Le Directeur d’UBS, Sergio Ermotti, ne sait pas que les banques commerciales ( et non privées selon le droit suisse, une nuance juridique importante en Suisse ) créent de l’argent… Ou bien il fait semblant de ne pas le savoir. Dans les deux cas c’est inquiétant ! A voir dans le débat télévisé entre Sergio Rossi, Professeur de macroéconomie et d’économie monétaire à l’Université de Fribourg, et Sergio Ermotti, CEO d’UBS; émission Teleticino ”I conti in tasca – Un patto di paese per il Ticino” du 15 février 2017.
La monnaie scripturale des banques commerciales est créée en grande partie par le crédit bancaire, nous avons donc payé leurs amendes par la dilution de notre monnaie ! ;-(. sic, la classe moyenne est le dindon de cette sinistre farce ridicule et grotesque, et même les PDG ne le comprennent pas vraiment...
Hallo zämä,
La monnaie scripturale des banques commerciales est créée en grande partie par le crédit bancaire, nous avons donc payé leurs amendes par la dilution de notre monnaie ! ;-(. sic, la classe moyenne est le dindon de cette sinistre farce ridicule et grotesque, et même les PDG ne le comprennent pas vraiment...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/03/ermotti-pdg-dubs-ne-sait-pas-dou-vient.html
Les salaires des patrons des grands groupes suisses.
(awp)
Société nom salaire total (fixe, part variable)
UBS Sergio Ermotti 14,3 mio CHF
Credit Suisse Tidjane Thiam 18,9 mio CHF
ABB Ulrich Spiesshofer 9,1 mio CHF
Julius Bär Boris Collardi 6,2 mio CHF
LafargeHolcim Eric Olsen 5,8 mio CHF
Nestlé Paul Bulcke 9,1 mio CHF
Novartis Joseph Jimenez 11,6 mio CHF
Roche Severin Schwan 11,95 mio CHF
SGS Frankie Ng 4,95 mio CHF
Swatch Nick Hayek 6,9 mio CHF
Swiss Life Patrick Frost 7,02 mio CHF
Transocean Jeremy Thigpen 10,9 mio USD
Blaise Rossellat 3 mars 10:53
Oui, Ana Sailland, un joli dossier datant de 2008 qui a permis de sauver le Crédit Suisse de la faillite.
Pourquoi le Crédit Suisse attaque en justice un journaliste d'investigation alors que le Ministère public de la Confédération n'a pas jugé bon d'attaquer cette banque lors du délit pénal dont elle s'est rendue coupable à l'époque en 2008 lors de l'augmentation de son capital, la FINMA ayant couvert la fraude?!?
Les banques, nous les laissons faire leurs magouilles tranquille, car la FINMA, dirigée de main de maître par Mark Branson, citoyen britannique, ancien directeur d'UBS Japon et accessoirement inculpé dans l'affaire des taux du Libor ferme les yeux sur les délits financiers de nos "chères" banques qui n'ont de Suisse plus que le nom!!!!
Voici ci-dessous l'article d'un avocat, bien plus perspicace que le ministère public de la Confédération...
"Il a fallu la révélation d’une nouvelle affaire à charge de Barclays révélée par la presse anglaise pour qu’il sorte publiquement que… le Credit Suisse avait fait la même chose en catimini: soutenir son cours et augmenter fictivement ses fonds propres par un crédit de 10 milliards de francs à un tiers pour souscrire dans son augmentation de capital. Et ce tiers est le même, le Qatar. En Angleterre la FSA et le Serious Fraud Office enquêtent sur cette manipulation – par laquelle Barclays avait visé à éviter de devoir être bailed out ou quasi-nationalisée comme à cette même époque RBS et Llodys TSB. Il y a là le problème technique, de fond: une souscription fictive de capital n’améliorant que fictivement les fonds propres avec la manipulation de cours que cela entraîne. Il y a le problème contextuel d’un secteur dirigé par des bandits prêts à tout pour conserver leur indépendance et leurs bonus – cette question ayant été centrale sur la période 2007-2009. Pour Barclays qui est décidément de tous les mauvais coups, il y a encore des suspicions de trafic d’influence, corruption et faux, certaines écritures et paiements ne correspondant probablement pas à la réalité de certains arrangements, au demeurant dépourvus de sens commercial, entre la banque et le Quatar. Mais en Suisse? Eh bien le Credit Suisse a fait la même chose apparemment avec l’accord de la Finma. Le double problème de fond évoqué ci-dessus se double d’un troisième aussi grave: cette opération n’a pas été révélée – alors qu’elle constitue pourtant un délit au-delà de la grave manipulation comptable et boursière qu’elle constitue.
Mais dans la bucolique Dysfunctioning Corporate Switzerland, tout le monde s’en moque et ce n’est qu’à la faveur d’un article du FT que quelques entrefilets furent publiés en page 9 ou 14, par Le Temps par exemple le 4 février, mais reprenant l’information brute du FT sans aucune analyse ni commentaire supplémentaire. Aucun émoi ni sur la manipulation des fonds propres, ni sur la manipulation boursière, ni pire encore sur l’absence de transparence de cette opération. Est-ce le fait que la Finma semble avoir autorisé cette opération? Il est compréhensible que le ré-haussement des fonds propres du Credit Suisse ait été un élément crucial et impératif dans la crise catastrophique de l’automne 2008. Le seul motif exprimé du bout des lèvres pour justifier une opération autrement illicite réglementairement est celle-là: éviter une market uncertainty au pile moment du sauvetage de l’UBS. Et il est vrai que de devoir suspendre la cotation d’une banque ou les retraits, ou qu’elle se trouve en état de faillite comptable, constituaient des préoccupations réelles de la Finma et des régulateurs à l’époque. Mais son accord n’en rend certainement pas l’opération licite, encore moins au plan pénal, ni ne justifie l’absence de transparence et d’information des actionnaires s’agissant d’un groupe coté. Le communiqué de presse du Credit Suisse du 16 octobre 2008 mentionne l’augmentation de capital et l’intervention de Qatar Holding – mais naturellement pas le crédit.
Y aura-t-il une interpellation parlementaire ou tout le monde s’en moque-t-il définitivement en Suisse, sachant que les autorités de poursuite pénale ne feront rien, n’en ayant ni les ressources, ni les connaissances, ni l’envie? Scary en tout cas sachant que c’est… la Finma qui disposera très prochainement de compétences élargies en matière de répression des délits d’initiés et abus de marché dans la nouvelle LBVM. Problématique et dépassé également qu’elle ne soit pas soumise à la LTrans. Ah oui dernière chose, le crédit à Qatar Holding n’avait pas à être révélé dans le cadre de l’augmentation de capital d’octobre 2008? Trois coups de bâtons à celui qui prétendra que cela est exact, que c’était une opération de crédit autonome distincte de l’augmentation de capital. C’était-là à l’évidence un fait susceptible d’avoir un impact sur le cours et devant donc être révélé. Et quelqu’un s’est-il posé la question du délit d’initié pour les opérations sur titres Credit Suisse de ceux qui connaissaient l’existence de ce prêt? Ah? Il fallait?"
Jean-Cédric Michel - Freethinkers
http://www.revolawtion.ch/a-propos/
Les salaires des patrons des grands groupes suisses.
(awp)
Société nom salaire total (fixe, part variable)
UBS Sergio Ermotti 14,3 mio CHF
Credit Suisse Tidjane Thiam 18,9 mio CHF
ABB Ulrich Spiesshofer 9,1 mio CHF
Julius Bär Boris Collardi 6,2 mio CHF
LafargeHolcim Eric Olsen 5,8 mio CHF
Nestlé Paul Bulcke 9,1 mio CHF
Novartis Joseph Jimenez 11,6 mio CHF
Roche Severin Schwan 11,95 mio CHF
SGS Frankie Ng 4,95 mio CHF
Swatch Nick Hayek 6,9 mio CHF
Swiss Life Patrick Frost 7,02 mio CHF
Transocean Jeremy Thigpen 10,9 mio USD
Blaise Rossellat 3 mars 10:53
Oui, Ana Sailland, un joli dossier datant de 2008 qui a permis de sauver le Crédit Suisse de la faillite.
Pourquoi le Crédit Suisse attaque en justice un journaliste d'investigation alors que le Ministère public de la Confédération n'a pas jugé bon d'attaquer cette banque lors du délit pénal dont elle s'est rendue coupable à l'époque en 2008 lors de l'augmentation de son capital, la FINMA ayant couvert la fraude?!?
Les banques, nous les laissons faire leurs magouilles tranquille, car la FINMA, dirigée de main de maître par Mark Branson, citoyen britannique, ancien directeur d'UBS Japon et accessoirement inculpé dans l'affaire des taux du Libor ferme les yeux sur les délits financiers de nos "chères" banques qui n'ont de Suisse plus que le nom!!!!
Voici ci-dessous l'article d'un avocat, bien plus perspicace que le ministère public de la Confédération...
"Il a fallu la révélation d’une nouvelle affaire à charge de Barclays révélée par la presse anglaise pour qu’il sorte publiquement que… le Credit Suisse avait fait la même chose en catimini: soutenir son cours et augmenter fictivement ses fonds propres par un crédit de 10 milliards de francs à un tiers pour souscrire dans son augmentation de capital. Et ce tiers est le même, le Qatar. En Angleterre la FSA et le Serious Fraud Office enquêtent sur cette manipulation – par laquelle Barclays avait visé à éviter de devoir être bailed out ou quasi-nationalisée comme à cette même époque RBS et Llodys TSB. Il y a là le problème technique, de fond: une souscription fictive de capital n’améliorant que fictivement les fonds propres avec la manipulation de cours que cela entraîne. Il y a le problème contextuel d’un secteur dirigé par des bandits prêts à tout pour conserver leur indépendance et leurs bonus – cette question ayant été centrale sur la période 2007-2009. Pour Barclays qui est décidément de tous les mauvais coups, il y a encore des suspicions de trafic d’influence, corruption et faux, certaines écritures et paiements ne correspondant probablement pas à la réalité de certains arrangements, au demeurant dépourvus de sens commercial, entre la banque et le Quatar. Mais en Suisse? Eh bien le Credit Suisse a fait la même chose apparemment avec l’accord de la Finma. Le double problème de fond évoqué ci-dessus se double d’un troisième aussi grave: cette opération n’a pas été révélée – alors qu’elle constitue pourtant un délit au-delà de la grave manipulation comptable et boursière qu’elle constitue.
Mais dans la bucolique Dysfunctioning Corporate Switzerland, tout le monde s’en moque et ce n’est qu’à la faveur d’un article du FT que quelques entrefilets furent publiés en page 9 ou 14, par Le Temps par exemple le 4 février, mais reprenant l’information brute du FT sans aucune analyse ni commentaire supplémentaire. Aucun émoi ni sur la manipulation des fonds propres, ni sur la manipulation boursière, ni pire encore sur l’absence de transparence de cette opération. Est-ce le fait que la Finma semble avoir autorisé cette opération? Il est compréhensible que le ré-haussement des fonds propres du Credit Suisse ait été un élément crucial et impératif dans la crise catastrophique de l’automne 2008. Le seul motif exprimé du bout des lèvres pour justifier une opération autrement illicite réglementairement est celle-là: éviter une market uncertainty au pile moment du sauvetage de l’UBS. Et il est vrai que de devoir suspendre la cotation d’une banque ou les retraits, ou qu’elle se trouve en état de faillite comptable, constituaient des préoccupations réelles de la Finma et des régulateurs à l’époque. Mais son accord n’en rend certainement pas l’opération licite, encore moins au plan pénal, ni ne justifie l’absence de transparence et d’information des actionnaires s’agissant d’un groupe coté. Le communiqué de presse du Credit Suisse du 16 octobre 2008 mentionne l’augmentation de capital et l’intervention de Qatar Holding – mais naturellement pas le crédit.
Y aura-t-il une interpellation parlementaire ou tout le monde s’en moque-t-il définitivement en Suisse, sachant que les autorités de poursuite pénale ne feront rien, n’en ayant ni les ressources, ni les connaissances, ni l’envie? Scary en tout cas sachant que c’est… la Finma qui disposera très prochainement de compétences élargies en matière de répression des délits d’initiés et abus de marché dans la nouvelle LBVM. Problématique et dépassé également qu’elle ne soit pas soumise à la LTrans. Ah oui dernière chose, le crédit à Qatar Holding n’avait pas à être révélé dans le cadre de l’augmentation de capital d’octobre 2008? Trois coups de bâtons à celui qui prétendra que cela est exact, que c’était une opération de crédit autonome distincte de l’augmentation de capital. C’était-là à l’évidence un fait susceptible d’avoir un impact sur le cours et devant donc être révélé. Et quelqu’un s’est-il posé la question du délit d’initié pour les opérations sur titres Credit Suisse de ceux qui connaissaient l’existence de ce prêt? Ah? Il fallait?"
Jean-Cédric Michel - Freethinkers
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François de Siebenthal: Le financement par la création monétaire
desiebenthal.blogspot.com/2013/10/le-financement-par-la-creation-monetaire.html
12 oct. 2013 - Pourquoi des milliers de milliards pour les banquiers ou les guerres et pas pour la paix ? Les réfugiés doivent quitter leurs pays à cause de ces ...François de Siebenthal: Écologie et création monétaire.
desiebenthal.blogspot.com/2013/11/ecologie-et-creation-monetaire.html
19 nov. 2013 - Scandales des gaspillages camelotes et des obsolescences programmées: Liens avec la monnaie: Résumé L'obsolescence programmée ...François de Siebenthal: Les banques créent de la monnaie du néant ...
desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/les-banques-creent-de-la-monnaie-du.html?m=1
12 mai 2016 - "Le crédit est un mode de création monétaire : il fait apparaître sur un compte une somme qui. n'existait pas auparavant." Livret "La monnaie et ...Création monétaire : Un banquier suisse explique tout - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=iw_uVLHGWzs
2 juin 2015 - Ajouté par Gérard Foucher
Création monétaire : Un banquier suisse explique tout .... Témoignage de François de Siebenthal, banquier ...L'ARNARQUE DE LA CRÉATION MONÉTAIRE
pleinsfeux.org/larnarque-de-la-creation-monetaire/
29 mai 2015 - Selon François De Siebenthal, tout le système financier actuel repose ... On a crée du néant beaucoup trop de masse monétaire, ce sont les ...Ni Hamon, ni Vals n' osent critiquer les "dettes" par création monétaire ...
https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/ZxsRivGy197
26 janv. 2017 - Ni Hamon, ni Vals n' osent critiquer les "dettes" par création monétaire du néant. Argent du néant, ex nihilo, une usure vorace, cause des crises. Le vrai secret ...Erreur comptable dans la création monétaire
https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/9nuvCw9BDCm
30 janv. 2017 - Erreur comptable dans la création monétaireCréation monétaire bancaire du néant, Ex nihilo et swaps Les ...
https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/G6cEGvD4fuG
9 janv. 2016 - François de Siebenthal: Création monétaire bancaire du néant, Ex nihilo ... ont au moins 7 manières de "créer" des "substituts" monétaires en ...L'économiste Suisse, Francois de Siebenthal explique en 30 minutes l ...
www.businessbourse.com/.../leconomiste-suisse-francois-de-siebenthal-explique-en-3...
23 juil. 2015 - François de Siebenthal, économiste HEC, répond aux questions concernant la création monétaire et l'initiative Monnaie pleine qui circule ...L'initiative sur la «Monnaie pleine» en douze questions - Le Temps
https://www.letemps.ch/economie/2014/06/.../initiative-monnaie-pleine-douze-questio...
3 juin 2014 - La création monétaire et le système financier posent-ils problème? ... Parmi ses soutiens, on trouve François de Siebenthal, économiste HEC ...François de Siebenthal: BNS: Vous devez en être tous, suisses et ...
desiebenthal.blogspot.com/2017/02/bns-vous-devez-en-etre-tous-suisses-et.html
6 févr. 2017 - et dans les industries du carbone polluant ( gaz de schistes, cracking, . ... 2016 04 20 Francois de Siebenthal BNS podcast - YouTube.François de Siebenthal: Pour une Banque Nationale vraiment Suisse ...
desiebenthal.blogspot.com/2015/07/pour-une-banque-nationale-vraiment.html
7 juil. 2015 - La BNS de papa, son symbole, St Martin qui donne la moitié de son ... investit dans legaz de schiste américain CONTRE le solaire suisse... etc.
Hallo zämä,
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Schöner Sonntig
Beste Grüsse
Dani