Le Manoir de Ban au-dessus de Vevey est connu comme propriété de Charlie «Charlot» Chaplin et sa famille.
Il s'y est installé en janvier 1953 et y vécut heureux jusqu'à sa mort survenue en décembre 1977.
Les propriétaires actuels du Manoir de Ban et les instigateurs du Chaplin's Museum, qui y a ouvert il y a un an, ont commandé un livre sur la riche histoire du domaine.
Les textes de Naissance d'un Paradis - Le Manoir de Ban relatent la riche histoire du Manoir de Ban, de ces différents propriétaires, «tous saisis par la beauté paradisiaque des lieux au point de décider d'en faire leur éden», résume Pierre Smolik.
Naissance d'un Paradis - Le Manoir de Ban Ouvrage bilingue français-anglais écrit par Pierre Smolik. Editions Call Me Edouard. 296 pages. 45 francs. (24 heures)
Charlie Chaplin était pour une monnaie pleine et pour une vraie démocratie économique : " Au nom de la démocratie, unissons-nous tous !"
La Suisse aura le dernier mot dans l'histoire selon Victor Hugo.
On l'a fait passer pour communiste alors qu'il était pour le crédit social, une forme de monnaie-pleine !
En fait, il fait fortune car il suit les conseils de Clifford H. Douglas, connu pour avoir créé le concept de Crédit social et promoteur du revenu de base inconditionnel
En 1952, Charlie Chaplin et sa famille retournent à Londres pour promouvoir le nouveau long métrage, Les Feux de la rampe.
Profitant de l'occasion, le sénateurJoseph McCarthy lui interdit de retourner en Amérique, en supprimant son visa 10.
Il renonce alors à sa résidence aux États-Unis et installe sa famille en Suisse, à Corsier-sur-Vevey au Manoir de Ban, jusqu’à la fin de ses jours.
En 1954, il donne deux millions de Francsà l'Abbé Pierre et à Emmaüs, soit environ 40 500 euros (en valeur 2010), à la suite de l'appel de 1954. Il déclare à cette occasion : « je ne les donne pas, je les rends. Ils appartiennent au vagabond que j'ai été et que j'ai incarné. »11
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9dit_social
Il renonce alors à sa résidence aux États-Unis et installe sa famille en Suisse, à Corsier-sur-Vevey au Manoir de Ban, jusqu’à la fin de ses jours.
En 1954, il donne deux millions de Francsà l'Abbé Pierre et à Emmaüs, soit environ 40 500 euros (en valeur 2010), à la suite de l'appel de 1954. Il déclare à cette occasion : « je ne les donne pas, je les rends. Ils appartiennent au vagabond que j'ai été et que j'ai incarné. »11
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9dit_social
http://www.youtube.com/watch?v=GnKgZ0tZvfI
en anglais, encore mieux:
http://www.youtube.com/watch?v=QcvjoWOwnn4
Le film date d'avant guerre et pourtant lorsque l'on écoute ce discours, c'est vraiment d'actualité après toutes ses années. Un message fort en émotion qu'il faudrait faire diffuser au monde entier.
"Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n'est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible ; juifs, chrétien, païen, blanc et noir. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi fait. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous à sa place et notre terre est bien assez riche elle peut nourrir tous les êtres humains, nous pouvons tous avoir une vie belle est libre, mais nous l'avons oublié.
L'envie a empoisonné l'esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développer la vitesse pour nous enfermer en nous-même. Les machines qui nous apporte l'abondance nous laisse dans l'insatisfaction, notre savoir nous a fait devenir cynique, nous sommes inhumain à force d'intelligence.
Nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d'humanité, nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines la vie n'est plus que violence et tout est perdu.
Les avions, la radio nous ont rapproché les uns des autres, ces inventions ne trouverons leur vrai sens que dans la bonté de l'être humain, que dans la fraternité, l'amitié et l'unité de tous les Hommes.
En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d'hommes de femmes et d'enfants désespérés, victime d'un système qui torture les faibles et emprisonne les innocents. Je dis à tous ceux qui m'entendent, ne désespérez pas, le malheur qui est sur nous n'est que le produit éphémère de l'avidité, de l'amertume de ceux qui ont peur des progrès qu'accompli l'humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront et le pouvoir qu'il avait pris au peuple, va retourner au peuple et tant que les hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr.
Soldat, ne vous donner pas à ces brutes, à une minorité qui vous méprise et fait de vous des esclaves en régiment toute votre vie et qui vous dit ce qu'il faut faire et ce qu'il faut penser qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canon et qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains. Ces hommes machine avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines, vous n'êtes pas des esclaves, vous êtes des Hommes. Des Hommes avec tout l'amour du monde dans le cœur, vous n'avez pas de haine sinon pour ce qui est inhumain, ce qui n'est pas fait d'amour. Soldat, ne vous battez pas pour l'esclavage mais pour la liberté. Il est écrit dans l'évangile selon Saint Luc ; le royaume de Dieu est dans l'être humain, pas dans un seul humain ni dans un groupe d'humain mais dans tous les humains. En vous, vous le peuple qui avez le pouvoir. Le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur, vous le peuple, en avez le pouvoir. Le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure. Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir, il faut tous nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain, qui donnera à chacun l'occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et la vieillesse, la sécurité. Ces brutes vous ont promis toutes ces choses, pour que vous leur donniez le pouvoir, ils mentaient, ils n'ont pas tenu leurs merveilleuses promesses, jamais ils ne le feront, les dictateurs s'affranchissent en prenant le pouvoir mais ils font un esclave du peuple. Alors il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses, il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciale, pour en finir avec l'avidité avec la haine et l'intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison. Un monde où la science et le progrès mèneront tous les Hommes vers le bonheur. Soldats, au nom de la démocratie, unissons-nous tous !"
“Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd'hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd'hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd'hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j’ai découvert… l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles.”
Charlie Chaplin
Chaplin, Charlie, My Autobiography, Simon & Schuster, 1964
Charlie Chaplin and Social Credit
Most people have heard of Charlie Chaplin
(1889-1977), probably the most popular screen
comic of all times with his character of the tramp
that captivated audiences all over the world. But
did you know that Chaplin was in favor of Douglas's
Social Credit? He mentioned it himself in
his autobiography, published in 1964:
"During the filming of City Lights, the stock
market crashed. Fortunately, I was not involved
because I had read Major C. H. Douglas's Social
Credit, which analysed and diagrammed our
economic system... I was so impressed with
his theory that in 1928, I sold all my stocks and
bonds, and kept my capital fluid."
On another page, Chaplin wrote: "I was discussing
Major Douglas's book, Economic Democracy,
and said how aptly his credit theory
might solve the present world crisis."
Source:
[PDF]
"In God's family, no one ought to go without the necessities of life"
Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Version HTML
Social Credit and the Kingdom of God. By Eric D. Butler 4 to 7. Charlie Chaplin and Social Credit. 6. Full employment is outmoded. JP II ...
www.michaeljournal.org/english-june-july-august-06.pdf - Pages similaires - À noter
page 6....
Further Reading
Chaplin, Charlie, My Autobiography, Simon & Schuster, 1964More:
Chaplin also had a genius for many things besides filmmaking. According to his biographer, David Robinson, "he was particularly fascinated by economics."
After reading "Social Credit," by Major H. Douglas, Chaplin "was so impressed by its theory of the direct relationship of unemployment to failure of profit and capital" that he took growing U.S. unemployment as a warning and "in 1928 turned his stocks and bonds into liquid capital, and so [was] spared at the time of the Wall Street crash" of 1929.
In "Modern Times," which he began filming in 1933, Chaplin anticipated the droll humor of Beckett's "Waiting for Godot." Two tramps on a park bench solemnly discuss the world economic crisis and their fears about going off the gold standard: "This means the end of our prosperity–we shall have to economize."
In the 1930s and '40s, the protean artist became a target for ultraconservatives who reviled his morals–all four of Chaplin's wives were teenagers when he married them, including two who were 16–as well as his left-wing politics.
During the McCarthy period, while on a trip to London for the 1952 world premiere of "Limelight" with his fourth wife, Oona (the daughter of Eugene O'Neill), and their children–the 63-year-old Chaplin was barred by the U.S. attorney general from reentering the country. (He subsequently moved to Vevey, Switzerland, but returned in triumph in 1972, invited back by the Film Society of Lincoln Center in New York.)
Many of the pictures in the Port's mini-retrospective, "Between Laughter and Tears," are readily seen on video. ("Limelight," incidentally, has a scene with Buster Keaton, the only time the two greatest comedians of silent pictures appeared together, Robinson notes, "and the only time since 1916 that Chaplin had worked with a comic partner.")
But this is a chance to catch Chaplin where he truly belongs–in a movie house on a screen that offers the proper treatment of his larger-than-life vitality and pathos.
http://articles.latimes.com/1998/apr/02/entertainment/ca-35090
Social Credit - Wikipedia, the free encyclopedia
- [ Traduire cette page ]
Names associated with Social Credit include Charlie Chaplin, William Carlos Williams, Ezra Pound, T. S. Eliot, Herbert Read, Aldous Huxley, Storm Jameson,...