« Pire qu’esclave est l’esclave qui s’ignore » disait Aristote
Ce que nous vivons, ce n'est pas une crise :
c'est une escroquerie !
c'est une escroquerie !
Quelle part de la dette incombe aux usuriers ?
Et qui contrôle notre or ?
Et qui contrôle notre or ?
Rassurez-moi : ce ne sont pas les mêmes ?!
L'usure est la principale responsable des souffrances
(emploi, famille, éducation, santé,...) et les usuriers les 1ers esclavagistes de nos vies. De tout temps, elle a été considérée comme le premier mal des civilisations.
(emploi, famille, éducation, santé,...) et les usuriers les 1ers esclavagistes de nos vies. De tout temps, elle a été considérée comme le premier mal des civilisations.
Tout leader, tout citoyen qui prétend vouloir faire de la politique sans s'être plongé dans le concept de l'usure (création monétaire, endettement, ...), gagnerait à préférer faire du jardinage...
Rendons à Rothschild, la part de la dette qui lui revient :
faîtes les comptes...
http://1.bp.blogspot.com/…/dette_part_du_service_de_la_dett…
et,
http://1.bp.blogspot.com/…/Service+de+la+dette+publique+-+e…
faîtes les comptes...
http://1.bp.blogspot.com/…/dette_part_du_service_de_la_dett…
et,
http://1.bp.blogspot.com/…/Service+de+la+dette+publique+-+e…
C’est sous la présidence de l’ex-Directeur de la banque Rothschild, Georges Pompidou, que la loi du 3 janvier 1973 dite loi « Pompidou-Giscard-Mesmer« (73-7) ou encore appelée « loi Rothschild », fût votée. Elle est directement responsable du service de la dette (plus de 45 milliards € par an pour les seuls intérêts) et conséquemment de cette situation proche du chaos. Michel Rocard lui même, déclarait(*) fin décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette serait à un niveau « bénin » (« 16 ou 17 % du PIB »).
"La réforme de la Banque de France de 1973 a interdit que celle-ci prête à l’État à taux zéro. L'État est donc allé emprunter avec intérêt sur les marchés privés. Si nous en étions restés au système précédant, qui permettait, répétons-le, à la Banque de France de prêter à l’État à taux zéro, notre dette serait de 16 ou 17 % du PIB, soit bénigne."
(Michel Rocard - décembre 2012 Europe1)
(Michel Rocard - décembre 2012 Europe1)
Les statuts actuels de la Banque de France (sous tutelle de la BCE depuis 1997) confortent l'obligation de se soumettre à l'usure des banksters :
Art. L. 141-3. Statuts actuels de la BDF -
"Il est interdit à la Banque de France d'autoriser des découverts ou d'accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publics." (banque-de-france.fr)
"Il est interdit à la Banque de France d'autoriser des découverts ou d'accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publics." (banque-de-france.fr)
A rapprocher de la loi de 1973 (loi 73-7, art.25) :
"le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France"
"le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France"
L'équivalent de la loi de 1973 au niveau de l'Europe est l'article 123 du Traité de Lisbonne (ratifié contre le gré des Français) :
"« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, (...), d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres."
"« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, (...), d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres."
Une simple question : si on emprunte de l'argent qu'ils créent (à partir de rien), mais qu'ils nous demandent ensuite de rembourser AVEC des intérêts que ni eux, ni nous, n'avons créé : Dans ce cas, comment rembourser, sans devoir réemprunter à nouveau ? ...
Il est grand temps que la fête s'arrête, vous ne croyez pas ?
En attendant, les français consacrent plus de la moitié de l'année pour alimenter ce système fiscal qui graisse inutilement la patte aux usuriers (46% prélèvements obligatoires + 20% TVA sur les dépenses des ménages)
http://4.bp.blogspot.com/…/ctHMu…/s1600/prelevements2014.jpg
http://4.bp.blogspot.com/…/ctHMu…/s1600/prelevements2014.jpg
(Souriez : les 5 derniers mois vous sont offerts !)
à lire:
Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 de Pierre-Yves Rougeyron
https://www.facebook.com/groups/etvgroup/permalink/1015779701808878/
et aussi:
Le travail et l'usure - Ezra Pound en pdf --->
https://www.fichier-pdf.fr/…/le-travail-et-l-usure-ezra-po…/
Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 de Pierre-Yves Rougeyron
https://www.facebook.com/groups/etvgroup/permalink/1015779701808878/
et aussi:
Le travail et l'usure - Ezra Pound en pdf --->
https://www.fichier-pdf.fr/…/le-travail-et-l-usure-ezra-po…/
Chris Nonom
Bonjour à tous,
Je ne sais aucunement si l'auteur de ces lignes ci-dessous signées om connaissait Louis Even ou non. Je peux me tromper, mais j'ai l'impression que non. Quand la Vérité s'exprime en divers points - qui ne se connaissent pas (si c'est le cas ici) - on peut être à peu près sûrs que la Vérité se trouve confortée et confirmée. Je viens donc d'envoyer ce texte ci-dessous, court, dense, concis et de grande portée à François de Siebenthal pour qu'il puisse, dans la mesure du possible, le diffuser (avec d'autres ce serait mieux) durant le Forum Social Mondial (FSM) à Montréal du 9 au 14 août 2016, regrettant de ne pas avoir pu y aller moi-même pour des raisons de dates ne concordant pas.
ARGUMENTS VRAIS, RÉELS ET CLAIRS, VOIRE CHOC, POUR QUI S'INTÉRESSE À LA RÉFORME À ENTREPRENDRE D'URGENCE DANS LA CRÉATION MONÉTAIRE ET LE MANIEMENT DE L'ARGENT.
Donc, voici ci-dessous, après *, une description, à mon sens spécialement claire et percutante du système bancaire et monétaire qui pourrait servir d'abord pendant le Forum Social Mondial (FSM) à Montréal aux visiteurs des kiosques de Vers-Demain et d'autres visiteurs, et plus tard pour l'enseignement du Crédit-Social, donc pour la Démocratie Économique et son fonctionnement.
Il faudrait en faire un tract ou quelque chose d'équivalent pour une bonne diffusion, dans le droit fil de Louis EVEN.
Je ne sais pas qui est la personne dont le pseudo est ici : om
D'une façon discontinue, j'avais participé trois ou quatre fois à des débats sur ce forum animé par un certain Gidmoz (Gidmoz est le pseudo d'un économiste très titré, à l'évidence libéral, sinon ultra-libéral) c'était en 2011 et 2012. Ce forum est, je crois, à peu près fermé, car transféré sur Facebook et je ne peux pas (et ne veux pas) m'éparpiller avec Facebook.
Donc :
Deus in adjutorium
Renaud L a i l l i e r
*
Donc, voici ci-dessous, après *, une description, à mon sens spécialement claire et percutante du système bancaire et monétaire qui pourrait servir d'abord pendant le Forum Social Mondial (FSM) à Montréal aux visiteurs des kiosques de Vers-Demain et d'autres visiteurs, et plus tard pour l'enseignement du Crédit-Social, donc pour la Démocratie Économique et son fonctionnement.
Il faudrait en faire un tract ou quelque chose d'équivalent pour une bonne diffusion, dans le droit fil de Louis EVEN.
Je ne sais pas qui est la personne dont le pseudo est ici : om
D'une façon discontinue, j'avais participé trois ou quatre fois à des débats sur ce forum animé par un certain Gidmoz (Gidmoz est le pseudo d'un économiste très titré, à l'évidence libéral, sinon ultra-libéral) c'était en 2011 et 2012. Ce forum est, je crois, à peu près fermé, car transféré sur Facebook et je ne peux pas (et ne veux pas) m'éparpiller avec Facebook.
Donc :
La banque s’enrichit légitimement par les intérêts versésCe commentaire ci-dessus de om : La banque s'enrichit légitimement par les intérêts versé a été écrit pour réfuter et contrer la Fable de l'Île des Naufragés de Louis EVEN (je ne sais qui avait lancé dans ce forum en 2011 la Fable des Naufragés de Louis EVEN).
Mais cela a produit une réaction, encore une fois très RÉVÉLATRICE de ce qu'il y a dans les têtes des uns et des autres, y compris et surtout dans les têtes des "génies" financiers au sujet de cette escroquerie de la création de la monnaie de crédit. Car dans ce forum (qu'on peut retrouver sur internet) chaque sujet débattu comportait tout au plus quelques dizaines de commentaires. Mais le sujet de l'Île des Naufragés par Louis EVEN, a entraîné pas moins de 199 commentaires !! Ceci prouve encore une fois que Louis EVEN avait touché EXACTEMENT le point sensible et faible, la confusion entretenue sur le système bancaire et monétaire toujours contourné, jamais élucidé, encore moins expliqué!... par les grands experts et les grands chefs de la finance. Il en est ainsi, exactement, comme dans le chapitre 27, page 119, de -Sous le Signe de l'Abondance- (édition 3ème trimestre 2015) intitulé -Leçon d'un compte en banque-.
Deus in adjutorium
Renaud L a i l l i e r
*
Réponse de om qui écrit ce qui suit après les flèches :
—>Ce deuxième point de la réfutation (de l'Île des naufragés)est (aussi) une erreur.
Au 19e siècle, vers 1840(?), Il y eu un débat d'économistes universitaires sur le choix du système bancaire. Le système de banque libre sans banque centrale fonctionnait alors très bien depuis 135 ans à la satisfaction de tous. J'aimerai relire les arguments des uns et des autres. La seule raison du choix du système de banque centrale fut qu'il permettait à l'Etat de l'endetter excessivement. Cet endettement excessif de l'Etat aurait été impossible sans système de banque centrale.
Avertissement très important :
http://desiebenthal.blogspot.
—>Ce deuxième point de la réfutation (de l'Île des naufragés)est (aussi) une erreur.
—> La société ne devrait donc pas être forcée de payer des intérêts perpétuels aux créateurs de l’argent. Elle paie tribut à des comptables qui ne font qu’enregistrer une valeur de production qui lui appartient, à elle, la société.
De plus, la société est forcée de payer ce tribut, non pas en produits qu’elle peut faire, mais en argent qu’elle ne fait pas. Le banquier exige, comme tribut, une chose que lui seul a le droit de faire. Le banquier seul fait l’argent. Or il ne fabrique que le capital, mais il demande de lui rapporter le capital qu’il a créé, plus l’intérêt qu’il n’a pas fait et que personne autre que lui n’a le droit de faire.
Ce paiement d’intérêt, par la société, au système bancaire, sur de la monnaie nouvellement créée et qui ne coûte rien, n’est pas du tout semblable ni comparable à l’intérêt qu’un prêteur ordinaire exige sur de l’argent déjà en existence, qu’il a gagné, épargné et prêté à l’industrie.
Soulignons aussi un point frappant: C’est la production qui donne de la valeur à l’argent. Une pile d’argent, sans produits pour y répondre, ne fait pas vivre. Or, ce sont les cultivateurs, les industriels, les ouvriers, les professionnels, le pays organisé, qui font les produits, marchandises ou services. Mais ce sont les banquiers qui font l’argent basé sur ces produits. Et cet argent, qui tire sa valeur des produits, les banquiers se l’approprient et le prêtent à ceux qui font les produits. C’est un vol légalisé.
*
Ce serait bien d'intégrer ce propos dans l'enseignement du Crédit, Social Démocratie Économique
car il va - exactement - dans le sens de Louis EVEN.
Renaud L a i l l i e r