Les sociétés secrètes pédophiles manipulent, prudence.Attention aux erreurs de dates et aux trolls qui donnent de fausses informations, de vieilles vidéos, etc...Exemple ci-dessous, les dates ne sont pas les 14 et 15 décembre mais novembre, bien évidemment.
Le 20 novembre 2014, la Cour d'appel de Suède a estimé que la procureure suédoise a violé son devoir en n'acceptant pas de recevoir les déclarations de Julian Assange...Les sms de la suédoise démontrent les manipulations policières suédoises et américaines.
Honte à eux !L'audition de Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, s'est tenue à Londres les 14 et 15 décembre dernier. ( les dates ne sont pas les 14 et 15 décembre mais novembre, bien évidemment ).
Le parquet suédois a refusé de communiquer. Le plus célèbre des hackers a laissé filtrer des extraits de son audition. En exclusivité, Closer vous livre des extraits.
Le 20 novembre 2014, la Cour d'appel de Suède a estimé que la procureure suédoise a violé son devoir en n'acceptant pas de recevoir les déclarations de Julian Assange...
Le parquet suédois a refusé de communiquer. Le plus célèbre des hackers a laissé filtrer des extraits de son audition. En exclusivité, Closer vous livre des extraits.
"J'ai rencontré une femme, que j'appellerai SW durant ma visite à Stockholm, un matin du 14 août 2010. Elle est venue écouter un de mes discours (...). Elle s'était assise au premier rang et me photographiait. (...) D'importantes personnalités "pro-guerre" réclamaient alors mon assassinat ou ma capture et l'administration américaine a publiquement déclaré que mes déplacements étaient suivis à la trace. "SW" m'a semblée compatir à ma détresse, mais elle semblait également très intéressée par moi sur un plan sentimental. (...) Le soir du 16 août 2010, elle m'a invité chez elle. Durant la nuit et le lendemain matin, nous avons eu plusieurs fois des relations sexuelles consenties"
"SW" connaissait une quantité inhabituelle de détails sur moi et je semblais l'agacer lorsque je cherchais sur mon téléphone des informations concernant les déclarations du gouvernement américain sur moi. J'ai perçu son irritation quand je ne lui accordais pas toute mon attention (...) Je découvrirai plus tard qu'elle avait rassemblé des dizaines de photos de moi dans les semaines précédant notre rencontre. Son récent compte photo FLIKR était rempli de mes photographies.
A aucun moment lorsque j'étais avec elle, elle n'a exprimé l'idée que je ne la respectais pas
Au matin, elle est sortie pour aller chercher le petit déjeuner. Nous l'avons pris ensemble puis j'ai quitté son domicile en bons termes. A aucun moment lorsque j'étais avec elle, elle n'a exprimé l'idée que je ne la respectais pas ou que j'aurais agi contre sa volonté(...) Elle m'a accompagné à la gare à bicyclette et nous nous sommes embrassés pour nous dire au revoir. Elle a demandé à ce que je la rappelle pour que nous nous revoyions et j'ai dit que je le ferais. Elle a appelé le lendemain ou le jour suivant. Nous avons eu une petite conversation amicale, mais nous avons été déconnectés à cause d'une mauvaise réception du téléphone portable. Je ne l'ai pas rappelée à cause de mes problèmes concernant le crédit pour les appels téléphoniques (toujours mes cartes bancaires bloquées) et la pression concernant ma sécurité.
Je lui ai ensuite parlé une seconde fois le 20 août 2010. Un ami suédois m'a dit que "SW"était à l'hôpital et qu'elle voulait me parler. Comme je ne l'avais pas rappelée et qu'elle avait fait précédemment des efforts considérables pour attirer mon attention, j'ai d'abord craint qu'elle ait pu tenter de se faire du mal afin de me forcer à lui accorder toute mon attention. Je l'ai donc appelée. Elle m'a dit qu'elle était à l'hôpital et me demandait de venir pour que je fasse un test concernant des maladies sexuellement transmissibles (MST...).
J'ai répondu que je ne pouvais rien faire avant le lendemain (un samedi). Elle a alors dit que si je ne venais pas à l'hôpital, elle irait demander à la police si on ne pouvait pas m'obliger à subir ce test. Je lui ai dit que je trouvais étrange et menaçant qu'elle évoque ainsi la police. Elle m'a dit que c'était seulement parce qu'elle était préoccupée par les tests et que cela n'avait aucun sens caché. J'ai accepté de faire le test pour montrer ma bonne volonté et pour la rassurer, bien que je lui ai dit que je ne pouvais le faire que le lendemain, samedi.
Nous étions convenus de nous rencontrer le lendemain dans un parc à l'heure du déjeuner, au moment où j'aurai du temps pour faire le test. Elle m'a dit qu'elle allait bien et semblait à l'aise. Vous pouvez imaginer mon incrédulité lorsque je me suis réveillé le lendemain matin et que les informations disaient que je faisais l'objet d'un mandat d'arrestation pour "viol" et que la police ratissait tout Stockholm pour me retrouver.
Son comportement envers moi la nuit en question et la matinée suivante m'ont fait apparaître clairement qu'elle voulait résolument que j'ai une relation sexuelle avec elle. Cela a aussi été démontré par des textos (SMS), envoyés à ses amis au cours de la soirée où j'étais chez elle et durant cette semaine-là - des messages récupérés sur son téléphone par la police suédoise. Bien que la procureure a bataillé pendant des années pour m'empêcher de les voir, tout comme le public et les tribunaux, mes avocats ont eu la permission de les voir au poste de police et ont pu noter un certain nombre d'entre eux, dont ceux-ci :
Les textos dévoilés
- Le 14 août 2010 "SW" a envoyé le message suivant à une amie : "Je le veux, je le veux", suivi de plusieurs autres contenus similaires (tous se référant à moi) au titre des préparatifs des événements en question (13:05) ;
- Le 17 août 2010, "SW" a écrit que nous avons eu de longs préliminaires mais que rien ne se passe (01 :14) ; puis ça va mieux (05 :15) ;
- Le 17 août, après que les relations sexuelles aient eu lieu, "SW" a écrit à une amie que "ça s'est bien arrangé" en dehors des risques de MST et de grossesse (10:29) ;
- Le 20 août "SW", tandis qu'elle était au poste de police, a écrit qu'elle "ne veut pas porter d'accusations contre Julian Assange" mais que "la police voudrait bien mettre la main sur lui" (14:26) et qu'elle était « choquée quand ils l'ont arrêté » parce qu'elle voulait juste qu'il fasse un test (17 :06) ;
- Le 21 août "SW" a écrit qu'elle "ne voulait pas accuser" Julian Assange "pour n'importe quoi" (07:27) ; et que c'est la police qui a fabriqué les accusations (22:25) ;
- Le 23 août "AA", l'autre femme dont le dossier a été abandonné en août 2015) a écrit à "SW" qu'il était important qu'elle rende publique son histoire, afin qu'elles puissent façonner l'opinion publique sur leurs cas (6:43) ;
- Le 23 août "SW" a écrit que c'était la police, pas elle, qui a commencé toute l'affaire (16 :02) ;
- Le 26 août "AA" a écrit à "SW" qu'elles devraient vendre leurs histoires contre de l'argent à un journal (13 :38) ;
- Le 28 août "AA" a écrit qu'elles avaient un contact avec le plus grand tabloïd suédois (12 :53) et "SW" a écrit que leur avocat a négocié avec le tabloïd (15 :59);
Ces textos montrent clairement ce qui est vraiment arrivé entre "SW" et moi. C'était clairement consensuel entre adultes.
Pourquoi a-t-il été innocenté puis à nouveau accusé ?
J'ai eu un entretien avec la police le 30 août 2010 en lien avec les seules allégations qui persistaient. Un exposé conjoint des faits a été soumis à la Cour suprême du Royaume-Uni , laquelle déclare que :
- "Le 30 août 2010, le requérant, qui est volontairement resté en Suède pour coopérer avec l'enquête, a assisté à un entretien avec la police pour permettre l'avancée de l'enquête préliminaire eu égard au procès-verbal de AA. Il a répondu à toutes les questions qui lui ont été posées".
J'ai été grandement inquiété pour ma sécurité personnelle et la sécurité des opérations de Wikileaks tandis mon séjour en Suède. Mais je suis resté encore cinq autres semaines après que l'enquête préliminaire ait été lancée afin de laver mon nom de tout soupçon et pour coopérer avec l'enquête de la police. C'est seulement après avoir obtenu l'assurance de la procureure Marianne Ny que je pouvais quitter la juridiction que je me suis préparé à partir. Moins de 24 heures après, le mandat d'arrestation était promulgué. Le procureur général de Stockholm a été chargé de prendre en main l'enquête et a annulé le mandat en déclarant : "Je ne crois pas qu'il existe une seule raison de soupçonner qu'il ait commis un viol".
Peu après, la procureure Marianne Ny a déterré l'allégation de "SW". (...) Elle avait réouvert l'enquête préliminaire sans aucune consultation ni occasion pour moi d'être entendu - alors que j'avais été déjà innocenté et que le dossier avait été clos.
Pourquoi Julian Assange s'est-il réfugié à l'ambassade d'Equateur ?
J'ai perdu ma liberté le 7 décembre 2010, le lendemain du jour où les autorités britanniques ont agréé le mandat d'extradition suédois. Je me suis présenté au poste de police, suite à un rendez-vous fixé précédemment. J'ai été alors arrêté et placé à l'isolement dans l'unité de haute sécurité de la prison de Wandsworth, le CSU.
Le lendemain de mon emprisonnement, le journal britannique 'The Independant' a écrit que les officiels américains et suédois avaient entamé des discussions informelles concernant mon extradition de Suède vers les Etats-Unis, en relation avec l'enquête du Grand Jury et du FBI contre Wikileaks.
Au bout de dix jours, la juridiction britannique a estimé que je devais être relâché sous caution. En réponse, la procureure suédoise Marianne Ny a demandé à ses représentants en Grande-Bretagne, le Parquet de la Couronne, de faire appel pour me maintenir en prison, mais la cour britannique a estimé sa requête excessive.
J'ai été placé en résidence surveillée après avoir fourni aux autorités britanniques la somme de 340 000 £ (presque un demi million de dollars) et m'être fait poser un bracelet électronique à ma cheville.
Le 13 janvier 2011, le Parquet de la Couronne a écrit à Marianne Ny en lui affirmant : "Veuillez ne pas penser que l'affaire est traitée comme une simple demande d'extradition". J'ai été obligé de rencontrer la police 551 jours d'affilée. J'ai quand même continué de publier.
J'ai fait une demande d'asile à l'ambassade de l'Equateur le 19 juin 2012. L'ambassade a été encerclée par la police pour un coût estimé (en octobre 2015) à 12,6 millions de £ à la charge du contribuable britannique. Le 28 octobre 2014, le ministre d'Etat britannique Hugo Swire a dit au Parlement que "si elle (Marianne Ny) souhaitait venir ici interroger M. Assange à l'ambassade de l'Equateur à Londres, nous ferions absolument tout pour faciliter cela, bien sûr, et effectivement nous l'accueillerions".
Le 14 novembre 2014, j'ai soumis mon cas au Groupe de travail des Nations Unies sur la Détention Arbitraire (UNWGAD)
Le 20 novembre 2014, la Cour d'appel de Suède a estimé que la procureure suédoise a violé son devoir en n'acceptant pas de recevoir mes déclarations.