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Maisons en sacs de terre de 50m2 pour 8700 €

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Maison en sacs de terre de 50m2 pour 8700 € construite à 3 en 8 jours

19 DÉC
9:25
Fourni par Traduction
Dans les pays occidentaux, le secteur du bâtiment est énergétivore et fortement émetteur de gaz à effet de serre. De plus, construire  une maison engloutie les budgets des ménages.
Le concept de maison en sacs de terre permet d’utiliser des produits locaux (terre trouvée sur place) et à un coût dérisoire. Les sacs peuvent  être remplis de terre, de sable (ou autre matériau), en fonction des ressources disponibles localement. Un sac de terre ou de sable, cela ne bouge pas du tout (il existe plusieurs systèmes pour que l’adhérence des sacs entre eux soit totale : fil de fez barbelé, effet velcro etc.), la maison est très stable.
La terre tassée et sèchée (le séchage peut être accéléré dans les écodomes en faisant un feu à l’intérieur de la construction terminée) devient très dure, de type brique/céramique. La matière des sacs utilisés  (polypropylène) par CalEarth est très résistante.  Une couche d’enduit protecteur est ensuite ajoutée pour protèger de l’eau de pluie.
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Cette maison, un vrai bunker, est presque indestructible. Les sacs de terre ou de sable sont d’ailleurs utilisés par l’armée comme abris anti-obus, mais aussi pour lutter contre les inondations. L’écodom (technique « SuperAdobe ») est une maison entièrementrecyclableisolanteanti-sismique, et à un coût quasi nul. Elle résiste également aux passages des cyclones et aux inondations. Elle ne craint pas les attaques d’insectes (termites) ou demoisissure. La maison en terre est aussi solide que la terre elle-même :) – Comme dans les églises, la structure en dôme permet, par gravité, le maintien de l’ensemble de la structure. Des constructions droites (avec un toit ordinaire) sont également possibles et sont également très solides. L’inertie thermique de la construction est très bonne. Idem pour l’isolation thermique (les murs sont épais). Le plastique des sacs empêche les remontées d’eau du sol par capilarité.
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En secteurs fortement déboisés (Haïti, Afrique subsahélienne etc.) le concept d’EcoDome apporte un avantage majeur : sa construction ne nécessite pas de bois (pas de charpente).
Le père du concept d’EcoDome est Nader Khalili, un architecte américain d’origine iranienne (il a fait ses études en Iran, en Turquie et aux USA), qui concevait à l’origine des gratte-ciel. Puis, suite à une demande de la NASA, il a élaboré un concept de maison pour les missions spaciales sur la lune, ceci en utilisant le matériau disponible localement : la poussière lunaire. Nader Khalili a passé 5 ans a silloner en moto les déserts iraniens, aidant les populations locales à construire des maisons en terre et améliorant d’année en année ses recettes (l’Iran est un pays fortement sismique). Il reçoit le prix Aga Kahn d’Architecture en  2004. En 1988, un village expérimental fut construit au nord de Los Angeles, dans une région désertique. Sur les plans environnementaux et socio-économiques, c’est à dire à tous les plans, le concept est franchement génial.
De la lune à la terre…
– Olivier
Nader Khalili est un architecte irano-américain qui a travaillé sur l’architecture lunaire dans les années 80 et a développé des constructions en sacs de sable, qu’il appelle « Super Adobe ».
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« The real form of poverty is the poverty of hope. There is an endless reserve of strength in every human to reach his goal, if only this strength is spent in acheiving rather than competing. » 
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« Je n’ai rien inventé. Toutes les civilisations méditerannéennes ont utilisé la terre sur laquelle elles vivaient pour bâtir (…) Imaginez un monde où tous les réfugiés ont un abri. En plus, cela ne coûte rien ».
 » Les Nations-Unies s’intéressent aussi au principe. Et de fait, le Haut Comité pour les réfugiés (HCR) et le Programme au développement (PNUD) ont envoyé des représentants à Hesperia étudier les réalisations de Nader Khalili, avant de les utiliser pour abriter les réfugiés des tremblements de terre en Iran en 2002 et au Pakistan en 2005. »
Plan du dossier :
Partie 1 : Maison en sacs de terre durçie / Introduction
Partie 2 – Maison en sacs de terre durçie / Références
Partie 3 – Maison en sacs de terre durçie / Quel plastique pour les sacs ?
Partie 4 – Maison en sacs de terre durçie / Constructions dans le monde
Partie 5 – Maison en sacs de terre durçie / Budget
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Maison en sac de terre par NatureconstructionMaison en sacs de terre  La construction en sacs de terre est basée sur l’utilisation de sacs remplis de terre et du fil de fer barbelé. C’est très peu coûteux, mais nécessite de la main d’oeuvre.
Cette technique de construction naturelle a évolué à partir de la construction militaire des ‘bunkers’ et des méthodes de digues temporaires de lutte contre les inondations. La technique exige des matériaux de construction très simples : sacs solides, remplis avec de la terre et d’autres matériaux inorganiques généralement disponibles sur le site (comme le sable, le gravier, l’argile ou des pierres volcaniques concassées). Les murs sont progressivement mis en place en emplilant les sacs en quinconce (comme en maçonnerie).

Les murs peuvent être courbés pour une meilleure stabilité latérale, formant ainsi des pièces rondes et des plafonds en forme de dôme comme un igloo. Pour des bâtiments à parois droites de plus de 5 m. de longueur, il convient d’ajouter des contreforts.

On stabilise l’édifice en plaçant du fil de fer barbelé entre les rangées. On peut aussi utiliser de la ficelle enroulée autour des sacs afin de lier les rangs entre eux, ceci sert à maintenir la structure d’ensemble et la renforcer. Des tiges d’armature peut être martelées dans les parois, notamment dans les angles et près des ouvertures.

La structure est généralement finie avec du plâtre, du stuc ou des briques, à la fois pour évacuer l’eau et prévenir toute dégradation liée à l’action du soleil. Cette technique de construction peut être utilisée pour des abris d’urgence, des logement temporaires ou permanents, des granges et bien d’autres structures.

On peut utiliser divers types de toitures. Les toits en dôme sont des extensions de la paroi qui forment des voûtes ou des coupoles. Les voûtes et les dômes de terre sont très peu coûteux à construire, mais les rendre imperméables est un processus complexe et coûteux dans les régions humides. Il est plus facile de construire des bâtiments rectangulaires et circulaires avec des toits en bois ou en métal dans le style architectural local.
Fenêtres et portes peuvent être formées avec un linteau en maçonnerie traditionnelle ou avec encorbellement ou avec la technique de la brique arcade, généralement pour des formes temporaires. La lumière peut également être introduite par des puits de lumière, des tubes en verre à bouchon, ou des bouteilles qui sont placés entre les rangées de sacs au cours de la construction.
  • Les fondations

Les fondations sont souvent faites de sacs de graviers, ou du ciment armé. Les sacs de terre doivent être placés au moins 15 ou 30 cm au-dessus du sol.(Ce n’est pas le cas pour ceux en ciment) Il est important d’utiliser du ciment près du sol avant d’empiler les sacs de gravier, de sable, ou de terre.
  • Les types de sacs

Le plus populaire est fait de polypropylène tissé, tel que le type utilisé souvent pour transporter du riz ou d’autres céréales. Le polypropylène est choisi pour sa résistance aux dégâts des eaux, à la pourriture et aux insectes.
  • Les Remplissages

On utilise généralement du matériau non organique, mais il est possible d’utiliser des matériaux organiques (comme des balles de riz). Le matériau de remplissage le plus courant est l terre avec de l’argile (entre 5 et 50%). Les sacs de terre compactée forment des unités structurelles, mais ne peuvent résister à un trempage prolongé. Les sacs de sable et de gravier peuvent résister dans des conditions d’inondation prolongée. Mais la plupart du temps, les sacs de sable ne sont pas assez solides sans contreventement temporaire et l’ajout d’une peau structurelle. On peut stabiliser la terre avec du ciment, de la chaux ou du bitume pour renforcer l’étanchéité et la solidité (ce n’est pas nécessaire pour le plâtre structurel.
Les propriétés d’isolation thermique sont importantes dans les pays qui connaissent d’importantes variations de température. La roche volcanique concassée, la pierre ponce ou de riz,les coques ont de très bonnes valeurs d’isolation (meilleures que l’argile ou le sable). Mais il ne faut pas utiliser des matières organiques qui putrescibles ou biodégradables pour les murs porteurs. On peut les utiliser comme remplissage entre des postes. À défaut de gravier léger, on peut utiliser des déchets en plastique comme isolant de remplissage dans les sacs de terre.
Les propriétés de masse thermique du matériau de remplissage sont importantes pour les climats qui connaissent de fortes variations de température chaque jour. Les murs de terre massifs idéal sont une solution idéale pour les climats doux grâce à l’effet d’inertie. La terre ou le sable ont d’excellentes propriétés de rétention de la chaleur, et lorsqu’il l’isolation l’extérieure de la maison est bien faite, ces matériaux sont une bonne solution pour des bâtiments solaires passifs dans les climats froids.
  • Le plâtre

Quand le remplissage contient beaucoup d’argile, les plâtres faits avec de la chaux ou seulement de la terre sont meilleurs. Un mur de terre doit respirer et se dessécher, en particulier dans les climats où les températures descendent en-dessous de zéro.
Dans les climats chauds, on peut utiliser du stuc de ciment. Le stuc de ciment est une bonne solution sur de la terre stabilisée près du sol : la pluie s’infiltre à l’intérieur puis reflue.
Mais, souvent les plâtres de chaux ou de terre sont la meilleure finition. Le ciment est trop rigide et ne se dilate ni ne se contracte pas comme un mur de terre. On peut commencer la finition avec de la terre et utiliser de la chaux par-dessus. De plus, il est plus facile de réparer la chaux.
  • Renforcement pour les zones à risques

Tout d’abord, choisir un emplacement solide pour le bâtiment. La forme régulière de la structure et l’écartement des parois sont deux critères importants . Des normes internationales existent pour des contreventements pour la construction en terre dans différents types de zones à risques sismiques. Il arrive que l’on utilise des contreforts renforcés de ciment avec ancres de mortier ainsi que du barbelé renforcer la solidité des bâtiments publics dans les zones à risque sismique.
Il faut renforcer les angles avec du fil barbelé et utiliser un maillage de filet de pêche en nylon sous le plâtre. C’est important de protéger les sacs des rayons du soleil avec du plâtre rapidement. Autre impératif : finir le mur en haut avec une poutre de liaison en ciment armé.
Comme avec les murs géo-textiles de soutènement, une construction en sacs de terre bien réalisée peut résister à des tremblements de terre en raison de sa flexibilité.

a terre crue, le pisé, la terre cuite (brique) possèdent des qualités tout à fait remarquables, notamment, au niveau de leur inertie thermique de 12h (ce qui amortit les variations de température). Les caractéristiques d’isolationthermiques de la terre plutôt moyennes (lambda = 0,850) peuvent être améliorées par l’ajout d’isolants comme la paille ou les copeaux de bois pendant la construction.

CONSTRUCTIONS EN TERRE


La terre est un matériau peu coûteux, elle s’adapte parfaitement à l’environnement et une fois débarrassée de ses impuretés les plus importantes (cailloux, …) et mélangée à de l’eau et/ou de la paille, elle peut être utilisée pour la construction. Cette dernière est aussi résistante qu’une construction en pierre
  • Utilisation de la terre crue


  • murs des maisons : Un mur de terre crue maintient la fraîcheur l’été et accumule la chaleur l’hiver.
  • cloisons intérieures
  • enduits intérieurs
  • enduits extérieurs
  • remplissage des colombages
  • isolation thermique
  • isolation acoustique
  • Types de fabrication à la terre crue


  • Adobe : Mélange de terre argileuse, de paille et d’eau, malaxée et moulée dans un cadre en bois pour former une brique qui est séchée ensuite au soleil.
  • Brique de terre compressée : brique de terre crue de haute densité formée à l’aide d’une presse.
  • Pisé : mélange de terre, d’argile crue malaxée, qui est compactée.
  • Bauge : façonnage de petits tas de terre argileuse, empilés pour former un mur.
  • Torchis : c’est un mélange de terre argileuse, de matières fibreuses (paille, foin haché) et peut etre de chaux; il est utilisé pour remplir les intervalles des murs en pans de bois (colombages). Il s’utilise à des densités très différentes : très léger avec beaucoup de paille, plus isolant à plus lourd avec beaucoup de terre, moins isolant mais avec beaucoup de masse thermique et déphasage long.
  • Terre-copeaux de bois
  • Sacs de terre
>> VOIR pour plus d’infos : http://www.ecohabitation.com/guide/terre_crue/#introduction
  • Types de fabrication à la terre cuite

Poteries, briques, tuiles, tomettes
Sources et plus d’infos sur :
http://fr.ekopedia.org/w/index.php?title=Maison_de_sac_de_terre&redirect=no
http://fr.ekopedia.org/Maison_de_terre
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La maisonnette – paille-sacs de terre -à base de matériaux naturels, super-économique, et autonome en eau douce et en énergie (eau chaude et électricité) – Construire soi-même (en 8 jours à 3 personnes motivées) une maison en sacs de terre de 50 mètres-carrés (sans étage, 50m2 = surface habitable intérieure) en France (avec toit classique) coûte environ 8700 euros – maison 100% écologique la moins coûteuse possible, pour deux personnes

> Autoconstruction paille-sacs de terre – Maison de 50m2 pour 8.700 euros
La maisonnette à base de matériaux naturels, super-économique, et autonome en eau douce et en énergie (eau chaude et électricité)
Budget pour maison super-économique – 2008
objectif : maison 100% écologique la moins coûteuse possible, pour deux personnes)
Prix moyen du mètre carré de terrain en France :
Ajouter frais de notaire : environ +10%
(et éventuellement frais d’agence immobilière si non inclus)
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Certificat d’urbanisme et permis de construire (formalités administratives) : dépôt gratuit et pas besoin de recourir à un architecte si la surface de la maison est inférieure à 180 m2.
L’administration a un délai de deux mois pour répondre à la demande.
Construire soi-même (en 8 jours à 3 personnes motivées) une maison en sacs de terre de 50 mètres-carrés (sans étage, 50m2 = surface habitable intérieure) en France (avec toit classique) coûte environ 8.700 euros :
  1. – environ 1000 euros pour les sacs polypropylène,
  2. – o euros pour le remplissage des sacs (terre)
  3. – 500 euros de ciment et sable (pour l’enduit, en mélange avec la terre locale),
  4. – 1000 euros pour le sol (parquet, terre cuite etc.) – Parquet : 15 euros/m2 = 750 euros + « charpente-sol assistée de sacs de terre » de 250 euros.
  5. – 2.200 euros pour la toiture :
  6. charpente (repose sur murs) et toit : 1.000 euros
  7. Couverture tuiles ou ardoises en fonction de la région : 15 euros/m2 – Surface : 80 m2 = 1.200 euros
  8. Isolation en papier recyclé ou en paille : 0 euros.
  9. option : possibilité de réaliser une toiture végétalisée.
  10. – 4000 euros pour les portes, fenêtres et baies vitrées (il est également possible de réaliser des entrées de lumières en bouteilles recyclées).
S’ajoutent ensuite :
« Mobilier eau » :
  1. – Evier cuisine (300 euros),
  2. – cabine douche (500 euros),
  3. – lavabo (300 euros),
  4. – WC (300 euros – Possibilité d’utiliser également des toilettes sèches).
  5. + tuyauteries (200 euros).
  6. – Pour l’eau chaude : chauffe-eau solaire : 2.000 euros, hors pose.
Total du « mobilier eau » : 1600 + 2000 = 3.600 euros.

Eau douce : récupération de l’eau de pluie (mini écodome avec bâche réserve-plastique interne). Système de filtration, contrôles microbiologiques etc.
Déclaration à la DRASS. – Voir : http://www.eautarcie.com/
LABARONNE CITAF citaf@@@labaronne-citaf.com

L’ONU, l’armée et les ONG humanitaires utilisent ces réservoirs-bâche très résistants. Cette réserve bâche peut être placée sous la maison. Il est possible d’avoir une bâche enterée qui alimentera le circuit eau froide, et une autre au soleil qui alimentera le circuit eau chaude. Une bâche sombre effectue un pré-chauffage de l’eau.
En sur-élevant le réservoir grâce à des sacs de terre, pas besoin de pompe pour alimenter la maison, la circulation de l’eau se fait par gravité. Il est également possible de recouvrir la bâche d’un toit plat sur lequel on installe panneaux photovoltaïques et de capteurs solaires thermiques, constituant ainsi une « unité eau + énergie » pour la maison adjacente.
La bâche étant complètement fermée, sans entrée d’air, et complètement opaque aux rayons solaires, la conservation de l’eau douce est très bonne.
En France, la consommation domestique par habitant est de l’ordre de 137 litres d’eau par jour. http://www.cieau.com/toutpubl/faq/54_questions/contenu/4.htm

Chauffe-eau solaire :
+ bassin-réservoir pour le jardin :
(le creusement du bassin = terre pour remplir les sacs pour a construction de la maison)
Eaux usées :
  • – Option 1 : toilettes sèches : compostage, etc…
(si mal effectué = risque de contamination microbiologique des eaux qui ruissellent) mais recommandé, si correctement effectué, d’un point de vue écologique
« Lorsque l’installation d’un système de collecte ne se justifie pas, soit parce qu’il ne présenterait pas d’intérêt pour l’environnement, soit parce que son coût serait excessif, des systèmes individuels ou d’autres systèmes appropriés assurant un niveau identique de protection de l’environnement sont utilisés. »
L’usage de produits doux (douche, vaiselle, machine à laver), permet d’utiliser les eaux usées pour l’arrosage.Compost
  • – Option Fosse sceptique :

Pour l’électricité : c’est la partie la plus coûteuse :


  • – option 1 : raccordement EDF (couteux dans la durée quand on fait la somme des factures)

  • – option 2 : autonomie ( = pas de frais de viabilisation/raccordement) : éolienne domestique et/ou panneaux photovoltaïques avec batterie.
Kit « minimum » (avec réfrigérateur + éclairage inclus) : 2.600 euros –
Pour plus de confort [= alimentation de la base minimale (réfri + éclairage) mais aussi des appareils électroménager et des outils électriques], compter 6.500 euros pour deux personnes (coûteux au niveau investissement)
Note : préfèrer une éolienne à axe vertical (totalement silencieuse) si l’éolienne est installée près de la maison.
+ câbles et prise + divers etc : 500 euros.
Voir aussi:
Téléphone et Internet : raccordement France-Télécom = 100 euros
Pour le chauffage : avec des baies vitrées exposées plein sud et la bonne isolation (mur épais en sacs de terre), les besoins en chauffage sont très réduits. Il est également de chauffer la maison grâce aux capteurs solaires thermiques installées sur le toit.
Pour les mois très froids : poële à bois : http://www.poelesabois.com
Autre option : cuisinière à bois (800 euros)
Les cloisons intérieures peuvent être réalisés avec les sacs de terre, avec des bouteilles recyclées (voir ici), avec du bois ou avec de simples rideaux (bambous, tissus etc.).
Les sacs de terre (avec enduit ciment/sable/argile) peuvent être utilisés pour construire des meubles :
– bancs en dur (avec quelques coussins et tapis ils sont transformés en canapé)
– table-bar entre la cuisine et la salle à manger.
– lit
Le coût de l’ensemble cloisons intérieures + meubles en dur est variable.
Transports : Trikke électrique (700 euros, pliable en quelques secondes) + transports en commun (bus, train, bateau, avion) :
Bilan (option minimale) :
– Maison : 8.700 euros
– Mobilier eau, dont chauffe-eau solaire : 3.600 euros
– Réservoir bâche eau douce : 2.000 euros
– Electricité solaire (dont réfrigérateur et ampoules, ainsi que batterie etc.) : 2.600 euros
Total 16.900 euros.
Source et plus d’infos sur:
http://www.decouplage.org/article-34880151.html
http://www.decouplage.org/categorie-10192476.html
http://www.decouplage.org/article-34880064.html
http://www.calearth.org
l’association nationale des professionnels de la terre crue : http://www.asterre.org/
Site très détaillé (avec plans de construction)
http://architexte.wifeo.com/maisons-en-sac-de-terre.php
http://architexte.wifeo.com/maisons-en-sac-de-terre.php
Concernant les propriétés des divers matériaux en fonction du climat :http://www.ecohabitation.com/guide/images/introduction_R.gif
http://www.ecohabitation.com/
Pour ceux qui souhaitent avoir des informations sur les constructions des maisons en terre:
UNE COLLABORATION CITÉ DES SCIENCES / CRATERRE – ENSAG
Première exposition de cette ampleur sur le sujet, “Ma Terre première” pour construire demain dévoile tout le potentiel de cette matière granulaire sous quatre angles : géologique, physique, architectural et artistique.
En collaboration avec CRAterre – ENSAG, la Cité des sciences et de l’industrie avait proposé au public de redécouvrir les vertus de la terre, matière prometteuse à la fois traditionnelle et innovante, du 6 octobre 2009 à juin 2010.
Peut-être donc les contacter pour avoir des renseignements à ce sujet:
  • Cité des sciences et de l’industrie / 30 Avenue Corentin Cariou, 75019 Paris.
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h et le dimanche de 10h à 19h.
  • CRATerre ENSAG, créé en 1979, est un laboratoire de recherche et une équipe d’enseignement de l’Ecole d’Architecture de Grenoble, soutenu par la région Rhône-Alpes et habilité depuis 1986 par la Direction de l’Architecture et du Patrimoine du ministère de la Culture et de la Communication. :
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/ma-terre-premiere/?skip=1

Vollgeld-Reform gewinnen !

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Liebe Freunde

Ich bin Mitglied einer Gruppe von 24 welschen Aktionären, die zu Handen der GV der Nationalbank vom 29. April zehn Anträge gestellt hat.
Einige Anträge sind Vollgeld-trächtig. So fordern wir, dass Nationalbankgeld vom selbst geschöpften Geld der Banken unterschieden wird, da seine rechtlichen und ökonomischen Eigenschaften sehr unterschiedlich sind. Im weiteren fordern wir, dass alle Bürger ein Konto bei der SNB führen können. 

Obwohl das Nationalbankgesetz solche Anträge, die dann an den Gesetzgeber weitergeleitet werden müssen, ausdrücklich zulässt, hat die SNB die Anträge von der Behandlung ausgeschlossen – mit windigen, durch keine gesetzlichen Grundlagen gestützten Argumenten. 

Ich weiss, dass man in der Vollgeld-Bewegung mit der SNB pfleglich umgeht. Trotzdem finde ich, dass dieses Verhalten nicht toleriert werden kann. Zudem ist das Thema eine ausgezeichnete Plattform, die Geldschöpfung der Banken und die Vollgeld-Initiative zu thematisieren.

Was man aber sicher tun kann, ist, die Texte und Posts dazu kommentieren, liken und verlinken:





Wenn es uns gelingt, das Thema in den Mainstream zu bringen, können wir lange vor der Abstimmung weitere Köpfe für die Vollgeld-Reform gewinnen. 

Mit einem herzlichen Gruss in die Runde

Christoph Pfluger

Zeitpunkt



M3 sans les fonds de pension !

Hourrah, les suisses-alémaniques se réveillent :-)

Aveugles, sourds et muets, les 3 singes ?

Impossible !

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Impossible !





NdE: le Pape a dit "sans faire des calculs mesquins et sans exiger des intérêts impossibles" , en effet, le système fait des contrats impossibles, donc iniques et nuls, puis que des contrats impossibles sont nuls..., le texte écrit officiel VIS triche en écrivant une maladresse, un mensonge ou une manipulation, ci-après en rouge, le texte anglais écrit justement ...  impossible...) ...
Preuve: la vidéo ci-dessous à 22 minutes, 22 secondes et suivantes notamment...

le Pape a aussi dit : "L'usure est un péché grave..."



La traduction de Zenith est juste, celle de VIS est douteuse, trafiquée, maladroite ou fausse...
Zenith:
« Prions pour qu’en ce jubilé, le Seigneur enlève de notre cœur à tous cette envie d’avoir plus, l’usure »: c’est l’appel du pape François à l’audience de ce mercredi 10 février, Place Saint-Pierre, devant des dizaines de milliers de visiteurs du monde entier.
Il a insisté: « Si le jubilé n’atteint pas nos poches, ce n’est pas un vrai jubilé. »
Voici notre traduction intégrale de la catéchèse donnée par le pape François en italien.
A.B.
Catéchèse du pape François
Chers frères et sœurs, bonjour et bon chemin de Carême !
Il est beau et significatif d’avoir cette audience précisément en ce Mercredi des cendres. Nous entamons le chemin du carême et aujourd’hui, nous nous arrêtons sur l’antique institution du « jubilé » ; c’est une chose ancienne, attestée dans l’Écriture Sainte. Nous la trouvons en particulier dans le livre du Lévitique, qui la présente comme un moment culminant de la vie religieuse et sociale du peuple d’Israël.
Tous les cinquante ans, « en la fête du Grand Pardon » (Lv 25,9), quand la miséricorde du Seigneur était invoquée sur tout le peuple, le son du cor annonçait un grand événement de libération. Nous lisons en effet dans le livre du Lévitique : « Vous ferez de la cinquantième année une année sainte, et vous proclamerez la libération pour tous les habitants du pays. Ce sera pour vous le jubilé : chacun de vous réintégrera sa propriété, chacun de vous retournera dans son clan […] En cette année jubilaire, chacun de vous réintégrera sa propriété » (25,10;13). Selon ces dispositions, si quelqu’un avait été contraint de vendre sa terre ou sa maison, il pouvait en reprendre possession pendant le jubilé ; et si quelqu’un avait contracté des dettes et si, dans l’incapacité de les payer, il avait été contraint à se mettre au service de son créditeur, il pouvait retourner vivre dans sa famille et récupérer toutes ses propriétés.
C’était une sorte de « remise générale », par laquelle il était permis à chacun de retourner dans sa situation d’origine, avec l’annulation de toutes les dettes, la restitution de la terre et la possibilité de jouir à nouveau de la liberté propre aux membres du peuple de Dieu. Un peuple « saint », où les prescriptions comme celle du jubilé servaient à combattre la pauvreté et l’inégalité, garantissant une vie digne pour tous et une distribution équitable de la terre sur laquelle habiter et d’où tirer sa subsistance. L’idée centrale est que la terre, à l’origine, appartient à Dieu et qu’elle a été confiée aux hommes (cf. Gn 1,28-29) et pour cette raison, personne ne peut s’en arroger la possession exclusive, en créant des situations d’inégalités. Aujourd’hui, nous pouvons penser à cela et y réfléchir ; que chacun réfléchisse dans son cœur s’il a trop de choses. Mais pourquoi ne pas laisser à ceux qui n’ont rien ? Dix pour cent, cinquante pour cent… Je dis : que l’Esprit-Saint inspire chacun d’entre vous.
Avec le jubilé, celui qui était devenu pauvre pouvait avoir de nouveau le nécessaire pour vivre et celui qui était devenu riche restituait au pauvre ce qu’il lui avait pris. Le but était une société basée sur l’égalité et la solidarité, où la liberté, la terre et l’argent redevenaient un bien pour tous et pas seulement pour quelques-uns, comme cela se produit maintenant, si je ne me trompe pas… Plus ou moins, les chiffres ne sont pas sûrs, mais quatre-vingt pour cent des richesses de l’humanité sont entre les mains de moins de vingt pour cent de la population. C’est un jubilé – et je dis cela en rappelant l’histoire de notre salut – pour se convertir, pour que notre cœur devienne plus grand, plus généreux, plus enfant de Dieu, avec plus d’amour.
Je vais vous dire quelque chose : si ce désir, si le jubilé n’atteint pas nos poches, ce n’est pas un vrai jubilé. Vous avez compris ? Et cela, c’est dans la Bible ! Ce n’est pas ce pape qui l’invente : c’est dans la Bible. Le but – comme je l’ai dit – était une société basée sur l’égalité et la solidarité, où la liberté, la terre et l’argent devenaient un bien pour tous et non pour quelques-uns. En fait, le jubilé avait pour fonction d’aider le peuple à vivre une fraternité concrète, faite d’aide réciproque. Nous pouvons dire que le jubilé biblique était un « jubilé de miséricorde » parce qu’il était vécu dans la recherche sincère du bien du frère qui était dans le besoin.
Dans la même ligne, d’autres institutions et d’autres lois gouvernaient aussi la vie du peuple de Dieu, pour qu’il puisse faire l’expérience de la miséricorde du Seigneur à travers celle des hommes. Dans ces normes, nous trouvons des indications valables aussi aujourd’hui, qui font réfléchir. Par exemple, la loi biblique prescrivait de verser les « dîmes » qui étaient destinées aux Lévites, chargés du culte, qui n’avaient pas de terre, et aux pauvres, aux orphelins et aux veuves (cf. Dt 14,22-29). C’est-à-dire qu’on prévoyait que la dixième partie de la récolte, ou des revenus provenant d’autres activités, soit donnée à ceux qui étaient sans protection et en situation de besoin, afin de favoriser des conditions de relative égalité à l’intérieur d’un peuple où tous devaient se comporter en frères.
Il y avait aussi la loi concernant les « prémices ». Qu’est-ce que c’est ? La première partie de la récolte, la partie la plus précieuse, devait être partagée avec les Lévites et les étrangers (cf. Dt 18,4-5 ; 26,1-11), qui ne possédaient pas de champs, de sorte que pour eux aussi la terre soit source de nourriture et de vie. « La terre est à moi et vous n’êtes pour moi que des immigrés, des hôtes », dit le Seigneur (Lv 25,23).
Nous sommes tous des hôtes du Seigneur, dans l’attente de la patrie céleste (cf. Hé 11,13-16 ; 1 P 2,11), appelés à rendre habitable et humain le monde qui nous accueille. Et combien de « prémices » celui qui a plus de chance pourrait-il donner à celui qui est en difficulté ! Combien de prémices ! Non seulement les prémices des fruits des champs, mais celles de tous les autres produits du travail, des salaires, des économies, de toutes ces choses qu’on possède et qu’on gaspille parfois. Cela se fait encore aujourd’hui. À l’aumônerie apostolique, il arrive beaucoup de lettres avec un peu d’argent : « Voici une partie de mon salaire pour aider d’autres ». Et c’est beau : aider les autres, les institutions de bienfaisance, les hôpitaux, les maisons de retraite…  Et aussi donner aux immigrés, ceux qui sont étrangers et qui sont de passage. Jésus a été de passage en Égypte.
Et je pense précisément à cela, l’Écriture Sainte exhorte avec insistance à répondre généreusement aux demandes de prêts, sans faire de calculs mesquins et sans réclamer des intérêts impossibles : « Si ton frère tombe dans la pauvreté et sous ta dépendance, tu le soutiendras comme s’il était un immigré ou un hôte, et il vivra avec toi. Ne tire de lui ni intérêt ni profit : tu craindras ton Dieu, et tu laisseras vivre ton frère avec toi. Tu ne lui prêteras pas de ton argent pour en tirer du profit ni de ta nourriture pour en percevoir des intérêts » (Lv 25,35-37).
Cet enseignement est toujours actuel. Combien de familles sont dans la rue, victimes de l’usure ! S’il vous plaît, prions pour qu’en ce jubilé, le Seigneur enlève de notre cœur à tous cette envie d’avoir plus, l’usure. Que l’on redevienne généreux, grand. Combien de situations d’usure sommes-nous contraints de voir et combien de souffrance et d’angoisse cela cause aux familles ! Et si souvent, dans le désespoir, combien d’hommes finissent par se suicider parce qu’ils n’y arrivent pas et qu’ils n’ont pas d’espérance, ils n’ont pas de main tendue pour les aider ; uniquement la main qui se tend pour lui faire payer les intérêts. L’usure est un péché grave, c’est un péché qui crie devant Dieu. Le Seigneur, lui, a promis sa bénédiction à celui qui ouvre la main pour donner largement (cf. Dt 15,10). Lui, il te donnera le double, peut-être pas en argent mais en autre chose, mais le Seigneur te donnera toujours le double.
Chers frères et sœurs, le message biblique est très clair : s’ouvrir avec courage au partage, et c’est cela la miséricorde ! Et si nous voulons la miséricorde de la part de Dieu, commençons par la donner nous-mêmes. C’est cela : commençons par nous faire miséricorde entre concitoyens, entre familles, entre peuples, entre continents. Contribuer à réaliser une terre sans pauvres veut dire construire une société sans discriminations, basée sur la solidarité qui pousse à partager ce que l’on possède, dans une répartition des ressources fondée sur la fraternité et sur la justice. Merci !
© Traduction de Zenit, Constance Roques
Traduction VIS... douteuse...
Si le jubilé n'atteint pas nos poches, ce n'est pas un vrai jubilé.

Cité du Vatican, 10 février 2016 (VIS). Ce matin, au cours de l'audience générale, Place St.Pierre, le Saint-Père a consacré sa catéchèse au sens biblique du Jubilé. Il a expliqué que tous les cinquante ans, au jour de l'expiation, avait lieu un grand événement de libération. Cela consistait en une sorte de rémission générale qui effaçait les dettes et permettait aux propriétaires débiteurs de récupérer leurs terres. L'idée centrale est que la terre appartient à Dieu et a été confiée aux hommes qui sont ses administrateurs. Le jubilé biblique était un vrai jubilé de la miséricorde qui avait pour fonction d'aider le peuple à vivre une fraternité concrète en cherchant, par une aide réciproque, le bien du frère nécessiteux. Il a ajouté que d'autres institutions, comme le versement de la dîme et les prémices, ou l'interdiction de prêter, sans faire des calculs mesquins et sans exiger des intérêts impossibles ( NdE en bleu, le Pape a dit sans faire des calculs mesquins et sans exiger des intérêts impossibles , en effet, le système fait des contrats impossibles, donc iniques et nuls, puis que des contrats impossibles sont nuls..., le texte écrit officiel VIS triche en écrivant une maladresse, un mensonge ou une manipulation, ci-après en rouge, le texte anglais écrit justement ...  impossible...) ...
Preuve: la vidéo ci-dessous.
http://www.ktotv.com/video/00102445/audience-generale-du-10-fevrier-2016
( NdE: au lieu de "disproportionnés", texte à corriger car manipulé ou maladroit, vu les nombreuses tricheries des lobbies, notamment pédophiles, dans l'histoire... L'encyclique Vix pervenit donnée par deux Papes condamne tout intérêt, quel que soit le taux ), étaient aussi destinées à aider les pauvres, les orphelins et les veuves. 


Le message du jubilé biblique nous invite à construire une terre et une société basée sur la solidarité, le partage et la juste répartition des ressources. Le Saint-Père a souligné que si le Jubilé n'arrive pas à nos poches, ce n'est pas un vrai jubilé, et cela ? est dans la Bible, ce n'est pas le Pape qui l'invente?, a-t-il poursuivi. ? Nous sommes tous des hôtes du Seigneur, en attente de la patrie céleste, appelés à rendre habitable et humain le monde qui nous accueille. Et combien de prémices, le plus fortuné pourrait-il donner à celui qui est en difficulté! Les prémices, ne sont pas seulement des fruits des champs, mais de tout autre produit du travail, des salaires, des économies, de tant de choses que l'on possède et que l'on gaspille souvent. Cela arrive aussi aujourd'hui. En pensant à cela, l'Ecriture Sainte exhorte avec insistance à répondre généreusement aux demandes de prêts, sans faire de calculs mesquins et sans prétendre à des intérêts impossibles... Cet enseignement est toujours actuel. A combien de situations d'usure sommes-nous contraints d'assister -s'est exclamé le Pape- et combien de souffrance et d'angoisse apportent-elles aux familles! Et souvent, par désespoir, combien d'hommes finissent par se suicider parce qu'ils n'en peuvent plus, il n'ont plus d'espérance, ils n'ont pas de main ferme qui les aide, seulement la main qui leur demande de payer les intérêts! L'usure est un péché grave qui crie devant Dieu. Cependant le Seigneur a promis sa bénédiction à celui qui ouvre sa main pour donner largement. Il te donnera le double, peut-être pas en argent, mais en autre chose, mais le Seigneur te donnera toujours le double?. Avant de conclure, le Pape a rappelé que ?si nous voulons la miséricorde, commençons par faire, nous, la miséricorde entre citoyens, dans les familles, les peuples et les continents. Contribuer à réaliser une terre sans pauvres, signifie construire une société sans discrimination, basée sur la solidarité qui conduit à partager ce que l'on possède, dans une distribution des ressources fondée sur la fraternité et la justice?.

Dieu et l'économie ?


Deux extraits du Catéchisme catholique de Jean-Paul II:

2438 Diverses causes, de nature religieuse, politique, économique et financière confèrent aujourd'hui "à la question sociale une dimension mondiale " (SRS 9). La solidarité est nécessaire entre les nations dont les politiques sont déjà interdépendantes. Elle est encore plus indispensable lorsqu'il s'agit d'enrayer les " mécanismes pervers " qui font obstacle au développement des pays moins avancés (cf. SRS 17 ; 45). Il faut substituer à des systèmes financiers abusifs sinon usuraires (cf. CA 35), à des relations commerciales iniques entre les nations, à la course aux armements, un effort commun pour mobiliser les ressources vers des objectifs de développement moral, culturel et économique

2449 Dès l'Ancien Testament, toutes sortes de mesures juridiques (année de rémission, interdiction du prêt à intérêt et de la conservation d'un gage, obligation de la dîme, paiement quotidien du journalier, droit de grappillage et de glanage) répondent à l'exhortation du Deutéronome : " Certes les pauvres ne disparaîtront point de ce pays ; aussi je te donne ce commandement : tu dois ouvrir ta main à ton frère, à celui qui est humilié et pauvre dans ton pays " (Dt 15, 11). Jésus fait sienne cette parole : " Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous : mais moi, vous ne m'aurez pas toujours " (Jn 12, 8). Par là il ne rend pas caduque la véhémence des oracles anciens : " Parce qu'ils vendent le juste à prix d'argent et le pauvre pour une paire de sandales ... " (Am 8, 6), mais il nous invite à reconnaître sa présence dans les pauvres qui sont ses frères (cf. Mt 25, 40) :


Il faut substituer à des systèmes financiers abusifs sinon usuraires (cf. CA 35),

interdiction du prêt à intérêt ...voir les références qui font penser à une guerre nucléaire...Amos 8,6

Rerum Novarum en 1891 ( Une autre forme d'usure vorace...).
Rappelons les textes :
« Une usure vorace est encore venue s’ajouter au mal (de la destruction des anciennes corporations). Condamnée à plusieurs reprises par le jugement de l’Eglise, elle n’a cessé d’être pratiquée, sous une autre forme, par des hommes avides de gain, d’une insatiable cupidité ».[1]
« Ce pouvoir (économique discrétionnaire) est surtout considérable chez ceux qui, détenteurs et maîtres absolus de l’argent, gouvernent le crédit et le dispensent selon leur bon plaisir. Par là, ils distribuent en quelque sorte le sang à l’organisme économique dont ils tiennent la vie entre leurs mains, si bien que sans leur consentement nul ne peut plus respirer ».[2]

Dans la suite du texte, Pie XI souligne deux conséquences du pouvoir discrétionnaire des maîtres de l’argent sur l’économie :
- la « déchéance du pouvoir politique (…) tombé au rang d’esclave et devenu le docile instrument (…) de toutes les ambitions de l’intérêt ».
- l’ « internationalisme ou impérialisme international de l’argent, funeste et exécrable, pour lequel là où est la fortune, là est la patrie ».
Cette double caractéristique des temps modernes : le développement de l’usure sous de nouvelles formes, la domination de l’économie et de la politique par les puissances d’argent a été reconnue aussi bien par des hommes de finance et des hommes politiques (trop peu nombreux hélas !) que par des doctrinaires de ces deux disciplines. Nous en citerons quelques-uns :


L'architecte et philosophe Gaston Bardet dans son livre "Demain, c'est l'an 2000! parle de l'usure, 

Editeur Jacques Petit et ses Fils, 1, rue Dupetit-Thouars, Angers, 1959. [Cet ouvrage contient un paragraphe relatif au "super-mécanisme concentrationnaire" que constituent nos systèmes bancaires multipliant "les méfaits de l'usure et du crédit" - usure, i.e. "tout ce qui se perçoit au-delà de ce qui a été prêté", que condamne le Catéchisme du Concile de Trente s'appuyant sur le prophète Ézéchiel, chap. XVIII, verset 17, de l'Ancien Testament, et sur une parole de Jésus-Christ rapportée par l'Évangile selon S. Luc, disant :

 "Prêtez sans rien espérer de là.", chap. VI, verset 34 (cf. Catéchisme du Concile de Trente, chapite 35, § 4 : De la rapine.).-

 Outre cela, l'auteur met en garde les responsables de notre politique agricole contre les désastres que provoqueraient - et qu'ont déjà provoqués dans le monde - la déforestation, le sur-pâturage ou la culture extensive, le collectivisme ou la mondialisation, l'érosion par le vent et l'eau se chargeant ensuite de raviner les sols, les crises, le chômage, les récessions...

Les monts de piété prêtent sur gage, Frais de garde....C'est autre chose. L'argent n'est avancé qu'une fois, il n'y a pas de multiple "création ex nihilo" d'argent,


Le catéchisme du Concile de Trente (1566) n'y va pas par quatre chemins : "L'usure fut toujours un crime très grave et très odieux, même chez les païens. … Qu'est-ce que de prêter avec usure? Qu'est-ce que de tuer un homme ? Il n'y a pas de différence".

...Avec St Thomas, qui consacre à l'usure une "question" de la Somme théologique, nous avons une démonstration rationnelle.

A la base de la démonstration de St Thomas, le fait que la valeur de l'argent tient seulement au fait qu'il peut être consommé (comme du vin ou du blé et à la différence d'une maison ou d'un champ dont on peut distinguer la propriété et l'usufruit). St Thomas reconnaît l'obligation de remboursement et la légitimité d'un gage ; quant au risque de non remboursement, il ne peut pas être compensé a priori. St Thomas distingue le simple prêt d'argent, qui ne doit pas porter intérêt, et l'apport d'argent confié à un entrepreneur dont il est légitime d'attendre un revenu.
....avec une prise de risque et un apport de gestion...

On ne peut pas vendre le temps car le temps est à Dieu...

On ne peut pas prêter deux fois la même chose. (on voit maintenant que par la création monétaire ex nihilo, c'est 100 (sic) fois la même chose...

La lutte contre l'usure est proclamée en chaire et ordonnée par le roi, suivi par le Parlement de Paris. Et les pénalités sont applicables quel que soit le taux de l'usure : la différence que faisait le Moyen Age entre usures modérées et excessives est abolie par l'ordonnance de Blois de 1579 qui demeura en vigueur jusqu'en 1789, avec une croissance économique enviée par le monde entier...

L'Eglise interdit le prêt d'argent, désigné du nom odieux d'usure. Elle n'est pas la seule. Le prêt d'argent rémunéré a presque universellement suscité la répulsion. La Bible, la Politique d'Aristote, le Coran condamnent le prêt, quels que soient la forme et le taux d'intérêt perçu. ...

Le Deutéronome interdit le prêt rémunéré entre Juifs mais l'autorise à un non-juif. Saint Ambroise l'autorise également s'il s'agit de prêter à "celui qu'il ne serait pas criminel de tuer. Là où il existe un droit de guerre, il y a également un droit d'usure". Le pape Léon le Grand : "l'intérêt de l'argent, c'est la mort de l'âme". Saint Bonaventure résume l'idée aristotélicienne et biblique de la stérilité de l'argent : "L'argent ne fructifie pas par lui-même mais son fruit lui vient d'ailleurs". Pour les Juifs du temps de Jésus, l'intérêt était interdit ; ce qu'ils sont en droit d'attendre, ce n'est pas une rétribution mais seulement la possibilité de recevoir un jour, en cas de besoin, la réciprocité du service rendu (il est remarquable que le même mot de la Vulgate, mutuum ¸signifie à la fois "emprunt" et "réciprocité"). En rappelant la parole du Christ, "ne redemandez pas votre bien à celui qui vous l'emprunte", l'Eglise en fait un appel à la sainteté et ne demande pas qu'on en fasse une loi. Par contre, elle mène une guerre sans merci au prêt à intérêt. La doctrine des Pères eut toujours, on le conçoit, la faveur des masses. Dante rencontre l'"usurier" dans son enfer.

Extraits du forum confiance...


En 1462 à Pérouse, Barnabé de Terni, moine récollet vient prêcher contre les usuriers; il propose d'organiser une quête dont le capital serait destiné à former une banque charitable. Ainsi fût ouvert le premier "Monte di pietà". Ceux qui manquent d'argent pour leur subsistance journalière peuvent ainsi trouver à emprunter sans intérêt des petites sommes d'argent en donnant un gage pour la sûreté des prêts. Les projets des moines récollets ont un grand succès en Italie.

Le Concile de Latran approuva formellement ces institutions sous réserve qu'elles n'exigent d'intérêt que pour couvrir les frais d'administration. L'histoire des premiers Monts de Piété est donc liée à la papauté. La première expérience française, qui date de 1577 se fit en Avignon, alors domaine pontifical.

sans intérêt, que pour couvrir les frais....


Un petit rappel des circonstances:

"On lut ensuite quatre décrets, dont le premier concerne les monts-de-piété.

" Au moyen âge, dit encore ici M. Audin, l'Italie était en proie à la rapacité des Juifs, qui prêtaient à d'énormes intérêts, et en plein soleil faisaient le métier que certains hommes d'armes en Allemagne pratiquaient à l'entrée d'une forêt, lorsque la nuit était venue.

" Un pauvre moine récollet, nommé Barnabé, sentit son cœur ému à la vue de ces populations pressurées par les Israélites, et il résolut de venir au secours de ses frères. Il monte donc en chaire, à Pérouse, vers le milieu du quinzième siècle, et... propose de faire dans la ville une quête générale dont le produit serait employé à fonder une banque qui viendrait en aide aux indigents. Sans doute que Dieu mit ce jour-là dans la voix du moine quelque chose d'entraînant ; car il était à peine descendu de chaire, que la ville répondait à l'appel de l'orateur... On donna à cette banque le nom de mont-de-piété, c'est-à-dire de masse, parce que les fonds de la banque ne consistaient pas toujours en argent, mais souvent en grains, en épices, en denrées de diverses sortes.

" La chaire chrétienne ne cessait d'exciter le zèle des populations en faveur des monts... Un récollet, du nom de Bernardin Thomitano, né à Feltre, en 1433, se distingua surtout par ses succès. Le peuple le suivait en foule, et écoutait dans le ravissement ses imprécations contre des hommes qu'il appelait des vendeurs de larmes... Il est vrai que ces usuriers étaient sans pitié pour les chrétiens. A Parme, ils tenaient vingt-deux bureaux où ils prêtaient à 20 pour cent ; le succès de la parole du moine s'explique donc facilement. En passant à Padoue, Bernardin de Feltre renversa toutes ces maisons de prêt, entretenues à l'aide des larmes du peuple, et la ville vit bientôt s'élever, grâce à la pitié de quelques hommes riches, une banque où le pauvre put venir emprunter, sur nantissement, au taux de 2 pour cent.

" Un moine se présenta pour renverser l'œuvre de Bernardin...; il appartenait à cet ordre des dominicains qui, suivant l'expression de Mélanchthon, s'était volontairement emprisonné dans la discipline de la primitive Église. Cajetan... ne cherchait pas, comme on le pense bien, à venir en aide aux usuriers ; c'est l'usure au contraire qu'il poursuivait dans l'institution des monts-de-piété. Rigide thomiste, il désapprouvait le prêt à intérêt, quelque forme qu'il revêtît, et accusait formellement les fondateurs de ces banques de désobéissance aux commandements de Dieu et de l'Église. Au fond, les deux moines plaidaient la même cause, celle du pauvre : l'un en attaquant comme usuraire, l'autre en défendant comme charitable la banque populaire. La querelle dura longtemps. Les ordres s'en mêlèrent : celui de Saint-Dominique se distingua par sa polémique toute théologique ; celui des capucins ou des frères-mineurs, par une notion plus profonde des besoins de la société...

" La papauté résolut de terminer des disputes qui troublaient la paix des consciences... Léon X voulait la paix ; le concile de Latran s'occupa donc, à la demande du pape, des monts-de-piété. Les Pères, auxquels la question avait été déférée, étaient connus par leur savoir et leur charité, L'examen fut lent, patient et profond : les livres nombreux des adversaires et des apologistes de ces maisons de prêt furent étudiés et comparés, et quand il ne resta plus aucune objection sérieuse à résoudre, l'autorité parla.

" Léon X, après une brève exposition de la dispute, reconnaît qu'un vif amour de la justice, un zèle éclairé pour la vérité, une charité ardente envers le prochain, ont animé ceux qui soutenaient ou combattaient les monts-de-piété ; mais il déclare qu'il est temps, dans l'intérêt de la religion, de mettre fin à des débats qui compromettent la paix du monde chrétien (1). " Il définit en conséquence, avec l'approbation du saint concile, que les monts-de-piété, établis en diverses villes, et confirmés par l'autorité du saint-siège, et où l'on reçoit à titre d'indemnité une somme modérée avec le capital, sans que les monts eux-mêmes en profitent, ne présentent point d'apparence de mal, ni d'amorce au péché, ni rien qui les fasse improuver, mais qu'un tel prêt est au contraire méritoire et digne de louange, qu'il n'est nullement usuraire, et qu'il est permis de les faire valoir devant le peuple comme charitables et enrichis d'indulgences concédées par le saint-siège ; qu'on pourra dans la suite en ériger d'autres semblables avec l'approbation du siège apostolique ; que ce serait cependant, ajoute le décret, une œuvre beaucoup plus parfaite et beaucoup plus sainte, si l'on établissait des monts-de-piété purement gratuits, c'est-à-dire si leurs fondateurs y attachaient en même temps des revenus, pour payer en tout ou en partie les gages des gens de service qu'on y emploie. Il finit en déclarant excommuniés par le fait même, tous ceux qui oseraient à l'avenir disputer de vive voix ou par écrit contre les termes de cette définition."

(1) M Audin, Hist, de Léon X.

...et où l'on reçoit à titre d'indemnité une somme modérée avec le capital, sans que les monts eux-mêmes en profitent...

à titre d'indemnité n'est pas un intérêt fonction du temps...c'est des frais de garde, sans profit...

Un peu facile de dire que c'est une permission pour les abus actuels...en tout cas pas pour des intérêts composés exponentiels, 117 fois le montant initial à 10 pour cent sur une durée de 50 ans, cartes visa à 18 %...

...que ce serait cependant, ajoute le décret, une œuvre beaucoup plus parfaite et beaucoup plus sainte, si l'on établissait des monts-de-piété purement gratuits,
Combien y a-t-il de telles institutions dans les pays chrétiens ?

Quelle faiblesse devant la cupidité si grande ! Quel exemple pour les pauvres, qui meurent par milliards, notamment par avortement, une ville par année en France...car les familles font passer les banquiers et les impôts avant la vie de leurs propres enfants...

Oh vous les philosophes, savants aveugles et borgnes, imbus de votre suffisance.

Amos, 8,6...et vos têtes seront chauves...vous vendrez le pauvre pour le prix d'une sandale...c'est à peu près ce que vous touchez en intérêts sur votre compte en banque...


Pour Aristote, une création humaine qui ferait des petits serait une abomination. Or, l'argent est une création humaine qui fait des petits et ces petits prennent la place des petits des hommes. Voici une cause du problème des retraites...


Dieu ne peut ni se tromper ni nous tromper...

Commentaires:

De quand date la dernière mise en garde claire!

Les § 2438 et 2449 du Catéchisme de 1992 cité par François, auxquels il faut ajouter le § 2269 ("Les trafiquants, dont les pratiques usurières et mercantiles provoquent la faim et la mort de leurs frères en humanité, commettent indirectement un homicide"), condamnent clairement l'usure mais ne la définissent pas. Le dernier enseignement détaillé sur l'usure est l'encyclique Vix pervenit.

> Ne pensez vous pas que l'interdiction du prêt à intérêt aux clercs relève plutôt d'abus de ceux ci qui auraient été cause de scandales.

Quelle qu'en soit l'origine, le fait est là : les clercs ont, depuis le Concile de Nicée, l'interdiction de prêter à intérêt, comme les laïcs depuis la décrétale de Léon le Grand en 445.

Cher animateur,

...
En revanche, vous n'avez pas le droit de dire que "l'Eglise ne juge pas injuste un intérêt "modeste"". L'acceptation d'un intérêt modeste ne vaut que pour les monts-de-piété. L'encyclique Vix pervenit, postérieure au Ve concile du Latran qui accepta un intérêt modeste pour les monts-de-piété, dit bien (§ 3, II) : "il ne sert à rien de dire que ce profit n'est pas excessif, mais modéré".

Cordialement à tous,

Gérald

Projet de loi d'application de monnaie-pleine




Initiative monnaie pleine, questions fréquentes. FAQ.


Manipulations médiatiques et solutions.

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Les créations monétaires, notamment en francs suisses par hautes fréquences et en nano secondes, sont des chiffres astronomiques, rien qu'en Suisse. En prenant le contrôle des toutes les créations monétaires et celles des fonds cachés au noir, on se finance l'initiative fédérale Monnaie Pleine et une bonne partie du revenu de base inconditionnel et surtout on sait enfin la grandeur de ces chiffres qui sont cachés et secrets, ce qui est une violation de la transparence des comptabilités publiques... 

Les francs SUISSES sont aux SUISSES, pas aux banques...

Rappel:

Quand le Professeur d'économie suisse Sergio Rossi parle des vrais enjeux de Monnaie Pleine: la connaissance, la compréhension!
"Monnaie pleine aux urnes"
Mis en ligne le 30.11.2015 à 07:00
Par Sergio Rossi
L’initiative «Monnaie pleine» lancée en Suisse le 3 juin 2014 a récolté les 100'000 signatures valides nécessaires pour être soumise au vote populaire prochainement. Cet aboutissement est assez surprenant, si l’on considère que cette initiative n’est soutenue en Suisse par aucun parti politique et qu’elle est farouchement combattue par les banques, leurs dirigeants ayant compris que l’initiative mettrait un terme à leurs privilèges exorbitants en ce qui concerne l’émission monétaire par les crédits que les banques peuvent octroyer à n’importe quel agent sans avoir suffisamment d’épargnes préalables.
L’intérêt d’une telle initiative populaire est double. D’une part, elle peut grandement contribuer à faire émerger la véritable nature (numérique) de la monnaie, qui en l’état échappe à la presque totalité des individus, y compris les politiciens, les banquiers centraux et les économistes les plus influents au monde. D’autre part, elle a le potentiel de contribuer à définir les contenus d’une réforme structurelle du système monétaire et financier qui est urgente et nécessaire afin d’éviter de nouvelles crises systémiques.
Si le débat induit par l’aboutissement de l’initiative «Monnaie pleine» a lieu de manière objective – c’est-à-dire qu’il se concentre sur l’objet de cette initiative pour en décortiquer la nature essentielle au lieu de viser à défendre des intérêts particuliers (souvent indéfendables désormais) –, alors on peut espérer que chaque partie prenante en sortira enrichie au plan intellectuel car elle aura avancé vers la compréhension de cet objet insaisissable qu’on appelle «monnaie».
Au vu des attaques virulentes contre l’initiative «Monnaie pleine» qui ont eu lieu durant les 18 mois de la récolte des signatures pour cette initiative, et qui ont montré de manière désopilante l’ignorance de la nature de la monnaie et de son émission par les banques, il est fort à craindre que le niveau culturel du débat menant au vote populaire sera de même teneur. Cela confirmera alors qu’«un peuple ignorant est un peuple facile à tromper», bafouant l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers que même un tel peuple ne devrait pas avoir de difficultés majeures à identifier précisément."

Vollgeld, positive money, sovereign money
www.hebdo.ch









Jean Jaurès avait dit : "Il faut apaiser la question religieuse pour s'occuper de la question sociale"

Aujourd'hui les manipulateurs nous disent en substance "Il faut agiter la question religieuse pour faire oublier toutes les autres questions..."


Les sujets les plus importants et urgent:

La paix sociale et militaire par:

1) La reprise en main des créations monétaires par les populations.
2) Le revenu de base inconditionnel, alias RBI ou dividende distribué à ces populations.
3) Enfin, la stabilisation des populations par ce nouveau système économique juste...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

Il en va de la survie de la Suisse et de la paix mondiale !
Nous pouvons tous vivre correctement, sur cette terre, l'abondance est à portée de nos mains. Les capitaux, techniques, savoirs-faire, terres, ressources, air, eaux, soleil etc...
Les robots produisent déjà trop de tout, c'est une nouvelle donne, la robolution !
Ne croyez pas les prophètes de malheur qui règnent par les peurs.
 Parions une Suisse, phare du monde !





« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ».





Victor Hugo





« ... encore faut-il qu'elle le dise ».

Denis de Rougemont dans son livre

La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/09/economie-avant-apres-en-2-graphiques.html

Révolution &énergie ? LENR ! La fusion froide au salon des inventions, du 13 au 17.04.2016

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La fusion froide à Genève, au salon des inventions, du 13 au 17 avril 2016 ?


Les spécialistes seront là, à votre disposition, sur leur stand, avec notamment M. de Montmollin. ( A-pic et www.invention.ch






If you are interested to read that executive summary in English, try it's English version, which is more recent. After reading that article,  you might read an English article about scientific evidence of LENR. You might ne interested by the slides written by Tyler van Houwelingen on lenrproof.com .
Vous pouvez aussi lire les transparents (Powerpoint, ou PDF)  préparés par Tyler van Houwelingen et traduit gentiment parRémy André.
Que sont les LENR, la Fusion froide
Les LENR (réaction Nucléaire à Basses Énergies) sont un terme plus technique pour ce qu'on a appelé la Fusion froide.
Ce sont des effets observés à des températures classiques (60°C-1500°C), qui laissent penser à une origine nucléaire, et en tout cas bien plus énergétique que la chimie (50 à plus de 1000 fois la chimie). Pourtant cela ne ressemble pas à la fusion des étoiles, ni à la fission des réacteurs nucléaires. Il n'y a presque pas de radioactivité, pas de déchets radioactifs, pas de température stellaires...
Le mot de fusion froide est semble-t'il un abus, mais on n'en sait rien en fait.
On a commencé officiellement vers 1989 avec les expériences de Fleischmann&Pons par des électrolyse d'eau lourde (deutérium) avec des électrodes de palladium, bien imprégnées de deutérium... On a aussi électrolysé de l'eau lourde ou légère, avec divers métaux qui absorbent l'hydrogène (formant des hydrures ou des deutérures), avec des résultats variables selon les produits, et sporadiques. Une famille d'expériences a consisté à faire des électrolyses à fort courant produisant un plasma. Des expériences ont été faite avec des films métalliques traversés par du gaz hydrogène ou deutérium, des poudres, des fils, souvent chauffés, électriquement ou indirectement (quelques centaines de degrés).
Cela fait l'objet d'une controverse, qui n'est pas éteinte. Quelques expériences ont officiellement discrédité ce domaine, mais des problèmes méthodologiques et logiques ont été identifié qui leur enlève toute pertinence aujourd'hui. Depuis les nombreuses expériences, variées et parfois bien répliqués, ne laissent plus de doute à ce jour. Il y a encore une difficulté à publier dans des revues à comité de lecture, mais certains ont réussi. il y a des critiques, mais visiblement de moins en moins sérieuses.
Les résultats restent très variables, mais on comprend de mieux en mieux les causes d'échecs, qui expliquent la plupart des échecs ayant convaincu la communauté que cela ne marchait pas (imprégnation insuffisante, état de surface, température, impuretés, empoisonnement)… Une clé semble être la notion de site actif, mal comprise, mais clairement lié à la surface et à l'état cristallographique de cette surface, partiellement déterminé par des impuretés.
Les effets dépendent des réactifs, mais on y trouve dans le cas classique, une production de chaleur, qui parfois dépasse en énergie totale, de plusieurs ordres de grandeur, ce que n'importe quelle chimie même inconnue pourrait produire avec les liaisons chimiques, et même avec les énergie de dislocations des cristaux. Il s'agit donc de réactions nucléaire, ou de choses encore plus incroyables.
On a aussi observé des transmutations, ou des rayonnements. Il semble observé que les transmutation sont liés a la production de chaleur, mais que les rayonnements (gamma ou neutrons selon, faibles mais mesurables) sont anti-corrélées à la chaleur.
Parmi les résultats les plus convaincants, il y a des mise en corrélation entre la production d'hélium et de chaleur dans les expériences classique (palladium-deutérium). Ce type d'expérience permet de réfuter les doutes sur la calorimétrie et sur la détection des gaz, car les erreurs n'ont pas de raison de se corréler. On trouve aussi des expérience sur la production, et étrangement la consommation, de tritium (USA, Inde).
Sur les expériences les plus vérifiées, et malgré une meilleur compréhension, il y a un taux de réussite erratique, mais qui peux dépasser les 50%, si comme l'ENEA on contrôle l'état cristallographique et chimique du métal. D'autres expériences (Navy SPAWAR, NANOR) obtiennent une parfaite reproductibilité en contrôlant la structure de surface du métal.
On ne peut que faire le lien avec les premiers résultats erratiques obtenus avec le Germanium et qui même observé, ont été souvent négligés, rejetés et ignorés... Là aussi contamination incontrôlée et état de surface ont créé des conditions si variable que les résultats indéniables étaient imprévisibles.
Il y a des théories, certaines qui remettent en cause les théories existantes (Hydrinos, énergie du point zéro, super-gravité...), et d'autres qui se basent sur la physiques quantique habituelle, mais en supposant des mécanisme quantique collectif, comparable a ce qu'on trouve dans les laser ou la supraconduction (Widom-Larsen, Kim-Zubarev, Takahashi, Brillouin, Defkalion,...)... Les théories les plus récentes sont plutôt conservatrices, même s'il manque clairement quelques clés. Il s’agit de pistes.
Pendant une vingtaine d'années les résultats, indiscutables, parfois énormes, mais erratiques et finalement inutilisables ont découragé la recherche dans ce domaine. Certains comme le CEA, le CNAM, l'EPRI ont arrêté tout travaux, mais d'autres comme Toyota, Mitsubishi Heavy Industry, l'ENEA, la NASA, l'US Navy SPAWAR, ont continué de façon discrète et plus ou moins soutenue...
Récemment des chercheurs ( Miley, Piantelli, Celani, Focardi,...) ont suivi une piste étrange mais finalement fructueuse, celle des réaction impliquant l'hydrogène classique et le nickel, à haute température, et avec des matériaux traités au niveau géométrique (poudre micrométrique ou nanométrique, mousses, fils).
Malgré les difficultés, il y a un corpus d'un millier d'articles publiés dans des revues à comité de lecture et environ 8 articles de type "review". La plus reconnues est celle de Edmund Storms, publié en 2010 dans Naturwissenschaften. Cet article, comme la plupart des articles sur le sujet est disponible sur le site LENR-CANR.org géré par Jed Rothwell, et sa lecture est instructive.
Quel impact concret
La densité du carburant pour les LENR est énorme, comparable à ce que l'on observe pour le nucléaire. Les matériaux (hydrogène, nickel) sont parmi les plus courant sur terre, et leur prix est négligeable.
Le besoin de nickel (s'il est consommé, ce qui n'est pas certain) correspondrait à quelque pour-cent de la production actuelle, pour toute l'énergie mondiale. Aux prix donnés par Rossi ou Defkalion, le prix du carburant travaillé resterait très faible, et au final ce serait le prix du réacteur et surtout des turbines qui déterminerait le prix de l'énergie. Seule compterais la puissance installée et non pas la consommation. La facture serait divisée par une dizaine. Le coût d'investissement correspondrais grossièrement à 6 mois de PIB pour une transition totale.
Les réacteurs LENR ne produisent pas de radiation notable, et peuvent être installés dans le bâtiment consommateur de chaleur, ou même un jour dans l'appareil lui-même.
La conversion en électricité sera plus coûteuse, via des turbines ou des convertisseurs thermoélectriques, mais les besoin d'électricité vont diminuer car il n'y aura plus besoin de chauffer électriquement. Or la plupart des installation industrielles ou domestiques, utilisent une grande partie de l'énergie sous forme de chaleur.
L'énergie étant 10% de nos dépenses mondiales, on peu espérer un choc de productivité de cet ordre. On peut même espérer mieux car diverses pollutions, contraintes et nuisances vont disparaître. Les fumées, le CO2 vont disparaître des cheminées, voire des voitures. La géostratégie va se détendre avec la fin du pétrole cher et vital, et donc les dépenses militaires.
La possibilité de produire de l'énergie localement va rendre le réseau électrique de moins en moins vital, et le réseau électrique servira à partager et optimiser une infrastructure de production locale. Le smart-grid devrait être un élément stratégique de la révolution électrique.
Au final on pourrait imaginer avoir des chaudières LENR à la maison, avec un mode cogénération, sans se couper du réseau qui servirait à étaler les pointes de consommation. Des générateurs plus spécifiques pourraient êtres installés dans la ville ou le quartier, pour compléter.
Dans les campagnes, les gens achèteraient une paire de générateur, plutôt que de payer une ligne de plusieurs kilomètres. Dans les hameaux, on partagerais un groupe générateur.
Les fer a repasser, comme les fours ou les machines à laver vont posséder un petit réacteur pour le chauffage, voir même un convertisseurs thermoélectrique pour ne plus avoir besoin de fil.
Les voitures, camions, pourraient rouler 5 ans sans recharge, et dans le garage ou les parking, elles pourraient fournir le courant dont elle n'ont plus besoins pour les voisins, quitte à créer une micro-économie de l'électricité.
Les navires civils ou militaires n'auraient plus à se ravitailler, sauf pour l'équipage.
Les avions s’adapteront difficilement, mais il y aura des avions hybrides LENR-électriques, puis purs LENR...
Dans les pays pauvres, la fusion froide pourrait causer une révolution. On cite par exemple la désalinisation, mais plus simplement les services de pompages, dépollution, les machines agricoles, le confort, l'accès au numérique....
Plus que les applications et le coût, il faut noter que ce type de réacteur exige un infrastructure très légère et locale, et coûte peu, surtout du travail. Or les pays pauvres souffrent surtout aujourd'hui de problèmes de gouvernance et de logistique nationale. Les LENR pourraient, en contournant les faiblesse des infrastructures techniques et politiques, permettre un développement au bon niveau de pouvoir local.
Les entreprises autour des LENR
C'est sur cette percée, laissant espérer enfin des puissance utiles et un bon contrôle, qu'ont fleuri des entreprises innovantes proposant de développer et commercialiser bientôt des réacteurs à fusion froide, suivies de près par des entreprises visant à développer des applications spécifiques, sous le regard polis que quelques grandes entreprises qui se positionnent.
Les créateurs de réacteurs
Leonardo Corporation de Andrea Rossi et son E-Cat
Andrea Rossi est un inventeur et industriels très controversé. Il est connu pour avoir créé un processus de transformation de déchet en carburant, monté une entreprises, qui s'est effondrée lors d'un changement de législation sur les déchets, avec diverse affaires judiciaires. Le processus semble utilisé aujourd'hui aux USA. Entre temps il avait proposé au département américain de la défense de développer des convertisseurs thermoélectriques plus efficace, avec un échec à la clé...
Vers 2010-2011 il a annoncé avoir développé un réacteur à fusion froide Nickel-Hydrogène, « e-catalyser ».
Il visait le marché individuel, mais a fait volte face pour se concentrer sur une version industrielles. Vers le début 2012 il a annoncé travailler sur une version à haute température (Hot-Cat, 1000°C) de son réacteur, qui serait bien plus performant. Il a annoncé aussi avoir développe une version à gaz. Ses réacteurs sont officiellement capable de produite 6 fois plus de chaleurs que l'alimentation électrique, et la version gaz 3 fois plus que le chauffage. Le prix annoncé à une époque tournait autour que 1000 euro pour 10kW, avec quelque dizaine d'euro de recharge... le prix industriel sera plus élevé, mais comparable.
C'est un personnage fantasque qui fait des annonces tonitruantes, des présentation calamiteuses où l'on soupçonne parfois qu'il cache ses problèmes, ou ses succès, à la manière des frères Wright... Il raconte des faits faux, pour embrouiller les concurrents, change d'avis... Techniquement, il semble, soit faire des erreurs de débutants, soit cacher ses réussites... Tout cela donne une image calamiteuse du personnage et réduit sa crédibilité à zéro, d'autant plus vite qu'il parle beaucoup.
Il a annoncé des résultats de tests qui sont attendus, et entre temps il a réussi a lancer des controverses sur des tests internes, et à décourager un partenaire suédois.
Néanmoins il a des partenaires. Certains, comme le partenaire allemand semblent peu sérieux. D'autres comme le partenaire suédois Hydrofusion semblent un peu refroidis, mais ont été publiquement positifs dans un documentaire suédois passé début 2013. D'autres comme Defkalion green technologies ont été dégoûtes, et volent de leurs propres ailes.
Il reste heureusement « Prometeon », le partenaire Italien, qui est dirigé par Aldo Proia. Ce dirigeant a un profil très sérieux (un ancien chef de projet du solaire), semble supporté par des investisseurs sérieux que certains estiment être le groupe Cipriani (sans indices probant il est vrai). Ses interview confirment le coté fantasque de Rossi, mais aussi affirment clairement qu'il cache son jeu, et que son réacteur marche très bien.
Jusque là c'était la seule caution sérieuse des annonces de Rossi, mais une bonne caution.
Mais en mai 2013 un rapport, financé par Elforsk, une organisation d'énergéticien suédois a fait un test indépendent de l'E-cat, qui démontre une production d'énergie plusieurs ordre de grandeur au dessus de la chimie, et un COP de 3 ou 6.
Defkalion Green Technologie
Cette société grecque a été créée par des investisseurs grecs expatriés, dont beaucoup de Vancouver au Canada. Elle visait initialement à exploiter une licence de l'E-cat de Rossi. Le professeur Stremmenos, amis de Rossi, ambassadeur de Grèce en Italie avait mis en relation des amis du Pasoc, dont Papaandreou. Mais celui ci après des premiers contacts et premiers tests satisfaisant s'est retiré sur conseil de certains scientifiques. Quelques semaines plus tard, Alexandros Xanthoulis, économiste grec vivant à Vancouver se présentait avec divers investisseurs pour exploiter un licence d'E-cat... Rossi ayant fait une promesse sur la licence canadienne, qu'il n'a pas respecté, Defkalion sous la pression des investisseurs a rompu le contrat en arguant d'une durée de fonctionnement insuffisante de l'E-cat, vers l'été 2011. Dès lors Stremmenos a très mal réagi a ce qu'il a perçu comme une trahison de Rossi. Il ne cesse de les dénigrer depuis, comme il dénigre d'ailleurs Piantelli un autre concurrent de Rossi.
L'équipe de R&D a alors proposé de tenter de faire un réacteur eux-même. Ils ont testé diverses méthodes, dont certaines ressemblant à celle de Rossi, mais finalement la seule à permettre un bon contrôle impliquait la production d'un plasma avec des bougies électriques dans un réacteur contenant de l'hydrogène et une mousse de nickel. Fin novembre, Defkalion annonçait un prototype et des spécifications préliminaire.
La puissance du réacteur était dans les 45kW, pour 5000 euro estimé, et quelques centaines d'euro de maintenance annuelle.
Des discussions avec les concepteurs sur leur forum, laisse penser à des ingénieurs compétents, et quelque peu enthousiastes. La communication de Alexandros Xanthoulis laisse aussi le sentiment d'un grand enthousiasme, ce qui s'oppose à son style visiblement très "Corporate".
En janvier 2012 ils annonçaient lancer un appel à test par des tierces parties, qui devait aboutit fin avril à un résultat... Mais les choses ont pris du retard. A l'été lors de la conférence annuelle National Instruments 2012, puis l'ICCF17 ils ont présenté un papier décrivant leur résultats, quelques transmutations, les grandes lignes de leur méthodes, mais pas encore de résultats tiers. Ils ont aussi expliqué qu'il avaient des problème d'endurance des bougies qui expliquaient certain retards. Ils ont aussi évoqués 6 brevets sur divers points.
Ils ont aussi annoncé que leurs partenaires refusaient de travailler avec eux en Grèce a cause de l'effondrement du pays, et qu'ils déménageaient au canada à Vancouver.
En novembre 2012 ils ont publié un rapport mal anonymisé, réalisé par Michael A. Nelson, chercheur à la NASA mais travaillant pour une ONG autour des énergies alternatives. Nelson avait fait parler de lui en critiquant vertement le protocole de test, et surtout le comportement de Rossi lors de ses tests. A l'opposé avec Defkalion, il semblait apprécier la liberté de tester le réacteur. Le résultat était modeste (+200% de production d'énergie additionnelle par rapport à celle entrée, mais avec des justifications liées à la température trop basse de fonctionnement).
Ce mois de décembre 2012, Defkalion s'est installé pour 3 ans à Vancouver, et un article dans un magazine principal grec ("To Vima" ) présente à nouveau cette société, sa technologie et ses projets. D'après cet article, ils ont été approché par presque tout les pays développés, ont des dizaines de partenaires et des contacts pour des applications de transport très variées. Les pétroliers semblent tout a fait positifs à leur endroit. La société à réactivé son site Internet en Février 2013 et sort doucement de son mutisme.
En février Defkalion a annoncé une démonstration à la NIWeek 2013 de National instrument en aout à Austin. Ils présenterons un papier à l'ICCF18 à l'Université du Missouri.
Brillouin Corporation
Brillouin Corporation est dirigée par Robert Godes. Ils ont annoncé la création d'un réacteur basée sur une théorie (utilisant les « zones de Brillouin ») développée par Godes. Leur premier réacteur, humide, a été validé par le SRI avec une performance indiscutable mais encore peu utilisable de "fois 2". Ils travaillent avec le SRI, un centre de recherche non lucratif visant a développer l'industrie locale autour de Stanford, qui a fait les tests. Ils développent un nouveau modèle de réacteur « sec » plus performant.
Godes est assez critique envers Rossi et Defkalion, qu'il accuse ne pas comprendre comment activer la réaction. Il affirme que sa théorie lui donne la capacité de piloter la réaction à volonté.
Cette société est moins bavarde que les autres, mais semble sur la voie de concurrencer les 2 précédentes.
Blacklight power
Blacklight Power est une société qui vise à développer des réacteurs en utilisant la théorie des Hydrinos de Mills. Cette théorie est très controversées, car elle remet en cause la physique actuelle.
Ils ont annoncé récemment avoir réussi a développer des réacteurs à hydrinos produisant de l'électricité directement, sans conversion thermodynamique. Le dispositif fait l'objet de rapport individuels par certaine chercheurs qui confirment l'avoir observé marcher.
La conversion électrique directe est un grand espoir, mais le fait que ce phénomène n'ait pas déjà été reproduit par d'autres peut nous laisser sceptique. Une grande prudence est requise, avant que des preuves claires soient présentées.
Lenuco
Lenuco est une société créée pour commercialiser la technologie du Dr Miley. Sa première application est le remplacement de générateur radioisotopiques des sondes spatiales pour la NASA.
Lenuco a depuis proposé un projet ARPA-E pour un co-générateur domestique de 10kW, sans succès.
Jet Energy
Jet Energy est une société qui pour le moment tente de commercialiser le NANOR du professeur hagelstein. A l'ICCF17 ils ont expliqué l'intérêt de ce petit dispositif de la taille d'une résistance, capable de produire plus de 10fois l'énergie qu'il reçoit (40 à 80 a-t'il été affirmé ce mois de janvier 2013 lors de cours indépendant au MIT), pour les laboratoires cherchant à comprendre et valider la fusion froide.
Nichenergy
Nichenergy est une société créé par Piantelli, afin de commercialiser une technologie de réacteur Nickel-Hydrogene, basé sur ses travaux. Nous avons peu d'informations.
Un brevet récemment accordé à Piantelli pour un réacteur à poudre de nickel à attiré les critiques de Rossi et son amis Stremmenos.
Université du Missouri et Energetics Technologies
Robert Duncan un patron de l'Université du Missouri avait accepté d'expertiser, pour le compte de CNBC et son émission "60 minutes", les prétentions de fusion froide de la société israélienne "Energetics Technologies". Initialement sceptique, il est devenu un actif supporter.
La prochaine conférence sur la fusion froide (ICCF18) aura lieu dans son université.
Depuis les activité et brevets LENR d'Energetics Technologies ont été racheté par l'université, qui continue les développements en interne.
L'ICCF18 est sponsorisée par l'ENEA et National instruments.
Les startup souhaitant utiliser les réacteurs
A coté des sociétés visant a créer des réacteurs, d'autres proposent de les utiliser pour révolutionner certain secteurs.
LENR cars
LENR Cars est un startup suisse créée par un innovateur en série : Nicolas Chauvin. Elle vise à créer une voiture à base de Fusion froide, en commençant d'abord par une voiture électrique hybridé avec de la fusion froide, puis en développent des modèles de moins en moins hybrides.
Leur premier idée serait de mettre un réacteur à fusion froide dans une Tesla-S, dont les batteries seraient rechargées par des convertisseurs thermoélectriques. Il travaille actuellement à répliquer les travaux de Celani dans le cadre du Martin Fleischmann Memorial Project.
Un article est passé dans l'AGEFI de Genève où on apprend qu'il est financé par le fondateur de Logitech, qui est enthousiaste aussi. Ils y évoquent des discussions avec les constructeurs automobiles Tesla et PSA/Peugeot-Citroën. Un autre article dans "Le Temps" rapport aussi l'opposite d'un physicien travaillant sur la fusion chaude à l'EPFL.
Kresenn
Kresenn est une startup britannique visant à développe des data-center autonome grâce à la fusion froide. Ses fondateurs sont italiens. Ils ont travaillé avec Celani.
Elle a signé un partenariat avec LENR-Cities.

LENR Cities

LENR Cities est une initiative lancée par Michel Vandenberghe (France) et Didier Pelluet (Suisse) qui vise à créer des réseaux d'entreprises innovantes, et les associer avec des partenaires locaux, afin d'être capable de changer le marché et l'usage de l'énergie dans les territoires. Ce modèle économique est théorisé sous l'intitulé de "The Business Factory".
Michel Vandenberghe à rejoint l'initiative Martin Fleischmann Memorial Project.
LENR-Cities a pour but de constituer a écosystème d'entreprises diverses travaillant dans les LENR, en organisation réseau.
LENR-Cities a un partenariat avec Kresenn et LENR-Invest, et a annonvé proposer son projet au canton suisse de Neuchatel et à la ville.
LENR-Invest
LENR-Invest est une entité juridique visant à financer les entreprises ayant développé une application LENR. Elle a un partenariat avec LENR-Cities.
Les grandes entreprises
A coté de ces petites entreprises innovantes, de grandes entreprises ont une stratégie qui transparaît, voir qui crève l'écran.

National Instruments

Cette société qui vend des instruments électroniques de laboratoire a récemment invité la fusion froide comme « guest-star » dans sa conférence annuelle, la NIWeek de 2012. 4 présentations sur la Fusion froide, un panel avec des fabriquant de réacteur (Brillouin, Defkalion) et des chercheurs (Takahashi de Toyota/Technova), et une démonstration publique d'un petit réacteur de démonstration de Celani. Le tout a culminé avec la conférence du directeur « Truchard », qui a annoncé la révolution à venir, et comment NI supporterait ces « Edisons ».
Avant la NIWeek, Stefano Concezzi, le directeur « Grande Physiques » (clients lés à la physique lourde, type LHC, ITER, …) a fait une conférence à Bruxelles et à Rome où il annonçait que sa société avait fait répliquer en double aveugle des expériences de fusion froide par dix laboratoires, et où ils supportait la fusion froide et ses chercheurs.
Cette stratégie de communication, alors que la fusion froide est un client infinitésimal pour NI, laisse penser qu'il s'agit d'une stratégie visant à acquérir une image de pionnier sur un secteur qui ne sera bientôt plus ostracisé.
National Instruments devrait présenter des sessions et démonstrations autour des LENR en aout 2010 à Austin lors de sa NIWeek2013.
National Instrument est sponsor officiel de la conférence ICCF18 à l'Université du Missouri cet été, en collaboration avec l'ENEA.
ST Microelectronics
ST Microelectronics, a validé récemment les travaux de Celani dans ses labo, et on a identifié des employés de la société ou de filiale innovante (STNewVentures) dans une conférence à Sienne.
Toyota/Technova
Quand Fleischmann à été lynché par la communauté scientifique, il a été embauché par Toyota. Les résultats n'ont pas été très intéressants. Mais la recherche continue au Japon, notamment dans le laboratoire Technova à Kobe où travaille le Pr Takahashi.
Mitsubishi Heavy Industry
Mitsubishi aussi continue a faire de la recherche sur la fusion froide. Un de ses grand résultats a été réalisé par Iwamura : la preuve de transmutation lors du passage d'hydrogène dans des films minces de métaux. Ils ont présenté des résultats devant l'American Nuclear Society cet hivers fin 2012.
SAIPEM
La société italienne et française d'exploration pétrolière, filiale de l'italien ENI, a été identifiée comme présente à quelques conférence sur la fusion froide.
Shell
Shell a été cité comme présent lors du workshop ICMNS à Sienne en 2012.
Shell via son innovateur « Shell Gamechanger » serait intéressé par la fusion froide d’après Defkalion dans le dernier article de To Vima (un grand journal grec - "La Tribune").
Exxon
Exxon d'après Defkalion dans l'article de « To Vima » serait intéressé a acquérir Defkalion, le moment venu...

EPRI

Cet organisme professionnel, représentant les professionnel de l'électricité américain, a fait récemment un petit rapport de test, positif mais peu convainquant sur la fusion froide.
American Nuclear Society
Cet organisme qui rassemble les professionnel du nucléaire a invité Steven Krivit pour présenter la fusion froide et la théorie Widom-Larsen lors de sa conférence hivernale. Mitsubishi Heavy Industry a aussi présenté des résultats de Iwamura, et confirmé la réplication par Toyota.
L'année 2013, sera-t'elle l'année de la Fusion froide
Quand on suis de près les mouvement autour des LENR on est choqué par le décalage entre l'activité fébrile, les annonces tonitruantes, les validations qui se multiplient, les indices « business » de crédibilité... et de l'autre coté un silence de mort dans la pensée orthodoxe.
L'année 2013 sera-t'elle l'année qui va voir ces deux mondes se rejoindre dans une grande levée de rideau générale sur la fusion froide.
Certains, les plus anciens, n'osent y croire tellement il ont été déçus.
En entendant la même litanie de faits obsolètes répété, d'ignorance des faits datant de moins de 20 ans, le rejet de tout débat, les raisonnement auto-référents, on ne peut qu'estimer que le débat scientifique en publique ne sera jamais possible.
Pourtant à bien y regarder la situation est différente. Jusque là les espoirs venaient d'expériences scientifiques qui auraient dû convaincre les esprits rationnels, et ce depuis longtemps. Mais ici il s’agit d'un mouvement d’entrepreneurs et d'innovateurs, de grandes entreprises inquiètes et à l’affût de toute opportunité ou risque. Toutes les passion humaines se rejoignent pour considérer la Fusion Froide comme une opportunité à saisir ou à ne pas rater.
Le diable est sortit de la boite et rien ne pourra le faire y rentrer.

Comment est né ce petit résumé:
J'ai en décembre 2012 préparé une synthèse rapide sur les LENR. La voici, pour information. Des choses ont changées entre temps, mais ça doit encore être intéressant. Le langage est assez familier, car ce n'était pas un article mais un rapport. J'ai corrigé un peu, le style et des erreurs factuelles, et ajoutés des sujets.

150'000 milliards de francs de trafic & micro-impôt de 2‰, le RBI financé !

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Une nouvelle dépêche vient de tomber:

«Le revenu universel serait le tournant social du capitalisme»


Adolf Ogi et Oswald Sigg sur le revenu de base inconditionnel 

Récemment se sont réunis à Berne deux vieux amis: l'ex-conseiller fédéral Adolf Ogi et son ancien porte-parole Oswald Sigg. Bien sûr, ils sont aussi venus au revenu de base inconditionnel. Heureusement, Enno Schmidt était à la caméra sur place .


150'000 milliards de francs le montant total de ce trafic en Suisse. En introduisant un micro-impôt de 2‰ ( 2 pour mille ) , on financerait sans problème le RBI.



Rencontre avec Oswald Sigg, un des initiants du revenu de base inconditionnel qui proposent de verser un montant minimal vital à tout citoyen. Utopiste ou révolutionnaire?
Par Kalina Anguelova. Mis à jour à 11h13 34 Commentaires

«Au lieu de s’obstiner à détruire le capitalisme, autant s’en servir», déclare Oswald Sigg, socialiste et ancien vice-chancelier de la Confédération.

Et si on remettait l’économie au service de l’homme?

Indéniablement, notre système social s’essouffle. Et si au lieu de le rafistoler sans cesse, afin de l’adapter à l’évolution sociétale, on changeait radicalement de paradigme? C’est précisément ce que propose l’initiative «Pour un revenu de base inconditionnel (RBI)» sur laquelle on votera le 5 juin.


L’idée est révolutionnaire. Remplacer l’ensemble de notre protection sociale, devenue trop complexe, humiliante et toujours plus difficile à financer, par un revenu universel qui sera alloué d’office et sans condition à tout citoyen, qu’il soit riche ou pauvre. En somme, assurer un socle de sécurité pour tous, renforçant le pouvoir des salariés les plus précaires face à leurs employeurs. Cela stimulerait aussi l’insertion professionnelle tout en apportant une nouvelle liberté de choix dans l’activité. Et contribuerait à une meilleure répartition des richesses produites.


Évidemment, une initiative visionnaire qui remet en question tout un système – surtout quand il s’agit de rendre la justice sociale compatible avec l’efficacité économique – se heurte inévitablement au scepticisme général. Dès lors, tout prétexte est bon pour la démolir. Pour n’en citer qu’un, le principal: le mode de financement du RBI, soi-disant difficilement réalisable. Où donc trouver 200 milliards de francs par an (si le RBI est de 2500?fr.)?


A ce jour, le PIB, à savoir l’économie réelle, engendre 680 milliards. Le montant est de 300?fois supérieur quant à l’économie financière (celles des transactions à haute fréquence). Et, surtout, cette dernière n’est soumise à aucun impôt. Le montant total du trafic des paiements génère 150?000 milliards de francs par an. Avec un micro-impôt de 2‰, l’ensemble du RBI serait financé sans aucun problème.


Quel que soit l’issue du scrutin, cette initiative aura eu le mérite d’ouvrir un débat que la société ne pourra pas continuellement écarter d’un revers de la main.

Les six dates-clés de la carrière d’Oswald Sigg

1964 Obtention de son baccalauréat commercial au Collège Saint-Michel, à Fribourg.

1975 Marque le début de son travail au Palais fédéral (chancellerie, DFF, DDPS, DETEC).

1978 Doctorat ès sciences politiques à l’Université de Berne, après des études à Saint-Gall, Paris et Berne

1988 Il accède au poste de rédacteur en chef de l’Agence télégraphique suisse (ATS).

1990 Il est nommé chef de la communication de la direction générale de la SSR.

2005 Il devient vice-chancelier de la Confédération et porte-parole du Conseil fédéral.

 

 

Le Conseil fédéral se positionne aujourd’hui officiellement sur l’initiative «Pour un revenu de base inconditionnel (RBI)» qui sera soumise au vote du peuple le 5 juin prochain. L’un des huit membres à l’origine de cette idée, le socialiste Oswald Sigg, détaille les avantages de ce revenu universel qui pourrait remplacer le système actuel de protection sociale.
Selon l’initiative, le RBI «doit permettre à l’ensemble de la population de mener une existence digne et de participer à la vie publique». Ce n’est pas le cas en Suisse?
Non. La 4e révolution industrielle, à savoir la digitalisation, a profondément bouleversé notre monde du travail. Avec la robotisation, la digitalisation des processus de production dans l’économie et le secteur tertiaire, le travail humain, devenu trop coûteux, a été mis à la porte. Outre le taux de chômage, encore beaucoup trop élevé, on estime aujourd’hui à 50% les gens dans une situation de précarité qui ne font pas appel à l’aide sociale.
Pourquoi?
Le système actuel est beaucoup trop complexe. On est vite dissuadé d’y faire appel. Sans oublier son côté humiliant. Les ayants droit doivent fournir des informations touchant parfois à leur sphère intime. C’est intolérable.
Concrètement, en quoi le RBI serait-il plus efficace que notre système d’assurance actuel?
Avec le RBI, on change de paradigme. Un revenu universel sera alloué d’office et sans condition à tout citoyen, indépendamment de sa richesse. Il remplacera ainsi l’AVS, les allocations familiales, les bourses d’études, l’assurance-invalidité, ainsi que l’aide sociale et l’assurance-chômage pour la partie inférieure au montant du revenu de base. En somme, nous aurons un système beaucoup plus simple.
Le texte de l’initiative reste flou sur le montant et le financement. Ça donne l’impression que vous n’y croyez pas vous-même.
Le peuple devra se prononcer sur un principe. Si nous n’avons pas fixé ces détails importants, certains auraient été pour le montant mais contre le mode de financement. Ou vice versa. En cas d’un oui, c’est au Conseil fédéral, au Parlement et, au final, au peuple de décider comment introduire progressivement le revenu de base. Evidemment, on peut toujours s’opposer si on estime que les décisions ne sont pas en adéquation avec nos idées. Finalement, comme le dit le texte de l’initiative, le RBI offre la chance à notre pays de pouvoir s’adapter aux changements de société en cours plutôt que de s’exposer à devoir, plus tard, prendre des mesures dans l’urgence.
En exemple, vous avancez un montant de 2500 francs pour les adultes. C’est juste?
En effet, ce montant a été cité comme exemple. Il représenterait le minimum vital nécessaire. Pour financer un tel revenu, il faudrait trouver plus de 200 milliards de francs par année.
Quel mode de financement préconisez-vous?
Ma proposition est d’imposer l’ensemble du trafic des paiements. L’idée est presque trop simple pour être vraie. On estime aujourd’hui à 150'000 milliards de francs le montant total de ce trafic en Suisse. En introduisant un micro-impôt de 2‰, on financerait sans problème le RBI.
L’idée n’est-elle pas trop avant-gardiste?
Oui. C’est le cas de le dire. Pourquoi ceux qui s’enrichissent exagérément, en prenant d’énormes risques pour l’ensemble de l’économie, ne contribueraient en rien? L’économie réelle (le PIB), qui produit 680 milliards de francs par an, est soumise à l’impôt. Pourquoi le casino financier y échapperait-il? Celui qui, en plus, génère un montant 300 fois supérieur. Cette situation est inadmissible.
Les détracteurs y voient déjà une menace pour l’ordre social?
La norme – à savoir que les personnes en âge de travailler pourvoient elles-mêmes aux besoins de leur ménage – sera en effet bouleversée. Mais cette normalité est une esquisse du monde du travail de ceux qui gagnent bien leur vie. Ce qui est loin d’être le cas pour tout le monde.
Une personne au chômage ou gagnant peu ne serait-elle pas tentée de cesser toute activité?
Et alors? Pourquoi s’agirait-il de quelque chose de négatif? C’est l’essence même de la liberté. Cela donne l'occasion de faire autre chose.
Cette liberté ne représente-t-elle pas une menace pour la productivité?
Au contraire, je pense que les gens seront plus motivés à travailler parce qu’ils feront précisément ce qu’ils veulent et non pas ce que leur employeur demande. En cas de désaccord ou d’une volonté de reconversion, ils peuvent démissionner sans crainte puisqu’il existera un socle de sécurité pour tous. La liberté d’agir, c’est une augmentation du pouvoir personnel. Qui va donc à l’encontre de ceux qui commandent.
Au fond, vous êtes dans la logique: salaire en premier, travail ensuite?
Exactement. Le RBI va à l’encontre de l’éthique du travail inspirée du protestantisme. Nous sommes enfermés dans un système de travail, une logique trop contraignante. On a peur de changer de travail ou de se réorienter professionnellement. Avec le RBI, cela sera possible. Par ailleurs, les détracteurs craignent que les gens soient tentés de cesser de travailler. Mais que dire de la société hyperproductiviste dans laquelle nous vivons, qui pousse les personnes à effectuer des heures supplémentaires et qui plus est non payées? Avec pour conséquence des burnouts. Cela engendre un coup considérable à la société. Mais ça, on n’en parle pas.
En 2009, une enquête en Allemagne a révélé que le coût des maladies du travail est de 225 milliards d’euros par année. Un chiffre qui ne va pas cesser de s’accroître. Ce phénomène est peut-être moins développé en Suisse, mais il existe aussi.
Au sein du PS, les socialistes sont divisés sur l’initiative. Pourquoi?
Une des raisons est que le mode de financement de l’initiative est basé sur le système capitaliste. Mais, au lieu de s’obstiner à détruire le capitalisme, autant s’en servir. Certains historiens prétendent que le capitalisme, en fin de développement, fera un virage social. Le revenu de base inconditionnel serait donc le tournant social du capitalisme. Précisément parce qu’il sera financé solidairement par les acteurs importants de l’économie financière.(Le Matin)

Invitation pour le RBI à Montreux

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Invitation pour le RBI à Montreux

Lausanne, le 8 avril 2016 / NL2

Au-delà du débat pour ou contre, mieux comprendre l'idée d'un Revenu de Base Inconditionnel

Madame, Monsieur, bonjour,
Le 5 juin, nous allons voter pour ou contre l’initiative sur le Revenu de Base inconditionnel. Pour mieux comprendre les enjeux, Le Graap vous invite à une conférence/débat suivie d’un apéritif :
le mercredi 20 avril 2016 à 18h15
En présence du Professeur René Knüsel, politologue et professeur à UNIL.
Lieu : à la salle de quartier de Jaman, Jaman 8 (à 2 minutes de la gare) à Clarens - Montreux
Pure utopie ou piste de réflexions intéressantes pour réformer un système en souffrance : le Graap s’intéresse à ce projet et vous invite à partager une soirée d’information et de réflexions pour mieux comprendre les enjeux du «Revenu de base inconditionnel ».
L’an passé, l’initiative fédérale pour un revenu de base inconditionnel a récolté 116’000 signatures valides, ainsi c’est le 5 juin 2016 que le peuple devra se prononcer prochainement sur ce sujet. Ce projet implique un remodelage complet de notre système de sécurité sociale. Garantir à tous les habitants de Suisse un revenu permettant de vivre dignement, tel est son objectif. Mais avec quel financement ? Est-ce vraiment possible d’en finir avec des assurances et aides sociales tels qu’ AVS, AI, assurance chômage, RI ... ?
Merci de faire circuler cette information autour de vous. Vous trouverez ci-dessous le flyer de cette soirée. Informations : 021 643 16 00.
Au plaisir de vous rencontrer à cette occasion et avec nos meilleures salutations,
Pour le Graap,
Madeleine Pont,
Présidente du Graap-Association


The money masters, by Bill Still

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Please, see this video

Si seulement chacun pouvait visionner l'excellent documentaire de Bill still "The money masters"...



Yes to robots & the two popular swiss Initiatives coping with them ! We can imagine all things produced by robots, leaving humans without nearly any incomes. Then, we all need  a framework that measures the gap in the present system between costs and too low incomes and then to issue personal debt-free money to solve this  gap. Money safe from finance crises: Only the Swiss national, cantonal or communals banks can create money. Yes to real Swiss Francs  in  bank accounts. Yes to what people want: closing a loophole in the law. Yes to billions for taxpayers and the real economy. The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of people would like, and is also what the majority of people think we have today: • Only the Swiss national, cantonal or communals banks are allowed to create our swiss money – not only coins and bank notes, but also the swiss electronic money in our bank accounts • The board of directors is randomly selected from the pool of shareholders and dissolved, yearly.  Since the board is actually running the NCO, we cut out the need to audit.  However, the board coming in the next year will be responsible for auditing the previous year’s board and holding them accountable.Other banks can create other kind of private money, like the bank wir, www.wir.ch and are responsible for payment transactions, wealth management and credit brokerage in all kind of money. However, they can’t create anymore their own “swiss”money, abusing the brand swiss as now. What is sovereign money? Sovereign money is full-value legal tender, which is brought into circulation by the Swiss Public Banks. Today, only coins and bank notes are sovereign money. What is electronic money? It’s the numbers we have in our bank account. At the moment it isn’t legal tender, it’s only a promise made by a bank to pay us cash when requested. The Swiss Sovereign Money Initiative has the aim that only the Swiss Public banks will be allowed to create electronic money, as is the case for coins and bank notes today. Electronic money will become sovereign money, a full-value legal tender. This is necessary as, at the moment, cash only accounts for 10% of the money supply in circulation in Switzerland; 90% is electronic money. The Swiss people voted in 1891 to forbid the banks from printing swiss bank notes. We now have to extend this and give the Swiss Public banks the job of creating the electronic money as well. Sovereign money benefits all bank customers, the real economy, the State, the Cantons, taxpayers and traditional banking businesses.Please, return to Family de Siebenthal, av. Dapples 23, CH 1006 LAUSANNE Tél. intern ++ 41 21 616 88 88. In Switzerland 021 616 88 88 contacts: info@familiaplus.com www.familiaplus.com

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Petition: Yes to robots & the two popular swiss Initiatives coping with them !  We can imagine all things produced by robots, leaving humans without nearly any incomes.

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Projet de lettre ouverte à la Banque Nationale Suisse ( BNS )

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La BNS investit dans notamment Monsanto, l'industrie militaire nucléaire américaine, sic, et dans le gaz de schiste.... à vomir ! Des violations honteuses de notre neutralité séculaire ! STOP ! VENEZ à L' AG CE 29 AVRIL EXPRIMER VOTRE OPPOSITION !

Monsieur Jean Studer

Président du Conseil de banque

Banque nationale suisse

Place fédérale 1

CH-3003 Berne


LAUSANNE, le x avril 2016


Concerne : Disparition de presque toutes les propositions légalement déposées, violations graves du statut de la BNS,  modifications unilatérales des titres et des textes devant être portés légalement à  l'ordre du jour.


Monsieur le Président,


En premier lieu, nous vous tenons à  vous remercier d'être entré en matière et d'avoir accepté notre demande préalable, issue du groupe informel AAA+, en organisant cette année, pour la première fois, une traduction simultanée pour notre Assemblée Générale  des actionnaires.

Concernant la proposition de décision 3A2016-08 nous sommes très surpris de ne pas la retrouver à l'identique, ce qui heurte la bonne foi, mais surtout nous nous étonnons de la disparition de toutes les autres neufs propositions que vous avez reçues dans les délais et dûment signées par le quorum d’actionnaires réglementaires, qui sont toutes importantes pour le bien commun de notre pays.


Pour mémoire la proposition modifiée unilatéralement qui vous a été soumise (attachée) est rédigée comme suit:

..." Que le procès-verbal de l’Assemblée générale soit effectivement diffusé, sur leur demande, aux actionnaires de la BNS y compris la liste de participation à l’Assemblée générale et les prises de positions des actionnaires de droit public et que le registre des actionnaires soit consultable par tout actionnaire qui le demande pour l’exercice de ses droits et devoirs explicites d’actionnaire. Dans la mesure où cette décision de l’Assemblée Générale est compatible avec la Loi fédérale sur la Banque nationale suisse (LBN), le Conseil de Banque et la Direction Générale peuvent l’appliquer en l’état. S’il s’avérait que cette décision n’était pas compatible avec la LBN ou avec une autre loi fédérale, alors cette décision constitue une proposition de révision de la LBN à l’intention de l’Assemblée fédérale, soumise au Conseil Fédéral, conformément à l’article 36 lit.f de ladite LBN. »

Source : https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/20021117/index.html#a36... 

Or dans la proposition qui figure à l'ordre du jour, la phrase soulignée ci-dessus a disparu.


Il s'ensuit que le texte soumis à l'AG n'est pas celui que nous avons signé. C'est une autre proposition, faite par le Conseil de Banque.


Si le Conseil de Banque entend soumettre une proposition concurrente, libre à lui puisque la LBN le lui permet.

En revanche le Conseil de Banque ne peut pas se substituer aux auteurs d'une proposition et maintenir leurs signatures. Cela fait accroire qu'ils sont d'accord avec ce nouveau libellé.

Nous avions été prévenus d'un changement du titre de la proposition, ce qui est déjà un étrange procédé. Il en va tout autrement de la modification unilatérale du contenu même du texte à voter, sans contact et sans l'accord des cosignataires, c'est très gravement contraire à l'éthique.

La suppression des arguments explicatifs ajoute à la problématique puisqu'elle ne va pas dans le sens de l'amélioration de la compréhension des autres actionnaires. Tout au contraire.

Quant au refus pur et simple de porter à l'ordre du jour les 9 autres propositions qui respectaient pourtant toutes les conditions matérielles indiquées sur votre site web et dans l'alinéa 2 de l'article 35 de la LBN, nous vous informons réserver l'ensemble de nos droits à l'encontre de cette décision si vous refusez toujours les règles de la bonne foi et du droit suisse et de rendre la chose publique.

En conséquence, nous vous demandons de rectifier en urgence ces erreurs, en remettant à tous les actionnaires toutes les propositions et notamment la proposition 3A2016-08 originale, telle qu'elle a été co-signée par 25 actionnaires afin qu'elles soient, précisément, "portées à l'ordre du jour" selon les termes exacts de l'alinéa 2 de l'article 35 de la LBN. À cette fin je vous impartis un délai plausible pour vous conformer avant l’assemblée générale à cette simple demande normale pour défendre le bien commun de la Suisse, surtout en ces temps troublés qui ont même provoqués la suspension de la cotation de l’action de la BNS..

Nous vous remettons en mémoire que l’année dernière déjà, votre département juridique n’a pas tenu sa parole donnée par téléphone et a fait preuve de formalisme excessif en refusant nos propositions pour des raisons futiles qui violaient la parole donnée et la bonne foi. Nous n’avions pas fait recours vu cette mauvaise foi déjà patente à l’époque.


Cette lettre n’est pas envoyée contre signature mais rendue publique car nous sommes maintenant certain que çà n’en vaut pas la peine, les autorités actuelles ne respectent pas l’Etat de droit et l'ont déjà prouvées à plusieurs reprises. 

La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, et dans le gaz de schiste super-polluant aussi aux USA , resic, dans Monsanto :-( ou dans Apple, concurrent de notre horlogerie... )
Quelques investissements récents à analyser.
https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTk5ER1ZFUFdvZ09IbklOam40T0w1aTZFbnlF/view?usp=sharing
https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2016/01/27/les-investissements-de-la-bns-dans-larmement-nucleaire-sont-indignes-liliane-held-khawam/
Mais le pire est de laisser faire la création monétaire par les banques commerciales et pour leur grand profit contre les citoyens, communes, cantons suisses, par centaines ( et même milliers) de milliards, tout en taxant notamment nos fonds de pension suisses d'intérêts négatifs ( une forme de vol )... en violation des principes écrits de ses propres statuts, de ceux du Conseil fédéral et de notre constitution... mais en respectant des règles venues de l'étranger... (reresic...), édictées par d'obscures officines d'initiés intéressés et exploiteurs de nos citoyens et de nos "élites" ( naïves ou corrompues...? ) qui ont pourtant prêté serment de respecter notre constitution et les suisses, avec  trois doigts levés et deux repliés...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/06/le-serment-base-de-la-vraie-suisse.html

Nous allons tout droit vers une dictature financière impitoyable qui écrase ceux qui vous ont élus.

Vous en remerciant par avance d’une miséricorde toujours possible, vu que nous sommes en 2016, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de notre meilleure considération et respect pour vos lourdes charges et responsabilités, surtout dans les temps troublés actuels.





François de Siebenthal: Venez à l'AG de la BNS: pour une ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/02/venez-lag-de-la-bns-pour-une.html

24 févr. 2016 - Pour la prochaine AG BNS : - Réservez le 29 avril 2016 à partir de 10h http://www.snb.ch/fr/ifor/shares/anngen/id/shares_anngenmeet

François de Siebenthal: Réservez le 29 avril 2016 à partir ...

desiebenthal.blogspot.com/.../reservez-le-29-avril-2016-partir-de-10h.ht...

18 août 2015 - Pour la prochaine AG BNS : - Réservez le 29 avril 2016 à partir de 10h http://www.snb.ch/fr/ifor/shares/anngen/id/shares_anngenmeet

François de Siebenthal: La Banque nationale suisse (BNS ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

7 mars 2016 - Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu avant ... Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoyenne ...

La BNS devrait donner de l'argent à chaque Suisse

desiebenthal.blogspot.com/.../la-bns-devrait-donner-de-largent-chaque.ht...

14 déc. 2015 - Pour la prochaine AG BNS : ... 021 616 88 88 ou par mailsiebenthal@gmail.com. ... François de Siebenthal: Banque nationale suisse, BNS .

François de Siebenthal: Banque nationale suisse, BNS ...

desiebenthal.blogspot.com/.../banque-nationale-suisse-bns-berne-ce.html

24 avr. 2015 - Nous avons déjà plusieurs dizaines d' actionnaires de la BNS qui soutiennent notre action et nos questions à l' AG. Vous pouvez venir et ...

François de Siebenthal: Banquiers: il faut rembourser l ...

desiebenthal.blogspot.com/.../banquiers-il-faut-rembourser-largent.html

29 févr. 2016 - http://www.de-siebenthal.com/Vix%20pervenit.htm ... ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, ...

François de Siebenthal: Invitation Revenu de Base ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/02/invitation-revenu-de-base.html

11 févr. 2016 - Posted by François de Siebenthal at 10:12:00 ... de la Suisse · Invito: Moneta intera · Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoy.

François de Siebenthal: Samuel Bendahan - Revenu ...

desiebenthal.blogspot.com/.../samuel-bendahan-revenu-universel-avenir....

19 févr. 2016 - Posted by François de Siebenthal at 20:54:00 ... de la Suisse · Invito: Moneta intera · Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoy.

La BNS investit dans notamment Monsanto, l'industrie ...

https://plus.google.com/.../posts/cfCLQH3qZnW

Il y a 2 minutes - STOP ! VENEZ à L' AG EXPRIMER VOTRE OPPOSITION ! François de Siebenthal: Projet de lettre ouverte à la Banque Nationale Suisse ( BNS )

Venez à l'AG de la BNS le 29-04: pour une coopérative ...

https://plus.google.com/.../posts/FsVLvCzBHPt

24 févr. 2016 - Venez à l'AG de la BNS le 29-04: pour une coopérative citoyenne ... http://desiebenthal.blogspot.com/2016/02/venez-lag-de-la-bns-pour-une.html?spref=tw
http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

Marc Chesney, Professeur de Finance à l'université de Zurich est l'invité de ce numéro du Monde Moderne. Il revient sur les excès de la finance casino, le rôle des banques et les liens entre dette des Etats, crise financière et guerre permanente. 

Dans son dernier ouvrage «De la Grande Guerre à la crise permanente», (Presses polytechniques universitaires romandes), Marc Chesney dresse un parallèle entre la Première Guerre mondiale et la crise financière de 2008. 

Aujourd’hui, une aristocratie financière a pris le pouvoir au détriment du reste de la population, dénonce-t-il, tout en proposant des solutions innovantes comme une taxe sur les transactions financières.

http://www.dailymotion.com/video/x3uz5kw_comprendre-la-crise-financiere-le-monde-moderne-avec-marc-chesney_news




Dividendes pour tous en Finlande, Alaska, Suisse, Namibie, Canada, Brésil, Mexique... !

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Dividendes pour tous en Finlande, Alaska, Suisse, Namibie, Canada, Brésil, Mexique... !

Revenu de base ou dividende social?

Écrit par Alain Pilote le mardi, 01 mars 2016. Publié dans Dividende

La Finlande va donner 1200 $ par mois à chaque citoyen

Revenu universel - Principe et application sécurite socialeIl y a maintenant plus de 75 ans que les créditistes de Vers Demain proposent l’idée d’un dividende social – une somme d’argent versée à chaque mois à chaque citoyen, sans condition, c’est-à-dire, peu importe nos revenus, que l’on soit salarié ou non. Ce serait aussi reconnaître chaque citoyen comme étant cohéritier des richesses naturelles et du progrès (toutes les inventions accumulées depuis des siècles), ce que l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, l’inventeur des principes du Crédit Social, appelle l’héritage culturel.
Cette idée d’un revenu garanti pour tous fait son chemin parmi les esprits, parfois sous d’autres noms – revenu universel, revenu d'existence, allocation universelle, revenu de citoyenneté, revenu de base, etc. – entre autres parce qu’on est forcé de reconnaître les défaillances des politiques sociales actuelles, et que le progrès technologique élimine de plus en plus le besoin d’employer les gens, les privant ainsi de revenus. Dès 1930, l’économiste John Maynard Keynes écrivait, dans «Economic Possibilities for our Grandchildren» (Les alternatives économiques qui s’ouvrent à nos petits-enfants):
«Nous souffrons d’une nouvelle maladie dont certains de mes lecteurs n’auront pas même encore entendu mentionner le nom, mais dont ils entendront abondamment parler dans les années qui viennent – à savoir le chômage technologique. Ce qui veut dire le chômage dû au fait que nous découvrons des moyens d’économiser l’utilisation du travail à un rythme plus rapide que celui auquel nous parvenons à trouver au travail de nouveaux débouchés.»
Les nouvelles technologies découvertes depuis 1930 n’ont fait que confirmer cet état de choses. En effet, le thème principal du sommet économique de Davos en Suisse, tenu en janvier 2016, qui réunit chaque année l’élite politique et financière du monde, était la «4e révolution industrielle», qui éliminera d’ici cinq ans 5 millions d’emplois dans les principales économies mondiales: après la première révolution (avènement de la machine à vapeur), la deuxième (électricité, chaîne de montage), la troisième (électronique, robotique), arrive la quatrième qui combinera plusieurs facteurs à l'œuvre comme l'internet des objets ou les mégadonnées (big data) pour transformer l'économie.
Ce n’est peut-être donc pas par hasard que soudainement, depuis quelques mois, on entend parler partout dans le monde de la possibilité d’instaurer un «revenu de base» qui garantirait le minimum vital à chaque citoyen.
Par exemple, en décembre 2015, Juha Sipilä, premier ministre de la Finlande, annonçait que dès 2017, le gouvernement finlandais versera à chaque citoyen une allocation mensuelle universelle de base de 800 euros (environ 1200 dollars canadiens), pour lutter contre la pauvreté. Selon M. Sipilä, le gouvernement finlandais économiserait même de l’argent en supprimant tous les programmes sociaux existants et verser la somme équivalente en un seul chèque, ce qui réduirait les coûts de 50 pour cent, en diminuant la bureaucratie et la taille de la fonction publique.
Aux Pays-Bas, la ville d’Utrecht tente l’expérience depuis janvier 2016, sur un groupe d’environ 300 personnes à qui sont versés 900 euros par mois pour un adulte et 1 300 euros pour un couple. En Suisse, l'initiative populaire fédérale«Pour un revenu de base inconditionnel» lancée le 11 avril 2012 a rassemblé plus de 126 000 signatures sur les 100 000 nécessaires pour qu'un référendum ait lieu le 6 juin 2016 sur le versement à chaque citoyen suisse d’un revenu annuel équivalent à 35 900 dollars canadiens.

Au Québec aussi?

François BlaisFrançois Blais
À la fin de février 2016, Philippe Couillard, premier ministre de la province de Québec au Canada, annonçait qu’il confiait à François Blais, actuel ministre de la Solidarité sociale, le mandat d’étudier la faisabilité d’un tel revenu de base au Québec. François Blais est un expert sur ce sujet, puisqu’il avait écrit en 2001, alors qu’il était professeur à l’université Laval de Québec, Un revenu garanti pour tousun livre intitulé: «Un revenu garanti pour tous: introduction aux principes de l'allocation universelle», où il offrait une «définition simple» de ce «revenu de base»: «L'allocation universelle constitue un revenu inconditionnel accordé par l'État à chaque citoyen.»
Selon M. Blais, adapté aux besoins particuliers, ce montant non imposable octroyé «de la naissance à la mort» viendrait remplacer les mesures actuelles de sécurité du revenu: aide sociale, prestation aux familles et aux retraités, crédits d'impôt aux particuliers et aux entreprises, prêts et bourses, et d'autres encore. Plus facile à gérer, la mesure allégerait la structure administrative, et encouragerait aussi le travail puisque l'allocation ne sera pas coupée même si le bénéficiaire reçoit un salaire en plus (ce qui se passe actuellement avec l’aide sociale, qui est coupée si vous travaillez.)

Expériences précédentes

En 1976, l'Alaska a mis en place l'Alaska Permanent Fund, un fonds souverain dont le capital est basé sur les revenus miniers et pétroliers de l'État, et dont les revenus alimentent depuis 1982 un dividende universel versé le 30 juin de chaque année à chaque habitant de cet état américain. En 1999 un référendum interdit à l'État d'utiliser «une partie» des revenus du fond (84 % d'opposants). Le montant maximum versé a été de 2 072 $ en 2015. (À noter qu’il n’y a pas d’impôt sur le revenu ni de taxe de vente en Alaska.)
Une expérimentation a été menée en Namibie (pays au sud de l’Afrique), dans le secteur de Otjivero-Omitara (environ 1 000 personnes) à 100 kilomètres de la capitale, Windhœk. Elle consistait à distribuer chaque mois, pendant deux ans (à partir du 1er janvier 2008) à chaque habitant enregistré 100 dollars namibiens.
Au bout de quelques mois d'expérimentation, la criminalité avait baissé, la sécurité alimentaire de la population avait augmenté, l'absentéisme à l'école avait diminué, et des micro-entreprises se sont mises en place qui ont revitalisé le tissu économique et social du village. Globalement les revenus des habitants du village avaient augmenté de 29 %, soit plus que le revenu supplémentaire octroyé par le programme.
Dans les années 1970, la ville de Dauphin, au Manitoba, a fait l’expérience du revenu minimum universel, comme l’écrivait Isabelle Maher, dans un article du Journal de Montréal du 13 décembre 2015: «Entre 1974 et 1979, les résidents ont eu droit à une allocation pour tous. L’objectif était de vérifier si l’argent versé directement aux citoyens pouvait remplacer les programmes sociaux. L’expérience fut interrompue sans qu’un rapport soit publié. Ce n’est qu’en 2007 qu’une chercheuse, la Dre Evelyn Forget, a entrepris l’analyse des données accumulées tout au long de l’expérience. La Dre Forget a ainsi observé une baisse de la fréquentation des hôpitaux de 8,5 %, de même qu’une forte diminution des accidents liés au travail. La chercheuse a aussi remarqué une diminution des admissions aux urgences des hôpitaux pour des accidents de la route ou des cas de violence conjugale.»

Comment financer ce revenu?

Comme on le voit, on discute de l'idée, mais le problème demeure toujours: comment financer ce revenu de base? La solution du crédit social (un dividende financé par de l'argent nouveau sans intérêt par un Office national du crédit, ou la banque centrale de la nation) est de loin supérieure à taxer les plus riches ou les entreprises. C'est reconnaître que nous sommes tous capitalistes, tous cohéritiers du progrès et des richesses naturelles du pays.
La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû, et ce qui est dû à chacun, c’est un dividende social. Vers Demain a publié des centaines d’articles sur le sujet, qu’on peut aussi retrouver sur son site internet.(Voir entre autres dans le livre d’Alain Pilote sur la Démocratie économique, le chapitre sur le dividende.) On a versé des milliards aux banques pour leur venir en aide après la crise de 2008. Pourquoi ne pas venir en aide directement aux citoyens en leur versant de l’argent?
De plus en plus de promoteurs de ce revenu de base réalisent qu’on ne peut le financer sans l’accompagner d’une réforme monétaire où l’État reprend son droit régalien de créer l’argent pour la nation. On peut lire par exemple sur le site du Mouvement Français pour un Revenu de Base:
Maurice Allais«Maurice Allais, prix Nobel d’économie 1988, grand spécialiste de la monnaie et promoteur du revenu de base, proposait en son temps de retirer aux banques leur monopole sur la création monétaire. L’histoire n’en a pas tenu compte. Sur fond de mondialisation, le pouvoir des banques commerciales sur la création monétaire n’a cessé de s’amplifier et de se déréguler. Depuis les années 30, d’autres économistes avant lui en avaient déjà décrit les conséquences: bulles spéculatives, explosion de la dette, creusement abyssal des inégalités, chômage et pauvreté.
«Nous ne détaillerons pas ici les mécanismes de création monétaire par les banques et leurs conséquences délétères. De nombreux membres du Mouvement Français pour le Revenu de Base les connaissent et n’en sont pas dupes... Selon eux, il est illusoire de penser qu’un revenu de base qui ne prendrait pas en compte la création monétaire puisse sauver la paix sociale. Ils redoutent même qu’un revenu de base par redistribution tel qu’il pourrait se mettre en place en première instance, aboutisse au résultat contraire si le jeu politique lui faisait jouer le rôle de rempart pour maintenir un statu quo social qu’ils jugent inique. Il paraît donc essentiel d’étudier des formes du revenu de base impliquant la création monétaire, voire qui seraient complètement fondées sur celle-ci.»
Continuons donc l’éducation du peuple, pour un revenu de base financé sans taxe par la banque centrale de notre pays.
Alain Pilote

M. Alain Pilote

BNS, disposition pénale !

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 Loi LBN, sur la Banque Nationale Suisse.

Art. 24 Disposition pénale1
1 Sera puni d'une amende de 200 000 francs au plus quiconque, intentionnellement:2
a.
n'aura pas fourni à la Banque nationale les renseignements et relevés exigés en vertu du chap. 3 de la présente loi ou qui aura fourni des renseignements ou relevés non conformes, incomplets ou erronés;
b.
aura fait obstruction à un contrôle effectué ou ordonné par la Banque nationale.
2 Si l'auteur a agi par négligence, il sera puni d'une amende de 100 000 francs au plus.
3 Les infractions sont poursuivies et jugées par le département conformément aux dispositions de la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif3.
3bis Il est loisible de renoncer à poursuivre les personnes punissables et de condamner à leur place l'entreprise au paiement de l'amende (art. 7 de la LF du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif) aux conditions suivantes:
a.
l'enquête devrait rendre nécessaires à l'égard des personnes punissables selon l'art. 6 de la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif des mesures d'instruction hors de proportion avec la peine encourue;
b.
l'amende entrant en ligne de compte pour les infractions aux dispositions pénales de la présente loi ou de l'une des lois sur les marchés financiers visées à l'art. 1 de la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers4 ne dépasse pas 50 000 francs.5
4 La poursuite des infractions se prescrit par sept ans.6













Les risques sont systémiques, non seulement sur les comptes bancaires mais même sur les monnaies, le volcan peut exploser à tout moment.

La BNS investit dans notamment Monsanto, l'industrie militaire nucléaire américaine, sic, et dans le gaz de schiste.... à vomir ! Des violations honteuses de notre neutralité séculaire ! STOP !







VENEZ à L' AG CE 29 AVRIL EXPRIMER VOTRE OPPOSITION ou écrivez une telle lettre en votre propre nom ou en celui d'une communauté pour vous exprimer !




Non aux abus bancaires, financiers etc... Trop, c'est trop...






Monsieur Jean Studer


Président du Conseil de banque


Banque nationale suisse


Place fédérale 1


CH-3003 Berne






LAUSANNE, le x avril 2016






Concerne : Disparition de presque toutes les propositions légalement déposées, violations graves du statut de la BNS, modifications unilatérales des titres et des textes devant être portés légalement à l'ordre du jour.






Monsieur le Président,






En premier lieu, nous vous tenons à vous remercier d'être entré en matière et d'avoir accepté notre demande préalable, issue du groupe informel AAA+, en organisant cette année, pour la première fois, une traduction simultanée pour notre Assemblée Générale des actionnaires.


Concernant la proposition de décision 3A2016-08 nous sommes très surpris de ne pas la retrouver à l'identique, ce qui heurte la bonne foi, mais surtout nous nous étonnons de la disparition de toutes les autres neufs propositions que vous avez reçues dans les délais et dûment signées par le quorum d’actionnaires réglementaires, qui sont toutes importantes pour le bien commun de notre pays.






Pour mémoire la proposition modifiée unilatéralement qui vous a été soumise (attachée) est rédigée comme suit:


..." Que le procès-verbal de l’Assemblée générale soit effectivement diffusé, sur leur demande, aux actionnaires de la BNS y compris la liste de participation à l’Assemblée générale et les prises de positions des actionnaires de droit public et que le registre des actionnaires soit consultable par tout actionnaire qui le demande pour l’exercice de ses droits et devoirs explicites d’actionnaire. Dans la mesure où cette décision de l’Assemblée Générale est compatible avec la Loi fédérale sur la Banque nationale suisse (LBN), le Conseil de Banque et la Direction Générale peuvent l’appliquer en l’état. S’il s’avérait que cette décision n’était pas compatible avec la LBN ou avec une autre loi fédérale, alors cette décision constitue une proposition de révision de la LBN à l’intention de l’Assemblée fédérale, soumise au Conseil Fédéral, conformément à l’article 36 lit.f de ladite LBN. »


Source : https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/20021117/index.html#a36...


Or dans la proposition qui figure à l'ordre du jour, la phrase soulignée ci-dessus a disparu.






Il s'ensuit que le texte soumis à l'AG n'est pas celui que nous avons signé. C'est une autre proposition, faite par le Conseil de Banque.






Si le Conseil de Banque entend soumettre une proposition concurrente, libre à lui puisque la LBN le lui permet.


En revanche le Conseil de Banque ne peut pas se substituer aux auteurs d'une proposition et maintenir leurs signatures. Cela fait accroire qu'ils sont d'accord avec ce nouveau libellé.


Nous avions été prévenus d'un changement du titre de la proposition, ce qui est déjà un étrange procédé. Il en va tout autrement de la modification unilatérale du contenu même du texte à voter, sans contact et sans l'accord des cosignataires, c'est très gravement contraire à l'éthique.


La suppression des arguments explicatifs ajoute à la problématique puisqu'elle ne va pas dans le sens de l'amélioration de la compréhension des autres actionnaires. Tout au contraire.


Quant au refus pur et simple de porter à l'ordre du jour les 9 autres propositions qui respectaient pourtant toutes les conditions matérielles indiquées sur votre site web et dans l'alinéa 2 de l'article 35 de la LBN, nous vous informons réserver l'ensemble de nos droits à l'encontre de cette décision si vous refusez toujours les règles de la bonne foi et du droit suisse et de rendre la chose publique.


En conséquence, nous vous demandons de rectifier en urgence ces erreurs, en remettant à tous les actionnaires toutes les propositions et notamment la proposition 3A2016-08 originale, telle qu'elle a été co-signée par 25 actionnaires afin qu'elles soient, précisément, "portées à l'ordre du jour" selon les termes exacts de l'alinéa 2 de l'article 35 de la LBN. À cette fin je vous impartis un délai plausible pour vous conformer avant l’assemblée générale à cette simple demande normale pour défendre le bien commun de la Suisse, surtout en ces temps troublés qui ont même provoqués la suspension de la cotation de l’action de la BNS..


Nous vous remettons en mémoire que l’année dernière déjà, votre département juridique n’a pas tenu sa parole donnée par téléphone et a fait preuve de formalisme excessif en refusant nos propositions pour des raisons futiles qui violaient la parole donnée et la bonne foi. Nous n’avions pas fait recours vu cette mauvaise foi déjà patente à l’époque.






Cette lettre n’est pas envoyée contre signature mais rendue publique car nous sommes maintenant certain que çà n’en vaut pas la peine, les autorités actuelles ne respectent pas l’Etat de droit et l'ont déjà prouvées à plusieurs reprises.


La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, et dans le gaz de schiste super-polluant aussi aux USA , resic, dans Monsanto :-( ou dans Apple, concurrent de notre horlogerie... )
Quelques investissements récents à analyser.
https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTk5ER1ZFUFdvZ09IbklOam40T0w1aTZFbnlF/view?usp=sharing
https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2016/01/27/les-investissements-de-la-bns-dans-larmement-nucleaire-sont-indignes-liliane-held-khawam/
Mais le pire est de laisser faire la création monétaire par les banques commerciales et pour leur grand profit contre les citoyens, communes, cantons suisses, par centaines ( et même milliers) de milliards, tout en taxant notamment nos fonds de pension suisses d'intérêts négatifs ( une forme de vol )... en violation des principes écrits de ses propres statuts, de ceux du Conseil fédéral et de notre constitution... mais en respectant des règles venues de l'étranger... (reresic...), édictées par d'obscures officines d'initiés intéressés et exploiteurs de nos citoyens et de nos "élites" ( naïves ou corrompues...? ) qui ont pourtant prêté serment de respecter notre constitution et les suisses, avec trois doigts levés et deux repliés...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/06/le-serment-base-de-la-vraie-suisse.html


Nous allons tout droit vers une dictature financière impitoyable qui écrase ceux qui vous ont élus.


Vous en remerciant par avance d’une miséricorde toujours possible, vu que nous sommes en 2016, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de notre meilleure considération et respect pour vos lourdes charges et responsabilités, surtout dans les temps troublés actuels.




Marc Chesney, Professeur de Finance à l'université de Zurich est l'invité de ce numéro du Monde Moderne. Il revient sur les excès de la finance casino, le rôle des banques et les liens entre dette des Etats, crise financière et guerre permanente. 

Dans son dernier ouvrage «De la Grande Guerre à la crise permanente», (Presses polytechniques universitaires romandes), Marc Chesney dresse un parallèle entre la Première Guerre mondiale et la crise financière de 2008. 

Aujourd’hui, une aristocratie financière a pris le pouvoir au détriment du reste de la population, dénonce-t-il, tout en proposant des solutions innovantes comme une taxe sur les transactions financières.

François de Siebenthal: Venez à l'AG de la BNS: pour une ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/02/venez-lag-de-la-bns-pour-une.html

24 févr. 2016 - Pour la prochaine AG BNS : - Réservez le 29 avril 2016 à partir de 10h http://www.snb.ch/fr/ifor/shares/anngen/id/shares_anngenmeet

François de Siebenthal: Réservez le 29 avril 2016 à partir ...

desiebenthal.blogspot.com/.../reservez-le-29-avril-2016-partir-de-10h.ht...

18 août 2015 - Pour la prochaine AG BNS : - Réservez le 29 avril 2016 à partir de 10h http://www.snb.ch/fr/ifor/shares/anngen/id/shares_anngenmeet

François de Siebenthal: La Banque nationale suisse (BNS ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

7 mars 2016 - Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu avant ... Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoyenne ...

La BNS devrait donner de l'argent à chaque Suisse

desiebenthal.blogspot.com/.../la-bns-devrait-donner-de-largent-chaque.ht...

14 déc. 2015 - Pour la prochaine AG BNS : ... 021 616 88 88 ou par mailsiebenthal@gmail.com. ... François de Siebenthal: Banque nationale suisse, BNS .

François de Siebenthal: Banque nationale suisse, BNS ...

desiebenthal.blogspot.com/.../banque-nationale-suisse-bns-berne-ce.html

24 avr. 2015 - Nous avons déjà plusieurs dizaines d' actionnaires de la BNS qui soutiennent notre action et nos questions à l' AG. Vous pouvez venir et ...

François de Siebenthal: Banquiers: il faut rembourser l ...

desiebenthal.blogspot.com/.../banquiers-il-faut-rembourser-largent.html

29 févr. 2016 - http://www.de-siebenthal.com/Vix%20pervenit.htm ... ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, ...

François de Siebenthal: Invitation Revenu de Base ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/02/invitation-revenu-de-base.html

11 févr. 2016 - Posted by François de Siebenthal at 10:12:00 ... de la Suisse · Invito: Moneta intera · Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoy.

François de Siebenthal: Samuel Bendahan - Revenu ...

desiebenthal.blogspot.com/.../samuel-bendahan-revenu-universel-avenir....

19 févr. 2016 - Posted by François de Siebenthal at 20:54:00 ... de la Suisse · Invito: Moneta intera · Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoy.

La BNS investit dans notamment Monsanto, l'industrie ...

https://plus.google.com/.../posts/cfCLQH3qZnW

Il y a 2 minutes - STOP ! VENEZ à L' AG EXPRIMER VOTRE OPPOSITION ! François de Siebenthal: Projet de lettre ouverte à la Banque Nationale Suisse ( BNS )

Venez à l'AG de la BNS le 29-04: pour une coopérative ...

https://plus.google.com/.../posts/FsVLvCzBHPt

24 févr. 2016 - Venez à l'AG de la BNS le 29-04: pour une coopérative citoyenne ... http://desiebenthal.blogspot.com/2016/02/venez-lag-de-la-bns-pour-une.html?spref=tw

1 A partir du 1er janv. 2007, les peines et les délais de prescription doivent être adaptés selon la clé de conversion de l'art. 333 al. 2 à 6 du code pénal, dans la teneur de la LF du 13 déc. 2002 (RO 2006 3459FF 1999 1787).
2 Nouvelle teneur selon le ch. 8 de l'annexe à la L du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers, en vigueur depuis le 1er janv. 2016 (RO 2015 5339FF 2014 7235).
3 RS 313.0
4 RS 956.1
5 Introduit par le ch. 8 de l'annexe à la L du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers, en vigueur depuis le 1er janv. 2016 (RO 2015 5339FF 2014 7235).
6 Nouvelle teneur selon le ch. 8 de l'annexe à la L du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers, en vigueur depuis le 1er janv. 2016 (RO 2015 5339FF 2014 7235).

RBI, votez oui, ne vous laissez pas manipuler !

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... et pour creuser un peu sur les activités du personnage...https://www.youtube.com/watch?v=sxN9brm6E28&index=88&list=PLi12He4GCPul6IAnlvHYVlkkJ6SVcF2CV&nohtml5=False






Informations erronées, exemple... disposition pénale :-) 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/bns-disposition-penale.html

Banquiers: il faut rembourser l'argent volé...




Bonne nouvelle pour les plus pauvres ! Mauvaise nouvelle pour certains banquiers, certains financiers, certains assureurs, certains politiciens, certains actionnaires, certains riches, certains "philosophes", taxateurs, policiers, huissiers, enfers fiscaux, CRS, "bien-pensants", naïfs, collaborateurs, élus, certains "théologiens" et "confesseurs", il faut rembourser l'argent volé ou "distrait"...  l'amour de l'argent est la racine de tous les maux, et certains... 

"Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux; et certains, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments..."
1 Timothée 6:10-11 (LSg)

http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/08/ue-la-racine-de-tous-les-maux.html

Le pape, interdiction de prêter avec des intérêts




Le ciseau infernal, dettes à intérêts exponentiels contre chute exponentielle des naissances déjà commencée notamment en Allemagne et en Russie. Si on laisse l'argent faire des petits par les prêts à intérêt et l'autre forme d'usure vorace qu'est la création monétaire du néant, ex nihilo, ceux-ci prennent la place des petits humains et surtout des vocations... la population mondiale, chute rapide, avec le taux de fertilité allemand, européen, et des pays "riches" en ordures et en déchets polluants mais pauvres en enfants...




NdE: le Pape a dit "sans faire des calculs mesquins et sans exiger des intérêts impossibles" , en effet, le système fait des contrats impossibles, donc iniques et nuls, puis que des contrats impossibles sont nuls..., le texte écrit officiel VIS triche en écrivant une maladresse, un mensonge ou une manipulation, ci-après en rouge, le texte anglais écrit justement ...  impossible...) ...
Preuve: la vidéo ci-dessous à 22 minutes, 22 secondes et suivantes notamment...

le Pape a aussi dit : "L'usure est un péché grave..."

... il faut rembourser l'argent volé et rendre les biens "distraits" aux plus faibles immédiatement et urgemment ( vix en latin ) et tout faire pour compenser les vies "détruites" :
Qu’est-ce qu’une indulgence ? Réponse du diocèse de Carcassonne et Cédric Narbonne
Une indulgence plénière est accordée par le Pape en certains temps et en certaines occasions. Loin des abus qui y ont été associés dans le passé, l’indulgence fait pleinement partie de la foi catholique et, les Années Saintes, notamment, donnent l’occasion de l’obtenir. Ce qu’il faut comprendre, c’est que tout péché, même pardonné, entraîne un devoir de réparation de ce qu’il a induit (par exemple, il faut rendre l’argent volé) ; disons brièvement que l’indulgence plénière constitue la remise de la peine due au péché pardonné (toujours selon le même exemple, si, pour telle ou telle raison, il n’est vraiment pas possible de restituer l’argent volé, l’indulgence satisfait à cette réparation de justice). Il faut ajouter que l’indulgence peut être appliquée au profit d’un autre que soi, comme au profit d’un défunt. Dans le cadre de cette Année Sainte, l’indulgence peut être acquise par le pèlerinage vers une Porte Sainte ou une Porte de la Miséricorde. Cette démarche autour de l’indulgence implique donc le Sacrement de la Réconciliation, la célébration de l’Eucharistie, la profession de foi catholique (le Credo) et la prière pour la personne du Pape et pour les intentions qu’il porte en faveur du bien de l’Eglise et de celui du monde entier. De surcroît, chaque fois qu’un fidèle accomplira personnellement, en union avec le Pape et les intentions qu’il porte, une œuvre de miséricorde, corporelle ou spirituelle, il obtiendra pareillement l’indulgence jubilaire. En effet, dans la Constitution apostolique Indulgentiarum doctrina, le bienheureux Paul VI insiste sur l’effet réparateur de l’amour, et précise qu’aucune indulgence ne peut s’obtenir de manière automatique sans la conversion du cœur.


Source lettre diocésaine février 2016, n 110


VIX, immédiatement, at once, sofort, kaum...



Mobilisation générale: épargnes, retraites... volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce... Arnaque de la création monétaire du néant, ex nihilo... Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d'application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, crédits, etc...


http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html


http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html
Le but de certains manipulateurs: réduire massivement la population, c'est un projet de mauvais augure !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georgia_Guidestones

Pour en parler et agir:

La prochaine session d'étude en français sur la Doctrine Sociale de l'Église par l'application du Crédit Social, avec traduction anglaise, espagnole et polonaise, se tiendra du 14 au 24 avril 2016, à la Maison Saint Michel à Rougemont au Canada, suivie du Siège de Jéricho du 25 au 30 avril. Le lundi 1er mai, en avant-midi, la parole sera offerte à tous ceux qui voudront donner leurs impressions et / ou complémenter certains détails de la session d'étude. Un pèlerinage à l'Oratoire Saint Joseph est prévu en après-midi.


Le congrès 2016 des Pèlerins de saint Michel se tiendra les 30, 31 juillet et 1er août 2016.


Vous êtes cordialement invité à participer à la semaine d'étude du Crédit Social en français qui se tiendra du 21 au 29 juillet inclusivement.


Bienvenue à tous!


L'enseignement sera donné par M. Alain Pilote.


Nous prenons en charge, pour le temps passé sur les lieux, l'hébergement et les repas, par contre, les dons sont grandement appréciés.


Thème pour l'année 2016: Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

L' UDC Vaud POUR ou CONTRE le RBI ?

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Oui au RBI, non aux naïfs ou aux manipulateurs rusés...

Magnifique plaidoyer de mon ami Dominique Baettig en faveur du RBI. Je le lirai jeudi soir 14 avril à l'Assemblée des délégués de l'UDC Vaud pour leur vote sur la prise de position du 5 juin POUR ou CONTRE le RBI. J'aurai face à moi Jean-Hugues Busslinger, directeur adjoint du Centre patronal vaudois. Sera-t-il à la hauteur de cet excellent texte? Dominique, seras-tu présent dans la salle pour me soutenir? J'ai droit à un accompagnant, cela pourrait être toi... 
Blaise Rosselat, Genève.

"Le peuple suisse se prononcera en juin sur un projet qui représente un véritable changement en profondeur des mentalités concernant la rémunération de l’emploi et du travail. Le revenu de base inconditionnel irrite autant la droite économique, qui le voit comme un assistanat généralisé plafonnage du salaire, que la gauche des valeurs qui craint de perdre sa clientèle électorale captive avec un nouveau mode de redistribution équitable et non bureaucratique.

Avec le développement des technologies numériques et de la robotique, de nombreux emplois sont et seront supprimés dans un tout proche avenir. Le gain énorme de productivité obtenu par les nouvelles technologies devrait bénéficier encore plus à la population. Dans la réalité de la vie de tous les jours, il n’y aurait plus que 40 % de la population qui touche une rémunération de son travail. 30 % bénéficie d’un revenu de leur famille (enfants, étudiants, mères et pères au foyer), 20 % reçoit une rente (retraités, paiements directs des agriculteurs, rentiers propriétaires et boursiers) et 10 % bénéficie du chômage ou de l’aide sociale. La quatrième révolution industrielle va encore réduire sensiblement le nombre d’emplois « rentables » et augmenter le nombre de chômeurs de longue durée, de recours à l’aide sociale et de rentiers AI pour causes psychiques. Cette révolution ne marquera pas la fin du travail utile, qui donne sens à la vie et identité, crée du lien social permettant indépendance et autonomie. Ceux qui veulent vous faire croire que nous entrons dans une société du temps libre et des loisirs où robots, mécanisation, nouvelles technologies informatiques et migrants travailleront pour eux se trompent lourdement. Le danger est énorme de se faire priver de son autonomie et de sa capacité de travail. Le revenu de base inconditionnel, contrairement à la propagande de ses adversaires, ne signifie pas revenu plafonné ou minimal avec une démotivation à exercer une activité. Il sera garanti à tous ( pas besoin de le justifier ou de le mériter !), comme socle d’existence de base, en différenciant enfants et adultes, résidents citoyens ou non. Seul le minimum décent contre la précarité sera couvert, ce qui laisse toute motivation à travailler pour gagner mieux sa vie. L’idée que toutes les prestations d’assistance comme l’aide sociale, les allocations familiales, les rentes AI pour causes psychosociales, deviendraient caduques mérite d’être évaluée et calculée sérieusement. Il y aura une grande simplification des prestations sociales et la disparition des mesures contre-productives de contrôle et d’incitation à prendre n’importe quel travail libérerait beaucoup d’énergie constructive.

La question du financement ( 25 milliards estime le Conseil Fédéral), complexe, systémique, est bien sûr ouverte: transfert des coûts des assurances et prestations sociales, allocations, subventions, ainsi que le financement des entreprises qui n’auront plus à verser au travailleur une part de salaire correspondant au RBI ( revenu de base inconditionnel). Mais aussi création monétaire, distribution d’une part des bénéfices de la Banque Nationale directement aux citoyens, création d’un fonds souverain, relance de la création d’entreprises grâce à la fonction type micro crédit du revenu de base, taxe sur les transactions électroniques ou les transactions financières. Le plus difficile ne sera pas le financement mais le changement des mentalités. Il faut rappeler qu’une telle transformation (un remaniement en fait) sera surtout bénéfique à la classe moyenne, et que son initiant, Daniel Häni, est un entrepreneur et non un assisté ou un parasite financier. Le plus difficile sera la gestion de la nouvelle liberté, conséquence d’une nouvelle indépendance financière, certes relative. Libérées des contraintes à court terme de la survie, on peut très bien imaginer que des tâches considérées aujourd’hui comme non rentables, dévolues au bénévolat, aux migrants ou à la grande machine occupationnelle sociale soient réinvesties : agriculture manuelle biologique, aide aux proches, possibilité de travail à temps partiel, père au foyer, possibilité de faire des études avec un revenu minimal, création de micro-entreprises innovantes. Le fait que ce revenu soit universel, c’est-à-dire attribué à tous va augmenter la cohésion sociale et éviter les revendications et turbulences liées à l’imposition de limites définissant qui y a droit ou pas. Le changement de paradigme sera que demain, on aura un revenu pour mieux travailler. Les sondages sont clairs, un revenu de base ne dissuadera pas l’immense majorité de travailler par plaisir, par intérêt, par morale. La croissance n’est plus infinie : il faut considérer un nouveau rapport au travail, qui ne sera plus seulement un emploi rémunéré. Entre les deux anciens modèles, la fourmi industrieuse et laborieuse et la cigale dépensière et insouciante, il y aura dorénavant place à l’abeille qui collabore au bien commun de la ruche."

Dominique Baettig, 10 avril 2016, Ancien Conseiller national UDC, militant souverainiste, membre de la plateforme modernocratie

Ceux qui sont contre le RBi, alias dividendes !


« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ».Victor Hugo

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Beaucoup d' exploités nous demandent de l'aide urgemment, aidons-les !...

« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ».

selon Victor Hugo

« ... encore faut-il qu'elle le dise ».

Denis de Rougemont dans son livre...


La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux.  

Nous le disons maintenant, ci-dessous, sinon, on risque une guerre nucléaire atroce...

La Suisse est pour la paix depuis des siècles, inspirons-nous de St Nicolas de Flüe.


Suisses tous volés ?

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Suisses tous volés ?
Trop, c'est trop, stop aux abus rusés !

Suisses, nous sommes le Souverain.
Nous devons battre monnaie pour nous, sinon, nous sommes tous volés de notre réel pouvoir de création monétaire qui nous est encore caché notamment par la BNS et volé par les banques commerciales (sic).

Chaque Suisse a droit à un dividende de la société suisse et de sa création monétaire ( dont les vrais chiffres nous sont encore cachés, sic ), sinon il est volé, ce qui est un crime de Lèse-Majesté, car il est le Souverain.
Si vous votez non, c'est que vous êtes d'accord d'être volé, ce qui est naïf, ou stupide et bête ! 
Seriez-vous d'accord d'être naïf, ou stupide et bête et de voter non  ?
Il en va de la survie de la Suisse et de la paix mondiale !
Nous pouvons tous vivre correctement, sur cette terre, l'abondance est à portée de nos mains. Les capitaux, techniques, savoirs-faire, terres, ressources, air, eaux, soleil etc...
Les robots produisent déjà trop de tout, c'est une nouvelle donne, la robolution !
Ne croyez pas les prophètes de malheur qui règnent par les peurs.
 Parions une Suisse, phare du monde !





« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ».



Victor Hugo

« ... encore faut-il qu'elle le dise ».

Denis de Rougemont dans son livre


La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux



SUISSES- RBI, DIVIDENDES...
UN POUR TOUS, TOUS POUR UN...
Mettez une couverture de survie dorée ou des cd-rom COMME SIGNAL D'ENTRAIDE ET D'UNION partout où c'est possible...



Pour vous, vos familles, vos enfants...
Votez oui au RBI, alias dividende pour tous. Mettez une couverture de survie dorée ou des cd-rom partout où c'est possible, notamment à votre fenêtre en signe de soutien. 
Merci.
Partout où c'est possible, aux voitures ( fenêtres de côté), camions, magasins, vitrines, jardins, fermes, ateliers, arbres, sommets des montagnes, écrivez dessus " OUI au RBI" ou " Ja zum BGE "... etc...
Prenez une photographie en envoyez-la nous à info à familiaplus point com, merci, vous pouvez gagner des prix pour les meilleures idées...

Chaque Suisse a droit à un dividende de la société suisse et de sa création monétaire ( dont les vrais chiffres nous sont encore cachés, sic ), sinon il est volé, ce qui est un crime de Lèse-Majesté, car il est le Souverain.
Si vous votez non, c'est que vous êtes d'accord d'être volé, ce qui est naïf, ou stupide et bête ! 
Seriez-vous d'accord d'être naïf, ou stupide et bête et de voter non  ?
Il en va de la survie de la Suisse et de la paix mondiale !
Nous pouvons tous vivre correctement, sur cette terre, l'abondance est à portée de nos mains. Les capitaux, techniques, savoirs-faire, terres, ressources, air, eaux, soleil etc...
Les robots produisent déjà trop de tout, c'est une nouvelle donne, la robolution !
Ne croyez pas les prophètes de malheur qui règnent par les peurs.
 Parions une Suisse, phare du monde !





« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ».



Victor Hugo



« ... encore faut-il qu'elle le dise ».

Denis de Rougemont dans son livre

La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux






Banques "centrales"&"commerciales", un cartel opaque et obscur de voleurs

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Banques "centrales"& "commerciales", un cartel opaque et obscur de voleurs systématiques, de fausses comptabilités, des combines amorales et immorales. Ils créent des milliers de millards sans payer d'impôts sur ces créations du néant, ex nihilo.


Nous sommes tous volés, systématiquement, et depuis longtemps.

Jusqu’où va la liberté de la BNS de sélectionner les informations d’une part et de refuser des motions d’autres part ?

Suisse

banques
Un nombre grandissant de citoyens suisses en ont marre de la politique  de la BNS en faveur du casino planétaire de la BNS. Cette attitude partiale qui est systématiquement en défaveur de la Suisse et du peuple suisse a atteint des sommets de ras-le-bol.
Une équipe de personnes ayant compris les mécanismes de création monétaire en faveur du lobby bancaire international a décidé d’acheter des actions et de se présenter à l’Assemblée générale du 29 Avril.
« Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale. »
En réalité, cette motion ne fait que demander à la direction générale en charge de faire appliquer le code des obligations dont l’article 686 stipule que:
« la société tient un registre des actions, qui mentionne le nom et l’adresse des propriétaires et des usufruitiers d’actions nominatives. Elle tient ce registre de manière à ce qu’il soit possible d’y accéder en tout temps en Suisse.»
Le collectif AAA+ demande à ce que le procès-verbal de l’Assemblée générale soit effectivement diffusé, sur leur demande, aux actionnaires de la BNS y compris la liste de participation à l’Assemblée générale et les prises de positions des actionnaires de droit publicet que le registre des actionnaires soit consultable par tout actionnaire qui le demande pour l’exercice de ses droits et devoirs explicites d’actionnaire.
L’obligation d’informer!
La BNS a l’obligation légale d’informer. C’est inscrit dans sa mission.
Un petit exemple qui semble anodin à côté de tout le reste a eu lieu il y a quelque temps en 2014. Il s’agissait de la rénovation et transformation des bâtiments de la Banque nationale sur la Place fédérale et au Kaiserhaus..
Ces coûts qui s’élèvent à plusieurs dizaines de millions intéressent le contribuable et le citoyen. Quand la TDG cherche à s’informer: « «La BNS ne donne pas d’information sur les frais de construction», nous fait-elle savoir. Curieux pour une institution publique de ne pas dévoiler son budget travaux. On insiste donc: quelle est l’origine et la justification de cette étonnante pratique du secret? Là encore, la BNS se refuse à tout commentaire. »
La BNS n’a donc que faire de la loi sur la transparence qui dit ceci:
La présente loi vise à promouvoir la transparence quant à la mission, l’organisation et l’activité de l’administration. A cette fin, elle contribue à l’information du public en garantissant l’accès aux documents officiels.
1La présente loi s’applique:
  1. à l’administration fédérale;
  2. aux organismes et personnes de droit public ou de droit privé extérieurs à l’administration fédérale, dans la mesure où ils édictent des actes ou rendent en première instance des décisions au sens de l’art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)1;
  3. aux Services du Parlement.
L’article 2 al b  de la loi sur la transparence devrait concerner la BNS (et Finma d’ailleurs…). Alors?
Eh bien non. La loi sur la transparence se poursuit ainsi:
2 La présente loi ne s’applique pas à la Banque nationale suisse ni à l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers.2
Deux Etats dans l’Etat ont été mis hors de portée de la Confédération.
La BNS fait la pluie et le beau temps en Suisse. Elle s’est octroyée des missions qui dépassent et de loin son mandat. L’exemple le plus frappant et le plus ruineux est celui de l’arrimage du franc suisse à l’euro.
Soutenue par un marché des devises, complice de la stratégie elle s’est réfugiée derrière le « franc fort » pour dilapider la valeur du franc et hypertrophier son bilan. Elle aurait pu et dû défendre l’économie libre. Sa défense du « franc fort » a servi à rebooster la zone euro, ses banques, sa monnaie et en réalité l’économie américaine malmenée en 2011.
Des investissements hasardeux volontairement perdants.
Un autre malaise vient du fait qu’elle est devenue la risée des marchés financiers internationaux tellement elle investit à contre-courant du simple bon sens . Pas besoin de Harvard pour comprendre que les dettes publiques sont vouées à être remises dès que l’opinion publique le permettra.
Ses investissements dans les groupes américains en difficultés (gaz de schiste, Valeant,..) interpellent tout autant.
Une faillite morale
La stratégie mise en place dans le cadre de ses investissements a simplement oublié les mots tels que « éthique » ou « morale ». Un seul exemple suffit à illustrer les propos précédents: la BNS investit dans l’armement nucléaire américain.
En investissant dans le gaz de schiste dont l’exploitation ruine la planète, la BNS transgresse la feuille de route qui lui est confiée.
La motion 7 du collectif AAA+ rappelle aux dirigeants de la BNS son devoir. Il y est dit:
(3A2016-07) : Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
La charte affirme ceci: «la BNS renonce à investir dans des entreprises qui produisent des armes prohibées par la communauté internationale, qui violent massivement des droits humains fondamentaux ou qui causent de manière systématique de graves dommages à l’environnement.»
Le collectif est donc absolument dans son droit quand il demande à la BNS d’appliquer au plus vite ses règles pour tous ses investissements, y compris en se désengageant rapidement mais au plus tard au 31 décembre 2017, des activités nocives interdites par ses règles, et en favorisant au contraire les investissements dans les énergies renouvelables, notamment en Suisse.
Cette motion fait partie des 9 sur 10 qui ont été refusées à des actionnaires! …
A qui appartient le franc suisse?
La question à qui appartient le franc suisse devrait intéresser tout travailleur et épargnant sur sol suisse ou en franc suisse. La propriété, la couverture et la mesure de la valeur de cette monnaie reviennent au peuple qui constitue le pays. Les autorités en tant que représentants du peuple en sont les garants.
Mais voilà, on compte de manière fortement sous-évaluée -parce qu’inconnue-  la masse monétaire créée en franc suisse par la BNS ne dépasse pas le 10% de la masse monétaire globale en franc suisse.
Ce miracle est due au fait que les banques commerciales se sont appropriées la création monétaire basée sur les crédits, appelée monnaie scripturale ou bancaire. Cette monnaie a-légale puisque ne figure pas dans les textes de lois déprécie la vraie valeur du franc suisse et sème la confusion entre la monnaie garantie par la Confédération (monnaie centrale exclusivement) et celle des banques avec une garantie à bien plaire limitée.
Ce faisant l’exclusivité octroyée à la BNS par la Constitution de battre monnaie n’est pas respectée!
Le collectif AAA+ a transmis 2 motions qui ont été refusées elles aussi qui disaient ceci:
  • (3A2016-01) :Pour que la BNS protège efficacement l’appellation « franc suisse » (CHF) !
  • (3A2016-02) :Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale « franc suisse »(CHF).
Une motion complémentaire et légitime est la création de comptes de virement au nom de tout citoyen puisque ce sont les seuls comptes garantis par l’Etat et inclus dans la monnaie centrale.
Motion refusée elle aussi.
Ces motions refusées ne font que demander à la BNS d’appliquer la mission que le souverain lui a confié.
Ces motions pleines de bon sens qui ont été refusées ne font que demander à la BNS de respecter les textes encore en vigueur…
Nous profitons de ce qui précède pour rappeler quatre points déjà analysés sur ce site:
  • La BNS n’investit rien en Suisse. il existe des petits génies dans ce pays qui ont des projets technologiques et énergétiques qui feraient pâlir d’envie les concurrents de la Suisse. Ces projets ne trouvent pas de financement sur le terrain à cause de la politique monétaire de la BNS.
  • La BNS ne traite ni même n’informe au sujet de la déflation – centrale dans sa mission-  qui dure maintenant depuis 2011 (date de l’introduction du taux plancher). Il existe un siphonnage des liquidités mis en place pour servir de manière illimité le casino planétaire. Cette stratégie déflationniste qui casse le pouvoir d’achat du peuple et surtout du pouvoir d’investissement des PME est tout bénéfice pour les financiers qui voient leurs créances prendre de la valeur en même temps que le peuple voit ses revenus baisser.
  • Pourquoi fait-elle des pertes alors que ses sous-traitants que sont Six group et la SECB (Francfort) réalissent de gigantesques chiffres d’affaires avec de potentiels bénéfices qui ne retournent pas dans ses caisses?
  • Et voilà la dernière question à laquelle tôt ou tard, les dirigeants de la BNS devront répondre. Quelle est la source du financement des centaines de milliards d’actifs plutôt pourris? Est-ce comme le disent ses ambassadeurs sorts de nulle part et sont le fruit d’une simple écriture? Ou comme nous l’affirmons sur ce site depuis des années, la BNS utiliserait l’argent du pays, créé par les banques commerciales? Cette hypothèse se valide tous les jours plus au vu des décisions prises par la BNS de restreindre l’accès à la LPP, la limitation du retrait y compris des comptes courants, la déflation qui devient structurel, etc.
La politique monétaire a tout d’une politique morbide pour les suisses frappés d’appauvrissement.
Le collectif AAA+ fait le travail qui aurait dû être mené par les actionnaires « publics » de la BNS. Exigeons un audit complet piloté par les institutions publiques et représentants du peuple. Actuellement Berne ne peut y mettre un orteil. En revanche, les comptes sont certifiés par une entreprise américaine.
Cherchez l’erreur…
Liliane Held-Khawam | 15 avril 2015
Toutes les motions et explications en français  ici  et en allemand 

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Des actionnaires romands attaquent la BNS

Par Jean-Philippe Buchs 
Source: http://www.bilan.ch/bilan/romands-attaquent-bns
C’est la première fois depuis 2006 que l’ordre du jour de la manifestation contient une proposition d’actionnaires. Celle-ci porte sur le droit de consultation du registre des actions, de la liste des participants et du procès-verbal des assemblées générales, ainsi que des prises de position des actionnaires de droit public.«Notre objectif est d’obliger la BNS à faire preuve de davantage de transparence»
«Notre objectif est d’obliger la BNS à faire preuve de davantage de transparence. A notre avis, celle-ci viole le Code des obligations en refusant un accès libre à son registre des actions», explique Blaise Rossellat.
Ce Genevois est un des animateurs du collectif AAA+ (un clin d’œil aux notes attribuées par les agences de notation) qui a été spécialement créé pour tenter d’infléchir la politique de la BNS. Il regroupe «des citoyens indépendants, agissant en dehors de toute influence partisane, mais soucieux du bon fonctionnement de nos institutions et de l’économie suisse.»
Au mois de février, le collectif AAA+ a adressé à Jean Studer, président du conseil de banque, dix propositions qu’il comptait soumettre à l’assemblée générale. En voici trois d’entre elles:
  • «Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.»
  • «Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse».
  • «Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements

Neuf propositions refusées

Le conseil de banque a refusé de soumettre neuf des dix propositions à l’assemblée générale au motif qu’elles ne portent pas «sur le cadre constitutif de la BNS sous l’angle du droit des sociétés».
Comme ces dernières «visent à attribuer de nouvelles tâches à la BNS ou à implémenter de nouveaux concepts de politique monétaire, elles n’entrent pas dans les attributions de l’assemblée générale.»
La proposition figurant à l’ordre du jour est donc la seule qui a été retenue par le conseil de banque. Mais du fait que la BNS ne dispose pas des compétences pour agir dans le sens voulu par les actionnaires, elle a été transformée en une proposition de révision de la loi sur la banque nationale à l’intention de l’Assemblée fédérale.
La décision du conseil de banque choque le collectif AAA+: «Il est incompréhensible et difficilement admissible qu’un organe dont ce n’est pas la compétence se permette d’écarter de l’ordre du jour, neuf de nos propositions, en les déclarant irrecevables.»

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Les Majors Pétrolières attaquées par les Investisseurs

En plus de la baisse des prix du baril et de la chute de leurs revenus, ExxonMobil et Chevron, les deux grandes majors pétrolières américaines, font face à de une pression croissante de leurs actionnaires soucieux de l’impact  de leurs investissements sur les changements climatiques.
Du côté des banques, la Banque Nationale Suisse va devoir faire face à ses actionnaires lors de la prochaine assemblée générale fin avril pour ses investissements douteux dans le schiste et charbon américain.
Les investisseurs font pression sur les majors pétrolières
Une douzaine d’investisseurs ont demandé à ExxonMobil de se soumettre à un « stress test environnemental». Ils appuie leur requête sur les découvertes du procureur de l’Etat de New York, Eric Schneidermann, qui a lancé une enquête sur la stratégie de la major afin de cacher l’impact du pétrole et du gaz sur le climat. Les premiers éléments montrent que dès les années 80, ExxonMobil avait découvert les impacts négatifs sur le climat et avait mis sur pied un plan systématique afin d’affirmer le contraire.
En début d’année, le géant du charbon Peabody avait capitulé face aux preuves découvertes par le procureur Schneidermann et admis la falsification de rapports afin de dénigrer le changement climatique.
La famille Rockefeller qui est à la base de la création du géant ExxonMobil a qualifié sa progéniture de «moralement condamnable» et a abandonné ses dernières actions dans ce qui fut à l’origine Standard Oil.
La fronde vient de grands fonds d’investissement comme le californien Calpers, le fond de pension de l’Etat de New York et de la puissante Church of England. Ils ont demandé qu’Exxon publie une évaluation annuelle sur l’impact financier sur ses réserves pétrolières et l’objectif du maintien du réchauffement à 2 degrés.
Le CEO de ExxonMobil, Rex Tillerson, se refuse pour l’instant à toute inflexion, mais la situation pourrait rapidement évoluer pour celui qui a touché un chèque de 27,3 millions $ en 2015 afin de diriger la major.
Chevron, l’autre géant américain, est également pressé par ses actionnaires est soumis à ces mêmes tests.
En Europe, les boards de Total, Shell, Statoil ou BP ont accepté la proposition de la Churche of England et la proposition avait été acceptée par une large majortié des actionnaires.
La Banque Nationale Suisse prochaine sur la liste
En Suisse la Banque Nationale Suisse a refusé d’accéder à une requête de plus de 20 actionnaires afin de débattre lors de sa prochaine assemblée générale du respect de sa charte éthique et d’abandonner ses investissements dans le charbon, le gaz et le pétrole de schiste américain.
La BNS détient notamment pour 625 millions $ d’actions dans ExxonMobil, 307 millions $ dans Chevron et 5 millions $ dans Peabody. Son porte-feuille d’actions dans les énergies fossiles et de schiste US dépasse les 2 milliards $.
Outre le fait d’avoir perdu plus d’un milliard $, la BNS refuse de mettre un terme à son comportement. Nul doute que le sujet fera des vagues lors de l’assemblée générale du 30 avril.
Les cantons n’ont pas encore fait connaître leurs opinions sur le sujet mais il serait étonnant qu’ils restent insensibles à ce sujet.
Il se pourrait bien que la contagion de désinvestissement atteigne l’UBS et le Crédit Suisse qui soutiennent dans des investissements massifs les énergies polluantes.


Voir également:
Les 10 propositions de décision pour l’Assemblée générale de la BNS du 29 avril 2016 imaginées avec bienveillance dans les Salons du Général Dufour par notre collectif AAA+ d’actionnaires sont des solutions possibles à toutes les crises financières mondiales. La Suisse peut et doit devenir un modèle pour le monde.
  1. Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!
  2. Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
  3. Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
  4. Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
  5. Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
  6. Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
  7. Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
  8. Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
  9. Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
  10. Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.

Conférence : Banque nationale suisse, ce 20 avril 2016 à 21 h 00

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Conférence : Banque nationale suisse

20 avril 2016 à 21 h 00 min - 23 h 55 min

FRANCOIS DE SIEBENTHAL : « BANQUE NATIONALE SUISSE »

La Suisse, qui a sa propre monnaie, son propre système économique, croule sous les mêmes problèmes que tout le reste de l’Europe, qui a choisi sa monnaie unique, l’Euro.
C’est ce que dénonce justement François de Siebenthal, homme politique indépendant, banquier, économiste mais aussi consultant aux entreprises dans les domaines bancaires, financiers, juridiques, d’ouverture de marchés en Suisse, Europe, Asie, Sud Amérique, USA, Canada et dans la région du Pacifique.
En effet, il donne avec l’aide d’une ONG canadienne, les meilleures technologies bancaires suisses aux plus pauvres, soit des banques alternatives qui créent leurs propres masses monétaires sans aucun taux d’intérêt ni usure, avec ou sans ordinateurs, un mélange des systèmes locaux Raiffeisen et de la banque Wir.
Il soutient notamment les initiatives Revenu de Base Inconditionnel et Monnaie Pleine.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/banques-centrales-commerciales-un.html
Pour visiter le blog
Conférence interactive avec le public présent.

Détails

Date :
20 avril 2016
Heure :
21 h 00 min - 23 h 55 min
Événément Category:

Ce revenu de base inconditionnel, RBI ou dividende ne vient pas des impôts ou des salaires mais de la création monétaire actuellement monopolisée par les banques...
Comment faire, urgent !


Prochains événements http://lemumble.com/event/a-reserver-2/

  1. Actualités Union Européenne

    19 avril 2016 à 21 h 00 min -23 h 55 min
  2. Conférence : Banque nationale suisse

    20 avril 2016 à 21 h 00 min -23 h 55 min
  3. Exposé : Laurent Freeman – StopMensonges.com

    22 avril 2016 à 21 h 00 min -23 h 55 min
  4. Actualités Union Européenne

    26 avril 2016 à 21 h 00 min -23 h 55 min
  5. Réservez votre soirée

    28 avril 2016 à 21 h 00 min -23 h 55 min

Notre collectif AAA+ réclame la transparence à la BNS.
Nous pourrons exposer la seule motion non censurée par notre banque nationale parmi les 10 que nous avons écrites, lors de l'AG du 29 avril.
Les 10 motions en question :
1. Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)! [et révèle par là même l'escroquerie de la création monétaire par les banques commerciales]
2. Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
3. Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
4. Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
5. Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
6. Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
7. Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
8. Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
9. Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.

10. Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
http://www.starlac.ch/~starlac//PropositionsBNS-3A2016-FR.pdf
Pierre Mottier Il est évident qu'à la BNS on commence à avoir peur. Non seulement ces demandes sont parfaitement légitimes, mais il est parfaitement illégitime que le conseil de la BNS s'arroge (de arrogant) de sélectionner une seule de ces demandes parmi les dix, la plus bénigne en soi. La réponse par l'ukase, par l'abus de pouvoir, marque nettement une position de déni, qui confine à la dissonance cognitive. C'est une attitude de repli, un réflexe reptilien. La fille du serpent monétaire va devoir ramper sur son ventre, dans la poussière de sa chute, et elle le sait inconsciemment, elle en repousse désespérément l'échéance. Quelle que soit la façon dont la chute se produira, plus elle sera retardée, plus elle sera violente, comme le dit systématiquement Charles Sannat : "Il est déjà trop tard, préparez-vous." Et je rajoute sa traditionnelle citation : « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

REVENU DE BASE INCONDITIONNEL à LAUSANNE !

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VICTOIRE.
ESSAI DU REVENU DE BASE INCONDITIONNEL à LAUSANNE ! 

La Municipalité de Lausanne va étudier la possibilité de la mise sur pied d'un projet-pilote permettant de tester le revenu de base inconditionnel (RBI). Il s'agirait d'une première en Suisse, alors que des expérimentations devraient être prochainement menées ailleurs en Europe.
Le Conseil communal de Lausanne a accepté mardi soir un postulat qui demande à la Municipalité d'étudier la mise sur pied d'un projet-pilote permettant de tester le revenu de base inconditionnel (RBI). Selon ses défenseurs, il permettrait à la Ville de faire office de commune pionnière en matière de politique sociale.
Le projet-pilote concernerait un échantillon de citoyens actuellement au bénéfice du revenu d'insertion. L'objectif est de vérifier l'une des hypothèses du RBI, selon laquelle les bénéficiaires du RBI consacrent leur disponibilité nouvelle à la recherche d'un emploi salarié, dans une activité socialement utile ou entrepreneuriat, écrivent les défenseurs de l'initiative RBI mercredi dans un communiqué.
L'objet a été longuement débattu. Le vote a été très serré, a indiqué la conseillère communale et présidente des Verts lausannois Léonore Porchet, qui a défendu le projet.
Déposé en octobre 2015 par feu le conseiller communal écologiste Laurent Rebeaud, le texte a au final été accepté par 39 oui contre 37 non et 8 abstentions. Non-contraignant, le postulat est désormais sur la table de la Municipalité.
Lausanne va peut-être essayer de voir ce que donne le RBI, ce serait unique au niveau suisse, note Mme Porchet. Des expérimentations devraient être tentées en Europe, à Utrecht aux Pays-Bas et en Finlande, a-t-elle ajouté.
En Suisse, les citoyens sont appelés à se prononcer le 5 juin sur une initiative populaire prévoyant d'obliger la Confédération à instaurer un RBI. Ses auteurs considèrent qu'il n'y a plus assez de travail pour tous et que l'Etat social n'est plus à même de remplir sa tâche. Une allocation universelle constituerait une nouvelle solution.

La question est posée : chaque personne de ce pays doit-elle recevoir un socle financier inconditionnel lui suffisant pour vivre ?

La Suisse  fait avancer le progrès et s'adapte aux nouvelles conditions, aux robots, aux machines, aux ordinateurs et à l'automation.

Le nouvel argent qui sera distribué ne vient pas de taxes ou de salaires, mais sera la manière de distribuer la grande abondance rendue possible par l'automation et par la création de l'argent qui est actuellement réellement "donnée" aux banquiers par milliards, voire plus depuis des siècles ... 

Ces assouplissements quantitatifs doivent être donnés au peuple, pas pour les guerres et les primes pour de plus en plus rares nantis ... La nouvelle société suisse pour une véritable démocratie économique, distribuons enfin les revenus du progrès technique, des ressources naturelles, de l'automatisation de plus en plus efficace, grâce à des robots, des ordinateurs et des machines. 

Une nouvelle société, les animaux sont libres, c'est à notre tour, les êtres humains libres, libérons-nous des chaînes de la servitude. 

L' automatisation profitera à tous. Partageons la productivité massive, un dividende pour tous les peuples suisses, habitants de tous les États de la Confédération suisse, voici enfin une véritable démocratie économique, grâce aux robots, aux ordinateurs et aux machines.

Nous, Suisses, sommes tous des rois, et le premier devoir d'un roi est de contrôler la création monétaire.

Ils trouvent des milliards et des quadrillions pour des guerres stupides, nous préférons investir ces sommes dans la paix.






Ce système permettra à toute communauté de rendre financièrement possible ce qui est physiquement possible vu les progrès techniques et l'automation de plus en plus efficace.
  







Faisons comme les Suisses ! Obligeons les responsables de cette infame UE de Lisbonne (Tombeau de la democratie et paradis pour fonds vautour et autres financiers parasitaires et cupides), a examiner la questiondu Revenu d'Existence ! Signer l'Iinitiative de Citoyens Europeens (ECI) !


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