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G. Foucher aux "Rencontres du Lundi" ce 19.10.2015

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Venez voir Gérard Foucher en conférence aux "Rencontres du Lundi" le 19 octobre 2015 à 18h15 à la Villa Rigot au 9, avenue de la Paix à côté de la place des Nations!




"La monnaie c'est la guerre" (mais il y a un espoir...)
Vous avez remarqué ? La monnaie c'est le pouvoir absolu, c'est le droit divin de créer le futur, c'est ce qui donne à ceux qui possèdent ce pouvoir cette…
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Vous, Martial Garcia, Bernard Genoud, Rabin Michel et 9 autres personnes aimez ça.
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Commentaires


Pascale Balestra Hirsch Pas ou plus besoin de comptables ?
Eh ben ....
La gabegie assurée

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Blaise Rossellat Le problème principal de cette création monétaire est la prise de pouvoir par un petit nombre. La solution est un système d'échange comptable équilibré dont chaque humain aurait la maîtrise. Il faut donc décentraliser la comptabilité que l'on a confiéaux banques auprès de chaque citoyen du monde avec un système d'échange en pair à pair. Nous travaillons actuellement dessus en parallèle de notre objectif de transformer la BNS en coopérative. Un citoyen, une part sociale, une voix!

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Bernard Lebas Allez, j'invite Alain Lipietz, pcqe je crois en l'homme !

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Blaise Rossellat"Vous avez remarqué? La monnaie c'est le pouvoir absolu, c'est le droit divin de créer le futur, c'est ce qui donne à ceux qui possèdent ce pouvoir cette supériorité totale sur les manants, ce sentiment de devenir des dieux eux-mêmes, et donc de ne plus avoir aucune raison de suivre quelque code moral ou humain que ce soit. Le pouvoir absolu de dominer tout le reste de la création, et même de décider de ce qui va être créé ou pas, de ce qui va vivre ou pas, ce pouvoir rend fou, et il est plus addictif et dangereux que les drogues les plus puissantes qui puissent exister. Ce pouvoir et cet outil ne pourront pas survivre au troisième millénaire. Si nous comprenons l'enjeu qui sous-tend cette puissance, nous ne pouvons que souhaiter qu'elle n'existe plus."
Gérard Foucher

J’aime· Répondre· 3· 7 h


Blaise Rossellat Contrairement à ce que disent les banques commerciales et leurs suppôts, une banque n'est pas du tout une entreprise comme une autre.

- Une banque grossit infiniment par prédation sur l'ensemble de ses clients qu'elle ponctionne sans produire quoi que ce soit elle-même. Et ce n'est pas le fait qu'elle emploie des dizaines de milliers d'esclaves pour gérer le butin qu'elle a volé qui excuse son extorsion initiale.

- Une banque inscrit à son actif des reconnaissances de dette non encore payées, ce qui est rigoureusement interdit à toute autre entreprise. Lors de l'attribution d'un crédit à un client, la banque inscrit le jour même à son actif la somme créditée. Cette simple écriture devient une richesse supplémentaire pour la banque, qui peut la revendre instantanément à quelqu'un d'autre. Cet enrichissement a été obtenu sans qu'aucun paiement, aucun transfert réel ni aucune production n'ait été effectuée par qui que ce soit. De plus, cette richesse supplémentaire constitue un pouvoir d'achat nouveau, un revenu qui n'est soumis à aucune forme d'imposition.

- Une banque paye toutes ses dépenses sans avoir rien produit au préalable, ce qui est impossible pour toute autre entreprise.

- Une banque ne produit rien, ce qui n'est le cas d'aucune autre entreprise.

- Une banque paye toutes ses dépenses en créant des reconnaissances de dette libellées dans une monnaie privée à laquelle elle donne le même nom que la monnaie ayant cours légal.

- Une banque inscrit les comptes de ses clients au passif de sa comptabilité, mettant en danger leurs soldes créditeurs au cas où elle ferait faillite.

- Une banque crée de nouvelles unités monétaires chaque jour, diluant ainsi la valeur de chaque unité déjà existante et effectuant ainsi une prédation sur les détenteurs de monnaie existante, ce qui constitue un vol par dilution.

On continue ?...

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Cedric Berman a répondu · 1 réponse



Blaise Rossellat La pensée de Martial Garcia qui rendra plus difficile de se lever les lundis matin...

"LA GROSSE ARNAQUE DES INTERETS BANCAIRES.

Savez-vous, les amis, que plus de 50% de votre revenu du travail (votre salaire) sert uniquement à payer des intérêts bancaires?

Si, si, il y a les intérêts directs sur vos propres crédits à la consommation ou leasings, mais il y a aussi les intérêts sur la dette publique que vous payez avec vos impôts.
A cela, s'ajoute tous les autres intérêts. Quand vous payez votre loyer, vous participez aux intérêts bancaires de votre propriétaire sur son crédit immobilier, lorsque vous prenez un café au bistrot, vous payez l'intérêt bancaire du crédit du restaurateur, et comme il utilise aussi votre café pour payer ses employés, vous payez aussi les intérêts des crédits de ces derniers. Lorsque vous prenez le taxi, vous payez les intérêts sur le leasing du véhicule, et ainsi de suite...

A chaque dépense provenant de votre salaire, vous participez à payer des intérêts bancaires sur toute la chaîne!

Donc, sans les banques, ou sans ce système d'argent dette, on pourrait tous bosser à mi-temps et vivre tout aussi bien... Et il y aurait du boulot pour tout le monde. Et cela éviterait que les 1% (les banquiers) prélèvent 50% des revenus des 99% des citoyens.

Pensez-y demain matin en partant au boulot... Vous allez être beaucoup moins motivés du coup... Ben oui, jusqu'à midi, vous allez TOUS bosser pour les banques... et ce sera pareil toute la semaine..."

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Blaise Rossellat😎😇

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Blaise Rossellat La monnaie, qui est le sang de l'économie, l'outil de transaction, devrait être un bien commun. Elle est au contraire un bien privé, qui appartient aux banques, donc à... des gens.

Ces banques émettent la monnaie, sous forme de crédit, et la louent : elles encaissent un loyer, l'intérêt, sur une richesse fictive qu'elles n'ont pas et dont elles ne se privent pas en prêtant. La monnaie doit leur être rendue. Si bien qu'un équilibre des comptes est impossible, rien que ça.
En effet, la monnaie nécessaire pour payer les intérêts n'existe tout simplement pas, et pour s'acquitter de ce loyer, l'emprunteur doit se débrouiller pour prendre dans d'autres poches une monnaie empruntée par d'autres, ce qui interdira à quelqu'un de rembourser. Toute personne qui réussit à équilibrer ses comptes provoque sans le savoir un déséquilibre chez quelqu'un d'autre, c'est mécanique et inévitable.
La réparation des vices systémiques et génétiques du système monétaire en cours impliquerait, ce fut détaillé ailleurs maintes fois, un revenu inconditionnel, plus ou moins cyclique, mais qui pourrait être institué stable par un étalement de la création monétaire.
Le revenu inconditionnel n'est donc pas une utopie ni une ineptie comme ce fut dit par un valeureux du conseil national. Il n'est difficile à instaurer, voire impossible, je le concède, que dans le paradigme actuel (monnaie privée payante et créée par la dette) qui implique l'argent rare, mais oui, l'argent rare dont se plaignent les gouvernements sans analyser la cause institutionnelle de la rareté.

J'ai bien aimé hier entendre des députés dire "l'argent ne tombe pas du ciel". Hé bien si, justement, il tombe du ciel, et le problème c'est que dans sa chute, avant même d'atterrir sur le plancher des vaches, il est confisqué. Il suffira de mettre fin à cette confiscation pour changer de... civilisation.

J’aime· Répondre· 1· 7 h· Modifié


Blaise Rossellat Chaque année les banques commerciales et la BNS créent l'équivalent de 200 milliards de CHF de création monétaire ex-nihilo en proportion d'un quart pour la BNS et le solde pour les banques commerciales.

Cette création monétaire est l'équivalent d'un revenu de base inconditionnel pour le système bancaire.

L'intérêt annuel payé sur le stock de création monétaire (1600 milliards) représente 80 milliards de CHF au taux d'intérêt moyen de 5%. Cela représente quasiment la moitié du PIB de la Suisse!

Avez-vous réalisé que la moitié de notre temps de travail sert en réalité à payer un tribut au système bancaire?!?

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