Le bien commun : entre passé et avenir
3 au 5 septembre 2015, un colloque autour du bien commun. Cette notion occupe une place centrale dans l’enseignement social chrétien. Le bien commun apparaît à la fois comme un processus historique et une asymptote, inatteignable dans sa plénitude sur terre bien que recherché avec passion, mais dont on expérimente néanmoins des réalisations partielles. L’Université de Fribourg organise, du
Les premières sessions vont approfondir la notion du bien commun d’un point de vue théologique et philosophique, mais aussi à mettre en évidence l’analogie entre le climat intellectuel d’aujourd’hui et celui de la fin du XIXe siècle où des réflexions et des actions partout dans le monde (y compris l’Union de Fribourg) ont posé les jalons de la première l’encyclique sociale Rerum Novarum en 1891.
La conférence va se pencher sur les efforts multiples visant à mettre sur pied des structures et des organisations susceptibles de faire converger les actions de chacun vers le bien commun compris comme „force d’inspiration du présent“, soit au niveau global, soit au niveau des collectivités locales, des Etats, des entreprises et associations.
Dans sa dimension prospective la notion du bien commun permet de mieux répondre aux défis de demain : le défi écologique, celui de la vocation sociétale de l’activité économique et financière, le défi d’une vision politique à l’échelle mondiale, celui des nouvelles technologies (information, médecine, urbanisme, environnement, etc.), celui des Objectifs du Millénaire et de « Beyond 2015 ».
Fichier d’inscription en ligne sur les sites suivants : www.aiesc.net www.unifr.ch/tms
Fichier d’inscription en ligne sur les sites suivants : www.aiesc.net www.unifr.ch/tms
Renseignements: info@aiesc.net
Les sessions sont en anglais et français.
UNION DE FRIBOURG. INVITATION. Du 3 au 5 septembre 2015.
Les dettes sorties du néant (ex nihilo) iniques et exponentielles restent impayables.
L'exemple suisse peut sauver le monde.
Le monde se meurt.
Un manque de pouvoir d'achat, des produits camelotes...
Une usure dévorante est venue ajouter encore au mal, URGENT.
Les machines, robots, ordinateurs rendent le "travail humain rémunéré " (dans chaque industrie) de plus en plus rare, c'est un fait.
Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables mondialisées.
Ce sont des gaspillages stupides . La seule solution est de promettre des revenus de base et la liberté de créer des emplois nouveaux payés de plus en plus par des robots et des machines.
La politique de plein emploi doit être remplacée par une politique de liberté de décider quoi faire hors de l’économie formelle pour de plus en plus de personnes, parce que l’économie formelle ne nécessite plus le travail de tous les adultes - le revenu de base et le dividende créditiste pourraient être deux choses différentes car le dividende peut changer selon la performance de l’économie et le financement qui est aussi différent.
En effet, le dividende universel n'est financé ni par les impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, car il est financé par la création d'argent nouveau sans dettes. MONNAIE PLEINE OU VOLLGELD.
Il vient surtout de la création monétaire actuellement volée (sic) par le système bancaire.
L’ écart entre les prix et le pouvoir d'argent est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts, nous voulons au contraire le combler par la création d'argent nouveau sans dettes à travers le dividende et l'escompte.
Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires en vue de gaspillages honteux et polluants... Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté...
Pour être clair, nous soulignons aussi que l'argent pour la production sous un système créditiste continuerait être de l'argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.
C'est seulement le dividende et l'escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l'écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l'automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.
VIVE LA ROBOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.
Le revenu de base est entré au Parlement suisse ! La commission des affaires sociales du Conseil national (CSSS-N) a ainsi commencé à étudier notre initiative RBI. Et la première édition du nouveau journal francophone « l’Inconditionnel », entièrement consacré au revenu de base, est disponible partout en Suisse romande.
Rerum novarum toujours plus d'actualité
Presque dès le début de l'Encyclique de Léon XIII, deux phrases, qui se rapportent certainement à cette voracité de l'argent, nous laissent sur une certaine curiosité, par l'emploi d'une expression non précisée et qui ne revient pas dans le reste du document :
« Une usure dévorante est venue ajouter encore au mal. Condamnée à plusieurs reprises par le jugement de l'Église, elle n'a cessé d'être pratiquée sous une autre forme par des hommes avides de gain et d'une insatiable cupidité ».
Qu'est-ce que cette « usure dévorante sous une autre forme ? » En quoi consiste cette nouvelle forme d'usure qui est venue s'ajouter à l'oppression des travailleurs ?
C'est cette "création monétaire du néant" qui écrase les familles par des intérêts exponentiels et déments sur la durée.
La création de la dette publique perpétuelle, contractée par les États, les provinces et les communes, même pour entreprises non lucratives. Cette dette permet aux capitalistes de s'enrichir, aux dépens de l’État, par les bénéfices qu'ils réalisent sur le prix d'émission des emprunts. Elle fournit aux spéculateurs un élément considérable pour l'agiotage et les jeux de bourse et aux rentiers le moyen de s'approprier les fruits du travail du peuple.