Monnaie pleine, alias Vollged, alias Moneta entera, Viva, permet la résistance...
Suisses, visez les pommes, et sauvez les enfants...
7. Modifications législatives visant à renforcer le dispositif prévu en cas de crise prévues par les escrocs légaux...
Leur projet résumé...
"La sécurité et l’applicabilité du droit jouent un rôle décisif dans la maîtrise d’une crise. Elles seules peuvent garantir que les plans d’assainissement et de liquidation visant à surmonter la crise auront les effets escomptés dans la pratique. Or les enquêtes internationales les plus récentes montrent qu’en matière de mesures en cas de crise, l’arsenal juridique suisse présente certaines faiblesses. La réduction de créance n’est par exemple expressément mentionnée dans la loi qu’en relation avec la conversion de fonds de tiers en fonds propres (art. 31, al. 3, de la loi sur les banques). L’adaptation nécessaire de cette réglementation est d’ores et déjà proposée dans le projet de loi sur l’infrastructure des marchés financiers (LIMF). "
https://www.admin.ch/opc/fr/federal-gazette/2015/1793.pdf
https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2015/12/03/confiscations-bancaires-conseil-federal-cherche-couverture-democratique-winniedapooh/
Mobilisation générale:épargnes, retraites... volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce...
Comment résister ?
Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d'application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, monnaie, crédits, etc... pour en discuter 021 616 88 88
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html
- Source : news.admin.ch, Le Conseil fédéral adopte le rapport sur l’examen des dispositions en matière de TBTF
Ponction des comptes bancaires : la Suisse s’y met ! Philippe Herlin
Nous avons averti du danger que représente la directive BRRD de ponction des comptes bancaires : désormais, lorsqu’une banque sera en situation de faillite, elle pourra compenser ses pertes en puisant directement dans les comptes de ses clients, les particuliers comme les PME. Un véritable scandale, une atteinte au droit de propriété, mais qui pour le moment ne mobilise pas les médias, les associations, ou les responsables politiques. Parions qu’un jour prochain ce vol légalisé sera dénoncé au grand jour, espérons-le avant qu’il soit mis effectivement en œuvre !
Cette directive vaut pour les pays de l’Union européenne, mais cette idée délétère semble intéresser d’autres pays, notamment un auquel on ne s’attendait pas : la Suisse. Le Conseil fédéral souhaite en effet légaliser les ponctions de comptes bancaires pour le cas où l’une des banques « too big to fail » viendrait à déposer son bilan (UBS, Crédit Suisse, Banque Cantonale de Zurich, Raiffeisen et PostFinance). Les clients de ces banques doivent désormais être conscients des risques auxquels ils s’exposent. C’est la FINMA (Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers) qui pousse à cette adoption. Elle rappelle, comme la directive d’ailleurs, que les comptes de moins de 100.000 francs suisses ne seront pas concernés, même si cette garantie ne sert qu’à rassurer les naïfs, nous l’avons montré.
La Suisse ! L’un des pays qui garantit le mieux la propriété privée dans le monde, un refuge doré pour une grande partie des fortunes mondiales, des services de banque privée parmi les mieux estimés internationalement, l’image d’un coffre fort inviolable… Tout cela sera bientôt à ranger au rayon des souvenirs : une banque en difficulté pourra sans honte se servir dans les comptes de ses clients. Quelle stupéfiante contre-publicité ! La loi n’est toutefois pas encore mise en place et on espère pouvoir compter sur la vigueur de la vie démocratique de la Confédération helvétique pour s’opposer à ce texte scélérat.
Le fait que même la Suisse veuille appliquer ce principe démontre malheureusement son succès, d’autres pays vont suivre. Pour les Etats, cela semble la solution la plus simple pour résoudre une crise bancaire. Pourtant, c’est l’existence même de banques « too big to fail » (trop grosses pour faire faillite) qui devrait poser problème, et inciter à y répondre en le traitant à la racine, c’est à dire en réduisant la taille des banques, en séparant les activités de marché des activités de dépôt, en augmentant les fonds propres. Cela irait à l’encontre du lobby bancaire, ne rêvons pas.
Si même les banques suisses n’offrent plus de sécurité absolue, cela démontre qu’il y a vraiment quelque chose de pourri au royaume de la banque. Que reste-t-il de sûr ? Nous le savons ici, à GoldBroker, avec de l’or physique stocké en dehors du circuit bancaire. Sinon achetez du chocolat suisse, il reste le meilleur du monde.
Philippe Herlin
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