BANQUES D’INVESTISSEMENT
LA DEUTSCHE BANK VA LICENCIER ENCORE ENTRE 40.000 ET 50.000 BANQUIERS !!!
du 27 au 30 octobre 2015 : Un grand coupeur de têtes, John Cryan, venant de l'UBS, est arrivé au sommet de la Deutsche Bank en failllite. Pour sauver la banque, la couleur a été annoncée: "La DB a 100.000 salariés à plein temps. Ce chiffre devrait être ramené au niveau des concurrents directs: UBS et Credit Suisse qui emploient 60.000 et 47.000 personnes". Il a oublié "seulement". Ce qui veut dire que bientôt 40.000 salariés DE PLUS seront jetés à la rue.
LA DEUTSCHE BANK VA LICENCIER ENCORE ENTRE 40.000 ET 50.000 BANQUIERS !!!
du 27 au 30 octobre 2015 : Un grand coupeur de têtes, John Cryan, venant de l'UBS, est arrivé au sommet de la Deutsche Bank en failllite. Pour sauver la banque, la couleur a été annoncée: "La DB a 100.000 salariés à plein temps. Ce chiffre devrait être ramené au niveau des concurrents directs: UBS et Credit Suisse qui emploient 60.000 et 47.000 personnes". Il a oublié "seulement". Ce qui veut dire que bientôt 40.000 salariés DE PLUS seront jetés à la rue.
Ethos veut de nouvelles règles
Le président de la Fondation Ethos, Dominique Biedermann, veut réduire la voilure des banques d’investissement comme UBS et Credit Suisse. Les progrès effectués jusqu’à présent ne suffisent pas, at- il confié au journal «Schweiz am Sonntag».
De nouvelles règles de capitalisation pour les grandes banques sont nécessaires, à ses yeux. Il préconise un seuil minimal de 5 francs de fonds propres pour 100 francs investis.
Le bilan des deux plus grandes banques du pays est deux fois plus important que le produit intérieur brut (PIB) de la Suisse. «Il s’agit d’un risque immense, contre lequel on doit se protéger», indiquet- il. Selon lui, certains établissements financiers sont encore «too big to fail».
«La Suisse ne peut pas se permettre de laisser ces instituts bancaires faire faillite. Elle doit, par ailleurs, examiner si dans quelques années, ces établissements auront besoin de plus de fonds propres », explique Dominique Biedermann.
En outre, le président d’Ethos exige que les caisses de pensions soient exclues du taux d’intérêt négatif de la Banque nationale suisse (BNS). Il est dans l’intérêt de tous qu’elles enregistrent de bons rendements pour nos retraites. «Mais avec un taux d’intérêt négatif, elles paient un impôt caché», affirme Dominique Biedermann. A ses yeux, la marge de manoeuvre des actionnaires qui détiennent le plus de voix mais pas le plus d’actions doit également être mieux réglementée. AT S
Invitations ces 1 et 5 décembre à Berne et Zürich
Bernanke....au-dessus des USA, avec ses dollars... Monnaie-vide ou monnaie pleine à la suisse ?