Un banquier suisse explique l'arnaque de la création monétaire !
Bonjour, Bonsoir,
Je suis vraiment désolé du temps d’attente qui y a u pour que je puisse enfin continuer à faire vivre cette page, mais la vie ne va pas toujours comme on le veut!!
Je profite d'avoir un pc à prêter pour laisser encore une vidéo pour qu'on puisse apprendre encore un peut plus le fonctionnement du monde dans lequel nous vivons tou-te-s...
Cette vidéo parle de l'arnaque bancaire que nous subissons tou-te-s, c'est long et difficile à bien comprendre, car on nous a trompé depuis notre tendre enfance sur le fonctionnement des banques!
Donc ce n'est pas en regardant une vidéo qu'on peut arriver à comprendre...
Mais cette vidéo est un bon début, ici, par-exemple, on comprend que le troc proprement dit n'a jamais existé!!!
Je vous laisse en même temps une conférence de cet ancien directeur de la banque de Suisse pour comprendre le mieux possible le système bancaire... parce que cela à un impacte direct sur nos vies!!!
Première partie : https://www.youtube.com/ watch?v=dmwtBcU0qtA
Deuxième partie : https://www.youtube.com/ watch?v=B53BSwl15xc
Si vous avez envie, j'ai une multitude de vidéo sur le système bancaire, demandez moi dans les commantaire de cette vidéo et je vous les envoie en vous répondant à votre commentaire.
N'oublions pas que l'on sait uniquement ce que l'on veut que l'on sache et que nul n'est plus sourd que celui qui ne veut pas entendre...
Que les étoiles brillent au-dessus de chacun d'entre vous qui lisez ces quelques mots et qui regardez ces vidéos... UBUNTU :)
PS : N'oubliez pas de cliquer sur le nom de la page pour voir toutes les vidéos de celle-ci... ;)
Et surtout passons-nous ces vidéos entre nous (partageons) pour que nous soyons nombreux à savoir, ainsi nous seront nombreux à agir en conséquence!... :)
Je suis vraiment désolé du temps d’attente qui y a u pour que je puisse enfin continuer à faire vivre cette page, mais la vie ne va pas toujours comme on le veut!!
Je profite d'avoir un pc à prêter pour laisser encore une vidéo pour qu'on puisse apprendre encore un peut plus le fonctionnement du monde dans lequel nous vivons tou-te-s...
Cette vidéo parle de l'arnaque bancaire que nous subissons tou-te-s, c'est long et difficile à bien comprendre, car on nous a trompé depuis notre tendre enfance sur le fonctionnement des banques!
Donc ce n'est pas en regardant une vidéo qu'on peut arriver à comprendre...
Mais cette vidéo est un bon début, ici, par-exemple, on comprend que le troc proprement dit n'a jamais existé!!!
Je vous laisse en même temps une conférence de cet ancien directeur de la banque de Suisse pour comprendre le mieux possible le système bancaire... parce que cela à un impacte direct sur nos vies!!!
Première partie : https://www.youtube.com/
Deuxième partie : https://www.youtube.com/
Si vous avez envie, j'ai une multitude de vidéo sur le système bancaire, demandez moi dans les commantaire de cette vidéo et je vous les envoie en vous répondant à votre commentaire.
N'oublions pas que l'on sait uniquement ce que l'on veut que l'on sache et que nul n'est plus sourd que celui qui ne veut pas entendre...
Que les étoiles brillent au-dessus de chacun d'entre vous qui lisez ces quelques mots et qui regardez ces vidéos... UBUNTU :)
PS : N'oubliez pas de cliquer sur le nom de la page pour voir toutes les vidéos de celle-ci... ;)
Et surtout passons-nous ces vidéos entre nous (partageons) pour que nous soyons nombreux à savoir, ainsi nous seront nombreux à agir en conséquence!... :)
17 027 vues
22 commentaires
Commentaires
Gerard Gidmoz Malheureusement ce banquier se trompe sur l'analyse qu'il fait de la création monétaire qu'il fait à chaque fois qu'un de ses clients obtient un prêt bancaire. La monnaie de sa banque n'est pas créée "à partir du néant!" . La monnaie est une promesse. Une promesse commerciale ordinaire peut se vendre et peut s'acheter. Une promesse se comporte donc comme un bien qui a de la valeur. Ce bien n'est pas du néant!!!
En effet, en échange de cet argent créé par sa banque, le client peut demander le versement de monnaie de banque centrale. La promesse que fait sa banque a de la valeur. Ce banquier a donc tort de dire que sa monnaie serait créée à partir de rien.
GérerEn effet, en échange de cet argent créé par sa banque, le client peut demander le versement de monnaie de banque centrale. La promesse que fait sa banque a de la valeur. Ce banquier a donc tort de dire que sa monnaie serait créée à partir de rien.
L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Ex nihilo, que veut dire ce mot??? (se n'est pas moi qui ai inventé ce mot???)
La vérité est tellement dingue, qu'on a du mal à y croire!!!...Voir plus
GérerLa vérité est tellement dingue, qu'on a du mal à y croire!!!...Voir plus
L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Pour un bon début, je te conseil de voir cette vidéo ci : https://www.youtube.com/watch?v=Bfm0OyMzHcM
GérerYOUTUBE.COM
Gerard Gidmoz Voilà! a la suite de votre remarque sur le "ex nihilo", j'ai modifié en reprenant le terme exact de la vidéo. Ce terme exact de la vidéo est "à partir du néant". Je maintiens que cette monnaie versée par la banque est une promesse et que cette promesse est un bien qui a de la valeur et qui peut se vendre et s'acheter. Je maintiens donc qu'il est inexact de prétendre que la banque créerait de la monnaie à partir du néant!
GérerAlain Vauclair François de Siebenthal
La remarque de M. Gerard Gidmoz est elle correcte? Auriez vous des précisions à apporter afin d'éclaircir votre jugement et le sien?
Merci
GérerLa remarque de M. Gerard Gidmoz est elle correcte? Auriez vous des précisions à apporter afin d'éclaircir votre jugement et le sien?
Merci
François de Siebenthal Alain Vauclair Kft MaStarr Le fait est que lorsque la banque crée un dépôt contre un crédit, elle crée un pouvoir d'achat ex nihilo (pire qu' un faux- monnayeur qui prêterait l'argent imprimé par lui car elle exige des intérêts composés et détruira cet argent lors du remboursement) par lequel un emprunteur va prendre sur le marché des biens, des facteurs ou des actifs sans avoir rien offert au préalable (sa production et ses revenus) pour reprendre une image chère à jacques Rueff. Elle dilue l'argent existant, vole les épargnants et modifie donc la dépense globale, les prix relatifs, et donc les indicateurs de profitabilité, ainsi que les taux d'intérêt, faussant par là même le fonctionnement même des économies de marché. Le mécanisme du crédit bancaire est donc au coeur de la dynamique conjoncturelle à la hausse et à la baisse (comme l'exemple d'aujourd'hui le montre une fois de plus) et la cause essentielle des crises économiques et financières.La banque fait aussi des prêts blanco, sans garanties, http://desiebenthal.blogspot.ca/.../argent-du-neant-ex...
GérerAlain Vauclair Merci pour ces précisions. :-)
GérerGerard Gidmoz Alain Vauclair Kft MaStarr Dans un système de banque centrale, il y a deux sortes de monnaies. La monnaie de banque centrale, émise par la banque centrale. Et il y a les monnaies de banque. Chaque banque émet sa monnaie, sa monnaie de banque. Une unité de monnaie UBS, par exemple, sera la promesse de l'UBS de verser un franc de monnaie centrale.
Cette monnaie de banque existe, par exemple, dans les comptes des clients UBS. Cela chagrine les puristes de voir la confusion de dénomination entre les deux monnaies. En effet les relevés de comptes des clients de l'UBS parlent de francs BNS, de francs CHF, et non pas de franc UBS.
Une monnaie de banque est une promesse quasi commerciale. Elle est la promesse de verser de la monnaie de banque centrale. La survie de chaque banque dépend, chaque matin, du bon vouloir de la banque centrale de lui prêter de l'argent de monnaie centrale. Le système de banque centrale est un système dans lequel les banques sont aux ordres de la banque centrale puisque leur survie en dépend.
GérerCette monnaie de banque existe, par exemple, dans les comptes des clients UBS. Cela chagrine les puristes de voir la confusion de dénomination entre les deux monnaies. En effet les relevés de comptes des clients de l'UBS parlent de francs BNS, de francs CHF, et non pas de franc UBS.
Une monnaie de banque est une promesse quasi commerciale. Elle est la promesse de verser de la monnaie de banque centrale. La survie de chaque banque dépend, chaque matin, du bon vouloir de la banque centrale de lui prêter de l'argent de monnaie centrale. Le système de banque centrale est un système dans lequel les banques sont aux ordres de la banque centrale puisque leur survie en dépend.
Gerard Gidmoz François de Siebenthal"un pouvoir d'achat ex nihilo"
Je suis en désaccord avec votre analyse de la création monétaire par une banque. Vous maintenez, sans aucun argument, sans aucun raisonnement, sans aucune réfutation de mes arguments, votre affirmation de création de monnaie prétendue "ex nihilo". Pourtant je vous montre, à l'évidence, que cette création est une promesse quasi commerciale de la banque. Il est inexact de soutenir qu'une promesse commerciale de la banque serait "nihilo", ne serait rien!
GérerJe suis en désaccord avec votre analyse de la création monétaire par une banque. Vous maintenez, sans aucun argument, sans aucun raisonnement, sans aucune réfutation de mes arguments, votre affirmation de création de monnaie prétendue "ex nihilo". Pourtant je vous montre, à l'évidence, que cette création est une promesse quasi commerciale de la banque. Il est inexact de soutenir qu'une promesse commerciale de la banque serait "nihilo", ne serait rien!
Gerard Gidmoz François de SiebenthalJ'ajoute que le principe du système de banque centrale est critiquable et que ces critiques sont connues depuis plus de 150 ans. Mais la critique que vous faite, en soutenant une malhonnêteté, est une critique mal fondée et inexacte puisque cette malhonnêteté n'existe pas. Les conséquences économiques que vous exposez n'existent pas non plus.
GérerFrançois de Siebenthal êtes-vous aveugle devant les crises à répétition et les dépressions dues à ces vols systématiques des plus faibles ? êtes-vous banquier ou actionnaire ou riche et aveuglé ? Vous voyez le contraire de la réalité, ce sont les banques commerciales qui commandent les banques centrales dans les faits et volent les 99 %, Maurice Allais, prix Nobel, a plus de poids que votre vision partiale et qui se gargarise de mots que vous ne comprenez pas bien et vous ne lisez même pas les liens que nous nous donnons la peine de vous donner http://desiebenthal.blogspot.ca/.../banques-centrales...
GérerFrançois de Siebenthal tous volés http://desiebenthal.blogspot.ca/.../revenu-de-base-votons...
GérerFrançois de Siebenthal PME détruites, not. en Italie http://desiebenthal.blogspot.ca/.../m3-nest-plus-publie...
GérerFrançois de Siebenthal UBS, une 3ème faillite ? http://desiebenthal.blogspot.ca/.../ubs-une-3eme-faillite...
GérerFrançois de Siebenthal Le pire système imaginable selon M. King http://desiebenthal.blogspot.ca/.../monnaies-et...
GérerFrançois de Siebenthal "Il existe de nombreuses manières d'organiser un système bancaire, celle que nous utilisons aujourd'hui est la pire de toutes." - Mervin King, gouverneur de la Banque d'Angleterre du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2013
La Banque Centrale d'Angleterre, dans son dernier bulletin sorti le 14 mars 2014, démonte consciencieusement les idées fausses qui sont encore largement enseignées dans de nombreux cours d'économie à propos de la monnaie, et les remplace par une description complète de la réalité des faits.
http://desiebenthal.blogspot.ch/.../banques-la-pire-des...
GérerLa Banque Centrale d'Angleterre, dans son dernier bulletin sorti le 14 mars 2014, démonte consciencieusement les idées fausses qui sont encore largement enseignées dans de nombreux cours d'économie à propos de la monnaie, et les remplace par une description complète de la réalité des faits.
http://desiebenthal.blogspot.ch/.../banques-la-pire-des...
Gérer
Gerard Gidmoz François de Siebenthal"les crises à répétition"
Il s'agit ici d'analyser la nature juridique exacte d'un crédit bancaire. Au lieu de procéder à cet exercice, vous refusez tout argument. Votre analyse est donc mal fondée et inexacte. Evitez donc de me faire des procès d'intentions, et tentez de répondre à mes arguments.
GérerIl s'agit ici d'analyser la nature juridique exacte d'un crédit bancaire. Au lieu de procéder à cet exercice, vous refusez tout argument. Votre analyse est donc mal fondée et inexacte. Evitez donc de me faire des procès d'intentions, et tentez de répondre à mes arguments.
François de Siebenthalhttp://desiebenthal.blogspot.ca/.../dettes-interets-des...
GérerFrançois de Siebenthal ...Le prêt à intérêt est donc un « monstre » juridique, un hybride contradictoire.
D’un côté, le prêteur n’est pas considéré comme propriétaire de la somme prêtée, puisqu’il n’a pas part aux pertes.
De l’autre, le prêteur est considéré comme propriétaire de la somme prêtée, puisqu’il a part aux profits.
Le prêt à intérêt introduit donc une incohérence — et constitue par conséquent un corps étranger — dans l’ordre juridique.
L’intérêt rompt l’équilibre des prestations entre les parties, ce qui fait du prêt à intérêt un contrat « lésionnaire » ou « léonin », c’est-à-dire un contrat inéquitable par lequel une partie (le prêteur) se taille « la part du lion » au détriment de l’autre partie (l’emprunteur). Voir Denis Ramelet, « La prohibition de l’usure au Moyen Age », Finance et bien commun n. 17 (hiver 2003/2004), Genève, 2004, pp. 18-27, spécialement pp. 23-25.
( NdE: les partenaires sont de plus en plus inégaux, le contrat empire avec le temps, de manière exponentielle, 1+i puissance n années... 117 fois le capital sur 50 ans à seulement 10 %, c'est la cause principale de la crise, les citoyens n'ont pas assez de pouvoir d'achat, A ne peut pas acheter A+B sur la période de temps considérée, les banquiers contrôlent de plus en plus la réalité pour leurs objectifs égoîstes, ne pas partager et dépeupler la terre).
GérerD’un côté, le prêteur n’est pas considéré comme propriétaire de la somme prêtée, puisqu’il n’a pas part aux pertes.
De l’autre, le prêteur est considéré comme propriétaire de la somme prêtée, puisqu’il a part aux profits.
Le prêt à intérêt introduit donc une incohérence — et constitue par conséquent un corps étranger — dans l’ordre juridique.
L’intérêt rompt l’équilibre des prestations entre les parties, ce qui fait du prêt à intérêt un contrat « lésionnaire » ou « léonin », c’est-à-dire un contrat inéquitable par lequel une partie (le prêteur) se taille « la part du lion » au détriment de l’autre partie (l’emprunteur). Voir Denis Ramelet, « La prohibition de l’usure au Moyen Age », Finance et bien commun n. 17 (hiver 2003/2004), Genève, 2004, pp. 18-27, spécialement pp. 23-25.
( NdE: les partenaires sont de plus en plus inégaux, le contrat empire avec le temps, de manière exponentielle, 1+i puissance n années... 117 fois le capital sur 50 ans à seulement 10 %, c'est la cause principale de la crise, les citoyens n'ont pas assez de pouvoir d'achat, A ne peut pas acheter A+B sur la période de temps considérée, les banquiers contrôlent de plus en plus la réalité pour leurs objectifs égoîstes, ne pas partager et dépeupler la terre).
François de Siebenthal ... Une sorte d’idéologie « bancocratique » fait barrage à la moindre remise en cause.
Le prêt à intérêt et les pratiques apparentées sont comme telles inéquitables. Il existe cependant d’autres formes de rémunération du capital, qui se révèlent à la fois équitables et praticables même dans le cadre d’une économie libérale. Elles sont certes plus complexes, mais l’équité, qui est de l’ordre de la justice, doit en tout état de cause l’emporter sur la facilité, qui est de l’ordre de l’utilité. Telle est la doctrine dont on ne voit guère de justification de s’écarter. Elle heurte de plein fouet la pensée unique libérale-socialiste, qui associe une économie dérégl(ement)ée et un Etat occupant l’entier du champ social. Le problème est systémique et à long terme. Il mériterait donc une réflexion aussi critique que soutenue. Comment une telle réflexion pourrait-elle avoir lieu quand ceux-là même qui font profession d’éclairer moralement leurs semblables conçoivent l’éthique comme un « supplément d’âme » destiné à mettre de l’huile dans le système et évitent soigneusement d’en contester la légitimité de principe ?
DENIS RAMELET , Lausanne.
GérerLe prêt à intérêt et les pratiques apparentées sont comme telles inéquitables. Il existe cependant d’autres formes de rémunération du capital, qui se révèlent à la fois équitables et praticables même dans le cadre d’une économie libérale. Elles sont certes plus complexes, mais l’équité, qui est de l’ordre de la justice, doit en tout état de cause l’emporter sur la facilité, qui est de l’ordre de l’utilité. Telle est la doctrine dont on ne voit guère de justification de s’écarter. Elle heurte de plein fouet la pensée unique libérale-socialiste, qui associe une économie dérégl(ement)ée et un Etat occupant l’entier du champ social. Le problème est systémique et à long terme. Il mériterait donc une réflexion aussi critique que soutenue. Comment une telle réflexion pourrait-elle avoir lieu quand ceux-là même qui font profession d’éclairer moralement leurs semblables conçoivent l’éthique comme un « supplément d’âme » destiné à mettre de l’huile dans le système et évitent soigneusement d’en contester la légitimité de principe ?
DENIS RAMELET , Lausanne.
Jonathan Hiernaud Gérard Foucher, j'aimerais vraiment bien que tu prenne par à cette discutions!!! :)
GérerGérard Foucher Haha ! Pitié non merci Jonathan !
D'abord parce que je suis en vacances ;-), et ensuite parce que Gidmoz répète en boucle depuis des années les mêmes arguments obsolètes.
Son raisonnement repose sur des bases exclusivement théoriques qui datent de l'époque où le système dit de "réserves fractionnaires" existait encore.
Ce système obligeait les banques à disposer d'un certain montant de monnaie centrale avant de pouvoir émettre des crédits.
Depuis la parution du bulletin officiel de la Banque Centrale d'Angleterre (tapez "Scoop, la banque d'angleterre démonte les dogmes"), nous connaissons très précisément le fonctionnement réel et actuel de l'émission de crédit et donc de la création monétaire :
1. Le taux de réserves (en zone euro) est de 1%
2. Les crédits sont créés d'abord, et les réserves sont ajustées à posteriori.
Le système de réserves fractionnaires fonctionne donc dans le sens opposé :
Le système monétaire ne fonctionne pas selon un principe de multiplicateur des réserves, mais selon un principe de diviseur des crédits.
Conséquence : Le taux de réserves n'influe pas sur la quantité de crédit, et donc la seule limite à la création monétaire est la demande de crédit des Agents Non-Bancaires.
En conclusion, les conditions réelles actuelles (taux de réserves, accords Bâle3, fonctionnement de Target2, principe du diviseur, etc...) font que la "promesse" de livrer de la monnaie centrale (des réserves), ce "quasi" contrat commercial, est impossible à honorer pour la banque, mathématiquement, théoriquement, et pratiquement.
Par ailleurs, on pourrait dire, effectivement, que la monnaie bancaire n'est pas créée "à partir de rien", puisqu'il faut bien qu'un pigeon se présente au guichet et signe une reconnaissance de dette pour obtenir quelque chose qui n'existait pas la seconde d'avant !
;-)
GérerD'abord parce que je suis en vacances ;-), et ensuite parce que Gidmoz répète en boucle depuis des années les mêmes arguments obsolètes.
Son raisonnement repose sur des bases exclusivement théoriques qui datent de l'époque où le système dit de "réserves fractionnaires" existait encore.
Ce système obligeait les banques à disposer d'un certain montant de monnaie centrale avant de pouvoir émettre des crédits.
Depuis la parution du bulletin officiel de la Banque Centrale d'Angleterre (tapez "Scoop, la banque d'angleterre démonte les dogmes"), nous connaissons très précisément le fonctionnement réel et actuel de l'émission de crédit et donc de la création monétaire :
1. Le taux de réserves (en zone euro) est de 1%
2. Les crédits sont créés d'abord, et les réserves sont ajustées à posteriori.
Le système de réserves fractionnaires fonctionne donc dans le sens opposé :
Le système monétaire ne fonctionne pas selon un principe de multiplicateur des réserves, mais selon un principe de diviseur des crédits.
Conséquence : Le taux de réserves n'influe pas sur la quantité de crédit, et donc la seule limite à la création monétaire est la demande de crédit des Agents Non-Bancaires.
En conclusion, les conditions réelles actuelles (taux de réserves, accords Bâle3, fonctionnement de Target2, principe du diviseur, etc...) font que la "promesse" de livrer de la monnaie centrale (des réserves), ce "quasi" contrat commercial, est impossible à honorer pour la banque, mathématiquement, théoriquement, et pratiquement.
Par ailleurs, on pourrait dire, effectivement, que la monnaie bancaire n'est pas créée "à partir de rien", puisqu'il faut bien qu'un pigeon se présente au guichet et signe une reconnaissance de dette pour obtenir quelque chose qui n'existait pas la seconde d'avant !
;-)
François de Siebenthal http://www.salve-regina.com/.../La_r%C3%A9mun%C3%A9ration...
GérerLa doctrine catholique ne condamne pas la rémunération du capital en tant que telle[1], mais uniquement cette forme particulière que constitue le prêt à intérêt, appelé « usure », ainsi que d’autres formes de rémunération du capital qui y sont apparentées et, par conséquent, elles aussi « usuraire...
SALVE-REGINA.COM
Stéphanie Vuignier Mesot Regardez aussi le reportage de zeitgeist sur la création de la monnaie..
GérerGerard Gidmoz Gérard Foucher "réserves fractionnaires"
Non. Mon argument n'a rien à voir avec le débat des réserves fractionnaires. Vous m'avez mal lu.
De plus ce que vous dites n'est pas faux, mais n'a rien à voir avec l'erreur commise par Siebenthal sur une création monétaire prétendument "ex nihilo" par une banque lorsqu'elle fait un crédit bancaire à son client.
GérerNon. Mon argument n'a rien à voir avec le débat des réserves fractionnaires. Vous m'avez mal lu.
De plus ce que vous dites n'est pas faux, mais n'a rien à voir avec l'erreur commise par Siebenthal sur une création monétaire prétendument "ex nihilo" par une banque lorsqu'elle fait un crédit bancaire à son client.
François de Siebenthal Cette "création ex nihilo", est une création à partir de rien, repose sur le fait que la monnaie ainsi prêtée à l'emprunteur n'existait pas au préalable, nulle part. Cette expression n'est pas de moi mais des économistes spécialistes http://desiebenthal.blogspot.ca/.../proprietaires-de-la...
GérerFrançois de Siebenthal Qui sont les propriétaires de la fausse monnaie bancaire et surtout des biens obtenus par elle ?
Historiquement, ils ont fait croire ( et ils le font encore ) qu'il y avait plus de lingots de métaux précieux qu'en vérité ( mensonges), puis on fait des reçus sur ce néant ( Faux dans les titres, puis fausse comptabilité ), puis se sont associés ( vols en bandes organisées ), puis ont pris de forts intérêts ( péché mortel selon Vix pervenit sur ce néant ( donc des taux infinis ), vols par astuce, puis on exigé des faillites par cupidité maladive, ce qui tue les plus faibles.
Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
Le Conseil Fédéral suisse admet le ...
://desiebenthal.blogspot.com/.../le-conseil-federal......
13 déc. 2014 - 12.3305 – Interpellation. Création de monnaie en Suisse (1). Déposé par. Müller Geri. Date de dépôt: 16.03.2012; Déposé au: Conseil national ...
En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales ( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )
En une seconde, lors de cette création "magique", ils assument un maximum de graves fautes qui nous volent tous, sauf eux qui se paient la part du lion, ce sont des contrats léonins, et de plus en plus vu les exponentielles dans le temps...
Ils nous volent aussi notre temps, nos épargnes, nos lignées...
Ce système arrive en fin de course, il n'a tenu que par la croissance démographique et c'est l'une des raisons des fortes migrations inhumaines favorisées par ce système qui a besoin d'esclaves pour se maintenir.
Les politiques de rigueur exigent le remboursement de ces montants, donc leurs destructions, ce qui aggrave la crise.
Juridiquement, qui est le vrai propriétaire des montants ex nihilo créés puis détruits ?
Juridiquement, qui est le vrai propriétaire des biens acquis par cette fausse monnaie, notamment les luxueux bureaux des banques ? des devises ? des salaires et bonus énormes obtenus par dilution de la valeur du vrai argent, des monnaies.pleines ?
9 mai 2009 - D'autant plus que chaque remboursement de "crédit"équivaut à une destruction de cette masse d'argent et aggrave donc la crise... SIC
https://drive.google.com/.../0B.../view...
GérerHistoriquement, ils ont fait croire ( et ils le font encore ) qu'il y avait plus de lingots de métaux précieux qu'en vérité ( mensonges), puis on fait des reçus sur ce néant ( Faux dans les titres, puis fausse comptabilité ), puis se sont associés ( vols en bandes organisées ), puis ont pris de forts intérêts ( péché mortel selon Vix pervenit sur ce néant ( donc des taux infinis ), vols par astuce, puis on exigé des faillites par cupidité maladive, ce qui tue les plus faibles.
Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
Le Conseil Fédéral suisse admet le ...
://desiebenthal.blogspot.com/.../le-conseil-federal......
13 déc. 2014 - 12.3305 – Interpellation. Création de monnaie en Suisse (1). Déposé par. Müller Geri. Date de dépôt: 16.03.2012; Déposé au: Conseil national ...
En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales ( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )
En une seconde, lors de cette création "magique", ils assument un maximum de graves fautes qui nous volent tous, sauf eux qui se paient la part du lion, ce sont des contrats léonins, et de plus en plus vu les exponentielles dans le temps...
Ils nous volent aussi notre temps, nos épargnes, nos lignées...
Ce système arrive en fin de course, il n'a tenu que par la croissance démographique et c'est l'une des raisons des fortes migrations inhumaines favorisées par ce système qui a besoin d'esclaves pour se maintenir.
Les politiques de rigueur exigent le remboursement de ces montants, donc leurs destructions, ce qui aggrave la crise.
Juridiquement, qui est le vrai propriétaire des montants ex nihilo créés puis détruits ?
Juridiquement, qui est le vrai propriétaire des biens acquis par cette fausse monnaie, notamment les luxueux bureaux des banques ? des devises ? des salaires et bonus énormes obtenus par dilution de la valeur du vrai argent, des monnaies.pleines ?
9 mai 2009 - D'autant plus que chaque remboursement de "crédit"équivaut à une destruction de cette masse d'argent et aggrave donc la crise... SIC
https://drive.google.com/.../0B.../view...
François de Siebenthalhttp://desiebenthal.blogspot.ca/2016/04/impossible.html
GérerFrançois de Siebenthalhttp://desiebenthal.blogspot.ca/.../le-pape-interdiction...
GérerGerard Gidmoz François de Siebenthal"Cette "création ex nihilo", est une création à partir de rien, repose sur le fait que la monnaie ainsi prêtée à l'emprunteur n'existait pas au préalable, nulle part."
Non. Lorsque je vous signe un papier disant qu'en échange de ce papier vous recevrez 100 francs. Ai je créé cette obligation "ex-nihilo"? Ma réponse est non. Mon obligation , ma volonté, mon acte volontaire de vous verser ces 100 euros sont l'origine, sont la nature de l'obligation contenue dans ce papier. Et mon obligation n'est pas "rien". Il est donc inexact de dire que mon obligation aurait été créée ex nihilo!
Il en est exactement de même pour la monnaie de banque. Chaque unité de cette monnaie de banque est une obligation de la banque de verser un francs de monnaie BNS. L'obligation de la banque n'est pas rien et cette obligation n'existe pas à partir de "rien". Encore une fois, l'expression "ex nihilo" pour qualifier une obligation contractuelle de la banque me semble mal fondée, mal utilisée.
Un auteur illustre a certes utilisé cette même expression "ex nihilo", mais dans un autre contexte et son propos ne concernait pas la monnaie de banque, ne concernait pas la monnaie créée par une banque. Et cet argument d'autorité ne me semble pas avoir sa place dans notre divergence.
GérerNon. Lorsque je vous signe un papier disant qu'en échange de ce papier vous recevrez 100 francs. Ai je créé cette obligation "ex-nihilo"? Ma réponse est non. Mon obligation , ma volonté, mon acte volontaire de vous verser ces 100 euros sont l'origine, sont la nature de l'obligation contenue dans ce papier. Et mon obligation n'est pas "rien". Il est donc inexact de dire que mon obligation aurait été créée ex nihilo!
Il en est exactement de même pour la monnaie de banque. Chaque unité de cette monnaie de banque est une obligation de la banque de verser un francs de monnaie BNS. L'obligation de la banque n'est pas rien et cette obligation n'existe pas à partir de "rien". Encore une fois, l'expression "ex nihilo" pour qualifier une obligation contractuelle de la banque me semble mal fondée, mal utilisée.
Un auteur illustre a certes utilisé cette même expression "ex nihilo", mais dans un autre contexte et son propos ne concernait pas la monnaie de banque, ne concernait pas la monnaie créée par une banque. Et cet argument d'autorité ne me semble pas avoir sa place dans notre divergence.
François de Siebenthal Maurice Allais considérait en 1999, dans La Crise mondiale aujourd'hui, comme « inappropriée » la structure de création monétaire actuelle. Il considère le système actuel comme instable et risqué, les engagements et les créances n'étant pas nécessairement au même horizon et le risque d'un retrait massif de liquidités par les épargnants étant toujours possible. Ainsi, selon Allais, « L'économie mondiale tout entière repose aujourd'hui sur de gigantesques pyramides de dettes, prenant appui les unes sur les autres dans un équilibre fragile ». Il appelle de ses vœux un système où la création monétaire ne relève que de l'État, dans un cadre de régime de change fixe. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9ation_mon%C3%A9taire
GérerFrançois de Siebenthal http://www.e-ducat.fr/economie/creation-monetaire-ex-nihilo/
GérerCréation monétaire ex nihilo Une organisation qui crée la monnaie peut dépenser cette monnaie pour s’approprier des actifs AVANT que la monnaie ne circule dans l’économie. Prenons l’exemple d’un prêt immobilier émis par une banque pour l’achat d’un appartement. Pour créer l’argent ex-nihilo, la banq...
E-DUCAT.FR
François de Siebenthalhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Ex_nihilo
GérerEx nihilo est une expression latine signifiant « à partir de rien ». Elle est souvent utilisée en conjonction avec un terme exprimant une idée de création, comme dans « création ex nihilo », signifiant littéralement « création à partir de rien », par opposition à une « creatio ex materia », création...
FR.WIKIPEDIA.ORG
François de Siebenthalhttp://desiebenthal.blogspot.ca/2015/10/ex-nihilo-satan.html
GérerGerard Gidmoz François de SiebenthalCette avalanche de liens que vous m'envoyez me semble excessive pour trancher notre débat de pure logique. Je doute que vous ayez lu le texte du premier lien que vous m'envoyez car il contient des fautes de logique et des fautes comptables. Je relève une phrase de cet auteur qui est la conclusion d'un de ses raisonnements. "Si vous remboursez, elle ne perd pas, si vous ne remboursez pas elle gagne un appartement.."
Tout banquier sait bien que cette affirmation est fausse. Tout autre lecteur attentif aussi. La monnaie utilisée par le client pour payer le vendeur. La banque a ainsi une obligation envers le vendeur, lequel détient ainsi des créances sur la banque. Il est évidement erronée de prétendre que l'obligation de la banque serait nulle et que la banque deviendrait, sans payer, propriétaire de l'appartement.
GérerTout banquier sait bien que cette affirmation est fausse. Tout autre lecteur attentif aussi. La monnaie utilisée par le client pour payer le vendeur. La banque a ainsi une obligation envers le vendeur, lequel détient ainsi des créances sur la banque. Il est évidement erronée de prétendre que l'obligation de la banque serait nulle et que la banque deviendrait, sans payer, propriétaire de l'appartement.
François de Siebenthal La banque gagne sur les 2 tableaux, je crois que vous ne voulez pas comprendre. Je réponds à toutes vos questions et vous à aucune des miennes, êtes.vous banquier ou riche ? Prenons l’exemple d’un prêt immobilier émis par une banque pour l’achat d’un appartement.
Pour créer l’argent ex-nihilo, la banque crée deux dettes, une à son actif qui est le prêt que vous devez lui rembourser, une autre à son passif qui est le compte de dépôt où elle dépose l’argent emprunté : elle vous le doit car vous pouvez le retirer à tout moment, ce que vous ferez pour payer l’appartement.
Si vous ne pouvez pas rembourser, la banque va s’approprier la valeur de l’appartement, alors qu’elle n’avait rien auparavant (l’argent a été créé ex nihilo). L’appartement va donc se rajouter à ses actifs alors que le prêt va être retiré de ses actifs.
On est toujours dans un jeu d’écritures à somme nulle mais la banque possède maintenant un appartement de plus : c’est pourquoi le prêt avec intérêt est illégitime car la banque n’a pas pris de risque, à aucun moment, pour accroître son capital, in fine, au dépens du reste de la société.
Si vous remboursez, elle ne perd pas, si vous ne remboursez pas elle gagne un appartement.. Mark Twain disait qu'elle vous prête à intérêt un parapluie quand il fait beau et qu'elle vous le reprend dès qu'il pleut ( et elle peut faire "pleuvoir" car elle fabrique les crises... )http://desiebenthal.blogspot.ca/.../aleas-moral-banquiers...
GérerPour créer l’argent ex-nihilo, la banque crée deux dettes, une à son actif qui est le prêt que vous devez lui rembourser, une autre à son passif qui est le compte de dépôt où elle dépose l’argent emprunté : elle vous le doit car vous pouvez le retirer à tout moment, ce que vous ferez pour payer l’appartement.
Si vous ne pouvez pas rembourser, la banque va s’approprier la valeur de l’appartement, alors qu’elle n’avait rien auparavant (l’argent a été créé ex nihilo). L’appartement va donc se rajouter à ses actifs alors que le prêt va être retiré de ses actifs.
On est toujours dans un jeu d’écritures à somme nulle mais la banque possède maintenant un appartement de plus : c’est pourquoi le prêt avec intérêt est illégitime car la banque n’a pas pris de risque, à aucun moment, pour accroître son capital, in fine, au dépens du reste de la société.
Si vous remboursez, elle ne perd pas, si vous ne remboursez pas elle gagne un appartement.. Mark Twain disait qu'elle vous prête à intérêt un parapluie quand il fait beau et qu'elle vous le reprend dès qu'il pleut ( et elle peut faire "pleuvoir" car elle fabrique les crises... )http://desiebenthal.blogspot.ca/.../aleas-moral-banquiers...
Gerard Gidmoz François de Siebenthal"On est toujours dans un jeu d’écritures à somme nulle"
Oui! J'aime lire cette phrase. Je suis d'accord. Le texte de l'article était alors volontairement provocateur! L'auteur de l'article jouait sur les mots pour indigner le lecteur... C'est pas très correct, cela! Ensuite, et nous serons encore surement d'accord, l'appartement sera vendu pour rembourser la dette de l'emprunteur à la banque. Des frais judiciaires risquent fort de rester à la charge de la banque. Mais c'est un risque que prend la banque à chaque crédit bancaire.
Ensuite vous semblez critiquer le principe du prêt avec intérêt. C'est un autre débat ouvert malencontreusement par Aristote, sans doute un jour où il avait oublié de réfléchir. Mais vous faites une bonne observation. Le système de banque centrale conduit à produire une monnaie dont le cout de production apparent peut sembler nul. Mais il ne l'est pas. La banque centrale gère le monopole monétaire étatique et gère sa collaboration avec les banques de second rang par un règlement de 10000 pages.
Au 19e siècle, vers 1840(?), Il y eu un débat d'économistes universitaires sur le choix du système bancaire. Le système de banque libre sans banque centrale fonctionnait alors très bien depuis 135 ans à la satisfaction de tous. J'aimerai relire les arguments des uns et des autres. La seule raison du choix du système de banque centrale fut qu'il permettait à l'Etat de l'endetter excessivement. Cet endettement excessif de l'Etat aurait été impossible sans système de banque centrale.
SupprimerOui! J'aime lire cette phrase. Je suis d'accord. Le texte de l'article était alors volontairement provocateur! L'auteur de l'article jouait sur les mots pour indigner le lecteur... C'est pas très correct, cela! Ensuite, et nous serons encore surement d'accord, l'appartement sera vendu pour rembourser la dette de l'emprunteur à la banque. Des frais judiciaires risquent fort de rester à la charge de la banque. Mais c'est un risque que prend la banque à chaque crédit bancaire.
Ensuite vous semblez critiquer le principe du prêt avec intérêt. C'est un autre débat ouvert malencontreusement par Aristote, sans doute un jour où il avait oublié de réfléchir. Mais vous faites une bonne observation. Le système de banque centrale conduit à produire une monnaie dont le cout de production apparent peut sembler nul. Mais il ne l'est pas. La banque centrale gère le monopole monétaire étatique et gère sa collaboration avec les banques de second rang par un règlement de 10000 pages.
Au 19e siècle, vers 1840(?), Il y eu un débat d'économistes universitaires sur le choix du système bancaire. Le système de banque libre sans banque centrale fonctionnait alors très bien depuis 135 ans à la satisfaction de tous. J'aimerai relire les arguments des uns et des autres. La seule raison du choix du système de banque centrale fut qu'il permettait à l'Etat de l'endetter excessivement. Cet endettement excessif de l'Etat aurait été impossible sans système de banque centrale.
François de Siebenthal Pour la première fois de manière absolument officielle, la Banque d'Angleterre affirme désormais tout le contraire de ces légendes, et rejoint ainsi, enfin, les analyses des citoyens de tous bords qui en décryptent la véritable nature depuis des années.
Les deux conclusions essentielles de la Banque d'Angleterre sont les suivantes :
1. La création monétaire est effectuée par les banques commerciales à chaque fois qu'elles émettent un crédit pour un client
2. La création de crédit n'est pas limitée par la Banque Centrale, mais par les opportunités de profit disponibles.
Les conséquences sont claires :
- Toute la monnaie qui réside sur les comptes bancaires (c'est-à-dire le total de tous les soldes de tous les agents économiques : particuliers, entreprises, administrations, collectivités locales, etc...) a été émise d'abord par un emprunt bancaire, et donc toute la monnaie est de la dette qui circule.
- La quantité de monnaie dans l'économie ne dépend ni de l'État, ni de la Banque Centrale. Elle dépend seulement du bon vouloir des banques d'émettre du crédit et des besoins en monnaie des agents non bancaires (particuliers, entreprises, État).
- La monnaie, c'est la dette, et la dette, c'est la monnaie.
- Pour chaque centime de monnaie, il existe au moins un centime de dette.( en fait , des multiples...)
- Si nous voulons plus de monnaie dans l’économie, il faut s'endetter encore plus.
- Si l'on essayait de rembourser toute la dette, il faudrait vider tous les comptes et il n'y aurait plus un centime de monnaie, mais encore des montagnes de dettes exponentielles...
Et ce ne sont là que les données immédiates du problème.
Les ramifications sont beaucoup plus profondes, et déséquilibrent au quotidien et depuis des décennies tous les rapports entre humains, entre classes sociales, entre pays. Ce système a rendu la monnaie payante, à l'infini, et de manière exponentielle.
Comme le dit plus frontalement l'économiste Tarek El Diwany :
"Nous avons institutionnalisé la fraude, la fraude dont on ne parle pas... l'abus de la création de monnaie par le système bancaire est au coeur du problème... Tant que nous n'aurons pas traité cette fraude au coeur de notre système, rien d'autre ne sera juste."
(Tarek El Diwany at "The City and the Common Good : What kind of City do we want ?" debate - St Paul's Cathedral, 7th May 2013) http://youtu.be/Qh8Lz70aCss?t=26m5s
GérerLes deux conclusions essentielles de la Banque d'Angleterre sont les suivantes :
1. La création monétaire est effectuée par les banques commerciales à chaque fois qu'elles émettent un crédit pour un client
2. La création de crédit n'est pas limitée par la Banque Centrale, mais par les opportunités de profit disponibles.
Les conséquences sont claires :
- Toute la monnaie qui réside sur les comptes bancaires (c'est-à-dire le total de tous les soldes de tous les agents économiques : particuliers, entreprises, administrations, collectivités locales, etc...) a été émise d'abord par un emprunt bancaire, et donc toute la monnaie est de la dette qui circule.
- La quantité de monnaie dans l'économie ne dépend ni de l'État, ni de la Banque Centrale. Elle dépend seulement du bon vouloir des banques d'émettre du crédit et des besoins en monnaie des agents non bancaires (particuliers, entreprises, État).
- La monnaie, c'est la dette, et la dette, c'est la monnaie.
- Pour chaque centime de monnaie, il existe au moins un centime de dette.( en fait , des multiples...)
- Si nous voulons plus de monnaie dans l’économie, il faut s'endetter encore plus.
- Si l'on essayait de rembourser toute la dette, il faudrait vider tous les comptes et il n'y aurait plus un centime de monnaie, mais encore des montagnes de dettes exponentielles...
Et ce ne sont là que les données immédiates du problème.
Les ramifications sont beaucoup plus profondes, et déséquilibrent au quotidien et depuis des décennies tous les rapports entre humains, entre classes sociales, entre pays. Ce système a rendu la monnaie payante, à l'infini, et de manière exponentielle.
Comme le dit plus frontalement l'économiste Tarek El Diwany :
"Nous avons institutionnalisé la fraude, la fraude dont on ne parle pas... l'abus de la création de monnaie par le système bancaire est au coeur du problème... Tant que nous n'aurons pas traité cette fraude au coeur de notre système, rien d'autre ne sera juste."
(Tarek El Diwany at "The City and the Common Good : What kind of City do we want ?" debate - St Paul's Cathedral, 7th May 2013) http://youtu.be/Qh8Lz70aCss?t=26m5s
Gerard Gidmoz François de Siebenthal Je suis d'accord avec votre résumé des conclusions de la banque d'Angleterre, sauf qq points annexes et qu'il faudrait préciser. Ce que vous rapportez caractérise tout système de Banque Centrale depuis 150 ans. C'est bien connu. Ce n'est ni nouveau ni surprenant. Et ce n'est pas, en soi, inquiétant.
C'est la logique de tout système de Banque Centrale. C'est un système intellectuellement cohérent et intelligent. Néanmoins, Il est gravement sous-optimal pour son efficacité économique, comme l'est toujours un monopole étatique. La première inquiétude majeure sur ce système de Banque Centrale est que l'Etat en est le maître, et que l'Etat est rarement raisonnable et compétent.
Une autre inquiétude est que le phénomène "d'agence", entre Banque Centrale et les banques de second rang. C'est un thème bien connu des économistes. C'est à dire que celui auquel on a confié une gestion, le mandataire, n'aura pas la même motivation que celui qui lui a confié une mission. Un mandataire n'agira donc jamais exactement comme l'aurait souhaité celui qui lui avait confié la mission.
Ici, cette théorie de l'agence s'applique. Nonobstant les 10000 pages de règlement, une plus grande création monétaire permet aux banques d'augmenter leur ventes et leurs profits. La mission de la Banque Centrale est de conserver un niveau de valeur suffisamment stable pour l'unité de monnaie. Une augmentation trop grande la masse monétaire peut, dans certains cas, induire une perte de valeur de l'unité de monnaie.
Mais je ne partage pas du tout les inquiétudes que vous formulez dans la suite de votre commentaire. En particulier, Il n'y rien "d'exponentiel" dans le système monétaire de banque centrale. L'endettement excessif de Etats est un risque majeur et la cause première de la crise financière.
Suivant les recommandations de Hayek, je suis donc un partisan du free Banking, formule par laquelle la monnaie redevient un service commercial ordinaire produit par un commerçant ordinaire, régi par les lois ordinaires du commerce, et sans que l'Etat ne légifère, ni ne contrôle, ni ne privilégie quiconque.
GérerC'est la logique de tout système de Banque Centrale. C'est un système intellectuellement cohérent et intelligent. Néanmoins, Il est gravement sous-optimal pour son efficacité économique, comme l'est toujours un monopole étatique. La première inquiétude majeure sur ce système de Banque Centrale est que l'Etat en est le maître, et que l'Etat est rarement raisonnable et compétent.
Une autre inquiétude est que le phénomène "d'agence", entre Banque Centrale et les banques de second rang. C'est un thème bien connu des économistes. C'est à dire que celui auquel on a confié une gestion, le mandataire, n'aura pas la même motivation que celui qui lui a confié une mission. Un mandataire n'agira donc jamais exactement comme l'aurait souhaité celui qui lui avait confié la mission.
Ici, cette théorie de l'agence s'applique. Nonobstant les 10000 pages de règlement, une plus grande création monétaire permet aux banques d'augmenter leur ventes et leurs profits. La mission de la Banque Centrale est de conserver un niveau de valeur suffisamment stable pour l'unité de monnaie. Une augmentation trop grande la masse monétaire peut, dans certains cas, induire une perte de valeur de l'unité de monnaie.
Mais je ne partage pas du tout les inquiétudes que vous formulez dans la suite de votre commentaire. En particulier, Il n'y rien "d'exponentiel" dans le système monétaire de banque centrale. L'endettement excessif de Etats est un risque majeur et la cause première de la crise financière.
Suivant les recommandations de Hayek, je suis donc un partisan du free Banking, formule par laquelle la monnaie redevient un service commercial ordinaire produit par un commerçant ordinaire, régi par les lois ordinaires du commerce, et sans que l'Etat ne légifère, ni ne contrôle, ni ne privilégie quiconque.
François de Siebenthal Alain Vauclair ex nihilo utilisé par les banquiers et économiste signifie en latin du néant, le pire, c'est que la monnaie retourne au néant à chaque remboursement, sic...http://desiebenthal.blogspot.ch/.../destruction-de-la... Merci, joyeux Noël et bonne année http://desiebenthal.blogspot.ch/.../joyeux-noel-et-bonne...
GérerGerard Gidmoz François de SiebenthalOui, c'est vrai, d'une certaine manière. La monnaie de banque est une promesse commerciale d'une banque. La BNS, par exemple. C'est une promesse au porteur. Le porteur est le bénéficiaire de cette promesse. Il est propriétaire de cette promesse.
Le promettant émet une promesse à qqun avec sa seule volonté. Mais cette émission induit des obligations du promettant, de l'émetteur. Lorsqu'on lui resitue la promesse qu'il avait émise, cette promesse ne vaut plus rien puisqu'une promesse à soi-même est nulle, puisqu'il n'y a nulle obligation envers soi-même. C'est la destruction de la monnaie de banque.
Pour le lecteur, je précise que la monnaie de banque de l'UBS , c'est la monnaie que vous voyez sur votre relevé de compte bancaire. Par commodité de lecture pour le client, le relevé mentionne "CHF", c'est a dire un francs de la BNS. Et le jour on on remet ce billet, cette promesse au préteur, à l'émetteur, l'émetteur tient dans sa main une promesse qu'il s'est faite à lui-même. Une telle promesse est nulle, car on ne peut pas se promettre à soi-meme.
GérerLe promettant émet une promesse à qqun avec sa seule volonté. Mais cette émission induit des obligations du promettant, de l'émetteur. Lorsqu'on lui resitue la promesse qu'il avait émise, cette promesse ne vaut plus rien puisqu'une promesse à soi-même est nulle, puisqu'il n'y a nulle obligation envers soi-même. C'est la destruction de la monnaie de banque.
Pour le lecteur, je précise que la monnaie de banque de l'UBS , c'est la monnaie que vous voyez sur votre relevé de compte bancaire. Par commodité de lecture pour le client, le relevé mentionne "CHF", c'est a dire un francs de la BNS. Et le jour on on remet ce billet, cette promesse au préteur, à l'émetteur, l'émetteur tient dans sa main une promesse qu'il s'est faite à lui-même. Une telle promesse est nulle, car on ne peut pas se promettre à soi-meme.
Ana Göldin quelle opiniâtreté Gizmo 😂vous en êtes presque chou
GérerAna Göldin seulement quelques moutons lèvent les yeux et ça vous fout les boules hein ?
GérerGerard Gidmoz François de SiebenthalVous vous trompez d'ennemi. Si une banque crée de la fausse monnaie, c'est uniquement la banque centrale.
GérerJaime Rozo Rangel Très intéressant et illustratif
GérerAïe Peppito La banque de France explique dans cette vidéo que le crédit est création monétaire ex-nihilo.
https://youtu.be/9cSujzEo4A8
Gérerhttps://youtu.be/9cSujzEo4A8
Michele Miloche La fameuse taxe "Tobbin"...
Les financiers...argentiers...et tout les Banksters ont fait TOUT ...et continuent à faire TOUT pour que cela ne passe pas...
Ils y sont arrivés jusqu'à présent. ...Voir plus
GérerLes financiers...argentiers...et tout les Banksters ont fait TOUT ...et continuent à faire TOUT pour que cela ne passe pas...
Ils y sont arrivés jusqu'à présent. ...Voir plus
Nadine Hoffmeyer Mais tout à fait ! Dans les années 90 ! moi et mon maris avions de tout petit revenu ! et pourtant les banques nous ont jeter l'argent à la figure ! en veux tu ? en voila ! tout ça pour quelques années après remonter le taux d'intérêts ! nous foutre dans la merde ! et nous reprendre notre maison pour une bouchée de pain !! je ne leur dit pas merci !!
Quel bande de salauds !!
GérerQuel bande de salauds !!
Gerard Gidmoz Une banque crée de la monnaie. Un francs créé par l'UBS est la promesse commerciale de verser un francs de la BNS. Une promesse commerciale, c'est l'obligation juridique de respecter sa promesse, sous peine de sanctions par un tribunal. Une promesse, ce n'est pas rien, ce n'est pas "nihilo". Donc, une banque ne crée pas de monnaie ex nihilo. Une banque ne crée pas de monnaie a à partir de rien, mais à partir de sa promesse. C'est une grave erreur de dire que la monnaie serait créée à partir de rien.
C'est lorsque la promesse ne vaut rien que la monnaie a été crée ex nihilo. Mais ce n'est pas le cas de votre banque commerciale. C'est le cas des banques centrales qui prêtent trop à un Etat trop endetté, sachant que l'Etat ne remboursera jamais. Les banques centrales sont en cause dans le système de banque centrale qui est le nôtre et celui de tous les pays aujourdhui. Mais les banques commerciales ne crée pas de monnaie ex nihilo. Il ne faut pas se tromper d'ennemi. L'ennemi, c'est la banque centrale. Ce n'est pas votre banque, votre banque commerciale.
GérerC'est lorsque la promesse ne vaut rien que la monnaie a été crée ex nihilo. Mais ce n'est pas le cas de votre banque commerciale. C'est le cas des banques centrales qui prêtent trop à un Etat trop endetté, sachant que l'Etat ne remboursera jamais. Les banques centrales sont en cause dans le système de banque centrale qui est le nôtre et celui de tous les pays aujourdhui. Mais les banques commerciales ne crée pas de monnaie ex nihilo. Il ne faut pas se tromper d'ennemi. L'ennemi, c'est la banque centrale. Ce n'est pas votre banque, votre banque commerciale.
Michele Miloche j'ai écouter cette video et tout ce que ce monsieyr dit est vrais
GérerBlaise Rossellat Voilà qui devrait grandement intéresser tous les comptables, tous les entrepreneurs et tous les salariés qui, eux, payent des impôts sur tout ce qu'ils gagnent...
https://www.youtube.com/watch?v=ucUo1cxQmhQ&index=11...
Gérerhttps://www.youtube.com/watch?v=ucUo1cxQmhQ&index=11...
YOUTUBE.COM
Ptibodi Landais auriez vous des infos / doc / vidéos sur la manipulation du cour de l'or en cette période de crise mondiale ? Merci
GérerL'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Sur l'or, non pas vraiment!
Mais depuis 1971 l'or et l'argent ont été dissociées!!!
Sinon j'ai quelque doc sur le comment le système bancaire c'est mit petit à petit en place et est devenu ce qu'il est actuellement...
Dis-moi si cela vous intéresse? :)
GérerMais depuis 1971 l'or et l'argent ont été dissociées!!!
Sinon j'ai quelque doc sur le comment le système bancaire c'est mit petit à petit en place et est devenu ce qu'il est actuellement...
Dis-moi si cela vous intéresse? :)
Romu Demeter A quel moment les illuminati entrent ils dans la boucle?
GérerL'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Illuminati est un mot pour nous faire sentir tout petit et impuissant, alors que nous sommes bien plus puissant que ces gens et bien plus nombreux, donc stop à l'utilisation de ce mot qui nous rabaisse plus qu'il nous élève...
GérerBob Antinea Hallucinant! Et alors on peut pas créer de la masse monétaire pour augmenter le SMIC de 30%?
GérerL'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Si on pourrait, mais à qui profit le faire que le NAIRU existe??? (le NAIRU est un taux de chômage qui est calculé pour faire accepter le travail peut rémunèré et dégradans!!)
GérerL'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Et comme il dit dans la vidéo, les 1% veulent tout centraliser... donc ils détruisent les PME avec la création de monnair M3!!!
GérerRomu Demeter Le NAIRU est bien plus pervers. taux de chômage d'équilibre ou structurel n'augmentant pas l'inflation, Non Accélérating Inflation Rate of Unemployment, c'est une donnée économique qui fixe les prix.
GérerL'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Et une troisième : https://m.youtube.com/results?q=money+le+film&sm=1
Si vous voulez encore d'autre, ce n'est pas ce qui me manque!!! ;) :)...Voir plus
GérerSi vous voulez encore d'autre, ce n'est pas ce qui me manque!!! ;) :)...Voir plus
Brig Brig Merci pour ces infos et pr prendre le temps pour les transmettre. Je suis dans la même démarche lorsque je découvre quelque chose je fais suivre c est tres important de plus en plus nombreux a ouvrir les yeux et a réagir. ..je veux bien les autres liens pr approfondir merci encore Sympathies
GérerL'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir.Voilà, je pense que c'est un très bon début, je vous ai donné que du nectar là ! :p :):D
GérerStéphanie Vuignier Mesot J ai également travailler plusieurs années pour différentes banques (ubs, bcvs et crédit agricole), et ce que dit ce monsieur est totalement juste !! Durant mon apprentissage, on nous avait caché cette façon de faire, mais après avoir travailler dans u...Voir plus
GérerMamat Gsst Tu spécules, il spécule, vous spéculez bande d'enfoirer
GérerCharlie Vanunu Eustace Mullins .. Création de la FED .. On nous a bien pris pour des cons ! Lol
GérerJenny Maltais Les deux femmes dans cette vidéo parle trop pour rien pfff en plus qu'il rit du gars pffff