MONNAIE-PLEINE = MONNAIE POSITIVE !
http://desiebenthal.blogspot.com/2018/06/monnaie-pleine-la-lampe-daladin.html
Monnaie pleine aux USA ?
La FED peut créer de la monnaie sans dette !! c'est le nouveau dollar
électronique, distribué aux habitants directement !!
Exemple historique,
QUELQUES PAS DANS LA BONNE DIRECTION :
BILL TO LIFT PRICES IS PASSED BY HOUSE
BY 289 VOTES YES TO 60 NO;
Goldsborough Measure Directs Reserve Board to Control Credit and Currency.
EXPLICATIONS
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http://desiebenthal.blogspot.com/2018/06/revision-totale-de-la-constitution.html
En Suisse, en germe, si on lit entre les lignes:
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Qui profite des crimes 2 ? Avec ces pandemic bonds. les spéculateurs ont gagné toujours jusqu'à présent à absolument tous les coups, en plus ils jouent à la baisse, puis à la hausse . Depuis 2017, ils ont gagné à chaque fois, espérons que cette fois, ils me donnent tort et qu'ils acceptent de perdre, pour cette fois :-) BNS, Finma, Ueli Maurer, Serge Gaillard, CS, BCZ etc .. çà reste de la création monétaire des banques comme le système actuel, oui, mais à 0% jusqu'à CHFR 500'000 pour 7 ans car caution de la Confédération.
Non à l’idolâtrie de l'argent. Un bon début, un petit pas dans la bonne direction... Vu notamment l'encyclique Vix pervenit, la Suisse a décidé le 25 mars d' un taux d'intérêt à zéro pour tous pour 7 ans jusqu^à 500'000 francs suisses, environ 500'000 Euros ou dollars
https://desiebenthal.blogspot.com/202...
http://desiebenthal.blogspot.com/2017...
https://www.admin.ch/opc/fr/classifie...
Ils disent que leur plan ne peut pas être plus simple ! C'est faux, chacun doit recevoir le même montant automatiquement, tout simplement !
COMME TRUMP COMMENCE à LE FAIRE AUX USA
La BNS met donc en place la nouvelle facilité de refinancement BNS-COVID-19 (FRC). Celle-ci a pour objectif de renforcer l’accès de l’économie suisse au crédit, en mettant des liquidités supplémentaires à la disposition du système bancaire. Le montant de la FRC est illimité. La facilité peut être utilisée en tout temps.
https://www.newsd.admin.ch/newsd/mess...#WhiteRabbit#LapinBlanc#COVID19
Les crédits seront versés rapidement et de manière non bureaucratique jusqu’à un montant de 500 000 francs. Ils seront garantis à 100 % par la Confédération et leur taux d’intérêt sera nul. Ecoutez surtout M. Ueli Maurer, entre les lignes !
avec: Guy Parmelin, conseiller fédéral, chef du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR) Alain Berset, conseiller fédéral, chef du Département fédéral de l’intérieur (DFI) Ueli Maurer, conseiller fédéral, chef du Département fédéral des finances (DFF) sous la direction du vice-chancelier André Simonazzi, porte-parole du Conseil fédéral Remarques préliminaires suite notamment au discours de M. Ueli Maurer.:
1) La personnalité juridique apparaît dans les registres du Code Commercial Uniforme (UCC) aux Etats-Unis qui a été adopté par la Suisse en 1994 : https://www.admin.ch/opc/fr/federal-g...
2) De plus la personne physique est une entreprise, selon l’art. 3 Définitions al 1. Transports routiers Aux fins du présent accord en entend par : – entreprise : toute personne physique,… https://www.admin.ch/opc/fr/classifie...
Chaque entreprise, donc aussi chaque personne physique, qui sont des entreprises selon le droit suisse, peut donc recevoir au moins 500'000 fr sans gages. Les banques doivent avancer ces fonds. Et nous exigeons que ces fonds soient donnés ( les près de 800 milliards du bilan de la BNS le permettent ) ou à intérêts négatifs, comme pour les banques, en vertu du principe d'égalité, qui est un droit humain reconnu par tous les codes modernes. Sinon, les remarques ci-dessous sont valables et respectent le principe de la bonne foi. Autrement, nous avons une rupture de l'Etat de droit. Ceux qui les violeraient provoqueraient un état de guerre selon le statut de Rome notamment.... Commentaire de Martial Garcia Bon, les z'amis, au vu de la désinformation massive de la RTS et des différents parlementaires interrogés, il faut vraiment que je remette l'église au milieu du village. Non, le Conseil Fédéral n'a pas mis 42 milliards sur la table pour sauver les indépendants et les PME. Il n'a rien mis, ZÉRO francs. Que dalle!!!! Malgré les centaines de milliards de réserves de la BNS, il n'a pas sorti 2 balles... Il n'a fait qu'autoriser les banques privées à proposer des crédits remboursables créés d'un simple clic sur un clavier, aux indépendants et aux PME qui se retrouveront endettés, à vie pour certains, et soumis à la finance. Ce plan, c'est juste de permettre aux banquiers de se gaver à très long terme! On a les ressources (BNS) pour distribuer de l'argent gratuit et c'est cela que les indépendants attendent. Ce CF et les parlementaires qui les félicitent sont des escrocs, des criminels, des ordures!!!! Il est vraiment temps que les citoyens s'intéressent enfin à la création monétaire et à ce système monétaire mortifère!!! Et pas un seul journaliste pour relever cette scandaleuse mise en scène... ABE PS: Que faire ? En Suisse, ils offrent de l'argent gratuit pendant 7 ans, à nous de bien l'employer, par exemple en transformant la BNS en coopérative citoyenne intégrale !
Résultats
Une coopérative bancaire suisse intégrale, avec les vidéos.
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Dans Le Temps...
"La BNS a-t-elle un plan «helicopter money» dans ses tiroirs?"
Jean: Studer:
"Vous comprendrez que je ne peux pas répondre à cette question. En
revanche, je constate que ce qui est actuellement proposé aux
entreprises, c’est l’étape avant l’helicopter money."
"Les situations américaine et suisse sont très différentes, notamment
en termes de prévoyance sociale et d’accès aux soins. Mais la décision
américaine montre surtout que, lorsque l’on est dans des situations
comme celle d’aujourd’hui, il faut tout envisager. Y compris des idées
qui paraissaient complètement farfelues il y a encore six mois. En
Suisse, je préconiserais de tester les mesures prises avant de monter
en puissance."
Jean Studer: «Ce qui est proposé aux entreprises, c’est l’étape avant
l’helicopter money»
CRISE
Jean Studer, président de la Banque cantonale neuchâteloise passé par
la Banque nationale suisse, analyse la crise actuelle et les réponses
apportées par les banques cette semaine. Il estime que «si l’on
n’assure pas la circulation de l’argent, tout peut s’effondrer»
Jean Studer: C’est bien sûr une situation totalement hors norme. Le
seul avantage qu’elle a par rapport à une situation de guerre, c’est
que cette crise va laisser intact l’appareil de production. —
©
François Wavre / Lundi 13 pour Le Temps
Valère Gogniat
...
Lire aussi: Les prêts-relais, un sprint bancaire historique (26.03.20)
Depuis chez lui à Neuchâtel, Jean Studer a suivi cela de près. D’abord
comme ancien président de la Banque nationale suisse, mais aussi comme
actuel président de la Banque cantonale neuchâteloise. Il juge ces
mesures «totalement iconoclastes» mais estime qu’elles visent juste.
Le Temps: Cette crise a ceci de particulier que l’offre et la demande
chutent simultanément. Comment peut-on réagir dans ce genre de
circonstances?
Jean Studer: C’est bien sûr une situation totalement hors norme. Le
seul avantage qu’elle a par rapport à une guerre, c’est que cette
crise va laisser intact l’appareil de production. Partant de ce
constat, je considère que les options prises cette semaine – les
crédits-relais aux entreprises pour leur garantir des liquidités –
visent juste. Même si elles sont totalement iconoclastes dans une
économie libérale comme la nôtre, elles sont justes. Il est impératif
d’assurer la transition pour les employés et les employeurs.
Le Covid-19 et l’économie
«Ce qui est proposé aux entreprises, c’est l’étape avant l’helicopter money»
Les marchés obligataires chahutés comme jamais
Le Covid-19 pourrait accélérer l’émission d’obligations paneuropéennes
Les banques donnent de l’air aux PME
Vers un sursis pour la medtech suisse
Les prêts-relais, un sprint bancaire historique
«Pour les petits indépendants, il est difficile d’économiser»
Avec le coronavirus, l’économie américaine sous perfusion
En vidéo: Coronavirus: quel impact sur l’économie?
L’un des éléments qui frappent est la vitesse à laquelle ces décisions
«iconoclastes» ont été prises par l’administration. Et la coordination
des différentes entités…
La réaction concertée du Conseil fédéral, de la Finma (gendarme des
marchés financiers) et de la BNS est tout à fait exemplaire. Je pense
que l’on apprend chaque fois des crises précédentes. Après 1929, nous
avons compris qu’il fallait intervenir rapidement durant une crise.
Celle de 2008 a montré l’importance d’actions concertées. D’abord
entre les banques centrales des différents pays, puis entre les
banques centrales et les autorités politiques. C’est ce à quoi l’on
assiste maintenant.
Ce plan de sauvetage met les banques (grandes et petites) sur la ligne
de front. Et leur fait jouer un rôle quasi para-étatique. Cela vous
surprend?
L’accroissement de l’importance de l’activité économique et financière
dans notre société a augmenté l’importance des banques. Et, partant,
de nos attentes à leurs égards. Est-ce très différent dans le cas de
cette opération? Je ne pense pas. Nous avons simplement acquis la
conviction que si l’on n’assure pas la circulation de l’argent, tout
peut s’effondrer comme un château de cartes. Jusqu’à récemment, ce
n’était pas une conviction largement partagée. Mais c’est peut-être un
autre enseignement de 2008: les acteurs qui font circuler l’argent
doivent être sollicités et mis à contribution.
Pensez-vous que les plus petites banques – comme la BCN – seront
capables de gérer une telle pression? On parle de milliers de
sollicitations par jour…
Oui. D’abord parce que le système mis en place est d’une simplicité
déconcertante (je l’ai moi-même testé ce matin). Le travail des
banques en est allégé d’autant. Ensuite, les banques vont devoir
traiter des volumes de demandes relatifs à leurs tailles. Et elles
connaissent les entreprises qui feront les demandes. Nous prenons par
ailleurs des mesures: à la BCN, nous avons réorienté des employés
affectés à la clientèle privée pour la clientèle entreprise. Pour
répondre au nombre important de demandes, nos équipes chargées de ces
dossiers travailleront d’ailleurs ce week-end.
Cette crise a poussé certaines banques centrales (en Asie, aux
Etats-Unis) à recourir à l’«helicopter money», soit la distribution
directe d’argent à la population pour relancer la consommation des
ménages. Va-t-on y passer également en Suisse?
Les situations américaine et suisse sont très différentes, notamment
en termes de prévoyance sociale et d’accès aux soins. Mais la décision
américaine montre surtout que, lorsque l’on est dans des situations
comme celle d’aujourd’hui, il faut tout envisager. Y compris des idées
qui paraissaient complètement farfelues il y a encore six mois. En
Suisse, je préconiserais de tester les mesures prises avant de monter
en puissance.
Lire aussi: L’«helicopter money» décolle aux Etats-Unis (17.03.20)
La BNS a-t-elle un plan «helicopter money» dans ses tiroirs?
Vous comprendrez que je ne peux pas répondre à cette question. En
revanche, je constate que ce qui est actuellement proposé aux
entreprises, c’est l’étape avant l’helicopter money. Regardez par
exemple l’ordonnance de la nouvelle loi, qui dit que l’envoi de
formulaire de demande de crédit-relais vaut contrat… Pour le juriste
que je suis, c’est un renversement assez invraisemblable.
Lire aussi: L’hélicoptère monétaire plane sur la Suisse (13.03.20)
Une fois le gros de la crise passée, la Suisse devra se réintéresser à
son franc, toujours plus fort…
Tout à fait. Le franc fort reste et restera un gros problème pour
notre économie. Mais je note aussi que, grâce à la débrouillardise de
nos entreprises, elles ont pu gérer le passage d’un euro à 1,20 à un
euro à 1,10 et s’y adapter. Je ne peux pas exclure qu’elles doivent
composer dans un futur proche avec la parité.
Comment expliquez-vous cette capacité de l’économie suisse à surmonter
les crises?
On en revient toujours à nos conditions-cadres qui facilitent cette
résilience. Je pense à l’outil du chômage partiel qui est
particulièrement adapté pour encaisser les chocs et faciliter la
relance de la machine, quand la reprise survient. Je pense au
partenariat social, qui fait toujours ses preuves. Je soulignerais
aussi la qualité du service public. Notre économie privée peut bien
faire face à d’importantes difficultés, mais le service public de haut
niveau permet de faciliter la transition.
La première initiative micro-impôt à signer très vite, merci
https://micro-taxe.blogspot.co
Nous avons besoin de commentaires pour améliorer les prochaines étapes:
No-taxes, mannes suisses, démocratie économique, dividendes pour tous.
Pour soutien et remarques...
Ce second texte est encore modifiable et adaptable
https://docs.google.com/docume
Promesses de signatures, comités de soutiens:
https://forms.gle/mQ6ij6xzs1En
Pour ceux qui sont d'accord de figurer dans nos comités, soit
fédéraux, cantonaux, communaux, professionnels, scientifiques, de
soutien.
Merci aussi nous promettre des soutiens pour les actions futures.
https://docs.google.com/docume
http://chng.it/hDNnzmJg