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Vers une société des communs".

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18.05.2017 18h30 – 20h00 CONFÉRENCE DE MICHEL BAUWENS, P2P FOUNDATION, SUR SON NOUVEAU LIVRE-MANIFESTE Conférence Michel Bauwens, le fondateur de la Peer-to-Peer Foundation, sera à Lausanne le 18 mai pour une conférence à l'Espace Dickens organisée par la Fondation Charles Léopold Mayer en partenariat avec Frédéric Sultan du réseau francophone des communs. Michel Bauwens, connu internationalement comme un des pionniers du mouvement des communs et de l'économie pair-à-pair, viendra présenter son nouveau livre-manifeste publié en avril 2017 aux Editions Charles Léopold Mayer: "Manifeste pour une véritable économie collaborative - vers une société des communs". Dans cet ouvrage, Michel Bauwens et Vasilis Kostakis décrivent et expliquent l’émergence d’une dynamique du P2P fondée sur la protection et le développement des communs, et la replacent dans le cadre de l’évolution des différents modes de production. Cette nouvelle modalité de création et de distribution de la valeur, qui favorise les relations horizontales, crée les conditions pour une transition vers une nouvelle économie, respectueuse de la nature et des personnes, une véritable économie collaborative. Il s'agit d'une synthèse inédite articulant philosophie, politique, économie et culture dans une même stratégie concrète de changement de système. Sa présentation d'une heure environ sera suivie d'un état des lieux sur les dynamiques des mouvements et assemblées des communs en Europe par Frédéric Sultan, puis d'un échange avec les participants. Des exemplaires du livre de Michel Bauwens seront offerts à l'issue de la conférence. PROGRAMME 18h30-19h30 : conférence 19h30-20h00 : débat dès 20h00 : apéritif - entrée libre - CONFÉRENCIERS Michel BAUWENS Peer-to-Peer Foundation Frédéric SULTAN Réseau francophone des communs

Famille de Siebenthal

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Saint Materne, le fils de la veuve de Naïm et le dernier message du Pape en Suisse à l'Allmend de Berne pour les JMJ 2005. Les anciennes traditions ...

Famille de Siebenthal

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von Siebenthal. Siegenthal. Sieggental. Siegenthaler. Septem ... Les domaines sont souvent communs ( allmend) et les décisions sont prises depuis des siècles ...

François de Siebenthal: Allmend suisse, la solution à la crise. Paris le ...

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27 déc. 2009 - Les domaines sont souvent communs ( allmend) et les décisions sont ... secret de la réussite suisse qui se trouve sur www.de-siebenthal.com.

François de Siebenthal: La puissance des voisinages, Communs et ...

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24 févr. 2016 - La puissance des voisinages, Communs et allmend à la suisse. Voisinages et Communs Le point de départ de ce petit livre de p.m. est un ...

La Couronne, le bois de la Croix et un clou chaque premier vendredi à Paris

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Vénération de la Sainte-Couronne d’Epine le 2 juin à Notre-Dame de Paris

‘La vénération de ces reliques présentées aux fidèles a lieu chaque premier vendredi du mois à 15h00, chaque vendredi de carême à 15h00 et le Vendredi Saint de 10h00 à 17h00.

En temps normal, la couronne d’épines n’est pas exposée au public. Seuls les deux reliquaires du xixe siècle offerts par Napoléon Ier et Napoléon III sont présentés en permanence dans le Trésor de la sacristie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris

La Couronne, les reliques du bois de la Croix et un clou de celle-ci sont présentés à la vénération des fidèles chaque premier vendredi du mois à 15h, tous les vendredis de carême à 15h et le Vendredi Saint de 10h à 17h33.

Depuis 1806, la Sainte Couronne d'épines n'a quitté que rarement le trésor de Notre-Dame de Paris : en juin 1939 pour le 700e anniversaire de son arrivée en France (le cardinal Verdier, archevêque de Paris, refait avec la relique un pèlerinage symbolique de Sens à Paris37), en août 1997, à l'occasion de Journées mondiales de la jeunesse à Paris (elle est exposée quelques jours dans la Sainte chapelle) et en mars 2014 pour marquer le 800e anniversaire de la naissance et du baptême de saint Louis (exposition dans la Sainte chapelle et dans la collégiale Notre-Dame de Poissy)38.

Crédit Social, analyse du coût

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Ci-dessous, cet article de Olivier Heydorn sur l'analyse des coûts qui, dans le processus actuel de production-distribution, fausse complètement le pouvoir d'achat du plus grand nombre et empoisonne au sens strict la vie économique et sociale du monde entier. La mondialisation ne fait que répandre sans limite l'intoxication financière létale. 

Deus in Adjutorium

Renaud

*

The Social Credit Analysis of Cost
31 août 2016
SITE DU CRÉDIT SOCIAL (en anglais) (traduction automatique par Google revue, corrigée et adaptée en français)

Crédit Social, analyse du coût
d'après Olivier Heydorn (Canada) (adapté en français par Renaud  L a i l l i e r)

Dans un souci de simplicité, l'acte d'accusation de l'"ordre"économique actuel par rapport au Crédit-Social ou son équivalent exact la Démocratie Économique, pourrait se résumer ainsi: le système financier n'est pas auto-liquidable. La plupart des échanges économiques ne sont jamais à solde = 0.

Si l'on conçoit le système financier, qui est principalement composé des systèmes bancaires et de comptabilité analytique, comme une sorte de recouvrement fait par un logiciel informatique qui lit et représente des faits et des actes économiques physiques en mesurant l'activité économique, l'idée de base du Crédit-Social (ou de la Démocratie-Économique c'est pareil) est d'équilibrer automatiquement l'accumulation de - tous - les prix à payer d'une part, pour: 
A) la consommation quotidienne nécessaire à la vie, donc à la survie de chacun et de tous dans la société (alimentation et eau potable, énergie, logement, vêtements, enseignement et instruction, santé, etc) 
ET d'autre part, pour:
B) la consommation nécessaire à toute la production (les matières premières, leur extraction, transports, fabrications avec tous les approvisionnements que cela nécessite en biens et services de fabrications, etc,). Ceci donne une 
consommation totale formée de l'addition de la consommation des besoins de chacun et de toute la société pour survivre et vivre, à laquelle s'ajoute toute la consommation nécessaire à la production de tous les biens (bien de capital, machines, etc) servant donc à fabriquer les biens et les services à consommer. 
C'est ainsi que pour la distribution du revenu, le logiciel doit être conçu pour générer un flux de coûts et donc de prix accumulés au cours de la production générale de tout bien ou service ayant été produit. On sait maintenant, car plusieurs fois confirmés (dans les conditions actuelles) que ces coûts dépassent nécessairement le pouvoir d'achat du consommateur. Ce pouvoir d'achat qui est, en même temps que le processus de production, versé sous forme de salaires (auxquels pourrait s'ajouter un dividende); au passage, ça marche depuis très longtemps dans le capitalisme le plus classique avec l'actionnariat, pourquoi ça ne marcherait pas dans le domaine de la production physique et les gains de productivité? (j'ai des exemples parfaitement probants) et, au passage encore, il faut penser au revenu de base individuel garanti provenant des gains de productivité historiques et d'actualité; les inventeurs et les prêteurs ayant reçu leur récompenses légitimes. Cela devrait permettre la monétisation progressive de tous progrès techniques (et ne pas oublier que, désormais, nous comprenons qu'un progrès est vraiment un progrès, que s'il tend à un dommage minimum, idéalement vers 0, à l'environnement et à l'écosystème, sinon, à terme, on resterait comme maintenant à polluer sans limite).

Il résulte de la situation actuelle un manque chronique de pouvoir d'achat des consommateurs vis-à-vis des biens et services offerts, c'est-à-dire du pouvoir d'achat qui n'est pas délivré de l'hypothèque bancaire sur les futurs revenus ...

Un système financier autofinancé maintiendrait toujours les prix et les revenus des consommateurs en équilibre automatique. De sorte que l'acte de produire un volume déterminé de biens et de services distribuerait toujours, ipso facto, un pouvoir d'achat suffisant pour liquider, c'est-à-dire annuler une fois pour toutes, les valeurs de prix correspondantes.
Le système actuel n'est pas auto-liquidable précisément parce qu'il génère des prix à un rythme plus rapide que celui de distribuer le revenu nécessaire à la consommation auquel ces prix pourraient et devraient correspondre.

J'ai déjà expliqué, dans l'article du mois dernier, pourquoi ce déséquilibre structurel entre les prix et les revenus est faux, tant sur le plan éthique que pragmatique. L'objectif du présent article sera d'élucider ce qui est responsable de l'écart très injuste entre les coûts totaux de production et les prix totaux de vente.

Peut-être serait-il préférable de commencer par souligner que le manque de pouvoir d'achat des consommateurs qui est en cause ici n'est PAS causé par des profits (y compris les bénéfices tirés des intérêts sur les prêts) par le réinvestissement de l'épargne dans de nouvelles entreprises productives, ou par les politiques déflationnistes qui sont souvent, en période de ralentissement économique ou de crise financière, adoptées par les institutions financières. Douglas a admis que ces facteurs, et quelques autres, pouvaient exacerber une déficience du pouvoir d'achat de diverses manières, mais ils n'étaient pas la cause primordiale de ce qui est connu dans les investigations sur le Crédit-Social comme «l'écart» entre les coûts de production et les revenus des consommateurs toutes catégories confondues (les consommateurs sont majoritairement aussi des producteurs et ces derniers sont les seuls qui donnent sa valeur à la monnaie).

L'écart récurrent entre le prix de vente et le revenu des consommateurs est dû à un défaut comptable, ou plutôt à une double faille comptable liée à la façon dont le capital réel (les biens de capital) c'est-à-dire les machines et le matériel, est financé et comment ces coûts sont ensuite déterminés par rapport à tout revenu de consommateurs pendant toute la durée de l'amortissement des investissement plus les phases de production, donc les coûts, l'entretien et le remplacement de l'arsenal de production, sont inclus dans l'amortissement du capital réel (les biens de capital).

Il y a deux catégories de coûts qui sont associés au capital réel:

Les frais d'investissement, les prélèvements des sociétés pour récupérer les coûts financiers de l'achat ou de l'installation  d'usines, avec l'achat de machines et d'autres équipements de production et les charges d'exploitation, etc, pour couvrir les frais d'exploitation de ce capital réel qui comporte ses frais d'entretien et d'amortissement ou de remplacement.

Ensemble, ils constituent la composante des coûts en capital qui figure de façon si importante dans la structure des prix de vente de tout bien ou service produit à l'aide de méthodes industrielles et ces coûts sont donc payés directement au quotidien puisqu'ils sont inclus dans les prix de vente.

En vertu des conventions financières existantes, les entreprises (ou toutes autres organisations productives) doivent récupérer la valeur financière du capital réel lui-même afin de rembourser les prêts bancaires habituellement utilisés pour acheter ou fabriquer le capital réel (ou biens de capital).

Pendant toute le parcours et la durée de la fabrication, des financements sont nécessaires pour couvrir tous les coûts de cette fabrication industrielle. C'est ainsi qu'il existe donc deux sortes de financements obligatoires, l'un pour faire face aux coûts purement financiers, l'autre pour faire face aux coûts de la fabrication elle-même (qui inclut le versement des salaires) et des consommations qu'exige toute production de biens et de services.

Nous pouvons nous référer à ce phénomène comme «le double coût du capital réel».

Pour rendre la situation plus concrète, permettez-moi cette illustration de base à titre d'exemple. 
Mon beau-frère, qui est un entraîneur sportif et possède sa propre entreprise de conditionnement physique, a récemment emprunté 100 000 us-dollars à une banque pour acheter des équipements d'exercice physique. Afin de rembourser le prêt (nous ignorerons les paiements d'intérêts), il doit collecter 100 000 USD dans les facturations à ses clients, mais il doit également inclure des frais d'amortissement de 100 000 USD afin que les machines puissent être remplacées le moment venu -> car il doit aussi facturer immédiatement ces coûts à intégrer dans sa comptabilité.
Cela signifie que, en termes de coûts d'investissement seulement, mon beau-frère doit finalement récupérer 200 000 dollars dans ses prix de vente aux consommateurs (sans même parler des frais d'entretien).

Même si nous supposons (ce qui est invariablement contraire aux faits) que le coût initial de fabrication des machines a été entièrement redistribué comme revenus aux travailleurs qui fabriquèrent les machines, seuls 100 000 USD auraient été distribués aux consommateurs en vertu de ces mêmes machines.

En clair, 100 de revenu de consommateur ne peut pas compenser 200 dans des prix. Si, à titre d'exemple, les 100 dans les poches des consommateurs servaient à rembourser le prêt bancaire de 100, la dette et le pouvoir d'achat s'annuleraient mutuellement (chaque prêt bancaire crée un dépôt et le remboursement de chaque prêt bancaire détruit ce dépôt), mais cela laisse derrière lui des équipements dont la valeur de 100 sur le prix devrait être calculée en fonction des prix et sur lesquels aucun pouvoir d'achat n'a été mis à disposition. 
Autrement dit, l'ensemble des revenus des consommateurs qui leur sert à acheter des produits ne "couvrent" qu'une partie du prix de vente.
Clifford Hugh Douglas au début du 20ème siècle et Margrit Kennedy à la fin du même siècle ont bien pointé cet écart irrattrapable entre les revenus et les prix de vente. 
Pour la "petite" histoire, qui devient la plus grosse histoire tragique qui terrasse l'humanité, car c'est une "histoire" silencieuse et non spectaculaire, on peut rappeler que pour pallier à cet écart entre prix de vente et revenu, on a donc recours au - crédit - pour compenser ce manque de pouvoir d'achat lors de l'achat d'un bien; mais à terme, cela aggrave la situation... En effet, dans un premier temps, si cela est à peu près
 viable pour des prêts ordinaires et espacés pour la consommation, cela devient à terme la spirale infernale et fatale et sans fin du naufrage dans les dettes individuelles et collectives trop connues...

Or, si nous acceptons le principe selon lequel le système financier doit refléter exactement ou isomorphiquement les réalités physiques de l'économie, le double calcul du coût du capital réel est manifestement une erreur.

Plus spécifiquement, les charges d'investissement ne correspondent à aucune consommation physique ou réelle. Si elles doivent être traitées comme des catégories distinctes ou additionnelles de coût (c'est le cas dans le système actuel) elles n'ont pas leur place ici et sont complètement illégitimes.

Dans le système actuel, non seulement les frais d'investissement sont mal placés, voire illégitimes, mais si l'on observe bien, aucun pouvoir d'achat du consommateur ne se trouve créé automatiquement ni distribué au cours du processus de production en raison des frais d'investissement avec lesquels ces charges pourraient être compensées et liquidées.

Afin d'obtenir une image plus claire du rôle que jouent les charges d'investissement dans la structure des prix de vente des biens et des services, imaginez une chaîne de production impliquant un certain nombre d'entreprises différentes qui contribuent à divers stades à la fabrication de produits. Toutes les entreprises de cette chaîne inter-entreprises de production qui disposent d'emprunts en capital en circulation intègreront une charge dans le prix de leur production intermédiaire pour respecter leurs échéanciers de remboursement et qui seront répercutées sur les entreprises subséquentes. 

Ces entreprises subséquentes demanderont à leur tour de nouveaux emprunts auprès des banques pour obtenir leurs matières premières, car la plupart des productions quotidiennes reposent sur des lignes de crédit renouvelables ou sur des découverts. Tout montant emprunté qui est utilisé pour payer, directement ou indirectement, les frais d'investissement des entreprises précédentes sera détruit dans les remboursements de prêts. Ainsi, bien que ce flux de crédit aux producteurs qui est affecté aux frais d'investissement contribue à l'accumulation des prix, il ne libère jamais de pouvoir d'achat pour les consommateurs avec lesquels les charges d'investissement peuvent être satisfaites. Pour cette raison, la composante des prix pourrait être assimilée au phénomène astronomique d'un trou noir. Il est théorisé que même la lumière elle-même ne peut échapper à un trou noir une fois qu'elle a franchi l'horizon des événements. De la même manière, l'argent, sous forme de crédit au producteur, entre dans le "trou" d'investissement à divers stades de la production, mais ne sort jamais comme revenu du consommateur ou sous toute autre forme. En plus de cela, chaque étape dans la production aura généralement ses propres frais d'investissement à ajouter aux prix de vente, le trou est comme une boule de neige de la dette toujours croissante qui est transmis de producteur en producteur dans la chaîne de production jusqu'à ce que les produits fini soient mis en vente finale auprès des consommateurs, donc normalement liquidé par l'achat du consommateur.

Le premier défaut comptable peut donc se résumer comme suit: des "impôts" sont perçus correspondant à la -valeur financière- du capital réel qui n'est pas représentée ou égalisée dans le revenu du consommateur et qui n'a aucun rapport avec la consommation physique de ces actifs productifs.

Il y a cependant un second problème. Non seulement le système financier inclut une catégorie illégitime de coût pour lequel aucun pouvoir d'achat n'est distribué, mais il ne fournit pas non plus suffisamment de revenus aux consommateurs pour satisfaire intégralement les coûts légitimes en capital qui peuvent être liés à la consommation de capital réel (biens de capital).

Pour revenir à l'exemple de mon beau-frère, il est vrai que si 200 avaient été distribués aux fabricants d'équipements comme salaires, salaires et dividendes, il y aurait suffisamment de pouvoir d'achat du consommateur libéré au cours de la production pour répondre aux coûts d'amortissement de l'équipement tel qu'il est consommé par l'activité de mon beau-frère. Et il est tout à fait approprié que les consommateurs paient pour l'utilisation du capital réel qui est employé dans la fabrication des biens et services que ces consommateurs achètent.

Toutefois, dans la pratique, chaque fois que le capital réel est fabriqué, la valeur totale du prix de ce capital réel (biens de capital) n'est pas distribuée en tant que revenu aux consommateurs.

Pourquoi? Pour la simple raison que ces entreprises productrices de capital réel (bien de capital) les machines, etc, sont comme les autres, elles ont également leurs propres frais d'investissements et de recouvrements et tous les emprunts qu'ils doivent effectuer pour l'achat de matières premières et de services d'autres entreprises, lesquelles, doivent couvrir en partie les divers coûts en capital de toutes les autres entreprises dans les chaînes de production respectives, etc. En d'autres termes, peut-être seulement 50 dollars pourraient avoir été distribués aux consommateurs à tous les stades de la production des machines en exercice. Encore une fois, comment 50 de revenus peuvent-ils compenser 100 de prix? Ils ne le peuvent pas.

La deuxième faiblesse comptable du capital réel pourrait donc être résumée de la manière suivante: une certaine proportion du crédit à la production qui est dépensé au cours de la production du capital (usines, machines, etc) et qui figure ainsi dans les prix des biens d'équipement et des services est verrouillé dans le système producteur et ne sort jamais du système de consommation pour la production, ou du moins pas au même rythme que celui où il est immobilisé, car les valeurs de prix accumulées au cours du processus de la production de capital réel (usines, machines, etc) dépassent les revenus qui sont simultanément distribués, laissant un écart entre les prix de vente et les revenus.

En résumé, le caractère non liquidable du système financier actuel est principalement dû à la nature des coûts en capital pour la production, car ceux-ci sont calculés selon des conventions standards. Si les revenus des producteurs doivent couvrir
la rémunération du capital investit, et ceci au quotidien par leurs achats, c'est autant de pouvoir d'achat en moins, c'est arithmétique.

Vous ne pouvez pas laisser se créer une insuffisance globale de revenus quand ces revenus paient au quotidien pour des investissements qui n'ont pas encore généré de production. Il devrait également être clair que la situation ne cesse de dégénérer. Puisque la tendance générale du progrès technique et économique est que le capital réel (par exemple la robotisation) remplace la main-d'œuvre par l'automatisation croissante dans le processus de production, les coûts en capital augmentent continuellement par rapport au coût de la main-d'œuvre qui diminue, et ce, en proportion des coûts totaux et donc des prix. En d'autres termes, non seulement le système financier n'est pas auto-liquidable, il est de plus en plus non liquidateur avec tous les inconvénients à la clé du manque chronique et croissant de pouvoir d'achat.

Du point de vue du Crédit Social (ou Démocratie Économique), ce fossé structurel et toujours croissant entre les prix et les revenus est le problème social central.

Tel est le défaut technique essentiel dans l'économie et son financement. Ce défaut qui afflige notre civilisation actuelle, car si l'on n'y remédie pas à temps, cela peut conduire à la fin de cette civilisation. C'est-là un agent corrosif qui sape et absorbe silencieusement et progressivement tout ce qui est encore sain dans la structure et le fonctionnement de la société humaine relevant du système financier. L'écart entre les prix et les revenus menace de dissoudre complètement le «crédit» (ou crédit-social c'est pareil) de la société qui, pourtant, sait de mieux en mieux produire et où les êtres humains agissent -naturellement- en association pour atteindre les résultats positifs escomptés que sape continuellement ce système financier délétère et destructif.

Le pourquoi et le comment de la situation désastreuse dans laquelle nous nous trouvons sera l'objet de l'article du mois prochain.

«Le jeûne, une nouvelle thérapie?»

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RECONQUÊTES par Slobodan Despot


LES PROMESSES DE LA FAIM

Introduction

Ainsi que je l’annonçais dans le dernier Antipresse, j’ai décidé de créer une nouvelle rubrique «où l’on parlera des choses qui nous concernent et nous affectent au plan le plus concret». Or, comme cela arrive souvent, le choix d’un nom pour cette nouvelle rubrique aura englouti bien plus de temps que la rédaction du premier texte. En fin de compte, elle s’appellera Reconquêtes.
Rien de belliqueux dans cette appellation. Ou plutôt si: l’annonce d’une lutte féroce pour la reconquête de territoires qui nous sont propres mais dont nous sommes dépossédés. La modernité, c’est l’aliénation: tous les philosophes vous le diront, mais les philosophes ne savent que broyer du noir. En des termes moins déprimants, notre intégration à la société complexe de l’ère industrielle et technologique se traduit par un pacte de sujétion dont nous sommes rarement conscients. Dans son expression la plus simple, il se traduit ainsi: le confort contre la dépendance. Plus la technologie se perfectionne, plus elle nous «facilite la vie», et plus elle la contrôle. C’est ce que j’ai essayé d’illustrer dans mon récit burlesque sur «la Panne» (Antipresse 68). J’y racontais comment un incident anodin et sans gravité comme une crevaison en ville pouvait devenir un accident, c’est-à-dire impliquer toute une logistique, coûter des sommes folles et vous manger toute une journée… par la magie de ce grand «progrès» de l’industrie automobile consistant à supprimer les roues de secours!

Tous à l’hospice?

La santé est l’un des domaines où la dépendance du citoyen moderne à l’égard du système social s’avère la plus sévère, la plus lucrative, et souvent aussi la plus incontestable — car incontestée. La médecine, les médecins et les assurances qui les financent exercent une autorité intimidante. Tout citoyen, tôt ou tard, devient aussi un patient. Souvent, on est patient avant même d’avoir atteint l’âge d’exercer ses droits de citoyen. Le Dr Knock, il y a bientôt un siècle, a annoncé le citoyen-patient du futur avec son fameux axiome: «Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore!».
Constatant le degré de «prise en charge» des individus dans notre société et son évolution vers une «médicalisation» physique et mentale infantilisante, le remuant Edvard Limonov avait écrit dès les années 1990 un essai provocant intitulé Le grand hospice occidental.
Le grand hospice est-il notre destin inévitable? La loi du Dr Knock ne pourrait-elle pas inversée en notre faveur? Et si le malade était un homme bien portant qui s’ignore? Cette interrogation est le point de départ d’une approche radicalement différente de la médecine, et par conséquent aussi de l’être humain. Une approche qui, comme on le verra, a été écartée et même férocement réprimée depuis des décennies. En gros, depuis que la gestion de notre santé a été confisquée à nos petites mains, à notre bon sens et à notre expérience, et entièrement outsourcée à l’autorité impersonnelle et infaillible de la Science.

Le moins, c’est le plus

Voici quelques années, un reportage diffusé sur Arte exhumait pour le public francophone une vaste bibliothèque de connaissances sur la santé du corps et de l’esprit qu’on avait oubliée comme un continent perdu. «Le jeûne, une nouvelle thérapie?» de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade est l’un des documentaires les plus regardés de la chaîne. On y découvre les étonnants effets de la privation temporaire mais totale de nourriture, non pas au travers des traditions religieuses, ni d’une arbitraire spiritualité «new age», mais des études et des pratiques médicales rigoureuses menées en Allemagne, aux États-Unis ou en Russie.
On y apprend encore que les mêmes mécanismes qui permettent à diverses espèces animales de traverser de longues hibernations, ou aux manchots de se priver de nourriture des mois durant dans la rigueur du climat antarctique, existent également chez l’être humain. Et qu’ils peuvent être mis à profit non pour le simple allégement du corps, mais pour son nettoyage et son renforcement général ainsi que pour le traitement de maladies graves avec des espérances de succès égales ou supérieures à celles de la plupart des thérapies médicamenteuses. Pour cela, aucune technologie n’est nécessaire. Il suffit, pour ainsi dire, d’une bonne connaissance du métabolisme, d’un refuge calme et d’un verre d’eau plate.
Cela n’a rien de nouveau. Les vertus du jeûne ont été reconnues de tout temps et en tout lieu — jusqu’à ce que les «modernes» fassent table rase de l’ensemble des connaissances traditionnelles de l’humanité. Mais les confirmations expérimentales qui tombent en cascade ces dernières années nous conduisent une fois de plus à redécouvrir l’eau chaude.
Dès l’aube de la civilisation, pourtant, l’arsenal du jeûne était connu, pratiqué et codifié. Dans l’ancienne Egypte, on préconisait trois jours d’abstention de nourriture par mois accompagnés de lavements. Pythagore faisait jeûner ses disciples en prescrivant des périodes de 40 jours — la durée exacte de la retraite du Christ dans le désert. Platon en parle également. Hippocrate fait écho en ajoutant que «tout homme porte en lui-même son propre médecin». Même musique chez Plutarque et Celse («plutôt que d’avaler des potions, mieux vaut jeûner un jour»).
La doctrine ne se limite pas au bassin méditerranéen. Au IVe siècle avant Jésus-Christ, les Tibétains compilaient un livre considérable sur la thérapie par le jeûne. Avicenne (980–1037) propose aux malades des jeûnes de trois à cinq semaines accompagnés de mouvements gymnastiques, de massages et de bains — exactement comme dans les cliniques du jeûne actuelles. Mais — comme aujourd’hui — sa méthode «ne plaisait guère dans les cours», car elle était, déjà, trop simple et trop bon marché!
Ainsi jusqu’à l’aube des temps modernes… où l’objection faite à Avicenne dans les cours d’Orient deviendra peu à peu l’attitude officielle de la médecine dite «scientifique». Comment vendre des traitements chroniques et des pilules coûteuses à des clients pourvus de leur «médecin intérieur» selon les mots d’Hippocrate? Simplement: en les persuadant que leur santé est une affaire strictement extérieure!

Pèlerinage aux sources

Approfondissant une découverte qui l’avait manifestement marqué sur un plan personnel, Thierry de Lestrade a publié dans la foulée de son reportage un livre d’enquête. Ce n’est pas le premier ouvrage disponible sur le sujet. On peut, entre autres, accéder depuis des décennies aux traductions des traités pratiques sur le jeûne du grand pionnier américain Herbert Shelton. Mais de Lestrade propose à l’heure actuelle la meilleure vue d’ensemble des mécanismes de la thérapie par le jeûne et de ses domaines d’application. Il commence par narrer l’histoire tumultueuse et souvent stupéfiante des tentatives entreprises pour restaurer la place du jeûne dans la médecine moderne et des oppositions irrationnelles, agressives et souvent crapuleuses auxquelles ses défenseurs ont été confrontés. Les États-Unis auront été le principal théâtre de cette bataille acharnée où les coups bas étaient de règle. C’est là, entre la répression des naturopathes et des «médecines alternatives» au XIXe siècle et l’investissement stratégique de M. Rockefeller dans l’industrie pharmaceutique, que s’est formulée la médecine chimique et technologique qui règne sans partage sur la santé de l’humain massifié et industrialisé.
Dans une deuxième partie, de Lestrade revisite les centres de recherche et de traitement présentés dans le film documentaire. Il évoque en particulier le développement surprenant des connaissances sur le jeûne en URSS dès les années cinquante sous l’impulsion du psychiatre Iouri S. Nikolaïev, un praticien aux vues extraordinairement larges, qui s’en servit avec succès pour traiter la schizophrénie — et s’aperçut du même coup que la méthode soulageait en passant toute une palette de symptômes collatéraux.
La somme colossale de connaissances et de notes accumulées par les médecins russes depuis soixante ans est restée pour l’essentiel inconnue à l’étranger, avant tout pour des problèmes de langue. Elles portent pourtant sur des domaines aussi éloignés que le traitement de l’asthme ou de l’infertilité féminine, la convalescence des vétérans de guerre ou la préparation des cosmonautes. Intrigué par cette science méconnue, je suis remonté à la source. J’ai lu la documentation, parlé avec les praticiens, établi des contacts sur place. Jamais je n’aurais pu prévoir que mon apprentissage de la langue russe m’ouvrirait de tels horizons.
C’est ainsi que j’ai pu, en fin de compte, tenter l’expérience personnellement. Mon séjour d’un mois au bord du lac Baïkal en mars-avril derniers avait pour but d’expérimenter ce levier prodigieux du réarmement personnel qu’est le jeûne total. Avec l’aide des médecins du Centre de médecine orientale d’Oulan-Oudé, en Bouriatie — et de leur filiale sur les bords du grand lac —, je suis allé à la rencontre de mon «médecin intérieur». J’évoquerai cette aventure dans les prochains numéros de l’Antipresse.

LES PROMESSES DE LA FAIM (2E PARTIE)

J’avais l’intention de développer dans ce numéro d’Antipresse la quête du «médecin intérieur» que j’évoquais la semaine dernière et dont mon séjour sur les bords du Baïkal aura été une étape déterminante.
Au fil de l’écriture et de la consultation de mes notes, pourtant, des questions sont apparues. Il n’est pas de sujet plus délicat ni plus intime que la santé. Quel «guide», quel «gourou» suis-je pour transformer mon cas personnel en exemple à suivre? De quel droit et avec quel bénéfice pourrais-je faire de mon expérience — même pas encore bien digérée — une règle universelle?
Je caricature, bien entendu. Toute idée de doctrine ou d’embrigadement m’est étrangère. Mais elle apparaît nécessairement, ne fût-ce qu’en germe, dans l’esprit du lecteur sitôt que quelqu’un lui dit: «Voyez, moi par exemple…» et se met à lui décrire les solutions qu’il a trouvées pour organiser sa propre vie.

Des pavés sous les ronces

Je suis allé en Russie pour ouvrir… des portes ouvertes! J’ai emprunté sous accompagnement médical un chemin spontanément parcouru par les hommes depuis la nuit des temps. Le chemin du jeûne était jadis une grand-route, il était même la voie royale menant au rétablissement simultané des équilibres du corps et de l’esprit, cet état de plénitude qui seul mériterait l’appellation de santé.
Le sort de cette voie royale ressemble à celui des glorieuses viæ romanæ dont les pavés défoncés apparaissent parfois dans nos labours ou sur les chantiers des autoroutes — en obligeant les ingénieurs à suspendre les travaux et passer la main aux archéologues. C’était davantage qu’une méthode de guérison, c’était un art de vivre en s’auscultant et s’épargnant soi-même tout en épargnant ses ressources et celles de son environnement. Une sagesse plus qu’une science, un style plus qu’une discipline.

Quand le moins, c’est le plus

La modernité, en un mot, est le règne de la quantité. Elle ne se maintient, comme le cycliste en équilibre instable sur ses deux roues, qu’en avançant. Sa progression ne se mesure qu’en valeurs quantifiables. Pour une philosophie du «toujours plus», toute idée de restriction est incompréhensible, ou en tout cas inintéressante. Or, à chacun de ses tournants, la voie du jeûne ne cesse de proclamer que «le moins, c’est le plus»!
A force de ne rien manger du tout, on sent rapidement une surprenante satiété: manger ne nous intéresse plus au bout de trois jours. Bien sûr: vous mangez votre masse musculaire, nous répète la bienpensance scientiste, le plus souvent par la bouche des médecins. Eh non! C’est faux: on mange sa graisse en tout premier lieu, comme la science elle-même l’a abondamment montré.
A force de ne plus ingérer aucune calorie, on sent un étonnant et durable sursaut d’énergie venu des profondeurs du corps. On a besoin de marcher, de bêcher un jardin, de s’étirer, de dessiner, de bricoler, de peindre...
A force d’ignorer ce rite majeur de nos journées d’animaux sociaux qu’est le repas, nous trouvons soudain un nouvel intérêt aux autres, dans ce qu’ils sont — ainsi qu’à à cet hôte méconnu de notre existence qu’est notre propre personne. Nous gagnons deux à quatre heures par jour de sérénité des boyaux et de la tête pour y penser.
Je pourrais énumérer les découvertes et les symptômes à l’infini — et tomber justement dans ce malaise du «gourou» que j’évoquais à l’entrée de ce texte. Je le ferai sans doute, car l’expérience est trop importante pour ne pas être partagée. Mais après une longue rumination et sous la forme d’un livre. Dans le contexte plus immédiat de cette lettre, je dois m’en tenir aux idées générales.

Les guerres de la santé

L’itinéraire que j’évoque a été préparé de longue date. En tant qu’éditeur indépendant, depuis 2006, j’ai publié une série d’ouvrages traitant des grands sujets de la santé moderne sous des angles critiques. Je n’avais pas vraiment suscité ces livres ni démarché leurs auteurs, ils étaient spontanément venus vers moi.
L’une des publications les plus remarquées des éditions Xenia, à savoir les œuvres complètes de l’éco-terroriste Theodore Kaczynski dit Unabomber, aborde elle aussi le problème du déséquilibre intérieur chronique de l’être humain dans la société industrielle. A l’automne 2009, l’ouvrage du pharmacologue Bernard Dugué H1N1 la pandémie de la peur fut le seul des 37 titres annoncés dans l’édition française et traitant de cette menace omniprésente à ne pas la prendre au sérieux et à prédire une grippe moins meurtrière que la plupart des variétés saisonnières. Il avait raison, seul contre tous. C’était une simple affaire de sang-froid, d’observation et de bon sens.
C’est avec les mêmes armes que La piqûre de trop? de Catherine Riva et Jean-Pierre Spinosa (2010) décomposait la redoutable opération de marketing médical qui a abouti à l’instauration généralisée des vaccinations contre le cancer du col de l’utérus dans les pays industrialisés.
La santé, ou plus exactement la maladie comme état ordinaire de l’humain selon le Dr Knock, est devenue une industrie, un marché et une religion dans notre société «avancée». Hormis le bon sens et la lucidité, il faut une certaine force morale pour oser affronter les dogmes de cette institution centrale du «grand hospice» dont nous sommes tous plus ou moins les pensionnaires.
La voie du jeûne est une discipline trop archaïque et trop animale pour ce monde-là. Sa simplicité n’offre pratiquement aucune prise à l’ingéniérie et au développement. Son dépouillement élimine le profit commercial. Elle constitue, de tous ces points de vue, un véritable manifeste antimoderne.
Or j’ai pu découvrir, à partir du moment où je m’y suis intéressé, que bien des gens autour de moi la connaissaient, et la pratiquaient, sans instruction livresque. Elle s’est transmise par les voies souterraines, coutumières et familiales, qui échappent au contrôle de la science et de l’assurance. Nombre d’artistes et de sportifs, en particulier, s’y livrent sans en parler pour éviter la moquerie et la polémique.

Un itinéraire de rencontres

Entrer en jeûne ressemble un peu, toutes proportions gardées, à une entrée en résistance. On se découvre une cause commune avec des gens dont, a priori, tout nous sépare. Il y a des signes discrets, des mots de passe, des destinées humaines peu ordinaires. Mon propre itinéraire jusqu’au lac Baïkal et au-delà passe par des rencontres marquantes: Walter, le psychiatre polyglotte suisse aux idées totalement libres, Luciano, le beau vieillard toscan qui a retrouvé et maintenu sa grande forme par des jeunes d’un mois et davantage, sa fille Claudia qui a consacré sa vie dans la lointaine Russie à organiser et populariser ces méthodes. Sylvie et Thierry, les cinéastes-reporters qui ont trouvé l’angle et le ton justes pour vulgariser ce sujet malcommode. Et puis tous ces médecins bouriates et russes, hautement formés et cultivés, qui s’emploient à concilier la sagesse traditionnelle avec les méthodes modernes.
Plus loin à l’arrière-plan, l’incroyable liberté d’esprit avec laquelle le Dr Nikolaïev sut développer ses observations sous la chape de plomb de la bureaucratie soviétique, il y a 60 ans. La colossale masse d’expériences du pionnier américain Herbert Shelton. Ou l’intrépide combat de ce merveilleux écrivain d’il y a un siècle, Upton Sinclair, candide et engagé, qui consacra tant de textes et de conférences à défendre un mode de vie en voie de criminalisation dans son pays soumis à la loi des lobbies. Son livre The fasting cure (1911) demeure une lecture moralement exaltante, en plus d’être une très bonne introduction au sujet.
Pourtant, les mentalités évoluent, et rapidement. Dans les ouvrages et les documentaires qu’on y consacre, la discipline du jeûne total est symbolisée le plus souvent par un simple verre d’eau claire. Cette allégorie coupe court à bien des discussions et des dilemmes: s’agit-il d’une discipline médicale, d’une thérapie, d’un mode de vie? Oui, mais ce n’est pas tout. C’est aussi une esthétique, proche de la nudité du zen ou de la plénitude monacale. A l’heure où la simple eau potable devient à son tour un enjeu stratégique dans un monde épuisé par la surconsommation, certaines évidences commencent à poindre de nouveau. Les voies anciennes envahies par les ronces mériteraient peut-être un peu de désherbage…



June 1-4, Bilderberg to Meet in Virginia

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Bilderberg to Meet in Virginia This Year

By Mark Anderson

The exclusive, elite Bilderberg Meeting location for 2017 has been announced, and Mark Anderson will be there, again this year, to ensure their gathering is slightly less secretive than these global powerbrokers would prefer.

With a little help from the Virginia police in the Fairfax County Sully District, as well as the obscure Bilderberg media-relations outlet and its May 19 late-coming online announcement, it’s been confirmed that Bilderberg 2017 will take place in Virginia, June 1-4, at the Westfields Marriot in Chantilly.

The Bilderbergers are naturally attracted to that snooty, secluded hotel, since they’ve met there before—in 2002, 2008, and in 2012, the year that Jim Tucker, the late AFPBilderberg hound, made his last appearance covering the shadowy group after chasing these sons of smokestack billionaires since the mid-1970s.

The annual Bilderberg gatherings are perhaps the most exclusive and obscure among all the meetings of economic ministers (G7, G20 etc.), the World Economic Forum, and other, more familiar global groupings.



In Memory of Stephen Zarlenga, RIP

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In Memory of Stephen Zarlenga

Dear friends of the monetary reform cause,
Last April 25 Stephen Zarlenga, the founder and director of the American Monetary Institute,  passed away at his residence in Palatine, Illinois. He was cremated in a private ceremony at Elegy Cremation and Memorial Services, Arlington Heights, Illinois. His friends are organizing a memorial event, details of which are not yet known.
Stephen, a native of Chicago where he was born in 1941, was an insightful researcher of the history and mechanism of money and banking and he was a tireless crusader for monetary reform. In 1996 he established the non-profit charitable trust The American Monetary Institute and in 2002 he published his 700-page study The Lost Science of Money: The Mythology of Money – The Story of Power, which will have to be ranked as one of the classics in its field.
He encapsulated his research in one perceptive phrase: “Over time, whoever controls the money system, controls the nation”.
In 2004 Stephen organized the first AMI Monetary Reform Conference, which became a yearly successful event in which many academic experts, community activists and otherwise interested persons participated. The 13th Annual Conference is slated to be held at the University Center of the Roosevelt University in Chicago on September 14 through 17.
He was also instrumental in formulating and promoting monetary reform legislation for the US Congress to adopt. Democratic congressman Dennis Kucinich from Ohio introduced in 2010 the National Employment Emergency Defense Act (Need Act), which was based on an earlier version developed by Stephen, the American Monetary Act.
With Stephen’s passing the American monetary reform movement lost its most prominent and influential member and he will be sorely missed. Some big shoes are to be filled because his cause is our cause and should be humanity’s concern, because we believe that well-thought-out monetary reform legislation can have profound transformative effects on our globalized world as it can democratically redirect the power of money creation towards the formation of a more just and equitable society.
If you like you can sign his memorial guest book here

Assemblée Générale de la BNS

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Chloé et Gérard, parmi les AAA+ [Assemblée des actionnaires actifs positifs ] qui se sont rendus à l'Assemblée Générale de la BNS [Banque nationale suisse] à son siège à Berne le 28.04.2017. [ www.aaapositifs.ch ].  


Décryptage du système monétaire et du fonctionnement trouble de la BNS.

http://audioblog.arteradio.com/post/3078348/banque_nationale_suisse__fonctionnement_occulte_/

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/05/monnaie-bien-commun-appel-conferenciers.html

Revenu de base, manipulations de l'OCDE !

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Le grand mensonge, on oublie les autres moyens de financer les revenus de base, alias dividendes inconditionnels, notamment les créations monétaires à se répartir équitablement et la distribution de l'abondance des produits des robots...
Les grands journaux manipulent en affirmant que l'OCDE lui dit non alors que, selon elle, le revenu universel mérite mieux qu’un débat bricolé à la hâte pour des considérations politiciennes. 

Il faut que ce débat ait lieu, partout dans le monde. Tels sont les messages de l’étude publiée par l’OCDE sur le sujet. 

Preuve de sa sensibilité, cette note était prête depuis plusieurs semaines déjà, mais les experts de l’Organisation des pays développés l’ont retenu pour ne pas interférer dans la campagne française où l’un des candidats, Benoît Hamon, en avait fait un thème central. 

Leurs travaux sont loin de donner un blanc-seing à cette idée malgré toutes les bonnes intentions qu’ils y perçoivent.

François de Siebenthal: Initiative monnaie pleine, questions ...

desiebenthal.blogspot.com/2015/02/initiative-monnaie-pleine-questions.html
10 févr. 2015 - Toutes les monnaies diluées par la création monétaire ex nihilo, du néant, des ... déjà ou sera produite équitablement selon les possibilités physiques. 3. .... La rencontre des consommateurs et des produits se fait chez le marchand, ..... Il est question, d'une part, de répartir sans dette la monnaie pleine aux ...

François de Siebenthal: L'Europe doit assumer sa diversité

desiebenthal.blogspot.com/2016/11/leurope-doit-assumer-sa-diversite.html
25 nov. 2016 - Il faut se préoccuper des inégalités croissantes sur l'ensemble du continent » ..... la zone euro pour mieux répartir les richesses: l'idée inspirée du modèle helvétique . .... Le privilège de lacréation monétaire draine des sommes .... efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps ...

François de Siebenthal - RSSing.com

siebenthal1.rssing.com/chan-29893992/all_p24.html
Cofondateur du réseau www.katao.fr, un réseau de distribution de produits .... reste (le PIB se répartit entre les salaires directs, les cotisations, et les profits). ...... Il me semble inadmissible que le pouvoir de création monétaire soit détenu ...... en fonction de la réalité de l'abondance qui est produite par des robots bien gérée.

http://www.michaeljournal.org/juvdm/enseignements/10lcs/10lcs.htm


Démocratie en crise ?

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Table ronde : la démocratie en crise ? 
Soleure, samedi, 13h00

Notamment à cause de l’élection surprise de Donald Trump, la question de la démocratie se pose une fois de plus. À quoi sert d’organiser des élections si les décisions et les résultats ne comptent plus une fois l’élection passée ? Le système des élections est-il vraiment démocratique, ne vaudrait-il pas mieux faire des choix en fonction d’un lancer de dés ou d’un tirage au sort ? Ces questions, l’essayiste David van Reybrouck se les pose dans son ouvrage « Gegen Wahl ». Il en débattra, ainsi que des questions autour du populisme et de l’instabilité des voix et des votants. Parler des alternatives à la démocratie peut s’avérer intéressant, même dans notre Suisse adepte de la démocratie directe.


Sa, 27-05-17, 13:00

Podium
Avec: Lukas BärfussDavid van Reybrouck (BE), Ruth Dällenbach
Landhaus, Landhaussaal
Moderation: Felix Schneider

Ruth Dällenbach, geb. 1954, Präsidentin Denknetz seit 2015. Fachfrau für Entwicklungszusammenarbeit, langjährige Arbeitserfahrung bei diversen Schweizer und internationalen NGO, heute als selbständige Konsulentin tätig. Themenschwerpunkte im Bereich der internationalen Zusammenarbeit: Demokratie und partizipative Gemeindeentwicklung, Bildung, Gender, Arbeits- und Menschenrechte.

www.denknetz.ch


Journées littéraires de Soleure
Dornacherplatz 15a
Postfach 1532
4502 Solothurn

info@literatur.ch
+41 (0)32 622 44 11


https://www.google.ch/search?q=fraudes%20siebenthal&rlz=1C1BOBA_enCH595CH596&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwiXxdnUkY3UAhUJvBQKHXNOBZsQ_AUICigB&biw=1920&bih=988


Église catholique, illuminati & Franc-maçonneries incompatibles

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Michael Hesemann présente une lettre sur un complot de la
franc-maçonnerie contre les monarchies et l’Eglise trouvée aux Archives secrètes du Vatican

lettre complot franc maçonnerie monarchies Eglise Michael Hesemann Archives Vatican

L’excellent site www.OnePeterFive.com commente la mise au jour d’une lettre consultée par un historien allemand de l’Eglise catholique, le Dr Michael Hesemann, dans les Archives secrètes du Vatican sur lesquelles il travaille depuis 2009. Il s’agit d’une lettre datée du 8 novembre 1918 et portant la signature de l’archevêque de Cologne d’alors, le cardinal Felix von Hartmann, et destinée au nonce apostolique en Allemagne, Mgr Eugenio Pacelli – le futur pape Pie XII. Elle évoque un complot de la franc-maçonnerie en vue de détruire les monarchies et l’Eglise.

Ecrite à la main, la lettre est partiellement reproduite sur le site OnePeterFive, la reproduction complète n’ayant pas été autorisée. Mais la journaliste Maike Hickson affirme avoir eu la permission de voir la lettre dans son ensemble.
Michael Hesemann évoque la lutte de la franc-maçonnerie contre les monarchies et l’Eglise

L’enquête de ma consœur est partie d’un entretien donné il y a peu par le Dr Hesemann à Inside the Vatican à propos du centième anniversaire des apparitions de Fatima. L’historien y déclare notamment :

« Egalement en 1917, la franc-maçonnerie célébrait le 200e anniversaire de la fondation de la première grande loge à Londres en 1717. L’idéologie maçonnique n’est pas uniquement fondée sur le déisme, mais également sur l’hérésie gnostique de l’auto-rédemption et des “Lumières” ; elle poursuit un objectif clairement anticatholique. Précisément en 1917, Maximilien Kolbe, l’un des plus grands saints du XXe siècle, a été témoin d’une procession maçonnique à Rome, où se déployaient des bannières portant ce slogan : “ Satan doit régner au Vatican. Le pape sera son esclave.”

« Un an plus tard, l’empereur allemand Guillaume II a été averti par des maçons allemands du fait que le Grand Orient avait l’intention d’obliger tous les monarques souverains en Europe à abdiquer – ce qui s’est en effet produit en 1918 – ainsi que de détruire l’Eglise catholique et d’amener l’Europe sous le contrôle du “Big Business” américain, selon un document que j’ai trouvé dans les archives secrètes du Vatican. Le bolchevisme serait l’instrument de la franc-maçonnerie en vue d’atteindre ce but.

« Et de fait, 1917 a été l’année de la Révolution russe qui s’est soldée par une persécution massive de l’Eglise.

« L’année 1917 a également été marquée par l’entrée des Etats-Unis dans la Première Guerre mondiale, l’année de naissance des deux superpuissances qui façonneraient l’histoire du XXe siècle au cours des 74 années suivantes ».

Maike Hickson traduit alors les passages les plus importants de la lettre que le Dr Hesemann a lui-même présentés et commentés dans la revue allemande Der Fels. Voici ces extraits :
Une lettre du cardinal Felix von Hartmann à Eugenio Pacelli parle d’un complot maçonnique

« Excellence,

« Sa Majesté l’Empereur vient de me faire savoir que, “selon des informations qu’il a reçues hier, le Grand Orient vient de décider en premier lieu de déposer tous les souverains – à commencer par lui, l’empereur – puis de détruire (?) l’Eglise cathol., d’emprisonner le pape, etc., et, pour finir, d’établir sur les ruines de l’ancienne société bourgeoise une république mondiale sous la conduite du Grand capital américain. Les francs-maçons allemands sont supposément loyaux à l’empereur (ce qui peut être mis en doute !) et ils l’en ont informé. En outre l’Angleterre veut préserver l’ordre bourgeois en cours. La France et l’Amérique, cependant, sont présentées comme étant sous l’entière influence du Grand Orient. Il est dit que le bolchevisme est l’outil externe servant à établir les conditions souhaitées. Face à un danger aussi grand qui outre la monarchie, menace également l’Eglise catholique, il est donc important que l’épiscopat allemand soit informé et que le pape lui aussi soit mis en garde.” Telle est la teneur du message de Sa Majesté. Je me suis cru tenu de le transmettre à votre excellence, et je dois laisser à votre jugement de savoir si vous souhaitez le transmettre à Rome. La demande tumultueuse de la part des sociaux-démocrates (allemands) de voir l’empereur abdiquer donne une certaine confirmation à ce message. Que Dieu nous protège ainsi que sa sainte Eglise dans cette terrible tourmente ! (…) Dans le plus grand dévouement, restant à la disposition de Son Excellence, cardinal Felix von Hartmann ».
La lettre sur la franc-maçonnerie est conservée aux Archives secrètes du Vatican

Cette lettre, archivée sous la cote A.S.V., Arch. Nunz. Monaco d.B. 342, fasc. 13, p. 95-96, a donc été écrite trois jours avant l’Armistice ; loin de se réjouir de la paix après la boucherie de la Première Guerre mondiale, elle prévoit une époque troublée.

A juste titre. Comme l’a souligné le Dr Hesemann lui-même dans un texte qu’il a écrit en mai 2016, la Révolution de novembre a éclaté en Allemagne un jour exactement après l’envoi de cette lettre ; elle allait avoir pour conséquence d’acculer l’empereur Guillaume II à l’abdication. La menace s’était réalisée.

Michael Hesemann commentait dans son manuscrit de l’an dernier : « A quel point nous sommes éloignés aujourd’hui, 98 ans plus tard, de ce qui était annoncé, “une république mondiale sous le leadership du grand capital américain”, il appartient à chacun d’en juger pour lui-même. Le “Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement”, le TTIP, aurait certainement représenté un pas immense en vue de rapprocher le monde de ce but. A cet égard, le document de l’année 1918 semble presque prophétique. Cependant, il ne décrit pas les visions d’un visionnaire, mais cite plutôt un supposé plan. Un tel plan du Grand Orient maçonnique a-t-il constitué également le plan directeur de l’histoire européenne du XXe siècle et du XXIe siècle commençant ? Il s’agirait certainement là d’une simplification, propre à toute théorie du complot. Cependant, on ne peut nier que la franc-maçonnerie a planifié, il y a près de 100 ans, ce qui par la suite devait s’accomplir, et ce d’une manière presque incroyable ».
Jeanne Smits

Église catholique / Franc-maçonnerie: Les Évêques confirment l’incompatibilité

23/05/2017

À propos de cette incompatibilité, une "large diffusion" sera faite dans toutes les églises le dimanche 28 mai 2017.

"Au terme de la 107è assemblée plénière des Évêques catholiques de Côte-d’Ivoire qui a eu lieu à Bonoua, les Évêques ivoiriens ont donné la position claire et sans équivoque de l’Église catholique de Côte d’Ivoire sur la possible conciliation entre la foi catholique et la franc-maçonnerie.

Dans un message officiel, lu par Monseigneur Antoine Koné, Évêque d’Odienné et qui fera l’objet d’une « large diffusion et lecture dans toutes les églises le dimanche 28 mai », les évêques catholiques ont clairement dit que la foi chrétienne catholique est incompatible avec les fondements et les pratiques de cette société ésotérique et bien d’autres qui ont, en ce moment, pignon sur rue dans le pays. Que ce soit dans ses aspirations, ses pratiques et surtout ses fondements, les positions de la franc-maçonnerie sont inconciliables avec les doctrines de l’Église catholique », a dit Mgr Antoine Koné.

Se fondant sur un certain nombre « d’incompatibilités profondes entre la franc-maçonnerie et la foi chrétienne », les Évêques ont tranché. Ils ont donc dit qu’il n’est point permis aux chrétiens catholiques d’adhérer à cette société sécrète. Parce que, a asséné le prélat, « cela est un péché grave ».

Pour ceux qui s’y seraient déjà engagés, les Évêques, par la voix de Monseigneur Antoine Koné, demandent un retour à la maison, à l’image de l’enfant prodigue. Ceux qui persisteraient dans ce choix sont indignes de la communion et des honneurs funéraires dus à tout chrétien catholique et de tout autre acte de la foi chrétienne catholique.

Après avoir relevé les points d’achoppement, ils ont appelé les différents groupes constituant la famille chrétienne catholique au discernement et à la confession en tout lieu et en toute circonstance de leur unique foi chrétienne catholique. De l’avis des Évêques ivoiriens, la course effrénée à la réussite, au pouvoir, à l’ascension sociale et à l’enrichissement coûte que coûte justifieraient ces choix qui conduisent les nouvelles recrues « à commettre parfois des actes ignobles ».C’est pourquoi, ils ont interpellé et averti : « tout désir effréné d’ascension sociale conduit à la déchéance ».

Tous : jeunes chrétiens, clergé, communautés, consacrés et candidats au sacerdoce ont été interpellés et surtout instruits sur la nécessité de pratiquer leur foi chrétienne sans amalgame. Cela, dans le seul but de contribuer à l’avènement d’un monde meilleur avec et selon l’enseignement du Christ."

Source

La nouvelle a été relayée également par Abidjan.net



Appel des Pères Archevêques et Évêques Ivoiriens :


Texte publié par Bonsoir Afrique:

L’Eglise catholique de Côte d’Ivoire en guerre contre la franc-maçonnerie

22/05/2017

L’Eglise catholique de Côte d’Ivoire veut extirper de ses rangs, les francs-maçons. Voici la tirade des évêques, contre cette secte, de plus en plus prisée par les Africains:

"De nos jours, la problématique des mouvements ésotériques est une question théologique et pastorale qui préoccupe au plus haut niveau l’Eglise en Côte d’Ivoire.

Le constat est que beaucoup de chrétiens, par ignorance, par curiosité ou par désir d’ascension sociale, se laissent séduire par les théories développées dans ces sociétés sécrètes, tandis que d’autres continuent de s’interroger sur leur compatibilité avec la foi catholique.

Parmi ces mouvements ésotériques, la Franc-maçonnerie mérite qu’on y apporte un éclairage en raison des amalgames qui sont véhiculés en ce qui concerne sa compatibilité avec la foi catholique.

Au mois de janvier 2018, à l’occasion de notre 108ème Assemblée Plénière, nous publierons une lettre pastorale sur le sujet.

But du message

Avant cette échéance, nous, vos Archevêques et Évêques de Côte d’Ivoire, fidèles à notre mission de promotion et de protection de la doctrine et des mœurs conformes à la foi, voudrions déjà, à travers ce message, informer et former l’ensemble des chrétiens. Ceci amènerait à lever toutes les équivoques et les ambiguïtés en ce qui concerne sa compatibilité avec la foi chrétienne. Il s’agit pour nous de donner de façon claire la position de l’Eglise sur cette société secrète afin d’éviter toute erreur susceptible d’égarer les chrétiens.



“Et ce « Grand Architecte de l’univers » est en fait un contenant vide, dans lequel chacun est libre d’introduire sa représentation de Dieu, le chrétien comme le musulman, le confucianiste comme l’adepte des religions traditionnelles. Or, c’est tout à l’opposé de la conception chrétienne de Dieu”.



Pour mémoire, la position de l’Eglise face à la franc-maçonnerie a été constante et claire tout au long de l’histoire. Elle a condamné de manière presque immédiate toute forme de franc-maçonnerie . Et aujourd’hui encore, le jugement de l’Eglise sur les associations maçonniques demeure inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise.

Dès lors, l’inscription des fidèles catholiques à ces associations reste interdite par l’Eglise. En conséquence, comme le stipule la déclaration de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi du 26 novembre 1983 : « les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave; ils ne peuvent accéder à la Sainte Communion » ; ils ne peuvent, non plus, bénéficier des honneurs des funérailles chrétiennes.

Cette position constante de l’Eglise ainsi que les nombreuses condamnations magistérielles sans équivoque qui en découlent se fondent sur un certain nombre d’incompatibilités profondes entre la foi chrétienne et les principes de la franc-maçonnerie.

Incompatibilités de la franc-maçonnerie et de la foi catholique : du relativisme

D’une manière générale, le relativisme constitue l’épine dorsale des principes de la franc-maçonnerie. On comprend dès lors que cette tendance à vouloir tout relativiser constitue le nœud même de l’incompatibilité, en raison des conséquences sur le contenu de la foi, l’agir moral et l’appartenance à l’Église. Dans cette dynamique, la Vérité est relativisée et l’idée même d’une Révélation est refusée.

L’une des conséquences directes de cette manière de tout relativiser, y compris la Vérité, est la conviction chez les francs-maçons qu’aucune connaissance objective de Dieu, en tant qu’Être personnel n’est possible. Dans les rituels francs-maçons, le concept de « Grand Architecte de l’univers » occupe une place centrale.

Et ce « Grand Architecte de l’univers » est en fait un contenant vide, dans lequel chacun est libre d’introduire sa représentation de Dieu, le chrétien comme le musulman, le confucianiste comme l’adepte des religions traditionnelles. Or, c’est tout à l’opposé de la conception chrétienne de Dieu qui se révèle, entre en dialogue avec l’homme, et de la réponse de l’homme qui s’adresse à Lui en le nommant Père et Seigneur, comme l’affirme le Concile Vatican II .

De la divinité du Christ

De plus, le problème de la divinité du Christ constitue un autre point d’achoppement à l’intérieur de la question de la vision de Dieu et de la Révélation. La Foi Chrétienne affirme qu’en Jésus, Dieu s’est révélé pleinement et définitivement aux hommes. Cela apparaît clairement dans notre profession de foi, le Credo de Nicée-Constantinople où nous déclarons avec conviction que « Jésus-Christ est Dieu, né de Dieu, lumière, née de la lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu ; engendré non pas créé, de même nature que le Père ».

Or, les francs-maçons attribuent à Jésus toutes sortes de qualificatifs positifs, mais ils passent à côté de l’essentiel, à savoir Jésus-Christ est fils de Dieu, il est Dieu fait homme. L’Eglise ne peut tolérer l’affirmation selon laquelle Jésus est seulement un homme sage, car il est plus que cela pour le chrétien : il est le Messie, le Fils du Dieu vivant comme le reconnaîtra saint Pierre (Cf. Mathieu 16, 13-19).

De la problématique du salut

Par ailleurs, il faut ajouter que la franc-maçonnerie exclut toute idée de salut. Pour les francs-maçons en effet, l’homme se construit par lui-même. Il n’a pas besoin de Dieu pour changer son cœur et trouver le bonheur. Il est clair que la perspective est complètement différente chez le chrétien. Car l’Évangile est l’heureuse annonce du Salut.

Le chrétien attend et reçoit le salut de la grâce miséricordieuse de Dieu, en la personne de Jésus qui est précisément le Sauveur (Jésus, c’est-à-dire « le Seigneur sauve ») : « C’est bien par la grâce que vous êtes sauvés, à cause de votre foi. Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu » (Ephésiens 2, 8). La Foi Chrétienne enseigne, en effet, qu’en Jésus-Christ, Dieu est venu parmi les hommes pour les sauver (Jean 3, 16).

En raison de ces profonds points de divergence entre la franc-maçonnerie et les fondements même de la Foi Chrétienne, on peut affirmer clairement que le fait d’y adhérer met en cause les fondements de l’existence chrétienne.

Appel

En conséquence, nous, vos Archevêques et Evêques, vos guides spirituels de l’Eglise Catholique en Côte d’Ivoire, voudrions vous interpeller vivement face aux sollicitations incessantes de la franc-maçonnerie :

Aux fidèles laïcs

Certains parmi vous se sont déjà engagés dans la franc-maçonnerie. Quelles que soient les raisons qui vous ont amenés à faire un tel choix, quels que soient les pactes déjà scellés et les degrés de votre appartenance à telle ou telle obédience, nous vous exhortons ardemment à rebrousser chemin, à l’instar de l’enfant prodigue (Luc 15, 11-32).

N’ayez pas peur de rompre tous les liens qui vous tiennent captifs. Car « si le Christ nous a libérés, c’est pour que nous soyons vraiment libres» (Cf. Galates 5, 1). Revenez donc au Christ, la seule et unique source de votre épanouissement, de votre équilibre, de votre liberté et de votre salut. Car il n’y aucun autre nom sous le ciel par lequel vous soyez sauvés, à part le nom de Jésus (Cf. Actes 4, 12).

Aux jeunes catholiques

Une analyse du mode opératoire de la franc-maçonnerie montre bien que vous constituez la cible privilégiée de cette société secrète. En effet, des membres de cette confrérie infiltrent insidieusement nos universités et grandes écoles, où se prépare l’élite de demain. En cédant aux offres alléchantes que l’on fait miroiter sous vos yeux, vous compromettez ainsi gravement votre relation au Seigneur.

Par ailleurs, nous sommes conscients des difficultés que vous rencontrez dans la prise en charge de vos études et dans la recherche d’un emploi après vos différentes formations. Cependant, nous croyons que tout espoir n’est pas perdu pour vous. Votre esprit d’imagination et votre créativité vous permettront, avec l’aide du Seigneur et le concours des hommes de bonne volonté, d’entreprendre quelques activités génératrices de revenus.

Aux cadres et hommes de culture

La recherche de connaissance, de succès et de pouvoir, le désir d’appartenir à une élite respectée sont des tentations assez répandues aujourd’hui dans notre monde. Elles poussent quelquefois beaucoup de nos concitoyens, notamment vous cadres et hommes de culture, à emprunter des voies sans issues. L’appartenance de certains d’entre vous à la franc-maçonnerie les conduit parfois à poser des actes ignobles.

N’oubliez jamais que tout succès ou tout pouvoir est avant tout un don de Dieu, et en dehors de Lui, toute forme d’ascension politique ou sociale, finit toujours par sombrer dans la déchéance et la désolation totale. Car, comme dit le Christ, « Que sert-il donc à l’homme de gagner le monde entier, s’il se perd ou se ruine lui-même ? » (Marc 8, 36).

Aux responsables des paroisses et des communautés nouvelles

Depuis les premiers siècles, l’Eglise vit du don de ses fidèles. Cette générosité mérite d’être encouragée en raison de l’urgence et de l’importance de l’annonce de l’Evangile à tous. Toutefois, nous en appelons à la vigilance et au discernement des curés de paroisses, des responsables d’institutions et des communautés nouvelles face à certaines offres pour la réalisation de vos différents projets.

En effet, des personnes mal intentionnées, tels des loups vêtus de peaux d’agneaux, fréquentent parfois vos assemblées. Leur intention cachée serait de déstabiliser l’Eglise catholique. La sagesse chrétienne et la prudence exigent un examen lucide de la provenance de ces dons aux montants extraordinairement généreux dont certaines de vos structures peuvent bénéficier. Aussi vous prions-nous de mettre tout en œuvre pour ne pas vous compromettre inconsciemment avec les sectes ésotériques et les associations du même genre.

Au clergé et aux consacrés

Nous apprenons, à tort ou à raison, que certains membres du clergé et des consacrés flirteraient avec la franc-maçonnerie ou en feraient l’apologie, pensant sans doute trouver la solution à leurs problèmes matériels et financiers, croyant peut-être trouver le moyen facile d’une quelconque promotion. Il serait bien dommage et triste que des hommes et des femmes d’Eglise, sensés vivre dans le détachement et le renoncement en arrivent là!

Nous déclarons que les propositions du gain facile ne peuvent en aucun cas vous édifier ni garantir votre dignité de chrétiens. C’est bien contre cela que l’Apôtre Paul s’insurge avec précision et netteté de termes contre les démons qui viendraient à conquérir l’esprit des responsables de l’Eglise (Cf. 2 Thessaloniciens 3, 7-10).

Aux candidats au sacerdoce

Vous, chers fils, vous constituez la semence du clergé de demain. Votre formation spirituelle, humaine, intellectuelle et doctrinale nous préoccupe et nous tenons à y apporter le plus grand soin pour le bénéfice du peuple de Dieu.

Nous vous exhortons à prendre davantage conscience de la noblesse de votre choix à travailler dans le champ du Seigneur. C’est pourquoi vous devez tout mettre en œuvre pour résister aux sollicitations des adeptes de mouvements ésotériques et autres sociétés secrètes qui s’attaquent à nos futurs prêtres, dans le but de les corrompre. Comme le dit si bien saint Paul : « Si quelqu’un enseigne de fausses doctrines et ne s’attache pas aux saines paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ et à la doctrine qui est selon la parole, il est enflé d’orgueil » (1 Timothée 6, 3-4).

Conclusion

Nous ne saurons terminer sans invoquer sur vous tous, l’Esprit de Notre Seigneur, qui rendra forts les fidèles du Christ : évêques, prêtres, personnes consacrées et fidèles laïcs, face à tous les groupes et associations ésotériques qui travaillent à l’impossible disparition de l’Eglise catholique. Le Christ Jésus, Maître et Fondateur de l’Eglise, confiant les clés du Royaume à Pierre, lui a déclaré en effet : « Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Eglise ; et la puissance de la mort ne l’emportera pas sur elle » (Mathieu 16, 13-19).

Que Marie, l’humble servante du Seigneur nous présente à son Fils, aimant et adorable !

Dieu vous bénisse et vous garde, en son Esprit et en son Eglise.

Donné à Bonoua, dans le diocèse de Grand-Bassam, le 21 mai 2017.

Vos Pères les Archevêques et Evêques de Côte d’Ivoire"

Source

L'article a été relayée également par Abidjan.net



Macron Leaks : les dessous d'une incroyable machination financière, par Mediapart

Par Pierrick Tillet le 22 mai 2017 - Les mots des autres


Ce qui était, au choix, un coup-fourré des « milieux d’extrême-droite » ou une « manœuvre russe » deux jours avant le second tour de la présidentielle devient une vraie information trois semaines avant les législatives : on connaît désormais les cpmbines de l’incroyable machination financière qui a amené le produit marketing Macron à la présidence de notre République. Toutes ces révélations étaient bien contenues dans les Macron Leaks. Mediapart les relaie aujourd’hui (les intertitres sont de mes soins).


Pour financer sa campagne, Emmanuel Macron a réussi à mobiliser près de 13 millions d’euros de dons en un temps record. Loin de l’image cultivée par En Marche ! d’une campagne aussi spontanée que populaire, un puissant réseau de banquiers d’affaires a discrètement ouvert ses carnets d’adresses au nouveau président. Révélations

Mail du 13 février 2017 : « Comme vous l’observez, notre start-up continue de tracer son sillon ! Alors que nous allons entrer dans le “dur” dans les prochains jours, nous avons plus que jamais besoin de soutien. » La start-up en question n’est pas une entreprise comme les autres. Et l’homme derrière son clavier n’a rien d’un banal VRP. Christian Dargnat n’est autre que l’ancien directeur général de BNP-Paribas Asset Management, branche du groupe bancaire chargée de la gestion d’actifs. « Marcheur » de la première heure, il a tout lâché en avril 2016 pour organiser « à titre bénévole » le financement de la campagne de son ami Emmanuel Macron. Dargnat, c’est l’homme du coffre-fort. Pendant des mois, il a multiplié les rendez-vous discrets, les dîners confidentiels et les mails de relance pour les riches donateurs, en plein accord avec l’actuel locataire de l’Élysée.

Ce courriel du 13 février est adressé au collectionneur américano-allemand Olivier Berggruen, une figure incontournable du marché mondial de l’art. Dès le lendemain, le riche New-yorkais répond favorablement à la demande de Dargnat en promettant « de contribuer à 4 000 euros au mouvement et 4 000 euros au candidat ». Un virement est effectué deux jours plus tard : 8 000 euros en un message, voilà qui témoigne d’une redoutable efficacité.
Une camarilla de banquiers d’affaire

À l’image de cet échange, l’exploitation des milliers de mails et documents issus des Macron Leaks (voir Boîte noire) – ainsi que d’autres documents récupérés au fil de la campagne par Mediapart – permet de comprendre comment la garde rapprochée d’Emmanuel Macron a explosé les compteurs de dons entre avril 2016 et avril 2017 pour permettre à l’ancien ministre de François Hollande d’accéder au pouvoir, un an à peine après la création de son propre mouvement. À l’extérieur, Dargnat et les membres de l’équipe Macron ont tout fait pour démentir l’image du candidat des affaires, préférant insister sur l’afflux de petits dons. En réalité, c’est bien une camarilla de banquiers d’affaires qui a pris en main cette levée de fonds hors norme, mobilisant tous azimuts ses réseaux et carnets d’adresses au service du combat de l’ovni politique Macron.

Cette stratégie s’est appuyée sur un raisonnement simple, résumé dans un court message de M. Dargnat en septembre 2016, alors que Macron vient juste de quitter le gouvernement : « Quand on sait que les dépenses de campagne présidentielle sont limitées à 22 millions d’euros et que nous pourrions contracter un prêt bancaire (à hauteur de 9 millions) remboursé si le candidat dépasse le seuil des 5 % aux élections, il nous reste donc à “trouver” 13 millions », expose l’ancien banquier. En clair, calcule-t-il, « si l’on arrondit à 10 millions le budget à trouver, il faut donc obtenir des dons de 1 333 personnes à 7500 € chacune [le plafond autorisé pour le financement d’une campagne – ndlr] ».

En réalité, c’est dès le printemps 2016 que les plus fidèles soutiens d’Emmanuel Macron se sont discrètement activés pour organiser de façon méthodique la mobilisation de riches contributeurs. Emmanuel Macron est encore à Bercy, mais il veut déjà tout faire pour se présenter à la présidentielle. Une véritable « task force » s’organise alors autour de Christian Dargnat, le président de l’association de financement d’En Marche ! (AFCPEM). Dans cette petite équipe soudée, on trouve Emmanuel Miquel, capital-risqueur chez Ardia et trésorier de la même association, mais aussi deux de ses anciens camarades de HEC : Stanislas Guerini, directeur de l’expérience client chez Elis, délégué du mouvement à Paris et aujourd’hui candidat aux législatives dans la capitale ; et Cédric O, un jeune directeur d’usine du groupe Safran, ancien du cabinet de Moscovici à Bercy. Cédric O, garçon discret qui fuit les médias, a endossé le costume de mandataire financier de la campagne, dont il est un des couteaux suisses les plus efficaces.
Pas très loin du « Premier Cercle » de riches donateurs ayant financé la campagne de Sarkozy en 2007

Pendant des mois, ce petit groupe a manœuvré avec une seule idée en tête, quasi obsessionnelle : faire fructifier en un an des carnets d’adresses bien fournis, afin de fonder un club de « grands donateurs » aux profils globalement homogènes (urbains, CSP+, issus de grandes écoles). Nous sommes là loin, bien loin, d’un mouvement soutenu par une vague aussi populaire que spontanée, image que les communicants d’En Marche ! ont savamment cultivée et propagée. Et pas très loin du « Premier Cercle » de riches donateurs ayant financé une partie de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, même si l’entourage de Macron s’en est toujours défendu au motif qu’En Marche ! n’a jamais organisé de grand raout mélangeant tous les grands donateurs. Effectivement : les proches d’Emmanuel Macron ont été bien plus discrets.

Dans les mails de l’équipe d’Emmanuel Macron, on retrouve un document de travail, diffusé et amendé en comité restreint en avril 2016 : la notice pour la chasse méthodique aux millions de la campagne. En Marche ! est alors un mouvement balbutiant, à peine créé. Le tout nouveau parti n’a enregistré qu’environ 400 000 euros de dons et promesses – à 95 % des grands donateurs à 7 500 euros. L’équipe veut passer à la vitesse supérieure en activant un impressionnant maillage des réseaux d’entrepreneurs, banquiers, avocats, lobbyistes et autres « influencers » susceptibles de dégainer un jour ou l’autre l’équivalent de 6,5 Smic pour aider le candidat Macron

Ces généreux bienfaiteurs seront approchés les mois suivants à travers des dizaines de dîners organisés en France et à l’étranger, le plus souvent en présence du « chef », le surnom d’Emmanuel Macron. Ces sauteries, symboles du confinement et de l’endogamie d’une certaine élite, sont « très mal vu[e]s par certaines catégories de la population », convient En Marche ! dans une note interne. Mais elles sont aussi tellement rentables, surtout quand le candidat se déplace. Mi-avril 2016, un seul déjeuner à Londres au domicile privé de la directrice financière d’un site de vente en ligne permet de réunir 281 250 euros, selon un document d’En Marche !. Deux semaines plus tard, à Paris, un cocktail dînatoire génère 78 000 euros en à peine une heure et demie. La cash machine est lancée.
Des rabatteurs très bien intégrés dans les hautes sphères économiques

Pour multiplier les rencontres, l’équipe « fundraising » (« collecte de fonds ») d’En Marche ! a élargi son maillage par l’intermédiaire de rabatteurs, des sympathisants du mouvement – très bien intégrés dans les hautes sphères économiques – qui ouvrent leurs carnets d’adresses, accueillent des déjeuners, voire, parfois, organisent des événements « clés en main ». Ne reste alors au mouvement qu’à valider les listes d’invités et à organiser la venue du candidat. Détail financier non négligeable : les frais liés aux dîners effectués aux domiciles des donateurs sont des « dépenses privées non intégrées » aux comptes de campagne.

Le 1er juin 2016, le conseiller de dirigeants d’entreprise Édouard Tétreau, un temps protégé par l’ancien PDG d’Axa Claude Bébéar, accueille l’un des tout premiers grands cocktails parisiens. « Durée : 1 h 30, dont passage Emmanuel d’1 h 00 », note minutieusement l’équipe d’En Marche !. Tout est millimétré : « Salutations 15 min/speech 20 min/Q&A [questions/réponses – ndlr] 20 min/sortie 5 min. » Les invités sont triés sur le volet : une trentaine de « quadra, hors CEO [PDG – ndlr] CAC40 ». Une semaine plus tard, Édouard Tétreau renouvelle l’expérience pour une nouvelle cible. Cette fois, 32 personnalités issues de « différents cercles (avocats, conseil, lobbying, édition, etc.) » sont concernées. Ne reste qu’à valider la liste d’invités. Mais « attention ! », alerte En Marche !, « un partner d’Image 7 », la boîte de la communicante Anne Méaux, qui conseille François Fillon, fait partie des convives potentiels.

Un autre « PP » (pour « poisson-pilote ») du mouvement, Hélène Chardoillet, directrice du développement d’une PME dans le domaine bancaire et « amie » d’Astrid Panosyan, une ancienne conseillère du cabinet Macron, s’active aussi en coulisses. Au mois de mai, elle alerte Emmanuel Miquel sur le positionnement politique du candidat. « Les personnes que je connais et que j’ai commencé à approcher (5 sur cette dernière semaine) sont de sensibilité politique centre droit et leur retour en substance est le suivant », écrit-elle au trésorier du mouvement : flou sur le programme de Macron, danger de voir sa candidature « phagocytée » par François Hollande, faiblesse de son bilan à Bercy…

« Mon sentiment, développe Chardoillet, si nous restons sur l’objectif précis du fundraising, est que cette cible centre droit n’est pas, pas du tout mûre pour la donation. Positionnement, programme et démarcation de Hollande seront des éléments clés pour que cette cible évolue. »
« Si vous connaissez des gens désireux d’aider la cause »

« Top de voir ces manifestations », se réjouit dans la foulée Emmanuel Miquel, dans un message en copie au reste de la direction d’En Marche !. Seul bémol : pour « aller dans le sens » de ce que « Christian [Dargnat – ndlr] évoquait de constituer une petite base de gens disponibles pour appeler des contacts », Miquel « pense qu’il faut être vigilant à ne pas trop diluer l’exercice de Fundraising. Il faut certes se démultiplier, mais le sujet FR [fundraising – ndlr] reste sensible ».
Des demandes d’audience auprès du ministre

Trois semaines plus tard, Christian Dargnat, encore lui, est à la manœuvre pour motiver ses troupes : « Si vous connaissez des gens désireux d’aider la cause [sic], n’hésitez pas à les orienter vers moi », encourage-t-il par mail. Un appel reçu cinq sur cinq. « Hello, une de mes amies me dit que son patron [d’une mutuelle – ndlr] souhaiterait participer à un de nos dîners. J’ai bien précisé que c’était réservé aux grands donateurs », écrit Cédric O. Retour de Dargnat, un mois plus tard : « J’ai déjeuné avec le DG et [la responsable des affaires publiques du groupe – ndlr] : excellents contacts et gros potentiels de networking. Merci encore. »

Très investi, Cédric O préconise aussi de convier à un dîner du mois de juillet un patron qu’il connaît personnellement : « Je ne suis pas certain qu’il donnera, mais c’est un très gros driver pour d’autres (sur la thune et en termes de réseau). » Bonne pioche : ce quadra donnera plus tard 2 500 euros à la candidature. « Pas mal », note, impassible, le mandataire. « Nous organisons le 1er juillet un déjeuner autour d’E. Macron : si vous avez des gens prêts à contribuer à hauteur de 7,5 K€, envoyez à Emmanuel Miquel et moi-même les coordonnées de ces personnes », relance encore Dargnat à une dizaine de ses contacts.
Dans la liste, des gens helpful « au taquet »

Dans la liste : Frédéric Surry, directeur des investissements actions et obligations convertibles à la BNP, Denis Panel, DG d’une des filiales du groupe bancaire, et un ancien de la maison, David Pillet, ex-business manager ayant fondé en 2016 sa propre société de conseil. Deux mois plus tard, une nouvelle soirée fait saliver l’équipe : 23 chefs d’entreprise « qui peuvent bcp aider » ont déjà promis d’être là. L’un d’entre eux, patron d’une jeune société d’investissement, semble « très helpful ». Un autre – dans le classement Challenges des plus grandes fortunes de France en 2016 – est carrément « au taquet ». La récolte promet d’être grandiose.

L’équipe tient des tableaux précis de chacun des événements. Et Dargnat veille au grain : « Peux-tu m’envoyer la liste des invités (noms + adresses mails) de ton dîner afin que nous puissions suivre l’évolution des contributions et t’en rendre compte également ? », demande l’ancien banquier à l’organisateur d’un dîner. Les retours sont bons, mais il faut à tout prix garder le rythme. « Les amis, les deux prochaines semaines, nous n’avons pas de dîner FR, souffle Emmanuel Miquel le 20 juin. Nous nous proposons avec Christian de (re)mettre la pression sur ceux qui auraient déjà dû donner, afin de les relancer pour qu’ils donnent d’ici la fin de semaine. »

Le trésorier soumet alors à son équipe une liste de sept noms, « soit un potentiel de 53 K€ pour cette semaine ». Ismaël Emelien, le plus proche conseiller d’Emmanuel Macron – il est aujourd’hui son conseiller spécial à l’Élysée –, se propose d’en appeler quelques-uns. Mais pas l’avant-dernier nom de la liste, celui du directeur général d’une grande entreprise française de sites internet : « J’avais en revanche senti […] [qu’il n’était] pas très chaud pour payer, il aide beaucoup en termes de conseil. »
Une frontière entre fonctions parfois ténue

À l’autre bout de la chaîne, le « chef » supervise les opérations par l’entremise de son cabinet. « Sophie [pour Sophie Ferracci, cheffe de cabinet de Macron à Bercy – ndlr], peux-tu nous faire un point avec les prochaines dates ? Merci bcp », demande le 2 mai 2016 Julien Denormandie, un autre membre de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron, son ancien dircab à Bercy.

À la même période, Dargnat sollicite Emmanuel Miquel et Cédric O pour qu’ils trouvent « des gens qui pourraient organiser des dîners » à l’occasion des déplacements à venir du ministre à « Orléans le 8 mai, La Rochelle le 9 mai, Toulouse le 19 mai, La Grande-Motte le 26 mai, Chalon-sur-Saône le 30 mai, Rennes le 20 juin, Annecy le 23 juin ». Très efficace à Paris, En Marche ! veut désormais braconner en région. Le mouvement assure que ces dîners provinciaux ont été des fiascos.

Pas question, en revanche, qu’Emmanuel Macron s’investisse publiquement dans la collecte alors qu’il est encore à Bercy. « Tant qu’Emmanuel est ministre, je ne crois pas en sa volonté de vouloir signer les courriers [de remerciement aux donateurs de plus de 500 euros – ndlr] », prévient Julien Denormandie. Le « chef » se contente alors de textos. C’est que la frontière entre les fonctions est parfois ténue. Comme pour ce fondateur d’un fonds d’investissement, qui sollicite une audience auprès de Macron-ministre après avoir fait un don à Macron-candidat. Son message est directement transmis par Denormandie à Ferracci, sans que l’on sache si ce donateur a obtenu gain de cause : « Sophie, pour ta pochette “demande d’audience”. Merci beaucoup. »
L’homme sérieux à lunette qui a annoncé la liste du gouvernement d’Édouard Philippe

Le 15 septembre, Emmanuel Miquel, prudent, rappelle aussi la nécessité de vérifier « l’absence éventuelle de conflits d’intérêts (incompatibles avec les fonctions passées d’EM) » et le « caractère recommandable [sic] du donateur ». Il transmet une liste comportant les noms et coordonnées de 62 contributeurs – principalement domiciliés à Paris et Londres – représentant 276 000 euros de dons. Cette fois, c’est Alexis Kohler qui se charge de répondre. L’ancien directeur de cabinet de Macron à Bercy a alors officiellement quitté la campagne pour travailler dans le privé, mais il reste très impliqué dans l’organisation : « Je regarde de plus près demain mais je n’en vois aucun susceptible de poser problème à première vue », répond-il. Depuis le 14 mai, Alexis Kohler est le nouveau secrétaire général de l’Élysée. C’est lui, l’homme sérieux à lunettes qui a annoncé mercredi 17 mai la liste du gouvernement d’Édouard Philippe.

Pour les donateurs étrangers, la prudence est de mise. « Vous êtes à l’aise avec les virements reçus ? », s’inquiète par exemple, le 2 février 2017, le mandataire Cédric O en découvrant les noms de plusieurs de ces donateurs étrangers sur un relevé de comptes. « Oui je les connais tous », répond Dargnat dans la minute.

La banque saisit aussi à plusieurs reprises l’équipe du candidat. « Je suis à même de vous les réclamer [des justificatifs pour des virements en provenance de l’étranger – ndlr] en fonction des demandes de notre service des affaires internationales », prévient la directrice adjointe de l’agence du Crédit agricole où est logé le compte de campagne. Mediapart a ainsi identifié plusieurs situations litigieuses – toutes résolues a posteriori, selon les documents consultés –, dues notamment à l’incompréhension par certains donateurs de la réglementation française (interdiction de contribuer pour une personne morale ou dépassement des seuils).
« Si cela n’est pas trop gênant »

Le 21 mars, par exemple, le compte de l’AFCPEM reçoit un virement de 12 000 euros de la part d’un richissime donateur installé à Madagascar, Amin Hiridjee, très présent dans les secteurs de la finance, des télécoms, de l’immobilier et de l’énergie. « Nous sommes contraints de rembourser intégralement les dons qui dépassent les plafonds. Sur le compte de l’AFCPEM (financement candidat) le maximum autorisé est 4 600 € ; sur celui de l’AFEMA (financement mouvement), le max est 7 500 € », alerte Dargnat, avant de demander au frère du donateur – Hassanein Hiridjee, qu’il tutoie – s’il peut lui demander, « si cela n’est pas trop gênant », de faire « deux virements : un de 4 600 à l’ordre de l’AFCPEM et l’autre de 7 500 à l’ordre de l’AFEMA ». Pas de problème : « Je m’en occupe et te reviens », répond H. Hiridjee.

Plus problématique est le sujet traité, début janvier, lors d’une réunion réduite à cinq participants. Les fidèles d’Emmanuel Macron ouvrent la discussion sur un point « spécifique » : le cas du « financement d’une vingtaine de donateurs libanais ». « Problème traité (identifié) », notent les participants dans leur compte-rendu. Sollicité par Mediapart pour en savoir plus quant à la nature du problème et sa résolution, En Marche!, rebaptisé depuis peu La République en marche, n’a pas retourné nos questions (voir la Boîte noire).

Dès sa création, le mouvement a su générer une « forte demande pour organiser des événements » à l’étranger, ainsi que le mouvement le notait en avril 2016. De fait, les expatriés dans les pôles urbains de Londres, Genève, San Francisco ou New York ont été très actifs dans la collecte de dons. Parfois, les investisseurs étrangers ont aussi directement pris attache avec l’équipe.
Plus de 57 % des dons proviennent des dîners et réseaux

Tandis qu’Emmanuel Macron s’installait en tête des sondages, le dirigeant d’un important hedge fund à New York a par exemple sollicité fin mars 2017 Cédric O, par l’entremise d’une connaissance commune, pour qu’il organise une rencontre avec un membre du mouvement à Paris. O l’oriente alors vers Dargnat, qui accepte la mission : « Oui j’en fais 2 à 3 par jour [sic] des présentations de ce type… Cela me détend des négociations sur le prêt [En Marche ! est alors en pleine négociation – tardive – d’un emprunt de 8 millions – ndlr]. » Rien ne prouve dans la comptabilité analysée par Mediapart que cet investisseur ait financé la candidature, mais l’épisode témoigne de l’attrait du mouvement à l’international.

Très organisée, la dynamique de dons n’a cessé d’affoler les compteurs. Dans ses toutes premières projections, En Marche ! prévoyait de récolter un total de 1,15 million d’euros par l’intermédiaire des campagnes de fundraising jusqu’en juillet 2016. S’il a tenu ce rythme de croisière (moyenne de 7 900 euros récoltés par jour) jusqu’au mois d’août, la cadence s’est considérablement accélérée dès le mois de septembre, au lendemain du départ d’Emmanuel Macron du gouvernement.

Au 31 décembre 2016, selon la comptabilité du mouvement, En Marche ! avait récolté un peu plus de 5 millions d’euros de dons, bien au-dessus des 3,5 millions d’euros prévus dans son scénario central. Près de 70 % de cette somme – 3,482 millions – provenaient uniquement du travail de fundraising (dîners/réseaux) auprès de 669 donateurs (dont 400 à plus de 5 000 euros).

La communication du mouvement a évidemment cherché à rendre compte d’une tout autre réalité. En avril 2017, dans un échange sur les éléments de langage à utiliser face à la presse, alors que Macron est pressé par certains médias de faire la lumière sur l’origine de ses dons, Ismaël Emelien préconise d’insister sur les 35 000 donateurs à l’origine de la collecte totale de 10 millions d’euros et de communiquer sur le don médian de 50 euros. Il note par ailleurs que « 1/3 des dons » sont inférieurs ou égaux à 30 €, « 2/3 des dons » inférieurs ou égaux à 65 € et que les « dons supérieurs à 5 000 € » ne représentent que « 1,7 % du total des donateurs ». Ou l’art de faire dire aux chiffres ce que l’on veut. Car en réalité, la place des « grands » contributeurs est centrale. Dans ses projections financières pour le début d’année 2017 (de janvier à mai), En Marche ! prévoyait notamment que les campagnes de fundraising lui rapporteraient 57,5 % des dons totaux du mouvement (contre 43,5 % pour le financement participatif).
Le soutien sans réserve de la banque Rothschild

Ce rythme soutenu n’a jamais entamé le dynamisme des argentiers de Macron. Après Paris, Genève, Londres ou New York, Dargnat a aussi intensément lorgné vers l’Afrique. Ainsi qu’en témoigne son message à l’égard du responsable d’une grande banque française sur le continent. « Comme évoqué, par votre intermédiaire et celui d’[…] et de quelques autres, ce serait exceptionnel de pouvoir organiser une levée de fonds sur le continent africain, et notamment en Côte d’Ivoire », lui écrit-il en juin 2016.

Sollicité par Mediapart, le banquier – qui confirme avoir rencontré Dargnat puis Macron – déclare avoir refusé de s’engager : « La question d’une levée n’a en réalité jamais fait l’objet d’une discussion, affirme-t-il. J’ai dit clairement que nos fonctions ne pouvaient pas nous permettre de nous mettre en avant de manière ostentatoire. J’ai dit que si une visite en Côte d’Ivoire s’organisait, je pourrais y participer au titre de citoyen franco-ivoirien mais c’est tout. Je n’aime pas le mélange des genres. »

D’autres banquiers n’ont pas songé à prendre de telles précautions. La banque Rothschild, où a travaillé Emmanuel Macron pendant quatre ans, lui apporte un soutien sans réserve. Fin septembre, Olivier Pécoux, directeur général de Rothschild – dans les faits il est le dirigeant opérationnel de la banque –, organise pour En Marche ! une rencontre de donateurs potentiels sur les Champs-Élysées. Déjà contributeur pour un montant de 7 500 euros au mouvement, M. Pécoux n’avait toujours pas été remboursé des frais engagés pour l’événement sept mois plus tard. L’a-t-il été depuis ? Il n’a pas répondu aux sollicitations de Mediapart.
C’est son job de soutirer de la maille aux gens qui ont de la thune et en plus c’est une meuf

Cinq autres associés-gérants de cette banque, interlocuteur privilégié de l’État dans des opérations capitales menées par le ministère des finances, ont aussi directement soutenu En Marche !. Il s’agit de Laurent Baril (don maximal de 7 500 euros), de Cyril Dubois de Mont-Marin (7 500 euros), de Cyrille Harfouche (7 500 euros), d’Alexandre de Rothschild (2 500 euros) et d’Arnaud Joubert (7 500 euros). Florence Danjoux – compagne de Vincent Danjoux (autre associé de la banque) – fait aussi partie des premiers donateurs (7 500 euros). Tout comme Luce Gendry (3 000 euros), associée-gérante jusqu’en 2016.

Le 19 mai 2016, un cadre de Rothschild, Philippe Guez, a aussi organisé une récolte de dons dans son appartement du XVIe arrondissement. Y étaient conviés une dizaine d’invités – chefs d’entreprise, avocats, family office et investisseurs dans l’immobilier –, en compagnie de Christian Dargnat et d’Emmanuel Macron. « Tous ont été informés d’une contribution de 7 500 euros », précise alors l’hôte de l’événement.

Dans un autre établissement bancaire, la banque privée Edmond de Rothschild, certains salariés se sont eux aussi très activement engagés dans la campagne. C’est le cas par exemple de Mylène Bonot, une chargée de partenariat qui n’a pas ménagé son temps dans la collecte. « Salut à tous. Suite à notre échange d’hier soir et comme convenu, je vous fais suivre le profil de Mylène, proposait Cédric O en avril 2016. Je pense qu’elle serait top pour donner un coup de main sur le fundraising pour gérer la bande passante de contacts : elle est très maligne, hyper sympa, c’est son job de soutirer de la maille aux gens qui ont de la thune et en plus c’est une meuf, ce qui est un atout non négligeable. Par ailleurs je la connais très bien et je lui fais confiance », ajoutait-il à l’époque.

Depuis, la jeune femme s’est activement impliquée dans la prospection et la relance de « grands donateurs » du mouvement, en liaison étroite avec Emmanuel Miquel. Ni elle, ni l’équipe d’En Marche ! n’ont répondu à nos questions sur le cadre de cette mission. A-t-elle été rémunérée pour cette tâche ? Ou, peut-être, s’agissait-il d’un investissement à plus long terme ?

=> Source : Mediapart





Édouard Philippe inconnu du grand public est aujourd’hui en place à Matignon mais qui est-il ? Et qui sont ses soldats du libéralisme à la Macron qui entendent nous dicter leurs lois ? Mais surtout et c’est là grande question : pourquoi eux ? Franc-maçonnerie et Bilderberg investissent un conseil des ministres qui ne ressemble en rien à son peuple mais bien à l’élite occulte Occidentale. Que les choses soient dites : tous ces ministres ou presque épousent la doctrine libérale-mondialiste soutenue par l’État profond américain. Cette même doctrine qui encourage le « fédéralisme Européen » en assassinant nos nations et par la même occasion : nos cultures et toutes les valeurs qui font de nous des peuples fiers et droits.






À première vue si nous regardons à la volée, nous ne voyons pas ce qui peut lier tous ces nouveaux hauts fonctionnaires de l’État, mais si nous nous y penchons un peu…






À tout seigneur tout honneur, Édouard Philippe nouveau Premier ministre et proche d’Alain Juppé : qui est-il, d’où vient-il ? La question que je me pose en réalité c’est : comment un simple maire du Havre, inconnu du grand public a pu coiffer au poteau tous ceux qui prétendaient s’assoir à la droite de Rothschild Junior ? Il avait pour sûr les relations nécessaires pour gravir les échelons. Édouard Philippe est clairement dans la lignée de Macron, porté et coopté par bien plus puissant que lui. C’est un ancien énarque il va de soi, en fin d’études il intègre le conseil d’État ce qui signifie qu’il est jugé apte à servir les intérêts de ceux qui s’octroient le droit de penser pour tout le monde.






Comme je l’explique dans un article sur le complotisme, la maçonnerie a accouché de nombreux autres « clubs de réflexion » qui ne sont rien d’autre que des réseaux d’influences au comportement mafieux réunissant les plus puissantes fortunes de la planète et les jeunes pousses prometteuses sortant des grandes écoles. À l’origine ces « groupes » sont apparus par la volonté de certains de s’écarter du groupe principal, avec le temps ils sont devenus indépendants tout en restant infestés de francs-maçons. Ces nouveaux groupes de réflexion permettent de recruter et d’affilier de nouveaux partisans de la doctrine mondialiste sans qu’ils aient à intégrer systématiquement la maçonnerie ce qui les tiens éloignés de certains secrets et permet de ratisser plus large. Le plus célèbre actuellement c’est bien sûr le groupe Bilderberg dont je ne fais qu’un tout petit résumé ici mais j’invite tout le monde à se renseigner sur le sujet. Ce « groupe » très influent se réunit chaque année et ceux qui y sont invités sont tenus au secret le plus total. Vous ne verrez jamais Mélenchon au Bilderberg je vous le dis, cette association de malfaiteurs d’envergures internationales est une institution libérale ayant pour objectif la construction d’une nation unique bâtie sur les règles d’un marché mondialisé ; en revanche vous auriez pu y croiser : Juppé, Fillon, Lagarde mais aussi en 2014 : Emmanuel Macron qui deviendra Ministre de l’économie trois mois plus tard et en 2016 : Édouard Philippe !






S’il ne m’a pas été possible de trouver au nouveau Premier ministre une filiation maçonnique, il a été en revanche très appuyée par Antoine Rufenacht ancien maire du Havre et proche de la loge des « 3H » mais surtout « Young leaders » de la French American Foundation ; je vous passe les détails mais c’est l’antichambre du Bilderberg, Giscard d’Estaing, Juppé, Hollande entre autres y sont passés mais aussi Macron bien sûr. Bref Édouard Philippe n’est pas arrivé ici par hasard, cet homme qui a grandi dans l’ombre des cabinets ministériels est un bon soldat du dollar, intelligent et maîtrisé. N’oublions pas qui il représente. N’oublions pas qu’il a toujours menti sur son patrimoine. Édouard Philippe s’inscrit dans une stratégie globale qui se prépare depuis longtemps et qui dotera les puissances Européennes de gouvernements libéraux qui détruiront les systèmes politiques nationaux et renforceront les institutions non démocratiques internationales comme l’Union Européenne.






Mais le pire, c’est qu’il y a pire !






Goulard Sylvie : Ministre des armées, ça fait flipper. Européiste convaincue, cette énarque de la promotion « liberté, égalité, fraternité » ça ne s’invente pas, a participé à la réunion du Bilderberg en même temps que le Premier ministre. C’est aussi une « Young leaders » de la « French American Foundation ». Eurodéputée depuis 2009 elle a fait l’essentielle de sa carrière dans les couloirs de Bruxelles, elle a même enseigné au « Collège de l’Europe. Elle a été conseillère de Romano Prodi et chargé du suivre la Convention sur l’avenir de l’Europe présidé par Giscard d’Estaing qui accouchera du traité de Lisbonne. Ses activités au sein de l’Union Européenne sont multiples mais elle travaille clairement et depuis longtemps à la création d’une véritable administration gouvernementale Européenne.






Selon plusieurs sources, je cite :






« Le 15 septembre 2010, Sylvie Goulard cofonde, avec Daniel Cohn-Bendit, Isabelle Durant et Guy Verhofstadt le groupe Spinelli, une association de députés européens, d'universitaires et d'autres personnalités politiques qui a pour objectif de promouvoir le fédéralisme européen. »






« Parallèlement à sa fonction de députée européenne, elle a travaillé en tant que consultante au sein de l’Institut Berggruen… »






Qu’est-ce que c’est encore que ce truc ? Et bien je cite :






« L’Institut Berggruen est un groupe de réflexion se voulant indépendant et non-partisan consacré à l’étude comparative et à la conception de systèmes de gouvernance adaptés aux défis complexes spécifiques au xxie siècle. »






Et comprenant entre autres :


« The Council for the Future of Europe : un groupe de réflexion interne institué afin de débattre et de préconiser des moyens visant à parvenir à une Europe unifiée. »


Il est présidé par l'ancien Premier ministre italien, Mario Monti. Parmi ses membres figurent notamment d’anciens chefs d’État : Tony Blair (R.-U.), Gerhard Schröder (Allemagne), Felipe González (Espagne), Romano Prodi (Italie), Matti Vanhanen (Finlande), Guy Verhofstadt (Belgique), Franz Vranitzky (Autriche), et Marek Belka (Pologne) ; on y compte également des économistes : Joseph Stiglitz, Michael Spence, Robert Mundell, Jean Pisani-Ferry, Nouriel Roubini, et Otmar Issing ; y figurent encore des chefs d’entreprise tels que Mohamed El-Erian et Juan Luis Cebrián, ou des universitaires comme Niall Ferguson et Anthony Giddens ; l’ex-président de la Commission européenne Jacques Delors ainsi que l’ex-directeur du Comité international de la Croix-Rouge Jakob Kellenberger, le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy, le président de Goldman Sachs et l’ex-directeur de l’Organisation mondiale du commerce Peter Sutherland, l’ex-directeur de la Deutsche Bundesbank Axel Weber, Doris Leuthard, membre du Conseil fédéral suisse et l’homme d’affaires Alain Minc en font également partie.


Le groupe milite pour une intégration politique plus importante au sein de l’Europe par le biais d’une meilleure consolidation fiscale européenne, d’une extension des pouvoirs attribués à la Banque centrale européenne, et de la contribution active des citoyens européens. »


Mais aussi :


« The 21st Century Council : un conseil consacré à la réforme de la gouvernance internationale. Le conseil est présidé par l'ancien Président du Mexique, Ernesto Zedillo. Composé d’anciens chefs d’états, de lauréats du prix Nobel et de chefs d’entreprises internationales. »


Le tout étant bien sûr basé aux États-Unis.






Mais au fait, avec un tel parcours : pourquoi Silvie Goulard se retrouve-t-elle ministre des armées et non aux affaires Européennes ce qui paraîtrait plus logique ? Serait-ce pour faciliter la création de l’Armée Européenne ? Un pays qui ne maîtrise ni son économie, ce qui est déjà le cas, ni son armée, ce qui risque d’arriver, n’est plus une nation. L’idée de Macron et de ses sbires est de créer une Europe fédérale dotée d’un gouvernement n’étant pas soumis au suffrage universel, avec bien sûr sa monnaie qu’elle possède déjà mais surtout une armée capable de rivaliser avec n’importe quelle superpuissance.


Si je résume, Sylvie Goulard aux Armées, c’est l’armée à Bruxelles et par conséquent c’est le dernier pilier de la nation qui s’effondre pour laisser place à ce nouvel Empire Libéral Européen.






Et je ne vous parle pas des autres :






Jean-Yves Le Drian au C.V. long comme le bras aura été le ministre de la défense (des Armée actuellement) de François Hollande durant tout le quinquennat. Il est donc remplacé par Sylvie Goulard et c’est lui qui se chargera des affaires Européennes et étrangères. Il est initié au Grand Orient de France.


Gérard Collomb Ministre de l’intérieur et soutient de la première heure est aussi franc-maçon au Grand Orient de France et cofondateur de la fondation Jean Jaurès qui milite notamment pour la promotion de la « démocratie » dans le monde.


François Bayrou, opportuniste notoire membre du club le Siècle.


Bruno Le Maire, ancien secrétaire d’État aux affaires Européenne représentant la France à la commission trilatérale.


Françoise Nyssen, la preuve que même issue de la société civile ils ont tous un grain, cette célèbre éditrice est une adepte de la philosophie d’Anthroposophie, mais me direz-vous qu’est-ce que c’est ? Je cite :


« L'anthroposophie est une philosophie occulte traitant de l'Homme et son environnement naturel, développée par Rudolf Steiner. Le terme d'« anthroposophie » est inspiré du livre de Thomas Vaughan Anthroposophia Theomagica, et signifie « la sagesse appliquée à l'Homme ». Partant de la conviction qu'il existe un monde spirituel accessible à l'intuition, Steiner s'appuie sur la théosophie de Blavatsky et développe son propre système en y incorporant des données empruntées à de nombreuses traditions occultes, astrologiques, religieuses, mythiques et philosophiques de l'humanité. L'anthroposophie se déclare d'un caractère universel et veut s'appliquer à une large diversité de domaines, notamment l'éducation, la musique, la peinture, l'agriculture, la médecine et l'architecture. »


En 1995 Françoise Nyssen fonde avec son mari « l’école du domaine possible » sur le modèle des écoles Steiner-Waldorf, je vous laisse vous renseigner, c’est très louche et ça sent la secte à plein nez ! Mais pas de soucis Madame Nyssen devient notre ministre de la culture !


Continuons avec :


Jean-Michel Blanquer : pur produit de l’Éducation nationale et franc-maçon c’est normal.


Muriel Pénicaud : Ministre du travail est diplômée de « l’Institut européen d'administration des affaires. » Fondée entre autres par Giscard d’Estaing. Elle a travaillé dans différents cabinets ministériels mais elle a surtout occupé des postes à hautes responsabilités dans des groupes comme Danone, Orange et même Dassault. Depuis 2014 elle est membre du « comité de pilotage des 34 plans de la Nouvelle France industrielle » qui est une sorte de parallèle à la commission Attali et dont la seconde phase a été lancée par Macron lui-même. Leur rapport s’intègre parfaitement dans la politique sociale-libérale qui nous attend et Muriel Pénicaud aura pour mission de concrétiser le projet.


Nicolas Hulot lui-même serait franc-maçon mais peu importe…






Où nous emmène donc Emmanuel Macron, l’homme qui une fois président a marché sur l’hymne Européen jusqu’à la pyramide de verre ? Vers une Europe fédérale dont nous ne contrôlerons démocratiquement plus aucun organe. Une Europe fédérale libérale où l’élitisme sera la norme. Une Europe qui continuera à creuser le fossé entre les plus riches et les plus pauvres. Une Europe qui continuera de semer la guerre et la terreur dans le sillage de l’oncle Sam qui infeste nos politiques étrangères et nous implique dans des machinations sordides.


Un gouvernement libéral de combat


Un gouvernement mondialiste qui va mettre le coup de grâce aux nations et aux cultures Européennes sans nous demander notre avis. Un gouvernement soumis à une doctrine suprématiste qui impose sa volonté pseudo démocratique à coup de guerre et de magouilles partout dans le monde. Ce gouvernement est taillé sur mesure pour satisfaire toutes les obédiences et autres réseaux d’influences mafieux qui détruisent notre histoire, nos vies, notre avenir et celui de nos enfants.






Je vous le dis, il va falloir rester vigilant les prochaines semaines, ne pas se laisser endormir par la propagande et être prêt à réagir le moment venu. Le gouvernement Macron s’inscrit dans un futur qui laissera bien plus de laisser pour compte que de millionnaires. Nous devons nous réveiller et faire prendre conscience à tout le monde que ces réseaux sont puissant, très puissants et que ce sont eux qui font le jeu politique, possèdent les banques et les médias les plus influents. Ce sont eux qui ont fabriqué le président Macron et toute sa clique.






« La France ne peut exister qu’au travers du sentiment patriotique, d’amour profond de la terre de France et de sa culture taillée par des siècles d’histoire, de heurts et de grandes réussites. C’est au Français de comprendre que la patrie nous protège des Empires qui ne tendent qu’à croître par tous les moyens même les plus fourbes et les plus ignobles. La France existe au travers du peuple Français et ceux qui l’oubli seront sans identité, sans attache. Sans âme. » C.H.











Quelques ministres et conseillers francs-maçons :




– François Hollande (président de la république), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader.

– Jean-Marc Ayrault (premier ministre) : en 2008, maire de Nantes, il fait voter une subvention de 400 000€ destinée à la rénovation et à l’agrandissement du local servant aux réunions de 7 loges maçonniques

– Manuel Valls (ministre de l’intérieur), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

– Christiane Taubira (ministre de la justice), franc-maçonne membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

– Pierre Moscovici (ministre de l’économie et des finances), ancien membre de la LCR (Ligue Communiste Revolutionnaire) et Young Leader

– Najat Vallaud-Belkacem (ministre des droits des femmes), Young Leader

– Arnaud Montebourg (ministre du redressement productif), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader

– Michel Sapin (ministre du travail), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)

– Vincent Peillon (ministre de l’éducation nationale), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF), ancien membre du Comité communiste pour l’autogestion

– Jérôme Cahuzac (ancien ministre du budget), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Jean-Yves Le Drian (ministre de la défense), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Stéphane Le Foll (ministre de l’agriculture), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Marylise Lebranchu (ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique) franc-maçonne, ancienne membre du PCMLF (Parti communiste marxiste-léniniste de France)

– Anne-Marie Escoffier (ministre déléguée chargée de décentralisation), franc-maçonne membre du Parti Radical de Gauche et de la Grand Loge Féminine de France (GLFF)

– Fleur Pellerin (ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique), Young Leader

– Benoît Hamon (ministre délégué à l’économie sociale et solidaire et à la consommation), franc-maçon

– George Pau-Langevin, (ministre déléguée à la réussite éducative), franc-maçonne

– Michèle Delaunay (ministre déléguée aux personnes âgées et à l’autonomie), franc-maçonne

– Frédéric Cuvillier (ministre délégué aux transports), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Marc Mancel (conseiller de la ministre George Pau-Langevin), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)

– Christophe Chantepy (directeur de cabinet de Jean-Marc Ayrault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Alain Simon (contrôleur général au ministère de l’économie), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Alain Vidalies (Ministre en charge des relations avec le Parlement), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Aquilino Morelle (conseiller de François Hollande), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader

– Cédric Lewandowski (directeur de cabinet de Jérôme Cahuzac), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Victorin Lurel (Ministre délégué en charge de l’Outre-Mer), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

– Renault Vedel (directeur adjoint de cabinet de Manuel Valls), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

– Alain Bauer (conseiller officieux de Manuel Valls), franc-maçon haut gradé, ancien Grand Maître du Grand Orient de France (GODF)

– Yves Colmou (conseiller de Manuel Valls), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)


Les francs-maçons du Sénat :


– François Rebsamen (président du groupe PS au Sénat), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Jean-Pierre Sueur (sénateur PS du Loiret et président de la commissions des lois), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Claude Domeizel (sénateur PS des Alpes-de-Haute-Provence), franc-maçon du Grand Orient de France

– Gérard Collomb (sénateur maire de Lyon), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Michèle André (sénatrice PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne, vice-présidente de Fraternelle Parlementaire et membre de la secte maçonnique du Droit Humain

– Robert Navarro (sénateur PS de l’Hérault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)


Les francs-maçons à l’Assemblée nationale et dans les collectivités locales :


– Henri Emmanuelli (député PS des Landes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Christian Bataille (député PS du Nord), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Pascale Crozon (députée PS du Rhône), franc-maçonne, vice-présidente de la Fraternelle Parlementaire

– Pascal Terrasse (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Oliver Dussopt (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Brigitte Bourguignon (députée PS du Pas-de-Calais), franc-maçonne

– Odile Saugues (députée PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne

– Patrick Menucci (député PS des Bouches-du-Rhône), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)

– Paul Giacobbi (député du PRG de la Haute-Corse), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)

– Jean Le Garrec (ancien ministre PS), franc-maçon, président du Cercle Ramadier, membre du Grand Orient de France (GODF)

– Philippe Guglielmi (premier secrétaire fédéral du PS de Seine-Saint-Denis), franc-maçon, ancien Grand Maître de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

– Jean-Jacques Queyranne (président de la région Rhône-Alpes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Philippe Foussier (rédacteur en chef de la revue de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains), franc-maçon du Grand Orient de France

– Jean Glavany (député PS des Hautes-Pyrénées), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Jean-Marie Cambacérès (député PS du Gard), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Jean-Michel Baylet (sénateur PRG du Tarn-et-Garonne), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

– Jack Lang, franc-maçon

– Daniel Vaillant (député-maire à Paris), franc-maçon

– Harlem Désir (Premier Secrétaire du Parti Socialiste), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)


Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive.


Source : http://www.lelibrepenseur.org/liste-de-francs-macons-du-parti-socialiste/


Franc-maçonnerie : le rappel à l’ordre des évêques de Côte d’Ivoire

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À l'occasion de son assemblée plénière, la conférence épiscopale de Côte d'Ivoire a rappelé avec vigueur l'impossibilité pour un catholique d'appartenir à la franc-maçonnerie.

À l’issue de leur 107e assemblée plénière, qui s’est tenue du 16 au 21 mai à Bonoua dans le diocèse de Grand-Bassam, les évêques de Côte d’Ivoire ont publié une prise de position très ferme quant à la franc-maçonnerie. Ce texte fait écho à la vive polémique qui avait éclaté en février dernier, lorsque Mgr Jean-Pierre Kutwa, l’archevêque d’Abdijan, avait refusé de célébrer des obsèques religieuses pour Magloire Clotaire Coffie, haut-dignitaire franc-maçon, grand maître et fondateur de la Grande loge de Côte d’Ivoire (GLCI, émanation de la Grande loge nationale française), décédé accidentellement le 29 janvier. Un véritable bras de fer avait alors opposé l’Église ivoirienne à la famille du défunt, qui assistait régulièrement à la messe, et même au pouvoir politique, puisque Alassane Ouattara, le président ivoirien, Denis Sassou Nguesso, le président congolais et Ali Bongo Odimba, le président gabonais, étaient cosignataires du faire-part de décès, signe de la grande influence du défunt. Mais Mgr Kutwa n’a pas cédé et c’est finalement un prêtre de l’église grecque orthodoxe qui a assuré un service funéraire en présence d’une assemblée en grande partie composée de « frères ».

L’incompatibilité en trois points

C’est donc pour préciser de manière très claire les raisons de l’incompatibilité entre la profession de la foi catholique et l’appartenance aux loges maçonniques que l’épiscopat ivoirien a publié ce premier texte, en attendant une lettre pastorale qui sera diffusée en janvier 2018, à l’issue de la 108e assemblée plénière. C’est dire l’importance de la question pour l’église de Côte d’Ivoire, exprimée dans l’introduction du document diffusé ce 21 mai. « La problématique des mouvements ésotériques est une question théologique et pastorale qui préoccupe au plus haut niveau l’Église en Côte d’Ivoire » est-il ainsi précisé. La déclaration rappelle ensuite les trois raisons principales pour lesquelles l’Église refuse la double-appartenance, telles qu’elles furent rappelées par la Congrégation pour la doctrine de la foi en 1983 : 1) Le relativisme maçonnique, 2) Le refus de la divinité du Christ, 3) L’indifférence à la Grâce miséricordieuse.

Recommandations concrètes

Loin de demeurer dans la seule sphère des considérations théologiques et morales, les évêques formulent une série de recommandations très précises qui dessinent en creux la pression que fait peser la franc-maçonnerie sur l’Église locale. Les jeunes et les étudiants sont invités à faire barrage à l’entrisme des frères dans les universités et à se méfier des bourses généreusement proposées. Les « cadres et hommes de culture » sont incités à ne pas considérer la maçonnerie comme un ascenseur social, au risque d’être amenés à commettre parfois des « actes ignobles » dont la nature n’est pas précisée dans le texte de la conférence épiscopale. Les « responsables de paroisses et de communautés nouvelles », quant à eux, doivent demeurer vigilants et refuser les subventions très conséquentes que peuvent proposer des individus aux accointances maçonniques connues. Enfin, les prêtres et séminaristes, cibles prioritaires des loges, doivent défendre sans relâche leur sacerdoce au prix de sacrifices sociaux ou matériels parfois lourds.
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Riches et pauvres unis contre la pauvreté !

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Tout est là pour réussir, les personnes, les techniques, les capitaux !


Ce qui manque, c'est la volonté de bien faire...



Au moins le nécessaire pour tous...



Pour le nouveau directeur de la CIA de Trump: 
«Jésus-Christ est la seule solution pour notre monde»





Extraordinaire déclaration de la part d’un des hommes les plus influents du gouvernement Trump. Elle a été relayée par les médias chrétiens américains, mais est passée semble-t-il sous les radars des autres. Cela n’aurait sans doute pas été le cas en France, où l’inquisition laïque instruit un procès médiatique dès qu’un représentant politique ose simplement dire qu’il est chrétien.


À première vue, cette déclaration est de nature à rendre enthousiaste n’importe quel croyant, tout comme celle du Vice-Président des États Unis, Mike Pence, qui s’est défini lors de son investiture officielle le 21 juillet 2016 comme un «chrétien, conservateur et républicain, dans cet ordre»»[1]. Il a ajouté : «Nous n’avons jamais eu autant besoin de Jésus qu’aujourd’hui»[2]. Harmonie des messages. Les prises de positions sociétales de Mike Pence sont scrutées à la loupe par ses adversaires : on dénonce tour à tour son sexisme, son homophobie et son fanatisme religieux. Sexisme, parce qu’il pense que «le bonheur de la femme ne peut concilier maternité et carrière professionnelle car elle induit un retard de croissance et de développement chez l’enfant». Homophobie, parce qu’il considère que «l’homosexualité est responsable de l’effondrement de la société»[3]. Fanatisme religieux car il n’hésite pas à confesser ne pas adhérer à la théorie de l’évolution[4] et viser, avec les conservateurs du pays (entendez : les chrétiens) le renversement de la décision de la Cour suprême dite Roe V. Wade, qui a légalisé l’avortement en 1973.

Pour en savoir plus:




Kennedy nous a bien expliqué le rôle néfaste des sociétés secrètes:


« Nous subissons dans le monde entier l'opposition d'une conspiration monolithique et sans pitié, qui étend sa sphère d'influence par des moyens dissimulés — qui préfère l'infiltration à l'invasion, la subversion aux élections, l'intimidation au libre-arbitre, la guérilla nocturne aux armées en plein jour. Il s'agit d'un système ayant consacré d'immenses ressources humaines et matérielles à l'élaboration d'une machine bien huilée, d'une grande efficacité, combinant des opérations militaires, diplomatiques, secrètes, économiques, scientifiques et politiques. Ses préparatifs sont dissimulés, jamais publiés. Ses erreurs sont tues, plutôt qu'en première page. Ses dissidents sont réduits au silence, plutôt que complimentés. Aucune dépense n'est remise en question, aucune rumeur n'est imprimée, aucun secret n'est révélé. 



La simple mention du « secret » est répugnante pour une société libre et ouverte. Nous sommes, en tant que peuple, historiquement et intrinsèquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, et aux cérémonies secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers représentés par la dissimulation abusive et incontrôlée de faits importants sont largement plus graves que ceux évoqués pour la justifier. »



— John F. Kennedy, Président des États-Unis

New York, 27 avril 1961


Ce discours a été prononcé :

• Dix jours après l'invasion ratée de Cuba par la CIA désobéissant à ses ordres (Playa Giron)
• Deux mois avant qu'il n'interdise toute action paramilitaire à la CIA (National Security Action Memoranda 57)
• Quatre mois avant qu'il ne mette à la porte toute la direction de la CIA, dont son directeur, Allen Dulles, et promette de la démanteler entièrement et de répandre ses cendres aux quatre vents
• Un an avant son refus d'un affrontement nucléaire contre Cuba (crise des missiles)
• Deux ans avant son refus catégorique d'une escalade au Viêt Nam
• Deux ans avant son traité avec l'URSS pour limiter les armes nucléaires (Partial Test Ban Treaty -5 août 1963 )

• Deux ans et demi avant son assassinat à Dallas, (le 22 novembre 1963)

La Suisse aura le dernier mot

« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot ».

 Victor Hugo

« encore faut-il qu'elle le dise ».


Denis de Rougemont dans son livre

La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux




 LA  BATAILLE  FINALE  DE  LA  CHRÉTIENTÉ  SE  FERA  AUTOUR  DU PROBLÈME  DE  L'ARGENT,  ET  TANT  QUE  CE PROBLÈME  NE  SERA  PAS  RÉSOLU, IL NE POURRA Y AVOIR  L'APPLICATION  UNIVERSELLE  DU CHRISTIANISME —
Honoré de Balzac



Le Tagi fait des révélations sur le Rotary ...et les maçons ? ...


Légende: Contre la puissance des sociétés secrètes, interdiction des francs-maçons, Suisses, votez oui.




Les acteurs principaux des crises au Rotary...( Swissair, Subprime, bonus...).

UBS, Credit Suisse, Swiss Life, Zürcher Kantonalbank, Axa-Winterthur-Versicherung, die Zürich-Versicherung ou encore KPMG parmi beaucoup d'autres...


Mgr Gianfranco Girotti a rappelé que la Déclaration sur la franc-maçonnerie de la Congrégation pour la doctrine de la foi, approuvée en 1983 par Jean-Paul II, affirmait « que l'inscription aux associations maçonniques 'demeure interdite par l'Eglise' et que les fidèles qui s'y inscrivent 'sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion' ». Pour le prélat romain, la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi était « devenue nécessaire » pour mettre fin à l'opinion erronée qui se diffusait parmi les fidèles, selon laquelle l'adhésion à une loge maçonnique était licite.  
date : 10/3/2007
 
De même pour le Rotary Club condamné par le Vatican notamment le 20.12.1950
 
Naissance du premier Rotary club à Chicago, Illinois. Paul Harris, un juriste franc-maçon de Chicago, envisage une nouvelle forme d'association où les membres pourraient établir des relations d'affaires et nouer des amitiés. Le 23 février 1905, il invite 3 amis à une réunion qui est à l'origine de la création de la plus ancienne et prestigieuse organisation de clubs-service. 
 
Paul P. Harris, avocat, tint la première réunion, en compagnie de trois amis, Silvester Schiele , négociant en charbonGustave E. Loehr , ingénieur des mines etHiram E. Shorey, tailleur. Ils étaient d'origine allemande, suédoise, irlandaise, américaine et représentaient les confessions protestantecatholique et israélite. Deux des quatre fondateurs étaient franc-maçons, P. Harris et Gustave E. Lehr, qui d'ailleurs ne restera membre que très peu de temps avant de retourner à lafranc-maçonnerie. Hiram E. Shorey quittera également très vite le Rotary, pour semble-t-il, des raisons professionnelles.
 
Dans les années 1920, de nombreuses critiques furent dirigées sur le ... rôle de 'façade' donné par le Rotary à la franc-maçonnerie. Elles étaient majoritairement causées, selon la littérature rotarienne elle-même, par une loge maçonnique de Londres composée de Rotariens.

Dans le même genre, le groupe Palestinien Hamas déclare dans sa charte que le Rotary est son ennemi, au même titre que la maçonnerie et les organisationssionistes.

Ce sont eux qui ont poussé les lois facilitant les aides aux suicides et à l'euthanasie active notamment.
La civilisation de la mort, cause des crises, ce sont eux...

Ils sont contre la vie pour de mauvaises raisons... 
La terre est loin d'être surpeuplée...

Europe, l'hiver démographique se confirme.





Europe, l'hiver démographique se confirme.


Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays catholique du Sud...

La proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, plus particulièrement dans les pays du Sud qui "cumulent des difficultés" notamment économiques, ... confirme ce mercredi 11 janvier 2016 une étude de l'Ined.
...

...  la fécondité n'a cessé de baisser, souligne l'Institut, atteignant des niveaux très bas en Europe: 1,7 enfant en moyenne pour les femmes nées en 1974.

"Une contraception efficace, une arrivée des enfants plus tardive, une instabilité plus grande des unions, le souhait d'avoir avant tout un emploi alors qu'ils sont de plus en plus instables et l'incertitude économique croissante" ont pu favoriser cette infécondité, analyse-t-il.

C'est en Europe du Sud - jusqu'à une femme sur quatre née dans les années 1970 pourrait rester sans enfant en Espagne, Grèce et Italie - que le taux d'infécondité a progressé le plus rapidement.

Dans ces pays, qui cumulent "des difficultés sur le marché de l'emploi" et "des inégalités de genre encore très marquées qui rendent difficile la conciliation entre travail et famille", ce taux devrait encore augmenter, frôlant le pic atteint après la Première Guerre mondiale, prédit l'institut.


http://www.ined.fr/fr/publications/population-et-societes/femmes-sans-enfant-pic-en-europe/

La thèse de Daniel Estulin est que derrière le cataclysme financier se cache une trame d’intérêts communs qui cherche la destruction des États-nations pour pouvoir contrôler la démographie mondiale. La planète compte aujourd’hui un peu plus de 7 milliards d’individus. La Terre est une petite planète aux ressources naturelles limitées et confrontée à une explosion démographique sans précédent. Par conséquent, du point de vue de l’élite, si vous voulez contrôler les ressources en eau et en nourriture, il est impératif de réduire la population mondiale dans des proportions « gérables ». Sept milliards d’individus aujourd’hui, le double dans quelques décennies seulement, c’est trop de bouches à nourrir.
Le Club de Rome est l’institution mondiale la plus active en faveur de la thèse d’une dépopulation malthusienne. Le Club a publié en 1972 Les Limites à la Croissance, qui démontre que la planète sera à court de ressources d’ici quarante ans. Pour que l’humanité survive, il est donc impératif de remettre en cause notre style de vie et de réguler la population mondiale, donc la réduire par tous les moyens.
C’est ce à quoi, selon Estulin, s’emploie l’Empire (l’Empire désigne un système de contrôle de l’économie mondiale opéré par le biais d’un système monétaire international aux mains de grandes banques internationales). La mondialisation, avatar de l’Empire, est synonyme d’élimination de l’État-nation ; de l’éradication de la liberté ; de l’élimination de tous les droits. Toutefois, avant d’être en mesure de réduire la population et maîtriser le troupeau, il est impératif de détruire l’économie et la demande. Peut-être vous demandez-vous pourquoi l’Empire tient tant à détruire la demande ? En contrôlant déjà plus de 98 % de la richesse mondiale, l’Empire ne souffrirait pas financièrement de cette destruction ? Leur principal souci en cette période de l’Histoire est d’assurer la survie de leur espèce. Et affirmons-le une fois de plus, pour qu’ils puissent survivre en ces temps prochains de pénurie des ressources naturelles, une grande partie d’entre-nous doit périr.
Mis en avant par Les Indignés, cet essai-choc s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires en Espagne. Il a été traduit en dix-huit langues.

François de Siebenthal: Monde, l'hiver démographique :

desiebenthal.blogspot.com/2010/03/monde-lhiver-demographique.html

18 mars 2010 - L'inventeur de l'expression « hiver démographique » est quant à lui le recteur Gérard-François Dumont, directeur de la revue Population et ...

Europe, l'hiver démographique

1989 - ‎Europe
La création de l'Institut Suisse de Démographie et de Développement, ISDD, dont ... François Geinoz François de Siebenthal Michel Tricot Préface par Philippe ...

** Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la ...

Images intégrées 1
Il y a 10 minutes - Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays ...

François de Siebenthal: La NASA et notre disparition

20 août 2015 - l'hiver démographiquehttps://books.google.ch/books?isbn=2825100056 .... François de SiebenthalDémographie : la chute a commencé.

europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction ...

www.abebooks.fr/...l'hiver-démographique.../geinoz-françois-siebenthal-françois-de-sua...
europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction de pierre chaunu de geinoz françois siebenthal françois de suarez antoine tricot michel ...

Livre - Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidoux ...

www.chapitre.com › ... › Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidou...
Introduction de Pierre Chaunu de Geinoz (François) / Siebenthal (François De) / Suarez ... commander et acheter le livre Europe : l'hiver démographique.

Europe, l'hiver démographique - Marie-Laure Beck, François Geinoz ...

https://books.google.com/books/about/Europe_l_hiver_démographique.html?id...
QR code for Europe, l'hiver démographique. Title, Europe, l'hiver démographique. Une publication de l'Institut suisse de démographie et de développement.

L'hiver démographique - Les Manants du Roi

L'hiver démographique. Les Ecolo ont “gagné”, paraît-il, les élections européennes. Ils auraient également gagné, paraît-il, les élections régionales. Bien.
Termes manquants : siebenthal

Hommages - Pour que son souvenir demeure: Vladimir DIMITRIJEVIC

6 avr. 2011 - François De Siebenthal ... publié l'un de nos livres: "Europe, l'hiver démographique" et qui voulait en publier la suite sur les causes financières ...

Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants ...

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3 févr. 2016 - Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants. Même la Migros en parle... Le numéro MM05 du 1er février 2016 est consacré aux familles.

La vraie solution:



— LA BATAILLE FINALE DE LA CHRÉTIENTÉ SE FERA AUTOUR DU
PROBLÈME DE L'ARGENT ET TANT QUE CE PROBLÈME NE SERA PAS RÉSOLU,
IL NE POURRA Y AVOIR L'APPLICATION UNIVERSELLE DU CHRISTIANISME —


(Honoré de Balzac)



grâce à la vraie Suisse...






Abus bancaires contre les plus faibles

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Handicapé et SEUL avec 500 misérables Euros pour vivre, j'étais régulièrement dans le découvert autorisé de 300 E depuis 3 ou 4 mois mon épargne ayant totalement fondu ! Mais ces enculés du CRÉDIT AGRICOLE ( n°2 en Europe ) ont cumulé des agios, des frais d'incidents etc ... ..et prélevé 120 Euros, puis 33 E le MÊME Mois ! Ce qui m'a fait basculer à 420 Euros de découvert . J'Ignorais totalement n'ayant JAMAIS eu de découvert jusque là , que ces enfoirés prélèvent 8 Euros par retrait ou paiement par carte dans le découvert autorisé ! 3:) ...  Pas content , je les appelle pour rendez vous et ça se passe pas bien au téléphone . 8 Jours, plus tard, ( c'est TRÈS récent) je reçois une lettre AR comme quoi je suis viré, sans aucune explication et que je dois rendre mes chéquiers et carte bancaire dans les meilleurs délais ! Vous me croirez ou pas, mais ça faisait 40 ans que j'étais dans cette banque ( j'ai bcp déménagé) et je n'avais jamais eu d'interdit bancaire, et même pas mal d'argent placé chez eux à une époque ! ! INTERDIT BANCAIRE avec 420 euros à leur rembourser . J'ai été contraint d'ouvrir un compte NICKEL provisoire en urgence . ... Ne trouvez vous pas tout ça un peu FORT EN CHOCOLAT ? Si quelqu'un a des remarques ou des conseils, ils sont les bien venus ! Et si quelqu'un(e) est dans le même genre de situation, on peu me contacter en MP et réfléchir à un collectif ! Merci .


Cela faisait 15 ans que j' etais société générale, cela fait 15 ans que je joue avec les découverts, il y a quelques mois, je me suis retrouvé en galère de voiture, je demande une autorisation dd découvert, refuser, alors que j' y etais tout le temps, je part vivre dans le sud, je me retrouve a sec d essence alors qu il me reste 3 jours a bosser, du coup je peux pas y aller car j ai refait une demande ici et refuser, je leur dit qu a chaque fois que j ai besoin d eux, je n ai rien, par contre pour me prendre 60e d agios sans 1e, là ils sont là et la cerise sur le gâteau, quand il me dit non pour le découvert, il essaie de me vendre une assurance voiture, putin t est con ma parole, je suis en galère et tu m arnaque encore, du coup j ai changé, j ai prit la moins cher en ligne, boursorama, avec les comparatifs internet, je gagne 488e à l année et mon coloc est riche, ingénieur du pétrole, mais un radin, lui est à boursorama donc je me suis dit que c est avec celle la que je vais continuer, on verra par la suite ce que ça donne, dans tt les cas, on as besoin d une banque

Monnaies locales ? Conseils !

Stop aux perturbateurs !

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Salut,

Je viens de signer cette pétition : https://actions.sumofus.org/a/non-a-la-proposition-scandaleuse-de-la-commission-europeenne-sur-les-perturbateurs-endocriniens/?no_akid=1

Cancers, infertilité, malformations, obésité, etc, etc.… la liste est longue !

Plusieurs centaines de millions d'européens pourraient bientôt être exposés à des substances extrêmement dangereuses : les perturbateurs endocriniens.

La Commission européenne tente de faire passer en force sa proposition douteuse sur les perturbateurs endocriniens après avoir été condamné par la Cour de justice de l'UE pour son inaction fautive. 
À ce jour, aucune décision n'a encore été prise et la pression publique ne fait que grandir. Si nous n'agissons pas maintenant, la Commission européenne pourrait bien délivrer un véritable permis de contaminer à Monsanto et compagnie et nous devrons faire face à une catastrophe sanitaire à l'échelle européenne.
Peux-tu toi aussi signer cette pétition demandant aux gouvernements des États membres de faire prévaloir le principe de précaution et refuser la proposition de la Commission sur les perturbateurs endocriniens ?
https://actions.sumofus.org/a/non-a-la-proposition-scandaleuse-de-la-commission-europeenne-sur-les-perturbateurs-endocriniens/?no_akid=1

Merci !



L’humain avant le profit

AG Monnaie Léman 30 juin 2017 - 19h

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[ e-LémanTerre n°15 ]
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e-LémanTerre #15
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Convocation à
l'Assemblée générale statutaire
de Monnaie Léman

30 juin 2017 - 19h
lieu à définir

Suivie d'un ApéroLéman !

Chers membres actifs et sympathisant-e-s du Léman,


Vous êtes convié-e-s à l'Assemblée générale statutaire conjointe de Monnaie Léman (Suisse) et Monnaie Léman (France) qui se tiendra le vendredi 30 juin 2017 à 19h.
Le lieu, l'ordre du jour, ainsi que les documents à propos desquels nous serons appelé-e-s à nous prononcer vous parviendront prochainement.

Cette Assemblée générale nous amènera notamment à élire le Comité conjoint de Monnaie Léman. Votre candidature est la bienvenue, sachant que la composition actuelle du comité profiterait d'une représentation féminine plus importante, ainsi que de compétences spécifiques (notamment Recherche de fonds, Responsables de Groupe local, Gestion d'événements, Démarchage, Facilitation économique).
Le comité se réunit généralement 9 à 12 fois par an. Il est également important que les membres du comité soient actifs pour la coordination d'un groupe de travail.

 
Nous vous remercions de nous faire part de votre candidature avant le 10 juin 2017 (ou de vos questions à ce sujet le cas échéant) par email :info@monnaie-leman.org.

Au plaisir de vous voir le 30 juin !
 
Lémaniquement vôtre,
Le Comité conjoint
Page facebook
Site internet
Email

Invitation DDC SECO. Des perspectives grâce à la formation professionnelle

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Luttes contre la pauvreté.



Riches et pauvres contre la pauvreté.



Conférence à l'EPFL, Lausanne




Des perspectives grâce à la formation professionnelle.


Le 23 juin 2017 dès 12h00, 



17h00 apéritif.










Lieu de l'activité

SwissTech Convention Center 
EPFL
Lausanne




La formation professionnelle peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la pauvreté. 

Elle apporte les qualifications nécessaires pour participer à la vie économique et sociale, crée de nouvelles perspectives et permet de décrocher un emploi correctement rémunéré ou d’augmenter ses revenus.

Conférence annuelle de la coopération suisse au développement 2017






Les mains d’une femme travaillant à une mosaïque.
Conférence annuelle de la coopération suisse au développement 2017. © DEZA

Programme

De l'ouverture à la clôture, découvrez le programme de la journée du 23 juin 2017 en détails

Thème

Découvrez le thème de la Conférence annuelle de la coopération suisse au développement 2017

Projets

Découvrez une sélection des projets en cours de la DDC et du SECO

Intervenants

Faites connaissance avec les différents intervenants qui participeront à la Conférence annuelle 2017

Informations pratiques

Accès, parking, repas: les informations nécessaires






Newsletter de la DDC

Des informations actuelles sur la coopération suisse au développement et sur l’aide humanitaire publiées tous les deux mois.



12h00 Ouverture des portes
Enregistrement – collation – visite de l'exposition organisée par les partenaires
13h00 OuvertureAllocution de bienvenue Manuel Sager, directeur de la DDC
13h15 Discours d’ouverture
Johann N. Schneider-Ammann, conseiller fédéral
13h35 Table ronde
Éducation de base et formation professionnelle – un sésame pour l’emploi Accès à de meilleurs revenus au Burkina Faso 
  • Issa Compaoré, secrétaire chargé des questions d’emploi et de formation professionnelle au sein du Conseil National du Patronat Burkinabè, Burkina Faso
  • Ambroise Tapsoba, chargé de programme, Burkina Faso, DDC
  • Sylvain Simporé, maçon, Burkina Faso 
14h05 Table ronde
Des qualifications professionnelles adaptées à des besoins diversDifficile équilibre entre les enjeux sociaux, économiques et migratoires au Népal
  • Barbara Weyermann, chargée de programme Népal, DDC
  • Khem Lakai, fondateur de GATE (Global Academy of Tourism and Hospitality Education)
  • Markus Reisle, chef du programme global Migration et développement, DDC
14h45 Pause
15h25 Allocution
Ngozi Okonjo-Iweala, ancienne ministre nigériane des affaires étrangères et des finances, managing director de la Banque mondiale de 2007 à 2011
15h45 Table ronde
Un écosystème pour l’entrepreneuriatLe Swiss Entrepreneurship-Programm au Pérou
  • Javier Salinas, directeur « Emprende UP », accélérateur de programme, Pérou  
  • Charlotte Ducrot, Swisscontact, mise en œuvre du programme au Pérou
  • Liliana de Sà Kirchknopf, cheffe du secteur Développement du secteur privé, SECO
16h15 Discussion finale
Coopération suisse au développement : de nouvelles perspectives grâce à la formation professionnelle
  • Fathi Derder, conseiller national VD
  • Christa Markwalder, conseillère nationale BE
  • Jean-René Fournier, conseiller aux États VS
  • Thomas Greminger, directeur suppléant de la DDC
  • Raymund Furrer, chef Coopération et développement économiques, SECO
17h00 Apéritif de réseautage






http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/05/monnaie-bien-commun-appel-conferenciers.html

Téléchargements/Liens


Conf annuelle de la coop


Thème




Trois hommes qui ensemble montent un moteur.
La formation professionnelle est une composante importante de la coopération suisse au développement. © DDC
La formation professionnelle peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la pauvreté. Elle apporte les qualifications nécessaires pour participer à la vie économique et sociale, crée de nouvelles perspectives et permet de décrocher un emploi correctement rémunéré ou d’augmenter ses revenus.
La formation de base et la formation professionnelle constituent des outils efficaces pour consolider l’économie. Elles permettent à la fois de lutter contre le chômage et le sous-emploi, auxquels les jeunes sont particulièrement exposés, et de répondre aux importants besoins des entreprises en main-d'œuvre qualifiée. Dans le domaine de l’éducation, la Suisse possède un précieux savoir-faire dont elle peut faire profiter ses partenaires. C'est pourquoi la formation professionnelle s’est imposée comme un élément clé de la coopération suisse au développement. La Suisse possède en outre une forte culture d’entreprise, susceptible d’être partagée et diffusée.
La Suisse œuvre en faveur d’un accès universel à l'éducation de base, à la formation professionnelle et à l’apprentissage tout au long de la vie.
La Conférence annuelle de la coopération suisse au développement s'attachera à examiner la situation de différents pays en matière de formation professionnelle, à mettre en lumière les multiples défis existants et à montrer comment la formation professionnelle peut offrir des perspectives aux populations sur place. L’attention se portera notamment sur la jeune génération, exposée au chômage et au sous-emploi. À cet égard, il importera d’associer les jeunes à la discussion pour trouver comment favoriser leur intégration sur le marché du travail. Un objectif qui permet à la fois de lutter contre la pauvreté et de renforcer l’économie. 
Dans son allocution d’ouverture, le conseiller fédéral Johann N. Schneider-Ammann exposera sur quoi se fonde le succès de la formation professionnelle helvétique, savoir-faire qui suscite un grand intérêt de la part d’autres États. 
Au Burkina Faso, la Suisse soutient la formation professionnelle dans les secteurs de l'artisanat, de l'agriculture, de l’élevage et de la sylviculture. Elle veille, dans ce cadre, à une bonne articulation entre la formation professionnelle et l’éducation de base. Le programme mis en œuvre s’inspire de certains éléments du système suisse de formation duale, un système qui a fait ses preuves et qui présente l'avantage de répondre tant aux besoins des jeunes qu’à ceux de l’économie. Le lien avec l’éducation de base est important car celle-ci constitue le socle des apprentissages futurs, la clé d’une formation professionnelle réussie et d’une bonne intégration dans le monde économique. Cependant, elle fait encore trop souvent défaut. 
Au Népal, quelque 450 000 jeunes, dont plus de 80% sans formation, intègrent chaque année le marché du travail. L’« Employment Fund », une initiative novatrice, contribue à favoriser l’emploi en proposant aux jeunes des formations souples de courte ou de moyenne durée et des préparations pour exercer des activités indépendantes. La prise en compte des besoins sur le marché du travail et l’implication du secteur privé sont au cœur de l’engagement de la Suisse. Dans ce contexte, l’impact que les projets de formation professionnelle ont sur la migration sera également abordé. 
Après la pause, l’ancienne ministre nigériane des affaires étrangères et des finances, Ngozi Okonjo-Iweala, exposera l’importance que revêt la formation professionnelle du point de vue de l’Afrique. 
Promouvoir l’entrepreneuriat grâce au savoir-faire suisse : destiné au secteur privé, le programme « Swiss Entrepreneurship » vise à renforcer la position des entrepreneurs, femmes et hommes, dans différents pays. L’exemple du Pérou met en lumière ce qui favorise l’émergence d’un « écosystème propice aux entreprises » ainsi que le type de soutien que la Suisse peut apporter avec des instruments novateurs et durables. 
En guise de conclusion, des parlementaires suisses et des représentants de la DDC et du SECO échangeront autour de la formation professionnelle 

Dans le cadre de la conférence, des organisations partenaires présenteront des projets consacrés à cette thématique. 

Les participants auront l’occasion de visiter l’exposition avant et après la conférence, ou encore pendant les pauses.

Intervenants




Les personnes suivantes participeront à la Conférence annuelle de la coopération suisse au développement 2017 lors de tables rondes ou d'interventions.



Allocution de bienvenue




© DDC
Manuel Sager © DDC
Manuel Sager, directeur de la DDCManuel Sager, né en 1955, a fait des études de droit à l’Université de Zurich, sanctionnées par un doctorat, et il a obtenu un «master of laws and letters» (LL.M.) à la Duke University Law School.  Il est entré au service diplomatique en 1988 et a exercé diverses fonctions au sein du Département fédéral des affaires étrangères. En 2005, il est devenu directeur exécutif à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement à Londres, avant d’exercer les fonctions d’ambassadeur de Suisse aux États-Unis de 2010 à 2014. Depuis novembre 2014, Manuel Sager est à la tête de la Direction du développement et de la coopération (DDC).



Discours d’ouverture




Johann Schneider-Ammann
Johann Schneider-Ammann © WBF
Johann N. Schneider-Ammann, conseiller fédéralJohann Schneider-Ammann, né en 1952, possède un diplôme de génie électrique de l’EPF de Zurich, ainsi qu’un «master of business administration» de l’INSEAD de Fontainebleau/Paris. En 1999, il a été élu conseiller national sous l’étiquette du Parti radical-démocratique suisse . Le 22 septembre 2010, l’Assemblée fédérale l’a élu au Conseil fédéral. Depuis le 1er novembre 2010, Johann N. Schneider-Ammann est à la tête du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR).



Table ronde

Éducation de base et formation professionnelle – un sésame pour l’emploi




Issa Compaoré
Issa Compaoré © DDC
Issa Compaoré, secrétaire chargé des questions d’emploi et de formation professionnelle au sein du Conseil National du Patronat Burkinabè, Burkina FasoIssa Compaore, né en 1970 au Burkina Faso, est Ingénieur en génie industriel et est diplômé en physique Appliquée et en Management. Chef d’entreprises depuis 20 ans, il a mis un point d’honneur à la formation professionnelle de plusieurs milliers de travailleurs. En tant qu’enseignant, il a élaboré des plan de formation au profit des industries, des mines, des entreprises commerciales et de l’administration. Il a également participé activement à l’élaboration de politiques en matière de promotion du secteur privé, créateur d’emplois.





Ambroise Tapoba
Ambroise Tapoba © DDC
Ambroise Tapsoba, chargé de programme, Burkina Faso, DDCAmbroise Tapsoba, né en 1973 au Burkina Faso, a étudié les Sciences de l’éducation et est détenteur d’un Master en Ingénierie et Conseil en formation. Ses travaux de recherche s’intéressent à la qualité de l’éducation ainsi qu’aux alternatives éducatives pour les populations exclues. Actuellement, il travaille à la formulation de stratégies d’éducation et pour la mise en place de formations professionnelles adaptées aux besoins du secteur privé. Ambroise Tapsoba a une expérience de 20 ans dans le domaine de la coopération au développement.






Sylvain Simporé
Sylvain Simporé © DDC
Sylvain Simporé a 22 ans et il est né à Bisraga, au Burkina Faso.
Après sa scolarité obligatoire, il a poursuivi sa formation en 2012 au Lycée régional d’enseignement professionnel agricole de Bingo. Puis il a travaillé comme aide-maçon sur divers chantiers pendant près de deux ans. Entre 2015 et 2016, il a obtenu un diplôme de maçonnerie reconnu par l’État. Sylvain Simporé a ensuite enchaîné avec un stage afin d’approfondir les connaissances déjà acquises. Depuis janvier 2017, il travaille comme maçon indépendant au Burkina Faso. Pendant ses loisirs, il aime jouer au football, écouter de la musique et partir à la découverte de nouvelles contrées.



Table ronde

Des qualifications professionnelles adaptées à des besoins divers




Barbara Weyermann
Barbara Weyermann © DDC
Barbara Weyermann, chargée de programme, Népal, DDCBarbara Weyermann est chargée de programme de la DDC au Népal, responsable du développement des compétences et des thématiques de la migration et du développement ainsi que des violences basées sur le genre. Avant de rejoindre la DDC, Barbara Weyermann a travaillé pour l’UNICEF, Terre des hommes et le Mouvement chrétien pour la paix ainsi qu’en tant que consultante en Asie et en Afrique. Elle est spécialisée dans les questions de migration et de traitement des violences basées sur le genre ainsi que dans les problèmes psychosociaux liés aux contextes fragiles.






Khem Lakai
Khem Lakai © DDC
Khem Lakai, fondateur de GATE (Global Academy of Tourism and Hospitality Education), NépalKhem Lakai est le fondateur de la Global Academy of Tourism & Hospitality Education (GATE), une académie qui a été créée en 2007. GATE a formé plus de 3000 étudiants à divers métiers du secteur hôtelier. GATE est associée à Hôtellerie suisse et à TAFE Australia. Khem Lakai est titulaire d’un diplôme de commerce et d’un diplôme de gestion hôtelière de la SSTH (Swiss School of Tourism and Hospitality) et il est conseiller auprès du Nepal Sector Skills Committee for Hospitality. Il est également membre du comité consultatif de l’un des projets de développement des compétences menés par la DDC au Népal.





Markus Reisle
Markus Reisle © DDC
Markus Reisle, chef du Programme global Migration et Développement, DDCNé en 1961 à Bienne, Suisse, Markus Reisle possède un master en anthropologie et en histoire de l’art de l’Université de Fribourg, Suisse. Il a travaillé pendant 14 ans pour la Croix-Rouge suisse, où il a occupé diverses fonctions de gestion dans le domaine de la migration. Il est entré au service de la DDC en 2003. Jusqu’en 2007, il était conseiller principal en matière de migration à la centrale à Berne, puis a exercé les fonctions de directeur résident adjoint à Kigali, Rwanda, de 2007 à 2011, en tant qu’expert en migration et en développement. Depuis 2013, il est chef de la division Programme global Migration et développement  à la centrale à Berne. Il est marié et a deux enfants adultes.



Allocution




Ngozi Okonjo-Iweala
© Ngozi Okonjo-Iweala
Ngozi Okonjo-Iweala, ancienne ministre nigériane des affaires étrangères et des finances, managing director de la Banque mondiale de 2007 à 2011Ngozi Okonjo-Iweala est présidente du conseil d’administration de l’organisation GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunisation). Depuis sa création en 2000, GAVI a vacciné 580 millions d’enfants dans le monde et sauvé huit millions de vies. Ngozi Okonjo-Iweala est également conseillère principale auprès de Lazard, une société de conseils financiers et de gestion d’actifs de premier plan au niveau mondial.
Auparavant, elle avait été deux fois ministre des finances du Nigéria, d’abord de 2003 à 2006, puis de 2011 à 2015, et avait exercé brièvement la charge de ministre des affaires étrangères. Elle est la première femme de son pays à avoir occupé ces deux fonctions. Elle a passé 25 ans de sa carrière à la Banque mondiale en qualité d’économiste du développement. Lorsqu’elle a été nommée directrice générale de l’institution, elle en est devenue la numéro 2. Elle était chargée d’un portefeuille opérationnel de 81 milliards de dollars, englobant l’Europe, l’Asie centrale, l’Asie du Sud et l’Afrique (2007-2011). Ngozi Okonjo-Iweala est actuellement présidente du conseil d’administration de la Capacité africaine de gestion des risques (African Risk Capacity, ARC) de l’Union africaine, un mécanisme innovant d’assurance contre les intempéries destiné aux pays africains ; elle est également co-présidente de la  Commission mondiale sur l’économie et le climat, qui compte parmi ses membres Lord Nicholas Stern et Paul Polman.



Table ronde

Un écosystème pour l’entrepreneuriat




Javier Salinas
Javier Salinas © DDC
Javier Salinas, directeur « Emprende UP », Centre du entrepreneuriat et innovation, Universidad del Pacifico, PérouJavier Salinas est le directeur du Centre d’entrepreneuriat et d’innovation (Center of Entrepreneurship and Innovation) de l’Université du Pacifique (University of the Pacific). Cet entrepreneur et investisseur œuvre à la promotion du secteur des technologies de la finance au Pérou et dans la région de l’Amérique latine. Javier Salinas est un économiste possédant une vaste expérience dans les activités bancaires internationales, le financement de projets et le financement structuré. Il est un gestionnaire spécialisé dans les domaines de la création de fonds d’investissement au Pérou, de la dette, des instruments de financement de type «mezzanine» et du capital-investissement. Il a travaillé comme banquier d’affaires et il mène des activités de développement de nouvelles entreprises et de soutien à l’entrepreneuriat et à l’innovation. Il cherche à structurer l’écosystème entrepreneurial au Pérou et en Amérique latine, encourage le financement participatif dans la région et les mécanismes de financement des phases initiales du développement des entreprises comme les réseaux Business Angels et Micro Venture Capital. Il est membre de l’organisation Worldwide Crowdfunding Council Leaders depuis 2014.   



Charlotte Ducrot
Charlotte Ducrot © DDC
Charlotte Ducrot, Swisscontact, cheffe de Programme au Pérou, Swiss EntrepreneurshipCharlotte Ducrot est la directrice du programme suisse d’entrepreneuriat (Swiss Entrepreneurship Program, Swiss EP) au Pérou, un programme mondial financé par le SECO et mis en œuvre par Swisscontact dans 6 pays. Elle avait travaillé auparavant pour l’ONG Endeavor en Colombie. Charlotte Ducrot avait également travaillé en Suisse pour le Forum des jeunes leaders mondiaux (Forum of Young Global Leaders, YGL) au Forum économique mondial (WEF). Elle est titulaire d’un master en affaires internationales de l’Institut de hautes études internationales et du développement (Suisse), d’un master en droit international de l’Université de la Sorbonne (France) et d’un bachelor en droit de l’Université de Nanterre (France).




Liliana de Sá Kirchknopf ©SECO
Liliana de Sá Kirchknopf, cheffe de la division promotion du secteur privé, SECOLiliana de Sá Kirchknopf est cheffe de la division Développement du secteur privé au sein du centre de prestations Coopération et développement économiques  du SECO. L’unité qu’elle dirige a pour vocation d’améliorer l’environnement économique des entreprises et leur accès aux capitaux ainsi qu’à favoriser le développement des compétences. Elle travaille pour le SECO depuis 1996, ce qui l’a amenée à occuper diverses fonctions, notamment celles de conseillère principale au Bureau de l’administrateur suisse  (Executive Directors Office) auprès du Groupe de la Banque mondiale à Washington D. C., de spécialiste du développement du secteur privé pour la Société financière internationale (SFI) et de cheffe du Bureau de la contribution suisse à Budapest, qui est chargé de mettre en place et en œuvre un programme de cohésion doté d’une enveloppe de 130 millions de francs, en Hongrie. Elle est titulaire d’un master en économie, option sciences politiques, de l’Université de Berne et parle cinq langues.



Discussion finale

Coopération suisse au développement: de nouvelles perspectives grâce à la formation professionnelle




Fathi Derder
Fathi Derder ©Parlamentsdienste
Fathi Derder, conseiller national VDFathi Derder est né à Lausanne en 1970. Après sa scolarité, qu’il a suivie dans cette même ville, il est devenu journaliste en 1994, puis a travaillé pour différents médias. De 1998 à 2008, il a été présentateur à la Radio Suisse Romande, avant de rejoindre une télévision privée. En 2011, Fathi Derder a été élu conseiller national pour le canton de Vaud en tant que membre du PLR. Les libéraux-radicaux.








Christa Markwalder
Christa Markwalder ©Parlamentsdienste
Christa Markwalder, conseillère nationale BEChrista Markwalder est née en 1975 à Berthoud, où elle a suivi sa scolarité et passé sa maturité en 1995. Elle a étudié le droit et l’économie aux universités de Berne et de Nimègue/NL et obtenu une licence en droit en 2001. Depuis janvier 2008, elle travaille en tant que juriste au sein du Zurich Insurance Group. À partir de 1999 et jusqu’à son élection au Grand Conseil du canton de Berne en avril 2002, elle a siégé au Conseil de ville de Berthoud avec les Jeunes libéraux-radicaux. En 2003, elle a été élue au Conseil national sur la liste PLR. Les libéraux-radicaux.







Carlo Sommaruga
Carlo Sommaruga ©Parlamentsdienste
Carlo Sommaruga, conseiller national GECarlo Sommaruga est né à Zurich en 1959. Il a étudié le droit à l’Université de Genève et obtenu son brevet d’avocat en 1989. Carlo Sommaruga travaille en qualité d’avocat pour la section genevoise de l’Association suisse des locataires. Il a commencé sa carrière politique en 1991 en tant que membre du conseil municipal de Thônex, où il a siégé jusqu’à son élection au Grand Conseil du canton de Genève en 2001. Depuis 2003, Carlo Sommaruga représente le canton de Genève au Conseil national, en tant que membre du Parti socialiste.








Thomas Greminger
Thomas Greminger © DDC
Thomas Greminger, directeur suppléant de la DDCDepuis août 2015, Thomas Greminger est chef du domaine Coopération Sud et directeur suppléant de la DDC. Au fil d’une longue carrière diplomatique, il a exercé diverses fonctions de direction, notamment celle de représentant permanent de la Suisse auprès de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), ainsi que des Nations Unies et des organisations internationales à Vienne. Auparavant, l’ambassadeur Greminger avait travaillé, au DFAE, dans les domaines de la politique du développement et de la coopération au développement, du règlement des conflits, de la sécurité humaine et de la migration. Père de quatre filles, Thomas Greminger vit à Berne. Il est lieutenant-colonel EMG et sert dans l’état-major de l’armée suisse. Durant ses loisirs, il se consacre surtout au VTT, à la musique moderne et classique ainsi qu'à la photographie.





Raymund Furrer
Raymund Furrer © SECO
Raymund Furrer, chef Coopération et développement économiques, SECOL’ambassadeur Raymund Furrer (*1960), licencié en lettres, est chef du centre de prestations Coopération et développement économiques du SECO et délégué du Conseil fédéral aux accords commerciaux depuis le 1er octobre 2015. Auparavant, il a dirigé le Swiss Business Hub dans les pays du Golfe. Le 1er avril 2014, il a de plus été nommé consul général à Dubaï. De 2008 à 2012, il avait été responsable du secteur Institutions financières multilatérales du centre de prestations Coopération et développement économiques.  Avant d’occuper cette fonction, Raymond Furrer avait été conseiller principal du directeur exécutif suisse auprès de la Banque mondiale à Washington, chef du secteur Relations économiques bilatérales avec l’Asie et premier secrétaire d’ambassade de la Délégation suisse près l'OCDE à Paris. Enfin, il avait également travaillé pour la Banque asiatique de développement et dans le secteur privé.

Lights in the Dark, 1,2,3 juillet 2017

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A propos de Lights in the d@rk

NOTRE VISION


Lights in the Dark veut évangéliser les « indigènes » du continent numérique comme l’Église a propagé l’Évangile dans les 5 autres continents depuis 2000 ans.

Partout dans le monde, les missionnaires formés sont invités à devenir des petites lumières, présence du Christ, comme autant de feux en pointillés dans ce nouvel espace, menant irrésistiblement à une rencontre ‘in real life’ (IRL).

L’action de Lights in the Dark sur le web devra être visible et attractive, parce qu’elle y répand le seul véritable message d’espérance dont tout homme a besoin.

Les 1,2,3 juillet prochains, sous le grand chapiteau du domaine de La Castille (Var) aura lieu le 1er forum européen de l’évangélisation par Internet, pour susciter une nouvelle culture numérique dans l’Eglise, en vue de l’évangélisation. Une grande première sur un sujet d’actualité pour la mission des catholiques, en partenariat avec Radio Maria, l’appli Pearl et Aleteia !

Grands intervenants :

– Introduction du forum par Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon
– Antonio Spadaro (directeur de la revue jésuite La Civiltà Cattolica, Rome, auteur du livre Cyberthéologie, penser le christianisme à l’heure d’Internet) : challenges pastoraux autour du monde numérique
– Jean-Marc Potdevin (appli Entourage) : le numérique au service de la charité en actes
– Alexandre Meyer (Aleteia, partenaire) : animer un site d’infos chrétiennes
– Père Amar (Padreblog, auteur du livre Internet, le nouveau presbytère, ou comment rassembler les brebis avec des souris) : faire du buzz sur Internet pour Jésus
– Matthias et Régine Rambaud (Attraction-Communication, Suisse) : le numérique au service de la croissance de l’Eglise et de ses pasteurs

Ateliers :

1. Quel est mon profil missionnaire ? (Alex et Maud Lauriot-Prévost – Monprofilmissionnaire.com)
2. Les défis du leader de l’évangélisation par Internet (Béatrix Bréauté – Talenthéo)
3. Eglise et évangélisation par Internet (Père Samuel Chaboussou)
4. Doctrine sociale de l’Eglise et évangélisation par Internet (François Jusot)
5. Stratégies pour évangéliser par Internet (Jean-Baptiste Maillard, secrétaire général de Lights in the Dark, auteur du livre Dieu et Internet, 40 questions pour mettre le feu au web)
6. Comment écrire sur Internet pour les non-croyants (Michèle Longour – Reussirmavie.net)
7. Evangéliser sur Internet avec Wikipédia (François Jeanne-Beylot)
8. Evangéliser sur Internet avec la vidéo (Damien Boyer – Orawa production)
9. Evangéliser par Internet avec les réseaux sociaux (Alexandre La Flèche)
10. Réussir la transformation numérique de son diocèse (Guillaume de Germain – diocèse de Fréjus-Toulon)
…et d’autres surprises !
Podium de l’innovation, chaque jour en plénière :
Tous ceux qui le souhaitent peuvent venir présenter leur projet numérique innovant en 7 minutes (inscription préalable nécessaire)

Veillées :

Une veillée festive avec la comédie musicale ‘Enquête au Vatican » d’Ag Gentes (déjà présentée aux JMJ en Pologne) et une veillée d’intercession pour l’évangélisation du continent numérique.

Participation/ »tarif » :

La participation se fait sur place, sous forme de don à l’association, dans un tronc prévu à cet effet. Le coût de revient par personne vous sera donné à titre indicatif pendant le forum. Que chacun donne selon son coeur et ses possibilités, sachant que certains ne pourront pas donner mais que nous voulons pouvoir accueillir tous ceux qui le désirent ! Le Seigneur pourvoira.

A noter aussi :

  • messes quotidiennes & temps d’adoration, animés par la communauté brésilienne Ricado
  • service enfants prévu (merci de nous le préciser via le formulaire d’inscription)
  • repas pris sur place en self-service
  • hébergement limité sur place : inscrivez-vous sans tarder pour pouvoir en bénéficier !
Partenaires de l’évènement :



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Jura: fraudes démocratiques !

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De plus, les enveloppes des votes par correspondance sont envoyées à Berne ( plus de 95 % ), ce qui leur permet de changer trop facilement le contenu des enveloppes...

Votations: tricheries reconnues par les autorités !



"On veut renforcer la confiance des ayants droit dans la votation et éviter des soupçons d'irrégularités", 
a souligné le chancelier du canton de Berne Christoph Auer



Des fraudes massives dans toute la Suisse !
Votations: trop de doutes sérieux reconnus par les plus hautes autorités !
La Confédération et le Canton de Berne notamment reconnaissent la valeur de presque toutes nos plaintes depuis des années.

Certaines des sages mesures prises concrètement ( ci-dessous ) doivent être appliquées à tous les votes en Suisse. 
Cette votation de Moutier peut et doit devenir le modèle de votations au-dessus de tout soupçon, avec des améliorations ( urnes transparentes, matériel de vote surnuméraire de couleur différente et contrôle de celui-ci avant, pendant et après à l'unité près, y compris les maculatures à l'imprimerie...


Ils prennent enfin des mesures sérieuses pour éviter les irrégularités trop nombreuses et si faciles lors du vote de Moutier (BE) sur son appartenance cantonale: 
plusieurs observateurs de la Confédération, 
suppression du dépouillement anticipé, 
contrôle du vote par correspondance, 
du registre des électeurs, 
interdiction du vote électronique 
et information dans les homes de personnes âgées 
et contrôles près des poubelles des cases postales 
et dans les locatifs.

Une simple lampe de bureau, un téléphone portable Natel ou une lampe de poche à LED suffisent pour voir le vote par transparence et avoir la forte tentation de changer l'enveloppe interne et son contenu si nécessaire avec la matériel de "réserve" présent dans tous les greffes des communes suisses...
Images de fraudes:



Facebook & Mark Zuckerberg pour le revenu universel.

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Le 25 mai, devant les nouveaux diplômés de l’université d’Harvard, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook,  a évoqué une idée chère à Benoît Hamon : le revenu universel.
"Il y a quelque chose qui ne va pas dans notre système, quand je peux quitter cette université et gagner des milliards de dollars en 10 ans, alors que des millions d’étudiants ne sont pas capables de rembourser leur prêt étudiant", a déclaré le créateur du site Facebook.  

Les pistes du revenu universel

Visiblement concerné par la disparition de nombreux emplois dans un futur proche, Mark Zuckerberg a abordé l’idée de la mise en place d’un revenu universel. Car selon lui, tout le monde n’a pas les mêmes chances, les mêmes occasions qu’il a pu avoir pour entreprendre dans la vie.
"Maintenant c’est à notre génération de définir un nouveau contrat social. [...] nous devons explorer des idées comme le revenu universel pour que tout le monde ait la sécurité d’entreprendre", a-t-il lancé.
De même, d’après lui, la société doit être "plus concentrée sur la formation continue". Pour poursuivre cet objectif complexe, il explique que certaines grandes fortunes devront peut-être aider. C’est ce qu’il a souligné au cours de son allocution : "les gens comme moi devraient payer pour cela. Beaucoup d’entre vous vont très bien s’en sortir et vous devriez faire de même".


Invitation: “Universal Basic Income and the Future of Human Rights” Geneva, 8 June

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INVITATION TO A SIDE EVENT WITH PHILIP ALSTON, SPECIAL RAPPORTEUR ON EXTREME POVERTY


United Nations Special Rapporteur on extreme poverty and human rights

 “Universal Basic Income and the Future of Human Rights” 

Thursday, 8 June 2017, 

16:30 – 18:00 Palais des Nations (Room IX) 

Organized by the Special Rapporteur on extreme poverty and human rights and the International Movement ATD Fourth World, with the support of the Permanent Missions of Belgium, Chile, Finland, France, Namibia and Romania. This event will bring together leading experts to discuss the increasingly popular idea of a universal basic income in a world of deep economic insecurity. They set out how the human rights community has responded thus far to these profound economic challenges, and explore what the proponents of human rights and universal basic income can learn from each other. Opening remarks by: S.E. Mme Terhi Hakala, Ambassador of Finland Moderator: Professor Philip Alston UN Special Rapporteur on extreme poverty and human rights Panellists: Professor Philippe van Parijs University of Louvain, Hoover Chair of Economic and Social Ethics; Co-founder of Basic Income Earth Network (BIEN) Professor Guy Standing School of Oriental and African Studies, University of London; Co-founder of Basic Income Earth Network (BIEN) Isabelle Doresse Responsible for People’s Universities in Northern Pas de Calais ATD Fourth World, France Alex Praça Human and Trade Union Rights Officer, International Trade Union Confederation Special Rapporteur on extreme poverty and human rights website: 


NYU Center for Human Rights and Global Justice website: http://chrgj.org/ 

WATCH the webcast of the event:

For security reason, you need to have your id papers and to register

Vous devez ouvrir un compte et vous inscrire en deux étapes complètes, merci.

https://reg.unog.ch/user/register



IMPORTANT

For those without a UNOG badge, registration for this event is obligatory.
Interested participants are invited to register on-line before 23 May 2017.




The Library also manages UNOG’s Cultural Activities Programme. Learn more
Contact us

UNOG’s Cultural Activities Programme
libraryculture@unog.ch
+41 (0)22 917 41 43


Visitors must enter at the Pregny Gate of the Palais des Nations at 14, avenue de la Paix.

Valid identity documents are required.

Public transport: lines 8, 28, F, V and Z stop at "Appia"; lines 5 and 11 stop at "Nations"; 
Tramway 15 Terminus "Nations".
 send us an email on visit-gva@un.org


You can also reach us by phone Monday to Friday 9am to 12pm.

Visitors' Service
Palais des Nations
14, avenue de la Paix
CH - 1211 Geneva 10
Tel: +41 (0)22 917 48 96 or +41(0)22 917 45 39 
Email: visit-gva@un.org



François de Siebenthal: UBI & regular payments of consumer dividend ...

François de Siebenthal: What is universal basic income?

https://desiebenthal.blogspot.com/.../what-is-universal-basic-incom...

Traduire cette page
22 juin 2016 - A universal basic income (UBI) – sometimes referred to as “guaranteed” minimum income, citizen's income or negative income tax – is ...

François de Siebenthal: UBI & regular payments of consumer dividend ...

https://plus.google.com/.../posts/M81DWg4kmtn

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9 mars 2016 - François de SiebenthalUBI & regular payments of consumer dividend from national banks

UBI seen from California Switzerland Basic Income Mountain of ...

https://plus.google.com/.../posts/iyrdhf2N8pV

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21 oct. 2013 - ... give each of their 8 million citizens a guaranteed $2800 monthly wage. To mobilize support for the initiative, a... François de SiebenthalUBI seen from California


François de Siebenthal: Monnaies: les solutions suisses

François de Siebenthal: La Suisse a des solutions

desiebenthal.blogspot.com/2016/12/la-suisse-des-solutions.html
29 déc. 2016 - Les finances du point de vue suisse, la BNS, alias banque nationale suisse, les intérêts négatifs, les monnaies pleines, le fédéralisme et le ...

CEP - Solutions suisses à la crise économique - François de Siebenthal

https://www.youtube.com/watch?v=ycthPWt-OUA
20 janv. 2017 - Ajouté par Bernard Vandewalle
François de Siebenthal 26 views. 2:02:01. L'émission de radio courtoisie finale 1/2 avec des graphiques, des ...

CEP - Solutions suisses à la crise économique - François de Siebenthal

www.dailymotion.com/video/x4xn4mi
16 oct. 2016
par Le-CEP. 650 vues. CEP - Solutions suisses à la crise économique - François de Siebenthal. Reposter J ...

Solutions suisses à la crise économique - François de Siebenthal

https://gloria.tv/video/emmW7XtSzCAd17voWJcEkukYC

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INITIATIVE MONNAIE PLEINE SUISSE: Amis -

www.initiative-monnaie-pleine.ch/amis/

L'initiative monnaie pleine est une chance pour la paix en Suisse et dans le monde entier. .... François de Siebenthal, Économiste HEC Lausanne et lic. és sc. iur.: .... La solution est que l'argent scriptural, qui constitue actuellement 90% de ...

Monnaies: les solutions suisses Le franc suisse et la démocratie ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/aA3eFuqCaoG

28 nov. 2016 - Monnaies: les solutions suisses. Le franc suisse et la démocratie directe Par Werner Wüthrich — 26 novembre 2016 Économie Suisse Dans la première partie ...

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