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Les enfants souffrent des divorces.

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Lausanne, le 18.11.2014

Madame, Monsieur,

Indignés par l'indifférence du Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ) du Canton de Fribourg, une vingtaine d'amis, voisins et parents d'Adrian et de ses trois enfants se sont libérées ce mardi 18 novembre, jour de semaine et sont venus, pour la plupart de Lausanne et des environs, pour témoigner de l'injustice que subit cette famille. A 11h00, ils ont remis une lettre, signée par 70 personnes en tout, en mains propres à M. Ducret du SEJ. Cette lettre peut vous être communiquée sur demande.

Pour le reste vous pouvez vous référer au communiqué de presse ci-joint.

Les photos sont libres de droit et vous pouvez les avoir en résolution complète.

Adrian Englert
Téléphones du père : 021 729 54 92079 280 91 64

E-mail du père : papa.adrien@englert.ch

Téléphone de l’avocate à Fribourg : 026 322 34 10

Téléphone des avocats Vaudois : 021 922 19 19

Encore un Noël sans papa ?

Communiqué de presse
Aujourdʼhui, mardi 18 novembre 2014, 11:00 à Fribourg, boulevard de Pérolles 24, aux 
bureaux du Service de lʼenfance et de la jeunesse (SEJ), nous sommes venus une 
vingtaine pour témoigner dʼune injustice grave :
Suite à un divorce, alors que les enfants de cette famille, que nous connaissons bien, 
avaient le droit de voir leur père un week-end sur deux et pendant quatre semaines de 
vacances par année, brusquement, lʼété 2013, la mère des enfants a transmis des 
accusations absurdes mais terribles contre le père.
La justice de Paix a immédiatement réagi en retirant le droit de visite au père, sans faire 
dʼenquête au préalable, ce dont la mère a profité en interdisant à ses enfants tout contact 
avec leur papa.
Une enquête est menée depuis un an déjà, dans un autre canton. De toute évidence 
personne ne prend les accusations au sérieux et ce dossier nʼest donc pas prioritaire. On 
prend son temps. Lʼaffaire dure déjà un an et trois mois.
Lʼavocate du père a déposé une demande de reprise du droit de visite le 15 avril 2014. 
Dans ces cas-là, on accorde généralement aux enfants le droit de voir leur père dans un 
cadre surveillé. Mais cette possibilité nʼest même pas envisagée actuellement et la 
demande de lʼavocate est restée lettre morte.
Le Service de lʼenfance et de la jeunesse (SEJ) du Canton de Fribourg est mandaté pour 
protéger les enfants et il devrait suivre lʼaffaire de près, mais il prétend quʼil ne peut rien 
faire avant que lʼenquête ne soit terminée. Il ne tient aucun compte du rapport dʼexpertise 
du psychiatre, rendu pendant la procédure de divorce déjà, qui avertissait des dangers de 
manipulation du côté de la mère.
Pendant ce temps les enfants ont lʼinterdiction de téléphoner ou dʼécrire à leur père. Tout 
est fait pour les convaincre que leur papa a commis une faute si grave quʼelle justifie cette 
interdiction. Un des enfants avait dʼailleurs déjà fait une déclaration qui accusait son père. 
Déclaration transmise par des pédo-psychologues (qui nʼavaient encore jamais rencontré 
le père à ce moment-là), selon laquelle «sous lʼeffet de la colère ou sous lʼemprise de 
lʼalcool, son père le mettrait à terre pour le rouer de coups de pied». Cet enfant nʼa jamais 
été amené chez un médecin, comme il aurait fallu le faire sʼil avait réellement subi une 
telle violence et il nʼy a évidement aucun constat médical prouvant cette allégation. La 
mère elle-même déclarera quelques mois plus tard quʼelle «ne croit pas vraiment» à 
lʼexactitude de ce récit (elle risque dʼêtre accusée de calomnie, mais nʼest nullement 
inquiétée pour le moment).
Mais le rouleau compresseur de la justice ne sʼarrête pas facilement (sans parler dʼun 
changement de cap). Les enfants risquent fortement de ne pas voir leur père à Noël, une 
fois de plus.
Nous ne communiquons pas ici les nom et prénoms des enfants, pour les protéger de ce 
scandale, mais nous transmettons aujourdʼhui même une lettre au SEJ, signée par 70 
parents, voisins et amis de cette famille, lui demandant de prendre la mesure de la gravité 
des faits et dʼagir pour que les enfants puissent revoir leur père. Nous savons, car nous 
avons pu le constater à maintes reprises, combien ils lʼaiment et nous savons combien il 
leur manque !Par-dessus nos manteaux, nous avons porté des t-shirts avec les inscriptions 
suivantes :
Interdire à un enfant de voir son papa pendant un an, cʼest de la maltraitance
Interdire à un enfant dʼécrire à son papa pendant un an, cʼest de la maltraitance
Interdire à un enfant de téléphoner à son papa pendant un an, cʼest de la maltraitance
Utiliser un enfant dans un conflit dʼadultes, cʼest de la maltraitance
5) Obliger un enfant à mentir pour accuser son père, cʼest de la maltraitance.
Les psychologues doivent décoder la parole de lʼenfant et non colporter la manipulation.
Interdire à un enfant dʼaimer son papa, cʼest de la maltraitance.
Que fait le Service de lʼenfance (SEJ) à Fribourg ?
La bureaucratie maltraite les enfants !
10) «Notre plus beau cadeau de Noël : revoir notre papa ! » L. 10 ans
(cette phrase a été prononcée en décembre 2013 déjà. L. attend toujours son cadeau)
«Pour mon anniversaire, jʼaimerais que lʼenquête sʼarrête » L. 10 ans
(en février 2014, lʼenquête qui empêchait cette fillette de voir son papa durait déjà 6 mois. A la suite 
de cette déclaration, L. ajoutait : «Je crois que ça sera trop difficile à faire»)
«Si Maman apprend que je tʼai téléphoné, papa, ça va barder !» L. 10 ans
« Il ne faut pas que tu restes trop longtemps avec moi, papa, autrement maman va 
te gronder » C. 9 ans
Encore un Noël sans papa ?
Toutes les paroles dʼenfants citées ci-dessus sont authentiques.
Téléphones du père : 021 729 54 92, 079 280 91 64
E-mail du père : papa.adrien@englert.ch
Téléphone de lʼavocate à Fribourg : 026 322 34 10

Téléphone des avocats Vaudois : 021 922 19 19

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