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Monnaies: des mots piégés

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Monnaies, les mots sont piégés. Ils volent nos milliers de milliards, sic...

Lexique 

http://aaapositifs.ch/lexique/


Dans le domaine de la monnaie, il y a parfois du vocabulaire qui n’est pas clair.
Voici un lexique qui définit clairement les mots que nous utilisons :
—– Cette page est encore en construction —–
  • Argent → Métal au numéro atomique 47. Nous préférons utiliser le terme de monnaie.
  • Bail-in → Possibilité introduite entre 2012 (en Suisse, Art 48 de l’Ordonnance de la FINMA sur l’insolvabilité bancaire) et 2016 (dans l’UE) de convertir les dettes d’une banque en fonds propres. En bref quand on sait que la monnaie scripturale des banques est une dette, on peut dire que le bail-in est un moyen pour une banque de se servir sur les comptes de ses clients pour éviter une faillite…
  • Bail-out → Par opposition au bail-in c’est un refinancement d’une banque en faillite qui vient de l’extérieur. C’est ce qui a été fait avec en 2008 par l’UBS avec le StabFund. (pdf de la BNS qui explique la technique). Le Crédit Suisse a, lui, été sauvé en créant de la monnaiepour le Quatar via un crédit de 10 milliards, et ce dernier a racheté des parts de Crédit Suisse. Une opération totalement illégale, mais encouragée par la FINMA ce jour là ! Pour éviter un bail-out. L’outil de bail-in a maintenant été mis en place. (la rumeur dit également que la fusion SBS-UBS a été faite en 1998 pour masquer la faillite de la SBS…)
  • Banque commerciale → A ne pas confondre avec une banque privée. La banque commerciale est une société (en général une SA) qui crée et gère de la monnaie scripturale. (Elle crée des crédits)
  • Banque privée → ll ne reste que 6 banques privées en Suisse ! Le banquier privé recourt à son propre capital et est indéfiniment responsable des engagements de sa banque. La banque privée est à la banque commerciale ce qu’un indépendant est à une société. Une banque privée ne peut pas créer de monnaie. Elle « se contente de » gérer/placer les fonds de ses clients.
  • Crédit bancaire → Un crédit est l’opération qu’une banque commerciale fait pour ajouter de la monnaie sur le compte d’un de ses clients (à partir de rien). En contrepartie, le débiteur (et pas emprunteur) s’engage à rembourser le crédit, soit à verser à la banque commerciale le même montant qu’on lui à mis à disposition à partir de rien, ainsi que des intérêts (qui n’ont pas été créés par la banque, eux ! Ces intérêts devront donc être prélevés de la masse monétaire en circulation, qui sera de facto diminuée).
  • Crédit mutuel → Aussi appelé : Crédit mutualisé. C’est un système de comptabilité entre des individus, pratiqué dans beaucoup de SEL ou entre entreprises, comme c’est le cas avec le Lémanex ou le WIR. Dans un crédit mutuel, un individu qui consomme à crédit a une dette envers le réseau d’utilisateurs tout entier. Contrairement au crédit bancaire où la dette ne se fait qu’entre l’individu et la banque. La somme des avoirs et des dettes d’un système de crédit mutuel est égal à 0. Il n’y a pas d’institut d’émission de monnaie dans un système de crédit mutuel. La « monnaie » se crée dès qu’une transaction a lieu. Si un individu achète un bien à un autre. L’acheteur diminue son solde du prix du bien et le vendeur augmente son solde du prix du bien. Ceci permet très simplement de n’avoir aucun soucis d’inflation. Certains systèmes de crédit mutuel, mettent une limite de consommation à crédit. (Et le Système Monétaire Equilibré place une limite de consommation a crédit et une fonte régulière des avoirs et dettes selon un taux de retour à l’équilibre, ce qui a pour effet de créer une sorte de Revenu de Base)
  • Monnaie → La définition de la monnaie est variable suivant les endroits et les époques. Aristote disait que la monnaie était définie par 3 fonctions : 1) unité de comptes 2) réserve de valeur 3) intermédiaire de confiance dans les échanges. Nous voyons que cette définition occulte le fait que LA monnaie n’existe pas. Qu’il n’y a pas qu’un seul système monétaire mais plusieurs en parallèle, qu’il y a DES monnaies avec des qualités différentes. Certaines sont des monnaies ayant cours légal et d’autres ne sont que des substituts monétaires. Nous parlons de monnaie plus spécifiquement quand celle-ci a une valeur propre. C’était très clair du temps où les pièces métalliques avaient la valeur du métal. Avec la monnaie scripturale, de nos jours, on agit de la même manière. C’est une unité de compte (une unité de mesure) qui a une valeur ! Cette unité de mesure est ainsi soumise à des variations, alors que pour le mètre ou la seconde nous avons des définitions très précises ! Normal ? Quand nous parlons d’intermédiaire de confiance qui permet de mesurer des transferts (très proche de la définition d’Aristote) mais qui n’a PAS de valeur propre, nous préférons parler d’outil de comptabilité. C’est le cas par exemple de la « monnaie » de crédit mutuel utilisée dans les SEL ou de la comptabilité qu’effectuaient les Sumériens sur des tablettes d’argile. La monnaie est une invention récente (vers -700 av. J.-C par rapport à la comptabilité sumérienne vers -3300 av J.-C)
  • Monnaie ayant cours légal → C’est la monnaie officielle, que l’on est obligé d’accepter comme moyen de paiement. Toutes les monnaies ne sont pas des moyens de paiement ayant cours légalLa LUMMP, la Loi sur l’Unité Monétaire et les Moyens de Paiement dit que les moyens de paiements légaux en Suisse sont : les pièces de monnaies, les billets de banque de la BNS et les comptes à vue de la BNS. La monnaie scripturale des banques commerciales n’est pas un moyens de paiement ayant cours légal. C’est une monnaie privée. Ces monnaies scripturales sont appelées substituts monétaires par le Conseil fédéral.
  • Monnaie locale complémentaire → Souvent abrégée MLC. Une MLC est généralement une « monnaie » qui est créée localement par des citoyens qui veulent dynamiser l’économie locale et/ou favoriser les commerces qui correspondent à une charte éthique. La plupart des monnaies locales complémentaires sont nanties et très souvent à parité avec la monnaie ayant cours légal. En Suisse romande, il y a par exemple le Léman et le Farinet. Techniquement, une MLC est considérée comme un bon d’achat. Même si les MLC circulent souvent sous forme de billets, ce ne sont pas des billets de banque. Car selon l’art 99 al. 1 de la constitution Suisse : La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d’émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération. Seule la BNS est en droit d’émettre des billets de banque.
  • Monnaie pleine → C’est la monnaie qui a cours légal ou qui est couverte à 100% par un moyen de paiement ayant cours légal. C’est le cas des billets de banques, des pièces de monnaie, des comptes à vue de la BNS. Ce n’est pas le cas de la monnaie scripturale des banques commerciales qui n’est couverte qu’à 2.5% en Suisse. (1% dans l’UE, et parfois 0% dans les pays anglo-saxon)L’initiative populaire fédérale monnaie-pleine, vise à demander à ce que la monnaie scripturale desbanques commerciales ne soit pas comptabilisée dans le bilan de la banque, mais qu’elle existe réellement et donc avec une garantie illimitée. (Les moyens techniques pour réaliser ceci est que la BNS crée la monnaie scripturale et que les banques commerciales ne fassent plus de crédit, mais que prêter la monnaie de la BNS. Attention, une confusion courante est de croire que l’initiative monnaie pleine c’est 100% de couverture. Mais ce n’est pas ce que dit le texte, même si ça donne quelque chose de très proche: interdire aux banques commerciale de créer la monnaie)
  • Monnaie scripturale → Monnaie uniquement présente sous forme d’écriture. Actuellement, c’est 90% de la monnaie utilisée en Suisse libellée en CHF qui est de la monnaie scripturale. La grande partie de la monnaie scripturale est constituée par les avoirs sur les comptes des clients de banques commerciales. Ces avoirs sont en fait des promesses scripturales des banques commerciales de donner des moyens de paiements ayant cours légal. Ce sont des substituts monétaires.
  • Nantissement → Nous utilisons le terme de nantissement ici surtout dans le cadre des Monnaies Locales Complémentaires. Une MLC est très souvent nantie. C’est à dire qu’elle est garantie, couverte, par une autre monnaie. Par exemple, 1 Léman = 1 CHF. Si je veux un Léman, je dois l’échanger contre un 1 CHF. Donc pour chaque Léman, il est existe un CHF, qui en l’occurrence est placé sur un compte à la Banque Alternative suisse.
  • Prêt (emprunt) → Un prêt, c’est le déplacement d’un bien, d’un endroit à un autre. Ainsi celui qui prête quelque chose à quelqu’un ne peut plus disposer de ce qu’il a prêté. A ne pas confondre avec le crédit ! (Si je prête mon vélo, je ne peux plus l’utiliser… alors qu’une dette est un actif pour celui qui la détient….  c’est un crédit !)
  • Substitut monétaire → C’est ainsi que le conseil fédéral appelle les monnaies qui ne sont pas de la monnaie ayant cours légal. Soit à peu près 90% de la monnaie utilisée en Suisse libellée en CHF. C’est principalement la monnaie scripturale des banques commerciales. L’expression substitut monétaire apparait dans l’interpellation 12.3305. A laquelle le conseil fédéral répond « La croissance des substituts monétaires est laissée à la libre appréciation des marchés, conformément à la conception du secteur privé ancrée dans la Constitution. » En bref : créer une monnaie est une entreprise comme une autre.
  • Troc → Le troc est un échange direct et utile (au même instant) entre deux parties. C’est l’échange d’un bien contre un autre. Nous avons ici une définition stricte pour bien différentier le troc d’autres systèmes d’échanges. Si le troc ne se fait pas dans le même instant, ce n’est plus du troc. Si l’on commence à différer les échanges dans le temps, on est plutôt dans un système de « don dans une communauté de confiance » (sachant que si la confiance règne, tout don sera probablement compensé par un contre don.) Si Roger me paie une bière, j’aurai tendance à lui payer une bière (ou plus) la prochaine fois que je le vois. Les livres d’économie et la BNS ont tendance à dire « Au début, il y avait le troc, puis la monnaie a été inventée« .  C’est occulter 2700 ans d’histoire de comptabilité sumérienne sur tablette d’argile, et probablement une pratique encore plus ancienne et longue de systèmes économiques basés sur la mémoire des dettes entre individus. (Comme dans l’exemple des bières payées entre amis). Il semble bien que le troc n’a jamais fait système. Qu’il a toujours été marginal, utilisé lors de périodes chaotiques d’économie de guerre ou de crises économiques brutales. (fermeture des banques)
Pour aller plus loin, la BNS a également son propre lexique…  ou en version plus moderne… mais on voit qu’il est moins rigoureux sur les termes.

MONNAIES PLEINES... (Réformes constitutionnelles)

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Traduction de la légende sur le grand cochon: seulement de vrais francs sur mon compte !

VOTATION SUISSE EN 2018 ou 2019 POUR LA "MONNAIE PLEINE" (Réforme constitutionnelle).
Les francs suisses pour le souverain suisse, les peuples suisses sont LE SOUVERAIN...
Commentaires ci-dessous d'un français bien informé et disciple de Maurice Allais, M. 
Philippe Bourcier de Carbon.

Bien entendu SILENCE DE MORT sur le sujet dans les médias français et mondiaux ! 

Les sous-citoyens français, ces sous-développés de l'information et de la politique, n'auront bien sûr rien à connaître  d'un sujet aussi "technique" et tellement subalterne ! (...mais heureusement la France a Science-pipo et l'ENA et non la suisse)
Dormez bonne gens, nous faisons le reste !


"Nous voterons sur la question suivante:
QUI DOIT CRÉER NOTRE ARGENT:
LES BANQUES commerciales OU une BANQUE NATIONALE  4.0 ?"



Vidéo:



Étapes pour la domination mondiale

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Les cinq étapes pour la domination mondiale



Résultats de recherche d'images pour « domination mondiale »Vous n’avez pas besoin d’une armée pour parvenir à une domination mondiale. Tout ce dont vous avez besoin, c’est d’un crédit bon marché pour acheter tout ce qui génère la plus haute valeur et / ou revenu.
Domination mondiale, cela sonne bien, n’est-ce pas ?
Voici comment l’obtenir en cinq étapes :
1. Transformez tout en une marchandise qui peut être échangée sur le marché mondial : terre, baux sur la terre, options pour acheter des terrains, des maisons, des bâtiments, des chambres dans les bidonvilles, le travail, des outils, des robots, l’eau, les droits sur l’eau, les droits miniers, les droits sur les lignes aériennes, les navires, les avions, le pouvoir politique, les actions des sociétés, les obligations d’État, les obligations municipales, les obligations des sociétés, les prêts étudiants qui ont été regroupés dans des instruments dérivés, les revenus des parkings des villes, l’électricité, les logiciels, la publicité, le marketing, les médias, les médias sociaux, l’alimentation, l’énergie, les assurances, l’or, les métaux, le crédit, les swaps de taux d’intérêt et, en dernier lieu, les instruments financiers qui contrôlent et / ou organisent en pyramide tous les biens et avoirs réels qui ont été marchandisés (c’est-à-dire presque tout).
Pourquoi est-ce la première étape essentielle dans la domination mondiale ? Une fois que quelque chose a été marchandisé, il peut être acheté et vendu sur le marché mondial dans des devises fiduciaires – des devises qui ne sont pas soutenues par un actif du monde réel et qui peuvent être créées ex nihilo par les banques centrales et privées.
Vous voyez la dynamique, n’est-ce pas ? Créez une monnaie-dette depuis le néant, puis utilisez cet « argent gratuit » pour acheter le monde réel. Joli tour, n’est-ce pas ? Obtenez ce moyen d’échange pour essentiellement rien (c.-à-d. l’argent à des taux d’intérêt proches de zéro), puis échangez-le pour des biens qui produisent des biens et des services dont tout le monde a besoin ou veut.
Maintenant, nous pouvons comprendre les étapes 2 et 3 :
2. Permettre aux banques privées de créer de l’argent depuis le néant grâce au système bancaire des réserves fractionnaires. Vous connaissez l’astuce : les banques peuvent émettre 15 $ en nouveaux prêts pour chaque tranche de 1 $ en espèces qu’elles détiennent en réserve. (Selon la réglementation en vigueur, cela peut aller de 10 $ à 35 $ qui peuvent être créés et prêtés pour chaque dollar détenu dans une réserve de trésorerie).
Dans l’environnement actuel des taux d’intérêt zéro, ce nouvel argent peut être emprunté à des coûts quasi nuls par les entreprises et les financiers.
3. Établir une banque centrale ayant une capacité fondamentalement illimitée de créer de l’argent et de l’utiliser pour soutenir le secteur des banques privées. Si les banques privées sont en difficulté, pas de problème, la banque centrale est là pour les renflouer avec des lignes de crédit illimitées et une capacité illimitée de créer de l’argent neuf.
4. Affaiblir / détruire la capacité des économies locales à organiser la production et la consommation sans utiliser de monnaie-dette et fiduciaire (c’est-à-dire l’argent contrôlé et émis par les banques centrales et privées). Vous voulez échanger des marchandises commerciales avec le troc ? Oubliez cela. Vous voulez utiliser les liens sociaux plutôt que l’argent ou le crédit bancaire pour organiser la production et la consommation ? Éliminez cette possibilité. Vous voulez émettre des monnaies localement ? C’est contre la loi. Vous voulez utiliser le cash ? Mauvais, très mauvais. Tout le monde doit utiliser les banques et le crédit bancaire.
Une fois ces quatre étapes en place, la  cinquième est simple :
5. Achetez tous les actifs productifs et les flux de revenus du monde avec de la monnaie-dette presque gratuite. Aucun épargnant ne peut rivaliser avec les entreprises et les financiers ayant accès à des milliards de dollars de monnaie-dette presque gratuite.
Peu importe si vous gagnez 1 000 $ ou 100 000 $ par année, vous serez dépassé.
Une fois que tout peut être acheté sur le marché mondial, et que vous avez un accès presque illimité au crédit super-bon marché, vous n’avez pas besoin d’une armée pour atteindre la domination mondiale. Tout ce dont vous avez besoin c’est d’un crédit bon marché pour acheter tout ce qui génère la plus haute valeur et / ou revenu.
Charles Hugh Smith
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par cat pour le Saker Francophone.

Par Charles Hugh Smith – Le 28 août 2017 – Source Charles Hugh Smith

Comment résister ?

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/09/repenser-largent-en-conscience_12.html


Traduction de la légende sur le grand cochon: seulement de vrais francs sur mon compte !

VOTATION SUISSE EN 2018 ou 2019 POUR LA "MONNAIE PLEINE" (Réforme constitutionnelle).
Les francs suisses pour le souverain suisse, les peuples suisses sont LE SOUVERAIN...
Commentaires ci-dessous d'un français bien informé et disciple de Maurice Allais, M. 
Philippe Bourcier de Carbon.

Bien entendu SILENCE DE MORT sur le sujet dans les médias français et mondiaux ! 

Les sous-citoyens français, ces sous-développés de l'information et de la politique, n'auront bien sûr rien à connaître  d'un sujet aussi "technique" et tellement subalterne ! (...mais heureusement la France a Science-pipo et l'ENA et non la suisse)
Dormez bonne gens, nous faisons le reste !


"Nous voterons sur la question suivante:
QUI DOIT CRÉER NOTRE ARGENT:
LES BANQUES commerciales OU une BANQUE NATIONALE  4.0 ?"



Vidéo:


Invitation: Nicolas de Flüe Trouver la Paix - Bâtir la Paix

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http://www.wccm.ch/pdfs/flyerfrancais.pdf

http://www.wccm.ch

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/09/invitation-au-ranft-depuis-lausanne-le.html


Dates de ses Fêtes officielles


Il est fêté le 25 septembre en Suisse et le 21 mars ailleurs 7,8

soit proche des deux équinoxes, à ma connaissance 


le seul Saint dans ce cas, 2 fêtes par année !


Pour les 600 ans, des fêtes partout et souvent :-)


http://www.mehr-ranft.ch/fr/agenda/

Un laïc dévoué à la paix: 1417-2017, 600ème anniversaire de St Nicolas de Flue, célébré dans toute la Suisse, et surtout au Ranft, canton d’Obwald, en présence des autorités politiques et religieuses.


Il s’est retiré, à l’âge de 50 ans, au Ranft, dans le ravin de la Melchaa, proche de Flüeli, dans le canton d’Obwald, à 300 mètres de sa famille de dix enfants, avec l'accord de son épouse Dorothée ( doro theo, don de Dieu ou porte de Dieu ). 

Il y vécu 20 ans dans la prière, le jeûne total, ni eau, ni aucune nourriture sauf l'eucharistie et de méditations, voyant venir à lui de plus en plus de visiteurs de l'Europe entière. 

L’ermite les touchait au plus profond de leurs âmes, et donnait la paix à tous, notamment grâce à sa prière. 

Mon Seigneur et mon Dieu, ôte de moi tout ce qui m'empêche d'aller vers toi.

Mon Seigneur et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me pousse vers toi.

Mon Seigneur et mon Dieu, arrache-moi à moi-même et prends-moi tout entier à toi. 

Saint Nicolas de Flüe 1417-1487

page84_recontrin - Famille de Siebenthal

www.de-siebenthal.com/page84_recontrin.htm

Mais, toujours sous l'aspect de la reconquête au plan personnel, et sous la lumière trinitaire, je recours maintenant au patron de la Suisse, Saint Nicolas de Flue ...

Texte Flue

www.de-siebenthal.com/texte_n._de_fue.htm

Nicolas de Flue et la Trinité (25.3.01). D'après le livre Saint Nicolas de Flue de Charles Journet (Fribourg 1966), le saint ermite eut des ..... Jean de Siebenthal.

Nicolas de Flue : une vie pour la paix et l'unité

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/abHHGDhSBhy

2 août 2017 - Nicolas de Flue : une vie pour la paix et l'unité

François de Siebenthal: Niklaus von Flüe

desiebenthal.blogspot.com/2009/09/niklaus-von-flue.html

25 sept. 2009 - Vidéos par François de Siebenthal sur youtube, dailymotion ou ... Ich Bruder Klaus vonFlüe Was Niklaus von Flüe in seinem Leben erkannt hat ...

Nicolas de Flüe: les paradoxes du saint patron de la Suisse - rts.ch ...

https://www.rts.ch/.../8234486-nicolas-de-flue-les-paradoxes-du-saint-patron-de-la-sui...

11 déc. 2016 - Le 600e anniversaire de la naissance de saint Nicolas de Flüe sera célébré en 2017 dans toute la Suisse. Le « père de la patrie » a vécu sa ...

Nicolas de Flüe Trouver la Paix - Bâtir la Paix WCCM - Schweiz Suisse Svizzera Communauté mondiale pour la méditation chrétienne Retraite avec Franz-Xaver Jans-Scheidegger Infos pratiques Du vendredi 24 au dimanche 26 novembre 2017 au monastère de Béthanie St. Niklausen OW Monastère Béthanie Accès Par les transports publics : De Lucerne, prendre le train pour Sarnen. De Sarnen, prendre le bus postal direction MelchtalStöckalp jusqu‘à l‘arrêt „Alte Post“ à St. Niklausen. Puis, continuer à pied environ 10 minutes sur le chemin pédestre (suivre l‘indication „Bethanien“), ou 15 min. par la route (cf. „En voiture“). Par la route : Par l‘autoroute A8, prendre la sortie Sarnen-Nord, puis direction Kerns - Melchtal. A St. Niklausen, à la hauteur du restaurant „Alpenblick“, tourner sur la gauche. Après environ 300m, prendre à gauche, direction „Bethanien“. La maison se trouve au bout du chemin. La maison d‘accueil du monastère de Béthanie se trouve à St. Niklausen dans le canton d‘Obwald, à 800m d‘altitude, dans un endroit idyllique. La vue sur le lac de Sarnen et les montagnes d‘Obwald est exceptionnelle. De plus la maison est à une demiheure à pied du Ranft, lieu mythique de Saint Nicolas de Flüe. En 2012 les Dominicaines de Béthanie et la Communauté du Chemin Neuf ont conclu une Alliance et vivent ici ensemble. www.haus-bethanien.ch Coût de la retraite Chambres avec lavabo. Douches et toilettes sur le palier. Prix complet: séminaire et repas (du vendredi soir au dimanche midi) chambre simple Fr. 320.- chambre double avec vue sur le lac Fr. 320.- p. p. chambre simple avec vue sur le lac Fr. 370.- repas végétariens autre régime Bulletin d‘inscription (au plus tard le 20 septembre) theres.glauser@bluewin.ch où par la poste: Theres Glauser Stationsstrasse 35 3628 Uttigen Compte: WCCM Suisse Route du Village 3, 1195 Dully - IBAN CH93 0839 0034 3 261 1000 0 Questions et informations Fabienne Theytaz 079 969 36 99 Image: relief en bois - www.retoodermatt.ch Nom Prénom Adresse Ville Téléphone Arrivée et installation Vendredi à partir de 16h. Début officiel de la retraite: vendredi 17h. Fin: dimanche vers 14h. Difficultés financières Les tarifs ne doivent pas être un obstacle. N‘hésitezpas à nous contacter en cas de difficultés financières Trouver la Paix - Bâtir la Paix Retraite en silence et conférence de FranzXaver Jans-Scheidegger The World Community for Christian Meditation - WCCM (La Communauté mondiale pour la mé- ditation chrétienne) est une communauté internationale, présente dans plus de 120 pays, dont la mission est de transmettre et nourrir la pratique de la méditation selon l’enseignement du père John Main, dans la fidélité à la tradition chrétienne et en vue de servir l’unité de tous. La méditation pratiquée quotidiennement avec foi et amour, nous permet de prendre conscience de la présence intérieure de Jésus dans nos cœurs et d’expérimenter cette paix qu’Il a promis de nous laisser. La pratique de la méditation peut donc être un terrain d‘entente pour la recherche de la paix et de la justice dans le monde. Au niveau national, la WCCM Suisse encourage de façon particulière, la compréhension et l’unité entre les différentes régions linguistiques et culturelles de notre pays. C’est la raison aussi pour laquelle ce séminaire se déroulera en deux langues : allemand et français. C’est avec plaisir que nous accueillerons les personnes qui sont nouvelles à l’expérience de la méditation. Une introduction à la pratique de la méditation chrétienne selon les enseignements de John Main, OSB, sera donnée au début de la rencontre. Franz-Xaver Jans-Scheidegger Franz-Xaver est lié à Nicolas de Flüe depuis toujours. En tant que fondateur et directeur spirituel de Via Cordis (www.viacordis.ch), il a vécu pendant longtemps dans la maison Ste Dorothée, tout près du Ranft, et s‘est enthousiasmé pour les divers aspects de ce grand mystique, ouvrier et bâtisseur de paix. Il a étudié et enseigné à l‘Institut C.G. Jung (diplômes de théologie et de psychanalyse). Thérapeute indépendant, il donne depuis 40 ans des enseignements sur la méditation et la contemplation dans tout l‘espace germanophone. PAIX … un bien grand mot ! Nous célébrons, cette année, le 600e anniversaire de la naissance de Nicolas de Flüe, considéré comme un bâtisseur de paix par excellence. Son message est plus actuel que jamais. Durant cette retraite, nous nous engagerons sur ses traces et nous nous laisserons inspirer par lui. Bâtir la paix, cela commence en nous. Que signifie bâtir la paix pour nous, aujourd’hui, dans un monde divisé et circonscrit ? Outre les contributions de Franz-Xaver, nous vivrons cette retraite en silence avec des moments de tranquilité et des temps de méditation commune. Nous visiterons également l‘ermitage de Nicolas de Flüe, au Ranft. WCCM - Schweiz Suisse Svizzera Infos: www.wccm.ch

Invitation au Ranft depuis Lausanne le 21.10.2017

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Un laïc dévoué à la paix: 1417-2017, 600ème anniversaire de St Nicolas de Flue, célébré dans toute la Suisse, et surtout au Ranft, canton d’Obwald.




Dates de ses Fêtes officielles


Il est fêté le 25 septembre en Suisse et le 21 mars ailleurs 7,8

soit proche des deux équinoxes, à ma connaissance 


le seul Saint dans ce cas, 2 fêtes par année !


Pour les 600 ans, des fêtes partout et souvent :-)


http://www.mehr-ranft.ch/fr/agenda/

Un laïc dévoué à la paix: 1417-2017, 600ème anniversaire de St Nicolas de Flue, célébré dans toute la Suisse, et surtout au Ranft, canton d’Obwald, en présence des autorités politiques et religieuses.


Il s’est retiré, à l’âge de 50 ans, au Ranft, dans le ravin de la Melchaa, proche de Flüeli, dans le canton d’Obwald, à 300 mètres de sa famille de dix enfants, avec l'accord de son épouse Dorothée ( doro theo, don de Dieu ou porte de Dieu ). 

Il y vécu 20 ans dans la prière, le jeûne total, ni eau, ni aucune nourriture sauf l'eucharistie et de méditations, voyant venir à lui de plus en plus de visiteurs de l'Europe entière. 

L’ermite les touchait au plus profond de leurs âmes, et donnait la paix à tous, notamment grâce à sa prière. 

Mon Seigneur et mon Dieu, ôte de moi tout ce qui m'empêche d'aller vers toi.

Mon Seigneur et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me pousse vers toi.

Mon Seigneur et mon Dieu, arrache-moi à moi-même et prends-moi tout entier à toi. 

Saint Nicolas de Flüe 1417-1487

page84_recontrin - Famille de Siebenthal

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Mais, toujours sous l'aspect de la reconquête au plan personnel, et sous la lumière trinitaire, je recours maintenant au patron de la Suisse, Saint Nicolas de Flue ...

Texte Flue

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Nicolas de Flue et la Trinité (25.3.01). D'après le livre Saint Nicolas de Flue de Charles Journet (Fribourg 1966), le saint ermite eut des ..... Jean de Siebenthal.

Nicolas de Flue : une vie pour la paix et l'unité

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2 août 2017 - Nicolas de Flue : une vie pour la paix et l'unité

François de Siebenthal: Niklaus von Flüe

desiebenthal.blogspot.com/2009/09/niklaus-von-flue.html

25 sept. 2009 - Vidéos par François de Siebenthal sur youtube, dailymotion ou ... Ich Bruder Klaus vonFlüe Was Niklaus von Flüe in seinem Leben erkannt hat ...

Nicolas de Flüe: les paradoxes du saint patron de la Suisse - rts.ch ...

https://www.rts.ch/.../8234486-nicolas-de-flue-les-paradoxes-du-saint-patron-de-la-sui...

11 déc. 2016 - Le 600e anniversaire de la naissance de saint Nicolas de Flüe sera célébré en 2017 dans toute la Suisse. Le « père de la patrie » a vécu sa ...

Nicolas de Flüe Trouver la Paix - Bâtir la Paix WCCM - Schweiz Suisse Svizzera Communauté mondiale pour la méditation chrétienne Retraite avec Franz-Xaver Jans-Scheidegger Infos pratiques Du vendredi 24 au dimanche 26 novembre 2017 au monastère de Béthanie St. Niklausen OW Monastère Béthanie Accès Par les transports publics : De Lucerne, prendre le train pour Sarnen. De Sarnen, prendre le bus postal direction MelchtalStöckalp jusqu‘à l‘arrêt „Alte Post“ à St. Niklausen. Puis, continuer à pied environ 10 minutes sur le chemin pédestre (suivre l‘indication „Bethanien“), ou 15 min. par la route (cf. „En voiture“). Par la route : Par l‘autoroute A8, prendre la sortie Sarnen-Nord, puis direction Kerns - Melchtal. A St. Niklausen, à la hauteur du restaurant „Alpenblick“, tourner sur la gauche. Après environ 300m, prendre à gauche, direction „Bethanien“. La maison se trouve au bout du chemin. La maison d‘accueil du monastère de Béthanie se trouve à St. Niklausen dans le canton d‘Obwald, à 800m d‘altitude, dans un endroit idyllique. La vue sur le lac de Sarnen et les montagnes d‘Obwald est exceptionnelle. De plus la maison est à une demiheure à pied du Ranft, lieu mythique de Saint Nicolas de Flüe. En 2012 les Dominicaines de Béthanie et la Communauté du Chemin Neuf ont conclu une Alliance et vivent ici ensemble. www.haus-bethanien.ch Coût de la retraite Chambres avec lavabo. Douches et toilettes sur le palier. Prix complet: séminaire et repas (du vendredi soir au dimanche midi) chambre simple Fr. 320.- chambre double avec vue sur le lac Fr. 320.- p. p. chambre simple avec vue sur le lac Fr. 370.- repas végétariens autre régime Bulletin d‘inscription (au plus tard le 20 septembre) theres.glauser@bluewin.ch où par la poste: Theres Glauser Stationsstrasse 35 3628 Uttigen Compte: WCCM Suisse Route du Village 3, 1195 Dully - IBAN CH93 0839 0034 3 261 1000 0 Questions et informations Fabienne Theytaz 079 969 36 99 Image: relief en bois - www.retoodermatt.ch Nom Prénom Adresse Ville Téléphone Arrivée et installation Vendredi à partir de 16h. Début officiel de la retraite: vendredi 17h. Fin: dimanche vers 14h. Difficultés financières Les tarifs ne doivent pas être un obstacle. N‘hésitezpas à nous contacter en cas de difficultés financières Trouver la Paix - Bâtir la Paix Retraite en silence et conférence de FranzXaver Jans-Scheidegger The World Community for Christian Meditation - WCCM (La Communauté mondiale pour la mé- ditation chrétienne) est une communauté internationale, présente dans plus de 120 pays, dont la mission est de transmettre et nourrir la pratique de la méditation selon l’enseignement du père John Main, dans la fidélité à la tradition chrétienne et en vue de servir l’unité de tous. La méditation pratiquée quotidiennement avec foi et amour, nous permet de prendre conscience de la présence intérieure de Jésus dans nos cœurs et d’expérimenter cette paix qu’Il a promis de nous laisser. La pratique de la méditation peut donc être un terrain d‘entente pour la recherche de la paix et de la justice dans le monde. Au niveau national, la WCCM Suisse encourage de façon particulière, la compréhension et l’unité entre les différentes régions linguistiques et culturelles de notre pays. C’est la raison aussi pour laquelle ce séminaire se déroulera en deux langues : allemand et français. C’est avec plaisir que nous accueillerons les personnes qui sont nouvelles à l’expérience de la méditation. Une introduction à la pratique de la méditation chrétienne selon les enseignements de John Main, OSB, sera donnée au début de la rencontre. Franz-Xaver Jans-Scheidegger Franz-Xaver est lié à Nicolas de Flüe depuis toujours. En tant que fondateur et directeur spirituel de Via Cordis (www.viacordis.ch), il a vécu pendant longtemps dans la maison Ste Dorothée, tout près du Ranft, et s‘est enthousiasmé pour les divers aspects de ce grand mystique, ouvrier et bâtisseur de paix. Il a étudié et enseigné à l‘Institut C.G. Jung (diplômes de théologie et de psychanalyse). Thérapeute indépendant, il donne depuis 40 ans des enseignements sur la méditation et la contemplation dans tout l‘espace germanophone. PAIX … un bien grand mot ! Nous célébrons, cette année, le 600e anniversaire de la naissance de Nicolas de Flüe, considéré comme un bâtisseur de paix par excellence. Son message est plus actuel que jamais. Durant cette retraite, nous nous engagerons sur ses traces et nous nous laisserons inspirer par lui. Bâtir la paix, cela commence en nous. Que signifie bâtir la paix pour nous, aujourd’hui, dans un monde divisé et circonscrit ? Outre les contributions de Franz-Xaver, nous vivrons cette retraite en silence avec des moments de tranquilité et des temps de méditation commune. Nous visiterons également l‘ermitage de Nicolas de Flüe, au Ranft. WCCM - Schweiz Suisse Svizzera Infos: www.wccm.ch

Repenser l' argent, version 2.0 améliorée

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Le Titanic $ coule déjà, préparez vite vos chaloupes !
Organisateurs : Alexandre Boisson: Expert en sécurité et évaluation des risques sécuritaires liés aux enjeux économiques et sociaux dans la société française. ChezNous Editions : Mathieu Coste Date et horaire: 11 septembre 2017, de 14h30 à 16h30 (heure de Paris) Animateur et modérateur: François H. de Beaulieu (Producteur et animateur de l’émission “Il se passe quelque chose d’extraordinaire dans le monde”, diffusée sur le web depuis Montréal-Canada et suivie dans +50 pays) Invités confirmés actuellement: Simone Wapler, rédactrice en Chef des Publications Agora (analyses et conseils financiers) François de Siebenthal ( monnaie pleine) Olivier Delamarche (ex-chroniqueur économique sur BFM BUSINESS) Marc Luyckx Ghisi, ex Conseiller de Jacques Delors à la Cellule de Prospective de la Commission européenne Etienne Chouard, professeur d'économie-gestion Roman Light (utilisateur de bitcoin) Blaise Rossellat (énergie renouvelable et économie du bien-être humain) Déroulement: L’animateur présentera brièvement l'événement: mise en perspective et objectifs concrets recherchés: 3mn L’animateur présentera ensuite, tour à tour, chaque participant et l’invitera ensuite à partager sa vision, son analyse, les alternatives qu’il propose en répondant à la question: ”cette solution est-elle applicable immédiatement?”: 4mn/participant Suivra une période de débat entre les participants sur les compatibilités et incompatibilités entre les solutions défendues: 4mn/participant Puis sur l’émergence d’une solution commune: 4mn/participant Préconisations sur "que faire de son argent sorti des banques et comment le sécuriser”: 2mn/participant Conclusion par l’animateur: 3mn
#monnaie-pleine #Vollgeld#holochain#territoires#théorie relative de la monnaie #Monnaies#Upop#TRM#Alexandre Buisson #Jean-François Noubel #Etienne Chouard #François H. de Beaulieu #François de Siebenthal #Robert Paturel #Mathieu Coste #Simone Wapler #Blaise Rosselat #Roman Light #Marc Luyckxx Ghisi

http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html


Les visiteurs peuvent désormais consulter mon blog via une connexion chiffrée en se rendant sur https://desiebenthal.blogspot.com.

Invitations 2017
In English

en français:

Avec mes meilleures salutations

Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE

Tél: international ++ 41 21 616 88 88

Mobilisation générale: épargnes, retraites...  volées légalement ! 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html

Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

Libérez M. Julian Assange

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Histoire vivante

Garzón / Assange: le juge et le rebelle

DÉTAILS
INFOS GÉNÉRALES

Jura: fraudes et manipulations de 4 voix ?

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La presse parle de sept voix d'écart, ce qui est comme toujours une manipulation.

Il suffit en effet de 4 voix pour changer le résultat ( la moitié plus une voix de l'écart... ).

Nous recommandons de faire au moins un recours afin de recompter les voix et surtout de vérifier tous les bulletins, surtout les nuls, les blancs, les votes de l'étranger etc...



Monnaies locales complémentaires et citoyennes (MLCC)

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Le plus souvent présentées comme un outil de redynamisation des économies locales dans une logique de développement durable, les monnaies locales complémentaires et citoyennes (MLCC) ont encore du mal à convaincre même si leur nombre croit rapidement. Car consommer responsable et local peut se faire avec les monnaies nationales, NON? Cette vidéo vise un double but: - Celui de mieux faire comprendre le formidable outil d'évolution socio-économique qu'elles représentent, - Celui d'être un outil pédagogique pour aider les groupes initiateurs de monnaies locales dans leurs démarches de communication.


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Succès à Madagascar, usuriers vaincus !

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Dina habillée de blanc au centre gauche pour nous, cheveux longs, à la droite de celle qui a  l'écharpe jaune:

https://youtu.be/ruLKj_8ZWVI?t=704

Rencontre avec un prêtre polonais revenu de Madagascar.

Ce printemps, à la messe du dimanche, le prêtre polonais remplaçant à la paroisse de Round Lake en Ontario, Canada, a parlé de son expérience de 20 ans de missionnaire au Madagascar près d' Antsirabé . 
Après la messe je lui ai dit bonjour en français et nous avons engagée la conversation. Alors il me parle de ses dernières années au Madagascar.
Dans son village les gens ont commencé une sorte d'échanges locaux sans utiliser la monnaie du pays, le résultat c'est qu'il sont devenus mois pauvres , ils ont rénové l’école, fini l’église, bâti un dispensaire, payer les enseignants ( etc) , médecins, infirmières, etc.
( Des enseignants n'avaient pas été payé par le gouvernement depuis plusieurs années )

Les gens du village ont aidé quatre autres villages à bâtir, école, chapelle, etc comme chez eux.
Ils ont aidé le prêtre, par exemple lui ont acheté des souliers, pantalons neufs, etc. 

Il m' a dit que les dernières années ont été les plus fructueuses de son ministère.

Benoît Ouellet
http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/madagascar-solutions.html

Nicolas de Flüe à Lausanne

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http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/09/invitation-au-ranft-depuis-lausanne-le.html


Dates de ses Fêtes officielles


Il est fêté le 25 septembre en Suisse et le 21 mars ailleurs 7,8

soit proche des deux équinoxes, à ma connaissance 


le seul Saint dans ce cas, 2 fêtes par année !


Pour les 600 ans, des fêtes partout et souvent :-)


http://www.mehr-ranft.ch/fr/agenda/

Un laïc dévoué à la paix: 1417-2017, 600ème anniversaire de St Nicolas de Flue, célébré dans toute la Suisse, et surtout au Ranft, canton d’Obwald, en présence des autorités politiques et religieuses.


Il s’est retiré, à l’âge de 50 ans, au Ranft, dans le ravin de la Melchaa, proche de Flüeli, dans le canton d’Obwald, à 300 mètres de sa famille de dix enfants, avec l'accord de son épouse Dorothée ( doro theo, don de Dieu ou porte de Dieu ). 

Il y vécu 20 ans dans la prière, le jeûne total, ni eau, ni aucune nourriture sauf l'eucharistie et de méditations, voyant venir à lui de plus en plus de visiteurs de l'Europe entière. 

L’ermite les touchait au plus profond de leurs âmes, et donnait la paix à tous, notamment grâce à sa prière. 

Mon Seigneur et mon Dieu, ôte de moi tout ce qui m'empêche d'aller vers toi.

Mon Seigneur et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me pousse vers toi.

Mon Seigneur et mon Dieu, arrache-moi à moi-même et prends-moi tout entier à toi. 


Saint Nicolas de Flüe 1417-1487

page84_recontrin - Famille de Siebenthal

www.de-siebenthal.com/page84_recontrin.htm

Mais, toujours sous l'aspect de la reconquête au plan personnel, et sous la lumière trinitaire, je recours maintenant au patron de la Suisse, Saint Nicolas de Flue ...

Texte Flue

www.de-siebenthal.com/texte_n._de_fue.htm

Nicolas de Flue et la Trinité (25.3.01). D'après le livre Saint Nicolas de Flue de Charles Journet (Fribourg 1966), le saint ermite eut des ..... Jean de Siebenthal.

Nicolas de Flue : une vie pour la paix et l'unité

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/abHHGDhSBhy

2 août 2017 - Nicolas de Flue : une vie pour la paix et l'unité

François de Siebenthal: Niklaus von Flüe

desiebenthal.blogspot.com/2009/09/niklaus-von-flue.html

25 sept. 2009 - Vidéos par François de Siebenthal sur youtube, dailymotion ou ... Ich Bruder Klaus vonFlüe Was Niklaus von Flüe in seinem Leben erkannt hat ...

Nicolas de Flüe: les paradoxes du saint patron de la Suisse - rts.ch ...

https://www.rts.ch/.../8234486-nicolas-de-flue-les-paradoxes-du-saint-patron-de-la-sui...

11 déc. 2016 - Le 600e anniversaire de la naissance de saint Nicolas de Flüe sera célébré en 2017 dans toute la Suisse. Le « père de la patrie » a vécu sa ...

https://youtu.be/J5N5wTDxugs


https://youtu.be/lyzKDGBsLYE

Monnaies-pleines améliorées pour tous !

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Pour nous, il s’agit du principe que le peuple, en matière de politique monétaire, doit avoir voix au chapitre. 

Les guerres sont devenues économiques et chacun est touché

Plus la politique monétaire touche la politique nationale, plus il faut trouver des réglementations justes dans ce domaine. 

La position de notre comité d’initiative est la suivante: 

le peuple doit rester l’instance suprême dans notre pays, y compris et surtout dans les affaires monétaires et financières. 

Les adversaires de notre initiative estiment, quant à eux, qu’il faut de plus en plus souvent laisser la haute main de nos finances à seulement trois personnes, qui violent nos principes les plus importants ( neutralité, défense des plus faibles, pollutions, etc...), nos lois et notre constitution.

Ils délèguent les décisions d'investissement, même celles des fonds AVS, à des "experts" juges étrangers ( Blackrock) sous le contrôle de fiduciaires étrangères, KPMG...

Voilà comment on nous dépouille de nos valeurs historiques les plus hautes, de nos libertés et de nos droits démocratiques.

Merci pour tes remarques, corrections, amendements etc...
http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/amis/   prière de signaler les noms à rajouter, merci.

à faire circuler largement, surtout à vos amis politiciens, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

Rasa a 3 contre-projets...


Pour gagner une initiative, il faut les deux majorités et un large c
onsensus.

Nous devons avoir les forces vives notamment des wir et de la centaine de monnaies locales en Suisse, par exemples les sels, reka, tauschring, talent etc...

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/09/monnaies-locales-complementaires-et.html

Une solution pérenne à RIE 3, à 2020, etc...

Idées pour des contre-projets ou des projets de lois toutes rédigées, pour faire parler de monnaie-pleine !

Quelques chiffres, ce sont des milliers de milliards privatisés par les banques commerciales, sic:


Urgent:
aaapositifs.ch/pourquoi-les-banques-veulent-supprimer-le-cash/
Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre but, reprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l'argent) et sa distribution à tous qui est un dû. C'est ce que nous voulons graver dans la Constitution fédérale pour le bien de tous et l'indépendance de la Suisse.
 
La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par exemple par un nouvel
 
Article 99 :
 
I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartient au Souverain qui reprend le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt et le délègue notamment à la BNS ou aux associations du type wir ou aux sels sous contrôle démocratique.
 
Il. Il l'exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales, notamment communales et cantonales, jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ce but.
 
III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.
 
IV. L'émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un dividende et d'un escompte ou rabais compensé dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.
 
V. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu'elle aie ou non des sources de revenus.
 
VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.
 
      VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.
 
      VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent d'une commission citoyenne indépendante avec x  membres venant de tous les milieux suisses- sans Commission externe indépendante de type FINMA qui est dissoute - mais aussi sous le contrôle de l'Assemblée fédérale en Plénum, qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.
 
      IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d'or physique stocké qu'en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d'assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.
 
X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l'encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.
 
XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l'endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l'essence.
 
XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
       
 
Dispositions transitoires :


§01- La BNS est transformée en une Coopérative Monétaire Suisse (CMS) 
et son actif est distribué à tous les suisses, dès leur conception.

§02- Chaque citoyen suisse, depuis sa naissance ou son acquisition de
citoyenneté, est propriétaire d'une part de la CMS : 1 humain, 1 voix.

§03- La CMS est indépendante de tout groupe de pression : elle est
l'émanation directe de tous les citoyens suisses.

§04- La CMS gère un, et un seul, compte de paiement souverain pour
chaque citoyen, et seulement pour les citoyens.

§05- L'unité des comptes de paiement est le Franc suisse (code CHF):
"Franc suisse" est une marque réservée à l'usage des comptes de paiement
de la CMS.

§06- Chaque Compte Souverain démarre avec une valeur de déséquilibre
égale à 0 (origine de la mesure du déséquilibre, ou point d'équilibre)
et dispose d'un Reste à Importer (droit d'avance gratuite) de CHF
222200. C'est l'estimation actuelle du montant minimal nécessaire pour
vivre en Suisse.

§07- La valeur de déséquilibre est augmentée de la valeur de chaque
achat et diminuée de la valeur de chaque vente du titulaire du compte.
La valeur de déséquilibre enregistre ainsi la différence entre les
achats et les ventes de chaque citoyen.

§08- La valeur de déséquilibre est contractée de 1% au début de chaque
mois (fonte ou oxydation). Cela correspond à un retour à l'équilibre, un
oubli progressif des déséquilibres anciens.

§09- Chaque début de mois, le montant minimal nécessaire pour vivre en
Suisse est recalculé et permet de réévaluer proportionnellement le Reste
à importer initial et la valeur du déséquilibre de tous les comptes
souverains, ce qui ne modifie pas le rapport relatif entre les 2 valeurs
: il s'agit d'une adaptation aux prix réels.

§10- Toute autre modification des comptes est formellement interdite. En
particulier, tout achat, toute vente et toute location d'unités de
compte CHF est une tricherie sur la mesure des achats et des ventes
d'une personne, qui correspond à un crime pénal de l'ordre de la fausse
monnaie.

§11- Un citoyen peut ouvrir des sous-comptes à son compte souverain. Le
Reste à Importer d'un sous-compte est toujours égal à sa valeur
d'équilibre, 0. Un sous-compte est destiné à rassembler les transactions
correspondant à un usage particulier. Le titulaire du compte souverain
peut ouvrir l'accès de chaque sous-compte à une et une seule autre
personne humaine de son choix.

§12- L'enregistrement d'un achat ou d'une vente avec une personne
humaine étrangère se fait en calculant le rapport du prix de transaction
et du reste à importer initial du compte souverain de la personne
humaine étrangère.

§13- La CMS a pour seule responsabilité de gérer la continuité et la
persistance de ce système de comptes souverains et de sous-comptes, au
nom de tous les citoyens.

§14- Chaque citoyen paye chaque année sa cotisation à la CMS pour
assurer son fonctionnement, cotisation formée d'un montant fixe annuel
et d'un montant fixe par transaction enregistrée. Chaque montant est
fixé en Assemblée Générale.

Autres dispositions transitoires recommandées à discuter:

- Les contrats de soustraitance au group SIX et SECB sont dénoncés avec effet immédiat. 
-Un audit général de BNS est effectué par un groupement d'experts suisses représentatifs de la population pour évaluer l ampleur des éventuels dégâts supputés.
- constitution d'un fonds souverain neutre qui investirait en priorité en Suisse mais aussi à l'étranger. 

-Définir un organe suisse de contrôle de la BNS indépendant, neutre et sous responsabilité des élus.  Payé par l Etat.
-Ouvrir une enquête selon les résultats de l'audit général voire un procès contre les responsables de l éventuel désastre supputé. 
-Saisir les biens des responsables pour rembourser les créanciers. 
-Abolir la loi Too big to fail et interdire les opérations hors bilan de la BNS.

La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d'intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d'enfants conçus.
 
Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l'Assemblée fédérale (Plénum).
 
L'écart des salaires à la nouvelle BNS ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500'000.-.
 
Tout dividende social ou autre prestation sociale n'empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d'indépendant, créateur d'entreprise, etc.
 
L'obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.
 
Tout financement d'investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :

Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d'établissements distincts et indépendants :
 
1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.
2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.
3) Banques d'affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.
 
Indexation obligatoire de tous les engagements sur l'avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.
 
Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.
 
Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d'éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.
 
Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.
Supprimer les programmes d'achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.
Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.
Interdire toute dévaluation compétitive.
Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d'échange et de réserve.
Établir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec  un système approprié d'indexation.
 Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.
 
Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique, papier...).
 
Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.
 
Conclusions :
 

 « Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus... Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »

Maurice Allais
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La BNS investit dans les armes nucléaires

Viol de notre neutralité. La banque nationale suisse, nos fonds de pension, notre AVS financent massivement les bombes nucléaires et les sous-munitions US dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires, les OGM de Monsanto, le gaz de schiste ... Scandaleux !

M. Hildebrand, BlackRock vous permet de gérer de grands clients institutionnels. Sont-ils principalement des institutions d' Etat ?
Hildebrand: Ce sont tous types d'investisseurs. La plupart de nos grands clients institutionnels comprennent des compagnies d'assurance, fonds de pension et des fonds souverains. Bien sûr, les banques centrales  sont aussi de la partie - par exemple, elles peuvent gérer les réserves de change par des mandats externes.
http://www.nzz.ch/blackrock-will-seine-praesenz-in-der-schweiz-vergroessern-1.18098030

Le peuple suisse a décidé en 1891, par un vote populaire, d’attribuer la création de notre argent (« billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire ») uniquement à la Banque nationale...

Cette volonté populaire claire a été violée honteusement, avec l'accord tacite de certaines de nos "élites"...

Les conséquences sont notamment des charges et des dettes à intérêts composés toujours plus lourdes sur les épaules de tous les suisses et des avantages honteux pour une toute petite minorité qui abuse de notre naïveté !


et le coeur du sujet... moins de centralisation et reprendre le contrôle des créations monétaires distribuées directement aux cantons, communes et surtout aux citoyens suisses de manière fédéraliste grâce à un contre-projet ou un projet de loi tout rédigé... ( au moins 2/3 du vrai bénéfice net doit être distribué directement et automatiquement... )

"Un émetteur de titres publiquement cotés a l'obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n'avoir aucune obligation de publication."
M. Bernard Dugas


Quand le Professeur d'économie suisse not. à l'Uni. de Fribourg, M. Sergio Rossi, parle des vrais enjeux de Monnaie Pleine: la connaissance, la compréhension, le courage et même plus... !
Monnaie pleine aux urnes

Par Sergio Rossi

L’initiative «Monnaie pleine» lancée en Suisse le 3 juin 2014 a récolté les 100'000 signatures valides nécessaires pour être soumise au vote populaire prochainement. Cet aboutissement est assez surprenant, si l’on considère que cette initiative n’est soutenue en Suisse par aucun parti politique et qu’elle est farouchement combattue par les banques, leurs dirigeants ayant compris que l’initiative mettrait un terme à leurs privilèges exorbitants en ce qui concerne l’émission monétaire par les crédits que les banques peuvent octroyer à n’importe quel agent sans avoir suffisamment d’épargnes préalables.
L’intérêt d’une telle initiative populaire est double. D’une part, elle peut grandement contribuer à faire émerger la véritable nature (numérique) de la monnaie, qui en l’état échappe à la presque totalité des individus, y compris les politiciens, les banquiers centraux et les économistes les plus influents au monde. D’autre part, elle a le potentiel de contribuer à définir les contenus d’une réforme structurelle du système monétaire et financier qui est urgente et nécessaire afin d’éviter de nouvelles crises systémiques.
Si le débat induit par l’aboutissement de l’initiative «Monnaie pleine» a lieu de manière objective – c’est-à-dire qu’il se concentre sur l’objet de cette initiative pour en décortiquer la nature essentielle au lieu de viser à défendre des intérêts particuliers (souvent indéfendables désormais) –, alors on peut espérer que chaque partie prenante en sortira enrichie au plan intellectuel car elle aura avancé vers la compréhension de cet objet insaisissable qu’on appelle «monnaie».

Au vu des attaques virulentes contre l’initiative «Monnaie pleine» qui ont eu lieu durant les 18 mois de la récolte des signatures pour cette initiative, et qui ont montré de manière désopilante l’ignorance de la nature de la monnaie et de son émission par les banques, il est fort à craindre que le niveau culturel du débat menant au vote populaire sera de même teneur. Cela confirmera alors qu’«un peuple ignorant est un peuple facile à tromper», bafouant l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers que même un tel peuple ne devrait pas avoir de difficultés majeures à identifier précisément."
http://www.unifr.ch/mapom/fr/team/titulaire


Soutenez la rédaction de ce projet suisse urgent encore en projet et modifiable, déjà amendé selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:

Pour une Suisse avec moins de dettes, d' impôts, de taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l'argent qui assurera ainsi la prospérité de tous. 





Nous ne sommes pas contre les banques mais contre leurs abus...

Rudolf Elmer, Schweizer Wirtschaftsprüfer und früherer Manager der Bank Julius Bär, AL-Kantonsrat-Kandidat:

„Der gute Ruf, den die Schweiz weltweit geniesst, wird durch den heutigen Finanzplatz Schweiz massiv geschädigt: Die Banker, die sich aus purer Gier und Machtstreben zu kriminellen Handlungen hinreissen lassen, übermitteln der Welt ein Bild der Schweiz, das überhaupt nicht zu dem Bild der ehrlichen, aufrichtigen und bescheidenen Menschen passt, das man sich im Ausland von den SchweizerInnen macht. Ich will der Gefahr, dass unser Finanzsystem dem guten Ruf des Landes bleibenden Schaden zufügt, auch politisch begegnen. Ich unterstütze auch deshalb die Vollgeld-Initiative.“




Geri Müller, Stadtammann der Stadt Baden, Nationalrat, Mitglied der Aussenpolitischen Kommission (APK-NR), Baden:
"Heute fliesst das elektronische Geld/ Giralgeld, vorwiegend in die Finanzmarkt Spekulation, statt in die Realwirtschaft und in eine ökologisch nachhaltige Wirtschaft.
Dies schadet nicht nur unserer Wirtschaft, sondern belastet zugleich auch unsere Umwelt. Dies vor allem dadurch, dass die Firmen dazu gezwungen werden, immer rationeller und vor allem billiger und oftmals ohne Rücksicht auf die Umwelt, zu produzieren.
Mit dieser Vollgeld-Initiative schaffen wir eine einmalige Möglichkeit, die Weichen für die Zukunft zu stellen und unser Geldsystem auf die Basis einer ökologisch basierten Realwirtschaft zu stellen.
Deshalb unterstütze ich die Vollgeld-Initiative und fordere alle verantwortungsvollen Mitbürger auf, dies auch zu tun."


Avec mes meilleures salutations

François.

Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE

Tél: international ++ 41 21 616 88 88


PS:


Yellen: equifax data breach very serious

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Equifax says a giant cybersecurity breach compromised the personal information of more than 143 million Americans — nearly half the country and how many from te rest of the world ?
Cyber criminals have accessed sensitive information -- including names, social security numbers, birth dates, addresses, and the numbers of some driver's licenses.
Additionally, Equifax said that credit card numbers for about 209,000 U.S. customers were exposed, as was "personal identifying information" on roughly 182,000 U.S. customers involved in credit report disputes. Residents in the U.K. and Canada were also impacted.
The breach occurred between mid-May and July, Equifax said. The company said it discovered the hack on July 29.
The data breach is one of the worst ever, by its reach and by the kind of information exposed to the public.
"This is clearly a disappointing event for our company, and one that strikes at the heart of who we are and what we do," said Equifax chairman and CEO Richard F. Smith.
Equifax is one of three nationwide credit-reporting companies that track and rates the financial history of U.S. consumers. The companies are supplied with data about loans, loan payments and credit cards, as well as information on everything from child support payments, credit limits,missed rent and utilities payments, addresses and employer history, which all factor into credit scores.

http://money.cnn.com/2017/09/07/technology/business/equifax-data-breach/index.html

Incitation: Le travail m’éclate !

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Monde du travail. 8e forum oecuménique romand


Il aura lieu le samedi 18 novembre de 9h à 16h15 à Lausanne dans les locaux de la paroisse catholique St-Etienne, Route dOron 10 (à 5 mn de la station du M2 La Sallaz).


Le travail m’éclate ! Choix réels ou contraints ?

Les contraintes liées a l’emploi et à la recherche d’emploi ne sont pas les mêmes selon que l’on est homme ou femme. Quand les facteurs de la migration, la formation ou la charge familiale (élever seul-e ses enfants) s’y ajoutent, cela finit par faire lourd. Qu’est-ce qu’on fait de tout cela ?

Nouveauté cette année : une animation sera proposée aux enfants des participantes et participants (à signaler lors de l’inscription). Gratuit, participation libre aux frais.

Programme complet ici.

Inscritptions jusqu’au jusqu’au 10 novembre auprès de : Jean – Louis Cretin (PMT) Grand-Rue 110, 2720 Tramelan Téléphone : 077/ 460.91.48ou 032 / 487 41 48


jean-louis.cretin@eglisetravail.ch
 Organisateurs Pastorale Monde du Travail (PMT) en Suisse romande www.eglisetravail.ch 

Pastorale œcuménique dans le Monde du Travail du canton de Vaud www.mondedutravail.eerv.ch ou www.cath-vd.ch/mondedutravail 

Ministère Evangile et Travail de l’Eglise protestante de Genève Association Chrétiens au travail www.chretiensautravail.ch 

Famille Franciscaine Romande www.capucins.ch 

Communauté de Travailleurs Chrétiens Membres du Mouvement Mondial des Travailleurs Chrétiens 

Communauté Romande de l’Apostolat des Laïcs www.lacral.ch

Inscriptions Jusqu’au 10 novembre 2017 

Jean- Louis Cretin (PMT), Grand-Rue 110, 2720 Tramelan Téléphone: 077460 91 48 ou 032 487 41 48 E-mail: jean-louis.cretin@eglisetravail.ch 

8e FORUM ŒCUMÉNIQUE ROMAND 

Graphisme: FEDEC-VD, Sophie Martin (SIC) Aspirations personnelles / Nécessité d’un revenu Lausanne SAMEDI 18 NOVEMBRE 2017 Déroulement De 9h à 9h30 Accueil De 9h30 à 9h45 Présentation de la journée De 9h45 à 10h45 Échanger en petits groupes De 10h45 à 12h Dialoguer avec Magdalena Rosende, sociologue, bureau de l’Egalité du Canton de Vaud De 12h à 13h30 Repas De 13h30 à 15h30 Trouver des leviers de libération à partir de personnages bibliques avec Fr. Marcel Durrer Dès 15h30 à 16h Célébrer Dès 16h à 16h15 Clôture de la journée avec une verrée Animations pour enfants Un atelier pour les enfants des participants sera proposé. Précisez le nombre et l’âge des enfants si vous souhaitez bénéficier de ces animations, lors de votre inscription. But de cette journée Joie et réalisation d’un côté, tiraillement et tension de l’autre On en parle peu, mais les contraintes liées à l’emploi et à la recherche d’emploi ne sont pas les mêmes selon que l’on est homme ou femme. Quand les facteurs de la migration, la formation ou la charge familiale (élever seul-e ses enfants) s’y ajoutent, cela finit par faire lourd. Que faisons-nous de tout cela ? Toutes et tous, nous sommes tiraillés entre vie privée et vie professionnelle, entre nos aspirations personnelles et la nécessité de gagner notre vie et celle des personnes à notre charge. Ces tensions ne sont pas vécues de la même manière si l’on est femme ou homme. Les attentes de la société, de l’entourage ne sont pas les mêmes. Comment vivons-nous cette réalité ? La question centrale de ce forum, discutée en groupe, approfondie avec une sociologue et un bibliste, sera la suivante : comment les contraintes liées à ces diverses dimensions de la vie deviennent-elles des forces ? Lieu Lausanne, La Sallaz, paroisse catholique St-Etienne Route d’Oron 10 (à 5 minutes à pied de l’arrêt du M2 La Sallaz) Date et horaire Samedi 18 novembre 2017 de 9h à 16h15 Coûts Participation gratuite Un don libre est bienvenu pour couvrir les frais, merci ! Homme / Femme 8e FORUM ŒCUMÉNIQUE ROMAND Vie privée / Vie professionnelle MONDE DU TRAVAIL

freesms4u, voleurs, Diebe, robbers...

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Ce sont des voleurs

Vorsicht, Diebe

Be careful, they steal you

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The Swiss National Bank, the World’s Fourth Largest Sovereign Wealth

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The Swiss National Bank, the World’s Fourth Largest Sovereign Wealth Fund Created. What Now?

The share price of the Swiss National Bank (SNB) passed 3,000 CHF in August. Up from ca. 1,000 CHF in April 2016. A mark at which it had sat, peacefully, for the previous X years. It’s now at 3,620, a price increase of 260% in less than two years. A truly rock hard erection inducing investment return.
But you know this. Unless you’ve been living on Mars for the last couple of years without access to Bloomberg, or Inside Paradeplatz, you know full well the stock of the SNB has been attending aerobics classes. Here it is, over five years.
Why? Or, “What on Earth going on??!!”. Is this rational? Is a speculator at work? Is someone looking to make a buck? Has someone lost their marbles?
On a casual glance at the chart, something that should jump out at you here immediately, it’s the P/E ratio. It is 0.08. P/E ratios are usually between 10 and 20 for a listed firm. Unless of course you’re a tech firm, then it’s fantasy land for your P/E ratio. A P/E ratio of 0.08 on a stock price of 3,620 implies an Earnings per Share (EPS) of 45,250 CHF. For a listed stock, this is truly weird.
The intent of this article is to try to take a common sense look at the puzzle. Try to shine some light. There has been a lot of ink spilled in the last twelve months on the subject, some serious, some sensible and some outright nonsense. The stock price itself, I actually consider irrelevant to the real issue and the discussion that should be taking place. Presumably to the relief of the SNB and the Bund who I am guessing are trying to work out what to do with this thing they have created without the distraction of a public outcry.
Let’s start from the beginning. SNB, “wer bist du?”. Who are you and what do you do? Thus speaks the SNB on page one of the website:
The Swiss National Bank (SNB) is Switzerland’s central bank. It is vested with the note-issuing privilege and has been mandated to conduct the country’s monetary policy. In accordance with the Constitution and Swiss law, the SNB is independent in the fulfilment of its mandate, is accountable to the Federal Assembly and is obliged to provide the general public with regular information on its activities.”
So the SNB is a central bank. It prints money and conducts monetary policy. It is apparently a public institution. Really? So why is someone buying the stock? Why is the SNB even listed on the exchange in the first place?
The creature created. The fund we have become.
The SNB was listed in 1907, when it was created as a public company. It simply never de-listed, which explains the listing. To the rocketing share price, the Swiss National Bank appears at first blush to be increasingly being valued by someone(s) as an investment fund. Which is downright weird, because what it appears to me to be, right now, is the worlds fourth largest Sovereign Wealth Fund (SWF). On its way to becoming the largest.
Let’s go with this assumption – SWF – and ask “How did this happen?” Well, if you remember back a few years, to 2008. Yes, an eternity ago, we were all having something of a crisis. This crisis created two main drivers. First; enormous amounts of money were being created by European central banks, translating into enormous amounts of money looking for a safe haven. One big safe haven was the Swiss Franc and Switzerland. Second driver; this created huge demand for Swiss Francs, pushing up the price of the Franc. This in turn elicited howls, screams of protest and the gnashing of teeth from Swiss exporters, the tourist industry and basically anyone and everyone who sold any form of goods or services to other countries. Around 80% of the economy has foreign exposure. Not a tenable situation.
The SNB’s mandate states: “Its primary goal is to ensure price stability”. This certainly includes stabilising the Franc. The SNB heeded the call to action, not that it had much choice. And girding its loins with the battle cry, “we will defend, to the death, to the death do you hear, the Swiss Franc” entered the fray. The SNB had to get the value of the Franc down and keep it down. When interest rates are already zero, there is only one way left to do it, one shot in the locker: increase supply of the commodity to match demand. This is the only measure they had; put Swiss Francs onto the market. This means printing money. The SNB created Swiss Francs. Where there was nothing, money was created. A bit like biblical creation. In the forex market, the SNB exchanged these created Swiss Francs for Euro and U.S. dollars. You may remember a thing called the “Euro peg”. It was set at 1.2 CHF to the Euro. An arbitrary mark the SNB pledged to defend. Again, to the death presumably. It was a credible pledge. And several hedge fund managers lost their shirts and their houses over the next few years testing the SNB’s resolve.
Fast forward a few years, to January 2015. The SNB had to this time printed around 500 Billion Swiss Francs which it had exchanged for Euro and dollars, accumulating a forex position of around 450 Billion Euro. Speculators were gathering, people were betting on both sides of the equation, would the SNB continue, wouldn’t they? Who knew? In January 2015, the SNB caved. Abandoning the peg with no warning whatsoever, sending the rate from 1.2 CHF : 1 EUR to below 1:1 overnight. Sending a number of hedge funds bust in the process and making overnight millionaires of a few other hedge fund managers. However, the SNB was now “stuck” with around 500 billion francs worth of forex. Mostly in Euro and dollars.
Damn! What do we do now? Can’t give it away. Can’t spend it. Can’t put it back where it came from. Can’t eat it.
We’re gonna’ have to keep it.
The SNB invested the cash. I.e., the SNB purchased assets with the cash. Bonds and equity. Hard assets. Income and capital gain producing assets. In Euro and dollars. I.e., and this is an important distinction: non-domestic-currency assets – claims on foreign governments and its peoples. Let’s clarify the substance of this transaction.
1. The SNB created “something” out of “nothing”.
2. The SNB used the “something” to buy real assets. Very real. Income and capital gain/loss producing assets.
3. The SNB now held a very substantial securities portfolio.
Overnight, without intending to, probably, due to the heat of battle not thinking too hard about the consequences, the SNB had created one of the worlds largest Sovereign Wealth Funds.
Post creation? The “created” Swiss Francs are highly unlikely to “disappear”. To make them disappear, the SNB would have to use Euro and dollars to purchase Francs in the forex market, pushing up the value of the Franc. That’s a non-starter. So the Francs are out in the market permanently. And the SNB keeps its Euro and dollar stock and bonds.
This printing of lots and lots ofu Francs is no different to the national bank of Zimbabwe printing lots of Zim dollars. The big difference is for some reason no-one wants to buy Zims. People do like Francs though. Lots of them. Printing money as we all know usually leads to hyperinflation, which we can all agree is a BAD THING. Very bad.
To illustrate, let’s look at what happened when the Central Bank of Zimbabwe printed Zims. Lots of Zims. Hyperinflation resulted. Which in 2009 hit 500,000,000,000%.
This is a logarithmic scale, as you can see from Y-axis. It just doesn’t do justice somehow to the true fiscal and monetary policy insanity of this. Notwithstanding, it’s still beautiful. As is the one hundred trillion dollar note it produced.
Here however in sunny Switzerland, there was no inflation. None at all. As you see, very stable.
Magnificent isn’t it? The very picture of monetary stability. The SNB printing money didn’t result in any inflation, so we didn’t get new banknotes with lots of zeros. We stayed with our one hundred franc note.
Very beautiful, good show, Orell Füssli (part owned and managed by the SNB). It’s still worth the same as it was in 2008 too. In fact, 500 billion Francs worth of intervention barely held off a massive appreciation of the Franc. Since the caving of the peg in January 2015, the SNB has continued to “intervene” and print Francs. Successfully “defending” the Franc, as we see here.
CHF to EUR
Of course, continuing to print Francs, the SNB continues to buy Euro and dollars. So the foreign exchange position has continued to build. At a rate of around 100 billion Francs per year. The creation of assets of course is reflected on the balance sheet, which looks like this.
Like climbing Everest, isn’t it? This graph tells us that in 2008, at the start of the financial crisis, the SNB balance sheet was around 120 Billion CHF. Where it had been stable for years. In 2009 the SNB started intervening. Since then the SNB has added around 680 billion Francs to the balance sheet, which just coincidentally is around the growth in its “foreign reserves” position. However, it’s not in fact foreign exchange, it’s not Euro and dollars sitting around in cash in bank accounts, it’s assets. Securities. It is 80% bonds and 20% stocks. To use a term properly describing what this “foreign reserves” actually is, it is assets under management (AuM).
The SNB as Sovereign Wealth Fund. At the time of writing, taking the 30. June 2017 interim results, the SNB balance sheet has grown to 775 billion CHF. Of which 724 billion CHF is foreign currency investments. Let’s put the zeros on to get an idea of scale, that’s: 724,000,000,000 CHF under management. It’s a lot of money. Swiss annual GDP in 2016 was 659 Billion CHF. So we’re well past that. These are income producing investments. The result of printing money. Nothwithstanding the origin of it all, it is value creation. It is wealth creation.
I argue that the substance of this transaction is that the SNB has created a very large sovereign wealth fund. It has achieved this not through economic activity in the traditional sense. Where most countries (Norway for example) sell real commodities, oil or whatever, and buy assets, the SNB has done this without actually selling anything of value. A truly remarkable achievement.
At the current rate of growth, in three to four years, the SNB will have a trillion dollar balance sheet. With around 900 billion Francs under management in its investment portfolio. To compare, the Norwegian Sovereign Wealth Fund is the worlds largest. It has 960 Billion dollars AuM. It was created through the sale of oil. The SNB is on the way to matching this. The SNB has done it simply by printing Swiss Francs.
Being the biggest and the best, let’s take a closer look at Norway. It has been around a while, it was set up as a sovereign wealth fund in 1990. It is strictly managed and controlled by a separate unit of the central bank, called “Norges Bank Investment Management” (NBIM). It answers to the board of the central bank and the Norwegian parliament. It can invest in stocks, bonds and real estate abroad only. It owns on average 1.3 percent of global equities. It employs over 550 people. By comparison the SNB probably has about 50 people managing its billions.
The SNB has none of the controls nor the organisational complexities of the Norwegian SWF. Going on its performance I would argue it doesn’t need them. It’s doing damn well without the legal & compliance lawyers, the assorted parasites and various hangers-on. However it might be an idea to emulate some governance elements of the Norwegian model. First though, comes the acknowledgement of what has been created. Only then can we start looking at governance, ethics and management.
Where does Switzerland stand in the global Sovereign Wealth Fund rankings? Here’s the top ten:
You will notice that four of the top five are the result of oil. Number 3, the China Investment Corporation is the result of the Chinese government pouring money from various sources into a fund to invest. At the end of the day though, the origin of funds is irrelevant. What matters is the assets under management. To be clear, there is no difference between the assets the SNB are managing to the assets the Norwegian SWF is managing. It is exactly the same thing. To refer to these assets as “exchange reserves”, as is done in the annual report is misleading. These “exchange reserves” are AuM and should be called AuM. I.e., SNB Assets = Norwegian Assets = Financial Assets (stocks and bonds). No difference.
The only difference is the origin, the Norwegian assets came from a tax on oil. The Swiss assets came from printing Swiss Francs. A practice which for most countries would simply result in hyperinflation and economic collapse. Here it resulted in 696 Billion CHF foreign currency assets under management as of end 2016. Up to 724 Billion CHF end June, 2017. The SNB is currently running the worlds fourth largest sovereign wealth fund and on it’s current trajectory, it’s heading for the number one spot in a few years. It has achieved this not by skimming a few percent of the sale of oil or other commodities. Rather, it has achieved this solely by printing money. I.e., firing up the printing presses. Assuming the year of inception for the Swiss SWF as 2009, eight years in, we’re doing very well indeed.
Why the sudden increase in the share price?
This is where the discussion gets hairy. I originally thought that the main reason for the runup in the stock price of the SNB is that someone(s) thinks that the real value of the SNB stock is the Net Asset Value of its holdings, divided by the number of shares. I.e., the SNB is being increasingly valued as an investment fund. A “Kollektive Anlage”. Does this make sense? Well, no, not really, as we will discuss below.
Others have ventured the theory that the SNB is a bond substitute. The yield however has dropped from 1.5% to below 0.4% in CHF. At a stock price of 1,000 CHF, for a dividend of 15 CHF for a yield of 1.5%, Ok, but not at more than 4,000 CHF. The SNB also has the power to arbitrarily suspend the dividend, which it has done. For various reasons, I do not buy the theory that the SNB is a bond substitute.
Indisputable is that value has been created. A lot of value. The holder of this value is a listed company. What we see in the rise of the stock price is the expression of someone or someones belief, expectation, that at some point there will be a distribution of part of that value to ordinary shareholders. There is no other explanation. The market is (slowly) trying to price this value.
Before someone writes in to the comments section, I would point out that traditional methods of valuation are useless. For example, the Dividend Discount Model and the various growth models don’t work because there is no dividend growth and the SNB’s cost of equity is zero or negative. Value of stock = Dividend per share / (Discount rate – Dividend growth rate). With a discount rate of zero the value of the stock is infinity. Which is nonsense.
Follow the money – distribution of profits. Let’s look now at the assets, cash flows, the rules governing those cash flows and the distribution of profits. From the annual report, we read the following with regard to dividend payment:
Share capital and dividend: For 2017, the following dates and comments are applicable (this information is updated each January for the current year):
Share capital: The share capital of the SNB amounts to CHF 25 million and is divided into 100,000 registered shares with a nominal value of CHF 250 each. The shares are fully paid up (art. 25, para. 1 NBA).
Listing: The SNB shares are listed on the Swiss stock exchange SIX Swiss Exchange.
Share performance: Due to the legally stipulated maximum dividend of 6%, the price of the SNB share usually develops along similar lines to a long-term Confederation bond with a 6% coupon.
Taxable value: The taxable value of the SNB share for 2016 amounts to CHF 1,750.
Dividend amount: Subject to the Annual General Meeting’s approval of the proposed profit appropriation, a dividend not exceeding 6% of the share capital is to be paid from net profit (art. 31 para. 1 NBA). The dividend is CHF 15 (gross) and CHF 9.75 (net) per share, after deduction of withholding tax.
Dividend payment: The dividend will be credited to your account.
Dividend entitlement: Shares purchased up to the ex-dividend date (3 May 2017) are eligible to receive the dividend payable on 5 May 2017.
Value date of dividend payment: 5 May 2017
Make sense so far? To summarise, the SNB is a listed company, on the Swiss Exchange, with 100,000 registered shares outstanding, carrying a nominal value of 250 CHF per share, with a current market price of the stock at 3,620 CHF. There is one share class only, entitling all shareholders to the same distribution. How to even start discussing this? Let’s pretend this is a University essay project question, worded:
Statement: Suppose the SNB created a sovereign wealth fund out of fresh thin mountain air. The SNB has assets under management at end 2016 of 696 Billion CHF. All of it interest and dividend yielding. The SNB is increasingly being valued as an investment fund. The SNB has not the faintest idea what to do with the cash. The stock price is skyrocketing. The SNB pays a small, fixed dividend to stockholders. The SNB pays a very large, separate distribution of profit to a special interest group, which is non-related to individual stockholders and completely unrelated to a stockholders holdings. Discuss.
Let’s start with who owns the shares. A slim majority of SNB shares are held by cantons and cantonal banks. At the end of 2016, they held 52% of the shares. The remaining shares are mainly owned by private individuals. The confederation itself is not a shareholder. The major shareholders are:
Theo Siegert (Düsseldorf) with 6.72% (6,720 shares); the Canton of Berne with 6.63% (6,630 shares); the Canton of Zurich with 5.20% (5,200 shares); the Canton of Vaud with 3.40% (3,401 shares); the Canton of St Gallen with 3.00% (3,002 shares).
The dividend is straightforward, each share gets 15 CHF. The distribution of profits however is separate – governed by Article 31 of the National Bank Act (NBA).
Art. 31.
1. A dividend not exceeding six percent of the share capital shall be paid from the net profit.
2. One-third of any net profit remaining after the distribution of a dividend shall accrue to the Confederation and two-thirds to the cantons. The Department and the National Bank shall, for a specified period of time, agree on the amount of the annual profit distribution with the aim of smoothing these distributions in the medium term. The cantons shall be informed in advance.
3. The net profit accruing to the cantons shall be distributed in proportion to their resident population. The Federal Council shall regulate the details after having consulted the cantons.
The NBA thus explicitly disenfranchises private individual shareholders. Hardly seems fair, does it? It goes further. To ensure sure no-one outside the club can get any power whatsoever, it restricts voting rights to 100 shares. I.e., if you have more than 100 shares, you can only vote the first 100 you have. This is governed by Article 26 of the NBA, “Share register, limitation of transferability”:
Art. 26, S. 2.: A shareholder’s registration is limited to a maximum of 100 shares. This limitation shall not apply to Swiss public-law corporations and institutions or to cantonal banks pursuant to Article 3a of the Federal Act of 8 November 1934 on Banks and Savings Banks.”
In practice this means that Mr. Siegerts 6,720 shares do not confer 6,720 votes, rather 100 votes only. Whereas Canton Zürich can vote all 5,200 of its shares, Mr. Siegert can vote only 100 of his shares at the AGM. Or 1.4% of his holdings. Hardly seems fair, does it? The SNB is after all, a listed company. There is therefore, no incentive to register as a shareholder. Why indeed?, you can’t vote the stuff. This perverse arrangement has resulted in the SNB – according to the SNB – having no idea who has been buying the stock.
Let’s return to profit distribution. The SNB distributes cash to shareholders in two ways:
1. The SNB pays a dividend to its shareholders
2. The SNB pays an amount to the Cantons
This is completely unrelated to the dividend paid to shareholders.
Quoting the 2016 SNB annual report once again: The allocation to the provisions for currency reserves corresponds to the minimum amount of 8%. After taking into account the distribution reserve of CHF 1.9 billion, the net profit comes to CHF 21.7 billion. This will permit a dividend payment of CHF 15 per share, the legally stipulated maximum amount, as well as a profit distribution of CHF 1.7 billion to the Confederation and the cantons. The distribution reserve after appropriation of profit is CHF 20.0 billion.”
This means that on a profit of 21.7 Billion CHF all investors get 15 CHF per share. A total disbursement of 1.5 Million CHF. Which is 0.0069% of profits. Paid out to shareholders. Of your listed company. Not much is it? If you hold 100 shares, you get 100 X 15 = 1,500 Swiss Francs, At a share price of 3,000 CHF: 100 X 3.000 CHF = 300,000 CHF, for a dividend yield of 0.5%. I don’t know about you, but if I were an ordinary shareholder, I’d be pissed.
If however, you are a Canton, holding 100 shares, you receive your 1,500 Swiss Francs, plus your share of the 1.7 Billion CHF profit distribution. 52% of the stock is in the hands of the Cantons and Confederation. Going through the same basic maths, assuming the Cantons stock holding is in approximate proportion to its population proportion, if the Canton holds 100 shares, it gives 100 X 30,909 CHF = 3.09 Million CHF. Mr. Siegert, holding 6,720 shares got 100,800 CHF.
Canton Bern, on this basis holding 6,630 shares most likely got around 6.63% of 1.7 billion = 112.7 Million CHF.
This is investor discrimination pure and simple. There is no excuse for this. None. Not on this huge scale. Yes, you can establish different share classes. But here, all 100,000 shares are the same share class. Dear SNB, dear Bund, if you are going to be a listed company, you play by the rules of listed companies. You do not just run on a set of rules made up to suit you. If you want to do this, you de-list. Dear SNB, if you are going to play this game, you need to de-list.
It’s hardly worth calculating dividend yield on the basis of profit distribution, but let’s do it anyway. On a share price of 3,000, the dividend yield is 1,000%. A share price of 1,000 CHF gives a dividend yield of 3,200% There is a share class in Switzerland with a dividend yield of over one thousand percent. Yes, Yes! Give me more of that.
It must be very clear to everyone at this point, even to the most mathematically challenged types in the SP and the Greens that the SNB is one hell of a good investment.
Let’s backtrack now with a common sense question. How is this possible? The SNB is after all a joint stock company, with one share class, listed on an exchange, subject to the rules of the exchange. The answer is the NBA. No, not the National Basketball Assocation, but the National Bank Act. Of 1953, revised 2002. However, neither the founders of the SNB in 1907 nor the 1953 act nor the 2002 revisions envisioned, imagined, in their wildest dreams that the SNB could wind up managing 700 Billion CHF or more in assets. “Unvorstellbar!”, “Unmöglich!!!”, I can imagine the cries back in 2002 at the very suggestion. The NBA is however still an act of Swiss parliament. Written into law and it can be revised. Subject of course to the usual procedures. Plus likely referendum. Bottom line, this can be changed. With this much money at stake, I think someone is betting it will be. Substantially.
Governance. Managing seven hundred billion odd in assets must be quite a challenge. Oddly, the challenges appear hardly worth a mention in the annual report, with only this pithy reference appearing on page 146.
“The rise in the foreign exchange reserves affected the requirements of the portfolio management systems. In 2016, to support asset management, new front-end applications were introduced to enable a more efficient investment process.”
That’s it. That’s all the SNB has to say on the challenges of managing over 700 Billion CHF in assets. I would love to see some disclosure on the „efficient investment process“. Alas, I am disappointed. There is none. But the SNB clearly has supermen (and some superwomen) on the trading desks and in the research department. Since the rules were changed in 2005 (yes, again) to allow the SNB to buy and hold listed equities, it now holds 20% of its “currency reserves” in listed shares. I.e., 145 Billion CHF. Of which 92 Billion CHF is in American equities; Facebook, Apple and so forth. I can only imagine the size of the trades and some of the conversations. “Hmm, Apple looks good today.” “Hmm, Yes. 150 Million Apple?” “Ja, Tim wore a snappy suit yesterday at the annual convention.” “Ja, coole, geile new iPhone”. “Go pick up a hundred fifty million worth of apples.” I do wonder how the SNB staff is able to effectively manage and administer this volume of AuM? How can they be set up to effectively manage 700 Billion odd of assets? Though as anyone who has managed money knows, the size of the order generally doesn’t make much difference. In 2009 where you put an order for ten Million or so, that order today is for a hundred Million. It’s just extra zeros.
The SNB does spend some time talking about what they invest in and the decision making process on page 79. It is rather sparse and essentially says they buy all sorts of bonds and basically mimic equity indices in purchases for the equity portfolio, which certainly makes sense under the circumstances.
As of writing the SNB has 724 Billion CHF in AUM it is trying to manage with a system infrastructure that, I am guessing was probably stretched at 50 Billion. It is a testament to the competence, intelligence, common sense approach, dedication and flexibility of the staff that they are doing as well as they are. Right now, equity holdings alone are at 150 Billion CHF. To compare, the worlds largest hedge fund, Bridgewater associates, in Westport, U.S.A. has 103 Billion USD under management. Sitting on and trading a mountain of cash this size is power. Real, raw, power. The SNB can and does move markets. Wall Street has started tracking and forecasting SNB trades because when the SNB trades, it has a material effect on stock prices. Yes, you can (theoretically) forecast because the SNB is basing its trading on market indices, subject to certain restrictions. Having this much money at your disposal gives you the power to make and destroy fortunes, you can make some hedge fund managers rich and you can send others bust. This sort of power is intoxicating. Your own employees and their families can also make themselves rich front running trades. Right now there appear to be very few (if any) controls on this and it is extraordinary how reticent and with how much of a sense of responsibility the SNB appears to have demonstrated in having this power. They seem to be thinking very carefully about how they do things. This appears to be one very well-run institution.
The inner workings of the SNB – an overview. The inner workings of the SNB are reasonably described in the 2016 annual report. Let’s go back to the determination of the amount of cash to be distributed to the Cantons, how does this work? Well, they agree on how much they are going to get, on what basis. Presumably with heated discussion and much flying of feathers. Thus:
In November 2016, the FDF and the SNB signed an agreement covering the financial years 2016 to 2020. As in the past, the annual distribution is set at CHF 1 billion, provided the balance of the distribution reserve is positive. In future, however, omitted or reduced distributions will be compensated for in subsequent years if the distribution reserve allows this. Furthermore, the distribution amount will be raised to a maximum of CHF 2 billion if the distribution reserve exceeds CHF 20 billion.”
This means that the Cantons get at least 1 billion CHF per year provided the “distribution reserve” is positive. Given that the SNB has 696 Billion CHF in cash to fall back on, it’s kind of difficult to imagine having less than 20 Billion. Though in 2013 they did manage to imagine just this. It then means that if there is more than 20 Billion in the “distribution reserve”, the cash to the cantons will be between 1 and 2 Billion. Sure enough, in 2016 the “distribution reserve” was 23 Billion CHF and the cantons duly received a payout of 1.7 billion CHF. The report spends some time going into how the “distribution reserve” is arrived at. Essentially, it’s the SNB’s annual profit. It does not discuss at all however, nor does it take into account the value of the SNB’s AuM. Funny that. With good reason. With the massive growth in AuM since 2010, the “distribution reserve” has become a nonsensical fiction. Did the Cantons miss this?
What does the annual report actually have to say on the assets under management? Not that they call it AuM. Heaven forbid. Here on page 84 they call it “equity capital”.
Higher loss risk – adjustmentof allocation to provisions. “The SNB’s equity capital is composed mainly of the provisions for currency reserves and the distribution reserve; it is built up from retained profits and serves in particular to absorb losses. The increase in currency reserves for monetary policy reasons in recent years has caused the SNB’s balance sheet to grow, and this in turn has resulted in higher loss risk. Any such losses would reduce equity capital. Annual allocations to the provisions are necessary to ensure a healthy equity base.”
This, in my opinion, is complete nonsense. “The increase in currency reserves” is growth in AuM due to the printing of money. But we do see the words “retained profits” here. Nice. Do we see the words “retained profit” anywhere else in the annual report? No. Come again? No really, the only place it appears is here under discussion of loss risk. A Freudian slip perhaps. So, just what retained profits are referred to here? The 696 Billion CHF buildup in the balance sheet? Please, SNB, help me understand here what you are referring to by “retained profits”. These two words do not appear anywhere in the financial statements, not in the balance sheet and not in the place you would expect: “Changes in equity”. Nothing. Then “higher loss risks”. On what? The 696 Billion CHF printed by the SNB?. Since when do you refuse to recognise profit but highlight “loss risk”? Your correspondent is struggling here.
It is difficult to keep a straight face while reading the annual report. A rare humour can be found in the pages of this remarkable document. It is indeed a rare institution that can be so successful in simply following a (very) special set of rules that were made up for it without slipping up through complacency. Well done SNB. But backing up a step, the annual report states:
“In accordance with art. 31 para. 2 NBA, one-third of the SNB’s net profit – to the extent that it exceeds the dividend requirement – is distributed to the Confederation and two-thirds to the cantons. The amount of the annual profit distribution to the Confederation and the cantons is laid down in an agreement between the Federal Department of Finance (FDF) and the SNB.”
I posit to you that even the basis of distribution has become nonsensical. Why? Because this is saying that the distribution to the cantons is dependent on profit and loss arising on the investment portfolio. The investment portfolio however is a result of the printing of money. AuM as of 31.12.2016 were 696 Billion CHF. Profit and loss are being calculated on the AuM, the investment portfolio. The “distribution reserve”, upon which the ability to pay distributions to the cantons is pegged at 20 Billion CHF, which at end 2016 is 2.3% of AuM. Which incidentally means that a 2.3% change in the value of AuM can wipe out or double the distribution reserve. A single bad week in the markets can do that. Maybe the “distribution reserve” and the setup all made perfect sense with an SNB balance sheet of 120 Billion and AuM of 80 Billion or so. With 696 Billion CHF of AuM, I argue that the concept of “distribution reserve” is utter nonsense. If you have a bad year, you make a distribution of retained profit to the distribution reserve to make the payments. Like any other enterprise. Assuming the AuM total hits a Trillion Swiss Francs in five years or so, the distribution reserve will be 2% of AuM. Making distributions dependent on an arbitrary 20 Billion CHF “target” dwarfed by a Trillion CHF in AuM to call on to make said distributions is crazy. It was crazy already at 500 Billion. This system of determination of profit distribution is outdated. A dividend yield of 2% on AuM, not extravagant by any means, would, on 700 billion in AuM give 14 billion CHF to the cantons. On 700 Billion of AuM, it would also take over 50 years of 14 Billion CHF p.a. distributions to run down the 700 Billion. I can already picture Ueli Maurer running to McDonnell Douglas to place his order for two six-packs of FA-18s. Go Ueli, go.
Back to business. There is in fact a problem to the distribution volume; the amount of cash you give away. In NGO speak it’s called “Absorbtive Capacity”. It is the term used to describe the capacity limits of a developing country to absorb foreign aid. I.e., you give Benin, Togo or Gabon an ocean of cash and they simply drown. They can’t put it to use, there isn’t the infrastructure. The same principle applies here, the Cantons and Bund cannot absorb this quantity of cash. Ah, the problems of wealth. You don’t have enough money, that’s bad. You have too much, it’s still problematic. Sorry Ueli.
Let’s now look at the balance sheet, income statement, profit distribution and the rules governing distributions more closely. From the 2016 annual report, we read the following.
Assets: “At the end of 2016, the SNB’s assets amounted to CHF 747 billion, compared to CHF 641 billion the previous year. They consisted almost exclusively of currency reserves, that is gold and foreign currency investments (less liabilities from investment policy-related repo transactions). Currency reserves were up by CHF 89 billion year-on-year to CHF 692 billion, principally due to inflows from foreign currency purchases and valuation gains.”
And Income: The return on currency reserves was 3.8%. Returns on gold and foreign exchange reserves were 11.1% and 3.3% respectively. As regards foreign exchange reserves, both fixed income investments and equities contributed to the positive result.”
The return on currency reserves was 3.8%. This means that overall return on AuM was 3.8% on 696 billion, this is 26.3 billion. A nice income stream. We turn to net profit. What profit did the SNB ended up deciding to declare in 2016?. Acknowledge? Recognise? What number did they pick? According to the annual report:
The SNB’s 2016 annual financial statements closed with a profit of CHF 24.5 billion, following a loss of CHF 23.3 billion in the previous year. This positive result was primarily attributable to gains of CHF 19.4 billion on foreign currency positions and CHF 3.9 billion on gold holdings.”
So far so good, the SNB reported 24.5 billion CHF profit for 2016. Good show, SNB.
Wait a minute though, as of 31. December 2015, the SNB had Foreign currency investments (AuM) of 593 Billion CHF. On 31. December 2016, the SNB had Foreign currency investments (AuM) of 696 Billion CHF. For a growth in AuM of 102 Billion CHF. What, may I ask, is that increase? If that is not profit, what is it? Please, ladies and gentlemen of the SNB, help me out here, I am trying to understand your accounting. What is this hundred Billion?
To explain why I am asking this, I would like to look at the actual business of the SNB. Which is printing money. Note issuance, as it says on its website. “It is vested with the note-issuing privilege and has been mandated to conduct the country’s monetary policy”. I.e., the SNB manufactures money. Note issuance, the printing of Swiss Francs, is the business, the economic activity of the SNB. In the course of conducting its business – monetary policy and the issuance of money – the SNB has a gain in 2016 of 102 Billion CHF. Ladies and gentlemen, I posit to you, this is Income. If this is not income, what is it? Since the SNB has little to speak of in cost of goods sold, if this is not profit, what is it?
To illustrate, when an enterprise produces widgets and sells those widgets in the market, profit equals sales revenue less cost of goods sold. Let’s say I am a bakery, I produce bread rolls, I sell bread rolls in the market. Perhaps I sell my bread rolls for Swiss Francs. Perhaps I sell them for Euro. Or Yankee dollars. In this case, the SNB is selling its product, its widgets, for Euro and US dollars and has made a profit on the sale of its product. I posit to you the possibility that the SNB and the SNB’s auditors have not recognised a profit on the sale of its product. What about product returns you say? Does anyone out there seriously think the SNB is going to be buying back Swiss Francs anytime soon? Like in the next ten years?
Let’s move now to the SNB’s capital base. The annual report states:
“At a financial level, ensuring a healthy capital base remains a key concern. Extensive foreign currency purchases in recent years have led to strong growth in the currency reserves and thus in the SNB’s balance sheet, resulting in higher loss exposure.”
I consider this rather misleading. How can ensuring a healthy capital base be a key concern when you are sitting on 700 Billion Francs in cash? The assets are referred to as “currency reserves”. What? The SNB is holding bonds and the shares of listed companies in an investment portfolio with a conservative 80:20 asset allocation. It is holding securities, income producing assets. Not “currency reserves”. Moreover, the SNB created money, purchased assets with that created money and holds those assets in the balance sheet. But does not and has not reported the creation of those assets as a profit. Or as a gain. Or as value creation. It is however here stating that it will recognise a loss on the depreciation of those created assets. What? My apologies, but this, in my opinion, is bullshit. Please, ladies and gentlemen of the SNB, you have the floor.
To the auditors. Why should they be spared? KPMG are the auditors. Dear KPMG, what are you thinking? What standards are you using to audit the measurement and accounting of the activities of the SNB? Looking through the statements, it seems to me you are having something of an Enron moment. With a huge difference, it’s pointing in the other direction. I.e., Enron (massively) over-stated its results. Again, in my opinion, as an auditor you get into trouble if and only if one or more of the following happen:
1. Your client goes bust.
2. Your clients stockholders complain.
3. The regulators complain.
All the unpleasantness, lawsuits, fines, partners “leaving after mutual agreement for early retirement”, Arthur Anderson nuclear extinction events, stem from these three events. Well, all three of these are highly unlikely in this case, so KPMG would appear free to indulge in whatever fantasy the client wants of them. Please tell me if I am missing something here. Enron as we know went bust, which did for Arthur Anderson. The SNB however cannot go bust, the stockholders cannot complain, nor are the regulators likely to. Please, Mr. Rickert and Mr. di Fluri, tell me, how do you calculate the profit of the SNB? What accounting principles do you use? How do you account for the hundred Billion Swiss Franc growth in assets?
To give KPMG their due, in all fairness, they do recognise that the “currency reserves”, at 696 Billion Swiss Francs, are material. A “Key Audit Matter”. Good show, KPMG. It is in the auditors letter, right at the back of the annual report, thusly….
Key audit matter: In absolute figures, foreign currency investments constitute the Swiss National Bank’s most important balance sheet position. Due to their composition and amount, even small changes to the negotiable securities prices and the Swiss franc exchange rates can lead to material effects on the valuation in the balance sheet as well as on gross income, and therefore also on the Swiss National Bank’s equity. Therefore, the valuation of the negotiable securities within foreign currency investments was considered to be an area of focus in our audit.
Our audit approach for the foreign currency investments comprised among others the following main audit procedures: we compared the valuation of the negotiable securities (money market instruments, bonds and equities) included within foreign currency investments with reference values that we obtained by applying our own valuation approach. The valuation methodology we used took into account, among other things, market liquidity and other characteristics relevant to the valuation of the individual negotiable securities. Further, we tested the valuation approach used in the relevant IT applications.
What on earth does this mean? Your correspondent is struggling here. Again, what are the currency reserves?
Who has been buying the SNB shares? A run-up in the price of a share implies someone is buying those shares. Obviously. An increase in share price from 1,000 CHF to over 3,000 CHF means someone or someone(s) has built a position. Who is this someone? So we asked the SNB. “Dear SNB, do you know who is purchasing your shares?”. Response from the SNB. “Dear Inside Paradeplatz, we do not know.”
In an age of registered shares, where in Switzerland, my understanding is that by law every company is required to know who owns its shares, the SNB apparently has no idea who is holding its shares. Further enquiries to the SNB are apparently either not answered or come back with “no comment”. Does the SNB know who owns its shares? As a listed company, they are supposed to. From the SIX website:
Owners of registered shares are entered in the share registerof the company in question. This means that the company knows the names, dates of birth and addresses of its shareholders and the number of shares purchased. This gives the company an overview of the ownership of its shares and it is able to contact shareholders directly. When an investor buys shares, the investor’s bank is required to provide the company with information on the new shareholder promptly.”
These are the rules. The SNB appears exempt. Or is it simply ignoring rules that the SNB and Bund don’t like and they haven’t gotten around to writing a change or exemption for yet? Let’s look at what the SNB says:
The Swiss National Bank (SNB) keeps a share register.
The owners and beneficiaries of SNB shares are listed in thisregister together with their name and address or company and head office.  
Only those persons listed in the share register are considered to be shareholders in respect of the SNB.”
Fair enough. However, whereby entry of the beneficial owners details into a companys share registry is compulsory for normal mortal listed companies, the SNB has made up its own rules. You must apply for the privilege.
“Application for entry in the share register.
The application by a purchaser to be recognised as an SNB shareholder is to be submitted to the Berne head office. A bank confirmation of the share transfer must be submitted together with the application.
Anyone who does not sign to confirm that the shares were purchased in their own name and for their own account will not be entered in the share register.”
Ok, so it looks like the rules have been changed. I don’t know about you, but SNB shares sound suspiciously like bearer shares to me. An unreported store of income producing value. Anyway, the product of all this is, the SNB apparently has no idea who has been buying its shares, who now owns its shares, and, has no way of finding out. We pose this question to the SNB, “Do you know who owns the shares in your enterprise?”
Before we close off this chapter, we should really ask if “who is buying the stock” an issue? Well, I think so. I think it’s a market integrity issue. It is about insider trading and detecting insider trading. So who could be buying? It’s not the SNB, I don’t see any Treasury shares listed anywhere in the annual report. Private investors? Most likely. However, it may also be insiders. Employees of the SNB or their families and relatives with inside information that a de-listing and subsequent share buy-back is being discussed. This would be a breach of market integrity. And, since 1994, even Swiss law. It may also be lawyers with whom the SNB deals, or with whom discussions have been conducted regarding a buy-back. I have to say it, it is commonly accepted that Swiss lawyers using material non-public information to insider trade would be continuing a proud tradition which has – allegedly – financed many a Porsche, Villa and holiday house in Tessin, on Mallorca and elsewhere. To put it bluntly, an enormous amount of money was – allegedly – made in the ‘80s and ‘90’s by Swiss lawyers front running corporate deals on which they were advising. It was easy and there were no penalties. This is a problem which arises from the clubby, “we are special” and the “we make up our own rules” way this was all set up. In my opinion, people connected to the SNB in any way should have a reporting obligation.
Why the runup in the price? At last… I think the most plausible explanation for the runup is somone or someones are betting on a de-listing and share buy-back. If you have waded through all the above, the current structure and rules under which the SNB is operating have arguably become untenable for a listed company. A company which happens to be the central bank of the country in which it is operating, which happens to be running a colossal sovereign wealth fund as a hobby. A share buy-back implies a big premium. How big? When the Bank for International Settlements de-listed in the early 2000s and bought back its shares, it bought the shares back at three times the market price. I.e., a 200% premium. This would imply a share buy back price of 9,000 CHF. My guess is it will go higher.
How much will this cost? On a share price of 3,000 CHF, buying back all 100,000 shares will cost the SNB 300 Million CHF. This is a rounding error on an 800 Billion Franc the balance sheet. It’s barely material. Say the buy-back premium is three times the market price, 9,000 CHF, the buy-back will cost the SNB 900 Million CHF. On this balance sheet, that’s dipping into petty cash.
The real issue. The stock price is actually irrelevant. It’s peanuts on a total float of 100,000 shares. Completely. In my opinion, it is a non-issue in the overall situation. The stock price issue, a buy-back has a total value of between 300 and 900 Million CHF. The Elephant in the room and the real issue is that the SNB, by printing Swiss Francs and converting these printed Swiss Francs into hard, income producing assets has arguably created the worlds fourth largest Sovereign Wealth Fund, currently worth around 700 Billion CHF. Having created this fund, I argue to you that the directors of the SNB do not know what to do with the wealth that has been created. Nor does the Bund. I would posit that many Swiss politicians, certainly the SP, but also the CVP and FDP do not have the educational or vocational background to comprehend what has been created or the implications on the basis of the conflicting information so far released. The SVP, being composed largely of current and ex-businessmen is another story. It is inconceivable to me for example that Thomas Matter does not understand what has happened here. Comments Mr. Matter? You have the floor. Extraordinary is that all concerned seem to be valiantly pretending this wealth does not exist. It’s extraordinary, the accidental creation of the worlds fourth largest Sovereign Wealth Fund. You couldn’t make this up. Fiction, to be believable, has to make sense.
What now? To summarise: 2008 Financial Crisis -> Increased demand for CHF -> Print CHF to hold down the value -> Buy EUR and USD -> Buy Bonds and Equities ->Big investment fund. We can express this graphically as below.
To, me, common sense approach, this seems to be what has happened.
How is the SNB doing, right now? According to the interim report as of June 2017: As of 31.12.2016, Foreign currency investments totalled 696 billion CHF. As of 30.06.2017, Foreign currency investments totalled 745 billion CHF.
For a growth in AuM of 49 billion CHF in six months. So the SNB is still growing AuM at around 100 Billion CHF per year. For a percentage growth rate of something over 10% per annum. That’s on fire! Who the heck grows AuM organically at 10% p.a.? Even with the rate slowing, the SNB is heading for the top of the Sovereign Wealth Fund rankings within five years.
The foreign assets are fairly well diversified too, across EUR, USD, JPY, GBP: EUR: 42%, USD: 33%, JPY: 8%, GBP: 7%, CAD: 3%.
Asset allocation itself follows a standard “Conservative” strategy of 80% bonds, 20% equities, with 68% of the portfolio made up of government bonds. 59% of the bond portfolio is AAA rated. Seriously, this is textbook, good, conservative long term asset management.
Remember, this was NOT intentional. This creation of wealth was NOT George Soros level speculative genius, it was the simple printing of Francs. This mountain of money came about by accident. There are two main reasons. First, it is a product of the unique environment that is Switzerland. Foremost it was created by the men and women of Switzerland, ordinary Swiss people who through dint of hard work and diligence created the environment that made this possible. The directors of the SNB are not responsible for this. This wealth then belongs to the men and women, the ordinary hard working people of Switzerland who indirectly created it. It is the very real fruits of their hard work and labour. It belongs to them and the people should benefit. I would also here venture my opinion that Switzerland does not need expensive toys for gents like Ueli Maurer and certain others. We do not need a dozen FA-18s. For what? In case a bunch of drunk Bavarians in lederhosen come charging over the border looking for a bruising?
Second, the trigger event was the financial crisis, then the ongoing fiscal profligacy of the European Union and the United States. Who essentially made money free by printing cash and lowering interest rates to zero, effectively reducing the real price of money to zero. This was reckless extravagance and wastefulness in the use of resources on the part of the EU and the United States. Rather than bite the bullet and pay the bill when it came due in austerity measures, the problems have been pushed off down the line. To the benefit of the SNB.
I argue that with a change in circumstances of this scale, the rules, laws and legal framework in which the SNB and its associated wealth fund operate are going to have to be changed. Non-action is not an option. To contend that it is not possible to change the rules is not true. The Bund and the SNB can and have changed anything they like should they deem it to be in their and the interests of Switzerland to do so. As always in this extraordinarily cooperative, collaborative country, it’s all up for (heated) discussion.
The problem is the Bund and Cantons see no burning need to go through the pain of this very public fight. The Cantons are getting their cash: a 1,000% yield on a share price of 3,000 CHF, a 3,000% yield on a share price of 1,000 CHF. If you think of the price they have on their books, of 250 CHF, the yield is 13,000%. All this is really irrelevant though, the cash is a present to the Confederation and Cantons. To change anything major now will almost certainly end up going to referendum. This is a BIG ONE. Painful. So push it off as long as possible.
A few words to the sponsors – the people of the Swiss National Bank. I would like to say a few words in closing and express my enormous admiration and respect for the intelligence, integrity, hard work, discretion, ethics and the measured, low-key, “getting on with the job” attitude of the men and women of the SNB. This is true professionalism. Whatever ends up happening, it should be recognised that what you have achieved is extraordinary. Even given the very favourable economic and regulatory environment created by the people of Switzerland, the critical point here is that it seems – you got it right at every step. Congratulations!
The directors letter closes with “We wish to thank our employees for all their hard work and valuable support over the past year.” To which I would add, Mr. Studer and Mr. Jordan, “You’re damn right!”
Closing comments, open questions and conclusion. In closing, a few comments and questions.
1. The runup in the share price is due to someone(s) noticing the creation of massive wealth and the transformation of the nature of the SNB into a very large investment fund. They are assuming, betting, that some of this wealth will trickle down or be passed on to ordinary shareholders in the form of dividends, capital payment or – most likely – a share buyback in the case of a de-listing. I personally believe a de-listing to be most likely. Not knowing who is buying the shares, we can’t simply ask them their reasoning.
2. Dear SNB, if you are going to be a listed company, you need to abide by the rules of being a listed company. Otherwise, de-list. You do not make up the rules you like and ignore the ones you don’t. Investor discrimination on the scale that is practiced here is not on. It is a disgrace. Minimal and misleading disclosure as found in the annual reports is not on. The capacity, the power to move markets, which the SNB now has, is a huge responsibility. You need to look at and establish proper governance rules, processes and procedures on how to handle this.
3. 800 Billion CHF or more assets under management will at some point have to be allocated to some use. Some cause. Whatever this is. It would for example, guarantee the solvency for the next three generations for the Swiss Pillar 1 pension plan, the “Alters und Hinterlassene Versicherung”, the sacred and holy “AHV”. Similar to what Norway has done. Put simply, the cash in the fund at the SNB would bail out the AHV with hundreds of billions to spare.
4. The Bund, the Cantons and the people of Switzerland will have to start and engage in the debate as to what is to be done with the money. This is the most important thing. It’s not about the stock price, it’s not about how this came to pass. It is about “what to do now?”.
The SNB is run by a group exceedingly intelligent, well educated men and women. I argue that these men and women must be aware of what has happened. It seems to me they just do not now know what to do about it. Apart from continue to do their jobs, obfuscate a little and buy some time to think. So I ask you, ladies and gentlemen of the SNB, you’ve had a couple of years now since the caving in and lifting of the currency peg. How close are you to a solution?
In closing then, I want to ask you, what are you going to do when AuM pass the 1 Trillion CHF point? 1,000,000,000,000 AuM. Sitting in the SNB’s accounts? When it is no longer possible to obfuscate the creation of the worlds largest sovereign wealth fund. What is your plan when the media storm starts? Perhaps the bank council; Ms. Monika Bütler, Mr. Heinz Karrer, Mr. Daniel Lampart, Mr. Olivier Steimer and Mr. Cédric Tille would care to comment on this.
I ask you, ladies and gentlemen of the Swiss National Bank, ladies and gentlemen of the Swiss National Parliament, what do you intend to do about this?
Appendix
1. Discrepancy in currency reserves figure. There is a discrepancy in the total “currency reserves” figure as referred to in the directors letter and discussion of the annual report of 692 Billion and the “foreign currency investments” in the audited financial statements of 696 Billion. I use the number of 696 Billion for the discussion.
2. Comparison to the Swiss banking industry. How does the SNB compare to the Swiss banking industry as a whole you may ask? It’s a good question. Let’s look at it. From the Swiss Banking Associations’ report for 2016 we take the following:
“In 2016, 226 of the 261 banks in Switzerland reported a profit, taking total profit to CHF 11.8 billion. The remaining 35 institutions recorded an aggregate loss of CHF 3.9 billion. The result of the period for all banks was thus CHF 7.9 billion.”
The SNB has thus “reported” a profit thus three times the size of the entire Swiss banking industry.
Looking at the gross size of the banking industry: “The aggregate balance sheet total rose by 2.5% to CHF 3,100.8 billion.”
The aggregate size of Swiss banking is 3.1 trillion. The SNB is currently touching 800 billion. If the SNB were a bank, the SNB would be a quarter of the total size of the Swiss banking industry. If we assume the SNB is making a profit of ca. 100 billion CHF per year, which is the rate at which its balance sheet is growing, well, the entire Swiss banking industry in 2016 made less than 10% of what the national bank alone made – or other way around – the SNB alone is ten times more profitable than the entire Swiss banking industry put together. A thought for Sergio, Tidjane and Boris.

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4 Kommentare zu “The Swiss National Bank, the World’s Fourth Largest Sovereign Wealth Fund Created. What Now?

  1. Mr. Straub
    Your article is rhetorical well written.
    In some points I agree with you.
    However, your central argument is wrong: By buying assets through money creation the Swiss National Bank does not create wealth and is not making a profit accordingly.
    You start out with the illusion, that central bank money is an asset of the SNB. If this were true, you were right. If the SNB would “print money” for 1 bn and buy assets with this newly printed money, there would be a profit of 1 bn and equity of the SNB would rise accordingly.
    However, this is not the case at all: By creating central bank money, the SNB is making debts. Therefore not equity is rising but foreign capital.
    This point you miss completely. Therefore most of your article does not make sense.
    There are some points which make sense. I have listed them below.
    Your text is another example of the illusions the Swiss National Bank and its boss Thomas Jordan are creating with their argument “liquidity out of nothing”.
    Another fruit of this error is the “Vollgeld-Initiative”.
    So the SNB is mainly responsible for this rise in the SNB-share price and for the Vollgeld-Initiative because the SNB is making wrong illusions.
    You only see profits by money creation as the Vollgeldler do. You have not understood, that the SNB is in great danger to go bankrupt.
    If only Euro and Dollar fall by ten percent and interest rates rise slightly, the SNB may go bankrupt and shareholders loose all their equity at the SNB. Additionally banks may go bankrupt as well as they have to write down their investments in the SNB. In the end the Swiss people will have to pay for the losses of the SNB as a result of the errors of the SNB.
    Now follow my arguments to some of your points.
    One:
    You write, in 2008 “enormous amounts of money were being created by European central banks, translating into enormous amounts of money looking for a safe haven.” One big safe haven was the Swiss Franc and Switzerland.
    This argument is not correct, as the European Central Banks did not invest in Switzerland but rather in lower class quality in southern Europe. Euros were not created with solid investments, rather with subprime government bonds. On their balance sheets there do not appear solid Swiss Franc but rather low class Government bonds.
    Two:
    There is no biblical creation of money as you write. Money rather is a bond of the National Bank.
    Three:
    Right: The SNB can’t put it back where it came from. Can’t eat it. We’re gonna’ have to keep it. That’s now the problem for the Swiss National Bank and of all Swiss citizens: We got hundreds of billions of Euro and Dollars and can’t sell them. But we have to. Sooner or later.
    Four:
    You write: “1. The SNB created “something” out of “nothing”.” That is the crucial error. No. The Swiss National did not create out of nothing. SNB now got a huge debt with the Swiss Banks. SNB bought the foreign currencies with debts.
    Furthermore SNB invests abroad i.e. boosting foreign economies at the cost of Switzerland.
    Mr Jordan could still not explained to us, how he can boost Swiss economy by buying US shares.
    Five:
    Zimbabwe Dollars were printed against nothing right from the beginning, overshading the whole economy. However, Swiss Francs were printed against Euros. If the Euro falls, Swiss National Bank money is starting to be booked against less and less worthy Euros. So the depreciation of Swiss National Bank money will start slowly.
    And – very important – please note, that the value of Swiss National Bank money will fall. This does not mean, that the Swiss Franc as a whole will fall. Swiss National Bank money accounts for say 10 Percent of the aggregate money M1 – M3. So therefore the Swiss National Bank may go bankrupt even though the Swiss Franc stays strong.
    Please consider: Swiss National Bank money is not equalling Swiss Francs.
    Six:
    The Swiss National Bank is not defending the Swiss Franc – it is weakening the Swiss Franc.
    Seven:
    Exactly – it is not currencies – it is Assets under Management.
    Eight:
    No – it is never wealth creation – it is debt creation.
    Nine:
    You write: “I argue that the substance of this transaction is that the SNB has created a very large sovereign wealth fund. It has achieved this not through economic activity in the traditional sense. Where most countries (Norway for example) sell real commodities, oil or whatever, and buy assets, the SNB has done this without actually selling anything of value. A truly remarkable achievement.”
    How can you write such a thing without mentioning, that the Swiss National Bank has made huge debts – huge debts, which one day it must pay pack. If the Swiss National Bank cannot pay back its debts, Swiss people will have to pay back the debt of their National Bank.
    Ten:
    You write: “The SNB has done it simply by printing Swiss Francs”
    You forget, that the SNB has done this by building up huge debts.
    Eleven:
    You write: “At the end of the day though, the origin of funds is irrelevant. What matters is the assets under management”
    I contradict: It very well matters where the funds are coming from. Those funds have to be repaid by the Swiss National Bank. Norwegian fund is financed by equity, which it does not have to pay back.
    In the finance markets the weakest investors are pushed out first. The Swiss National Bank is very weak with a leverage of approx. 10x. The Norwegian Fund is very strong as financed with equity.
    Twelve:
    You write: “Indisputable is that value has been created. A lot of value”
    No. No value has been created. It’s all debts which must be pay back if borrowing banks want to. The Swiss National Bank is extremely dependent.
    Thirteen:
    You write: “Wait a minute though, as of 31. December 2015, the SNB had Foreign currency investments (AuM) of 593 Billion CHF. On 31. December 2016, the SNB had Foreign currency investments (AuM) of 696 Billion CHF. For a growth in AuM of 102 Billion CHF. What, may I ask, is that increase? If that is not profit, what is it? Please, ladies and gentlemen of the SNB, help me out here, I am trying to understand your accounting. What is this hundred Billion?”
    You interpret the rise of AuM by 102 bn in 2016 as a profit.
    No. This is not a profit because the SNB did not by this “out of thin air” or with “money creation out of nothing” but with debts. You are making the same errors as Mr. Jordan and the SNB.
    If this would be a profit, equity would have risen accordingly. Wrong. Foreign capital has risen accordingly.
    Please accept, that the SNB is not buying AuM “out of nothing”, as the SNB puts it, but financed with debts.
    Fourteen:
    You write: “ The business of the SNB is printing money.” And you conclude, that the profit of the SNB rises according to their printing of money.
    Your arguments are based of the fundamental error, that Central Bank Money is liquidity i.e. an asset of the central bank. In this case you would be right. By a money expansion, a central bank could make profit i.e. equity.
    However, this is utterly wrong: Central bank money is a liability of the central bank. Therefore your argument, that rising AuM mean profit is wrong. It’s just an expansion of the balance sheet putting down the equity ratio.
    Fifteen:
    You write:
    “Does anyone out there seriously think the SNB is going to be buying back Swiss Francs anytime soon? Like in the next ten years?”
    Yes. Swiss Central Bank money is a liability in the legal form of a current account of the banks with the SNB. I.e. the banks have got the right to reduce their investments at the SNB at sight – i.e. immediately – if they want to. UBS for instance write that their deposits at Central Banks may be withdrawn within one month.
    Sixteen:
    You write: “It is holding securities, income producing assets.” Not “currency reserves”.
    I completely agree. The SNB is holding on its asset side not reserves but AuM. I tried many times to explain this even to SNB-boss Jordan. But he does not understand.
    Eighteen:
    You write:
    “Moreover, the SNB created money, purchased assets with that created money and holds those assets in the balance sheet. But does not and has not reported the creation of those assets as a profit. Or as a gain. Or as value creation. It is however here stating that it will recognise a loss on the depreciation of those created assets. What? My apologies, but this, in my opinion, is bullshit. Please, ladies and gentlemen of the SNB, you have the floor.”
    You use the word “bullshit”. Sorry – you tell bullshit.
    You have still not recognized, that the SNB finances its AuM with debts.
    However also the SNB tells bullshit, when they say, they can create money out of nothing.
    Obviously, neither you nor the Swiss National Bank understand what they are talking about.
    Nineteen:
    I agree. KPMG will have a problem. Better sooner than later.
    Twenty:
    You write: “The SNB however cannot go bust, the stockholders cannot complain, nor are the regulators likely to.”
    Again you miss the point: The SNB can go bankrupt as it has financed its AuM with debts which the must be able to pay back.
    Twenty one:
    Very good point. The rise of the SNB share price may come from front running by SNB related peoples.
    Therefore it is ridiculous that the SNB claims not to know who owns its shares.
    Twenty three:
    You write:
    “I think the most plausible explanation for the runup is somone or someones are betting on a de-listing and share buy-back.”
    I completely agree. I have written this several times on Inside Paradeplatz.
    Twenty four:
    You write: “The current structure and rules under which the SNB is operating have arguably become untenable for a listed company.”
    Good point. I completely agree.
    Twenty five:
    You write:
    “I argue to you that the directors of the SNB do not know what to do with the wealth that has been created. Nor does the Bund.”
    This is completely nonsense. No wealth has been created as SNB financed with debts.
    Twenty six:
    You write:
    “This wealth then belongs to the men and women, the ordinary hard working people of Switzerland who indirectly created it. It is the very real fruits of their hard work and labour.”
    Again a ridiculous comment: Why? Because you still have not understood, that there are debts for almost 90 percent of the assets of the SNB.
    In contrary: If Euro und Dollar fall just 10 percent and interest rates rise slightly, equity is gone and shareholders loose their investments in the SNB. If AuM continue to fall, there may be huge losses which Swiss people will have to finance.
    Twenty seven:
    You write:
    “I argue that with a change in circumstances of this scale, the rules, laws and legal framework in which the SNB and its associated wealth fund operate are going to have to be changed.”
    I completely agree.
    Kind regards
    Marc Meyer

Asia Bibi: + de 3000 journées de prison

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Trop, c'est trop ! Asia Bibi a dépassé les 3000 journées de prison

HO / DGPR / AFP
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Condamnée à mort pour outrage à l’islam, en 2009, la catholique pakistanaise attend toujours le verdict final de sa condamnation.

Le 14 juin 2009, Asia Bibi est jetée en prison. Un an après elle est condamnée à mort pour blasphème, et depuis 2013, après deux transferts, elle croupit au fonds d’une des trois cellules, sans fenêtres, dans le couloir de la mort du pénitencier de Multan, dans le sud de la province du Pendjab. Un an après le report du procès en appel par la Cour suprême du Pakistan, et les menaces de mort de 150 muftis à l’égard de quiconque porterait assistance aux « blasphémateurs », l’affaire n’a pas progressé d’un iota. Le 30 août dernier, Asia Bibi a passé le cap des 3 000 journées d’incarcération.
Sa famille vit dans la clandestinité. La seule chose que l’on sait vient de son avocat, le musulman Saif ul Malook, qui lui a rendu visite ces derniers mois. Il affirme qu’elle se porte bien et espère encore en sa libération. En revanche, la Cour suprême semble l’avoir oubliée, toujours pas décidé à trancher entre la confirmation de la peine capitale ou sa relaxe.
Pendant ces 3 000 jours Asia Bibi n’a jamais cessé de prier et de demander des prières. En hommage à cette chrétienne devenue une icône pour tous ceux qui luttent, au Pakistan et dans le monde, contre toutes les violences faites au nom des religions, voici la prière qu’elle a elle-même composée, l’année dernière, à l’occasion des fêtes de Pâques, et qui l’accompagne dans sa détention :
« Seigneur ressuscité, permets que ta fille Asia ressuscite aussi avec toi. Brise mes chaînes, fais que mon cœur puisse se libérer et monte au delà de ces barreaux, et accompagne mon âme pour qu’elle soit proche de ceux qui me sont chers, et qu’elle reste toujours près de toi. Ne m’abandonne pas au jour de la détresse, ne me prive pas de ta présence. Toi qui as souffert la torture et la croix, allège ma souffrance. Tiens-moi près de toi Seigneur Jésus. Au jour de ta résurrection, Jésus, je veux te prier pour mes ennemis, pour ceux qui m’ont fait du mal. Je prie pour eux et je te prie de leur pardonner pour le mal qu’ils m’ont fait. Je te demande, Seigneur, de lever tous les obstacles afin que je puisse obtenir le bienfait de la liberté. Je te demande de me protéger et de protéger ma famille. J’adresse un appel particulier au Saint-Père François pour qu’il se souvienne de moi dans ses prières ».
Après huit ans de souffrances, d’angoisse et d’espoirs déçus, tenons bon dans nos prières et nos actions de soutien à son égard, car à travers elle ce sont tous les chrétiens persécutés que nous soutenons dans leurs sacrifices.

Attac & l' initiative monnaie pleine

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Attac & l' initiative monnaie pleine, pour s’informer... et diffuser


Vous l’avez certainement vue passer, cette initiative fédérale "Monnaie pleine" (soutenue par Attac)... mais il est important d’en parler... à son voisin !
Ceci afin que soit rendu à la BNS le rôle de créatrice de monnaie.
Car comme vous le savez peut-être (ou pas), la monnaie en circulation (pour 90-95% scripturale -électronique- et pour 5-10% fiduciaire -pièces et billets- ) est actuellement exclusivement créée par les banques commerciales (même si la BNS fabrique les pièces et les billets...).
Voici le lien vers l’initiative...
Maintenant voici quelques liens utiles pour s’informer sur les systèmes bancaires français et suisse (en France, il a changé avec la loi "Pompidou" du 3 janvier 1973 lorsque le pouvoir de faire du crédit à l’Etat a été retiré à la Banque nationale au profit des uniques banques commerciales / en Suisse c’est avec la loi fédérale sur la Banque nationale suisse du 3 octobre 2003 qu’il en a été fait de même) :
Interview de Michel Rocard : https://www.youtube.com/watch?v=dDSUds9rEZw
Document facile à lire sur la question : www.approprierlemonde.wordpress.com/2015/04/07/banque/
Document sur le début de l’interdiction du crédit à la Confédération par la BNS : http://martouf.ch/document/435-relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque-nationale-suisse.html
Je vous recommande également à ce sujet le livre de Gérard Foucher, Les Secrets de la Monnaie, 1996, Liberty Books.
Solidairement,
Chloé Frammery

Vocation de la cathédrale de Lausanne, appel aux artistes

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Cathédrale de Lausanne ?

Quelle est sa vocation et celle de Lausanne ?

Cathedrale Lausanne 2

Appel d'offre aux artistes et architectes, préparez-vous ! 


Que mettre sur le trumeau ?

Comment finir la cathédrale, notamment la cinquième tour ?

Comment réactualiser la chapelle de St Michel ?

Comment respecter l'embryon de la rosace et sa devise "oculos humeris " ?

Suite au débat

"Une nouvelle statue de Marie au portail de Montfalcon ?"


Organisé par le Conseil de service communautaire de la cathédrale 




Pour une nouvelle ou une ancienne statue de Marie, mère de Jésus, au portail de la cathédrale de Lausanne ?


Cette affaire de statue mariale et de socle vide n’a pas manqué d’ouvrir une controverse au sein de l’Eglise évangélique réformée (EERV). Du coup, André Joly, pasteur de la cathédrale, a prévu d’en faire un débat public dans l’édifice, le 13 septembre, avec des autorités civiles, religieuses et des spécialistes. «Jacques-André Haury est un agent provocateur et c’est son grand mérite», dit-il. Tout heureux de s’emparer d’une question qui a du sens à l’occasion des 500 ans de la Réforme. (24 heures)
Même s’ils ont de la peine à reprendre leur souffle après avoir gravi les escaliers du Marché entre la Palud et la Cité, les courageux ne voient que lui en arrivant au sommet: le grand portail de la cathédrale. Construit entre 1515 et 1536, on l’appelle le «portail Montfalcon», du nom des deux derniers évêques de Lausanne, Aymon et Sébastien de Montfalcon. Vitraux, scènes bibliques, statuettes, anges, prophètes, tout en lui fleure bon la fin du Moyen Age et le début de la Renaissance.
...
Sauf que… très peu de choses sont d’origine. C’est ce que montre une exposition à voir à l’Espace Arlaud du 1er septembre au 12 novembre. Intitulée «Déclinaisons gothiques», elle retrace l’histoire de cette porte monumentale, surtout sa reconstruction entre 1889 et 1909. Originaux, moulages, reconstitutions en plâtre, outils, techniques, l’expo présente le travail du sculpteur Raphaël Lugeon, à qui l’on doit le portail d’aujourd’hui.
«A l’abandon»
Le portail Montfalcon a eu un destin difficile. En 1536, à la Réforme, la construction s’arrête, pour ne jamais reprendre. «Au fil du temps, le portail a été plus ou moins laissé à l’abandon», ose Claire Huguenin, l’une des conservatrices du Musée cantonal d’archéologie et d’histoire (MCAH). Avec les siècles et la pluie, le portail se désagrège petit à petit, malgré un rafraîchissement au XVIIIe siècle. «Au XIXe, le portail est clairement dégradé», poursuit Claire Huguenin. Les personnages d’origine sont méconnaissables, parfois sans tête.
Pour lui redonner de l’éclat, les Vaudois confient alors le portail Montfalcon aux bons soins de Raphaël Lugeon. «Une célébrité à l’époque!», rappelle Claire Huguenin. Lugeon moule les sculptures dégradées. A partir de là, il recrée des sculptures en plâtre, mais comme si elles étaient neuves. Pour arriver à un résultat proche de l’original, l’artiste doit réinventer les détails qui manquent, parfois en se trompant. Puis la version définitive, celle que l’on retrouve sur la cathédrale, est sculptée dans du calcaire de Lens.
Pas une copie conforme
«De nombreux débats ont eu lieu à l’époque pour savoir comment le faire et la presse en a beaucoup parlé durant les travaux, souligne Claire Huguenin. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas une copie conforme de l’original du XVIe siècle, mais plutôt une interprétation par Raphaël Lugeon.»
C’est particulièrement clair lorsque l’on voit, côte à côte, les moulages des originaux dégradés et les épreuves en plâtre, censées en représenter l’état d’origine. «Présenter les moulages et les reconstitutions, conclut Claire Huguenin, cela permet de nous interroger sur le regard que nous posons sur l’art médiéval.»

Exposition «Déclinaisons gothiques: le portail Montfalcon de la cathédrale de Lausanne», Espace Arlaud, du 1er septembre au 12 novembre, prix d’entrée: 6 fr., gratuit pour les moins de 16 ans. (24 heures)
Créé: 01.09.2017, 08h25

La restauration du portail Montfalcon de la cathédrale de Lausanne fait ressortir une absence: celle de la statue de Marie, au centre, dont le socle demeure vide. C’est une marque de la Réformation qui détruisit assez systématiquement les statues religieuses afin que les croyants cessent de se prosterner devant elles et de les adorer. Si cet objectif religieux demeure parfaitement justifié, l’iconoclasme systématique des protestants constitue une page sombre de leur histoire, tout aussi choquante que la furie destructrice de Daech à Mossoul, Palmyre et ailleurs.
Les Vaudois d’ailleurs, bien que convertis à la Réforme, ont conservé longtemps leur attachement à Marie, au point qu’ils ont continué à célébrer la Fête de la Dame, le 25 mars, jusqu’au milieu du XIXe siècle.
Il n’est pas question de replacer à l’entrée de notre cathédrale l’antique statue médiévale, disparue depuis longtemps. Mais nous lançons une idée: celle de commander à un artiste contemporain une nouvelle statue de Marie à dresser sur le socle conservé depuis le XVIe siècle. Une statue qui rappellerait à qui a été dédiée, au Moyen Age, «Notre-Dame de Lausanne». Une statue qui affirmerait que la personne de Marie, la femme qui dit oui au projet de Dieu, compte pour tous les chrétiens, protestants y compris. Une statue qui marquerait un geste œcuménique rapprochant les chrétiens de toutes confessions, sans dissimuler l’intervention de la Réforme. M. l’Abbé Christophe Godel, vicaire épiscopal, l’affirmait récemment: «Pour celui qui se dit chrétien, l’œcuménisme fait partie de son identité: il n’est pas une option, mais un devoir.»
Cette œuvre artistique devrait évidemment faire l’objet d’un concours, dans lequel l’Église évangélique réformée vaudoise pourrait jouer un rôle important; aux côtés bien sûr de nos frères catholiques et des milieux spécialisés dans la conservation des monuments historiques. Occasion pour les Réformés de rappeler qu’il existe aussi un art religieux protestant, dont des peintres comme Rembrandt et, chez nous, Robert Rivier ou Eugène Burnand ne sont que quelques exemples.
Au moment où les protestants célèbrent le 500e anniversaire de la Réformation, ce serait symboliquement une façon de manifester que notre cathédrale n’est jamais achevée, à l’image de son engagement au service de Dieu. 

Qu’ils ne se satisfont pas, un demi-millénaire plus tard, d’une place laissée vide. 

Et peut-être de mettre un terme à un combat qui a longtemps et dramatiquement divisé les chrétiens.
La cathédrale de Lausanne, parce qu’elle est un édifice religieux médiéval habité et revisité par la Réformation, a une place particulière dans l’histoire de l’Occident chrétien. A nous Vaudoises et Vaudois de démontrer que cette histoire, cette histoire sainte continue!. (24 heures)
...


«J’ai commis une erreur», reconnaît Jacques-André Haury. Le médecin et ancien député plaidait «pour mettre une nouvelle statue de Marie» à l’entrée de la cathédrale de Lausanne, en décembre dans les colonnes de 24heures. Le socle entre les portes d’entrée est vide. Et cette absence rappelle que «l’iconoclasme systématique des protestants constitue une page sombre de leur histoire.»
Peut-être! mais jamais il n’y a eu de statue de la mère du Christ sur le grand portail de la cathédrale. C’est ce que plusieurs historiens se sont chargés de répondre à Jacques-André Haury. Une statue de la Vierge à cet endroit est un mirage, même si l’édifice s’appelait «Notre-Dame de Lausanne» et qu’il constituait un lieu de pèlerinage marial avant la réforme protestante (il y a d’autres représentations de Marie ailleurs dans la cathédrale).
Mais pourquoi ce socle vide? Pour élucider le mystère, nous sommes descendus dans l’entrepôt lapidaire (la cave aux pierres sculptées) de la cathédrale, avec Claire Huguenin, historienne et archiviste des lieux. «Le sculpteur Raphaël Lugeon qui a rénové le portail à la fin du XIXe a créé ce socle entre les deux portes et il prévoyait effectivement d’y mettre une vierge à l’enfant», explique-t-elle en descendant au lapidaire. La sensibilité protestante de l’époque y a vu un retour du papisme. L’idée a été enterrée.
«Elle ressemble furieusement à une Vierge»
Le sculpteur français réalise alors en 1909 une autre figure de femme tenant l’Evangile dans les mains: elle est appelée «L’Evangile terrassant l’hérésie». Une maquette en plâtre de cette sculpture repose toujours dans le lapidaire. «C’est une allégorie typique du style néomédiéval», commente Claire Huguenin en la présentant. Mais cette sculpture n’a pas non plus trouvé grâce auprès des autorités civiles et religieuses de l’époque. «Il faut dire qu’elle ressemble furieusement à une Vierge», rigole Claire Huguenin. Le trumeau (socle) du grand portail de la «cathé» est donc resté vide depuis 1909. Il y a bien eu un projet de statue du Christ, évoqué plus tard, en 1919. «L’Etat, propriétaire du bâtiment, n’a dit ni oui, ni non», raconte Claire Huguenin. Les discussions ont duré huit ans, sans résultat.
«Les Eglises doivent s'affirmer»
Aujourd’hui, Jacques-André Haury reconnaît son erreur, mais il ne se satisfait pas de ce socle vide: «Je pense que les Eglises doivent s’affirmer car la foi chrétienne, c’est la proclamation de la résurrection du Christ, or un socle vide n’est pas une affirmation.» Il maintient donc sa proposition d’une sculpture de Marie, qui serait réalisée par un artiste contemporain. Jacques-André Haury avait déjà proposé d’ouvrir la cathédrale aux catholiques il y a quinze ans. Serait-il un agent papiste infiltré? «Je suis un vrai protestant attaché à la Réforme, se défend-il, mais je crois que les chrétiens ont tout à faire pour se rapprocher.»
Cette affaire de statue mariale et de socle vide n’a pas manqué d’ouvrir une controverse au sein de l’Eglise évangélique réformée (EERV). Du coup, André Joly, pasteur de la cathédrale, a prévu d’en faire un débat public dans l’édifice, le 13 septembre, avec des autorités civiles, religieuses et des spécialistes. «Jacques-André Haury est un agent provocateur et c’est son grand mérite», dit-il. Tout heureux de s’emparer d’une question qui a du sens à l’occasion des 500 ans de la Réforme. (24 heures) ...


Merci de prier pour les embryons congelés


La Cathédrale pour sauver les embryons. 



Embryon humain sauvé et racheté dans la grande rosace de la cathédrale de Lausanne, vers 2h00, vitrail du moyen-âge, inscription dans le vitrail: Oculos humeris.


SI QUA FATA SINANT ( devise de la Cathédrale de Lausanne, dédiée à sauver les embryons, oculos humeris, dans le vitrail de la rose, à 2 heures...).
Oculos humeris, les yeux de l'épaule, Sichem, la douleur la plus forte, pour racheter tous les embryons St innocents massacrés par milliards, sic, par milliards ( avortements, stérilets chaque mois, FIVETE...)


Révélation faite à saint Bernard de la plaie inconnue de l'Épaule de Jésus-Christ, ouverte par le poids de la Croix 
  
  

Jésus lui dit :. 



« J'eus, en portant la Croix, une plaie profonde de trois doigts et trois os découverts sur l'épaule. Cette plaie qui n'est pas connue des hommes m'a occasionné plus de peine et de douleur que toutes les autres. Mais révèle-la aux fidèles chrétiens et sache que quelque grâce qui me sera demandée en vertu de cette Plaie, leur sera accordée. Et à tous ceux qui, par amour pour elle, m'honoreront chaque jour par trois Pater (Notre Père), Ave  (Je vous salue Marie) et Gloria (Gloire au Père)je pardonnerai les péchés véniels et je ne me souviendrai plus des mortels ; ils ne mourront pas de mort imprévue, à l'heure de leur mort ils seront visités par la bienheureuse Vierge et ils obtiendront encore la grâce et la miséricorde.»



Cette prière et cette dévotion ont été acceptées par le Pape Eugène III.



 Prière :
Très aimé Seigneur, très doux agneau de Dieu,
moi pauvre pécheur,
j'adore et vénère la très sainte Plaie
que Vous avez reçue à l'épaule
en portant au Calvaire la très lourde croix
qui laissa découverts trois os saints,
occasionnant une immense douleur.
Je Vous supplie,
en vertu des mérites de ladite Plaie,
d'avoir pitié de moi en m’accordant
la grâce que je Vous demande ardemment,
en me pardonnant de tous mes péchés
mortels ou véniels,
en m'assistant à l'heure de ma mort
et en me conduisant dans Votre heureux Royaume.
Amen !
    Chapelet des Saintes Plaies de Notre-Seigneur Jésus : << ici >>



                                                                                                                                             ci-dessous...


  



Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant. 


Prof. Jérôme Lejeune




Oculos humeris, significations:

http://ferraye.blogspot.ch/2009/08/vaccins-avec-cellules-souches.html


Nouvelle initiative pour la Vie, le courage de dire oui à l'objection de conscience

Pour nous, cette nouvelle initiative pour la Vie n'est pas parfaite mais elle va au moins réveiller quelques consciences.


Le lien social de ces drames est clair. Ces abominations font souffrir surtout des femmes que nous ne jugeons pas.


Nous souffrons avec elles.


Les abus financiers des cupides poussent au désespoir de plus en plus de victimes.


Le lien est subtil mais réel.


http://ferraye.blogspot.com/2010/01/invitation-officielle-de-evo-morales.html


Pourquoi ces bonus en millions et même en milliards ?, sic, en milliards pour les banquiers de New-York ?


Pour acheter leurs consciences.


Ils savent que la cupidité tue des millions d'innocents, sous leurs fenêtres.


Faut-il laisser tout ce système infernal continuer ces sacrifices de petites victimes innocentes ?



Démographie : la chute a commencé


Courbe sans tenir compte d'une pandémie.par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement ou TFR en dessous de 2 ) qui sont à la baisse dans le monde entier, et presque partout en dessous de 2,2, taux minimum actuel pour maintenir notre civilisation.
La chute commence déjà dans les pays "riches" et en Russie...
Tout peut s'effondrer très vite...y compris l'immobilier et les "valeurs" les plus sûres...


Pour une objection de conscience.


Seule une réduction du nombre de prestations d'une part, et en récompensant les comportements responsables d'autre part, permettront d'avoir une influence durable et concrète des coûts de la santé.

On arrive à des abus odieux. Le conseil fédéral parle d'un coût "minime" des avortements ( 20 millions de Fr ). Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle sait qu'il est vivant.



Nous sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois des sommes de plus en plus élevées pour des "soins" horribles, à des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse; nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d'amende ( pas d'objection de conscience permise), de payer des soins qui n'en sont pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui désirent être des femmes), l'avortement tellement banalisé (50 000 par année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les primes complémentaires des riches par les pauvres).


Les avorteurs mentent pour gagner beaucoup d'argent, leurs chiffres sont faux, leur cynisme absolu, leurs valeurs négatives, ils détruisent la Suisse qui n'a plus d'enfants.


L'amour de l'argent est la racine de tous les maux.




François de Siebenthal: U.E. La racine de tous les maux








François de Siebenthal: François dénonce le système économique ...








La pédophilie et l'amour de l'argent qui est la racine de tous les maux.








"L'amour de l'argent est la racine de tous les maux" a déclaré le ...








Joseph & Michel Ferraye pour Sa Justice: Gouverner, c'est prévoir ...






L'initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale est modifiée comme suit:

Art. 117, al. 3 (nouveau)

3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l'interruption de grossesse et la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l'assurance obligatoire.


Art. 117 Abs. 3 (neu)

3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.


Attention à la désinformation. exemples tout en bas de ce mail....


La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous "gratuits".

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d'assurances...


Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.


La plupart des vaccins viennent d'avortements ...

Pour une objection de conscience.


Cette action a été rendue publique depuis des mois, preuves ci-dessous...29.09.2009...
Mammainfo: Avortements: Qui doit les payer?


Interview avec le Conseiller national Peter Föhn


Au cours de la session d'été des Chambres Fédérales, le schwytzois Peter Föhn, Conseiller national, est intervenu sur le thème du financement de l'avortement et des primes des caisses-maladie. Sa motion, déposée le 10 juin 2009 au Conseil national, exige que les avortements ne soient plus couverts par l'assurance de base obligatoire. Mamma-Info a interviewé Peter Föhn.


Mamma-Info : Monsieur Föhn, de quoi retourne-t-il dans votre motion ?


Peter Föhn : Pour moi, il s'agit surtout de sensibiliser la population au problème du financement de l'avortement, et de lui faire prendre conscience que les interruptions de grossesse sont financées par l'assurance-maladie de base. Les gens ne le savent pas. Et il faut alléger le poids supporté par les caisses-maladie.


La réduction des coûts du secteur santé est-elle votre unique motivation ?


Les coûts relatifs aux interruptions de grossesse ne constituent qu'une part réduite du sinistre affectant les caisses. Mais il faut bien commencer d'agir quelque part. Par conviction, je répugne à cofinancer l'avortement, cet acte inadmissible. Pour moi donc, ce sont tout particulièrement aussi des motifs éthiques qui importent.


S'il y avait moins d'interruptions de grossesse, il faudrait aussi moins de traitements psychologiques postérieurs. Ces traitements intervenant après un avortement ne font nulle part l'objet de statistiques. Mais sans aucun doute, ils existent en très grand nombre.


En conséquence, voyez-vous dans cette motion une possibilité de réduire le nombre d'avortements ? Tous les ans, en effet, le nombre des enfants avortés est, en Suisse, de l'ordre de la population d'une petite ville.


La réduction du nombre d'interruption de grossesse doit être un objectif que tout le monde peut soutenir. Si les personnes concernées doivent elles-mêmes subvenir à la dépense, il y aura moins d'avortements.


Une Conseillère cantonale de St-Gall, Helga Klee, dit ceci au sujet de votre motion : « Avec cela, le Conseiller national Föhn veut dissuader les femmes d'avoir recours à une interruption de grossesse. (…) Et il lie même cette exigence au prétexte d'une économie de 20 millions de francs par an. (…) Le calcul n'est visiblement pas son fort, car une naissance revient jusqu'à dix fois plus cher qu'un avortement. » Maintenant, qui sait le mieux compter ? Cette Conseillère cantonale, ou vous-même ?


En calcul, qu'elle n'essaie pas de m'en faire accroire. Les gens qui viennent au monde paient, durant leur vie, beaucoup plus, en terme de primes d'assurance (et même aussi d'impôts), que ce qu'a coûté leur naissance. Les morts ne paient rien. De surcroît, chaque enfant mis au monde apporte, non seulement à la famille, mais aussi à l'état, tant de bien qu'on ne peut en aucun cas l'évaluer en monnaie.


La Conseillère cantonale se dit persuadée que la conséquence de votre exigence sera que pour avorter, beaucoup plus de femmes s'adresseraient à des charlatans et que les coûts induits seraient de beaucoup supérieurs aux économies escomptées.


Je ne partage pas cette opinion. De surcroît, des assurances complémentaires peuvent toujours être contractées en plus de l'assurance de base. On pourrait alors faire une assurance complémentaire également pour les interruptions de grossesse.


Que dites-vous du reproche selon lequel sous couvert d'une éventuelle économie, vous vous opposeriez au référendum du 2 juin 2002 par lequel le suffrage populaire suisse a clairement dit oui à la solution des délais ?


Dans ma motion, il ne s'agit pas de mettre en question le régime des délais. A l'époque, on n'a pas demandé au peuple qui doit payer les interruptions de grossesse. La seule et unique question posée était de savoir si elles devaient être dépénalisées ou non.


Un dernier argument de l'adversaire : Les femmes doivent, soutenues par un conseil médical, décider elles-mêmes de leur vie, car l'autodétermination et la responsabilité individuelle sont notre bien le plus précieux.


Lors d'une interruption de grossesse, c'est-à-dire lors du meurtre d'une vie humaine, la limite de la responsabilité individuelle est largement dépassée.


Normalement, quiconque veut agir en responsabilité individuelle et en autodétermination est également prêt-à-porter lui-même les coûts issus de son acte. Lors d'un avortement, ceci n'est manifestement pas le cas. Quelles possibilités voyez-vous pour faire sentir concrètement aux personnes concernées la nécessité qui s'impose en l'occurrence ?


C'est l'objectif majeur de ma motion. Il serait bon qu'une large discussion publique ait lieu à ce sujet. La prévention elle aussi devrait être améliorée : premièrement, il faut expliquer aux gens à quel moment la vie commence. Il faut faire prendre conscience du fait que la vie ne commence pas après la 12ème semaine, mais que, avant déjà, l'embryon est une vie humaine à part entière. Deuxièmement, il faut parler du fait qu'après une interruption de grossesse, beaucoup de femmes souffrent d'énormes troubles psychologiques qu'elles ne peuvent quasiment plus surmonter. Troisièmement, pour le bien de la vie humaine, l'adoption devrait faire l'objet d'une simplification et d'une plus grande prise de conscience.


Interview : Gisela Bührer-Dinkel www.mamma.ch


Mille Mercis!





Un autre sujet à discuter franchement et calmement pour retrouver l'unité !






Les § 2438 et 2449 du Catéchisme de 1992 cité par le pape François, auxquels il faut ajouter le § 2269 ("Les trafiquants, dont les pratiques usurières et mercantiles provoquent la faim et la mort de leurs frères en humanité, commettent indirectement un homicide"), condamnent clairement l'usure ...









Le dernier enseignement détaillé sur l'usure est l'encyclique Vix pervenit.


Votre défi, aidez-nous à trouver le texte " Vix pervenit" envoyé par le Pape Grégoire XVI, ( 16 ) à tous les évêques du monde en 1836.

Voici ci-dessous le texte de Benoît XIV écrit en 1745.






Texte français en pdf





https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTzkycXl6bkI4NTNWZlJCQmFGOE5adU1YR2dj/view



L’ usure, l'écart entre les prix et le pouvoir d'achat







L’ écart entre les prix et le pouvoir d'achat est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts composés exponentielles, nous voulons au contraire le remplir par la création d'argent nouveau sans dettes à travers notamment monnaie-pleine, des dividendes pour tous et des escomptes ou rabais compensés pour les producteurs. ( Vollgeld ).






Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires ( des milliers de milliards, sic ) en vue de gaspillages honteux et polluants...






Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation.






Libérons-nous des chaînes de la rareté...






Pour être clair, nous soulignons aussi que l'argent pour la production sous un système de monnaie-pleine ou créditiste continuerait être de l'argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.






C'est seulement le dividende et l'escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l'écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l'automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.






VIVE LA ROBOLUTION ou ROBOT-SOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.






Créons ces masses pour la paix sociale et la civilisation.






Libérons-nous des chaînes de la rareté... Unissons-nous... avec le lien ci-dessous...






https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzZjV2eHZjOUNCNGtWOS1WZFRNSnZGaEY5UjY4/view?usp=sharing





http://desiebenthal.blogspot.it/2017/01/l-ecart-entre-les-prix-et-le-pouvoir.html


Deux extraits du Catéchisme catholique de Jean-Paul II:

2438 Diverses causes, de nature religieuse, politique, économique et financière confèrent aujourd'hui "à la question sociale une dimension mondiale " (SRS 9). La solidarité est nécessaire entre les nations dont les politiques sont déjà interdépendantes. Elle est encore plus indispensable lorsqu'il s'agit d'enrayer les " mécanismes pervers " qui font obstacle au développement des pays moins avancés (cf. SRS 17 ; 45). Il faut substituer à des systèmes financiers abusifs sinon usuraires (cf. CA 35), à des relations commerciales iniques entre les nations, à la course aux armements, un effort commun pour mobiliser les ressources vers des objectifs de développement moral, culturel et économique

2449 Dès l'Ancien Testament, toutes sortes de mesures juridiques (année de rémission, interdiction du prêt à intérêt et de la conservation d'un gage, obligation de la dîme, paiement quotidien du journalier, droit de grappillage et de glanage) répondent à l'exhortation du Deutéronome : " Certes les pauvres ne disparaîtront point de ce pays ; aussi je te donne ce commandement : tu dois ouvrir ta main à ton frère, à celui qui est humilié et pauvre dans ton pays " (Dt 15, 11). Jésus fait sienne cette parole : " Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous : mais moi, vous ne m'aurez pas toujours " (Jn 12, 8). Par là il ne rend pas caduque la véhémence des oracles anciens : " Parce qu'ils vendent le juste à prix d'argent et le pauvre pour une paire de sandales ... " (Am 8, 6), mais il nous invite à reconnaître sa présence dans les pauvres qui sont ses frères (cf. Mt 25, 40) :


Il faut substituer à des systèmes financiers abusifs sinon usuraires (cf. CA 35),

interdiction du prêt à intérêt ...voir les références qui font penser à une guerre nucléaire...Amos 8,6






L'initiative fédérale suisse www.monnaie-pleine.ch lutte contre ces autres formes d'usures dévorantes et voraces...

Monnaie-pleine et la BNS

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M. Jordan, directeur de la Banque Nationale Suisse,  a répondu l’année dernière aux actionnaires de la BNS:

" qu’il doit obéir à la constitution et aux lois, notamment monétaires et étudier leurs effets de manière ouverte ! ... Et que tout le monde sait comment les banques commerciales créent les francs suisses, un pour un, par exemple un franc UBS pour un franc suisse ! " 

Et bien, ce n’est pas le cas. 

La discussion à la TV de nos deux Sergio, Ermotti, PDG UBS et Sergio Rossi, Prof. À Fribourg, le prouve. 


En Suisse, la plupart ne savent pas que ce sont les crédits qui créent la monnaie des dépôts. Les politiques de rigueur des cantons détruisent en fait la monnaie, même l’équipe de Trump ne le comprend pas.  

La Constitution fédérale (dès 1891 l’article 36, dit « La monnaie relève de la compétence exclusive de la Confédération »). aujourd’hui l’article 99, toujours en vigueur, mais pas respecté... 

1 La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d'émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération….

Les banques commerciales ne devraient pas créer et détruire des francs suisses, la Constitution n'est pas respectée, ni son esprit, ni les considérants qui interdisaient à toutes les banques commerciales d'émettre leurs propres billets ( ce qu'ils font en fait à chaque crédit de facto, en catimini... ), nous sommes face à des abus inadmissibles, des vols qualifiés en bandes organisées de notre souveraineté monétaire, pour plus de 3 billions francophones, 3 suivi de douze (12) zéros, sic, des milliers de milliards, ou des millions de millions…Distribuons l’abondance, au moins le nécessaire, maintenant techniquement possible, à tous.
Le total du bilan des comptes suisses et étrangers des banques en Suisse en 2015... est de 3'026’125,8 en millions, sans compter et les nouvelles technologies, notamment les nano-transactions, 

Source: selon la bns https://data.snb.ch

Le bilan de la seule BNS se rapproche de mille milliards pour 8 millions d'habitants, sic, alors que celui de la FED est proche de 4'000 milliards pour 324 millions d'habitants  et qu'ils veulent le réduire, au risque d'une dépression mondiale gravissime. La seule solution est monnaie-pleine fédéraliste à la suisse, en tenant compte des 3C suisses, les Citoyens en familles et Communes, les Cantons et la Confédération. 
Avec monnaie-pleine, la vérité est faite, elles ne seront dès lors plus autorisées à créer et détruire leur propre argent; elles ne pourront prêter que l'argent-titre qu'elles auront reçu des épargnants, ou, en cas de besoin, de la Banque nationale. 

Commentaires de Maurice Allais, prix Nobel d’économie. 
« Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. » 

"Les bonus élevés sont une bêtise", selon Johann Schneider-Ammann, Conseiller féd. 

M. T. Jordan a dit l’année passée qu’il ne voulait pas de débat moral, sic… Qu’il fallait faire comme les autres, à l’international… Et bien NON, nous ne voulons pas de ça, pas de juges étrangers. Nous ne sommes pas naïfs, ils organisent des guerres atroces depuis des millénaires. 
La vocation de la Suisse est morale, la paix, la neutralité. Nous sommes un Sonderfall, un cas spécial. Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon et moral. 
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. 
Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients... En résumé, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux... Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales ( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )... Le dernier rapport annuel de la BNS montre que les autorités commencent à comprendre sur quel volcan on est tous assis et admettent que seulement en 2019, si tout va bien, nous pourrions mettre en œuvre leurs recommandations de prudence ! Et Trump veut changer la donne !

Les lois suisses doivent appliquées ( neutr., poll.). Mervyn King, PDG de la Banque d’Angleterre, a écrit que le système bancaire est le pire imaginable. 

Son affirmation est fausse, le système communiste est pire...

Nous voulons de vrais francs suisses, mais pas dans un système trop centralisé, ce qui serait encore pire ! 

On veut exactement ce que beaucoup pensent être déjà la réalité aujourd’hui, notamment que seule la Banque nationale produise les francs suisses, y compris tous les francs suisses de l’argent électronique et des crédits, distribués à tous, en décentralisation maximum. 

Conclusion : 

« Dans l'histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot », selon Victor Hugo« ... encore faut-il qu'elle le dise ». Selon Denis de Rougemont dans son livre... La Suisse ou l'Histoire d'un Peuple heureux.  

Nous le disons maintenant, sinon, on risque une guerre nucléaire atroce...  La Suisse est pour la paix depuis des siècles, inspirons-nous de St Nicolas de Flüe dont on fête les 600 ans cette année et qui est représenté dans le palais fédéral et notre devise suisse. Un pour tous, tous pour un...

 Restons donc vigilants et réclamons cette transparence à la suisse, démocratique et juste. 
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