Coronavirus, qui profite des crimes ?
Ils ont prévus en 2017 une pandémie au coronavirus pour 2020 et pourraient recevoir des sommes folles à titre de ce pari dans quelques jours ! Quelle prescience et quel cynisme que de parier sur la mort ! Ces instruments s’appellent les pandemic bonds, les obligations pandémiques, des paris sur le coronavirus, faits en 2017 notamment, sic... par la banque mondiale ! Des critères restrictifs et les taux d’intérêt élevés à 12 % sont nécessaires pour attirer les investisseurs dans le mécanisme. Mais selon Olga Jonas, les «pandemic bonds» ne permettent pas d'agir rapidement, puisque le mécanisme ne se déclenche que lorsque la situation est déjà très dégradée.Néanmoins, pour le Covid-19 et d'après la Radio publique canadienne, les fonds seront débloqués dès lors que le Covid-19 aura fait plus de 20 morts dans un pays pauvre en dehors de la Chine (dont ne font partie ni l'Iran ni la Corée du Sud) et 195 millions de dollars pourraient alors être mobilisés. Mais toute ceci pue une spéculation bizarre qui aurait retenu l'OMS pour favoriser les investisseurs privés, sic... Y a-t-il aussi des ventes à terme louches sur les compagnies aériennes ? https://www.rts.ch/play/tv/t-t-c--toutes-taxes-comprises/video/focus-sur-les-pandemic-bonds-?id=11169200
https://drive.google.com/open?id=17_xA1PMDTPMXLHYw1yBAMMPk3AvI85OF
De bonnes nouvelles:
https://www.latribune.fr/economie/international/trump-approuve-la-chloroquine-comme-traitement-contre-le-covid-19-842747.html?fbclid=IwAR05G64EWjxfqY98LeJYGURIwYu_Jad-2HeyIkItQhnktvpj4Yn9lkrnITAEn fait, bien qu'il soit peu écouté au sein du conseil scientifique du Président de la République dont il fait partie, le Pr Raoult a obtenu l'accord pour une première expérimentation qui lui a permis d'améliorer considérablement celles qui ont été faites - sur ses conseils - par les chinois (non plus 2x500mg d'hydroxychloroquine pendant 10 jours - ce qui est proche des doses tolérables, mais un combiné de 600mg d'hydrochloroquinependant 6 jours et de deux comprimés d'Azithromycine le premier jour puis 1 comprimé pendant 4 jours). Les résultats sont spectaculaires: la charge virale passe de 100% à moins de 5% pour les trois-quarts des patients en 6 jours, c'est-à-dire qu'ils sont guéris et ne sont plus contagieux. Il préconise des campagnes de test massives et le traitement systématique car, d'après ses dires, même les formes asymptomatiques du COVID-19 entraînent des lésions pulmonaires. Et sur ce point, il semble que ses pairs ne soient pas prêts à le suivre, ils ont préconisé l'immunité de groupe, en d'autre terme, laisser l'épidémie se développer en évitant qu'elle sature le système hospitalier et lorsque 60 à 70% de la population aura été touchée et donc immunisée, l'épidémie s'éteindra d'elle-même.Par ailleurs, de nombreux pays sont en train de conduire des tests à plus grande échelle (jusqu'à 10000 patients) pour valider définitivement cette thérapie. On peut penser que d'ici une quinzaine de jours, elle pourrait être opérationnelle, si les intérêts des laboratoires qui voient ainsi échapper un gros pactole (les médicaments ne coûtent pratiquement rien) et des équipes de chercheurs de ces labos qui voient leur échapper un possible Nobel ne s'y opposent pas. Prions pour notre président pour qu'il prenne la bonne décision.Le Pr Raoult a été avisé de publier systématiquement les résultats des travaux de son équipe pour empêcher que le débat se passe à huis-clos.
Deux Italiens ont fabriqué, à l’aide d’une imprimante 3D, des valves à oxygène. Ces dernières venaient en effet à manquer dans un hôpital à Brescia pour les respirateurs artificiels, le fabricant n’arrivant pas à suivre l’augmentation de la demande. Le média The Verge, qui racontait que ces derniers avaient été menacés d’attaque en justice par le fabricant, a depuis fait volte face: ...
Pourquoi on en parle. L’affaire est en réalité plus compliquée: le fabricant a d’abord été contacté pour lui demander les plans de la pièce manquante. Ce dernier aurait déclinée en invoquant des raisons légales, mais sans aller plus loin. La première version de cet article faisant apparaître les mêmes erreurs que celle de The Verge, nous l’avons mis à jour.
Coronavirus Info LIVE, [19.03.20 03:50]The original article follows below.
A medical device manufacturer has threatened to sue a group of volunteers in Italy that 3D printed a valve used for life-saving coronavirus treatments. The valve typically costs about $11,000 from the medical device manufacturer, but the volunteers were able to print replicas for about $1 (via Techdirt).
A hospital in Italy was in need of the valves after running out while treating patients for COVID-19. The hospital’s usual supplier said they could not make the valves in time to treat the patients, according to Metro. That launched a search for a way to 3D print a replica part, and Cristian Fracassi and Alessandro Romaioli, who work at Italian startup Isinnova, offered their company’s printer for the job, reports Business Insider. However, when the pair asked the manufacturer of the valves for blueprints they could use to print replicas, the company declined and threatened to sue for patent infringement, according to Business Insider Italia. Fracassi and Romaioli moved ahead anyway by measuring the valves and 3D printing three different versions of them.
So far, the valves they made have worked on 10 patients as of March 14th, according to Massimo Temporelli, the founder of Italian manufacturing solutions company FabLab who helped recruit Fracassi and Romaioli to print the replica valves.
“[The patients] were people in danger of life, and we acted. Period,” said Fracassi in a Facebook post. He also said that “we have no intention of profit on this situation, we are not going to use the designs or product beyond the strict need for us forced to act, we are not going to spread the drawing.”
Here’s a good look at the valves, shared by Italy’s Minister of Technological Innovation Paola Pisano on Twitter. Italy has more than 31,500 confirmed infections of COVID-19, the disease caused by the novel coronavirus, and more than 2,500 confirmed deaths. Both figures trail only China.
Petit témoignage nous parvenant directement d'un médecin en Grande-Bretagne :
"Je travaille dans le service des maladies infectieuses d'un grand hôpital britannique. Ce service est maintenant devenu un service spécialisé dans les coronavirus. C'est une "zone rouge" - l'une des zones les plus infectieuses. Nous avons ici tous les patients qui ont été testés positifs, à l'exception de ceux qui sont si gravement malades qu'ils ont besoin de soins intensifs. Nous savons que certains de nos patients vont mourir.
Je traite des patients dont il est prouvé qu'ils sont atteints de coronavirus. Il y a une semaine, je portais un EPI (équipement de protection individuelle) complet. Il se compose d'un masque FFP3 [qui offre une protection respiratoire élevée], d'une visière, d'une blouse chirurgicale et de deux paires de gants.
Le problème, c'est que depuis, on nous a dit de ne pas nous préoccuper de tout cela. Ils nous ont dit de "faire comme si c'était une grippe saisonnière". On nous demande maintenant de porter un masque chirurgical normal, une paire de gants courts ordinaires et un tablier en plastique qui ne vous couvre pas tous comme le fait une blouse de chirurgien. Je verrais d'autres patients dans l'hôpital dans la même blouse, et la blouse pourrait très bien être compromise et porter une infection au coronavirus.
Mais cet avis est en contradiction avec les directives de l'OMS et de l'Europe. Ces recommandations préconisent d'utiliser un EPI complet si vous êtes exposé à des patients atteints de coronavirus.
Je suis terrifié. Je me demande sérieusement si je peux continuer à travailler comme médecin dans ce pays. Je suis peut-être bien - je suis jeune et en bonne santé - mais je ne peux pas supporter l'idée d'infecter d'autres patients avec une maladie qui pourrait les tuer. Et c'est là que réside le risque, sans un EPI adéquat. C'est terrifiant, c'est indescriptible. Ce n'est pas la grippe saisonnière. C'est un nouveau virus avec une mortalité plus importante et nous en savons beaucoup moins sur celui-ci que nous le prétendons.
Je ne peux pas croire ou comprendre pourquoi la santé publique anglaise a revu à la baisse nos conseils en matière d'EPI. Pourquoi contredisent-ils les conseils internationaux ? Il y a énormément de preuves que les masques chirurgicaux ordinaires protègent contre la grippe saisonnière, et non contre ce nouveau virus. Des médecins meurent en Italie. Des jeunes meurent aussi.
Je perds confiance dans les dirigeants, tant sur le plan médical que politique. On dirait qu'il n'y a pas de plan. Nous avons eu des semaines pour nous préparer et nous sommes toujours à court de PPE. Il est clair que dans leurs esprits, les médecins sont remplaçables. Pourquoi nous sacrifier alors que nous ne sommes pas assez nombreux ? Combien d'entre nous seront encore capables de travailler lorsque le "moment le plus important" arrivera ? Ils nous jettent à l'abattoir. C'est ce qu'ils font. Il n'y a pas d'autres mots.
Je n'arrive même plus à dormir. Je me sens malade. Ils m'empêchent de faire mon travail. Je suis en état de choc. Je me sens trahi. Qui va s'occuper de nos patients si nous sommes malades ou morts ? Je n'ai pas les mots.
On dit au personnel hospitalier que nous ne pouvons pas être testés si nos symptômes sont légers. C'est incroyable. Si nous n'avons pas le droit de nous faire tester, comment saurons-nous combien d'autres personnes - de patients - nous infectons ?
Franchement, c'est génial. Quel plan brillant..."
Rendez-vous bien compte que la situation est identique en France et dans la plupart des pays européens.