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Non aux impôts hérétiques

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Les vrais prix augmentent, logements, assurances, not. maladies...

Trop de taxes...

Et si on nous proposait de ne plus payer d'impôts quels qu'ils soient: directs, indirects, communaux, cantonaux, fédéraux, mondiaux, TVA, BILLAG, RiE 3, assurances maladies...
C'est désormais chose faite!
En reprenant notre souveraineté monétaire sur les créations monétaires, avec www.monnaie-pleine.ch
Lisez l'article et les liens afin de comprendre comment seront compensées toutes ces arnaques sur les impôts actuels. Pour que nous puissions être plus libres de nos contraintes actuelles.
Aucune déclaration d'impôts, et si les créations monétaires ne suffisaient pas, juste une micro-taxe automatique de 0,2 à 0,02% par transaction financière.
le vrai paradis fiscal suisse face aux enfers fiscaux


Comité du NON suisse au régime financier

Sandro Wächter (SVP, Aargau)
Simon Scherrer  (UP!, Zürich)
Silvan Amberg (UP!, Zürich)
Marc Wäckerlin (Piraten, Zürich)
Max Strässle (Libertas, St. Gallen)
Nicole Ruggle (Libertas, Zürich)
Fabio Hasler (UP!, Zürich)
Remo Senekowitsch (UP! St. Gallen)
Christoph Stampfli (Jungfreisinnige, Aargau)
Martin Hartmann (SVP, Zürich)
Markus M. Müller (Parteilos, Aargau)
Linda Seiler (FDP, Thurgau)
Max Krähenbühl (Jungfreisinnige, Zürich)
Michael Kiefer (FDP, Solothurn)
Johann Thusbass (Parteilos, Schwyz)
Serge Brunner (UP!, Zürich)
Stefan Haydn (SVP, Baselland)
Darshan Rubischung (Jungfreisinnige, Zürich)
Alec Hans (UP!)
http://finanzordnung-nein.ch/
https://up-schweiz.ch/

Personnes et organisations en Suisse romande:
Olivier Delacrétaz, de la ligue vaudoise et du journal la Nation  et https://www.ligue-vaudoise.ch/?nation_id=3818
David VINCENT de www.monnaie-pleine.ch à Genève
François de Siebenthal, du Comité d'initiative www.monnaie-pleine.ch  et membre notamment de la plateforme diocésaine dignité et développement, du BIEN et de www.familiaplus.com
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/08/universite-de-fribourg-la-monnaie-bien.html

www.dignitedeveloppement.ch

MM. Bernard Dugas, Genève membre notamment de www.aaapositifs.ch de et de www.monnaie-pleine.ch et du jeu de la monnaie.
Marc R. Studer
Président
Le Lobby des Citoyens


L' UDCVR. voir ci-dessous


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Un impôt hérétique
Olivier Delacrétaz
Editorial  La Nation n° 2088  19 janvier 2018


Le conseiller fédéral Ueli Maurer vient de lancer la campagne en faveur du régime financier de la Confédération, sur lequel nous voterons le 4 mars prochain. Cette campagne sera une promenade et la prorogation jusqu’en 2035 de l’impôt fédéral direct et de la taxe sur la valeur ajoutée est d’ores et déjà acquise.

Comme d’habitude, le Conseil fédéral et son administration, les partis de gauche et les Verts auraient bien voulu inscrire définitivement ces deux impôts dans la Constitution. Comme d’habitude, une résistance opiniâtre les en a dissuadés. L’IFD et la TVA, qui fournissent les deux tiers des ressources du pouvoir fédéral, resteront donc provisoires. Cela devrait suffire à lever toutes les oppositions. Toutes? Non. La Ligue vaudoise reste inébranlablement opposée à l’impôt fédéral direct, frontalement contraire au fédéralisme.

L’alliance fédérale ne lie ni des personnes, ni des villes, ni des entités linguistiques ou confessionnelles, ni des partis, ni des courants d’idées. Elle lie des Etats. Elle s’est sans doute resserrée au cours des siècles, mais elle continue d’être une alliance. Même dans le cadre de l’Etat fédératif de 1848, les cantons sont restés des Etats souverains, comme ne cesse de le proclamer l’article 3 de la Constitution fédérale.

Ce n’est pas seulement une question de droit. Aujourd’hui encore, sous les assauts de la modernité unificatrice et centralisatrice, les cantons demeurent fortement différents dans leur manière d’être et de vivre. Les nouvelles lois fédérales, si détaillées soient-elles, continuent d’être apprêtées à la sauce cantonale. Comparez la façon dont Vaud et le Valais, par exemple, appliquent Harmos ou la loi fédérale sur l’aménagement du territoire!

Dans une logique fédéraliste stricte, l’Etat cantonal est responsable de sa population et la consulte pour former ses décisions. Et c’est lui l’interlocuteur de la Confédération. Autrement dit, celle-ci ne devrait avoir à faire qu’aux Etats cantonaux. La notion de «contribuable fédéral» est illogique.

C’est dans cette perspective que la Ligue vaudoise avait lancé, il y a bien longtemps, une campagne sous le slogan «Il faut supprimer le Conseil national». M. Regamey demandait, dans son éditorial de La Nation d’octobre 1931, la suppression pure et simple de l’institution la plus discréditée, la plus nuisible, la plus corrompue de la Confédération, le Conseil national. Comme on sait, il n’a pas obtenu gain de cause. Il faut d’ailleurs reconnaître que ce Conseil se montre à l’occasion plus respectueux des souverainetés cantonales et des libertés individuelles que le Conseil des Etats.

Mentionnons encore une campagne d’une tout autre envergure, lancée par la Ligue en 1943, avec de nombreuses personnalités cantonales et fédérales, en faveur des «contingents financiers cantonaux». Toujours selon le même principe, il s’agissait de conserver aux cantons l’entière maîtrise de la fiscalité, charge à eux, en tant que membres de l’alliance fédérale, de pourvoir celle-ci des ressources financières nécessaires à l’exécution de ses tâches propres, principalement l’armée et la diplomatie. L’affaire prit de l’ampleur, fut relayée au parlement fédéral par plusieurs députés. Puis, trop contraire à l’esprit du temps, elle s’enlisa dans les marigots fédéraux, déboucha sur une solution de compromis et finit par échouer devant le peuple, le 4 juin 1950.

Une version plus légère du principe s’énonce ainsi: «Les impôts directs aux cantons, les impôts indirects à la Confédération.» Mais il y a toujours de bons motifs pour s’écarter des principes. En 1932, on introduisit l’«impôt de défense nationale», justifié par les nécessités militaires de l’époque. On rassura le contribuable: cet impôt serait limité au temps que dureraient lesdites nécessités. Mais un pouvoir ne lâche jamais un impôt, même provisoire. On continua donc de le percevoir après la fin de la guerre, se contentant de remplacer ultérieurement son nom par celui, plus exact, d’«impôt fédéral direct». Cette sincérité fiscale ne le rend pas moins inacceptable, aujourd’hui encore, pour les fédéralistes.

En 1992, l’Union suisse des arts et métiers lança une initiative «Pour l’abolition de l’impôt fédéral direct». La Ligue vaudoise, qui proposait depuis longtemps de négocier la suppression de l’IFD contre le remplacement de l’impôt sur le chiffre d’affaire (Icha) par la TVA, la soutint. L’initiative aboutit avec pas loin de 108 000 signatures, mais ses auteurs eurent peur de leur audace et retirèrent l’initiative, malgré notre opposition.

La TVA est un impôt indirect qui n’appelle pas de remarque particulière, si ce n’est qu’elle est trop facile à augmenter. Cela dit, nous n’y pouvons rien si les autorités ont cru bon de lier son destin à celui de l’IFD. Mais il ne sera pas dit que la Ligue vaudoise aura voté et fait voter en faveur d’un impôt contredisant les souverainetés cantonales, qui sont sa raison d’être et d’agir.

Autres soutiens à un non au régime financier:

L’UDCVR dit « NON » à l’arrêté financier 2021

Réunie en Conseil de parti à Martigny, l’UDCVR s’est prononcée sur l’arrêté fédéral concernant le nouveau régime financier 2021.
L’impôt fédéral direct (IFD) et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sont les principales sources de recettes de la Confédération. Cette dernière a le droit de les percevoir jusqu’en 2020. 
Le nouveau régime financier 2021 permet de prolonger la perception de ces impôts jusqu’à fin 2035.
Si, objectivement, il est impossible pour la Confédération de continuer à assumer les tâches qui lui incombent sans les recettes de l’IFD et de la TVA, l’UDCVR s’insurge par rapport au non-choix qui est proposé au peuple. Les recettes de la Confédération doivent pouvoir être réévaluées à intervalles régulier (ceci afin de maintenir un droit de regard face à l’appétit insatiable de l’Etat pour l’argent durement gagné par les contribuables.
On se rappelle aussi que l’IFD était, à la base, un impôt temporaire, qui se prolonge sans cesse.
Dans un souci de compromis, à Berne, l’UDC a proposé de pouvoir voter sur le principe de ces taxes tous les 10 ans. Ce compromis a été refusé. Il aurait été aussi judicieux de permettre à la population de choisir séparément le maintien de la TVA et de l’IFD.
Malheureusement, et ça devient une mode détestable sous la coupole, on veut forcer le peuple à faire le choix du tout ou rien. L’UDCVR ne cédera pas à ce chantage honteux et refusera cet arrêté fédéral en renvoyant Berne à ses dossiers pour venir avec une proposition de financement véritablement démocratique et que la Confédération mène une vraie réflexion sur ses missions.




La presse ne nous informe que trop peu sur ces sujets...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2018/01/regime-financier-pour-qui.html


Depuis maintenant trop longtemps les banques commerciales privées ont obtenu le transfert d’un pouvoir régalien autrefois détenu par la puissance publique: celui de créer par une ligne d’écriture informatique toute la monnaie scripturale, monnaie chargée d’intérêts, que les ménages, les entreprises et même les administrations sont dans l’obligation d’utiliser lors de tous les échanges commerciaux.
Négligeant leur rôle premier qui est de financer l’économie (une carence qui explique en partie la gravité de la crise et du chômage), elles spéculent en risquant d’entrainer les déposants dans leur chute. On compte plus de 20 crises financières depuis 1980 dont la dernière de 2007 laisse encore de nombreuses traces ; la prochaine emportera peut être toutes vos économies car la garantie des dépôts ne peut s’appliquer en cas de crise systémique !
Bientôt une votation en Suisse sur ce sujet. Si la votation remportait la majorité, la Banque Centrale (Banque Nationale Suisse) garantirait 100 % des dépôts à vue et serait seule autorisée à créer toute nouvelle monnaie, sans intérêts.
Commentaires:
Donc avec beaucoup moins d'impôts.
M. Joseph Huber a estimé hier au GDI de la Migros qu'on pourra récupérer au moins 550 milliards de francs, sic... grâce à monnaie-pleine.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/12/monnaie-pleine-comblera-lecart.html






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