitées, entretiens préférentiels, invitations en tous genres, etc.). Leurs confrères français sont, eux, encore moins vifs, pour ne pas dire carrément victimes d’une crise aiguë de chauvinisme. Et pourtant, le Ministère public de la Confédération a autorisé l’analyse en profondeur des comptes de la FIFA, et la commission d’éthique de cette dernière a mis hors jeu le Suisse comme le Français. Peut-être même à vie. Or, malgré cela, on cherche encore et toujours une vraie critique des deux dirigeants.
Je vous entends d’ici : « Comment ça ? Et l’information ? Et la déontologie ? » Elles existent – heureusement – mais, côté sport, sont d’une densité bien moindre que dans d’autres domaines médiatiques. Je sais de quoi je parle, puisque j’ai été chef des sports du Journal de Genève, puis du Nouveau Quotidien, dans les années nonante. Les dirigeants du sport ont ceci en commun d’être particulièrement proches des professionnels qui couvrent leur business, et surtout, généreux avec eux autant que faire se peut en matière de limites légales : conférences de presse suivies de repas copieux, congrès dans des hôtels de luxe offerts ou à prix réduits, j’en passe et de plus étonnantes comme ces enveloppes de petits billets pour les menus frais du type péages ou parking dans les pays d’accueil de toute cette caravane médiatico-politico-sportive.
Tout ça est connu, diront les bons esprits. Certes, mais l’avez-vous vraiment lu souvent ? Revenons à nos deux présidents et au scandale de la corruption au sein de la FIFA ! Blatter, lui, a un statut protocolaire de président d’état un peu partout autour du monde. Chez nous, il a ses entrées dans la classe politique et jusqu’au Conseil fédéral (souvenez-vous de sa coprésidence de la candidature suisse aux JO). Platini, c’est la même chose en France, avec en prime le statut de l’idole qui a ramené son football national sur la voie du succès et de la modernité. Ce dernier élément explique d’ailleurs à lui seul ou presque le traitement pour le moins compréhensif dont il est l’objet par ses compatriotes dotés d’une carte de presse.
Lors d’un récent débat sur France 5, un célèbre journaliste de Canal Plus a reconnu candidement qu’il était difficile au plumitif passionné d’imaginer cet homme qui survolait les terrains et nettoyait les toiles d’araignées dans les buts à chaque coup franc, ce champion unique donc, compromis dans un système imaginé par des dirigeants éloignés des terrains depuis des décennies.
« C’est une icône… ça demande du temps d’écrire la vérité sur une icône… » Voilà le discours tenu par tous les fans de foot en charge du dossier dans leurs rédactions respectives. « La FIFA était corrompue à tous les étages, mais lui c’est autre chose, écrit ainsi Le Parisien. C’était une légende, notre icône. » « Vivement qu’il contre-attaque », encourage La Charente Libre. « Platini, ce héros du ballon rond », soupire en écho Le Figaro. Et tous les autres, sans exception, de l’excuser allegro ma non troppo, entonnant le couplet convenu de « C’est la faute à Blatter », ce Suisse soupçonné de vouloir entraîner l’ange dans sa glissade vers les enfers.
Mythique patron des sports sur Canal Plus première époque, ancien boss du Paris-St-Germain, ex-directeur de la chaîne beIN Sport, Charles Biétry m’a expliqué un jour que l’interpénétration entre les journalistes sportifs et les athlètes, équipes ou événements qu’ils commentent, était telle qu’elle serait à jamais impossible à démêler. « Tout le monde le sait, personne ne le dit », m’avait-il lâché, rigolard. Avant de conclure : « Il y a toujours des exceptions qui sont l’honneur de la profession. »
Des exceptions dans la presse sportive, vous en connaissez beaucoup ?

antipresse@antipresse.net

Courriers et dons :
Association L’ANTIPRESSE c/o INAT Sàrl, C. P. 429, CH-1950 SION
CCP 14-154173-2

Bankers are mad

$
0
0

The following is a fireside chat between a banker and his son.  He is explaining how international banking works.
Son:       How does a bank create money?
Father: Loans! 
a.       Credit cards,
b.      car loans,
c.       mortgages,
d.      business and personal lines of credit,
e.      international letters of credit,
f.        government bonds,
g.       merchant banking stock underwriting,
h.      other sophisticated financial instruments such as debentures, futures, derivatives and options.
Son:       So in other words, banks make money out of thin air!  That sounds inflationary.
Father: If it was not destroyed, it would indeed cause inflation.
Son:       OK then how does a bank destroy that money? 
Father: Loan repayments!
Son:       What are the main ways then that money generally comes into existence?
Father: Two ways – cash and debt:
a.       Cash issued by governments such as the Bank of Canada or the US Department of the Treasury and distributed by banks.
b.      Loans issued by banks to governments, businesses and consumers
c.       Bonds underwritten by banks and deposited with either governments (i.e. municipal, state and federal) or businesses (i.e. corporate bonds) as a means of “financing” capital projects or ongoing operations.
d.      New issue of stocks, typically underwritten by a merchant bank – generally referred to as merchant banking.
e.      Other exotic financial instruments that are only used by “high finance.”
Son:       So what about cash; how does cash come into existence?
Father: Cash is “manufactured” by governments.  Banks can’t create cash.  It is not intended to be destroyed until it is worn out.
Son:       So banks don’t make money off of cash?
Father: No, banks want as little cash in circulation as possible because cash has the potential to create a phenomenon known as “velocity of money.”
Son:       What’s that?
Father: Consider the following example.  A hotelier owes a restaurant owner $100, the restaurant owner owes a baker $100, the baker owes a prostitute $100 and the prostitute owes the hotel owner $100 for a room.  A man comes into town who has been driving all day.  He is tired and hungry but only 4 hours from home.  He’s not sure he can make it home today.  He goes to the hotel and puts $100 down on a room but tells the hotelier he may not be staying the night.  It is a deposit to hold a room.  He then goes to the restaurant to eat.  The hotelier quickly pays the restaurant owner who in turn pays the baker who in turn pays the prostitute who in turn pays the hotelier.  The traveler is refreshed by his meal so he tells the hotelier he wants his money back and the hotelier promptly obliges.  That $100 just settled $400 in debt.  That is velocity of money at work.
Son:       You said earlier that we want as little cash in circulation as possible; why? 
Father: Well if the above scenario happened with credit, then they would all owe the banker instead of each other.  They would all settle their debt with the bank and that would cancel the $100 out of existence.  The other three remain on the hook.  Get it?
Son:       That’s brilliant!  Another question…  How does cash come into circulation?
Father: Governments order the printing of money from a manufacturer.  The manufacturer sends it to the offices of a mint.  The mint circulates the money to banks who hold the cash in trust.  When you come into the bank and ask for cash, the teller takes that money and gives it to you.  Everything is accounted for.  You do notice that your withdrawal slip has a line entry for cash, right?  You spend your money at a store, the store then typically deposits your cash with their bank at the end of the day.  The truth is that most of the cash is sitting idly in banks.  Velocity of money sucks for bankers so we like it that way.
Son:       OK, then what does the bank do with the deposited cash?
Father: They decide if the money is too worn out, damaged or dirty to use and then either hold it to give to another customer later or send it back to the mint to be destroyed.  Good riddance!
Son:       So then not all the cash the government mints is in circulation then.  How much of that cash is in circulation?
Father: Only as much as there is “demand” for.  The government always knows how much money has been issued but not all of it is in circulation.  Technically, they can create as much cash as they want.  Nobody can say exactly how much is in circulation and how much is sitting idly in a bank.  It is safe to say though that there is generally enough cash available to meet demand.  If the general public thought there was a “shortage” of cash, it would likely cause a run on banks.  For banks, cash is a necessary evil to keep up appearances and keep the sheeple asleep.
Son:       Is there enough money to meet the demand if everyone wanted to cash out of their bank accounts?
Father: Most definitely not!
Son:       Then how much cash is there?
Father: It would be safe to say that there is not more than 1/1000th of the money available to redeem as cash. Most money changes hands as electronic transactions within and between banks.  It all happens in computers and across networks.
Son:       This means that most of the money in existence is simply an entry in a bank’s electronic ledger then, doesn’t it?
Father: Why yes!
Son:       Don’t banks charge interest on the money they loan?
Father: Yes, of course.
Son:       So where does that money come from?
Father: It is not issued when a loan is issued.  That money is taken from the pool of money already in existence – mostly money that is in a bank’s ledgers.
Son:       Are you telling me that a bank issues a dollar as a loan of some form and then demands repayment of more than that without actually creating the interest money itself?
Father: Why yes, just so!
Son:       Well this means that over time all the money will transfer from circulation to the banks themselves, won’t it?
Father: Why yes!  That is why the financial services sector has grown so big.  When you go into any city, what name is on most of the sky scrapers?  When you see a construction project billboard, there is usually a bank declared as the financer of the project in addition to the company building the project.  Show me a business that can remain solvent without an operating line of credit!  But that said, banks do make a modest contribution.  All the money a bank spends on operations is spent into the economy so in that way it partially returns to the economy some of the interest money it takes in.
Son:       Well if that is so, then how can the economy remain viable?  It is little more than a funnel sweeping all the wealth of nations into the coffers of banks.
Father: That’s a very good question.  The thing that keeps the wheels of the economy turning is an ever-increasing pool of loans.
Son:       That reminds me of Wimpey in the Popeye cartoon; “I’ll gladly pay you later for a hamburger today.” It’s a game of musical chairs.  There have to be losers.  If more money needs to be paid back than there is money in circulation, then how is that possible?  It doesn’t seem right.  Isn’t this the classical definition of a Ponzi scheme?
Father: Now you’re catching on.  That is what fundamentally causes bankruptcies.  It is a Ponzi scheme operated for the benefit of the banks and their shareholders.  It works because of the confidence the users of banking services have in us.  But the problem is even worse than it seems.  Consider anything that is offered for sale – goods or services.  Every single thing offered for sale has a price.  That price is comprised of money paid out as wages to employees, earnings to business owners and dividends to shareholders.  But there are always additional costs that the price is made up of:
a.       Depreciation on capital equipment
b.      Raw materials
c.       Buildings
d.      Land
e.      Transportation
f.        Utilities
g.       Put simply – all other costs other than wages, earnings and dividends.

Let A be the money paid out as wages, earnings and dividends.  Let B be all other costs. PRICE = A + B.  This is called the A + B Theorem.  Now think about it.  Can A pay for A + B?  Impossible right?  There is a built-in shortage of money in our economic system.  Every single business contributes to this shortage – generally referred to as the GAP.  Most people don’t get this because it was not taught to them in schools.  This is the wool bankers pull over the eyes of the sheeple.  They suffer from what they don’t know that they don’t know.  It is such a big secret that even most bankers don’t know!            
Son:       So this is a train-wreck of an economy where everyone – governments, businesses and consumers - is ultimately headed for bankruptcy.  Aren’t bankruptcies bad for everyone including banks?
Father: Actually, bankruptcies are good for all but the bankrupt as long as there are not too many all at once.
Son:       How so?
Father: For the banker, the creditor needs to offer collateral so they hand that over in a bankruptcy; thus the banker is made whole.  The loan was issued at very little cost or risk to the bank so the collateral is all gravy.  To society, this is extra money remaining in circulation to be used to pay banks their interest!  Once the good times return, banks sell foreclosed property at full price and make a tidy profit windfall.  We attach a negative stigma to bankruptcies though because if everyone went bankrupt all at once, we couldn’t maintain the fractional reserve and that would put all the banks out of business.
Son:       So what happened in 2008 with the banking crisis?
Father: That scared the hell out of all the bankers because the failure of such a huge bank as Lehman Brothers would have caused a cascade of bankruptcies that would have brought all the banks down.  It really was too big to fail – too big for the other banks!  TARP was the perfect solution because it bailed out all the other banks without disturbing the debts owed and it put the entire liability on the taxpayer.  It would have actually been better for all but the banks if the TARP money was just given by apportionment to everyone because that would have stimulated the economy.  Send the money to Main Street instead of Wall Street.  But this would have resulted in the settlement of many bank loans.  Lehman would still fail and there would have been more bank failures and business bankruptcies; but the money put into circulation would have ended up as additional reserves in banks, so most banks and businesses would have recovered.  The economic recovery would have been much more robust also.  Of course, it would have still kicked the can down the road with yet more debt with nothing really solved.
Son:       It seems inevitable that if the spiral of debt is ever-increasing and never decreasing, debt exhaustion is inevitable where no matter how low the rate of interest, nobody will want to borrow.  Their balance sheets will simply be unmanageable.  What do you do when you owe more installment debt than you have income?  Bankruptcies everywhere becomes inevitable.  We seem to be approaching that tipping point now.  Eventually a parasite destroys its host and both die.
Father: How do parasites survive?  They find another host!  Can you say China?  Can you say BRICS?
Son:       This means that the only constant in the international economy, if it is to continue to operate without eventually collapsing, is ever-increasing debt.  Everyone is collectively just kicking the can down the road and doing exactly what Wimpey does.  The debt is ultimately unpayable.  It is inevitable that the first-world nations are destined to collapse first unless something is done.  Why do we hear about bank failures then?  What’s up with that?
Father: If it lends out money that creditors refuse to repay, then the “loan” which is treated as both an asset and a liability becomes a pure liability.  If the economy is bad and the collateral can’t be liquidated for enough to cover the loan balance, the bank has a problem.  You see, banks have different ledgers than consumers, governments and businesses.
Son:       I don’t understand.  What is the difference?
Father: Everyone except banks keep what is called General Ledgers.  It has five columns: 1) Line item, 2) unique transaction identifier, debit, credit and balance.  Every transaction is either a debit or credit and that decreases or increases the balance.  Banks keep what are called Double Entry Ledgers where every debit is a credit and every credit is a debit.  The sum of debits always equals the sum of credits.  Both ledgers must be kept in balance to remain “honest.”  If the books go out of balance more than the reserves balance, the bank becomes “insolvent.”
Son:       It is clear to me that for entities operating with General Ledgers, when the balance becomes zero the entity is insolvent because they are broke, but double-entry bookkeeping looks like a zero sum game.  How can the bank go broke?
Father: That is a great question!  If there were no other rules of the game, then technically, they never would go broke.  Since they have the “authority” to create loans, then all they would need to do to cover a defaulted loan would be to create an offsetting journal entry to balance it.  But there is a “rule” called fractional reserve that says a bank must always have 10% of its deposits as reserves at all times in a separate account.  This means that if more than 10% of their loans go bad, they will become insolvent because they won’t have sufficient reserves to back the rest of the outstanding loans.  There is no balancecolumn with double entry journaling.  A bank’s balance column is its reserves.  It is 10% of the debits and it must always be kept in a separate account. 
Son:       What about Canada?  Didn’t Prime Minister Brian Mulroney eliminate the fractional reserve there?
Father: Yes he did.  They implemented other rules but I think it can be safely said that in Canada, it would be very difficult to declare a Canadian bank insolvent.
Son:       This double entry bookkeeping sounds like a fraud to me.  How can a debit be a credit at the same time?  It makes no sense.
Father: Well look at it this way.  It’s all just a game that we have all made up and the rules are what we have all collectively agreed to follow.  If we all collectively decide to change the rules, then the rules will be changed.  My Dad once asked me, “Son what do you consider a fair deal?”  I couldn’t really give him a good answer because I had never thought about it.  He then asked me, “If two parties come to an agreement they are both satisfied with, then isn’t that a fair deal?”  I said I suppose so.  Then I thought about it some more and it occurred to me that there were deals I had agreed to that I later regretted and I said so.  He asked me what I did about it.  I told him I demanded that we change the terms of the deal.  “Exactly!” he said.  It’s all just agreements.  It’s not real like a tree or a car or a banana are real.  We can have a shortage of bananas but there will never be a shortage of something fictional like money unless we deliberately rig the game that way.
Son:       So what you are saying is that as long as people agree to live within the present rules, they will be taken advantage of until they come to the realization that they are getting a bad bargain?
Father: Exactly!
Son:       So this is why the government, business and consumer debt is ever increasing and never shrinking. 
Father: Why yes! That is exactly so.  Governments have not had balanced budgets with no debt at any point in their existence.  Consumer and business debt has rarely decreased year over year and the long-term trend has only been ever-increasing debt.  The most prosperous businesses are the ones with the biggest lines of credit.  Most of the people who look prosperous are actually in debt up to their ears.  Very few people truly understand the banker’s golden rule - that he who has the gold makes the rules.  The lender is master over the borrower.  Most people are debt slaves.  They owe more than they own.  If they stop working for even 90 days, most people would lose everything.  That is how homeless people become homeless.  Once someone sinks to this level, they rarely recover unless there is someone to help them start again.  The only way to not be a debt slave is to be financially independent.  Because of the way the money game is rigged, very few can achieve it.  If it appears that a large number of people are going to achieve financial independence, we pull the plug on them.  The few that do make it – guys like Bill Gates and gals like Opra – get invited to the club.  If they refuse to join, we take them out if they start to cause trouble.
Son:       How do you take out the little guys who prosper?
Father: If bankers stop lending, the expansion of the money supply stops.  People keep paying their debts and this retires more money in a deflationary spiral.  When things get really tight, businesses and governments get distressed.  Demand for loans – desperate money - increases so we jack up interest rates – ostensibly to cover risk.  All those people who were rich get bled when their cash flow is interrupted by a bad economy and their surplus money finds its way back to the banks.  When the pain gets bad enough, we open the loan spigot.  It’s generally referred to as economic booms and busts.  Banks create them.
Son:       What is all this talk we hear on the news about the occasional government balanced budget, deficits and surpluses?  Bill Clinton and Ronald Regan had them.
Father: Any good salesman knows that it’s all about words and how you present things.  We rarely talk about debt.  We talk about deficits instead.
Son:       What is the difference?
Father: A debt is how much money you owe.  A deficit and surplus are measurements as to whether you went farther into debt or closer to solvency.  Deficit bad, surplus good.  All the bankers care about is that there is a debt paying interest and that debtors can afford to make their payments.
Son:       That’s hilarious!  I recently read that credit card companies refer to people that always pay off their cards and have zero balances as “Deadbeats.”  Now I understand.  They are deadbeats to the credit card companies because they don’t make any money.  They are a liability.
Father: Exactly!
Son:       So let me get this straight.  The game of money is rigged so that the only party that wins is the banker.  That is like a parasite feeding off its host.
Father: That’s right!  My father used to show me two hands and say to me “Sharks (left hand) and food (right hand).  What are you?”  So let me ask you, what do you want to be when you grow up?
Son:       A banker!  OK let me ask you a new set of questions about the other side of this coin.  It is obvious that banking is bad for everyone except the bankers but that most sheeple have simply not caught on.  What happens to banks when the entire world has been bled dry by the parasitic system?
Father: If you read the Protocols of Zion written 100 years ago by an unknown banker or bankers, they envisioned a world where they - the powers that be - “come clean” and admit to what they did.  Then they offer a king of the world – a New World Order government - who will make all the merchants of the world pay for all taxes as the primary beneficiaries of commerce and the public will not need to pay taxes.  That wouldn’t work today.
Son:       Why not?
Father: In a word, robotics.  The truth is that we only need 10% of the work force to meet 100% of our economic production requirements.  If we eliminate all make-work projects, planned obsolescence, war and the military industrial complex; and at the same time we standardize production of everything to maximize efficiency and product life expectancy, then much less of the work force will be engaged in wasted efforts.  It will result in even less workforce needed and pollution will effectively be eliminated.  If people don’t have a job, how will the production of an economy be consumed?  The best solution I have seen was proposed by C. H. Douglas almost a century ago but his ideas were not well received because he failed to create a comprehensive economic model that everyone could understand.  He is the guy who created the A + B Theorem I mentioned earlier and he called his economic model Social Credit.  Bankers saw the danger of his proposals so they used their considerable influence to discredit him.  It worked, although there are still people to this day who have kept his ideas alive.  But he still hit closest to the mark of a workable solution.
Son:       How so?
Father: I can think of two ways to solve the problem of our mathematically unbalanced economy:
h.      Create a system like the one proposed by Professor Frederick Soddy almost a century ago.  He called it national economy.  That system outlaws banks creating money out of thin air and requires them to hold depositor money in trust against loans.  Instead, governments will spend new debt-free money into circulation to start the chain reaction of the velocity of money.  If there is too much money in circulation then prices will rise.  The solution is for government to tax the surplus money out of existence.  If there is too little money in existence, the government spends more new money into circulation.  He proposed creation of a new government ministry – similar to the Bureau of Weights and Measures – to collect metrics on sales prices and incomes to determine if the economy is either inflating or deflating.  Money supply can increase if production and consumption increase but if anything deviates from the expected mean, adjustments are needed.
i.         The second solution is to let banks continue to issue money out of thin air but keep an accounting of every business’ A & B costs and sales so that the B shortage of money can be calculated.  That gap shortage can be equitably distributed to everyone by apportionment to fill the gap – a dividend or payment for their share of society’s plunder.  Businesses, governments and consumers will continue to borrow money from banks at interest – the banker’s profit – and that will tend to cover the B costs.  After all the A money continues to circulate.  When businesses settle their loans through sales, governments settle them through tax receipts and consumers settle them with their incomes; the bankers will retire the money and thus create our gap problem.  The problem will be met head on by the dividend. 
Son:       So which proposal do you like best?
Father: I think Soddy’s proposal suffers from two fatal flaws.  It has no mechanism to equitably distribute the fruits of society and it fails to address the problem of robotics.  People need incomes to consume.  Douglas’s proposals solve the problem elegantly.  Because banks would continue to create and destroy money, the shortage would be continuously produced.  That shortage occurs every single time a good or service is created.  That continuous shortage can be converted into a continuous stream of social credit instead of our present continuous stream of ever-increasing government, commercial and consumer debt. 
Son:       So would this dividend be enough for people to live off of?  After all, if only 10% of our population is needed, then on average, people would only spend 10% of their lives working.
Father: Look at the national statistics.  Nobody has ever collected the numbers we would need to gather to make this work – specifically each business’s A and B costs – but we can get a rough estimate by looking at a nation’s GDP (i.e. the price it achieved for the sale of all its goods and services) and the reported personal incomes.  Here are some graphs that show Canada and the USA gap in 2008. 



                This amounts to about $17,000 per year for every man, woman and child – or about $70,000 per family household.  Is that enough to live a modest but comfortable life?  Will that take a person to retirement through sickness and health?  This is certainly better than is offered by any nation on earth today.
Son:       I see a problem with all this liesure.  If most people don’t have to work, won’t that result in boredom, increase in crime, drug and alcohol abuse, and a generally unhappy population?
Father: Perhaps for some people but in general I don’t think so.  Parents will have more time to raise and educate their children properly, painters will paint, musicians will make music, adventurers will go on adventures, readers will read, writers will write, inventors will invent, businessmen will bring products to us that will enrich our lives, explorers will explore, those with a compassion for their fellow man will give of themselves in that area, the curious will learn, the sick will convalesce in peace, the old will age gracefully and in security and society will generally become richer in the final analysis.  In any case, it has never been like this anywhere in the world at any time so we can’t say for sure what would happen.  There have been a few experiments conducted in Canada and India where people in small communities were given a modest guaranteed income and the community was much improved as a result.
Son:       OK here is another problem.  What about trade with nations?  Today every economy is engaged in a “race to the bottom” where each is trying to debase the value of their currency in order to gain a favorable balance of trade.  If every nation is a net exporter, then that is mathematically impossible.  For every winner, there must be a loser.  This is the classical definition of trade wars.  If one nation has a social credit economy, how will they be able to trade with another nation that operates like today?
Father: Great question.  We need to return to first principles first.  Why does anyone trade?  They want to get something they need in exchange for something they have.  This implies some obvious preconditions:
a.       I don’t want to give up something I have in short supply and can’t easily obtain.
b.      I will make anything for myself that I can to minimize how much of my own stuff I must give up to get something I need.  In other words, it is best to be self-sufficient.
c.       If there is something I need, I will give up that which I have in greatest surplus that is also of value to the trading partner.

Given these basics, the next consideration is how to ensure that I as a nation get a fair deal.  My trading partner will be most interested in dumping goods on me to gain a favorable trade balance but I am most interested in just getting the thing I am most short of.  I will give up as little as possible while they want to get rid of as much as possible.  Sounds like a win-win to me.  Eventually they will wake up to the realization that getting rid of their wealth only makes them poorer and giving it to us cheaply will only make us richer.
Son:       When I think of all the schemes and scams that have ever occurred, banking is unquestionably the biggest scam ever foisted upon humanity.  I have to ask you father.  Why do you continue to promote and defend this system?
Father: That is easy.  I get something for nothing, I control a great deal and I compel my fellow man to serve me.  I am a king and a king maker.  If everyone is self-sufficient, nobody will perform any more service than is necessary to preserve or increase their standard of living.  Cleaning my toilets, washing my clothes and generally doing my bidding is no longer going to be a necessity of society as the means of one’s bread.  In other words, I am selfish.  Besides, sheeple are so stupid that if bankers like me did not lead them by the nose, they would be worse off than they are now.
Son:       I don’t agree.  That is entirely self-serving.  So what will happen if I blow the whistle on you?
Father: Easy.  You die.
Son:       What if I wait for you to die, get my inheritance and then blow the whistle?
Father: Easy.  You die.  Did you think it will be me who will kill you?  Oh no, no, no!  Other bankers will kill you.  We are the ultimate organized crime syndicate on planet earth.  We are the government that rules the government.  We are the invisible hand.  We will not change until we are FORCED to change.  There is merit in the assertion that we are banksters.  We are!
Son:       Wow!  That’s pitiful.  Even you are a slave.  If you wanted to change your mind and help your fellow man, they would kill you too!

from Dean, social crediter


Dean   dean.crsatellite  at  gmail.com 
to social-credit at googlegroups.com

Hi Ellen,

Some months back, you challenged me to come up with an explanation for the lay person that could easily be understood.  I think I have done it.  The following is a dialog between a bankster and his son – teaching him the ropes.  If this was done in the form of a cartoon, compelling comic visuals could be tied to each statement that would make the story easily understood.  Here is the narrative.  If there is anyone who can help with the art side, that would be awesome.  It could even be set to a video.  This is basically a script.  Let me know what you think.  If you want to publish it, that would be great too.

Let me know what you think:

Comments from Oliver Heydorn:

I'm glad that you grant the "locked in" aspect of the problem, i.e., some producer credit contributes to the flow of prices when spent, but does not get into consumers' pockets as income.

Now, you write: "The money that is borrowed to build a factory and is canceled out when repaid is irrelevant;"

Well no, it is not irrelevant because when that money was spent it created a factory that has a price value on it. Thus, the capital loan has to be paid and the factory has to be depreciated so that it can be replaced. When the owner of the factory tries to "sell" the factory to the public by charging for it in the costs of the goods he produces for consumers over 10, 20 years, there will be no money to automatically cover the cost if it has already been used (or its equivalent) to pay down the capital loan. An example that is frequently used in SC literature is this: let us say that the workers in the example get the whole 100,000 (which they don't in practice) and then the company issues shares. Let us then assume that the workers are well off so they use that 100,000 received in wages to buy the shares. The company has its 100,000 again and uses it to pay down the capital loan. Poof! Money and debt cancel each other out of existence. The company will now charge 10,000 a year into prices (for ten years let us say) in order to recover the cost of the factory ... but where is the money to come from? Hence the need for additional money which, under the existing system, can only come from bank debt and only on the condition that it directly or indirectly engenders additional economic activity and growth for the sake of distributing additional incomes. It's a mad world.

I should of course add that, according to SC theory, a net increase in savings by consumers or a decision on the part of consumers to re-invest savings also aggravate the purchasing power deficiency that may manifest itself at any given time.

Mobilisation:


In French:

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

Monnaie pleine & les média

$
0
0

Les banquiers espèrent qu'ils peuvent encore contrôler ce système même après que la police ait découvert que leurs pensions sont en train d'être volées par eux ...( contrôler ce système par la guerre ? ).



Fotos Einreichung der Unterschriften:

Fotos Medienkonferenz:
https://www.flickr.com/photos/vollgeld/albums/72157659443131124

Pressedossier des 1.Dezember (mit allen Referaten und Grussworten):
http://www.vollgeld-initiative.ch/pressedossier/#c2686
Hier findet ihr die dazugehörigen Videoaufnahmen:
https://www.youtube.com/channel/UCZ_6wInT32lVVkgyueKTwtA/videos


Tagesschau 1.Dezember:



Pressespiegel (mit Artikeln von NZZ, Tagesanzeiger, 20 Minuten, und rund 40 weiteren Medien! ....und sogar ein Beitrag inDER Financial Times) ,
Hinweis: Zeitpunkt-Artikel von Christoph Pfluger samt Zitaten aus den Referaten & Grussworten:
Vollgeld: ein grosser Erfolg, aber nur ein erster

L'AGEFI - ‎il y a 6 heures‎
L'initiative «monnaie pleine» a été remise mardi à la Chancellerie fédérale avec 111.819 signatures valables. Cette initiative de l'association indépendante MoMo (Modernisation Monétaire) vise à ce que la Banque nationale produise tout l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

Romandie.com - ‎il y a 7 heures‎
L'initiative dite "Monnaie pleine" a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

swissinfo.ch - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite "Monnaie pleine" a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

Le Matin Online - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite «Monnaie pleine» a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

Tribune de Genève - ‎il y a 8 heures‎
Le système financier suisse n'a donc pas besoin de la monnaie pleine pour être sûr. En outre, les dépôts des épargnants sont protégés par des garanties bancaires, rassure SwissBanking. La faîtière des banquiers voit d'autres points faibles dans l ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

20 Minutes - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite «Monnaie pleine» a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

Tribune de Genève - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite «Monnaie pleine» a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

24heures.ch - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite «Monnaie pleine» a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

Tribune de Genève - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite «Monnaie pleine» a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

swissinfo.ch - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite "Monnaie pleine" a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

Journal du Jura - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite "Monnaie pleine" a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

L'argent électronique doit aussi être créé par la BNS

L'Hebdo - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite "Monnaie pleine" a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

La BNS doit créer toute la monnaie

Bluewin - ‎il y a 8 heures‎
L'initiative dite "Monnaie pleine" a été déposée mardi à la Chancellerie fédérale munie de 111'819 paraphes. Elle exige que la Banque nationale suisse soit à nouveau compétente pour produire l'ensemble de la masse monétaire, y compris l'argent ...

Faut-il nationaliser le franc?

Bilan - ‎30 nov. 2015‎
Fin novembre, l'initiative «Monnaie pleine» a déposé plus de 100 000 signatures à Berne. A l'heure où les monnaies perdent de leur crédibilité en tant que réservoir de valeur fiable, l'idée d'estampiller les dépôts en franc suisse d'une sorte de label ...

    Neutralité violée: scandale à St Gall

    $
    0
    0

    « Plus passionnant que le cinéma ou la télé » Tel était le titre de l’invitation à une conférence adressée à des enfants et organisée par l’université de Saint-Gall ce mercredi après-midi. Le sujet : Pourquoi y a-t-il la guerre en Europe ? Poutine méchant : Un peu ? Beaucoup ? Il paraît que cette offre de conférence pour les enfants a suscité un grand intérêt chez les enfants et leurs parents, leurs oncles, tantes ou grands-parents. La salle Audimax, qui contient plusieurs centaines de places assises pour les enfants et beaucoup de strapontins supplémentaires pour les adultes, était comble, et il a fallu encore une salle de transmission pour pouvoir contenir tous ces « petits étudiants » et les autres auditeurs.



    Poutine méchant : Un peu ? Beaucoup ? 04.12.2015

    « Plus passionnant que le cinéma ou la télé » Tel était le titre de l’invitation à une conférence adressée à des enfants et organisée par l’université de Saint-Gall ce mercredi après-midi. Le sujet : Pourquoi y a-t-il la guerre en Europe ? Poutine méchant : Un peu ? Beaucoup ? Il paraît que cette offre de conférence pour les enfants a suscité un grand intérêt chez les enfants et leurs parents, leurs oncles, tantes ou grands-parents. La salle Audimax, qui contient plusieurs centaines de places assises pour les enfants et beaucoup de strapontins supplémentaires pour les adultes, était comble, et il a fallu encore une salle de transmission pour pouvoir contenir tous ces « petits étudiants » et les autres auditeurs. Tandis qu’en Suisse les officiers de l’armée eux-mêmes ne se permettent pas, pour des raisons de neutralité, de porter devant les soldats un jugement de valeur sur des affaires de politique extérieure, ce mercredi 11 novembre le Professeur Ulrich Schmid a osé faire une tout autre chose. On ne trouve pas de mots pour décrire ce que ces enfants de 5 à 12 ans à l’esprit curieux et innocent ont dû supporter pendant une petite heure de propagande sans aucune neutralité, c’est-à-dire une heure de dénigrement partial contre Poutine et contre la Russie. Sans tenir compte d’aucun élément qui prouve le contraire, il a commencé à dénigrer et à diffamer le Président russe en assénant des déclarations indifférenciées comme par exemple : « Poutine fait la guerre en Ukraine » et d’autres remarques comme « Poutine a volé la Crimée aux gens… et il veut faire la guerre contre beaucoup d’autres pays. Il aimerait bien rétablir le territoire de l’ancien empire des tsars » etc. Évidemment on a fait savoir aux enfants, sans que cela soit exprimé explicitement, que le Président Poutine ne serait encore président que parce qu’il a constamment truqué les résultats des élections. En outre le Professeur Schmid s’est servi de documents vidéo montrant un bus en flammes, d’un clip sur des avions de combat, où on voit un avion qui serait en train de larguer une bombe sur la population civile sur ordre de Poutine. Ceci en combinaison avec la question stratégiquement manipulée du professeur : « Qui aimerait avoir un tel président ? » On peut imaginer la réponse. Evidemment aucune manifestation de sympathie chez les enfants choqués. Par contre lorsque le professeur a demandé : « Pourquoi pas ? », toutes les petites mains se sont levées « Parce que Poutine est méchant ! » Et voilà ! Le discours de haine a atteint son but dans les cœurs blessés des enfants. De plus, de façon répétée, il a été dit aux enfants que Poutine fidélise toute la population russe seulement au moyen de petites combines, de menaces et de films de propagande. En guise de preuves, les images chocs habituelles défilaient sur un écran à côté du pupitre de l’orateur. La cerise sur le gâteau de ce bombardement systématique de documents dénigrant Vladimir Poutine était finalement une comparaison de Poutine avec Adolf Hitler. Lors de cette comparaison on a littéralement inculqué dans les petits cœurs que Poutine et Hitler, c'est du pareil au même. Une peinture polonaise projetée à l’écran montrait un immense portrait de Poutine et Hitler fondus en une seule personne : Adolf Poutine ! Ce discours de l’université des enfants de Saint-Gall ne porte-t-il pas la signature claire des bellicistes américains ? En effet ceux-ci ont une propension à diaboliser tous les hommes d’Etat qui ne correspondent pas à leurs intérêts commerciaux. Cette manière de monter les gens contre quelqu’un en le présentant comme l’identique d’Hitler, avait déjà commencé avec le chef d’Etat iranien M. Mossadegh, qui a été renversé par la CIA et les services secrets britanniques en 1953. Il a été le premier en qui l’Occident a cru avoir découvert un prétendu second Hitler. Mais peu après, Abdel Nasser, le chef d’Etat égyptien a suivi, lorsqu’il a nationalisé le canal de Suez en 1956. Ceci a eu pour résultat la guerre de Suez. Puis Saddam Hussein a été diabolisé comme second Hitler, et jusqu’au dernier Président iranien, qui a également été qualifié de second Hitler. Ceci se passait toujours avec le but caché d’amener les peuples à accepter la guerre afin de pouvoir faire tomber des chefs d’Etat bien ciblés. Les faire tomber par l’action de qui ? De préférence par l’action de l’OTAN ! En glorifiant l’OTAN de cette façon, le Professeur Ulrich Schmid confirme le soupçon que l’université des enfants de Saint-Gall est au service de l’Amérique. Ulrich Schmid a affirmé que l’OTAN ne mène jamais de guerre d’attaque. Selon lui, l’OTAN ne serait qu’une alliance de défense. Ceci a fait un grand effet sur les enfants. Pas un mot mentionnant les innombrables exemples avérés selon lesquels l’OTAN mène depuis longtemps des guerres d’attaque, qu’elle justifie par un simple « sentiment » de se sentir menacée ou par des mensonges fantaisistes. (Il suffit de penser au mensonge des couveuses en Irak ou à la suspicion de détention d’armes nucléaires). L'OTAN vend habilement au peuple leurs guerres d’attaque comme étant des « attaques de défense » nécessaires. Ce discours de haine à l’université des enfants de Saint-Gall a suffi pour convertir les doux cœurs des enfants à la nouvelle doctrine de l’Etat. En tout cas, les enfants traumatisés et comme hypnotisés, ont posé des questions révélatrices. Pour exemple la question d’un petit garçon « Où puis-je m’inscrire à l’OTAN ? » « Pourquoi y a-t-il la guerre, en fait ? » « La guerre viendra-t-elle jusqu’à Saint-Gall et Gossau ? »…« Ne pourrait-on pas supprimer la guerre ? » C’est à peu près ainsi qu’étaient formulées la plupart des questions inquiètes des enfants. Mais peut-être faudrait-il être professeur et avoir chauffé les bancs des amphithéâtres pendant des années pour ne pas réaliser que c’est justement lors de telles réunions que naissent et sont attisés le dénigrement, la haine et la guerre. Et c’est à juste titre qu’on peut poser la question suivante : Est-ce qu’on ne réalise vraiment pas ou est-ce qu’il s’agit d’une action ciblée pour amener la génération montante à accepter la guerre ? Ce discours, qui aurait dû être « plus passionnant que le cinéma » rappelle plutôt à chaque citoyen critique et bien informé ce qui se passe parallèlement dans des colonies de vacances en Ukraine. Comme l’ont rapporté le Kiev Post et d’autres médias, plusieurs de ces colonies de vacances se déroulent actuellement en Ukraine, organisées par le groupe terroriste militant Asow, qui est soutenu par les Etats-Unis. Là-bas, ils entraînent des enfants, dont certains sont à peine âgés de 6 ans, à sauver des blessés, à monter des armes et à tirer avec celles-ci. « Je veux que cette guerre se termine et que nous tuions tous ces Russes ! », a dit un bout de chou très soucieux et fanatisé par la colonie de vacance d’Asow. Citoyens, parents, réveillez-vous ! Faites obstacle à tous ces développements ! Interdisez de pareilles propagandes d’Etat dans les universités des enfants ! Ne livrez pas vos enfants à des propagandistes de guerre ! A plus forte raison instruisez-les de ces liens que nous venons de relater et ne vous laissez pas inciter à la haine ! Quoi que le Président Poutine soit ou quoi qu’il ait fait, ce qui se passe ici avec nos enfants, c’est de l’incitation à la haine. De tels discours de haine ne peuvent pas produire un avenir meilleur. Y a-t-il des alternatives ? Transmettez à vos enfants les contre-voix, comme par exemple Klagemauer.TV.

    Philippe de Villiers: les errances des politiques

    $
    0
    0
    5.0 étoiles sur 5 Très bonne critique des milieux politiques français et européens et de la post-démocratie accessible à un large public,26 octobre 2015
    Ce commentaire fait référence à cette édition : Le moment est venu de dire ce que j'ai vu (Broché)
    Philippe de Villiers décrit dans ce livre les errances coupables de la classe politique française depuis quarante ans, dérive qui, au fil des années et avec le renforcement des structures européennes et atlantistes, a aboutit à de nombreux renoncements de souveraineté, jusqu'au renoncement de l'idée de la France tout court.

    Si le portrait de nos derniers présidents, de Giscard à Hollande, rappellera aux français, non sans humour et amertume, les traits de personnalité des énergumènes qui nous dirigent, le livre prend réellement de l'ampleur quand son auteur analyse très finement les errances de la post-modernité et de la post-démocratie, notamment en évoquant la convergence de la vision sociale des libéraux de "droite" et de la vision sociétale des libertaires de "gauche". Aussi, le livre offre une très bonne critique du système de gouvernance et de l'idéologie mondialiste qui s'impose petit à petit à nos souverainetés nationales déjà fort élimées: Philippe de Villiers ne recule devant aucun interdit et évoque pêle-mêle les soubassements atlantistes de la construction européenne, Bildelberg et la commission trilatérale, au sein de laquelle on apprend que Mr. Peter Sutherland (entre-autres président de Goldman Sachs, ancien président de BP et président de la section Europe de la commission trilatérale) souhaite "détruire l'homogénéité [culturelle et ethnique] des nations européennes". Tout un programme.

    Le livre ne vaudrait certes pas cinq étoiles s'il n'avait pas aussi le très grand mérite de rappeler et de rendre accessible à nos concitoyens de nombreux thèmes occultés par nos hommes politiques depuis plusieurs décennies: patrie, héritage, enracinement, respect de la vie; on respire! Les pages sur Soljenitsyne (il est fait nottamment usage de la formule : "le front de l'Est est passé à l'Ouest", qui rend compte du passage de la dissidence et de la résistance a la police de la pensée de l'ancien bloc communiste tombé avec le mur de Berlin au monde dit "libre", dont le "mur de Maastrischt", ce second mur de mensonge tenant toujours debout, est défendu avec ardeur par les élites mondialisées) ainsi que celles narrant la rencontre de l'auteur avec Vladimir Poutine renferment des passages fort intéressants.

    Enfin, cela permet d'en savoir un plus sur l'homme Philippe de Villiers, à qui le format livresque permet de parler a un public que la télévision et ses règles (temps de parole limité, journalistes engagés politiquement, nécessité comme au théâtre de confiner les intervenants a des rôles prédéfinis et stéréotypés pour créer artificiellement le buzz) l'empêchait de toucher alors qu'il était encore un homme politique.
    Une lecture essentielle.

    Je ne connaissais pas du tout le Puy du Fou et tout récemment j'ai visité cette merveille à nombreux spectacles historiques. Alors j'ai voulu connaître un peu mieux la personne qui est à l' origine de cette fabuleuse aventure car elle ne pouvait qu'être qu'intéressante, j'ai appris qu'elle a écrit des romans historique sur Saint Louis, Charrette, etc.

    Alors j'ai acheté ce livre de Philippe de Villiers…. C'est un livre absolument à lire et à faire lire.

    Nous pressentions déjà qu'il y avait de la corruption dans le système politique en France et à Bruxelles, on découvre grâce à son témoignage et son expérience d'élu du peuple pendant quelques décennies , que le système est corrompu jusqu'à la moelle et que pire cette corruption est l' architecture même de ce système.

    Hypocrisie, élitisme, trahisons, carriérisme etc.. pénètrent les commissions, les parlements, les élections et les médias...rien ne sera épargné aux yeux de Philippe de Villiers qui maintiendra malgré tout sa posture d'homme éthique et honnête…

    On découvrira quelque perles comme les instituts de sondages qu'il font monter les chiffres des candidats aux élections selon le montant que ces derniers les arrosent. Ou bien les journalistes , qui par leur questions pièges et à insinuation peuvent rayer de la carte une personne droite mais qui gène le système. Ou les partis politiques qui touchent de l'argent de la grande distribution. Et le grand projet européen de mettre l'Europe aux normes américaines, abattre les frontières, enlever les références à toute racines historiques, quitte à faire entrer des migrants de civilisation exogènes, créer l'homme nouveau, consommateur impulsif aux services des élites financières et multinationales, endetté perpétuel et au revenu ponctionné sans retenue.
    Et tout cela sous le plume de technocrates sans envergure, coupés de la vie des peuples et sous influence des 30000 lobbyistes, rédigeant 175000 pages de normes européennes, constitués en 200 comités et 3000 groupes d'experts, faisant la navette entre carrière publique et privée…

    Intéressant aussi sa mise en garde contre la pratique actuelle de la Taqiya de l'Islam et son analyse fine de Vladimir Poutine qui se retrouve propulsé par le comportement des Occidentaux comme chef de file de la résistance à ce projet américano-européen de dominance mondiale.

    Donc à vite acheter ;)






    Le cas de l' Islande !


    Terrorisme, manipulations à Genève !

    $
    0
    0


    Al-Faysali, Abu Mu'az, Fayez et Abu Saqar.
    Photographie publiée dans les merdias ! On cache les visages ? Stupidité absolue ou peur de plaintes pour diffamations ! Tous les barbus feront peur ...

    Le vert derrière ne vous rappelle rien ?  


    Al-Faysali, Abu Mu'az, Fayez et Abu Saqar, noms de guerre...

    Fantastique ! Protégeons encore leur identité en leur cachant les yeux sur les photos ! 


    Dans des cas de menaces jugées sérieuses comme celle-ci, les forces de l'ordre devraient avoir carte blanche pour interpeller qui leur semble suspect sans devoir se justifier et sans pour autant être obligé d'avoir des dossiers judiciaires ouverts.

    Natacha.

    La gendarmerie  les laisse repartir, sic...

    La Peugeot Partner a déjà été contrôlée dans le Jura français. L'un des occupants..., connu pour être une connaissance de Salah Abdeslam, le terroriste le plus recherché d'Europe, est fiché en Belgique pour recel et association de malfaiteurs...

    " ... En visite chez leur oncle…
    Pourtant, on nous dit que les forces de l’ordre veillent et surveillent les mouvements. Un utilitaire, à plaques belges, est bien entré en Suisse par Les Rousses (Jura français), conduit par ces fanatiques. Contrôlés par la gendarmerie française, les occupants racontent qu’ils rendent visite à leur oncle à Genève. La camionnette est repérée à Rive et à Plainpalais, ressort du territoire genevois sans être interceptée ( vide ? ), les personnes à son bord pas inquiétées." 
    On rêve ou quoi ? Pincez-moi :-)





    Les Kennedy tués, à qui les crimes ont profités ?

    $
    0
    0







    Le dollar du FED, en vert, pour la poche de quelques banquiers, avec des intérêts, pour le malheur des multitudes.


    Le dollar Kennedy, en rouge, sans intérêts, pour le bien des peuples, détruit par Johnson, meurtrier de son mari selon Jacqueline Kennedy.

    La première décision de Jonhson fut de faire détruire les dollars Kennedy. 



    L'interview mystérieuse

    Sur les récents enregistrements, on peut entendre une Jackie Kennedy convaincue que l’assassinat de Dallas avait été commandité par Lyndon B. Johnson, explique le quotidien. Pour l’ex première dame des Etats-Unis, le vice-président puis successeur de JFK serait à l’initiative du meurtre, avec la complicité d’hommes d’affaires et du tireur Lee Harvey Oswald.


    La chaîne ABC dévoile en septembre huit heures d'entretiens inédits de l'ancienne première dame datant de 1964 . Le tabloïd Daily Mail promet des révélations chocs sur l'assassinat du président Kennedy, ce que ABC dément.

     Jackie Kennedy pensait-elle que son mari avait été victime d'une machination orchestrée par Lyndon B. Johnson, son vice-président d'alors ? C'est ce qu'affirme le journal britannique The Daily Mail, sur la foi de sept longues interviews accordées par l'ancienne première dame en 1964, et dont les huit heures d'enregistrements n'avaient jamais été révélés.
    Quelques mois après l'assassinat de John Kennedy à Dallas, Jackie Kennedy s'est longuement entretenue avec l'historien Arthur Schlesinger Jr. Selon le journal britannique, la première dame aurait expliqué être convaincue que le vice-président Lyndon B. Johnson s'était associé à des hommes d'affaires du sud des États-Unis pour éliminer le président Kennedy. Lee Harvey Oswald, reconnu coupable du meurtre par la commission Warren, n'aurait été qu'un pion, selon Jackie Kennedy. Conformément à la Constitution américaine, Lyndon B. Johnson a remplacé au poste suprême John Kennedy à la suite de son décès, avant d'être élu président en 1964.

    http://www.lefigaro.fr/international/2011/08/09/01003-20110809ARTFIG00347-la-mysterieuse-interview-de-jackie-kennedy.php


    Kennedy a été tué parce qu'il voulait redonner au Gouvernement Américain, la liberté d'action sur sa monnaie.

    La plupart des gens savent que le rôle de la Banque fédérale de réserve (la "Fed") est de fabriquer les dollars, la monnaie Américaine. Mais la Réserve fédérale n'a de "Fédérale" que le nom. Elle est en fait privée. Cela étant contraire à la Constitution des Etats-Unis, qui dit que c'est le gouvernement qui est sensé créer l'argent (le 16e amendement), qui à son tour devrait être indexé sur "le standard" or ou l'argent.

    Kennedy voulait mettre fin à tout ça, pour mettre en place la possibilité de créer gratuitement, pour le gouvernement, de la monnaie sans devoir payer des intérêts, qui serait soutenu par une valeur. Contrairement à la monnaie fabriquée par la Réserve fédérale, qui n'était plus soutenu par une indexation sur l'or ou l'argent (depuis la loi de Roosevelt, après la crise de 1929, qui interdira aux Américains de détenir de l'or, sous peine d'amende ou de prison). Il voulait payer la dette des États-Unis de cette façon. Bien sûr, ce fût une chose très dangereuse pour lui, de vouloir mettre fin à la puissance et au pouvoir que les banquiers internationaux avaient sur le gouvernement Américain. On peut dire que ce fût encore plus dangereux pour lui, que de vouloir détruire la CIA.

    Kennedy avait signé le "Executive Order 11110" le 4 juin 1963, cinq mois seulement avant son assassinat. Ce décret renvoyait le pouvoir d'émettre de la monnaie au gouvernement, sans devoir passer par la Banque Fédérale de réserve. Kennedy avait donné au Trésor l'autorisation de délivrer des certificats d'argent contre des lingots d'argent, ou des dollars d'argent prit dans le Trésor. Cela signifiait que la fabrication de la monnaie par le gouvernement était garantie et que pour chaque once d'argent dans le Trésor des Etats-Unis, existerait une monnaie en contre-partie, qui serait mise en circulation. En signant le E.O. 11110, Kennedy ne s'est pas imaginé sans doute pas, qu'il signait son arrêt de mort ( sa famille l'avait averti ).

    Et l'une des premières décisions de Lyndon Johnson, après sa prise de pouvoir, sera de faire annuler le décret 11110 et de faire retirer progressivement la coupure de 5 dollars (qui était échangeable en or) que Kennedy avait commencer à mettre en circulation, la première coupure de billet qui n'était pas fabriqué par la Fed, mais bien par le gouvernement Américain.(4)

    http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-e-43365185.html  

    Kennedy et les sociétés secrètes.

    Petition mondiale: http://nobailout.petitionhost.com

    Kennedy John F. - Photo XL - John F. Kennedy

    "Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d'anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique."
    John F. Kennedy, (A l'université de Columbia, 12th Nov. 1963 - 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.)
    Le chauffeur est mort 3 semaines après d'un étrange cancer foudroyant. Nombreux impliqués dans cette affaire seront victimes d'une mort brutale peu de temps après les faits (accidents de la route notamment). Il y a donc des complots,  not. financiers, voir Ferraye, 9-11, UBS, Or suisse etc...
    Le 4 Juin 1963, le President Kennedy a signé un document
    présidentiel nommé l'Ordre Exécutif 11110, lequel a modifié l'Ordre Exécutif
    10289 de 19 Septembre 1961.
    Le Président des
    États Unis a exercé le droit juridique de produire l'argent,
     sans intérêts et libre de dettes. Il avait déjà
    imprimé les billets des États Unis en ignorant complètement les billets de la Réserve Fédérale des banques privées (le FED est une organisation privée, sic.) 
    Les registres montrent que Kennedy avait imprimé § 4,292,893,825.
    Quelques mois après, en Novembre 1963, on l'a assassiné.

    Le President Kennedy avait de plus l'intention d'abroger l'Acte de la Fédéral
    Reserve voté la veille de Noël 1913 et de redonner au Congrés des États Unis le droit de créer son propre argent.

    Un jour après l'assassinat du Kennedy, on a
    retiré de la circulation tous les billets des États Unis imprimés par Kennedy, par suite d'un ordre exécutif du nouveau President Lyndon Johnson, le même qui a donné l'ordre de couler le USS Liberty...
    Please, click below.

    JFK SPEACH ON SECRET SOCIETIES

    John F. Kennedy Speech. 01:35


    Monetary and subprime crisis as bad results
    John F. Kennedy with wife Jacqueline and children, 1962
    How was Johnson ?

    Who is behind ?
    World government, terrorism, microchip




    Executive Order 11110 - Amendment of Executive Order No. 10289 as Amended, Relating to the Performance of Certain Functions Affecting the Department of the Treasury
    June 4, 1963
    Office of the Federal Register
    Office of the Federal Register
    Font Size:
    smallmediumlargemaximum
    Print
    The American Presidency Project

    Promote Your Page Too
    By virtue of the authority vested in me by section 301 of title 3 of the United States Code, it is ordered as follows:SECTION 1. Executive Order No. 10289 of September 19, 1951, as amended, is hereby further amended --
    (a) By adding at the end of paragraph 1 thereof the following subparagraph (j):
    "(j) The authority vested in the President by paragraph (b) of section 43 of the Act of May 12, 1933, as amended (31 U.S.C. 821 (b)), to issue silver certificates against any silver bullion, silver, or standard silver dollars in the Treasury not then held for redemption of any outstanding silver certificates, to prescribe the denominations of such silver certificates, and to coin standard silver dollars and subsidiary silver currency for their redemption," and
    (b) By revoking subparagraphs (b) and (c) of paragraph 2 thereof.
    SEC. 2. The amendment made by this Order shall not affect any act done, or any right accruing or accrued or any suit or proceeding had or commenced in any civil or criminal cause prior to the date of this Order but all such liabilities shall continue and may be enforced as if said amendments had not been made.
    JOHN F. KENNEDY
    THE WHITE HOUSE,
    June 4, 1963


    [APP Note: Executive Order 10289 referred to in this order was in fact issued on September 17, 1951. However the original published version of EO 11110 referred to September 19, 1951. APP practice is to try to reproduce the original published document even if it includes typos.]

    Citation: John F. Kennedy: "Executive Order 11110 - Amendment of Executive Order No. 10289 as Amended, Relating to the Performance of Certain Functions Affecting the Department of the Treasury," June 4, 1963.Online by Gerhard Peters and John T. Woolley, The American Presidency Project. http://www.presidency.ucsb.edu/ws/?pid=59049.

    John F. Kennedy

    No United States president since Abraham Lincoln dared to go against the system and create his own money, as many of these so-called elected presidents were actually only instruments or puppets of the Bankers. That is until President John F. Kennedy came into office.

    President Kennedy was not afraid to “buck the system”, for he understood how the Federal Reserve System was being used to destroy the United States. As a just and honorable man, he could not tolerate such a system, for it smelled corruption from A to Z. Certainly he must have known about the Greenbacks which Abraham Lincoln created when he was in office.

    On June 4th, 1963, President Kennedy signed a presidential document, called Exec­utive Order 11110, which further amended Executive Order 10289 of September 19th, 1951. This gave Kennedy, as President of the United States, legal clearance to create his own money to run the country, money that would belong to the people, an Interest and debt-free money. He had printed United States Notes, completely ignoring the Federal Reserve Notes from the private banks of the Federal Reserve.

    Our records show that Kennedy issued $4,292,893,825 of cash money. It was perfect­ly obvious that Kennedy was out to under­mine the Federal Reserve System of the United States.

    But it was only a few months later, In November of 1963, that the world received the shocking news of President Kennedy's assassination. No reason was given, of course, for anyone wanting to commit such an atrocious crime. But for those who knew anything about money and banking, it did — not take long to put the pieces of the puzzle together. For surely, President Kennedy must have had It in mind to repeal the Federal Reserve Act of 1913, and return back to the United States Congress the power to create its own money.

    It is interesting to note that, only one day after Kennedy's assassination, all the United States notes, which Kennedy had issued, were called out of circulation. Was this through an executive order of the newly installed president, Lyndon B. Johnson? Was President Johnson afraid of the Bankers? Or was he one of their instruments? At any rate, all of the money President Kennedy had created was destroyed. And not a word was said to the American people.

    A lesson to learn

    There is much that can be learned from our past history. Here we are in 2003, and the United States is still operating under the Federal Reserve System. It has already plunged this country over six trillion dollars into debt – Federal debt, (the total debt, including that of individuals and corporations, is over 20 trillion) a debt it will never be able to pay, and has been responsible for every kind corruption imaginable. Yet, barely a peep of protest can be heard from the American people.

    All the Bankers have to do to keep their power is to get rid of the few politicians who are honestly working for a reform in our economic system, and the people at large remain ignorant and controlled. It is obvious the American people need to be awakened to the truth.

    The population at large must be educated on the Federal Reserve, and then unite together to put pressure on the Government to get the Federal Reserve Act of 1913 repealed. Otherwise, it will spell disaster for the United States.

    There can be no peace without justice, and there can be no justice without a reform in our economic system, for the financiers are behind all the corruption in our Govern­ment.

    Abraham Lincoln and John F. Kennedy both had the courage to stand up for principles and to fight for justice. They have both gone down in history as being true patriots of the United States. But do we, as citizens, have the courage to follow their example?

    Melvin Sickler

    This article was published in the Oct.-Nov.-December, 2003 issue of “Michael”.
       


    Par Alain J. Laurendeau

    JFK Vs The Federal Reserve
    Par John P. Curran 

    Le 4 Juin 1963, un décret présidentiel pratiquement inconnu, Executive Order 11110, a été signé avec l'autorité de dépouiller fondamentalement la Banque fédérale de réserve de son pouvoir
    04 février 2010 tiré du texte Les voyous de la réserve fédérale.

    Par Alain J. Laurendeau


    Peu de mois avant son assassinat, John F. Kennedy a été semoncé par son père Joseph dans le salon ovale de la Maison Blanche. «Si tu le fais, ils te tueront!»


    Le 4 Juin 1963, un décret présidentiel pratiquement inconnu, Executive Order 11110, a été signé avec l'autorité de dépouiller fondamentalement la Banque fédérale de réserve de son pouvoir de prêter de l'argent au gouvernement fédéral des États-Unis à l'intérêt. Avec le coup de crayon, le président Kennedy a déclaré que la propriété privée Banque fédérale de réserve seraient bientôt à la faillite. Le chrétien de bourses de droit a exhaustive des recherches sur cette question par le Federal Register et la Bibliothèque du Congrès. Nous pouvons maintenant conclure avec certitude que ce décret n'a jamais été abrogées, modifiées ou remplacées par un ordre ultérieur exécutif. En termes simples, il est toujours valable.



    Quand le président John Fitzgerald Kennedy - l'auteur de Profiles in Courage-signé ce décret, il est retourné au gouvernement fédéral, plus précisément le ministère du Trésor, le pouvoir constitutionnel de créer et d'émettre la monnaie-argent - sans passer par la chaîne privée Federal Reserve Bank. Du Président Kennedy, Executive Order 11110 [Le texte intégral est affiché ci-dessous] a donné le ministère du Trésor le pouvoir explicite: «d'émettre des certificats d'argent contre un lingot d'argent, l'argent, ou des dollars en argent standard dans le Trésor." Cela signifie que pour chaque once d'argent dans les coffres du Trésor américain, le gouvernement pourrait introduire de nouveaux fonds en circulation sur la base des lingots d'argent se trouvant matériellement là. En conséquence, plus de 4 milliards de dollars en États-Unis billets ont été mis en circulation dans les 2 $ et 5 $ dénominations. 10 $ et 20 $ États-Unis Notes n'ont jamais été diffusé, mais ont été imprimées par le Département du Trésor quand Kennedy a été assassiné. Il semble évident que le Président Kennedy connaissait la Federal Reserve Notes être utilisé comme monnaie juridique visé étaient contraires à la Constitution des États-Unis d'Amérique.



    "United States Notes» ont été émises à un prêt sans intérêt et de la dette en monnaie libre soutenu par des réserves d'argent dans le Trésor américain. Nous avons comparé une "Federal Reserve Note" délivré par la banque centrale privée des États-Unis (Federal Reserve Bank a / k / a Federal Reserve System), avec une note "United States" du Trésor américain publié par le décret exécutif du Président Kennedy . Ils ont l'air à peu près semblables, sauf qu'on dit "Federal Reserve Note" sur le haut et l'autre dit "les États-Unis Note". En outre, la note de la Réserve fédérale a un sceau vert et le numéro de série tandis que la Note des États-Unis ont un cachet rouge et le numéro de série.



    Le président Kennedy a été assassiné le 22 Novembre, 1963 et les États-Unis notes qu'il avait émises ont été immédiatement retirées de la circulation. Notes de la Réserve fédérale a continué de servir en tant que monnaie légale de la nation. Selon les services secrets des États-Unis, 99% de tous les papiers américains «monnaie» en circulation en 1999 sont Federal Reserve Notes.



    Kennedy savait que si l'argent adossés à des États-Unis billets ont été largement diffusées, elles auraient éliminé la demande de billets de la Réserve fédérale. C'est une question très simple de l'économie. L'USN a été soutenue par l'argent et le FRN n'a pas été soutenue par quelque chose de valeur intrinsèque. Executive Order 11110 aurait dû empêcher la dette nationale d'atteindre son niveau actuel (la quasi-totalité des près de 9 billions de dollars de la dette fédérale a été créé depuis 1963) si LBJ ou tout président ultérieures ont été à l'appliquer. Il aurait presque immédiatement donné au Gouvernement des États-Unis la capacité de rembourser sa dette sans passer par la Réserve fédérale des banques privées et fait payer des intérêts de créer l'argent "nouveau". Executive Order 11110 Etats-Unis a donné la capacité, une fois encore, créer son propre argent soutenue par l'argent et la valeur royaume quelque chose.



    Encore une fois, d'après nos propres recherches, à peine cinq mois après Kennedy a été assassiné, pas plus de la série de 1958 "Silver Certificates» ont été délivrés soit, et ils ont ensuite été retirés de la circulation. Peut-être l'assassinat de JFK était un avertissement à tous les futurs présidents de ne pas interférer avec le contrôle privé de la Réserve fédérale sur la création de la monnaie. Il semble très clair que le président Kennedy a contesté les «pouvoirs qui existent derrière Etats-Unis et la finance mondiale". Avec courage patriotique vrai, JFK courageusement face aux deux véhicules les plus efficaces qui ont été utilisés pour faire monter la dette:



    1) guerre (Viet Nam), et,



    2) la création de monnaie par une banque centrale privée. Ses efforts pour que toutes les troupes américaines du Vietnam en 1965 combiné avec Executive Order 11110 aurait détruit les bénéfices et le contrôle du privé Federal Reserve Bank.





    Executive Order 11110



    MODIFICATION DU DÉCRET EXÉCUTIF NO. 10289 TEL QUE MODIFIE, RELATIF A L'EXERCICE DE CERTAINES FONCTIONS AFFECTANT LE DEPARTEMENT DU TRÉSOR. En vertu des pouvoirs qui me sont conférés par l'article 301 du titre 3 de la United States Code, il est ordonné comme suit:



    SECTION 1. Executive Order n ° 10289 du 19 Septembre, 1951, tel que modifié, est modifié de nouveau - (a) En ajoutant à la fin de son paragraphe 1, l'alinéa suivant (j): "(j) Le pouvoir conféré au Président par le paragraphe (b) de l'article 43 de la loi du 12 Mai 1933, telle que modifiée (31 USC 821 (b)), à émettre des certificats d'argent contre un lingot d'argent, argent, argent standard ou en dollars dans le Trésor donc pas lieu pour le rachat des tous les certificats d'argent en circulation, de fixer les dénominations de ces certificats d'argent, et de pièces de monnaie dollars d'argent standard et la monnaie d'argent subsidiaires pour leur rachat, et (b) En révoquant les alinéas (b) et (c) du paragraphe 2 dudit article. SECTION 2. La modification apportée par la présente ordonnance ne porte pas atteinte aux actes accomplis, ou tout droit naissant ou courus ou toute poursuite ou procédure engagée ou introduite dans une cause civile ou criminelle avant la date du présent décret, mais tous ces éléments de passif doit se poursuivre et être exécutée mai comme si lesdits amendements n'ont pas été faites.



    JOHN F. KENNEDY LA MAISON BLANCHE 4 Juin 1963





    Une fois de plus, l'Executive Order 11110 est toujours valable. Selon le Titre 3, United States Code, Section 301 en date du 26 Janvier, 1998:



    Executive Order (EO) 10289 datée du 17 septembre 1951, 16 FR 9499, a été modifié par:



    EO 10583, en date du 18 Décembre 1954, 19 F.R. 8725;



    EO 10882 datée du 18 Juillet, 1960, 25 F.R. 6869;



    EO 11110 datée Juin 4, 1963, 28 F.R. 5605;



    EO 11825 en date du 31 Décembre, 1974, 40 F.R. 1003;



    EO 12608 datée Septembre 9, 1987, 52 F.R. 34617



    Les amendements 1974 et 1987, a ajouté, après 1963, l'amendement de Kennedy, n'a pas changé ou modifier toute partie de l'OT de Kennedy 11110. Une recherche de Clinton en 1998 et 1999 OT et les directives présidentielles ont également montré aucune référence à des modifications, les suspensions, ou des changements à l'EO 11110.



    La Federal Reserve Bank, alias Federal Reserve System, est une société privée. Black's Law Dictionary définit la «Federal Reserve System" comme: "Réseau des douze banques centrales à laquelle appartiennent la plupart des banques nationales et à laquelle l'état des banques à charte mai appartiennent. Les modalités d'adhésion nécessitera un investissement de stocks et les réserves obligatoires." En privé les banques publiques sont propriétaires du parc de la Fed. Cela a été expliqué plus en détail dans le cas de Lewis c. États-Unis, Federal Reporter, 2nd Series, Vol. 680, pages 1239, 1241 (1982), où le tribunal a déclaré: "Chaque Federal Reserve Bank est une société distincte appartenant à des banques commerciales dans la région. Le stock de rétention des banques commerciales d'élire les deux tiers des neuf bord de chaque membre de la Banque d'administration» .



    Les banques de la Réserve fédérale sont contrôlées localement par les banques membres. Une fois de plus, selon le dictionnaire juridique Black's, nous constatons que ces banques privées de l'argent d'émission:



    "Federal Reserve Act. Loi qui a créé la Réserve fédérale des banques qui agissent comme agents de maintien de réserves d'argent, émission de monnaie sous forme de billets de banque, le prêt d'argent aux banques, et de superviser les banques. Administrées par le Federal Reserve Board (QV)".



    La propriété privée de la Réserve fédérale (CEF) de banques effectivement question (création) sur la "monnaie" que nous utilisons. En 1964, le House Committee on Banking and Currency, Sous-comité sur les finances internes, à la deuxième session du 88e Congrès, éteindre une étude intitulée Money faits qui contient une bonne description de ce que la Fed est: "La Réserve fédérale est au total faire de l'argent de la machine. Il peut émettre de la monnaie ou de chèques. Et il n'a jamais été un problème de faire de ses contrôles de qualité, car il peut obtenir les 5 $ et 10 projets de loi dollars nécessaire pour couvrir ses vérifier simplement en demandant le Bureau du département du Trésor de la gravure pour les imprimer " .



    Une seule personne ou tout groupe soudée qui a beaucoup d'argent a beaucoup de pouvoir. Maintenant, imaginez un groupe de personnes qui ont le pouvoir de créer l'argent. Imaginez le pouvoir que ces gens auraient. C'est exactement ce que le FED est privée!



    Aucun homme n'a plus pour dénoncer le pouvoir de la FED que Louis T. McFadden, qui a été le président du comité bancaire House dans les années 1930. En décrivant la FED, il a remarqué dans le Congressional Record, pages 1295 et 1296 la Chambre le 10 Juin, 1932:



    "Monsieur le Président, nous avons dans ce pays l'une des institutions les plus corrompus de la planète ait jamais connue. Je me réfère à la Federal Reserve Board et les banques de Réserve fédérale. La Federal Reserve Board, une commission gouvernementale, a trompé le Gouvernement de la États-Unis et il peuple des États-Unis hors d'assez d'argent pour payer la dette nationale. Les déprédations et les iniquités de la Federal Reserve Board et les banques de réserve fédérale agissant ensemble, ont coûté à ce pays assez d'argent pour payer la dette nationale à plusieurs reprises . Cette institution a du mal a appauvri et ruiné le peuple des États-Unis, a lui-même en faillite, et a pratiquement ruiné notre gouvernement. Il a fait ce à travers la mauvaise administration de cette loi par laquelle la Federal Reserve Board, et à travers les pratiques de corruption de la possédante vautours qui contrôlent l'entreprise La famille Rockefeller ".



    Certaines personnes pensent que les banques de la Réserve fédérale des États-Unis sont des institutions gouvernementales. Ils ne sont pas des institutions gouvernementales, les ministères ou organismes. Ce sont des monopoles privés de crédit qui s'attaquent au peuple des États-Unis au profit d'eux-mêmes et leurs clients étrangers. Ces 12 monopoles privés de crédit ont été frauduleusement placée sur ce pays par les banquiers qui sont venus d'Europe et qui nous a récompensés de notre hospitalité en portant atteinte à nos institutions américaines.



    La FED fonctionne simplement comme ceci: Le gouvernement a accordé son pouvoir pour créer de l'argent aux banques FED. Ils créent de l'argent, puis de nouveau à des prêts du gouvernement de charge d'intérêt. Le gouvernement prélève des impôts de revenu pour payer l'intérêt sur la dette. Sur ce point, il est intéressant de noter que la Federal Reserve Act et le seizième amendement, qui donne au Congrès le pouvoir de percevoir des impôts, ont été toutes deux adoptées en 1913. Le pouvoir incroyable de la FED sur l'économie est universellement admis. Certaines personnes, surtout dans les secteurs bancaire et des communautés universitaires, le soutien même pas. D'un autre côté, il ya ceux, comme le président John Fitzgerald Kennedy, qui se sont prononcés contre. Ses efforts ont été parlé en 1990 livre Jim Marrs "Crossfire"



    Un autre aspect souvent négligé de la tentative de Kennedy à la réforme de la société américaine implique de l'argent. Kennedy, apparemment motivé que par un retour à la Constitution, qui stipule que seul le Congrès est médaille d'argent et de réglementer, la dette nationale montait en flèche pourrait être réduite en ne payant pas d'intérêt pour les banquiers de la Federal Reserve System, qui impriment le papier-monnaie alors prêt à la gouvernement à intérêt. Il a déménagé dans ce domaine, le 4 Juin 1963, en signant le décret 11110 qui appelait à la délivrance de 4292893815 $ en États-Unis Notes par le Trésor américain plutôt que le traditionnel Federal Reserve System. Ce même jour, Kennedy a signé un projet de loi modifiant le soutien de l'un et de deux billets d'un dollar de l'argent à l'or, en ajoutant la force de la monnaie américaine affaiblie.



    Contrôleur de Kennedy de la monnaie, James J. Saxon, avait été en conflit avec les puissants de la Réserve fédérale pendant un certain temps, en encourageant l'investissement et des pouvoirs plus large de prêts pour les banques qui ne faisaient pas partie du système fédéral de réserve. Saxon avait également décidé que les non-banques de réserve pourrait souscrire à des obligations d'État et locales obligation générale, ce qui affaiblit encore la position dominante des banques de la Réserve fédérale ".



    Dans un commentaire fait à une classe de l'Université de Columbia, le 12 novembre 1963,



    Dix jours avant son assassinat, le président John Fitzgerald Kennedy aurait dit:



    "Les hautes fonctions du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour détruire la liberté des Américains, et avant de quitter mes fonctions, je dois informer le citoyen de ce sort."



    Dans cette affaire, John Fitzgerald Kennedy semble être le sujet de son propre livre ... un profil de vrai courage.



    Ce rapport de recherche a été compilé pour législateur. Org. par Anthony Wayne











    Qu'est-ce que la Federal Reserve Bank?



    Qu'est-ce que la Federal Reserve Bank (FED) et pourquoi le faisons-nous avoir?



    par Greg Hobbs Novembre 1, 1999



    La FED est une banque centrale. Les banques centrales sont censées mettre en oeuvre les politiques budgétaires d'un pays. Ils surveillent les banques commerciales pour s'assurer qu'ils maintiennent des actifs suffisants, comme de l'argent, de façon à demeurer solvable et stable. Les banques centrales font également affaire, comme les échanges de devises et sur or, avec d'autres banques centrales. En théorie, une banque centrale devrait être bon pour un pays, et ils pourraient être si ce n'était pas pour le fait qu'ils ne sont pas détenus ou contrôlés par le gouvernement du pays qu'ils servent. Privé banques centrales, y compris nos FED, n'opèrent pas dans l'intérêt du bien public, mais pour les bénéfices.



    Il ya eu trois banques centrales dans l'histoire de notre nation. Les deux premiers, tandis que trompeur et frauduleux, pâle en comparaison de la portée et l'ampleur de la fraude perpétrée par notre actuel de la Fed. Ce qu'elles ont toutes en commun est une pratique insidieuse connu comme la "banque fractionnaire."



    Fractional bancaire ou de prêt fractionnaire est la capacité à créer de l'argent à partir de rien, de lui apporter au gouvernement ou à quelqu'un d'autre et faire payer des intérêts pour démarrer. La pratique a évolué avant que les banques existent. Goldsmiths location d'espace dans leurs caves aux particuliers et aux commerçants pour le stockage de leur or ou d'argent. Les orfèvres ont donné à ces "déposants" un certificat qui montre la quantité d'or stockées. Ces certificats ont été ensuite utilisés pour faire des affaires.



    Avec le temps, les orfèvres remarqué que l'or dans leurs coffres a rarement été retirée. De petites quantités pourrait entrer et sortir, mais la grande majorité n'a jamais bougé. Pressentant une occasion de profit, les orfèvres a émis des reçus double pour l'or, en effet créer de l'argent (certificats) à partir de rien et puis les prêts de ces certificats (en créant de la dette) pour les déposants et les accusant d'intérêt.



    Étant donné que les certificats ont représenté plus d'or que réellement existé, les certificats ont été "très légèrement" soutenu par l'or. Finalement, certaines de ces opérations voûte ont été transformées en banques et de la pratique des banques fractionnaires poursuivi.



    Conservez cette notion bancaires fractionnaires à l'esprit lorsque nous examinons notre première banque centrale, la Banque du Président des États-Unis (BUS). Elle a été créée, après la dissidence amers au Congrès, en 1791 et affrété pour 20 ans. Une arnaque n'est pas sans rappeler la FED en cours, le bus utilisé le contrôle de la monnaie de frauder le public et d'établir une forme juridique de l'usure.



    Cette banque de prêt fractionnaire pratiqué à un taux de 10:1, dix dollars de prêts pour chaque dollar qu'ils avaient en dépôt. Ce mésusage et l'abus de leur charte continue du public pour les 20 années entières de leur existence. L'indignation du public au cours de ces abus est telle que la charte n'a pas été renouvelé et la Banque a cessé d'exister en 1811.



    La guerre de 1812 ont quitté le pays dans le chaos économique, vu par les banquiers comme une autre occasion de profits faciles. Ils ont influencé le Congrès à la charte de la banque centrale d'autre part, la deuxième banque des États-Unis (SBU), en 1816.



    Les SBU était plus performant que le BUS. Les franchises SBUS vendus et littéralement doublé le nombre de banques dans un court laps de temps. Le pays a commencé à prospérer et à se déplacer vers l'ouest, ce qui exigeait de l'argent. Utilisation de prêt fractionnaire au taux de 10:1, la banque centrale et leurs franchisés créé le rapport dette / fonds pour l'expansion.



    Les choses prospéré pendant un certain temps, puis les banques ont décidé de couper le rapport dette / argent, invoquant la nécessité de maîtriser l'inflation. Cette action de la part des faillites SBUS causé et de saisies. Les banques ont ensuite pris le contrôle de l'actif qui ont été utilisés comme garantie contre des prêts.



    Examiner de près comment les SBUS conçu ce cycle de prospérité et de dépression. La banque centrale a provoqué une inflation par la création de la dette / fonds pour des prêts et de crédit et que ces fonds soient facilement disponibles. L'économie en plein essor. Puis ils ont utilisé l'inflation qui ils ont créé comme une excuse pour fermer les prêts / crédit / argent.



    La pénurie de liquidités résultant causé à l'économie de faiblir ou de ralentir de façon spectaculaire et un grand nombre d'entreprises et faillites personnelles a résulté. La banque centrale a alors saisi les biens utilisés à titre de garantie pour les prêts. La richesse créée par les emprunteurs au cours du boom a ensuite été transféré à la banque centrale au cours de la récession. Et vous avez toujours demandé comment les grands types retrouvés avec toutes les billes.



    Or, selon vous, qui est responsable de tous les hauts et les bas de notre économie au cours des 85 dernières années? Pensez à la dépression de la fin des années 20 et tout au long des années 30. La FED pourrait avoir pompé beaucoup d'endettement / capitaux sur le marché pour stimuler l'économie et remettre le pays sur les rails, mais ont-ils? Non, en fait, elles ont limité l'offre de monnaie assez sévèrement. Nous connaissons tous les résultats qui se sont produits à partir de cette action, n'est-ce pas?



    Pourquoi la FED faire cela? Au cours de cette période la valeur des actifs et des stocks ont été à des prix plus bas. Qui pensez-vous acheter tout était à 10 cents sur le dollar? Je crois qu'il est fait référence que la consolidation de la richesse. Combien de fois ont-ils déjà fait dans les 85 dernières années?



    Pensez-vous qu'ils le feront à nouveau?



    Tout comme un côté à ce point, regardez l'économie d'aujourd'hui. Les marchés sont en déclin. Pourquoi? Parce que la Fed a été très libérale, avec sa dette / crédit / argent. Le marché était hyper gonflé. Qui crée de l'inflation? La Fed. Comment fonctionne la FED face à l'inflation? Elles limitent la dette / crédit / argent. Ce qui arrive quand ils font ça? L'effondrement du marché.



    Plusieurs mois en arrière, après certaines banques centrales ont déclaré qu'ils seraient vente de grandes quantités d'or, le prix de l'or est tombé à 25 ans minimum d'environ 260 $ par once. Les banques centrales ont alors acheté de l'or. Après l'achat, au fond, un groupe de 15 banques centrales ont annoncé qu'ils seraient limitant la quantité d'or mis en marché pour les cinq prochaines années. Le prix de l'or est allé jusqu'à 75,00 $ l'once en quelques jours. Combien de centaines de milliards de dollars n'a pas les banques centrales font avec ces deux communiqués de presse?



    L'or est généralement considéré comme une couverture contre les conditions économiques plus graves. Pensez-vous que les familles de banquiers privés qui sont propriétaires de la FED, achètent ou vendent des actions à ce moment? (Rappelez-vous: acheter bas, vendre haut.) Combien d'argent pensez-vous que ces propriétaires de la Fed ont fait depuis elles ont limité l'offre de monnaie au sommet du cycle actuel de ce dernier?



    Alan Greenspan a dit publiquement à plusieurs reprises qu'il pense que le marché est surévalué, ou des mots à cet effet. Juste un soupçon qu'il allait augmenter les taux d'intérêt (de limitation de la masse monétaire), et les marchés des actions ont une réaction négative. Les gouvernements et les politiciens ne règle pas les banques centrales, les gouvernements centraux des banques règle et les politiciens. Le président Andrew Jackson a remporté la présidence en 1828 avec la promesse de mettre fin à la dette nationale et d'éliminer les SBUS. Durant son second mandat du président Jackson a retiré tous les fonds gouvernementaux de la banque et le 8 Janvier 1835, a payé la dette nationale. Il est le seul président de l'histoire à avoir cette distinction. La charte de l'SBUS a expiré en 1836.



    Sans une banque centrale de manipuler la masse monétaire, les États-Unis ont connu une croissance sans précédent pendant 60 ou 70 ans, et cette richesse qui est trop pour les banquiers à supporter. Ils ont dû revenir dans le match. Ainsi, en 1910, le sénateur Nelson Aldrich, alors président de la Commission monétaire nationale, en collusion avec les représentants des banques centrales européennes, ont conçu un plan à la pression et de tromper le Congrès à adopter une législation qui aurait secrètement créer une banque centrale privée.



    Cette banque exercera un contrôle sur l'économie américaine par le contrôle de la délivrance de son argent. Après une vaste campagne de relations publiques, créées par les banques centrales étrangères, la Federal Reserve Act de 1913 a été glissée par le Congrès durant le congé de Noël, avec de nombreux membres du Congrès absent. Le président Woodrow Wilson, pressé par ses soutiens politiques et financiers, elle a signé le 23 Décembre, 1913.



    La loi a créé la Federal Reserve System, un nom soigneusement sélectionnés et conçus pour tromper. «Fédéral» conduirait à penser qu'il s'agit d'un organisme gouvernemental. «Réserve» conduirait à penser que la monnaie est soutenu par l'or et l'argent. "System" a été utilisé en lieu et place du mot "banque" de sorte qu'on n'aurait pas conclure qu'une nouvelle banque centrale a été créée.



    En réalité, la loi a créé un organisme privé à but lucratif, une société de banque centrale appartenant à un cartel de banques privées. Qui est propriétaire de la FED? Les Rothschild de Londres et de Berlin, Lazard Frères de Paris, Israel Moses Seif de l'Italie; Kuhn, Loeb et Warburg d'Allemagne et le Lehman Brothers, Goldman, Sachs et les familles Rockefeller de New York.



    Saviez-vous que la Fed est la seule société à but lucratif en Amérique qui est exonérée d'impôts à la fois fédéral et État? La FED prend à environ un billion de dollars par an en franchise d'impôt! Les familles bancaires énumérés ci-dessus obtenir tout cet argent.



    Presque tout le monde pense que l'argent qu'ils paient en taxes est versé au Trésor US pour payer les dépenses du gouvernement. Voulez-vous savoir où vos dollars d'impôt revient vraiment? Si vous regardez à l'arrière d'un chèque payable à l'IRS, vous verrez qu'il a été approuvé en tant que "Pay Toute branche FRB Gen ou de dépôt de crédit US Trés. C'est dans le paiement de US Oblig. Oui, c'est ça, chaque sou que vous payez en impôts sur le revenu est accordée aux familles de banquiers privés, communément connu sous le nom de la FED, en franchise d'impôt.



    Comme beaucoup d'entre vous, j'ai eu quelques difficultés avec le concept de création monétaire à partir de rien. Vous mai ont entendu le terme "monétiser la dette», qui est un peu la même chose. À titre d'exemple, si le gouvernement américain veut emprunter 1 million de dollars o Le gouvernement n'emprunte chaque dollar qu'il dépense ó ils vont à la FED, à emprunter l'argent. La FED demande du Trésor et a écrit 10000 Imprimer la Réserve fédérale Notes (FRN) en unités de cent dollars.



    Le Trésor charge la FED 2,3 cents pour chaque note, pour un total de 230 $ pour les 10.000 FRN. La FED prête ensuite les 1 million de dollars au gouvernement à leur valeur nominale majorée des intérêts. Pour ajouter l'insulte à l'injure, le gouvernement doit créer un lien pour 1 million de dollars à titre de garantie pour le prêt. Et les riches deviennent plus riches. Ce qui précède est juste un exemple, parce qu'en réalité, la FED ne s'imprime pas même l'argent, c'est juste une entrée d'ordinateur dans leur système comptable. Pour mettre cela sur un plan plus personnel, nous allons utiliser un autre exemple.



    Aujourd'hui, les banques sont membres du Système de réserve fédérale des banques. Cette adhésion permet-il légal pour eux de créer de l'argent à partir de rien et de lui apporter pour vous. Aujourd'hui, les banques, comme les orfèvres de vieux, comprendre que seule une petite fraction de l'argent déposé dans leurs banques n'est jamais réellement retirées dans la forme de liquidités. Seulement 4 pour cent de tout l'argent qui existe est dans la forme de monnaie. Le reste est tout simplement une entrée d'ordinateur.



    Disons que vous êtes approuvé pour emprunter $ 10,000 de faire quelques rénovations. Vous savez que la banque ne prenait pas en réalité 10.000 dollars de son tas de trésorerie et de le mettre dans votre tas? Ils ont tout simplement passé à leur ordinateur et l'apport d'une entrée de 10.000 $ sur votre compte. Ils ont créé, depuis les airs, une dette que vous avez plus de sécuriser avec un actif et rembourser avec intérêts. La banque est autorisée à créer et à prêter comme la dette autant qu'ils veulent tant qu'ils ne dépassent pas le 10:1 imposée par la Fed.



    Il met une sorte de nouvelle optique sur la façon dont vous visionnez votre banque amie, n'est-ce pas? Que dire de ceux des comités de prêt que vous scruter à la loupe avant d'approuver le prêt, ils ont créé de l'air mince. What a hoot! Ils rendent compliqué pour une raison. Ils ne veulent pas de comprendre ce qu'ils font. Les gens craignent ce qu'ils ne comprennent pas. Vous êtes plus facile de faire d'illusions et de contrôle lorsque vous êtes ignorant et peur.



    Maintenant pour mettre le glaçage sur le gâteau. Lorsque l'impôt sur le revenu a été créé? Si vous avez deviné 1913, la même année que la Fed a été créé, vous obtenez une étoile d'or. Coïncidence? Quelles sont les chances? Si vous envisagez d'utiliser la Fed à créer de la dette, qui va rembourser cette dette? L'impôt sur le revenu a été créé pour compléter l'illusion que l'argent avait été prêté et de l'argent donc réel a dû être remboursé. Et vous pensiez que Houdini était bon.



    Alors, que peut-on faire? Mon père m'a appris qu'il faut toujours se battre pour ce qui est juste, même si vous avez à défendre seul.



    Si «Nous les peuples» ne prennent pas certaines mesures dès maintenant, il n'y mai viendra un temps où «Nous, les gens" ne sont plus. Vous devez écrire une lettre ou envoyer un courriel à chacun de vos représentants élus. Beaucoup de nos élus ne comprennent pas que la Fed. Une fois informés, ils ne seront pas en mesure de plaider l'ignorance et de garder le silence.



    Article 1, Section 8 de la Constitution américaine dit expressément que le Congrès est le seul organe qui peut «battre monnaie et de réguler la valeur de celle-ci." La Constitution américaine n'a jamais été modifiée pour permettre à toute personne autre que le Congrès d'inventer et de réglementer la monnaie.



    Demandez à votre représentant, à la lumière de cette information, comment il est possible que le Federal Reserve Act de 1913, et la Federal Reserve Bank qui l'a créé, pour être constitutionnelle. Demandez-leur pourquoi ce cartel bancaire privé est autorisé à récolter des milliards de dollars de profits sans payer d'impôts. Insister sur une réponse.



    Thomas Jefferson a dit: «Si le peuple américain permet toujours aux banques privées de contrôler l'émission de leur monnaie, d'abord par l'inflation et ensuite par la déflation, les banques et les sociétés qui grandiront autour d'eux priveront le peuple de toute leur prospérité jusqu'à ce que leurs enfants se réveillera sans-abri sur le continent de leurs pères conquis. "



    Jefferson a vu venir il ya 150 ans. La question est: «Pouvez-vous voir maintenant ce qui est en réserve pour nous si nous laissons la Fed à continuer à contrôler notre pays?





    Vigilance "La condition à laquelle Dieu a donné la liberté à l'homme est éternel, qui conditionnent si il brise, la servitude est à la fois la conséquence de son crime, et la punition de son crime."



    Alain J. Laurendeau



    Source: http://www.roc-grp.org/jfk.html




    https://www.youtube.com/watch?v=QNbCAzzXw14




    Bob et Jack les héros qui livrerons combat jusqu’à la mort contre le cartel bancaire Rockefeller dans l'ombre sans filet!






    Commentaires
    Joseph averti John du danger de faire face à la FED

    Peu de mois avant son assassinat, John F. Kennedy a été semoncé par son père Joseph dans le salon ovale de la Maison Blanche. «Si tu le fais, ils te tueront!»


    Nationaliser le système bancaire le rêve de John F. Kennedy
    John F. Kennedy Vs Rockefeller et sa Réserve Fédérale

    La BNS devrait donner de l'argent à chaque Suisse

    $
    0
    0




    Au lieu d'investir dans les concurrents de la Suisse et dans les industries du carbone polluant...

    La BNS devrait donner de l'argent à chaque Suisse pour relancer l’économie

    Notre invité Michaël Malquarti, de SYZ Asset Management, propose une solution originale pour relancer la croissance: autoriser la Banque nationale suisse à distribuer directement à la population de l’argent qu’elle injecterait dans l’économie sans l’entremise du crédit bancaire 
    L’économie mondiale est caractérisée par trois grands déséquilibres: la croissance de l’endettement, l’aggravation des inégalités sociales et la persistance de flux commerciaux asymétriques. Ils s’entremêlent de manière complexe et sont le résultat de tendances de fonds étalées sur plusieurs décennies. Les dynamiques qui les sous-tendent sont mal comprises, la reconnaissance même de ces problèmes n’est pas évidente et du coup les solutions techniques, mais surtout politiques, semblent faire cruellement défaut. Pourtant ces déséquilibres menacent aujourd’hui la stabilité économique, sociale et géopolitique, au point que nous sommes peut-être arrivés à un point de rupture.
    Le premier déséquilibre, unanimement reconnu, est celui de la dette. Nos économies pour continuer à tourner semblent nécessiter une perpétuelle croissance du crédit qui en retour engendre une instabilité destructrice. Cette situation explique le comportement schizophrène actuel des autorités monétaires et politiques qui d’un côté stimulent et de l’autre refrènent, avec le résultat que l’on connaît: une croissance molle et très fragile ainsi qu’un niveau de dette globale comparé au PIB encore plus élevé qu’avant la crise.

    Des inégalités sources de tensions

    Le deuxième déséquilibre, bien documenté, même si plus polémique, est celui des inégalités sociales. Celles-ci se déclinent selon trois axes qui se chevauchent parfois: inégalités entre le capital et le travail, entre les hauts salaires et les bas salaires, entre les générations. Ces inégalités sont sources de tensions grandissantes et expliquent la polarisation et la radicalisation politique qui se manifeste un peu partout. De plus, alors que nos économies souffrent d’une demande agrégée trop faible, aucun mécanisme ne semble être trouvé pour augmenter le pouvoir d’achat du plus grand nombre.
    Le troisième déséquilibre, probablement le plus mal compris, est celui des balances des comptes courants et de leur opposé, celles des capitaux. En caricaturant un peu, chaque pays s’est enfermé dans un modèle économique qui sur le long terme n’est pas durable: certains, comme la Suisse, comptent sur leurs exportations, d’autres sur la consommation financée par le crédit. Pour maintenir cet état de fait, nos économies sont dépendantes les unes des autres; pour chaque exportateur de biens et de services, il y a un exportateur de capital sous forme de dette ou de droit de propriété. A terme, la dette des uns devient insoutenable et la vente d’actifs en substitut inacceptable. Ceci pourrait mener à des crises géopolitiques bien plus graves que la dispute entre l’Allemagne et la Grèce de ce début d’année ou que les vaines guerres des monnaies que se livrent les banques centrales.

    Une ration monétaire pour chaque résident

    Une source commune au développement de ces déséquilibres est clairement identifiable: le système monétaire actuel impose que l’argent soit créé par le crédit bancaire. Du coup la dette est consubstantielle à la monnaie. De plus, mécaniquement, celle-ci atteint en premier lieu les meilleurs emprunteurs, c’est-à-dire les plus aisés. Enfin, on remarquera que les dévaluations telles qu’orchestrées par les banques centrales via les marchés financiers sont en fait hostiles aux autres pays, car par effet collatéral elles freinent l’importation de biens et de services étrangers.
    En février de cette année j’ai proposé d’introduire un nouvel outil de politique monétaire qui permettrait d’inverser les tendances évoquées ici tout en soutenant l’économie. L’idée est la suivante: autoriser la BNS, dans le cadre de son mandat, à distribuer directement à la population de l’argent, qu’elle créerait et injecterait dans l’économie sans l’entremise du crédit bancaire. Sans entrer dans les détails techniques chaque résident recevrait ce que j’ai appelé une ration monétaire, c’est-à-dire une somme d’argent dont il pourrait disposer librement.

    Une mesure collaborative

    Trois usages sont possibles: cet argent nouvellement créé peut être épargné, ce qui réduirait le niveau total de la dette; il peut être dépensé, ce qui augmenterait la consommation interne et donc contribuerait positivement à la croissance; enfin il peut être dépensé à l’étranger ou en produits importés, ce qui déprécierait notre monnaie tout en augmentant la demande chez nos voisins, une mesure collaborative donc, plutôt qu’hostile. La répartition exacte des trois utilisations est difficile à prévoir, mais il est probable qu’en agrégé nous observerions un peu de trois. Quoi qu’il en soit, l’effet serait globalement positif.
    Les problèmes auxquels nos économies font face ne sont pas une fatalité. Depuis quelques mois, en Grande-Bretagne en particulier, beaucoup de personnalités, dont par exemple Martin Wolf ou Adair Turner, soutiennent l’idée d’une refonte de notre système monétaire. En Suisse, nous sommes particulièrement impactés par ces questions. Or nous avons le cadre institutionnel, la culture des solutions non-partisanes et les infrastructures administratives pour agir. Il reste à avoir l’ouverture d’esprit et un peu d’audace.

    Joyeux Noël et bonne année. Happy Christmas and happy new year.

    Mobilisation générale: épargnes, retraites...  volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce... Arnaque de la création monétaire  du néant, ex nihilo... Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d'application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, crédits, etc... pour en discuter ++ 21 616 88 88


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/la-suisse-votera-monnaie-pleine.html

    Un banquier suisse, votre serviteur,  explique en 3 minutes l'arnaque de la création monétaire, avec le Canada comme exemple.
    Vidéo Facebook :
    https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/vb.152656254942354/398971633644147/?type=3&theater
    Tiré de l'émission "Qu'est-ce qu'elle a ma girl" de becurioustv.com.


    Abus étatiques. Thierry Borne en Suisse - Dimanche 13 Décembre

    Europe...Citations de Viktor Orban

    $
    0
    0







    Citations de Viktor Orban

    Viktor Orbán, né le 31mai1963à Székesfehérvár, est un homme politiquehongrois, membre et président de la Fidesz-Union civique hongroise (Fidesz-MPSz).


    Il est marié avec la juriste Anikó Lévai, avec qui il a eu cinq enfants (Ráhel, Gáspár, Sára, Róza et Flóra), et est de confession calviniste.



    - Discours de Orban du 21-09-2015

    […] Grâce aux « mass media » et à internet, il est maintenant clair pour tout le monde que l’Europe est riche, mais faible. C’est la combinaison la plus dangereuse.
    Il semble parfaitement raisonnable de décider, pour ceux qui vivent dans les difficultés, d’émigrer vers un pays riche mais faible, afin de prendre leur part de bonheur, en l’occurrence dans nos pays. Nous le comprenons, nous comprenons que nombreux parmi eux sont forcés de quitter leurs pays, où certains commettent les atrocités contre leur propre peuple, où l’économie s’est effondrée, où le chômage a battu tous les records. Les migrants eux-mêmes sont victimes de mauvaises décisions politiques. En fait, le monde a tourné le dos à ces gens, le monde a tourné le dos à ces Etats, où la dignité humaine est bafouée et où la situation se dégrade de jour en jour.

    Nous comprenons tout cela, mais si nous nous basons sur de simples calculs mathématiques, il est facile de voir que l’Europe est incapable de prendre sur elle tous les problèmes du monde.


    Nous sommes incapables d’aider tous les migrants économiques. Une compréhension minime de l’économie et nos expériences à ce jour suffisent à nous faire comprendre, que nous ne pouvons donner du travail à tout le monde. D’autre part, nous ne sommes même pas certains qu’ils veulent tous travailler dur…

    Quand on voit que certains réfugiés n’apprécient guère d’être en Autriche et partent en Allemagne, cela remet les choses en perspective ; de même, quand des migrants manifestent en Allemagne, car ils veulent aller en Suède…

    La situation s’aggrave encore par l’éclosion d’une épidémie de crimes. Une Europe, qui demande à ses 500 millions de citoyens de respecter ses lois n’est même pas capable de persuader les migrants de se soumettre à une simple procédure d’enregistrement !

    Les politiques de Bruxelles et les grandes puissances rendent la situation encore plus dramatique, quand elles prouvent leur incapacité à comprendre la racine du problème et considèrent les migrants économiques illégaux comme des réfugiés. […]


    En octobre 2013, alors qu’il était en visite officielle au Royaume-Uni, Viktor Orbán avait également prononcé un discours dans lequel il urgeait les leaders européens de changer de politique en matière démographique : « Il faut dire les choses clairement. Une communauté qui ne peut se maintenir biologiquement est vouée à la disparition. L’immigration n’est pas une réponse. C’est un piège, un bluff. Nous devons reconnaître les politiques familiales motivées par la démographie comme essentielles et légitimes. »

    Début 2015, Viktor Orbán : « Nous ne voulons pas qu’une minorité significative avec une culture et des valeurs différentes des nôtres vive parmi nous, car nous voulons que la Hongrie reste la Hongrie. »

    20 Minutes avec AFP Publié le 02.06.2015 à 16:58


    D’après le Premier ministre hongrois Viktor Orban, les migrations actuelles vers l’Europe menacent la civilisation du continent. C’est dans le cadre d’une conférence en l’honneur de l’ex-chancelier conservateur allemand Helmut Kohl que le dirigeant populiste a lancé sa déclaration choc : « Une migration de masse se produit aujourd’hui dans le monde, et elle pourrait changer la face de la civilisation européenne. Si cela se produit, cela sera irréversible ».


    Et de poursuivre : « S’il y a une Europe multiculturelle, on ne reviendra pas en arrière, ni vers une Europe chrétienne, ni vers le monde des cultures nationales. […] Si nous faisons une erreur aujourd’hui, ce sera pour toujours ».

    Viktor Orban nous avertit:


    « Si nous faisons une erreur aujourd’hui, ce sera pour toujours ».

    L’apostasie se paye cher, très cher… L’on rejette le Christ… C’est le croissant sanglant de l’islam que nous allons avoir.

    Viktor Orban :


    En 2010, lorsque nous sommes revenus au pouvoir, nous avons compris « le principe du trou », … soit : Quand on est dedans, il faut arrêter de creuser !

    À propos des experts sensés être les seuls compétents:


    Le Titanic a été conçu et construit par les experts les plus compétents, … l’arche de Noé a été construite par un amateur, … Regardez les résultats !

    L’Europe occidentale est assise à l’envers sur son cheval !


    (PR : essayez de visualiser, de vivre la situation)

    Orban 6.10.2015 : « Les migrants ressemblent plus à une armée qu’à des demandeurs d’asile »

    « L’islam n’a jamais appartenu à l’Europe, il s’y est invité », déclare M. Orban, justifiant son opposition à l’accueil par l’UE de centaines de milliers de demandeurs d’asile venus pour la plupart de pays musulmans par son souci de « défendre » les « valeurs culturelles » européennes (…)


    « Mais spirituellement, l’islam n’appartient pas à l’Europe. C’est un corpus de règles d’un autre monde », a affirmé M. Orban, se plaignant de n’avoir « pas le droit d’émettre un doute », face aux Allemands ou aux Français, sur la possibilité d’une société multiculturelle. « Nous, en Hongrie, décidons nous-mêmes si nous en voulons ou pas. Nous n’en voulons pas », ajoute-t-il (…)

    « Quand la Hongrie se défend bien, elle défend également l'Union Européenne »

    Discours de Viktor Orban 3.07.2015 : […] Le président a également expliqué sa position : contrairement à l'Afrique, l’Europe garantit gratuitement la survie des personnes. Par conséquent, si les Africains apprennent que nous allons nous occuper d’eux s’ils viennent chez nous, … et que nous les laissions venir en Europe, ils partiront de chez eux, et pas cent milles – ce qui est largement prévisible - mais un chiffre précis inimaginable, ils seront plusieurs centaines de millions, puisque plusieurs centaines de millions vivent en Afrique.


    Aujourd’hui, à cause d’une situation mal gérée, de la mauvaise réponse européenne, il y a un mythe vivant en Afrique, celui de croire que l’Europe va les accueillir s’ils viennent. C’est pourquoi, nous devons leur dire très clairement : il n’y a aucune chance, nous allons vous renvoyer, ce continent ne sera pas votre patrie, vous avez votre patrie, et ceci est notre patrie, nous l’avons bâtie. Nous collaborons avec vous avec plaisir, respectez nos lois, et si vous voulez venir ici, respectez également les règles pour cela. C’est inacceptable que vous arriviez illégalement en violant nos lois, et que vous franchissiez illégalement nos frontières. […]


    Selon l’expert hongrois, Angela Merkel s’est enfermée dans une autre réalité et mène une chasse aux sorcières contre quiconque met en doute sa politique de sécurité, alors même que des procédures sont en cours en Allemagne contre 600 migrants pour vol, drogues ou viol. Le nombre des viols et tentatives de viol a bondi ces derniers temps.



    Adenauer a dit que les dix commandements ont été très efficaces parce que toute personne saine d’esprit les comprend … et on les comprend parce qu’ils n’ont pas été établis dans une conférence !

    2.06.2015 Hier soir, un contrôleur a été agressé à la machette et grièvement blessé au bras dans une gare de Milan (Villapizzone, zona Bovisa) par 3 jeunes probablement d'origine sud-américaine qui refusaient de lui montrer leurs billets […]


    Posté par un observateur le 13 juin 2015 à 11h17


    On importe le désastre, le communautarisme, la misère, les ghettos, la criminalité chez nous…en payant de nos impôts…

    Il peut y avoir une immigration choisie, strictement encadrée comme fait le Canada. Et malgré cela, il y a des problèmes avec ceux qui passent à travers…mais en Europe, grâce à nos lois inadaptées, notre angélisme, notre inconscience on a ouvert les portes à toute la misère du monde. 99% des migrants sont attirés, aspirés par l’octroi automatique de prestations sociales (on scolarise leurs enfants, on les soigne (CMU), on les loge, on leur attribue des prestations sociales etc…et on ne les revoie jamais chez eux, malgré qu’ils soient dans l’illégalité et l’incapacité totale à s’adapter, à s’intégrer, à s’assimiler.

    Depuis 35 ans, l’idéologie de gauche et d’extrême gauche (sous couvert des verts) nous a culpabilisés. Nous sommes les responsables de la colonisation, de l’esclavage, du pillage des pays pauvres etc… et on nous a muselés. Dès qu’on fait une remarque sur le comportement d’étrangers, de migrants, on est traité de facho, de raciste, de nazi etc… […]

    Monnaies locales et RBI à la TV suisse

    $
    0
    0

    Sur la TV suisse, aux nouvelles, le dividende universel ou RBI ce soir à 19h30 

    http://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/le-peuple-suisse-devra-voter-pour-ou-contre-le-revenu-universel?id=7345741

    et la monnaie locale dans le film "demain" aux nouvelles de 12h45 de ce 15.12.2015.

    12h45 à 22 min 40

    L’invité culturel: Mélanie Laurent et Cyril Dion nous présentent leur documentaire "Demain"

    Le film fait le point sur les réponses concrètes écologiques économiques et politiques à apporter au dérèglement climatique.



    Comment faire ?  Des monnaies pleines locales, communales, cantonales, fédérales...

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/03/deja-2500-banques-locales-de-riz.html

    http://www.demain-lefilm.com/les-solutions

    http://www.versdemain.org/







    Le revenu de base inconditionnel, une idée portée ailleurs en Europe

    L'initiative populaire fédérale pour un revenu de base inconditionnel a des équivalents en Europe.
    L'initiative populaire fédérale pour un revenu de base inconditionnel a des équivalents en Europe. [Stanislas Jourdan - ]
    L'idée d'un revenu de base inconditionnel, soutenue en Suisse par un petit groupe d'initiants, essaime aussi chez nos voisins. Elle pourrait se concrétiser à court terme en Finlande et aux Pays-Bas.
    Le Conseil fédéral et le Conseil national ont recommandé le rejet de l'initiative populaire "Pour un revenu de base inconditionnel". Le Conseil des Etats doit se prononcer lors de la session parlementaire en cours.
    Les initiants souhaitent l'instauration d'un revenu de base distribué sans conditions, indépendamment de l'emploi ou du statut social, et évoquent la somme mensuelle de 2500 francs par adulte. Le projet, sur lequel le peuple suisse se prononcera en 2016, est unanimement rejeté par les élus de droite et divise ceux de gauche (voir encadré).

    L'idée "fait son chemin"

    Les défenseurs européens du revenu de base inconditionnel veulent pourtant voir dans l'existence même d'une telle initiative le signe que l'idée "fait son chemin".
    "En Suisse, l’idée germe lentement mais sûrement", écrit ainsi le site militant françaisrevenudebase.info. Il estime notamment que le débat au Conseil national a permis de faire évoluer "sensiblement" le vote des parlementaires.
    Et de citer Enno Schimdt, co-auteur de l’initiative et réalisateur du film "Le revenu de base, une impulsion culturelle". "Nous ne nous attendons pas à ce que la majorité des Suisses soit en faveur de l’instauration d’un revenu de base. Même si le non l’emporte, ce sera déjà une étape de franchie car cela aura eu un impact dans notre société."

    800 euros par mois en Finlande

    De fait, l'idée est portée ailleurs en Europe. La Finlande a annoncé la semaine dernière qu'elle projetait de tester une allocation mensuelle universelle en 2017. Des experts sont désormais chargés d'étudier les possibilités de mise en oeuvre. Ils devront remettre leurs conclusions courant 2016.
    Le directeur de la recherche de la caisse Kela, Olli Kangas, a déclaré en octobre qu'"un revenu de base global remplacerait d'autres prestations et il faudrait donc qu'il soit plutôt consistant, aux environs de 800 euros (866 francs, ndlr) par mois". Il faut toutefois noter que cette somme ne permet de vivre que très modestement en Finlande.
    Traditionnellement défendue par la gauche, l'idée figurait aussi dans le programme du centriste Juha Sipilä, vainqueur des législatives en avril. Elle est également soutenue par une bonne partie de la classe politique. Le gouvernement, favorable à l'austérité, y voit pour sa part la possibilité de parvenir à une protection sociale moins coûteuse pour l'Etat.

    Des projets-pilote aux Pays-Bas

    Aux Pays-Bas, quatre villes ont décidé d'expérimenter le revenu de base universel : Utrecht, Tilburg, Groningen et Wageningen. Au total, une trentaine de villes néerlandaises se sont penchées sur la faisabilité d'une telle initiative.
    Utrecht, la 4e ville du pays, espère lancer son projet-pilote en janvier 2016. Le test sera limité à 300 bénéficiaires des minima sociaux. Les membres du groupe recevront chaque mois entre 900 euros (pour un adulte) et 1300 euros (pour une famille). Parmi eux, une cinquantaine toucheront un revenu sans aucune condition et indépendamment de l'évolution de leur situation, a expliqué un porte-parole de la municipalité au site Quartz
    Bien qu'ils soutiennent le projet, les défenseurs du revenu universel tempèrent : "ces expérimentations ne correspondent pas exactement au revenu de base, mais vont dans cette direction", a expliqué l'économiste néerlandais Sjir Hoeijmakers au Basic Income Earth Network.
    Revenudebase.info rappelle pour sa part que ces projets sont actuellement considérés comme illégaux selon la législation néerlandaise, et ajoute que "comme en Finlande, l’accent est mis sur les économies liées à la gestion administrative de la protection sociale  (...) [ce qui] peut impliquer des dérives importantes."

    Le Parlement islandais planche sur la question

    En octobre 2014, trois députés du Parti pirate islandais ont soumis une résolution parlementaire demandant au ministère des Affaires sociales de lancer un groupe de travail sur le sujet. Letexte propose "d’identifier les moyens d’assurer à tous les citoyens du pays un soutien inconditionnel au revenu, avec pour but (...) d’éradiquer la pauvreté."  Les conclusions du groupe de travail devaient être rendues publiques "à l’automne 2015" mais n'ont à ce jour pas été communiquées.
    Dans le même ordre d'idée, la région d'Aquitaine a voté une motion unique en France: l'objectif est deverser automatiquement le Revenu de solidarité active (RSA) - une prestation sociale destinée aux personnes sans ressources - à tous ceux qui y ont droit. Ainsi, tous ceux qui ont aujourd'hui droit au RSA, mais ne le demandent pas toujours, le recevraient sans effectuer aucune démarche.
    Pauline Turuban





    Egalement en Amérique du Nord

    Une expérimentation menée au Canada entre 1974 à 1979 est souvent invoquée par les défenseurs du revenu de base. Baptisé MINCOME, le programme garantissait un revenu de base à chaque habitant de la petite ville de Dauphin, dans la province du Manitoba.

    Selon Evelyn L. Forget, économiste à l'Université du Manitoba et auteure d'un livre sur le sujet, le programme MINCOME a contribué à réduire le niveau de pauvreté de la ville. Le nombre d'heures travaillées a chuté, admet-elle, mais au profit d'études et de congés maternité plus longs. Selon l'économiste, il y a aussi eu moins d'hospitalisations et de problèmes liés à la santé psychique.

    Un "fonds permanent" de plus en plus décrié en Alaska

    Depuis 1982, les habitants de l'Etat d'Alaska reçoivent le "Permanent Fund Dividend" (PFD, "dividende du Fonds permanent"). Il s'agit d'une participation aux rentes pétrolière du territoire. Son montant, qui varie chaque année, s'est élevé à 2000 dollars par habitant cette année, un record.

    Ce revenu universel est toutefois menacé par la baisse conjointe de la production pétrolière et des cours du pétrole.

    Les détracteurs jugent le revenu de base risqué pour l'économie

    En Suisse, l'initiative pour un revenu de base a reçu peu de soutien politique. Le Conseil fédéral estime qu'un revenu de base de 2500 francs ne suffirait pas à assurer une situation décente à tous les ménages et ne permettrait donc pas de se passer des modèles d'assurance et d'aide sociales.

    Les élus du National, de tous bords politiques, sont aussi nombreux à dénoncer le coût de la mesure: 153 milliards de francs, alors que la suppression de l'aide sociale permettrait de libérer à peine un tiers de cette somme -le reste devrait être couvert par les impôts.

    La droite dénonce surtout une utopie qui "nie la valeur du travail". Même la gauche se montre réservée. Les Verts craignent notamment que les entreprises baissent massivement les salaires. Les socialistes, s'ils partagent les finalités de l'initiative, ne veulent quant à eux pas mettre en danger tout le système social actuel.



    Economy, one lie with another lie...

    $
    0
    0
    ...

    It is a classical example of trying to expose one lie with another lie in an attempt to exploit human ignorance with the use of popular mythology and false morality—all for the purpose of maintaining an evil dispensation for the advantage of an self-appointed power elite.

    The essay contains some truths.  People as a mob have neither intellect nor rational function but are moved primarily by blind passions and misconceptions.  When conditions become totally intolerable the more intelligent tend to wake up as individuals rather than the masses awakening collectively.  Some individuals or groups of individuals always assume a leading role.  Truly intelligent initiative is alway at a premium and does not emerge suddenly both spontaneously and pervasively.  It takes time for ideas to spread and generate understanding.

    The deploring of the rapid expansion of financial debt is entirely justifiable—but the discussion merely describes this phenomena without analyzing the problem in any scientific manner—and blames it on an assumed flaw in human nature which manifests as a desire of individuals to have what allegedly they are not entitled to possess.  Von Mises is correct about the manner in which our present financial system leads to alternating economic expansion and collapse but he offers no valid explanation as to the cause or nature of the problem.  He presents essentially as a moralist who blames the "frailty of man"—and any suggestion that gold offers a solution to the vicissitudes of the modern economy is pure nonsense.  People who are infatuated with gold should be placed within a secured enclosure in the middle of the Sahara Desert.  They should be given all the world’s gold.  The gates should be secured and they should be told to have a merry time.  This might bring home to their deluded minds what is the real wealth of society, i.e., food, clothing, transportation, medical services, housing, communication, education and a host of other material possessions, cultural relationships and spiritual attributes.  Basing life upon a relatively useless rare metal is a form of mindless and immoral idolatry which defies description.

    The claim that we are trying to live beyond our means is a form of deception and delusion.  You cannot live beyond your physical means.  One cannot eat next year’s crop or drive next year’s model of an automobile not yet produced.  I defy any of these Puritans or blind moralists to perform such an act.  This sort of belief is a classic example of how abstractions can defeat our natural intelligence.  When people make such ridiculous claims they are not looking at reality.  They are looking a the world through a distorted financial lens which purports to represent reality but increasingly produces a diminishing image of our real potential for both creating and distributing real wealth.  The erroneous assumption is that our purely man-made system of financial accountancy reflects accurately our real wealth and our potential for creating more.  This is the fatal error upon which modern society attempts to function. 

    The fact is that a financial “bubble" is built upon credit advanced as bank debt in respect of real and actual production, notably but by no means exclusively for housing.  These houses, e.g., were actually built and were not a figment of the imagination.  We had demonstrated our creative capacity to produce real things.  They were created and awaited consumer acquisition and use.  To suggest that anything which is already produced and desired should be beyond the reach of the consuming public is merely perverse and reveals the mind of the tyrant who seeks power through the agency of alleged but false scarcity.  Anyone who will release their minds for an instant from the mesmerization of “money” as an abstraction will appreciate that the real, i.e., physical, cost of production is fully met when any item is completed and ready for final consumer purchase and use.  There is no physical debt, nor can there be.  Economics is simply the application of energy to conversion of materials to form articles which are required or desired as useful to humans.  The problem is that our defective human-designed system of finance and financial cost-accountancy fails increasingly to reflect this irrefutable fact.  Industry generates financial costs which derive from two primary sources: (1) wages, salaries and dividends.  These are both components of ultimate price and disbursements of unattached and effective purchasing-power.  (2) costs in respect of goods which are brought in from a previous costing cycle and are not income in the same cycle of production, although they increase costs and prices.  The only option given to us currently is to compensate this chasm between prices and incomes, which grows proportionately with the replacement of labour by technology, by increased borrowing of additional repayable credit, i.e., debt, from the banking system.  This does not finally liquidate the financial costs of production because it merely transfers them as an inflationary charge against future cycles of production.  

    The banking system possesses a monopoly, conferred by State charter, on the creation of financial credit (which functions as money in the modern world) which falsely claims ownership of the credit which it creates against the real wealth of the community—which wealth it did not create.  When foreclosing on this wealth they exercise this false claim—which in fact is a claim to ownership of the earth.  They have in effect appropriated the communal capital in a breathtaking act of grand larceny.  Many bankers themselves do not fully realize the nature and evil of the system in which they operate.  The general public is woefully uninformed on the matter—although more people are awakening to an understanding.  However, we now have the encouraging phenomenon of some bankers recognizing the evil of their practice and abandoning the profession as incompatible with both reality and Christian and moral principles in general.  https://vimeo.com/136794177   

    In brief, the current financial system charges the consumer, quite appropriately, with capital depreciation—but quite inappropriately and unjustly fails to credit the consumer with capital appreciation which greatly exceeds capital depreciation.  We should have increasing real supplementary financial incomes augmented by rapidly falling retail prices.  This condition must be met by an expansion of consumer credit issued without being registered as debt in order to not only fill the increasing “gap” between consumer incomes and retail prices but to give consumers full access to the physical outpouring of product and to provide the consumer the means of allowing producers to recover and cancel their costs through sales.  The present financial system defrauds the community by accounting our physical capital as a liability instead of an asset.

    Von Mises is confused or misled by his preoccupation with price-theory which erroneously assumes universal price elasticity while neglecting the crucial area of industrial financial cost-accountancy.  He is dead wrong in stating that  economic “bubbles”, i.e., prosperity, can only be sustained by credit (meaning debt) expansion.  They can be sustained by consumer credit issued without debt to supplement incomes and to effect falling retail prices.  The modern money system is simply accountancy and the time is long past due when we should have altered our financial accountancy to reflect reality.   The real lie is not that we are in general irresponsible by going further and further into debt.  The real lie is that we are being falsely forced into debt in order to achieve and enjoy the actual and potential results of our association as humans.  As things currently stand, if the consuming public did not contract debt to finance purchases the producers would not be able to recover their financial costs through sales and the entire economy would collapse in universal bankruptcy.  That people can be conned by these malevolent pseudo-moral falsehoods is not exactly a favourable testimony to the general level of human intelligence.  Of course when unsuspecting people of general good will are lied to day in and day out and fed false ideas about morality and financial and economic principles they can, understandably, be misled by all of the false data which is constantly presented to them.

    Sincerely
    Wally Klinck



    http://www.washingtonsblog.com/2015/07/economic-grace-of-social-credit-national-dividend-and-compensated-retail-prices-to-facilitate-consumer-goods-distribution-in-an-age-of-robotics.html

    www.socred.org

    https://www.youtube.com/watch?v=aUN_1mhXNLo
    http://www.youtube.com/watch?v=7F6h1s42vWQ

                      https://www.youtube.com/watch?v=6DH_a6589ik

     https://vimeo.com/136794177

    https://www.scribd.com/doc/243201839/Struggle-for-Money-by-H-M-Murray-final-Edit
    www.socred.org   Here you will find Dr. Heydorn’s recent 550-page book “Social Credit Economics” which is available in various countries on the Web at Amazon.
     
    Dr. Oliver Heydorn’s recent lectures in Australia
    http://youtu.be/LJ_mEOq7Ujw
    http://youtu.be/-ZLKmCbbx5k
    http://youtu.be/I6qOILvMYYM
    http://youtu.be/SrwOcVqu6ec
    Here is Dr. Heydorn’s  presentation in New Zealand (Aukland):
    https://www.youtube.com/watch?v=BuVhZa5KaVI#t=22 
     
    http://social-credit.blogspot.ca
     http://www.socialcredit.com.au
     http://en.wikipedia.org/wiki/Social_credit
     http://socialcredit.schooljotter2.com 
     http://www.ecn.net.au/~socred/ 
     https://www.youtube.com/watch?v=aUN_1mhXNLo 
     https://www.youtube.com/watch?v=7F6h1s42vWQ
     https://www.youtube.com/watch?v=gHBqma-79z4 
     
    Major C H Douglas on 'The Causes of War' PART 1 and the …
    Major CH Douglas on "The Causes of War" - part 2 - YouTube

    RBI +, dividende +

    $
    0
    0

    Excellent texte en faveur du RBI écrit par notre ami William K. Rappard:

    "Souvenez-vous bien du salaire, des jetons de présence et - surtout - des rentes à vie des élus qui tenteront de vous convaincre de refuser le RBI.

    Demandez-vous s'il est normal qu'ils vous jugent majoritairement trop paresseux pour vous en servir de manière productive, alors qu'ils se goinfrent de nos impôts en se cachant derrière nos institutions politiques collégiales pour ne jamais rien décider d'ambitieux !

    Demandez-vous s'ils pensent en premier à votre bien ou à leur confort!

    Que vous soyez de gauche, de droite ou d'ailleurs, ne vous laissez ni insulter, ni berner de la sorte!

    Avec le RBI, vous seriez plus flexibles, plus sereins, plus créatifs, plus libres et... plus entreprenants! Vous lanceriez de nouveaux projets et recruteriez plus de personnel, tout en disposant de plus de temps et d'énergie pour vos familles!

    En capitalisant cette rente en plus de vos salaires, vous pourrez préparer votre retraite sur mesure, sans dépendre des caisses de pension et des aléas de la bourse. Vous pourriez également financer les études de vos enfants et encaisser plus sereinement les coups durs de la vie!

    Vous n'auriez plus à vous étriper pour des questions sordides de contribution d'entretien en cas de séparation ou de divorce, ni à rendre de comptes sur votre vie privée au chômage, à l'Hospice général ou au Service des prestations complémentaires.

    Pour une fois, nous avons l'occasion de voter une réforme qui forcera nos élus grassement payés à faire leur boulot, tout en profitant à tout le monde en bout de course.

    Une réforme dont la Suisse a largement les moyens, à condition d'appliquer les bonnes recettes, lesquelles n'impliquent pas nécessairement de hausses d'impôts (à tout le moins pour les classes moyennes, y compris aisées).

    Une réforme qui permettra de fluidifier notre marché du travail et de le rendre encore plus compétitif, tout en protégeant les employés largement mieux que notre assurance chômage à bout de souffle ou nos juridictions des prud'hommes fantoches.

    De telles occasions de faire évoluer le système dans le bon sens sont rares et il est indispensable de les saisir lorsqu'elles se présentent! Il en va de notre liberté!

    Bonne journée à tous!

    Bises à ceux qui ne gaspilleront pas cette chance extraordinaire de rendre un peu de souveraineté à chaque citoyen.

    Signé: Blaise R.
    ________________
    Ps. Avant qu'on me parle du salaire minimum: le RBI n'est pas un salaire minimum. C'est infiniment plus intelligent que ça!"

    Bernard Maris dévoile le secret des banques

    $
    0
    0




    Feu Bernard Maris +, assassiné comme par hasard à Charly hebdo, l'un des économistes les plus connus en France, chroniqueur sur France Inter, et membre du conseil général de la Banque de France, dévoilait souvent et notamment dans un documentaire récent sur "La Dette" produit par Nicolas Ubelmann et Sophie Mitriani. Lorsque l'on lui a posé la question "D'où vient l'argent que prêtent les banques?", sa réponse était stupéfiante:

    "Elles le fabriquent elles-mêmes avec l'autorisation de la banque centrale. Par exemple.... vous achetez un immeuble qui vaut ... €500 000. Et bien, la banque va fabriquer 500 000 euros, à partir de rien. Vous direz elle ne fabrique pas €500 000 de billets. Si - elle fabrique €500 000 de billets, qu'elle peut vous donner. Sauf que c'est une écriture, parce que vous n'allez pas chercher, pour payer votre immeuble, £500 000 en billets - vous le payez par chèque. Mais c'est la même chose. Si vous vouliez le payer en billets, elle vous donnerez £500 mille en billets qu'elle irait demander à la Banque Centrale, parce qu'elle dit - voilà, j'ai une créance sur Monsieur, qui vaut 500 mille euros, qu'est ce que vous donnez en échange? Et la banque centrale dit - je vous donne 500 mille euros en billets. Sauf que, comme ces billets ne sont jamais demandés, ça circule sous forme d'écriture. Mais il faut bien comprendre ça. Quand on a compris ça, on a tout compris à la monnaie. C'est que la banque fabrique à partir de rien de l'argent. C'est le métier du banquier. La banque crée ex nihilo de l'argent. Ça c'est quelque chose qui est très difficile à comprendre"....

    Une raison de sa mort brutale ?

    Reinventing Banking: From Russia to Iceland to Ecuador

    Merci, Thanks, Jubilé, Jubilee, Joie, Joy

    $
    0
    0


    Meilleurs souvenirs, nous sommes tous des rois et des reines, we are all Kings and Queens !

    à voir absolument...A must see:

    http://www.youtube.com/watch?v=SXh7JR9oKVE

    We would like to wish you a joyful Christmas within your family and in peace !
    We send you as well all our best wishes for this New Year.

    Feliz Navidad a ti y a tu familia!!! Prospero Anio y Felicidad
    BUON NATALE
    Proponendovi questi giochi di ispirazione natalizia, vi augurano Buone Feste a tutta la Famiglia.
    Maligayang Pasko.
    Nous vous souhaitons de tout coeur une joyeuse Fête de Noël en Famille et dans la Paix !
    Également tous nos meilleurs voeux pour l'année et tous les siècles à venir
    Wir wünschen Ihnen und Ihrer Familie von ganzem Herzen ein frohes, friedvolles Weihnachtsfest !
    Ebenfalls alle unsere besten Wünsche für das Neue Jahr.

    How to open local banks with local new currency but without any interest ?
    How to create and share surpluses ?


    Comment créer et partager les surplus:

    Avec nos meilleurs voeux de Noël et pour une bonne santé dans toutes
    les années à venir, surtout à tous vos proches.


    Famille François et Cecilia de Siebenthal
    et leurs enfants encore vivants
    Jimmy, Marina, Inès, Maximilien, Marc, Nicolas, Alexandre, Isabel
    sans oublier
    nos deux petits anges déjà au Ciel et les nouvelles additions, Vanessa, Philippe et les 3 petits enfants, Amédée, Marie Bérénice et le tout petit de 3 mois encore sans prénom fixé :-)

    Douce nuit, Sainte nuit... en deux versions :
    celle du diaporama ci-dessus (avec l’histoire de ce chant) et celle des petits chanteurs à la Croix de bois ci-dessous
    Entre le bœuf et l’âne gris...paroles ci-dessous...
    Les anges dans nos campagnes (petits chanteurs à la Croix de bois aussi)

    23, Av. Dapples
    CH 1006 Lausanne
    Suisse, Switzerland


    021 616 88 88 FAX: 616 88 81



    1 - Entre le bœuf et l'âne gris
    Dort, dort, dort le petit fils
    Mille anges divins, mille séraphins
    Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

    2 - Entre la rose et le lys
    Dort, dort, dort le petit fils
    Mille anges divins, mille séraphins
    Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

    3 - Entre les pastoureaux jolis
    Dort, dort, dort le petit fils
    Mille anges divins, mille séraphins
    Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

    4 - Entre les deux bras de Marie
    Dort, dort, dort le petit fils
    Mille anges divins, mille séraphins
    Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

    5 - Entre les deux larrons sur la croix,
    Dort, dort, dort le Roi des rois
    Mille anges divins, mille séraphins
    Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.



















    Russie:une alternative financière orthodoxe sans intérêts ?

    $
    0
    0


    La Russie débat d’une alternative financière orthodoxe non orthodoxe


    Par F. William Engdahl – Le 22 novembre 2015 – Source journal-neo

    Un important débat est en cours en Russie depuis l’imposition des sanctions financières occidentales aux banques et aux sociétés russes en 2014. Il fait suite à une proposition présentée par le Patriarcat de Moscou de l’Église orthodoxe. La proposition, qui ressemble à bien des égards aux modèles bancaires islamiques sans intérêts, a été dévoilée la première fois en décembre 2014, face à la profondeur de la crise du rouble et au prix du pétrole en chute libre. Depuis août, l’idée a reçu un énorme coup de pouce avec l’approbation de la Chambre de commerce et d’industrie de Russie. Elle pourrait changer l’histoire pour le meilleur selon ce qui en sera fait et où elle conduit.





    Il y a vingt ans, pendant l’ère Eltsine, dans le chaos de l’hyperinflation en Russie suite à lathérapie de choc du FMI, l’Église orthodoxe russe a présenté une proposition alternative pour des services bancaires sans intérêts. Pendant cette période, une tripotée d’économistes russes libéraux, adeptes du marché libre, dans l’entourage de Eltsine, comme Yegor Gaider, ont prévalu. Ils ont livré les actifs de l’État russe au pillage par les banques occidentales, les hedge funds et les corporations.

    Lors de ma première visite en Russie, en mai 1994, pour donner une conférence dans un institut économique russe sur la thérapie de choc du FMI, j’ai vu de première main la mafia sans foi ni loi, la mafia Russkaya, fonçant à travers la rue Tverskaya presque vide, près de la Place Rouge dans la nouvelle limousine Mercedes 600 dernier modèle, sans plaques d’immatriculation. Ce fut un temps dévastateur pour la Russie, et Washington et les technocrates du FMI savaient exactement ce qu’ils faisaient en favorisant le chaos.

    Les sanctions américaines concentrent l’attention

    En 2014, beaucoup de choses ont changé en Russie. Plus important encore, l’engouement qui existait il y a deux décennies pour tout ce qui venait de l’Amérique a naturellement disparu. Les sanctions financières du Trésor américain ont été lancées par étapes en 2014 contre des individus spécifiques autour du président Poutine, puis des banques et des sociétés ciblées dépendant du crédit étranger. Elles ont eu pour effet de forcer un réexamen critique de la part des intellectuels, des représentants du gouvernement russe et du Kremlin lui-même.

    Les attaques de Washington, actes de guerre contre une nation souveraine légalement parlant, ont été lancées par le Bureau du Trésor américain sur le terrorisme et le renseignement financier, la seule agence de finances publiques dans le monde ayant son propre service de renseignements. Le Bureau a été créé sous le prétexte d’identifier et de geler les avoirs et les comptes bancaires des cartels de la drogue et des terroristes. C’est une chose pour laquelle cette agence semble étrangement inapte si l’on juge la minceur de leur dossier concernant des groupes comme ISIS ou al-Qaïda en Irak. Elle semble beaucoup mieux s’en sortir concernant des paysindésirables comme l’Iran et la Russie. Elle possède des bureaux dans le monde entier, y compris à Islamabad et à Abu Dhabi.

    Ces sanctions financières guerrières du Trésor américain et la perspective d’autres bien pire à venir, ont suscité un profond débat en Russie sur la façon de défendre la nation contre de nouvelles attaques. La vulnérabilité de leur système bancaire aux sanctions occidentales a conduit la Russie, comme la Chine, à développer une version russe interne de paiements interbancaires pour remplacer SWIFT. Maintenant, la nature même de l’argent et son contrôle sont au cœur du débat.

    Proposition orthodoxe non-orthodoxe

    En janvier 2015, au plus profond de la crise financière, avec un rouble valant la moitié de ce qu’il valait quelques mois plus tôt et des prix du pétrole en chute libre à la suite de l’accord de septembre 2014 entre John Kerry et le Roi Abdallah, le Patriarcat de Moscou a réitéré son idée.

    Dmitri Lubomudrov, le conseiller juridique de l’Église orthodoxe, a déclaré aux médias à l’époque: «Nous avons réalisé que nous ne pouvions pas rester dépendants du système financier occidental, mais nous devons développer notre propre système. Comme avec le système islamique, celui, orthodoxe, sera basé non seulement sur la législation, mais aussi sur la moralité orthodoxe, et sera une invitation aux hommes d’affaires en quête de sécurité dans un moment de crise.» Parmi ses caractéristiques, il y aurait l’émission de crédit sans intérêt et l’interdiction des investissements dans les casinos ou dans des activités allant à l’encontre des valeurs morales de l’Église.

    Puis au début août de cette année, le plan orthodoxe pour la création d’argent sans intérêt a gagné un soutien supplémentaire majeur. Sergei Katyrin, à la tête de la Chambre de commerce et d’industrie russe, après une rencontre avec Vsevolod Chaplin, un haut clerc orthodoxe supervisant le projet, a annoncé: «La Chambre de commerce et d’industrie soutient la création du système financier orthodoxe […] et elle est prête à fournir sa plate-forme pour une discussion approfondie et professionnelle de ces questions avec les commissions compétentes de la chambre.» La proposition vise à réduire la dépendance de la Russie au système bancaire occidental, une exigence essentielle de sécurité économique nationale.

    Tout comme les modèles bancaires islamiques ont interdit l’usure, le système financier orthodoxe ne permettrait pas d’intérêts sur ces prêts. Les participants a ces systèmes partagent les risques, les profits et les pertes. Tout comportement spéculatif est interdit, ainsi que les investissements dans le jeu, la drogue et d’autres entreprises qui ne respectent pas les valeurs chrétiennes orthodoxes. Il y aurait une nouvelle banque ou organisme de crédit à faible risque qui contrôle toutes les transactions des fonds d’investissement ou des sociétés qui investissent à la source et organisent la médiation lors du financement du projet. Cela permettrait d’éviter explicitement des opérations présentant des risques financiers. «La priorité serait d’assurer le financement du secteur réel de l’économie» a déclaré son porte-parole.

    Fait intéressant, la plus grand république autonome islamique de la Russie, le Tatarstan, a récemment introduit la banque islamique en Russie pour la première fois et cela a été soutenu positivement par German Gref, PDG de l’entreprise publique Sperbank, la plus grande banque de Russie. En mai dernier, M. Gref a qualifié cela d’instrument très important au vu des problèmes actuels de collecte de fonds sur les marchés internationaux. En juillet, la Sberbank et la République du Tatarstan ont signé un accord sur la coopération dans le domaine de la finance islamique.

    Sous le tsar Alexandre III et son ministre des Finances Nicolas Bunge, la Russie a créé la Banque foncière des paysans au début des années 1880 pour accorder des prêts sans intérêts aux paysans qui avaient été libérés du servage en 1861 par son père, Alexandre II, et à qui on avait donné de la terre. La Land Bank a investi dans la modernisation de l’agriculture russe, les agriculteurs ne payant qu’un petit supplément pour la gestion des crédits. Le résultat a été une augmentation spectaculaire de la production du blé russe, et d’autres céréales. La Russie est devenue le grenier à blé du monde jusqu’au déclenchement de la Première Guerre mondiale, dépassant la production combinée des États-Unis, de l’Argentine et du Canada de quelque 25%.

    Les propositions de Glaziev

    La nouvelle importance du modèle monétaire orthodoxe dans les discussions russes vient à un moment où l’un des conseillers économiques de Vladimir Poutine, Sergueï Glayzev, la personne conseillant le président sur l’Ukraine ainsi que sur les relations avec les autres membres de l’Union économique eurasienne, a présenté un plan pour renforcer la sécurité économique et financière nationale de la Russie. Cela dans l’hypothèse tout à fait raisonnable que les sanctions financières et maintenant des pressions militaires de la part de Washington et de l’Otan ne soient pas un accident fortuit, mais une stratégie profonde pour affaiblir et détruire économiquement l’une des deux nations qui se dressent sur le chemin d’un Nouvel Ordre Mondial américain globaliste.

    En mai 2014, quelques semaines après que l’administration Obama a imposé une série sélectives de sanctions sur des individus russes importants, des banques et des sociétés d’énergie, frappant au cœur de l’économie, Glazyev a donné une interview au journal financier russe Vedomosti dans laquelle il a proposé un certain nombre de mesures défensives prudentes. Parmi celles-ci, il s’en trouvait plusieurs qui sont maintenant la politique officielle. Cela incluait un échange de crédit et de devises avec la Chine pour financer les importations indispensables ; un changement de règlement sur les devises nationales, le rouble et le renmimbi ; la création d’un système russe d’échange d’informations interbancaires analogue à SWIFT pour les paiements et les règlements au sein de l’Union économique eurasienne et d’autres pays partenaires.

    Une proposition stratégique de Glazyev pour que l’État impose un moratoire sur toutes les exportations d’or, de métaux précieux et de terres rares, et exige que la Banque centrale achète l’or sur les marché internationaux pour renforcer les réserves de ce métal. Cette dernière proposition a malheureusement été refusée par le Gouverneur de la Banque centrale, Elvira Nabiullina, qui a dit à la Douma: «Nous ne croyons pas qu’un moratoire soit nécessaire sur les exportations d’or. Nous sommes en mesure d’acheter assez d’or pour diversifier nos réserves d’or et de devises

    Nabiullina a été critiquée par les membres de la Douma pour d’être beaucoup trop lente dans l’accumulation de réserves d’or pour conforter le rouble. La Russie est aujourd’hui le deuxième plus grand producteur d’or au monde, après la Chine, et la Chine a accumulé au cours des dernières années, via la Banque populaire de Chine, des réserves d’or à un rythme effréné. Les banques centrales occidentales, menées par la Réserve fédérale, depuis que le soutien de l’or pour le dollar a été abandonné en août 1971, ont tout fait, y compris des manipulations de marché, pour décourager dans le monde entier la constitution de réserves d’or en vue d’y adosser des devises.

    Plus récemment, le 15 septembre, Glazyev a présenté une nouvelle série de propositions économiques au Conseil de sécurité présidentiel russe pour, comme il le dit lui-même, réduire la vulnérabilité aux sanctions occidentales au cours des cinq prochaines années et préparer les fondations pour une croissance à long terme et la souveraineté économique. Parmi ses propositions, il y avait la création d’un Comité d’État sur la planification stratégique auprès du Président de la Fédération de Russie, et un Comité d’État pour la science et le développement technologique, calqué sur un système créé en Iran dans les années 1990 suite à l’introduction des sanctions occidentales.

    La première mesure, la création d’un Comité sur la planification stratégique, fait écho au très réussi modèle français de planification nationale introduit sous la présidence de Charles de Gaulle, qui a été crédité de la transformation de la France, d’une économie largement paysanne stagnante en une nation industrielle avancée moderne et innovante au début des années 1970.

    Dans les années 1960, la France a eu un Commissariat général au Plan qui a analysé l’ensemble de l’économie pour identifier les faiblesses critiques nécessitant une attention particulière pour un développement national global. Il devait fixer des objectifs pour les cinq prochaines années. Les membres de la Commission générale étaient des hauts fonctionnaires, des chefs d’entreprise, des syndicats et d’autres groupes représentatifs. Chaque plan proposé était ensuite envoyé au parlement national pour un vote d’approbation ou des amendements.

    La différence cruciale entre la planification quinquennale de la France et le modèle soviétique de planification centrale, lui aussi quinquennal, était que le français était indicatif et non impératif comme le fut le plan quinquennal soviétique. Les entreprises privées ou étatiques pouvaient décider librement de se concentrer sur un secteur tel que le développement des chemins de fer, sachant que l’État encouragerait l’investissement avec des incitations fiscales ou des subventions à faible risque pour le rendre attrayant. Cela a été une grande réussite jusqu’au milieu des années 1970, lorsque que, suite aux chocs pétroliers massifs et à l’augmentation des directives réglementaire supra-nationales de Bruxelles, il était devenu de plus en plus difficile à mettre en œuvre.

    Il y a d’autres points dans la proposition détaillée de Glazyev. Parmi les plus intéressants, il propose d’utiliser les ressources de la Banque centrale pour fournir des prêts ciblés pour les entreprises et les industries en leur fournissant de faibles taux d’intérêt, entre 1% et 4%, rendus possible par un assouplissement quantitatif [planche à billets, NdT] à hauteur de 20 milliards de roubles sur une période de cinq ans. Le programme suggère également que l’État supporte les entreprises privées au travers de la création d’obligations réciproques pour l’achat de produits et de services à des prix convenus.

    La Russie est dans un processus fascinant qui repense chaque aspect de sa survie économique nationale, du fait de la réalité des attaques occidentales. Cela pourrait conduire à une transformation très saine, loin des défauts mortels du modèle financier de libre marché anglo-américain.

    F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est titulaire d’un diplôme en politique de l’Université de Princeton et est l’auteur de best-seller sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne http://journal-neo.org.

    Note du Saker Francophone

    Cet article sur le système financier peut sembler moins sexy que d’autres sur la géopolitique en Syrie, mais je vous conseille quand même une lecture attentive car la guerre financière est au moins aussi violente et elle est surtout décisive pour faire basculer la puissance dans un camp ou l’autre. Au fur et à mesure que la Russie et la Chine découplent leur économie du dollar, c’est autant de moyens de pression qui échappent au système financier anglo-saxon. Il y a clairement une course contre la montre qui est engagée.

    On peut faire un parallèle avec les QE aux USA, au Japon ou dans l’Union européenne, où l’argent s’investit dans les Bourses à des fins spéculatives ou pour créer un effet de richesse psychologique sans impact sur l’économie réelle.

    Lien
    Guerre des devises

    Traduit par Hervé, édité par jj, relu par Diane pour le Saker Francophone
    Viewing all 2306 articles
    Browse latest View live




    Latest Images