la solution ci-dessous.
Les machines, robots, ordinateurs rendent le "travail humain rémunéré " (dans chaque industrie) de plus en plus rare, c'est un fait.
Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables mondialisées.
Ce sont des gaspillages stupides . La seule solution est de promettre des revenus de base et la liberté de créer des emplois nouveaux payés de plus en plus par des robots et des machines.
La politique de plein emploi doit être remplacée par une politique de liberté de décider quoi faire hors de l’économie formelle pour de plus en plus de personnes, parce que l’économie formelle ne nécessite plus le travail de tous les adultes - le revenu de base et le dividende créditiste pourraient être deux choses différentes car le dividende peut changer selon la performance de l’économie et le financement qui est aussi différent.
En effet, le dividende universel n'est financé ni par les impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, car il est financé par la création d'argent nouveau sans dettes. MONNAIE PLEINE OU VOLLGELD.
Il vient surtout de la création monétaire actuellement volée (sic) par le système bancaire.
L’ écart entre les prix et le pouvoir d'argent est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts, nous voulons au contraire le combler par la création d'argent nouveau sans dettes à travers le dividende et l'escompte.
Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires en vue de gaspillages honteux et polluants... Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté...
Pour être clair, nous soulignons aussi que l'argent pour la production sous un système créditiste continuerait être de l'argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.
C'est seulement le dividende et l'escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l'écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l'automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.
VIVE LA ROBOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.
Le revenu de base est entré au Parlement suisse ! La commission des affaires sociales du Conseil national (CSSS-N) a ainsi commencé à étudier notre initiative RBI. Et pour les fêtes de fin d’année, la première édition du nouveau journal francophone « l’Inconditionnel », entièrement consacré au revenu de base, sera disponible partout en Suisse romande.
Oeuvres à faire avec le dividende
Les robots, machines, ordinateurs font déjà notre travail !
Nous devons en distribuer leurs revenus, sinon ce sera une guerre de plus en plus terrible !
Mais qui travaillera encore ?
Loin d’être un encouragement à la paresse, le revenu de base permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer. Aujourd’hui déjà, plusieurs groupes de la population sont actifs en dehors de la sphère du travail rémunéré (p.ex. les bénévoles, les parents à la maison).
À la différence des prestations d’aide sociale soumises à conditions de revenu, le revenu de base est cumulable avec la rémunération du travail qui garde ainsi toute son attractivité financière. Le retour à l’emploi n’est plus pénalisé par la perte d’une aide sociale quelconque.
Au sommaire :
Le PS propose l'AGR comme contre-projet
L'initiative était en discussion au parlement les 13 et 14 novembre dans la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique (CSSS-N). Par 15 voix contre 6, la CSSS-N a refusé de suspendre l’initiative pour un revenu de base et d’élaborer un contre-projet indirect. La discussion continuera au parlement lors de la session d’hiver.
En séance, le groupe socialiste avait proposé l'Assurance général sur le revenu (AGR) en tant que contre-projet indirect, un système d'indemnisation unifié et permanent en cas de perte de revenu professionnel pensé par le Denknetz (réseau de réflexion proche du parti socialiste). Le PS justifie sa proposition par sa crainte que le Parlement profite de l'introduction du revenu de base pour provoquer un démantèlement social.
Dans notre communiqué de presse du 14 novembre, nous répondons à cette inquiétude : « Les craintes de démantèlement des acquis sociaux du PS ne sont à notre avis pas fondées. Toutes les forces politiques présentes au Parlement sont en effet d’accord sur la nécessité d’une protection sociale suffisante. Si tel n’était pas le cas, le démantèlement aurait déjà eu lieu. Les pressions qui s’exercent aujourd’hui contre certains secteurs de notre système social peuvent être vues comme un indicateur que celui-ci ne parvient plus à accomplir efficacement son but dans le contexte actuel d’une augmentation significative des besoins. Le revenu de base, en apportant une simplification à un système déjà trop complexe, pourrait au contrairesatisfaire à la fois les partisans d’une protection sociale conforme aux principes de la dignité et ceux qui souhaitent rationaliser des dépenses mal utilisées. »
L'Inconditionnel, à qui allez-vous l'offrir ?
La livraison du journal l'Inconditionnel est imminente ! On espère recevoir le bébé en Suisse début décembre pour que tout le monde puisse le déposer sous le sapin à Noël. Quel beau cadeau : un journal entièrement dédié au revenu de base, coproduit par les mouvements belge, français et suisse !
Des stocks de journaux seront disponibles dans plusieurs villes romandes (nous cherchons encore un lieu de stockage à Fribourg et à La Chaux-de-Fonds). Vous pouvez dores et déjà nous aider à assurer la diffusion du journal en remplissant le formulaire pour proposer des Point-Relais et participer à les approvisionner.
Vous êtes nombreux à avoir soutenu la naissance de ce projet en contribuant au financement participatif et nous tenons à vous en remercier chaleureusement. Nous remercions aussi l'équipe qui a travaillé d'arrache-pied avec enthousiasme pour faire naître ce journal et plus spécialement Barbara Garbarczyk et Stanislas Jourdan, les artisans et rédacteurs en chef de ce projet collaboratif. Un clin d'oeil également à notre illustratrice de choc Malizia Moulin qui a réalisé les illustrations du journal, à Lucie Caouder qui a assuré la mise en page avec soin et Hugo Stephan, l'oeil aiguisé du journaliste.
* * * WANTED * * *
Un minibus pour 2015 !
Un minibus pour 2015 !
En 2015, nous avons le projet de faire la tournée des villes suisse-romandes avec un grand stand d’information. Ce stand fera la paire avec celui qui tourne déjà en Suisse-allemande (DE). Nous aurions donc besoin d'un minibus en prêt tout au long de l'année pour y entreposer le matériel (stand, parasols, chaises, documents publicitaires, etc..).
p.s. Une voiture pourrait faire aussi l'affaire parce que quelqu’un pourrait nous prêter son minibus en échange d'un véhicule de remplacement.
Résumé:
Le nouvel argent ne vient donc ni de taxes, ni de salaires, ni de cotisations patronales, mais de la création de l'argent réellement donnée aux banquiers par milliards ( volée "légalement" par astuce bancaire en bande, car toute loi n'est pas nécessairement morale...), voire plus depuis des siècles ...
Ces assouplissements quantitatifs doivent être donnés au peuple, pas pour les guerres et les primes pour de plus en plus rares nantis ... La nouvelle société suisse pour une véritable démocratie économique, distribuons enfin les revenus du progrès technique, des ressources naturelles, de l'automatisation de plus en plus efficace, grâce à des robots, des ordinateurs et des machines.
Une nouvelle société, les animaux sont libres, c'est à notre tour, les êtres humains libres, libérons-nous des chaînes de la servitude.
L' automatisation profitera à tous. Partageons la productivité massive, un dividende pour tous les peuples suisses, habitants de tous les États de la Confédération suisse, voici enfin une véritable démocratie économique, grâce aux robots, aux ordinateurs et aux machines.
Nous, Suisses, sommes tous des rois, et le premier devoir d'un roi est de contrôler la création monétaire.
Ils trouvent des milliards et des quadrillions pour des guerres stupides ou des banquiers cupides ( 1500 milliards "donnés" aux banquiers de l'UE par Merkozy ( Merkel plus Sarkozy ou UMPS...,) nous préférons investir ces sommes dans la vraie paix. Donnons un revenu à tous dès la conception et jusqu'à la mort naturelle, les robots travaillent déjà pour nous, sachons monnayer leurs produits et les distribuer à tous, ce qui peut plus que doubler notre PNB. Il y a assez de travaux plus nobles et humains à faire, éduquez nos enfants, écrire, faire de la recherche, de l'art, s'occupez de nos parents, des handicapés, des faibles etc... Laissons aux robots le reste, il est stupide d'avoir des milliards sans limites pour faire des guerres atroces et pas ces mêmes milliards pour faire la paix sociale.
Revenu de base inconditionnel ...
Un revenu pour exister : du pain quotidien au pain de vie
Pour les chrétiens, le revenu de base pose une question morale : est-il normal de donner sans conditions à son prochain ?
Le revenu de base inconditionnel — ou allocation universelle — propose de lutter contre la pauvreté en remplaçant les aides disparates d’un système fiscal en forme de mille-feuilles par une aide unifiée, versée à tous, sans condition. La faisabilité économique faisant l’objet d’études prometteuses, pourquoi restons-nous hésitants ? Sans doute parce qu’une inquiétude nous taraude : est-ce une incitation à la paresse ? Ne portons-nous pas au fond de nos cœurs la crainte de briser un tabou séculaire : un revenu obtenu sans travail est-il pleinement légitime ? Faut-il encore travailler à la sueur de son front ?
L’inconditionnel, fondement de la logique divine.
Recevoir sans contrepartie : Dieu nous donne de quoi manger
Dès le commencement, Dieu nous donne de quoi manger : « Je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture. » (Gn 1,29).Plus tard, Dieu offre la manne à son peuple (Ex 16,4), et Jésus partage les pains en abondance pour ses auditeurs (Mc 6,30-44 ; 8,1-10). Il nous invite à prier Dieu le Père en nous tournant vers lui et en lui redisant nos besoins fondamentaux : « donne nous aujourd’hui notre pain de ce jour ». Cette manne et ce pain ne sont pas un dû à accumuler sans contrepartie, mais un rendez-vous de confiance, d’espérance, d’engagement et de louange à renouveler chaque jour.
L’inconditionnel, source de vie : Dieu se donne en nourriture
Dieu est par excellence le Dieu de l’Amour inconditionnel incarné : il aime tous ses ouvriers, de la première à la onzième heure (Mt 20,12-16) ; il accueille tous les invités qui voudront bien venir à son festin (Mt 22,8-9-1) ; il pardonne à tous les pécheurs et nous demande d’aimer nos ennemis (Lc 6,27-38). Par amour encore, il va jusqu’à donner son propre Fils en nourriture pour nous donner la vie en abondance. L’eucharistie, pain-de-vie, complète le pain-subsistance-du-quotidien dont nous avons besoin pour nous ouvrir aux autres (reconnaissons qu’il est plus facile d’ouvrir son cœur quand on n’a pas le ventre trop vide.)
Le revenu de base : incitation à la paresse ou appel à se réaliser ?
Notre vocation humaine : porter du fruit
L’homme est un être de relation, appelé à une vocation innée et indélébile à la fécondité et au travail : « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et assujettissez-la; dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. » (Gn 1,27-28). Cet appel est pour chacun de nous, tel l’appel à aller au-devant adressé à Abraham : une interprétation propose ainsi de traduire l’hébreu « Lech Leka » par « va vers toi, va pour toi ».
Devenir ce que l’on a reçu
La question morale ne doit pas être entendue comme un « que faut-il faire ? », mais plutôt comme une découverte continue de « qui puis-je être ? » pour devenir en plénitude le don d’amour et de vie reçus de Dieu. Ainsi, au docteur de la Loi qui demande « qui est mon prochain ? », Jésus désigne « celui qui a agi avec bonté », le bon samaritain qui me sauve, me relève et me fait être (Lc 10,25-37). Remettons les choses dans le bon ordre. Nous ne sommes plus à l’époque où il suffisait de cultiver son potager pour vivre dignement.
Le principe de « destination universelle des biens » fait face au défi de l’explosion des richesses, des populations et des inégalités. Inviter à un partage fraternel et respectueux de la vocation unique de chacun est plus que jamais nécessaire.
Crédits photo Fr.Bessonnet