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Revenu universel mais aussi capital universel

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Bilan de la BNS à fin février, de 2001 à 2017

Actif / Passif de la Banque Nationale Suisse, BNS.

Total du bilan 725'200.3 en millions, donc plus de 725 milliards.

Si on se distribue ce montant à  7 millions de suisses, ceci représente un capital de près de Fr 100'000 fr par personne, y compris les bébés.

Cette distribution relancerait toute l'économie, on pourrait aller en dépenser une partie par exemple pour des vacances en Grèce, les francs reviendraient en Suisse pour nos PME qui exporteraient en Grèce, donc une bonne relance.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html

C'est quand même mieux que de soutenir le $ et l'€ et diluer les francs suisses, donc affaiblir notre pouvoir d'achat et provoquer une inflation réelle ( Lamal, immobilier), par centaines de milliards ( bientôt mille milliards, sic...), montants qui reviennent en Suisse pour acheter et contrôler nos meilleures entreprises, qui partent en délocalisation sous d'autres cieux et dans les mains de capitalistes qui ne sont pas suisses, et qui fomentent des guerres atroces !

Hollande l'avait compris il y a quelques jours...

Il faut non seulement un revenu universel mais aussi un capital universel... Tous capitalistes, on peut enfin se distribuer les fruits des robots...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/manque-de-pouvoir-dachat-obsolescence.html?m=0



LA ROBOLUTION EST EN MARCHE !

Hollande pour distribuer les créations monétaires







Quand la majorité des productions seront assurées par des robots,  que faire sinon posséder des robots en coopératives , nos esclaves très obéissants jours et nuits,  24 heures/ 24, 7 jours/7 et 365 jours/365 ?

La régale monétaire, çà vaut le coup, près de 33'000 milliards en Europe, sic trente trois mille milliards, plus de 3'000 milliards en Suisse, sans compter les chiffres hors bilans, les créations monétaires en nano secondes non comptabilisées et les autres trucs modernes... qui nous volent systématiquement notre abondance... et poussent aux dépressions, burn-out, stress, alcoolisme, dépendances, rigueurs, austérités ridicules, anachroniques et malfaisantes...

La Suisse s'en sort pas si mal...




Hollande pour www.monnaie-pleine.ch


Patrimoine universel : la mesure choc de Hollande pour 2017 concrétise mieux que le revenu universel ou dividende ou RBI à la suisse


D’après L’Obs, le président de la République soutient une proposition héritée notamment du théoricien Thomas Paine, de St Thomas More, de Louis Even ou de Clifford H. Douglas.


« Je défends l’idée qu’on doit tous avoir un patrimoine de départ ». 

Selon l’hebdomadaire L’Obs, rapportant des propos de François Hollande, le président de la République travaillerait sur une proposition choc en vue de l’élection présidentielle de 2017 : le patrimoine universel.


« Alors que l’idée d’un revenu universel fait son chemin à droite comme à gauche, le chef de l’État considère que c’est sur l’héritage, véritable source d’inégalités à ses yeux, qu’il faut agir. ...


D’un point de vue purement politique, l’objectif est limpide. Couper l’herbe sous le pied des candidats de la primaire PS qui proposent l’idée d’un « revenu de base » versé à chaque Français. Ce qui est notamment le cas de Benoît Hamon, Arnaud Montebourg ou encore Marie-Noëlle Lienemann. Outre la volonté de cocher la case « gauche » de l’offre politique, François Hollande tient aussi à s’inscrire dans un élan de modernité, à l’heure où des libéraux, comme Nathalie Kosciusko-Morizet à droite ou Emmanuel Macron, sont séduits par ce principe. »

On verra bien l’idée finale qu’il retiendra pour son programme final de campagne, mais le prêt garanti par l’État… c’est enfin le juste don des créations monétaires accaparées par les banques commerciales !

La vraie liberté, égalité, fraternité économique, un pour tous et tous pour un...


L'ennemi, c'est la finance, voir le discours du Bourget, aura-t-il le courage d'aller jusqu'au bout ?

Vive le don, le gratuit, le bénévole. Au XXIème siècle, enfin possible !


En Suisse, on appelle le peuple “le souverain”. Le premier devoir du souverain, c’est de battre une bonne monnaie pour son peuple. Nous disposons de deux outils de la démocratie directe que sont l’initiative populaire et le référendum


Monnaie pleine, Vollgeld, positive money, par Francois de Siebenthal





ou encore des explications plus philosophiques de l' Université de Lausanne: 

7 000 milliards de dollars ? Face à des dizaines de trilliards ? Un trop petit pas dans la bonne direction ? de qui se moque-t-on ?
Des grandes banques s'allient pour sécuriser le système financier

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
Les grandes banques de la planète se sont mises d'accord samedi 11 octobre pour modifier les règles de fonctionnement du marché de quelque 7 000 milliards de dollars (5 500 milliards d'euros) de produits dérivés afin d'éviter que la faillite d'une d'entre elles ne provoque l'effondrement du système financier mondial.

Ces établissements, allant des américains aux asiatiques en passant par des européens, ont accepté d'abandonner le principe du « débouclage automatique » (close out) des contrats si une institution financière se trouve en difficulté, a annoncé dans un communiqué de l'Association internationale des swaps et dérivés (ISDA, pour International Swaps and Derivatives Association).
L'organisme, qui représente le secteur, mène les négociations avec les autorités de régulation. Selon lui, en cas de défaillance d'un grand établissement posant des risques pour le système financier (« too big to fail ») les banques mettrait en place un délai pour donner davantage de temps aux régulateurs afin qu'ils trouvent une solution évitant une faillite « désordonnée » aux conséquences potentiellement explosives.
« UN PAS IMPORTANT »
Cette solution contractuelle vise concrètement à suspendre temporairement le débouclage automatique des contrats. La faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 avait donné lieu à un débouclage massif de contrats dérivés avec la banque, ce qui avait provoqué le chaos sur les marchés financiers. Cet accord sera effectif à partir du 1er janvier 2015.
« Cette initiative est un pas important pour réduire les risques d'une instabilité financière associés à une résiliation brusque des contrats », ont salué la banque centrale américaine (Fed) et la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), deux des principaux régulateurs bancaires aux Etats-Unis.
Les produits dérivés sont des « assurances » négociées de gré à gré et sur lesquelles spéculent les investisseurs institutionnels. Leur but premier est de permettre aux firmes de se couvrir contre différents types de risques financiers.

La solution ?
I les soutiens en Suisse :
1) soutiens actuels : universitaires, banquiers, personnalités…
Prof. Joseph Huber, Sociologie de l’économie et de l’ environnement, Halle. :«Regagner le contrôle public sur la monnaie est le point le plus important. »
Prof. Philippe Mastronardi, Droit Public, St.Gall. « La branche financière servira, en régime de monnaie pleine, à l’économie réelle et à la société »
Emil Steinberger, comédien, écrivain.  « L'idée est bonne; elle sera donc couronnée de succès. »

2) soutiens plus anciens tirés du passé

II les soutiens venant d’autres pays
1) les soutiens actuels : Prix Nobel, etc.

1.1) Martin Wolf, rédacteur en chef du Financial Times : «Imprimer de faux billets est illégal, mais la création d'argent par le privé ne l'est pas. L'interdépendance entre l'État et les banques qui peuvent créer de l'argent est à l'origine de beaucoup d'instabilité dans nos économies. Cela pourrait - et devrait - être interdit.» En démarrant ainsi son éditorial dans le Financial Times, jeudi dernier (ndrl : 24 avril ), Martin Wolf ne pouvait pas rendre un meilleur service à l'association Modernisation Monétaire «MoMo», qui veut confier le monopole de la création monétaire à la BNS.
voir la video et sa déclaration

1.2) des exemples de déclarations portant le même discours sur le scandale de l’endettement public et l’arnaque des banques privées :
aux USA :

au Canada

1.3)  les déclarations des prix Nobel d'économie et des économistes :
Maurice Allais:

Stiglitz : Mardi 31 Janvier 2012.

les premiers qui quitteront l'euro s'en sortiront le mieux. Le prix Nobel d'économie, connu pour ses positions keynésiennes, compare les politiques d'austérité actuelles à la pratique de la "saignée dans la médecine médiévale". Seul l'investissement public peut casser cette spirale infernale, juge-t-il. .../… Et de rappeler le destin de l'étalon-or après la crise de 1929 : « ce sont les premiers pays à l'avoir quitté qui s'en sont sorti le mieux ».

la leçon sur la monnaie proposée par Galbraith et tirée de l’ extrait du livre "L'argent" :

« La plupart des discussions sur la monnaie s’enferment dans une épaisse gangue d’incantation et de prêchi-prêcha. Souvent de propos délibéré. Ceux qui parlent d’argent ou en font le sujet de leur enseignement et donc leur gagne-pain tirent prestige, estime et avantages pécuniaires, comme les médecins ou les sorciers, de la croyance soigneusement cultivée qu’ils entretiennent une association privilégiée avec l’occulte — qu’ils ont des perspectives sur un domaine totalement inaccessible aux gens ordinaires.
Source de satisfaction professionnelle et, à l’occasion, de profit personnel, cette attitude n’en constitue pas moins elle aussi une escroquerie bien connue. Il n’est rien, s’agissant de l’argent, qu’une personne dotée d’une curiosité, d’un zèle et d’une intelligence raisonnable ne puisse comprendre. Et quelles que soient les erreurs d’interprétation ou de fait que la présente histoire puisse contenir, il n’en est aucune, le lecteur peut s’en persuader, qui procède d’une simplification outrancière.
L’ÉTUDE DE LA MONNAIE EST, PAR EXCELLENCE, LE DOMAINE DE L’ÉCONOMIE DANS LEQUEL LA COMPLEXITÉ EST UTILISÉE POUR DÉGUISER LA VÉRITÉ ET NON POUR LA RÉVÉLER. La plupart des choses de la vie — automobiles, maîtresses, cancer — comptent surtout pour ceux qui les ont. L’argent au contraire est aussi important pour ceux qui en ont que pour ceux qui n’en ont pas. C’est pourquoi les uns comme les autres ont intérêt à le comprendre. Et les uns comme les autres devraient savoir que cette compréhension est parfaitement à leur portée.
À cet égard, on ne manquera pas de demander si un ouvrage consacré à l’histoire de l’argent ne devrait pas commencer par une quelconque DÉFINITION de ce qu’est en réalité l’argent. Cette bande de papier de valeur intrinsèque nulle, qu’est-ce donc qui la rend utile à l’échange tout en laissant telle autre bande de dimension et de couleur semblables parfaitement sans valeur ? Les précédents de ce genre de tentative ne sont guère encourageants. À la télévision, les journalistes réputés pour leur sagacité ouvrent immanquablement les interviews d’économistes par cette question : « Bon, eh bien, dites-moi — c’est quoi au juste, l’argent ? » Immanquablement, les réponses sont incohérentes. Quant aux professeurs chargés d’enseigner les premiers rudiments d’ Économie, qu’il s’agisse de la monnaie ou de la banque, ils commencent par donner des définitions d’une remarquable subtilité. Lesquelles sont soigneusement transcrites, apprises à grand-peine et heureusement oubliées.
Le lecteur devrait s’attaquer aux pages qui vont suivre en sachant bien que L’ARGENT N’EST RIEN DE PLUS OU DE MOINS QUE CE QU’IL A TOUJOURS CRU — CE QUE L’ON OFFRE OU REÇOIT POUR L’ACHAT OU LA VENTE DE BIENS, SERVICES ET AUTRES.
Les différentes formes de monnaie, comme ce qui détermine ce qu’elles achètent, voilà qui est encore autre chose. Mais c’est précisément ce que les pages suivantes se proposent de révéler. »
(...)
« LE PROCESSUS PAR LEQUEL LES BANQUES CRÉENT DE L’ARGENT EST SI SIMPLE QUE L’ESPRIT EN DEMEURE CONFONDU. Quand il s’agit de choses aussi importantes, on est en droit de s’attendre à un mystère plus profond. Les dépôts de la Banque d’ Amsterdam dont on vient de parler pouvaient, sur instruction de leur propriétaire, être transférés à d’autres pour régler des comptes. (Un service qui avait longtemps été rendu par les précurseurs privés de la banque.) Les pièces déposées ne servaient pas moins d’argent par le simple fait d’être enfermées dans une banque et susceptibles de transfert sous le seul effet d’un trait de plume.
Il était inévitable que l’on découvre — comme le firent les échevins conservateurs d’ Amsterdam en se penchant avec un intérêt coupable sur leurs propres besoins en tant que directeurs de la Compagnie des Indes orientales — qu’un autre trait de plume permettrait à un débiteur de la banque, et non plus à un créditeur du titulaire du dépôt, de recevoir un prêt sur ce dépôt inemployé. Et bien sûr, c’était la banque qui percevrait des intérêts sur le prêt ainsi consenti !
On pouvait prévenir les auteurs de dépôts que ces derniers étaient susceptibles d’une telle utilisation — peut-être même les payer pour cela. Le dépôt original restait au crédit de son auteur. Mais il existait désormais un nouveau dépôt constitué par le prêt. Les deux dépôts pouvaient être utilisés pour effectuer des paiements, comme de l’argent. De l’argent avait donc bien été créé. 
LA DÉCOUVERTE DE CETTE CAPACITÉ DES BANQUES À AINSI CRÉER DE L’ARGENT SE PRODUISIT TRÈS TÔT DANS L’HISTOIRE DE LA BANQUE. C’EST QU’IL EXISTAIT CET INTÉRÊT À GAGNER SUR LES PRÊTS. AVEC CE GENRE DE STIMULANT, LES HOMMES ONT UN NATUREL INSTINCT DE NOVATEUR. »
Source : John Kenneth Galbraith, « L’argent », Folio, p. 18-19, puis 40-41.
Liens sur Galbraith :

Maître d’audience : Louis Aubert
Retransmission en directe par NPS Radio


Présentation du déroulement de la soirée en 3 parties :
  • 1ère partie : présentation de l’initiative populaire suisse “Pour un revenu de base inconditionnel” (RBI) par François de Siebenthal (FdS) ;
  • 2ème partie : réponses aux questions émises par les auditeurs dans le tchat ;
  • 3ème partie : débat ouvert et libre.

Partie I : Intervention de François de Siebenthal



En Suisse, on appelle le peuple “le souverain”. Le premier devoir du souverain, c’est de battre une bonne monnaie pour son peuple. Nous disposons de deux outils de la démocratie directe qui sont l’initiative populaire et le référendum. Nous sommes liés par un principe de droit constitutionnel suisse qui s’appelle l’unité de matière.

En Suisse, nous avons 3 actions différentes :
  • L’initiative populaire fédérale RBI (appelé aussi le dividende)
  • L’initiative populaire fédérale “monnaie pleine”
  • Autre action “Participer à l'assemblée générale de la banque nationale suisse”


Tous ces sujets nous permettent maintenant de rédiger une loi de toutes pièces qui peut intégrer tous les sujets. Nous ne sommes plus liés par l’unité de matière vu qu’on a fait deux initiatives avec unité de matière (principe juridique).

Maintenant nous pouvons travailler directement sur une loi toute rédigée ouvert même aux anglophones, francophones, germanophones qui peuvent aider à participer à la rédaction de la meilleure loi possible dans le domaine financier, pour battre monnaie pour un peuple. Loi qui pourrait être reprise dans le reste du monde.



Lecture du 1er texte :


L’initiative populaire «Pour un revenu de base inconditionnel» a la teneur suivante :
La Constitution est modifiée comme suit :
Art. 110a (nouveau) Revenu de base inconditionnel
1. La Confédération veille à l’instauration d’un revenu de base inconditionnel.
2. Le revenu de base doit permettre à l’ensemble de la population de mener une existence digne et de participer à la vie publique.
3. La loi règle notamment le financement et le montant du revenu de base


Pour nous montrer les bienfaits du RBI sur l’ensemble de la société FdS emploie l’image de l’eau du robinet qui coule de manière certaine et qui est quasi gratuit dans nos sociétés développées. “Le progrès a fait que nous n’avons plus peur de manquer d’eau”, et bien en Suisse nous voulons avec ces différentes actions, RBI, monnaie pleine, et nouvelle loi sur la Banque Nationale Suisse, que sur le plan monétaire, nous n’ayons plus peur de manquer d’argent.”
Il nous apprend que le thème du forum économique mondial, ayant lieu au même moment à Davos, est exactement celui couvert par ces différentes actions, “comment tirer bénéfice de la robotisation de la société ?”


FdS citeKlauss Schwab, économiste d’origine allemande et fondateur du World Economic Forum (WEF), : “ Nous avons besoin de solutions qui garantissent un revenu de base à tous. Comment ça pourrait marcher ? Nous ne le savons pas encore. Mais une chose est claire, nous devons repenser tout le système complètement. Le développement humain ne doit pas nécessairement n’être qu’économique. Nous avons besoin aussi de valeurs culturelles et sociales ” [...] “ La classe moyenne se dissout. Ceux qui font un travail administratif actuellement, comme dans le domaine bancaire vont perdre leur poste de travail. En Suisse, au moins 200000 personnes vont perdre leur poste de travail. Chaque personne individuelle doit être en désir constant d’améliorer son éducation et l’état doit créer des structures qui permettent à chacun de devenir des entrepreneurs. Le futur n’appartient plus à des grandes compagnies mais à des compagnies personnelles de quelques personnes propriétaires des entrepreneurs. ”


Martin Ford, ajoute t-il, dit : Le revenu de base  est un coussin qui amortit les effets négatifs de l’automation. La puissance des robots et des ordinateurs va augmenter massivement dans les années prochaines. Chaque second emploi va être menacé et va être remplacé. Suivant une étude, les travailleurs dans les bureaux vont être remplacé par des ordinateurs plus rapidement qu’on le pense jusqu’à 90 % des employés de bureau vont perdre leur emplois.”


A cause de ce fait, on aura des millions de consommateurs qui vont manquer puisque personne n’aura d’argent pour acheter des produits faits par les robots.


Erik Brynjolfsson, professeur d’affaires à la MIT Sloan School of Managementà Cambridge, directeur de la MIT Initiative on the Digital Economy,  “Nous devons utiliser les avantages de la technologie et les orienter de telle manière que ça crée une prospérité pour tous. Nous n’avons pas d’autres choix. Nous devons enseigner à tout le monde les faits parce que les machines peuvent apprendre les faits très facilement par coeur. Et d’enseigne aux personnes comment être créatifs, comment améliorer les conditions, les capacités sociales de travail en groupe, de direction, de leadership, de soins dans les hôpitaux ou dans les familles, de persuasion, de politique. Ceci est une tâche noble pour les êtres humains. La Suisse discute déjà de ces idées novatrices comme d’un revenu de base inconditionnel qui devrait être installé et même exigé dans les 10-20 années à venir pour amortir les effets de l’automation. La Suisse pourrait assumer ce nouveau modèle car ce pays est riche, productif et il utilise de manière très efficace la technologie. Je vois la Suisse comme un modèle futur pour le monde entier.”


Quand on entends des politiciens dire, on va créer de l’emploi, ce n’est pas vrai, ce n’est plus possible. Il faut ouvrir les yeux. Ce qui compte maintenant, c’est la robotisation. Si on assume pas cette nouvelle forme de civilisation, on va vers une guerre mondiale. Qu’est-ce qui est le mieux ? Se partager les produits des robots ou faire la Guerre ? La Suisse est pour la paix mondiale. L’histoire des États-Unis,  c’est quasiment une histoire de guerre, leur industrie est essentiellement tournée vers la guerre mais maintenant avec la robotisation on a plus besoin de faire la guerre. Ce qu’il nous faut c’est ce qu’il s’est dit aussi à Davos, la seule solution, c’est de promettre des revenus de base, la liberté de créer des nouveaux emplois payés de  plus en plus par la productivité des robots et des machines.
La politique de plein emploi doit être remplacé par une politique de liberté, de décider quoi faire hors de l’économie formelle. Grâce à la productivité et à la performance de l’économie, on peut financer ces revenus, ces biens.


Le RBI est financé ni par des impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, mais par la création d’argent nouveau sans dette et ça c’est la 2ème initiative dont on pourra parler (Monnaie pleine vollgeld en allemand). Cette création monétaire qui est actuellement volée par le système bancaire, par les banquiers actuels qui sont en procès dans le monde entier. La Deutsche Bank a 7000 procès en cours. En Islande, ils ont eu le courage d’enfermer leurs banquiers. l’argent est créé ex nihiloà partir de rien. L’argent est créé par les crédits. Travailler plus est faux, c’est le contraire qui est vrai. Ce sont des idées conservatrices qui ne sont pas fondées sur la réalité économique actuelle. Nous devons parler de tâches mais plus de travail pour les êtres humains.


On peut faire de l’argent nouveau sans dette sous forme de don à travers le dividende et le système de l’escompte compensée (technique bancaire).


Les guerres mondiales et les récentes crises monétaires prouvent que cette création monétaire de masse est possible mais malheureusement en vue de gaspillage honteux et polluants. Si on peut le faire pour financer les guerres pourquoi ne pourrait-on pas le faire pour les familles, les personnes, sans dette, pour une paix social, pour la civilisation ? On doit se libérer des chaînes de la rareté. On veut de l’argent pour la production qui est sans intérêt au profit de tout comme des dons gratuits.
On trouve l’argent pour financer la guerre pourquoi ne pourrait-on financer la paix sociale ?


Si on accepte pas cette gratuité on nous la vole : “ Des productions automatisées, des robots qui distribuent, des choses gratuites, parce que sommes des héritiers du progrès technique, nous sommes des héritiers de nos parents qui ont inventé la roue, qui ont inventé le feu, le téléphone, les ordinateurs, les robots, et ce serait stupide de tout privatiser dans les mains de quelques personnes de plus en plus rares. Ce serait stupide de mendier des aides sociales parce que tout le progrès technique, tout notre héritage intellectuel a été volé par une petite coterie de banquiers cupides, rapaces et qui volent nos revenus de base.”


Mon slogan : “Vive la robolution avec de vrais dividendes à tous !”


Le RBI est rentré dans le parlement suisse, dans la politique suisse. Nous avons un journal qui s’appelle l’inconditionnel, consacré au revenu de base qui circule dans toute la francophonie. Nous pouvons le demander, le distribuer, le mettre dans toutes les salles d’attente des médecins, des dentistes, des avocats, des banquiers. Libérons-nous des chaînes de la rareté. La création monétaire, c’est un grand mystère. Le conseil fédéral suisse, le gouvernement suisse a reconnu par écrit que les créations monétaires du néant faites par les banques privées ne sont pas des francs suisses. En Suisse, les banques privées (7 ou 8) sont différentes des banques commerciales, sont indéfiniment responsables et ne font pas de création du néant. Les banques commerciales créent de l’argent du néant chaque fois qu’elles font un crédit. Toute la monnaie qui circule est de la monnaie-dette à intérêts composés. Le gouvernement suisse a reconnu que cette masse monétaire ne sont pas des francs suisses alors quelle porte le nom de franc suisse, c’est un abus de marque. Le conseil fédéral a reconnu les 65 milliards créés par la banque nationale, sont des francs suisses, toutes les autres sont des substituts et n’ont pas la garantie du gouvernement. n’ont pas de légitimité.


Comment va être financé le RBI ?


Le financement se fera par cette création monétaire, qui est fondée sur des statistiques raisonnées, des productions abondantes, de plus en plus robotisées.
Dans nos travaux nous avons découverts des anomalies : même la banque nationale suisse cache les vrais chiffres. C’est pourquoi nous agissons du côté de la banque nationale suisse pour éviter les anomalies statistiques, se baser sur les chiffres réels des masses monétaires réellement crées, pour avoir des statistiques stables.


Il y a une inflation qui est due à la dilution de l’argent par la création monétaire du néant.
Il faut créer la quantité de biens de manière utile pour les gens qui en ont besoin.
Chaque jour on vote dans les magasins en achetant.


L’argent nous est volé pour nous maintenir dans la peur. On trouve 1500 milliards donnés aux banquiers, alors que le 1er ministre disait que la France était en faillite et qu’elle n’avait plus d’argent, mais pas pour les maternités, les hôpitaux, pour la police et l’armée qui est mal payée en France ? On veut la justice, on veut ce qui nous est due ! On abuse de notre nom, de notre temps, du temps de nos parents, de loisirs, de lire des livres, de faire de l’art. On a d’autres choses à faire : éduquer nos enfants, s’occuper de nos parents, des plus faibles, …, la paix sociale, la paix militaire, la paix économique, la paix monétaire.


Partie II : réponses aux questions du tchat à 43 min.

Q1: Dominique du 62 : “Monsieur de Siebenthal je vous ai contacté sur Facebook avec la commission économique du CNC (Conseil National des Citoyens), pouvons-nous collaborer autour de ce projet de loi et participer pour l’instaurer en France ?

FdS: C’est oui, d’office. Je leur ai d’ailleurs envoyé des textes de propositions de lois rédigées, et nous avons besoins également de l’aide du monde entier pour rédiger les lois d’applications de tout ce dont je vous ai parlé maintenant.

Q2: Christophe du 13 : “Nous sommes encore loin d’une automatisation à 100% et ce ne sera probablement jamais le cas. Comment conserve t-on une équité entre ceux qui bénéficieraient d’un revenu de base pas forcément suffisant pour vivre mais avec la liberté d’occuper un emploi qui n’existe pas, et ceux qui conservent un emploi donc un revenu du travail plus un revenu de base ?

FdS: La réponse est assez simple. Premièrement, nous sommes d’accord que nous n’aurons pas une automatisation à 100%. Maintenant on a des robots qui font de opérations chirurgicales avec une précision infiniment supérieure à celle d’êtres humains. Donc, on est capable de faire des choses incroyables si on laisse l’imagination et la créativité humaine libre. On peut imaginer qu’on est à 90 % et la tendance fait que ces revenus seront de 2500 francs suisses (environ 2500 euros) par personne. Avec un RBI vous êtes libres de créer de nouveaux emplois, par exemple aller jardiner pour les autres personnes qui ont de l’épargne en plus, créer des logiciels, etc.


Q3: Kraven du 13 : “Que se passerait -il si on décider de ne plus rembourser la dette ?

FdS: Même DSK a dit à un moment donné, on  devra faire du write off (supprimer certaines dettes). Il y a certaines dettes qui sont de vraies dettes avec du vrai argent, de l’épargne, ex d’un italien qui s’est suicidé parce que sa banque a fait faillite. C’est ce vrai argent qu’on doit honorer. On doit respecter l’épargne des vraies personnes mais toutes les autres dettes qui sont créées du néant, c’est de la fumisterie, de la fumée. Et on peut même remettre en question tous ce que les banquiers ont acheté (salaires colossaux, primes colossales, achats immobiliers) avec notre argent, ils devront nous le rendre. Donc non seulement, on devra supprimer les dettes mais ils devront nous rendre ce qu’ils nous ont volé. Alors là c’est une question politique : si on veut gagner peut-être plus rapidement, on peut être gentils comme ils ont été gentils avec les pays de l'est, on tire un trait, on parle plus du passé, on regarde le futur et on fait pas de chasse aux sorcières. Mais les banquiers doivent comprendre que si o voulait on ferait une chasse aux sorcières en leur demandant de rembourser ce qu’ils nous ont volé depuis des siècles.

Q4: Steffie du 44 : “Si l’on imprime davantage de monnaie pour financer le RBI de toute une population, cela ne risque t-il pas de créer une inflation énorme ? Y a t-il d’autres choses qui permettrait d’empêcher cette inflation ?

FdS: Dans notre système, on a ce qu’on appelle l’escompte compensée et le dividende. Le prix, c’est une relation entre la masse monétaire sur la quantité des biens produits. le problème n’est plus un problème maintenant parce qu’on est capable de surproduire de tout (des tomates, du vin, du blé, des montres). Donc si on a une quantité de biens gigantesque surproduite par des robots ou produites juste par des robots, le problème de la masse monétaire pour distribuer ces biens ne fait qu’il n’y a pas d’inflation et même avec notre système, on va faire baisser les prix. Parce qu’actuellement avec la création monétaire du néant et les taux d’intérêts exponentiels composés, et l’écart qu’il y a entre les revenus et les coûts, ça fait que par exemple dans le domaine des maisons, il y a des économistes notamment qui ont fait le calcul Margrit Kennedy ou le professeur Helmut Creutz nous ont dit que nos maisons coûtent 80 % de trop. Donc si vous avez un système monétaire juste, vous pouvez habité une maison 80 % plus grande ou 80 % moins chère. Donc ce sera le contraire, vous aurez une baisse des prix. Certains économistes disent il ne faut pas de baisse des prix, c’est la déflation, mais ce sont des mensonges. La baisse des prix nous permet plus de liberté : exemple de la baisse des prix qui nous permet d’avoir des ordinateurs qui nous permet de parler sur un mumble !

Q5: quel montant proposez-vous en Suisse pour le RBI et sur quel(s) critère(s) vous êtes-vous basés ?

FdS: Nous avons l’ancien Chancelier de la confédération suisse qui est dans notre comité d’initiative et notamment il nous a parlé de 2500 euros par personne, donc un couple, c’est 5000 euros. C’est le calcul qu’on estime assez juste pour pouvoir vivre correctement en Suisse. Je suis certain que ce sera beaucoup plus, une fois que le système sera installé, et qu’on aura les vrais chiffres de la création monétaire, la productivité augmentant, la créativité augmentant, les économies augmentant, les gens voyant qu’ils tournent le robinet monétaire, l’eau arrive, ils n’auront plus besoin de faire de l’épargne, donc ça relance l’économie. Le système suisse sera le meilleur du monde.

Q6: Kraven du 13 : “Quelles vont être les contreparties qu’il faudra refuser en cas de versement du revenu de base ?

FdS: Non, c’est une revenu de base inconditionnel. Il y a une condition qu’on a du poser car les suisses ont peur d’être envahis par les étrangers, c’est qu’il y aura un délai de carence. C’est-à-dire que pour toutes les personnes qui habitent la Suisse y compris les étrangers, on va demander un délai de carence, c’est-à-dire que la personne devra habiter en Suisse depuis un certain temps.

Q7: Nicoletta, qui nous écoute depuis la radio NPS en Italie : “Que pensez-vous de l’idée que l’origine de la fraude et de l’imbroglio actuel serait le fait que tout en nous trouvant dans un régime de monnaie-fiat comptabilisée comme si c’était de la monnaie-or comme si elle devait être couverte garantie par une réserve que ce soit un titre une garantie ou tout autre chose ? Autrement dit par une double écriture mal interprétée et mal appliquée ?

FdS: Oui, vous pouvez prendre une image : on s’est fait roulé depuis des siècles. Vous pouvez prendre l’exemple de l’orfèvre. Il avait un coffre-fort et l’orfèvre a pris l’habitude de mettre des lingots d’or des clients à l’abri dans celui-ci. Il sortait des reçus “voilà, j’ai tant de lingots d’or comme reçu”. Et puis les gens ont pris l’habitude d’échanger des reçus au lieu des lingots d’or. L'orfèvre s’est rendu compte que les lingots d’or bougeait presque jamais.  Alors il a eu la malhonnêteté de créer plus de reçus qu’il n’y avait de lingot d’or dans le coffre-fort. Alors il en créait, créait, avec des intérêts composés assez confortables calculés sur la semaine ou le mois. Et il gagnait sur tous les tableaux : il gagnait de l’argent sur les intérêts et sur la création du néant, les reçus que les gens s’échangeaient. Il est devenu le maître du monde. Si vous faites l’expérience et que vous présentez un lingot d’or et un papier, et vous demandez aux gens quelle est la masse monétaire. Ils vous répondent 2 lingots d’or. En fait, il n’y en a qu’un, le papier représente le lingot d’or. C’est un abus de symbole. C’est un vol, des fausses comptabilités, des mensonges, des abus de confiance, de l’escroquerie en bande organisée. Ils ont légalisé le système dans des lois. mais ce n’est pas parce qu’il l’ont légalisé que c’est vrai, que c’est juste. Chaque fois qu’ils créent de la monnaie à partir du néant, ils vous volent votre biens réels à vous, ça fait grimper le prix des loyers, des appartements, des voitures, des maisons, ils vous prennent des impôts. Et quasiment tous les impôts sont la pour payer les intérêts des dettes publiques. Vous avez encore des communes, des régions qui ont de dettes chez Dexia, ou indexées sur le franc suisse, impayables ! Beaucoup de pays de l’est , on des dettes indexées sur le franc suisse impayables ! C’est un système inique de voleurs spécialisés !


Q8: Sylvain du 83 : “Dans un monde où la production de biens dépendra de plus en plus de machines, le paradoxe de Jevons implique que le fait que le gain en productivité ne permettra pas des économies d’énergie mais au contraire une augmentation constante de la production et donc du prélèvement des matières premières nécessaires. L’électricité pouvant alimenter une partie de ces machines nécessite de toute façon des matières premières y compris pour ce qui relève de l’utilisation des énergies renouvelables. Or, la pénurie énergétique va être une contrainte forte durant le prochain siècle. Dans ce cas, peut-on corréler la patience du RBI sur la supposition un peu rapide d’un monde qui se robotisera à l’extrême alors qu’il est probable que bien au contraire le travail humain risque de devenir une logique importante durant les prochaines décennies pour compenser les limites technologiques liées aux contraintes des matières premières disponibles ?

FdS: Déjà le paradoxe de Jevons, c’était en 1865, il parlait du charbon. Puis on est passé au Clean Air Act, puis après au pétrole, et on a eu le progrès technique et maintenant on passe à des voitures électriques. les allemands qui ont misé sur les panneaux solaires produisent des milliards de kilo watts d’énergie solaire. Le comble, c’est qu’on a des pays qui produisent des panneaux solaires bon marché, qu’on leur met des quotas, des taxes pour que les panneaux solaires coûtent plus chers pour favoriser le carbone où la Banque Nationale Suisse par exemple pour faire baisser le franc suisse va investir dans des industries polluantes aux États-Unis. Moi, je fais confiance au progrès technique et même grâce au RBI, on aura moins besoin de produire des produits de camelote, des produits d'obsolescence programmée pour donner des boulots stupides à des gens qui travaillent pour produire des choses qui tombent en panne une semaine après le délai de garantie. Le pape parle lui même de société de déchets, on jette les voitures, les ordinateurs. On vit avec des faux besoins, des produits de camelote alors que l’on pourrait se concentrer sur l’essentiel, et passer plus de temps avec ses amis.


Q9: Mat du 90 : “selon vous pourquoi le RBI commence à arriver dans le paysage audiovisuel et politique français après avoir été passé sous silence depuis si longtemps ? Les accapareurs, banques et possédants, se trouvant à priori toujours derrière ces médias, et les hommes politiques ont-ils donc décidé de renoncer à l'accaparer au détriment du reste de la population ou le font -ils par dépit pour amortir les effets d’une crise économique dont ils craignent eux-mêmes les retombées? ”

FdS: Toutes les personnes intelligentes, même à Davos, comprennent qu’on peux tous très bien vivre sur cette planète grâce aux robots. Si on continue à exploiter l'Afrique et l’Asie, c’est pas 10 millions, c’est mille millions qui vont débarquer chez nous. Ce qu’il faut faire, c’est apprendre à ces gens à utiliser les progrès techniques, créer leur propre masse monétaire, des alternatives.

Q10: Dominique du 62 “Etes-vous en relation avec Bernard Friot ? Êtes-vous en accord avec ses travaux, remplacer la propriété lucrative avec la propriété d’usage par une cotisation complète du salaire grâce au PIB ?

FdS: Premièrement le PIB, c’est un système ridicule, absurde. Plus il y a de catastrophes, plus il y a d’accidents, plus le PIB augmente. Pour moi, le PIB n’a aucune valeur. je préfère travailler sur le RBI tel qu’on le conçoit qui va grandir de plus en plus en fonction de la réalité de l’abondance qui est produite par des robots bien gérée. Il n’y a pas besoin de faire plus compliquer. Vous voyez un gâteau qui grandit, et bien chacun aura une part plus importante. Le PIB, c’est une manière de nous enfumer. Il faut arrêter de regarder ce PIB. Les agriculteurs produisent trop de lait, on coule des bateaux parce qu’il y a trop de pêches. On marche sur la tête. Il faut arrêter de discuter avec des gens qui brouillent les cartes.

Q11: Ygor du 44 : ”Dans quelle interprétation vous situez-vous dans ce dispositif technique qu’est le RBI ? J’ai entendu qu’il existe plusieurs lectures idéologiques libérales, conservatrices, progressistes. Le RBI thématisé par Friot n’est pas celle d’un Jean-Marc Fery ou d’une Christine Boutin. Où vous situeriez-vous dans ce cadre ?

FdS: Nous, nous sommes Suisse, on a un RBI à la Suisse, on sait faire des robots qui peuvent produire quasiment de tout. On exporte dans le monde entier. On a des milliers de PME. On a notre système à nous qui marche. On a pas de temps à perdre à étudier toutes ces propositions. C’est de la masturbation intellectuelle à perdre son temps sur des concepts qui n’ont ni queue ni tête. Maintenant, c’est urgent ! Il faut y aller ! Il faut profiter des robots sinon on a une guerre mondiale ! Il nous prépare la guerre en Ukraine. Ils envoient des missiles sur des gens innocents. On a pas le temps de discuter sur des subtilités de salon. Il faut partager la richesse, sinon on va partager des tranchées.

Q12: Christophe du 13 “Je n’arrive pas à comprendre qu’on puisse autant éluder la question environnementale en prétextant qu’on va se mettre automatiquement à produire et à consommer rationnellement du jour au lendemain sous prétexte qu’on aura un RBI ?

FdS: Je vous donne un exemple tout simple : les produits suisses sont d’extrême qualité. Le canif de l’armée suisse, vous en avez un, il coupe toute votre vie, vous n’en faites qu’un et il ne pollue pas. récemment, j’ai donné une lampe de poche à LED suisse avec une batterie suisse, à un évêque en Afrique. Il l’a eu pendant 5 ans sans changer la batterie. C’est ça qui pollue les batteries de camelote produites en Chine qu’on jette à la poubelle, qu’on brûle après dans un incinérateur et produisent de la dioxine. C’est ça qui coûte cher !

Q13: Christophe du 13 “Je n’ai pas dit que nous n’étions pas capable de faire de la qualité mais comment obliger les entreprises à faire de la qualité ?”

FdS: Premièrement, si tout le monde a un revenu de base, il y aura moins d’entreprises stupides qui sont là pour donner du travail. C’est toujours ce problème de refus de la gratuité. L’air et le soleil sont gratuits. C’est une vieille mentalité judéo-chrétienne ou stoïcienne ou Dieu sait quoi. Il faut sortir de la caverne ! Accepter qu’il y ait des choses gratuites. Les très riches vont jouer au golf, fument leur cigares. Eux ont le droit d’avoir des dividendes, des bonus, des cadeaux, et pas les autres ? Nous en suisse nous sommes tous des rois, des prophètes, des prêtres depuis des siècles. On a le droit à un respect absolu.  Il y a certaines personnes qui sont traitées pire que des bêtes dans certains pays. Il faut arrêter.

Q14: Daniel du 38 “Comment nous les français pouvons aider les suisses à avoir un oui à la votation de juin afin que les suisses libérés de l’obligation de travailler viennent aider leurs voisins français à obtenir le leur ?”

FdS: C’est une très bonne question qui me fait très plaisir. Donnant/donnant, très bien ! Déjà participez à la rédaction de notre loi. C’est sur Internet “Monnaie Pleine” “Projet de loi”, sur mon blog. D’ailleurs on a été beaucoup aidé par votre prix nobel économique Maurice Allais avant qu’il décède. Vous pouvez nous aider en discutant avec des suisses. Une fois que la loi fonctionne, le reste du monde va nous copier.


Partie III : débat libre

Question de Sylvain Baron : “Comment tu finances le RBI en prenant certaines mesures fiscales ? La monnaie pleine pourra -t-elle être appliquée à d’autres pays ?


FdS: Il faut oublier les symboles. Les biens réels, ce sont des bâtiments, des banques, des villas, des voitures, que les banquiers ont acquis de manière malhonnête. Ces biens réels, des supers bâtiments à Paris, à la Défense, à New York, à Londres, Le réel, c’est qu’il y a trop de viandes, de beurre, de tout. Il y a de la surproduction, les gens baissent les prix parce qu’il n’y a pas de demande solvable. La chose la plus facile à créer, c’est des symboles qu’on appelle l’argent. On se bloquerait à créer de l’argent. Pourquoi on crée des milliards pour faire des guerres ? Faisons des milliards pour faire la paix.


Question de Dominique du 62 : “En Suisse, vous avez des outils de démocratie directe qu’en France nous n’avons pas et on connaît la puissance des lobbies qui ont tendance à faire pression sur nos gouvernements et la loi. Comment pourrait-on appliquer cette loi, quand on sait que la robotisation servirait toujours au profit de quelques uns au niveau d’un gouvernement ?


FdS: Déjà la démocratie directe, ce sont des initiatives fédérales et des référendums. On a plusieurs outils, au niveau fédéral, au niveau cantonal, au niveau communal. La démocratie suisse est un pays qui vote tout le temps. Plus de 80% des votations ayant lieu dans le monde ont lieu en Suisse. On a eu par exemple une initiative fédérale qui limite les salaires. Tous les grands partis suisses, tous les lobbies étaient contre cette initiative et malgré tout le peuple suisse a voté. Si le peuple suisse veut un RBI malgré les spin doctors payés pour influencer l’opinion, on aura un RBI.


La première chose que vous pourriez faire pour avoir ce système de démocratie, c’est de le faire au niveau de la commune, localement. Et la chose la plus forte à faire, c’est de faire un système d’argent  alternatif local, soit avec des simples fiches, des cartes comptables entrées/sorties ou avec des logiciels informatiques comme “Cyclos” en Suisse. En perçant cette baudruche de la création monétaire du néant et en la confiant à des citoyens qui commenceront à comprendre comment ils se font voler et de proche en proche ça peut aller très vite comme un buzz sur Internet.


Mat du 90 : “Serait-il intéressant de lever le propriété intellectuelle et libérer les énergies pour que les gens ne soient pas obligés d’être bloqués par des gens qui ont déposés des brevets il y a 10 ans ?


FdS: Ceci est une autre discussion mais de toute façon, le grand dynamisme c’est dans le domaine informatique avec les logiciels open source.


Kraven du 13 : “Est-ce qu’à l’avenir nous pourrons éliminer le concept de l’argent ?”


FdS: Je vous recommande de lire le livre de science-fiction de Robert Heinlein “For us, the living “, écrit avant la 2nde guerre mondiale, mais retrouvé par sa femme et publié à la fin des années 90 dans lequel il y décrit une société dans laquelle tout le monde reçoit des tickets, de quoi vivre. En Suisse, nous avons plusieurs systèmes monétaire, notamment le Vir, qui veut dire “nous” en allemand. Notre ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault est très intéressé par ce système et venu avec des collaborateur à Bâle pour l’étudier. Il permet d’entrer en compétition avec le système officiel et grâce à ça la suisse résiste mieux aux crises mondiales qui prend le relais en cas de crises (étude de la Harvard Business School.


Gérard Foucher du 75 “L’initiative “Monnaie Pleine”, même si elle ne passe pas cette fois-ci, elle commence à faire beaucoup de bruit et ces gens qui possèdent ce pouvoir monétaire vont réagir. Dans ce combat, quels armes vont-ils utiliser et quelles peuvent être nos stratégies de défense, de contre-attaque ?


FdS: Ces gens ont un pouvoir colossal, avares et le plus cupides, pas de scrupules, ils ont un pouvoir quasi infini. Le meilleur moyen de se défendre c’est de rendre les choses le plus publique possible et de diffuser l’information.


Nous clôturons le débat avec les remerciements de Paul du 75 en particulier mais aussi de tous les auditeurs présents.


Pour réécouter la conférence intégralement : https://youtu.be/To49otuwXYA








L’initiative populaire «Pour un revenu de base inconditionnel» a la teneur suivante :
La Constitution est modifiée comme suit :
Art. 110a (nouveau) Revenu de base inconditionnel
1. La Confédération veille à l’instauration d’un revenu de base inconditionnel.
2. Le revenu de base doit permettre à l’ensemble de la population de mener une existence digne et de participer à la vie publique.
3. La loi règle notamment le financement et le montant du revenu de base

Commentaire:


Blaise Rossellat
20 février, 11:26
Joli témoignage d'une amie FB:

"Bonjour les amis,

Je voulais vous parler un peu de la vie que nous avons eue jusqu'à présent! Nous pensions être dans des États démocratiques et on nous faisait croire que nous avions de la chance de vivre dans nos pays industrialisés. On faisait confiance aux dirigeants, et depuis la crise de 2008, petit à petit certaines personnes ont pris conscience et ont compris comment fonctionnait le système monétaire de notre planète
dont je fait partie! J'ai compris beaucoup de choses en peu de temps et ça ma fait pleurer rien qu'en pensant à tout le temps que j'ai passé au travail alors que du travail avec trois enfants, j'en avais bien assez! On m'a privé du droit d'élever mes enfants sans avoir toujours peur du lendemain!

Dans ma génération, en plus, nos parents nous disaient, si tu veux de l'argent, il n'y a que par le travail que tu en auras... Jamais, on ne m'avait dit que l'Etat pourrait un peu m'aider pour que je puisse rester quelques temps à la maison à élever mes 3 enfants! Je n'osais pas demander de l'aide car j'aurais eu l'impression d'être mal jugée et de passer pour une profiteuse et une flemmarde!

Alors je suis allée comme tout le monde, comme un mouton au turbin, pour gagner quelques sous qui nous manquaient pour faire tourner les comptes de la famille! J'ai eu beaucoup de peine vu que mon petit salaire s'ajoutait aux salaires de mon mari et que les frais de garde était pas déductibles des impôts... Du coup, tout ce que je gagnais en plus, je devais le redonner aux impôts! Alors quand je me suis rendue compte que je ne gagnais rien, je me suis mise a travailler au noir! En travaillant comme ça, au moins si je gagnais 20 CHF il me restais 20 CHF à la fin du mois...

J'ai laissé mes enfants seuls à la maison pour ne gagner rien du tout, je m'en serait passé! Je me suis torturée toute ma vie à cause de l'argent! Je me suis privée de tout et le pire, c'est que je n'ai pas vu grandir mes enfants qui sont mes biens les plus précieux!

Maintenant que je sais que c'était une escroquerie, j'en pleure... Si je n'avais pas eu peur de ne pas arriver à gagner ma vie! "Gagner ma vie" comme on nous le disait souvent: "va gagner ta vie, si tu ne travailles pas, tu n'as pas le droit de vivre!" C'est quoi ça, cette phrase qu'on nous a mis dans le crâne?!? Mais notre vie on nous l'a donnée!

Et de nos jours, vu que l'homme a inventé les machines, nous n'avons plus besoin de tant d'ouvriers pour faire les travaux répétitifs, les travaux lourd, les machines s'en chargent!
Je vous rappelle les amis que les machines ont été créées pour soulager les travaux de l'homme et non pas, pour le faire travailler dix fois plus pour arriver au même résultat! Les machines doivent être aux service des humains et non pas les humains au service des machines! Actuellement, les machines servent à faire gagner plus d'argent aux plus riches... Nous n'avons plus besoin d'autant de main d'œuvre et c'est très bien ainsi.
Maintenant, il n'y a plus assez de travail pour tout le monde, alors ceux qui sont au chômage ou à l'hospice, nous en faisons des cas sociaux, des feignants et des parasites de la société! Nous leur donnons juste de quoi survivre et quand il faut se serrer la ceinture, c'est encore à eux que l'on coupe le robinet! Je me rappelle que dans les 1970, il n'y avait aucun chômeur et pas de feignants...

Réfléchissez, nous pouvons et avons le droit à une vie plus juste et meilleure sans se torturer tous les jours de notre vie à penser au lendemain.

N'ayez pas peur, ce changement-là, c'est une idée de génie!
Merci à François de Siebenthal, grâce à lui, j'ai compris qu'ensemble nous pouvons changer de paradigme.

Commençons par voter OUI au Revenu de base inconditionnel pour un monde plus juste et meilleur!

Merci de m'avoir lu. Je vous souhaite à tous un très bon week-end et un gros bec à tous!"

Nadine Hoffmeyer


https://www.youtube.com/results?q=revenu+de+base&sp=SIwB6gMA




Patrimoine universel: L'éventuelle mesure choc de Hollande pour ...

Le Huffington Post - ‎il y a 21 heures‎
POLITIQUE - "Je défends l'idée qu'on doit tous avoir un patrimoine de départ". Selon l'hebdomadaire L'Obs, rapportant des propos de François Hollande, le président de la République travaillerait sur une proposition choc en vue de l'élection ...

François Hollande veut instaurer le "patrimoine universel"

Atlantico.fr - ‎il y a 17 heures‎
"Plutôt que de dire qu'on va verser à tout le monde un revenu qui suscitera sarcasme ou ironie, je défends l'idée qu'on doit tous avoir un patrimoine de départ", aurait confié le chef de l'Etat à un "proche".

INFO OBS. Un patrimoine universel : l'idée choc du quasi-candidat ...

L'Obs - ‎29 nov. 2016‎
Dans sa besace, François Hollande a déjà une proposition inédite. Plutôt qu'un revenu universel, le président-candidat réfléchit à un patrimoine universel, car la principale inégalité n'est pas celle des revenus, mais celle du patrimoine et de l'héritage.

Le "patrimoine universel", nouvelle utopie électorale de François ...

L'Express - ‎il y a 16 heures‎
Selon L'Obs, François Hollande a confié à un proche qu'il songeait à une réforme pour doter chaque Français d'un prêt garanti par l'Etat, un "patrimoine de départ", destiné à contrer les inégalités. Sous la forme d'un cadeau de bienvenue dans la ...

"Patrimoine universel": la nouvelle idée de François Hollande?

L'Express - ‎30 nov. 2016‎
Toujours pas candidat - officiellement -, François Hollande semble pourtant avoir ressorti sa fameuse boîte à idées en vue de 2017. Selon L'Obs, le chef de l'Etat réfléchirait déjà à une proposition de "patrimoine universel", comme alternative au ...

D'où vient l'idée de "capital universel" proposée par Hollande ?

L'Obs - ‎il y a 21 heures‎
La surenchère a commencé. Manuel Valls, candidat putatif, caresse-t-il l'idée d'une fusion des allocations minimum packagée en "revenu universel" ? François Hollande, selon nos informations, entend monter la barre plus haut avec un "patrimoine ...

Politique - Création d'un « patrimoine universel » Un projet pour le ...

Est Républicain - ‎il y a 4 heures‎
Politique - Création d'un « patrimoine universel » Un projet pour le candidat Hollande. Cette idée d'un prêt garanti par l'État pour constituer à tous un « patrimoine de départ » a toutes les allures d'une promesse de campagne présidentielle ...

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Libérer l'argent de l'inflation et des taux d'intérêts.
L'argent est à l'économie ce que l'eau ou le sang est à l'être humain.

par + MARGRIT KENNEDY +

http://www.kennedy-bibliothek.info/data/bibo/media/GeldbuchFranzoesisch.pdf

Créer un moyen d'échange que tout le monde puisse utiliser et qui protège la Terre

 Copyright © 1990 by Permakultur Publikationen, Steyerberg der überarbeiteten und erweiterten Ausgabe 1994


Libérer l’ argent de l’inflation et des taux d’intérêts

Copyright © 1996 Éditions Vivez Soleil SA
À télécharger : PDF (16 Mio)

http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/10/lettre-mon-cure-sur-la-creation.html

Résumé :

Ce livre étudie le fonctionnement de l’argent. Il expose les raisons des changements incessants qui affectent l’une de nos plus importantes unités de mesure. Il explique non seulement pourquoi l’argent « fait tourner le monde » mais aussi pourquoi, en même temps, il le ruine. L’énorme dette accumulée par les pays du Tiers Monde, le chômage, la dégradation de l’environnement, la course aux armements et la prolifération des centrales nucléaires, tous ces facteurs sont liés à un mécanisme qui permet à l’argent de circuler :
les intérêts et les intérêts composés. Ceux-ci, selon l’historien de l’économie John L. King, constituent dans ce que l’on appelle les « économies de marché » une « machinerie de destruction invisible ».
La transformation de ce mécanisme en un moyen plus adapté au maintien de l’argent en circulation n’est pas aussi difficile que cela peut paraître. Bien que les solutions avancées dans ce livre soient connues de certains depuis le début du siècle, la façon et le moment où elles sont présentées offrent une occasion exceptionnelle de les mettre en oeuvre.
Le but de ce livre n’est pas de prouver que quiconque ait tort. Il est de remettre les choses en ordre et de révéler une possibilité dont nous disposons, mais qui est très peu connue des experts, sans parler du grand public. Pourtant, le choix est bien trop crucial pour qu’on laisse les seuls experts décider s’il faut l’envisager ou non. Dans ces conditions, l’importance de ce livre réside dans sa capacité à expliquer des problèmes complexes aussi simplement que possible, afin que tous ceux qui utilisent l’argent puissent comprendre ce qui est en jeu. Une autre différence importante avec d’autres livres ayant abordé cette question dans le passé est
qu’il montre comment, à l’heure actuelle, le fait de passer à un nouveau système monétaire créerait une situation ne présentant que des avantages pour tout le monde et contribuerait à établir, au bout du compte, une économie rationalisée.

https://books.google.ch/books?id=vyKF49mDLz4C&pg=PA1&lpg=PA1&dq=Lib%C3%A9rer+l%27argent+de+l%27inflation+et+des+taux+d%27int%C3%A9r%C3%AAts&source=bl&ots=tb7GMZXgYQ&sig=GXtvfYF7aMhu4eFGArIzUZGTGy8&hl=fr&sa=X&ved=0CDAQ6AEwA2oVChMImJnJtIb8xgIVDO0UCh0OLwf_#v=onepage&q=Lib%C3%A9rer%20l'argent%20de%20l'inflation%20et%20des%20taux%20d'int%C3%A9r%C3%AAts&f=false

www.geldreform.de


Une économie de marché sans capitalisme

Résumé des idées fondamentales, de l’origine historique des idées et du niveau de développement actuel; informations sur certaines organisations et exemples de littérature complémentaire.

Werner Onken


L’argent domine le marché

En 1891, le marchand germano-argentin Silvio Gesell (1862, St. Vith, 1930, Eden-Oranienburg) publia sa première brochure à Buenos Aires, «Die Reformation im Münzwesen als Brücke zum sozialen Staat» («La réforme monétaire comme voie vers un état social»).


2017-02-28 09:00:725'200.3

Démocraties économiques: formations en Afrique

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POUR LA RDC

Fichier:Kinshasa & Brazzaville - ISS007-E-6305 lrg.jpg

Kinshasa et Brazzaville vues par satellite.

La réunion mensuelle  de KINSHASA aura lieu au 3ième dimanche du mois, comme à l'habitude, à 13:00; donc le 19 mars 2017, fête du grand saint Joseph. Tous nos amis du Congo Brazzaville et des provinces en dehors de Kinshasa sont aussi les bienvenus. Pour la coordination de l'hébergement des personnes venant de l'extérieur de Kinshasa, contactez M. Aimé de Dieu Bissimwa.
Le dimanche, 19 mars 2017, à la paroisse St-Pie X de Ngiri-Ngiri, à 13:00 h aura lieu une autre réunion, sous la présidence de monsieur le curé Martin Ndefu, accompagné de M. l'abbé Symphorien Lopoke, ainsi que Aimé de Dieu Bissimwa. 

Ils poursuivront l'enseignement de la grande vérité libératrice qu'est la Démocratie Économique et à donner des conseils sur les demandes de visa.
La réunion débutera par une heure d'adoration du très Saint-Sacrement exposé, afin de demander l'aide du ciel pour l'avancement de l'Oeuvre du grand Louis Even sur le continent africain et partout dans le monde.
M. Aimé de Dieu Jonas BISSIMWA : 243 999 94 62 85 coordonnateur national des PSM-RDC aimededieub@gmail.com
Abbé Martin Ndefu Kinanga 243 99 99 36 246 martindefu@yahoo.fr
Abbé Symphorien Lopoke Cell.: 243 812 98 20 06, 
psmrdcongo@versdemain.org
M. Espérant Ngongo Mbuli, Kinshasa, Cell.: 243 815 03 77 56, Cell.: 243 998 56 45 84, esperant.ngongo@gmail.comjimybaraka@gmail.com
ajoutez josée  Mme Josée Kapenga Banakay, 9 Mawazo Ngaliema, Kinshasa, 243 818 58 00 04, 999 96 48 32, elcos2006@yahoo.fr ICI
M. Urbain Lusongamo Kua Ntudikila, : 243 815 55 08 16, , Cell.: 243 812 04 20 09, info@sac-rdc.orgtitilusongamo@gmail.com
Le frère Célestin Mungindu Mbadia est désormais au Canada pour une formation de 3 ans; celemungindu@gmail.com.

Il s'agira aussi de  préparer la diffusion aussi large et efficace que possible des 5 ou 6 conteneurs, remplis de nos fameux documents (Qui sont les Vrais Maîtres du Monde?, etc), livres et CD, que nous nous préparons à envoyer très bientôt.
Amenez vos ami(e)s!




François de Siebenthal: Congo: expériences

desiebenthal.blogspot.com/2012/06/congo-experiences.html

20 juin 2012 - Le Congo est très riche en tout, trop riche peut-être... Commençons par de petites réalisations faciles à copier, pour le bien commun. Comment ...

Démocraties économiques: formations en Afrique POUR LA RDC La ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/ReYFn9dXeqz

Il y a 4 minutes - Tous nos amis du Congo Brazzaville et des provinces en dehors de Kinshasa sont aussi les bi... Démocraties économiques: formations en Afrique

François de Siebenthal: Invitation: permaculture à Lausanne ?

desiebenthal.blogspot.com/2017/02/invitation-permaculture-lausanne.html

28 févr. 2017 - François de SiebenthalCongo: expériences. desiebenthal.blogspot.com/2012/06/congo-experiences.html. 20 juin 2012 - Comment démarrer ...

François de Siebenthal: Invitation au Congo

desiebenthal.blogspot.com/2016/11/invitation-au-congo.html

9 nov. 2016 - Invitation au Congo. ARCHIDIOCESE DE KINSHASA. MOUVEMENT. DES PROFESSEURS CATHOLIQUES. COMITE DIOCESAIN.

François de Siebenthal: Les créateurs au secours de l'économie ...

desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/les-createurs-au-secours-de-leconomie.html?m=1

28 mai 2016 - Exposé de François de Siebenthal, économiste HEC, membre de l'AAA+ ... 23 je 17:00 h Les projets fédérés par I.M.P.I. au Congo RDC et pour ...

François de Siebenthal: L'Afrique doit « frapper sa propre monnaie »

desiebenthal.blogspot.com/2015/08/lafrique-doit-frapper-sa-propre-monnaie.html
13 août 2015 - L'Afrique ne peut pas évoluer avec la monnaie Franc CFA. Le Président tchadien Idriss Déby est formel et l'a clairement fait savoir ce mardi, ...


Invitation au Congo ARCHIDIOCESE DE KINSHASA MOUVEMENT ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/drXVs6GkWPt

9 nov. 2016 - Invitation au Congo ARCHIDIOCESE DE KINSHASA MOUVEMENT DES PROFESSEURS CATHOLIQUES COMITE DIOCESAIN Centre Lindonge ...

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Invitations 2017
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Distinti saluti
Kind regards, yours sincerely

Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE

Tél: international ++ 41 21 616 88 88

Mobilisation générale: épargnes, retraites...  volées légalement ! 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html

Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

La candidature secrète d'Hollande: son argument, le capital universel

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Le recours de dernière minute, l'éclair dans le ciel sombre, le suspens, la botte de Jarnac ou de Nevers en dernière minute, le retournement, la grande manipulation  ?! 

Les journalistes du Parisien révèlent ce matin une nouvelle étonnante : François Hollande a ses 500 parrainages pour être candidat à la prochaine élection présidentielle...

Regrette-il d'avoir annoncé ne pas se représenter à la prochaine élection présidentielle ? François Hollande est décidément plein de mystères. Ainsi, nos confrères du Parisien révèlent ce matin une nouvelle surprenante : le chef de l'Etat s'est assuré d'avoir 500 parrainages nécessaires pour se présenter à la prochaine élection présidentielle !
Un proche du président confirme cette étonnante information : “elles sont déjà gelées [les 500 signatures, NDLR], en cas de malheur. C'est un homme qui ne ferme jamais aucune fenêtre. Depuis qu'il a renoncé, les conditions ont changé”.

Hollande, une candidature improbable

Même si l'information est confirmée, un tel scénario relèverait quand même de la politique fiction. Car le chef de l'Etat a déjà deux obstacles à gauche : Emmanuel Macron et Benoit Hamon. Les deux hommes devraient donc se retirer... Quid, ensuite, de l'attitude du Parti Socialiste ? Si François Hollande s'est assuré de ses signatures, c'est parce que le chef de l'Etat a peur... du Front National. Il l'a encore confirmé& dans un entretien au Monde lundi : “mon ultime devoir, c’est de tout faire pour que la France ne puisse pas être convaincue par un tel projet, ni porter une si lourde responsabilité”.
A moins de deux mois du premier tour de l'élection présidentielle, François Hollande n'a d'ailleurs toujours pas dit qui il soutenait...

Revenu universel mais aussi capital universel

Voici ce qu'il a confié :
"...  je défends l'idée qu'on doit tous avoir un patrimoine de départ. ... 
Chacun l'utilisera comme il veut. 
... Ce prêt, qui permettra d'acquérir un logement ou autre chose, sera pour beaucoup la condition pour s'en sortir."

L'exemple suisse qui fonctionne déjà et qui va encore être amélioré par www.monnaie-pleine.ch

Bilan de la BNS à fin février, de 2001 à 2017

Actif / Passif de la Banque Nationale Suisse, BNS.

Total du bilan 725'200.3 en millions, donc plus de 725 milliards.

Si on se distribue ce montant à  7 millions de suisses, ceci représente un capital de près de Fr 100'000 Francs suisses ou Euros  par personne, y compris les bébés suisses.

Cette distribution relancerait toute l'économie, on pourrait aller en dépenser une partie par exemple pour des vacances en Grèce, les francs reviendraient en Suisse pour nos PME qui exporteraient en Grèce, donc une bonne relance.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html

C'est quand même mieux que de soutenir le $ et l'€ et diluer les francs suisses, donc affaiblir notre pouvoir d'achat et provoquer une inflation réelle ( Lamal, immobilier), par centaines de milliards ( bientôt mille milliards, sic...), montants qui reviennent en Suisse pour acheter et contrôler nos meilleures entreprises, qui partent en délocalisation sous d'autres cieux et dans les mains de capitalistes qui ne sont pas suisses, et qui fomentent des guerres atroces !

Hollande l'a compris il y a quelques jours...

Il faut non seulement un revenu universel mais aussi un capital universel... Tous capitalistes, on peut enfin se distribuer les fruits des robots...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/manque-de-pouvoir-dachat-obsolescence.html?m=0


LA ROBOLUTION EST EN MARCHE !

Hollande pour distribuer les créations monétaires







Quand la majorité des productions seront assurées par des robots,  que faire sinon posséder des robots en coopératives , nos esclaves très obéissants jours et nuits,  24 heures/ 24, 7 jours/7 et 365 jours/365 ?

La régale monétaire, çà vaut le coup, près de 33'000 milliards en Europe, sic trente trois mille milliards, plus de 3'000 milliards en Suisse, sans compter les chiffres hors bilans, les créations monétaires en nano secondes non comptabilisées et les autres trucs modernes... qui nous volent systématiquement notre abondance... et poussent aux dépressions, burn-out, stress, alcoolisme, dépendances, rigueurs, austérités ridicules, anachroniques et malfaisantes...


La Suisse s'en sort pas si mal...





Hollande pour www.monnaie-pleine.ch ??? Il y réfléchit visiblement...


Patrimoine universel : la mesure choc de Hollande pour 2017 qui concrétise en partie le revenu universel ou dividende ou RBI à la suisse


D’après L’Obs, le président de la République soutient une proposition héritée notamment du théoricien Thomas Paine, de St Thomas More, de Louis Even ou de Clifford H. Douglas.


« Je défends l’idée qu’on doit tous avoir un patrimoine de départ ». 



Selon l’hebdomadaire L’Obs, rapportant des propos de François Hollande, le président de la République travaillerait sur une proposition choc en vue de l’élection présidentielle de 2017 : le patrimoine universel.

« Alors que l’idée d’un revenu universel fait son chemin à droite comme à gauche, le chef de l’État considère que c’est sur l’héritage, véritable source d’inégalités à ses yeux, qu’il faut agir. ...


D’un point de vue purement politique, l’objectif est limpide. Couper l’herbe sous le pied des candidats de la primaire PS qui proposent l’idée d’un « revenu de base » versé à chaque Français. Ce qui est notamment le cas de Benoît Hamon, Arnaud Montebourg ou encore Marie-Noëlle Lienemann. Outre la volonté de cocher la case « gauche » de l’offre politique, François Hollande tient aussi à s’inscrire dans un élan de modernité, à l’heure où des libéraux, comme Nathalie Kosciusko-Morizet à droite ou Emmanuel Macron, sont séduits par ce principe. »

On verra bien l’idée finale qu’il retiendra pour son programme final de campagne, mais le prêt garanti par l’État… c’est enfin le juste don des créations monétaires accaparées par les banques commerciales !

La vraie liberté, égalité, fraternité économique, un pour tous et tous pour un...


L'ennemi, c'est la finance, voir le discours du Bourget, aura-t-il le courage d'aller jusqu'au bout ?

Vive le don, le gratuit, le bénévole. Au XXIème siècle, enfin possible !


En Suisse, on appelle le peuple “le souverain”. Le premier devoir du souverain, c’est de battre une bonne monnaie pour son peuple. Nous disposons de deux outils de la démocratie directe que sont l’initiative populaire et le référendum


Monnaie pleine, Vollgeld, positive money, par Francois de Siebenthal





ou encore des explications plus philosophiques de l' Université de Lausanne: 

7 000 milliards de dollars ? Face à des dizaines de trilliards ? Un trop petit pas dans la bonne direction ? de qui se moque-t-on ?
Des grandes banques s'allient pour sécuriser le système financier

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
Les grandes banques de la planète se sont mises d'accord samedi 11 octobre pour modifier les règles de fonctionnement du marché de quelque 7 000 milliards de dollars (5 500 milliards d'euros) de produits dérivés afin d'éviter que la faillite d'une d'entre elles ne provoque l'effondrement du système financier mondial.

Ces établissements, allant des américains aux asiatiques en passant par des européens, ont accepté d'abandonner le principe du « débouclage automatique » (close out) des contrats si une institution financière se trouve en difficulté, a annoncé dans un communiqué de l'Association internationale des swaps et dérivés (ISDA, pour International Swaps and Derivatives Association).
L'organisme, qui représente le secteur, mène les négociations avec les autorités de régulation. Selon lui, en cas de défaillance d'un grand établissement posant des risques pour le système financier (« too big to fail ») les banques mettrait en place un délai pour donner davantage de temps aux régulateurs afin qu'ils trouvent une solution évitant une faillite « désordonnée » aux conséquences potentiellement explosives.
« UN PAS IMPORTANT »
Cette solution contractuelle vise concrètement à suspendre temporairement le débouclage automatique des contrats. La faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 avait donné lieu à un débouclage massif de contrats dérivés avec la banque, ce qui avait provoqué le chaos sur les marchés financiers. Cet accord sera effectif à partir du 1er janvier 2015.
« Cette initiative est un pas important pour réduire les risques d'une instabilité financière associés à une résiliation brusque des contrats », ont salué la banque centrale américaine (Fed) et la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), deux des principaux régulateurs bancaires aux Etats-Unis.
Les produits dérivés sont des « assurances » négociées de gré à gré et sur lesquelles spéculent les investisseurs institutionnels. Leur but premier est de permettre aux firmes de se couvrir contre différents types de risques financiers.

La solution ?
I les soutiens en Suisse :
1) soutiens actuels : universitaires, banquiers, personnalités…
Prof. Joseph Huber, Sociologie de l’économie et de l’ environnement, Halle. :«Regagner le contrôle public sur la monnaie est le point le plus important. »
Prof. Philippe Mastronardi, Droit Public, St.Gall. « La branche financière servira, en régime de monnaie pleine, à l’économie réelle et à la société »
Emil Steinberger, comédien, écrivain.  « L'idée est bonne; elle sera donc couronnée de succès. »

Too low incomes for swiss

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Swiss national bank figure from 2001 up to Feb.  2017, increase of the balance sheet !

Too low incomes power for swiss citizen and companies !

Switzerland shows a per-capita gap of $78,539.  What is the per-capita gross income?  The following link says it was $35,307 in 2005:


Your table says GDP was $67,821 in 2005.  The gap percentage is thus:

35,307                      x
--------   =             -----
67,821                   100

X = 52.05

Therefore the gap is 47.95% of GDP.  Compare that to the findings of 43% for both the USA and Canada calculated here for 2008:


The numbers look to be in the same ballpark.  Coincidence?


If you want a rough order of magnitude estimate of the gap in your country – as things stand right now – do the following:

1.       Determine the nation’s gross domestic product.  That number represents the sale price of the nation’s goods and services.  This will be your price.
2.       Determine the gross reported income for the nation.  This is going to be the value of A.
3.       From this information B can be computed and that is basically the gap.
4.       To determine how much compensated price + dividend to give each person each year, divide the population into the gap.

Price = A + B
Gap = Price – A

In the USA, this comes to approximately $16,000 for every man, woman and child and in Canada it is approximately $17,000.

Since we don’t trust government statistics to be accurate, we suspect the integrity of these numbers but they are sufficient to put the problem in perspective and make a start.  Another factor that is distorting the numbers is production waste due to “make work” projects, war toys production and planned obsolescence.

A National Balance Sheet


http://alor.org/Library/Bridger%20V%20-%20A%20NATIONAL%20BALANCE%20SHEET.pdf


and/or


Social Credit and National Accounting


http://alor.org/Library/Bridger%20VJ%20-%20Social%20Credit%20and%20National%20Accounting.htm


You will find two outlines of such an accounting system.

More to think from Prof. Joseph Huber


www.sovereignmoney.eu/digital-currency-and-sovereign-money-accounts
you can find various path-breaking contributions to the current discussion about central bank issued digital cash, including an article on
Monetary Workarounds.
Central bank digital currency and sovereign money accounts. Intermediate approaches to sovereign money reform
at
www.sovereignmoney.eu/monetary-workarounds-digital-currency-and-sovereign-money-accounts.


The paper
Split-Circuit Reserve Banking - Functioning, Dysfunctions and Future Perspectives
at
www.sovereignmoney.eu/split-circuit-reserve-banking
gives a condensed account of how the present bankmoney regime on a fractional base of reserves actually works.

Campaign for Monetary Reform – News from Switzerland

Switzerland is politically unique in this regard as the Swiss Constitution provides a political instrument known as the Volksinitiative (Peoples’ Initiative) which enables Swiss citizens to launch an initiative aimed at changing specific provisions within the Swiss Constitution. To do so requires first of all the collection within an 18 month period of 100’000 valid signatures in support of the initiative. Should this hurdle be surmounted, the initiative would then be put to a national vote.
Preparations for the spring launch are well under way, including the draft proposed amendments to the Swiss Constitution. In a nut shell, the proposal extends the Swiss Federation’s existing exclusive right to create coins and notes, to also include deposits.  With the full power of new money creation exclusively in the hands of the Swiss National Bank,  the commercial banks would no longer have the power to create money through lending. The Swiss National Bank’s primary role becomes the management of the money supply relative to the productive economy, while the decision concerning how new money is introduced debt free into the economy would reside with the government. As is evident from the foregoing, the MoMo monetary reform initiative is essentially based on the monetary reform advocated by PositiveMoney.
For those interested in following the developments of the campaign, or who would like to understand the detailed provisions, including those relating to the transition period,  please refer to the campaign website.  The website is in German so language will present a limitation for many of you. Nevertheless, we do encourage you to visit the website and if you have specific questions, to leave a message in English. Someone from the team who speaks English will get back to you. The biggest challenge for the team at this stage of the campaign is to find the needed help and financing for signature collection. The minimum amount of funding required for a successful campaign is estimated to be 400’000 CHF or just over 270’000 GBP. Although, this is a non-UK initaitive, should the MoMo team succeed in putting such a fundamental reform proposal to a national vote, this would be a momentous achievement for the monetary reform movement in Europe and across the globe.  All eyes would be fixed on Switzerland, because success for this small but significant player in the financial arena would inevitably have a ripple effect in other countries.
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Fantastic news: The debate on money reform goes mainstream! Last week has the leading UK economics commentator, the Financial Times’ Martin Wolf, argued that "the power to create money should be stripped from private banks". His article has sparked a major debate in the mainstream media and among economists, including Paul Krugman - one of the most influential economists today, in the New York Times. There has been a significant backlash from critiques and many misunderstandings (see below). But it is fantastic that this issue is finally getting attention and is being debated!

1) Financial Times’ Martin Wolf endorses Positive Money’s proposals for reform

Martin Wolf, the chief economics commentator at the Financial Times: “Strip private banks of their power to create money



“Printing counterfeit banknotes is illegal, but creating private money is not. The interdependence between the state and the businesses that can do this is the source of much of the instability of our economies. It could – and should – be terminated.”

The article includes a concise summary of our proposals and a reference to our book Modernizing Money.
 

2) Paul Krugman - New York Times


Paul Krugman, American economist, ranked among the most influential economic thinkers in the world today, has written a commentary on Martin Wolf’s article:

"OK, a genuinely interesting debate on financial reform is taking place. I’m not even sure where I stand. But it’s certainly worth talking about."
Here you can read our response to his commentary:
A Response to Paul Krugman on “Is Banning Banking the Answer?”


 

3) More debate

Ann Pettifor, Director of Policy Research in Macroeconomics (PRIME), Honorary Research Fellow at the Political Economy Research Centre at City University (CITYPERC) and a fellow of the New Economics Foundation, London:
Here's our response:
A reply to Ann Pettifor: Why there will be no “shortage of money”



Josh Ryan Collins, Senior Researcher at New Economics Foundation:
Sovereign money: what it is and why it matters (nef)



 
Izabella Kaminska, financial reporter at FT Alphaville discusses the issues in two articles:

Martin Wolf on funny money creation 

Joe Weisenthal, executive editor at Business Insider has written an article with a somewhat misleading title, but addressing the "gross misconception about what a bank does that people tend to have":

Ban all the banks: Here's The Wild Idea That People Are Starting To Take Seriously


Our responses coming shortly. Keep an eye on our blogs.
and
http://www.vollgeld-initiative.ch/english/• The Positive Money Proposal, by Andrew JacksonBen Dyson and Graham Hodgson, as of 2 April 2013, 
• Explaining Monetary Reform - Presenting the American Monetary Actbrochure by Stephen Zarlenga, American Monetary Institute.
  Sensible Money  paper on Resolving the Eurozone Debt Crisis. A Guide to Full-Reserve Banking in the Eurozone  (Note: The term full-reserve banking here denotes plain sovereign money in a modern currency system, not 100% reserve).
•  Richard A. WernerHow to End the European Financial Crisis - at no further cost and without the need for further political changes, University of Southhampton, CBFSD Policy Discussion Paper No. 3-12.  
 •  Richard A. Werner,  How to Turn Banks into Financial Intermediaries and Restore Money Creation and Allocation Powers to the State, University of Southhampton, CBFSD Policy Discussion Paper No. 3-12.
• Stephen Zarlenga  on  > The Need for Monetary ReformAmerican Monetary Institute. 
• Towards a Twenty-First Century Banking and Monetary System. Submission to the Independent Commission on Banking , 39 pages, 2011, by Ben Dyson (Positive Money), Tony Graham, Josh Ryan-Collins (New Economics Foundation) and Richard A. Werner (University of Southhampton).
A compact presentation of the British monetary reform approach. Its core components are based on the Huber/Robertson proposal of Seigniorage Reform, and by and large it concurs with the monetary reform concepts of the American Monetary Institute, Monetative Deutschland, Vollgeld Switzerland, and others.
Note: Even though the authors used the term ‘full-reserve banking’ at the time, this is definitely not a 100%-reserve approach, but a plan for fully liquid sovereign money beyond the reserve system, thus a new currency approach, not a bank-liability system anymore.

 A New Currency System for the UK according to Positive Money
The Positive Money System (2013)
in plain English, 28 pages
more technical, 35 pages, by Andrew Jackson, Ben Dyson and Graham Hodgson.

 • Here you can download > Money and Macroeconomic Dynamics, an accounting system dynamics approach to explain the effects of a sovereign-money system, part IV, by Kaoru Yamaguchi, professor of economics and system dynamics, Japan.      


and viewed in the light of the social doctrine of the Church; a study prepared by Alain Pilote on the occasion of the week of study that followed the Congress of the Pilgrims of Saint Michael in Rougemont, September 5-11, 2006. 
The Social Credit idea may raise many questions among our new readers, and one article is certainly not enough to answer all these questions, or to give a clear understanding of the whole concept of Social Credit. Besides, most people simply do not have the time to read long books on the subject. So, here is the solution: the Social Credit proposals explained in 10 lessons, each one being the logical continuation of the previous one.

Louis Even's masterpiece
All those who appreciate Louis Even's writings on Social Credit will make it their duty to get this book, a masterpiece of logics and clarity. To the new readers of “Michael”, we strongly recommend this book, which gives, in a simple but brilliant way, the best possible explanations on the new conception of economics that Social Credit represents. You can find on line on this site the complete book (50 chapters plus appendices).
410 pages, 14,5 cm x 21 cm, $20 by mail,
from our Rougemont office

The booklet that caused Louis Even
to understand Social Credit
by J. Crate Larkin
It is this booklet that changed the course of the life of Louis Even and made him a Social Crediter in 1934. “It was a great light on my path,” Louis Even said. This 112-page booklet could change your life too! Order it now! The pricfe is $? by mail (Canada and U,S,A,), and $10 international.
To download the PDF version of this book, click here (or on the picture of the cover of the book) (1,2 Mb)
Two booklets on Social Credit by Louis Even
Qu'est-ce que le vrai Crédit SocialThe first booklet, “What Do We Mean By Real Social Credit?”, explains that Social Credit is not a political party, but a series of principles expressed for the first time by engineer Clifford Hugh Douglas in 1918, and that the implementation of these principles would make the social and economic organism effectively reach its proper end, which is the service of human needs. These principles can be implemented by any political party in office, and there is no need of a “Social Credit Party” in power to have them implemented. This booklet is a must for anyone who wants to study Social Credit for the first time, since it contains a very good summary of Social Credit principles (A Primer of Social Credit), and replies to the more widespread objections to this doctrine.
A sound and efficient financial systemThe second booklet, “A Sound And Efficient Financial System”, is for those who have already some notion of Social Credit, but who want to know more about its practicability and technical aspects. It explains Douglas's three basic propositions for a sound financial system, and how they could be implemented: how to achieve a constant equilibrium between prices and purchasing power, how to finance private and public production, the financing of distribution through the social dividend to all, and finally, what would become of taxes in a Social Credit financial system.
Two booklets of 32 pages, 21 x 27 cm
$2.00 each (handling and shipping included)
An exceptional offer: three books on Social Credit
To study the cause of the present financial crisis
And put an end to poverty amidst plenty
It is urgent to start and form study circles in every country of the world to put an end to the present financial crisis and propose a solution that puts the economic and financial systems at the service of the human person. If we don’t take action, we’ll have a world government and the total loss of our freedom. These three books are:
1. The Social Credit proposals explained in 10 Lessons, viewed in the light of the Social Doctrine of the Church (151 pages); a study prepared by Alain Pilote that is used for our seminars on the occasion of the week of study.
2. In This Age of Plenty (410 pages), by Louis Even, a masterpiece of logic and clarity, with over 50 chapters plus appendices.
3. From Debt to Prosperity (112 pages) by J. Crate Larkin. It is this booklet that changed the course of the life of Louis Even and made him a Social Crediter in 1934. "It was a great light on my path," Louis Even said.
Since our first goal is to spread the news and educate the population, we offer for a limited time, a special price for these three books (the prices given include the shipping):
Social Credit in 10 lessons: 8 dollars
In this Age of Plenty: 15 dollars
From Debt to Proserity: 5 dollars
There is also a better deal for those who wish to order in large quantities:
1 set of the three books: 25 dollars
5 sets (of the three books) 100 dollars
10 sets (of the three books) 175 dollars
And we have a very good deal for those who want to organize study circles: 10 copies of Social Credit in 10 Lessons: 50 dollars; and 90 dollars for 20 copies. Send your cheque or money order to our Rougemont office (1110 Principale St., Rougemont, QC J0L 1M0).
  I have just published a little booklet dedicated to an exploration of the relationship existing between the social doctrine of the Catholic Church and the economic ideas of Major C.H. Douglas.
  While it is not necessary to be a Catholic in order to be a Social Crediter, the very great affinity existing between Catholic social teaching and Social Credit is quite astonishing. They fit together like hand in glove ...  a natural consequence, undoubtedly, of the objective truth of both. In brief, all Catholics should, if they are convinced of the technical aspects of the Major's thought, be ardent Social Crediters.
 The book can be obtained via the CreateSpace e-store and the amazon network:

Sweden & Ecuador: an account for everyone in the central bank ?

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https://drive.google.com/open?id=0B-p0lmjLtiXzdEM5Ml8zLUVtRDQ

Money creation for the citizen, not only for the bankers !

An account for each person since the conception in the central bank ?

Sweden and Ecuador ?

Switzerland next ?

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/the-swiss-votes-2016-2017-2018-whats.html


François de Siebenthal: Dissolution de la S.A. BNS et vers une ...


desiebenthal.blogspot.com/2016/05/dissolution-de-la-sa-bns-et-vers-une.html

4 mai 2016 - Coopérative bancaire intégrale citoyenne avec: ... François de Siebenthal: Vote électronique douteux et non secret, votons pour le refuser !

Convey e-krona directly to the general public or through the banks? 

Another important question is whether the Riksbank should issue e-krona directly to the general public or go via the banks, as we do now with banknotes and coins. If we were to use the tried and tested model, the banks would buy e-krona from the Riksbank and then give their customers access to them. 

If we were instead to turn directly to the general public, it would mean in practice that households and companies could open accounts, or something similar to accounts, in the Riksbank. It would in this case be something entirely new for the Riksbank, which would need to take a stance on how this could affect the banks’ operations and how the Riksbank could best manage all of the new customer relations that arise. 

Should the Riksbank issue e-krona?

1 Should the Riksbank issue electronic means of payment in the same way as we now issue cash? This is a natural question for a central bank, as technological advances create new opportunities, as the printing press once upon a time made it possible to print banknotes. Banknotes were a complement to the minted coins, and are so today too. Similarly, an electronic means of payment, say an e-krona, could be a complement to physical cash. This is the question I intend to discuss today. The question is particularly relevant for us in Sweden, as cash is being used to a declining extent and is sometimes difficult to get hold of. The fact that cash is no longer as easily accessible as before means that the general public finds it more difficult to get hold of money issued by the Riksbank and instead often has to use money in bank accounts with the commercial banks. This is a development steered by market forces and not by the authorities. Market forces has worked well for a long time, but developments move fast for some consumers and companies. Before I explain why the Riksbank might need to issue e-krona, I would like to talk about what money is, the role it plays and what kinds of money are available today. Innovation, trade and welfare Innovation is something that powers development in the financial sector and has contributed to the high standard of living we now enjoy. As I am personally interested in both finance and innovation, it is particularly pleasing to be here today. Innovation 1 I would like to thank Björn Segendorff, Gina Bayoumi, Marianne Sterner and Elizabeth Nilsson for their help with this speech. I would also like to thank my colleagues on the Executive Board of the Riksbank for valuable discussions. Stances and any remaining lack of clarity is entirely my own responsibility. 1 [10] stands for new ways of thinking and the will to find solutions to new or old problems. A common problem, and one of the first that humans probably faced, is that one has something but would rather have something else. From this problem the insight emerged that we can exchange goods and services with one another. The barter system is, in my view, the most important innovation of all time. The reason I think this is that trade is a necessary condition for welfare. There is hardly anyone who grows all their own food. Nor do we mine iron ore and grow rubber trees to be able to build our own car. Trade allows us to specialise in making goods and services that other people want and which therefore have a value. The carpenter does woodwork, the dentist fixes teeth, the author writes books and so on. In the beginning, we traded with one another simply by swapping goods and services. However, the barter system is not practical, as it means you have to find someone who has what you want and who also wants what you have. The time and energy that has to be expended on finding a counterpart could be used more productively. In economist speak, we say that there are substantial transaction costs. The lower the transaction costs, the cheaper and easier it is to trade with others. And the more specialisation, and thus total output, increases in the economy, the higher economic welfare will become. Money plays an important role in reducing transaction costs and this is why money is the second most important innovation in the history of the world. Money means that we can improve the traditional barter system. Instead of having to find someone who wants exactly what you have and vice versa, you sell your goods for money that can later be used to buy other goods. Money is quite simply a hard currency that everyone wants. Transactions are made easier and faster and this cuts transaction costs. Money fulfils three functions Money, both cash and electronic money, fulfils three functions. Firstly, it is a means of payment, which means that a monetary value is transferred to the recipient when money is handed over. Secondly, it forms a unit of account, in Sweden this unit is krona and öre and in the United Kingdom it is pounds and pence, and so on. With a common unit of account, we all measure the value of goods in the same way, which makes it easier to compare the price or value of different goods. Thirdly, money is a store of value, which means that we can save by holding cash or money in bank accounts and thereby redistribute consumption from one day to another date in the future. Money is something we take for granted, but for money to work in practice, we first have to deal with a very complicated problem. This problem concerns trust, and trust in turn depends on many different things. However, the basic idea is that we must be able to trust that the money will retain its value over time - that we can still use it to pay with tomorrow. Otherwise we will not want to accept cash, for instance, as payment and we will try to get rid of that we have as quickly as possible. This is exactly what happens with hyperinflation. Money is exchanged as quickly as possible for bread, sanitary items, gold or something else that can in turn be exchanged for other goods or saved. Money is then unable to fulfil its three functions and we are, in a way, back in the barter economy. 2 [10] Money assumes trust Until fairly recently, the trust problem was resolved in two ways. The oldest method is by minting coins in precious metals. The coins then have a value in themselves. In Sweden, the value of metal appears to have been on average 85% of the coin's nominal value until around the 17th century. Trust in coins was also increased when the king, not only in Sweden, but in most countries, promised to accept his own coins as payment for tax collection and so on. In this way, the holder of a coin knew that the money could be used in the future at a particular value and that in a worst case scenario, if the king broke his promise, the coins had a metal value. If we look at the 17th century, an important financial innovation took place here in Stockholm: the first modern banknote was produced. The banknote was made of paper and thus had not metal value. On the other hand, the issuing bank, in this case Stockholms Banco, guaranteed that the holder would always be able to redeem the paper for precious metals. The trust was thus shifted from the precious metals in the coin to the party storing the precious metals. Banknotes assume that there is a broad trust in the issuing bank. The same applies of course to the money we have in our bank accounts. As you may know, after a while Stockholms Banco began issuing more banknotes than they had cover for in precious metals. After a while, distrust of Stockholms Banco began to spread and people wanted to redeem their banknotes for precious metals. We now had Sweden's first bank run, which one might say was Sweden's first financial crisis. Stockholms Banco was taken over by the Riksdag (Swedish parliament) and later became the Riksbank. It must be said that the banknotes were very popular and highly-valued as long as people trusted in their worth. Compared with coins, they weighed very little and could easily be carried around. They were also considered to be worth more than the corresponding amount in coins. It was not until 1904 that the Riksbank was given a monopoly on issuing banknotes. Prior to this some commercial banks issued their own banknotes. The banknote monopoly meant two things. Firstly, it resolved the trust problem. Unlike commercial banks, a central bank like the Riksbank cannot normally go bankrupt. The holder of a banknote issued by the Riksbank can always be certain that it has a worth corresponding to its nominal value. Secondly, the banknote monopoly established a unique payment standard that is set by the state; in Sweden the legal tender is banknotes and coins issued by the Riksbank. The use of having a uniform standard for payments, and having this standard accepted by all, saves time and energy for individuals to expend on other things. There is, of course, a reason why I am standing here talking about historical events. But, before I get to this reason, I would like to say a few words about the money we use today. Central bank money and commercial bank money Today, we have three kinds of money. The first kind is the one I have talked about the most today, banknotes and coins. These are a form of central bank money, that is, money issued by the central bank. As I mentioned earlier, the special thing about central bank money is that it has no nominal credit risk, as it stands for a claim on the central bank, which cannot go bankrupt. Cash is also the form of central bank money that can be held by the general public. The second sort of money is also central bank 3 [10] money, but in electronic form. This is the money that is held in accounts with the Riksbank and it can only be held by those who are allowed to have accounts in the Riksbank, which currently means credit institutions, securities companies, clearing organisations and the Swedish National Debt Office. It is electronic central bank money that the banks use when they are making large payments to one another. This is done through a payment system called RIX. Most of the electronic payments made in Sweden, whether they are made by direct debit, credit transfer or card, pass through RIX at some point. The third kind of money is commercial bank money. This is the holdings in accounts with the commercial banks. Such money is by definition a claim on these banks. However, banks may be forced to wind down, sometimes even going bankrupt, which happened to Stockholms Banco and as we saw in the most recent international financial crisis. This means that this money, the commercial bank money, does entail a risk - even if the risk is slight. If the bank fails, you may not be able to redeem your entire claim on the bank from its bankruptcy estate. However, these days there is a state deposit guarantee that protects depositors up to a certain limit, SEK 950,000 per person and bank.2 Those with capital above this limit do not generally enjoy this protection and so commercial bank money entails some credit risk for them. Commercial bank money is a claim on the bank and therefore a part of the financing of the bank. They are therefore transient, that is, the bank's customers can often move the money at short notice, either to another bank or withdraw it in the form of cash. The bank's assets, such as household mortgages, are not in general as transient. It is this that may create financial stability problems in the banking sector if the general public wants to withdraw their money and the bank cannot quickly sell assets to raise the needed liquidity. 3 The capital requirements and liquidity requirements the state makes of the banks are aimed at making them safe by requiring they hold buffers so they can cope with loan losses and an outflow of liquidity. The capital requirements also set a limit as to how much commercial bank money the banks can create. Commercial bank money the most common The money that is use the most in society is commercial bank money. The banks’ socalled deposits repayable on demand, that is, deposits with a high level of liquidity that can be used for payments, amounts to around SEK 2,200 billion, which is around half of Sweden’s GDP, compared with around SEK 130 billion in central bank money, where cash comprises just over SEK 60 billion.4 5 2 The insurance covers private individuals and other legal entities with the exception of financial institutions and public authorities. 3 This was what happened to Stockholms Banco around 350 years ago. Their customers wanted to exchange their commercial bank money for precious metals. Some of Stockholms Banco's assets were, because of the over-issuing of banknotes, in the form of personal loans that could not be quickly cashed in or where the borrower lacked liquid assets. Even if we cannot go the banks now and demand precious metals, the underlying problem remains the same. 4 In addition to cash, there is electronic central bank money. This includes the banks’ deposits in the Riksbank overnight through the Riksbank's deposit facility and fine-tuning transactions in RIX, shown in the chart as MP debt (debt related to monetary policy transactions, see the Riksbank's Annual Report 2015). During the day, the banks have pledged assets and received liquidity in RIX. The average value of the collateral provided was SEK 112 billion during the second four months (see RIX four-month report 2, 2016). These are reported as funds in accounts in the chart. 5 If we look at the value of the payments between households, companies and authorities, it amounts to a total of SEK 14,000-15,000 billion a year, of which perhaps SEK 200 billion is in cash. In shops, almost one in seven payments is made in cash. More than half of the adult population has the Swish payment app. 4 [10] In Sweden, we have long had a trend towards a decline in the use of cash. The trend is seen clearly if you relate the value of cash in circulation to GDP. This is the red line in the chart (Figure 1) and it shows clearly how cash in relation to GDP has declined substantially since 1950, when it comprised almost 10% of GDP, compared with around 1.5 per cent today. The blue line is the nominal demand for cash outside of the banking sector, that is, the cash held by companies, households and authorities. Demand from the general public has fallen from SEK 97 billion in 2007 to around SEK 61 billion today. This is a marked decline in just a few years. Similarly, the withdrawals from ATMs give some indication. In 2010, Swedes withdrew around SEK 225 billion and in 2015 they withdrew only SEK 153 billion, which is also a clear decline. Figure 1. Cash in circulation measured as an annual average, excluding the banking sector’s holdings. Sources: The Riksbank and Statistics Sweden. There are also some statistics on the use of cash. We at the Riksbank make a survey every second year, in which households are questioned about their payment habits, which payment services they have access to, their attitudes and so on. The first such survey was made in 2010 and then almost 40 per cent said that they had made their most recent payment in cash. In September this year, the corresponding figure was only 15 per cent. This is a very marked change. Seen together, all indications point to a decline in the use of cash, and therefore a decline in demand for cash in society. Nevertheless, the interviews show that it is rarely a problem if one wants to make a payment in cash. A large majority stated that they never or very rarely have problems paying in cash, which is pleasing. If you want to see the survey responses, you can find them on our website: http://www.riksbank.se/en/Statistics/Payment-statistics/ A further clear sign of the decline in the significance of cash, and one that cannot be ignored, is that a number of bank branches are currently cashless. It is thus not possible to do any business with cash over the counter, although they may have ATMs or CDMs. However, there are now more ATMs than there were a few years ago. What some consumers, smaller companies and local clubs often see as a problem, is not so much getting hold of cash, but being able to deposit it in a bank account. 5 [10] Should the market determine the general public’s access to central bank money? In today's society it is almost impossible to manage if you cannot make payments. Everyone therefore needs to have access to basic payment services, including cash. In situations where the market is not able to supply basic payment services, it is the task of the state to ensure that everyone has access to such services.6 The possibility to withdraw and deposit cash in a bank account is one such basic payment service, but as cash is declining fast and it becomes increasingly difficult both to gain access to this physical central bank money and to use it, some groups will find it difficult to make their payments. This development is determined by market participants, the banks and other companies, but also by households, and not by the authorities. So far, the developments have not entailed any problems, but now things are moving fast and many consumers and small companies and local clubs are suffering.7 A decline in the use of cash also has a direct impact on the Riksbank. For one thing it reduces our significance for the payment system when cash is used less often, and for another thing it reduces our income from issuing cash. However, let me say that cash lacks importance with regard to the Riksbank's possibility to conduct monetary policy; the short-term rate is set through the conditions for the banks’ deposits with the Riksbank and we affect the longer interest rates through our market operations. Cash is thus not a monetary policy tool. So although the direct impact on the Riksbank raises a number of important questions, I consider it more important to survey what the significance is for society as a whole if cash disappears. The central question is thus whether the Swedish payment system will continue to be safe and efficient even without cash. Will all those who wish to make payments be able to do so smoothly and safely and at a reasonable cost? Even those who do not want to, may not or cannot have access to the banks’ services should be able to manage their payments. One cannot get away from the fact that cash has properties that electronic payment services lack. Will this mean that we lose a means of payment that cannot be directly replaced with something else? Cash can be handed over regardless of access to electricity or the internet. Cash payments are anonymous. A payment can be made in cash without involving the banks. Even if cash is not used on a daily basis, it comprises a backup option in certain crisis situations. And, as I explained earlier, cash is central bank money and does not involve any credit risk for the holder. I consider some central properties of cash to have a substantial value and expect they will be in demand in the future, too. Now we are approaching the burning question. Should the state accept a development where the general public's access to central bank money is determined by the market and steadily declines over time? You know that I do not consider this an acceptable situation. But what can the Riksbank do? 6 The Swedish Post and Telecom Authority and the county administrative boards have the joint task of securing access to basic payment services in the areas and out in the countryside, where the market is not meeting these needs. 7 The Riksbank has pointed this out earlier and proposed that tougher requirements be made of the banks with regard to supplying basic payment services, see the Riksbank's consultation response on Access to payment accounts with basic functions, Interim report 2 from the 2015 Payment Services Inquiry (Fi 2015:02). http://www.riksbank.se/Documents/Remisser/2016/remiss_FID_160318.pdf 6 [10] Should the Riksbank issue e-krona? Let me refer back to my historical summary and talk about innovation. When the first banknote was produced, it was based on a new technology, in this case the printing press, that had become sufficiently widespread and refined. There was scope to manufacture standardised banknotes of sufficiently good quality. Modern banknotes are of course also a high-tech product with all their security features, but as increasing number of electronic payment forms are developed, physical cash appears increasingly outdated. Today we can say the same thing about modern communication technology as about the printing presses in the 17th century. Access to the internet is widespread, and computers, smartphones and tablets are household items. Thus, the conditions are ripe for launching more electronic payment forms.8 9 . My point is simple, if the market can make use of the new technology to launch new and popular payment services, why shouldn't the Riksbank be able to do the same? I would claim that there is currently a need among the general public and companies to have access to central bank money and that this need will still be there in the future. Perhaps not everyone has this need and perhaps not all of the time, but as the need exists, I think the Riksbank should be able to meet it. I consider that the Riksbank should carefully consider meeting the general public’s need for central bank money by supplying this in some electronic form. Let me call them e-krona, which you can put in an e-wallet. Let me also be clear about the reason. If the Riksbank chooses to issue e-krona, it would not be to replace cash, but so that the e-krona can act as a complement to cash. The Riksbank will continue issuing banknotes and coins as long as there is demand for them in society. It is our statutory duty and we will of course live up to it. Let me also, for the sake of clarity, repeat that the Riksbank has not decided to issue e-krona yet, but to investigate the possibilities. The low use of cash in Sweden means that this is more of a burning issues for us than for most other central banks. Although it may appear simple at first glance to issue e-krona, this is something entirely new for a central bank and there is no precedent to follow.10 There is a long list of fundamental questions that need to be answered. Let me give you a few examples. E-krona in an account? The first question is whether e-krona should be booked in accounts or whether the ekrona should be some form of digitally transferable unit that does not need an underlying account structure, roughly like cash. If we want an account structure, would the account be with the Riksbank? If not, where would it be? 8 The World Economic Forum has an index, the Network Readiness Index (NRI), which ranks countries’ conditions for making use of modern communication and network technologies. Sweden has been among the top three countries in the world for the past ten years. 9 The banks have done so with Swish. There is a competing service in SEQR. iZettle, another Swedish company, has a service that converts your smartphone into a card terminal. There are several other innovative payment services on the market and under development. 10 There is a growing interest in this issue in the central bank world. For instance, the Bank of England has begun to study this question, as has the Bank of Canada, see http://www.bankofengland.co.uk/publications/Pages/speeches/2016/886.aspx and http://www.bankofcanada.ca/2016/06/fintech-financial-ecosystemevolution-revolution/ 7 [10] In the first case, with accounts in the Riksbank, the e-krona would be fairly similar to the central bank money that we currently have in our payment system. These e-krona would not be lost if, for instance, the consumer lost his or her telephone, if that is where they are stored. The amount of central bank money can also change rapidly and at the pace determined by the demand from the general public. It is possible, although it does not need to be the case, that this would make it more difficult for the Riksbank to carry out the fine-tuning operations that we use to steer the short-term rate, that is, the starting point for interest-rate setting in Sweden. If we instead have a digital unit that can be transferred decentralised between two people, other complications will arise. Could such a solution be compatible with the regulations on counteracting money laundering and terrorist financing? How would we prevent digital units of value being copied, that is, counterfeited? Convey e-krona directly to the general public or through the banks? Another important question is whether the Riksbank should issue e-krona directly to the general public or go via the banks, as we do now with banknotes and coins. If we were to use the tried and tested model, the banks would buy e-krona from the Riksbank and then give their customers access to them. If we were instead to turn directly to the general public, it would mean in practice that households and companies could open accounts, or something similar to accounts, in the Riksbank. It would in this case be something entirely new for the Riksbank, which would need to take a stance on how this could affect the banks’ operations and how the Riksbank could best manage all of the new customer relations that arise. Should e-krona generate interest? Other examples of strategic questions are whether the Riksbank should issue unlimited amounts of e-krona if there was a high demand on the market, and whether ekrona should generate interest. These two questions concern both monetary policy and the financial stability of the banking sector. From a monetary policy perspective, an unlimited issue could be expected to increase the Riksbank's possibilities to steer the money supply, that is, issuing could in some situation function as a monetary policy tool. Some economists advocate that the central bank should replace cash with a digital currency that can be given a negative interest rate, for instance by reducing the balances on e-krona accounts or not redeeming e-krona at their full value. These advocates say that this would make it easier for the central bank to implement an efficient monetary policy with a negative interest rate.11 This reasoning is based on the central bank being prevented from setting a negative interest rate to the extent considered necessary to stimulate economic activity. Personally, I am not convinced that this problem would arise in Sweden and I would once again like to say that the Riksbank has a statutory requirement to issue banknotes and coins. I see e-krona primarily as a complement to cash. 11 The idea is as follows. If the central bank introduces a negative interest rate, economic agents will choose to hold cash, which does not have an interest rate, instead of deposits with the banks. This means that the central bank's policy loses impact at the level where the agents begin to prefer cash. This is often referred to in academic research as the “zero lower bound” problem. 8 [10] The issuing of e-krona together with a positive interest rate on e-krona could affect financial stability in the banking sector. Today, the banking sector functions as a system of communicating vessels. If a consumer or a company withdraws money from a bank, this money comes into another bank, either as a deposit or as payment for a product or service. If the Riksbank launches an e-krona with a positive interest rate, it can in some situations be very attractive for both the general public and companies to convert their account balances in the banks to e-krona with the Riksbank. The banking system could then be drained of the funding for its lending, and become unstable, which could damage the supply of credit in the economy. In addition to the questions I have just mentioned, there are a number of other questions, such as technological solutions, consumer integrity and how a solution can be adapted to suite different groups in society. As you hear, I have only been able to take up a lot of questions here. I don't have all the answers. And I don’t think anyone else has at present. The only thing we can be fairly certain of is that whatever direction the Riksbank chooses to take - whether or not to issue e-krona - it can have a major impact on the payment market, the banks’ business models, the way interest rate setting functions, financial stability, and so on. The Riksbank will investigate e-krona Now I have given my view on the situation for Sweden as one of the countries where the use of cash is declining the most and the fastest and where the general public are finding it increasingly difficult to get access to central bank money. The Riksbank is one of the central banks that will need to take an active stance on whether or not to issue a digital currency first. We cannot wait any longer, and I shall now tell you what we intend to do in the coming years. We will need to work within three different areas at once. Firstly, we need to identify what technologies can be used. This includes investigating both decentralised and centralised alternatives. It is important not to exclude alternatives in advance and thus limit the room for manoeuvre. Perhaps what we need is a combination of centralisation and decentralisation? We also need to study what technical competence we have, and what we need. We need to investigate in what way payments in e-krona can be initiated: with smartphones, plastic cards or in other ways. The second area is what I call policy issues, where we study the potential effects on the Riksbank, the payment market, monetary policy, financial stability and so on. Here, we ask ourselves what properties an e-krona should have to best meet the needs we see in the economy. I discussed examples of these questions earlier. The third area concerns legal issues. Examples here are what opportunities and what flexibility the Riksbank’s current mandate allows us, how different laws affect the requirements we should make of an e-krona system and so on. Even if we intend to work within these different areas in parallel, there will be interdependencies that we must take into account. One obvious example is that the properties we want an e-krona to have will affect what technology we can use. The e-krona project will also need to be run in different phases. As a possible e-krona can affect the financial sector and the economy in so many different ways, there are many and complex questions that must be answered, and the answers are often interdependent. It is therefore wise to begin by creating a full list of all of the possible questions and surveying the most important deliberations and interdependencies. 9 [10] Only after this, in a second phase, will it be possible to begin answering the questions and in this way gradually identifying which answers give the best target-fulfilment as a whole. If we do this work properly, at the end of the second phase we will have a set of answers that provide a good picture of how we want the e-krona system to look. Here of course the Riksbank can decide either to conclude the project or to proceed further. If the Riksbank decides that the e-krona system would promote the safety and efficiency of the payment system, the next step will be to construct such a system. I believe that the Riksbank has never before launched such a complicated project in such an unknown area. The complexity of course gives rise to risks and uncertainties throughout the project, something we will need to compensate for by being flexible. I understand those who may think that the whole idea of an e-krona sounds too much. But the fact is that Sweden has implemented a similar reform before, that is, digitalised financial assets. I am referring to our holdings of shares and other securities. Up until the 1980s, holding shares meant that one had pieces of paper, share certificates. But with the aid of technology and support of the law, shares are now held in accounts. However, the difference between the historical changeover from share certificate to account and the Riksbank's plans for an e-krona is that the Riksbank is not intending to abolish banknotes and coins, but is considering supplementing them with another service to the general public. We are also doing this for the people who do not have, do not want to have, or cannot have access to the current version of the payment system, so that they can also manage their payments safely and efficiently. Learning, problem-solving and new ways of thinking are what innovation is all about. This is what keeps us humans moving forward and I know that there is a lot of knowledge, power of initiative and innovating thinking gathered here today. I myself and the Riksbank will be open to your knowledge in this field. Thank you for inviting me here today. 10 [10]

https://drive.google.com/open?id=0B-p0lmjLtiXzdEM5Ml8zLUVtRDQ

SPEECH SVERIGES RIKSBANK SE-103 37 Stockholm (Brunkebergstorg 11) Tel. +46 8 787 00 00 Fax +46 8 21 05 31 registratorn@riksbank.se www.riksbank.se DATE: 16 November 2016, (Revised 30 November 2016) SPEAKER: Cecilia Skingsley VENUE: FinTech Stockholm 2016, Berns 

Scandales BNS, armes nucléaires, gaz de schiste, Monsanto...

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Croissance du bilan de la BNS en faveur des étrangers ! Des miettes pour les suisses !

Assemblée générale 2017 de la banque nationale suisse



L' assemblée générale de la BNS... 
Art. 36, alinéa f. ( oublié par le Président et la direction ! ).

 ... peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.

Dans ce cas, chaque suisse pourrait recevoir près de 100'000 fr de capital et on pourrait alors redémarrer sur de meilleures bases, plus transparentes, comme l'Islande par exemple !

Prenez une action et venez à l'AG, le dernier vendredi du mois d'avril 2017

Dissolution de la S.A. BNS et vers une Coopérative citoyenne intégrale




Vu la gravité des faits de vendredi dernier à la BNS et du manque de respect absolu de la démocratie directe suisse, nous proposons la fondation d'une Coopérative bancaire intégrale citoyenne et donc une dissolution de l'inique Société Anonyme BNS qui a prouvé ses forfaitures en direct sur la vidéo ci-dessous.

Coopérative bancaire intégrale citoyenne avec:
Une structure familiale, communale, cantonale, et fédérale.
La fin des monnaies-dettes impossibles dans la durée. De simples écritures sans taux d'intérêts
Un compte au moins par personne.
Pas besoin d'ouvrir un compte coûteux dans une banque commerciale risquée.
Une sécurité totale
Une simplification
Une égalité totale
Une distribution automatique des créations monétaires en milliards de francs suisses aux personnes, ce qui relancera l'économie et les robots, nos esclaves modernes, par la robolution.

Unis, un pour tous, tous pour un !






http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html



Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse en vidéo, un mépris total de toutes les règles suisses ...



L' assemblée générale de la BNS... 
Art. 36, alinéa f. ( oublié par le Président et la direction ! ).

 ... peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.




Heure, min
01:21:54
01:23:15
01:21
François de Siebenthal: Vote électronique douteux et non secret, votons pour le refuser !




Le Président de la BNS Jean Studer l'avoue en direct: les scrutateurs notamment ont la possibilité de vérifier les votes un par un (sic) donc le vote secret n'est pas secret !

Les graves tricheries dans les votations électroniques sont donc prouvées, notamment à 1 heure et 27 minutes et suivantes, confirmées par Me Patrick Dimier plus tard dans la même vidéo qui vaut procès-verbal en 3 langues !

L'assemblée n'a jamais accepté le vote électronique qui lui a été imposé unilatéralement.

Le vote déclaré secret n'est pas secret, même le Président l'a reconnu publiquement.

Les scrutateurs élus n'ont pas fait leur travail.

Neuf des dix demandes déposées légalement bien à l'avance n' ont même pas été mises à l'ordre du jour. Le Président de la Banque Jean Studer a déclaré que le conseil d'administration a trouvé , «que ... la loi, art. 36 a à e, ne s' applique pas !" (Dans l'enregistrement vidéo à 02h48 ...).

Le paragraphe f ci-dessous, n'est bien sûr pas mentionné, très probablement intentionnellement, par M. Jean Studer, ce qui est une forfaiture malencontreuse et très dommageable contre la démocratie directe voulue par le législateur et les traditions suisses ...

« ... elle ( l'Assemblée Générale ) peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.

Ceci est exactement ce à quoi étaient destinées les dix demandes., à savoir un changement dans la Loi sur la Banque Nationale...


  Art. 36 Attributions
L'assemblée générale a les attributions suivantes:
a.
elle élit cinq membres du conseil de banque;
b.
elle élit l'organe de révision;
c.
elle approuve le rapport annuel et les comptes annuels;
d.
elle décide de l'affectation du bénéfice porté au bilan;
e.
elle donne décharge au conseil de banque;
f.
elle peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.

De plus, nous pouvons établir par témoignages et enregistrements que chacun des votes de l'assemblée générale ont été modifiés par des actes extérieurs au cercle des actionnaires...



Les médias sont très mal informés: la preuve, écoutez l' interview radio sur Forum par Mehmet Gultas de M. Blaise Rossellat...


La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.


et le coeur du sujet...

"Un émetteur de titres publiquement cotés a l'obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n'avoir aucune obligation de publication."
M. Bernard Dugas


http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/05/cooperatives-bancaires-la-suisse.html


 Passez à l'action et co-créez votre propre solution à la méga crise financière qui se profile à l'horizon: achetez du foncier pour transformer votre épargne constituée de fausse monnaie scripturale bancaire en biens tangibles via une coopérative citoyenne... Nous le faisons en Suisse, faites le aussi en France!!!

Blaise.

Coopératives intégrales avec créations monétaires locales, monnaies libres.

La coopérative: une formule magique


Un remède aux déviations du système bancaire?

par W. Wüthrich, Zurich

Un fait frappant: la crise financière oblige les caisses d’épargne et banques coopératives tenues par les cantons ou les communes en Suisse à faire des heures supplémen­taires. Elles sont littéralement envahies par une foule de nouveaux clients. Un phénomène que l’on observe aussi en Allemagne et en Autriche. – Pour quelle raison? Que représentent pour nous ces banques? Eh bien, des entreprises mutuelles «ciblées» sous administration publique, telles que maisons de retraite, gymnases, incinérateurs de déchets, etc. ont derrière elles des siècles de tradition. Les meilleurs prestataires pour ces tâches sont des coopératives aux structures démocratiques. On en connaît nombre d’autres dans l’agriculture, les biens de consom­mations, le logement. On sait moins – alors que nous nous trouvons en pleine crise financière que les coopératives de crédit mutuel ont joué un rôle central dans l’histoire du système bancaire. Une réflexion sur le passé met en lumière la genèse des banques et leurs tâches ainsi que les déviations actuelles.
Difficile de trouver un auteur qui ait mieux que Jeremias Gotthelf dépeint les soucis et problèmes qui étaient il y a deux siècles ceux des habitants du canton de Berne (1797–1854). L’un des sujets qu’il a traités était l’argent. A cette époque, son importance croissait sans cesse. La société était en pleine mutation. L’industrialisation avait commencé. Le salaire en nature faisait place au salaire en liquide. Nombre de paysans se procuraient un «Zustupf» (surplus) grâce au travail à domicile, ou un membre de la famille était employé à l’usine textile voisine. Et la grande majorité des paysans n’était pas habituée à se servir de l’argent.
«Tu vois, c’est une caisse où on peut mettre son argent quand on n’en a pas besoin, jusqu’à ce qu’on en ait besoin, et entretemps on te verse un petit intérêt, et ton argent est bien à l’abri, il ne lui arrive rien.»
Jeremias Gotthelf,
Ueli le valet de ferme
Ce qui amenait Uli der Knecht (Uli le valet), héros du roman éponyme de Gotthelf, aux réflexions suivantes concernant les soucis que cause l’argent et la difficulté de le conser­ver: «Je n’en ai pas besoin, et quand j’en ai, il ne fait pas long feu; j’ai du malheur avec l’argent; ou je le gaspille, ou je me fais avoir, ou on me le vole, et pour finir, si personne d’autre ne me le prenait, ce sont les souris qui me le mangeraient.» Quelques pages plus loin Gotthelf lui répond en évoquant la Caisse d’épargne. Un paysan dit à son apprenti: «Tu vois, c’est une caisse où on peut mettre son argent quand on n’en a pas besoin, jusqu’à ce qu’on en ait besoin, et entretemps on te verse un petit intérêt, et ton argent est bien à l’abri, il ne lui arrive rien.» Il se trouve que, deux cents ans plus tard, il n’en va plus tout à fait de même. Qu’est-ce qui a changé depuis? Remontons le temps jusqu’au monde de Jeremias Gotthelf.

Les premières banques

Il y a deux cents ans, les couches inférieures de la population étaient pour la plupart bien pauvres, même en Suisse. Jeremias Gott­helf et avant lui Johann Heinrich Pestalozzi ont fourni d’émouvantes descriptions de ces maux. Mais leur engagement a aussi éveillé les consciences et poussé à y remédier. L’instruction, l’institution d’écoles et de formations professionnelles, la création d’emplois, le combat en faveur de la démocratie et de l’égalité des droits furent l’un des aspects de cette lutte, l’autre étant le développement du sens de l’épargne pour se constituer un petit avoir et une réserve pour la vieillesse et les temps difficiles. Bien sûr il ne suffisait pas de conseiller à la population de mettre un peu d’argent de côté. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, la Confédération helvétique ne possédait pas une seule banque à même d’accepter de petits dépôts et de les investir en toute sécurité. Les petites gens désireuses d’épargner et en mesure de le faire en étaient réduites au bas de laine. Ceux qui avaient besoin d’argent étaient le plus souvent contraints de s’adresser au prêteur – à l’usurier – qui pratiquait des taux énormes.
Certes les banques existaient depuis le Moyen-Age. On connaît les Rothschild, les Fugger, les Médicis. Mais la clientèle de ces banquiers se composait surtout de princes et monarques, dont les Cours dispendieuses et les guerres exigeaient beaucoup d’argent. Ou alors leurs capitaux finançaient le commerce à longue distance avec les colonies. La Suisse comptait elle aussi quelques rares banques, essentiellement à Berne, Genève et Bâle. A Zurich, il n’y en avait qu’une: la banque Leu et Cie. Mais le principal souci de ces banques était de réinvestir à l’étranger les sommes considérables que les couches supérieures ou les instances dirigeantes tiraient du mercenariat. La ville de Berne par exemple se constitua un Trésor public si bien garni que les intérêts qu’il produisait couvraient 30% de ses dépenses. Et cela dura jusqu’à ce que Napoléon fasse main basse sur le Trésor. Mais jusque vers la fin du XVIIIe siècle, l’homme de la rue, lui, ne disposait d’aucune banque dans aucun des treize Etats de la Confédération.
«Ce qui n’est pas à la portée d’un seul individu peut être réalisé par un grand nombre de personnes.»
(Friedrich Wilhelm Raiffeisen)

La Caisse d’épargne de Berne

Et en 1787 nous y voici: un décret du Grand Conseil de la ville de Berne institue la première Caisse d’épargne pour domestiques, artisans et journaliers. L’«homme de la rue» devait bénéficier pour son argent d’un placement à intérêt sûr et se créer ainsi une petite réserve pour sa vieillesse et les mauvais jours. L’administration bernoise espérait également décharger ainsi les finances publiques d’une part de la protection sociale. Les administrateurs de la Caisse étaient des bénévoles, mus par le sens du service, non l’appât du gain. La sécurité l’emportait sur le rendement. Il était interdit de spéculer. Au début les guichets n’étaient ouverts que deux jours par an: à la Saint Jacques (25 juillet) et à la Chandeleur (2 février), date du changement d’emploi annuel. Ce fut un succès. Après les guerres napoléoniennes, on assista à une vague de nouvelles fondations.
En 1805, Zurich créa sa Caisse d’épargne. Plus tard elle prit la forme d’une mutuelle du nom de «Bank Sparhafen Zürich» (Banque zurichoise du Port de l’épargne); elle existe toujours. Dans nombre de communes suisses se créèrent des caisses d’épargne et de prêt. Certaines étaient gérées par la commune elle-même. Beaucoup étaient des entreprises privées de type mutualiste, orientées non vers le profit, mais vers l’intérêt général et administrées par des bénévoles. Celui qui se retrouvait en difficulté sans en être responsable pouvait trouver assistance auprès de ces caisses sans risquer de tomber aux mains d’un usurier. Dans le canton de Berne par exemple, il se créa 25 nouvelles caisses dans les années qui suivirent la période napoléonienne. L’année 1834 vit la fondation de la Berner Kantonalbank, banque d’Etat habilitée à émettre de la monnaie bernoise indexée sur l’or. Elle fut suivie en 1836 par la banque cantonale de Saint Gall, puis en 1837 par celle de Zurich. Dans le canton voisin d’Argovie il s’en créa davantage encore.
A l’origine de ces initiatives, on trouve en général des hommes entreprenants qui propagèrent cette nouvelle façon de gérer l’argent par le biais des sociétés de secours mutuel et de lecture. L’exemple suivant, pris dans le canton d’Argovie, illustre bien ceci:

Caisse pour les économies des habitants du canton d’Argovie – Action de Heinrich Zschokke

En 1812, à l’initiative de la Société savante d’Argovie, l’écrivain Heinrich Zschokke (1771–1848) exposa dans le Schweizerbote (Messager Suisse) le projet dans les termes suivants: «Nombre d’artisans, de domestiques, ou même de journaliers peuvent parfois avoir mis de côté quelques sous ou quelques francs dont ils aimeraient pouvoir disposer en cas de nécessité. Mais où les mettre en sécurité, voire en tirer intérêt? Personne n’est prêt à payer intérêt sur de si faibles sommes. Vous avez l’argent en poche; vous voyez ceci ou cela, vous aimeriez bien l’avoir; vous passez devant une auberge et la démangeaison de s’en servir vous prend. Bref, voilà l’argent parti, on ne sait ni pourquoi ni comment. Et lorsque viennent les mauvais jours où vous en auriez bien besoin, il n’y a plus rien à la maison. Economiser, c’est difficile!» (Schweizerbote du 7 mars 1812)
La société savante avait chargé Heinrich Zschokke et Daniel Dolder, directeur des Postes, de se renseigner sur l’organisation des institutions déjà existantes à Zurich et Bâle «surtout en ce qui concerne la gestion de la comptabilité interne de ces établissements». Ceci fait, des statuts furent établis et imprimés sur un prospectus. L’affaire fut rondement menée et le 1er mai 1812 vit l’ouverture de la «Caisse d’épargne rémunérée pour les habitants du canton d’Argovie». Les hommes les plus considérés se portèrent caution pour les premiers dépôts, rémunérés à 4%; Heinrich Zschokke fut un des premiers, pour un montant de 400 francs suisses. De plus, il ouvrit aussitôt un compte pour chacun de ses trois fils. D’autres l’imitèrent. Les dépôts provenaient «de personnes de toutes classes sociales, au profit de leurs enfants ou filleuls, pupilles et autres, mais les plus nombreux étaient des domestiques et artisans qui y déposaient les quelques sous qu’ils avaient économisés.» (Schweizerbote du 11 mars 1813.) Cette caisse existe encore sous le nom de Neue Aargauer Bank (Nouvelle banque argovienne) qui en hommage à Zschokke lui a érigé il y a quelques années une statue dans le hall de son siège principal, récemment réaménagé à Aarau.1
Quelques mots sur Zschokke: Ses innombrables romans, nouvelles et revues ont fait de lui l’un des auteurs les plus lus et les plus populaires en Suisse et Allemagne durant la première moitié du XIXe siècle. Il a été traduit en plusieurs langues. Représentant de l’esprit des Lumières, il a également contribué à répandre dans toute l’Europe celui de Johann Heinrich Pestalozzi. Il s’est activement engagé en faveur d’une société citoyenne et démocratique. Durant la République Helvétique, il a assumé d’importantes charges politiques. Il a fondé une école professionnelle pour filles de résidents pauvres (les «résidents» [Einsassen] sont des habitants du pays sans droits civils), des écoles de couture, des cours du dimanche pour artisans et apprentis, une société d’éducation et une école pour sourds-muets, ainsi que – comme il est dit plus haut - une Caisse d’épargne. Zschokke est un représentant d’une bourgeoisie consciente de ses responsabilités envers la communauté.2

Le démarrage

Dans tous les cantons l’on assista à la création de nombreuses caisses d’épargne et de prêt. Dans celui de Thurgovie, par exemple, on fonda la Sparkasse Frauenfeld (Caisse d’épargne de Frauenfeld) sous administration communale. Il arriva, surtout dans les débuts, que certaines ferment, parce qu’elles étaient mal conçues ou parfois mal administrées. Mais les pertes subies par les épargnants restèrent rares. Jamais non plus il ne se produisit d’effet domino, une banque en entraînant d’autres dans sa chute. La fermeture d’une caisse offrait une opportunité pour la fondation d’une nouvelle ou l’ouverture d’une filiale d’une banque déjà existante. Dans le canton de Berne, les «Raiffeisenkassen» [cf. plus bas] durent, pour diverses raisons fermer en 1893 et 1897 peu après leur ouverture, par exemple les Caisses d’épargne de Steckborn, Aadorf et Eschlikon dans le canton de Thurgovie.3
Au début les Caisses d’épargne et de prêt mutuelles ou communales se limitaient aux hypothèques foncières. Au fil du temps elles élargirent de plus en plus le champ de leurs activités et accordèrent aussi des crédits à des fins professionnelles. Leur domaine d’activité resta toutefois limité à leur région.
«On donne mon nom à ces associations mais je ne les ai pas inventées. La première a été un enfant de notre temps, né de la nécessité. Je n’en ai été que le parrain.»
Friedrich Wilhelm Raiffeisen
Il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour voir apparaître les premières véritables banques commerciales, comme la Schweizerischer Kreditanstalt (Société suisse de crédit), qui a financé le réseau ferré, le tunnel du Saint-Gothard ainsi que des projets industriels et levait des fonds également sur le «marché des capitaux» et émettait des titres cotés en Bourse tels qu’actions et obligations.
Au XIXe siècle le système bancaire suisse se développa de façon très décentralisée, se caractérisant par le nombre de Caisses indépendantes à rayon d’action local ou régional, toujours existantes. Au fil du temps leurs activités se sont diversifiées. Chaque localité de quelque importance possédait sa Caisse d’épargne et de prêt. C’était la banque d’épargne, hypothécaire et commerciale du village. Au début du siècle, la Suisse comptait déjà 726 banques différentes et 842 agences pour une population de 2,5 millions d’habitants.

Les Caisses Raiffeisen suisses

Un siècle environ après la création des premières banques, on assista en Suisse à une deuxième vague de fondations. En 1899, le pasteur Traber fonda à Bichelsee la première Caisse Raiffeisen durable, d’après les principes et le modèle imaginés par Friedrich Wilhelm Raiffeisen (1818–1888). Celui-ci avait créé 50 ans auparavant dans le Westerwald (Allemagne) des coopératives inspirées de la doctrine sociale chrétienne. Son principe de base était «Seule la communauté fait la force» Dans le monde entier beaucoup suivirent son exemple.
En Suisse les Caisses Raiffeisen peinèrent à s’imposer. Dans le canton de Berne elles connurent deux échecs. Mais dans celui de Thurgovie le pasteur Traber réussit. D’autres suivirent. Les statuts de toutes les Caisses Raiffeisen étaient analogues et leurs administrateurs bénévoles. Les membres se portaient tous personnellement caution solidaire et, au début, illimitée. Les caisses ne tardèrent pas à former un réseau et une organisation qui a aujourd’hui son siège à Saint-Gall. On trouve les Caisses Raiffeisen surtout en milieu rural. Mais depuis peu les choses changent. En 2002 fut fondée la Raiffeisenbank Zürich qui possède aujourd’hui trois agences dans la métropole économique suisse.
La Suisse compte actuellement 367 Caisses Raiffeisen indépendantes et environ 1200  agences, ce qui constitue le réseau bancaire le plus dense de Suisse. Elles gèrent les dépôts d’environ 3 millions de clients s’élevant au total à plus de 105 milliards de francs suisses – la plupart sont des hypo­thèques. Depuis quelques années elles travaillent en étroite collaboration avec la banque privée Vontobel – une nouveauté qui ne fait pas l’unanimité. Celle-ci s’occupe des affaires boursières et des placements des clients. La valeur des titres déposés dans les banques Raiffeisen atteint aujourd’hui 35 milliards de francs suisses.

Pourquoi les banques Raiffeisen sont-elles si sûres?

Ces banques jouissent d’un ancrage local et régional et elles connaissent personnellement leurs clients. La solidarité entre caisses joue à plein. Une banque Raiffeisen isolée ne peut faire faillite, parce que toutes les autres sont derrière elle. Et les mutualistes constituent une caution supplémentaire, qui de nos jours est limitée. Ils sont 1,5 millions engagés à verser chacun 8000 francs suisses en cas de nécessité. Cette garantie serait aujourd’hui superflue, comme l’a déclaré Pierin Vincenz, PDG de Raiffeisen Suisse, dans plusieurs interviews. Mais elle ne sera pas pour autant supprimée. Expression de la solidarité, elle est partie intégrante de l’esprit de la coopérative.
Le modèle des Raiffeisen inspire une grande confiance. Cent mille nouveaux clients l’ont rejointe depuis le début de l’année, dont 75 000 mutualistes. Chaque mois a vu affluer dans les caisses un nouveau milliard de francs suisses. La Caisse n’a jamais eu recours au soutien de l’Etat et du reste personne n’y songe.

Les Raiffeisen dans le monde

On trouve des banques Raiffeisen dans toute l’Europe: Allemagne, Autriche, Italie, France, Pays-Bas, Finlande, Pologne et Chypre, et 700 000 collaborateurs gèrent environ 130 millions de clients. Elles sont ainsi devenues un acteur important du système économique et financier européen.
Mais dans le monde entier la cote du système Raiffeisen grimpe. Dans une centaine de pays au total, 900 000 coopératives regroupant plus de 500 millions de membres travaillent selon les principes de Friedrich Wilhelm Raiffeisen. Ses idées ont du succès sur tous les continents car elles peuvent s’adapter à toutes les structures économiques et sociales. (Horizons et débats consacrera plusieurs articles à cet aspect).
Revenons en Suisse. D’autres banques ont écrit l’histoire du système bancaire mutualiste, par exemple la Schweizerische Volksbank, la Banque Migros (élément de la Fédération des coopératives Migros), la Genossenschaftliche Zentralbank (aujourd’hui Banque Coop) et la Banque WIR, à laquelle Horizons et débats a déjà consacré un article dans son no 37 du 15 septembre.

La Banque populaire suisse

La Volksbank in Bern (Banque populaire de Berne, plus tard Banque populaire suisse) a été fondée en 1869 sous forme de coopérative par des représentants du monde ouvrier, des employés et de l’artisanat. A l’origine elle se contentait, comme les Caisses Raiffeisen, d’accorder des prêts à ses membres. Avec ses nombreuses filiales, elle connut une extension fulgurante dans toute la Suisse. En 1930, elle était devenue la deuxième banque suisse. Dans les années 30, elle dut demander à l’Etat une aide de 100 millions de francs, toutes ses affaires avec l’étranger (en particulier l’Allemagne) ayant dû être liquidées. Après la guerre la banque connut une forte croissance et ouvrit beaucoup de nouvelles filiales. Mais des spéculations sur l’argent-métal et l’immobilier ainsi que de nouveaux déboires à l’étranger entraînèrent dans les années 80 le déclin de la quatrième banque suisse, qui fut rachetée en 1990 par la Schweizerische Kreditanstalt (aujourd’hui CS Group). L’exemple de la Banque populaire suisse prouve que le statut juridique de coopérative n’offre pas de protection contre des affaires hasardeuses.

La Banque centrale coopérative

La Banque centrale coopérative a été fondée en 1927, en commun par l’Union suisse des Coopératives de consommation et par l’Union syndicale suisse. Son principe était «qu’une banque d’ouvriers ne se distingue pas des banques privées par la conduite de ses affaires, mais seulement par ses buts, c’est à dire qu’elle utilise dépôts et excédents au profit des mouvements ouvriers et mutualistes.» La Genossenschaftliche Zentralbank acquit une dimension respectable. En 1970 elle prit la forme d’une société par actions. Elle s’appelle aujourd’hui Banque Coop, et la banque cantonale de Berne en est l’actionnaire majoritaire.4

La Banque Migros

La Banque Migros constitue jusqu’ici une «success story». Gottlieb Duttweiler eut l’idée de créer une Banque Migros il y a cinquante ans, au cours d’un souper avec son administrateur financier au restaurant Widder, à Zurich. La banque est une société par actions détenues à 100% par la Fédération des coopératives Migros.
La banque a démarré avec trois employés. Son guichet se trouvait au troisième étage de la maison Migros de Zurich, au Limmatplatz. Jusqu’ici son fonctionnement n’a donné lieu à aucun «scandale». Elle fait des affaires avec la région où elle se trouve et avec toute la Suisse. Elle finance ces hypothèques avec les dépôts des épargnants. Elle ne travaille pas avec l’étranger. Ses 74 agences, ses 29 milliards de francs d’avoirs et ses 750 000 clients font d’elle l’une des «grandes banques». La crise financière ne l’a absolument pas touchée. Cette année elle a ouvert 46 000 nouveaux comptes et 18 nouvelles filiales (ou elle va les créer l’an prochain).

Que nous apprend l’histoire?

De toute évidence les banques à rayon d’action régional ou national résistent mieux à la crise financière actuelle que les banques mondialisées. C’est encore plus vrai pour les banques coopératives ou administrées par les communes ou cantons. Elles échappent à la pression des investisseurs qui exige une rentabilité maximale. Ces banques ont un fort ancrage régional et connaissent bien leurs clients.
Mais la forme juridique de la coopérative n’est pas à elle seule une protection contre une mauvaise politique financière, comme le montre l’exemple de la Banque populaire suisse (et plusieurs autres en Allemagne et en Autriche). On peut en dire autant des banques communales et cantonales. La faillite de la Spar- und Leihkasse Thun et la crise que traverse la Banque cantonale bernoise en sont un exemple.
Les Raiffeisen offrent des avantages évidents, parce qu’elles constituent un réseau de nombreuses coopératives indépendantes à l’intérieur d’un même pays. Leur politique financière est coordonnée et s’exerce dans un cadre commun comportant un contrôle des risques. Ce qui rend presque impossibles les «dérapages» isolés.5    •
(Traduit par Michèle Mialane et révisé par Fausto Giudice, www.tlaxcala.es
1     Cf. Werner Ort, Der modernen Schweiz entgegen. Heinrich Zschokke prägt den Aargau, Baden 2003, p. 126s.
2     Cf. Das Goldmacherdorf – Ein historisches Lesebuch von Heinrich Zschokke, aux Editions H. Böning und W. Ort, Brême 2007, p. 247ss.
3     C. Bucher, Der Zusammenbruch der Leih- und Sparkassen Aadorf und Eschlikon, Zurich 1918
4     Genossenschaftswesen in der Schweiz; Editions Ernst-Bernd Blümle, Francfort sur le Main 1969

Renaissance de l’idée de coopérative

«Je me souviens encore très bien d’un séminaire à Salzbourg avec les managers d’une coopérative. On voulait devenir à tout prix une banque «normale». On avait tendance à refouler l’idée de coopérative (de crédit mutuel). Et il en alla longtemps de même en Suisse. Mais tout récemment on assiste à une renaissance de cette idée. Les grosses coopératives de consommation ne parlent plus de se transformer en SA. La Schweizer Mobiliarversicherung remet de plus en plus en avant l’idée de coopérative. En ce moment nous assistons à un retour en force des structures sociales et des modes de pensée éprouvés. Beaucoup se plaignent de la montée de l’anonymat et de la perte du lien social. La taille relativement modeste, la bonne connaissance des réalités locales, le «visage humain» des Caisses Raiffeisen vont sous plusieurs aspects à l’encontre de cette évolution. L’impressionnante augmentation du nombre de leurs membres permet de conclure que les valeurs coopératives répondent sans aucun doute aux besoins d’un grand nombre de gens.» 

Robert Purtschert, professeur à l’Université de Fribourg, dans: Panorama Raiffeisen 2/2005.


Ni capitalisme, ni Etat - la Coopérative intégrale s'épanouit à Barcelone

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18 mai 2015 - Ils fraudent le fisc pour financer la révolution. Avec un budget de 490 000 euros, laCoopérative intégrale catalane (CIC) tente de construire ses ...

La coopérative intégrale, ou comment répondre aux besoins - Basta

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23 juil. 2015 - Tel est l'objectif de la Coopérative intégrale catalane qui se construit depuis six ans. Coopératives de productions agricoles ou industrielles, ...

La Coopérative intégrale, une transition « hors du capitalisme | «café ...

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23 sept. 2014 - Les coopératives intégrales sont des projets apparus récemment en Europe, ayant comme objectif de préparer “l'après-capitalisme”. Marian ...

François de Siebenthal: Dissolution de la S.A. BNS et vers une ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/05/dissolution-de-la-sa-bns-et-vers-une.html

4 mai 2016 - Coopérative bancaire intégrale citoyenne avec: ... François de Siebenthal: Vote électronique douteux et non secret, votons pour le refuser !


La BNS sous contrôle des USA !

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Graphique officiel en haut et mon graphique basé sur les chiffres BNS les plus récents à fin février 2017, différences marquées surtout sur la BNS !

Bilan de la BNS à fin février, de 2001 à 2017

Actif / Passif

Total du bilan 725'200.3 en millions, donc plus de 725 milliards.

Si on se distribue ce montant à  7 millions de suisses, ceci représente un capital de près de Fr 100'000 fr par personne, y compris les bébés.

Cette distribution relancerait toute l'économie, on pourrait aller en dépenser une partie par exemple pour des vacances en Grèce, les francs reviendraient en Suisse pour nos PME qui exporteraient en Grèce.

C'est quand même mieux que de soutenir le $ et l'€ et diluer les francs suisses, donc affaiblir notre pouvoir d'achat, par centaines de milliards ( bientôt mille milliards, sic...), montants qui reviennent en Suisse pour acheter et contrôler nos meilleures entreprises, qui partent en délocalisation sous d'autres cieux et dans les mains de capitalistes qui ne sont pas suisses, et qui fomentent des guerres atroces !

Une grande partie de la correspondance avec la Banque Nationale Suisse a eu lieu en anglais, alors que nous avons trois langues nationales... Pourquoi ?

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées ( commerciales ) contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession,d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis. » 
- Thomas Jefferson, 1802

"Vers un contrôle des entreprises françaises, européennes et suisses par les Etats-Unis.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/revenu-universel-mais-aussi-capital.html

Dans une logique de mondialisation imposée par l’ultra-libéralisme, je vais vous parler d’un autre outil fort sympathique mis en place dans le cadre des professions comptables et d’audit. Les normes IFRS. Mots ou maux barbares voulant dire en français normes internationales financières, et ultra dangereuses pour la survie de nos entreprises françaises, suisses et Européennes.

Ces normes sont imposées par les Etats-Unis, mais ne l’appliquent pas chez eux.

Ces normes permettent aux Etats-Unis d’accéder à des informations stratégiques concernant nos sociétés françaises, suisses et Européennes.

La PCAOB, organisation créé suite à une loi américaine est chargée de superviser les audits des entreprises cotées. L’audit étant une expertise aboutissant à un état financier ou le bilan d’une entreprise si vous préférez.

Elle est également chargée de transmettre ses informations aux services de renseignements américains depuis la mise en place du "Patriot Act" sur le sol Américain.

Des membres de cette PCAOB sont issus directement du FBI et de la CIA et de plus n’ont aucune formations et expériences en matière d’audit et certains membres ont eu des démêlés avec la justice américaine.

Il y a une main mise de la PCAOB qui détient l’organe de réglementation internationale en matière d’audit des entreprises cotées et de leur filiales. En effet ces audits ne sont accessibles que par très peu de cabinet d’audit car la PCAOB y veille et fait barrière a des firmes d’audit non américaines... Nous citerons les plus connus américains pour la plupart: KPMG, Delloite, Pricewaterhouse, Ernst&Young… et très peu de cabinet sur le sol Européen ne dépendant pas de capitaux américains.

Les Etats-Unis sont donc au courant de toutes les stratégies financières de nos sociétés sur le sol Européen.

Cet outil qu’est la norme IFRS:
- permet d’établir le bilan d’une société;
- permet d’évaluer le patrimoine d’une société en fonction de données transcrites par le biais de cette norme.

Ces données sont:
- sa valeur en fonction des marchés financiers;
- contrats que la société ambitionne ou en cours;
- détails des coûts par exemple pour la recherche et développement concernant un brevet.
- etc.

Les Etats-Unis se retrouvent donc avec toutes les informations stratégiques des entreprises Européennes… La trahison naissant de la confiance… A vous d’en tirer les conclusions.

De plus, si le TAFTA devait être voté au niveau Européen ses normes IFRS en seraient la continuité.

Enfin, en suivant la logique de l’évaluation du patrimoine en fonction des marchés financiers imposé par les IFRS, étant donné que les marchés financiers sont catastrophiques en ces temps de chaos… Nous allons donc nous retrouver dans les mois qui arrivent avec des bilans de sociétés Européennes, suisses et françaises en pleine chute libre quant à la valorisation de leur patrimoine. Leurs patrimoines étant valorisé suivant les marchés financiers. Parce que la valeur réelle est devenue une valeur financière grâce à ce doux mécanisme. Ou autre traduction si vous préférez, l’Europe a donné son patrimoine concernant ses grandes entreprises aux marchés financiers… Le cercle est fermé les règles de survie de tout un continent concernant son économie ont été volé par l’aval de l’Europe... Un cheval de Troie… Une arme de guerre financière américaine au sein même de toutes les sociétés françaises, suisses et européennes…"

Juliette Guilluy


http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/revenu-universel-mais-aussi-capital.html

Tous vulnérables !

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Madame, Monsieur, chers amis,

Nous vous donnons rendez-vous à notre 28e congrès les 17 et 18 mai 2017 :

Tous vulnérables !


Les maladies psychiques, que nous soyons prochesdirectement concernés ou professionnels, nous confrontent brutalement à la vulnérabilité.

Et si cette fragilité était aussi, d’un autre côté, ce qui nous pousse à créer, à nous engager, à être plus empathiques ?

Ces deux jours sont ouverts à tous !

Inscriptions et infos : congres@graap.ch ou 021 643 16 00 ou www.graap.ch

cid:image001.jpg@01D29CB9.78349340

Tous vulnérables !

Inscriptions Le prix est de 190 fr. pour deux jours, 100 fr. pour une journée (étudiants, béné- fi ciaires AI, demi-tarif). Réduction sur demande pour les personnes ayant un petit budget et les groupes de plus de quatre participants. Une facture vous parviendra dès réception de votre inscription. Merci de l’acquitter avant le congrès et de présenter un récépissé à l’entrée. En fi n d’année, les actes du congrès seront disponibles sous forme électronique (PDF). Pour s’inscrire : Graap-Fondation, rue de la Borde 25, case postale 6339, 1002 Lausanne, congres@graap.ch, tél. 021 643 16 00, www.graap.ch/congres. A midi, l’équipe du Grain de Sel (restaurant du Graap-Fondation) propose de la petite restauration à la salle des fêtes. En cas de forte affl uence, le congrès sera diffusé sur écran dans une salle annexe. Pour les malentendants, la salle est sonorisée et dispose d’une boucle magnétique. Congrès reconnu pour 12 crédits de formation continue en psychiatrie-psychothérapie par la section romande de la Société suisse de psychiatrie sociale. Conseil scientifi que Dea Evêquoz-Wälti Psychanalyste et enseignante Amélie Giafferi Psychologue FSP, Fondation As’trame, Vaud Jean-Claude Hucher Ethicien, membre du conseil du Graap-Fondation Marie Israël Responsable du secteur Communication et développement communautaire, Graap-Fondation Richard Joray Directeur du Département de l’action sociale, Graap-Fondation Yasser Khazaal Médecin psychiatre aux HUG, président de la SSPS Section romande Florence Nater Directrice de la Coraasp Madeleine Pont Présidente du Graap-Association Caroline Regamey Chargée de politique et de recherche sociales, Centre social protestant, Vaud Phyllis Wieringa Art-thérapeute, infi rmière Jean-Pierre Zbinden Directeur général du Graap-Fondation Magazine «Diagonales» Découvrez un dossier sur la vulnérabilité dans le magazine romand de la santé mentale «Diagonales» de mai-juin 2017. www.graap.ch Gare de Lausanne M2 Flon ascenseur Métro M2 et bus n°3 Itinéraire piéton P Pont Chauderon Arrêt bus n°3 Clinique Cécile Avenue Ruchonnet Casino de Montbenon Savoie Chemin de Mornex Av. Jules-Gonin Saint-François Beaulieu Blécherette Rue du Midi Georgette Tél. 021 643 16 00 congres@graap.ch www.graap.ch 28e Congrès du Graap-Fondation 17 et 18 mai 2017 Casino de Montbenon − Lausanne Tous vulnérables! Partenaires Tous vulnérables! Mercredi 17 mai 2017 Jeudi 18 mai 2017 Nous sommes tous vulnérables! C’est le propre de notre humanité. Le Graap a choisi d’explorer ce thème universel tout au long de l’année de ses 30 ans: 2017. Chacun de nous a une zone de fragilité plus ou moins grande, un talon d’Achille qui peut être blessé, aussi petit soitil. Vivre avec une maladie psychique confronte la personne à sa part de vulné- rabilité. Les témoignages à ce sujet sont éloquents: «Ma vulnérabilité, mon épée de Damoclès, c’est la peur de rechuter»; «L’arrivée aux urgences psychiatriques, c’est pour moi la vulnérabilité totale, comme si je n’existais plus, je n’étais que vulnérabilité.»; «J’ai tellement souffert, tellement voulu mourir, ça restera toujours en moi comme une épine, même maintenant que je vais mieux»; «Ma vulnérabilité, c’est de ne pas pouvoir gagner ma vie comme tout le monde.» Les proches font eux aussi l’expérience de leur propre vulnérabilité quand un fils, un mari, une mère souffrent de troubles psychiques. Nous en sommes témoins au Graap, il est possible de cheminer et d’évoluer avec ses vulnérabilités. Pour avancer dans leurs parcours de rétablissement, les personnes trouvent leurs propres ressources. Elles développent et acquièrent des savoir-être, des savoirs et des connaissances, sources d’expertises et d’engagements. Le développement du Graap depuis 30 ans en est la preuve. Se rétablir, c’est apprendre à conjuguer avec sa vulnérabilité. Une compétence acquise au fil du temps, utile à ceux qui sont au début de leur parcours de rétablissement, aux professionnels et à toute personne voulant rester en bonne santé mentale. Comment les professionnels considèrentils leurs propres vulnérabilités? Comment composent-ils avec celles des personnes qu’ils accompagnent? Trouver le chemin pour transformer une fragilité en source de savoirs et de forces implique aussi bien la personne concernée que la communauté. Nous sommes tous responsables des liens sociaux, de la solidarité, des éléments qui sont fondamentaux pour celui qui est touché dans sa part de vulnérabilité. Des intervenants variés nous permettront de croiser les regards sur cette thématique. Des ateliers citoyens sont ouverts à tous, dès janvier et dans chaque canton romand, pour réfléchir au thème. Ils nous restitueront le fruit de leur travail durant le congrès, organisé en collaboration avec la Coraasp. Rejoignez-nous pour des échanges sur cette part de vulnérabilité qui réside en chacun de nous! Jean-Pierre Zbinden Directeur général du Graap-Fondation 08 h 30 Accueil Intermède musical avec Daniel Perrin et Pascal Schopfer, pianistes 09 h 00 Allocution de bienvenue Pierre Chiffelle, président du conseil du Graap-Fondation 09 h 15 Les urgences psychiatriques, retrouver l’équilibre Dr Stéphane Saillant, médecin-chef du Centre d’urgences psychiatriques et psychiatrie de liaison, Neuchâtel 10 h 25 Pause 10 h 45 La mission, le bien-fondé et la pratique des travailleurs sociaux dans le champ de la précarité et de l’exclusion sociale Murièle Lasserre, adjointe de direction, et Noémie Sommer, responsable des Clubs sociaux, secteur Lutte contre l’exclusion, Service social, Département de la cohésion sociale et de la solidarité de la ville de Genève 11 h 50 Présentation des Ateliers citoyens Florence Nater, travailleuse sociale, directrice de la Coraasp, Sion 12 h 10 Ateliers citoyens 12 h 45 Pause de midi 14 h 00 Variations sur le talon d’Achille: pour une éthique de la vulnérabilité Eric Fiat, philosophe, professeur à l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, responsable du Master d’éthique médicale, Paris 15 h 10 Travailler le verre pour travailler sa fragilité Françoise Delavy, artiste verrier et art-thérapeute HES, Fully 15 h 50 Pause 16 h 15 Ateliers citoyens 16 h 45 A l’écoute de la vulnérabilité Jean-Marc Richard, animateur à la Radio Télévision Suisse (RTS) 17 h 45 Fin de la première journée Au cours de la journée, Sophie Pasquet Racine et Anne-Sophie Rohr Cettou, comédiennes, liront des textes sur la vulnérabilité écrits par des personnes du Graap. 08 h 30 Accueil Intermède musical avec Daniel Perrin et Pascal Schopfer, pianistes 09 h 00 30 ans du Graap: le défi du communautaire Jean-Pierre Zbinden, directeur général du Graap-Fondation 09 h 45 Parcours au cœur de la vulnérabilité. Témoignage Blaise Grange, ingénieur en agronomie, spécialiste de la nature et de l’environnement, praticien en psychocinétique, Fey-Nendaz 10 h 50 Pause 11 h 15 Ateliers citoyens 11 h 50 Médecine des populations vulnérables: comment réduire les disparités en santé? Professeur Patrick Bodenmann, titulaire de la Chaire de médecine des populations vulnérables à l’Université de Lausanne; médecin adjoint, responsable du Centre des populations vulnérables (CPV), Policlinique médicale universitaire (PMU), Lausanne 12 h 45 Pause de midi 14 h 00 L’approche narrative: raconter et transformer nos vulnérabilités Charlotte Crettenand, psychologue-psychothérapeute FSP, As’trame Valais et Trame Narrative, Sion 14 h 50 Changer de perspectives: le développement des capabilités Jean-Michel Bonvin, président de l’Association suisse de politique sociale, docteur en sociologie et professeur ordinaire en politiques sociales et vulnérabilités à l’Université de Genève 16 h 00 Pause 16 h 15 Périlleuse vulnérabilité: effets secondaires d’une notion bienveillante Krzysztof Skuza, psychosociologue et professeur à l’HESAV, Lausanne 17 h 15 Fin Au cours de la journée, Sophie Pasquet Racine et Anne-Sophie Rohr Cettou, comédiennes, liront des textes sur la vulnérabilité écrits par des personnes du Graap. Les conférences sont toutes suivies d’un temps de questions. Le congrès sera suivi du lancement officiel de l’ouvrage réalisé par l’ANAAP, l’AFAAP et le Graap sur l’évolution de la place des patients en psychiatrie ces trois dernières décennies et d’un apéritif.

RBI, UN POUR TOUS, TOUS POUR UN. La phrase latine Unus pro ...


https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/QRbSXq4xxux
3 oct. 2015 - La phrase latine Unus pro omnibus, omnes pro uno est inscrite dans la coupole du palais fédéral UN POUR TOUS, TOUS POUR UN, Rejoignez-NOUS, merci ...

Intellectual Property, Food Security, and Rural Development

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Centre for International Environmental Studies
PUBLIC LECTURE
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Intellectual Property, Food Security, and Rural Development

Monday 20 March | 18:30 - 20:00

Graham DutfieldGraham Dutfield, Professor of International Governance, University of Leeds


The instability of the global food supply system requires our urgent attention. There are no easy solutions but the starting point must entail a critical analysis of the existing institutions governing the ownership and exchange of the plant genetic resources that underpin our long-term food security.

Graham Dutfield is Professor of International Governance at the University of Leeds. His research interests and expertise include intellectual property and access to knowledge, human rights, agriculture, indigenous people's rights, and sustainable development. Professor Dutfield has acted as advisor for a number of governments. His work is highly interdisciplinary in nature, exploring law, history, anthropology, economics and politics.

Discussant : Adriana Bessa. Adriana Bessa is a Research Fellow at the Geneva Academy of International Humanitarian Law and Human Rights. Her work focuses on the right to food, food sustainability, peasants' rights, human rights and the environment.

Moderator : Anne Saab. Anne Saab is Assistant Professor in International Law at the Graduate Institute. Her research focuses on climate change and food security.




Auditorium A1B
Maison de la paix
The Graduate Institute, Geneva



Copyright 2017, Graduate Institute of International and Development Studies http://graduateinstitute.ch









GRADUATE INSTITUTE OF INTERNATIONAL AND DEVELOPMENT STUDIES

PO BOX 136 - 1211 GENEVA 21 - SWITZERLAND - Tel. +41 22 908 57 00 - http://graduateinstitute.ch











Abus: Il pardonne à son bourreau...

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Infos


Table ronde «Survivre à une enfance brisée», vendredi 17 mars (17 h 30).

Lausanne, chemin des Abeilles 14
Haute Ecole de travail social et de la santé, auditoire A 321-322 

Violé à 9 ans par un prêtre pervers qui en fera son jouet sexuel, Daniel Pittet a longtemps cru qu’il était seul à subir un tel calvaire. «J’ai découvert plus tard que nous sommes des millions. Si toutes les victimes de prêtres pédophiles sortaient dans la rue et manifestaient, elles rempliraient les rues de Rome», estime ce Fribourgeois de 58 ans, qui vient de raconter son expérience dans un livre poignant préfacé par le pape François (Mon Père, je vous pardonne). Il témoignera ce soir lors d’une table ronde à Lausanne. «Si cela peut aider quelqu’un, tant mieux, dit-il. Il n’y a pas 10% des victimes qui osent s’annoncer, beaucoup ont encore honte d’en parler aujourd’hui.»
Daniel Pittet avoue qu’il n’aurait pas pu raconter sa propre histoire en détail il y a deux ans encore. «Le pape François m’a incité à le faire», dit-il. C’est que Daniel Pittet n’est pas un inconnu dans l’Eglise catholique. Son précédent livre, Aimer c’est tout donner, un hommage aux religieux, traduit en douze langues et tiré à 2,5 millions d’exemplaires, avait déjà reçu un coup de pouce du pape argentin. Dans la préface de ce nouvel ouvrage, le chef spirituel de l’Eglise remercie l’auteur «car des témoignages comme le sien font sauter la chape de plomb qui étouffait les scandales et les souffrances, ils font la lumière sur une terrible obscurité dans la vie de l’Eglise.»
Daniel Pittet y explique en détail comment un Père capucin vaudois a abusé de lui alors qu’il était en poste à Fribourg, entre 1968 et 1972. Il raconte comment le religieux utilisait sa victime pour satisfaire ses appétits sexuels. «Il y avait deux personnalités en lui: d’un côté un prêtre respecté qui faisait des beaux sermons et un vrai salaud en même temps.» Daniel Pittet raconte comment il s’en est tiré, comment cette expérience l’a à moitié détruit, comment elle a rendu difficile la suite de sa vie, marquée par des maladies à répétition et une dépression. «Sans ma femme, je me serais suicidé», avoue celui qui a s’est reconstruit grâce à sa famille, aujourd’hui père de six enfants.
Il pardonne à son bourreau
Daniel Pittet savait que son bourreau, Joël Allaz, vit toujours dans un couvent de capucins en Suisse alémanique. En 2016, il lui a demandé de témoigner dans son livre. En novembre, il a décidé d’aller le rencontrer en personne. «Je ne l’ai pas reconnu, dit-il, c’était un pauvre homme qui avait peur d’aller en enfer. Il s’apitoyait sur lui-même. Je lui ai dit qu’il n’avait qu’à se confesser, écrire tous les noms des enfants qu’il avait violés, que ce serait bien, comme ça, ils seraient reconnus.» Daniel Pittet affirme qu’il pardonne aujourd’hui à son agresseur, comme il l’avait déjà fait à 11 ans.
On ignore combien d’enfants exactement ont été victimes de Joël Allaz. Une enquête ouverte par la juge d’instruction fribourgeoise Yvonne Gendre, en 2008, a permis de faire témoigner 24 personnes. Tous les cas étaient prescrits – les victimes ont aujourd’hui entre 40 et 60 ans. «D’après mes calculs, nous sommes plus de 100, peut-être 150», estime Daniel Pittet.
Joël Allaz, qui a déclaré «avoir conscience» de ses actes sur la RTS le mois dernier, a eu une longue carrière jalonnée d’actes révoltants avec des enfants. Le Vaudois a occupé des postes à Fribourg puis à Saint-Maurice, avant de travailler dans une institution pour handicapés à Lausanne à la fin des années 1970. Il a été nommé à Lully (FR) dans les années 1980, aumônier d’une école spécialisée et directeur de colonie de vacances. En 1989, suite à des plaintes, l’Eglise l’a déplacé à Grenoble, puis à Lyon, avant que l’ordre des capucins ne lui redonne asile en Suisse dès 2005. En France, il a été condamné à 2 ans avec sursis. «J’avais très peur d’une condamnation parce que je sais que les pédophiles vivent l’enfer en prison», confesse-t-il dans le livre de Daniel Pittet.
«Du ménage à faire»
De l’histoire ancienne? «Pas du tout!» s’exclame Marie-Jo Aeby, vice-présidente du groupe SAPEC (Soutien aux personnes abusées dans une relation d’autorité religieuse), basé à Fey et qui organise la table ronde d’aujourd’hui: «On peut se féliciter que les choses bougent grâce au pape François et à l’évêque Charles Morerod, qui a compris que l’Eglise doit entrer dans un véritable travail de réparation. Mais les langues ne se délient pas en Valais. Et la pédophilie n’existe même pas officiellement en Italie, en Pologne ou en Amérique latine. C’est l’omerta totale. Il reste du ménage à faire.» En Suisse, les choses avancent: les évêques ont décidé l’an dernier de créer une Commission d’écoute et de réparation (CECAR), indépendante de l’Eglise, qui versera des dédommagements aux victimes d’affaires prescrites.
Daniel Pittet a accepté de participer à la table ronde aujourd’hui. «Mais je ne suis pas psychologue», prévient-il. Depuis la parution de son livre, il reçoit des téléphones de toute l’Europe. «J’entends beaucoup de choses, des victimes qui osent enfin parler, et même des pédophiles en souffrance. C’est bien que les gens puissent témoigner, mais c’est trop… Des fois je pleure d’entendre tout cela.» Il reversera les droits de son livre à des victimes de pédophilie en Ukraine. (24 heures)
Créé: 17.03.2017, 06h48

http://www.24heures.ch/vaud-regions/lausanne-region/Un-appel-a-briser-le-silence-sur-les-abus-dans-l-Eglise/story/30686048




Charles Morerod,Evêque du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg

«Je suis convaincu qu’une culture du silence participe aux abus»

Des témoignages comme ceux de Daniel Pittet «font la lumière sur une terrible obscurité dans la vie de l’Eglise», écrit le pape François. Vous-même avez appelé toutes les victimes à parler. Mais est-ce le cas dans toute l’Eglise catholique?

La volonté de faire la lumière doit encore progresser partout. Elle exige un changement de mentalité qui n’est pas évident. Quand je dis «partout», je pense à l’Eglise, mais aussi plus largement: on ne communique pas sur les mesures prises dans d’autres institutions. J’ajoute que nous recevons des appels de victimes d’abus qui n’ont pas été commis dans le cadre de l’Eglise.

Je suis convaincu qu’une culture du silence contribue aux abus. Il est capital de prendre conscience de l’impact sur les victimes, et que ceux qui connaissent des abus actuels le disent afin qu’on puisse les interrompre.

Peut-on considérer que la création d’une commission d’écoute et de réparation (CECAR) par la Conférence des évêques suisses, l’an dernier, marque un tournant? Quand les victimes recevront-elles des indemnités?

En fait, il y a des années que des victimes reçoivent des indemnités. Ce qui est nouveau, c’est cette institutionnalisation au niveau national, entre autres pour aider des communautés religieuses plus pauvres à assumer ces frais. Ce qui est également nouveau, c’est d’en parler. La gestion de ce fonds a été confiée à une institution neutre indépendante de l’Eglise, à Zoug, et pour l’instant ses rythmes de mise en œuvre sont lents. Les montants versés ne compensent jamais les souffrances subies, voire les frais encourus, par exemple pour une thérapie. Comme il s’agit là de cas prescrits, ces montants ont été calculés sur la base de ce que versent les tribunaux pour les cas qui peuvent être jugés.

Les organisateurs de la table ronde regrettaient il y a quelques jours que vous n’ayez pas mentionné la CECAR en appelant les gens à témoigner. Pourquoi?


Je tiens beaucoup à cette commission, mais je me tiens consciemment un peu à distance parce que le groupe SAPEC (ndlr: organisateur de la table ronde) a souhaité que je n’y sois pas en première ligne, afin que les victimes n’aient pas de doutes quant à sa neutralité.



Infos

Lausanne, chemin des Abeilles 14
Haute Ecole de travail social et de la santé, auditoire A 321-322
Table ronde «Survivre à une enfance brisée», vendredi 17 mars (17 h 30).


www.groupe-sapec.net

Vendredi 17 mars 2017 : une table ronde avant l'AG!


Table ronde à 17h30


Notre AG sera précédée d’une table ronde « Survivre à une enfance brisée » à l’occasion de la parution de l’ouvrage du Fribourgeois Daniel Pittet. Organisée en collaboration avec La Haute école de travail social et de la santé | EESP | Lausanne : Quelles sont les conditions qui permettent aux victimes d’abus sexuels  e se relever et de retrouver à la fois leur dignité et le cours de leur vie personnelle ? Quelles sont les étapes fondamentales qui permettent à la victime de devenir un homme, une femme debout et apaisé-e ? Flyer d’information: page 1page 2plan d'accès EESP détailllé. 

Sur le thème du pardon et de la réparation, voir aussi le témoignage d'Albert!

AG 2017 à 19h15


Notre association ayant atteint son principal objectif, une nouvelle étapes commence et implique de préciser les objectifs et les statuts!
L'invitation à l'AG vous donne toute les précisions utiles.
Le rapport d'activités fait le bilan de 2016.



Autres actualités


Trois faits importants sont à relever en ce début 2017 : 

1. Fonds d'indemnisation de la Conférence des Evêques Suisses (CES)
Ce fonds pour indemniser les victimes d'abus sexuels prescrits, annoncé en décembre 2015, est opérationnel. Les victimes déposant une requête à la CECAR (commission d’écoute, de conciliation, de réparation et d’arbitrage) en bénéficieront aussi, cette unique commission non ecclésiale étant reconnue par la CES.

2. Liberté de choix des victimes
La CES a décidé, s’appuyant sur les travaux de sa commission d’experts « Abus sexuels dans un contexte ecclésial » que toute victime d’un-e agent-e pastoral-e pouvait s’adresser à une des commissions ecclésiales ou à la CECAR.
Les congrégations religieuses catholiques, masculines et féminines, laissent aussi le choix aux victimes d’un religieux ou d’une religieuse de s’adresser à une des commissions ecclésiales ou à la CECAR.

3. La CECAR est prête à recevoir les victimes
Il a fallu une année aux membres de la CECAR pour établir un règlement, définir la procédure, choisir des conciliateurs, mettre au point ses outils d’information et de communication. Le comité du Groupe SAPEC a oeuvré pour que la CECAR, unique commission non ecclésiale, corresponde à l'esprit de l'Accord et soit véritablement indépendante et neutre.

Nous avons développé notre site en conséquence pour donner les informations importantes aux victimes et offrir notre aide !

Le clergé, "le plus grand ennemi de l´Église"



Dans le but de travailler au relèvement du Clergé, "le plus grand ennemi de l´Église", selon lui, le Père Eudes ouvrit à Caen un séminaire qui fut l´embryon d´une nouvelle famille religieuse, consacrée aux Cœurs de Jésus et de Marie, et appelée "Congrégation de JÉSUS et de Marie" (Eudistes).

Marches Pour la Vie

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Marches - monde entier



Europe




Amérique du Nord



Le travail opérationnel en vue de la préparation et de la mise en œuvre de la Marche pour la Vie est effectué par un comité organisateur. Les personnes suivantes en font partie:
Office Marche pour la Vie: Seraina Messmer, Chrétiens pour la Vérité


Comité organisateur:
Présidence: Daniel Regli
Prière: Conny Stettler
Finances: Jürg Läderach, Chrétiens pour la Vérité
Technique/logistique/sécurité: Walter Mannhart, Chrétiens pour la Vérité
Site internet/logistique: Christoph Keel, Human Life International
Facebook: Markus Döbeli, Agentur Newnet
Délégué aux médias: Beatrice Gall, Futur CH
Contacts Alliance évangélique suisse/Contacts vers la Suisse romande: Sabine Aschmann, Alliance évangélique suisse
Tables d'information: Hanspeter Häring, UDF canton de Zurich
Assesseur: Käthi Kaufmann, Jugend & Familie


Un grand nombre de volontaires s’engage avant et pendant de la Marche pour la Vie pour la préparation et la réussite de l’évènement.


La liste des organisations portant la Marche pour la Vie est régulièrement mise à jour. Les organisations qui aimeraient adhérer sont priées d’en faire la demande afin de prendre connaissance des conditions d’adhésion.





Comité des partenaires




La liste des organisations portant la Marche pour la Vie est régulièrement mise à jour. Les organisations qui aimeraient adhérer sont priées d’en faire la demande afin de prendre connaissance des conditions d’adhésion.





Marches pour la Vie, Case postale 155, 8046 Zurich


Arbeitsgruppe Jugend
& Familie
jugendundfamilie.ch
          Bündnis Christliche Schweizbuendnis-c.ch
     Choisir la viechoisirlavie.ch
          
Chrétiens pour la Vérité (Christians for Truth)
cft.ch
        UDF-Suisseudf-suisse.ch
Familienlobby Suissefamilienlobby.ch
     Magazine «freund»freund.ch
Prière pour la Suissegebet.ch
            Human Life International (HLI) Schweizhuman-life.ch
           Oui à la Vieja-zum-leben.ch
              Jordi AG - Maison d'éditionsjordibelp.ch
Pro Life, protéger vie humaineprolife.ch
    Emmanuel SOS Adoptionsos-adoption.ch
Fondation Suisse pour la famillefamilieistzukunft.ch
           Association des médecins catholiques de Suisse (VKAS)medcath.ch
              Magazines 'ethos' et 'factum'schwengeler.ch
  Futur CHzukunft-ch.ch
Chers amis,

Dans un petit pays comme la Belgique, ce sont 57 enfants qui meurent chaque jour à cause de l'avortement, ce qui veut dire qu'un enfant sur 7 ne voit pas le jour. Dans le monde, toutes les secondes et demie il y a un avortement. Chaque minute qui passe, ce sont donc 40 enfants qui sont avortés.

En Belgique, de nombreuses lois et pratiques portent atteinte à la vie humaine : l'avortement, l'euthanasie (également pour les mineurs d'âge), la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), ... Autant de pratiques qui font d'énormes ravages.

Que pouvons-nous faire pour arrêter cette hécatombe et venir en aide aux personnes en détresse ?

La Marche Pour la Vie est une réponse à ce drame. Elle aura lieu le 26 mars prochain afin de rappeler l'importance et la défense de la vie humaine dès la conception à la mort naturelle, afin de montrer que la défense de la vie est une question plus actuelle que jamais et que nous ne voulons pas abandonner notre prochain face à la mort.

Les organisateurs invitent l'ensemble des marcheurs à respecter un silence parfait tout au long du parcours de la marche.

J'espère que nous pouvons compter sur votre présence nombreuse le 26 mars à 15h au Mont des Arts. N’hésitez donc pas à transférer ce mail et à inviter tous vos amis pour nous rejoindre !
A noter également :
             Veillée de prière pour la Marche Pour la Vie en l'honneur de l'Annonciation, le 25 mars mars à 20h à l'église Sainte Catherine (Bruxelles-ville)
             Tous les premiers samedis du mois un rosaire pour la vie à 16h30 à l'église Saint Jacques sur Coudenberg
             Un jeûne pour la défense de la vie, le vendredi 24 mars.

AG C-PIC: Scandales BNS 2017

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Le Dinero Electronico en Équateur : une monnaie numérique nationale

Jusqu’à présent, ces révisions bancaires ne sont que des propositions ; mais en Équateur, une transformation radicale du système bancaire est en cours.

Depuis 2000, lorsque l’Équateur a décidé d’utiliser le dollar américain comme monnaie légale officielle, ce pays a dû expédier des cargaisons de dollars en papier dans le pays juste pour faire du commerce. Afin de «rechercher l’efficacité dans les systèmes de paiement [et] de promouvoir et contribuer à la stabilité économique du pays», le gouvernement du président Rafael Correa a donc établi la première monnaie numérique nationale au monde.

Contrairement au Bitcoin et aux crypto-monnaies privées similaires (qui ont été mises hors la loi dans le pays), le dinero electronico de l’Équateur est exploité et soutenu par le gouvernement. La monnaie numériqueéquatorienne est moins comme le Bitcoin que comme le M-Pesa, un service privé de transfert d’argent par téléphone mobile, démarré par Vodafone, qui a généré une révolution de l’argent mobile au Kenya.

Les banques centrales occidentales émettent de la monnaie numérique pour une utilisation par les banques commerciales dans leurs comptes de réserve, mais elle n’est pas disponible au public. En Équateur, toute personne admissible peut avoir un compte à la banque centrale ; et son ouverture se fait simplement en allant dans une institution financière participante, pour y échanger de la monnaie papier contre de la monnaie électronique stockée sur son smartphone.

Les banques en Équateur et d’autres institutions financières ont reçu l’ordre en mai 2015 d’adopter le système de paiement numérique au cours de la prochaine année, ce qui en fait des macro-agents du système électronique de devise.
Selon une déclaration de l’Assemblée nationale :

La monnaie électronique va stimuler l’économie ; il sera possible d’attirer davantage de citoyens équatoriens, en particulier ceux qui ne disposent pas de comptes d’épargne ou de cartes de crédit. La monnaie électronique sera soutenue par les actifs de la Banque centrale de l’Équateur.

Cela signifie qu’il n’y a aucune crainte de faillite de la banque ou de paniques bancaires ou de bail-in. La monnaie numérique ne peut pas être dévaluée par de la vente à découvert spéculative. Le gouvernement a déclaré que cette monnaie est numérique, qu’elle se négocie en dollars US au ratio de 1 pour 1 − à prendre ou à laisser − et les gens la prennent. Selon un article d’octobre 2015, intitulé «La monnaie numérique de l’Équateur gagne les cœurs !», cette monnaie est vraiment prise d’assaut dans le pays ; et d’autres pays en Amérique latine et en Afrique ne sont pas loin derrière.

Le président de l’Association équatorienne des banques privées observe que la monnaie numérique pourrait être utilisée pour financer la dette publique. Toutefois, le gouvernement a insisté sur le fait que ce ne sera pas fait. Selon un économiste de la banque centrale de l’Équateur :

Le gouvernement l’a fait parce que nous voulions que ce soit un produit démocratique. Dans tous les autres pays, [la monnaie numérique] est assurée par des entreprises privées, et elle est chère. Il existe des barrières à l’entrée, comme [des frais importants] si vous transférez de l’argent d’un opérateur de téléphone portable à l’autre. Ce que nous avons ici est quelque chose que chacun peut utiliser quelque soit l’opérateur qu’il utilise.
Le système bancaire entre dans le 21e siècle



La défaillance catastrophique du système bancaire occidental impose une nouvelle vision. Ces transformations, actuelles et à l’étude, sont des mesures constructives vers la rationalisation du système bancaire, ce qui élimine les risques qui ont emporté des individus et des gouvernements, une démocratisation de l’argent, et la promotion d’économies durables et prospères.
Elles soulèvent également des questions provocatrices :

Est-ce que l’émission de quantitative easingà hauteur de 20 milliards de roubles pour le développement et le commerce russe peut déclencher une hyper inflation ?
Pourrait-on fusionner la version Islandaise du Plan Chicago avec une initiative bancaire publique pour rendre le pouvoir de créer l’argent au public sans faire effondrer le système de crédit ?
Comment la monnaie numérique nationale équatorienne s’accorde-t-elle avec la «guerre contre le cash» en cours en Europe ? Celles-là et d’autres questions relatives seront explorées dans des articles ultérieurs.

Restez à l’écoute.

Ellen Brown est avocate, fondatrice de l’Institut Public Banking et auteur de douze livres, y compris le best-seller «Le Web de la dette». Son dernier livre, La «Public Bank Solution», explore des modèles bancaires publics réussis historiquement dans le monde. Ses plus de 300 articles de blog sont accessibles sur son site EllenBrown.com. Écoutez «C’est notre argent avec Ellen Brown» sur PRN.FM.

Note du Traducteur

Article fort intéressant d’Ellen Brown, merci à notre faux monnayeur en chef de nous l’avoir soumis. Il va falloir suivre les réflexions de cette dame et les expériences en cours. Le fait que ces expériences existent est déjà un signe très fort que les lignes bougent. Les expériences de monnaies locales se multiplient aussi en France. L’année 2016 promet d’être fertile, les aspects monétaires se mêlant aux dettes, aux marchés actions, aux marchés obligataires, aux élections à venir, aux tensions géopolitiques, religieuses,


http://versouvaton.blogspot.ch/2015/12/reinventons-la-banque-de-la-russie.html

Perturbateurs endocriniens: état de la science

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Perturbateurs endocriniens: état de la science

31.03.2017 Nous vivons dans une soupe chimique toxique. Parmi les polluants qui nous entourent, certains sont des perturbateurs endocriniens avérés, probables ou potentiels. Quels sont leurs effets réels sur la santé et l’environnement? Quels sont les coûts de santé publique qu’ils engendrent? Le principe de précaution est-il appliqué? Quelles sont les doses à partir desquelles ces produits peuvent être dangereux? Le Dr. Robin Mesnage viendra s’exprimer sur cette question complexe qui nous concerne tous. Le Dr. Robin Mesnage, toxicologue au King's College de Londres et auteur avec le Prof. Séralini de la seule étude menée sur le long-terme du Roundup, et de nombreuses autres études sur les effets sur la santé des pesticides et perturbateurs endocriniens.
Conférence
Lieu
CHUV - Auditoire Auguste Tissot
Ville
Lausanne
Horaire
17h30
Téléphone

079 440 53 49
E-mail

info@toxicfree.ch
Site Internet

https://toxicfree.ch/events/

Nous vivons dans une soupe chimique toxique. Parmi les polluants qui nous entourent, certains sont des perturbateurs endocriniens avérés, probables ou potentiels. Quels sont leurs effets réels sur la santé et l’environnement? Quels sont les coûts de santé publique qu’ils engendrent? Le principe de précaution est-il appliqué? Quelles sont les doses à partir desquelles ces produits peuvent être dangereux? Le Dr. Robin Mesnage viendra s’exprimer sur cette question complexe qui nous concerne tous. Le Dr. Robin Mesnage, toxicologue au King's College de Londres et auteur avec le Prof. Séralini de la seule étude menée sur le long-terme du Roundup, et de nombreuses autres études sur les effets sur la santé des pesticides et perturbateurs endocriniens.


Eawag News 72: Le biotope aquatique – servies rendus et besoins

library.eawag.ch/eawag-publications/EAWAGnews/72F(2012).pdf
28 juin 2012 - élimin er. Les perturbateurs endocriniens ..... national Erich von Siebenthal. .... auxperturbateurs endocriniens (PNR 50) pour évaluer le risque.

[PDF]Environnement Suisse 2009 - Bundesamt für Umwelt - admin.ch

https://www.bafu.admin.ch/dam/bafu/fr/.../uz.../environnement_suisse2009.pdf
ecos.ch, Bâle: Cornélia Mühlberger de Preux, Rolf von Siebenthal,. Daniel Wiener ..... perturbateurs endocriniens ou encore des organismes gé- nétiquement ...

[PDF]FF 2016 2739

https://www.admin.ch/opc/fr/federal-gazette/2016/2739.pdf
4 mars 2016 - 2010 M 08.3972 Protection contre les perturbateurs endocriniens. ...... communautaires» en réponse au postulat 13.3221 von Siebenthal du 21 ...

[PDF]Rapport du Conseil fédéral

https://www.bk.admin.ch/dokumentation/publikationen/00290/.../index.html?lang...
12 avr. 2016 - 2010 M 08.3972. Protection contre les perturbateurs endocriniens. Application ...... Calcul de l'ensemble des coûts (N 26.9.13, von Siebenthal).

AG Permaculture Valais

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Assemblée générale 2017 :

Association Permaculture Valais

Pour les membres de l'association permaculture Valais ou résident en valais ( réseaux externes)

Bonjour à toutes et à tous,



Nous avons le plaisir de vous convoquer à l'assemblée générale de l'association permaculture Valais. Après avoir parcouru le programme, si vous pouviez confirmez votre présence ou absence le plus rapidement possible, nous vous en serions très reconnaissant. De plus, toutes modifications des statuts doit être annoncée à l'avance. Ainsi, si vous avez des modifications à proposer, des points à rajouter ou un projet à présenter, n'hésitez pas à nous en faire part avant la date fatidique.



Contacts :

Hubert de Kalbermatten: hubdek@netplus.ch pour les inscriptions

Pour des informations au 0787795784



Date : Le dimanche 2 Avril 2017, dès 9h du matin



Lieux:

A la salle de l’espace culturel de Arbaz sur une commune indépendante sur le district de Sion. http://www.arbaz.ch/commune/espace-culturel-arbaz.html



Programme :

• 9H00 : Accueil, café, tartines et présentation de chacun

• 9H30 : AG selon ordre du jour

• 11H30 : Fin de l’AG

• 12H00 : Repas offert sur place. Si le coeur vous en dis, apportez vos produits préférés à faire partager.

• 14H00 : Projection du film « L’éveil de la permaculture » http://leveildelapermaculture-lefilm.com

• 15H30 : Fin du film avec un petit topo sur le film

• 16H00 : Présentation des projets locaux, partage des expériences et les besoins des membres

• 17H00 : verrée, clôture de la journée.

Assemblée générale : ordre du jour et autres propositions

• Rapport annuel du comité

• Rapport de la vente de livres

• Rapport annuel des vérificateurs de compte et approbation des comptes

• Révision des statuts si nécessaire

• Montant des cotisations 2017, budget 2017

• Local de l'association et les lieux de rencontre possible

• Élection du comité et du président

• (Élection des vérificateurs de comptes )



Présentation des activités prévues de l'association :

• L’agenda des rencontres et le panneau

• Le marché aux plantons

• La maintenance du jardin d’Itagne et son programme d’activités

• Les dates des projections du film l’éveil de la permaculture prévues durant l’année 2017.

• Les événements ou l’association sera présentes

• Les permablitz et les chantiers collectifs pour l’année 2017

• Les échanges possible à créer et la mise à jour de l’annuaire

• Les cours et formations prévus.

• La création de la carte des projets de permaculture en lien avec le site

• Présentation de la situation romande : académie et association de Perma Romande

• Présentation des nouveaux membres

• ….



Divers :



Prenez vos semences, plantons et autres produits artisanaux que vous aimez fabriquer ou faire goûter pour l’échanger et le faire partager pendant cette journée. Le groupe de Arbaz a mis en place une grainothèque.

Vous pouvez apporter vos livres et autres documentations afin d’agrandir la liste de références et des documents pour la bibliothèque de l'association (virtuelle et autre...).



H2K, le 1 mars 2017

Virons les banquiers escrocs !

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de Ana Sailland : 

Tu imagines une planète étrange où un mec produit l'eau, la prête, et la loue, le loyer étant à payer en eau. 

Tu remplis ta bassine, le matin, tu laves tes chaussettes, tu les fais bien sécher au dessus de la bassine, pour rien perdre, et avec un récupérateur de vapeur, et plus tard dans la journée, tu dois tout rendre. 
Mais il te reste à payer le loyer, ... en eau. 

Tu fais comment ? 

Hé bien tu peux pas. 

Il te reste trois possibilités : 

La première : emprunter de l'eau, qui repart illico à l'expéditeur. 
Et tu es à sec. C'est très austère comme situation. 

La deuxième, ne rien faire, mais tu devras payer un loyer ( en eau ) sur cette eau que tu dois et que tu n'as pas. Et donc tu en devras de plus en plus, chaque jour de plus en plus, jusqu'à ce que ce que tu dois soit l'équivalent d'une bassine, puis deux, puis trois, c'est sans fin. 

La troisième, virer le mec à coups de pied au cul, le mec qui détient ce privilège de produire l'eau, la prêter, encaisser un loyer à payer en eau, ce privilège dont on se demande comment on peut bien avoir été assez stupides pour le lui accorder. 

Le système monétaire terrien ressemble vachement à ça. 
C'est benêt, non ? 
On le vire quand le mec ?


Gérard Foucher
41 min

Il y a une quatrième possibilité Ana Sailland : tu travailles pour le mec ou tu lui donnes ce que tu produis, ou tu travailles pour quelqu'un qui travaille pour le mec, et le mec te paye en eau.
D'ailleurs c'est l'activité principale du mec : tout absorber, tout acquérir, en payant tout le monde avec de l'eau.
Nous travaillons tous, directement ou indirectement, pour le mec.

Exemple (en zone euro) :
17.576,20 milliards de litres d'eau = eau "empruntée" par les non-producteurs d'eau
30.957,50 milliards de litres = total de l'eau ayant permis aux producteurs d'eau d'augmenter leur patrimoine en absorbant les biens et le travail réel des non-producteurs d'eau, payés en eau.




03:36:21

03:39:50

03:29

O. Bernard Dugas - Proposition 4 : Cumul de la création monétaire

Lien vers l’intervention O : https://www.youtube.com/watch?v=RTvIXYDWmxM&index=30&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s


« Merci.

J'ai en fait deux questions.

Une courte, c'est : est-ce que la Banque nationale suisse pourrait signer le « Code suisse des bonnes pratiques pour le gouvernement d'entreprise ». C'est un code qui a été mis au point par plusieurs universitaires, dans le domaine éthique sur le gouvernement d'entreprise. Et en particulier, c'est un code qui a été établi par Économie Suisse.

Le deuxième point c'est : vous connaissez tous le PIB, on entend parler tous les jours du PIB, le Produit Intérieur Brut. Et je voudrais vous parler du PBM, le Produit Brut de Monnaie, une statistique qui manque cruellement pour comprendre et contrôler le système monétaire.

Actuellement, on peut calculer le stock d’unités monétaires en existence, parce que toute la monnaie en existence est dans le bilan soit de la BNS soit dans le bilan des banques commerciales, mais il n'est pas publié de manière précisément sous ce nom-là.

Par contre il est impossible de trouver le cumul de la création d’unités monétaires entre deux clôtures de bilans. Or, sans le cumul de la création d’unités monétaires, il manque des variables dans l'équation de conservation des unités monétaires, comme dirait un chimiste.

Vous avez tous un compteur d’eau à la maison. Pour la monnaie, il n'y a pas de compteur ! C’est comme si les Services industriels de Berne vous demandaient de déclarer chaque mois combien il reste d’eau dans votre baignoire, sans mesurer le cumul de l’entrée d’eau potable avec un compteur : l’eau potable serait gratuite. La consommation d’eau potable ne serait pas mesurée, elle resterait inconnue.

Or, une banque crée plus de monnaie que la variation visible de son stock de monnaie, parce que les destructions compensent des créations. Et c'est donc… Ne pas connaître le PBM, le produit Brut de Monnaie en Suisse, c'est comme ne pas connaître le PIB et n'avoir accès qu'au bilan des entreprises suisses, ce n'est pas cohérent.

Je prend un exemple : une banque se fait un crédit de 50 milliards pour que Jérôme Kerviel (vous devinerez la banque…) achète des titres pendant deux jours, voire quelques millièmes de seconde, puis cette monnaie est détruite (mais le bénéfice n'est pas détruit, lui). Par contre, cette création de monnaie est invisible dans les statistiques mensuelles actuelles, alors que son rôle sur l’économie peut être majeur, en faisant par exemple monter les prix d’une action ou d’une matière première : c'est la spéculation, la bulle, par la création de monnaie.

Et surtout, le principe même de cotation de titres est basé sur la connaissance du nombre de titres émis. Quand Apple a multiplié le nombre de ses actions par sept, le prix de ses actions a mathématiquement été divisé par sept.

Or les unités monétaires sont des titres, et en l’absence de publication officielle du nombre de titres monétaires créés, nous, les citoyens, nous sommes dans l’impossibilité de négocier correctement les prix des titres monétaires (c’est-à-dire les taux de change) et le prix des biens et services, libellés selon ces titres monétaires, à commencer par nos salaires.

Un émetteur de titres publiquement cotés a l'obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n'avoir aucune obligation de publication.

Le PBM, le Produit Brut de Monnaie, c'est simplement la mesure du carburant de l'économie, et c'est l'information stratégique que nous demandons à la BNS.

Merci. »

Interventions à l’AG de la BNS



Retranscription des interventions lors de l’AG de la BNS. alias Banque Nationale Suisse du

Vendredi 29 avril 2016



Résumé:
Investissements très contestables de la BNS:



Gaz de Schiste :  3 milliards $ investi dans les actions de compagnies américaines actives dans le gaz de schiste, le pétrole et le charbon, elle a perdu 899 millions $ depuis juin 2014. 11 entreprises ont déjà fait faillites pour une perte sèche de 49 millions $ et un gouffre financier d'un milliard $ à fin septembre 2015.


Chute de plus de 50% des actions du secteur, les brokers mandatés par la BNS (Blackrock, sic, et probablement UBS et Goldman Sachs) continuent d'investir dans des junk bond dans des domaines interdits par la charte éthique de la banque.


Le pétrole, charbon et schiste ne sont pas les seules acquisitions qui transgressent la charte éthique de la Banque puisqu’elle investit également dans Apple, Facebook, les armes à sous-munition, les bombes nucléaires US 

par exemple... 
Aecom (United States), Aerojet Rocketdyne (United States), BWX Technologies (United States),BAE Systems (United Kingdom), Bechtel (United States), Boeing (United States), Charles Stark Draper Laboratory (United States), Engility (formerly TASC, United States), CH2M Hill (United States),Leonardo- Finmeccanica (Italy), Fluor (United States), General Dynamics (United States), Honeywell International (United States), Huntington Ingalls Industries (United States), Lockheed Martin (United States), Moog (United States), Northrop Grumman (United States), Orbital ATK (United States), Raytheon (United States), and Textron (United States).
et les OGM transgéniques de Monsanto. 
Au total, c’est une aide de plus de 37 milliards $ que la BNS apporte aux entreprises américaines.


Neuf propositions refusées

Le conseil de banque a refusé de soumettre neuf des dix propositions à l’assemblée générale au motif qu’elles ne portent pas «sur le cadre constitutif de la BNS sous l’angle du droit des sociétés». Comme ces dernières «visent à attribuer de nouvelles tâches à la BNS ou à implémenter de nouveaux concepts de politique monétaire, elles n’entrent pas dans les attributions de l’assemblée générale.»
La proposition figurant à l’ordre du jour est donc la seule qui a été retenue par le conseil de banque. Mais du fait que la BNS ne dispose pas des compétences pour agir dans le sens voulu par les actionnaires, elle a été transformée en une proposition de révision de la loi sur la banque nationale à l’intention de l’Assemblée fédérale.
La décision du conseil de banque choque le collectif AAA+: «Il est incompréhensible et difficilement admissible qu’un organe dont ce n’est pas la compétence se permette d’écarter de l’ordre du jour, neuf de nos propositions, en les déclarant irrecevables.»
Jean-Philippe Buchs 





Tableau récapitulatif des interventions sur les propositions AAA+.


Temps début

Temps

fin

Durée

Interventions sur les propositions AAA+

00:07:37

00:09:40

02:03

A. Patrick Dimier - Vérification participants et vote à main levée

00:10:35

00:11:40

01:05

B. Christian Sutter - Vote électronique ni main levée ni vote secret.

01:21:54

01:23:15

01:21

CFrançois de Siebenthal - Refus vote électronique non secret

01:36:05

01:40:10

04:05

D. Marc Studer - Cotation ? Proposition 7 : Investissements BNS ?

01:43:40

01:47:10

03:30

E. Pilar Ackermann - Proposition 5 : Méthode de calcul du taux de change

01:47:37

01:51:20

03:43

F. Nicolas Etter - Proposition 6 : Séparation comptabilité interne

01:51:40

01:57:55

06:15

G. Bernard Dugas - Calcul du résultat

01:58:10

02:01:05

02:55

H. Patrick Dimier - Vote électronique non secret, vote à bulletin secret

02:18:20

02:19:35

01:15

I. Gérald Rossellat - Conflit intérêt Economie Suisse et USS

02:30:05

02:31:05

01:00

J. Denis Bucher - Conflit intérêt KPMG et Economie Suisse

02:40:42

02:46:50

06:08

K. Lionel Rossellat - Proposition 8 : Accès registre, PV et votes publics

02:57:25

03:02:05

04:40

L. François de Siebenthal - Proposition 1 : Appellation « franc suisse »

03:19:10

03:22:20

03:10

M. Philip Koenig - Proposition 3 : Compte de virement à la BNS

03:35:28

03:36:21

00:53

N. Mathieu Desponts - Proposition 2 : Dépôt de monnaie légale

03:36:21

03:39:50

03:29

O. Bernard Dugas PBM - Proposition 4 : Cumul de la création

03:39:50

03:41:53

02:03

P. Frédéric Deslarzes - Proposition 9 : Action de la BNS

03:41:53

03:46:08

04:15

Q. Blaise Rossellat - Proposition 10 : Compte de financement souverain

Temps Total (min)


51:50




Tableau récapitulatif de toutes les interventions.


Rejoins-nous à la BNS



Ce n'est pas la première fois qu'ils violent la volonté populaire... 

Exemple ci-dessous, des milliards distraits pendant des années...


Résistons et agissons immédiatement...



Monnaie-pleine, respect du Souverain ?




Les Suisses résistent, 

La monnaie-pleine devrait déjà être en vigueur, ils trichent et ne respectent pas la volonté populaire à près de 60 %....

Envie de devenir actionnaire de la BNS? On cherche encore du monde afin de remplir la salle lors de la prochaine AG qui aura lieu le 28 avril 2017!
1646 CHF au cours du jour...
Symbole/ISIN: SNBN / CH0001319265
Rendement exceptionnel: un aller-retour en première classe vers Berne en train, un petit déjeuner offert et un cocktail dînatoire copieux à midi avec possibilité d'échanger entre 4 yeux avec le Conseil de banque in corpore. Plus 15 francs de dividende. Je dirais que c'est un investissement plus que rentable!
Prochaine AG, le 28 avril 2017 à 10h, va encore y'avoir de l'action!
Il suffit d'ouvrir un compte de dépôt-titre dans ta banque ou à la Poste et acheter le titre de la BNS et préciser à ta banque qu'elle fasse le nécessaire pour t'enregistrer auprès de la BNS dans le registre des actionnaires.
Rejoins-nous!

Tous invités, du monde entier, le plus grand actionnaire privé est allemand !



François de Siebenthal: Banque nationale suisse, BNS, Berne, ce ...

desiebenthal.blogspot.com/2015/04/banque-nationale-suisse-bns-berne-ce.html

24 avr. 2015 - Theo Siegert détenait alors moins de 5% des actions. Aujourd'hui, il en possède 6,49%, ce qui vaut à cet économiste allemand de devancer ...

CollectifAAA – Assemblée des Actionnaires Actifs Positifs

aaapositifs.ch/author/collectifaaa/

Le plus gros actionnaire privé, est Théo Siegert de Düsseldorf en Allemagne! Et oui .... François deSiebenthal, Lausanne, économiste HEC et licencié en droit;.

http://aaapositifs.ch/category/propositionag2017/




Lausanne: Médaille d’or à Mario Draghi

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Remise de la Médaille d’or de la Fondation Jean Monnet

Invitation à Lausanne le 4 mai: Thomas Jordan de la BNS, Mario Draghi de la BCE, Pat Cox, administrateur du think tank Les Amis de l'Europe et de l'International Crisis Group, et du manufacturier français Michelin. Membre du comité d'honneur de l'Institute of International and European Affairs (en). Invité à la conférence annuelle de Bilderberg en 2001.



Marie-France Garaud était l’une des invitées de l’émission Ce Soir Ou Jamais de Frédéric Taddéï, le 10 mai 2013, notamment pour un débat intitulé « L’Allemagne, ennemie publique n°1 ? ». ... Entendre une personne aussi respectée (et respectable) que Marie-France Garaud étaler au grand jour, sur une chaîne publique, et devant un Quatremer médusé, que « Jean Monnet était un agent américain payé pour détruire les états européens », ... comment dire… ça n’a pas de prix !

Jeudi 4 mai 2017, 17 heures 30

Campus de l’Université de Lausanne

Bâtiment Amphimax – auditoire Erna Hamburger



Lors de la cérémonie, Pat Cox, président de la Fondation, ancien président du Parlement européen et du Mouvement européen international, remettra la Médaille d’or à Mario Draghi, personnalité européenne majeure qui, à la tête de son institution et avec vision et pragmatisme, a œuvré à la préservation et au développement des acquis de la construction européenne dans une période particulièrement difficile.
Carton d’invitation et plan du campus

Formulaire d’inscription en ligne

FONDATION JEAN MONNET POUR L’EUROPE REMISE DE LA MÉDAILLE D’OR 2017

 La Fondation Jean Monnet pour l’Europe a l’honneur de vous convier à la remise de la Médaille d’or de la Fondation à Monsieur Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne le jeudi 4 mai 2017 de 17h30 à 19h30 Université de Lausanne OUVERTURE DE LA CÉRÉMONIE Pat Cox, président de la Fondation Jean Monnet pour l’Europe MESSAGES • Nouria Hernandez, rectrice de l’Université de Lausanne • Grégoire Junod, syndic de la Ville de Lausanne • Pierre-Yves Maillard, président du Conseil d’État du Canton de Vaud • Thomas J. Jordan, président de la Direction générale de la Banque nationale suisse LAUDATIO DU RÉCIPIENDAIRE Pat Cox, président de la Fondation Jean Monnet pour l’Europe REMISE DE LA MÉDAILLE D’OR CONFÉRENCE Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne CONCLUSION Pat Cox, président de la Fondation Jean Monnet pour l’Europe Apéritif offert par la Direction de l’Université de Lausanne Traduction simultanée fr /en et en/ fr INSCRIPTION obligatoire y compris pour les accompagnants, d’ici au 20 avril 2017 au moyen de la carte ci-jointe ou par internet: jean-monnet.ch Remise d’un badge d’accès à l’auditoire uniquement sur inscription préalable et présentation d’une pièce d’identité y compris pour les accompagnants / contrôle des sacs à l’entrée de l’auditoire LIEU DE LA CONFÉRENCE Université de Lausanne Quartier Sorge CH -1015 Lausanne BÂTIMENT AMPHIMAX / AUDITOIRE ERNA HAMBURGER Accès par autoroute A1 Suivre A1 en direction de Lausanne-Sud / prendre la sortie UNIL-EPFL / prendre la route cantonale en direction de Genève / au 2e rond point prendre sur la droite, avenue Forel /stationnement au parking Sorge derrière le bâtiment Accès en transports publics Depuis la gare CFF de Lausanne prendre le métro m2 direction Croisettes, arrêt Lausanne-Flon / puis le métro m1 (TSOL) direction Renens-Gare, arrêt UNIL-Sorge L’usage des transports publics est encouragé FONDATION JEAN MONNET POUR L’EUROPE Ferme de Dorigny CH -1015 Lausanne T +41(21) 692 20 90 secr@fjme.unil.ch jean-monnet.ch AVEC LE SOUTIEN DE EPFL / LEARNING CENTER ROUTE CANTONALE AUTOROUTE GENÈVE - LAUSANNE ROUTE DE LA SORGE P ARRÊT M1 AVENUE DU TRIBUNAL FÉDÉRAL AVENUE FOREL AMPHIMAX alain kissling / atelierk.org LE (LA) SOUSSIGNÉ(E) ASSISTERA LE JEUDI 4 MAI 2017 À LA REMISE DE LA MÉDAILLE D’OR DE LA FONDATION À MARIO DRAGHI CARTE À RETOURNER D’ICI AU 20 AVRIL 2017 seul(e) accompagné(e) NOM PRÉNOM ADRESSE FONCTION TÉLÉPHONE COURRIEL NOM(S) ACCOMPAGNANT(S) FONDATION JEAN MONNET POUR L’EUROPE REMISE DE LA MÉDAILLE D’OR 2017 Fondation Jean Monnet pour l’Europe Ferme de Dorigny 1015 Lausanne Suisse Affranchir SVP

http://jean-monnet.ch/la-fondation-remet-sa-medaille-dor/

Ordures "suisses" qui viennent de l'étranger, sic, rappels !

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07/03/2008

Cramer a peur de Stauffer


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Communiqué de Presse du Mouvement Citoyens Genevois
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CRAMER A PEUR DE STAUFFER  
.
La TSR soucieuse d'une information aussi large et objective que possible dans le dossier des déchets napolitains, avait décidé de programmer l'émission "Infrarouge" du mardi 11 mars sur ce sujet.
..
Le MCG a accepté, sans aucune restriction, de participer à ce plateau quel que soit la personnalité qui serait opposé à Monsieur Eric Stauffer, député.
..
Les producteurs de l'émission ont invité la seule personnalité capable d'affronter le député avec une source d'information à la hauteur de l'importance de l'enjeu, le Conseiller d'Etat Robert CRAMER.
Ce dernier a refusé ce débat public. Ce désistement conduit, bien malgré elle, la TSR à annuler cette émission spéciale d'Infrarouge.
.
Cette attitude démontre à l'envi que non seulement le gouvernement genevois a totalement perdu le contrôle de ce dossier de première importance, tant sur le plan écologique que sanitaire, vu les importantes nuisances que ne manqueront pas causer les 21840 mouvements de poids lourds sur les routes genevoises pendant la durée de ce contrat, mais encore son incapacité à communiquer correctement sur ce sujet très préoccupant.
La démission du conseiller d'Etat Cramer est lâche et montre son total manque de respect à l'égard des Genevois auxquels il doit, comme le lui impose la constitution,  rendre compte.
Le MCG prend les citoyens de toute la région franco-valdo genevoise à témoin du mépris de ce conseiller d'Etat pour la qualité de l'air et leur santé.
Cette attitude montre également que les écologistes genevois ne sont plus des interlocuteurs valables pour discuter d'environnement.
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17:14 Publié dans Général | Lien permanent | Commentaires (38) |  Facebook |  | Share | 

COMMENTAIRES

Cramer est un lache!
C'est un Verts à pied!
Écrit par : Alison | 07/03/2008
Charriez pas Mr Stauffer.
Cramer n'a pas le temps, il est soit au bistrot soit (éventuellement) en récupération à Berne...
Écrit par : bidouille | 07/03/2008
SVP arrêtez de mettre Cramer dans le même sac que tous les verts... Les vrais écologistes sont contre ce personnage. Donc quand vous parlez de Cramer, vous dites le conseiller d'état, et non le vert, car il n'appartient plus à mon idéologie depuis bien longtemps...
Écrit par : Green4life | 07/03/2008
@Green4life

Ouf ça me rassure! Pour moi Cramer est aussi très loin de mon idéologie.

En revanche les Verts ne font rien pour l'éjecter et Hodgers n'ont plus puisqu'il soutien l'importation des poubelles de Naples....

Alors finalement c'est bien vers le MCG que je me tourne.
Écrit par : Janine | 07/03/2008
Cramer a déjà peur de Cramer pour commencer, alors tu parles face à Stauffer!
Écrit par : Grégoire Dunand | 07/03/2008
Comme remplaçant le syndic de Lausanne devrait faire l'affaire! Même parti, siège aussi à Berne ! Position semblable sur le traitement des déchets étrangers en Suisse. Grand défenseur également des nouveaux temples de notre société de consommation!
Cette émission est importante. Un autre membre des gouvernements genevois ou vaudois (canton ou commune) doit impérativement répondre à l'appel de la tsr. Celle-ci ne doit en aucun cas renoncer à cette émission!
Sinon ce n'est plus de la politique des déchets que l'on parlera mais "des déchets de la politique!"
Écrit par : Magnin | 07/03/2008
Chez nous ces gens sont au pouvoir. En réalité, Cramer c'est un peu le Poutine de Genève.

Aussi faux derche, aussi manipulateur et tout aussi menteur!

Brunier c'est son Medvedev.

Il faut dire que comme premier sinistre il est imbattable Brunier.

Le plus fort dans tout ce joyeux tohubohu c'est les Verts sont tous aux abonnés absents!

Le beau Hodgers est muet et Lueuenberger a le claquebouse cloué!

Chaude ambiance, normal on peut se chauffer avec l'incinération des déchets.

En tout cas les écologistes genevois peuvent aller se rhabiller avec leur morale à deux balles, coté particules ils sont plus très fins.

Chapeau au député Stauffer, il a bien mis les pieds dans le plat de toute cette bande de verdo calvinistes..... un vrai calvert!!!
Écrit par : Mihailo Ivanoff | 07/03/2008
BRAVO M. Stauffer !

Je ne m'y retrouve plus avec un socialiste BRUNIER regardant que son futur bonus napolitain et un pseudo-écolo CRAMER qui n'a plus rien à fou... de Genève maintenant qu'il est à Berne.

A regarder de plus près le bilan pour Genève de CRAMER est peu glorieux.

Qu'un seul enfant soit écrasé par un camion remplit de déchets napolitains et vous verrez la réaction populaire et celle des parents.

Allons-nous nous faire le remake de fûts de SEVESO ?

M. CRAMER vendez le four aux italiens, et demandons à BALESTRA de l'expédier à Naples !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Seveso
Écrit par : SCANDALEUX | 07/03/2008
Je vous offre le message passionnant que j'ai lu sur le blog du conseiller national Hiltpold.
Edifiant!

Le canton de Vaud dépense environ un milliard de plus pour la santé que le canton de Berne, alors que sa population compte 317'000 personnes de moins ( 957'000 à 640'000 ).
Les incinérateurs de Thoune ou de Bienne polluent par exemple 10 fois moins que celui de Lausanne (Tridel).

Ils ont promis une usine ultramoderne, mais ce n'est qu'une illusion coûteuse en argent et surtout en santé ( voir ci-dessous). Bienvenue au pays d'Alice et de ses cancers...

C'est une vraie escroquerie et un empoisonnement...

Première urgence, la nature polluée par les dioxines...

Action facile, consommer autrement et lutter contre l'incinération des déchets dont les dioxines provoquent notamment:
1. Cancers
- Cancers primitifs du foie
- Sarcomes des tissus mous
- Lymphomes non Hodgkiniens
- Maladie d'Hodgkin
- Cancers respiratoires (larynx, trachée, bronches et poumons) *
- Cancer de la prostate.
2. Désordres métaboliques
- Lipidiques: désordres cérébro-artériels; désordres artériels coronariens
- Glucose: diabète
3. Maladies du système nerveux
- Neuropathie périphérique *
- Myélome multiple *
4. Maladies de la peau
- Chloracnée *
- Porphyrie cutanée tardive *
5. Naissances inhabituelles
- Avortements spontanés, naissances prématurées
- Morts-nés
- Grossesse molaire, chorio-carcinome
6. Malformations à la naissance et foetus mal formés chez un ou plusieurs enfants, qui peuvent aussi apparaître dans la génération suivante (petits-enfants). Plus de 4 millions d'enfants sans anus au sud Vietnam, qui sont rejetés car les poches artificielles puent.
Les USA polluent mais ne soignent pas... http://www.ffrd.org/Lawsuit/Lawsuit.htm

Un exemple concret de réaction intelligente à la portée de tous:
Plainte pénale contre x pour empoisonnement, modèle.

La pollution par microparticules et par dioxines de la part de toute usine d'incinération est prouvée scientifiquement.

Par exemple à Lausanne, selon les normes Tridel, nous allons notamment recevoir 740 millions de m3 chaque année d'air pollué avec en tout cas des dioxines cancérigènes par l'air, les eaux de lavage et les cendres qui provoqueront des milliers de cancers.

Le rapport du Tüv est incomplet et nous en demandons la publication dans un journal à large diffusion.

La Dioxine TCDD est le plus puissant poison connu - un million de fois plus toxique que le plus puissant poison naturel - et aussi le plus durable. ... (Une étude de 2002, de l'Université Columbia de New York, révèle que 80 g de dioxine versés dans le service d'eau d'une ville peuvent tuer 8 000 000 de ses habitants)

La Dioxine TCDD se mesure en pico gramme, c'est à dire en millionième de millionième de gramme (10 puissance -12 gramme) Cette infinie petitesse lui assure une grande stabilité.

Premières victimes, les plus faibles, les embryons humains et animaux...Pas de normes anti-dioxines en Suisse, des normes laxistes en Europe, des normes réalistes aux USA qui connaissent le danger vu le Vietnam et l'agent orange... l'EPA (Environnemental Protection Agency) américaine a défini une norme acceptable à un cancer par million de personnes au seuil de 0,0064 pico gramme par jour et par kilo. L'OMS est à 10 pg/j/kg, soit 1600 fois plus : "ces normes sont celles qui ne dérangent pas le système économique des pays.

Ce sont des normes de convenance".

Or elles n'y ont pas leur place et font des dégâts, que l'on mesure souvent chez les embryons, foetus, bébés, enfants, petits-enfants et autres descendants de ceux qui les ont assimilées : des déficiences immunitaires, des cancers….

On est aujourd'hui dans une situation comparable à celle de l'amiante. La dioxine est un cancérigène avéré. Des recherches faites aux Etats Unis ont montré qu'il n'y avait pas d'effet de seuil.

Une seule molécule suffit à provoquer un cancer. Les incinérateurs ancienne génération augmentent les risques de cancer, comme l'a montré l'étude réalisée à Besançon.

Se pose également le problème des enfants malformés, révélé par une étude de l'Inserm dans la région Rhône-Alpes. Les risques sont nettement avérés, ils sont plus importants à proximité des incinérateurs et augmentent après la création d'usines. Quant on a autant de corrélations, il ne peut pas s'agir d'un hasard.

De plus, un incinérateur coûte extrêmement cher. Une fois que l'investissement a été réalisé, il faut exploiter l'usine au maximum. Ainsi à Lunel en France (Hérault), un contrat précisait que la communauté de commune devait apporter 80000 tonnes de déchets par an à l'incinérateur.

Au cas ou la quantité ne serait pas produite, elle devait payer le manque à gagner ! ! !

Les risques existent aussi pour les nouvelles usines.
A chaque génération on affirme, on affirme que la nouvelle est parfaite.

Au début des années 90, industriels et politiques ont dit la même chose.

La nouvelle réglementation ne prend en compte qu'une vingtaine de polluants, alors qu'il y en a des centaines dans les fumées émises. De plus les normes exprimées en m 3, sont trompeuses : une usine ne rejette pas 1m3 mais des millions, pendant des années.
Cendres, mâchefers et eaux de lavage des fumées, des concentrés de dioxines...
"Il n'y a aucun contrôle sérieux du contenu des camions à l'entrée", ce qui veut dire que l'on ne sait pas ce que l'on brûle en Suisse, encore moins ce qui ressort en fumée. Et un membre de l'association, l'ingénieur EPFL Claude Monod, de dénoncer le fait que la réglementation tolère un ratio de polluant dans les fumées et non une quantité annuelle d'émission de polluants sur le site. D'autant que le doute a été jeté sur les contrôles que doit théoriquement subir une usine d'incinération.


". Et on irait construire des sous-couches de route avec ça ou des décharges sur des nappes phréatiques de nos eaux encore potables, que la pluie lessiverait ensuite en faisant passer ces toxiques dans le sol ? Sans compter les plus de 6'000 litres d'eau à l'heure pour laver les fumées de la seule Tridel de Lausanne, alias Detrideg ( sic, ils détrient la plupart de de ce qu'on avait trié ...car ils ont besoin de 140'000 tonnes de combustibles, qui viennent même d'Allemagne...).


Vu la surcapacité actuelle en suisse, on demande un moratoire sur la création de tout nouvel incinérateur et le gel des travaux de Tridel .


Mon habitation se trouve dans le secteur géographique concerné par les retombées de cette pollution particulièrement grave de l'environnement pour toute la Suisse, vu que nous devenons la poubelle de l' Europe ( amiantes, dioxines, ordures…).

Cette situation a engendré une baisse de la valeur de mon habitation, la mise en cause de ma santé et celle de ma famille, un grave préjudice moral dans la mesure où je suis particulièrement inquiet quant aux conséquences de cette pollution à moyen et long terme.

Dans ces conditions, d'une part pour établir la réalité de la pollution subie, d'autre part pour déterminer les responsabilités, et enfin pour définir les préjudices subis et en obtenir réparation, il convient que je dépose une plainte avec constitution de partie civile auprès du tribunal par l'intermédiaire du Centre de documentation civique, case 335, 1001 Lausanne 021 616 88 88.

< B> Voici queques analyses du docteur Eric Pluygers, cancérologue bruxellois réputé pour ses études sur les dioxines, spécialiste que son grand âge soustrait à toute pression, s'empressera-t-on de préciser.
Indigestes dioxines

Avec force explications scientifiques, le médecin est finalement on ne peut plus clair : toute combustion dégage des dioxines, on en produit suffisamment comme ça, notamment dans la métallurgie, il ne faut pas en rajouter en incinérant les déchets (et ne vous croyez pas épargnés, européens, ces produits voyagent fort bien par les airs : on a retrouvé des pollutions suisses au pôle nord) ; d'autant que ces molécules sont bio-persistantes, traduisez qu'elles restent dans le corps, même si elles s'affaiblissent, ad vitam aeternam. Or elles n'y ont pas leur place et font des dégâts, que l'on mesure souvent chez les embryons, foetus, bébés, enfants, petits-enfants et autres descendants de ceux qui les ont assimilées : des déficiences immunitaires, des cancers. Une commission de 25 experts, réunis en 1997 à Lyon au Centre international de recherche sur le cancer concluait : "la TCDD (dioxine de Seveso) est cancérigène pour l'homme". Et les normes de l'OMS ? "Vaste blague", répond le médecin, qui démontre les incohérences de ce système : l'EPA (Environnemental Protection Agency) américaine a défini une norme acceptable à un cancer par million de personnes au seuil de 0,0064 pico gramme par jour et par kilo. L'OMS est à 10 pg/j/kg, soit 1600 fois plus : "ces normes sont celles qui ne dérangent pas le système économique des pays. Ce sont des normes de convenance".
Cendres, mâchefers et eaux de lavage des fumées, des concentrés de dioxines...
"Il n'y a aucun contrôle sérieux du contenu des camions à l'entrée", ce qui veut dire que l'on ne sait pas ce que l'on brûle en Suisse, encore moins ce qui ressort en fumée.

Et un membre de l'association, le Dr EPFL Monod, de dénoncer le fait que la réglementation tolère un ratio de polluant dans les fumées et non une quantité annuelle d'émission de polluants sur le site. D'autant que le doute a été jeté sur les contrôles que doit théoriquement subir une usine d'incinération. Une fois par an seulement.

Or à l'occasion de la visite des membres de l'Agglo à Lunel-Viel, Jean-Louis Roumégas, chef des Verts à Montpellier, a "prélevé" un kilo de mâchefer, ensuite analysé. J.-P. Gallaux, médecin membre de l'Amies, en donne les résultats : "il contenait 3,7 nanogrammes de dioxines ; or pour que la terre soit cultivable, la quantité ne doit pas excéder 20 picogrammes par kilo.

Les mâchefers contiennent 185 fois plus de toxiques que ce qui est autorisé dans les sols". Et on irait construire des sous-couches de route avec ça ou des décharges sur des nappes phréatiques de nos eaux encore potables, que la pluie lessiverait ensuite en faisant passer ces toxiques dans le sol ? Sans compter les plus de 6'000 litres d'eau à l'heure pour laver les fumées de la seule Tridel de Lausanne, alias Detrideg ( sic, ils détrient la plupart de de ce qu'on avait trié ...car ils ont besoin de 140'000 tonnes de combustibles, qui viennent même d'Allemagne...).
http://desiebenthal.blogspot.com/
http://www.non-tridel-dioxines.com/
http://www.m-c-s.ch/ et
www.pavie.ch/mobile
www.pavie.ch

par François de Siebenthal | 06/03/2008 | 08:10 | http://www.pavie.ch

Merci à M. de Siebenthal pour cette mine d'information et merci au député Stauffer pour le combat juste et droit qu'il mène au nom de tous les habitants de la région, c'est à dire bien au-delà des frontières de la république bananière de Genève.
Écrit par : Infante Despues y muerte | 07/03/2008
Après reflexion, nul besoin d'importer des ordures,il y en a assez sur place dans notre belle cité calvin....

Politiciens de tout bord vous êtes ...... beurk
Écrit par : Oposum | 07/03/2008
quelques chiffres, à Lausanne en 2006 l'usine tridel a incinéré 15 % de déchets venant d'Allemagne sur un total de *156'045 to soit 23'780 to à 215fr.- la to ce qui nous fait un montant minimum de 5'112'700.--fr.
Pour une SA crée dans le but de traiter les déchets urbains de 3 périmètres regroupant 150 communes vaudoises. BRAVO!
D'autant plus remarquable que l'usine est capable de traiter 144'000 tonnes par an. En plus en surcapacité de traitement pour incinérer des déchets étrangers avec certainement des risques supplémentaires en ce qui concerne la toxicité des polluants à la sortie de la cheminée (température d'incinération plus basse).
LE PRIX INITIAL ANNONCE AUX VAUDOIS PAS RESPECTE ET UNE USINE EN SURCAPACITE.....Mais que font nos élus? Silence ça tourne! Et merci pour la qualité de l'air des lausannois!
IMPORTANT A TOUTES LES PERSONNES CONCERNEES merci de signer la pétition pour que tridel n'importe plus des déchets de l'étranger.(24 H du 07/03/08)
* chiffre de tridel SA
Écrit par : magnin | 07/03/2008
Stauffer va voir les déchetsd? Qzu'il prenne garde à ce que les Napolitains ne le confondent pas avec leurs ordures...
Bon, ça nous débarasserait !
Écrit par : JJ | 08/03/2008
Hodgers N'ONT plus, écrit Janine
Et se tourner plutôt vers une grammaire, pour apprendre à écrire, non?
Je doute fort que Stauffer ne le puisse, tant il manque d'instruction...
( enfin, tout dépend de laquelle...)
Écrit par : JJ | 08/03/2008
Cramer n'a pas peur de Stauffer dans une seule discipline, il est même certain de gagner : La descente, pas à skis mais à la bouteille de vin ou autre alcool. J'espère que Stauffer lui rapportera une bonne bouteille de vin italien et de la mozzarella polluée par la merde napolitaine !
Écrit par : Octave Vairgebel | 08/03/2008
Comme Brunier a pour habitude de na jamais publier les commentaires laissés sur son blog nacissique, je vous passe celui que j'ai posé ce matin.

Cher Monsieur,

Mis à part vous auto-satisfaire, vous auto-proclamer le meilleur et ne pas publier les commentaires, vous faites comment pour établir un dialogue avec ceux qui ne sont ni d'accord avec vos méthodes ni d'accord avec votre politique visant à tout interdire?

Après la cigarette, l'alcool, les chiens voilà les ampoules!

Est-ce pour tenter de rester brillant dans l'obscurantisme ambiant?

Comme vous avez la très vilaine habitude de ne jamais publier les commentaires (preuve votre compteur affcihe x commentaires et votre blog est vide de commentaires), ce texte sera mis sur des blogs de personnalités plus ouvertes que vous au dialogue.

PS: votre prestation à radio public a bien montré que désormais le PS et ses alliés Verts se fichent totalement et de l'environnement et de la santé publique. Je vous rappelle que 35 camions par convois sur la durée du contrat napolitain cela donne 21'500 camions!

Si ça c'est pas de la pollution et une sérieuse attewinte à la santé publique, je ne sais pas ce qu'il vous faut.

En lisant la julie ce matin j'apprends que votre chef de file Cramer se dégonfle comme un pétufle face à Stauffer qui n'est pourtant pas à son niveau de connaissance!

Cette suffisance de la gauche genevoise est décidément non seulement insupportable mais tout simplement honteuse!

@JJ, je trouve votre attaque non seulement injustifiée mais en plus inutilement dégradante.

Si il y a une seule ordure dans ce dossier c'est bien Cramer qui viole toutes les règles de bien séance et d'honnêteté la plus basique.

Libre à vous de ne pas aimer Stauffer, mais au moins reconnaissez que sur ce coup-là il est clairement du bon côté de la poubelle.

Je crois surtout que toute la gauche est totalement à côté de la plaque dans cette histoire. Mais il est vrai que la gauche genevoise a disparu ou plutôt elle est remplacée par le MCG qui mène tous les combats que devraient soutenir le PS et tous ses sattelites.

Quant aux Verts, on voit maintenant venir à la lumière leur nature réelle. Se sont pour une moitié, des politiciens classiques qui utilisent la tendance "nature" ambiante et pour l'autre moitié des marxistes sur le retour qui ont trouvé avec le vecteur "peur" de l'environnement, un moyen de collectiviser la société.

Rien de très noble dans tout ça mon cher jj, n'est-il pas?
Bon week-end
Écrit par : Romain Latio | 08/03/2008
A comparer pour l'usine des Cheneviers à Genève, le but de la société inscrit au registre du commerce ou autres conventions.Pour tridel Sa le but de tridel SA est le suivant :

TRAITEMENT DES DECHETS URBAINS, LEGALEMENT ADMISSIBLE DANS UNE INSTALLATION D'INCINERATION AU SENS DE LA LEGISLATION FEDERALE, PROVENANT DES ZONES D'APPORT QUI LUI SONT ASSIGNEES PAR LA LEGISLATION VAUDOISE ET PAR LE PLAN CANTONAL VAUDOIS SUR LA GESTION DES DECHETS.

Pour tridel SA en 2006, 23'780to d'Allemagne + 11'179to du Tessin + 5619to de la SATOM soit 40'578to hors Canton qui représentent 26 % de la totalité des déchets incinérés à Lausanne! Affaire à suivre! Je comprends mieux le silence radio des politiciens.Il est vrai qu'à la fondation de la société tridel SA, un argument clé invoqué pour développer ce type de société était la perte de contrôle du politique . Dans le canton de Vaud l'objectif est dépassé, La démonstrationest faîte de la véracité, du bien fondé de cette analyse et de cette façon de faire!

Ne pas oublier de signer et faire signer la pétition pour interdire l'importation des déchets étrangers à tridel. Boutique chaussures Pompes Funèbres place de l'Europe 8 / 1003 Lausanne.

Les différentes associations des riverains des usines d'incinération, en Suisse, en Suisse Romande pour commencer devraient se fédérer. Comme en France voisine (cniid)pour peser dans les décisions à venir. Qu'en pensez-vous?
Écrit par : magnin | 08/03/2008
Pour JJ :
Un rappel élémentaire :

Libre à vous de vouloir corriger les fautes d'autres intervenants. Cependant pour se permettre de le faire, il ne faut pas en faire...

Premièrement : on écrit son texte sans faute de frappe :

"Stauffer va voir les déchets ? …" au lieu de : "Stauffer va voir les déchetsd? …"

"…Qu'il prenne garde à ce que les Napolitains…" au lieu de : "…Qzu'il prenne garde à ce que les Napolitains…"

Cher JJ, êtes-vous déjà intoxiqué par la dioxine ?

Ensuite :
Si vous décidez de mettre un espace entre la fin d'un mot et un point d'exclamation ou d'interrogation, vous devez respecter cette règle jusqu'à la fin de votre texte.
Cela n'est pas votre cas :

"…voir les déchetsd? …"
"…nous débarasserait ! …"
"…apprendre à écrire, non? …"

Encore une :
Si vous ouvrez une parenthèse et que la suivez par un espace, vous devez respecter cette règle pour la fermeture de ladite parenthèse.

Ce n'est toujours pas votre cas :
"…( enfin, tout dépend de laquelle...) …"

Et une autre :
"…Bon, ça nous débarasserait !…"

Là aussi vous faites fort :
Vous ne manquez pas d'air, mais vous oubliez d'en mettre un deuxième à ce verbe.
Dommage pour vous, ce verbe s'écrit ainsi : débarrasserait …

La cerise sur le gâteau :
"…Et se tourner plutôt vers une grammaire, pour apprendre à écrire, non? …"

Cher JJ, là vous faites très fort. Il s'agit de barbarisme pur et dur. En effet, comment peut-on "…se tourner vers une grammaire, pour apprendre à écrire…" ?
Eventuellement, nous pourrions nous référer aux règles de grammaire pour apprendre à écrire…Ce n'est manifestement pas votre cas.
Avec une telle maîtrise du français, un juge d'instruction ne vous engagerait pas au poste de greffier… Vous n'êtes pas bon en grammaire ? Ce n'est pas grave, vous pourriez être un maire gras…

Je vais m'arrêter là. Comprenez, cher JJ, que je ne pouvais pas lire tous les commentaires de ce blog et ne pas vous remettre en place.

En ce qui concerne vos notions de la langue française, le seul temps à revoir est l'imparfait.

Par contre, vos commentaires sur le fond sont intéressants, mais vos leçons de français sont superflues.

Bien à vous
Écrit par : grammaire, orthographe et conjugaison | 08/03/2008
J'ai lu et écouté la presse italienne de Naples et de la Campanie en général. Il semblerait que personne ne soit au courant de quoi que ce soit. J'ai prévenu un ami qui travaille dans une radio locale.... (Avellino).
Écrit par : genevois frontalier | 09/03/2008
"La démission du conseiller d'Etat Cramer", cher Eric Stauffer, comme j'aimerais que cela soit vrai...malheureusement, cela ne concerne que le débat sur "Infrarouge"...mais de toute manière, il aurais dis quoi, Bob l'Eponge, le Pharaon de Genève, R. Cramer ?
Écrit par : Victor DUMITRESCU | 09/03/2008
@genevois frontalier,
Si c'est vrai ce que vous dites, cela confirmera deux choses:

1. Les dirigeants des SIG sont des nuls car ils négocient avec des entités non officielles.
2. La camora est bien plus forte que nos couillons locaux qui se font promener comme des bleus.

Mais surtout, cela veut dire que les SIG, entité étatique est conduite par des personnes qui n'ont aucun sens des responsabilités.

En réalité cela montre que pour protéger leur super bonus, ces gens sont capables de tout!

Un dernier point: Quelle est la formation et quel diplome univeristaire ou autre peut justifier Brunier pour être le No1 de la communication des SIG?

Histoire de ne pas y envoyer mes enfants car à voir comment ce type fonctionne, je veux être certain que mon fils ne subira pas une formation aussi minable!

IL paraît qu'il y a aussi des libéraux dans la communication des SIG. Si c'est vrai c'est bien la démonstration qu'à Genève le monde politique st pourri jusqu'à l'os.

Merci à Stauffer et merci à "genevois frontalier" d'avoir levé le lièvre.
Écrit par : jules | 09/03/2008
Brunier - Compétences
Je me suis posé la même question et je l'ai posée à Brunier...sans réponse...il a peur d'être copié...
Écrit par : Victor DUMITRESCU | 09/03/2008
C'est simple je suis allé sur le site de "il mattino" section Naples, la "Repubblica" section Naples. Dans recherches Ginevra immondizia" je n'ai absolument rien trouvé. Le problème est que certainement sous une apparence de simples déchets, ceux-ci peuvent être aspergés de protuits très très toxiques. Ce serait un moindre mal avec un autre pays d'Europe, car en fait la Suisse exporte également certains déchets, carcasses de voitures, déchets chimiques etc.... mais là, ce serait donner un coup de main à la mafia et là je ne suis pas d'accord ! L'Italie a reçu beaucoup d'argent de l'UE pour construire des incinérateurs en Campanie, qu'a-t-elle fait de l'argent ?
p.s. je ne me suis pas gêné de laisser plusieurs messages peu sympas à leur égard sur divers blogs italiens !
Écrit par : genevois frontalier | 09/03/2008
Si Brunier n'a pas les compétences, comment se fait-il qu'il puisse être à une position aussi importante pour les SIG?

Copinage?

En tout cas si vous allez sur les renseignements concernant Brunier, c'est le désert. Normalement, comme il député, on devrait avoir accès à ses liens d'intérêt et son CV, ou je me trompe?

Ce qui est sûr c'est que ce personnage est un roi de l'autosatisfaction et son blog est une vrai ermitage de narcissime!

ciao si vediamo a l'inferno
Écrit par : Mephisto Félès | 09/03/2008
Ce qui est drôle, c'est qu'en me renseignant d'ici de là, j'apprends qu'en fait, les napolitains ne veulent pas d'incinérateurs car ils en ont peur. Donc ils veulent bien en construire un, mais personne ne le veut à moins de 20 km de chez soi. C'est l'hôpital qui se fout de la charité !!!!! Je leur ai laissé un message en leur disant qu'ici les terrains près de notre incinérateur se vendant à plus de 1000 euros le m2 ! Donc, on peut plaindre les napolitains, jusqu'à une certaine limite !
p.s. ils ont la même attitude face aux centrales nucléaires.... cela vous rappelle quelqu'un ? on veut bien de l'électricité mais pas du nucléaire ! il faut choisir !
Écrit par : genevois frontalier | 09/03/2008
Bonjour Mephisto,

Pour voir mon CV, lisez mieux mon blog. Il y a tout mon pédigrée. A la différence d’autres politiques, je n’ai rien à cacher, n’ayant ni casier judiciaire ni séjour en prison à mon actif.

Je réponds avec grand plaisir à votre question : « Ma nomination à SIG est-elle un acte de copinage ? » Je vous informe que j’ai été engagé sous le règne de M. Louis Ducor, éminence du Parti radical d’alors, qui était un homme assurément juste. Mon premier directeur était un colonel – M. Curti – alors que j’étais dans les mouvements d’objecteurs. Le copinage n’est donc pas au rendez-vous !

Ma nomination de directeur a été le fruit d’une sélection assez rude menée par une entreprise experte, neutre et extérieure. Le choix a été réalisé par Raymond Battistella, directeur général de l’époque, totalement apolitique, puis validé par un Conseil d’administration très pluraliste.

J’ai donc l’âme tranquille et considère que mon parcours professionnel est le fruit d’un travail important et d’une passion énorme que j’ai pour ma fonction.

Christian Brunier, qui ose signer avec son vrai nom
www.christianbrunier.blog.tdg.ch
Écrit par : Christian Brunier | 09/03/2008
Non mais je rêve, l'idiot de Brunier, bloque les messages sur son blog, et il répond sur le blog de Stauffer.

Et cela est directeur de la communication au SIG!!! Je me marre, mais en réalité c'est à pleurer d'être dirigé par des idiots pareil!

Je vous laisse je vais vomir!
ABE
Écrit par : Janine | 09/03/2008
L'équipe du MCG s'ennuie le dimanche vu le nombre de messages débiles sur le site du plus nul des politicien de Genève.!? A moins, quil y ait un mot d'ordre du chef et que toutes les brebis bêlantes du parti y obéissent bêtement, telle une petit armée bien dressée à ne pas réfléchir? En fait, je suspecte 2 ou 3 paumés de la vie, changeant de signatures au gré des messages, toujours anonymes, alimenter le site de leur vénéré chef .
Ca fait froid dans le dos de voir se répéter ce type de comportement: unis aveuglément derrière la pire des crapules!!!!
Écrit par : ManuTchô | 09/03/2008
Brunier est tombé dans les ordures à force d'y travailler!

Monsieur Brunier
A votre différence le député Stauffer, n'attaque personne à titre individuel, mais combat dans l'intérêt de la population sans haine ni violence, juste pour le peuple!

Il est évident que vous êtes à bout d'argument (en avez-vous seulement eu une fois), car en vérité si vous attaquer les gens et ne combatter plus les idées cela résulte de votre défaite.

Jetro
Écrit par : Jetro | 09/03/2008
Je vous félicite Monsieur Brunier!

Incapable de répondre en direct vous venez sur celui de vos adversaires. Très fort!

Mais reconnaissez que ce n'est pas plus honnête que de ne pas signer de son vrai nom, car vous nous montrez votre incapacité maladive à communiquer sainement.

En revanche vous donnez au député Stauffer une belle plateforme de démonstration d'ouverture de son parti politique comme de lui-même.

Alors je dois reconnaître vous êtes un as de la communication à effet inverse!

Est-ce pour cela que SIG a cru bon de faire appel à un consulltant extrérieur pour les comm en cas de crise!

Un dernier mot, ce n'est pas parc que vous n'avez pas de casier judiciaire que vous êtes forcément honnête. Cela veut seulement dire que vous êtes plus roublard que d'autres!

En ce qui concerne les inculpations, je vous rappelle d'une part que la présomption d'innocence est un principe fondamental du droit et que ceux qui s'y attaquent finissent généralement inculpés eux-mêmes! D'autre part, en matière d'objectivité, je ne crois pas que vos amis Paychère et Dumartheray sont des exemples de personnes intègres.

Alors en conclusion cher Monsieur Brunier, ouvrez votre blog et laisser les opinions opposées s'exprimer librement, même sous pseudo car ce qui compte c'est l'idée et non son auteur. Mais ça c'est certainement au-dessus de vos capacités.

PS: le fait que vous veniez en visite sur le blog du député Stauffer est une démonstration supplémentaire de la pertinence de son combat et de la justesse de son action.
Écrit par : Jules | 09/03/2008
Alors là je rêve!....Vraiment sans haine, ni violence! Je vous suggère d'attendre les résultats de l'enquête de police sur les violences subies par un pauvre individu sur les lieux même du Grand Conseil avant de dire des ânneries
Quand aux attaques personnelles orchestrées par Monsieur Stauffer elles s'exposent ci dessus. Ces messages démontrent bien de la haine gratuite et organisée dont il est capable. Ce peit monsieur devrait déjà être condamné maintes fois pour diffamation, s'il ne se cachait pas derrière son imunité parlementaire! Toutes ces personnes pro MCG soutiennent le politicien qui utilise toutes les ficelles en son pouvoir pour tirer la couverture à lui, en se foutant pas mal de la population. Il ne souhaite que s'entretenir avec les gens importants et pour les petites gens, il a le plus ignoble des mépris!
Écrit par : Bubulle | 09/03/2008
@manu tchô,
côté pseudo vous vous parez des plumes qui me semblent trop grandes pour la portées de vos maigres ailes cher Monsieur.

En plus Manu tchao est un artiste qui, précisément, aiment s'en prendre à toutes les formes d'intolérances ce qui n'est manifestement pas votre cas.

Vous êtes encore plus pitoyable que ceux que vous attaquez gratuitement et qui ne vous ont rien demandé.

La preuve que vous devez vous ennuyez tout autant qu'eux, c'est que vous-même faites du tourisme sur le blog de Stauffer.

Comme quoi on critique le monde tel qu'on le perçoit et non tel qu'il est.

Et si c'était Brunier qui se cachait sous cette signature, profitant de l'ouverture d'esprit de Stauffer pour se défouler?

Je n'en serais pas étonné, Brunier me donnant l'impression d'être un sacré foireux en terme de correction. Son double mandat (député/haut fonctionnaire) en violation de la loi en est la preuve!

Mais copain comme cochon avec Cramer, côté double mandat il s'y connaissent tous les deux.
Écrit par : Gerald Bron | 09/03/2008
Des ordures, y en a suffisamment dans ce microcosme à cramer!

La population devrait rapidement l'acculer à la démission des tous ces mandats et zones d'influence car c'est dégueulasse de nous laisser faire gouverner de la sorte!

Cet incapable, ses camarades de collège se foutaient de lui pour son ineptie et sa mouchardise; il fait de la politique pour résoudre de ses complexes psy (anti-femmes, anti-bagnoles parce que son frère est mort d'un accident de la route, etc.)
Écrit par : cléopâtre | 09/03/2008
Vous êtes vraiment un pauvre type!

Si pour vous un personnage totalement instable qui paralyse la ville avatn de menacer de mort un élu est un pauvre diable c'est que votre sens des responsabilités est sur 0!.

J'espère pour vous que ce déséquilibré ne fera jamais irruption dans le Gd Conseil en arme pour tuer des personnes!!!

Vous êtes un inconscient, tout simplement.

Pour le reste un enquête digne de la série "les experts" a été diligentée. Attendez le résultat et on verra bien. Si Stauffer l'a frappé cela ressortira nécessairement si ce n'est pas le cas......... j'espère qu'il déposera plainte pour calmonie contre les gens comme vous!

Vos attaques sont gratuites et au ras des pâquerettes. Mais êtes vous capable de mieux?
Écrit par : @bubulle alias Brunier | 09/03/2008
Et non...t'as tout faux Sherlock Holmes de pacotille! Les policiers genevois seront plus futés que vous, je suis sûre!
BubullE
Écrit par : Bubulle | 09/03/2008
Stop !

Moi, j'ai peut-être plein de défauts, mais je pense avoir du COURAGE !

A la différence de plusieurs personnes, j'ai le courage de signer TOUS mes messages !

D'ailleurs, je censure les anonymes sur mon blog, n'appréciant pas ceci.

Instaurons le principe du respect sur les blogs !

Christian Brunier
Écrit par : Christian Brunier | 09/03/2008
@Christian Brunier:

Je suis d'accord avec vous....... STOP!

Je vous propose de commencer par le respect des Genevois!

Chiche?

Cela dit, votre diatribe générale contre votre collègue Stauffer est telle et sa férocité à ce point choquante qu'il est normal que des personnes moins éduquées que vous s'en prennent aux élus sans aucune retenue.

Vous êtes donc responsable de cette lamentable dégradation.

Un dernier point, je trouve assez incroyable que pour dialoguer avec vous, il faille passer par le blog de M. Stauffer!!!!

je crois que vous devriez ranger vos principes et vos dogmes à la porte du cyber espace. Soyez un homme de communication que diable!
La crainte de l'inconnu traduit généralement une instabilité de la personnalité.

Tous les psy vous le diront, sauf ceux de la FAPSE, bien entendu!
Écrit par : Jean Martin | 09/03/2008
Monsieur Brunnier,
Vous êtes la honte des socialistes. Je milite depuis plus de 30 ans (section ville de Genève).

A tout le moins TAISEZ-VOUS!
AM
Écrit par : Alain Mage | 09/03/2008
Après tous ces commentaires, c'est en votant que les GENEVOIS et les VAUDOIS (pour l'instant) devraient trancher pour savoir si oui ou non ils veulent de ces déchets. Par la même occasion ils pourraient se prononcer pour ou contre les usines d'incinération! Comment faire?
Écrit par : magnin | 09/03/2008
Les commentaires sont fermés.

BNS: formalisme excessif et en anglais !

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Procédure vexatoire et mesquine en anglais ( mails et lettres... ) !

Une partie de la procédure dans le lien ci-dessous...

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/la-bns-sous-controle-des-usa.html

Un formalisme excessif, c'est-à-dire qui n'est pas justifié par la protection d'un intérêt digne de considération ou qui complique inutilement l'application du droit matériel, constitue un déni de justice formel condamné par l'art. 4 Cst. (ATF 105 Ia 53 consid. 3a; 104 Ia 406 consid. 4c; 102 Ia 94 consid. 2; 101 Ia 114 s. consid. 5b et les arrêts cités). 5

L'assimilation de l'excès de formalisme au déni de justice formel n'est autre qu'une application, propre à la procédure, du principe de la proportionnalité. C'est en effet sur la base du principe de la proportionnalité que l'on pourra déterminer si l'application des règles de la procédure, dont un certain formalisme est nécessaire pour assurer le déroulement régulier des procès et la sécurité du droit matériel, aboutit en réalité à entraver l'application de celui-ci ou à la rendre impossible, constituant ainsi un formalisme excessif (cf. P. MÜLLER, Le principe de la proportionnalité, in RDS 1978 II p. 263; ATF 104 Ia 111 s. consid. 5). 6

Saisi d'un recours de droit public, le Tribunal fédéral examine en principe librement s'il y a formalisme excessif condamné par le droit fédéral; il n'examine cependant que sous l'angle restreint de l'arbitraire l'interprétation et l'application du droit cantonal déterminant.

...
Dans ces circonstances, on doit conclure que l'arrêt attaqué est entaché d'un formalisme excessif qui n'est pas justifié par la sauvegarde d'intérêts importants, de sorte qu'il doit être annulé


http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/la-bns-sous-controle-des-usa.html



Etude de droit français et suisse à la lumière de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme

La présente thèse tente une analyse comparée d’un problème récurrent de la procédure civile, soit son prétendu excès de formalisme et les moyens d’y obvier. Elle s’articule autour d’une présentation comparée du droit français et du droit suisse à la lumière de la Convention européenne des droits de l’Homme. Elle part du constat que deux approches sont possibles: l’une reposant sur l’interprétation du droit judiciaire privé (approche privatiste); l’autre visant à insérer directement le droit à un procès équitable au sein de la pratique judiciaire (approche constitutionnaliste).


http://www.helbing.ch/detail/ISBN-9783719035471/Linterdiction-du-formalisme-excessif-en-proc%C3%A9dure-civile?bpmarid=&bpmlang=fr




Invitation blockchain ce vendredi 24 mars

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Le Léman se digitalise !
Vendredi 24 mars 18h-20h, à l'Uni Dufour avec Rob Hopkins

APRES-GE coorganise avec Monnaie Léman la présentation du Léman électronique basé sur technologie blockchain, en présence de Rob Hopkins (fondateur du mouvement "Transition towns" et de la Totnes Pound) !

Vous pouvez réserver votre place gratuitement. Voici encore une vidéo/teaser de présentation.



Genève en Transition
24 mars 12h-14h, dans le cadre du Geneva Global Goals Innovation Day (Tour CFF de Pont Rouge)

Venez en apprendre plus sur les Villes en Transition avec Rob Hopkins (Film DEMAIN) !

APRES-GE co-organise avec les Vendredis de la Transition la Conférence de 12h à 14h qui aura lieu dans le cadre du G3iD.

Une table ronde intitulée "Les ODD du local au global – un outil pour la transition et la solidarité internationale à Genève ?" aura également lieu de 14h30 à 15h30.

APRES-GE sera présente sur l'ensemble de la journée l'espace d'innovation ouverte, aux côtés de certains de ses membres. Plus d'informations.


Lancement du crédit mutualisé inter-entreprises "lemanex".
Nous vous invitons à signer cette déclaration d'intérêt en vue de la création du système de crédit mutualisé "lemanex"
et à nous la renvoyer à communication@monnaie-leman.org

A peine quelques jours après que cette déclaration d'intention ait été diffusée, une quarantaine d'entreprises ont déjà appuyé formellement la création du lemanex.

Il s'agit d'une position de principe ne vous engageant à rien d'autre qu'à collaborer :
à la réflexion sur la faisabilité et la rentabilité du système de crédit mutualité ;
à la mise en place du LEMANEX, comme crédit mutualité ;
à la création d'une structure de gouvernance et d'un modèle d'affaires pérennes pour le LEMANEX.

Plus d'informations.

NB: Les signataires seront prochainement invité.e.s à une réunion.




40 outils gratuits pour gagner en efficacité
Jeudi 6 avril à 7h30 au Café des Volontaires

La Chambre de l’Economie Sociale et Solidaire vous invite à participer à ce séminaire dont l'objectif est de présenter une sélection d'outils gratuits du web permettant aux PME de gagner en efficacité.


Cet événement co-organisé avec Loyco ainsi qu'Itopie informatique se tiendra au Café des Volontaires, rue de la Coulouvrenière 26.

Plus d'informations. (Inscription gratuite mais obligatoire: info@apres-ge.ch)


DECLARATION D’INTENTION VERS LA CRÉATION DU LEMANEX : LE CRÉDIT MUTUALISÉ DU LÉMAN Nous considérons que le renforcement de l’économie locale passe par la création d’un réseau dense, articulé et solidaire de petites et moyennes entreprises et de petits et moyens commerces. Nous considérons que notre bassin de vie économique est transfrontalier, et qu’il se répartit autour du lac Léman. Nous considérons qu’il est nécessaire, pour accroître la prospérité et qualité de vie dans la région, d’orienter la production, la distribution et la consommation vers davantage de responsabilité sociale et environnementale. Nous considérons que les acteurs économiques ont un rôle citoyen à jouer dans le financement de leurs propres activités et celles de leurs partenaires ; et qu’ils doivent s’organiser ensemble pour ré- pondre aux défis de la globalisation. Nous estimons que la monnaie complémentaire, Le Léman, est un instrument utile pour répondre aux quatre considérations précédentes. Jusqu’à présent, le Léman est surtout utilisé comme un outil pour rapprocher les consommateurs des commerçants locaux. Le passage au Léman électronique, sur la base d’une technologie sûre, décentralisée et transparente (la blockchain) permet aujourd’hui de construire ensemble LE CRÉDIT MUTUALISÉ DU LÉMAN : LE LEMANEX. Le LEMANEX nous permettra de : • renforcer mutuellement nos relations commerciales avec nos fournisseurs et nos clients ; • de répondre concrètement aux problèmes de trésorerie (manque de liquidités), en offrant une solution permanente de crédit de fonctionnement à taux zéro ; • de mutualiser le risque, car le crédit ne repose plus sur des dettes bilatérales, mais est garanti par l’ensemble de la communauté de paiement. C’est pourquoi, en ce premier jour du printemps nous prenons UNE POSITION DE PRINCIPE À COLLABORER : • à la réflexion sur la faisabilité et la rentabilité du système de crédit mutualisé ; • à la mise en place du LEMANEX, comme crédit mutualisé ; • à la création d’une structure de gouvernance et d’un modèle d’affaires pérennes pour le LEMANEX. Entreprise Nom Fonction Signature Fait à Genève, le 21 mars 2017

Solutions subsidiaires suisses

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Bonjour,
Membre de l'ADER et de la C-PIC, j'ai suivi avec beaucoup d'intérêts l'exposé de François de Siebenthal sur un système financier plus sain que la gabegie des systèmes bancaires actuels. 


Les banques font partie du tertiaire et devraient permettre aux producteurs de biens du primaire et au professionnalisme du secteur secondaire de la transformation d'accomplir leur travail dans les meilleures conditions. Malheureusement, le tertiaire, soit la distribution et surtout les banques ne remplissent plus leurs devoirs. Par leurs systèmes monétaires, par leurs prêts à taux prohibitifs ont réussi à tenir le couteau par le manche et imposer leur loi au primaire surtout, ce primaire pourtant seul producteur de biens de consommation et capable de nourrir le monde. Quant il n'y aura plus d'aliments, on ne pourra pas manger les billets de banque ! Les prix des matières premières ne répondent plus aux lois de marché logiques, mais subissent la pression du tertiaire qui fait ainsi la pluie et le beau temps. Les prix des matières premières subissent les pires des spéculations, les producteurs sont ruinés, ils s'appauvrissent de plus en plus et les possesseurs de la finance s'enrichissent de plus en plus. Il en résulte des vagues de réfugiés provenant d'une part de guerres dites de religions, mais de plus en plus de réfugiés économiques provenant des pays spoliés par ce système bancaire d'autre part. Il faudra prévoir une troisième vague de réfugiés climatiques, peut-être encore plus grave.
L'ADER (www.ader.ch) ne s'occupe pas spécialement de ces problèmes économiques, mais milite pour le développement des énergies renouvelables et les économies d'énergie.
Parmi les nombreux projets touchant les différents développements tant en énergie dans l'hydraulique, le biogaz, les biocarburants, l'éolien etc. Dans le domaine des  économies d'énergie des procédés industriels, je suis actuellement sur un développement, pratiquement terminé, et au point d'être appliqué, soit la mouture simplifiée des céréales dont un résumé est joint à ce courriel (voir aussi sous www.moulin-f10.ch une vidéo de ce système de mouture simplifié). De plus, nous développons une variante simplifiée pour les pays en voie de développement, soit une installation pouvant être installée au niveau d'une commune, d'une région pour traiter les productions locales.
Je joins aussi un document sur l'agriculture et ses problèmes, problème qui concernent aussi bien les pays développés comme en Europe que les pays exploités du Tiers-Monde.
Avec mes salutations et a disposition pour tout complément d'informations.
Ernest Badertscher
Ader
Champ-Bornu 7
1350 Orbe
ebacher7@gmail.com

Brevets suisses gratuits oubliés, leurs mises en valeur, notamment ceux de Nestlé.


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