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Prières communes pour la Paix

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30 ans après Jean-Paul II, le Pape François est à Assise pour prier pour la paix

(RV) La Rencontre interreligieuse d'Assise pour la paix qui s'est ouverte dimanche 18 septembre, s'achève ce mardi 20 septembre, avec la présence du Pape François. Le Saint-Père est arrivé en fin de matinée dans la ville d'Ombrie où l'attendait Mgr Domenico Sorrentino, l'archevêque de l'Assise ainsi que les autorités civiles. Le Pape s'est ensuite rendu au Sacré couvent franciscain de la ville.



http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/09/invitation-au-600eme-anniversaire-de-st.html

Accueilli par le custode du Sacré couvent, le père Gambetti, le Pape a rencontré et gratifié d'une accolade le patriarche de Constantinople Bartholomée, Mgr Justin Welby l'archevêque de Canterbury, le patriarche syro-orthodoxe Ephrem III, ainsi que des responsables musulman, juif et bouddhiste. Parmi eux, le vice-président de l'Université d'Al-Azhar, le grand rabbin de Rome et le fondateur de la communauté de San't Egidio.
Après un salut à tous les participants puis un déjeuner en compagnie douze victimes de guerre recueillies par la communauté de San't Egidio, le Pape s'entretiendra en privé avec plusieurs responsables religieux puis participera, à 16 heures, à une prière œcuménique dans la basilique inférieure Saint François. La journée s'achèvera vers 18h 30 après une grande rencontre avec tous les invités à Assise, au cours de laquelle le Pape prononcera un discours. Une rencontre au cours de laquelle plusieurs responsables religieux, de toutes les confessions, prendront également la parole. Un appel à la paix sera enfin signé par le Saint-Père et tous les leaders religieux présents.
Une rencontre à suivre en direct avec commentaires en français sur notre canal Youtube:

François de Siebenthal: 600ème anniversaire de Nicolas-de-Flüe & la ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/04/600eme-anniversaire-de-nicolas-de-flue.html
24 avr. 2016 - De nombreux milieux attribuent à Frère Nicolas-de-Flüe les privilèges qu'a connus la Suisse d'être épargnée des horreurs des deux guerres ...

François de Siebenthal: Saint Nicolas de Flüe, patron de la paix ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/saint-nicolas-de-flue-patron-de-la-paix.html
21 mars 2016 - Saint Nicolas de Flüe, en allemand : Niklaus von Flüe, né 1417 et mort le 21 mars 1487 à Sachseln est un ascète suisse qui est le saint patron ...

Texte Flue

www.de-siebenthal.com/texte_n._de_fue.htm
D'après le livre Saint Nicolas de Flue de Charles Journet (Fribourg 1966), le saint ... On peut remarquer ici que Nicolas est favorisé d'une vision directe des trois Trois Personnes de la Trinité, tout comme Abraham (Gen. ..... Jean de Siebenthal.

Nicolas de Flue — Wikipédia

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_de_Flue
Saint Nicolas de Flüe, en allemand : Niklaus von Flüe, né 1417 et mort le 21 mars 1487 à Sachseln est un ascète suisse qui est le saint patron de la Suisse.
Saint patron‎: ‎Suisse; ‎Garde suisse pontificale‎; ...
Canonisation‎: ‎1947 Rome; par Pie XII
Fête‎: ‎25 septembre‎ (Suisse et Allemagne); ‎21 ...
Décès‎: ‎21 mars 1487 (69 ans); ‎Sachseln




Agenda MONNAIE PLEINE

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La banque Wells Fargo qui escroque ses clients

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L’hallucinant scandale de la banque Wells Fargo qui escroque ses clients, vire 5000 employés mais garde ses directeurs!!


https://www.facebook.com/CSPAN/videos/10154783268610579/


Amis banquiers d’en bas, je me souviens encore de vos paroles lorsqu’il y a quelques années j’annonçais mon départ à mes collègues qui unanimes, ont tous eu ce commentaire remarquable « mais tu n’as pas peur? » « que vas-tu devenir? » …

Le problème est double. Tout d’abord je peux vous assurer qu’il existe une vie après la banque, et qu’aucun travail ne mérite d’en arriver à faire n’importe quoi pour le « préserver », sans compter que vous êtes désormais juridiquement personnellement responsable de chacun de vos actes (pensez à demander des ordres écrits…)

Bref c’est un scandale absolument hallucinant qui secoue la vénérable banque US Wells Fargo puisque en gros, les banquiers d’agence par milliers (2 millions de comptes bidons) ouvraient des faux comptes aux clients, qu’ils mettaient à découvert pour percevoir des frais et autre commissions.

Plus de 5000 employés de Wells Fargo ont été licenciés à la suite d’un scandale Mais tout va bien pour le directeur général et les autres cadres supérieurs!!

Et le plus fou dans l’histoire, c’est que si presque 5 400 chargés de clientèles ont perdu leur travail pour « fraude », une fraude imposée par la direction, la direction elle est indemne et toujours aucune tête n’est tombée car si le banquier d’en bas est sacrifiable, pour celui d’en haut c’est une autre paire de manches!

Un Pédégé payé plus de 19 millions de dollars

pour voler ses clients et faire payer ses collaborateurs

et protégé par le système…

John Stumpf le PDG à la tête de cette immense escroquerie en bande organisée à touché 19,3 millions $ en salaires et primes diverses en 2015

Il est toujours à la tête de cet établissement qui compte 5 300 lampistes en moins.

Il est tout de même assez remarquable que nos grands mamamouchis ne comprennent pas, ou ne puissent pas envisager qu’à force de se tenir aussi mal, d’avoir aussi peu de retenue ou de morale, il arrivera ce qu’il arrive à chaque fois dans l’histoire de l’humanité. Les esclaves, le peuple, la populace, les sans-dent même comme le dit avec condescendance notre goinfrausore élyséen, se révolteront et couperont les têtes de ces abrutis qui se fichent ostensiblement de la nôtre.


Résistances


La prochaine session gratuite de formation au crédit social et à la doctrine sociale de l' Eglise aura lieu à Rougemont au Canada en français avec traduction instantanée en anglais, espagnol et polonais, du 27 avril au 7 mai 2017, suivie de notre Jéricho
à Rougemont au Canada
 , une semaine d'adoration du 8 au 14 mai 2017.

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Session d’étude en anglais & traduction en espagnol

15 juillet au 21 juillet à Rougemont au Canada 2017

19 juillet : pèlerinage

22 juillet : apostolat

23 juillet : 4è dimanche

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Session d’étude en  francais à Rougemont au Canada

21 septembre au 28 septembre 2017

24 septembre- pèlerinage

29 septembre : apostolat

Congrès à Rougemont au Canada

30 septembre 1er & 2 octobre 2017

You are invited & you can stay 2 or 3 weeks http://desiebenthal.blogspot.ca/2016/08/forum-from-jakarta-to-montreal.html


Avec mes meilleurs salutations
Distinti saluti
Kind regards, yours sincerely

Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE

Tél: international ++ 41 21 616 88 88

Mobilisation générale: épargnes, retraites...  volées légalement ! 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html

Thème pour l'année 2016: Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

Valls & le revenu universel

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Manuel Valls est comme tant d'autres, un très fin observateur des girouettes relativement à l'agenda politique et électoral pour savoir dans quelle direction va le vent, et pour combien de temps estimé... Il est un cas de plus qu'il faut prendre au mot. Il sera amplement pardonnable s'il passe aux actes et sans lâcher le morceaux. Sinon, s'il pense sauver la suite de sa carrière et ses chances aux prochaines élections... autant débarrasser le plancher. Avant lui, Jean Marc Heyrault, alors ministre de l'économie, avait été quelques jours en Suisse pour s'"inspirer" des méthodes monétaires suisses. Mais il devint ministre des affaires étrangères auxiliaire de l'OTAN donc des États-Unis, en poste dans un pays qui s'appelle France... Tous ces hommes, hyper "intelligents" et "géniaux", sont écartelés entre leur égo et l'image qu'ils s'ingénient à donner d'abnégation et d'altruisme... 
Salvador Dali avait déclaré en parlant de lui-même : "Attention de jouer au génie! Parce qu'on risque de le devenir"... Mais Dali était un grand créateur, admiré ou réprouvé. Il ne laissait que peu de monde indifférent et n'était sensible qu'à l'admiration ou à la répulsion, le milieu lui faisait horreur. D'ailleurs, Dali disait qu'à la rigueur, un crétin dur, on pouvait lui pardonner, tandis qu'il n'y a rien de pire qu'un crétin mou!! ... Voilà où nous en sommes...
Quand la politique sera complètement considérée comme un Art et non plus comme le nec plus ultra de notre égo et bien un pas gigantesque aura été franchi.

Renaud

Manuel Valls veut un «débat» sur le revenu universel

Par  —  (mis à jour à )




Dans une tribune sur Facebook, le Premier ministre confirme la simplification des minima sociaux, dénonce le discours de la droite sur les «assistés» et se prononce pour «une allocation unique, ouverte à tous, à partir de 18 ans».

C’est un membre du gouvernement qui prévenait la semaine dernière :«Vous verrez, on va très vite reparler de lutte contre la pauvreté». Voilà donc Manuel Valls qui remet sur le devant de la scène politique le débat sur la refonte des minima sociaux. Avec une «nouvelle piste», à mettre en «débat» : un «revenu universel, c’est-à-dire une allocation unique, ouverte à tous, à partir de 18 ans». Dans une tribune publiée mercredi matin sur Facebook, le Premier ministre s’inspire ainsi des propositions contenues dans le rapport Sirugue et réceptionné à Matignon mi-avril. A cette époque, le député de Saône-et-Loire - devenu depuis secrétaire d’Etat à l’Industrie - avançait une refonte totale des minima sociaux : une «couverture-socle commune»de 400 euros, pour toutes les personnes âgées de 18 ans et plus en situation d’insertion financée par l’Etat, et un «complément de soutien», payé par l’Etat pour les 65 ans et plus, pour les personnes en situation d’invalidité ou en incapacité de travailler.
Valls compte-t-il aller plus loin? A Matignon, on précise que le Premier ministre «n’est pas dans la version libérale du revenu universel qui se substituerait à la protection sociale»«On n’a pas basculé de l’autre côté de la force», plaisante un de ses conseillers. «Le gouvernement engagera un dialogue avec tous les acteurs pour construire une réponse souple, plus simple et donc plus efficace, qui prenne en compte les situations individuelles», insiste Valls dans sa tribune sans pour autant livrer des éléments de calendrier. Depuis mai, Matignon précise que ce chantier - qui coûte très cher - ne pourra se faire avant la fin du quinquennat. «La conviction du Premier ministre est que ce débat sera un des grands débats de la présidentielle, ajoute son entourage. Il traverse tous les partis. Il veut animer un vrai débat politique avec les acteurs qui sont engagés sur le sujet». A gauche, par exemple, Benoît Hamon en a fait un sujet de sa campagne pour la primaire. A droite, c’est, entre-autres, Frédéric Lefebvre qui porte cette question dans sa version libérale. Seule certitude : «Il faut quelque chose de souple, de garanti, qu’on puisse toucher à partir de 18 ans», dit-on à Matignon.

«Assistés» : une «injure» à la République

Dans cette tribune, le Premier ministre s’en prend également au discours sur «l’assistanat» et les «assistés», régulièrement porté à droite. «Je n’accepte pas que l’on traite "d’assistés" plus de 8 millions de nos compatriotes – jeunes qui cherchent un emploi, salariés modestes ou en formation, retraités avec des petites pensions», écrit-il. «Je n’accepte pas que l’on pointe du doigt les plus faibles, car c’est faire injure à des femmes, des hommes, des enfants pour qui la vie est dure. C’est faire injure, aussi, à notre République, en l’amputant d’une valeur essentielle : la solidarité», souligne Valls. 
Ce texte est surtout l’occasion, pour Valls, de sortir des thématiques identitaires qui ont marqué sa rentrée pour revenir sur le social et défendre le bilan de son gouvernement en matière de lutte contre la pauvreté et la précarité : «généralisation» de la garantie jeunes, simplification de l’accès aux minima sociaux (portail numérique, échange d’information entre les administrations, meilleurs calculs), prime d’activité simplifiée, pas de réexamen durant 20 ans de la situation des personnes souffrant d’un handicap lourd, «relance» des politiques d’insertion… De quoi, alors que la droite se lance dans sa primaire et qu’une partie de la gauche juge le bilan social du gouvernement trop faible, mettre sur la table ce qui a été fait. Pour en débattre.
Lilian Alemagna

Nuclear infertility

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Nuclear infertility due to radioactive contamination:

Foutu sperme ou la débandade de la grandeur.

En 16 années de 1989 à 2005 des chercheurs français ont noté une diminution nette de 34,6% du nombre de spermatozoïdes qui ont chuté de 76,3 millions à 49,9 millions par cm3. Ceci implique une chute exponentielle moyenne de -Ln(1-34,60%)/16 ans = 2,65% par an. Si cette dégénérescence se maintient à ce taux de 2,65% de dépérissement par an sans s'aggraver, le seuil critique de fertilité situé autour de 40 millions de spermatozoïdes par cm3  sera atteint vers 2013. (Ln(4,99E7/4,00E7)/Ln(1+0,0265) ≈ 8 ans.) L'infertilité, effective autour de 20 millions de spermatozoïdes par cm3, est quant à elle prévisible vers 2040. (Ln(4,99E7/2,00E7)/Ln(1+0,0265) ≈ 35 ans.) Les hommes ont en 2012 déjà probablement égaré 1-(EXP((2012-1989)*-2,65%)) ≈ 45,7% du potentiel fertile qu'ils avaient en 1989.  On peut en outre noter que le taux de spermatozoïdes  par cm3 en France en 2005 (49,9 millions) était inférieur au taux relevé enIsrael en 2008 (67 millions).   Sans surprise la France entre de plein droit dans la catégorie des superpuissances en voie de disparition génétique.  

http://aipri.blogspot.it/2012/12/foutu-sperme-ou-la-debandade-de-la.html

La BNS dans les tourbillons ...

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Mercredi 21 septembre 2016 à 12h
à la Maison du Général Dufour, 9A route de Contamines

avec
Jean ZWAHLEN
ancien ambassadeur
ancien membre du directoire de la BNS et Special Advisor for Asia for UBP

qui nous entretiendra de

«  La BNS dans les tourbillons des crises financières »


Chicago plan, social credit, sovereign money and basic income

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Who understands really that all money circulating is done and destroyed only by commercial banks at compound interest ? 

0,0001 % of the people !


This article by IMF researchers is worth reading in the context of Social Credit, I think. I found section on the history of money to be quite interesting. The Swiss Vollgeld Initiative, which was mentioned earlier in conversations of the Group, draws on this plan, developed during the Great Depression largely by Henry Simon of the University of Chicago and Irving Fisher of Yale. It seeks to address some of the same problems on which Maj. Douglas focused, but not the distributional elements which are so important in Social Credit. However, in light of the fact that the developers of this Plan are revered figures in the history of economics, and that advocates can point to IMF analysis testing each of the major propositions, and that the Swiss may actually implement it, it has a lot going for it. Can anyone point to similar analysis and testing of the Social Credit program? What are the "facts-on-the-ground" and what have they been historically? Is there any serious and credible effort underway anywhere, in any jurisdiction, to implement Social Credit (as the Vollgeld initiative is doing in Switzerland for The Chicago Plan)? Can we honestly say that across the globe, initiatives targeting the current financial system are strong and gaining ground? Where and how? The devil (and everything else) is in the details.

https://www.imf.org/external/pubs/ft/wp/2012/wp12202.pdf

Experiments:




There have been many proposals for “monetary reform” especially in response to adverse economic conditions. They usually have advocated especially returning or establishing money creation by the State, 100% money and stable prices, etc., none of which are Social Credit objectives which include the decentralization of credit-power and falling prices to realistically reflect real increases in efficiency, et. As you have observed, none of these various experiments were concerned with the problem of distribution as technology replaces human effort as a factor of production. They were and remain today primarily concerned with exchange rather than distribution. There was an experiment in Austria during the inter-War period with the “Notgeld”. State credit was used to subsidize consumer prices and apparently during this period Austria was the most prosperous of all nations. However, the Austrian National Bank intervened and stopped the experiment, upon which the national economy was thrown into economic depression. The “wara” experiment in Bavaria had also been terminated by action of the Reichsbank. Money or credit is the “commodity” sold by the banking industry and their inclination is to make it scarce to enhance its value. Predictably, the recent Swiss referendum on a guaranteed income was soundly defeated because it was to be tax-funded.

Sincerely
Wally

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/09/why-swiss-national-bank.html

François de Siebenthal: Launch of the Sovereign Money Initiative in ...

desiebenthal.blogspot.com/2014/06/launch-of-sovereign-money-initiative-in.html
4 juin 2014 - At that time we decided to start a sovereign money (Vollgeld) initiative in Switzerland. As a citizen of a country with its own currency and the ...

François de Siebenthal: “Sovereign money”, alias Monnaie-pleine in ...

desiebenthal.blogspot.com/.../sovereign-money-alias-monnaie-plei...
Traduire cette page
13 sept. 2016 - Monnaie-pleine, alias “sovereign money” à Chicago. Confirmed Speakers: Joseph Huber is the key monetary reformer of Germany. Founder of ...

François de Siebenthal: Banksters, give it back

desiebenthal.blogspot.ch/2016/01/banksters-give-it-back.html?m...
Traduire cette page
29 janv. 2016 - The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of people would like, and is also what the majority of people think we ...

François de Siebenthal: The money masters, by Bill Still

desiebenthal.blogspot.ch/.../the-money-masters-by-bill-still.html?m...
Traduire cette page
9 avr. 2016 - The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of people would like, and is also what the majority of people think we ...

Give it back! Englisch Medien Klagemauer TV - YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=esH0fWbMHKI
29 janv. 2016 - Ajouté par François de Siebenthal
François de Siebenthal ... The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of ... Please ...

2009/01/socialcredit-stop-or-set-aside-by-eric.html

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http://www.marketoracle.co.uk/images/US_Dollar-fiat-currency.jpg
http://www.michaeljournal.org/usdebtchart.jpg

Total of US debts in 2008, more than 100 trillions...

Dear Larry,

You wrote:

"...Many people who strive for Christian justice in many areas , such as protecting the unborn like myself, and have been highly discriminated against in our jobs and income, and so often, we too have only the grace of God to depend on for our daily income. "
...
This is the good and hard way, but please, see and spread the whole truth, even in the economics.

We can all be generous if the system is just. Better a small light than darkness...






$$$$$$$$$ and inflation or deflation coming...

Social credit lifeboats, free local systems are much better than a centralized sinking $ystem...



The big $hip is $inking, learn how to create local systems lifeboats now.
How to do ?


--

Interview with Francois de Siebenthal, July 2008, by Yves et Marie-Anne Jacques

YJ:
Francois, You are a banker from Switzerland, trained as a professional banker and economist, is that correct?

FS:
Yes.

YJ:
And you've been an economist for how many years?

FS:
For more than twenty-five years.

YJ:
Some textbooks and other sources mislead the people saying that banks lend from the depositors savings. Can you tell us the truth of how this really happens?
FS:
The truth is that credit makes deposits, and not the other way around. This means that for example, more than 90% of the money in circulation was created out of thin air. We can estimate that 99,99 % of the US dollar is created out of nothing. We call that Fiat Money, Ex Nihilo. The problem is that on the whole, they have been using the credit system to sustain the growth of the United States, to conserve the American economy at the cost of the poor of the whole world and even from USA.
Recently the financiers even used the real estate market of the United States to uphold the credit industry. They have created massive amounts of credit (Ex Nihilo from thin air) as loans for real estate, and then sold the American mortgages to investors such as Fanny Mae and Freddie Mac at huge profits. They then used the massive import of funds and savings from all over the world to tell the American people that the value of the American industry is rising all the time. But now we have reached a limit in credibility and it (the American dollar) is starting a downslide. It has lost 60% of its value already since the beginning of the Iraq war. The entire system is a lie, and it is causing a massive lack of confidence, and of faith…

When credit is created just to sustain the virtual growth of the economy, there are various ways to get out of it. One of them would be to create a general war with millions of victims, or a bloody revolution, or even a credit crunch such as Japan experienced with its liquidity trap and massive depopulation, or then again, a general collapse of the economy such as in1929.

YJ:
So this is their solution?

FS:
Yes, from my point of view the International bankers are planning new wars and revolutions. I think that the best solution would be to do as the poor people of the US did in 1929; establish local banks with 6,000 local currency systems. We can improve all those local systems and coordinate them, like a franchising chain of free and open local banks sharing the same values and open to all people of good will.
You can find such a proposition at www.pavie.ch with all the details on how to function as it already does in some poor countries.
 The dollar will collapse for sure, and you need to persuade everyone to start local systems, improved LETS (Local exchange systems) with dividends and compensated discounts ( see "social credit" on internet). In fact, the dollar is collapsing faster now; its value is going down all the time. For instance, when I began in the banking business the dollar was nearly four Swiss francs to one dollar. Now it is one Swiss franc to one dollar. So it is, in fact, a massive inflation. If a Swiss, for example, wants to buy a Chevrolet, he must convert it to cheese, watches, machinery and other goods. If an American wants to buy a Swiss watch, he pays in dollars. And what is a dollar? It is a piece of paper on which is printed, "One dollar: in God we trust" or just some bits in computers.

YJ:
Do you think that the reason they want the US dollar to collapse in the United States is because they want to change the dollar for the Amero?

FS:
Yes. What they are doing is the same as they did in 1929. The banks print and open more credits to buy more assets very cheap, that way they control most of the people and you can do nothing without their consent. The Patriot Act is a method to dictatorship. They suddenly want to change all notes and put RFID devices in all the currency.

YJ:
What do you think of people who say we should exchange US dollars to Euros or Japanese Yens?
 FS:
If the dollar is collapsing and the same people are behind the Euro or the Yen, it will come to the same conclusion. Let's speak about the Japanese Yen. In Japan there is a big, big problem with the population. One third of the Japanese population will disappear before 2050, It is already beginning. There will be a massive depreciation in the real estate markets and this will create a huge crisis, even bigger than the United States, because the Japanese will not allow immigration. The only solution I can foresee for the Japanese is a massive drop in the price of properties. Already I have information from Japan that they are pushing to establish euthanasia. You know the situation is nearly a war, a war against the weakest in society. They are buying a lot of robots to cope with this trend. The real truth is that they want a massive reduction in the population; by the billions…
Julian Simon said in his book " the ultimate Resource 1" that he was paid by those people to prove that Earth was overpopulated, but he wrote books and articles proving exactly the opposite.
The Ultimate Resource (now The Ultimate Resource 2) and Population Matters discuss trends in the United States and the world with respect to resources, environment, and population and the interactions between them. Simon concludes that there is no reason why material life on earth should not continue to improve, and that increasing population contributes to that improvement in the long run. Those popularly-written books develop ideas positive and foresaw the falling natural resource prices, increased world oil supply, and decline in farmland prices. His view of population economics is unique and persuasive. Discussion covers resources, environment, population growth and his analytical methods.
As said on Amazon, Julian L. Simon is the world's greatest contrarian's. The Ultimate Resource 2--an update, not a sequel, despite the title--skewers the sacred cows of environmentalism, population control, and Paul Ehrlich. In the contest between resource scarcity and human ingenuity, Simon bets the farm on the ability of intelligent people to overcome their problems. Thankfully, he is not a theorist. This book lays out convincing empirical evidence for Simon's prediction of a prosperous future. The key to progress is not state-run conservation programs, he says, but economic and political freedom. Only then can talented minds properly apply themselves to our earthly dilemmas.
To read this book, see this link.
http://www.juliansimon.com/writings/Ultimate_Resource/
He wrote in his book "Population's matters" how he was ostracized by the "rulers" of the new world disorder.
Play list for all Julian L. Simon 's videos. http://www.youtube.com/view_play_list?p=DDAF5AC211C1A0AE List of all videos http://www.youtube.com/watch?v=uLQoa_FA_zo http://www.youtube.com/watch?v=xSQw4X5ET-o http://www.youtube.com/watch?v=GKrmtxTclfo http://www.youtube.com/watch?v=Zn6zo8MOuwQ http://www.youtube.com/watch?v=M7P6QLQiSBI http://www.youtube.com/watch?v=jLdNMzcgTaY
www.ideachannel.com for more «
The members of those Clubs hate poor peoples. Most of these wealthy "New World Order people" are racist, in fact racists of the worst kind. They condition people to believe that our Earth is overpopulated. The poor are corralled like cattle into big cities such as Mexico, to control them and to prove they are right. But in fact, the rest of the Earth is empty. The world is huge and we can feed more people. Ramses of Egypt had this way of thinking and he killed all the male Jews. Now we have "white" bankers living in New York, London and Paris doing the same well-paid job; killing millions or even billions of aborted-children by (financial soft Gulags) to earn billions of dollars.
You should also all see the film: " Freedom to Fascism" from the Filmmaker Aaron Russo who has exposed his first-hand knowledge of the elite global agenda during a video interview and live on Alex Jones' nationally-syndicated radio show.
Nick Rockefeller told Russo about the plan to microchip the population, ( see Bilderberg and micro-chip on internet) warned him about 'an event that would allow us to invade Afghanistan and Iraq' some eleven months before 9/11 and foretold the fact that the 'War on Terror' would be a hoax wherein soldiers would be looking in caves for non-existent enemies. Rockefeller also tried to recruit Aaron Russo to the Council on Foreign Relations during the tenure of their friendship. Now, a picture send by the Russo family verifies that friendship and strengthens evidence of the global agenda which Rockefeller related to the filmmaker so frankly during their private conversations. Russo goes in-depth for first time on the astounding admissions of Nick Rockefeller, including his prediction of 9/11 and the war on terror hoax, the Rockefeller's creation of women's lib, and the elite's ultimate plan for world population reduction and a micro-chipped society Aaron Russo joins Alex Jones for a fascinating sit-down in depth video interview on a plethora of important subjects. In the full interview, available on Google Video, Aaron begins by describing how the draconian and mafia tactics of Chicago police woke him up to the fact that America wasn't free after his nightclub was routinely raided and he was forced to pay protection money. Aaron and Alex then cover a broad range of topics including the private run for profit federal reserve, Aaron's experience in the late 80's with the IRS when they retroactively passed laws to punish silver and gold traders, the real meaning of the word "democracy," what really happened on 9/11 and Aaron's relationship with Nick Rockefeller, who personally tried to recruit him on behalf of the CFR. Aaron also relates how Rockefeller told him that the elite created women's liberation to destroy the family and how they want to ultimately microchip and control the entire population. Rockefeller also told Russo, before 9/11, that an unexpected "event" would catalyze the U.S. to invade Afghanistan and Iraq. After you watch this, please check out the full 69-minute interview. Here's the link: http://video.google.co.uk/videoplay?docid=5420753830426590918
Plus most lies about the CO2 pollution, see: http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758
YJ:
Can you explain to us briefly, how money is created today and how it should be created? Then maybe we can speak about interest.

FS:
In the United States most of the money as credit bearing interest is created by the Federal Reserve Board and other private banks. The Federal Reserve is about as Federal as the Federal Express. That means that it is a private company owned by a few people. I have a list of about 12 families who are the shareholders that own the Federal Reserve. These people are using this private business for their own personal gain to generate private profits of trillions ( sic, trillions)  of dollars if you add all amounts generated every year since Christmas 1913, sums hidden in various foundations and trusts in tax heaven "paradises". Wars are more "profitable" for them ), and not for the benefit of the American people. And on the credit base, which is called let's say M zero, you have a massive creation of money, and this credit is based on nothing. Alan Greenspan said that they create the money out of thin air. You have the statistics published by the Federal Reserve board. But those figures of M3 have been kept secret since 2006. We don't know how much the Federal Reserve, which is a private company, is allowing and emitting credit to the other banks or other financial vehicles.
  
A few months before his assassination, President John F. Kennedy was summoned by his father Joseph to the lobby of the White House. He said to him, "If you do this, they will kill you!" But the President did not deter. On June 4, 1963, he signed the Executive Order number 111 110, repealing the Act and Executive Order number 10,289, calling the production of banknotes into the hands of the state and depriving the cartel of private banks a large part of their power. After $4 billion in U.S. dollars in small denominations called "United States Notes" had already been put into circulation, and while the state was preparing to deliver larger cuts, Kennedy was assassinated on November 22, 1963. This happened 100 years after Lincoln, who had created debt free "Greenback" notes for the United States as well, was murdered by a sniper. Kennedy's successor Lyndon B. Johnson suspended the printing of the notes for an inexplicable reason. The twelve Federal Reserve banks withdrew the Kennedy banknotes immediately from circulation and exchanged them with their own acknowledgments of debt. A few of those notes are still in the hand of Imelda's Marcos because her husband was trying too to escape the system.

And now, with the sub-prime crisis, they are printing millions or trillions of dollars but we don't know exactly where the money is going, or they are going to sustain banks that are in bankruptcy. Crooks are sustaining crooks. And of course, all of this money is created with an interest rate. This interest rate is imposed on the American population mainly through taxes, on the backs of the poor. (See the LTCM 3 Trillion dollar scandal under Clinton and many others). The poor all over the world cannot eat; they are starving. And the worse problem that babies are not even allowed to live!
Their goal is to have fewer people that are more easily controlled with laws more and more stupid, such as Monsanto, which patented pigs or plants and ruin farmers to push up prices of food by making believe that they want good of humanity...
See some of Ron's Paul arguments
http://video.google.com/videoplay?docid=9109517933122868133&q=&hl=fr

The more than one trillion dollars in default, created out of nothing, now as 99,999% of all currency is currently in circulation (SIC).
There is the danger of inflation denounced by Irving Fisher who already complained in 1933 that the issuing of currency belongs to a multitude of irresponsible private agents.

The Fed began with approximately 300 people or banks that became owners (stockholders purchasing stock at $100 per share - the stock is not publicly traded) in the Federal Reserve banking system. They make up an international banking cartel of wealth without comparison. The Fed collects billions of dollars in interest annually and distributes the profits to its shareholders. The Congress illegally gave the Fed the right to print money (through the Treasury) at no interest to the Fed. The Fed creates money from nothing, and loans it back to us through banks, and charges interest on our currency. The Fed also buys Government debt with money printed on a printing press and charges U.S. taxpayer's interest. Many Congressmen and Presidents have said that this is fraud.

McFadden , Chairman of the House Committee on Banking and Currency from 1920–31, accused the Federal Reserve of deliberately causing the Great Depression. In several speeches made shortly after he lost the chairmanship of the committee, McFadden claimed that the Federal Reserve was run by Wall Street banks and their affiliated European banking houses.

McFadden said:

    Mr. Chairman, we have in this country one of the most corrupt institutions the world has ever known. I refer to the Federal Reserve Board and the Federal Reserve Banks. The Federal Reserve Board, a Government board, has cheated the Government of the United States and the people of the United States out of enough money to pay the national debt. These twelve private credit monopolies were deceitfully and disloyally foisted upon this country by the bankers who came here from Europe and repaid us for our hospitality by undermining our American institutions...The people have a valid claim against the Federal Reserve Board and the Federal Reserve banks.

http://www.afn.org/~govern/mcfadden_speech_1932.html

McFadden was killed, as Kennedy, as Lincoln, as many opponents in history to all those usurious systems.

"Quid prodest scelus, is fecit"
"The one who takes profit from the crime has done it"

Those who have taken huge benefits ( trillions of $) from the crimes have done them or paid the hit mans who have done those assassinations, a word coming from Hashish, The Hashshashin or also Hashishin, Hashashiyyin, Hashasheen or Assassins, a copy of the sicarii, or the true terrorists.

Kennedy was against those secret societies acting in the US government.

"The presidential office has been used to establish a conspiracy to destroy the freedom of the American people, and before leaving this office, I must inform the citizens of this critical condition."

Kennedy just 10 days before he was killed. University of Columbia, 12th Nov. 1963.
  
JFK SPEACH ON SECRET SOCIETIES ( Illuminati)
John F. Kennedy Speech. 01:35
http://www.youtube.com/watch?v=zlghYpDx0f4

The same who paid to make disappear the most destroyed text in history, the encyclical "Vix pervenit", the text stating what are good and bad contracts in business.
http://www.ewtn.com/library/ENCYC/B14VIXPE.htm
http://en.wikipedia.org/wiki/Vix_Pervenit

Who actually owns the Federal Reserve Central Banks? The true ownership of the 12 Central banks, a very well kept secret, has been partially revealed. This is the list of some names:

Rothschild Bank of London
Warburg Bank of Hamburg
Rothschild Bank of Berlin
Lehman Brothers of New York
Lazard Brothers of Paris
Kuhn Loeb Bank of New York
Israel Moses Seif Banks of Italy
Goldman, Sachs of New York
Warburg Bank of Amsterdam and
Chase Manhattan Bank of New York

These bankers are all connected to London Banking Houses in the totally free City which ultimately control the Fed. When England lost the Revolutionary War with America (our forefathers were fighting their own government), they planned to control us by controlling our banking system, the printing of our money, and our debt.

The individuals listed below owned banks which in turn owned shares in the FED. The banks listed below have significant control over the New York FED District, which controls the other 11 FED Districts. These banks also are partly foreign owned and control the New York FED District Bank.

First National Bank of New York, James Stillman
National City Bank, New York, Mary W. Harnman

National Bank of Commerce, New York, A.D. Jiullard

Hanover National Bank, New York, Jacob Schiff

Chase National Bank, New York, Thomas F. Ryan, Paul Warburg, William Rockefeller, Levi P. Morton, M.T. Pyne, George F. Baker, Percy Pyne, Mrs. G.F. St. George, J.W. Sterling, Katherine St. George,  H.P. Davidson, J.P. Morgan (Equitable Life/Mutual Life), Edith Brevour, and T. Baker
 ( source: http://www.rense.com/ufo2/fedrez.htm )

YJ:
Well, I think this interview will help the people to understand a bit more the system and what is happening today.

FS:
It is better to fight now, and create a credit club or a local system with coupons free of interests, as we wrote about in the "Michael Journal" the example of Madagascar and the Philippines, than to take your gun and fight in a new war!
Please, see http://www.michaeljournal.org/localmoney.htm

YJ:
The truth is blinding and people don't see it. They want to see a very complicated system, but in fact the solution is very simple.

FS:
During the Great Depression in the 30's the citizens started 6000 local systems, local credits all over the United States. Tell people to study the history of their country.  While they were creating their own credits, the big banks were stopped. Do the same! Improve it with Social Credit systems and dividends to all to share the profits of the robots and the computers !
90 % of the workload will be done by computers and robots, the challenge is how to distribute abundance.

YJ:
Well, I think that's the plan of the Pilgrims of St. Michael, we want to start the local exchange systems all over the world. I know that in Columbia they have several systems that are working very well.

FS:
In the United States, your grandfathers were the organizers of the local systems. Ask them how it was done. You had more than 6'000 systems all over the United States. The WIR system in Switzerland has made our country one of the richest in the world.  ( www.wir.ch ) . Just think of what happened in Argentina when the banks collapsed there. That can happen here now as well.

http://www.catholicauthors.org/cgi-bin/rpb455/17104.html?id=8zmNsmDz

 Maurice Allais, Professor of Economics at the National School of Mining Engineering in Paris, France and the 1988 Nobel Prize Winner in Economics, had this to say in his book "Les Conditions Monétaires d'une Economie de Marché" (The Monetary Conditions of a Market Economy p. 2):

"In essence, the present creation of money, out of nothing, by the banking system is, I do not hesitate to say it in order to make people clearly realize what is at stake here, similar to the creation of money by counterfeiters so rightly condemned by law. In concrete terms, it leads to the same results."

We need to practice all five Shabbats and Jubilees, every 7 days, weeks, months, years and 49 years ( 7 times 7 years) and fight usury at all levels, because usury kills.

Please, read this extract from Louis Even.

But what about the term "usury practiced under another form" used by the Pope? Does it mean too high an interest rate? If so, of what percentage? Or is it something else, and under what form?

In a book he wrote in 1935, an English priest, Father Drinkwater, identified this "devouring usury under another form" as the monopolization of credit, which was to amount more and more to a monopolization of money, although the workings of this monopolization of credit were stll myserious, at that time, to almost everyone.

Father Drinkwater recorded that a committee based at the University of Fribourg, Switzerland, had prepared some elements for the drafting of "Rerum Novarum", and that among the members of this committee there was at least one person, from Austria, who was well aware of the money question and of bank credit. A text that this Austrian had prepared, and that was apparently approved by the committee, showed clearly how mere bank money — which is created in banks and consists basically of figures written in bank-books and ledgers, and which was already becoming the major monetary instrument for trade and industry — was nothing but the monetization of the production capacity of the whole community. The new money thus created can only be social by nature (belonging to all of society), and not the property of the bank. This new money is social because of its basis: the community, or society, and because it can buy any good or service in the country. The control of this source of money therefore puts in the hands of those who exercise it, a discretionary power over all economic life.

This text of the Austrian expert also showed that banks do not lend their depositors' money, but rather deposits that they create out of nothing simply by inscribing figures in bank-books, and that when banks lend money — no account is diminished in the bank — they do not have to extract one penny from their safes. So the interest charged on their loans is certainly usury: whatever its rate — it is actually more than 100%, since it is interest charged on a capital of zero, nil — the lender (the bank) does not have to do without the money he lends, he just creates it! This usury can rightly be described as "devouring", since banks require creditors to pay back money that has never been created, that has never been put into circulation. (Banks create the principal they lend, but not the interest.) It is therefore mathematically impossible to pay back all loans; the only way for the economy in such a system to keep going is to borrow again to pay the interest, which creates un repayable private and public debts.

What was the exact wording of this text about the monopoly of credit? One cannot know, since there is no mention of it in the encyclical. Was it suppressed in Fribourg in the final draft sent to Rome? Was it stolen between Fribourg and Rome, or between its arrival in Rome and its delivery to the Sovereign Pontiff? Or was it Pope Leo XIII who decided to put it aside? Father Drinkwater raises these questions, but gives no answer.

End of quote.

This scandal is producing absurd situation as in Canada (see 2 graphs below)

And finally,
Let us quote Mackenzie King, while he was campaigning, in 1935, to become Prime Minister of Canada: "Until the control of the issue of currency and credit is restored to government and recognized as its most conspicuous and sacred responsibility, all talk of the sovereignty of Parliament and of democracy is idle and futile."

http://www.michaeljournal.org/images/croisdet2.gif

http://www.michaeljournal.org/images/debtcan.jpg


YJ:
We thank you for this interview with us, Mr. De Siebenthal; you are assured of our prayers and support for you and your family.

FS:
You are welcome, be assured of our prayers as well, and all the best to you. If you need any further information, please do not hesitate to ask me.

The Madagascar Experiment one, how "money" can be created locally by themselves for the good of the poorest  ?
swiss banker's point of view.

A true and recent social credit experiment, using dividends and compensated
discounts in a small community seen as an island.

Please, see first this short video with swiss wir bank and other videos how to create
your own money sytem and improve it with social credit.
http://youtube.com/watch?v=uQehEGGwy0Q


Switzerland was the poorest country in the world.
Financial Crisis is when the public loses confidence in financial
institutions such as banks, and therefore want actual legal money from
them, rather than their promises to pay, which are normally accepted
as money. This takes us back to the many sorts of money that we can
use in our economy. One is legal tender money, coins and notes issued
by or on behalf of the state, which creditors are legally obliged to
accept in settlement of what is owed to them.

The second is bank created credit (nearly 100 % of the total money
supply), which is no more than a bank's promise to deliver legal
tender money on demand, given in exchange for a borrower's promise to
repay, usually over a period of time.

The others are all other means used as money ( coupons, tires, reka,
mana, etc...)

1) Money #1 cannot hardly be destroyed, and therefore
circulates from producers to consumers and back again. M1 is public in
Switzerland but private in many countries, the US FED is owned by
private people and work for their pockets.

2) Money #2, 3, 4,and so on  are
continually being created and destroyed ( maybe not destroyed but recycled...) by private banks for profits, as loans are made and repaid. This leads therefore to "trade cycles",
where inflation alternates with recession, as bank money is created
and withdrawn. A particular effect of financing business capital
through bank loans (a very common practice) is to create credit money with interest rates at a time when capital goods (factories, machinery, etc. etc) are
being produced, workers are receiving incomes, but nothing more is
going on the market for people to buy. When the factory is completed,
and workers are laid off, goods start reaching the market, businessmen
start wanting to repay their bank loans, but the laid off workers now
have no money either to buy the products, and the businessman
therefore finds it impossible to repay his bank financing. (This
explains the Douglas A+B theorem, where A is wages, and B is capital
costs).

Therefore we have recessions, wars, revolutions, troubles

The current banking system causes poverty in front of abundance in all countries and for all people. The interest bearing loans are for the most part made only by paperwork from nothingness, ie counterfeit currency, as written in 1988 by Mr. Maurice Allais, Nobel Prize in Economics
The crisis in "World Today"
(Ed. Clement Juglar 1999).

3) Money "swiss wir" is our free wir system, a social system free of inflation and efficient.

4) Social credit creation, S3C, a better system based on C.H. Douglas
principles and applied locally in Madagascar .
http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Social_Credit&oldid=73100008
http://www.pavie.ch/articles .php?lng=en&pg=711
http://www.complementarycurrency.org/ccvideo.html

The Wirtschaftsring
in Switzerland, WIR. WIR Economic Circle Cooperative www.wir.ch in
german, french and italian, Please, see wir bank on google The
Wirtschaftsring in Switzerland, formed in 1934 is one of the oldest
complementary currency systems in existence. See websites  at www.complementarycurrency.org and www.network-economies.com a
very simple system to begin with...

http://www.pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=263

If you want the help of computers... We are happy to announce that a new version of Cyclos has
been published on Source forge http://sourceforge.net/projects/cyclos

. Cyclos is published under the GPL license which means it can be used
at no costs and it will run on a variety of platforms like Linux,
Windows, Macintosh and Solaris. But, even more important, anybody is
free to download the source code and add new functions, make
improvements or modifications.

You can use South African CES system too or octopus system.

see http://www.easyswap.org/view/presentation/generalites.php?langue=en

Report summarized of a small  community of creditists.

To begin,  the   social  crediters came from Canada and Switzerland
and provided 100 $ CDN of hens in 2004, plus  the  countable
notebooks,  the  large countable book,  the  pencils and two envoys on
the  spot during a day, with  the  formation of one responsible local
person during a few hours and three visits of a local specialist
trained in Canada. 4 zebus (1000 $ ) were given in 2006.  The saffron
bulbs were lost in  the  post office.  The  community is composed of
66 people in quasi autarkical situation, without electricity nor
telephone and 100 % ecologist.

There is 0 pollution.

Thanks to  the  system, no more usury at around 1'000 percent
interest. They more than doubled  the production of rice and
vegetables. Despite several hurricanes, they could build or rebuild
all buildings themselves, including  the  Church,  the
presbytery and
improve all their houses of terra cotta bricks. They built in more of
the  cattle sheds and  the  shelters for 7 zebus (from 4 to 7), for
1454 hens, a school and began to build a multifunction center. 148
chickens were eaten and 346 sold. They also made a system of
irrigation, with 5 permanent dams and several provisional dams to
improve.  The  roads all are remade thanks to  the  communal efforts.
The  total value of  the appreciations is higher than 5 million local
currency.  The  requirements of official money are met by the  sale
for eggs and hens.

People: They engaged three teachers, a fourth arrives. A person became
the  doctor of  the  area. The  committee meets at least once per
week.  The  families pray three times per day, Lauds, complies and
vespers. They make recollections and retirements.
The  accounts are audited by two elected persons, then by Dina. More
than 4 flowers (vocations of priests). Their motto is to prayers, work
and eat.

Projects: Community bank of local seeds. A system to alert thanks to a
goose herd to drive out  the robbers. To test  the  saffran Medicinal
plants. To continue  the  afforestation (eucalyptus). Impression of
tickets of local currency to open  the  exchanges with  the
neighbours expressed as a percentage freely negotiated governmental
currency, as  the  Mana system as   www.wir.ch    To organize visits,
come and see. We thank all those which who made it possible.

Signed: Rev. Father Alain Thiery Raharison, Cathedral of  Antananarivo

more in English and French on  www.pavie.ch/mobile



Quote of Michael Lane....February 2005


Since April 2002 I have been urging on the world social credit
community -- in a letter to my fellow directors of the Social Credit
Secretariat, in issue after issue of  Triumph of the Past , in Bill
Ryan's social credit e-mail discussion group, in the concluding
chapter of my book on Charles Ferguson, in five talks in Australia and
New Zealand in October 2002, and on the Australian League of Rights
website -- that we no longer wait but implement social credit
immediately at the local level, adapting Douglas's ideas for that
purpose.
Last May two representatives of the Pilgrims of St. Michael -
full-time pilgrim Marcel Lefebvre and "our good friend of Switzerland,
Mr. Francois de Siebenthal consul general of the Philippines and an
economist" - visited Madagascar as guests of the Catholic Episcopal
Commission on Justice and Peace. The following is the account of this
visit published in the Pilgrims'  Michael  journal for May-July 2004:

Then we went into the bush, driven by the secretary, in the pastor's
"4 x 4" vehicle. We were invited by the Secretary General of the
Justice and Peace Commission, Mr. Jean Marie, a father of 8 children,
who is involved with church activities. He managed to gather all the
people of the village to meet us.
We began with the recitation of the Rosary, and then gave a talk on
the cause of their poverty, and the way out, by establishing a local
money system, like in Switzerland and in Argentine, where they call it
"social credits." We told them about the possibility of creating their
own figures (money) to develop their area, without waiting for the
International Monetary Fund, the World Bank, and all the other
money-lenders who exploit them. We founded together the first Social
Credit bank, just as the five islanders did in " The Money Myth
Exploded ." They brought all their belongings to create a fund to
start the new bank. It was really moving and impressive to see them
bring all they had. They are really good people. Bishop Raymond told
us that within a year, there will be 500 small banks like this one in
Madagascar.
So where we founded this first bank, we gave a Rosary to every family
that enlisted, and made them promise to say the family Rosary every
day for the success of this important undertaking. Before founding the
bank, Mr. de Siebenthal asked the priest who was accompanying us to
confess the Faithful. There will be no interest charged in this bank;
on the contrary, dividends will soon be given to every participant.
They will develop their own area in an impressive manner.

De Siebenthal gave a presentation about this at the Pilgrims' Annual
Congress in September at their center in Rougemont, Quebec. From
October-December issue of  Michael :

Mr. Francois de Siebenthal spoke to us of his apostolate with Mr.
Marcel Lefebvre in Madagascar last May. In a small county in the bush,
far from large cities, our two fervent Social Crediters established
Social Credit in a simple manner, a bit like the story in " The Money
Myth .""Madagascar," Mr. de Siebenthal told us, "is the concrete
example of a talk given by Mr. Louis Even. I re-read all the early
writings by Louis Even in a small pamphlet. He spoke of Switzerland,
of methods, of referendums, and of local banks in Switzerland. We
simply applied this project from the 1930's of Louis Even, applied it
in Madagascar.

Guest speaker Bill Daly of New Zealand summarized de Siebenthal's
presentation as follows:

An experienced banker, now working for a Catholic TV station, he had
only a short while before heard of Social Credit. But being a man of
action he had earlier in 2004 spent several weeks at Rougemont
learning as much as possible and had then gone to Madagascar with a
colleague and started a small local credit scheme in one of the
remotest and poorest districts. While initially very simple it is
intended to introduce other aspects as the scheme develops, such as a
national dividend and the compensated price. The Cardinal of
Madagascar wants to see such schemes established in every one of his
more than 100 parishes.

This exciting idea became a main focal point of the Congress. Again
from Bill Daly:

What was evident at Rougemont was the new possibility of such
developments emerging within, but not exclusively, the third world.
More than one Bishop was present from Mexico and the Philippines and
there were a number of priests and lay professional people, some
associated with universities. . . . Certainly those attending from
Poland, Mexico, Ecuador, Benin and the Philippines only demonstrated
great enthusiasm and hope for genuine reform in their own diocese,
parishes, towns and countries.

Another speaker, Vic Bridger of Australia, put it this way:

It was stimulating because of the enthusiasm shown by all the
delegates from Poland, Mexico, Ecuador, and the Philippines in
particular. . . . Each of the Bishops and Monseigneurs [Monsignors]
declared that they would be furthering the cause through their
pulpits. . . . I left the Congress with the view that it may well be
the poorer countries who will give the lead because they have nothing
to lose but their poverty.

According to the same issue of  Michael , "Fr. Jozef Jakubiec and
Doctor Jan Wilk want to found, at the Shrine of the Holy Family in
Krakow . . . a bank that lends interest-free money, working along the
Social Credit principles." Finally, a recent Pilgrims flyer released
in advance of a series of public meetings in New Zealand says: "With
the help of local church and community leaders they initiated an
exciting complementary currency in an impoverished area of Madagascar.
Presently similar projects are planned in Poland, the Philippines and
elsewhere."


Actually, the first interest of the Pilgrims in this concept can be
dated a little earlier, namely, a conference at Zakopane, Poland in
December 2003, hosted by that same Fr. Ja kubiec. In an e-mail to the
Social Credit Action Group, Diane Boucher, who represents the Pilgrims
and has a master's degree in economics, states:

The subject of the conference in Zakopane was about practical ways to
implement social credit policies. People interested in social credit
in Poland do not want to use a top-down strategy but a bottom-up one.
That is to say they choose not to implement social credit at the
national level, but to create small communities using local monies. .
. . People in the Louis Even Institute [Pilgrims] think that the way
Poland chose is a good way to begin an implementation of a social
credit system.

It is now going on a year since the foundation of the "first Social
Credit bank." But not only have we had no progress report, we don't
even know what was done in the first place. The sketchy account above
is all that has been published. Diane Boucher has supplied a  little
more information in two e-mails to the Social Credit Action Group:

September 3, 2004: What the villagers did with their belongings was to
put a monetary value on them. So the accountant of the Bank was able
to write these values to the account of each member of the Social
Credit Bank. The credit (positive side) transaction and debit
(negative side) transaction . . . are simply written in a small
accounting booklet for each member and in the great book of the
accountant during each sale. When somebody needs credits to make
products, the accountant writes the new credits in the producer's
account. So the new credits are created with the new production.
Without any interest. The credits are cancelled when the products are
sold, that is to say they are cancelled with the consumption of the
products. Periodically, new credits are written to the accounts of
every member of the Social Credit Bank in the measure where there is
social progress. It is the (local) dividend. It is the same way of
functioning as in the story of the five islanders. The discount is not
implemented yet, because this economy is very simple. When it will
become enough complex to have producers of intermediate goods or
equipment goods, it will be necessary to implement the discount to
consumers with compensation to the producers.

October 5, 2004: Their belongings are their private properties: cows,
hens, tools, etc. they can use as producers, plus the communal
property: the school being built, for example. They brought these
properties together to give a value to the local assets. These assets
will grow with social progress and their monetary value will increase.
The local dividend will be calculated on the value of the local
assets. For example, the school will have a greater value when
finished and the dividend will be greater because of this increased
value. If a typhoon destroys the school, the monetary value of the
local assets will decrease and the next dividend will be lower.
I think that the villagers' belongings are not a collateral: the new
credits are created to equal the value of the new products being made
by the local producers, not to equate the value of the local assets.
For example, the eggs from the hens are new products and have a market
value based on the producer's cost: if a child takes care of the hens
and the hens feed themselves around, the value of the child labour is
the cost of the eggs. The eggs will be used as food and also in an old
roman recipe to make cement for building the school. The villagers
were unable to finish the building because they are too poor to buy
cement.
It is really a social credit experiment on a small scale. The credit
of this small community has a value as a productive capacity!

To this small cache of evidence we can add the passage alluded to from
" The Money Myth Exploded ," by Louis Even, founder of the Pilgrims of
St. Michael. The pamphlet is an illustration of economics on a desert
isle, such as economists have been making for centuries. There are
five castaways: a carpenter, a farmer, an animal breeder, an arborist,
and a metallurgist. The relevant passage is in the words of Tom, the
metallurgist:

I open an account in the name of each of you. In the right hand column
are the credits which increase your account; to the left are the
debits which subtract from your account. Each wants $200 to begin
with. Very well. We write $200 to the credit of each. Each immediately
has $200. Frank buys some goods from Paul for $10. I deduct $10 from
Frank leaving him $190. I add $10 to Paul and he now has $210. Jim
buys from Paul to the amount of $8. I deduct from Jim $8 leaving him
$192. Paul now has $218. Paul buys wood from Frank for $15. I deduct
$15 from Paul leaving $203. I add $15 to Frank's account and it goes
back to $205. And so we continue; from one account to another in the
same fashion as paper banknotes from one man's pocket to another's. If
someone needs money to expand production, we issue him the necessary
amount of new credit. Once he has sold his products he repays the sum
to the credit fund. The same with public works; paid for by new
credits. Likewise, each one's account is periodically increased but
without taking credits from anyone, in order that all may benefit from
the progress society makes. That's the national dividend. In this
fashion money becomes an instrument of service.

We have to make the best here of very scanty information. I submitted
it to Tom Greco, an expert in alternate currency systems, and he
concurred: "The details in that account are insufficient to make a
proper assessment." We don't know the name of the village. We know
nothing about its size, ethnicity, language, history, manners and
customs, social structure, or civic life. It appears to be a Catholic
village. We know nothing about its diet, clothing, shelter,
sanitation, health care, natural resources, distance from a road,
distance from a town. We don't know what it produces besides milk and
eggs. We don't know where it gets its tools. 1  We don't know what
products it most needs from outside itself. We don't know if is in
debt.
I think we can assume that money is so scarce there that it is
virtually a moneyless economy. The school building project was halted
because the village was too poor to buy cement. The people probably
made their own bricks by pouring mud into wooden forms and baking them
in the sun, but the mortar to hold them together would have to come
from outside. 2  They have plenty of eggs, so if they can make a
cement from eggs, they can be more self-sufficient.
Each member 3  was provided with a "small accounting booklet," and the
"accountant of the Bank" keeps a "great book." The villagers
physically brought their "cows, hens, tools, etc they can use as
producers" to one place, the accountant put a value on them in the new
unit (we aren't told what it was called), and that became their
initial account balance both in their own booklets and in the great
book. This was not a loan but the representation, in figures, of what
they already owned. The village thus took a step forward from a
moneyless economy to a money economy. The villagers now had a simple
way to trade around their cows, hens, and tools according as each had
need and opportunity to make use of them. The assessment provided a
basis for prices: people knew what a hen was assessed for and would
not expect to pay more unless there were a reason.
In addition, anyone with a good plan could have his account written up
in advance on the strength of the goods he was likely to produce. This
would be a loan, signifying the village's faith in him as a producer.
To use Boucher's example, you could get an advance from the Social
Credit Bank to pay your next-door neighbor's child to take care of
your laying hens. You could then sell those eggs to someone or to the
community to make cement for the school and repay your advance, all by
means of these ledgers.
"The same with public works; paid for by new credits," says Tom. In
other words, the village council will also have its own account, which
will be credited with the budgeted amount for the school. This would
be expended on eggs to make the cement and perhaps also on labor if
the labor is not a share-and-share-alike undertaking. This money would
be recouped, I would guess, from parents' paying new credits to send
their kids there. Is it anticipated that the school will serve
neighboring villages as well and, if so, how will they pay?
So far, this describes a change from a moneyless economy to a money
economy but without any specifically social credit features. Boucher
states, "These assets will grow with social progress and their
monetary value will increase. The local dividend will be calculated on
the value of the local assets." She also implies that the initial
booklet entries included a share to each of the value of the partially
completed school building and that the completed building would
generate a monetary dividend in every member's account booklet.
I fear this is not sound. There is no justification for writing up
people's money accounts merely on the basis of increased local assets.
In fact, there is no justification for writing up people's accounts
initially on the strength of their "private property: cows, hens,
tools, etc. they can use as producers, plus the communal property."
Their accounts should only be written up for new goods and services
that they can buy. 4  And why are milk and eggs - more likely to be
sold than hens and cows - left out of the account?
There seems to be confusion as to whether the new credits issued to
the egg producer and the school represent the eggs and education it is
hoped they will produce or (as it should) an allocation of the things
they or their paid workers will buy with them immediately. It cannot
be both at the same time. And what will be the consequence of issuing
new money on the strength of goods yet to be produced without regard
to what exists to buy with it?
Dividends will be payable as the village economy succeeds in producing
the same sufficiency with less and less loan money. Less money/time
required for production means more money/time freed for consumption.
Both Bishop Raymond and the cardinal of Madagascar hope to found other
banks along the same lines. Will they all use the same unit, or will
each use its own? The Pilgrims hope to found other banks along the
same lines in other countries. What problems have arisen in the
operation of the village bank, how were they addressed, and with what
success? Has this experience enabled the Pilgrims to make any
improvements to their model?
I call on the Pilgrims of St. Michael to issue a thorough report on
the "first Social Credit bank" so that other communities can benefit
from the experience of this Madagascar village and create similar
institutions for themselves to help raise themselves out of poverty!

Notes

1. When I was in the Peace Corps in Sierra Leone, the village
blacksmith made tools out of scrap metal from Datsuns.
2. In Sierra Leone, the people in my village made bricks in exactly
this way for a school, but the U.S. government donated the cement and
also zinc pan for the roof.
3. Who is a member? Every person? Every adult? Every household?
4. Greco comments, "When credits are created [for the people] to pay
for capital projects, like building a school, those credits should not
be available for spending until the capital project begins to produce
goods or services, then those credits should be paid for the goods or
services."

Unquote

Michael Lane

Who is interested to join
wir-international ( Wir means in german we together, us the living, as
the Robert Heinlein science fiction book describing such a system,
book to be destroyed on orders of the "masters"). The future society
has a  Social Credit structure — something which may come as a
surprise to those who were not acquainted with Heinlein's early
leftist leanings.
www.michaeljournal.org/appenA.htm

At a number of points in For Us, the Living , Heinlein describes an
environment in which individuals are able to choose whether or not to
accept a job. Passing references are made to the large number of
individuals who take up art or other careers that traditionally do not
pay well. The book also points out the short working hours and high
wages paid to employees. The book ascribes this flexible working
environment to the  social credit system (the "Dividend") adopted by
the USA.

http://en.wikipedia.org/wiki/For_Us%2C_The_Living:_A_Comedy_of_Customs
http://www.heinleinsociety.org/news/newsFUTL.html i.e. people who have
the technology to give more free time for the best ? Most of the work
can be done by robots, computers and so on... You need to organize as
Singapoor did, taking some ideas from the swiss. You can copy our
legal articles of ass.

http://pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=263

http://www.alor.org/Triumph%20of%20The%20Past/The%20Madagascar%20Experiment.htmttp://www.alor.org/Triumph%20of%20The%20Past/The%20Madagascar%20Experiment.htm

--

Switzerland is one of the poorest country in natural ressources but Swiss are rich, why ?
Switzerland has two money systems, one is free, no interests, see "bank wir" on google...
http://en.wikipedia.org/wiki/WIR_Bank
http://www.mit100.ch/?gclid=CJ36nbaL8pcCFQwgZwodDUHYCg



How to do ?


Wir began with a few swiss citizen just after the big crisis of 1929...  www.wir.ch


L'image


" Small is beautiful" swiss lifeboats are better than a big centralized sinking $ystem...

On Sun, Jan 4, 2009 at 6:38 AM, Larry Heather <lheather@shaw.ca> wrote:



Dear Eric,


I can sense your frustration between the armchair social credit arguments, and the true activists of monetary reform. But among the audience of such there may be people that can actually help, so not all audiences can be put into one


section.


The truth in North America at least, are that many people who strive for Christian justice in many areas , such as protecting the unborn like myself, and have been highly discriminated against in our jobs and income, and so often, we too have only the grace of God to depend on for our daily income. As William Aberhart said, there can be poverty amidst plenty and those who speak out are persecuted and are sent to the poorer side of the tracks.


I Pray that May God Be Your Provision and send you the listening ears that can help.


Yours in Christ,


Larry Heather
Please, subscribe to be kept informed.

20 $ for  4 years
http://www.michaeljournal.org/

#monnaie-pleine

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Projet de loi d'application de monnaie-pleine




Initiative monnaie pleine, questions fréquentes. FAQ.


Remarques et améliorations à siebenthal at gmail . com ou ++ 41 21 652 54 83 merci

Monnaie pleine, Vollgeld, positive money.


Aux USA «...le projet de loi Goldsborough présenté alors, avec l'approbation du Comité sur les Banques de la Chambre ... pratiquement un support unanime. Ce projet de loi fut débattu deux jours à la Chambre, un très simple projet de loi, établissant la politique des Etats-Unis de rétablir et de maintenir la valeur de la monnaie, et ordonnant au Secrétaire du Trésor, aux officiers de la Commission de la Réserve Fédérale et aux Banques de la Réserve Fédérale, de rendre cette politique effective. C'était tout, mais suffisant, et le bill passa, non par un vote partisan: 117 députés républicains votèrent en faveur de ce projet de loi (qui avait été présenté par un député démocrate), et le bill passa par 289 voix contre 60, et de ces 60 députés, seulement 12, par la volonté du peuple, sont encore au Congrès. ( voir la suite de l'histoire tout en bas de cette page ).

Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe par dilution à chaque "création" ex nihilo.


Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe, diluées par la création monétaire ex nihilo, du néant, des abus qui détruisent les économies. On tue les poules aux oeufs d'or, sic.
Grâce à monnaie pleine, on peut maintenant faire un projet de loi et y intégrer tout ce qu'on veut, y compris les détails du RBI et lutter contre les dérivés, çà vaut la peine d'y travailler immédiatement, dans les jours qui viennent


Préparons un texte et discutons avec les parlementaires, voir les commissions ci-dessous.



Commissions de l'économie et des redevances CER

Vous êtes ici: Le Parlement suisse > Organes et députés > ... > Commissions législatives > Economie, redevances




La situation est même pire que de la fausse monnaie car il y a les autres formes d'usures voraces, les taux d'intérêts composés exponentiels qui chargent toujours plus les peuples, l'abîme entre les coûts exponentiels et le pouvoir d'achat réel qui baisse vu les dilutions monétaires, la destruction de masses monétaires à chaque remboursement, ce qui aggrave les crises... etc...


L'initiative «Monnaie pleine» a abouti

L'objectif des initiants est de limiter le pouvoir des banques commerciales.


IL FAUT AVOIR LE COURAGE DE TOUT REMETTRE EN CAUSE. ON RISQUE UNE GUERRE MONDIALE TERRIBLE, DES MILLIONS DE MORTS...

STOP TOO BIG TO FAIL, TO JAIL, STOP BAIL IN, BAIL OUT

STOP AUX CHANTAGES DES " TROP GROS POUR TOMBER""TROP FORTS POUR ÊTRE MIS EN PRISONS", STOP AUX VOLS LéGAUX DU SAUVETAGE DES BANQUES PAR LES FONDS D'éPARGNES OU DES RETRAITES OU ENCORE PAR LES IMPÔTS...

STOP AU JEU DU PILE OU FACE DE CERTAINS BANQUIERS QUI TRICHENT ET GAGNENT, à TOUS LES COUPS.. FACE, ILS GAGNENT, PILE ON PERD... DONC ILS GAGNENT, ET BEAUCOUP TROP, à TOUS LES COUPS ET SANS ABSOLUMENT AUCUN RISQUE...

Quand le Professeur d'économie suisse not. à l'Uni. de Fribourg, M. Sergio Rossi, parle des vrais enjeux de Monnaie Pleine: la connaissance, la compréhension, le courage et même plus... !
Monnaie pleine aux urnes
Mis en ligne le 30.11.2015 à 07:00
Par Sergio Rossi

L’initiative «Monnaie pleine» lancée en Suisse le 3 juin 2014 a récolté les 100'000 signatures valides nécessaires pour être soumise au vote populaire prochainement. Cet aboutissement est assez surprenant, si l’on considère que cette initiative n’est soutenue en Suisse par aucun parti politique et qu’elle est farouchement combattue par les banques, leurs dirigeants ayant compris que l’initiative mettrait un terme à leurs privilèges exorbitants en ce qui concerne l’émission monétaire par les crédits que les banques peuvent octroyer à n’importe quel agent sans avoir suffisamment d’épargnes préalables.
L’intérêt d’une telle initiative populaire est double. D’une part, elle peut grandement contribuer à faire émerger la véritable nature (numérique) de la monnaie, qui en l’état échappe à la presque totalité des individus, y compris les politiciens, les banquiers centraux et les économistes les plus influents au monde. D’autre part, elle a le potentiel de contribuer à définir les contenus d’une réforme structurelle du système monétaire et financier qui est urgente et nécessaire afin d’éviter de nouvelles crises systémiques.
Si le débat induit par l’aboutissement de l’initiative «Monnaie pleine» a lieu de manière objective – c’est-à-dire qu’il se concentre sur l’objet de cette initiative pour en décortiquer la nature essentielle au lieu de viser à défendre des intérêts particuliers (souvent indéfendables désormais) –, alors on peut espérer que chaque partie prenante en sortira enrichie au plan intellectuel car elle aura avancé vers la compréhension de cet objet insaisissable qu’on appelle «monnaie».
Au vu des attaques virulentes contre l’initiative «Monnaie pleine» qui ont eu lieu durant les 18 mois de la récolte des signatures pour cette initiative, et qui ont montré de manière désopilante l’ignorance de la nature de la monnaie et de son émission par les banques, il est fort à craindre que le niveau culturel du débat menant au vote populaire sera de même teneur. Cela confirmera alors qu’«un peuple ignorant est un peuple facile à tromper», bafouant l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers que même un tel peuple ne devrait pas avoir de difficultés majeures à identifier précisément."
http://www.unifr.ch/mapom/fr/team/titulaire

Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent.

Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle.

Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement.

Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un projet de loi d'application de monnaie-pleine selon les principes suivants:

I. Nous devons donc reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit en respectant le vrai principe de subsidiarité, soit d'abord pour les personnes, les familles, les communes, les cantons et en dernier ressort le fédéral. Il l'exercera par des commissions indépendantes jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ses buts, notamment le bien commun à tous les niveaux précités.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit. Chaque échelon fournit régulièrement les statistiques nécessaires.

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte compensé notamment aux producteurs de qualité ( sans obsolescences programmées ) rendus plus efficaces et dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

IV. La BNS travaille pour le bien commun, comme une coopérative et chaque habitant de la Suisse y dispose d'un compte en francs suisses dès la conception alimenté notamment en fonction de la hausse de notre monnaie, des placements souverains, de la productivité des machines, robots, infrastructures, barrages etc...  et des progrès techniques.


Soutenez la rédaction de cette loi suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:

Pour une Suisse avec moins de dettes, d' impôts, de taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l'argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.

État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :


1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation, chômage, création d'emplois, relance, environnement, infrastructures, transports, réduction du nombre d'Ambassades et d'outils d'informations tel Swissinfo... à l'heure de crises et de l'isolement du Pays sur la scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du 7.03. 2010).


2. Les "solutions" sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi que les PME en augmentant le chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.
3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps qu'il réduit les besoins de main-d'oeuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers d’industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.


4. La crise de l'UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?


5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs Communes, PME, etc. dont personnes morales et physiques (nous) dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d'intérêts... SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.


6. FED & IRS (deux archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d'intérêt conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes... par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s), «Too big to fail», Toxic Assets sont devenus des termes "familiers", à contrario du mécanisme pervers de la création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.


Ainsi :


- le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts, alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement et ainsi, distribuer équitablement les plus-values mensuelles à tous.


- A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon et surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d'autant plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.


- Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement abdiqué, répercutent leurs "remboursements" sans amortissement aux chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.


- Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et les Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la majorité des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.


Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l’argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé, de bonnes solutions existent et les voici :


Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre but, reprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l'argent).


PRINCIPES


I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.


Il. Il l'exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales OU CANTONALES jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ce but.


III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.


IV. L'émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un dividende et d'un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.


V. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales, communales ou cantonales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu'elle aie ou non des sources de revenus.


VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.


VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.


VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent - sans Commission externe indépendante de type FINMA - de l'Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.


IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d'or physique stocké qu'en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d'assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.


X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l'encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.


XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l’essence.


XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.



Dispositions transitoires :


La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d'intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d'enfants conçus.


Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l'Assemblée fédérale (Plénum).


L'écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500'000.-.


Tout dividende social ou autre prestation sociale n'empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur d’entreprise, etc.


L'obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.


Tout financement d'investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :

Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d'établissements distincts et indépendants :


1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.

2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.

3) Banques d'affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.


Indexation obligatoire de tous les engagements sur l'avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.


Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.


Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d'éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.


Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.

Supprimer les programmes d'achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.

Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.

Interdire toute dévaluation compétitive.

Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d'échange et de réserve.

Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec un système approprié d'indexation.

Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.


Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique, papier...).


Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.



Conclusions :


« Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »


Maurice Allais, prix Nobel d'économie.


Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
http://desiebenthal.blogspot.ca/2014/12/le-conseil-federal-suisse-admet-le.html
En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )...

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/les-epargnants-premiers-perdants.html


Pour une Banque Nationale vraiment Suisse, BNS 2.0


Nous travaillons pour faire une BNS 3.0



Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoyenne




L'usure tue, rend malade, pousse aux suicides, aux drogues, aux divorces...

Le Conseil fédéral et la BNS préfèrent protéger quelques banquiers aux salaires, bonus, parapluies, parachutes indécents au lieu du bien commun des peuples suisses... Une grave erreur historique. 

Il refuse de revenir à un système de monnaie pleine qui a fait ses preuves dans le passé pour continuer dans le nouveau système d'un casino mondial électronique et hasardeux. Il cite l'or comme valeur alors qu'il lutte en fait contre l'or.



Le Conseil fédéral rejette l’initiative «Monnaie pleine» sans contre-projet. Il nie la réalité avec notamment cette phrase.

"Ainsi, les banques commerciales ne pourraient plus octroyer de crédits financés comme aujourd’hui par des dépôts à vue (comptes courants)."

La réalité est exactement le contraire, ce sont les crédits qui créent du néant, EX NIHILO, en latin pour les "initiés", TOUTE LA MONNAIE QUI NOUS EST ALORS LOUéE à INTéRÊTS COMPOSéS ... Le franc suisse doit revenir aux suisses qui en sont les propriétaires, un propriétaire ne doit pas louer son propre bien, c'est du VOL au profit de quelques banquiers, politiciens et actionnaires...


Chers amis d'une BNS coopérative citoyenne à tous,

La BNS investit notamment dans les armes nucléaires, sic, et dans le gaz de schiste polluant, resic, ou dans Apple, concurrent de notre horlogerie, mais le pire est la création monétaire faite contre les citoyens suisses, par centaine de milliards...

Nous pouvons changer ces politiques hasardeuses...

Si vous voulez vous joindre à notre action, vous pouvez acheter une action, ou vous la faire sponsoriser, et donner l'instruction suivante à la banque. 

Ceci est valable pour tous, même pour les étrangers, le plus grand actionnaire est allemand, sic...Suite à notre téléphone, concernant l'action de la  BNS.

Exemple:

Je vous prie de transférer l'action directement à la BNS selon l'article 6 ci-dessous, en leur demandant de m’inscrire immédiatement au rôle des actionnaires et en me tenant au courant..

Réponse de la banque: Afin de compléter le document de transfert pouvez-vous svp me transmettre votre date de naissance, nationalité, lieu d’origine et adresse postale.

Extrait:

Tout actionnaire peut faire garder sans frais ses actions nominatives par la BNS. Les modalités sont réglées dans les conditions régissant l'administration de dépôts d'actions nominatives de la BNS.


Art. 6 Droits-valeurs La BNS émet des actions nominatives sous forme de droits-valeurs (art. 25, al. 2, LBN). Celles-ci sont transférées dans un système de conservation intermédiée et deviennent ainsi des titres intermédiés au sens de la loi fédérale sur les titres intermédiés. L'actionnaire n'est pas en droit de demander l'impression et la livraison de titres pour ses actions nominatives. Il peut cependant demander en tout temps à la BNS d'établir une attestation pour les actions nominatives qui lui reviennent. Cette attestation, destinée exclusivement à servir de preuve, n'est pas un papier-valeur. Tout actionnaire peut faire garder sans frais ses actions nominatives par la BNS. Les modalités sont réglées dans les conditions régissant l'administration de dépôts d'actions nominatives de la BNS.





BNS 1.0



La BNS de papa, son symbole, St Martin qui donne la moitié de son manteau à un pauvre, l'autre moitié appartenant à l'empire...

Les actions de la Banque nationale sont cotées en Bourse. Des cantons, des communes suisses et des banques cantonales détiennent la majorité des actions. Le reste des actions est en mains de particuliers et d’entreprises. La Confédération ne possède aucune action.

La transformation de la BNS en une fédération de Coopératives Monétaires Cantonales et communales constitue certainement le plus sûr moyen de s’assurer d’une part que nous maîtrisons le flux d’émission et que celui-ci est assuré par la seule volonté du Souverain et en fonction de ses besoins propres. 


Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors coopérez à cette loi

Les solutions suisses:

27 banquiers en prison. 

Exemples de responsabilité pénale du banquier : Infractions générales- Incriminations

la Responsabilité pénale – Chapitre I
Les comportements illicites du banquier qui peuvent être sanctionnés pénalement, peuvent être divisés en deux parties : les infractions qui peuvent être commises que par les banquiers (parag II) et les informations générales prévues par le code pénal et certains textes particuliers.
Parmi cette seconde catégorie, nous ne retiendrons que les situations où le banquier est impliqué dans ce que l’on dénomme la criminalité financière Généralement ces incriminations sont étudiées dans le cadre du droit pénal des affaires.(parg I).
Section I :les infractions générales
Les employés de banques et leurs supérieurs hiérarchiques ont de multiples occasions de commettre des faits délictueux dans l’accomplissement de leurs tâches . En accordant un crédit à un client , ils peuvent lui appliquer un taux supérieur au taux prévu par la réglementation en vigueur, commettant par là le délit d’usure . En matière de chèque, ils peuvent enfreindre certaines dispositions pénales prévus par la législation relative à ce titre de paiement. Comme ces différentes infractions relèvent d’autres disciplinaires, nous nous limiterons à une étude succincte de celles.
Ci tout en mettant en exergue, les incidences de la qualité de banquier sur les éléments constitutifs de ces délits. A cette occasion. Nous subdiviserons cette question en incriminations de droit commun (A) et en incriminations prévues par des textes particuliers(B).

SOUS SECTION 1 : les incriminations de droit commun. Nous étudierons trois infractions prévues par le code pénal et qui présentent au regard de la profession bancaire certaines particularités et dans lesquelles on relève des faits marquants se rattachant à cette activité, il s’agit des délits relatifs à la violation du secret professionnel (I) à la banqueroute(II) et au faux et à l’usage de faux (III)
Paragraphe 1-la violation du secret professionnel.
La violation du secret professionnel est régie par les dispositions de l’article 446 du code pénal qui stipule que « les médecins, chirurgiens ou officiers de santé ainsi que les pharmaciens, les sages-femmes ou toutes personnes dépositaires, par état ou profession ou par état ou profession ou par fonctions permanentes ou temporaires, par état ou profession ou par fonctions permanentes ou temporaires, des secrets qui on leur confie, qui hors le cas où la loi les oblige ou les autorise à se porter dénonciateurs, ont révélé ces secrets, sont punis de l’emprisonnement d’un mois à six mois et d’une amende de 120 à 1000 dirhams ».
Formellement, l’activité bancaire n’est pas énumérés parmi la professions tenues au secret professionnel, toutefois, ce même article prévoit une formule générale «…..ou toutes personnes dépositaires, par état ou profession , ou par fonction permanente ou temporaire, des secrets qu’on leur confie… ».
La question revient donc à savoir si le banquier trouve t-il sa place parmi ces personnes dépositaires ?
Afin de trouver la réponse à cette question, la doctrine a élaboré le critère devenu classique « du confident nécessaire » qui se définie comme étant toute personne dont la fonction ou la profession provoque ou exige la confidence du public de telle sorte que la loi imprime implicitement à leurs actes les caractères confidentiel et secret dés qu’elle impose ou simplement recommande cette profession à la confiance publique »( ).
Là encore ou assiste à une grande divergence des auteurs quant à l’application de la qualité du « confident nécessaire » au banquier.
En effet, si pour quelques uns la profession bancaire est conforme au critère du confident nécessaire( ). « du fait du monopole qu’elle exerce dans la collecte de certains dépôts de fonds et plus généralement de la place qu’elle occupe dans la vie économique, il ne fait pas de doute pour la doctrine pour inclure le banquier dans la formule générale de ART 446.
Il n’en est pas de même pour d’autres qui considèrent que « si on est obligé de s’adresser à un médecin lorsqu’on est malade, on n’est pas acculé à demander les services d’un banquier lorsqu’on veut placer ses économies ou demander un crédit : pour placer son argent, on peut penser aux placements en bourse et pour les besoins en crédit on peut recourir aux services d’organismes, comme le crédit immobilier et hôtelier , ou la SOFAC etc. par ailleurs, et sur un autre plan, la doctrine dans son ensemble accepte l’idée d’une extension au banquier des dispositions de la formule générale de l’article 446 ; en effet , les banquiers connaissent parfaitement le caractère confidentiel des affaires de leur clients, ils savent pertinemment que des fuites à ce sujet risquent d’ébranler la confiance dont ils sont l’objet de la part de leurs clients c’est donc l’avenir de tout le secteur bancaire qui est mis en jeu par les négligences éventuelles des employés de banques en matière de renseignements, la réparation civile ne semble plus être suffisante dans ce cas, seules des sanctions pénales peuvent être persuasives.
Mais il va de soi, que le banquier ne sera pas tenu au secret professionnel avec la même rigueur que le médecin par exemple.
Après avoir conclu donc à l’application au banquier des dispositions du code pénal relatives au secret professionnel. Il reste à examiner les éléments constitutifs de cette infraction. A cet égard, le délit sera constitué, si les éléments constitutifs de cette infraction. a cet égard, le délit sera constitué, si les éléments suivants sont réunis, la révélations de faits compris dans le contenu les éléments suivants sont réunis, la révélations de faits compris dans le contenu de l’obligation de discrétion du banquier et il n’est pas nécessaire que cette violation du secret professionnel soit publique, le délit est suffisamment établi, si le secret n’a été révélé qu’a une seule personne.
En ce qui concerne l’élément moral, il suffit que la personne qui a révèle le secret, l’ait fait en connaissance de cause, il n’est pas fondamental qu’elle ait ou l’intention de nuire.
Ceci dit, il importe de mentionner qui à l’égard du banquier, le contenu de l’article 446 se trouve réduit en raison de nombreuses restrictions, cette situation résulte d’abord du fait que le banquier ne peut refuser de répondre aux demandes de renseignement adressés par des autorités publics. De même, le banquier ne peut opposer le secret professionnel à certains individus auxquels il est lié par les relations d’affaire, en raison de leurs qualités propres,
-les relations du banquier avec la puissance publique.
Un nombre grandissant de services publics sont habilités à exiger des banques la communication de renseignements, en principe, couverts par le secret professionnel. Parmi ces service, il convient de citer les administrations fiscales et l’administration de la justice.
-les administrations fiscales
plusieurs textes accordent à ces administration un droit de communication pour des motifs d’intérêt général et ordre public évidents et notamment pour assurer l’observation de la loi par ceux qui y sont assujettis en matière fiscale et d’une manière générale, pour le recouvrement des impôts, ce droit de communication permet aux agents de ces administrations d’accéder aux livres et documents comptables susceptibles de les éclairer sur l’imposition des contribuables, sur le versement des impôts et éventuellement pour déceler les fraudes.
En cas d’entrave opposée par le banquier, celui-ci peut être condamné à une amende, doublée s’il y a lieu, d’une astreinte…..
-l’administration de la justice.
Lors des procès civils ou commerciaux où interviennent uniquement des intérêts privés, le banquier s’il n’est partie, n’est pas obligatoirement tenu de témoigner ou de produire un document, à moins d’une autorisation de son client, puisque ce témoignage ou cette production de document peuvent porter préjudice à ce dernier, dans ce genre de litiges, il est toutefois tenu, par exemple, de la fournir ou de communiquer ses livres et documents au syndic de la liquidation judiciaire des biens de son client celui ci étant fondé à connaître les biens du débiteur( ).
Vis à vis de la juridiction pénale , les limites au secret professionnel sont plus nettes. Dès la phase de l’instruction , s’il y a lieu , le témoignage du banquier peut être obtenu par le juge instructeur , en recourant à une procédure de perquisition. Munis d’une commission rogatoire, les services de police judiciaires sont aussi habilités à recueillir ce témoignage et à accéder aux pièces et documents sans que le banquier puisse leur opposer un refus. De façon générale, il peut être donc appelé à témoigner à subir un interrogatoire, une perquisition ou à se conformer aux exigence d’une expertise( ).
-les relations du banquier avec les particuliers.
il est , tout d’abord, inutile d’insister sur le fait que le banquier ne peut opposer valablement le secret professionnel à son client. dans le même sens , le secret professionnel ne peut être opposé au mandataire ayant reçu du client la mission de gérer ses affaires ni d’ailleurs au représentant légal d’un incapable ou aux ayants droits.
Le même raisonnement peut s’appliquer aux mandataires qualifiés des sociétés commerciales y compris les liquidateurs, car s’agissant de documents sociaux, le banquier ne peut refuser aux syndics et aux liquidateurs la communication des documents déposés à la banque( ).
Paragraphe 2 : La complicité dans la banqueroute simple :
Comme tout commerçant, le banquier peut être pour suivi pour le délit de banqueroute simple ou frauduleuse en cas de faillite de son entre prise. mais cette infraction est difficilement en visage able dans la pratique( ).
En revanche, le banquier peut être condamné pour complicité de banqueroute simple. En effet, les directeurs de banque et même certains responsables de niveau inférieur peuvent être tentes d’inciter un de leurs clients débiteurs, à différer le dépôt de son bilan, tout en lui suggérant d’utiliser certains procédés, pour essayer de sauver son entreprise de la débâcle.(octroi de nouveaux crédits, incitation à vendre une partie de ses biens ou ceux de sa famille, ou à recourir au crédits des fournisseurs….. ).
En réalité, ces responsables agissent ainsi dans l’espoir de réduire et même de résorber le découvert qui ils lui ont consenti.
Il est certain que le banquier qui adapte une telle attitude, tout en ayant conscience qu’il ne fait que retarder l’état de cessation de paiements de son client peut être considéré comme son complice : en effet Art 557 du code pénal sur la banqueroute simple prévoit « est coupable de banqueroute simple et puni de l’emprisonnement de trois mois à trois ans tout commerçant en état de cessation de paiement qui a :
3éme alinéa :soit dans l’intention de retarder la cassation des paiement par des achats et reventes en dessous des cours ou en recourant à des emprunts
4éme alinéa : soit payé , a près cessation de ses paiements, un créancier au préjudice des autres.
Donc quels sont les éléments matériels et l’élément moral de l’infraction ?
A-Eléments matériels de l’infraction :
1-le crédit ruineux( ).
Le crédit doit être ruineux :
-en raison du taux d’intérêt élevé.
-en raison des sûretés excessives exigées par les banquiers
-en raison de sa disproportion avec les capacités de remboursements.
-en raison du pourcentage trop important des frais financiers rapportés au chiffre d’affaires ce qui traduit pour nous la forte dépendance à l’égard du système bancaire.
2-la prolongation artificielle de la vie de l’entreprise.
Le crédit doit avoir permis la prolongation artificielle de la vie de l’entreprise :
-il a retardé ainsi la constatation de l’état de cessation de paiement( ).
-il a de surcroît amené une aggravation de l’insuffisance d’actif .
B- Elément moral( ).
1-la connaissance de la situation irrémédiablement compromise le banquier doit avoir connaissance( )de la situation financière irrémédiablement( ) compromise.
2-la conscience ( ) de fournir les moyens de retarder la constatation de l’état de cessation de paiement.
Au sein de la banque, il faudra déterminer quel est l’agent comptable du délit de complicité.
C-Eléments techniques discriminants de complicité de banqueroute.
1-une condition nécessaire, le soutien abusif de crédit.
La responsabilité pénale du banquier est le plus souvent un cas particulier puis qu’elle implique pratiquement le soutien abusif de crédit.
C’est là également une stratégie de certains créanciers qui ne recherchent la responsabilité pénale qu’à des fins de voir ensuite déterminer la responsabilité civile.
A titre d’exemple d’éléments de complicité, nous citerons :
-un agent de banque complice d’effets de cavalerie et recherché en complicité de banqueroute.
-un agent de banque complice par instruction : dans l’une de nos expertises pénales, un banquier administrateur de la société créditée, conseillait au conseil d’administration le non dépôt de bilan alors que l’affaire accusait des pertes qu’elle était sans issue et qu’elle aggravait son passif .
La parenté entre la responsabilité pénale du banquier et sa responsabilité civile en cas financement d’une entreprise en situation désespérée est évidente.
2-une analyse finie, celle du coût de régression.
C’est l’analyse du coût de régression qui fera apparaître ou non l’aggravation de l’insuffisance d’actif et, par voie de conséquence, le soutien abusif et éventuellement la complicité de banqueroute.
Bien entendu le crédit peut être intrinsèquement ruineux lorsqu ’il est effectué sans contrepartie économique.
A titre d’exemple, nous citerons :
-une complicité d’escompte de traites de complaisances.
-un auteur principal de délit avec un prêt à taux usuraire ou même très élevé ou assorti de sûretés excessives.
Un crédit consenti à des conditions normales et devenant ruineux s’il dépasse les capacités du crédité , frais financiers disproportionnés avec le chiffre d’affaires et la rentabilité.
3-la conscience du caractère ruineux du crédit.
La conscience du caractère ruineux du financement est nécessaire mais non suffisante, il faut que l’auteur ait agi dans l’intention d’éviter ou de retarder l’ouverture de la procédure de redressement judiciaire.
4-les auteurs du trouble .
En ce qui concerne la responsabilité pénale de l’agent de banque c â d du responsable de l’établissement bancaire, il ne pourra être pénalement responsable que s’il a personnellement participé à l’octroi du crédit ce cas n’est en pratique possible que pour les petites banques ayant quelques agences.
Le plus souvent, ce sera le directeur d’agence, le directeur régional ou le directeur des engagements qui seront recherchés en responsabilité en résumé c’est celui qui a effectivement décidé qui sera responsable, la difficulté lors de l’expertise vient du fait que la décision est à la fois hiérarchisée et collégiale.
A titre d’exemple, le chef d’agence a une connaissance meilleure de l’entreprise que la direction des engagements, le directeur des engagements a plus d’expérience, plus de technicité, plus de recul mais il a une moindre connaissance de l’entreprise que son directeur d’agence.
5-le crédit délictueux.
L’octroi du crédit délictueux pourra caractériser le soutien abusif de crédit, il contient de nuancer, ce n’est qu’une éventualité. En effet, si le crédit délictueux n’est pas significatif, nous voyons mal un soutien très faible et non discriminant dans la pérennité de l’entreprise constituer un soutien abusif.
En sens d’inverse, un soutien abusif de crédit pourra ne pas être délictueux c’est en pratique le plus fréquent.
6-la myopie du banquier.
En conclusion, un jugement inédit du tribunal de grande instance de Dijon( ) illustre tout particulièrement la non de complicité de banqueroute par emploi de moyens ruineux pour se procurer des fonds « octroi d’un crédit peut être fautif en raison même d’une négligence d’une imprudence ou d’une myopie de la banque( ), le comportement de la banque étant apprécié in abstracto.
L’octroi de crédit constitutif d’un délit de complicité de banqueroute par fourniture de moyens ruineux suppose en revanche. Non pas une simple négligence ou imprudence mais, outre la connaissance certaine par le complice de l’intention de l’emprunteur de retarder la constations de la cessation des paiements de son entreprises, élément matériel, sa volonté de s’associer à cette intention de l’emprunteur en lui consentant pour cela des crédits à des conditions ruineuses, à savoir des crédits qui , dépourvus vus de toute assise économique, ne peuvent qu’aggraver une situation déjà- sans issue : des crédits en un mot nuisibles, le comportements de l’ayant étant alors apprécié in concerto ».
La complicité telle que définie par l’article 60 du code pénale exige non seulement la connaissance du fait principal punissable, mais encore une intention coupable caractérisée par une aide consciente et voulue à la perpétration du délit au quelle complice s’associe( ).
Paragraphe 3 : le faux en écritures privées de commerce et de banque( ).
L’incrimination pénale en matière de faux en écritures de commerce et de banque présente ceci de particulier au regard de la profession bancaire, c’est que la qualité de l’auteur peut être considérée comme une circonstance aggravante de l’infraction. Avant d’examiner cette question, il convient d’évoquer ne serait ce que succinctement les éléments constitutifs de cette infraction.
Ce délit est établi lorsqu’on a employé les moyens prévus à LART 354 CP( ) pour falsifier le contenu d’un écrit de commerce ou de banque et que cet agissement a cause intentionnellement un préjudice à autrui.
On étend par écriture de commerce ou de banque, tout écrit ayant pour objet de constater une opération que la loi répute «acte de commerce ».
Il faut donc se référer aux documents prévus par le code de commerce (livres de commerce, lettre de change, billet à ordre..)
Auxquels il faudrait ajouter tous les écrits utilisés dans le cadre de l’activité bancaire (pièces comptables, fiches clientèle, etc.…) des problèmes de qualifications peuvent se poser lorsqu’il s’agit d’altérations de certains écrits relatifs aux sociétés et qui sont incriminées spécialement.
En ce qui concerne le préjudice, il faut retenir que tout dommage est susceptible d’être considéré comme un élément constitutif de faux, que ce soit un préjudice matériel ou moral, actuel ou éventuel pour être infraction on retient une conception très large du préjudice.
Quant à l’élément moral, peu importe que l’altération soit destinée à nuire , il suffit que le faussaire ait eu connaissance de l’inexactitude des éléments qu’il a ajoutes ou retranchés.
Lorsque l’auteur de l’infraction est un banquier, la peine prévue à l’article 357 (emprisonnement d’un an à cinq ans et amende de 250 à 20000 DH) et portée au double, Ainsi la qualité de faussaire est ici considéré comme circonstance aggravante.
il est à relever que cette infraction sera rarement retenue, lorsqu’elle est commise par un banquier , car elle s’accompagne fréquemment d’autre agissements incriminés (abus de confiance, escroquerie) et ce sont ces incriminations qui seront le plus souvent invoquées dans le cadre de la profession bancaire. En effet ce genre de délits est assez fréquent à l’intérieur des banques et ce sont presque toujours des éléments du personnel de l’établissement qui en sont les coupables.
Toutefois, il faut noter que les poursuites sont plutôt rares car les banques répugnent à porter plainte contre les agents infidèles pour ne pas donne a leur client l’occasion de constater leurs défaillances, c’est pour cette raison que la jurisprudence n’est pas abondante à ce sujet.
Cette rareté de la jurisprudence se manifeste également pour toutes les autres infractions susceptibles d’être commises par le banquier et particulièrement les incriminations prévues par certains textes spéciaux

SOUS SECTION 2 : les incriminations prévus par certains textes spéciaux
Parmi les textes particuliers prévoyant des mesures pénales à l’égard des contrevenants, nous retiendrons uniquement ceux qui sont d’une utilité pratique pour l’activité bancaire, ce sont le dahir du 31 Août 1926 sur le délit d’usure, et le dahir du 30 Août 1949 sur les infractions relatives aux changes.
Paragraphe 1 :le délit d’usure ( ).
Le terme usure évoque des finalités religieuses et morales et Ainsi l’usure demeure liée du moins en droit musulman au problème général des intérêts car la loi coranique interdit toute stipulation d’intérêts, car la loi coranique interdit toute stipulation d’intérêts des banques commerciales.
Le DOC à même légalisé pour partie cette restriction en édictant qu’entre musulmans, la «Stipulation d’intérêts est interdite ».
Mais le problème qui se pose c’est la question de l’admissibilité des intérêts en matière de prêt d’argent. De ce fait le caractère. Légal de la stipulation d’intérêt en matière bancaire n’est plus à démontrer du point de vue juridique et plus pratique, car les banques étant des personnes morales vis à vis de ses particuliers.
Du point de vue historique, cette infraction (l’examen de l’usure en tant que délit pénal) n’a été réprimée pénalement qu’en 1926.
A partir de cette date et en vertu de l’article 1er du dahir relatif au délit d’usure, toute personne qui aura enfreint les dispositions de l’article 878 du D.O.C « celui qui, abusant des besoins, de la faiblesse d’esprit ou de l’inexpérience d’une autre personne, se fait promettre, pour consentir un prêt ou le renouveler à l’échéance, des intérêts ou autres avantages qui excédent notablement le taux normal de l’intérêt et la valeur du service rendu, selon les lieux et les circonstances de l’affaire, peut être l’objet de poursuites pénales.
Il est certain que le terme « prêts » s’applique aux facilités de caisse, aux avances en compte, aux crédits de compagne, aux crédits d’équipement, aux crédits moyens et longs termes, aux crédits documentaires, dans toutes ces conventions, la volonté des deux parties est facilement déterminable.
Mais qu’en est il quand celle ci n’est pas perceptible du côté de client, comme c’est le cas du découvert consenti par le banquier de sa propre initiative, et sans l’accord préalable du bénéficiaire ?
Dans la réalité le problème ne se pose pas , car le découvert est considère comme un contrat de prêt car si la volonté du débiteur n’apparaît pas lors de l’opération du découvert.
Elle se manifeste postérieurement à celui ci, soit d’une manière expresse, soit par une confirmation tacite(le bénéficiaire rembourse le montant du découvert consenti).
A cet égard, et en ce qui concerne l’escompte des effets de commerce(crédit à l’encaissement, remise du chèque…).
Cette opération peut s’analyser comme une cession de créance, de l’effet l’endosse en faveur de son banquier, et celui ci en avance la valeur déductible faite des intérêts (la solvabilité du débiteur), c’est pour cela les banques s’accordent pour qualifier l’opération d’exempte de contrat de crédit. En matière d’exempte, les taux d’intérêts appliqués sont réglementés par les autorités monétaires. Dans la structure des taux d’intérêts relatifs aux crédits. bancaires la banque du Maroc place l’escompte en premier lieu ,car cette opération (l’exempt)
En fin , sels les cautionnements et les avals bancaires échappent au régime du dahir de 1926 sur le délit d’usure ,ces opération ne sont pas considérées comme des prêts à intérêts, elles obéissent à un régime juridique particulier.
D’après l’art 878 du D.O.C et en matière bancaire, les taux sont fixés par le ministre des finances et la banque du Maroc. ils peuvent atteindre pour certains prêts jusqu’à 14% , or le taux légal appliqué en matière civile et commerciale est prévu par le dahir du 16 juin 1950.
Il s’avère intéressant de déterminer aussi quel est le taux butoir à partir du quel on peut dire qu’il y a usure, la question se complique encore davantage dans la profession bancaire, car les banques perçoivent pour les crédits qu’elles distribuent des intérêts et des commissions.
Il est donc important de connaître le taux maximum(intérêt+commission) qu’elles peuvent décompter. A cet égard , la jurisprudence semble imprécise.
En ce qui concerne les sanctions prévues par le Dahir de 1926 sur le délit d’usure, l’article 1 er de ce texte prévoit une amende pouvant atteindre « la moitié des capitaux prêtes à un taux usuraire » et un emprisonnement de six jours à 6 mois avec ou sans publicité du jugement.
Paragraphe 2 :les délits relatifs à la réglementation des changes.
Les banques étant des intermédiaires agréés pour tout ce qui touche aux opérations de changes sont tenues de respecter l’ensemble des dispositions résultant des textes édictés par le ministre des finances et par l’office marocain des changes, on entent par opérations de changes toute opérations de se rapportant au commerce des devises (exportation de capitaux, change manuel, importations payées en devises) et des valeurs mobilières étrangères.
Toute infraction commise dans le cadre de cette réglementation est réprimée suivant les conditions établies par le dahir du 30 août 1949.
Mais la mise en œuvre de ce texte répressif est très difficile en raison de l’abondance des arrêtes, des instructions et des avis de l’office de changes.
Les banques commettent beaucoup d’erreurs dans les opérations qu’elles effectuent avec l’étranger compte tenu d’une part de la complexité de ces opérations et d’autre part de leur nombre , si à chacune des imprudences du banquier on appliquait à l’auteur des peines aussi excessives la sanction pénale sera beaucoup plus disproportionnée par rapport à la simple négligence du banquier et pousserait celui-ci à adapter une attitude très réservée pour ce genre d’opérations.
Certes la sévérité des sanctions pénales aux manquements à cette réglementations est atténuée par le pouvoir de transaction dont dispose le ministre des finances et le directeur de l’office des changes ART 11 du DH du 30-08-1949 ( ) du reste les poursuites pénales sont souvent arrêtées au niveau de ces autorités). Mais néanmoins ce texte répressif ne devrait pas être étendu au banquier, compte tenu des multiples obligations qui lui incombent dans le cadre des opérations de changes.
Dans le tableau des différentes infractions pouvant être commises par le banquier , nous n’avons cité que celles qui présentent certains rapports et certaines particularités avec cette activité, comme toute personne, il est certain que le banquier peut faire l’objet de poursuites pénales pour d’autres délits, tels que ceux relatifs aux sociétés, mais l’étude de ces différentes infractions relève plutôt du droit pénal des affaires, par conséquent , il apparaît que la profession bancaire ne peut pas encore prétendre à un droit spécial en raison de la rareté des infractions propres à cette profession( ).
Chapitre II : la responsabilité disciplinaire du banquier
Titre II : la responsabilité pénale et disciplinaire du banquier


M3  n'est plus publié par la FED ? Pourquoi ?


Et pourquoi donc le M3 n’est plus publié par la “Réserve fédérale des Etats-Unis” depuis le 24 Mars 2006 ?

Pour cacher la concentration voulue des économies, la destruction des PME-PMI, l'envolée du nombre des chômeurs et la destruction de pans entiers de nos industries à taille humaine (sic) !




Selon l’indicateur fourni par extrapolations et recherches au noir ( shadow )  « SGS M-3″, il semble bien en effet y avoir une chute vertigineuse de cette même simulation d’agrégat M3, conjointement à une hausse astronomique et simultanée de l’indicateur M1.

Les quantative easing illimités QE1, QE2, QE3... en M1 continuent cette tendance.

On cache le fait qu'ils coulent les PME en rappelant les crédits M3 et concentrent tous les pouvoirs.
La situation est même pire car la plupart des opérations sont hors bilans et hors statistiques.
Pour résister à cette centralisation dangereuse, la meilleure solution est de donner les QE aux citoyens, ce qui provoque une demande décentralisée. 
La production suit car ce sont des robots et des machines qui produisent avec une haute productivité, donc le risque d'inflation est quasi nul dans ce cas.
P= M/Q, les prix resteront stables si la Quantité des biens suit la Monnaie.
1= 10/10
1= 100/100
1= 1000/1000
CQFD
voir en Suisse, selon la Banque Nationale Suisse  www.bns.ch

extrait:

Le contraire de la création de monnaie - la destruction de monnaie - existe-t-il?

La destruction de monnaie peut s'expliquer d'une manière semblable à la création de monnaie. Un déposant décide de retirer son argent de son compte d'épargne et de le conserver en espèces. La banque en a toutefois prêté la majeure partie sous forme de crédit et n'en a gardé qu'un peu en réserve. Elle devrait par conséquent demander le remboursement du crédit qu'elle a accordé. Heureusement, le crédit arrive justement à échéance, et l'entreprise rembourse la banque en billets. La banque verse l'avoir à l'épargnant, et le crédit n'apparaît plus dans ses livres. La masse monétaire a été réduite du montant du crédit: il y a eu destruction de monnaie.


Destruction avec effet multiplicateur, comme maintenant un peu partout...

Selon la Fed dans son communiqué laconique du 10 novembre 2005, révisé le 9 mars 2006 :

“M3 does not appear to convey any additional information about economic activity that is not already embodied in M2 and has not played a role in the monetary policy process for many years. Consequently, the Board judged that the costs of collecting the underlying data and publishing M3 outweigh the benefits.”


Le meilleur indicateur de l’Italyxit est le niveau de l’agrégat monétaire M3-M2 (qui correspond à la trésorerie des entreprises) : d’après la Banque (centrale) d’Italie, il est tombé à un plus bas de… 26 milliards d’euros seulement fin février!
… alors que l’agrégat M1 représente plus de la moitié du PIB annuel (depuis 2009) au lieu de tendre vers 15 % du PIB selon les normes américaines.
Ainsi, plus de 600 milliards d’euros se trouvent donc indument dans les poches (en tant que billets) et sur les comptes courants des Italiens alors que sur cette somme, 500 milliards auraient dû rester dans les entreprises pour qu’elles puissent survivre puis investir et vivre normalement.
En réalité, la situation est pire encore car, d’après des aveux de Matteo Renzi, l’Etat devait 60 milliards d’euros mi-2014 à des entreprises italiennes qui attendent en vain le paiement de leurs factures en attente, ce qui n’est pas comptabilisé dans la dette publiqueitalienne.
L’effet létal de ciseaux des évolutions entre les agrégats, d’une part M3-M2 et d’autre part M1 et M2-M1 est une fois de plus très clair : l’abandon de la monnaie nationale laisse se développer sans la sanction de la dévaluation l’enrichissement apparent indu des ménages (par création monétaire) au détriment des entreprises.
Une grande partie du système productif disparait dans les pays dont les niveaux et les gains de productivité globale sont faibles (inférieurs à ceux de l’Allemagne) en particulier dans ces cochons de pays du Club Med.
Le naufrage est lent à apparaitre mais il est certain à terme.
La vieille Europe continentale aura été coulée par son ignorance du monétarisme, entrainée par les erreurs monumentales de ses dirigeants qui ont voulu damer le pion aux Américains qui conserveront ainsi leur leadership sur le Monde libre.
***

La Banque (centrale) d’Italie ne fournit pas actuellement de séries téléchargeables sur les données des agrégats monétaires. Les graphiques ci-dessus sont réalisés à partir des données mensuelles des années débutant en janvier 2013 et sur des données annuelles pour les années précédentes.
Une étude plus fine et complète sera faite dès que les données mensuelles depuis l’adoption de l’euro seront publiées par la Banque d’Italie.


Document 1 :
… ce qui représente moins de 2 % du PIB annuel, depuis le mois de juin 2014…
Document 2 :









UBS, une 3ème faillite ?





Banques UK



Pertes boursières et réelles, des milliers de milliards de capitalisation boursière ont déjà disparus, des fonds de pension, des retraites, des petits investisseurs, des familles, des ouvriers souffrent...

Lorsqu'une banque perd 1, le système de réserve fractionnelle aggrave dynamiquement par effet de domino accéléré cette perte de plus de 20 fois, sans compter les CDS, les opérations hors bilans et les dérivés ou "produits structurés" .

Une perte bancaire de 1 milliard de dollars remet en cause 20 milliards de dollars de crédit et même plus dans les pays qui ne respectent plus les limites dites de Bâle.

Quand un tel crédit est détruit, un multiple de l'argent disparaît, la crise s'aggrave d'autant plus vite. Ce système est stupide.

Kennedy l'avait bien compris, ainsi que les partisans du crédit social.

25'000 milliards de capitalisation boursière ont déjà disparus, des fonds de pension, des retraites, des petits investisseurs, des familles...

Combien sont à venir ? Quid du risque systémique sur les monnaies ?

Notamment après la crise des pays émergents et la faillite à milliards de Long Term Capital Management et de l'UBS reprise par la SBS en 1998, une réforme inefficace s'est réalisée par les accords de Bâle 2, soit en droit européen par les Directives 2006/48/EC et 2006/49/EC .

Après la crise des subprime, l'UBS a fait une 2ème faillite, sauvée in extremis par les contribuables suisses, qui le paient encore vu que l'UBS ne paie presque plus d'impôts vu l'amortissement des dettes et pertes gigantesques... et devrait respecter Bâle 3 ... http://www.bis.org/bcbs/basel3_fr.htm qui sont des mesures insuffisantes. Seule notre initiative monnaie-pleine peut encore nous sauver d'une guerre mondiale atroce. http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/signez-maintenant/

Faudra-t-il vraiment une 3ème faillite de l' Union de Banques Suisses pour que l'on comprenne la ruse et la cupidité maladive du système actuel ?

La première avec LTCM, la seconde avec les subprime, la 3ème peut être évités par 


Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir,  http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
http://desiebenthal.blogspot.ca/2014/12/le-conseil-federal-suisse-admet-le.html
En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )... 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/les-epargnants-premiers-perdants.html

En une seconde, lors de cette création "magique", ils assument un maximum de graves fautes qui nous volent tous, sauf eux qui se paient la part du lion, ce sont des contrats léonins, et de plus en plus vu les exponentielles dans le temps...
Ils nous volent aussi notre temps, nos épargnes, nos lignées...
Ce système arrive en fin de course, il n'a tenu que par la croissance démographique et c'est l'une des raisons des fortes migrations inhumaines favorisées par ce système qui a besoin d'esclaves pour se maintenir.
Les politiques de rigueur exigent le remboursement de ces montants, donc leurs destructions, ce qui aggrave la crise.

Juridiquement, qui est le vrai propriétaire des montants ex nihilo créés puis détruits ?
Historiquement, ils ont fait croire qu'il y avait plus de lingots de métaux précieux qu'en vérité ( mensonges), puis on fait des reçus sur ce néant ( Faux dans les titres, puis fausse comptabilité ), puis se sont associés ( vols en bandes organisées ), puis ont pris de forts intérêts ( péché mortel selon Vix pervenit sur ce néant ( donc des taux infinis ), vols par astuce, puis on exigé des faillites par cupidité maladive, ce qui tue les plus faibles... voir https://monnaie.wikispaces.com/Cr%C3%A9ation+mon%C3%A9taire A gauche, chez Étienne Chouard, les 2 piles des livres des économistes ayant écrit sur la création monétaire par les banques privées. La pile de droite (2 livres) est celle des (2) "économistes" (Paul Jorion qui s'est inspiré d' Helmuth Creutz) qui considèrent que les banques commerciales ne créent pas de monnaie. Helmut Creutz pourtant démontre l'horreur économique des taux d'intérêts qui volent à chaque cycle de contrats 99% de la population...
http://desiebenthal.blogspot.com/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/08/confessions-of-swiss-banker.html

Un banquier suisse, votre serviteur,  explique en 3 minutes l'arnaque de la création monétaire, avec le Canada comme exemple.
Vidéo Facebook :
https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/vb.152656254942354/398971633644147/?type=3&theater
Tiré de l'émission "Qu'est-ce qu'elle a ma girl" de becurioustv.com.


 La suite de la démonstration est encore plus précise, particulièrement entre 10:00 et 13:00 ! 
La pression monte !


http://desiebenthal.blogspot.com/2015/08/universite-de-fribourg-la-monnaie-bien.html

Résumé:

1. Pour éviter les politiques de rigueur destructrice et profiter de l'abondance rendue possible par les robots toujours plus efficaces, les moyens d'achat entre les mains de la population d'un pays doivent, en tout temps, être collectivement égaux aux prix collectifs à payer pour les biens consommables mis en vente dans ce pays; et ces moyens d'achat doivent être annulés lors de l'achat des biens de consommation.
2. Les crédits nécessaires pour financer la production doivent provenir, non pas d'épargnes, mais être de nouveaux crédits ex nihilo se rapportant à de la nouvelle production; et ces crédits ne doivent être rappelés que selon le rapport de la dépréciation générale à «l'appréciation» générale pour le bien de tous.
3. Vu la robotisation bonne en soi car libératrice, la distribution de moyens d'achat aux individus doit progressivement dépendre de moins en moins de l'emploi. C'est­-à-dire que le dividende ou revenu de base doit progressivement déplacer les émoluments et les salaires.
Explications détaillées:

Résultats de recherche

    François de Siebenthal: Le Conseil Fédéral suisse admet le ...

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    13 déc. 2014 - 12.3305 – Interpellation. Création de monnaie en Suisse (1). Déposé par. Müller Geri. Date de dépôt: 16.03.2012; Déposé au: Conseil national ...

    François de Siebenthal: Soutenir la monnaie-pleine en ...

    desiebenthal.blogspot.com/.../soutenir-la-monnaie-pleine-en-votant.html

    17 avr. 2015 - Déposé par : Geri Müller (Verts) Cosignataires: Gilli Yvonne (Verts), Girod Bastien (Verts), Leuenberger Ueli (Verts), Reimann Lukas (UDC), ...

    François de Siebenthal: Création monétaire du Franc ?

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    19 nov. 2013 - 12.3305 – Interpellation. Création de monnaie en Suisse (1). Déposé par. Müller Geri. Date de dépôt: 16.03.2012; Déposé au: Conseil national ...

    François de Siebenthal: Complots pour détruire la Suisse ...

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    5 févr. 2010 - 12.3305 – Interpellation. Création de monnaie en Suisse (1). Déposé par. Müller Geri. Date de dépôt: 16.03.2012; Déposé au: Conseil national ...

à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

François de Siebenthal: Derrière le "Da Vinci Code" et ...

desiebenthal.blogspot.com/.../derriere-le-da-vinci-code-et-anges-et.html

6 mai 2009 - La fontaine de Trevi –allégorie de l'abondance ou Vix pervenit, comment lutter contre les symboles monétaires qui prennent la place des âmes ...

François de Siebenthal: UNION DE FRIBOURG ...

desiebenthal.blogspot.com/.../union-de-fribourg-invitation-du-3-au-5.ht...

14 juin 2015 - La fontaine de Trevi –allégorie de l'abondance ou Vix pervenit, comment lutter contre les symboles monétaires qui prennent la place des âmes ...

Vix pervenit

www.de-siebenthal.com/Vix%20pervenit.htm

Sur les contrats: Vix pervenit. Objet et occasion de l'Encyclique 2. Nous avions appris qu'à l'occasion d'une nouvelle controverse. (dont l'objet consiste à savoir ...
Termes manquants : trevi

Vix pervenit - Wikipedia, the free encyclopedia

https://en.wikipedia.org/wiki/Vix_pervenit

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Vix pervenit: On Usury and Other Dishonest Profit was an encyclical, promulgated by Pope Benedict XIV on November 1, 1745, which condemned the practice of ...
Termes manquants : trevi

The interest kills children, kills nations. F. de Siebenthal

www.michaeljournal.org/siebenthal.htm

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Here are excerpts from a text written in 1995 by Mr. François de Siebenthal, from ... Pope Benedict XIV issued the encyclical letter Vix Pervenit, addressed to ...

Un bel exemple de cela peut être trouvé dans le «bill Goldsborough» de 1932, qu'un auteur a décrit comme étant «la réforme monétaire qui est venue le plus près de réussir en vue de l'établissement d'une monnaie véritablement saine aux Etats-Unis»:
«Une majorité écrasante des membres du Congrès américain (289 contre 60) était déjà en faveur de cette loi en 1932; et cela dure encore depuis, sous une forme ou sous une autre. Seul l'espoir futile que le nouveau Président d'alors (Roosevelt) puisse rétablir la prospérité sans abandonner le système d'argent-dette dont l'Amérique avait hérité, empêcha le Crédit Social de devenir la loi des Etats-Unis. En 1936, lorsque le “New Deal” (solution de Roosevelt) se montra incapable de régler efficacement la crise économique, les partisans du Crédit Social revinrent en force. Le dernier effort significatif pour gagner son adoption survint en 1938.» (W. E. Turner, Stable Money, p. 167.)
Même le dividende et l'escompte compensé, deux éléments essentiels du Crédit Social, étaient mentionnés dans ce projet de loi, qui fut surnommé «bill Goldsborough», du nom du député démocrate du Maryland, T. Alan Goldsborough, qui le présenta en Chambre pour la première fois le 2 mai 1932.
Deux personnes qui soutinrent le projet de loi retiennent particulièrement notre attention: Robert L.Owen, sénateur de l'Oklahoma de 1907 à 1925 et directeur de banque pendant 46 ans, et Charles G. Binderup, député du Nebraska. Owen publia un article en mars 1936 dans la revue de J. J. Harpell, The Instructor (et sa version française, Le Moniteur), dont Louis Even était le rédacteur- adjoint. Quant à M. Binderup, il donna plusieurs causeries à la radio américaine, durant la crise, pour expliquer les méfaits du contrôle du crédit par des intérêts privés. Voici des extraits du discours de Robert Owen à la Chambre, le 28 avril 1936:
«...le projet de loi qu'il (Goldsborough) présenta alors, avec l'approbation du Comité sur les Banques de la Chambre — et je crois que ce fut pratiquement un rapport unanime. Ce projet de loi fut débattu deux jours à la Chambre, un très simple projet de loi, établissant la politique des Etats-Unis de rétablir et de maintenir la valeur de la monnaie, et ordonnant au Secrétaire du Trésor, aux officiers de la Commission de la Réserve Fédérale et aux Banques de la Réserve Fédérale, de rendre cette politique effective. C'était tout, mais suffisant, et le bill passa, non par un vote partisan: 117 députés républicains votèrent en faveur de ce projet de loi (qui avait été présenté par un député démocrate), et le bill passa par 289 voix contre 60, et de ces 60 députés, seulement 12, par la volonté du peuple, sont encore au Congrès.
«Ce bill fut défait par le Sénat, parce qu'il ne fut pas réellement compris. Il n'y avait pas eu suffisamment de discussion à son sujet dans le public. Il n'y avait pas d'opinion publique organisée pour l'appuyer.»

L'éducation du peuple

Tout est là. Deux choses à retenir: Républicains comme Démocrates votèrent en sa faveur, et il n'y eut donc point besoin de «parti» du Crédit Social. De plus, Owen admet que ce qui manquait, c'était l'éducation du peuple, une force dans le peuple. Cela confirme la méthode de Vers Demain, préconisée par Douglas et Louis Even: il faut éduquer la population (en distribuant des circulaires et prenant de l'abonnement à Vers Demain).
Le bill Goldsborough était intitulé: «Loi pour rendre au Congrès son pouvoir constitutionnel d'émettre la monnaie et d'en régler la valeur; de fournir un revenu monétaire à la population des Etats-Unis avec un pouvoir d'achat fixe et équitable du dollar, suffisant en tout temps pour permettre à la population d'acheter les biens et les services désirés selon la pleine capacité des possibilités du commerce et de l'industrie des Etats-Unis... Le système actuel, qui émet l'argent à travers l'initiative privée pour le profit, résultant en fréquentes et désastreuses inflations et déflations, doit cesser.»
Le projet de loi prévoyait aussi un escompte sur les prix à être remboursé aux marchands, et un dividende, devant commencer à $5 par mois (en 1932), à chaque citoyen de la nation. Plusieurs groupes témoignèrent en Chambre en faveur de ce projet de loi, faisant ressortir qu'il contenait tous les mécanismes nécessaires pour empêcher toute inflation des prix.

Ignorance de la population

Le plus ardent opposant à ce projet de loi au Sénat était Carter Glass, ancien Secrétaire du Trésor, et farouche partisan de la «Federal Reserve» (contrôle privé de la monnaie). Aussi, le Secrétaire du Trésor (Ministre des Finances) de Roosevelt, Henry Morgenthau, fortement opposé à toute réforme monétaire, disait qu'il valait mieux «donner une chance» au «New Deal» de Roosevelt.
Ce qui aida le plus les adversaires du bill, c'est l'ignorance quasi totale de la question monétaire dans la population... et même dans le Sénat. Certains sénateurs, ignorant même jusqu'au mécanisme de la création de l'argent (crédit) par les banques, s'écriaient: «Mais le gouvernement ne peut pas créer de l'argent comme ça! Ça va faire de l'inflation!» Et d'autres, tout en admettant la nécessité de la création d'argent sans dette, ne voyaient pas la nécessité du dividende ou de l'escompte compensé. En fait, toutes ces objections tombent d'elles-mêmes après une étude un peu sérieuse du Crédit Social.

Il faut un dividende

Le Crédit Social établirait une finance au service de la personne humaine. Il ne financerait pas seulement la production de biens qui répondent aux besoins, mais aussi la distribution de ces biens pour qu'ils atteignent les besoins. Il ne suffit pas de produire, il faut s'assurer que les biens atteignent les besoins, que les produits atteignent les consommateurs, autrement, on produit pour rien. Le but de la production est la consommation. C'est ce qu'avait compris Owen, lorsqu'il déclarait ce qui suit:
«En 1932, la Réserve Fédérale combattit vigoureusement le bill Goldsborough, qui représentait la volonté d'une écrasante majorité de la Chambre des députés... Il y a beaucoup de mérites, selon mon opinion, dans le principe de distribuer autant que possible le nouvel argent créé au bas de l'échelle (directement aux consommateurs), tel qu'envisagé par le bill de M. Goldsborough et de M. Binderup, parce que de cette manière le pouvoir d'achat est produit dès le début, et sans pouvoir d'achat dès le début vous ne pouvez avoir de production maximum, parce qu'il est inutile de produire si vous ne pouvez pas vendre.»
Le dividende du Crédit Social est basé sur les deux plus grands facteurs de la production moderne: l'héritage des richesses naturelles et des inventions des générations précédentes, qui sont tous deux des dons gratuits de Dieu à tous les êtres humains sans exception. Loin d'être un encouragement la paresse, le dividende permettrait aux gens de se consacrer à des activités de leurs choix, pour lesquelles ils sont le plus qualifiés.

Manque de pouvoir d'achat

Il existe aussi un argument technique en faveur du dividende: l'écart entre le pouvoir d'achat et les prix, qui fut expliqué par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas (l'inventeur du Crédit Social) sous la forme du «théorème A + B»:
Les économistes prétendent que la production finance automatiquement la consommation, ou en d'autres mots, que les salaires distribués aux consommateurs suffisent à acheter tous les produits mis en vente. Mais les faits prouvent justement le contraire: pour pouvoir rester en affaires, le producteur doit inclure tous ses coûts de production dans son prix. Les salaires distribués à ses employés (que Douglas appelle paiements A) ne sont qu'une partie du coût de production d'un produit. Le producteur a aussi d'autres coûts de production (paiements B), qui ne sont pas distribués en salaires: les paiements pour les matériaux, les taxes, les charges bancaires, les frais pour dépréciation (le remplacement des machines qui s'usent ou se brisent), etc.
Le prix de vente du produit doit inclure tous les coûts: les salaires (A) et les autres paiements (B). Le prix de vente du produit sera donc A + B. Alors, il est évident que les salaires (A) ne peuvent acheter la somme de tous les coûts (A + B). Il y a donc un manque chronique de pouvoir d'achat dans le système actuel: Pour n'importe quelle période donnée, la somme des prix créés sera toujours plus grosse que la somme de pouvoir d'achat distribué.
Il faut donc une finance directe à la consommation, en dehors des salaires. Puisque les salaires sont inclus dans les prix, une hausse de salaires ne règlerait rien, entraînant automatiquement une hausse des prix. Il faut un revenu supplémentaire au moins égal à B. Les créditistes appellent ce revenu un «dividende».
Puisque le dividende n'a pas encore été appliqué dans le système actuel, il devrait y avoir, théoriquement, une montagne de produits invendus. Si le système actuel continue tant bien que mal, et qu'une certaine quantité de produits se vendent malgré tout, c'est qu'on a, à la place, une montagne de dettes!

L'escompte compensé

Il existe deux manières pour faire correspondre le total des prix au total du pouvoir d'achat entre les mains des consommateurs: soit abaisser les prix, ou soit augmenter le pouvoir d'achat. Le Crédit Social ferait les deux, sans nuire à personne.
Avec le système actuel, il est impossible d'abaisser les prix sans nuire au producteur, et impossible d'augmenter le pouvoir d'achat sans augmenter les prix. L'argent additionnel doit donc venir autrement que par les salaires: c'est le dividende du Crédit Social. Et le mécanisme pour abaisser les prix est appelé «escompte compensé» — un escompte sur les prix de tous les produits mis en vente, et cet escompte serait compensé, remboursé au marchand par l'Office National de Crédit. Cet escompte empêcherait toute possibilité d'inflation: en effet, la meilleure manière d'empêcher les prix de monter, c'est de les faire baisser.
L'inflation ça veut aussi dire trop d'argent par rapport aux produits. Or, avec le Crédit Social, il n'y aurait aucun danger d'inflation, puisqu'il y aurait toujours, en tout temps, autant d'argent que de produits: un équilibre constant entre le pouvoir d'achat et les prix: l'argent nouveau serait émis au rythme de la production, et retiré de la circulation au rythme de la consommation.
Tout ceci est expliqué forcément très brièvement, mais notre but est de montrer que le Crédit Social n'est pas une utopie, mais un système scientifique basé sur des faits, et qui peut être appliqué immédiatement dans n'importe quel pays. Le Crédit Social ne vise rien d'autre que de «rendre financièrement possible ce qui est physiquement possible.» Nous encourageons nos lecteurs à se mettre à l'étude du Crédit Social, et surtout, à le faire connaître aux autres, en demandant aux autres de s'abonner au journal Vers Demain. (Les détails sur les aspects techniques du Crédit Social sont disponibles dans la brochure de Louis Even,Une finance saine et efficace.)

Thomas Edison et Henry Ford

Terminons cet article avec les citations de deux grands citoyens américains, Thomas Edison et Henry Ford:
Edison: «A travers notre histoire, quelques-uns des plus grands Américains ont chercher à casser l'empreinte hamiltonienne (l'argent-dette d'Alexander Hamilton) sur notre politique monétaire, dans le but d'y substituer une monnaie stable en fonction des besoins physiques de la nation. Un manque de compréhension dans le public et chez les autorités, combiné au pouvoir des intérêts bancaires qui ont machiné des intérêts personnels dans la présente situation chaotique, ont jusqu'ici contrecarré tout effort.
«Ne les laissez pas vous embarrasser avec le cri de “monnaie de papier”. Le danger du papier-monnaie est précisément le danger de l'or — si vous en avez trop, ce n'est pas bon. Il n'y a qu'une règle pour l'argent et c'est d'en avoir assez pour mener tout le commerce légitime qui attend d'être fait...
«Si les Etats-Unis adoptent cette politique d'augmenter leur richesse nationale sans rien payer au collecteur d'intérêts — car toute dette nationale est faite d'intérêts à payer — alors vous verrez une ère de progrès et de prospérité dans ce pays qui n'aurait jamais pu arriver autrement.»
Et un appel d'Henry Ford:
«La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l'histoire.»
Jeunes, affamés de vérité et de justice, avez-vous compris? Joignez les rangs des apôtres du journal Vers Demain, pour le salut de votre pays et de tous vos concitoyens. Les Pèlerins de saint Michel ont besoin de vous, ils vous attendent!
Alain Pilote

Alain Pilote





For your interest and in response to François’ and Brian’s request, I attach a version of the Goldsborough Bill which was slightly amended by the Technical Studies Division of the American Social Credit Movement (See Gorham Munson (Aladdin’s Lamp:  The Wealth of the American People, New York, Creative Age Press, 1945, pp. 362-69):



I hope that this may be helpful.

Sincerely
Wally K.





avec le soutien de notamment


Willard E. Atkins, New York University, Frank Aydelotte, président du Swarthmore College, C. Canby Balderston, University of Pennsylvania,George E. Barnett, Johns Hopkins, président de l’American Economic, Association , John Bates Clark, Columbia University ,Miss Joanna C. Colcord, The Russell Sage Foundation,Morris A. Copeland, University of Michigan, Paul H. Douglas, University of Chicago, Howard O. Eaton, University of Oklahoma, Frank Albert Fetter, Princeton University, Frank Whitson Fetter, Princeton University, Irving Fisher, Yale University, Walton H. Hamilton, Yale University, Paul U. Kellogg, éditeur de Survey Graphic, Willford I. King, New York University, William M. Leiserson, Antioch College, Richard A. Lester, Princeton University, Harley Leist Lutz, Princeton University, James D. Magee, New York University , Otto Tod Mallery Broadus Mitchell, Johns Hopkins University,Sumner H. Slichter, Harvard University,harles T. Tippetts, University of Buffalo, acob Viner, University of Chicago ,harles R. Whittlesey, Princeton University, Joseph H. Willits, Dean of Wharton School, University of Pennsylvania, Leo Wolman, Columbia University

Loi pour une démocratie économique


Texte de loi US Goldsborough

Votée par 289 OUI  contre 60 non !

QE, de l'argent directement pour les personnes physiques et les familles !

La loi Goldsborough intitulée: «Loi pour rendre au Congrès son pouvoir constitutionnel d'émettre la monnaie et d'en régler la valeur; de fournir un revenu monétaire à la population des Etats-Unis avec un pouvoir d'achat fixe et équitable du dollar, suffisant en tout temps pour permettre à la population d'acheter les biens et les services désirés selon la pleine capacité des possibilités du commerce et de l'industrie des Etats-Unis... Le système actuel, qui émet l'argent ex nihilo, du néant, à travers l'initiative privée pour le profit, résultant en fréquentes et désastreuses inflations et déflations, doit cesser.»



La Lampe D'ALADIN


Qu'est ce que la démocratie économique? Beaucoup en parlent, mais de manière superficielle. La démocratie économique signifie que les individus dans la société ont davantage de contrôle sur leur environnement matériel. Pour être spécifique, ça signifie que l'individu est (1) capable d'accéder à un plus grand nombre de biens de consommation grâce à l'amélioration de son pouvoir d'achat, et (2) est en mesure d'exercer un plus grand nombre de choix dans le domaine productif qu'il souhaite intégrer. Les indicateurs d'une démocratie économique sont l'amélioration du niveau de vie pour tous, l'accroissement des possibilités pour l'activité productive, soit en matière d'emploi ou de loisirs. La théorie de la démocratie stipule que la société est organisée en vue de garantir le bien-être de l'individu. Le crédit social est ultra-démocratique et individualiste.

Projet de Loi

Prévoir une politique monétaire nationale qui réponde de façon définitive, aux exigences de l'industrie nationale et du commerce, tout en tenant compte des conditions imposées par notre pouvoir économique, ce qui permettrait que la consommation de biens et services se fassent dans les limites de notre capacité productive, la prestation maximale de biens et services de nécessité aux individus ou à d'autres fins.

Qu'il soit adopté par le Sénat et la Chambre des Représentants des Etats-Unis D'Amérique au Congrès ici réuni.

Tilte I. Dédommagement Axée sur les Prix au Détail

Considérant qu'il est de la prérogative constitutionnelle du Congrès de créer de la monnaie et en réglementer la valeur, et considérant que les réserves représentant des engagements bancaires pour leurs dépositaires, débiteurs, ou d'autres propriétaires ou titulaire de tels comptes ont la force et remplissent toutes les fonctions de monnaie et sont déclarés être de la monnaie, et considérant que la valeur de la monnaie se mesure par le pouvoir d'achat qu'il confère sur les biens  et services et toutes les autres formes de propriété ou droits de propriété ou preuve de la possession de tels droits et propriété, et considérant que le pouvoir d'achat de la monnaie varie inversement avec le prix de tels biens, services, propriété ou droits de propriété, et considérant qu'en vertu de la législation en vigueur concernant la création de dépôts bancaires et conformément à cette même législation et à la coutume en vigueur relative à la propriété privée, contrat et endettement, la somme totale des prix des biens et services produits tendent à dépasser la somme totale d'argent disponible pour les acheter, sauf à une perte financière des producteurs de tels biens et services, il est ici indiqué d'être la politique du Congrès d'ajuster et de contrôler le volume de monnaie de manière à le maintenir en permanence égal à la somme totale des prix de biens et services en vente, plus la somme totale des coûts non-réglés de biens et services en voie de production dûment comptabilisés, afin de faciliter le maximum de livraison de biens et services à la population des États Unis conformément à leurs désirs et en rapport avec la capacité de production de l'économie nationale.

SECTION 2: En application de cette politique, des billets de monnaie nationale doivent être émis pour financer une réduction sur les prix à la consommation au détail, comme prévu ci-après.

SECTION 3. Tel qu'utilisé dans le présent titre.

(a) Le terme "billets de monnaie nationale" signifie le cours légal adopté par les États Unis dans le paiement de toutes dettes et impôts, mais qui n'est pas disponible aux banques dans le cadre de leurs réserves de liquidité contre des dépôts, sauf sur la base de l'équivalent en dollar de la somme de leurs obligations.

(b) Le terme "réduction sur les prix au détail" signifie un chiffre de pourcentage à déterminer par la Commission Fédérale de Crédit et publié par le secrétaire ou trésorier comme indiqué ci-après, ce qui pourrait être appliqué comme une réduction sur les prix des biens et services que les détaillants offrent aux derniers clients.

(c) Le terme "dédommagement sur les prix" signifie le prix au détail des biens et services après l'application de la mesure de rabaissement du prix au détail. Les ventes de biens d'occasion ne seront pas concernés/n'entrent pas en ligne de compte dans le cadre de la réduction des prix au détail.

(d) Le terme "détaillant" signifie tout vendeur de biens, y compris logement et services, aux consommateurs finaux qui peuvent être identifiés comme personnes physiques, pour leur propre utilisation ou celle de leur famille et non pour la revente, mais aussi les sociétés de service dans la mesure où ils fournissent des services au détail au public destinés à l'utilisation personnelle ou celle de la famille.

(e) Le terme "services" peut-être compris comme le transport de passagers, distribution de gaz et d'électricité aux foyers à des fins domestiques, location de maisons, hospitalisation, soins médicaux, éducation, animation théâtrale, ou tout autre service professionnel ou non-professionnel qui pourrait être fourni par des individus, des partenariats ou d'autres organisations, à conditions que les prix chargés pour de tels services sont basés sur des principes acceptés de comptabilité analytique.

(f) Le terme "services" peut être compris comme le montant de la richesse nationale contre l'argent peut être délivré en toute sécurité sans qu'il en résulte des niveaux de prix inflationnistes.

Détermination de la Réduction sur les Prix au Détail

SECTION 4.

(a) A partir de 90 jours après le passage de la présente Loi, la remise de détail pour chaque trimestre doit être déterminée par la Commission Fédérale sur le Crédit et proclamé par le secrétaire du trésorier au premier jour de chaque trimestre ou à tout autre que la Commission Fédérale de Crédit recommandera.

(b) Après le passage de la présente Loi et jusqu'à ce que la réduction sur les prix au détail soit déterminée et proclamée comme indiquée précédemment, le rabais sera de 20 pour cent. Par la suite la réduction au détail sera ce pourcentage que la différence entre la valeur monétaire de la production nationale et celle de la consommation nationale apporte à celle de la production nationale. La production nationale doit inclure toutes les valeurs existantes qui  pourraient produits dans n'importe quelle catégorie de production, les importations, mais pas les comptes rendus du capital physique existant. La consommation doit inclure les ventes en détail, mais à un niveau qui correspond à celui d'un prix au détail non compensé, exportations, indemnités appropriées pour la dépréciation, perte et obsolescence. Pour en arriver à ces chiffres, seuls les prix et niveaux de prix existants doivent être utilisés, afin que les valeurs de production et de consommation exprimées soient toujours mesurées en fonction du Dollar existant.

(c) Si la consommation nationale comme décrit ci-dessus, doit à tout moment dépasser la production nationale, aucune remise en détail doit être proclamée. Après chaque proclamation de la remise/réduction, les données utilisées pour la déterminer doivent être mises á la disposition du public.

(d) Après le passage de cette Loi et dans le cas d'une Loi antérieure par laquelle le Congrès devrait autoriser que les paiements directs aux individus soient faits à partir du compte de crédit national, mais pas dans le règlement des bons de réduction au détail, alors tous ces paiements doivent être calculés par la Commission Fédérale de Crédit comme une addition à la consommation nationale pendant la période dans laquelle ils doivent être payés.

(e) Il est interdit à tout membre ou employé de la Commission Fédérale de Crédit de divulguer la réduction au détail ou toute autre information reçue ou employée en rapport avec la détermination de la réduction au détail avant que la réduction en question ne soit proclamée par le secrétaire du trésorier. Quiconque contrevient à une disposition du présent paragraphe doit être exclu ou licencié et doit être puni, sur déclaration de culpabilité, d'une telle violation par une amende de pas plus de $1,000, ou un emprisonnement de pas plus d'un an, ou tous les deux à la fois.

Application de la Réduction au Détail

SECTION 5. Après le passage de cette Loi la réduction au détail doit être appliquée dans le cadre d'achats de biens et services auprès des détaillants comme définie dans cette Loi, faits par des consommateurs qui sont des personnes physiques, pour l'utilisation personnelle du consommateur ou celle de sa famille et pas pour la vente, le commerce ou la fabrication. L'application de la réduction en question dans le commerce doit être attestée par des pièces justificatrices appropriées, formulaires prescrits par le secrétaire du trésorier. Ces Chèques doivent être utilisés dans le remboursement du détaillant pour la vente de biens et services à un prix compensé. Le but de cette Loi est de fournir un règlement continu par les banques aux détaillants pour vendre á un prix compensé comme prévu par la'article 7 de ce titre.

Contrats et Règlements

SECTION 6(a) Aucun détaillant n'aurait le droit à une compensation sur les ventes au rabais à moins qu'il envoie une demande à la secrétaire du trésorier, et aie reçu, un certificat d'autorité ou une licence, et aie accepté de se conformer à ces règlements de la comptabilité analytique et à un taux maximum de bénéfice sur le chiffre d'affaires des ventes qui sera déterminé par le secrétaire du trésorier après des audiences publiques ouvertes à toutes les parties intéressées. Il est du devoir de la Commission Fédérale de Crédit d'être représentée à ces audiences, pour défendre l'intérêt général du public consommateur, et de subordonner toutes les questions d'intérêt particulier à celui du crédit national tel que défini dans ce présent titre. Les décisions de la Commission Fédérale sur le crédit national sont définitives. Le secrétaire du trésorier peut révoquer ou suspendre tout certificat d'autorité ou licence délivré par lui à tour détaillant après un préavis raisonnable et la possibilité d'auditionner le détaillant, sur preuve que ledit détaillant ne s'est pas conformé aux règlements sur la base desquels son certificat et sa licence ont été délivrés.

SECTION 7.

(a) Pour compenser le détaillant pour le déboursement de l'escompte de détail, toutes les banques aux États Unis, ses territoires et possessions, engagés dans le commerce inter-étatique, sont autorisées et dirigés à accepter toutes les pièces justificatrices attestant de l'escompte de détail et inclure dans les dépôts réguliers de leur clientèle qui détient des licences de décaisser la remise, et d'honorer ces bons comme s'ils étaient des dépôts en espèces au montant des déboursements mis en évidence.

(b) Les banques entrant des crédits aux déposants en raison des bons de réduction au détail doivent les charges sur le compte de leurs notes en monnaie nationale, et le secrétaire du trésorier , ou son agent doit remettre à ces-dits banques, sur demande, les billets en monnaie nationale á une valeur nominale équivalente aux bons d'achat inscrits dans le registre de la banque. Les banques auront le droit de fixer des frais de service raisonnables à ces déposants pour les services rendus. Le montant de cette taxe doit être fixé par la Commission Fédérale de Crédit.

(c) Les comptes de dépôt des détaillants rédigés par le présent procédé doivent être traités par toutes les banques en tant que partie de leur dépôts en circulation juste comme si le compte rendu a eu lieu grâce à l'actualisation des notes propres aux clients et les chèques qui en sont tirés doivent se faire comme d'habitude.

Titre II - La Commission Fédérale de Crédit

Organisation et 

Commission



SECTION 201.


(a) Pour réaliser l'objet de la Loi il est créé la Commission Fédérale de Crédit (appelé dans ce titre la "Commission"). La Commission doit être composée de 7 commissaires qui seront nommés par le Président par et avec l'avis et le consentement du Sénat. Nul ne doit être admissible à une nomination en tant que commissaire à moins qu'il soit un citoyen des États Unis et dans le jugement du Président qualifié pour développer des connaissances approfondies sur des problèmes économiques, industrielles et statistiques et d'effectuer efficacement les tâches requises par la présente Loi. Pas plus de quatre des commissaires doivent être membres du même parti politique. La durée de mandat des commissaires va expirer comme indiqué par le Président. Une à la fin de chacune des sept premières années après le passage de la Loi. La durée de mandat du successeur expirera sept années à partir de la date de l’expiration du mandat pour lequel son prédécesseur a été nommé, sauf un commissaire nommé pour combler une vacance survenant avant l'expiration de la période pour laquelle son prédécesseur a été nommé doit être nommé pour le reste de ces termes. Les commissaires doivent être admissibles pour une deuxième nomination et recevoir une pension de retraite équivalente à $xxxxx par an pour chaque année de service, mais pas plus de $xxxxzzz par an.


(a) Les commissaires doivent être membres d'office du Conseil de la Réserve Fédérale.

(b) Le Président doit désigner chaque année une des commissaires d'agir en tant que Président de la Commission. Chaque commissaire va recevoir un salaire de $xxxxxx par an. Aucun commissaire ne doit s'engager dans une autre affaire, vocation ou travail autre que celui de servir comme commissaire.


Les Devoirs de la Commission


SECTION 202


(a) Il est créé un compte dans la trésorerie des États Unis qui sera le compte de crédit. Ce compte sera crédité de temps en temps à la direction de la Commission avec la différence entre la valeur du Dollar de la production nationale et celle de la consommation nationale, comme déterminé par la Commission, quand la valeur de la production nationale est plus grande que celle de la consommation nationale. A la fin de chaque période, le montant du compte de crédit national qui ne devrait pas être retiré dans cette période doit être radié. Si avant la fin de chaque période le compte du crédit national aura été complètement vidé alors les ventes et l'acceptation bancaire de bons de ventes en détail continuent au compte de détail autorisé, la commission peut à sa discrétion habiliter le secrétaire du trésorier à continuer de fournir des notes en monnaie nationale sur la demande des banques jusqu'à nouvel avis de la Commission et cette monnaie supplémentaire ne sera pas une charge sur le compte de crédit national dans toute période future. La Commission peut également réduire ou suspendre la remise de détail avant l'expiration d'une période en conformité avec les prochains chiffres pour la production et la consommation nationale qui pourraient être en sa possession.


(b) La Commission devra trouver tous les voies et moyens raisonnables pour déterminer le compte de détail aussi précis que possible strictement en conformité avec les méthodes Prescrites en SECTION 4 du titre I de la Loi et sans aucune influence ou des conseils étrangers. Les décisions de la Commission concernant le compte en détail doivent être définitives.


(c) La Commission doit établir un bureau statistique pour collecter et coordonner les données nécessaires à l'exécution des dispositions de la présente Loi et doit être guidée dans ces décisions par les faits révélés. Tous les départements statistiques de l'État Fédéral et de l'administration municipale doivent fournir cette aide et information comme requise par la Commission. La Commission doit avoir l'autorité de requérir des données et statistiques de toutes les organisations économiques, associations de commerce, affaires privés ce qui peut du reste être requis dans le jugement de la Commission pour exécuter les dispositions de cette Loi.


(d) Il doit être le devoir de la Commission de fixer les frais de service pour le traitement des bons de réduction au détail par les banques pour leurs clients comme prescrit dans la Loi.


(e) Il doit aussi être le devoir de la Commission de tenir des audiences sur et pour rendre publiques les bénéfices des grossistes, fabricants, premiers producteurs, et les spéculateurs, et de recommander au Congrès une Loi réparatrice ou des mesures fiscales spéciales en ce qui concerne ces gains si dans le jugement de la Commission, ils proviennent d'une augmentation irraisonnable dans l'usine, les matières premières ou des prix en gros qui, par la trop hausse de la valeur en Dollar du compte de crédit national va l'amener à contribuer à une inflation contenue artificiellement et la distribution inéquitable du revenu national total au détriment de toute catégorie ou section.


Interférences dans les Fonctions de la Commission


SECTION 203


(a) Il est interdit à toute personne -

            (1) d'empêcher ou tenter d'empêcher par force, intimidation, menace, promesse ou de toute autre manière tout membre ou employé de la Commission les fonctions qui lui sont imposées par la Commission.

            (2) d'induire ou tenter d'induire avec des moyens similaires tout membre ou employé de la Commission pour prendre toute décision ou ordre en ce qui concerne toute question sous l'autorité de la Commission; ou

            (3) d'induire ou tenter d'induire, par des moyens similaires, tout membre ou employé à divulguer toute information quelle que soit, sauf à travers les canaux permis par la Loi.

            (b) Quiconque viole toute disposition de cette section sera puni sur la base d'une conviction d'une telle violation, d'une amende de pas plus de $bbbbb ou emprisonnement pas plus d'un an, ou tous les deux.


Titre III - Les Dispositions Générales


SECTION 301. Toute personne qui viole l'une des dispositions de cette Loi devra au cas où d'autres mesures répressives ne sont pas expressément prévues par cette Loi, soit punie sur la conviction d'une violation, d'une amende de pas plus de $1000 ou d'emprisonnement d'un an, ou tous les deux.


SECTION 302. Le secrétaire du trésorier est autorisé à élaborer de telles règles et règlements qu'il jugera nécessaire pour l'exécution des dispositions de cette Loi.


SECTION 303. Ils sont ci-après autorisés à transférer chaque année des sommes qui peuvent être nécessaires pour l'exécution des dispositions de la présente Loi.


SECTION 304. Toutes les lois ou parties de lois inconsistants ou en conflit avec les dispositions de cette Loi sont abrogées dans la mesure de cette incompatibilité et conflit.


SECTION 305. Au cas où toute disposition de cette Loi, ou son application à toute personne ou circonstance, est jugée invalide, ce qui reste de la Loi, et l'application d'une telle disposition à d'autres personnes et circonstances, ne sera pas ainsi affectée.  

BILL TO LIFT PRICES IS PASSED BY HOUSE BY 289 VOTES TO 60; Goldsborough Measure Directs Reserve Board to Control Credit and Currency. 


http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/relance-dune-economie-nationale.html

3 commentaires:

Anonyme a dit…
Voilà le résultat de mon insomnie et de toute mes lectures au sujet du RBI.
Les slogans et le texte peuvent être repris (corrigé)en entier ou séparément pour la campagne du RBI. Je serrai à Geneve le 8 mars. Merci pour votre engagement et vivement que la campagne commence vraiment. J'ai discuté avec des personnes en vacances de tout les cantons de suisses romande et très peux sont au courant de cette votation.
"Jouer à la loterie est une utopie pour vous faire croire que votre chance existe.
Voter le 5 juin pour le RBI est votre droit de citoyens suisse vertueux, valeureux et visionnaires.
Appliquer la volonté du peuple est le devoir des politiciens que vous avez choisi pour vous servir.
83fr30 tout les jours du reste de votre vie ne libérerai pas votre esprit créatif et positif pour rendre à votre pays plus que ce qu'il a la possibilité de vous donner?
La Suisse sera comme très souvent un exemple pour les autres peuples.
La Suisse à toujours utilisé la matière grise à bon escient.
Le travail accompli par les Suissesses et Suisses depuis 1945 doit revenir aux Suisses. Non pas aux quelques personnes qui utilisent trop bien le système macroéconomiques.
Créer le 5 juin le RBI en Suisse libérera la nouvelle génération d'un système économiques mondiale en faillite virtuelle et bientôt réel.
Nos valeurs depuis 700 ans doivent nous aider à être encore une fois l'exemple de la démocratie mondiale.
Rejetons ce que nous craignons le plus.:La dette pour nos enfants.
Notre pays en à les moyens car nous sommes ça principale matière première. Les Suisses et Suissesses aiment les idées simples et pragmatiques. Le RBI en est le meilleure exemple pour les futures générations.
Le système bureaucratique de protection sociale actuelle est beaucoup trop compliqué et par à la faillite. En cause, ses frais de fonctionnement boulimiques et le monde du travaille en phases de révolution systémique. Un oui au RBI le 5 juin permet de faire une transition extrêmement efficace et indispensable à l'économie Suisse. Tout les partis politique vous dirons merci pour cette solution. La révolution pacifique par les urnes c'est votre choix, votre avenir et votre responsabilité et votre liberté. "

Raphaël Antonier
Anonyme a dit…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/suicide-assiste-et-euthanasie-active.html
Anonyme a dit…
On aura une forte inflation
Réponse:

L'inflation est une vieillerie, on peut surproduire de tout de moins en moins cher et on comble le trou entre pouvoir d'achat et les prix par les deux outils que sont le dividende et l'escompte compensé. De plus, on supprime l' autre inflation, la dilution monétaire de la monnaie de singe actuelle créée du néant par toutes les banques commercilae du monde. par la monnaie pleine.

#sovereign #money #Vollgeld

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Chicago plan, social credit, sovereign money and basic income



Who understands really that all money circulating is done and destroyed only by commercial banks at compound interest ? 

0,0001 % of the people !


This article by IMF researchers is worth reading in the context of Social Credit, I think. I found section on the history of money to be quite interesting. The Swiss Vollgeld Initiative, which was mentioned earlier in conversations of the Group, draws on this plan, developed during the Great Depression largely by Henry Simon of the University of Chicago and Irving Fisher of Yale. It seeks to address some of the same problems on which Maj. Douglas focused, but not the distributional elements which are so important in Social Credit. However, in light of the fact that the developers of this Plan are revered figures in the history of economics, and that advocates can point to IMF analysis testing each of the major propositions, and that the Swiss may actually implement it, it has a lot going for it. Can anyone point to similar analysis and testing of the Social Credit program? What are the "facts-on-the-ground" and what have they been historically? Is there any serious and credible effort underway anywhere, in any jurisdiction, to implement Social Credit (as the Vollgeld initiative is doing in Switzerland for The Chicago Plan)? Can we honestly say that across the globe, initiatives targeting the current financial system are strong and gaining ground? Where and how? The devil (and everything else) is in the details.

https://www.imf.org/external/pubs/ft/wp/2012/wp12202.pdf

Experiments:




There have been many proposals for “monetary reform” especially in response to adverse economic conditions. They usually have advocated especially returning or establishing money creation by the State, 100% money and stable prices, etc., none of which are Social Credit objectives which include the decentralization of credit-power and falling prices to realistically reflect real increases in efficiency, et. As you have observed, none of these various experiments were concerned with the problem of distribution as technology replaces human effort as a factor of production. They were and remain today primarily concerned with exchange rather than distribution. There was an experiment in Austria during the inter-War period with the “Notgeld”. State credit was used to subsidize consumer prices and apparently during this period Austria was the most prosperous of all nations. However, the Austrian National Bank intervened and stopped the experiment, upon which the national economy was thrown into economic depression. The “wara” experiment in Bavaria had also been terminated by action of the Reichsbank. Money or credit is the “commodity” sold by the banking industry and their inclination is to make it scarce to enhance its value. Predictably, the recent Swiss referendum on a guaranteed income was soundly defeated because it was to be tax-funded.

Sincerely
Wally

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/09/why-swiss-national-bank.html

François de Siebenthal: Launch of the Sovereign Money Initiative in ...

desiebenthal.blogspot.com/2014/06/launch-of-sovereign-money-initiative-in.html
 
4 juin 2014 - At that time we decided to start a sovereign money (Vollgeld) initiative in Switzerland. As a citizen of a country with its own currency and the ...

François de Siebenthal: “Sovereign money”, alias Monnaie-pleine in ...

desiebenthal.blogspot.com/.../sovereign-money-alias-monnaie-plei...
  
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13 sept. 2016 - Monnaie-pleine, alias “sovereign money” à Chicago. Confirmed Speakers: Joseph Huber is the key monetary reformer of Germany. Founder of ...

François de Siebenthal: Banksters, give it back

desiebenthal.blogspot.ch/2016/01/banksters-give-it-back.html?m...
  
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29 janv. 2016 - The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of people would like, and is also what the majority of people think we ...

François de Siebenthal: The money masters, by Bill Still

desiebenthal.blogspot.ch/.../the-money-masters-by-bill-still.html?m...
  
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9 avr. 2016 - The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of people would like, and is also what the majority of people think we ...

Give it back! Englisch Medien Klagemauer TV - YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=esH0fWbMHKI
29 janv. 2016 - Ajouté par François de Siebenthal
François de Siebenthal ... The effect of the Swiss sovereign money initiative is what the majority of ... Please ...

Payer en Lémans, Farinets ou Francs suisses?

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Un nouveau vent frais en finance à la suisse?

Payer en Lémans, Farinets ou Francs suisses?



Tour d’horizon des monnaies parallèles, de leur fonctionnement et de leur impact économique.



Source: Wikimedia

Les monnaies locales ont actuellement le vent en poupe en Suisse romande. Le Léman a fait son apparition en 2015 et le Farinet valaisan est en cours de préparation, sans oublier les fameux chèques REKA et la banque WIR. Mais la tendance est bien plus globale. Bernard Lietaer, économiste et spécialiste des questions monétaires internationales, a recensé plus de 13’000 expériences de monnaie parallèle en 2014.
Pourquoi aurait-on besoin d’une monnaie alternative?

Pourquoi faudrait-il se balader avec deux portemonnaies, un pour chaque devise, alors qu’un seul pourrait suffire? Après tout, avec la création de la zone euro, la tendance de ces dernières années était plutôt à l’abandon de sa monnaie nationale. On trouve bien sûr dans l’histoire des expériences de monnaies parallèles, mais ces monnaies ont généralement émergé à cause de conditions économiques difficiles (système bancaire instable, rareté de la monnaie nationale, forte inflation, haut taux de chômage, etc.). La situation économique stable de la Suisse romande ne justifie pas l’émergence de ces monnaies locales, la raison est donc ailleurs…

D’après Christian Arnsperger, professeur de durabilité et anthropologie économique à l'Université de Lausanne, la multiplication de ces monnaies parallèles témoigne de la volonté des citoyens de reprendre le contrôle de l’argent utilisé au quotidien. Comme la monnaie nationale est mise en circulation via le système bancaire, ce sont les banques qui déterminent l’allocation des fonds et, par conséquent, quelles entreprises sont soutenues (ou non) par un crédit. Les monnaies locales permettent de se réapproprier la monnaie en contournant les banques et en mettant «l’humain» au cœur des échanges économiques.

Généralement le fruit d’une association ou d’une collectivité, ces monnaies ont pour but de favoriser l’économie locale et les échanges entre particuliers et entreprises. Les prestataires qui acceptent cette monnaie s’engagent à promouvoir les valeurs fixées dans le projet associatif (utilisation de produits locaux, respect de l’environnement, promotion de la culture locale, etc.). C’est la raison pour laquelle certains commerces ou producteurs (par exemple les chaînes de grande distribution) en sont de facto exclus. En général, ces monnaies locales ont aussi des préoccupations globales telles que la lutte contre la spéculation, la toute-puissance des banques ou encore les risques de défaillance monétaire et financière globale.
Comment ça marche?

Sous forme papier et/ou numérique, ces monnaies ont généralement une parité fixe avec la monnaie nationale et leur convertibilité est contrôlée. Par exemple, 1 Léman est égal à 1 Euro (et à son équivalent en Franc suisse). Pour chaque Léman émis, sa valeur en Euro/Franc suisse est déposée sur un compte en banque:



Source: Arte (Futuremag). Monnaie complémentaire: à quoi ça sert?Youtube

Si l’on souhaite convertir son Léman en Franc suisse, on peut tout à fait le faire chez un «agent de change». Cependant, seulement 95% du dépôt est rendu, les 5% restants étant reversés au Fonds d’investissement de la Communauté de paiement en guise de frais de solidarité. Ces pénalités de «sortie» visent notamment à limiter les risques de revente en masse.

Globalement, ce système privilégie les circuits courts car il n’y a aucun intérêt à épargner (aucune rémunération), ni à thésauriser, ni à spéculer! Ces monnaies encouragent donc l’argent à circuler localement. Le but est de changer la façon de consommer des gens et de créer un «cercle vertueux local»: les ménages l’utilisent pour consommer local, les commerçants les réutilisent pour payer leurs fournisseurs locaux, et ainsi de suite. Cependant, le système n’est viable que s’il y a suffisamment d’adhérents qui y participent et si chaque partie prenante est bien représentée. Un commerçant qui accepte les paiements en monnaie locale doit pouvoir les dépenser. Le danger est que celui-ci doive les stocker en continu sans pouvoir les utiliser. Ce problème menace le système car le commerçant en question pourrait décider de ne plus accepter de paiement en cette monnaie, ce qui aurait des répercussions sur le reste du système. Il semble donc primordial d’intégrer des prestataires variés et des acteurs importants afin d’avoir un impact réel.
Y a-t-il un impact économique réel?

Malgré un certain dynamisme dès leur lancement, l'attrait pour ces monnaies parallèles semble s’essouffler au cours du temps.Collom (2005) a en effet recensé 82 systèmes de monnaies locales aux Etats-Unis entre 1991 et 2004, mais seulement 17 étaient toujours actifs en 2004. Krohn et Snyder (2008) ont évalué l’effet des monnaies parallèles sur l’économie locale aux Etats-Unis, en période de stabilité économique. En comparant le taux de croissance par habitant des villes ayant fait l’expérience d’une monnaie locale par rapport à celles qui n’en ont pas eu, les auteurs n’ont observé aucun effet significatif. Quant au profit généré par la création monétaire, le seigneuriage, celui-ci semble minime. Remarquons tout de même que les auteurs de cette étude ne font pas de distinction entre le revenu des établissements appartenant à des propriétaires locaux ou non. Une telle distinction pourrait ainsi aboutir à une autre conclusion.

Mais les chiffres ne sont pas tout, même si les bénéfices économiques apparaissent faibles, voire inexistants, il est nécessaire d’avoir une appréciation plus qualitative de ces monnaies locales. L’engagement citoyen, la promotion de valeurs écologiques ou encore le changement pratique au niveau local peuvent avoir des implications plus globales.

Blogs apparentés:
Faut-il redonner le monopole de la création monétaire à la BNS?
Faut-il investir dans le bitcoin?

Pour en savoir plus:
Module «Monnaie et échange»
Module «Politique monétaire»
Le Temps. Les «SELs» tissent l’entraide à l’infini. (02.08.2016)
Article sur les plateformes d’échanges locales contournant les monnaies traditionnelles.
RTS (Info, Dossier). Léman, Farinet: à quoi servent les monnaies locales?
Dossier complet sur les monnaies locales en Suisse romande.
ARTE (Futuremag). Des monnaies locales complémentaires. (11.10.2014 – Durée: 14:03)
Reportage sur les monnaies locales en France.

Maude Lavanchy,
Doctorante en sciences économiques et assistante à l’Université de Lausanne.

Cet article est une contribution d’une invitée. Son contenu n’engage que la responsabilité de l’auteur.
THÈMES: Argent, monnaie et finance; Etat et société


MAUDE LAVANCHY, JEUDI, 1 SEPTEMBRE 2016, 09:09

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Lémans
#Farinets
#Francs
#Wir
#Reka
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How to create local systems with social credit ?

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http://www.marketoracle.co.uk/images/US_Dollar-fiat-currency.jpg 
http://www.michaeljournal.org/usdebtchart.jpg

Total of US debts in 2008, more than 100 trillions...



Dear Larry,

You wrote:

"...Many people who strive for Christian justice in many areas , such as protecting the unborn like myself, and have been highly discriminated against in our jobs and income, and so often, we too have only the grace of God to depend on for our daily income. "
...
This is the good and hard way, but please, see and spread the whole truth, even in the economics.

We can all be generous if the system is just. Better a small light than darkness...

$$$$$$$$$ and inflation
Social credit lifeboats, free local systems are much better than a centralized sinking $ystem...
http://www.jimcarroll.com/weblog/archives/pictures/titanic.jpg

The big $hip is $inking, learn how to create local systems lifeboats now.

--

Interview with Francois de Siebenthal, July 2008, by Yves et Marie-Anne Jacques

YJ:
Francois, You are a banker from Switzerland, trained as a professional banker and economist, is that correct?

FS:
Yes.

YJ:
And you've been an economist for how many years?

FS:
For more than twenty-five years.

YJ:
Some textbooks and other sources mislead the people saying that banks lend from the depositors savings. Can you tell us the truth of how this really happens?
FS:
The truth is that credit makes deposits, and not the other way around. This means that for example, more than 90% of the money in circulation was created out of thin air. We can estimate that 99,99 % of the US dollar is created out of nothing. We call that Fiat Money, Ex Nihilo. The problem is that on the whole, they have been using the credit system to sustain the growth of the United States, to conserve the American economy at the cost of the poor of the whole world and even from USA.
Recently the financiers even used the real estate market of the United States to uphold the credit industry. They have created massive amounts of credit (Ex Nihilo from thin air) as loans for real estate, and then sold the American mortgages to investors such as Fanny Mae and Freddie Mac at huge profits. They then used the massive import of funds and savings from all over the world to tell the American people that the value of the American industry is rising all the time. But now we have reached a limit in credibility and it (the American dollar) is starting a downslide. It has lost 60% of its value already since the beginning of the Iraq war. The entire system is a lie, and it is causing a massive lack of confidence, and of faith…

When credit is created just to sustain the virtual growth of the economy, there are various ways to get out of it. One of them would be to create a general war with millions of victims, or a bloody revolution, or even a credit crunch such as Japan experienced with its liquidity trap and massive depopulation, or then again, a general collapse of the economy such as in1929.

YJ:
So this is their solution?

FS:
Yes, from my point of view the International bankers are planning new wars and revolutions. I think that the best solution would be to do as the poor people of the US did in 1929; establish local banks with 6,000 local currency systems. We can improve all those local systems and coordinate them, like a franchising chain of free and open local banks sharing the same values and open to all people of good will.
You can find such a proposition at www.pavie.ch with all the details on how to function as it already does in some poor countries.
 The dollar will collapse for sure, and you need to persuade everyone to start local systems, improved LETS (Local exchange systems) with dividends and compensated discounts ( see "social credit" on internet). In fact, the dollar is collapsing faster now; its value is going down all the time. For instance, when I began in the banking business the dollar was nearly four Swiss francs to one dollar. Now it is one Swiss franc to one dollar. So it is, in fact, a massive inflation. If a Swiss, for example, wants to buy a Chevrolet, he must convert it to cheese, watches, machinery and other goods. If an American wants to buy a Swiss watch, he pays in dollars. And what is a dollar? It is a piece of paper on which is printed, "One dollar: in God we trust" or just some bits in computers.

YJ:
Do you think that the reason they want the US dollar to collapse in the United States is because they want to change the dollar for the Amero?

FS:
Yes. What they are doing is the same as they did in 1929. The banks print and open more credits to buy more assets very cheap, that way they control most of the people and you can do nothing without their consent. The Patriot Act is a method to dictatorship. They suddenly want to change all notes and put RFID devices in all the currency.

YJ:
What do you think of people who say we should exchange US dollars to Euros or Japanese Yens?
 FS:
If the dollar is collapsing and the same people are behind the Euro or the Yen, it will come to the same conclusion. Let's speak about the Japanese Yen. In Japan there is a big, big problem with the population. One third of the Japanese population will disappear before 2050, It is already beginning. There will be a massive depreciation in the real estate markets and this will create a huge crisis, even bigger than the United States, because the Japanese will not allow immigration. The only solution I can foresee for the Japanese is a massive drop in the price of properties. Already I have information from Japan that they are pushing to establish euthanasia. You know the situation is nearly a war, a war against the weakest in society. They are buying a lot of robots to cope with this trend. The real truth is that they want a massive reduction in the population; by the billions…
Julian Simon said in his book " the ultimate Resource 1" that he was paid by those people to prove that Earth was overpopulated, but he wrote books and articles proving exactly the opposite.
The Ultimate Resource (now The Ultimate Resource 2) and Population Matters discuss trends in the United States and the world with respect to resources, environment, and population and the interactions between them. Simon concludes that there is no reason why material life on earth should not continue to improve, and that increasing population contributes to that improvement in the long run. Those popularly-written books develop ideas positive and foresaw the falling natural resource prices, increased world oil supply, and decline in farmland prices. His view of population economics is unique and persuasive. Discussion covers resources, environment, population growth and his analytical methods.
As said on Amazon, Julian L. Simon is the world's greatest contrarian's. The Ultimate Resource 2--an update, not a sequel, despite the title--skewers the sacred cows of environmentalism, population control, and Paul Ehrlich. In the contest between resource scarcity and human ingenuity, Simon bets the farm on the ability of intelligent people to overcome their problems. Thankfully, he is not a theorist. This book lays out convincing empirical evidence for Simon's prediction of a prosperous future. The key to progress is not state-run conservation programs, he says, but economic and political freedom. Only then can talented minds properly apply themselves to our earthly dilemmas.
To read this book, see this link.
http://www.juliansimon.com/writings/Ultimate_Resource/
He wrote in his book "Population's matters" how he was ostracized by the "rulers" of the new world disorder.
Play list for all Julian L. Simon 's videos. http://www.youtube.com/view_play_list?p=DDAF5AC211C1A0AE List of all videos http://www.youtube.com/watch?v=uLQoa_FA_zo http://www.youtube.com/watch?v=xSQw4X5ET-o http://www.youtube.com/watch?v=GKrmtxTclfo http://www.youtube.com/watch?v=Zn6zo8MOuwQ http://www.youtube.com/watch?v=M7P6QLQiSBI http://www.youtube.com/watch?v=jLdNMzcgTaY
www.ideachannel.com for more «
The members of those Clubs hate poor peoples. Most of these wealthy "New World Order people" are racist, in fact racists of the worst kind. They condition people to believe that our Earth is overpopulated. The poor are corralled like cattle into big cities such as Mexico, to control them and to prove they are right. But in fact, the rest of the Earth is empty. The world is huge and we can feed more people. Ramses of Egypt had this way of thinking and he killed all the male Jews. Now we have "white" bankers living in New York, London and Paris doing the same well-paid job; killing millions or even billions of aborted-children by (financial soft Gulags) to earn billions of dollars.
You should also all see the film: " Freedom to Fascism" from the Filmmaker Aaron Russo who has exposed his first-hand knowledge of the elite global agenda during a video interview and live on Alex Jones' nationally-syndicated radio show.
Nick Rockefeller told Russo about the plan to microchip the population, ( see Bilderberg and micro-chip on internet) warned him about 'an event that would allow us to invade Afghanistan and Iraq' some eleven months before 9/11 and foretold the fact that the 'War on Terror' would be a hoax wherein soldiers would be looking in caves for non-existent enemies. Rockefeller also tried to recruit Aaron Russo to the Council on Foreign Relations during the tenure of their friendship. Now, a picture send by the Russo family verifies that friendship and strengthens evidence of the global agenda which Rockefeller related to the filmmaker so frankly during their private conversations. Russo goes in-depth for first time on the astounding admissions of Nick Rockefeller, including his prediction of 9/11 and the war on terror hoax, the Rockefeller's creation of women's lib, and the elite's ultimate plan for world population reduction and a micro-chipped society Aaron Russo joins Alex Jones for a fascinating sit-down in depth video interview on a plethora of important subjects. In the full interview, available on Google Video, Aaron begins by describing how the draconian and mafia tactics of Chicago police woke him up to the fact that America wasn't free after his nightclub was routinely raided and he was forced to pay protection money. Aaron and Alex then cover a broad range of topics including the private run for profit federal reserve, Aaron's experience in the late 80's with the IRS when they retroactively passed laws to punish silver and gold traders, the real meaning of the word "democracy," what really happened on 9/11 and Aaron's relationship with Nick Rockefeller, who personally tried to recruit him on behalf of the CFR. Aaron also relates how Rockefeller told him that the elite created women's liberation to destroy the family and how they want to ultimately microchip and control the entire population. Rockefeller also told Russo, before 9/11, that an unexpected "event" would catalyze the U.S. to invade Afghanistan and Iraq. After you watch this, please check out the full 69-minute interview. Here's the link: http://video.google.co.uk/videoplay?docid=5420753830426590918
Plus most lies about the CO2 pollution, see: http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758
YJ:
Can you explain to us briefly, how money is created today and how it should be created? Then maybe we can speak about interest.

FS:
In the United States most of the money as credit bearing interest is created by the Federal Reserve Board and other private banks. The Federal Reserve is about as Federal as the Federal Express. That means that it is a private company owned by a few people. I have a list of about 12 families who are the shareholders that own the Federal Reserve. These people are using this private business for their own personal gain to generate private profits of trillions ( sic, trillions)  of dollars if you add all amounts generated every year since Christmas 1913, sums hidden in various foundations and trusts in tax heaven "paradises". Wars are more "profitable" for them ), and not for the benefit of the American people. And on the credit base, which is called let's say M zero, you have a massive creation of money, and this credit is based on nothing. Alan Greenspan said that they create the money out of thin air. You have the statistics published by the Federal Reserve board. But those figures of M3 have been kept secret since 2006. We don't know how much the Federal Reserve, which is a private company, is allowing and emitting credit to the other banks or other financial vehicles.
  
A few months before his assassination, President John F. Kennedy was summoned by his father Joseph to the lobby of the White House. He said to him, "If you do this, they will kill you!" But the President did not deter. On June 4, 1963, he signed the Executive Order number 111 110, repealing the Act and Executive Order number 10,289, calling the production of banknotes into the hands of the state and depriving the cartel of private banks a large part of their power. After $4 billion in U.S. dollars in small denominations called "United States Notes" had already been put into circulation, and while the state was preparing to deliver larger cuts, Kennedy was assassinated on November 22, 1963. This happened 100 years after Lincoln, who had created debt free "Greenback" notes for the United States as well, was murdered by a sniper. Kennedy's successor Lyndon B. Johnson suspended the printing of the notes for an inexplicable reason. The twelve Federal Reserve banks withdrew the Kennedy banknotes immediately from circulation and exchanged them with their own acknowledgments of debt. A few of those notes are still in the hand of Imelda's Marcos because her husband was trying too to escape the system.

And now, with the sub-prime crisis, they are printing millions or trillions of dollars but we don't know exactly where the money is going, or they are going to sustain banks that are in bankruptcy. Crooks are sustaining crooks. And of course, all of this money is created with an interest rate. This interest rate is imposed on the American population mainly through taxes, on the backs of the poor. (See the LTCM 3 Trillion dollar scandal under Clinton and many others). The poor all over the world cannot eat; they are starving. And the worse problem that babies are not even allowed to live!
Their goal is to have fewer people that are more easily controlled with laws more and more stupid, such as Monsanto, which patented pigs or plants and ruin farmers to push up prices of food by making believe that they want good of humanity...
See some of Ron's Paul arguments
http://video.google.com/videoplay?docid=9109517933122868133&q=&hl=fr

The more than one trillion dollars in default, created out of nothing, now as 99,999% of all currency is currently in circulation (SIC).
There is the danger of inflation denounced by Irving Fisher who already complained in 1933 that the issuing of currency belongs to a multitude of irresponsible private agents.

The Fed began with approximately 300 people or banks that became owners (stockholders purchasing stock at $100 per share - the stock is not publicly traded) in the Federal Reserve banking system. They make up an international banking cartel of wealth without comparison. The Fed collects billions of dollars in interest annually and distributes the profits to its shareholders. The Congress illegally gave the Fed the right to print money (through the Treasury) at no interest to the Fed. The Fed creates money from nothing, and loans it back to us through banks, and charges interest on our currency. The Fed also buys Government debt with money printed on a printing press and charges U.S. taxpayer's interest. Many Congressmen and Presidents have said that this is fraud.

McFadden , Chairman of the House Committee on Banking and Currency from 1920–31, accused the Federal Reserve of deliberately causing the Great Depression. In several speeches made shortly after he lost the chairmanship of the committee, McFadden claimed that the Federal Reserve was run by Wall Street banks and their affiliated European banking houses.

McFadden said:

    Mr. Chairman, we have in this country one of the most corrupt institutions the world has ever known. I refer to the Federal Reserve Board and the Federal Reserve Banks. The Federal Reserve Board, a Government board, has cheated the Government of the United States and the people of the United States out of enough money to pay the national debt. These twelve private credit monopolies were deceitfully and disloyally foisted upon this country by the bankers who came here from Europe and repaid us for our hospitality by undermining our American institutions...The people have a valid claim against the Federal Reserve Board and the Federal Reserve banks.

http://www.afn.org/~govern/mcfadden_speech_1932.html

McFadden was killed, as Kennedy, as Lincoln, as many opponents in history to all those usurious systems.

"Quid prodest scelus, is fecit"
"The one who takes profit from the crime has done it"

Those who have taken huge benefits ( trillions of $) from the crimes have done them or paid the hit mans who have done those assassinations, a word coming from Hashish, The Hashshashin or also Hashishin, Hashashiyyin, Hashasheen or Assassins, a copy of the sicarii, or the true terrorists.

Kennedy was against those secret societies acting in the US government.

"The presidential office has been used to establish a conspiracy to destroy the freedom of the American people, and before leaving this office, I must inform the citizens of this critical condition."

Kennedy just 10 days before he was killed. University of Columbia, 12th Nov. 1963.
  
JFK SPEACH ON SECRET SOCIETIES ( Illuminati)
John F. Kennedy Speech. 01:35
http://www.youtube.com/watch?v=zlghYpDx0f4

The same who paid to make disappear the most destroyed text in history, the encyclical "Vix pervenit", the text stating what are good and bad contracts in business.
http://www.ewtn.com/library/ENCYC/B14VIXPE.htm
http://en.wikipedia.org/wiki/Vix_Pervenit

Who actually owns the Federal Reserve Central Banks? The true ownership of the 12 Central banks, a very well kept secret, has been partially revealed. This is the list of some names:

Rothschild Bank of London
Warburg Bank of Hamburg
Rothschild Bank of Berlin
Lehman Brothers of New York
Lazard Brothers of Paris
Kuhn Loeb Bank of New York
Israel Moses Seif Banks of Italy
Goldman, Sachs of New York
Warburg Bank of Amsterdam and
Chase Manhattan Bank of New York

These bankers are all connected to London Banking Houses in the totally free City which ultimately control the Fed. When England lost the Revolutionary War with America (our forefathers were fighting their own government), they planned to control us by controlling our banking system, the printing of our money, and our debt.

The individuals listed below owned banks which in turn owned shares in the FED. The banks listed below have significant control over the New York FED District, which controls the other 11 FED Districts. These banks also are partly foreign owned and control the New York FED District Bank.

First National Bank of New York, James Stillman
National City Bank, New York, Mary W. Harnman

National Bank of Commerce, New York, A.D. Jiullard

Hanover National Bank, New York, Jacob Schiff

Chase National Bank, New York, Thomas F. Ryan, Paul Warburg, William Rockefeller, Levi P. Morton, M.T. Pyne, George F. Baker, Percy Pyne, Mrs. G.F. St. George, J.W. Sterling, Katherine St. George,  H.P. Davidson, J.P. Morgan (Equitable Life/Mutual Life), Edith Brevour, and T. Baker
 ( source: http://www.rense.com/ufo2/fedrez.htm )

YJ:
Well, I think this interview will help the people to understand a bit more the system and what is happening today.

FS:
It is better to fight now, and create a credit club or a local system with coupons free of interests, as we wrote about in the "Michael Journal" the example of Madagascar and the Philippines, than to take your gun and fight in a new war!
Please, see http://www.michaeljournal.org/localmoney.htm

YJ:
The truth is blinding and people don't see it. They want to see a very complicated system, but in fact the solution is very simple.

FS:
During the Great Depression in the 30's the citizens started 6000 local systems, local credits all over the United States. Tell people to study the history of their country.  While they were creating their own credits, the big banks were stopped. Do the same! Improve it with Social Credit systems and dividends to all to share the profits of the robots and the computers !
90 % of the workload will be done by computers and robots, the challenge is how to distribute abundance.

YJ:
Well, I think that's the plan of the Pilgrims of St. Michael, we want to start the local exchange systems all over the world. I know that in Columbia they have several systems that are working very well.

FS:
In the United States, your grandfathers were the organizers of the local systems. Ask them how it was done. You had more than 6'000 systems all over the United States. The WIR system in Switzerland has made our country one of the richest in the world.  ( www.wir.ch ) . Just think of what happened in Argentina when the banks collapsed there. That can happen here now as well.

http://www.catholicauthors.org/cgi-bin/rpb455/17104.html?id=8zmNsmDz

 Maurice Allais, Professor of Economics at the National School of Mining Engineering in Paris, France and the 1988 Nobel Prize Winner in Economics, had this to say in his book "Les Conditions Monétaires d'une Economie de Marché" (The Monetary Conditions of a Market Economy p. 2):

"In essence, the present creation of money, out of nothing, by the banking system is, I do not hesitate to say it in order to make people clearly realize what is at stake here, similar to the creation of money by counterfeiters so rightly condemned by law. In concrete terms, it leads to the same results."

We need to practice all five Shabbats and Jubilees, every 7 days, weeks, months, years and 49 years ( 7 times 7 years) and fight usury at all levels, because usury kills.

Please, read this extract from Louis Even.

But what about the term "usury practiced under another form" used by the Pope? Does it mean too high an interest rate? If so, of what percentage? Or is it something else, and under what form?

In a book he wrote in 1935, an English priest, Father Drinkwater, identified this "devouring usury under another form" as the monopolization of credit, which was to amount more and more to a monopolization of money, although the workings of this monopolization of credit were stll myserious, at that time, to almost everyone.

Father Drinkwater recorded that a committee based at the University of Fribourg, Switzerland, had prepared some elements for the drafting of "Rerum Novarum", and that among the members of this committee there was at least one person, from Austria, who was well aware of the money question and of bank credit. A text that this Austrian had prepared, and that was apparently approved by the committee, showed clearly how mere bank money — which is created in banks and consists basically of figures written in bank-books and ledgers, and which was already becoming the major monetary instrument for trade and industry — was nothing but the monetization of the production capacity of the whole community. The new money thus created can only be social by nature (belonging to all of society), and not the property of the bank. This new money is social because of its basis: the community, or society, and because it can buy any good or service in the country. The control of this source of money therefore puts in the hands of those who exercise it, a discretionary power over all economic life.

This text of the Austrian expert also showed that banks do not lend their depositors' money, but rather deposits that they create out of nothing simply by inscribing figures in bank-books, and that when banks lend money — no account is diminished in the bank — they do not have to extract one penny from their safes. So the interest charged on their loans is certainly usury: whatever its rate — it is actually more than 100%, since it is interest charged on a capital of zero, nil — the lender (the bank) does not have to do without the money he lends, he just creates it! This usury can rightly be described as "devouring", since banks require creditors to pay back money that has never been created, that has never been put into circulation. (Banks create the principal they lend, but not the interest.) It is therefore mathematically impossible to pay back all loans; the only way for the economy in such a system to keep going is to borrow again to pay the interest, which creates un repayable private and public debts.

What was the exact wording of this text about the monopoly of credit? One cannot know, since there is no mention of it in the encyclical. Was it suppressed in Fribourg in the final draft sent to Rome? Was it stolen between Fribourg and Rome, or between its arrival in Rome and its delivery to the Sovereign Pontiff? Or was it Pope Leo XIII who decided to put it aside? Father Drinkwater raises these questions, but gives no answer.

End of quote.

This scandal is producing absurd situation as in Canada (see 2 graphs below)

And finally,
Let us quote Mackenzie King, while he was campaigning, in 1935, to become Prime Minister of Canada: "Until the control of the issue of currency and credit is restored to government and recognized as its most conspicuous and sacred responsibility, all talk of the sovereignty of Parliament and of democracy is idle and futile."

http://www.michaeljournal.org/images/croisdet2.gif

http://www.michaeljournal.org/images/debtcan.jpg


YJ:
We thank you for this interview with us, Mr. De Siebenthal; you are assured of our prayers and support for you and your family.

FS:
You are welcome, be assured of our prayers as well, and all the best to you. If you need any further information, please do not hesitate to ask me.

The Madagascar Experiment one, how "money" can be created locally by themselves for the good of the poorest  ?
swiss banker's point of view.

A true and recent social credit experiment, using dividends and compensated
discounts in a small community seen as an island.

Please, see first this short video with swiss wir bank and other videos how to create
your own money sytem and improve it with social credit.
http://youtube.com/watch?v=uQehEGGwy0Q


Switzerland was the poorest country in the world.
Financial Crisis is when the public loses confidence in financial
institutions such as banks, and therefore want actual legal money from
them, rather than their promises to pay, which are normally accepted
as money. This takes us back to the many sorts of money that we can
use in our economy. One is legal tender money, coins and notes issued
by or on behalf of the state, which creditors are legally obliged to
accept in settlement of what is owed to them.

The second is bank created credit (nearly 100 % of the total money
supply), which is no more than a bank's promise to deliver legal
tender money on demand, given in exchange for a borrower's promise to
repay, usually over a period of time.

The others are all other means used as money ( coupons, tires, reka,
mana, etc...)

1) Money #1 cannot hardly be destroyed, and therefore
circulates from producers to consumers and back again. M1 is public in
Switzerland but private in many countries, the US FED is owned by
private people and work for their pockets.

2) Money #2, 3, 4,and so on  are
continually being created and destroyed ( maybe not destroyed but recycled...) by private banks for profits, as loans are made and repaid. This leads therefore to "trade cycles",
where inflation alternates with recession, as bank money is created
and withdrawn. A particular effect of financing business capital
through bank loans (a very common practice) is to create credit money with interest rates at a time when capital goods (factories, machinery, etc. etc) are
being produced, workers are receiving incomes, but nothing more is
going on the market for people to buy. When the factory is completed,
and workers are laid off, goods start reaching the market, businessmen
start wanting to repay their bank loans, but the laid off workers now
have no money either to buy the products, and the businessman
therefore finds it impossible to repay his bank financing. (This
explains the Douglas A+B theorem, where A is wages, and B is capital
costs).

Therefore we have recessions, wars, revolutions, troubles

The current banking system causes poverty in front of abundance in all countries and for all people. The interest bearing loans are for the most part made only by paperwork from nothingness, ie counterfeit currency, as written in 1988 by Mr. Maurice Allais, Nobel Prize in Economics
The crisis in "World Today"
(Ed. Clement Juglar 1999).

3) Money "swiss wir" is our free wir system, a social system free of inflation and efficient.

4) Social credit creation, S3C, a better system based on C.H. Douglas
principles and applied locally in Madagascar .
http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Social_Credit&oldid=73100008
http://www.pavie.ch/articles .php?lng=en&pg=711
http://www.complementarycurrency.org/ccvideo.html

The Wirtschaftsring
in Switzerland, WIR. WIR Economic Circle Cooperative www.wir.ch in
german, french and italian, Please, see wir bank on google The
Wirtschaftsring in Switzerland, formed in 1934 is one of the oldest
complementary currency systems in existence. See websites  at www.complementarycurrency.org and www.network-economies.com a
very simple system to begin with...

http://www.pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=263

If you want the help of computers... We are happy to announce that a new version of Cyclos has
been published on Source forge http://sourceforge.net/projects/cyclos

. Cyclos is published under the GPL license which means it can be used
at no costs and it will run on a variety of platforms like Linux,
Windows, Macintosh and Solaris. But, even more important, anybody is
free to download the source code and add new functions, make
improvements or modifications.

You can use South African CES system too or octopus system.

see http://www.easyswap.org/view/presentation/generalites.php?langue=en

Report summarized of a small  community of creditists.

To begin,  the   social  crediters came from Canada and Switzerland
and provided 100 $ CDN of hens in 2004, plus  the  countable
notebooks,  the  large countable book,  the  pencils and two envoys on
the  spot during a day, with  the  formation of one responsible local
person during a few hours and three visits of a local specialist
trained in Canada. 4 zebus (1000 $ ) were given in 2006.  The saffron
bulbs were lost in  the  post office.  The  community is composed of
66 people in quasi autarkical situation, without electricity nor
telephone and 100 % ecologist.

There is 0 pollution.

Thanks to  the  system, no more usury at around 1'000 percent
interest. They more than doubled  the production of rice and
vegetables. Despite several hurricanes, they could build or rebuild
all buildings themselves, including  the  Church,  the 
presbytery and
improve all their houses of terra cotta bricks. They built in more of
the  cattle sheds and  the  shelters for 7 zebus (from 4 to 7), for
1454 hens, a school and began to build a multifunction center. 148
chickens were eaten and 346 sold. They also made a system of
irrigation, with 5 permanent dams and several provisional dams to
improve.  The  roads all are remade thanks to  the  communal efforts.
The  total value of  the appreciations is higher than 5 million local
currency.  The  requirements of official money are met by the  sale
for eggs and hens.

People: They engaged three teachers, a fourth arrives. A person became
the  doctor of  the  area. The  committee meets at least once per
week.  The  families pray three times per day, Lauds, complies and
vespers. They make recollections and retirements.
The  accounts are audited by two elected persons, then by Dina. More
than 4 flowers (vocations of priests). Their motto is to prayers, work
and eat.

Projects: Community bank of local seeds. A system to alert thanks to a
goose herd to drive out  the robbers. To test  the  saffran Medicinal
plants. To continue  the  afforestation (eucalyptus). Impression of
tickets of local currency to open  the  exchanges with  the
neighbours expressed as a percentage freely negotiated governmental
currency, as  the  Mana system as   www.wir.ch    To organize visits,
come and see. We thank all those which who made it possible.

Signed: Rev. Father Alain Thiery Raharison, Cathedral of  Antananarivo

more in English and French on  www.pavie.ch/mobile



Quote of Michael Lane....February 2005


Since April 2002 I have been urging on the world social credit
community -- in a letter to my fellow directors of the Social Credit
Secretariat, in issue after issue of  Triumph of the Past , in Bill
Ryan's social credit e-mail discussion group, in the concluding
chapter of my book on Charles Ferguson, in five talks in Australia and
New Zealand in October 2002, and on the Australian League of Rights
website -- that we no longer wait but implement social credit
immediately at the local level, adapting Douglas's ideas for that
purpose.
Last May two representatives of the Pilgrims of St. Michael -
full-time pilgrim Marcel Lefebvre and "our good friend of Switzerland,
Mr. Francois de Siebenthal consul general of the Philippines and an
economist" - visited Madagascar as guests of the Catholic Episcopal
Commission on Justice and Peace. The following is the account of this
visit published in the Pilgrims'  Michael  journal for May-July 2004:

Then we went into the bush, driven by the secretary, in the pastor's
"4 x 4" vehicle. We were invited by the Secretary General of the
Justice and Peace Commission, Mr. Jean Marie, a father of 8 children,
who is involved with church activities. He managed to gather all the
people of the village to meet us.
We began with the recitation of the Rosary, and then gave a talk on
the cause of their poverty, and the way out, by establishing a local
money system, like in Switzerland and in Argentine, where they call it
"social credits." We told them about the possibility of creating their
own figures (money) to develop their area, without waiting for the
International Monetary Fund, the World Bank, and all the other
money-lenders who exploit them. We founded together the first Social
Credit bank, just as the five islanders did in " The Money Myth
Exploded ." They brought all their belongings to create a fund to
start the new bank. It was really moving and impressive to see them
bring all they had. They are really good people. Bishop Raymond told
us that within a year, there will be 500 small banks like this one in
Madagascar.
So where we founded this first bank, we gave a Rosary to every family
that enlisted, and made them promise to say the family Rosary every
day for the success of this important undertaking. Before founding the
bank, Mr. de Siebenthal asked the priest who was accompanying us to
confess the Faithful. There will be no interest charged in this bank;
on the contrary, dividends will soon be given to every participant.
They will develop their own area in an impressive manner.

De Siebenthal gave a presentation about this at the Pilgrims' Annual
Congress in September at their center in Rougemont, Quebec. From
October-December issue of  Michael :

Mr. Francois de Siebenthal spoke to us of his apostolate with Mr.
Marcel Lefebvre in Madagascar last May. In a small county in the bush,
far from large cities, our two fervent Social Crediters established
Social Credit in a simple manner, a bit like the story in " The Money
Myth .""Madagascar," Mr. de Siebenthal told us, "is the concrete
example of a talk given by Mr. Louis Even. I re-read all the early
writings by Louis Even in a small pamphlet. He spoke of Switzerland,
of methods, of referendums, and of local banks in Switzerland. We
simply applied this project from the 1930's of Louis Even, applied it
in Madagascar.

Guest speaker Bill Daly of New Zealand summarized de Siebenthal's
presentation as follows:

An experienced banker, now working for a Catholic TV station, he had
only a short while before heard of Social Credit. But being a man of
action he had earlier in 2004 spent several weeks at Rougemont
learning as much as possible and had then gone to Madagascar with a
colleague and started a small local credit scheme in one of the
remotest and poorest districts. While initially very simple it is
intended to introduce other aspects as the scheme develops, such as a
national dividend and the compensated price. The Cardinal of
Madagascar wants to see such schemes established in every one of his
more than 100 parishes.

This exciting idea became a main focal point of the Congress. Again
from Bill Daly:

What was evident at Rougemont was the new possibility of such
developments emerging within, but not exclusively, the third world.
More than one Bishop was present from Mexico and the Philippines and
there were a number of priests and lay professional people, some
associated with universities. . . . Certainly those attending from
Poland, Mexico, Ecuador, Benin and the Philippines only demonstrated
great enthusiasm and hope for genuine reform in their own diocese,
parishes, towns and countries.

Another speaker, Vic Bridger of Australia, put it this way:

It was stimulating because of the enthusiasm shown by all the
delegates from Poland, Mexico, Ecuador, and the Philippines in
particular. . . . Each of the Bishops and Monseigneurs [Monsignors]
declared that they would be furthering the cause through their
pulpits. . . . I left the Congress with the view that it may well be
the poorer countries who will give the lead because they have nothing
to lose but their poverty.

According to the same issue of  Michael , "Fr. Jozef Jakubiec and
Doctor Jan Wilk want to found, at the Shrine of the Holy Family in
Krakow . . . a bank that lends interest-free money, working along the
Social Credit principles." Finally, a recent Pilgrims flyer released
in advance of a series of public meetings in New Zealand says: "With
the help of local church and community leaders they initiated an
exciting complementary currency in an impoverished area of Madagascar.
Presently similar projects are planned in Poland, the Philippines and
elsewhere."


Actually, the first interest of the Pilgrims in this concept can be
dated a little earlier, namely, a conference at Zakopane, Poland in
December 2003, hosted by that same Fr. Ja kubiec. In an e-mail to the
Social Credit Action Group, Diane Boucher, who represents the Pilgrims
and has a master's degree in economics, states:

The subject of the conference in Zakopane was about practical ways to
implement social credit policies. People interested in social credit
in Poland do not want to use a top-down strategy but a bottom-up one.
That is to say they choose not to implement social credit at the
national level, but to create small communities using local monies. .
. . People in the Louis Even Institute [Pilgrims] think that the way
Poland chose is a good way to begin an implementation of a social
credit system.

It is now going on a year since the foundation of the "first Social
Credit bank." But not only have we had no progress report, we don't
even know what was done in the first place. The sketchy account above
is all that has been published. Diane Boucher has supplied a  little
more information in two e-mails to the Social Credit Action Group:

September 3, 2004: What the villagers did with their belongings was to
put a monetary value on them. So the accountant of the Bank was able
to write these values to the account of each member of the Social
Credit Bank. The credit (positive side) transaction and debit
(negative side) transaction . . . are simply written in a small
accounting booklet for each member and in the great book of the
accountant during each sale. When somebody needs credits to make
products, the accountant writes the new credits in the producer's
account. So the new credits are created with the new production.
Without any interest. The credits are cancelled when the products are
sold, that is to say they are cancelled with the consumption of the
products. Periodically, new credits are written to the accounts of
every member of the Social Credit Bank in the measure where there is
social progress. It is the (local) dividend. It is the same way of
functioning as in the story of the five islanders. The discount is not
implemented yet, because this economy is very simple. When it will
become enough complex to have producers of intermediate goods or
equipment goods, it will be necessary to implement the discount to
consumers with compensation to the producers.

October 5, 2004: Their belongings are their private properties: cows,
hens, tools, etc. they can use as producers, plus the communal
property: the school being built, for example. They brought these
properties together to give a value to the local assets. These assets
will grow with social progress and their monetary value will increase.
The local dividend will be calculated on the value of the local
assets. For example, the school will have a greater value when
finished and the dividend will be greater because of this increased
value. If a typhoon destroys the school, the monetary value of the
local assets will decrease and the next dividend will be lower.
I think that the villagers' belongings are not a collateral: the new
credits are created to equal the value of the new products being made
by the local producers, not to equate the value of the local assets.
For example, the eggs from the hens are new products and have a market
value based on the producer's cost: if a child takes care of the hens
and the hens feed themselves around, the value of the child labour is
the cost of the eggs. The eggs will be used as food and also in an old
roman recipe to make cement for building the school. The villagers
were unable to finish the building because they are too poor to buy
cement.
It is really a social credit experiment on a small scale. The credit
of this small community has a value as a productive capacity!

To this small cache of evidence we can add the passage alluded to from
" The Money Myth Exploded ," by Louis Even, founder of the Pilgrims of
St. Michael. The pamphlet is an illustration of economics on a desert
isle, such as economists have been making for centuries. There are
five castaways: a carpenter, a farmer, an animal breeder, an arborist,
and a metallurgist. The relevant passage is in the words of Tom, the
metallurgist:

I open an account in the name of each of you. In the right hand column
are the credits which increase your account; to the left are the
debits which subtract from your account. Each wants $200 to begin
with. Very well. We write $200 to the credit of each. Each immediately
has $200. Frank buys some goods from Paul for $10. I deduct $10 from
Frank leaving him $190. I add $10 to Paul and he now has $210. Jim
buys from Paul to the amount of $8. I deduct from Jim $8 leaving him
$192. Paul now has $218. Paul buys wood from Frank for $15. I deduct
$15 from Paul leaving $203. I add $15 to Frank's account and it goes
back to $205. And so we continue; from one account to another in the
same fashion as paper banknotes from one man's pocket to another's. If
someone needs money to expand production, we issue him the necessary
amount of new credit. Once he has sold his products he repays the sum
to the credit fund. The same with public works; paid for by new
credits. Likewise, each one's account is periodically increased but
without taking credits from anyone, in order that all may benefit from
the progress society makes. That's the national dividend. In this
fashion money becomes an instrument of service.

We have to make the best here of very scanty information. I submitted
it to Tom Greco, an expert in alternate currency systems, and he
concurred: "The details in that account are insufficient to make a
proper assessment." We don't know the name of the village. We know
nothing about its size, ethnicity, language, history, manners and
customs, social structure, or civic life. It appears to be a Catholic
village. We know nothing about its diet, clothing, shelter,
sanitation, health care, natural resources, distance from a road,
distance from a town. We don't know what it produces besides milk and
eggs. We don't know where it gets its tools. 1  We don't know what
products it most needs from outside itself. We don't know if is in
debt.
I think we can assume that money is so scarce there that it is
virtually a moneyless economy. The school building project was halted
because the village was too poor to buy cement. The people probably
made their own bricks by pouring mud into wooden forms and baking them
in the sun, but the mortar to hold them together would have to come
from outside. 2  They have plenty of eggs, so if they can make a
cement from eggs, they can be more self-sufficient.
Each member 3  was provided with a "small accounting booklet," and the
"accountant of the Bank" keeps a "great book." The villagers
physically brought their "cows, hens, tools, etc they can use as
producers" to one place, the accountant put a value on them in the new
unit (we aren't told what it was called), and that became their
initial account balance both in their own booklets and in the great
book. This was not a loan but the representation, in figures, of what
they already owned. The village thus took a step forward from a
moneyless economy to a money economy. The villagers now had a simple
way to trade around their cows, hens, and tools according as each had
need and opportunity to make use of them. The assessment provided a
basis for prices: people knew what a hen was assessed for and would
not expect to pay more unless there were a reason.
In addition, anyone with a good plan could have his account written up
in advance on the strength of the goods he was likely to produce. This
would be a loan, signifying the village's faith in him as a producer.
To use Boucher's example, you could get an advance from the Social
Credit Bank to pay your next-door neighbor's child to take care of
your laying hens. You could then sell those eggs to someone or to the
community to make cement for the school and repay your advance, all by
means of these ledgers.
"The same with public works; paid for by new credits," says Tom. In
other words, the village council will also have its own account, which
will be credited with the budgeted amount for the school. This would
be expended on eggs to make the cement and perhaps also on labor if
the labor is not a share-and-share-alike undertaking. This money would
be recouped, I would guess, from parents' paying new credits to send
their kids there. Is it anticipated that the school will serve
neighboring villages as well and, if so, how will they pay?
So far, this describes a change from a moneyless economy to a money
economy but without any specifically social credit features. Boucher
states, "These assets will grow with social progress and their
monetary value will increase. The local dividend will be calculated on
the value of the local assets." She also implies that the initial
booklet entries included a share to each of the value of the partially
completed school building and that the completed building would
generate a monetary dividend in every member's account booklet.
I fear this is not sound. There is no justification for writing up
people's money accounts merely on the basis of increased local assets.
In fact, there is no justification for writing up people's accounts
initially on the strength of their "private property: cows, hens,
tools, etc. they can use as producers, plus the communal property."
Their accounts should only be written up for new goods and services
that they can buy. 4  And why are milk and eggs - more likely to be
sold than hens and cows - left out of the account?
There seems to be confusion as to whether the new credits issued to
the egg producer and the school represent the eggs and education it is
hoped they will produce or (as it should) an allocation of the things
they or their paid workers will buy with them immediately. It cannot
be both at the same time. And what will be the consequence of issuing
new money on the strength of goods yet to be produced without regard
to what exists to buy with it?
Dividends will be payable as the village economy succeeds in producing
the same sufficiency with less and less loan money. Less money/time
required for production means more money/time freed for consumption.
Both Bishop Raymond and the cardinal of Madagascar hope to found other
banks along the same lines. Will they all use the same unit, or will
each use its own? The Pilgrims hope to found other banks along the
same lines in other countries. What problems have arisen in the
operation of the village bank, how were they addressed, and with what
success? Has this experience enabled the Pilgrims to make any
improvements to their model?
I call on the Pilgrims of St. Michael to issue a thorough report on
the "first Social Credit bank" so that other communities can benefit
from the experience of this Madagascar village and create similar
institutions for themselves to help raise themselves out of poverty!

Notes

1. When I was in the Peace Corps in Sierra Leone, the village
blacksmith made tools out of scrap metal from Datsuns.
2. In Sierra Leone, the people in my village made bricks in exactly
this way for a school, but the U.S. government donated the cement and
also zinc pan for the roof.
3. Who is a member? Every person? Every adult? Every household?
4. Greco comments, "When credits are created [for the people] to pay
for capital projects, like building a school, those credits should not
be available for spending until the capital project begins to produce
goods or services, then those credits should be paid for the goods or
services."

Unquote

Michael Lane

Who is interested to join
wir-international ( Wir means in german we together, us the living, as
the Robert Heinlein science fiction book describing such a system,
book to be destroyed on orders of the "masters"). The future society
has a  Social Credit structure — something which may come as a
surprise to those who were not acquainted with Heinlein's early
leftist leanings.
www.michaeljournal.org/appenA.htm

At a number of points in For Us, the Living , Heinlein describes an
environment in which individuals are able to choose whether or not to
accept a job. Passing references are made to the large number of
individuals who take up art or other careers that traditionally do not
pay well. The book also points out the short working hours and high
wages paid to employees. The book ascribes this flexible working
environment to the  social credit system (the "Dividend") adopted by
the USA.

http://en.wikipedia.org/wiki/For_Us%2C_The_Living:_A_Comedy_of_Customs
http://www.heinleinsociety.org/news/newsFUTL.html i.e. people who have
the technology to give more free time for the best ? Most of the work
can be done by robots, computers and so on... You need to organize as
Singapoor did, taking some ideas from the swiss. You can copy our
legal articles of ass.

http://pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=263

http://www.alor.org/Triumph%20of%20The%20Past/The%20Madagascar%20Experiment.htmttp://www.alor.org/Triumph%20of%20The%20Past/The%20Madagascar%20Experiment.htm

--

Switzerland is one of the poorest country in natural ressources but Swiss are rich, why ?
Switzerland has two money systems, one is free, no interests, see "bank wir" on google...
http://en.wikipedia.org/wiki/WIR_Bank
http://www.mit100.ch/?gclid=CJ36nbaL8pcCFQwgZwodDUHYCg

How to do ?



Wir began with a few swiss citizen just after the big crisis of 1929...  www.wir.ch


L'image


" Small is beautiful" swiss lifeboats are better than a big centralized sinking $ystem...


On Sun, Jan 4, 2009 at 6:38 AM, Larry Heather <lheather@shaw.ca> wrote:



Dear Eric,


I can sense your frustration between the armchair social credit arguments, and the true activists of monetary reform. But among the audience of such there may be people that can actually help, so not all audiences can be put into one


section.


The truth in North America at least, are that many people who strive for Christian justice in many areas , such as protecting the unborn like myself, and have been highly discriminated against in our jobs and income, and so often, we too have only the grace of God to depend on for our daily income. As William Aberhart said, there can be poverty amidst plenty and those who speak out are persecuted and are sent to the poorer side of the tracks.


I Pray that May God Be Your Provision and send you the listening ears that can help.


Yours in Christ,


Larry Heather

La nation, notre avenir ?

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St Nicolas de Flüe, artisan de la paix suisse et des paix mondiales,
Comment résister aux dettes ? La guerre des monnaies ?
La nation, notre avenir ? 
Invitation, entrée libre.
La suite: Monnaie-pleine http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/09/lausanne-conference-monnaie-citoyenne.html


Le Groupe vaudois de philosophie, en partenariat avec la Maison de Quartier Sous-Gare, l’Interface Sciences-Société de l’Université de Lausanne et le soutien de l’Académie suisse des sciences humaines, a le plaisir de vous annoncer un week-end de rencontres ayant pour titre :



23, 24, 25 SEPTEMBRE 2016
MAISON DE QUARTIER SOUS-GARE
(AV. DAPPLES 50 – LAUSANNE)

Ces rencontres ont comme objectif de questionner la réactivation du motif « nation » sous des angles variés : philosophie, sociologie, politique, histoire, art, sport. Elles s’adressent à un large public : citoyens, enseignants, étudiants, chercheurs, artistes, membres d’associations, militants aussi. Elles seront l’occasion de discussions passionnantes avec le public, elles ont été conçues de manière à ce que les différentes interventions soient autant de lieux de débat et de réflexion.



Télécharger le programme détaillé
Samedi et dimanche à midi, il sera possible de se restaurer à la Maison de Quartier.

Télécharger l’affiche

— LAUSANNE ENTRÉE LIBRE 


les participants 

Jean-François Bayart — Professeur à l’Institut universitaire de hautes études internationales et du développement de Genève, politologue, spécialisé en sociologie comparée de l’Etat. Il est l’auteur, entre autres de Sortir du national-libéralisme. Croquis politiques des années 2004- 2012, Paris, Karthala, 2012 ; et avec Ariane Zambiras (dir.), La cité cultuelle. Rendre à Dieu ce qui appartient à César, Paris, Karthala, 2015. Gérard Bras — Professeur honoraire de philosophie en 1 e supérieure honoraire. Ancien directeur de programme au Collège international de philosophie, il est notamment l’auteur de Les ambiguïtés du peuple, Paris, Pleins Feux, 2008. Bernard Debarbieux est professeur à la Faculté des Sciences de la Société à l’Université de Genève. Il a travaillé sur les imaginaires sociaux de l’espace et les théories de la territorialité. Il est notamment l’auteur de L’espace de l’imaginaire : Essais et détours, Paris, CNRS, 2015. Daniel Eisler — Musicologue, compositeur et pianiste, enseigne le piano dans diverses écoles de musique, l’histoire de la musique à l’Université populaire de Lausanne, donne des concerts et collabore à la revue d’art et de philosophie Arkhai . Gianni Haver — Professeur à l’Université de Lausanne, spécialisé en sociologie de l’image. Il est l’auteur de La Suisse, les Alliés et le cinéma, Lausanne, Antipodes, 2001(dir.) ; La presse illustrée en Suisse, 1893-1945, Lausanne, Antipodes, 2009. Irène Herrmann — Professeure associée à l’Université de Genève. Elle mène des recherches sur la gestion des confl its, les usages partisans du passé, les mécanismes conceptuels et la ré- ception du politique, tant en Suisse qu’en Russie postsoviétique. Parmi ses publications : Les cicatrices du passé. Essai sur la gestion des confl its en Suisse (1798-1918), Berne, New York, Berlin, Peter Lang, 2006. Cédric Humair — Maître d’enseignement et de recherches en histoire à l’Université de Lausanne. Il est l’auteur de 1848 Naissance de la Suisse moderne, Lausanne, Antipodes, 2009. Cornelius Schregle — Historien et scénariste de formation, enseigne à l’Ecole de Cinéma de Genève et travaille au département Presse&Com du Théâtre de Vidy ; aux USA durant une quinzaine d’années, il y a été actif dans la publicité puis dans le cinéma, à Hollywood, notamment comme scénariste. Auteur d’un livre à paraître sur le tournage de fi lms étrangers en Suisse de 1900 à nos jours. François de Smet — Philosophe et scénariste, également engagé dans le monde associatif. Docteur en philosophie de l’Université libre de Bruxelles, où il travaille comme collaborateur scientifi que, au sein du Centre d’études des religions et de la laïcité. Il est notamment l’auteur de Une nation nommée narcisse, Bruxelles, Editions de l’Académie, 2014. Anne-Marie Thiesse — Directrice de recherche au CNRS, École normale supérieure de Paris. Ses domaines de recherche sont l’histoire et la sociologie de la littérature, l’histoire culturelle, et les identités culturelles nationales et régionales. Elle a notamment publié : Faire les Français. Quelle identité nationale ? Paris, Stock, 2010. La Création des Identités nationales. Europe, XIXe - XXe siècle. Paris, Seuil, 1999. Interface Sciences - Société SAGW ASSH Rencontres interdisciplinaires organisées par le Groupe vaudois de philosophie, dont l’objectif est de questionner la réactivation du motif « nation » sous des angles variés : philosophie, sociologie, politique, histoire, art, sport. Ces rencontres s’adressent à un large public : citoyens, enseignants, étudiants, chercheurs, artistes, membres d’associations, militants aussi. L’observateur des évolutions politiques des dernières décennies ne peut qu’être frappé par une conjonction d’apparence paradoxale : l’approfondissement continu du processus de la mondialisation, et la reviviscence des nationalismes – le symptôme le plus apparent en est la progression électorale des partis d’extrême droite. Avec l’aide des intervenant-e-s, nous tenterons de comprendre ce qui nous pousse à sortir nos drapeaux et à appeler au renforcement des frontières, en cernant les ressorts des réflexes nationalistes – en général et aujourd’hui. A cette fin, nous reviendrons sur le moment de la constitution des nations modernes et sur leur maintien depuis lors. Les ressorts à l’œuvre aujourd’hui sont-ils les mêmes qu’hier ? De quelles attentes ce réinvestissement de la nation est-il gros ? Qui en sont les principaux acteurs ? Qui veut nous protéger des ravages de la mondialisation dont nous sommes chaque jour, devant nos grandes lucarnes, les spectateurs toujours plus hébétés ? D’un mot, durant ce week-end, nous aimerions affronter ces questions, aussi simples que redoutables : mais que nous arrive-t-il donc ? dans quoi sommes-nous embarqués ? dans quelle mesure sommes-nous sollicités ? VENDREDI 23 SEPTEMBRE 19H00 OUVERTURE 19H30 ANNE-MARIE THIESSE & IRÈNE HERMANN PHILOSOPHE, CNRS & HISTORIENNE, UNIGE L’INVENTION DES NATIONS : CREUSET DE L’IDENTITÉ MODERNE ? 21H00 DISCUSSION ANIMÉE PAR PATRICK ERNST ET JEAN-MICHEL HENNY (GROUPE VAUDOIS) SAMEDI 24 SEPTEMBRE 10H30 CÉDRIC HUMAIR — HISTORIEN, UNIL NATION ET ÉTAT NATIONAL EN SUISSE : MOTEURS ET FREINS À LA CONSTITUTION DE LA SUISSE MODERNE 11H15 GIANI HAVER — SOCIOLOGUE DE L’IMAGE, UNIL LA SUISSE ET SES IMAGES 11H45 DISCUSSION ANIMÉE PAR HUGUES POLTIER (GROUPE VAUDOIS) 12H30 REPAS À LA MAISON DE QUARTIER 14H00 GÉRARD BRAS — PHILOSOPHE MICHELET : LE PEUPLE, SANG ET ÂME DE LA NATION DISCUSSION ANIMÉE PAR HUGUES POLTIER (GROUPE VAUDOIS) 15H00 CORNELIUS SCHREGLE — SCÉNARISTE, ECOLE DE CINÉMA DE GENÈVE AUTOUR DE SON SCÉNARIO « WILLIAM TELL » : LE MYTHE, PRODUCTEUR DE LA NATION ? 16H30 FRANÇOIS DE SMET — PHILOSOPHE, ULB UNE NATION NOMMÉE NARCISSE 17H15 DISCUSSION ANIMÉE PAR PHILIP CLARK (GROUPE VAUDOIS) 18H00 DANIEL EISLER — COMPOSITEUR / MUSICOLOGUE LA MUSIQUE DE BEETHOVEN : EXPRESSION ET PROMOTION DE L’ALLEMAGNE ROMANTIQUE 18H45 DISCUSSION ANIMÉE PAR JAMIL ALIOUI (GROUPE VAUDOIS) 19H15 APÉRITIF DIMANCHE 25 SEPTEMBRE 10H00 ACCUEIL, CAFÉ ET CROISSANTS 10H30 BERNARD DEBARBIEUX — GÉOGRAPHE, UNIGE UN MONDE POST-NATIONAL, MALGRÉ TOUT ? 11H30 JEAN-FRANÇOIS BAYART — SOCIOLOGUE, UNIGE LE « NATIONAL LIBÉRALISME » : UNE CLÉ POUR COMPRENDRE NOTRE SITUATION ? 12H15 DISCUSSION ANIMÉE PAR DAVID ANDRÉ ET PATRICK ERNST (GROUPE VAUDOIS) 13H00 REPAS À LA MAISON DE QUARTIER 14H00 « BATTLE » ENTRE HUGUES POLTIER ET PHILIP CLARK LA NATION, EST-CE UN CONCEPT ? ARBITRÉE PAR DAVID ANDRÉ (GROUPE VAUDOIS) 15H15 « CARTOUCHES » PATRICK ERNST : INVENTION ET DISSOLUTION DE LA NATION CHRISTOPHE CALAME : NATION ET EMPIRE ET DAVID ANDRÉ : SPORT ET NATION 16H00 DISCUSSION FINALE 17H00 CLÔTURE

La suite: http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/09/lausanne-conference-monnaie-citoyenne.html

600e de saint Nicolas de Flüe & la paix

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600e de saint Nicolas de Flüe & la paix mondiale par les nations suisses.

Le 600e anniversaire de la naissance de saint Nicolas de Flüe en 2017 sera célébré à travers plus 90 projets dans toute la Suisse. L’Association ” 600 ans de Nicolas de Flüe” a présenté, le 22 septembre 2016 au Flüeli-Ranft, le programme très varié de cette année commémorative placée sous le slogan “retour au Ranft”.

En suivant le slogan “Retour au Ranft”, nous souhaitons encore mieux faire connaître cet homme, médiateur et mystique qu’était Nicolas de Flüe ainsi que de sa femme Dorothée Wyss, au-delà des frontières cantonales jusque dans toutes les régions de notre pays, ont expliqué les organisateurs.
Nicolas de Flüe ou Bruder Klaus fait partie des personnalités les plus influentes de Suisse. Il fut un personnage important pour la spiritualité, l’histoire et la société de la fin du Moyen-Age, en Suisse et au-delà.
L’association “600 ans de Nicolas de Flüe”, constituée par les autorités civiles et religieuses du canton d’Obwald, souhaite raviver la relation entre la population suisse et la vie et l’oeuvre de Nicolas de Flüe. Onze projets clés ont été imaginés avec le soutien de plus de 90 initiatives participatives dans tout le pays. Un conseil scientifique ainsi qu’un comité de parrainage soutiennent l’association dans son effort de diffusion nationale.

“Retour au Ranft”

L’année commémorative est placée sous le slogan “Retour au Ranft”, c’est-à-dire au lieu où Nicolas de Flüe a vécu en ermite près de vingt ans, accueillant de nombreux visiteurs venus des cantons suisses mais aussi de toute l’Europe. Ce lieu, situé au-dessus de Sachseln, créateur d’identité, site de force spirituelle, est un endroit de paix, de prière, une oasis de sérénité et de réflexion, rappelle l’association.
Au plan spirituel ce “Retour au Ranft” signifie aussi un retour, à l’écoute à la réflexion, à la méditation sur les questions essentielles de l’être humain.
Franz Enderli, président de l’association ” 600 ans de Nicolas de Flüe” et directeur du département de la formation et de la culture du canton d’Obwald, a relevé que l’année commémorative se veut aussi une année d’impulsions à partir de la vie et de l’action de Bruder Klaus, bien au-delà de 2017.

Premiers projets clé de l’année commémorative

Pour lancer les festivités de l’année commémorative, l’Association a déjà lancé deux projets clés. Jusqu’à la fin octobre de cette année, les associations, groupes et classes d’école peuvent participer gratuitement à des visites guidées du musée Bruder Klaus à Sachseln et à Flüeli-Ranft. Depuis 2015, plus de 3’000 écoliers, adolescents et adultes ont profité de cette chance.
Une série de conférences et de débats a débuté le 14 septembre. Roland Gröbli, biographe de Nicolas de Flüe et président du conseil scientifique, a lancé l’année commémorative en Suisse centrale en présentant “Nicolas de Flüe : mystique – médiateur – homme”. Cette série de neuf manifestations offrira un regard actuel sur Nicolas de Flüe, englobant diverses perspectives.

Livre commémoratif ” 600 ans de Nicolas de Flüe”

Dans un ouvrage à paraître en décembre, plus de 60 auteurs apportent un éclairage sur le mystique, le médiateur et l’homme ainsi que les nombreuses manières de lui rendre hommage de par le monde. Les contributions s’intéressent aussi à sa femme Dorothée Wyss en soulignant aussi la grande importance qu’elle revêt.

Les 600 ans de Nicolas de Flue et les 500 ans de la Réforme

Le 1er avril 2017 une journée commémorative rassemblera les deux thèmes des 600 ans de Nicolas de Flue et des 500 ans de la Réforme protestante. Même si Nicolas de Flue est mort une trentaine d’années avant la Réforme, sa spiritualité et son action influencèrent plusieurs des réformateurs qui le portaient en haute estime. L’Eglise catholique et les Eglises protestantes organisent en commun cette journée œcuménique.

Commémoration nationale

La cérémonie officielle de commémoration nationale se déroulera le dimanche 30 avril 2017, sur le Landenberg de Sarnen, en présence de représentants du Conseil fédéral, du parlement et des cantons. La fête aura des accents politiques, historiques et sociaux.
Une exposition mobile ” Nicolas de Flüe – En chemin” arpentera tous les cantons du pays durant l’été et le début de l’automne 2017 pour mieux faire découvrir l’ermite du Ranft.

Guide:

de l' association 600 ans de Nicolas de Flüe Guide pour la proposition de projets participatifs 

600 ans de Nicolas de Flüe – une chance de le redécouvrir 

En 2017, nous célébrerons le 600e anniversaire de la naissance de Saint Nicolas de Flüe (1417- 1487). Après une vie riche, tant dans son métier que dans sa famille et dans la société, il s’est retiré, à l’âge de 50 ans, à Ranft, une terrasse naturelle située dans le ravin de la Melchaa, proche de Flüeli, dans le canton d’Obwald. Il y a vécu 20 ans, dans la prière, le jeun et la réflexion, voyant venir à lui de plus en plus de visiteurs. L’ermite de Ranft touchait les gens de son époque au plus profond d’eux-mêmes. Les hommes et les femmes voyageaient de loin pour recevoir conseil et force de Frère Nicolas, comme on l’appelait alors. Ce lien et cette force perdurent aujourd’hui. Nicolas de Flüe fait partie des personnalités les plus emblématiques de Suisse. Aujourd’hui encore, il est un modèle de spiritualité, un exemple pour la société et la politique tout en restant un homme avec ses forces et ses faiblesses. Sur son chemin de vie, la présence de sa femme Dorothee Wyss était indispensable. Pour comprendre la personnalité de Nicolas de Flüe, il est important de comprendre leur combat commun. A l’heure de sa propre réalisation, l’homme se retrouve un peu perdu dans le paysage, recherchant à accomplir son objectif de vie en trouvant l’absolue liberté que lui offre Dieu. Nicolas de Flüe défend un monde fait de valeurs profondes, de vraies rencontres et d’humilité personnelle. Le renoncement et la recherche de Dieu en font partie, ainsi que les efforts constants de médiation et d’équilibre. Il s’agit d’accepter un Dieu positif ainsi que ses visions, dont la force archaïque ne cesse de nous émerveiller. Cette année commémorative nous offre la possibilité de redécouvrir la personnalité et le message intemporel de Nicolas de Flüe. Son travail de médiation et de réconciliation n’est-il pas justement nécessaire aujourd’hui, dans notre époque d’individualisme, où la société se concentre bien souvent sur le profit personnel ? Il est le médiateur entre les régions linguistiques et culturelles, entre les confessions et les hommes du monde entier. Nicolas de Flüe a beaucoup à nous apprendre sur les défis actuels. Saisissons la chance qui nous est offerte d’entamer un dialogue passionnant et productif avec l’homme et l’un des plus grands mystiques et médiateurs. « Retour au Ranft », voici le leitmotiv de cette année commémorative. Ce lieu, créateur d’identité, site de force spirituelle et de nostalgie, proche du centre de la Suisse, est un endroit de paix, de prière ; une oasis de sérénité et de réflexion. « Retour au Ranft » représente, avec Nicolas de Flüe comme personnalité médiatrice exceptionnelle et porteuse d’histoire, une arrivée ainsi qu’un retour vers le retrait et la réflexion. Un retour au calme et à la méditation, un retour vers la détente et la modération, un retour vers l’écoute et vers un éloignement de l’égoïsme. La question de l’essentiel de l’être humain se trouve au centre de l’année commémorative. Il s’agit de calme, d’intensité et de rencontres et non pas d’un spectacle. L’objectif est de lancer des idées de réflexion dans le monde. Association 600 ans Nicolas de Flüe Page 3 | 5 La commémoration et l’association – nous avons besoin de votre aide L’Etat et l’Eglise souhaitent présenter la vie et l’œuvre de Saint Nicolas de Flüe à un large public à l’occasion du 600e anniversaire de sa naissance que nous fêterons en 2017. Les autorités cantonales et ecclésiastiques du canton d’Obwald ont créé une association à cet effet. Cette association réunit le canton d’Obwald, la commune de Sachseln, la fondation BruderKlausen, la paroisse de Sachseln, l’association des paroisses catholiques romaines d’Obwald et l’association des paroisses évangéliques réformées d’Obwald. L’association « 600 ans Nicolas de Flüe » prépare l’année commémorative, en travaillant avec un réseau national, et réalise des projets clé (par ex. une exposition itinérante ou une série de présentations) ainsi que des manifestations (par ex. la célébration commémorative officielle en 2017). Au-delà de la réalisation de ses propres projets, l’association offre son soutien pour le lancement et la mise en réseau d’autres projets participatifs. Cette commémoration doit se dérouler de la manière la plus variée, tolérante et attirante que possible, avec une participation aussi importante que possible, à l’échelle nationale. Elle doit en particulier dépasser les frontières cantonales et nationales, sans limite de confession. L’association propose un soutien au niveau du conseil, de la coordination et de la publicité, afin de permettre la réalisation du plus grand nombre possible de projets, manifestations et actions de tiers intéressants et durables dans le cadre de l’année commémorative. Nous accueillons avec plaisir vos idées et propositions. Ce guide s’adresse à tous ceux qui souhaitent réaliser eux-mêmes un projet, une manifestation ou une campagne dans le cadre de la commémoration ou qui souhaitent prendre part à ces initiatives. Il définit…  … les objectifs poursuivis par l’association pour la commémoration,  … quel soutien elle peut apporter,  … la manière dont ces initiatives doivent être annoncées,  … quels avantages la plateforme de projet propose. Ce guide s’adresse aux créateurs et institutions culturels, ainsi qu’aux associations, entreprises, groupes d’intérêts, organisations touristiques et personnes privées. Nous serons heureux de vous lire et de vous entendre. Beat Hug Association «600 ans Nicolas de Flüe», Brünigstrasse 178, Case postale 1262, 6061 Sarnen Tél. 041 666 61 61, Fax 041 660 27 27, info@mehr-ranft.ch, www.mehr-ranft.ch Nabih Yammine Association «600 ans Nicolas de Flüe» Ambassadeur pour les régions d'expression française Huebboden 2, CH-6371 Oberdorf Tél. 041 610 30 65, nabih.yammine@solisu.ch Association 600 ans Nicolas de Flüe Page 4 | 5 Quels sont les objectifs et services de la plateforme de projet ?  L’association permet, grâce à cette plateforme, une participation très variée, pour toute personne intéressée à participer à l’année commémorative 2017, ainsi qu’un fort ancrage au sein de larges groupes de population. Ceci permet d’éviter les doublons et de favoriser l’échange ainsi que le dialogue.  L’association informe au travers de la plateforme de communication sur les locaux existants et futurs, sur les réseaux, projets, manifestations et actions nationaux et internationaux concernant la commémoration de Nicolas de Flüe.  Les projets participatifs acceptés sont intégrés dans la communication ainsi que dans le travail médiatique et public de l’association, sous la marque ombrelle « RETOUR AU RANFT » (par ex. via le site web ou dans un livret, programme, etc.). Les projets participatifs, ainsi que leur responsable, sont autorisés à publier leur événement sous la marque ombrelle « RETOUR AU RANFT ».  La plateforme de l’association fonctionne comme un réseau, resp. comme un réceptacle des idées et initiatives de projets. Il a pour but de conseiller et éventuellement de recommander ces projets à d’éventuels organismes de soutien et de coopération, y compris ceux déjà représentés sur la plateforme de projet.  L’association ne verse pas de fonds au moyen de la plateforme de projet. Si nécessaire, elle peut transmettre les coordonnées d’éventuels bienfaiteurs, soutenir les projets ou y participer, contribuer à la recherche de fonds. Dans le cas d’éventuelles propositions groupées, l’association peut recommander des projets participatifs à d’éventuels sponsors, après discussion avec le responsable du projet.  Les projets adaptés peuvent être liés aux projets clé de l’association , resp. être renforcés. Quels projets, manifestations et campagnes de tiers peuvent être acceptés dans le réseau ?  Les projets, manifestations et campagnes doivent avoir un lien reconnaissable au niveau du contenu avec la commémoration « 600 Nicolas de Flüe » et/ou au leitmotiv « RETOUR AU RANFT ».  Chaque projet, manifestation ou action doit disposer de sa propre direction, resp. d’une association responsable pour ce projet.  L’association de chaque projet participatifs reste le responsable de la planification, du financement et de la réalisation. La publication du budget ainsi qu’un plan de financement sont bienvenus.  Les projets, manifestations et campagnes s’appliquent à respecter les thématiques et l’agenda de l’association « 600 ans Nicolas de Flüe ».  Le projet s’accorde au niveau de la qualité et correspond, dans son esprit, aux documents de base (http://www.mehr-ranft.ch/niklaus-von-fluee/) ainsi qu’aux objectifs de l’association (http://www.mehr-ranft.ch/gedenken/ziele/). Association 600 ans Nicolas de Flüe Page 5 | 5 Que doit contenir une proposition de projet, de manifestation ou de campagne ? Vous trouverez des informations à ce sujet directement dans le « Formulaire pour la proposition de projets de participatifs ». Comment est prévu l’agenda pour le lancement de projets, resp. pour la suite des événements ?  Nous vous prions de nous contacter le plus tôt possible.  La première étape consiste à compléter, autant que possible, le « Formulaire pour la proposition de projets de participatifs » et de le transmettre ensuite au secrétariat de l’association (email : info@mehr-ranft.ch, Fax 041 660 27 27 ou de le remettre à l’ambassadeur pour les régions d'expression française). Nous recommandons de compléter un formulaire pour chaque projet, manifestation et campagne. Nous nous tenons à votre disposition pour toute question.  Le secrétariat collecte les propositions, prend contact avec les responsables du projet dans le cas de projets urgents, communique un premier préavis et aiguille vers des initiatives semblables, organisées par d’autres partenaires du réseau et conseille si des ajustements sont nécessaires.  Le secrétariat évalue et transmet les propositions avec sa propre appréciation et sa recommandation destinée au comité de l’association ainsi qu’au conseil scientifique si nécessaire.  Le secrétariat et chargé par le comité de l’association d’informer les responsables du projet concernant l’acceptation dans le réseau de projets de l’association ainsi que sur les moyens de soutien concrets (tout recours juridique est exclu).  L’évaluation des projets de participatifs se fait en plusieurs étapes au sein du comité. Le délai entre la proposition du projet et la décision dépend de l’ampleur du projet et du nombre de projets soumis. Il n’est donc pas possible d’indiquer un délai de réponse pour tous les projets de participatifs soumis. Le secrétariat de l’association communiquera en permanence avec les responsables du projet pour les informer de l’évolution.  D’autres manifestations sont prévues régulièrement par l’association, afin de promouvoir l’échange d’expérience et entretenir les relations du réseau. Le site web www.mehrranft.ch et la newsletter électronique annonceront ces événements le dès que possible. 
Etat : 13 juillet 2015. 
L’association « 600 ans Nicolas de Flüe » se réserve le droit d’apporter des modifications à ce guide.

AGENDA



http://www.mehr-ranft.ch/

(cath.ch-apic/com/mp)

L'enjeu principal urgent, qui bénéficie des créations monétaires ?

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L'enjeu principal urgent est :

QUI doit décider et bénéficier des milliards des créations monétaires ?

Les banques privées comme actuellement à 99 %, sic, ou les collectivités à 100 % par des responsables tirés au sort chaque année ?

Le pluriel est important et nous parlons maintenant de monnaies-pleines polypoly opposées au monopoly



Bonne journée ensoleillée 

Cordiales salutations

François.

#stopcorruptions


Votations: ils trichent.

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Comme M. Richard Stallman le dit, s'ils peuvent tricher, ils trichent, ils peuvent tricher facilement, donc ils trichent . :-)

Par Elke Wetzig — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=257831

https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Stallman

Venez sur notre groupe facebook, merci.

https://www.facebook.com/groups/votations/?fref=ts


Les entretiens de Valpré & la DSE

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Les entretiens de Valpré & la DSE

DSE: la doctrine sociale de l'Eglise...




L'enjeu principal urgent, qui bénéficie des créations monétaires ?



L'enjeu principal urgent est :

QUI doit décider et bénéficier des milliards des créations monétaires ?

Les banques privées comme actuellement à 99 %, sic, ou les collectivités à 100 % par des responsables tirés au sort chaque année ?

Le pluriel est important et nous parlons maintenant de monnaies-pleines polypoly opposées au monopoly




Donner le goût du travail : c'est vital !

Découvrez le programme complet de la journée


Mardi 27 septembre, au Collège des Bernardins,
à Paris
19 h 30 - Introduction

Par Pierre GATTAZ, président du Medef

20 h 00 - 22 h 00 - Table ronde dans le cadre des mardis des Bernardins

Catherine BARTHÉLÉMY, président de Manuloc

Véronique DESCACQ, secrétaire générale adjointe de la CFDT

Bruno LAFONT, président d'honneur de Lafarge SA, Co-chairman of the Boards of Directors of Lafarge Holcim LTD

Georges SANEROT, président du directoire de Bayard

Animation : Pierre-Henri de Menthon, directeur délégué de Challenges


Inscriptions directement sur le site du Collège des Bernardins, en cliquant ici.
Lundi 3 octobre, à l'Université catholique de Lyon

18 h 00 - 20 h 30 - Conférence

Par Pierre-Yves GOMEZ, économiste, docteur en gestion, professeur à l'EM Lyon

Conférence suivie d'un échange avec Jean-Luc GROLLEAU, président des Ateliers de l'Entreprenariat Humaniste

Animation : Benoît Fidelin, rédacteur en chef de Pèlerin

En partenariat avec l'ESDES
Mardi 4 octobre, au centre de Valpré, à Écully (69)
9 h 00 - Accueil, café, messe

10 h 30 - 12 h 00 - Remise du prix des Entretiens de Valpré

Et table ronde autour du thème : Églises, économie, social et entreprise : quoi de neuf depuis un an ?

Dominique COATANÉA, docteur en thélogie, maître de conférences en éthique à l'Université catholique de l'Ouest

Emmanuel GABELLIERI, professeur en faculté de philosophie, directeur du CRESO à l'Université catholique de Lyon

Animation : Père Dominique Greiner, assomptionniste, rédacteur en chef à La Croix

En partenariat avec La Croix et l'Université catholique de Lyon

12 h 15 - 14 h 15 Déjeuner-débat

Le goût du travail en entreprise doit-il s'apprendre à l'école ?

Hayette HAMIDI, avocate, élue au Blanc Mesnil (93)

Éric MESTRALLET, président-fondateur de la fondation Espérance Banlieues

Bernard PERREAU, président de Feu Vert

Animation : Guillaume Goubert, directeur de La Croix (à confirmer)
14 h 45 - 16 h 30 - Ateliers


Réflexion pratique par petits groupes (maximum 20 personnes par atelier) dans une atmosphère d’écoute et de professionnalisme.
Chaque groupe est animé par deux modérateurs spécialistes du sujet.
En cas d'effectifs trop importants, les ateliers seront dédoublés.

Voir la liste détaillée des ateliers

17 h 00 - 18 h 30 - Entretien à trois voix

Comment transmettons-nous notre passion du travail ?

Bérénice BRINGSTED, co-auteur de "Faut qu'on parle !"

Florent DARGNIES, président-fondateur de 4 roues sous 1 parapluie

Augustin PALUEL-MARMONT, CEO de Michel & Augustin

Animation : Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du Figaro Magazine (à confirmer)

19 h 00 - 20 h 30 - Grand entretien

Le goût du travail, même combat pour les patrons et les salariés ?

Cardinal Philippe BARBARIN, archevêque de Lyon

François ASSELIN, président de la CGPME France, président d'Asselin

François MORINIÈRE, directeur général d'Oeneo, ancien directeur général de L'Équipe

Joseph THOUVENEL, vice-président confédéral de la CFTC

Animation : Philippine de Saint-Pierre, directrice de KTO (à confirmer)
Philippe Lansac, directeur de RCF Lyon (à confirmer)

20 h 30 - Cocktail


S'inscrire en ligne

Stop aux fossoyeurs de la Suisse

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Tricher toutes les nouvelles votations par correspondance ou par électronique est trop facile. La nouvelle constitution a été imposée par tricheries, notamment à Lucerne, au Tessin et à Berne par les votes par correspondance des suisses de l'étranger...



Fin de la démocratie suisse. Liliane Held-Khawam + DOSSIER

Il y a 3 ans,  nous alertions, dans un article qui s’intitulait « la Suisse est un concept en danger », sur les dangers courus par la démocratie suisse. Nous étions alors en pleine tourmente avec nos plus « chers » alliés.
Ce papier faisait un retour sur la réforme de la Constitution fédérale, admise après votation par le peuple. Il ressortait de ce bref examen de la Constitution que la démocratie suisse tant réputée avait été mise en lambeaux. Un simple exemple illustre ces propos: La disparition du nouveau texte de la notion de « peuple souverain ».
Après l’entrée en vigueur de ce texte constitutionnel, les représentants du pays ont mis la pédale douce quant aux effets visibles de cette réelle révolution silencieuse. Le tapis démocratique a été retiré de sous les pieds de chaque citoyen du pays sans qu’aucun d’eux ne s’en aperçoive…
S’ensuivra une longue schizophrénie dans la gouvernance du pays. Le gouffre entre ce qui est réellement signé, notamment avec Bruxelles, et ce qui est communiqué devient béant. Nous relèverons au passage le plaisir qu’ont dû vivre les communicants de Berne à chaque fois que l’appellation « le souverain » ou « le peuple souverain » a été prononcé. Depuis 1999, le peuple suisse est par exemple, constitutionnellement,  moins souverain que le peuple français.
Il en va de même pour les cantons, autrefois souverains aussi. L’article 3 qui semble maintenir la souveraineté des cantons est croustillant. Il dit ceci:
« Art. 3 Cantons
Les cantons sont souverains en tant que leur souveraineté n’est pas limitée par la Constitution fédérale et exercent tous les droits qui ne sont pas délégués à la Confédération.
La révolution a atteint de plein fouet le peuple votant, mais aussi les Cantons! Une délégation importante de leurs pouvoirs a été faite à la Confédération. Du coup, les Cantons ont été privés de certaines de leurs prérogatives antérieures. C’est pour cette raison que l’on nous demande de ne plus parler de Confédération, mais de Fédération.
Et pour ceux qui continuent d’être incrédules sur le sujet, voici le découpage de la Suisse totalement intégré par Berne et les statistiques qu’elle produit. Il est 100% made in Bruxelles:
La carte des régions suisses
Les cantons n’y existent plus. La Suisse est décomposée (au vrai sens du mot) autour de 7 euro-régions ou NUTS.
Par conséquent, ce que dit la députée, Cesla Virginia Amarelle, au moment de la défense  d’une mise en application euro-compatible de la votation contre l’immigration de masse du 9 février est parfaitement justifiée, à la condition de réviser la notion de souveraineté.
Je vous invite à bien regarder cette vidéo. La revendication d’une marge de liberté dans l’interprétation des textes de lois est tout à fait défendable si les votants -peuple et cantons- ne sont pas les Souverains!

Les véritables souverains de la Suisse  transfigurée, siègent à Berne et pas ailleurs. Leur pouvoir est considérable….
Quant à la démocratie, qui veut dire littéralement « peuple souverain », elle a été constitutionnellement dissoute. Alors, arrêtons les frais des votations, qui ne seront appliquées que si elles vont dans le « bon » sens.
Une alternative consisterait à exiger un audit neutre avec des représentants du peuple contribuable sur l’état réel de la démocratie et.. des finances fédérales tant qu’à faire…
Liliane Held-Khawam
  • Extrait de l’article de 2013 « La Suisse est un concept en danger » LHK

    Perte de souveraineté. Pillage de la place financière. Pillage de sa monnaie. Pillage de son or. Pillage de ses données. Pillage des droits des citoyens. A toutes ces plaies, s’ajoute l’humiliation. Rien n’aura été épargné au peuple suisse !
    L’une des plus anciennes démocraties au monde flanche sous des coups venant de toutes parts. Or, la facilité et la vitesse avec lesquelles tout ceci se passe auraient été impossibles sans trahisons internes.
    Tout commence le 6 décembre 1992. Le peuple souverain refuse l’adhésion à l’EEE. Le lendemain de ce refus, le Conseil fédéral de l’époque tout dévoué à l’aventure européenne se lance dans une révision de la Constitution. Le peuple souverain pour la dernière fois accepte cette nouvelle mouture se fiant à ses autorités fédérales. Des voix dissonantes se sont certes élevées contre le contenu mais vite étouffées tant ce texte ardu a besoin de spécialistes de haut vol pour le décortiquer… Bref, le jour de l’acceptation de cette nouvelle constitution, la Suisse est entrée de plain-pied dans l’Union Européenne sans le savoir.
    Malgré la difficulté du texte constitutionnel, il est simple grâce au traitement informatique de relever qu’un certain nombre de choses ont disparu. Tout d’abord le mot « nation » trônait dans le préambule: « La Confédération suisse, voulant affermir l’alliance des confédérés, maintenir et accroître l’unité, la force et l’honneur de la nation suisse ». Ce mot si cher au cœur des premiers démocrates qu’il a été gravé dans l’art. 3 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 en lettre majuscule ! En 1999, il a été remplacé par « communauté » et « vivre ensemble », valeurs chéries par les mondialistes.
    La souveraineté des peuples n’est pas en reste. Elle qui définit la démocratie a aussi été retouchée. Ainsi, le premier article l’ancienne Constitution qui disait: « Les peuples des vint-deux cantons souverains de la Suisse… » a été remplacé par « Le peuple suisse et les cantons…(liste)… forment la Confédération suisse ». Les principes de peuple souverain et de nation – fondateurs de toute démocratie – ont donc été enterrés.
    Dans l’ancienne Constitution, la conclusion de traités internationaux relevaient du référendum obligatoire. Depuis le 1er août 2003, l’art. 166 al. 2 de la Constitution est le suivant: « Elle (Assemblée fédérale) approuve les traités internationaux, à l’exception de ceux dont la conclusion relève de la seule compétence du Conseil fédéral en vertu d’une loi ou d’un traité international ». Aujourd’hui c’est l’Assemblée fédérale ou le peuple qui doivent fournir l’effort de collectes de signatures pour exiger un référendum… Les conseillers fédéraux sont donc depuis investis de super-pouvoirs. Leurs signatures valent donc de l’or. Il suffit de faire placer la bonne personne au bon endroit. Un régime autoritaire peut dès lors se déployer. La « Lex USA » est un des innombrables exemples qui choquent le citoyen.
    Avec cette nouvelle Constitution, on voit apparaître un phénomène inconnu jusqu’alors. Le poids direct des partis politiques et des lobbies. L’art. 147 se présente ainsi: « Les cantons, les partis politiques et les milieux intéressés sont invités à se prononcer sur les actes législatifs importants et sur les autres projets de grande portée lors des travaux préparatoires, ainsi que sur les traités internationaux importants ». Les lobbies sont les bienvenus dans la Constitution ! Les partis politiques dont le financement est garanti en partie par les banques y sont aussi reconnus ! Il faut y reconnaître une avancée spectaculaire. Le bétonnage à tout va du paysage suisse , couvert de grues n’est qu’un des effets visibles de cette révolution d’un État-business qui s’approprie tout sur son chemin.
    Cette nouvelle Constitution a donc morcelé la souveraineté légendaire du peuple suisse. Une partie a été transférée de facto aux Conseillers fédéraux. La BNS a bénéficié d’un autre bout de la souveraineté qui lui a donné la possibilité pêle-mêle de vendre de larges parties des réserves d’or à un prix ridiculement bas. Elle a pu vendre des actifs sérieux, fait fonctionner la planche à billets et noyer le franc suisse par des euros, créer artificiellement un bilan géant, déconnecter la monnaie de la production réelle… Ce faisant elle participait fortement au sauvetage des banques, de la zone euro et des dettes européennes pourries faisant porter tous les risques au seul citoyen-contribuable. A aucun moment, elle n’a cherché à réduire ses risques par la création d’un fond souverain, la vente d’euros…
    Aujourd’hui, en cas de suppression de dettes européennes le peuple suisse sera le premier à trébucher. Cela pourrait même selon l’importance le jeter dans les bras des marchés financiers au même titre que ses voisins. Le seul souci de ces dernières années de la BNS s’appelle le sauvetage des « too big to fail », banques répertoriées par l’administration américaine en 2010. En revanche, si on parle au patron de la BNS du sauvetage éventuel d’une banque cantonale, il répond que la BNS n’a pas pour vocation de sauver des banques… Cherchez l’erreur… L’intérêt public a changé de nature de même que la souveraineté du pays a été « disloquée et délocalisée ».
    La Justice n’est pas en reste. L’art 139 al3 touche la démocratie directe ainsi:« Lorsqu’une initiative populaire ne respecte pas le principe de l’unité de la forme, celui de l’unité de la matière ou les règles impératives du droit international, l’Assemblée fédérale la déclare totalement ou partiellement nulle. » L’art. 190 complète ainsi l’entrée en force du droit international – comprenez européen – en Suisse : « Le Tribunal fédéral et les autres autorités sont tenus d’appliquer les lois fédérales et le droit international ». Les articles continuent en faveur du droit international en cas d’initiative et de révision de la Constitution. Berne est devenue en quelque sorte une succursale de Bruxelles… (Lire la suite ici)
  • Vidéo au sujet des référendums.

M Moscovici y dénonce les mensonges qui accompagnent les référendums. Cette vidéo a le mérite de donner tout son sens à la fonction de « spin doctors » qui mentent et biaisent la réalité lors des votations. Nous venons de vivre un exemple avec la votation sur la loi sur le Renseignement…
C’est aussi grâce au spin doctoring qui vante la « modernisation » que la nouvelle Constitution suisse a pu être votée en 1999.
Il n’appartient pas au parlement mais au peuple de revenir sur le choix opéré par l’acceptation de l’initiative contre l’immigration de masse le 9 février 2014, souligne le constitutionnaliste Etienne Grisel
Les récentes résolutions du Conseil national, loin de mettre en œuvre la votation du 9 février 2014, sapent les négociations avec l’UE, contrecarrent la volonté populaire et violent la Constitution.
Elles font naître de vives craintes pour l’avenir de notre démocratie. Le processus ne fait certes que commencer. Mais les pourparlers avec l’UE sont compromis et les dommages pourraient être importants.
Offrir la capitulation pendant la négociation relèverait de la forfaiture. Ignorer un scrutin populaire et la Constitution serait manquer aux devoirs d’un parlement assermenté.
Le législateur avait édulcoré l’article sur le renvoi des criminels étrangers et dénaturé l’initiative sur les résidences secondaires. Mais ici, un pas de plus serait franchi, les mesures décidées par le peuple étant abandonnées: il s’agirait d’une trahison sans précédent des institutions démocratiques. Bref, le Conseil national a fait comme si la votation du 9 février n’avait pas eu lieu.

Gestion indépendante de l’immigration

L’exécution de certaines initiatives populaires a déjà donné lieu à des difficultés d’ordre temporel, financier ou pratique. Mais les autorités fédérales ont jusqu’ici de bonne foi cherché à surmonter ces obstacles. L’article 121a issu de la votation du 9 février ne pose aucun problème autre que l’opposition politique, voire économique, qu’à juste titre rencontre le texte. Mais ce dernier a été voulu par le peuple et laisse une marge limitée au législateur.
Contrairement à une opinion répandue, l’initiative sur l’immigration ne tend pas à diminuer celle-ci mais à la contrôler. Le but n’est pas la réduction, mais la maîtrise, par des moyens utilisés pendant des années et donc bien connus. Jusqu’en 2009, la Suisse gérait avec indépendance l’immigration venue des pays de l’UE. Depuis lors, une circulation libre est garantie, dont l’ampleur explique, sans le justifier, le dépôt de l’initiative populaire en février 2012.
Pour atteindre son objectif, l’article 121a oblige le législateur à soumettre l’immigration de tous les étrangers, européens compris, à des quotients et des quotas. Ceux-ci devraient être fixés périodiquement en fonction des besoins de l’économie, clause logique et copiée sur le système appliqué jusqu’en 2009. Le texte n’entraîne pas de révolution, mais le retour à une situation récente.

Aux antipodes du texte voté par le peuple et les cantons

Le texte constitutionnel enjoint aussi à la Confédération de renégocier les traités contraires à l’art. 121a, surtout l’accord de libre circulation avec l’UE. Ce mandat en cours d’exécution concerne le gouvernement et non le parlement. Il a toujours été entendu que la future loi serait adoptée seulement une fois connu le résultat des pourparlers avec l’UE.
La Constitution demande certes implicitement l’adoption des lois d’application d’ici au 9 février 2017. Mais cette date butoir n’est pas aussi contraignante que certains le prétendent, car après l’échéance du délai, le Conseil fédéral peut édicter provisoirement les dispositions d’exécution.
Telle est la solution qui s’imposerait, si un accord avec l’UE n’était pas trouvé avant février 2017. Mais il n’appartient pas aux Chambres d’adopter une loi définitive pendant les pourparlers ni de voter des dispositions qui ont pour but avoué d’éviter la renégociation prescrite par l’art. 121a.
La position de la commission et du Conseil national est aux antipodes du texte constitutionnel. Elle ne comporte aucun des instruments qui garantiraient une maîtrise efficace du problème migratoire. Elle ne prévoit ni quotients ni quotas. Certes, elle évoque la préférence nationale, mais cette mesure, sans contrainte ni sanction appropriée, serait dénuée d’effet. S’il suffisait de compter sur la bonne volonté des acteurs économiques, l’article constitutionnel serait sans objet.

La voie suivie par le Conseil national n’est pas conforme à nos institutions

Quant à la prétendue «clause de sauvegarde» qui permettrait en cas de nécessité de limiter le nombre des travailleurs migrants, elle n’assurerait pas une gestion autonome du problème, dès lors que son utilisation serait soumise à l’accord explicite des représentants de l’UE. Ce serait donc le contraire de la maîtrise indépendante voulue par le peuple.
La voie ainsi suivie par le Conseil national n’est pas conforme à nos institutions. Faute d’un compromis avec l’UE, un choix s’imposera entre la libre circulation des personnes et l’abandon des relations étroites avec l’UE. Le Conseil national préfère la première solution à la seconde, mais ce choix n’appartient pas aux députés, il a été fait le 9 février et seul le peuple peut revenir sur sa décision.
Puisque l’article 121a est incompatible avec l’accord de libre circulation, il faut que le Constituant puisse revoter. Mais un nouveau scrutin ne sera démocratique que si la question posée est claire et les enjeux bien définis. Il faut éviter un référendum sur la loi d’application de l’art. 121a, car il conduirait à un résultat ambigu voté dans des conditions confuses. Il ne serait pas sain non plus d’inciter les partisans du texte existant à lancer une nouvelle initiative de «mise en œuvre», procédure qui crée, elle aussi, une situation obscure.
Si les Chambres adoptaient les résolutions du Conseil national, elles trahiraient la démocratie directe, sans éviter l’impasse créée par le vote du 9 février.

1984 ? DROIT D'ACCÈS AUX DONNÉES PERSONNELLES

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les fichiers sont de plus en plus interconnectés...

LES FICHIERS suisses partent aussi à l'étranger...

affaires des fiches en 1989, plus de 700'000 suisses fichés...


LETTRES TYPES : DROIT D'ACCÈS AUX DONNÉES PERSONNELLES


Dans le cadre de l'enquête sur le droit d'accès lancée en collaboration avec la RTS, j'ai envoyé un certain nombre de lettres aux sociétés et autorités qui détiennent ou peuvent détenir des données à mon sujet. Pour ce faire, j'ai adapté et complété les lettres types du Préposé fédéral à la protection des données.
Pour chaque société ou autorité à laquelle j'ai écrit, vous trouverez la lettre en deux formats (Word et LibreOffice) avec l'adresse du destinataire. Il ne vous reste plus qu'à
  1. y insérer vos propres coordonnées,
  2. dater puis imprimer et signer la lettre,
  3. y joindre une copie d'un document d'identité,
  4. et poster le tout par courrier recommandé (ce n'est pas obligatoire, mais c'est plus sûr).

Lettres types

Exemple:
Prénom Nom                                                                                 Ville, le 27 septembre 2016

Adresse

Code postal - Ville

e-mail

téléphone



                                                                                                        Recommandé

                                                                                                        UNIL - Unicentre

                                                                                                        Service juridique

                                                                                                        1015 Lausanne






Demande d'accès aux données personnelles (art. 25 et suivants LPrD)



Madame, Monsieur,


Par la présente, je souhaite exercer mon droit d’accès aux données personnelles me concernant conformément aux articles 25 et suivants de la loi cantonale vaudoise sur la protection des données (LPrD).


Je vous prie de bien vouloir me communiquer par écrit et/ou sous forme électronique, gratuitement (art. 26 al. 4 LPrD), des renseignements relatifs aux données personnelles me concernant et qui sont traitées, en particulier :


·       les données traitées sur la base de la loi sur l’université (LUL) ;

·       les données relatives à la Campus Card ;

·       les données traitées sur la base de la loi sur le personnel (LPers-VD) ;

·       les données traitées par le portail Alumnil ;

·       toutes les autres données personnelles traitées sur la base d’autres lois et règlements ;

·       les motifs des traitements de données précités ;

·       la durée de conservation des données personnelles ;

·       si ces données ont été traitées et/ou communiquées à des tiers et sur quelle base ;

·       si ces données ont fait l’objet d’une communication trans-frontière.


Je vous saurais également gré de me confirmer expressément que les renseignements que vous me ferez parvenir sont complets et corrects. Si vous ne pouvez pas me donner ces renseignements, ou seulement de manière partielle, je vous prie, en vertu de l'art. 30 LPrD, de bien vouloir motiver votre décision.


Si vous envisagez de percevoir un émolument pour accéder à ma demande, je vous remercie de me le faire savoir au préalable (art. 26 al. 5 et 6 LPrD ; art. 11 al. 1 in fine R-LPrD).


Afin de justifier de mon identité, je joins à la présente une copie de pièce d'identité.


En vous remerciant de votre diligence et en vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.





                                                                                                        Prénom Nom + Signature


Dividende alias RBI pour les réfugiés

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Les réfugiés en Turquie vont recevoir environ un total de 6 milliards d'€ de L'Europe sous forme d'une carte bancaire avec un versement régulier, soit un dividende RBI, sic... 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/26/97001-20160926FILWWW00318-turquie-des-cartes-de-paiement-aux-refugies.php

En France:

Une allocation est bien versée aux demandeurs d’asile. MAIS « L’aide est de 6,80 euros pour une personne seule hébergée, précise la préfecture du Pas-de-Calais.4,20 euros supplémentaires sont alloués pour les migrants non hébergés. Cette aide varie en fonction de la composition familiale. ». En clair, plus la famille est nombreuse, plus l’aide apportée est importante. Le montant maximum concerne une famille de 10 personnes, dont les droits journaliers s’élèvent à 37,40 euros. ...

« Le versement de cette aide prend fin à la fin du mois qui suit celui de la notification de la décision définitive sur votre demande d’asile ou jusqu’au transfert effectif dans un autre pays », ajoute la préfecture.

Ce sont les services de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) qui prennent en charge les demandeurs d’asile. « Les services de l’OFII remettent bien aux migrants déposant une demande d’asile une carte de retrait. La carte ADA n’est pas une carte bancaire, elle n’est pas reliée à un compte bancaire. Elle est chargée mensuellement du montant alloué au demandeur d’asile. Le demandeur d’asile peut effectuer des retraits dans les distributeurs automatiques, il est limité à trois retraits par mois, terminent les services de la préfecture du Pas-de-Calais. L’ADA est versée le temps de la procédure de demande d’asile. Cette carte peut être désactivée à tout moment par l’OFII. »



Les internautes dubitatifs peuvent se rendre sur le site www.service-public.fr pour obtenir plus d’informations

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