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La banque nationale suisse pollue trop

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Communiqué de presse de l’Alliance climatique Suisse et des Artisans de la Transition:

Plus de 130 personnalités exigent que la Banque nationale élimine l’énergie fossile de ses placements financiers

Berne, 19 avril 2017. La politique d’investissement de la Banque nationale suisse (BNS) viole l’accord de Paris sur le climat. À l’occasion de son Assemblée générale, qui aura lieu le 28 avril, 135 personnalités interpellent la BNS. Dans une lettre ouverte pour la protection du climat, elles demandent à l’institution financière de présenter une stratégie de sortie des énergies fossiles. Les investissements de la BNS dans le charbon, le pétrole et le gaz génèrent des émissions annuelles de CO2 comparables aux émissions totales de la Suisse.

Remise de la lettre ouverte à la BNS par l’Alliance climatique suisse
Date et heure : jeudi 20 avril 2017, 11h
Lieu : Banque nationale suisse, Börsenstrasse 15, Zurich

Invitation à la prochaine action de rue de l’Alliance climatique à l’Assemblée générale de la BNS
Date et heure : vendredi 28 avril 2017, 10h
Lieu : Bärenplatz/Bundesplatz et Casino, Berne

Invitation à la prochaine action interne à l’Assemblée générale de la BNS
Date et heure : vendredi 28 avril 2017, 10h
Lieu : Casino, Berne
http://aaapositifs.ch/

Plus de 135 personnalités issues de la recherche en sciences naturelles et de l’environnement, économie et finance, droit et éthique en durabilité, de milieux religieux, d’associations caritatives, d’organisations environnementales et de la politique demandent à la BNS de renoncer à ses investissements dans des entreprises qui exploitent le charbon, le pétrole et le gaz naturel. Elles sont soutenues par plus de 2700 participants d’une pétition en ligne.

Cette mesure est d’autant plus urgente que la Suisse subit un réchauffement climatique près de deux fois plus important que la moyenne mondiale, avec des impacts graves pour son économie et pour la sécurité et le bien-être de sa population.

Une récente étude des Artisans de la transition révèle que la BNS place 10,8 % de ses actions en dollars dans l’industrie fossile. Les émissions de CO2 de ces placements correspondent aux émissions annuelles de l’ensemble de la Suisse. Les signataires de la lettre demandent à la BNS de publier les émissions de CO2 de l’ensemble de ses investissements à l’échelle mondiale et de décider d’une stratégie de sortie des énergies fossiles. La BNS devrait exclure à l’avenir d’investir dans les entre­prises qui détiennent les plus grandes réserves de charbon, de pétrole et de gaz naturel ainsi que celles actives dans l’extraction de gaz de schiste et/ou qui sont très impliquées dans le charbon.

La politique d’investissement nuisible au climat de la BNS a déjà incité le groupe d’actionnaires «Assemblée des actionnaires Actifs Positifs» à réagir. Lors de l’Assemblée générale de la BNS du 28 avril, ils exigeront d’exclure les producteurs de combustibles fossiles du portefeuille de place­ments de la banque.
La BNS continue d’investir dans l’exploration, le développement et la production de nouveaux gise­ments de combustibles fossiles. Sa politique d’investissement actuelle est contraire à l’objectif du Conseil fédéral de réorienter les flux financiers afin de contenir le réchauffement climatique sous le seuil de 2° C. Ainsi, la BNS viole l’accord de Paris.

Questions supplémentaires
Susana Jourdan, codirectrice Artisans de la transition : 026 321 37 11


Quelques signataires



Prof. Dr. Christophe Ballif, Directeur du Laboratoire de Photovoltaique, EPFL Lausanne

Prof. Dr. Dominique Bourg, Géographie et durabilité, Université Lausanne

Dr. Isabelle Chevalley, Conseillère nationale vert’libérale VD, Membre Commission de la science, de l'éducation et de la culture SCEC-N, Présidente Suisse-Éole

Robert Cramer, Conseiller aux états Les Verts GE, membre de la commission de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de l'énergie (CEATE -E), ancien conseiller d'état en charge de l'environnement à Genève

Benoît Frund, Direction Durabilité et campus, Vice-recteur de l'Université de Lausanne

Prof. em. Dr. Heinz Gutscher, Chair ProClim, SCNAT (Académie suisse des sciences naturelles), Université Zurich

Prof. Dr. Janet Hering, Directrice de l’Institut de Recherche de l’Eau du Domaine des EPF (EAWAG)

Prof. Dr. Fortunat Joos, Physique du climat et de l’environnement, Président du Oeschger Centre for Climate Change Research, Université de Berne

Prof. Dr. Nouria Hernandez, Centre intégratif de génomique, Faculté de biologie et médecine (FBM), Université de Lausanne

Prof. h.c. André Hurst, Ancien recteur, Université Genève, Unité de grec ancien

Rudolf Meyer, Président honoraire Actares, Actionnariat responsable

Monseigneur Charles Morerod, Evêque de Lausanne, Genève, Fribourg. Président de la Conférence des Evèques Suisses, Ambassadeur de l'encyclique Laudato Si' du Saint-Père François sur la sauvegarde de la maison commune

Prof. em. h.c. Jacques Neirynck, Sciences et techniques de l'ingénieur, EPFL Lausanne, Ancien conseiller national et député au Grand conseil vaudois, PDC

Dr. Philippe Roch, Ancien directeur de l’Office fédéral de l’environnement, des forêts et du paysage (OFEV)

Eric Sottas, Vice-président Conseil de fondation Fastenopfer/Action de Carême; ancien directeur et fondateur de l’OMCT (Organisation Mondiale Contre la Torture)

Prof. Dr. Philippe Thalmann, Economie de l’environnement, EPFL Lausanne

Adèle Thorens, Conseillère nationale Les Verts VD, membre de la Commission Environnement, énergie et aménagement du territoire (CEATE-N)

Prof. em. Dr. Heinz Wanner, Oeschger Centre for Climate Change Research, Université de Berne

Prof. h.c. Dr. Walter Wildi, Géologie, Université de Genève, Expert pour la gestion et le stockage définitif des déchets


Informations complémentaires



Contexte
Investissements de la BNS dans l’industrie fossile aux Etats-Unis: une catastrophe financière et climatique
Pour les Artisans de la transition, South Pole Group a passé en revue les 2535 titres que la BNS possède aux Etats-Unis, évalué les émissions de CO2 dont ils sont responsables et l’évolution de leur valeur du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2015, date du dernier exercice pour lequel les émissions de CO2 des entreprises sont connues. Les résultats sont éloquents : avec moins de 10 % de sa fortune placés à la Bourse des Etats-Unis, soit 61,5 milliards de dollars/francs, la BNS émet autant de CO2 que la Suisse entière et contribue à placer le monde sur une trajectoire de +4°C à +6°C de hausse de la température. Ses placements ont généré 4 milliards de dollars/francs de pertes en trois ans.

L’Alliance climatique suisse
L’Alliance climatique suisse rassemble 73 organisations de protection de l’environnement, de solidarité internationale, de la politique et des Églises, dont Alliance Sud, WWF, Greenpeace, Pro Natura, Actares, Grands-parents pour le climat, Aînées pour le climat et Artisans de la transition. Ils s’engagent ensemble pour une politique climatique juste.



cid:image003.jpg@01CEFCDA.88C00A00
Arbeitsgemeinschaft
Swissaid · Fastenopfer · Brot für alle · Helvetas · Caritas · Heks
Monbijoustr. 31, Postfach, 3001 Bern
Tel. 031 390 93 30, Fax 031 390 93 31

www.alliancesud.ch
www.facebook.com/alliancesud 
Twitter@AllianceSud


-- 
Christian Lüthi
Geschäftsleiter / Directeur

Klimaallianz Schweiz / Alliance climatique Suisse
c/o Alliance Sud
Monbijoustrasse 31
3001 Bern 
christian.luethi@klima-allianz.ch

Propositions du collectif AAA+ pour l’AG de la BNS 2017

Comme en 2016, le collectif AAA+ a déposé dans les délais une série de propositions d’actionnaires, signées par au moins 20 actionnaires en vue de les mettre au vote lors de l’AG 2017.
Voici la liste résumée avec les liens vers les versions complètes :
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 46 alinéa 2 lettre c de la loi sur la Banque nationale portant sur les tâches de la Direction Générale pour une gestion en interne des actifs. (3A2017-01)
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 46 alinéa 2 de la loi sur la Banque nationale portant sur les tâches de la Direction Générale pour une gestion éthique des actifs.
(3A2017-02)
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 31 alinéa 1 de la loi sur la Banque nationale portant sur la répartition du bénéfice.
(3A2017-03)
Proposition d’actionnaires en vue d’ajouter 3 candidats à l’élection de membres du Conseil de Banque.
(3A2017-04)
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 47 alinéa 2 de la loi sur la Banque nationale portant sur l’indépendance de l’organe de révision. (3A2017-05)


Eucharistie pour la France

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- Semeurs d'Espérance -


Grande veillée Eucharistique pour la France avec le père Nicolas Buttet


Vendredi 21 avril / 20h15


Basilique ND des Victoires (Paris 2e).



La Paix mondiale et la Suisse !



François de Siebenthal: 600 ans de saint Nicolas de Flüe, patron de la ...


desiebenthal.blogspot.ch/2016/07/600-ans-de-saint-nicolas-de-flue-patron.html?m=1







19 juil. 2016 - 600ème anniversaire de Nicolas-de-Flüe & la paix mondiale. 16.3087 INTERPELLATION. Pas de 600ème anniversaire de la naissance de ...





François de Siebenthal: Pour la paix mondiale


desiebenthal.blogspot.com/2012/05/pour-la-paix-mondiale.html







17 mai 2012 - 29 nov. 2010 – Paix mondiale. Rencontre "St-Nicolas et Dorothée de Flüe" ... Posted by François de Siebenthal at 08:37:00 .


Accueil - Famille de Siebenthal


www.de-siebenthal.com/SITE02.HTM







family siebenthal services and demography. ... La vie de Jean de Siebenthal ... aux jeunes paroissiens par le champion mondial dejiu-jitsu Armand Cherpillod. ..... de tous les fidèles trépassés reposent en paix, par la miséricorde de Dieu.


St Nicolas et la paix mondiale St Nicolas est le saint patron de la paix ...





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François de Siebenthal

2 janv. 2017 - St Nicolas est le saint patron de la paix mondiale et de la Suisse. Nicolas de Flue et la Trinité (25.3.01) D'après le livre Saint Nicolas de Flue de Charles Journet ...



edi00-01 - Famille de Siebenthal


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ainsi décerné le Prix Nobel de la Paix à l'organisation «Médecins. sans frontières» ..... De plus: "La plaie mondiale de la drogue a pu se développer. librement ...


Famille de Siebenthal


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L'ART RUPESTRE DE TANUM - UN PATRIMOINE MONDIAL L'art rupestre du .... faire la Paix en 1449, déposa la tiare à Lausanne et, conservant le titre de ...




Claude de SIEBENTHAL - Centre pour l'action non-violente


www.non-violence.ch/catalogue/index.php?lvl=author_see&id=4791







1er janvier 2017 – Journée mondiale de la paix – «La non-violence : style d'une politique ... Le Centre Martin Luther King à Lausanne / Claude de SIEBENTHAL ...


St Nicolas et la paix mondiale





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François de Siebenthal

2 janv. 2017 - St Nicolas et la paix mondiale





Invitation pour la paix mondiale le 6.12 à la Cathédrale de Lausanne ...





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François de Siebenthal

10 nov. 2014 - Pour la paix mondiale. Samedi 6 décembre 2014 à 18h, la cathédrale de Lausanne sera mise à disposition des catholiques du canton de Vaud pour que ceux-ci ...






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Libérez la France ! Vive Asselineau

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Il déchire symboliquement le Gopé européen



Il cite l'exemple suisse !
Magnifique et ça restera dans les annales, c'est d'une évidence :) 
REPLAY : https://www.youtube.com/watch?v=ovMwj73Wd6U


Recherches associées à asselineau siebenthal

Scandales à la banque nationale suisse

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Un missile de croisière Tomahawk Block IV pendant un test de vol pour l'U.S. Navy NAWS China Lake, Californie (10 novembre 2002)





BNS, luttons contre ses abus !

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«L’Agefi», "journal d’opinion par excellence, résolument indépendant et libéral depuis sa création" donne beaucoup di'importance à notre action pour une BNS sans investissements fossiles.

Même la presse internationale en parle: Financial Times und Bloomberg!

Chers amis et sympathisants de l'Alliance climatique 

Hier matin nous avons remis notre lettre ouverte à la Banque nationale suisse à son siège de Zurich. Au total, 135 personnalités et plus de 2700 citoyens ont signé cette lettre. Et les signatures continuent d’arriver. Nous demandons à la BNS de présenter un plan pour sortir de l’industrie fossile car les émissions dues à son portefeuille d’actions en dollars sont équivalentes aux émissions totales de la Suisse.
Susana Jourdan, Artisans de la Transition, co-auteur de l'étude; Balthasar Glättli, conseiller national Les Verts et co-auteur de l'interpellation pour une BNS "sans fossiles" de Adèle Thorens, Gérard Scheller, Collectif AAA+, Christian Lüthi, Alliance climatique, Irmi Seidl, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage, auteur du livre "Postwachstumsgesellschaft", Rosmarie Wydler-Wälti, co-présidente des Aînées pour la protection du climat, Katya Nikitenko, directrice de la campagne de Greenpeace sur Credit Suisse et la North Dakota Pipeline, Daniel Hitzig, Alliance Sud.
«L’Agefi», "journal d’opinion par excellence, résolument indépendant et libéral depuis sa création" donne beaucoup di'importance à notre action pour une BNS sans investissements fossiles.

Même la presse internationale en parle: Financial Times und Bloomberg!
Notre rencontre de ce matin l’a montré: la BNS ne veut rien savoir de nos revendications pour la protection du climat. Pourtant, dans ses directives de placement, la banque dit exclure les entreprises qui “causent de manière systématique de graves dommages à l’environnement” . Le fait que l’extraction et l’exploitation de nouvelles sources de charbon, de gaz et de pétrole soient la cause de graves dommages à l’environnement est, aux yeux de la banque “une interprétation que nous ne partageons pas”. Une déclaration que nous ne pouvons pas laisser passer. Nous ne lâcherons pas!
Article de "L'Agefi"
Et nous ne sommes pas seuls. La politique climatique catastrophique de la BNS motive l’intervention du groupe d’actionnaires «Assemblée des Actionnaires Actifs Positifs» zu. A l’occasion de l’Assemblée générale de la BNS le 28 avril prochain, ce groupe d’actionnaires demandera que les placements dans l’industrie fossiles soient bannis du portefeuille de la banque.
Vendredi 28 avril à 10 heures nous organisons une action de rue à la place fédérale de Berne à l'occasion de l'Assemblée générale de la BNS qui a lieu dans le casino tout proche. Au pied de la BNS et du Palais fédéral, nous demanderons que la Banque nationale cesse de placer notre argent dans l’industrie fossile. Serez-vous des nôtres? Nous serions ravis de compter sur vous.
Je participe.
Merci pour votre soutien!
P.S. Nous avons joint les 4000 signatures collectées sur mon-argent-zero-fossile.ch à partir de 2015 à la remise de ce matin. Cette campagne à préparé la voie à la lettre ouverte pour la protection du climat.













Alliance climatique suisse/Klima-Allianz Schweiz
c/o Alliance Sud
Monbijoustrasse 31
3011 Bern
christian.luethi@klima-allianz.ch

Climate, AAA+, Vollgeld & Swiss National Bank

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  • First it was an octogenarian graffiti artist. Now it’s a group of environmentalists.
  • Central bank’s shareholders set to meet on April 28 in Bern
  • Activists want more ethical guidelines for SNB investments

First it was an octogenarian graffiti artist. Now it’s a group of environmentalists.

An 86-year-old woman has been arrested in Bern for spray painting an anti-war message on a billboard surrounding the Swiss National Bank, reported news agencies.

Louise Schneider poses for media after spraying the words 'Money for Weapons Kills' on a wall of the Swiss National Bank in Bern, Switzerland, on April 11.
 

Graffiti Just the Beginning for the SNB as Activists Pounce

 






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First it was an octogenarian graffiti artist. Now it’s a group of environmentalists.
Switzerland’s central bank has come through plenty of battles about currency ceilings, negative interest rates and market interventions in recent years. But its latest challenges are more novel, with a motley group of political activists pushing proposals on everything from ethical investing to removing one of the cornerstones of the financial system.




Octogenarian activist poses with spray can outside SNB.
Photographer: Anthony Anex/Keystone via AP Photos

On Thursday, the Swiss National Bank was presented with a letter in Zurich urging it to stop holding shares of fossil-fuel producers, days after an 86-year-old woman scrawled a slogan at its office in Bern to protest its investments in weapons firms. On top of that, its annual meeting next week will feature a least one speaker backing the Vollgeld initiative, which seeks to end the way banking has been conducted for centuries.
It’s not the first time that the SNB has come into the crosshairs of political campaigners. It saw off an unsuccessful bid in 2014 to force it to hold a fixed portion of its assets in gold and repeatedly has faced criticism for the ballooning of its balance sheet due to interventions.
While other central banks have also been targets -- anti-austerity protests marred the opening of the European Central Bank’s new headquarters and a confetti-throwing activist disrupted a press conference in 2015 -- Switzerland’s system of direct democracy means the SNB is in something of a unique position.
“If you look at the foreign-exchange interventions and its swollen balance sheet, the SNB is permanently more in the public eye,” said Alexander Koch, an economist at Raiffeisen Schweiz in Zurich and a shareholder in the central bank. “There seem to be more people thinking about how they could step in.”





The fossil fuel letter was handed over by a group of half a dozen activists lead by Balthasar Glaettli, a lawmaker for the Greens. His party has submitted a parliamentary motion to get the SNB to divest non-renewable energy shares, he said, adding that this aims at making the central bank “serious about its divestments.”
The environmentalists have more in store: Christian Luethi of Klima-Allianz Schweiz, one of the organizations behind the letter, says his group has a permit for a peaceful demonstration in Bern on April 28, the day of the SNB’s shareholder meeting. Additionally, another group backing the letter has submitted a proposal for the AGM to ultimately ban SNB holdings in companies that harm the environment, violate human rights and produce internationally condemned weapons. The motion won’t be taken up at the meeting, according to the agenda.
“I can’t think of anything on a similar scale on the euro zone or in the U.K.,” said Jessica Hinds, an economist at Capital Economics in London.
While Switzerland’s use of plebiscites to amend its constitution, along with the SNB’s annual payout to the cantons, may make the central bank more sensitive, Hinds said it’s probably “very marginal.”
Twenty percent of the central bank’s foreign-exchange reserves are in equities, using a strategy mirroring broad-based indexes, though it excludes some companies on ethical grounds and banks to avoid possible conflicts of interest.
The campaign for a national ballot on the defense investments -- kicked off with the graffiti protest last week -- is only starting to collect the requisite 100,000 signatures, and a vote isn’t likely for a few years.




Source: SNB regulatory filing to the U.S. Securities and Exchange Commission

Before that -- potentially in 2018 -- there will be a plebiscite on the Vollgeld measure, which would effectively end fractional reserve banking by forbidding commercial banks from granting loans that aren’t fully backed by deposits.
Proponents already spoke at the 2016 AGM, helping to stretch it out past noon and delaying the free lunch and ice cream popular among attendees. The majority of the SNB’s shares are held by cantons and cantonal banks and there are also some 2,000 private investors, who receive a dividend but whose voting rights are extremely limited. 
According to spokesman Raffael Wuethrich, Vollgeld representatives intend to make a showing again at next week’s meeting.
Before it's here, it's on the Bloomberg Terminal.
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Philippines : Une banque fait le pari de la gratuité

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Philippines : Une banque fait le pari de la gratuité

Marinella Bandini | 17 avril 2017

Découvrez l'histoire d'un couple, Teresa et Francis Ganzon, qui a décidé de suivre l'un des préceptes de l'Évangile, "Donnez, et l'on vous donnera",
pour créer une banque, Bangko Kabayan.

Le développement économique des zones rurales est leur mission,

la gratuité et le partage, leurs moyens. Non, il ne s’agit pas d’une ONG, mais d’une banque, la plus grande banque rurale des Phillipines : Bangko Kabayan, dont la base se trouve dans la région rurale au sud de Manille. Ici, l’argent est un moyen, non un but, et le principe fondateur est tiré de l’Évangile :

« Donnez, et l’on vous donnera » (Lc 6, 38).

C’est l’histoire de Teresa et de son mari Francis Ganzon, depuis 1978 à la tête de cette banque. Deux personnes ancrées dans la foi chrétienne, qui cherchent à élaborer leur activité sur les principes évangéliques. Mais c’est seulement lors de leur rencontre avec Chiara Lubich, fondatrice du Mouvement des Focolari, que s’allume l’étincelle qui fait décoller leur vie et leur entreprise. C’est en 1991, que Chiara, touchée par les grandes inégalités sociales lors d’un voyage au Brésil, lance l’idée d’une économie au service du bien commun. Naît alors le principe de l’Économie de communion (EDC) qui ne repose plus sur la logique du gain et de l’avoir, mais sur celle de la gratuité et du don.

Teresa et Francis sont parmi les premiers à répondre à l’appel de Chiara Lubich. « L’idée nous fascinait de pouvoir vivre la foi, pas seulement dans notre vie privée, mais également en faisant des affaires. » Ils se lancent alors dans l’aventure et très rapidement transforment la banque en une entreprise EDC.

Ce n’est pas une marque, mais un style de vie. Il ne s’agit pas non plus d’un modèle économique, mais d’un risque personnel propre à chaque entrepreneur.

Cette banque d’un nouveau genre respecte des principes tels que la transparence, l’équité, mais surtout le dialogue, la construction de relations profondes et un modèle centré sur la personne.

Le partage des gains se veut solidaire :

un tiers reste dans la société,

un tiers est investi pour la formation,

et enfin un autre tiers est donné à ceux qui sont en difficulté.
« Une culture du don »

Teresa et Francis repensent leur manière de travailler et d’investir, en destinant des ressources pour créer du travail, combattre la pauvreté et bâtir ainsi « une culture du don ». De 1991 à 1996, la banque ouvre huit filiales ; en 1997, le capital est multiplié par vingt et l’entreprise compte 120 employés.

Vers le milieu de l’année 1997, la crise économique asiatique débute et touche aux Philippines beaucoup d’activités financières : les clients se retirent, reprennent leur argent et les organismes financiers commencent à fermer. Teresa et Francis craignent alors le pire, mais c’est à ce moment qu’ils découvrent la force des relations de confiance qu’ils ont construites jusque-là. Certains clients, plus fortunés, mettent à disposition de ceux qui le sont moins leur épargne, et apportent leur appui pour les dépôts plus conséquents. Ainsi un certain nombre de clients, après une première phase de panique, rapportent leurs investissements à la Bangko Kabayan : « Cette crise nous a permis de comprendre plus que jamais ce en quoi nous avions toujours cru, c’est-à-dire que les personnes et les relations (et non l’argent et le profit) pouvaient assurer le succès et la survie d’une entreprise ».

Cette crise représente également une occasion pour Teresa et Francis de découvrir de nouvelles affaires et de défier le système de corruption endémique du pays. Afin de se soustraire à la loi des pots de vin, ceux-ci abandonnent certains projets et approfondissent le thème du micro-crédit. C’est ainsi que naît ce qui aujourd’hui représente la fierté de la banque : une ligne de micro-crédit pour les entreprises.
« Le monde ne deviendra pas meilleur sans économie, mais avec une économie différente »

Le défi est énorme : Bangko Kabayan arrive sur un territoire inexploré,

en dehors du circuit des banques, dans un monde où cette même culture bancaire est quasi-inexistante. Étant fondée sur des relations de confiance, l’entreprise demande en plus un travail de relations personnelles très exigeant, qui requiert beaucoup de temps ainsi qu’un nombre important d’employés.

Aujourd’hui encore, tout cela représente un défi important dans un monde qui produit toujours plus de produits standards et de processus automatisés pour réduire les coûts. La route est encore longue pour Teresa et Francis, mais ils ne sont pas seuls. 25 ans plus tard, plus de 800 entrepreneurs dans le monde entier sont sur le chemin de l’EDC et constituent maintenant un vrai réseau. « Non, à une économie qui exclut, qui tue, qui pollue. Oui, à une économie de communion : le monde ne deviendra pas meilleur sans économie, mais avec une économie différente » synthétise Luigino Bruni, coordinateur mondial de l’EDC. 


Aujourd’hui, cette banque dénombre 23 agences et emploie 350 employés, parmi lesquels un tiers travaille sur le micro-crédit pour aider 11 000 familles, soit 85 % de leurs clients.


Le Système Monétaire Equilibré est un système de comptabilité des transferts économique entre des membres d'une communauté.

Système Monétaire Equilibré

Il s’agit d’un système de comptabilité mutuelle de la même famille que le système des sumériens sur tablette d'argile, dans le même genre que l’ardoise de bistrot ou la comptabilité mutuelle qui se pratique dans certains SEL. (Système d'Echange Locaux)
Cependant nous allons pousser le concept un peu plus loin.
Dans une comptabilité mutuelle, rien n’empêche de consommer à l’infini et de ne jamais contribuer à la collectivité. A quel moment un restaurateur va mettre une limite à une ardoise ouverte ?
Dans le SME, c’est la limite en importation qui définit la limite de consommation à crédit maximale qui est acceptée.
Ainsi une personne qui abuse du système est vite coincée. Mais que faire si ce n’est pas une personne qui abuse du système ? Si c’est une personne qui a des raisons communément acceptées de ne pas contribuer plus qu’elle ne reçoit ? (enfants, vieux, handicapés, malades, les aléas de la vie…)
C’est là que l’on introduit une avance de crédit récurrente qui permet d’aller temporairement au-delà de la limite. C’est le principe d’un revenu de base mensuel qui permet de vivre.
C’est là la raison d’être du principe de la contraction périodique de la courbe du solde: créer le revenu de base. Mais pas seulement. C’est aussi ce qui fait fondre l’ancienne monnaie, ce qui favorise l’échange économique au détriment de la thésaurisation (voir la monnaie fondante de Silvio Gesell). Puis, c’est aussi ce qui réalise une égalité temporelle face à la monnaie.
Une génération n’est pas favorisée par rapport à une autre (contrairement à la monnaie dette qui permet d’obtenir tout de suite de la monnaie en faisant payer le double à la génération suivante!). Ce retour à l’équilibre forcé, c’est la version lente mais certaine, du jubilé pratiqué dans l’antiquité tous les 7x 7ans. L’annulation de toutes les dettes.

Un réseau de monnaie locales individuelles interconnctées par un protocole commun (c'est un peu l'internet de monnaie!)

Dans la pratique, le bon fonctionnement d’un tel système se fait grâce à la vérification mutuelle de la comptabilité de l’autre lors d’une transaction, et à sa validation par une signature. C’est le principe d’un contrat où chaque partie signe le document de l’autre.
Ainsi il est possible de construire une toile de confiance et de réaliser un système totalement décentralisé et fiable.
Le SME permet même d’aller encore beaucoup plus loin. En tant que système par nature sans aucun centre, totalement décentralisé, on peut le voir comme un système dans lequel chaque personne émet et utilise sa propre monnaie !
Ça complique les transactions. Mais tant que les paramètres de base du référentiel utilisé sont connus, il est possible lors d’une transaction de la transposer dans un autre référentiel. C’est ainsi que l’on réalise le change entre des monnaies de zones économiques différentes.
Ainsi chaque personne ajuste les paramètres de son systèmes monétaire à sa guise et peut/doit faire un ajustement d'échelle pour comparer sa monnaie à celle d'une autre personne.
Avec la connaissance d'un tel système nul n'a besoin de se faire escroquer en "achetant" des unités de mesures ou en subissant une dillution de son outil de mesure par une création monétaire qui n'est pas la sienne.

Paramétrage du système monétaire équilibré

La référence du système qui sert d'échelle est toujours le niveau du revenu de base local.
L'autre variable importante pour calibrer le système est le Taux de Retour à l'Equilibre. Ce taux est choisi pour qu'une dette soit annulée (amortie plutôt) au bout de 49 ans (= 7x 7ans comme le jubilé biblique). Ainsi avec un Taux de Retour à l'Equilibre de 1% mensuel, facile à calculer, on obtient qu'une dette est oubliée à 99% au bout de 42 ans.
La limite d'importation, qui est la limite de consommation à crédit, est déterminée par le niveau du Revenu de Base et le Taux de Retour à l'Equilibre.
La limite d'importation =  ((1/ Taux de Retour à l'Equilibre)  * le revenu de base)+ le revenu de base
Les math qui se cachent la derrière ne sont rien d'autre qu'un amortissement du type de celui que l'on trouve en physique avec la décharge d'un condensateur. Une équation du type: y = 1/x (1-e^-x)

Conférences sur le Système Monétaire Equilibré par Bernard Dugas

Références à propos du Système Monétaire Equilibré

Simulation du Système Monétaire Equilibré

Afin de mieux comprendre ce qu'est le Système Monétaire Equilibré, voici 2 résultats de simulation de transferts économiques réalisés avec un tel système.
Voici:

Un jeu pour comprendre le Système Monétaire Equilibré

Le jeu de la monnaie, est un jeu d'éveil de conscience à ce qu'est la monnaie et les systèmes de transfert de biens et de services entre des personnes.
Il se compose de 4 jeux de 12 minutes:
  • le don
  • le troc
  • la monnaie dette (système majoritaire actuel)
  • le SME
Le 4ème jeu est une partie utilisant le Système Monétaire Equilibré. Il est très intéressant de voir l'ambiance en comparaison avec les autres jeu. (à voir direct en vidéo ici....)

Bientôt un logiciel pour mesurer ses transferts économiques avec le SME

Bon... et quand, comment et où peut-on utiliser ce système de comptabilité des transferts économiques ? ...
On peut déjà y jouer, là on voit que sur papier c'est simple. Mais il faut que chaque personne comprennent et intègre le protocole, notamment pour les changement de référentiels, c'est pas si simple.
Du coup, un logiciel est le bienvenu pour faciliter l'utilisation.
Un prototype est en cours de développement, il se nomme Equilibra.
Et pour terminer sur une note humouristique, Gérard Foucher nous explique les 3 fonctions de la monnaie... (ce ne sont pas celles qui sont dans les bouquins d'économie) ainsi que sa vion du futur d'un système de transfert de biens et de services qui est "étrangement" très proche du SME...
Martouf: 2 mars 2017 : 09:00
tags: monnaie, SME,

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Fraudes en France: 12 millions d'exclus

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Votes électroniques, impossible de savoir où ils ont lieu, sic... impossible de contrôler les tricheries...
Mais...
... Emmanuel Macron, dit vouloirinstituer« un vote électronique qui élargira la participation, réduira les coûts des élections et modernisera l’image de la politique. » ... resic...

Alors que le premier tour de la présidentielle se tient ce dimanche, quelque 12 millions de Français sont mal-inscrits ou non-inscrits sur les listes. En première ligne, les jeunes.... sic ...


A J-1, le compte à rebours est lancé. Dimanche, se tient le premier tour de la présidentielle pour lequel des millions de Français se déplaceront en vue de choisir leur candidat parmi les onze en lice. Mais cette année encore, beaucoup de citoyens ont découvert à leur dépens la complexité du système électoral français. En France, la présence sur les listes électorales n'est en effet pas systématique, passée l'inscription d'office à 18 ans. Au contraire, elle doit faire l'objet d'une démarche de la part du citoyen dès qu'il déménage. 
"La France est l'un des rares pays européens où l'inscription sur les listes n'est pas automatique à la déclaration d'une nouvelle adresse de résidence", déplore auprès de L'Express Jean-Yves Dormagen, coauteur avec Céline Braconnier de l'ouvrage La Démocratie de l'abstention. Après chaque déménagement, il faut donc veiller à se réinscrire. Or, comme l'indique Le Monde, trois millions de Français déménagent chaque année, pour seulement un électeur sur cinq se réinscrivant dans sa nouvelle commune. Les autres deviennent des mal-inscrits, "ces électeurs n'étant pas inscrits dans un bureau de vote de leur commune ou de leur quartier", définit Jean-Yves Dormagen, qui étudie le phénomène depuis quinze ans. 

"Une anomalie démocratique considérable"

Pour voter, ils doivent donc se déplacer -parfois à des dizaines de kilomètres- ou faire une procuration. La mal-inscription, c'est trois fois plus de risque d'être abstentionniste. Car la probabilité d'être radié par son ex-mairie est aussi plus forte. De mal-inscrit à non-inscrit il n'y a qu'un pas, surtout lorsqu'il faut démarcher plusieurs mois avant l'échéance du scrutin. "C'est un système qui éloigne du vote, car le temps de l'inscription est désynchronisé de la campagne électorale", poursuit le professeur de sciences-politiques à l'Université de Montpellier. 
Une temporalité qui revient à exclure toute une partie du champ électoral français. Moins politisés, moins informés sur les étapes à suivre... "On sait que les plus jeunes et les plus milieux sociaux défavorisés s'intéressent au scrutin à la fin de la campagne", rappelle Jean-Yves Dormagen. Donc souvent trop tard. 
Sur les 45 millions de Français en droit de voter, "un quart ne sont pas inscrits à l'adresse où ils habitent". Soit 7 millions de citoyens mal-inscrits auxquels s'ajoutent au moins 4 millions de non-inscrits. "C'est une anomalie démocratique considérable, qui a une influence sur le vote", insiste le professeur.  



Etre inscrit sur une liste électorale différente de sa commune ou de son arrondissement de résidence est un facteur d'abstention. Et l'un des motifs de radiation des listes.
Etre inscrit sur une liste électorale différente de sa commune ou de son arrondissement de résidence est un facteur d'abstention. Et l'un des motifs de radiation des listes.
REUTERS/Emmanuel Foudrot






En première ligne? Les 20-30 ans. Parmi eux, 40% sont mal-inscrits et 10% non-inscrits. Autrement dit, un jeune sur deux est concerné. Si les 18-20 ans votent le plus car ils sont inscrits d'office, dès 20 ans ont atteint un taux maximal d'abstention: la mobilité des vies d'étudiants et de jeunes actifs est passée par là.  
L'Express a interrogé trois de ces 20-30 ans. Raphaël, Agathe* et Julie racontent comment ils ont failli être condamnés à l'abstention ou le seront pour cette présidentielle.  

Raphaël, 24 ans, étudiant: "J'ai pu me mobiliser, car je connaissais mes droits"

J'habite à Paris, mais je votais à Provins. Le 10 janvier, j'ai reçu un courrier de la mairie me disant que j'étais radié des listes. Le motif était très vague, il était dit que je n'avais plus d'attache à la ville. Je pense aussi que c'était lié à un contentieux personnel que j'ai avec l'adjoint au maire. Certes, j'ai quitté Provins depuis que j'ai eu mon bac. Mais j'y suis né, j'y ai grandi et mes parents y résident depuis 30 ans. C'est chez eux que je reçois encore les courriers de ma banque, mes factures téléphoniques. Tous mes papiers administratifs. En tant qu'étudiant, on est amené à bouger sans arrêt. En cinq ans d'études, j'ai déménagé cinq fois, j'ai même vécu aux Etats-Unis. Alors si je m'amuse à changer de bureau électoral à chaque fois... 
Etudiant en sciences politiques, j'ai pu me mobiliser car je connaissais mes droits. Mon bagage culturel m'a aidé pour rédiger une requête auprès du tribunal. Mais honnêtement, en quelques jours, le citoyen lambda n'a pas le temps de s'en occuper, d'autant que c'est très complexe. Aujourd'hui, je n'ai pas encore reçu ma carte électorale, mais j'ai le courrier du tribunal qui m'a donné raison au cas où. J'ai été réinscrit sur les listes. Cette décision m'a vachement soulagé. Voter est un acte qui m'importe beaucoup, d'autant plus lors d'un scrutin avec de tels enjeux

Agathe*, 25 ans, sans emploi: "Je me sens privée d'un droit fondamental"

J'habite près de Rouen. J'ai appris mardi que j'avais été radiée des listes en appelant la commune où je vote depuis mes 18 ans. Je n'ai jamais reçu de courrier pour m'en informer. C'est moi qui ai fait la démarche de me renseigner parce que je n'avais pas encore reçu ma nouvelle carte électorale, contrairement à mes proches. J'ai eu un doute, et c'est là que la mairie m'a confirmé ma radiation en même temps que celle de ma mère, qui a choisi de s'inscrire dans sa nouvelle commune après avoir déménagé. J'étais à des années lumière d'imaginer qu'on me radierait en même temps! Mon dernier vote là-bas date des régionales [décembre 2015]. Cela faisait pourtant quatre ans que je n'y vivais plus. 



Quelque 12 millions de Français ne seraient pas inscrits sur les listes électorales près de chez eux.
Quelque 12 millions de Français ne seraient pas inscrits sur les listes électorales près de chez eux.
afp.com/FREDERICK FLORIN






J'admets ma part de responsabilité: je n'ai pas pris le temps de faire les démarches de changement de liste. Mais je les aurais effectuées, si j'avais été avertie. Aujourd'hui, je suis en colère, je me sens privée d'un droit fondamental. J'ai quasiment toujours voté, et j'avais déjà fait mon choix... En urgence, j'ai déposé une requête auprès du tribunal. Mon dossier est parti mardi, assorti d'une lettre de la mairie. Je n'ai pas encore reçu de réponse. Si je n'en ai pas, j'essaierais de convaincre quelqu'un de confiance qui comptait s'abstenir de voter de porter ma voix. Puis je relancerai le tribunal, pour voir s'il y a moyen d'avoir une décision pour le second tour.  
[Entre-temps, le tribunal a entendu la requête d'Agathe* et ordonné sa réinscription. Elle pourra donc voter ce dimanche]  

Julie, 29 ans, intermittente du spectacle: "J'ai honte de dire que je ne vais pas voter"

Je m'en suis rendue compte mardi dernier. Je suis allée sur internet vérifier que j'étais bien inscrite. Et là, j'ai découvert que je ne l'étais pas. Je me suis dis qu'il y avait sûrement un problème sur le site, j'ai demandé à mon copain d'essayer. Pour lui, ça marchait. J'ai commencé à paniquer. J'avais voté en 2007 et 2012 à Rouen, juste avant d'arriver à Paris. Mais depuis, je n'ai pas effectué mon changement d'inscription sur les listes. En fait, je n'étais pas au courant que celles-ci se clôturaient fin décembre. J'avais vu passer la campagne, mais je ne me sentais pas concernée, étant persuadée d'être inscrite.  
C'est très naïf de ma part, mais j'ai refait ma carte d'identité lorsque j'ai emménagé à Paris, je me suis alors dit que j'allais être rebasculée sur les listes électorales de la ville, que l'inscription se faisait automatiquement. Cela me paraissait logique. Aujourd'hui, j'ai les boules parce que je me sens très concernée par ce scrutin. Depuis plus d'un mois, je regarde les débats, je lis les programmes des candidats. Un mois aussi que je tanne mon copain pour l'influencer sur le choix de son candidat. Et finalement, je ne vote pas! Ce n'est pas très sérieux. Lui seul est au courant, avec mon frère. J'ai honte d'en parler, honte de dire que je ne vais pas voter. 

Expliquer la politique monétaire suisse à Trump ?

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La Suisse veut «expliquer» sa politique monétaire à Trump





1) Le gendarme de Washington recommande d' appuyer davantage sur la politique budgétaire (lire : accroître la dépense publique en Suisse) et 
2) l’instrument des taux d’intérêt (comprendre : les rendre encore plus négatifs)....
3) Par une curieuse coïncidence, la BNS vient de modifier la base de calcul de son indice de cours de change du franc...

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/trump-remet-en-question-la-fed.html

Etats-Unis Après s’être retrouvée sur une liste de pays soupçonnés par Washington de manipuler leur monnaie, la Confédération joue la carte de l’apaisement et du dialogue.

La conférence a accueillie Ueli Maurer et Johann Schneider-Ammann.
La conférence a accueilli Thomas Jordan, Johann Schneider-Ammann et Ueli Maurer, et ???
Image: Jean-Cosme Delaloye

La Suisse n’est pas sur une «liste noire» de l’administration Trump à cause de sa politique monétaire. La délégation helvétique qui a participé à la réunion du FMI et de la Banque mondiale ces derniers jours à Washington, en est convaincue. Une semaine après s’être retrouvée aux côtés de la Chine, du Japon, de la Corée du Sud, du Japon, de Taïwan et de l’Allemagne sur une liste de pays soupçonnés par les Etats-Unis de manipuler leur monnaie, la Suisse a assuré ne pas être «dans la ligne de mire» de la Maison-Blanche.
«Je n’ai aucunement l’intention de parler de liste noire», a assuré le Conseiller fédéral Ueli Maurer lors d’une conférence de presse à Washington. «Nous n’avons pas l’intention de faire un scandale. C’est un problème solvable. Mais nous allons devoir l’expliquer.»
Le Conseiller fédéral dit avoir reçu à Washington l’assurance des représentants de l’administration Trump que la Suisse n’était pas «au cœur des préoccupations» américaines. Même discours du côté de Thomas Jordan, le président du directoire de la Banque nationale suisse (BNS) qui n’a pas ressenti «d’intérêt spécifique» pour cette question de la part des Américains ou de ses autres interlocuteurs ces derniers jours à Washington.
La Suisse remplit deux des trois critères utilisés par l’administration Trump pour dresser sa liste des pays manipulant leur monnaie: elle affiche un excédent de sa balance des paiements courants qui représente plus de 3% de son produit intérieur brut (PIB) et elle intervient de manière soutenue sur les marchés des changes en achetant des devises étrangères pour une valeur de plus de 2% de son PIB sur une année. Elle pourrait remplir le troisième critère et afficher un excédent commercial de plus de 20 milliards de dollars avec les Etats-Unis dans le courant de l’année prochaine. Elle risquerait alors potentiellement des mesures de représailles de la part de Washington.
«Nous avons un dialogue intensif avec l’administration américaine, a souligné Thomas Jordan. Il y a longtemps que nous avons expliqué la situation du franc qui est nettement surévalué. Et notre balance de paiements a des spécifiés extraordinaires et c’est pour cela qu’elle est excédentaire. Nous allons poursuivre ce dialogue (ndlr: avec l’administration Trump), expliquer pourquoi la BNS ne manipule pas le franc et pourquoi nos interventions sur le marché des changes sont nécessaires.»
De son côté, Ueli Maurer a aussi martelé que la Suisse «ne manipule pas sa monnaie»: «Nous devons soutenir le franc à cause de la faiblesse de l’euro. Nous pouvons facilement expliquer que nous ne soutenons pas le franc pour notre bénéfice propre, mais que nous nous adaptons à un contexte particulier.» Et le ministre helvétique des Finances d’ajouter: «Si on l’analyse le déséquilibre de la balance commerciale au profit de la Suisse, il résulte des investissements directs des compagnies suisses aux Etats-Unis (…) et il crée des emplois ici.»
Thomas Jordan a rencontré cette semaine à Washington Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale américaine. De son côté, Ueli Maurer a eu une brève poignée de main avec Steven Mnuchin, le Secrétaire américain au Trésor. Selon Johann Schneider-Ammann, le conseiller fédéral qui faisait aussi partie de la délégation helvétique à Washington, la Suisse a tenté en vain d’avoir un contact direct de haut niveau avec l’administration américaine ces derniers jours.
«Il est très important que nous nous rapprochions du président et que nous fassions connaissance, tant au niveau personnel que gouvernemental, a affirmé le ministre helvétique de l’Economie. Nous voulions utiliser cette visite au FMI et à la Banque mondiale. Nous n’y sommes pas parvenus, mais ce n’est que partie remise.»
Johann Schneider-Ammann est convaincu que la Suisse parviendra à «ouvrir les portes» de l’administration Trump: «La question est de savoir de combien de temps nous aurons besoin, a-t-il conclu. Beaucoup monde essaie d’ouvrir ces portes en même temps.» (TDG)
Créé: 22.04.2017, 22h25.


Le 21 avril 2017 à 18:18, François de Siebenthal <siebenthal@gmail.com> a écrit :

Que pensez-vous de cet article ?

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La BNS, une banque centrale financée par les banques commerciales!








Économie Suisse





Depuis 2008 et les crises consécutives des subprimes américains et de la dette souveraine européenne, la Banque nationale suisse (BNS) n’a eu de cesse que de vendre des francs suisses par dizaines de milliards sur les marchés financiers afin d’atténuer la force de la monnaie helvétique face à un euro désormais en chute libre.
L’argent des déposants au secours de la politique monétaire suisse
Or, chaque chose a un prix. Et la banque centrale suisse a décidé non pas de le régler en faisant marcher la planche à billets, comme cela a été si souvent répété, mais en empruntant, principalement auprès de banques commerciales.
C’est ainsi que la BNS a vu le montant de ses « engagements à vue » (c’est-à-dire les dettes dont le remboursement peut être exigé à tout moment par les créanciers) passer de 386 milliards de francs à la fin 2014 à 456 milliards à la fin juin 2015, dont 391 milliards pour des « banques en Suisse ».
Mais tout ceci est un secret de polichinelle. Ces chiffres sont inscrits noir sur blanc au bilan de la BNS et accessibles en ligne à qui veut bien se donner la peine d’aller les vérifier par lui-même.
La vraie question est de savoir ce qu’obtiennent les banques commerciales en échange de ces transferts de fonds massifs… On imagine bien que ce n’est pas par patriotisme helvétophile qu’elles mettent ainsi leurs avoirs – et à titre gratuit, s’il vous plaît – au service de la BNS!
La spéculation bancaire, pierre angulaire du financement de la BNS?
Comme le montre le graphique ci-dessous (Rapport de gestion 2014, page 67), les banques commerciales qui transfèrent des fonds à la BNS obtiennent en échange des liquidités sur le système de trafic des paiements interbancaires suisse, le SIC:
bns
(Les « avoirs en compte de virement » correspondent aux « dépôts à vue » que les banques suisses et étrangères réalisent auprès de la BNS – voir colonnes 17 et 19 de son bilan.)
*
Notons qu’il s’agit là de monnaie bien réelle – en tout point semblable à celle utilisée dans les transactions électroniques courantes réalisées sur l’ensemble du territoire suisse (tels que les paiements par carte bancaire, par exemple).
Or, on imagine difficilement que de tels montants puissent rester bien longtemps inactifs…
Dans une publication précédente, nous avions observé que les liquidités du SIC pouvaient par exemple être rentabilisées dans des opérations spéculatives portant sur de la dette européenne publique et privée, et ce grâce à des instruments financiers dénommés « COSI » (1).
Or, les produits « COSI » sont décrits comme étant « une prestation de SIX Swiss Exchange SA », une filiale de SIX Group… laquelle est chargée d’exploiter le système SIC« sur mandat de la BNS », justement!
Le site d’Eurex Repo, société qui commercialise une gamme de produits intitulée « SecLend COSI », précise par ailleurs que les « partenaires » intéressés par la prestation peuvent s’adresser à trois interlocuteurs pour plus d’informations: SIX SIS, SIX SIC (qui opère le système SIC!) et… la BNS.
Drôle de mélange des genres!
Pour la petite histoire, on rappellera que la BNS est une société anonyme dont les actions sont cotées sur le SIX Swiss Exchange
Le dilemme de la BNS: poursuivre sa fuite en avant ou réaliser ses pertes
Cette réalité cruelle est devenue évidente avec le fameux « désarrimage d’avec l’euro », survenu le 15 janvier dernier. Avec la subite réévaluation du franc, les réserves de devises de la BNS ont subi une dépréciation de l’ordre de 70 milliards de francs en un seul jour.
Ce n’est que grâce à des interventions massives sur le marché des changes – financées conjointement par des banques commerciales (66 milliards) et par l’État suisse (5 milliards) que ces pertes ont pu être réduites à 41 milliards de francs à la fin du trimestre.
Or, nul ne sait dans quelle mesure la BNS pourrait rembourser les banques commerciales qui portent sa politique monétaire à bout de bras, puisque toute tentative dans ce sens contribuerait à une appréciation du franc – et donc à une dégradation supplémentaire de son bilan…
(Rappelons que les banques commerciales approvisionnent la BNS avec des dépôts en francs suisses de leur clientèle. C’est donc bien en francs que ces banques doivent pouvoir être remboursées).
Une chose est sûre en revanche: tant que la situation de la zone euro continuera à se dégrader, le montant de l’addition finale pour les citoyens suisses ne cessera de grimper.
Ce qui nous amène à la question ultime:
Qui réglera l’addition finale?
Le fait que des institutions financières privées continuent à financer la BNS à grands coups de milliards, sans garantie aucune que celle-ci pourra un jour les rembourser, a en effet de quoi interpeller.
Dans une publication consacrée à cette question (2), nous nous étions penchés sur le cas de la directive « renflouement interne des banques » de l’UE, qui prévoit la saisie des « dépôts non garantis » comme mesure pour lutter contre les cas de « défaillances bancaires »…
Nous y avions mis en évidence le fait que cette mesure ne s’appliquait pas à certains instruments financiers spéculatifs, tels que les produits « SecLend CCP » d’Eurex Repo:
Un document explicatif [de la directive] – uniquement disponible en anglais! – précise que ces mesures « nes’appliqueront pas aux prétentions des « clearing houses » […] Les instruments financiers qui font appel à des « clearing houses » – tels que les « SecLend CCP » (CCP signifiant « central counterparty clearing house »!) […] ne seront donc pas concernés!
Or, c’est également Eurex Repo qui offre les produits « SecLend COSI », dans la commercialisation desquels SIX Group, le système SIC et la BNS jouent de toute évidence un rôle-clé, comme nous l’avons vu plus haut.
Se pourrait-il donc que SIX Group, via ses services de CCP (SIX x-clear, active sur diverses bourses européennes et connectée au système SIC – 3) permette aux acteurs du « marché  SecLend », de bénéficier des mêmes protections juridiques avec les produits « SecLend COSI » qu’avec les produits « SecLend CCP »?
Si c’est le cas, on pourrait voir là un avantage offert aux banques qui décideraient d’utiliser les liquidités dont elles disposent dans le système SIC pour réaliser des paris spéculatifs…
Mais si l’UE protège la finance spéculative pour des motifs qui lui sont propres, cela ne signifie pas nécessairement qu’en Suisse, les risques de pertes sont également reportés sur les déposants?
Il convient ici de rappeler au lecteur l’existence de la loi « too-big-to-fail », qui garantit certaines grandes banques « suisses » pour un montant illimité sur l’argent du contribuable – ou des déposants.
Connaître les montants des « comptes de virement » de ces différentes banques auprès de la BNS pourrait donc certainement nous fournir un élément de réponse supplémentaire…
Références:
1) La BNS permet-elle la mise en gage des dépôts bancaires suisses sur les marchés spéculatifs?
2) Directive « renflouement interne des banques »: l’UE a-t-elle livré les dépôts bancaires européens aux marchés spéculatifs pour sauver l’euro?
3) Sur les accréditations de SIX x-clear en tant que CCP auprès de différentes bourses européennes:
La place financière de Londres occupe d’ailleurs une place de premier plan dans la« Service Description » de SIX x-clear:
  • Introduction (p. 5)
« SIX x-clear extends clearing services for equities traded on the London Stock Exchange (LSE), multilateral trading facilities (MTFs), broker crossing systems (BCS) and over-thecounter (OTC) using a CCP-centric post-trade netting model (henceforth referred to as « CCP-centric trading venues »). «
  • SIX x-clear as a Central Counterparty (p.6)
« SIX x-clear is recognized by the Bank of England in the UK under the Financial  Services and Market Act 2000 (FSMA) as a Recognized Overseas Clearing House  (ROCH). SIX x-clear has had this designation since 2004. The company also has a banking license under Swiss law and is thus regulated and   supervised by the Swiss Financial Market Supervisory Authority (FINMA) and under        the oversight of the Swiss National Bank (SNB). SIX x-clear started business operations in May 2003 »

Propositions du collectif AAA+ pour l’AG de la BNS 2017


Comme en 2016, le collectif AAA+ a déposé dans les délais une série de propositions d’actionnaires, signées par au moins 20 actionnaires en vue de les mettre au vote lors de l’AG 2017.
Voici la liste résumée avec les liens vers les versions complètes :
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 46 alinéa 2 lettre c de la loi sur la Banque nationale portant sur les tâches de la Direction Générale pour une gestion en interne des actifs. (3A2017-01)
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 46 alinéa 2 de la loi sur la Banque nationale portant sur les tâches de la Direction Générale pour une gestion éthique des actifs.
(3A2017-02)
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 31 alinéa 1 de la loi sur la Banque nationale portant sur la répartition du bénéfice.
(3A2017-03)
Proposition d’actionnaires en vue d’ajouter 3 candidats à l’élection de membres du Conseil de Banque.
(3A2017-04)
Proposition d’actionnaires en vue de l’ouverture d’une procédure de révision de l’article 47 alinéa 2 de la loi sur la Banque nationale portant sur l’indépendance de l’organe de révision. (3A2017-05)



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Joyeuses Fêtes de PÂQUES ! Christ est ressuscité. 

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Invitations 2017
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Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

Fraudes électorales françaises

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Nous vivons une période de mensonges systématiques et gravissimes...

Processus de vote douteux, par exemple les piles de bulletins devraient être dans les isoloirs, comme dans les autres pays du monde. Or, ils sont au vu de tous, ce qui fait une grave pression morale et révèle souvent pour qui l'électeur vote... Le vote n'est plus secret, ce qui est une grave violation des droits de l'homme et de la charte européenne qui demande le secret des votes !

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/04/fraudes-deux-bulletins-visibles-aucun.html

http://www.assembly.coe.int/nw/xml/XRef/X2H-Xref-ViewHTML.asp?FileID=11738&lang=fr


Au moins 500'000 cartes de votes envoyées à double, peut-être plus, sans enquête sérieuse !

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/04/france-fraudes-electorales-en-marche.html

Machines électroniques, programmes fermés et manipulés. De plus,  l'électeur oublie souvent de confirmer son vote qui peut alors être récupéré par le système. http://www.cuk.ch/articles/3346 




et voir plus bas...

Au moins 12 millions d'électeurs exclus pour des raisons bureaucratiques souvent obscures !








Parmi les français de l'étranger, même chose. En principe l'inscription en liste consulaire entraîne l'inscription sur liste électorale, mais le ministère a foiré. Je suis dans ce cas-là. A côté de moi, un homme qui avait fait toutes les formalités avec sa femme, en arrivant ici. Elle était inscrite, pas lui. Honte à l'administration.  
Je suis d'accord sur ton pronostic, mais c'est pas une raison pour ne pas voter. Justement, comme disent les autres, si tu ne votes pas, t'as pas à te plaindre. Alors je comprends que pour ceux qui doivent y passer des jours de procédure, c'est trop. Mais ceux qui ne sont pas radiés, au contraire, allez voter. C'est votre dernière chance.

DES MILLIONS DE FRANÇAIS RADIÉS AVANT LE PREMIER TOUR ! 

UN SCANDALE DONT LES MÉDIAS NE PARLENT PAS !

12 millions de Français sont mal-inscrits ou non-inscrits sur les listes. En première ligne, les jeunes.... sic ...


http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/04/fraudes-en-france-12-millions-dexclus.html

Sondages, émissions et articles truqués ou censurés en faveur des candidats du système.


Votes électroniques, impossible de savoir où ils ont eu lieu, sic... impossible de contrôler les tricheries...
On sait qu'ils ont lieu dans de grandes mairies, comme par hasard, les chiffres de ces grandes mairies sont très différents, et les machines sont fabriquées par des entreprises appartenant à M. Soros...


Et...
... Emmanuel Macron, dit vouloir instituer « un vote électronique qui élargira la participation, réduira les coûts des élections et modernisera l’image de la politique. » ... resic...
pour les profits de Soros et de ses machines opaques et douteuses, reresic...

Selon le code électoral, «toute commune de plus de 3500 habitants figurant sur une liste fixée par arrêté préfectoral» peut se doter de machines à voter. Celles-ci doivent être agréées par le ministère et elles sont soumises par les fabricants à des organismes certificateurs. 

Certains électeurs ont voté avec une machine électronique ce dimanche

Exit le papier, bonjour le vote électronique. Dans plusieurs bureaux de vote de France, les électeurs ont voté sur une machine ce dimanche.



Mais l'outil ne fait pas l'unanimité. Notre journaliste qui en a fait l'expérience a estimé "qu'on perdait un peu en solennité du geste". 
Pour la première fois, j'ai voté avec une machine électronique. Et ben je trouve ça moins bien : on perd un peu en solennité du geste pic.twitter.com/7oy6Z4LbjK

Toutes ces machines sont douteuses...
https://www.dailymotion.com/4b62ac14-13b4-42f8-8ef9-317b3f7d82cb
Solutions:
Si on veut un vote vraiment secret, il faut éviter tous les risques de violations de ce secret...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/valais-fraudes-et-francs-macons.html

De plus, il faut un système simple avec toutes les sources ouvertes à tous où chaque citoyen est automatiquement votant et qu'il peut vérifier que son vote ait été justement décompté, avec une clé secrète que lui seul connaît... et une procédure de remise en cause ouverte et facile

Pour en savoir plus , lisez cet article => antony-sutton.html




La Chaîne Info, plus connue sous le sigle LCI, est une chaîne de télévision française d'information en continu du groupe TF1. ... Aujourd'hui, elle est accessible notamment par le satellite, le câble, les réseaux de télécommunication à haut débit (IPTVxDSLADSLfibre optiqueWimaxetc.) et par la TNT gratuite. Il s'agit chronologiquement de la troisième des quatre chaînes d'informations accessibles gratuitement par la TNT en France.
Première chaîne d'information lancée en France, LCI est initialement conçue pour s'adresser prioritairement aux téléspectateurs de la catégorie « CSP+ », cible spécifique haut de gamme des publicitaires...
Elle est devenue gratuite quelques mois avant le lancement de la chaîne d'information publique France Info.

MENSONGES SUR MENSONGES

INCROYABLE !!! L'ÉMISSION CENSURÉE SUR MACRON ET MARINE LE PEN SUR LCI "La Médiasphère" du 3 avril 2017 UNE EMISSION QUI MONTRE COMBIEN LES FRANÇAIS SONT EN RÉALITÉ TRÈS INTELLIGENT ET NE TOMBERONT PAS DANS LE PIÈGE "MACRON"... LES EQUIPES DE MACRON ONT TOUT FAIT POUR FAIRE SUPPRIMER CETTE EMISSION DES RÉSEAUX REPLAY DE LA CHAÎNE LCI ET D'AUTRES !!! D'AUTANT QUE L'UNE DES INTERVENANTES DE L'EMISSION DÉVOILE UN SCOOP !!! L’HOMOSEXUALITÉ DE EMMANUEL MACRON !!! "LA FEMME DE MACRON S’INQUIÈTE DE L’HOMOSEXUALITÉ DE SON MARI"... VOIR ÇA A LA 13ème MINUTE ;-) 

MENSONGES SUR MENSONGES COMME L'INFO SELON LAQUELLE LA SALLE DU MEETING ÉTAIT PLEINE AVEC 6000 PERSONNES ALORS QUE CELLE CI NE PEUT EN CONTENIR QUE 3000... 

A MOURIR DE RIRE SÉRIEUX !!! A voir absolument !!!







A PARTIR DU MOMENT OU LES RÉSULTATS DÉFINITIFS DU PREMIER TOUR DE LA PRÉSIDENTIELLE SONT DONNÉS, IL Y A 48H CHRONO POUR ENVOYER LA RÉCLAMATION CONCERNANT LES IRRÉGULARITÉS ! 

LES RADIÉS DES LISTES ÉLECTORALES, LES ÉVACUÉS D'URGENCE SANS AUCUNE VRAIE RAISON ET TOUS LES AUTRES, RéSISTEZ  ! 

Le Canada teste le revenu universel

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Le Canada teste le revenu universel


L'Ontario a lancé un projet pilote d'un an pour tester auprès de 4000 personnes une forme de revenu universel.

La province canadienne de l'Ontario (centre) lance un projet pilote de revenu universel afin d'évaluer les conséquences pour les allocataires et les finances publiques, a annoncé la Première ministre provinciale Kathleen Wynne.

Le projet pilote va assurer «un revenu de base» sur trois ans à 4000 personnes vivant actuellement sous le seuil de pauvreté.

«Nous voulons évaluer si un revenu de base a des effets positifs sur le quotidien des gens», a expliqué Kathleen Wynne, notamment pour la santé et l'éducation.

Ce revenu universel pourra aller jusqu'à 16'989 dollars canadiens (11'600 euros) par an pour une personne seule et 24'027 dollars pour un couple. Le mécanisme est adaptable en fonction des revenus des salariés à temps partiel. Leur revenu universel sera réduit de 50 cents pour chaque dollar gagné. Concrètement, une personne seule avec un salaire annuel de 10'000 dollars canadiens percevra en complément un revenu de base de 11'989 dollars.

Au hasard

Les 4000 participants, âgés de 18 à 65 ans, ont été choisis au hasard dans trois villes, Hamilton et Lindsay en banlieue de Toronto et Thunder Bay dans l'ouest de la province. La province a estimé le coût du pilote à 50 millions de dollars (37 millions de francs) sur une base annuelle.

L'Ontario est la province canadienne la plus peuplée avec 38% des habitants des 36,5 millions au Canada.

Selon l'institut de la statistique, 13% d'Ontariens vivent sous le seuil de pauvreté. Un premier bilan de ce projet pilote sera tiré dans un peu plus d'un an, juste avant les élections, a indiqué le gouvernement libéral de Kathleen Wynne.

Le revenu de base est actuellement à l'essai en Finlande ainsi qu'au Kenya, et un projet de revenu universel avait été porté pendant la campagne électorale française par Benoît Hamon (PS).

Au Canada, les villes de Winnipeg et de Dauphin dans le Manitoba (centre) avaient expérimenté dans les années 1970 le revenu de base sans donner d'autres suites. (nxp/afp)


http://www.20min.ch/ro/economie/news/story/20679691



FINMA: invitation sur le blockchain le 10 mai 2017

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Table ronde de la FINMA sur le thème du blockchain le 10 mai 2017

On prédit à la technologie blockchain un potentiel révolutionnaire. De nombreux experts supposent que cette technologie va aussi bouleverser durablement le marché financier. De premières applications existent déjà et d'autres pourraient suivre très prochainement. La FINMA saisit donc l'occasion de se pencher sur le thème du blockchain du point de vue de la surveillance et organise pour cela une table ronde sur ce thème le 10 mai 2017. La table ronde s'adresse aux acteurs du marché ainsi qu'aux experts intéressés.
La FINMA donnera un aperçu de son travail et de la manière dont elle traite les applications pratiques actuelles dans le domaine du blockchain, en se focalisant sur les thèmes des monnaies virtuelles. Elle présentera ses expériences en matière d'évaluation prudentielle de différents modèles d'affaires et expliquera quels facteurs peuvent contribuer à accélérer le processus d'évaluation. Enfin, elle abordera, avec des acteurs du marché et des experts et en s'appuyant sur des exemples pratiques, quel rôle la technologie blockchain peut jouer à l'avenir sur le marché financier et quels pourraient en être les défis prudentiels et autres défis du point de vue juridique. 

Intervenants

  • Dr Veronica Lange da Conceição, Head of Innovation, Chief Technology Office, UBS
  • Luzius Meisser, membre du directoire de Bitcoin Association Switzerland, Fondateur de Meisser Economics, master in Computer Science (ETH), master in Economics (UZH)
  • Prof. Dr Rolf H. Weber, professeur émérite à l'Université de Zurich, co-directeur du domaine de recherche universitaire « Régulation du marché financier » et du centre de compétence « Information Society, Technology, and Law », avocat (Bratschi Wiederkehr & Buob AG, Zurich)
La table ronde s'adresse aux acteurs du marché ainsi qu'aux experts intéressés et aura lieu à Berne. Heure: 13h00 – 17h00. Lieu: Kursaal Berne. La table ronde aura lieu en allemand. 

Le nombre de places est limité. Un programme détaillé sera à disposition prochainement. Date limite d'inscription: 28 avril 2017




Eidgenössische Finanzmarktaufsicht FINMA
 


Service des informations de l'autorité fédérale de surveillance des marchés financiers FINMA


19 avril 2017

Table ronde de la FINMA sur le thème du blockchain le 10 mai 2017

lien vers l'article

AG BNS 2016 le vote électronique n'est pas secret. Jean Studer confirme

Shares of the Swiss National Bank have risen more than 50%

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The Stock That’s as Safe as Switzerland.

Shares of the Swiss National Bank have risen more than 50% in the past year and are proving an attractive alternative to bank deposits and bonds.


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The Swiss National Bank's headquarters in Bern, Switzerland.
PHOTO: GIANLUCA COLLA/BLOOMBERG NEWS
By Brian Blackstone
Updated April 26, 2017 5:40 a.m. ET

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ZURICH—Want a really, really safe asset? How about a slice of the Swiss central bank?
Shares in one of the world’s few publicly traded central banks are up more than 50% in the last year. With a small, fixed dividend and limited supply, they trade more like a bond or a piece of memorabilia than a stock. This makes the Swiss National Bank ’s SNBN 0.64% stock a quirky though potentially enticing alternative to zero-yielding bank deposits or negative-yielding bonds.
A couple of forces are at work, analysts say. For one, negative rates have increased demand for other safe assets—the existence of SNB shares wasn’t even that widely known in Switzerland—while the SNB turned in a 21.3 billion franc (around $21.5 billion) profit in the first half of 2016. Since so few shares trade, it doesn’t take much to move the price.

The central bank’s money-printing powers make it basically impossible to go bankrupt, and it is able to charge commercial banks to store money there.
Yet it isn’t a normal bank stock. The SNB’s governing board doesn’t own any shares. Its biggest single shareholder isn’t even Swiss; he is German.
Some shareholders are now clamoring for the first dividend increase in more than a century at the SNB’s annual shareholders meeting on April 28.
Under current law, the maximum dividend is 15 francs a share for a total payout of 1.5 million francs. That is a tiny slice of the SNB’s 24.5 billion franc profit last year generated by its money-printing efforts that added hundreds of billions of francs to its portfolio of foreign assets in recent years. The SNB paid 1.7 billion francs to federal and state governments, known as cantons, last year. The vast majority of the profit went to the SNB’s reserve accounts.
Even when it loses money, as it did in 2015, the central bank can always print more. The Swiss franc is among the strongest currencies in the world, meaning the SNB has a monopoly on a coveted commodity. It charges commercial banks to deposit money. In short: A nice mix for any bank.

“It makes some sense to hold SNB shares,” said Alexander Koch, an economist at Raiffeisen Schweiz and SNB shareholder. “You don’t look at them like usual equities with rights for shareholders. It’s more like a debt security obligation.”
The bank’s status as a publicly traded stock will be on display Friday when top SNB officials meet shareholders. Around 30 small shareholders, under the umbrella group Collectif AAA+, say the SNB’s dividend should be calculated at 6% of the year-end share price, not the 250-franc price that has been fixed for decades. SNB shares fetched 1,750 francs on Dec. 31, implying a dividend of 105 francs a share by that calculation. They traded at 1,718 francs around midday Wednesday, little changed on the day.
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The SNB board opposes the measure and is certain to beat it back given tight limits on voting rights for private shareholders, which own 48% of SNB shares, but only 25% of voting shares. The rest are held by Swiss cantons. The SNB’s mandate is to keep inflation under 2%, not maximize shareholder value.
The SNB declined to comment on why it opposes the shareholder initiative. Even if it passes, parliament would have to change the law since rules on the dividend are set by federal law. This underscores one downside to owning SNB shares: stockholders’ lack of influence over the bank.

One leader of the dividend movement, SNB shareholder Blaise Rossellat of Geneva, says he knows he won’t win, but wants to “shed some light” on the SNB’s practices, which have amounted to creating hundreds of billions of francs to buy foreign stocks and bonds and weaken the Swiss franc.
The SNB’s foreign reserves totaled 683 billion francs in March, and include billion-dollar stakes in Apple Inc., Microsoft Corp. and Exxon Mobil Corp.
“It only invests overseas. It doesn’t invest in Switzerland,” said Mr. Rossellat, adding the SNB’s policies have inflated asset prices abroad. “By this proposition we show the Swiss citizens that their purchasing power has been diminished.”
Other central banks have some private ownership. The Bank of Italy’s capital is owned mostly by the country’s commercial banks. Central banks in Belgium, Greece and Japan are listed on exchanges. These shares were mostly flat in the last year, though Greece’s were up some.
The Federal Reserve’s board of governors is an independent federal agency. Commercial banks hold stakes in Fed district banks, but they aren’t listed shares. The European Central Bank is owned by the central banks of the European Union. The Bank of England was privately owned before being nationalized in 1946.

The SNB’s stock traded between 1,090 francs and 2,120 francs over the past year and rallied as Swiss interest rates turned negative even out to 2050 maturities, making the minuscule dividend seem generous by comparison.
“Investors treat the share of the SNB like a bond substitute,” said UBS economist Alessandro Bee.
There is a novelty aspect too, given the small pool of shares available and the Swiss public’s deep attachment to their currency. There are 100,000 SNB shares, with about 2,200 private shareholders owning 48,000 of them at the end of last year. The largest single shareholder last year was German investor Theo Siegert, according to SNB data, whose 6,720 shares topped even those of the Swiss canton of Berne.
Mr. Siegert didn’t respond to a request for comment.
Mr. Rossellat owns just one share personally and a handful through other entities. An alternate SNB board member, Dewet Moser, owns one share. Only about 50 to 100 shares change hands each day versus millions that trade daily for big Swiss banks.
“It’s a really special share. It’s nostalgic,” said Simon Roth, spokesman for Swiss bank Pictet, which holds a small number of SNB shares as custodian for its clients.
Whatever the quirkiness of Switzerland’s hybrid setup, owning shares gives the public a direct line to central-bank policy makers once a year.
“It’s our chance as citizens to democratically have discussions with the organization,” said Mr. Rossellat.


Public Banking Solutions ?

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Public Banks can compete the with Central Bank (FED) cabal



Are we hopeless? What about The Public Banking Solution?  SERVING THE PEOPLE OF NORTH DAKOTA
The State Bank of North DakotaThe First Bank of the United States, formed in 1791 with the influence of Alexander Hamilton, the first Secretary of Treasurer!


The Bank of North Dakota continues to be successful.
The Public Banking Institute teaches that the State Bank of North Dakota functions like a co-op for public banking, managed by an appointed board and staff.  There is no other bank like it America, but there should be, and people in ND should be justly proud.  PBI tells us citizens can follow North Dakota’s example if they have the will.


Co-op Bank Movement Alive & Well


Public Banks can compete the with Central Bank (FED) cabal

 The Public Banking Institute (PBI) is a unique citizens’ volunteer organization with a mission, writes WHTT Editor Chuck Carlson:   It is trying to teach us how to protect our wealth from debasement and confiscation by monopoly central banking.  PBI explains what our privately-owned banks should be doing, and don’t do, because they don’t have to.  Ellen Brown, founder of the twelve year old PBI movement, has showcased an insightful story, What Donald Trump Owes Wall Street, explaining why we taxpayers should be concerned about President Trumps undeclared debts, owed to many of the same privately owned banks where we deposit our savings.  But it has a much bigger story to tell us.  PBI supports the almost forgotten idea that banks can be, and many should be owned by state and local governments, acting like credit unions or financial co-ops.
In contrast to privately owned banks, “publicly owned” banks, (yes, there is presently one major one in the USA) are controlled by the voters as cooperative efforts between those who have cash to lend and those who need capital. According to Ellen Brown’s 2013, 471 page powerful book, The Public Banking Solution, over 20 states and municipal governments are attempting to form public banks, but as expected they are met with powerful organized resistance.
PBI explains that we Americans presently have to deal with a giant privatized banking monopoly, controlled not at any US government voter level, but institutionalized under an international cabal of private central bankers, world wide.  This is why yours or my savings account of tens of thousands of dollars may earn only 10 cents a month!
Chief of these money control central banks is the privately-owned Federal Reserve system (FED) that protects the territory of huge private banks we know, including J. P Morgan, Goldman Sacks, CITI Bank and Wells Fargo.  The FED is connected, in ways we are not allowed to understand, to other international central banks, including the Bank of England and the BIS, that set the rules and practices of “member banks.”  Worst of all, from We Hold These Truths’ point of view: Central Banks Fund Serial Wars!

The Bank of North Dakota opened July 28, 1919 with $2 million of capital.
The Public Banking Institute details the only major “public bank” in the USA, The State Bank of North Dakota, formed outside the central bankers’ monopoly control in 1919 after a farmers’ depression.  Not one in a thousand of us has ever heard of it.  How did North Dakota accomplish this miracle when no other state has?  Because small businesses and farmers of North Dakota controlled the politics of the state and could force this measure through their legislature.  This could be accomplished in a state with about half a million population, many of them independent farmers who had reason not to trust bankers in 1919.
A bit of history, since day one in our Republic, Tory Interests loyal to England sought to dominate banking by forming a central bank and getting Congress to grant it a monopoly.  It was called The First Bank of the United States, formed in 1791 with the influence of Alexander Hamilton, the first Secretary of Treasurer, who is currently lionized in a Broadway stage play by his name.  Hamilton may have been the first politician to introduce the new Republic to a central banking scheme.  He is thought to have been working for others and functioned, knowingly or benignly, as an unofficial agent for the Bank of England, the UK’s privately-owned central bank.  PBI writes that Hamilton was promoted to office by England, in an attempt to regain control of America through banking.  Force of arms had failed England during the America RevolutIon for freedom.  Central banking was to succeed.
The struggle for monopoly control of banking has been long and hard-fought, but England finally won in 1913, with the passage of the Federal Reserve Act. At least that’s the current score.  PBI founder, Ellen Brown, is determined to reverse it, and I want you to know about her.

The Bank of North Dakota continues to be successful.
The Public Banking Institute teaches that the State Bank of North Dakota functions like a co-op for public banking, managed by an appointed board and staff.  There is no other bank like it America, but there should be, and people in ND should be justly proud.  PBI tells us citizens can follow North Dakota’s example if they have the will.
We may never know the secrets behind Alexander Hamilton’s political connections, but we should look hard at Donald Trump–and the PBI is doing just that.
PBI quotes several sources in its story, “What Donald Trump Owes Wall Street”,  including The Atlantic Monthly and The Wall Street Journal, that explain why Donald Trump, though he may not know it, is beholden to the same privatized banking powers who have controlled the Bush family for generations, as well as most of our past presidents.  And, it provides a good explanation of why Donald Trump will not release his tax returns or financial statements:  It’s not because of how rich Trump is.  No, it’s because of how much he owes to the powerful international bankers.  Debts are Donald Trump’s secret–and his possible embarrassment.  Bottom line, he owes the people who control the Federal Reserve system. PBI quotes from an article in The Atlantic.  After you read them, you may want to check their source and read the rest of the Public Banking Institute story.
“While the president-elect’s finances remain murky, due largely to his refusal to release his tax returns, the newspaper reports that he owes at least hundreds of millions of dollars, that the debt is held by more than 150 institutions, and that some of it is backed by his personal guarantee.  ‘As a result, a broader array of financial institutions now are in a potentially powerful position over the incoming president’, it states. ‘If the Trump businesses were to default on their debts, the giant financial institutions that serve as so-called special servicers of these loan pools would have the power to foreclose on some of Mr. Trump’s marquee properties or seek the tens of millions of dollars that Mr. Trump personally guaranteed on the loans.'”
And :
Wells Fargo & Co., for example, runs at least five mutual funds that own portions of Trump businesses’ securitized debt, according to an analysis of mutual-fund data conducted by Morningstar Inc. for the Journal. The bank also is a trustee or administrator for pools of securitized loans that include $282 million of loans to Mr. Trump. And Wells acts as a special servicer for $950 million of loans to a property that one of Mr. Trump’s companies partly owns, according to securities and property filings. Wells Fargo is currently facing scrutiny from federal regulators surrounding its fraudulent sales practices and other issues. Once he takes office, Mr. Trump will appoint the heads of many of the regulators that police the bank.”
Whatever I may think of Trump, his business practices, and his debts, this writer agrees with Trump’s assessment of the media when he said at a Feb 16, 2017, press conference: “I have never seen more dishonest media, frankly than the political media”.  But, unfortunately, the media is not the root of the problem. It only covers for the bigger problem, the money powers that pay for our wars, which President Trump has not said much about.  He has said, give him credit, we do not need a war with Russia and we cannot afford one.
We Hold These Truths also agrees with PBI that the central banking monopoly is the base source for corrupting politicians, from Alexander Hamilton in the 18th century to those today.  We add to that, the FED has financed every war in the last 110 years, from WWI to this day. We ask you to read the following story, not to join a gossip debate about Donald Trump, but to learn about “central banking and the FED”, the secret sponsors of shady politicians and the financiers of serial wars.  Full story from The Public Banking Institute here: 
____________________________________________________
Mr. Carlson has been asked by one of We Hold These Truths’ long time supporters, “What does banking have to do with WHTT.org’s primary purpose, which is to expose America’s serial wars as being contrary to every act and word of Jesus Christ.”
The answer is simple and clear. Not one of our wars in the last 99 years and 11 months, including two world wars, could or would have happened had it not been for central bank financing, nor was any one war needed.  But every war benefits mega-bankers.  It took less than four years after the creation of the Federal Reserve Act in 1913, for the USA to be maneuvered into the most bloody war ever, at that time. We have not been without a war in 28 years!  Our own articles on central banking include:

Ellen Brown recommends this documentary, “The Bank of North Dakota” that chronicles the Bank of North Dakota’s fascinating history and reviews its key role in financing the state’s economic future:





Public Banking Institute

Public Banking Institute News: April 26, 2017


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 Dogging Democracy’s Future: TISA is Back -- A Threat to Public Banks 

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A cousin to the dreaded TPP “trade” pact, TiSA (Trade in Services Agreement) is being resurrected by unrelenting global corporatists who see it as a way to expand and consolidate their financial control. Defeated by American popular demand last Fall, the secretive TPP and its TiSA partner proposed a labyrinth of ways to put profiteering interests over public interests.  Now it’s back, and directly threatens public banking.    the global corporate interests pushing the deals, which would produce a significant expansion of private financial power.  Dr. Thomas Marois, Senior Lecturer at the University of London and an expert on public banks, makes the case clear.


Santa Fe Votes Tonight

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Santa Fe, NM:  City Counselors will take a pivotal vote this evening (4/26) on whether to proceed with the creation of a public bank task force that will begin the process of creating a city public bank. It’s the culmination of years of work, and the support of these smiling City Councilor Co-sponsors. The Public Banking Task Force Resolution does an excellent job of creating a thoughtful, circumspect path forward.


Not To Be Left Alone By The Bay, San Francisco Throws In

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With Oakland, Berkeley, Richmond and other municipalities around San Francisco’s bay moving forward on consideration of public banks for their communities, San Francisco is revisiting the issue, particularly with the cannabis industry on the doorstep.

 






Public Banking Goes to Pot

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What can be said?  Public banks have many uses!







SAVE THE DATES  September 15th and 16th 
PBI National Conference Comes to Princeton! 
“The Public Bank Solution: Funding a Sustainable Future” will bring many notable national speakers and much attention to the momentum for creating public banks around the country. Make plans now to be a part of this important gathering! More details will be forthcoming soon. Set the date aside now to be there!

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Dirty Deals! How Wall Street Banks Screw American Cities and States

“Dirty Deals” is the name of a definitive report about Wall Street’s interactions and financing contracts with cities, counties and states nationwide. It’s a gloves-off look at the many ways public entities are forced to acquiesce to abusive usury in their private-bank-capital  borrowing practices for public projects and how we can take effective steps to reverse them. Saqib Bhatti, co-director of Action Center on Race and the Economy (ACRE), discusses why these core financing issues are driving governments around the country to consider public banking and in-house financing mechanisms, and why some of them don’t want to.  



Like our work? Thank our donors.
BETTER YET, BECOME ONE!
Support the Public Banking Institute
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Why Join the Public Banking Institute? 

Image_JoinUs.jpgA national movement is underway and you’re invited!  There are now over 50 public banking initiatives taking place all over the country, from Maine to Hawaii and Alaska – citizens,  civic leaders  and elected officials, bankers and stakeholders from all walks of life who want to break the chain of dependence on Wall Street’s unsustainable debt extraction from our public purses.
It’s a strategic stand that you can take to transform our common wealth and democratic power. Use your civic power – get involved! PBI’s network of experts and affiliates will help you open new doors for sustainable public finance for cities, counties and states.   
Become a member of the Public Banking Institute today!

Invitations 2017
In English


Kind regards, yours sincerely



http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html


Fraudes, deux bulletins visibles, aucun secret !

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Avec seulement deux bulletins, la situation est bien pire que celle décrite ci-dessous...
Les soumis ne prennent que le bulletin du système. ceux qui en prennent deux sont louches par définition.
Ceux qui prennent que celui de l'alternance sont trop visibles et cette situation est illégale car il n'y a aucun secret
En effet, le processus de vote est inadmissible et douteux, par exemple les piles de bulletins devraient être dans les isoloirs, comme dans les autres pays du monde. Or, ils sont au vu de tous, ce qui fait une grave pression morale et révèle souvent pour qui l'électeur vote... Le vote n'est plus secret, ce qui est une grave violation des droits de l'homme et de la charte européenne qui demande le secret des votes !

http://www.assembly.coe.int/nw/xml/XRef/X2H-Xref-ViewHTML.asp?FileID=11738&lang=fr

Exemple même avec 11 bulletins
En effet, l'émission "Il en pense quoi Camille ?" , animée par Camille Combal sur C8, a diffusé lundi 24 avril un reportage au cours duquel on pouvait découvrir le vote de François Hollande. En effet, l'animateur avait repéré que le chef de l'État, qui avait fait le choix comme l'y autorise le code électoral de sélectionner plusieurs bulletins sur place plutôt que de venir avec les bulletins reçus à domicile avec la propagande électorale, n'a pris que cinq bulletins sur les onze proposés.
Au moment de choisir les bulletins des candidats, placés dans le même ordre que n'importe où ailleurs en France ou à l'étranger après un tirage au sort, le président a commencé à prendre ceux de Jean-Luc Mélenchon, Jean Lassalle, Emmanuel Macron, Nicolas Dupont-Aignan et, après avoir failli oublier, il a pris un dernier bulletin, celui de Benoît Hamon, le candidat du Parti socialiste, dont il est lui-même issu... Nul doute que le président, une fois dans l'isoloir, n'a sans doute pas glissé celui du candidat PS, pourtant largement choisi par les Français lors de la primaire de la gauche. Benoît Hamon était considéré comme un "frondeur" en raison de son opposition à plusieurs projets de loi du gouvernement, pour lequel il avait pourtant été brièvement ministre. ...
Voir la vidéo sur le lien ci-dessous
ou

EN VIDÉO - Présidentielle: Hollande a-t-il hésité à prendre un bulletin Hamon ou Lassalle?




Capture C8

L'émission Il en pense quoi Camille, sur C8, assure que le président de la République a failli omettre de prendre un bulletin Hamon. Mais c'est plus compliqué que cela.
Benoît Hamon a été lâché par de nombreux ténors du PS durant la campagne présidentielle. François Hollande, élu avec l'étiquette PS en 2012, ne l'a pas soutenu officiellement alors que des rumeurs assurent qu'il pencherait plutôt pour son ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée: Emmanuel Macron.
A l'occasion du premier tour de la présidentielle 2017 dimanche 23 avril, François Hollande est allé voter dans son fief de Tulle. BFMTV a retransmis en direct le moment où il choisit les bulletins de vote avant de se rendre à l'isoloir. Et le Président n'a pas pris tous les morceaux de papier.
C8 a repéré cela et en est arrivé à la conclusion qu'il a failli oublier de prendre un bulletin Benoît Hamon. En effet, les bulletins sont disposés dans un ordre précis défini par tirage au sort, un ordre identique dans toute la France. Ainsi, en observant les images ci-dessous on peut facilement deviner quels bulletins il a préféré laisser de côté.

Le décryptage exclusif du vote de François... par IEPQC
François Hollande aurait donc pris les bulletins 9 et 8 rapidement, soit Mélenchon et Lassalle. Puis le 3 (Macron) et le 1 (Nicolas Dupont-Aignan), avant de se rendre compte qu'il avait oublié de prendre celui de Benoît Hamon, le 4.
Problème, l'émission avance donc l'hypothèse que les bulletins soient rangés dans l'ordre 1-2-3-4-5-6-7-8-9-10-11, de la droite vers la gauche.

S'ils étaient rangés dans le sens inverse (de la droite vers la gauche), une autre combinaison de bulletins apparaît. Le Président prends alors sans hésiter le 9 (Macron) et le 8 (Hamon), avant de prendre le 3 (Mélenchon) puis le 1 (Fillon). Avant de reprendre, avec une hésitation, un dernier, celui... de Jean Lassalle (n°4).

Seul François Hollande connaît la vérité. Reste à savoir ce qu'il a glissé dans l'urne...

Encore pire sur http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/04/fraudes-electorales-francaises.html

Cardinal Tagle: richesses distribuées plus équitablement

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Lors des XVIIe journées de la Théologie de la Charité organisées par Caritas Espagne à Saint Jacques de Compostelle, le discours de clôture prononcé par le cardinal philippin Luis Antonio Tagle a porté sur la mise en place d’un « Nouvel ordre économique » pour mettre fin au drame de la pauvreté et de « l’inégalité ».
 
Il a accusé les médias et les centres de pouvoir d’être trop éloigné des pauvres et de leurs problèmes, affirmant que chacun devait se comporter comme le Bon Samaritain.
 
Mais il en a surtout profité pour avancer des idées politiques, en déplorant qu’aujourd’hui huit personnes seulement sont aussi riches que la moitié de la totalité de la population de la planète, soit près de huit fois moins que l’année précédente.
 
« Ce qui nous perturbe, c’est l’idée que toute cette richesse, produite par tant de travailleurs, ne soient pas distribuées équitablement », a-t-il ajouté, appelant à construire un Nouvel ordre économique où « priment les valeurs, ces valeurs des pauvres qu’ils gardent comme un trésor. » ...




http://www.caritas.org/fr/2017/04/le-cardinal-tagle-nous-invite-%E2%80%89rencontrer-un-migrant%E2%80%89-et-diffuser-lesprit-de-paques/

Assemblée Générale de la BNS 2017 en vidéo

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L'argent pour les armes tue


Communiqué de presse


Assemblée Générale de la BNS 2017



L'AG de la BNS, c'est tout bientôt. C'est ce vendredi 28 avril 2017.

Nous y serons !

Seules 2 de nos 7 propositions sont passées outre la censure du conseil de Banque.


Il s'agit de propositions qui concernent "directement" les actionnaires. Le conseil de banque jugeant que ce serait nous donner trop de poids que de permettre de proposer de modifier la LBN pour des sujets qui ne concernent pas les actionnaires.... comme les placements.




Ainsi nous discuterons de l'indépendance de l'organe de révision qui nous semble trop complaisant à disculper les "responsables" de la BNS de leur actions douteuses...


Puis nous discuterons d'augmenter les dividendes des actionnaires. Ainsi les gens qui nous collaient l'étiquette de communistes lors de l'AG 2016 suite à notre proposition de transformer la BNS en coopérative, seront peut être convaincu que finalement nous ne sommes pas communistes.


En fait cette proposition vise surtout à montrer la notion de dilution monétaire que les dirigeants de la BNS ne semblent pas comprendre.


Cette dilution monétaire entraine la dilution du pouvoir d'achat du franc suisse depuis 2012 suite à la multiplication par 7 du bilan de la BNS. La création monétaire ex-nihilo en monnaie centrale opérée par la BNS pour acheter des actifs étrangers dilue mathématiquement le francs suisse d'un facteur 7.


Coïncidence parfaite, au 31 décembre 2016 l'action de la BNS cotait à 1750 francs soit 7 fois plus que sa valeur nominale de 250 francs. Le marché reflétant ainsi par un heureux hasard notre démonstration mathématique de cette dilution monétaire.




Voici un article dans le Wall Street Journal qui parle de cette proposition de notre collectif AAA+....










Nous suivre durant l'AG


Pour suivre nos interventions durant l'Assemblée Générale de la BNS, il est possible de suivre en direct la webTV de la BNS.


Il est à rappeler que l'année dernière notre proposition d'avoir accès au PV de l'AG a été refusée !! mais cette AG est diffusée en direct en streaming sur le web !


Nous tenterons aussi de communiquer sur notre compte Twitter:


https://twitter.com/aaapositifs


Toujours sur Twitter, il y a le hashtag: #SNBDivest qui est utilisé pour discuter du désinvestissement de la BNS des placements qui sont écologiquement nocifs.


On verra si d'autres hashtag autour de la BNS émergerons dans la journée.











Une AG sous haute sécurité


Pour terminer voici un aperçu du mur qui protège la BNS. La sécurité à été renforcée ces derniers jours pour se prémunir contre les tagueuses octogénaires.....


Nous ne ferons que passer devant. En effet, l'assemblée générale aura lieu 2 rues plus loin, au ...... Casino ! Tout un symbole ! 

Monsieur le Président du Conseil de Banque,

Messieurs les membres du Conseil de banque et de la Direction générale

Mesdames et Messieurs les actionnaires,

Jeunes étudiants, collégiens et élèves présents à la tribune, avenir de notre pays


Mon nom est François de Siebenthal de Lausanne et de Gstaad / Gessenay alias Saanen, membre notamment du Collectif AAA+ et de l’initiative « Monnaie Pleine » .


Je vais parler des réponses de M. Jordan que je remercie déjà. Nous nous étonnons des trop courtes réponses que M. Jordan nous a faites l’année dernière, en moins de 8 minutes. Je ne vais pas toutes les reprendre mais me concentrer sur les faits les plus importants.M. Jordan nous a répondu l’année dernière qu’il doit obéir à la constitution et aux lois, notamment monétaires et étudier leurs effets de manière ouverte ! Ouvertes pour qui ? Et que tout le monde sait comment les banques commerciales créent les francs suisses, un pour un, par exemple un franc UBS pour un franc suisse !


Et bien, ce n’est pas le cas et ses réponses sont incomplètes ou même fausses. Nous, suisses,  voulons de vrais francs suisses pour tous  !


On veut exactement ce que beaucoup pensent être déjà la réalité aujourd’hui, notamment que seule la Banque nationale produise les francs suisses, y compris tous les francs suisses de l’argent électronique et des crédits. 


Ceci est en adéquation avec l'intention initiale de la Constitution fédérale (dès 1891 l’article 36, « La monnaie relève de la compétence exclusive de la Confédération »). aujourd’hui l’article 99, toujours en vigueur, mais pas respecté...

1 La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d'émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération….
Les banques commerciales ne devraient déjà pas créer de l'argent ou de la monnaie en francs suisses, la constitution n'est pas respectée, ni son esprit, ni les considérants qui interdisaient à toutes les banques commerciales d'émettre leurs propres billets ( ce qu'ils font en fait à chaque crédit de facto, en catimini... ), nous sommes face à des abus inadmissibles, des vols qualifiés en bandes organisées de notre souveraineté monétaire, pour plus de 3 billions francophones, 3 suivi de douze (12) zéros, sic, des milliers de milliards, ou des millions de millions sic


Le total du bilan des comptes suisses et étrangers des banques en Suisseen 2015... 3'026’125,8 en millions, Source: https://data.snb.ch

Le bilan de la seule BNS se rapproche de mille milliards pour 8 millions d'habitants, sic, alors que celui de la FED est proche de 4'000 milliards pour 324 millions d'habitants  et qu'ils veulent le réduire, au risque d'une dépression mondiale gravissime. La seule solution est monnaie-pleine fédéraliste à la suisse, en tenant compte des 3C suisses, les Citoyens en familles et Communes, les Cantons et la Confédération.

Avec monnaie-pleine, la vérité est faite, elles ne seront dès lors plus autorisées à créer leur propre argent; elles ne pourront prêter que l'argent qu'elles auront reçu des épargnants, ou, en cas de besoin, de la Banque nationale. 

Commentaires de Maurice Allais, prix Nobel d’économie.

 « Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »


Même M. Le Conseiller fédéral Schneider-Amman trouve les bonus et parachutes bancaires actuels des stupidités

M. Jordan a dit l’année passée qu’il ne voulait pas de débat moral, sic… Qu’il fallait faire comme les autres, à l’international… Et bien NON, nous ne voulons pas de ça, pas de juges étrangers. Nous ne sommes pas naïfs, ils organisent des guerres atroces depuis des millénaires. La vocation de la Suisse est morale, la paix , la neutralité. Nous sommes un Sonderfall, un cas spécial. Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. 

Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
http://desiebenthal.blogspot.ca/2014/12/le-conseil-federal-suisse-admet-le.html

En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )...


Le dernier rapport annuel de la BNS montre que les autorités commencent à comprendre sur quel volcan on est tous assis et admettent que seulement en 2019, si tout va bien, nous pourrions mettre en œuvre leurs recommandations de prudence ! Et M. Trump change la donne !

Nous sommes pour une Banque Nationale vraiment Suisse, BNS 3.0, sans juges étrangers !
« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ». selon Victor Hugo

« ... encore faut-il qu'elle le dise ». Selon Denis de Rougemont dans son livre...

La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux.  Nous le disons maintenant, sinon, on risque une guerre nucléaire atroce...  La Suisse est pour la paix depuis des siècles, inspirons-nous de St Nicolas de Flüe dont on fête les 600 ans cette année.

 Restons donc vigilants et réclamons cette transparence à la suisse, démocratique et juste.   

Je vous remercie






Interventions à la BNS de ce jour

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En rouge... L'argent pour les armes tue...

Texte préparé notamment pour les traducteurs.

Monsieur le Président du Conseil de Banque, Messieurs et Mesdames les membres du Conseil de banque et de la Direction généraleMesdames et Messieurs les confédérés, surtout les représentants des Cantons car la Confédération n’a aucune action de la BNS. Jeunes étudiants, collégiens et élèves présents à la tribune, avenir de notre paysMon nom est François de Siebenthal de Lausanne et de Gstaad / Gessenay alias Saanen, diplômé HEC, du Collectif AAA+ et de l’initiative « Monnaie Pleine », où, comme Winkelried, on m’a poussé en tant que premier signataire du comité d’initiative. Je suis aussi membre de la plateforme Dignité et développement du mon diocèse et je travaille à l’étranger avec l’institut Louis Even pour fonder de petites démocraties économiques pour les plus pauvres, une synergie de banques Raiffeisen et Wir. Le Conseil fédéral m’a aussi décoré de la médaille Carnegie, ainsi que la SSS.

Je vais parler des réponses de M. T. Jordan que je remercie déjà, not. pour les traductions. Le rapport annuel et le site internet  sont excellents. Mais nous nous étonnons des courtes réponses que M. Jordan nous a faites, en moins de 8 minutes. Je ne vais pas toutes les reprendre mais me concentrer sur les faits les plus importants. M. Jordan nous a répondu l’année dernière qu’il doit obéir à la constitution et aux lois, notamment monétaires et étudier leurs effets de manière ouverte ! Ouvertes pour qui ? Et que tout le monde sait comment les banques commerciales créent les francs suisses, un pour un, par exemple un franc UBS pour un franc suisse ! Et bien, ce n’est pas le cas. La discussion à la TV de nos deux Sergio, Ermotti, PDG UBS et Rossi, Prof. À Fribourg, le prouve. 
http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/ermotti-pdg-dubs-ne-sait-pas-dou-vient.html

Dans cette salle avertie, la plupart ne savent pas que ce sont les crédits qui créent la monnaie des dépôts. Les politiques de rigueur des cantons détruisent en fait la monnaie, même l’équipe de Trump ne le comprend pas.  La Constitution fédérale (dès 1891 l’article 36, dit « La monnaie relève de la compétence exclusive de la Confédération »). aujourd’hui l’article 99, toujours en vigueur, mais pas respecté... 1 La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d'émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération….Les banques commerciales ne devraient pas créer et détruire des francs suisses, la Constitution n'est pas respectée, ni son esprit, ni les considérants qui interdisaient à toutes les banques commerciales d'émettre leurs propres billets ( ce qu'ils font en fait à chaque crédit de facto, en catimini... ), nous sommes face à des abus inadmissibles, des vols qualifiés en bandes organisées de notre souveraineté monétaire, pour plus de 3 billions francophones, 3 suivi de douze (12) zéros, sic, des milliers de milliards, ou des millions de millions…Distribuons l’abondance, au moins le nécessaire, maintenant techniquement possible, à tous.
Le total du bilan des comptes suisses et étrangers des banques en Suisse en 2015... est de 3'026’125,8 en millions, sans compter et les nouvelles technologies, notamment les nano-transactions, Source: selon la bns https://data.snb.ch
Le bilan de la seule BNS se rapproche de mille milliards pour 8 millions d'habitants, sic, alors que celui de la FED est proche de 4'000 milliards pour 324 millions d'habitants  et qu'ils veulent le réduire, au risque d'une dépression mondiale gravissime. La seule solution est monnaie-pleine fédéraliste à la suisse, en tenant compte des 3C suisses, les Citoyens en familles et Communes, les Cantons et la Confédération. Avec monnaie-pleine, la vérité est faite, elles ne seront dès lors plus autorisées à créer et détruire leur propre argent; elles ne pourront prêter que l'argent-titre qu'elles auront reçu des épargnants, ou, en cas de besoin, de la Banque nationale. Commentaires de Maurice Allais, prix Nobel d’économie. « Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. » "Les bonus élevés sont une bêtise", selon Johann Schneider-Ammann, Conseiller féd. M. T. Jordan a dit l’année passée qu’il ne voulait pas de débat moral, sic… Qu’il fallait faire comme les autres, à l’international… Et bien NON, nous ne voulons pas de ça, pas de juges étrangers. Nous ne sommes pas naïfs, ils organisent des guerres atroces depuis des millénaires. La vocation de la Suisse est morale, la paix, la neutralité. Nous sommes un Sonderfall, un cas spécial. Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon et moral. Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients... En résumé, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux... Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales ( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )... Le dernier rapport annuel de la BNS montre que les autorités commencent à comprendre sur quel volcan on est tous assis et admettent que seulement en 2019, si tout va bien, nous pourrions mettre en œuvre leurs recommandations de prudence ! Et Trump veut changer la donne !
Nous sommes pour une Banque Nationale vraiment Suisse en coopérative intégrale, une BNS 3.0, sans juges étrangers ! Les lois suisses doivent appliquées ( neutr., poll.). Mervyn King, PDG de la Banque d’Angleterre, a écrit que le système bancaire est le pire imaginable. Les risques sont énormes ! Vos réponses sont trop partiales. Nous voulons de vrais francs suisses, mais pas dans un système trop centralisé, ce qui serait encore pire ! On veut exactement ce que beaucoup pensent être déjà la réalité aujourd’hui, notamment que seule la Banque nationale produise les francs suisses, y compris tous les francs suisses de l’argent électronique et des crédits, distribués à tous, en décentralisation maximum. 

Conclusion : « Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot », selon Victor Hugo « ... encore faut-il qu'elle le dise ». Selon Denis de Rougemont dans son livre... La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux.  Nous le disons maintenant, sinon, on risque une guerre nucléaire atroce...  La Suisse est pour la paix depuis des siècles, inspirons-nous de St Nicolas de Flüe dont on fête les 600 ans cette année et qui est représenté dans le palais fédéral et notre devise suisse. Un pour tous, tous pour un

 Restons donc vigilants et réclamons cette transparence à la suisse, démocratique et juste.   Je vous remercie.                                                      V.7

Notre proposition d'actionnaires liée au dividende vise à démontrer la dilution du pouvoir d'achat du franc suisse depuis au moins 2008, suite à l'augmentation de 7 fois du bilan de la BNS. La BNS crée de l'argent «ex-nihilo» en ajoutant des dettes au passif tout en ne payant pas les achats d'actifs étrangers auprès des banques. À partir de 2008, le passif ajouté a été d'environ 600 milliards à partir d'un passif de 100 milliards en 2008: une multiplication par 7. Cette multiplication de monnaie dilue mathématiquement le franc suisse d'un facteur 7. Il n'est pas visible dans les prix courants car les banques centrales d'autres pays font la même chose voire plus. Mais nous pouvons voir l'effet à long terme de la dilution de la monnaie dans les actions de la BNS. Coïncidence parfaite, au 31 décembre 2016, l'action BNS était cotée à 1750 francs, soit 7 fois plus que sa valeur nominale de 250 francs. Le marché reflète donc par un heureux hasard notre démonstration mathématique de cette dilution monétaire à long terme. L'effet de dilution est encore plus nuisible pour les biens immobiliers ou sur l'épargne à long terme comme les fonds de pension. Nous pensons que c'est une cause fondamentale des problèmes de financement des fonds de pension en Suisse et dans d'autres pays. Le véritable objectif de notre proposition est notre volonté d'ouvrir un débat scientifique sur l'effet de la création monétaire sur l'économie réelle. Nous savons tous que la première «Arme de destruction économique de masse» a toujours été la création de monnaie, des guerres de Napoléon, de la guerre d'indépendance des États-Unis, de la 2e Guerre Mondiale ou du conflit entre le Pakistan et l'Inde. Connaissez-vous une étude scientifique qui décrit les effets mathématiques de la création de grande masse de fonds monétaires sur l'économie? Est-ce que ces effets mathématiques changeraient selon le nom du créateur de la monnaie? La multiplication par 7 entre le prix historique des actions BNS et le prix actuel du marché est un symptôme selon lequel «quelque chose est pourri dans le royaume monétaire»: nous voulons en savoir plus sur les mécanismes sous-jacents. 

Notre plus grande victoire c'est les médias internationaux qui relaient notre démonstration. Ci-dessous l'article publié par l'agence Reuters.



Swiss central bank shareholders lose battle over dividend hike






By John Revill | BERN
Shareholders mounted an unsuccessful revolt against the Swiss National Bank on Friday for a higher payout from the central bank whose massive currency interventions helped it post a 24.5 billion Swiss franc (19.22 billion pounds) profit in 2016.
The Swiss National Bank, a rare central bank with listed shares, has seen a surge in interest from investors seeking alternative assets in a world of low interest rates.
Its stock (SNBN.S) has gained nearly 60 percent over the last year, but some shareholders are disgruntled with the payout that by law has been frozen at 15 francs for nearly a century.
A group of private shareholders proposed changing the bank's rules to allow a higher payment, saying the bank's foreign currency purchases had diluted the value of the Swiss franc.
"Our proposal aims to demonstrate the dilution of the purchasing power of the Swiss franc following the seven-fold increase in the SNB's balance sheet since the financial crisis," said shareholder Blaise Rossellat.
The Geneva businessman said the SNB was creating money out of thin air to buy foreign assets and not investing in Switzerland.
He said it was a perfect coincidence that SNB shares were quoted at 1,750 francs at the end of 2016, seven times more than its nominal value of 250 francs.
The SNB dividend is capped at 6 percent of its share capital of 25 million francs, allowing payment of 1.5 million francs.
For 2016 it paid 1.7 billion francs to the federal government and cantons. Remaining profit went into SNB reserves.
The rebel shareholders wanted a payout limit of 6 percent of the market value of the SNB's shares, which could have potentially increased the dividend to 105 francs.
"We are being treated as third-class shareholders," one supporter of the motion told fellow investors.
The motion was aimed not simply at a higher payout, but also to limit the central bank's foreign currency inventions and foster a debate about money creation and the effect on the Swiss economy, Rossellat said.
"The seven-fold multiplication between the historical price of SNB shares and the current market price is a symptom that something is rotten in the monetary kingdom," he said.
The SNB board opposed the motion, which was defeated with 87 percent of votes against a change. Individual shareholders' voting rights are capped at 100 votes, skewing the results. Cantons and cantonal banks control the majority.
SNB shares fell 2.8 percent to 1,845 francs by 1050 GMT.
(Reporting by John Revill, editing by David Evans)

à la TV suisse, après 19h34

http://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/19h30?id=8461489

Chers amis et sympathisants de l'Alliance climatique 

Ce matin, sur la Place fédérale, avec vue sur le siège de la Banque nationale suisse (BNS) et sur le Palais fédéral à Berne, nous avons réitéré notre demande à la Banque nationale pour qu’elle renonce à investir dans le pétrole, le gaz et le charbon.

Les 135 personnalités et les plus de 3000 cosignataires de la lettre ouverte à la Banque nationale suisse remise la semaine dernière à la direction demandent à la BNS d’adopter une stratégie de placement compatible avec la protection du climat. Les émissions de CO2 dues aux investissements de la BNS dans les entreprises d’énergie fossile aux Etats-Unis sont de même ordre que les émissions annuelles totales de la Suisse.
Mais la BNS persiste et signe dans son opposition au simple bon sens climatique. À l'assemblée générale, elle a censuré une motion du groupe d’actionnaires  «Assemblée des Actionnaires Actifs Positifs» qui allait dans le sens de nos revendications.
Soyez certains que nous ne lâcherons pas le morceau. Nous continuerons à faire monter la pression politique pour obtenir la fin des investissements de la BNS dans les énergies fossiles. La lettre ouverte est un premier pas, très important, qui a eu un écho médiatique international.
Merci beaucoup de votre soutien renouvelé. Vous aurez bientôt de nos nouvelles.

Susana Jourdan, Artisans de la Transition et La Revue Durable
Christian Lüthi, 
Directeur, Alliance climatique suisse

Nos partenaires sont fossil-free.chAssociation Climat GenèveGrand-Parents pour le ClimatCoordination Climat Justice Sociale et Noé21.
P.S. Nous vous invitons à participer activement à la Global divestment mobilisation qui aura lieu dans le monde entier du 5 au 13 mai. Voici le programme en Suisse romande.






Alliance climatique suisse/Klima-Allianz Schweiz
c/o Alliance Sud
Monbijoustrasse 31
3011 Bern
christian.luethi@klima-allianz.ch

Chahuts à la BNS et au CS

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La joie de deux combattants pour le bien commun, après la bataille


Pour une meilleure gestion des investissements, sur la place fédérale à Berne.

Le Téléjournal officiel suisse de 19h30 hier soir sur cette AG de la BNS était très fort et on y voyait notamment la fin de l'intervention énervée de Gérard qui a servi à alimenter le commentaire.

En ligne sur


N'oubliez pas de cogiter avec vos amis pour un contre-projet à www.monnaie-pleine.ch ou un projet de loi tout rédigé, incluant la nouvelle BNS 4.0


Bon week-end.

f.

PS: Prochains rendez-vous, le 4 mai à Lausanne avec Draghi, Jordan etc... mais il faut s’inscrire tout-de-suite: http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/remise-de-la-medaille-dor-de-la.html et à Genève ou Lausanne le 16 mai dès 19h30

Récapitulation de Chloé:

Voici les vidéo téléchargées directement depuis le live de l’AG de la BNS de ce matin. Merci à Gérard Foucher d’avoir fait le téléchargement et de nous avoir transmis les précieuses vidéos !


Et voici le téléjournal de ce soir qui parle de l’une de nos actions : la dénonciation des investissements de la BNS dans les armes et les énergies fossiles (à regarder dès 4:46) https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/19h30?id=8579475

Plus sur:


La monnaie scripturale des banques commerciales est créée en grande partie par le crédit bancaire, nous avons donc payé leurs amendes par la dilution de notre monnaie ! ;-(. sic, la classe moyenne est le dindon de cette sinistre farce ridicule et grotesque, et même les PDG ne le comprennent pas vraiment...



Les salaires des patrons des grands groupes suisses. 

(awp) 
Société nom salaire total (fixe, part variable) 

UBS Sergio Ermotti 14,3 mio CHF

Credit Suisse Tidjane Thiam 18,9 mio CHF 

ABB Ulrich Spiesshofer 9,1 mio CHF 

Julius Bär Boris Collardi 6,2 mio CHF 
LafargeHolcim Eric Olsen 5,8 mio CHF 
Nestlé Paul Bulcke 9,1 mio CHF 
Novartis Joseph Jimenez 11,6 mio CHF 
Roche Severin Schwan 11,95 mio CHF 
SGS Frankie Ng 4,95 mio CHF 
Swatch Nick Hayek 6,9 mio CHF 
Swiss Life Patrick Frost 7,02 mio CHF 
Transocean Jeremy Thigpen 10,9 mio USD 





Blaise Rossellat 3 mars 10:53

Oui, Ana Sailland, un joli dossier datant de 2008 qui a permis de sauver le Crédit Suisse de la faillite.

Pourquoi le Crédit Suisse attaque en justice un journaliste d'investigation alors que le Ministère public de la Confédération n'a pas jugé bon d'attaquer cette banque lors du délit pénal dont elle s'est rendue coupable à l'époque en 2008 lors de l'augmentation de son capital, la FINMA ayant couvert la fraude?!?

Les banques, nous les laissons faire leurs magouilles tranquille, car la FINMA, dirigée de main de maître par Mark Branson, citoyen britannique, ancien directeur d'UBS Japon et accessoirement inculpé dans l'affaire des taux du Libor ferme les yeux sur les délits financiers de nos "chères" banques qui n'ont de Suisse plus que le nom!!!!

Voici ci-dessous l'article d'un avocat, bien plus perspicace que le ministère public de la Confédération...

"Il a fallu la révélation d’une nouvelle affaire à charge de Barclays révélée par la presse anglaise pour qu’il sorte publiquement que… le Credit Suisse avait fait la même chose en catimini: soutenir son cours et augmenter fictivement ses fonds propres par un crédit de 10 milliards de francs à un tiers pour souscrire dans son augmentation de capital. Et ce tiers est le même, le Qatar. En Angleterre la FSA et le Serious Fraud Office enquêtent sur cette manipulation – par laquelle Barclays avait visé à éviter de devoir être bailed out ou quasi-nationalisée comme à cette même époque RBS et Llodys TSB. Il y a là le problème technique, de fond: une souscription fictive de capital n’améliorant que fictivement les fonds propres avec la manipulation de cours que cela entraîne. Il y a le problème contextuel d’un secteur dirigé par des bandits prêts à tout pour conserver leur indépendance et leurs bonus – cette question ayant été centrale sur la période 2007-2009. Pour Barclays qui est décidément de tous les mauvais coups, il y a encore des suspicions de trafic d’influence, corruption et faux, certaines écritures et paiements ne correspondant probablement pas à la réalité de certains arrangements, au demeurant dépourvus de sens commercial, entre la banque et le Quatar. Mais en Suisse? Eh bien le Credit Suisse a fait la même chose apparemment avec l’accord de la Finma. Le double problème de fond évoqué ci-dessus se double d’un troisième aussi grave: cette opération n’a pas été révélée – alors qu’elle constitue pourtant un délit au-delà de la grave manipulation comptable et boursière qu’elle constitue.
Mais dans la bucolique Dysfunctioning Corporate Switzerland, tout le monde s’en moque et ce n’est qu’à la faveur d’un article du FT que quelques entrefilets furent publiés en page 9 ou 14, par Le Temps par exemple le 4 février, mais reprenant l’information brute du FT sans aucune analyse ni commentaire supplémentaire. Aucun émoi ni sur la manipulation des fonds propres, ni sur la manipulation boursière, ni pire encore sur l’absence de transparence de cette opération. Est-ce le fait que la Finma semble avoir autorisé cette opération? Il est compréhensible que le ré-haussement des fonds propres du Credit Suisse ait été un élément crucial et impératif dans la crise catastrophique de l’automne 2008. Le seul motif exprimé du bout des lèvres pour justifier une opération autrement illicite réglementairement est celle-là: éviter une market uncertainty au pile moment du sauvetage de l’UBS. Et il est vrai que de devoir suspendre la cotation d’une banque ou les retraits, ou qu’elle se trouve en état de faillite comptable, constituaient des préoccupations réelles de la Finma et des régulateurs à l’époque. Mais son accord n’en rend certainement pas l’opération licite, encore moins au plan pénal, ni ne justifie l’absence de transparence et d’information des actionnaires s’agissant d’un groupe coté. Le communiqué de presse du Credit Suisse du 16 octobre 2008 mentionne l’augmentation de capital et l’intervention de Qatar Holding – mais naturellement pas le crédit.
Y aura-t-il une interpellation parlementaire ou tout le monde s’en moque-t-il définitivement en Suisse, sachant que les autorités de poursuite pénale ne feront rien, n’en ayant ni les ressources, ni les connaissances, ni l’envie? Scary en tout cas sachant que c’est… la Finma qui disposera très prochainement de compétences élargies en matière de répression des délits d’initiés et abus de marché dans la nouvelle LBVM. Problématique et dépassé également qu’elle ne soit pas soumise à la LTrans. Ah oui dernière chose, le crédit à Qatar Holding n’avait pas à être révélé dans le cadre de l’augmentation de capital d’octobre 2008? Trois coups de bâtons à celui qui prétendra que cela est exact, que c’était une opération de crédit autonome distincte de l’augmentation de capital. C’était-là à l’évidence un fait susceptible d’avoir un impact sur le cours et devant donc être révélé. Et quelqu’un s’est-il posé la question du délit d’initié pour les opérations sur titres Credit Suisse de ceux qui connaissaient l’existence de ce prêt? Ah? Il fallait?"

Jean-Cédric Michel - Freethinkers

http://www.revolawtion.ch/a-propos/








François de Siebenthal: BNS: Vous devez en être tous, suisses et ...

desiebenthal.blogspot.com/2017/02/bns-vous-devez-en-etre-tous-suisses-et.html

6 févr. 2017 - et dans les industries du carbone polluant ( gaz de schistes, cracking, . ... 2016 04 20 Francois de Siebenthal BNS podcast - YouTube.

François de Siebenthal: Pour une Banque Nationale vraiment Suisse ...

desiebenthal.blogspot.com/2015/07/pour-une-banque-nationale-vraiment.html

7 juil. 2015 - La BNS de papa, son symbole, St Martin qui donne la moitié de son ... investit dans legaz de schiste américain CONTRE le solaire suisse... etc.

Hallo zämä,

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Schöner Sonntig
Beste Grüsse
Dani
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