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Financement du Revenu de Base !

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Le vrai problème, se distribuer les produits surabondants grâce aux robots de plus en plus nombreux et efficaces.

On finance des guerres avec des milliers de milliards, pourquoi pas la paix avec quelques centaines de milliards ?

La Suisse, premier pays sans chômeurs et SANS IMPÔTS, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

PAS DE DéCLARATION FISCALE, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

Le vrai paradis fiscal, la nique aux enfers fiscaux voisins et éloignés ...

On comble le trou SURTOUT PAR LE PARTAGE DES Créations Monétaires sans leur destruction automatique comme actuellement, sic, du néant à chaque création de dettes à intérêts composés exponentiels et au néant à chaque remboursement, ...ex nihilo et ad nihilo ... ce qui aggrave les crises...

Ils doivent nous donner les chiffres des stocks et des flux des créations monétaires, en vertu du principe de la transparence ( Glasnost...). 

Ces sommes énormes suffiront à couvrir tous nos besoins, publics et privés.

On peut imaginer que 90 % des biens soient produits par des robots, il faudra bien nous les distribuer avec des tickets faciles à produire, tickets appelés argent...

En cas improbable d'insuffisance, on peut imaginer une miette,  une MINUSCULE taxe AUTOMATIQUE sur les paiements électronique de plus de 100 mille milliards par année, sic...

"les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs et de leurs flux. Nous demandons que les banques publient régulièrement leurs créations monétaires totales, leurs stocks et leurs flux, pas uniquement le bilan annuel et le compte de pertes et profits, qui cachent soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite." en haute fréquence, en nano secondes...
Ils ont actuellement au moins sept manières d'abuser du système.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/01/creation-monetaire-bancaire-du-neant-ex.html

Dernièrement, le professeur de finance à l’université de Zürich Marc Chesney a montrée qu’une taxe de 0,2% sur les paiements électroniques en Suisse permet de capter 200 milliards de CHF.









«Une taxe sur les transactions financières pourrait remplacer tous les impôts actuels»

Dans son dernier ouvrage*, Marc Chesney dresse un parallèle entre la Première Guerre mondiale et la crise financière de 2008. Pour le professeur de finance de l’Université de Zurich, une société civilisée vacille dans les deux cas. Aujourd’hui, une aristocratie financière a pris le pouvoir au détriment du reste de la population, dénonce-t-il, tout en proposant des solutions. Entretien.

Le Temps: Vous comparez la crise financière et la Première Guerre mondiale, n’est-ce pas exagéré?
Marc Chesney: Il s’agit uniquement de comparer l’Europe de 1914 à celle d’aujourd’hui. A l’époque, une société civilisée a subitement basculé dans la barbarie. Actuellement, la société vacille sur elle-même, tremble sur ses fondations, confrontée qu’elle est à une crise d’une grande ampleur, une crise aux dimensions non seulement financières, mais aussi économiques, sociales, politiques et environnementales. Une aristocratie financière a pris le pouvoir. Elle se drape dans les habits du libéralisme, mais sa pratique quotidienne contredit souvent les principes de base. Cette aristocratie arrive à imposer sa politique et ses intérêts. Ceux-ci ont provoqué la crise et nuisent aux perspectives d’amélioration. Si les dégâts causés par la crise sont d’une autre nature que ceux de la Grande Guerre, ils sont néanmoins dévastateurs.
Le nombre de chômeurs dans le monde a augmenté d’environ 60 millions par rapport à 2007. Dans de nombreux pays européens, des pans entiers de la population perdent espoir, perspectives et repères. Ils sont confrontés à une situation difficile dont l’issue semble incertaine. Les frémissements de croissance sont une illusion car les véritables problèmes n’ont pas été résolus.
– Vous le dites, la croissance frémit. N’est-ce pas le signe que nous sortons finalement de la crise?
– La chute des prix du pétrole explique principalement ces frémissements de croissance. Mais les problèmes de fond demeurent: au niveau international le chômage et le sous-emploi sont énormes, les particuliers et les entreprises subissent des niveaux d’imposition bien trop élevés alors que les grandes banques sont sous-imposées. Quant à la politique de la Banque centrale européenne (BCE), qui consiste à maintenir un taux d’intérêt très faible et à inonder les marchés financiers de liquidité, les résultats ne sont pas au rendez-vous. Ces liquidités, au lieu d’être investies dans l’économie, stagnent le plus souvent dans le secteur financier et contribuent au développement de la finance casino.
– Pourtant, des mesures ont été prises depuis la crise, notamment pour renforcer l’assise financière des banques pour éviter que les Etats ne doivent se porter à leur secours…
– En apparence effectivement. En réalité les lobbys sont à l’œuvre pour soit vider de leur contenu les projets de réformes, soit les complexifier de manière démesurée. En dernière instance, c’est le contribuable, sans parler du client, de l’employé et de l’actionnaire, qui le cas échéant s’acquitte de la facture laissée par les banques systémiques. Cette situation contredit un des principes de base du libéralisme, en l’occurrence que ceux qui prennent des risques se doivent de les assumer. Les banques systémiques sont incitées à prendre des risques et ce, aux dépens de la société.
– Vous êtes partisan d’une taxe sur les transactions financières, mais qui n’a rien à voir avec la taxe Tobin. Pouvez-vous en dire plus?
– Il s’agirait, comme le propose le financier zurichois Felix Bolliger, de taxer tous les paiements électroniques, comme les factures de restaurant… et pas seulement les achats d’actions ou d’obligations. En Suisse ces paiements sont de l’ordre de 100 000 milliards de francs par an. C’est énorme. Il s’agit d’environ 160 fois le PIB du pays.
Il suffirait de prendre 0,2% sur chaque transaction pour obtenir 200 milliards, soit davantage que l’ensemble des impôts perçus en suisse, qui est de l’ordre de 170 milliards. Une telle taxe, si elle était introduite, pourrait théoriquement remplacer tous les impôts actuels et permettrait de simplifier le système fiscal. Cela pourrait délester l’économie d’activités qui lui sont néfastes comme le trading à haute fréquence.
– Certaines transactions ne se déplaceraient-elles pas simplement ailleurs, où aucune taxe n’est perçue?
– Oui, la Suisse risquerait de perdre certaines activités. Lesquelles? Les activités de négoce à haute fréquence par exemple? Elle peut certainement se passer des transactions sur actions exécutées en quelques microsecondes, c’est-à-dire d’activités de la finance casino. Et elle en gagnera par ailleurs, parce que les entreprises, tout comme le contribuable, bénéficieraient dans ce cas d’une véritable baisse des impôts qui leur permettrait d’investir et de créer des emplois.
– Une telle proposition pourrait-elle vraiment être mise en œuvre?
– Nous avons besoin – la Suisse, mais en général l’Europe aussi – de politiciens qui prennent leurs responsabilités et s’émancipent des lobbys de cette aristocratie financière. La société se doit aussi de comprendre les enjeux, même si, il est vrai, un certain jargon est favorisé pour rendre le tout très opaque. Des termes comme hors-bilan, trading à haute fréquence, darks pools sont souvent utilisés, mais qui comprend vraiment ces termes? Cette complexité permet à un secteur composé de «spécialistes» – l’aristocratie financière – de détenir le pouvoir aux dépens de la démocratie.
– Ne noircissez-vous pas quelque peu le tableau? Si l’on prend UBS, la banque a beaucoup changé depuis son sauvetage en 2008. Elle a augmenté ses fonds propres et considérablement réduit ses activités de banque d’affaires par exemple.
– Tant mieux. Mais regardez les bonus, les politiques de rémunération n’ont pas vraiment changé. A Credit Suisse, le directeur général sortant Brady Dougan a perçu approximativement 160 millions de francs durant son mandat, alors que pendant la même période le cours de bourse de celle-ci s’est effondré d’environ 75%. Par ailleurs, la banque a dû s’acquitter en 2014 d’une amende record de 2,8 milliards de dollars pour avoir incité des contribuables américains à échapper au fisc. Du point de vue économique aussi, ces rémunérations sont tout simplement injustifiables. Certains actionnaires réagissent, mais ils sont une minorité. Que font les autres?
– La question portait sur UBS…
– Parlons-en! Ces dernières années, elle a été confrontée à une série de scandales. Après les manipulations des taux Libor et des changes, l’aide à l’évasion fiscale, quel sera le prochain? La situation requiert un travail en profondeur. Le monde académique porte aussi sa part de responsabilité. Comparés aux programmes de cours datant d’avant la crise, les programmes actuels en finance n’ont pas suffisamment été modifiés. Dans les cours de finance, la question des prix des actifs est au premier plan, or c’est des valeurs de notre société qu’il faudrait parler. Actuellement, elles sont purement financières, le problème étant précisément que les valeurs d’une société démocratique et civilisée ne sauraient être purement financières.
Marc Chesney «De la Grande Guerre à la crise permanente», Presses polytechniques universitaires romandes, avril 2015.

Comme l’effort réel pour un revenu de base inconditionnel à CHF 2500.- est de moins que 10% de cette somme. On peut se dire qu’il y a là une moyen financer l’argent qui manque en ne captant que 0.02% des paiements électroniques en Suisse. Ce qui représente CHF 2.- sur un paiement de 10 000.- CHF.
C’est un moyen de récupérer de l’argent sans charger plus les gens qui travaillent….

… mais pour aller dans ce sens, il y a encore mieux, pour autant qu’on sorte des préjugés et que l’on comprennent vraiment ce qu’est la monnaie…

Financement du Revenu de Base Inconditionnel: un gros malentendu !

Il y a un gros malentendu qui subsiste sur le financement du Revenu de Base Inconditionnel. La plupart des gens sont persuadés que pour financer le RBI il faut trouver de l’argent en plus !
=> C’est faux !

La plupart de l’argent pour financer le RBI est déjà là et disponible !

Voici une vidéo dans laquelle nous vous proposons de bien comprendre les différents modèles de RBI possibles et leur effets, ceci afin de bien comprendre leur financement.
Puis nous nous vous invitons à visiter notre laboratoire d’idées à propos du financement du Revenu de Base Inconditionnel…





Ce qu’il faut bien comprendre, c’est qu’en Suisse, la plupart des gens ont déjà un revenu plus élevé que le montant du Revenu de Base.
Instaurer un Revenu de Base Inconditionnel, c’est juste sécuriser la première tranche de ce revenu global, tranche que l’on appelle Revenu de Base Inconditionnel.
Donc la manière la moins chère de réaliser un RBI, c’est de l’intégrer dans le revenu global.
Cette méthode est bon marché (< de 3% du PIB). Cependant, les effets qu’elle a ne sont pas pleinement un vrai Revenu de Base Inconditionnel.
En effet, si ce type de RBI est capable de faire augmenter les bas salaires, il n’est pas capable de permettre aux gens qui travaillent de baisser leur temps de travail.
Il faut le savoir. Ainsi il y a 2 sortes de RBI à choix:
  • le RBI qui est de l’argent en plus pour tous => coûte 140 milliards
  • le RBI qui est de l’argent en plus uniquement pour ceux qui n’ont pas actuellement un revenu qui est de l’ordre du montant du RBI, soit: les enfants, les parents au foyer et lesworking poors. => coûte ~18 milliards

Au vue du montant global du PIB, les revenus du peuple suisse,Génération RBI a pour objectif le Revenu de Base Inconditionnel qui est de l’argent en plus pour tous.

Cependant, pour effectuer une transition en douceur vers ce modèle. Il est possible de discuter de la mise en place d’un RBI moins cher. Mais ce n’est pas l’objectif final.
Pour en savoir plus sur quelques modèles de financement du Revenu de Base Inconditionnel en Suisse, voici notre page labo….

Exemple d’un RBI intégré avec un montant de CHF 2500.-

Si l’on choisi un RBI à CHF 2500.- le principe revient tout simplement à nommer les premiers CHF 2500.- de votre revenu global… « Revenu de Base Inconditionnel ». La plupart des gens dans ce pays ont déjà un revenu supérieur à CHF 2500.-
(seuls, 2.3% des salaires à plein temps sont inférieurs à CHF 3000.-)
Ainsi on ne fait que réaffecter sous un nouveau nom, des revenus déjà existants qui, suivant les personnes viennent d’un emploi, de l’AI, de l’AVS, de l’aide sociale, de bourse d’études etc…..

Une simple opération neutre de réaffectation d’argent

Il est évident que l’on peut réaffecter le financement d’assurances sociales actuelles au financement du Revenu de Base Inconditionnel. (AVS, AI, Aide sociale, bourse d’études, etc…)
Réaffecter les premiers CHF 2500.- de chaque salaire est un choix qui dépend de la méthode globale de financement d’un RBI.
Il y a plusieurs modèles de financement (VAN des entreprises, remplacement d’impôts des entreprises par une taxe à la consommation, micro-taxe sur les paiements électroniques et création monétaire par les gens et pas par la dette).
La méthode la plus simple à mettre en place est le modèle qui prélève une part de la Valeur Ajoutée Nette des entreprises. (VAN) Ceci car le réseau de caisse de compensation est déjà en place. Donc dans une optique de transition, c’est plus facile.
Avec ce modèle, on peut dire qu’effectivement, il y a globalement un transfert de la première tranche de CHF 2500.- d’un salaire pour financer le RBI.


En effet, avec un tel modèle de financement, naturellement il va se produire un rééquilibrage des salaires pour tenir compte du RBI. Ainsi globalement on crée une opération neutre. L’employeur donne pareil que maintenant et l’employé reçoit pareil que maintenant. (Cette régulation naturelle, sans règlement fixe, cette souplesse d’adaptation à chaque situation est une grande force du RBI.)
Au passage on supprime le système actuel d’aide sociale qui est vraiment plein d’effet pervers. Il n’incite pas du tout à travailler, vu que tout revenu supplémentaire est déduit. De plus, dans la plupart des cantons, l’aide sociale se rembourse une fois que l’on retrouve une situation financière meilleure!
Mais encore, pour toucher une aide sociale il faut d’abord épuiser sa fortune, comme par exemple, une maison ou une voiture. (et ainsi renoncer à un loyer pas cher et un moyen de transport souvent utile pour avoir un emploi !)
Le Revenu de Base Inconditionnel est une vision positive, un véritable socle pour se construire bien plus efficace qu’un filet social troué...


L’effort réel à fournir est faible…. voir nul !

Le principal « trou » de financement d’un RBI provient du complément à ajouter pour les personnes qui ont actuellement un revenu global inférieur au montant du Revenu de Base (en dessous de CHF 2500.- par exemple).
Dans ce cas il n’y a aucun revenu de la personne à réaffecter sous le nom de Revenu de Base, on doit le trouver ailleurs.
Dans cette catégorie, il y a des pauvres, (de plus en plus de working poormais aussi les enfants !
En effet, les enfants faisant partie de la population suisse, ils ont aussi droit à un Revenu de Base. C’est une réelle aide pour les familles. Mais on voit que les allocations familiales actuelles sont insuffisantes pour être significativement réaffectées au financement du Revenu de Base Inconditionnel.
Pour cette raison, les modèles de financement prévoient un Revenu de Base pour enfant qui est seulement de l’ordre de la moitié ou du quart du montant du RBI d’un adulte.(On peut imaginer des variantes progressives, et on peut imaginer responsabiliser l’enfant en fonction de son âge en lui donnant directement une part du RBI et l’autre à ses parents.)
Ainsi, quel est l’ordre de grandeur de l’effort réel ?
Selon les calculs les plus récents, l’effort réel est de CHF 18 milliards, ce qui représente ~ 2.8 % du PIB Suisse.
Ce montant est dans un ordre de grandeur qui est tout à fait finançable par notre pays.
… et si on place le montant du Revenu de Base Inconditionnel à CHF 2250.- L’effort réel est nul !

On comble le trou par une taxe sur les paiements électronique

Dernièrement, le professeur de finance à l’université de Zürich Marc Chesney a montrée qu’une taxe de 0,2% sur les paiements électroniques en Suisse permet de capter 200 milliards de CHF.
Comme l’effort réel pour un revenu de base inconditionnel à CHF 2500.- est de moins que 10% de cette somme. On peut se dire qu’il y a là une moyen financer l’argent qui manque en ne captant que 0.02% des paiements électroniques en Suisse. Ce qui représente CHF 2.- sur un paiement de 10 000.- CHF.
C’est un moyen de récupérer de l’argent sans charger plus, les gens qui travaillent….
… mais pour aller dans ce sens, il y a encore mieux, pour autant qu’on sorte des préjugés et que l’on comprennent vraiment ce qu’est la monnaie…

On comble le trou par la création monétaire

On peut même imaginer faire intervenir la création monétaire pour prendre en charge ce montant.Ce qui ressemblait à une idée farfelue il y a quelques années est maintenant proposé par des dirigeants de banques !
Voici un exemple, dans la NZZ du 16 février et le Temps du 17 février 2015, le banquier Michaël Malquarti propose de lutter contre la déflation en donnant de l’argent directement aux gens.
(…) cette ration pourrait s’élever dans un premier temps à 100 francs par personne et par mois, c’est-à-dire, en termes annualisés, à environ 1,5% du PIB et, selon l’agrégat utilisé, à 1 ou 2% de la masse monétaire. Les moyens déployés seraient donc bien inférieurs aux achats de devises effectués par la BNS ces dernières années. (…)
Effectivement, on l’a vu, entre 2011 et 2014 la BNS n’a pas hésité à créer CHF 100 milliards / année(15% du PIB !).


Si cette mesure a été possible pendant quelques années, on peut donc imaginer que la création monétaire finance les CHF 18 milliards manquants qui représentent nettement moins chaque année.
On peut imaginer cette méthode ne serait-ce que le temps que la nouvelle économie avec un Revenu de Base Inconditionnel porte ses fruits et permette d’économiser des coûts sur le long terme, notamment dans les infrastructures et la santé.
On voit donc qu’il existe des pistes pour financer un Revenu de Base Inconditionnel en Suisse sans (trop d’) effort par rapport au gain qui est apporté à tout le pays.
Le fait que l’initiative sur laquelle nous allons voter ne définisse pas précisément le financement est une chance qui nous permet d’adapter le financement à chaque époque.
Ainsi on peut réaliser une transition en douceur.
Pour approfondir toutes les solutions de financement du RBI, voici les articles de notre laboratoire d’idées sur le financement du Revenu de Base Inconditionnel...

PS:
Pour l’avenir, on peut même imaginer changer le système monétaire pour financer une plus grande part du RBI par la création monétaire. On pourrait remplacer le système actuel qui augmente la masse monétaire par des dettes contractées dans les banques commerciales, par un système basé sur la Théorie Relative de la Monnaie qui augmente la masse monétaire en donnant de l’argent aux gens régulièrement. Avec un tel système les estimations montrent que l’on peut probablement financer au moins la moitié du RBI. :)
Pour ceux qui sautent au plafond et pensent « inflation » dès que l’on parle de création monétaire, prenez le temps d’étudier  la Théorie Relative de la Monnaie. Quand tout le monde reçoit équitablement une part de la création monétaire, l’inflation n’est pas un souci.
D’autre part, il est peut être important de rappeler qu’actuellement le problème de l’économie Suisse n’est pas vraiment l’inflation, c’est plutôt le contraire. L’économie suisse bascule du côté de la déflation….


À propos de l'auteur :

Je me considère comme un synthéticien. Pour en savoir plus rendez vous sur mon site web personnel: martouf.ch






François de Siebenthal: Le financement par la création monétaire

desiebenthal.blogspot.com/2013/10/le-financement-par-la-creation-monetaire.html

12 oct. 2013 - Le financement par la création monétaire. Quelques images, chiffres et commentaires des dettes US en piles de billets de 100 $. Quelques ...

François de Siebenthal: Création monétaire du Franc ?

desiebenthal.blogspot.com/2013/11/creation-monetaire-du-franc.html

19 nov. 2013 - Face à la crise de l'euro et de la dette, je prie le Conseil fédéral de prendre position sur la question de la création de monnaie en Suisse.

François de Siebenthal: Nuit debout et la création monétaire !

desiebenthal.blogspot.com/2016/04/nuit-debout-et-la-creation-monetaire.html

et un autre facteur qui limite la création monétaire, c'est ce que les banques appellent des fuites. C'est ce qui ... Posted by François de Siebenthal at 11:17:00 ...

Les banques créent de la monnaie du nèant, ex nihilo, de novo ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/jAi8eSSHAVZ

Il y a 2 jours - CRÉATION MONÉTAIRE PAR LES BANQUES COMMERCIALES : LES PREUVES - Banque de France "Le crédit est un mode de création monétaire : il fait ...


RBI: Protestants de mauvaise foi ?

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RBI: Protestants de mauvaise foi ?








Pour les chrétiens, le revenu de base pose une question morale : est-il normal de donner sans conditions à son prochain ?
Le revenu de base inconditionnel — ou allocation universelle — propose de lutter contre la pauvreté en remplaçant les aides disparates d’un système fiscal en forme de mille-feuilles par une aide unifiée, versée à tous, sans condition. La faisabilité économique faisant l’objet d’études prometteuses, pourquoi restons-nous hésitants ? Sans doute parce qu’une inquiétude nous taraude : est-ce une incitation à la paresse ? Ne portons-nous pas au fond de nos cœurs la crainte de briser un tabou séculaire : un revenu obtenu sans travail est-il pleinement légitime ? Faut-il encore travailler à la sueur de son front ?

L’inconditionnel, fondement de la logique divine.
Recevoir sans contrepartie : Dieu nous donne de quoi mangerDès le commencement, Dieu nous donne de quoi manger : « Je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture. » (Gn 1,29). Plus tard, Dieu offre la manne à son peuple (Ex 16,4), et Jésus partage les pains en abondance pour ses auditeurs (Mc 6,30-44 ; 8,1-10). Il nous invite à prier Dieu le Père en nous tournant vers lui et en lui redisant nos besoins fondamentaux : « donne nous aujourd’hui notre pain de ce jour». Cette manne et ce pain ne sont pas un dû à accumuler sans contrepartie, mais un rendez-vous de confiance, d’espérance, d’engagement et de louange à renouveler chaque jour.

L’inconditionnel, source de vie : Dieu se donne en nourritureDieu est par excellence le Dieu de l’Amour inconditionnel incarné : il aime tous ses ouvriers, de la première à la onzième heure (Mt 20,12-16) ; il accueille tous les invités qui voudront bien venir à son festin (Mt 22,8-9-1) ; il pardonne à tous les pécheurs et nous demande d’aimer nos ennemis (Lc 6,27-38). Par amour encore, il va jusqu’à donner son propre Fils en nourriture pour nous donner la vie en abondance. L’eucharistie, pain-de-vie, complète le pain-subsistance-du-quotidien dont nous avons besoin pour nous ouvrir aux autres (reconnaissons qu’il est plus facile d’ouvrir son cœur quand on n’a pas le ventre trop vide.)

Le revenu de base : incitation à la paresse ou appel à se réaliser ?
Notre vocation humaine : porter du fruit





L’homme est un être de relation, appelé à une vocation innée et indélébile à la fécondité et au travail : « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et assujettissez-la; dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. » (Gn 1,27-28). Cet appel est pour chacun de nous, tel l’appel à aller au-devant adressé à Abraham : une interprétation propose ainsi de traduire l’hébreu « Lech Leka » par « va vers toi, va pour toi ».

Devenir ce que l’on a reçu

La question morale ne doit pas être entendue comme un « que faut-il faire ? », mais plutôt comme une découverte continue de « qui puis-je être ? » pour devenir en plénitude le don d’amour et de vie reçus de Dieu. Ainsi, au docteur de la Loi qui demande « qui est mon prochain ? », Jésus désigne « celui qui a agi avec bonté », le bon samaritain qui me sauve, me relève et me fait être (Lc 10,25-37). Remettons les choses dans le bon ordre. Nous ne sommes plus à l’époque où il suffisait de cultiver son potager pour vivre dignement.
Le principe de « destination universelle des biens » fait face au défi de l’explosion des richesses, des populations et des inégalités. Inviter à un partage fraternel et respectueux de la vocation unique de chacun est plus que jamais nécessaire.



http://revenudebase.info/2013/11/revenu-pour-exister-chretiente/#thepost

Un revenu pour exister : du pain quotidien au pain de vie Opinions 3 novembre 2013 Muriel Rosset
L'article
Commentaires
A propos de l'article

Le caractère inconditionnel n'est que justice, chacun y a droit sans enquête, car il est actionnaire de la société nationale où il habite, il est héritier du capital social de ses ancêtres. Si il ne le reçoit pas, c'est que quelqu'un le lui vole. A qui doit-on toutes ces pseudo-dettes ? Cui bono prodest ! "cui prodest scelus, is fecit"
Cherchez ceux à qui profitent tous ces crimes, ce marché financier occulte et vagabond...

On peut le redonner si on ne le veut pas.

Le revenu de base inconditionnel est un changement de paradigme qui part du principe que chacun dispose d’un revenu suffisant pour vivre, et ensuite choisir librement les activités qu’il pratiquera (marchandes ou non, rémunérées ou non, sociales ou commerciales, culturelles ou de production…) et est tout aussi libre de choisir de se former, d’apprendre, de chercher…


Chacun est donc de facto inséré. En aucun cas il n’y a besoin d’imaginer une politique de réinsertion, qui n’est qu’un pis-aller, et finalement le symptôme d’une société malade.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html?spref=fb



De la BNS, avec des commentaires en rouge !

Injustices vaudoises, Galland & Cie

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Pourquoi tant de têtes dans le sable ? Par cupidité, avarice, bêtise, paresse... ?

Cher Monsieur,

J’ai lu les deux textes que vous m’avez remis hier et je vous en remercie.

J’ajoute Gerhard et Marc-Etienne en copie afin qu’ils lisent la fin de ce message et donnent leur avis concernant l’alinéa 2 de l’art. 173 CP. Et aussi François de Siebenthal et Denis Lambelet rencontrés hier, mais avec lesquels j’ai échangé des messages email ces dernières années.

Il faut bien comprendre que les citoyens qui dénoncent des affaires de corruption par exemple sont condamnés par la justice vaudoise pour diffamation.

Cela a été mon cas quand j’ai dénoncé à fin août 2007 les actes de mon avocat Philippe Reymond à la Chambre des avocats vaudois (Président Blaise Battistolo). Suite aux mensonges déclarés par Me Philippe Reymond j’ai annoncé mes soupçons de corruption en pensant que la justice allait m’aider. Mais ce fût tout le contraire.  

J’avais donné un mandat à Me Philippe Reymond en février 2004 afin qu’il m’aide à comprendre la valeur de la société Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003 (date du décès de mon beau-père, M. Philippe Galland, second mari de ma mère depuis 1955). Je recevais par testament le 10% des actions de Fontatrez Holding SA, qui se nommait Galland & Cie SA avant le 3.1.2002. Mon demi-frère Patrice Galland m’avait fourni la valeur vénale de Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003, soit 1’448'000.- CHF, mais il était impossible d’obtenir les preuves permettant de comprendre ce chiffre.

A fin 2005, j’ai compris que Me Ph. Reymond et M. Michel Nicolet, mandaté par lui, m’avaient caché l’existence d’un compte de titres de 2 millions (valeur comptable) et j’ai retenu le solde de leurs honoraires.  

Philippe Reymond a fait des déclarations écrites depuis mai 2007 et oralement aussi en déclarant à des juges qu’il avait vérifié le contenu des comptes de Galland & Cie SA pour les années 1999 à 2001 et que l’estimation de Galland & Cie SA au 31.12.2001 réalisée par M. Michel Nicolet d’Audict fiduciaire SA était correcte. M. Nicolet avait été mandaté par Me Philippe Reymond, à mes frais. Voir le premier fichier joint. Je contestais les déclarations de Philippe Reymond, mais personne ne m’a écoutée.

L’astuce utilisée par Ph. Reymond : Il n’a jamais produit le contenu des comptes étudiés.

L’astuce utilisée par les juges en 2007-2008 et par le juge d’instruction Stéphane Parrone : Il ne lui ont jamais réclamé le contenu des comptes étudiés et ont déclaré que Me Ph. Reymond avait bien travaillé. Le juge Stéphane Parrone m’a inculpée de diffamation en janvier 2008, sans détenir le contenu du compte de titres de 2 millions (valeur comptable) que j’avais découvert, jamais cité dans les lettres. Pourtant j’avais expliqué au juge Parrone par écrit et lors de mon audience que ce compte contenait des actions de sociétés immobilières jamais citées et jamais estimées. Cela modifiait l’estimation de M. Nicolet et la valeur de Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003.

La procédure pénale a été traitée par le juge pénal Philippe Colelough, ami de Me Ph. Reymond ! Lors de la première audience pénale du 4 mai 2009, je me suis fâchée et j’ai réclamé le contenu de la pièce requise no 203, jamais produite, soit « l’inventaire complet des titres de Galland & Cie SA pour les années 1999 à 2001 ». Le juge pénal Colelough a accepté ma demande de réquisition et a suspendu la procédure pénale. Nouvelle astuce : le juge Colelough n’a pas réclamé cette pièce lui-même. J’ai dû demander cela au juge civil. Et le 18 août 2009, Me Rémy Wyler, avocat de Patrice Galland et de la société Fontatrez Holding SA, qui se nommait Galland & Cie SA avant 2002, a déclaré que cette pièce 203 n’a jamais été remise à Me Philippe Reymond. Voir le second fichier joint. En prétendant que cette pièce était sans pertinence (nouvelle grave astuce), cela leur a permis de ne pas en produire le contenu !

Dès le 18 août 2009, les conséquences de cette pièce primordiale cachée par Patrice Galland pendant toute la succession de son père, décédé le 5 juin 2003, ont été étouffées par les juges. Les déclarations de Me Ph. Reymond qui prétendait avoir vérifié le contenu des comptes de titres ont également été étouffées.

Il est impossible à ce jour d’obtenir le contenu de cette pièce primodiale, car les citoyens tels que Patrice Galland et Philippe Reymond sont protégés par la justice. Le fait que Me Ph. Reymond ait dit des mensonges à la justice en prétendant avoir vérifié le contenu des comptes de titres, alors qu’il ne détenait pas la pièce 203, montre déjà que Reymond a aidé Patrice Galland à cacher des biens immobiliers que j’estime à plus de 30 millions de francs suises. La corruption est avérée, mais elle a été étouffée par Colelough.

J’ai été condamnée pour diffamation le 23.9.2010. L’alinéa 2 de l’article 173 CP n’a pas été appliqué ! Cet alinéa dit que « L’inculpé n’encourra aucune peine s’il prouve que les allégations qu’il a articulées ou propagées sont conformes à la vérité ou qu’il avait des raisons sérieuses de les tenir de bonne foi pour vraies ». Certains faits très importants n’apparaissent pas dans le jugement pénal du 23.9.2010 (nouvelle grave astuce réalisée par Colelough).

Cet alinéa 2 n’a pas non plus été appliqué à Gerhard Ulrich et à Marc-Etienne Burdet … Maintenant la justice a dit hier que les faits sont prescrits. Mais personne ne dit que l’alinéa 2 aurait dû être appliqué en 2004, en 2006, etc. Il me semble qu’il s’agit d’une nouvelle astuce !  Merci à Gerhard et à Marc-Etienne pour leur avis à ce sujet.

Vous trouverez ci-joint le texte écrit en mars 2016 par Gerhard Ulrich concernant Colelough. Voir le 3e fichier joint.

A votre disposition pour tout renseignement.  Merci à vous pour le temps consacré à lire mon message.

Meilleures salutations.

PS : Je constate que ces dernières années j’ai eu à faire à de nombreuses personnes se nommant NICOLET ! Je ne sais pas si elles ont un lien de famille. Mais cela m’intrigue. Par exemple : Marc et Michel Nicolet d’Audict Fidiciaire SA. Un autre Marc Nicolet responsable du service des impôts qui a également refusé de réclamer le contenu de la pièce requise no 203. Mme Carole de Crousaz Nicolet, juge de paix du District de lavaux-Oron, qui a décidé de m’expulser de mon appartement le 28.11.2014 et qui a accepté les fausses déclarations de la société soi-disant propriétaire de l’immeuble du ch. de Mallieu 7 à Pully dans lequel j’habitais depuis 1987 (immeuble qui appartenait probablement à Galland & Cie SA … au 5 juin 2003). Jacques Nicolet, Président du Grand-Conseil avant de devenir Président de l’UDC Vaud. Gerhard Ulrich cite aussi un juge nommé Nicolet … Qu’en pensez-vous ?

Michèle Herzog

Rue St-Georges 10
CH-1091 Grandvaux


Tél. 079.655.21.86

Bonjour,

Etant donné les difficultés que je subis depuis l’été 2003, je me permets de vous envoyer ce message pour information.

Hier, Transparency International a diffusé ses statistiques concernant la corruption. Je ne comprends pas du tout sur quelles bases Transparency place la Suisse en bonne position. Etant donné que la justice, en Suisse, ne traite pas les affaires de corruption de façon sérieuse (celui qui dénonce la corruption est condamné pour diffamation et les infractions réalisées par les personnes dénoncées sont étouffées), je pense qu’une Université devrait étudier les décisions de justice dénonçant des affaires de corruption des 20 dernières années.

Merci de prendre connaissance du contenu du message envoyé ce jour à la Commune de Pully et aux personnes concernées par mon combat.

Meilleures salutations.  

Michèle Herzog

Rue St-Georges 10
CH-1091 Grandvaux





De : Herzog Michèle [mailto:mh@herzoginfo.ch]
Envoyé : jeudi 12 mai 2016 14:02
À : 'municipalite@pully.ch'; 'finances@pully.ch'; 'ddgs@pully.ch'; 'Patrice Galland (pgalland@regiegalland.ch)'; 'Jean-David Pelot'; 'Anne Galland (anne.galland@bluewin.ch)'; 'marc.nicolet@audict.ch'; 'michel.nicolet@audict.ch'; 'Philippe Reymond (philippe.reymond@rsbblegal.ch)'
Objet : Lettre du 15 avril 2016 de la Commune de Pully


Mesdames, Messieurs,

La commune de Pully me demande de libérer pour le 31 mai 2016 le local où mes meubles et mes affaires (ainsi que celles de mes deux enfants) sont stockés suite à l’expulsion le 28 novembre 2014 de mon appartement de 4,5 pièces qui comprenait également un garage, un grenier et une cave.  

Il faut bien comprendre que j’ai dû aller vivre chez mon compagnon à Grandvaux, contre mon gré, dans un appartement qui contient déjà ses meubles et qu’il n’y a pas de place pour mes affaires. J’ai rencontré mon compagnon en 1982 (le père de mes deux enfants) et si j’avais voulu aller vivre à Grandvaux, je l’aurais fait avant 2014.

Lors de l’expulsion du 28.11.2014, personne ne m’a demandé où je voulais stocker mes affaires. Elles ont été placées dans un local de la commune de Pully auquel je n’ai pas eu accès depuis le 28.11.2014. Je constate maintenant qu’il aurait été plus simple de les déménager tout-de-suite dans un autre local et cela à la charge des personnes m’ayant entravée financièrement depuis l’été 2003.   

Etant donné que ma situation financière est catastrophique (je reçois 2012.- CHF d’AVS par mois depuis le 1.8.2014), je n’ai pas d’argent pour effectuer le déménagement de mes affaires, ni les moyens de louer un local. En plus, je ne suis pas responsable de la situation financière que je subis depuis des années, car je n’ai pas pu obtenir les véritables valeurs vénales et fiscales de mon legs suite au décès de M. Philippe Galland le 5 juin 2003. J’ai enfin reçu mes actions de Fontatrez Holding SA en 2008, après cinq ans de fausses informations systématiquement produites par mon demi-frère Patrice Galland, avec l’aide de son avocat Me Rémy Wyler et avec l’aide de mon avocat Me Philippe Reymond. Et avec l’aide efficace d’autres personnes.

Depuis 2008, je suis actionnaire et je reçois chaque année les faux comptes de Fontatrez Holding SA ce qui m’empêche de vendre mes actions. De plus, Patrice Galland, administrateur unique de Fontatrez Holding SA, ne m’a jamais versé de dividende et cela de juin 2003 à ce jour … Je détiens les preuves écrites que j’ai été gravement entravée depuis l’été 2003 dans tous les domaines (moral, financier, familial, physique car j’ai dû réaliser un travail gigantesque, etc), car j’étais la seule personne qui n’acceptait pas de recevoir des chiffres sans obtenir les preuves permettant de comprendre les chiffres produits.

A part moi, personne n’a recherché la vérité dans cette affaire. Suite à mes démarches, je détiens depuis le 18 août 2009 la preuve que Patrice Galland a caché le contenu de la pièce la plus importante de toute la succession, ce qu’il a enfin admis le 18 août 2009, quand la succession avait déjà été partagée (10 mars 2008). En effet, le contenu de la pièce requise no 203, soit « l’inventaire complet des titres de Galland & Cie SA pour les années 1999 à 2001 » n’a pas été remis à mon avocat Me Philippe Reymond pendant son mandat (février 2004 à juillet 2006). Avocat qui était aussi celui d’Anne Galland Vergotti, héritière légale. En plus, en 2004, nous étions toutes les deux soi-disant administratrices de Fontatrez Holding SA, société qui se nommait Galland & Cie SA avant le 3.1.2002. Cela n’a pas empêché Patrice Galland de nous fournir de faux chiffres concernant la valeur vénale de Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003 et de ne pas remettre à notre avocat l’inventaire complet des titres (pièce 203).

En août 2009, pour ne pas produire cet inventaire primordial, qui contient les actions des sociétés immobilières détenues par Galland & Cie SA, Me Rémy Wyler a utilisé une grave astuce. Il a déclaré au juge civil le 18 août 2009 qu’ils ne comprenaient pas la pertinence de cette pièce. L’article 179 lit a CPC leur a permis de ne pas produire l’inventaire réclamé. Inventaire complet des titres qui n’est toujours pas produit à ce jour. Il est bien clair que si cet inventaire avait été sans pertinence il aurait déjà été produit en 2004. Voir le premier fichier joint à ce message.

Il faut savoir que Me Rémy Wyler et Patrice Galland savaient depuis juillet 2004 que Me Philippe Reymond avait mandaté Audict Fiduciaire SA à nos frais afin qu’une estimation de Galland & Cie SA soit réalisée (voir le second fichier joint). L’estimation de Galland & Cie SA au 31.12.2001 a été réalisée par M. Michel Nicolet d’Audict Fiduciaire SA le 22.9.2005, soi-disant sur la base des comptes des années 1999 à 2001 (estimation que je peux produire sur demande).   

Les avocats, les experts-comptables diplômés et les agents immobiliers savent parfaitement que sans détenir le contenu de la pièce requise no 203, il était impossible de réaliser une estimation de Galland & Cie SA et de Fontatrez SA au 31.12.2001. Ces personnes savaient donc depuis juillet 2004 que cette estimation serait unFAUX ! Il s’agit d’une infraction pénale qui devrait être poursuivie d’office. Et ce n’est pas la seule infraction pénale réalisée dans cette affaire.   

Sans détenir cette pièce 203, ces mêmes personnes savaient aussi qu’il était impossible de vérifier les deux estimations de Galland & Cie SA au 31.12.2000 produites par Patrice Galland dans cette succession. Voir le contenu de la lettre du 13 juillet 2004.

Me Rémy Wyler et Patrice Galland ont induit le juge civil en erreur le 18 août 2009 en prétendant qu’ils ne comprenaient pas la pertinence de la pièce requise. Je constate que la justice civile et la justice pénale acceptent très facilement de ne pas rechercher la vérité et je n’en suis pas responsable.

Me Philippe Reymond a fourni de fausses informations écrites et orales à de nombreux juges depuis mai 2007 en prétendant qu’il avait étudié le contenu des comptes de titres de Galland & Cie SA et que l’estimation de M. Michel Nicolet était correcte. Voir le contenu par exemple du 3e fichier joint (son audition du 19.11.2007), car en plus il a déposé une plainte pénale contre moi pour diffamation quand j’ai annoncé la vérité à fin août 2007: mes soupçons de corruption de Me Ph. Reymond par Patrice Galland. L’astuce utilisée par Me Ph. Reymond a consité à produire des pièces pour preuves totalement inutiles, car il ne détenait pas le contenu de la pièce 203 !

Pour aider Patrice Galland à cacher des biens immobiliers que j’estime à plus de 30 millions de francs suises, Me Ph. Reymond a fourni de fausses informations aux juges depuis mai 2007. La corruption de Me Ph. Reymond et de M. Michel Nicolet est prouvée, car ils n’ont forcément pas aidé Patrice Galland gratuitement. Malheureusement les personnes qui ont le courage de dénoncer leurs soupçons de corruption sont condamnées pour diffamation, sans tenir compte du contenu des déclarations et des pièces pour preuves. Je n’en suis pas non plus responsable. Et les avocats qui font de fausses déclarations écrites en justice ne sont pas du tout inquiétés …

Je ne suis pas responsable des faits que j’ai dénoncés et des faux chiffres reçus depuis l’été 2003. D’où ma lettre recommandée envoyée à Fontatrez Holding SA le 8 mai 2016 et celle envoyée à Me Jean-Davis Pelot le 11 mai 2016. Voir les deux fichiers joints.

Je remercie les responsables de la Commune de Pully de prendre note du contenu de ces deux lettres et d’organiser le déménagement de mes affaires et celles de mes deux enfants avec M. Patrice Galland et avec l’aide de M. Jean-David Pelot. Et cela avant le 31 mai 2016. Les frais liés à ce déménagement seront facturés à Patrice Galland et les frais du futur local aussi.

J’ai déjà averti la Commune de Pully et le fisc vaudois avec pièces pour preuves des graves faits que j’ai découverts. Si la Commune de Pully et le fisc vaudois n’agissent pas pour obtenir les véritables valeurs fiscales et vénales des actions de Fontatrez Holding SA de 2002 à ce jour, afin que les véritables impôts puissent être encaissés, je n’en suis pas non plus responsable.

A votre disposition pour tout renseignement, veuillez recevoir, Mesdames, Messieurs, l’expression de mes sentiments distingués.

Michèle Herzog

Rue St-Georges 10
CH-1091 Grandvaux



3 heures de radio courtoisie le 3.6. 2016 de 18h00 à 21h00 sur les finances.

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Sortez la tête du sable...

http://www.radiocourtoisie.fr/radio-courtoisie/libre-journal-du-soir/libre-journal-des-sciences-et-des-techniques/

3 heures de radio courtoisie à écouter le vendredi soir le 3 juin 2016 notamment de 18h00 à 21h00 sur les finances du point de vue suisse, BNS, RBI et monnaie pleine avec M Paul Deheuvels qui reçoit MM Christian Gomez, Nicolas Bourcier de Carbon et François de Siebenthal.

En modulation de fréquence (MF)[modifier | modifier le code]

En radio numérique terrestre (RNT)[modifier | modifier le code]

Par satellite[modifier | modifier le code]

Depuis 2008, Radio Courtoisie est accessible en clair sur les bouquets satellite TNTSAT ainsi que sur Canalsat sur le canal 641.



INITIATIVE MONNAIE PLEINE SUISSE: Amis -

www.initiative-monnaie-pleine.ch/amis/

L'initiative monnaie pleine est une chance pour la paix en Suisse et dans le monde .... François deSiebenthal, Économiste HEC Lausanne et lic. és sc. iur.:.

INITIATIVE MONNAIE PLEINE SUISSE: Dossier de presse -

www.initiative-monnaie-pleine.ch/dossier-de-presse/

L'initiative Monnaie pleine: cinq questions, cinq réponses ..... Rede von François de Siebenthal, Économiste HEC Lausanne et lic. és sc. iur., représentant de ...


 Monnaie pleine, Vollgeld, positive money, par ...

desiebenthal.blogspot.com/2014/06/monnaie-pleine-vollgeld-positive-money.html

9 juin 2014 - Philippe Mastronardi, Droit Public, St.Gall. « La branche financière servira, en régime demonnaie pleine, à l'économie réelle et à la société ».

RBI, monnaie-pleine, BNS, travail ou oeuvre. Tout semble opposer l ...

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5 mai 2016 - RBI, monnaie-pleine, BNS, travail ou oeuvre. Tout semble opposer l'entreprise et l'abbaye, le monde monastique et le monde économique. Pourtant, par son ...

RBI, monnaie-pleine, BNS, travail ou oeuvre.

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5 mai 2016 - François de Siebenthal: RBI, monnaie-pleine, BNS, travail ou oeuvre.

Blog Archive L'intiative Monnaie pleine (Suisse) - La Chronique de ...

blog.crottaz-finance.ch/lintiative-monnaie-pleine-suisse/

9 nov. 2015 - http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/ (NB: Cette intiative ne vient ... de Siebenthaln'a pas été orchestré à cause de ses idées novatrices.

L'initiative sur la «Monnaie pleine» en douze questions - Le Temps

https://www.letemps.ch/economie/2014/06/.../initiative-monnaie-pleine-douze-questio...

3 juin 2014 - L'initiative «Monnaie pleine» se concentre sur le rôle des banques ... Parmi ses soutiens, on trouve François de Siebenthal, économiste HEC ...

[PDF]FF 2014 3589

https://www.admin.ch/ch/f/ff/2014/3589.pdf

20 mai 2014 - (Initiative Monnaie pleine)», présentée le 12 mai 2014, satisfait, ... 1. de SiebenthalFrançois, Chemin des Roches 14, 1010 Lausanne. 2.

Un banquier suisse explique en 53 minutes l'initiative "Monnaie Pleine ...

https://www.youtube.com/watch?v=uKkuaULKBj4

7 janv. 2016 - Ajouté par Thomas Wroblevski
François de Siebenthal, économiste HEC, nous explique comment la monnaie est ... Il nous parle également de ...




    We did it, the biggest question ever !

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    What is your real vocation, if you are really free ?
    What would you do if your income were taken care of ?

    (from the photo)

    Billions for wars, why not for the Peace ?

    Geneva, Plainpalais, the 14 May 2016

    Robolution, robots at work and we share...


    A robolution, robots at work and we share or even better, we distribute...

    Swiss basic income, arguments

    A new paradigm ! Too much products thanks to robots ? How to distribute all those goods ?


    The iconic performance on video will be shown on a large screen at the New York City Times Square (7:45PM NY time) to demonstrate the global scale of the political idea of the Unconditional Basic Income.

    Not only Switzerland is currently taking the first steps towards the introductionof an UBI. Finnland, Holland as well as the USA are actively discussing about the introduction of an UBI.


    Switzerland will be the first country in the world to take a public vote on the introduction of UBI on 5th June 2016. For the campaign, the “biggest question” on the poster touches one of the main arguments of UBI: A true “walk-away option” to everybody. In the opinion of the Swiss campaign, “everybody should have the right to decide what they want to do with their lives.”

    Just an hour ago it is been made official by Guinness World Records: The new record holder in the category “Largest Poster” is Basic Income Switzerland.

    More info:
    Che Wagner, Spokesperson Basic Income Switzerland, che.wagner@grundeinkommen.ch+41 76 230 75 29

    Sincerely yours
    Che Wagner


    * * * 
    Newsfeed Interviews Geneva
    00:02:09 - 00:02:19
    ITV Marilola Wili (Generation Grundeinkommen)
    Spoken words (GER): Wir sind auf dem Plainpalais in Genf. Wir breiten die grösste Frage der Welt auf dem grössten Plakat der Welt aus. Es ist der einzige Platz in der Schweiz, an welchem es Platz für dieses Poster hat. 
    Translation ENG: We’re at Plainpalais in Geneva. We’re about to roll out the biggest question in the world on the biggest poster in the world. It’s the only place in Switzerland where we’re able to roll out this huge poster. 
    Translation FR: Nous sommes à plainpalais à Genève. Nous déroulons la plus grande question du monde sur la plus grande affiche du monde. C’est la seule place en Suisse qui est assez grande pour cette affiche. 
    00:02:19 - 00:02:43
    ITV Hanes Sturzenegger (Generation Grundeinkommen)
    Spoken words (GER): Zum ersten Mal stimmt man auf der Welt über ein bedingungsloses Grundeinkommen ab. Das bringt Fragen mit sich. Die essentielle Frage dieser Initiative ist: Was würdest du tun, wenn für dein Einkommen gesorgt wäre? Über diese Frage möchten wir diskutieren, indem wir sie auf dem grössten Plakat stellen und niemand drum rum kommt. 
    Translation ENG: It’s the first time that people will vote about an unconditional basic income. The fundamental question of this referendum is: What would you do if your income were taken care of? We want to discuss this question by putting it on the worlds biggest poster so no one can avoid it. 
    Translation FR: C’est la première fois que les gens votent sur un revenu de base inconditionel. La question essentiel de cette initiative est: Que feriez vous si votre revenu était garanti? En mettant cette question sur la plus grande affiche du monde nous aimerions en discuter. 
    00:02:43 - 00:03:11
    ITV Hanes Sturzenegger (Generation Grundeinkommen)
    Spoken words (GER):  Dieses Plakat ist über 5.5 Tonnen schwer. Bis zu 30 Personen waren für die Produktion involviert und 13 Personen haben zeitgleich gemalt. Dieses Plakat ist 110 Meter lang und 73 Meter breit. Es ist mit goldener Farbe auf schwarzem Hintergrund. 
    Translation ENG: This poster is 5.5 tons heavy. 30 people were woking on it and 13 people were painting at the same time. The poster is 110 meters long and 73 meters wide. We have golden letters on a black background. 
    Translation FR: Cette affiche pèse 5.5 tonnes. 30 bénévoles y on travaillé et 13 personnes l’ont peint en même temps. L’affiche mesure 110 mètres de long et 73 mètres en largeur. Nous avons de lettre en dorée sur un dessous noir. 
    00:03:11 - 00:03:27
    ITV Che Wagner (Generation Grundeinkommen)
    Spoken words (ENG): Every inhabitant should get a basic income floor which is payed out unconditionally. So there’s no strings attached to these payments and that’s a very new way of having a social welfare system here in Switzerland. 
    00:03:27 - 00:04:03
    ITV Che Wagner (Generation Grundeinkommen)
    Spoken words (ENG): I think this system works because everybody in society, especially in Swiss society, agrees that everybody should have a minimum level of dignity and an income. And I think everybody agrees on that and all we are doing with this initiative is saying „why don’t we pay that unconditionally. Why don’t we trust our citizens to make the best out of their lives. And I think it’s crucial to ask this specific question: What would you work if your income were taken care of? Because that’s the key question of this referendum. 
    00:04:03 - 00:04:27
    ITV Lena Kuhlmann (Guinness World Record Referee)
    Spoken words (ENG): Generation Grundeinkommen attempted today the official Guinness World Record title of the largest poster. To beat was the number of 7’164.78 quare meters and Generation Grundeinkommen achieved a number of 8’115.53 square meters and therefore they set a new Guinness World Record title. 
    * * * 
    Newsfeed Impressions Referendum
    Newsfeed-Conact: Toni Krebs, toni@leguan.ch+41 79 448 91 00

    --
    Spokesperson Basic Income Switzerland
    E: che@grundeinkommen.ch
    T: +41 76 230 75 29
    www.basicincome2016.org



    The biggest question ever, will be in The Guinness Book of Records...
    http://www.guinnessworldrecords.com/

    What would you do if your income were taken care of ?

    (from the photo)

    Billions for wars, why not for the Peace ?

    Geneva, Plainpalais, the 14 May 2016

    Robolution, robots at work and we share...


    A robolution, robots at work and we share or even better, we distribute...

    Swiss basic income, arguments

    A new paradigm ! Too much products thanks to robots ? How to distribute all those goods ?



    I am forwarding the following link for the interest of  all persons of good will:
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/09/kennedys-robolution-against-bankstersss.html

    Unconditional Basic Income


    Other NGOs

    Press articles

    RBI: la plus grande question du monde, record Guinness du monde !

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    La plus grande affiche de campagne pour le RBI

    Que feriez-vous si votre revenu était assuré ?

    Suisse, Genève, Plainpalais, le 14 Mai 2016, un message pour une vraie paix.

    Sur la plaine de Plain-Palais a été assemblé la plus grande affiche du monde, faites de bâches de camions. Elle mentionne le slogan du RBI pour lequel on vote le 5 juin dont vous avez reçu les enveloppes de vote: 

    "Si ton revenu de base était assuré, que ferais-tu ?".

    Après mesure avec un télémètre Laser, elle a été homologuée par le Guinness Book of Records puis a fait le tour du monde, ici ci-dessous à Times Square New-York.

    What would you do, if you were really free ?
    or
    What would you do if your income were taken care of ?
    Suisse, Genève, Plainpalais, le 14 Mai 2016, un message pour une vraie paix.






    ... à New-York, Times Square.


    Des milliers de milliards  pour les guerres, pourquoi pas quelques centaines de milliards pour la Paix ?



    Les machines, robots, ordinateurs rendent le "travail humain rémunéré" (dans chaque industrie) de plus en plus rare, c'est un fait. Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables mondialisées. Ce sont des gaspillages stupides. La seule solution est de fournir un revenu hors du travail.
         La politique de plein emploi doit être remplacée par une politique de la liberté de décider quoi faire hors de l’économie formelle pour de plus en plus des gens, parce que l’économie formelle ne nécessite plus le travail de tous les adultes. Mais, le revenu de base et le dividende créditiste pourraient être deux choses différentes car le dividende peut changer selon la performance de l’économie et le financement vient d'une autre source. En effet, le dividende universel n'est financé ni par les impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, car il est financé par la création d'argent nouveau sans dettes.
         Il vient surtout de la création monétaire actuellement volée (sic) par le système bancaire. L’ écart entre les prix et le pouvoir d'argent est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts, nous voulons au contraire le combler par la création d'argent nouveau sans dettes à travers le dividende et l'escompte.
         Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires en vue de gaspillages honteux et polluants... Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté...
         Pour être clair, nous soulignons aussi que l'argent pour la production sous un système créditiste continuerait être de l'argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous. C'est seulement le dividende et l'escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l'écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l'automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots. En effet, l'écart entre les prix et le pouvoir d'achat est causé principalement par les coûts du capital réel (des machines) qui ne sont pas couverts automatiquement par le système actuel.


    VIVE LA «ROBOLUTION» AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.



    Media: 20 minutes

    Date: 14.05.2016

    http://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/18089834

    Les initiants et les partisans du revenu de base se sont réunis sur la plaine de Plainpalais, samedi matin et après-midi.


    La plus grande affiche du monde, constituée de bâches de camion assemblées entre elles, a été déroulée samedi sur la plaine de Plainpalais, à Genève. Le record, en faveur du revenu de base, figurera dans le livre Guinness.

    Une affiche qui mesure 8000m2 et pèse sept tonnes a été posée sur la Plaine de Plainpalais à Genève. (Samedi 14 mai 2015).

    L'affiche de 72 mètres sur 110 mètres occupe une surface de près de 8000 m2, a expliqué Marielola Wili, membre du comité d'initiative en faveur du revenu de base inconditionnel, à l'origine de l'action. Tout a été rangé en fin d'après-midi. L'affiche a été fabriquée dans le canton de Glaris par une trentaine de personnes.
    Elle a été transportée à Genève, car la plaine de Plainpalais était la seule place publique assez vaste en Suisse pour pouvoir l'accueillir, a expliqué Marielola Wili. Environ 200'000 francs ont été récoltés par le biais d'un financement participatif par le comité d'initiative afin de réaliser ce support de campagne.
    La plus grande question du monde
    Les bâches en plastique qui ont été utilisées ne seront pas détruites, mais transformées en sacs, besaces et autres produits. Sur l'affiche était écrite en anglais la question: «Quel travail ferais-tu si ton revenu était assuré ?». Les initiants considèrent que cette question est la plus grande question du monde.
    Sur les bords de l'affiche, la question figurait en petit en 68 langues différentes. Des photos ont été prises depuis un hélicoptère et des drones. Une nacelle accrochée à un immense bras articulé a permis à des photographes de voir l'affiche d'en haut.

    RBi: Plus de libertés et de choix responsables. Confiance dans l'humain

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    Plus de libertés et de choix responsables. Confiance dans l'humain

    Luttes contre les usuriers criminels, l'usure tue...

    Tu reçois ton salaire.

    ° Une bonne part s'en va directement pour le loyer, dont une grosse partie est un payement d'intérêt sur une hypothèque*.

    ° Une autre partie te sert à acheter des trucs dont le prix comprend de la matière première, de la valeur ajoutée donc des salaires (qui eux-mêmes comportent tout ce que le tiens comporte) et utilisent des infrastructures sur lesquelles il y a des hypothèques*.

    ° Une partie part en services (genre assurances ou ton coiffeur) et est composées de salaires (dont une partie partira en intérêts) et d'infrastructures (donc hypothèques et intérêts).

    ° Une part enfin s'en va sous forme d'impôts dont une part sert directement à payer des intérêts sur la dette publique, puis le reste en salaires (dont une part s'évapore sous forme d'intérêts) et en infrastructures (dont une part s'évapore sous forme d'intérêts)

    Et pour toutes les parts de salaires contenues là dedans, il y a le même ration qui part en intérêts directement ou indirectement (via des salaires).
    Et la chaine ne s'arrête jamais !

    Le tout cumulé entraine que plus de 60% de ton salaire est versé plus ou moins directement à des banques privées qui ont pour seul mérite de t'avoir fait croire qu'elles te prêtent de l'argent là ou elles le créent à partir de rien !

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    * Et grâce à nos superbes stratèges politiques, les allègements fiscaux pour dettes font que ces hypothèques durent très très longtemps !

    Une pièce de plus à verser au RBI !
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    "Pour Ken Loach, les agences de recherche d'emploi n'ont pas pour but "d'aider les gens, mais d'ériger des obstacles sur leur chemin". Pire, on fixe à leurs conseillers "des objectifs chiffrés de gens à pénaliser", afin de réduire les allocations versées. Et on les forme à "gérer de potentiels suicides", s'est-il indigné devant la presse."



    Après "Money Monster" sur les dérives de la finance, le Britannique Ken Loach a secoué la Croisette vendredi avec une rage intacte, à 80 ans, contre la casse du système social, vue par les yeux d'un chômeur.
    "C'est une situation choquante car ce n'est pas un problème uniquement dans mon pays mais dans toute l'Europe", a lancé le réalisateur lors de la conférence de presse consacrée au film où il a été très applaudi.





    "Ce sont les gens les plus vulnérables qui ont le plus souffert de la baisse des allocations (...) et on leur dit que s'ils sont pauvres, c'est de leur faute", a-t-il accusé. Plaidant pour l'émergence d'"une vraie gauche en Europe qui écoute les gens", il a dénoncé le projet "néolibéral" de l'Union européenne.
    Fidèles à leur méthode, le cinéaste "rebelle", qui a tourné plus d'une trentaine de films, et son scénariste Paul Laverty se sont rendus sur le terrain, de l'Ecosse aux Midlands, pour recueillir des témoignages. Ceux de travailleurs précaires et de laissés-pour-compte qui doivent parfois choisir entre manger et se chauffer, dans un pays ou les banques alimentaires et les soupes populaires sont de plus en plus fréquentées.
    C'est de cette matière vivante qu'a surgi leur personnage de Daniel Blake, menuisier de 59 ans, bon ouvrier mais contraint d'arrêter de travailler après une crise cardiaque.
    Situé à Newcastle (nord-est de l'Angleterre), ville marquée par une longue tradition de lutte ouvrière, "Moi, Daniel Blake" suit le parcours kafkaïen de Dan entre convocations à l'agence pour l'emploi, questionnaire sans fin sur sa santé, musique d'attente stupide qu'il doit écouter sans cesse avant qu'on ne lui réponde. Sans oublier les ateliers de formation au CV, obligatoires sous peine de réduction de son allocation.
    La descente aux enfers du héros de Loach connaît quelques rares moments de solidarité avec un jeune voisin noir et surtout une jeune mère célibataire et ses deux enfants, broyée elle aussi par le système et jouée avec beaucoup de justesse par une comédienne inconnue (Hayley Squires).
    - 'Colère et humanité' -
    Mais la chute de Dan, magistralement interprété par un acteur de théâtre et de "stand-up", Dave Johns, est inéluctable. Pourtant, le "citoyen" Daniel Blake ne réclamait que ses droits "ni plus, ni moins" après une vie passée à travailler.
    Pour Ken Loach, les agences de recherche d'emploi n'ont pas pour but "d'aider les gens, mais d'ériger des obstacles sur leur chemin". Pire, on fixe à leurs conseillers "des objectifs chiffrés de gens à pénaliser", afin de réduire les allocations versées. Et on les forme à "gérer de potentiels suicides", s'est-il indigné devant la presse.
    Habitué de la Croisette, Ken Loach a retrouvé une rage intacte pour ce 19e film présenté à Cannes, qui renoue avec sa veine sociale après notamment sa Palme d'or en 2006 pour "Le vent se lève", chronique de la guerre d'indépendance d'Irlande.
    Ken Loach, qui aura 80 ans en juin, avait pourtant laissé entendre que "Jimmy's Hall" (2014), toujours consacré à l'Irlande, serait son dernier long métrage.
    Bien lui a pris de continuer, car cette dernière oeuvre au noir a été accueillie en projection de presse avec beaucoup d'émotion, dans un silence pesant et avec quelques larmes écrasées.
    L'Independent britannique a salué un réalisateur qui n'a rien perdu de son talent "pour raconter des histoires de personnes marginalisées avec finesse, colère et humanité". Quant à l'américain Variety il a évoqué un "drame social rare, qui touche l'âme".
    "Moi, Daniel Blake" sera-t-il le dernier film de Ken Loach? "Je ne sais pas ce que je vais faire", s'est contenté de répondre le réalisateur, qui est apparu en pleine forme avant de fouler le tapis rouge vendredi soir avec toute son équipe.
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/stop-fraudes-nouvrir-les-2-enveloppes.html

    The Fraudulent & very expansive War on Terror

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    The Fraudulent & very expansive War on Terror




    In The Art of War, written 500 years B.C., Sun Tzu wrote: “There is no instance of a nation benefitting from prolonged warfare.”

    Without counting future costs from things like medical care for the wounded veterans, the 14-year-old War on Terror has already cost the U.S. taxpayer some $1.7 trillion.

    Apart from the criminal waste of money (all borrowed funds with interest payments to be added) there are other losses that cannot be measured in dollars:
    - the loss of more than one million lives;
    - the destruction of whole nations (e.g. Afghanistan, Iraq, Syria, and Libya);
    - the physical and mental damage suffered by combatants and people on all sides;
    - and the loss of American prestige and morale.

    This graphic below illustrates the criminal nature of the War on Terror, which consumes $400 million per [U.S.] victim of terrorism per year. The U.S. has spent nearly $1.7 trillion of borrowed money fighting wars since 2001. When do we say enough?

    See more at: http://bollyn.com/solving-9-11-summer-tour/

    Stop fraudes. N'ouvrir les 2 enveloppes qu' au dépouillement !

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    URGENT: 
    Fraudes démocratiques trop faciles dans chaque greffe suisse !

    Les invitations, sondages et vos commentaires disparaissent de facebook, sic. Exemple: https://www.facebook.com/groups/351945838265192/events/


    Allez très vite au greffe de votre commune et demandez-leur de n'ouvrir les enveloppes de transmission que le jour du dépouillement, merci http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/11/fraudes-votations-surveillees-en-suisse.html
    Pliez plusieurs fois votre bulletin pour bloquer leur machine et rendre plus difficile leurs tricheries et remplacements du contenu des enveloppes.
    En cas de recours, on pourra au moins compter les bulletins pliés par exemple...


    Ou mettez une feuille d'aluminium ou un carton très opaque.


    Pourquoi ?


    Car de plus en plus de villes et cantons utilisent des scanners tellement efficaces qu'ils peuvent lire les bulletins à travers les petites enveloppes jaunes en Vaud, bleues à Genève, vertes à Fribourg..., avant le dépouillement officiel et ce sans ouvrir les petites enveloppes internes. Ils se sont donné le droit exorbitant d'ouvrir et de jeter les grandes enveloppes avant le début du dépouillement du contenu des urnes, ce qui facilite les fraudes et le fichage des votants car ils rangent soigneusement dans l'ordre les deux piles et peuvent ainsi rapprocher les votes des votants grâce à l'ordre d'arrivée et aux trop nombreux codes-barres. Selon ces résultats qui économisent le prix très coûteux des sondages, ils changent simplement les petites enveloppes jaunes en Vaud, bleues à Genève, vertes à Fribourg..., avec le contenu voulu par les fraudeurs, en puisant dans le matériel de réserve ou en imprimant eux-même leur matériel. Tout greffe municipal peut ouvrir, même sans scanner, l'enveloppe et voir par transparence avec une lampe de poche à travers la deuxième enveloppe interne dans la plupart des cantons, essayez pour voir dans une chambre sombre ou de nuit la petite enveloppe, jaune en Vaud, bleue à Genève, verte à Fribourg... Le scanner de bulletin de vote papier à lecture optique est électronique donc manipulable sans laisser de traces.http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/11/votes-lecture-optique-fraudes-faciles.html


    Celui qui vote par correspondance ou par Internet (vote électronique), risque que son vote soit falsifié et son «comportement de vote» soit enregistré. Ils peuvent aussi trafiquer les logiciels de scannage et de comptage des machines optiques.

    Seul le vote personnel à l'urne assure une meilleure sécurité. Le problème doit maintenant être examiné par le Ministère public de la Confédération et par le Parlement. Une enquête indépendante du vote par correspon­dance en Suisse met au grand jour les défauts alar­mants du système et la nécessité de prendre des mesures appropriées. Lors de l’acheminement postal, du citoyen(ne) au bureau de vote le matériel de vote peut aussi facilement être falsifié.
    Ils trichent tout, même la BNS ou VW...

    Paul Berdah 15 mai 16:44
    Au lieu de répondre par oui ou par non on devrait recevoir 2 listes de nombres au hasard une pour le OUI une pour le NON, détacher le No de vote prédécoupé et l'insérer dans l'enveloppe. Après le dépouillement la commune pourrait afficher la liste triée des chiffres comptés et l'électeur de vérifier anonymement si sa sélection y figure. Il pourrait donner sa liste comme justificatif en cas de réclamation.
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/600-milliards-caches-dans-la.html
    http://www.hommages.ch/defunt/59791/canaan_chucri_jean
    http://www.zeitpunkt.ch/news/artikel-einzelansicht/artikel/schweizerische-abstimmungen-und-wahlen-sind-im-grossen-stil-faelschbar.html

    Votes électroniques trichés ? Dialogue en mai 2016

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    Votes électroniques trichés ?

    RFID, passeports biométriques, nos recours au tribunal fédéral.



    François de Siebenthal & Chucri Jean CANAAN devant le tribunal fédéral, pour déposer leurs deux recours contre le vote RFID.




    Lutique Franck Les premières base de cette "état d'esprit" remontent au convenant de Stans lorsque Niklaus Von Flüe ( ou Nicolas de Flue , le saint patron de la suisse) a permis , grâce à ses positions intellectuelles , de jeter les bases de la création de la confédération ... À méditer pour celles et ceux qui ont oubliés ces faits historiques.
    Je suis fier c'est vrai d'être un de ses descendants et j'essaie de suivre ces fameux principes. Soyez fiers et justes !

    J’aimeRépondre32 hModifié
    Vanessa van der Lelij-Buhler C'est fait j'ai voté OUI hier! Pour la première fois en ligne en plus... Le progrès est en marche! 😊😊
    J’aimeRépondre62 h
    Raoul Mengis Oups....voter en ligne???
    Est ce que tu es sure que ton vote soit comptabilité? moi pas!
    Remarque: même si ils ont dit que OUI à la TV émoticône wink

    J’aimeRépondre11 hModifié
    Vanessa van der Lelij-Buhler Apparemment c'est ultra sécurisé! J'ai entré plusieurs codes... Et tout a bien fonctionné. J'utilise internet sans arrêt y compris pour faire toutes mes transactions bancaires sans problèmes depuis très longtemps! 😉
    Liliane Held-Khawam L'essentiel c'est d'y croire Vanessa émoticône wink
    J’aimeRépondre21 h
    Raoul Mengis Vanessa van der Lelij-Buhler OUI je confirme ca soulage de savoir que .....En plus c'est scientifiquement prouvé et ils ont dit à la TV au téléjournal.
    J’aimeRépondre11 h
    Bernard Gva Vanessa van der Lelij-Buhler il y a beaucoup de cadenas sur la porte, cela donne confiance...
    ...mais avez-vous fait le tour pour vérifier qu'il n'y a pas d'autres portes ?
    ...avez-vous regardé dedans si quelqu'un ne change pas votre vote sans que vous le sachiez ? Comment pouvez-vous vérifier ?
    ...mathématiquement, il est impossible d'assurer à la fois la confidentialité et la certitude de la valeur du vote avec un logiciel...
    ...la SEULE solution vérifiée c'est de mettre vous même votre bulletin dans une urne, et de vérifier que l'urne n'est pas ouverte par quelqu'un jusqu'au dépouillement...
    ...TOUT vote par correspondance est un piège, papier ou électronique.....

    J’aimeRépondre21 h
    François de Siebenthal bizarre, bizarre, on touche au tabou, à la vache sacrée émoticône smile

    Qui et pourquoi on me supprime cet événement public important de certains groupes, vos commentaires et le sondage comme dans les groupes du revenu de base ou de Sécurisation de nos votations ?https://www.facebook.com/events/573026259541394/

    Les invitations, sondages et vos commentaires disparaissent de facebook, sic.

    Allez très vite au greffe de votre commune et demandez-leur de n'ouvrir les enveloppes de transmission que le jour du dépouillement, mercihttp://desiebenthal.blogspot.ch/.../fraudes-votations...
    Pliez plusieurs fois votre bulletin pour bloquer leur machine et rendre plus difficile leurs tricheries et remplacements du contenu des enveloppes.
    En cas de recours, on pourra au moins compter les bulletins pliés par exemple...

    Ou mettez une feuille d'aluminium ou un carton très opaque dans la petite enveloppe intérieure, merci.

    Le plus sûr est d' aller voter le dernier jour, le dimanche matin, mais alors vérifiez bien les horaires et les lieux car ils en ferment beaucoup...

    http://desiebenthal.blogspot.ch/.../stop-fraudes-nouvrir...

    Regardez bien les photographies des preuves avec le lien ci-dessous

    https://www.google.ch/search?q=siebenthal%20fraudes...

    J’aimeRépondre136 minModifié
    Arnaud Bresson J'ai le code source de l'eVoting genevois au bureau.

    En tous cas, dans la version que j'ai obtenue après procédure au tribunal administratif en 2005....Voir plus

    Bernard Gva Arnaud Bresson c'est vrai ? Pas une blague ? Donc non seulement tout est lisible, mais c'est modifiable comme on veut ?
    Vanessa van der Lelij-Buhler Bon, bon, bon, je suis en pleine intrigue Larssonienne là!!! 😄😄
    J'adore Millenium!
    Je suis une personne très confiante et peu suspicieuse. Cela m'a porté chance dans la vie jusqu'à maintenant alors je vais continuer dans cette voie!
    Bon débat😆!

    J’aimeRépondre159 min
    Raoul Mengis Bernard Gva Si seulement tout était OpenSource mais malheureusement c'est pas le cas!
    Du serveur, en passant par les routeurs, des logiciels en passant par l'OS et la base de donnée.
    L'avenir c'est le blockchain et pas la centralisation!

    Bernard Gva Pour cet usage, open source ou pas ne change pas l'impossibilité d'avoir en même temps le contrôle 1- de qui a voté, 2- pour chaque votant que son vote est arrivé sans être changé, et 3- le secret du vote...
    J’aimeRépondre155 min
    Bernard Gva Le vote papier dans une urne controlé de visu est le seul moyen technique connu, (à condition de porter des gants quand on vote pour éviter les empreintes digitales émoticône wink )
    J’aimeRépondre154 min
    Arnaud Bresson Et oui, très sérieusement et sans blague, j'ai bien ce code source a disposition, obtenu au prix de pénibles efforts.

    D'ailleurs, quand je suis allé chercher les documents au service des votations, en beau joueur, je leur avait apporté une boite de chocolats, alors qu'eux, en mauvais perdants, m'avaient tout imprimé en noir sur papier rouge.

    Cinq épais documents, reliés en spirale, mais c'est en à peine 3 minutes, dans le tram qui me ramenait au bureau que j'ai découvert ce fichier de contrôle, dont le chemin est écrit en dur dans le code source, ce n'est même pas un paramètre de l'application.

    Les gens comparent souvent, et assez naïvement, l'eVoting avec l'eBanking.

    L'eVoting doit avoir deux impératifs :

    1. Sécurité
    2. Anonymat

    L'eBanking ne doit avoir que la première de ces qualités.

    Pour la sécurité, l'eVoting genevois repose sur des procédures informatiques.

    Pour l'anonymat, sur des procédures administratives : il n'est pas dans le cahier des charges de l'informaticien du canton de chercher qui a voté quoi, donc il ne le fera pas.

    C'est très discutable, comme solution

    Arnaud Bresson Oui, pardon, j'ai appuyé sur Enter au lieu de Shift-Enter pour sauter une ligne
    Arnaud Bresson Je n'ai pas de problème avec Oracle et le fait qu'il ait "169 failles de sécurité", de toute façon, le serveur Oracle n'est pas en front, c'est une backend de stockage.

    Ce qui me pose problème, c'est qu'aucun mécanisme de brassage n'ait été prévu.

    Parce qu'un mécanisme de brassage non prédictible (même pas par le fonctionnaire du canton qui introduit un seed), c'est un objet informatique très intéressant.

    Je voulais le code source pour voir comment ils avaient réglé cette question, et ils se sont contentés d'un tri au moment de la lecture.

    Minable.

    Ca veut surtout dire que c'est une solution qui est venue après et que cette problématique n'avait pas été prise en compte.

    Bernard Gva émoticône smile coupé au milieu du vote émoticône wink
    J’aimeRépondre227 min
    Bernard Gva C'est incroyable pour moi, le niveau de "naïveté" que ce code tel que tu le décrit rend apparent...
    ...s'il ne voulaient pas te le donner, c'est qu'il y avait une raison, ils n'étaient pas très fiers peut-être... ?

    Eric Cornuz Rien de rassurant...
    Arnaud Bresson Pour Vanessa, spécialement :

    Dans une session eBanking, vous souhaitez que la banque et vous même puissiez vous mettre d'accord sans aucune forme de doute possible sur ce que vous avez indiqué comme choix, que ce soit un ordre de bourse, un virement, un achat de devises.

    Dans une session eVoting, vous souhaitez que le processus de votation (et pas l'Etat) vous garantisse que votre choix a été pris en compte, mais que personne ne puisse l'identifier dans la masse.

    C'est l'impératif d'anonymat.

    J'adore dire du mal de la politique en France, mais l'urne transparente, vide bien visiblement le matin du vote, le compteur incrémental sur le mécanisme d'ouverture, le dépouillement fait sur une table dont on peut faire le tour, par quatre personnes :

    1. ouvreur d'enveloppes
    2. lecteur du bulletin
    3. Compteur qui fait des petites coches sur la feuille A
    4. Compteur qui fait des petites coches sur la feuille B

    Le contrôle du nombre d'enveloppes, qui doit correspondre aux clics de l'ouverture de l'urne ainsi qu'aux nombres d'émargements sur les listes (signatures), ça me semble assez béton.

    Mais ça prend 2 heures.

    J'ai participé une fois à un dépouillement à Genève, avant la centralisation, l'urne était opaque, elle contenait, sous les quelques bulletins déposés le matin (dont le mien) un gros sac plein d'enveloppes provenant du vote par correspondance.

    Chacun a fait ses petits tas de oui / non / null pour chaque sujet, j'ai même reconnu mes bulletins (que des NEIN, avec mon écriture, facile) et ensuite on passait le tout à la machine à compter les billets de banques.

    15 minutes chrono.

    Je pense que l'effort citoyen d'y consacrer deux heures, même si c'est tous les trois mois, ou même tous les mois, en vaut la peine.

    J’aimeRépondre117 min
    Bernard Gva ....Même conclusion, pas mieux Arnaud Bresson...
    Et pour le vote à l'avance, on pourrait envisager une urne en verre transparente, avec un identifiant unique, posée devant la mairie, qui ne peut être ouverte qu'en la cassant le jour du vote émoticône smile
    ....et pour financer le temps à consacrer à la démocratie de milice, un aiRBouI qui finance la participation à la vie commune.. émoticône wink

    J’aimeRépondre113 min
    Arnaud Bresson Mais rien que sur la manière de stocker les votes, remplacer une liste de OUI et de NON par deux compteurs qui s'incrémentent, c'est extrêmement simple.

    On a besoin de garder une liste de qui a voté quand, pas de qui a voté quoi.

    Et il faudrait que le compteur, en mémoire, ne soit accessible qu'a l'heure d'ouverture de l'urne.

    C'est tout à fait possible sur un vieil ordinateur 8 bits.

    Ce serait même possible sur une smart card, write only, avec une real-time clock pour ne pas que l'on puisse la flouer en appelant la lecture de l'urne trop tot.

    L'urne pourrait être une smart card, le serveur d'eVoting pourrait avoir 5, 10, 20 slots pour smart card et chaque parti ou groupe d'intérêt pourrait avoir sa propre urne et certifier que les incréments

    Ensuite, si les voix discordent, que 19 partis disent "c'est 60/40" et que les verts disent : "C'est 45/55, les Tessinois sont contre le deuxième tube du Gothard", ça se passerait comme aujourd'hui, la première caractéristique de la démocratie, c'est d'être la loi du plus fort.

    En tous cas, c'est beaucoup plus difficile dans les solutions actuelles, sur des machines virtuelles, elles même sur des serveurs dont le hardware a des fonctions ILO.

    Keep it simple.

    J’aimeRépondre14 min
    J’aimeRépondre1

    RFID, passeports biométriques, nos recours au tribunal fédéral.


    François de Siebenthal & Chucri Jean CANAAN devant le tribunal fédéral, pour déposer leurs deux recours contre le vote RFID.




    De plus en plus bizarre ! Action efficace ! à faire circuler largement

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    Vraiment bizarre, de plus en plus bizarre ! cette action ci-dessous doit être efficace !

    Extrait de facebook...

    Quote:
    Ce commentaire a été masqué. par un certain


    Erick Deseyne
    Afficher · Signaler · Donner un avis à Erick


    Erick
    Erick vous a appelé/e.
    10:09
    Rappeler
    JE CONFIRME AVOIR ÉCHANGER AVEC MR François de Siebenthal

    J'attend votre post sur tous unis contre les banques
    unquote.

    Je lui ai demandé pourquoi ?

    Selon lui, les services de sécurité français utilisent son identité !

    Fraudes: Votations surveillées en Suisse.







    Avec une simple lampe de poche LED, enveloppes translucides, pas de secret de vote, mobbing, licenciements, pressions, permutations, tricheries pendant 3 semaines, changement des enveloppes...




    Votes manipulés:
    Votes par correspondance trop facilement falsifiables dans toute la Suisse:

    Jura : Pour garantir la liberté de vote des citoyens et le secret du vote, le gouvernement bernois a interdit le traitement des votes par correspondance avant le début du dépouillement du contenu des urnes .... Les communes de plus de 1000 électeurs pourront toutefois débuter avec le dépouillement seulement dès 08h00 le jour du scrutin. http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/22216311


    Grâce à un oui au revenu de base inconditionnel, on pourra reprendre le contrôle des créations et flux monétaires pour et par le Souverain suisse, des milliers de milliards,sic, les chiffres sont encore secrets, au moins 3'000 milliards avec les devises, 200 milliards par année, quel enjeu !


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html


    bizarre, bizarre, on touche au tabou, à la vache sacrée :-)

    On supprime cet événement public important de certains groupes, vos précieux commentaires, les listes de participants, d'intéressés et les sondages comme notamment dans les groupes du revenu de base ou de Sécurisation de nos votations ?https://www.facebook.com/events/573026259541394/

    Qui et pourquoi ? Voir une hypothèse tout en bas ! 


    Allez très vite au greffe de votre commune et demandez-leur de n'ouvrir les 2 enveloppes que le jour du dépouillement, merci
    Rappel:


    Pour garantir la liberté de vote des citoyens et le secret du vote, le gouvernement bernois a par exemple déjà interdit le traitement des votes par correspondance avant le début du dépouillement du contenu des urnes.


    http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/22216311


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/11/fraudes-votations-surveillees-en-suisse.html

    Pourquoi que les Bernois ?


    Pliez plusieurs fois votre bulletin pour bloquer leur machine et rendre plus difficile leurs tricheries et remplacements du contenu des enveloppes.
    En cas de recours, on pourra au moins compter les bulletins pliés par exemple...
    Il y avait eu plus de 500 recours lors des votations RFID...
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/06/rfid-passeports-biometriques-nos.html


    Ou mettez une feuille d'aluminium ou un carton très opaque dans la petite enveloppe intérieure, merci.


    Le plus sûr est d' aller voter le dernier jour, le dimanche matin, mais alors vérifiez bien les horaires et les lieux car ils en ferment beaucoup...


    Les votations dans ta commune ont lieu le jour de la votation uniquement (généralement un dimanche) entre 10 heures et 11 heures (midi). ** Si tu arrives trop tard, tu ne pourras plus voter **

    Une fois que tu as voté sur les bulletins de vote, tu les mets dans la petite enveloppe de vote. Sur ta carte de vote, tu écris ta date de naissance et tu signes. ** À savoir, si tu ne signes pas ta carte de vote, ta voix ne sera pas prise en compte **

    Prends ton enveloppe de vote remplie et fermée et dépose-la le dimanche matin avant 11h00 dans les urnes préparées à cet effet (celles-ci se trouvent dans une salle désignée par ta commune).


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/stop-fraudes-nouvrir-les-2-enveloppes.html

    Votes électroniques trichés ? Dialogue en mai 2016


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/votes-electroniques-triches-dialogue-en.html

    Votes électroniques trichés ?

    RFID, passeports biométriques, nos 500, sic, 500 recours au tribunal fédéral.

    Regardez bien les photographies des preuves avec le lien ci-dessous


    https://www.google.ch/search?q=siebenthal+fraudes&espv=2&biw=1366&bih=624&amp;site=webhp&source=lnms&tbm=isch&sa=X&amp;ved=0ahUKEwjw57aq0uXMAhXBchQKHc_0DiAQ_AUIBigB


    Thème pour l'année 2016: Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
    à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.


    Mit freundlichen Grüssen
    Avec mes meilleurs salutations
    Distinti saluti
    Kind regards, yours sincerely
    Saludos cordiales
    בברכה, בכבוד רב
    С уважение
    ขอแสดงความนับถือ
    你的真诚的
    المخلص


    Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE
    Tél: international ++ 41 21 616 88 88


    Mobilisation générale: épargnes, retraites... volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce... Arnaque de la création monétaire du néant, ex nihilo... Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d'application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, crédits, etc...


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html


    La prochaine session d'étude en français sur la Doctrine Sociale de l'Église par l'application du Crédit Social, avec traduction anglaise, espagnole et polonaise, se tiendra les 30, 31 juillet et 1er août 2016.


    Vous êtes cordialement invité à participer à la semaine d'étude du Crédit Social en français qui se tiendra du 21 au 29 juillet inclusivement.


    Bienvenue à tous!


    L'enseignement sera donné par M. Alain Pilote.


    Nous prenons en charge, pour le temps passé sur les lieux, l'hébergement et les repas, par contre, les dons sont grandement appréciés.


    Thème pour l'année 2016: Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!

    Les responsables sont-ils parmi eux  ?
    à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

    En fait, la BNS cache plus de 3'000 milliards aux Suisses

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    Déjà en 2014


    Pourquoi ces créations monétaires "livrées"à 14 industries militaires nucléaires américaines (sic), aux gaz de schistes US très polluants, aux OGM Monsanto US ...  et pas aux citoyens et citoyennes, communes et cantons suisses ? 
    Et nous n'avons pas tous les chiffres !
    Ce sont plusieurs milliers de milliards, sic, avec le commerce à haute fréquence, resic...
    En fait, la BNS "a distrait" plus de 3'000 milliards des Suisses ( 3 mille milliards, sic), et pas seulement 600 milliards. en trichant les comptabilités et les mots ! ( substituts monétaires AAA+  et voir ci-dessous).

    Assez pour plusieurs RBi

    On doit récupérer ces montants, votez oui au rbi... montants qu'ils vont devoir détruire si on ne fait rien... ( toute monnaie ex nihilo doit retourner ad nihilo selon leur système débile, politique de rigueur, comme en Grèce )
    Explications:
    "Il existe de nombreuses manières d'organiser un système bancaire, celle que nous utilisons aujourd'hui est la pire de toutes." - Mervin King, gouverneur de la Banque d'Angleterre du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2013

    La Banque Centrale d'Angleterre, dans son dernier bulletin sorti le 14 mars 2014, démonte consciencieusement les idées fausses qui sont encore largement enseignées dans de nombreux cours d'économie à propos de la monnaie, et les remplace par une description complète de la réalité des faits.
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/09/banques-la-pire-des-solutions.html






    Fait en Australie avec succès.




    2016-05-21 11:28 GMT+02:00 marco saba <marcosabait@gmail.com>:




    Objet: Evènement déconcertant lors de l'AG de la BNS à Berne le 29.04.2016 


    Egregia Consigliera Sommaruga,

    Chère Madame Sommaruga, 


    sono stato il 29 aprile a Berna in occasione dell'assemblea della BNS di cui sono azionista, dove sono intervenuto sull'irregolarità del bilancio della Banca Nazionale Svizzera. In sostanza, ho rilevato la mancanza della contabilizzazione nel bilancio di 600 miliardi di franchi svizzeri creati dalla banca stessa.


    j'ai assisté à l'AG de la BNS le 29 avril dernier en tant qu'actionnaire et suis intervenu au sujet des irrégularités du bilan de la Banque Nationale Suisse. J'ai mis en évidence, substantiellement, l'absence de comptabilisation dans le bilan de 600 milliards de Chf créés par la BNS même. 


    Sotto Le invio i collegamenti ai tre video in tre lingue dove c'è il mio intervento dopo la dichiarazione di KPMG, la replica di Jean Studer e la mia controreplica.
    Troverà anche in fondo un collegamento ad una lettera inviata alla Banca d'Inghilterra che chiarisce, per analogia, la questione.


    Ci-dessous, je vous joins les liens ds trois videos en trois langues et dans lesquelles figure mon intervention suite aux déclarations de KPMG, ainsi que la réplique de Monsieur Jean Studer et ma réponse. 
    Vous trouverez aussi un lien relatif à la lettre envoyée à la Banque d'Angleterre qui clarifie, par analogie, ce point.


    In allegato Le invio inoltre la copia delle due comunicazioni inviate al comandante della Polizia di Berna, il 28 ed il 30 aprile 2016, a cui non ho ancora ricevuto risposta.
    Le invio pure la trascrizione della mia prima dichiarazione con le note che ho consegnato al capo della sicurezza della Banca per inserirle nel verbale dell'assemblea.

    Je joins d'autre part, la copie des deux communications envoyées à la Police de Berne, le 28 et 30 avril 2016 et pour lesquelles je n'ai pas encore reçu de réponse. 



    Capirà che sono rimasto sinceramente sconcertato perché, nonostante gli applausi che ho ricevuto in assemblea, sia il bilancio 2015 che la discarica degli amministratori sono state votate con oltre il 90% dei voti. Quindi c'è la responsabilità diretta dei rappresentanti dei Cantoni e della Confederazione stessa nell'aver approvato un bilancio non fedele nemmeno ai principi Swiss Gaap REF.


    Vous conviendrez dés lors, que j'en demeure encore déconcerté du fait que, malgré les applaudissements reçus à l'AG et lors de mes analyses claires, soit le bilan 2015 que la décharge des administrateurs ont été approuvés lors des votes à 90%. Nous constatons en effet que de la sorte, il en va de la directe responsabilité des Cantons et de la Confédération même qui approuvent sans retenue un bilan non conforme aux principes Swiss Gaap RE.


    Spero che questa lettera incontri la Sua attenzione e che verrà presa nella giusta considerazione poiché la sottrazione di 600 miliardi di CHF mina sia la credibilità della banca centrale che quella degli amministratori della Confederazione e dei Cantoni.


    J'espère que la présente lettre obtienne toute votre attention et que la juste considération lui sera donnée du fait que la soustraction de 600 milliards de Chf mine sérieusement tout autant la crédibilité de la BNS que celle des administrateurs de la Confédération et des Cantons.


    Purtroppo importanti risorse sono state sottratte alle casse della Confederazione e dei Cantoni minando la viabilità di progetti che potrebbero risollevare l'economia svizzera, come ad esempio quello di un reddito di base universale che verrà votato al referendum del 5 giugno prossimo.


    Malheureusement, d'importante ressources ont été soutirées ainsi des caisses de la Confédération et des Cantons annulant la faisabilité de projets qui offriraient la solution bénéfique pour l'économie suisse, entre autre celui consistant à mettre en place un Revenu de base inconditionnel et dont la votation populaire aura lieu le 5 juin prochain.


    E' gradita una Sua conferma di ricezione.


    La confirmation de la réception de la présente serait fort appréciée. 

    Cordialità,

    Cordialement, 

    Marco Saba
    presidente di IASSEM
    Istituto di Alti Studi sulla Sovranità Economica e Monetaria

    A: Simonetta Sommaruga
    Consigliera federale
    Palazzo federale ovest
    CH-3003 Berna
    Modena, 20 maggio 2016

    Oggetto: Un fatto sconcertante all'assemblea della BNS a Berna il 29.04.2016
    ...
    ...
    ...Trascrizione del primo intervento all'assemblea BNS con note:
    Contestazione di conformità alle GAAP svizzere del bilancio BNS 2015
    https://it.scribd.com/doc/311019173/Discorso-di-Marco-Ssba-all-Assemblea-BNS-2016

    Lettera alla Banca d'Inghilterra:
    Bank of England: robbing the Treasury of the UK blind
    http://leconomistamascherato.blogspot.it/2016/05/bank-of-england-robbing-treasury-of-uk.html

    Video:
    Intervento di KPMG e Saba all'assemblea BNS 2016
    https://www.youtube.com/watch?v=kuhML5Yb_JA

    BNS: Risposta di Studer a Marco Saba
    https://www.youtube.com/watch?v=8GtwI0wXNkY

    BNS: replica di Saba a Studer sul bilancio
    https://youtu.be/6Sw7za2UCss


    Marco Saba à l'assemblée 2016 de la BNS
    https://www.youtube.com/watch?v=0jKeML4DKrU

    BNS: Réponse de M. Jean Studer
    https://www.youtube.com/watch?v=beAvBquFdIs

    BNS: Réponse de M. Saba à M. Studer
    https://www.youtube.com/watch?v=jyrPalgsL1w


    Marco Saba spricht bei der Hauptversammlung der SNB
    https://www.youtube.com/watch?v=C7EWtPeemfY

    SBN: Die Antwort von Herrn Studer
    https://www.youtube.com/watch?v=_eQYHGe2wLc

    SBN: Die Antwort von Herrn Saba an Herrn Studer
    https://www.youtube.com/watch?v=Tv8fE23vMpE

    (altri due allegati non disponibili qui)



    2016-05-21 11:28 GMT+02:00 marco saba <marcosabait@gmail.com>:

    La plus grande question sera aussi à Berlin

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    La plus grande question sera aussi à Berlin, le 29.05.2016

    La plus grande question du monde à New-York, Genève, etc...

    et à Paris sur radio courtoisie.

    Die grösste Frage der Welt kommt nach Berlin.

    The biggest question of the world, according to the Guinness Book, will come to Berlin May 29...

    then to Paris June the Third and to the world thanks to satellites ...

    Pendant 3 heures sur radio courtoisie le Vendredi 3.6. 2016 de 18h00 à 21h00 sur les finances.





    Sortez la tête du sable...

    http://www.radiocourtoisie.fr/radio-courtoisie/libre-journal-du-soir/libre-journal-des-sciences-et-des-techniques/

    3 heures de radio courtoisie à écouter le vendredi soir le 3 juin 2016 notamment de 18h00 à 21h00 sur les finances du point de vue suisse, BNS, RBi et monnaie pleine avec M Paul Deheuvels qui reçoit MM Christian Gomez, Nicolas Bourcier de Carbon et François de Siebenthal.

    En modulation de fréquence (MF)[modifier | modifier le code]

    En radio numérique terrestre (RNT)[modifier | modifier le code]

    Par satellite[modifier | modifier le code]

    Depuis 2008, Radio Courtoisie est accessible en clair sur les bouquets satellite TNTSAT ainsi que sur Canalsat sur le canal 641.

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html

    Liebe Generation Grundeinkommen,
    Berlin, Berlin, wir fahren nach Berlin! Die grösste Frage der Welt «Was würdest Du arbeiten, wenn für Dein Einkommen gesorgt wäre?» macht am 29. Mai 2016 in Berlin vor dem Brandenburger Tor Station. Hier wird sie zu einer 500 Meter langen Frage auf der Strasse des 17. Juni.

    Filmtrailer - Eine Frage geht um die Welt


    Das Fest - Die Schweiz stimmt ab und die Welt ist eingeladen
    DICH laden wir ganz herzlich zum grossen Abstimmungsfest am 5. Juni ab 10 Uhr im «unternehmen mitte» in Basel ein! Es wird ein Fest der Begegnungen, mit spielenden Kindern, süssen und salzigen Leckereien, Hochrechnungen und vielen internationalen Gästen. Das Schweizer Fernsehn wird live übertragen was hier geschieht. News und Analysen werden im Livestream übertragen.



    Grundeinkommen für Carole
    Das erste symbolische Grundeinkommen in der Schweiz hat Carole aus Zürich gewonnen!
    BLICK schreibt: Silvan Groher, Mitinitiator und Mitglied des Vereins «Grundeinkommen für Dich», freut sich, dass noch vor dem 5. Juni das erste Grundeinkommen in der Schweiz ausbezahlt werden kann. «Mit unserem Projekt sollen Menschen über die Abstimmung hinaus nachdenken, wie es mit der Schweiz weiter geht.»
    Wir hoffen, dass wir bis zur Abstimmung das zweite Grundeinkommen verschenken können >>>mach mit und spende einen Tag Grundeinkommen im Leben eines Anderen.


    Mit Humor
    Der Faktencheck zur «Grundeinkommens-Arena»:
    Irina Studhalter, Mitglied Initiativkomitee, sagt zu Bundesrat Alain Berset:
    «Ich bin wirklich sehr optimistisch, dass Sie ein tolles Gesetz ausarbeiten.»


    Der Check: 
    Zum Schluss noch etwas Humor: Falls die Initiative angenommen wird, müsste Sozialminister Alain Berset das entsprechende Gesetz ausarbeiten. Wie gut das werden würde, das können wir natürlich nicht auf Faktentreue überprüfen. Rhetorisch klug ist das Kompliment allemal – ganz nach dem Prinzip: Mit Honig fängt man Bienen. Und Monsieur le Bundesrat gefällt die Schmeichelei ganz offensichtlich:


    Die 10 besten Medienberichte der Woche
    Spiegel: Wohltat für alle
    Magazin: Frei von Arbeit?
    SRF: Arena zum Grundeinkommen
    Spiegel-Online: 64 Prozent der EU-Bürger würden für Grundeinkommen stimmen
    Blick: Erstes Grundeinkommen in der Schweiz verlost
    20 Minuten: Carole ist die Erste mit einem Grundeinkommen
    n-tv: Die größte Frage der Welt kommt nach Berlin
    JOIZ: Bedingungsloses Grundeinkommen – werden dadurch alle Schweizer faul?
    Handelsblatt: Geschenktes Geld – fürs Nichtstun
    Watson: Ordensschwester Ingrid Grave: «Faule Menschen gibt es überall, auch ohne Grundeinkommen»
     

    Es grüssen herzlich aus Basel,
    Amelie Böing, Armin Steuernagel, Benjamin Brockhaus, Birgit Ebel, Börries Hornemann, Che Wagner, Dani Graf, Daniel Häni, Enno Schmidt, Fanny Oppler, Hanes Sturzenegger, Helias Mackay, Irina Studhalter, Jürg Montalta, Kim-Fabian von Dall'Armi, Magdalena Vollmer, Marilola Wili, Meret Vischer, Philip Kovce, Ralph Moser, Selma Bausinger, Silvan Groher, Tobias Handorf,

    Pola und Manuel


    P.S. Habt Ihr schon Eure Abstimmungsbriefe eingeworfen???

    Relance d'une économie nationale

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    PIERRE D. MOTTIER
    Programme universel
    de libération et de relance
    d'une économie nationale
    V2.1 – 2013-2015

    Exergue

    Ce document est placé sous licence Creative Commons. Chacun est libre de le traduire, de l'adapter, de le modifier et de le distribuer de façon non-commerciale sous les mêmes conditions1.
    Les fichiers en format portable (PDF) ainsi que le texte source en format libre (ODT) sont téléchargeables à partir du blog « Wordpress » intitulé « monnaie souveraine, Suisse romande pour la réforme monétaire » .
    Cette contribution à la justice et à la paix sociale par une économie libre de dette est un don d'hommes libres et désintéressés. Elle ne saurait exister sans les travaux de l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, concepteur du « Crédit Social » et du canadien Louis Even, qui a consacré sa vie à faire connaître cette vision révolutionnaire de l'économie.
    En vue d'une mise en œuvre, les fondements théoriques, analyses et synthèses économiques et mathématiques du programme de relance sont disponibles sur l'internet en téléchargement libre, sous différentes licences. souverain

    À propos de l'auteur



    De formation scientifique, Pierre D. Mottier, né en 1960, réside à Sion où il enseigne la chimie et la physique. À partir de 2006, il s'intéresse à la création monétaire et finit par en dévoiler les arcanes. S'inspirant des thèses de C. H. Douglas, de Maurice Allais, il approfondit encore le sujet en explorant des voies de sortie efficaces pour des nations entrées en austérité, particulièrement en zon Euro.

    La présente proposition est une idée audacieuse, qui invite chaque peuple européen touché par l'injustice du système de l'Euro et par l'austérité, à prendre en mains son avenir de façon citoyenne, car actuellement les grouvernements sont devenus incapables de renverser la vapeur d'un train prêt à dérailler et qui fonce à toute vitesse vers la pauvreté générale.

    Elle part du constat que les problèmes économiques actuels sont des conséquences d'une façon erronée de concevoir la monnaie, vue comme une marchandise ayant une valeur propre, alors qu'elle n'est en définitive qu'un simple moyen comptable destiné à faciliter des échanges.

    Il est en effet étonnant que la dynamique des transactions locales soit grippée par un manque de chiffres destinés à les évaluer, que ces chiffres soient payants, et partant, soient devenus des causes d'appauvrissement du système.

    Selon une méthodologie impliquant une approche scientifique et équitable dans la manière de penser, la monnaie ne sera désormais plus un but en soi, une fois qu'elle pourra être libérée de la contrainte de produire un rendement financier.

    De l'argent pour servir au lieu de l'argent pour régner, voilà un concept sociétal exactement à la hauteur d'une humanité qui sera capable de se perpétuer quand elle aura compris les lois bénéfiques de la réciprocité.

    Considérants

    Exerçant notre souveraineté pour le bénéfice de la pérennité de notre sociétéi, nous, peuple de N... , considérant :
    • que la dépression économique lancinante et les contraintes sociales consécutives sont des atteintes directes à cette souveraineté et aux libertés citoyennes,
    • que l'érosion constante du pouvoir d'achat et l'instauration de mesures d'austérité imposent des charges intolérables aux personnes et à tous les secteurs de l'économie,
    • que le service de la dette et du crédit à la consommation pèse indûment sur le pays tout entier,
    • que la perception d'intérêts sur le prêt répond en fait exactement à la définition originelle de l'usure,
    • que les investissements d'institution financières internationales aggravent considérablement la situation,
    • que réduire temporairement l'intensité d'une servitude fait seulement oublier qu'elle est organisée pour durer et qu'il n'est aucunement question de l'abolir,
    • que les tentatives de relance par renflouage des banques ne fait qu'aggraver le poids de la dette et paralyser progressivement l'économie réelle,
    • que le principe de la monnaie-dette est en soi une absurdité mathématiqueii qui constitue une nuisance car elle procède d'une logique de asymétriqueiii,
    • que les intérêts publics nationaux prévalent sur les intérêts privés étrangers,
    préconisons, formulons et voulons avec parfaite détermination ce programme de relance, destiné à redonner au citoyen, à l'artisanat, à l'industrie et à l'état leurs pleines capacités d'acteurs économiques, en vue de restaurer une prospérité optimale de la nation.

    Programme

    Principe

    1. Par disposition d'urgenceiv, il est légalement décidé de restituer au souverain le quatrième pouvoir régalienv dont il a été spolié en prorogeant unilatéralement les accords, lois et traités nationaux, internationaux ou supranationaux concernant la création monétairevi.
    2. Il est créé une monnaie souveraine, de basevii, libre, exonérée d'impôts, inconvertible, destinée à se substituer à toute monnaie privative (€) existanteviii, (dont particulièrement l'Euro).
    3. L'existence de la monnaie souveraine est totalement indépendante et distincte de l'existence de monnaie privative (€).
    4. La monnaie souveraine demeure entièrement gratuite, elle n'est soumise à aucune location ni aucun remboursementix, elle ne possède aucune valeur intrinsèquex et exprime simplement la valeur numérique d'une fonction d'échange à inertie nullexi.
    5. La monnaie souveraine prend cours légal au sein de la zone monétaire, en concurrence directe avec la monnaie privative (€). Tous les secteurs d'activité économique, y compris ceux financés en monnaie privative (€), sont légalement tenus d'accepter les devises en monnaie souveraine comme moyen de paiement officiel pour la production et les échanges locaux.
    6. Jusqu'à leur épuisement, les devises en monnaie privative (€) continuent à servir aux échanges internationaux, au paiement des impôts directs et taxes diversesxii, ainsi qu'à la politique générale d'apurements de dettesxiii.
    7. Toute tentative de distorsion des devises (marché noir), de chantage ou de rétorsion de la part d'un acteur économique (p. ex. la finance) en défaveur de la monnaie souveraine doit être considérée comme une atteinte à l'intégrité de la nation.

    Organes

    1. Une instance exécutive (office du Crédit Social, banque centrale ou ci-après « Trésor »), est créée nouvellement ou réforméexiv pour assurer l'émission, la circulation et la régulation de monnaie souveraine.
    2. Un Conseil monétaire apolitique et indépendant (ci-après « Conseil ») est mandaté pour établir le plan d'action monétaire du Trésorxv.

    Fonctionnement

    1. Durant la période de mise en place du nouveau système monétaire, tous les échanges économiques peuvent être composés de parts complémentaires de monnaie souveraine et de monnaie privative (€).
    2. Les montants en monnaie souveraine crédités par les acteurs économiques doivent être remis prioritairement en circulation sous forme d'achats de fournitures, de consommation de prestations externes, ou de parts de salaires.xvi
    3. La monnaie souveraine ne peut servir à la spéculation, ni entrer en bourse, ni prêtée à intérêts, ni soumise à l'impôt directxvii.
    4. L'unité monétaire de la monnaie souveraine est entièrement originale et distincte de la monnaie privative (€), ainsi que ses symboles et code ISO.
    5. Tant que possiblexviii, la valeur fiduciaire de la monnaie souveraine est fixée à parité avec la monnaie privative (€)xix.

    Moyens

    1. La production de monnaie souveraine, physique ou scripturale, est couverte à 100 % par des bons du Trésorxx dont la quantité est réglée par le Conseil.
    2. Les numéraires sont produits en coupures estampillées au nom du Trésor, dûment protégées contre la contrefaçon, déclinées en séries de valeurs statistiquement efficacesxxi.
    3. Les appoints en monnaie divisionnaire privative pour les montants inférieurs à la plus petite coupure de monnaie souveraine sont tolérés. À terme, la monnaie divisionnaire privative sera remplacée par de la monnaie divisionnaire souveraine.

    Mesures à court terme

    1. L'émission de monnaie souveraine se fait en trois volumes distincts : primaire, secondaire et tertiaire.
    • Le volume primaire est évalué pour rendre à la population un pouvoir d'achat suffisant. Il est exclusivement physique durant la période de mise en place et atteint ses destinataires par le moyen de lettres de change mensuelles réparties sur un mois à faire valoir auprès du réseau postal.
    • Le volume secondaire est destiné à dynamiser l'esprit d'entreprise par le crédit bancaire gratuit (c.f. art. 26). Il est soutenu par une disponibilité adéquate de monnaie physique.
    • Le volume tertiaire est attribué au financement de l'état, des collectivités publiques et du système social (c.f. art. 21 & 22).
    1. L'établissement d'un pouvoir d'achat suffisantxxii justifie l'instauration d'un nouveau droit social : un versement individuel mensuel et inconditionnel, appelé le dividendexxiii.
    2. Les personnes majeures ou mineures, jouissant de la liberté des droits, ayant une existence déclarée sur le territoire nationalxxiv, sont les bénéficiaires inconditionnels du dividendexxv. L'autorité parentale touche le dividende des enfants mineurs, qui est une fraction du dividende des personnes majeures.
    3. Le Conseil établit périodiquement la péréquation du dividende universel, basée sur les connaissances mathématiques du comportement de la monnaiexxvi, afin de permettre la distribution des produits et de réguler la masse monétaire en circulationxxvii. Il a légalement droit à toute information utile de la part de tous les acteurs économiquesxxviii.
    4. Le Conseil vérifie et entérine le financement équilibré de l'état et des régions par l'émission du volume tertiaire de monnaie souveraine, aligné sur les exigences budgétaires, suivant le concept de sobriétéxxix.
    5. En prévision d'une réforme de la bourse, un décret d'urgence met définitivement hors-la-loi le trading à haute fréquence, la constitution de produits complexes ou dérivés, la vente à découvert, et toutes les transaction boursières sont taxées proportionnellement à la brièveté de propriété des titres.
    6. Les sociétés d'investissements doivent être strictement séparées des banques de dépôt.

    Mesures à moyen terme

    1. Le système social (pensions, chômage, prestations d'assurance, assistances diverses, etc.) est progressivement restructuré en fonction du dividende universel et du financement de l'étatxxx.
    2. Toute banque de dépôt peut décider de convertir ses activités et être autorisée par le Trésor de gérer des dépôts en monnaie souveraine et proposer des prestations élaborées (comptes, cartes de débitxxxi, e-banking, etc.).
    3. Pour être autoriséexxxii, la banque doit respecter un plan de reconversion basé sur une économie réelle de plein argent (Vollgeld ou 100% monnaie). Suivant la transformation de la banque centrale, elle renoncera notament au refinancement par dépôts interbancaires ou sur les marchés, à la perception d'intérêts sur l'argent. Elle pratiquera un programme d'assainissement par concentration et élimination des comptes et transactions en monnaie privative (€)xxxiii. Elle se défera de tous les actifs ou passifs sans rapport avec l'économie réelle. Elle communiquera toute sa comptabilité au Trésor et tiendra sa comptabilité à l'attention du service fiscal.
    4. Les dépôts peuvent être fondants au delà d'un certain montant et d'un certain termexxxiv.
    5. Les crédits de construction ou d'entreprise en monnaie souveraine sont accordés à 0% d'intérêts et sont couverts à 100%. Ils sont soumis à une évaluation de faisabilitéxxxv, de pertinencexxxvi, et à la présentation de fonds propresxxxvii. L'amortissement est modulable selon les revenus ou la rentabilitéxxxviii.
    6. Une charte de protection et de restitution rétroactive est promulguée. Elle permet de relancer une production injustement arrêtée et l'emploi dans des régions fortement touchées, par refinancement des saisies et des faillites. Elle concerne la propriété privée, les entreprises locales et la relocalisation de l'industrie.
    7. Le fonctionnement courant des banques autorisées est assuré par création monétairexxxix, elles peuvent cependant percevoir des honoraires spécifiques pour des prestations élaboréesxl.

    Mesures à long terme

    1. Avec le concours des banques autorisées, le Trésor régule la masse monétaire privativexli pour assurer les échanges internationaux durant la période intérimaire de concurrence des monnaies, en négociant des taux préférentiels dépendants de la marche économique du paysxlii, dans le but d'annuler les dettesxliii.
    2. La nation se retire globalement de toute participation aux marchés financiers, les banques d'affaires convertissent graduellement leurs activités de spéculation ou quittent le territoirexliv.
    3. Le système boursier est transformé en un instrument d'échanges de matières premières, de biens de production et de services, dont les valeurs sont établies à périodes régulières (fixing) sur la base de leurs activités et santé économique réelles et non supputées. Le marché extérieur s'articule sur la base d'une demande étrangère face à des compétences spécifiquesxlv.
    4. La liberté de commerce et d'entreprise est garantie. Outre la sphère de la finance, le secteur public se réapproprie les postes et communications, les transports, l'énergie, l'eau, la santé, la formation et la sécuritéxlvi.
    5. L'état invite à la responsabilisation du citoyen et engage les moyens nécessaires à une dynamique optimale du travailxlvii.

    Finalité

    1. Tant que les exigences de rentabilité pour l'usage de monnaie privative (€) subsistent en constituant une menace générale pour l'économiexlviii et la société, la monnaie souveraine s'y oppose.
    2. Lorsque la monnaie privative (€) cesse d'avoir cours légal au sein de la zone économique, le programme de relance atteint sa phase finale en devenant de facto la nouvelle politique monétaire de la nation. La monnaie souveraine devient la devise officielle ayant cours légal exclusifxlix, et peut envisager une certaine convertibilité si la nécessité de fluidifier les échanges extérieurs l'exige.

    Conclusions

    La philosophie de ce programme de relance est une transition en douceur de l'économie privative vers une économie libre de dette, donc l'instauration du Crédit Social.
    Dans l'idéal, le programme aura atteint ses buts en créant un minimum de perturbations dans le fonctionnement de l'économie. Il se distancie par nature de toute révolution sanglante. Même la résorption du système des marchés spéculatifs ne saurait normalement se faire brutalement, étant donné les possibles et incontrôlables effets secondaires. La seule activité qui peut vraiment être arrêtée d'un coup est le trading à haute fréquence. Pour le reste on peut par exemple suspendre les cotations durant le temps nécessaire.
    La reconversion du métier de trader doit être envisagée au bénéfice de nouvelles activités boursières qui ne manqueront pas de devenir nécessaires comme la résorption des actifs toxiques et des dettes, le partage du travail ou la répartition la plus homogène et équitable des matières premières, des semences et des aliments entre les peuples. Les mathématiciens les plus intelligents du monde ne sont pas pour autant dispensés d'une conversion de la manière de penser la vie. Comment ne pas se dévaloriser à ses propres yeux, si, doté d'un minimum de conscience, on prétend vraiment comprendre ce que l'on fait ?
    La restauration d'une honnête prospérité ne s'autorisant plus aucune avance de fonds sur le renouvellement des ressources naturelles et la qualité de vie des générations futures est par vocation compatible avec tous les régimes politiques dont les préoccupations sont focalisées sur le droit à l'existence, l'équité, la subsidiarité, la paix sociale, la prospérité, le bien commun, et la pérennité de l'aventure humaine.
    La libération de l'économie par le Crédit Social est en soi un nouveau paradigme économique, une révolution culturelle destinée à s'incarner de façon originale dans le génie de chaque peuple.
    Ce mode de pensée est compatible avec la doctrine sociale de l'Église et répond avec honnêteté aux problèmes éthiques soulevés par les préceptes de toutes les grandes religions et des philosophes de l'antiquité grecque, dont Aristote, qui déjà à l'époque avaient eu sur ces sujets une sagesse et un discernement exemplaires.
    En cette heure de désespoir et de grands troubles sociaux, formons le souhait ardent qu'au lieu de sortir dans la rue avec des calicots, des cocktails Molotov, des bâtons, des cailloux, et de s'entre-déchirer, les citoyens se mettent à réfléchir productivement sur ces bases saines. Ils pourraient passer quelques heures à imaginer un monde fonctionnant selon ces nouveaux paramètres.
    Il est évident que les perspectives offertes par cette vision leur apparaîtraient rapidement comme infiniment plus intelligentes et souhaitables que le système actuel : un pouvoir d'achat suffisant pour tous, plus d'impôts, l'état qui fonctionne selon les besoins, plus de dettes publiques, plus de nécessité de croissance, disparition du gaspillage, plus de concurrence commerciale entre les nations mais de la coopération, plus de guerres ni de troubles publics liés à l'argent, du travail en suffisance, du temps libre pour des activités d'ordre supérieur.
    En résumé : tout ce qui est nécessaire à l'avènement d'un monde honnêtement prospère, c'est-à-dire vivable.
    Le reste s'en suivrait, naturellement, par réseautage.
    Quand on sait ce qu'il faut faire, on peut enfin s'organiser.
    P. M.

    Notes

    Les notes contenues dans les pages suivantes sont référencées dans le texte plein, et peuvent constituer une base pour une rédaction spécifique accompagnant le programme.
    2Publié par les Pèlerins de saint Michel, Rougemont, CA
    iLa sauvegarde de la nation, peuple et institutions, est une priorité essentielle, qui dépasse en importance et urgence toute autre considération politique.
    iiL'argent-dette est en soi un concept entièrement mensonger et faux, la notion de service est détournée et inversée, ce n'est plus l'argent au service du peuple, c'est le peuple asservi par l'argent. De plus, la notion d'argent-dette est un système qui empêche la sortie de la dette, puisque pour sortir de la dette il faudrait la payer avec de l'argent ayant engendré une dette. Le cercle est donc vicieux. Il impose à l'économie une surcharge exponentielle et parasitaire. L'idée générale suit son cours dans le monde et le ralliement pour une réforme monétaire internationale prend corps sérieusement dans un nombre croissant de pays.
    Consulter http://internationalmoneyreform.org/, et même en Suisse, supporté par des éminents professeurs de la haute école de Saint Gall : http://www.vollgeld.ch
    iiiSur la question de la symétrie de la monnaie libre, voir les notes vii , xv et xxiii.
    ivPromulgation publique de niveau constitutionnel équivalente à l'instauration d'un état de légalité de crise, conférant aux autorités certains pouvoirs exceptionnels. La question constitutionnelle est à la fois un défi politique et le point d'entrée du programme, dont dépend la suite. C'est le verrou à faire sauter en priorité. Tant que ce point n'est pas réglé, et cela exigera peut-être une prise de conscience douloureuse pour pouvoir le faire, aucun progrès ne sera possible. On peut ici littéralement parler d'un coup d'état, en ce sens que l'état doit être réformé, beaucoup moins sur le plan du « qui doit diriger » que sur le plan de « que doit-on ordonner ».
    vLes pouvoirs régaliens sont en fait au nombre de quatre et non de trois : le législatif, l'exécutif, le judiciaire et le monétaire. Il est étonnant de constater que la mémoire collective en soit arrivée jusqu'à oublier la nécessité de ce quatrième pouvoir, sans lequel aucun état ni aucune nation ne sait normalement fonctionner de façon autonome, et qu'il est admis sans aucune remise en question que ce pouvoir passe depuis trois siècles progressivement en mains privées, c'est-à-dire celles des banquiers, héritiers des orfèvres florentins qui commencèrent à prêter à découvert l'or déposé sous leurs voûtes.
    viEn UE, l’article 123 du traité de Lisbonne, qui reprend l’article 104 du traité de Maastricht, également identique à l’article 181 du traité constitutionnel Européen précise : « Il est interdit à la Banque centrale Européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres. L’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale Européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. ».
    Par l'existence de ces articles, l'appauvrissement et l'asservissement des peuples et des états est délibérément et implacablement organisé.
    viiUne monnaie de base ne fait pas de distinction entre la monnaie centrale servant aux ajustements interbancaires et la monnaie en circulation. Tout argent est 100% monnaie.
    viiiLa monnaie privative (€) émise par, et due à des institutions privées, engendre par fonction directe une dette égale à la masse monétaire circulante, et par fonction indirecte un surcroît exponentiel de dette, dû à l'impossible remboursement de la monnaie, dont la nécessité est de circuler pour le bien de l'économie réelle. Au fur et à mesure du temps, un pays approvisionné en monnaie privative (€) ou monnaie-dette s'appauvrit donc inexorablement, quelles que soient les mesures d'économie prises par les autorités.
    ixLa monnaie souveraine n’engendre par conséquent aucune dette. Voir http://sovereignmoney.eu/
    xToute spéculation ou intérêt sur la monnaie souveraine n'a donc aucune pertinence.
    xiLa valeur de la monnaie souveraine ne dépend donc pas d'un adossement à une matière conventionnelle comme l'or ou à une valeur relative comme une cotation, mais devient effective dans sa puissance de répartition équitable du travail et de la production de richesse, qui sont des biens publics. Le pouvoir réel d'une monnaie digne de ce nom est de rendre possibles et gratuits (inertie nulle) tous les échanges légitimes et utiles au bon fonctionnement de la société, et non de les vendre à un prix croissant au fil du temps (parasitisme et paralysie économique).
    xiiLes impôts trouveront ici leur ultime justification et leur fin en servant à retirer progressivement la monnaie privative (€) de la circulation pour la remplacer par de l'argent sain.
    xiiiLe projet d'apurement n'est pas d'ordre moral, il est prophylactique : concentrer l'argent-dette et tous les actifs toxiques afin de les détruire en les restituant de droit à qui les a émises. C'est rendre à Mamon ce qui vient de Mamon, le priver de son pouvoir, le ruiner, puis l'oublier pour toujours.
    xivPar exemple en redéfinissant et limitant strictement le rôle et les activités de la banque centrale.
    xvLe Conseil est l'autorité suprême en matière de création monétaire, dont le bras exécutif est le Trésor. Il fait respecter la symétrie spatiale et temporelle de la monnaie en veillant notamment à l'équilibre des flux financiers et évalue périodiquement les volumes de monnaie à mettre en circulation. C'est l'autorité de surveillance chargée de veiller au bien commun. Cette autorité est nécessaire tant que l'esprit de lucre n'aura pas disparu des mentalités, tant que la population n'aura pas appris à se départir des désirs artificiels et à gérer intelligemment les ressources. Le Conseil peut être par exemple composé d'autorités morales, de scientifiques, de juristes, d'économistes, d'informaticiens, bref, de toute personne compétente en matière d'équité et d'équilibre des systèmes. Le Conseil se donne les moyens pour des compétences et capacités élevées en matière de modélisation et de simulation en temps réel. Les membres du Conseil sont tirés au sort et simplement salariés et n'obtiennent aucun avantage social ni aucune immunité. Ils jouissent en revanche d'une autonomie absolue de pensée par rapport aux trois autres pouvoirs ainsi que par rapport au secteur privé, ce qui leur confère le plus haut niveau de crédibilité.
    xviLa monnaie souveraine est conçue pour une vitesse de circulation élevée : monnaie exclusivement physique dans un premier temps afin de relancer la dynamique économique du peuple, incitation à la remise en circulation immédiate, thésaurisation fondante (voir art. 28 et note xxxiv).
    xviiPuisque l'état n'a pas à rembourser de dette avec la monnaie souveraine car il se finance lui-même, et que d'autre part le dividende constitue en soi un impôt négatif, les impôts directs sont appelés à disparaître en même temps que la monnaie privative (€). Demeurera éventuellement la possibilité théorique d'une taxe sur la consommation destinée à prévenir toute menace d'inflation, mais ce serait étonnant qu'à l'heure des grandes austérités la diminution de la masse monétaire soit nécessaire, ce serait plutôt le contraire. Consulter à ce propos les propositions du crédit social et la théorie générale sur la monnaie, cités en exergue.
    xviiiLe décrochage fiduciaire des deux monnaies peut venir d'une panique sur les marchés, d'opérations hostiles ou d'un crash boursier toujours possible. Dans ce cas, la monnaie souveraine, en principe non convertible, reste alignée sur l'économie réelle de la période précédant la variation dangereuse de la valeur de la monnaie privative (€).
    xixAfin de faciliter les échanges au niveau de la population, une unité de monnaie souveraine serait calculée pour avoir exactement la même valeur fiduciaire qu'une unité de monnaie privative (€). À l'introduction de la monnaie souveraine, le pouvoir d'achat des deux monnaies est donc parfaitement identique, ce qui évite toute falsification des prix par arrondis abusifs.
    xxLe crédit n'a par conséquent plus aucun effet multiplicateur et ne met pas les banques en danger de défaut de liquidités. En terme de crédit, les banques commerciales deviennent donc de fait des succursales du Trésor, leur travail sera simplifié par exemple par l'abolition des contraintes régissant les comptes épargne, devenues inutiles par la disparition de l'intérêt. Cela rejoint les six objectifs du mouvement mondial pour la monnaie positive.
    Consulter http://www.positivemoney.org/ et en français pour la liste ci-dessous : http://monnaiehonnete.blogspot.sk/
    1 ) Retirer aux banques le pouvoir de créer de l'argent.
    2) Donner ce pouvoir à une instance au fonctionnement transparent et démocratique (voir note xv).
    3) Créer de l'argent sans dette .
    4) Assujettir la création monétaire à des objectifs décidés démocratiquement .
    5) S'assurer que l'argent créé soit directement injecté dans l'économie réelle sans transiter par les marchés financiers.
    6) Assurer aux individus la transparence et le contrôle de la façon dont leur argent est investi.
    xxiOn peut imaginer la série suivante : 1, 2, 5,10, 20, 50, 100, 200. Un billet de 10'000 pourrait même constituer une alternative de second rang aux bons du Trésor, échappant à la fonte des dépôts (§28) en vue d'investissements planifiés, et dont la remise en circulation peut se faire au guichet d'une succursale du Trésor à volume et date validée par le Conseil.
    xxiiC'est-à-dire l'abolition de la pauvreté systémique par la reconnaissance d'un droit à l'existence, qui constitue un but essentiel de ce programme. Deuxièmement, le fait que près du deux tiers des personnes ont déjà un revenu participatif qui ne dépend pas d'un travail salarié, justifie qu'une part du revenu ne soit pas liée au travail. Troisièmement, le progrès technique engendrant la mécanisation croissante de la production, les machines ne touchant pas de salaire, il est logique que ceux dont le taux d'emploi est diminué pour ces raisons ne soient pas sanctionnés par le soulagement de travail que ce progrès est justement sensé apporter.
    xxiiiLa répartition symétrique de la monnaie dans l'espace et dans le temps constitue un critère majeur pour la qualification de monnaie libre. Tous les fondements théoriques de l'évaluation du dividende et de son installation se trouvent dans la théorie relative de la monnaie (citée en exergue).
    xxivLes personnes dans l'illégalité continueront à émarger au système comme par le passé, en touchant des revenus qui ne peuvent être que de la monnaie remise en circulation. De ce point de vue, ils profitent indirectement de l'effet dynamisant du dividende mais ils ne peuvent en bénéficier directement pour des raisons évidentes de politique d'immigration. Ensuite, les personnes qui ne paient pas d'impôts ni ne contribuent au système social sont libérées de cette opprobre vu que les perceptions disparaissent et que le système social est réformé selon les mêmes principes. Ce qui est infiniment souhaitable, c'est évidemment l'introduction coordonnée de la création monétaire, du dividende et de l'escompte, le « Crédit Social » dans tous les pays. Ainsi, le statut de réfugié économique n'ayant plus lieu d'exister, les exilés pourront retrouver leurs patries et contribuer à leur développement, et les doigts crochus iront tous ensemble gratter la poussière ailleurs. On peut toujours rêver, mais toutes les grandes réalisations ont toutes commencé par une pensée juste, par un idéal. Si on a aboli l'esclavage racial au XXe siècle on peut tout de même légitimement tenter d'abolir l'esclavage monétaire au XXIe, qui, soit dit en passant, ne touche pas seulement une population déterminée mais ravage le monde entier.
    xxvDividende ou « revenu de base inconditionnel ».
    xxviThéorie relative de la monnaie, cité en exergue.
    xxviiCalcul de l'escompte national selon Clifford Douglas : Sous le signe de l'Abondance, pp 67-71, (cité en exergue). En résumé, l'escompte est un système de rabais, qui compense par création monétaire versée sur le compte des commerçants, la différence entre le pouvoir d'achat et le prix réel des produits. L'escompte permet d'éviter l'augmentation des prix, le commerçant s'y retrouvant toujours, le client ayant son pouvoir d'achat maintenu. En ajustant le financement des biens à leur production, le rapport entre la masse monétaire servant à la production et celle servant à l'achat est toujours de 1:1, les légères variations étant compensées par la modulation du taux d'escompte sur la période suivante . Le risque d'inflation est donc définitivement éliminé par ce système d'ajustement constant des prix vers le bas.
    xxviiiOn entrevoit ici que le service des impôts ne disparaîtra pas avec l'abolition des impôts, mais se transformera en service d'analyse de l'activité économique, dans le but de fournir au Conseil une analyse exacte de l'économie, élaborée sur la base des déclarations fiscales et servant à prévoir les volumes ultérieurs de création monétaire.
    xxixLa sobriété est le concept révolutionnaire de la santé économique qui répond à la nécessité d'une « honnête prospérité », répondant à des besoins réels et non à des désirs provoqués, fondée sur l'équilibre des flux et non sur l'illusion d'une croissance locale, qui, tel que le système est conçu, implique forcément la décroissance ailleurs. La sobriété doit être capable de réguler une décroissance opportune sans engendrer de récession, de diminution de pouvoir d'achat, de perte d'activité ou de pauvreté, ainsi que d'assurer une croissance de bon aloi sans permettre de surchauffe ou engendrer de gaspillage. La sobriété répond à une volonté éthique par l'ajustement rationnel des constantes modulant les équations d'évaluation du pouvoir d'achat et d'octroi général de crédit. Les questions d'environnement, d'énergie, de pertinence, de capacité de réalisation, de mobilisation des ressources, de proportionnalité des projets et d'équilibre de la production vis-à-vis de la consommation sont des critères prépondérants à l'établissement des avis autorisés du Conseil.
    xxxEn principe, tout le système social peut être financé entièrement par émission de monnaie souveraine. On pourrait donc théoriquement allouer la plupart des fonds des assurances sociales au solde des dettes en monnaie privative (€) et dans le même mouvement refinancer sans problème des pensions de retraite décentes en monnaie souveraine. De même, puisque le dividende assure à tout le monde le minimum vital, le travail se répartit mieux, et les caisses de chômage voient leurs charges diminuer d'une fraction importante. Comme l'instauration du revenu de base deviendra un acquis social, plus la société évoluera vers une notion de service dans une mentalité altruiste, plus l'ensemble du revenu deviendra distinct de la nécessité d'avoir une activité lucrative pour le percevoir, et l'intérêt se muera en désintérêt, qui est tout le contraire de l'indifférence.
    xxxiLes cartes de crédit offriront les mêmes facilités mais sans engendrer d'endettement exponentiel. Au taux actuel de 12% par an, c'est finalement de cartes d'extorsion qu'il faudrait parler. Là non plus il n'y a pas disparition, seulement transformation, allègement, en définitive humanisation de l'économie.
    xxxiiLa création de succursales du Trésor, simples guichets physiques et portail électronique constituera cependant une priorité, ce qui incitera les banques à la conversion rapide de leurs activités.
    xxxiiiDans l'optique de sa destruction par remboursement, la monnaie privative (€) sera concentrée par conversion de tous les investissements à caractère local en monnaie souveraine. La conversion d'un crédit avantagera le client par une rétrocession des intérêts perçus depuis sa constitution, à titre de dédommagement et d'amortissement. Pour simplifier la transition, les derniers montants d'intérêts perçus pourraient servir de base à une forme optionnelle d'amortissement direct.
    xxxivLa thésaurisation correspond à une soustraction plus ou moins longue de monnaie de la circulation, donc à un appauvrissement des moyens d'échange. Elle sera découragée par l'application d'une taxe périodique sur les dépôts dépassant une valeur limite. Cet argent serait immédiatement ajouté au volume d'émission primaire (dividende) de la période suivante. De ce point de vue, une philosophie d'investissement participative, voire pour une fois un peu émotionnelle, engendrant des dividendes cohérents, évite d'être tenté de vendre prématurément des actions.
    xxxvEt non de rentabilité à terme, le financement du risque diminue en conséquence. La faillite ne serait plus due à une carence de financement mais à un défaut de compétences ou de qualité de produits.
    xxxviIl ne serait pas convenable de cautionner des activités nuisibles au fonctionnement de l'économie. Dans le même ordre d'idée, rétablir le pouvoir d'achat et la dynamique normale de l'économie est une chose bien différente de la notion de croissance économique, souvent synonyme de consommation abusive et d'exploitation excessive des ressources de la terre. Les mêmes règles que pour le secteur public s'appliquent en fait au secteur privé. Vu que les banques n'ont plus besoin de faire fructifier de l'argent, elles peuvent redevenir des services présentant un caractère moral. Elles peuvent disposer en interne d'un comité monétaire, organe subsidiaire du Conseil monétaire.
    xxxviiÀ l'exclusion de l'hypothèque de la résidence principale, pour raisons d'intangibilité de la propriété. D'autre part, l'exigence de fonds propres permettent de désamorcer à la base les velléités de surchauffe immobilière.
    xxxviiiL'amortissement des dettes privées a pour effet de ne pas faire peser sur la communauté la régulation de monnaie en circulation (le crédit n'est pas un cadeau), et donc d'éviter en théorie l'inflation ou l'apparition de taxes à la consommation. Il est justifié par les objectifs macro-économiques mais il peut être assorti d'une très grande libéralité en termes micro-économiques, donc d'échéances, à cause de la souplesse du système du calcul du dividende et de l'escompte national, qui par nature permettrait même de financer gratuitement la propriété d'un logement principal de base pour chaque famille (n'est-ce pas finalement un droit social?) sans qu'elles s'endettent pour autant, et sans que la société ait à en pâtir.
    xxxixLes banques redeviennent donc ce qu'elles doivent être par principe, de simples administrations publiques, au fonctionnement entrant dans le budget de l'état, dont le rôle est de fournir les services de base et d'assurer « la mise en relation d'épargnants et d'emprunteurs, et la transmission des uns aux autres d'argent préalablement existant. » (Manifeste des économistes déterrés, op. cit., p. 37).
    xlCela permet tout de même aux banques une certaine originalité, conçue en termes de diversité et de qualité.
    xliLa monnaie privative (€) doit servir essentiellement au solde des dettes d'état et des dettes privées, et pourquoi pas des dettes bancaires.
    xliiUn pays dont l'économie est prospère obtient plus facilement la négociation de conditions optimales.
    xliiiL'apurement des dettes est le passage obligé pour rendre au pays une économie saine et le débarrasser d'une tutelle nocive. Il sert aussi à ne pas créer de déséquilibre dans l'économie des pays dépendant encore des banques produisant de la monnaie-dette. Cependant, la restitution ne s'entend qu'en terme de principal, vu qu'il est mathématiquement impossible de rembourser en plus des intérêts sans faire de nouveaux emprunts qui obligent à une croissance infinie. Le principe qui guide l'apurement est : « ce qui n'est pas remboursable n'est pas remboursé ». La stratégie est donc d'imposer petit à petit une philosophie alternative concernant la dette, et de reprendre l'ascendant sur les intérêts privés. Dans cette optique, il peut être judicieux de légaliser le court-circuitage des comportements toxiques.
    xlivOn enlève au fonctionnement de l'économie toutes les sources d'érosion et d'instabilité par supression des impondérables : hasard, cupidité, effet de bulle, caprices, croissance exponentielle. La spéculation ne doit pas être frileusement taxée en espérant décourager les marchés, mais purement et simplement interdite. Les milieux de la haute-finance qui sont aujourd'hui capables d'enrayer toute régulation en menaçant d'instabilité économique, voire en créant des rétorsions et même des troubles sociaux et des guerres doivent préventivement être mis hors-la-loi, au même titre que les escrocs et les assassins. Cette dernière mesure exigera peut-être des contraintes physiques. Il est bien clair que dans l'établissement d'un tel plan on décide froidement de se passer de l'aval des spéculateurs, et que la moindre tentative de chantage doit être interprétée comme un acte de guerre (article 7).
    xlvLa délocalisation dans un but autre que le transfert de technologie à l'avantage du commerce international devient inutile du moment que l'économie interne est florissante. Les entreprises continuent à innover et exportent des produits détaxés dont les prix sont adaptés aux marchés extérieurs. Les différences de prix à l'export par rapport au marché local sont compensées à l'exportateur par l'escompte national. De même, les importations sont taxées ou subventionnées de manière à équilibrer les prix avec le marché local. Voir à ce sujet l'article de Louis Even, au chapitre 43, pp 216-220 : « Crédit social et commerce international », in « Sous le Signe de l'Abondance », cité en exergue.
    xlviTous les secteurs qui ont progressivement échappé à la souveraineté nationale et à la protection de l'état en matière de concurrence, à cause des privatisations imposées par l'accord général sur le commerce et les services (GATS).
    xlviiNotamment par une nouvelle répartition du travail consécutive à l'introduction du dividende. On pourrait par exemple rétribuer spécifiquement, en plus du dividende, le travail du conjoint au foyer ainsi que les étudiants, redonner à l'agriculture des subsides corrects. En tout état de cause, l'introduction du nouveau système (le Crédit Social) doit s'accompagner d'une politique d'information et d'éducation de la population. Les conséquences du Crédit Social sur d'autres politiques (famille, énergie, environnement, éducation, sécurité, etc.) sont potentiellement immenses.
    xlviiiLe risque est de retomber dans une économie dépendante de l'argent-dette dont justement on essaie de sortir, par peur de la nouveauté ou à cause de menaces du monde bancaire.

    xlixLa conséquence de l'introduction du Crédit Social dans un pays sera d'inciter les autorités supranationales à envisager le futur de la monnaie privative (€) sous l'angle ajusté d'une monnaie libre, sous peine de faillite à court terme par manque total d'attrait. Si un seul pays ose donner un tel exemple, cela aura soit des effets désastreux par l'application de sanctions iniques, soit un effet bénéfique de contagion, qui peut s'étendre rapidement aux pays voisins. La pression des peuples fera la différence, la faim et le désespoir en seront les moteurs. Au bout du compte que préfère-t-on ? Des masses frustrées et agressives ou la paix sociale ? Toutes les réformes visant à l'austérité n'engendrant que misère, plus le temps avancera, plus il sera aisé de répondre à cette question, même pour des personnes incultes en matière monétaire, aujourd'hui encore paralysées par l'épouvantable constat de faillite générale de l'économie, et effrayées par la perspective d'importants efforts de changement de mentalité à fournir.
    Une chose est sûre, tant qu'il n'y aura pas de pression populaire pour un véritable programme de réforme, le monde politique, ne se sentant pas soutenu, continuera lâchement à jouer le jeu du monde de la finance et à opprimer l'adversaire le moins consistant, c'est-à-dire la population. Le but du présent programme est justement de fournir à la population un argumentaire définitif qui ne se contente pas d'une analyse facile, mais le plus souvent stérile. Cela permet enfin aux gens de se mettre à espérer au lieu de s'autodétruire en se fractionnant en mille courants de tous bords, s'accusant mutuellement de tous les maux. Car ceci est le but des créateurs de l'argent-dette, qui contrôlent l'opinion en s'étant offerts tous les groupes de médias, avec les sommes folles provenant de la perception des intérêts, provenant en définitive de la poche des citoyens.
    Diviser pour régner : l'adage des tyrans.
    Fédérer pour libérer : l'adage du citoyen.

    La Lampe D'ALADIN

    Qu'est ce que la démocratie économique? Beaucoup en parlent, mais de manière superficielle. La démocratie économique signifie que les individus dans la société ont davantage de contrôle sur leur environnement matériel. Pour être spécifique, ça signifie que l'individu est (1) capable d'accéder à un plus grand nombre de biens de consommation grâce à l'amélioration de son pouvoir d'achat, et (2) est en mesure d'exercer un plus grand nombre de choix dans le domaine productif qu'il souhaite intégrer. Les indicateurs d'une démocratie économique sont l'amélioration du niveau de vie pour tous, l'accroissement des possibilités pour l'activité productive, soit en matière d'emploi ou de loisirs. La théorie de la démocratie stipule que la société est organisée en vue de garantir le bien-être de l'individu. Le crédit social est ultra-démocratique et individualiste.
    Projet de Loi
    Prévoir une politique monétaire nationale qui réponde de façon définitive, aux exigences de l'industrie nationale et du commerce, tout en tenant compte des conditions imposées par notre pouvoir économique, ce qui permettrait que la consommation de biens et services se fassent dans les limites de notre capacité productive, la prestation maximale de biens et services de nécessité aux individus ou à d'autres fins.
    Qu'il soit adopté par le Sénat et la Chambre des Représentants des Etats-Unis D'Amérique au Congrès ici réuni.
    Tilte I. Dédommagement Axée sur les Prix au Détail
    Considérant qu'il est de la prérogative constitutionnelle du Congrès de créer de la monnaie et en réglementer la valeur, et considérant que les réserves représentant des engagements bancaires pour leurs dépositaires, débiteurs, ou d'autres propriétaires ou titulaire de tels comptes ont la force et remplissent toutes les fonctions de monnaie et sont déclarés être de la monnaie, et considérant que la valeur de la monnaie se mesure par le pouvoir d'achat qu'il confère sur les biens  et services et toutes les autres formes de propriété ou droits de propriété ou preuve de la possession de tels droits et propriété, et considérant que le pouvoir d'achat de la monnaie varie inversement avec le prix de tels biens, services, propriété ou droits de propriété, et considérant qu'en vertu de la législation en vigueur concernant la création de dépôts bancaires et conformément à cette même législation et à la coutume en vigueur relative à la propriété privée, contrat et endettement, la somme totale des prix des biens et services produits tendent à dépasser la somme totale d'argent disponible pour les acheter, sauf à une perte financière des producteurs de tels biens et services, il est ici indiqué d'être la politique du Congrès d'ajuster et de contrôler le volume de monnaie de manière à le maintenir en permanence égal à la somme totale des prix de biens et services en vente, plus la somme totale des coûts non-réglés de biens et services en voie de production dûment comptabilisés, afin de faciliter le maximum de livraison de biens et services à la population des États Unis conformément à leurs désirs et en rapport avec la capacité de production de l'économie nationale.
    SECTION 2: En application de cette politique, des billets de monnaie nationale doivent être émis pour financer une réduction sur les prix à la consommation au détail, comme prévu ci-après.
    SECTION 3. Tel qu'utilisé dans le présent titre.
    (a) Le terme "billets de monnaie nationale" signifie le cours légal adopté par les États Unis dans le paiement de toutes dettes et impôts, mais qui n'est pas disponible aux banques dans le cadre de leurs réserves de liquidité contre des dépôts, sauf sur la base de l'équivalent en dollar de la somme de leurs obligations.
    (b) Le terme "réduction sur les prix au détail" signifie un chiffre de pourcentage à déterminer par la Commission Fédérale de Crédit et publié par le secrétaire ou trésorier comme indiqué ci-après, ce qui pourrait être appliqué comme une réduction sur les prix des biens et services que les détaillants offrent aux derniers clients.
    (c) Le terme "dédommagement sur les prix" signifie le prix au détail des biens et services après l'application de la mesure de rabaissement du prix au détail. Les ventes de biens d'occasion ne seront pas concernés/n'entrent pas en ligne de compte dans le cadre de la réduction des prix au détail.
    (d) Le terme "détaillant" signifie tout vendeur de biens, y compris logement et services, aux consommateurs finaux qui peuvent être identifiés comme personnes physiques, pour leur propre utilisation ou celle de leur famille et non pour la revente, mais aussi les sociétés de service dans la mesure où ils fournissent des services au détail au public destinés à l'utilisation personnelle ou celle de la famille.
    (e) Le terme "services" peut-être compris comme le transport de passagers, distribution de gaz et d'électricité aux foyers à des fins domestiques, location de maisons, hospitalisation, soins médicaux, éducation, animation théâtrale, ou tout autre service professionnel ou non-professionnel qui pourrait être fourni par des individus, des partenariats ou d'autres organisations, à conditions que les prix chargés pour de tels services sont basés sur des principes acceptés de comptabilité analytique.
    (f) Le terme "services" peut être compris comme le montant de la richesse nationale contre l'argent peut être délivré en toute sécurité sans qu'il en résulte des niveaux de prix inflationnistes.
    Détermination de la Réduction sur les Prix au Détail
    SECTION 4.
    (a) A partir de 90 jours après le passage de la présente Loi, la remise de détail pour chaque trimestre doit être déterminée par la Commission Fédérale sur le Crédit et proclamé par le secrétaire du trésorier au premier jour de chaque trimestre ou à tout autre que la Commission Fédérale de Crédit recommandera.
    (b) Après le passage de la présente Loi et jusqu'à ce que la réduction sur les prix au détail soit déterminée et proclamée comme indiquée précédemment, le rabais sera de 20 pour cent. Par la suite la réduction au détail sera ce pourcentage que la différence entre la valeur monétaire de la production nationale et celle de la consommation nationale apporte à celle de la production nationale. La production nationale doit inclure toutes les valeurs existantes qui  pourraient produits dans n'importe quelle catégorie de production, les importations, mais pas les comptes rendus du capital physique existant. La consommation doit inclure les ventes en détail, mais à un niveau qui correspond à celui d'un prix au détail non compensé, exportations, indemnités appropriées pour la dépréciation, perte et obsolescence. Pour en arriver à ces chiffres, seuls les prix et niveaux de prix existants doivent être utilisés, afin que les valeurs de production et de consommation exprimées soient toujours mesurées en fonction du Dollar existant.
    (c) Si la consommation nationale comme décrit ci-dessus, doit à tout moment dépasser la production nationale, aucune remise en détail doit être proclamée. Après chaque proclamation de la remise/réduction, les données utilisées pour la déterminer doivent être mises á la disposition du public.
    (d) Après le passage de cette Loi et dans le cas d'une Loi antérieure par laquelle le Congrès devrait autoriser que les paiements directs aux individus soient faits à partir du compte de crédit national, mais pas dans le règlement des bons de réduction au détail, alors tous ces paiements doivent être calculés par la Commission Fédérale de Crédit comme une addition à la consommation nationale pendant la période dans laquelle ils doivent être payés.
    (e) Il est interdit à tout membre ou employé de la Commission Fédérale de Crédit de divulguer la réduction au détail ou toute autre information reçue ou employée en rapport avec la détermination de la réduction au détail avant que la réduction en question ne soit proclamée par le secrétaire du trésorier. Quiconque contrevient à une disposition du présent paragraphe doit être exclu ou licencié et doit être puni, sur déclaration de culpabilité, d'une telle violation par une amende de pas plus de $1,000, ou un emprisonnement de pas plus d'un an, ou tous les deux à la fois.
    Application de la Réduction au Détail
    SECTION 5. Après le passage de cette Loi la réduction au détail doit être appliquée dans le cadre d'achats de biens et services auprès des détaillants comme définie dans cette Loi, faits par des consommateurs qui sont des personnes physiques, pour l'utilisation personnelle du consommateur ou celle de sa famille et pas pour la vente, le commerce ou la fabrication. L'application de la réduction en question dans le commerce doit être attestée par des pièces justificatrices appropriées, formulaires prescrits par le secrétaire du trésorier. Ces Chèques doivent être utilisés dans le remboursement du détaillant pour la vente de biens et services à un prix compensé. Le but de cette Loi est de fournir un règlement continu par les banques aux détaillants pour vendre á un prix compensé comme prévu par la'article 7 de ce titre.
    Contrats et Règlements
    SECTION 6(a) Aucun détaillant n'aurait le droit à une compensation sur les ventes au rabais à moins qu'il envoie une demande à la secrétaire du trésorier, et aie reçu, un certificat d'autorité ou une licence, et aie accepté de se conformer à ces règlements de la comptabilité analytique et à un taux maximum de bénéfice sur le chiffre d'affaires des ventes qui sera déterminé par le secrétaire du trésorier après des audiences publiques ouvertes à toutes les parties intéressées. Il est du devoir de la Commission Fédérale de Crédit d'être représentée à ces audiences, pour défendre l'intérêt général du public consommateur, et de subordonner toutes les questions d'intérêt particulier à celui du crédit national tel que défini dans ce présent titre. Les décisions de la Commission Fédérale sur le crédit national sont définitives. Le secrétaire du trésorier peut révoquer ou suspendre tout certificat d'autorité ou licence délivré par lui à tour détaillant après un préavis raisonnable et la possibilité d'auditionner le détaillant, sur preuve que ledit détaillant ne s'est pas conformé aux règlements sur la base desquels son certificat et sa licence ont été délivrés.
    SECTION 7.
    (a) Pour compenser le détaillant pour le déboursement de l'escompte de détail, toutes les banques aux États Unis, ses territoires et possessions, engagés dans le commerce inter-étatique, sont autorisées et dirigés à accepter toutes les pièces justificatrices attestant de l'escompte de détail et inclure dans les dépôts réguliers de leur clientèle qui détient des licences de décaisser la remise, et d'honorer ces bons comme s'ils étaient des dépôts en espèces au montant des déboursements mis en évidence.
    (b) Les banques entrant des crédits aux déposants en raison des bons de réduction au détail doivent les charges sur le compte de leurs notes en monnaie nationale, et le secrétaire du trésorier , ou son agent doit remettre à ces-dits banques, sur demande, les billets en monnaie nationale á une valeur nominale équivalente aux bons d'achat inscrits dans le registre de la banque. Les banques auront le droit de fixer des frais de service raisonnables à ces déposants pour les services rendus. Le montant de cette taxe doit être fixé par la Commission Fédérale de Crédit.
    (c) Les comptes de dépôt des détaillants rédigés par le présent procédé doivent être traités par toutes les banques en tant que partie de leur dépôts en circulation juste comme si le compte rendu a eu lieu grâce à l'actualisation des notes propres aux clients et les chèques qui en sont tirés doivent se faire comme d'habitude.
    Titre II - La Commission Fédérale de Crédit
    Organisation et Commission



    SECTION 201.

    (a) Pour réaliser l'objet de la Loi il est créé la Commission Fédérale de Crédit (appelé dans ce titre la "Commission"). La Commission doit être composée de 7 commissaires qui seront nommés par le Président par et avec l'avis et le consentement du Sénat. Nul ne doit être admissible à une nomination en tant que commissaire à moins qu'il soit un citoyen des États Unis et dans le jugement du Président qualifié pour développer des connaissances approfondies sur des problèmes économiques, industrielles et statistiques et d'effectuer efficacement les tâches requises par la présente Loi. Pas plus de quatre des commissaires doivent être membres du même parti politique. La durée de mandat des commissaires va expirer comme indiqué par le Président. Une à la fin de chacune des sept premières années après le passage de la Loi. La durée de mandat du successeur expirera sept années à partir de la date de l’expiration du mandat pour lequel son prédécesseur a été nommé, sauf un commissaire nommé pour combler une vacance survenant avant l'expiration de la période pour laquelle son prédécesseur a été nommé doit être nommé pour le reste de ces termes. Les commissaires doivent être admissibles pour une deuxième nomination et recevoir une pension de retraite équivalente à $xxxxx par an pour chaque année de service, mais pas plus de $xxxxzzz par an.

    (a) Les commissaires doivent être membres d'office du Conseil de la Réserve Fédérale.
    (b) Le Président doit désigner chaque année une des commissaires d'agir en tant que Président de la Commission. Chaque commissaire va recevoir un salaire de $xxxxxx par an. Aucun commissaire ne doit s'engager dans une autre affaire, vocation ou travail autre que celui de servir comme commissaire.

    Les Devoirs de la Commission

    SECTION 202

    (a) Il est créé un compte dans la trésorerie des États Unis qui sera le compte de crédit. Ce compte sera crédité de temps en temps à la direction de la Commission avec la différence entre la valeur du Dollar de la production nationale et celle de la consommation nationale, comme déterminé par la Commission, quand la valeur de la production nationale est plus grande que celle de la consommation nationale. A la fin de chaque période, le montant du compte de crédit national qui ne devrait pas être retiré dans cette période doit être radié. Si avant la fin de chaque période le compte du crédit national aura été complètement vidé alors les ventes et l'acceptation bancaire de bons de ventes en détail continuent au compte de détail autorisé, la commission peut à sa discrétion habiliter le secrétaire du trésorier à continuer de fournir des notes en monnaie nationale sur la demande des banques jusqu'à nouvel avis de la Commission et cette monnaie supplémentaire ne sera pas une charge sur le compte de crédit national dans toute période future. La Commission peut également réduire ou suspendre la remise de détail avant l'expiration d'une période en conformité avec les prochains chiffres pour la production et la consommation nationale qui pourraient être en sa possession.

    (b) La Commission devra trouver tous les voies et moyens raisonnables pour déterminer le compte de détail aussi précis que possible strictement en conformité avec les méthodes Prescrites en SECTION 4 du titre I de la Loi et sans aucune influence ou des conseils étrangers. Les décisions de la Commission concernant le compte en détail doivent être définitives.

    (c) La Commission doit établir un bureau statistique pour collecter et coordonner les données nécessaires à l'exécution des dispositions de la présente Loi et doit être guidée dans ces décisions par les faits révélés. Tous les départements statistiques de l'État Fédéral et de l'administration municipale doivent fournir cette aide et information comme requise par la Commission. La Commission doit avoir l'autorité de requérir des données et statistiques de toutes les organisations économiques, associations de commerce, affaires privés ce qui peut du reste être requis dans le jugement de la Commission pour exécuter les dispositions de cette Loi.

    (d) Il doit être le devoir de la Commission de fixer les frais de service pour le traitement des bons de réduction au détail par les banques pour leurs clients comme prescrit dans la Loi.

    (e) Il doit aussi être le devoir de la Commission de tenir des audiences sur et pour rendre publiques les bénéfices des grossistes, fabricants, premiers producteurs, et les spéculateurs, et de recommander au Congrès une Loi réparatrice ou des mesures fiscales spéciales en ce qui concerne ces gains si dans le jugement de la Commission, ils proviennent d'une augmentation irraisonnable dans l'usine, les matières premières ou des prix en gros qui, par la trop hausse de la valeur en Dollar du compte de crédit national va l'amener à contribuer à une inflation contenue artificiellement et la distribution inéquitable du revenu national total au détriment de toute catégorie ou section.

    Interférences dans les Fonctions de la Commission

    SECTION 203

    (a) Il est interdit à toute personne -
                (1) d'empêcher ou tenter d'empêcher par force, intimidation, menace, promesse ou de toute autre manière tout membre ou employé de la Commission les fonctions qui lui sont imposées par la Commission.
                (2) d'induire ou tenter d'induire avec des moyens similaires tout membre ou employé de la Commission pour prendre toute décision ou ordre en ce qui concerne toute question sous l'autorité de la Commission; ou
                (3) d'induire ou tenter d'induire, par des moyens similaires, tout membre ou employé à divulguer toute information quelle que soit, sauf à travers les canaux permis par la Loi.
                (b) Quiconque viole toute disposition de cette section sera puni sur la base d'une conviction d'une telle violation, d'une amende de pas plus de $bbbbb ou emprisonnement pas plus d'un an, ou tous les deux.

    Titre III - Les Dispositions Générales

    SECTION 301. Toute personne qui viole l'une des dispositions de cette Loi devra au cas où d'autres mesures répressives ne sont pas expressément prévues par cette Loi, soit punie sur la conviction d'une violation, d'une amende de pas plus de $1000 ou d'emprisonnement d'un an, ou tous les deux.

    SECTION 302. Le secrétaire du trésorier est autorisé à élaborer de telles règles et règlements qu'il jugera nécessaire pour l'exécution des dispositions de cette Loi.

    SECTION 303. Ils sont ci-après autorisés à transférer chaque année des sommes qui peuvent être nécessaires pour l'exécution des dispositions de la présente Loi.

    SECTION 304. Toutes les lois ou parties de lois inconsistants ou en conflit avec les dispositions de cette Loi sont abrogées dans la mesure de cette incompatibilité et conflit.

    SECTION 305. Au cas où toute disposition de cette Loi, ou son application à toute personne ou circonstance, est jugée invalide, ce qui reste de la Loi, et l'application d'une telle disposition à d'autres personnes et circonstances, ne sera pas ainsi affectée.   

    Mit freundlichen Grüssen
    Avec mes meilleurs salutations
    Distinti saluti
    Kind regards, yours sincerely
    Saludos cordiales
    בברכה, בכבוד רב
    С уважение
    ขอแสดงความนับถือ
    你的真诚的
    المخلص

    Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE

    Tél: international ++ 41 21 616 88 88

    Mobilisation générale: épargnes, retraites...  volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce... Arnaque de la création monétaire  du néant, ex nihilo... Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d'application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, crédits, etc...

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html

    La prochaine session d'étude en français sur la Doctrine Sociale de l'Église par l'application du Crédit Social, avec traduction anglaise, espagnole et polonaise, se tiendra  les 30, 31 juillet et 1er août 2016.
    Vous êtes cordialement invité à participer à la semaine d'étude du Crédit Social en français qui se tiendra du 21 au 29 juillet inclusivement.
    Bienvenue à tous!
    L'enseignement sera donné par M. Alain Pilote.
    Nous prenons en charge, pour le temps passé sur les lieux, l'hébergement et les repas, par contre, les dons sont grandement appréciés. 
    Thème pour l'année 2016: Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
    à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

    Loi pour une démocratie économique

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    La Lampe D'ALADIN

    Qu'est ce que la démocratie économique? Beaucoup en parlent, mais de manière superficielle. La démocratie économique signifie que les individus dans la société ont davantage de contrôle sur leur environnement matériel. Pour être spécifique, ça signifie que l'individu est (1) capable d'accéder à un plus grand nombre de biens de consommation grâce à l'amélioration de son pouvoir d'achat, et (2) est en mesure d'exercer un plus grand nombre de choix dans le domaine productif qu'il souhaite intégrer. Les indicateurs d'une démocratie économique sont l'amélioration du niveau de vie pour tous, l'accroissement des possibilités pour l'activité productive, soit en matière d'emploi ou de loisirs. La théorie de la démocratie stipule que la société est organisée en vue de garantir le bien-être de l'individu. Le crédit social est ultra-démocratique et individualiste.
    Projet de Loi
    Prévoir une politique monétaire nationale qui réponde de façon définitive, aux exigences de l'industrie nationale et du commerce, tout en tenant compte des conditions imposées par notre pouvoir économique, ce qui permettrait que la consommation de biens et services se fassent dans les limites de notre capacité productive, la prestation maximale de biens et services de nécessité aux individus ou à d'autres fins.
    Qu'il soit adopté par le Sénat et la Chambre des Représentants des Etats-Unis D'Amérique au Congrès ici réuni.
    Tilte I. Dédommagement Axée sur les Prix au Détail
    Considérant qu'il est de la prérogative constitutionnelle du Congrès de créer de la monnaie et en réglementer la valeur, et considérant que les réserves représentant des engagements bancaires pour leurs dépositaires, débiteurs, ou d'autres propriétaires ou titulaire de tels comptes ont la force et remplissent toutes les fonctions de monnaie et sont déclarés être de la monnaie, et considérant que la valeur de la monnaie se mesure par le pouvoir d'achat qu'il confère sur les biens  et services et toutes les autres formes de propriété ou droits de propriété ou preuve de la possession de tels droits et propriété, et considérant que le pouvoir d'achat de la monnaie varie inversement avec le prix de tels biens, services, propriété ou droits de propriété, et considérant qu'en vertu de la législation en vigueur concernant la création de dépôts bancaires et conformément à cette même législation et à la coutume en vigueur relative à la propriété privée, contrat et endettement, la somme totale des prix des biens et services produits tendent à dépasser la somme totale d'argent disponible pour les acheter, sauf à une perte financière des producteurs de tels biens et services, il est ici indiqué d'être la politique du Congrès d'ajuster et de contrôler le volume de monnaie de manière à le maintenir en permanence égal à la somme totale des prix de biens et services en vente, plus la somme totale des coûts non-réglés de biens et services en voie de production dûment comptabilisés, afin de faciliter le maximum de livraison de biens et services à la population des États Unis conformément à leurs désirs et en rapport avec la capacité de production de l'économie nationale.
    SECTION 2: En application de cette politique, des billets de monnaie nationale doivent être émis pour financer une réduction sur les prix à la consommation au détail, comme prévu ci-après.
    SECTION 3. Tel qu'utilisé dans le présent titre.
    (a) Le terme "billets de monnaie nationale" signifie le cours légal adopté par les États Unis dans le paiement de toutes dettes et impôts, mais qui n'est pas disponible aux banques dans le cadre de leurs réserves de liquidité contre des dépôts, sauf sur la base de l'équivalent en dollar de la somme de leurs obligations.
    (b) Le terme "réduction sur les prix au détail" signifie un chiffre de pourcentage à déterminer par la Commission Fédérale de Crédit et publié par le secrétaire ou trésorier comme indiqué ci-après, ce qui pourrait être appliqué comme une réduction sur les prix des biens et services que les détaillants offrent aux derniers clients.
    (c) Le terme "dédommagement sur les prix" signifie le prix au détail des biens et services après l'application de la mesure de rabaissement du prix au détail. Les ventes de biens d'occasion ne seront pas concernés/n'entrent pas en ligne de compte dans le cadre de la réduction des prix au détail.
    (d) Le terme "détaillant" signifie tout vendeur de biens, y compris logement et services, aux consommateurs finaux qui peuvent être identifiés comme personnes physiques, pour leur propre utilisation ou celle de leur famille et non pour la revente, mais aussi les sociétés de service dans la mesure où ils fournissent des services au détail au public destinés à l'utilisation personnelle ou celle de la famille.
    (e) Le terme "services" peut-être compris comme le transport de passagers, distribution de gaz et d'électricité aux foyers à des fins domestiques, location de maisons, hospitalisation, soins médicaux, éducation, animation théâtrale, ou tout autre service professionnel ou non-professionnel qui pourrait être fourni par des individus, des partenariats ou d'autres organisations, à conditions que les prix chargés pour de tels services sont basés sur des principes acceptés de comptabilité analytique.
    (f) Le terme "services" peut être compris comme le montant de la richesse nationale contre l'argent peut être délivré en toute sécurité sans qu'il en résulte des niveaux de prix inflationnistes.
    Détermination de la Réduction sur les Prix au Détail
    SECTION 4.
    (a) A partir de 90 jours après le passage de la présente Loi, la remise de détail pour chaque trimestre doit être déterminée par la Commission Fédérale sur le Crédit et proclamé par le secrétaire du trésorier au premier jour de chaque trimestre ou à tout autre que la Commission Fédérale de Crédit recommandera.
    (b) Après le passage de la présente Loi et jusqu'à ce que la réduction sur les prix au détail soit déterminée et proclamée comme indiquée précédemment, le rabais sera de 20 pour cent. Par la suite la réduction au détail sera ce pourcentage que la différence entre la valeur monétaire de la production nationale et celle de la consommation nationale apporte à celle de la production nationale. La production nationale doit inclure toutes les valeurs existantes qui  pourraient produits dans n'importe quelle catégorie de production, les importations, mais pas les comptes rendus du capital physique existant. La consommation doit inclure les ventes en détail, mais à un niveau qui correspond à celui d'un prix au détail non compensé, exportations, indemnités appropriées pour la dépréciation, perte et obsolescence. Pour en arriver à ces chiffres, seuls les prix et niveaux de prix existants doivent être utilisés, afin que les valeurs de production et de consommation exprimées soient toujours mesurées en fonction du Dollar existant.
    (c) Si la consommation nationale comme décrit ci-dessus, doit à tout moment dépasser la production nationale, aucune remise en détail doit être proclamée. Après chaque proclamation de la remise/réduction, les données utilisées pour la déterminer doivent être mises á la disposition du public.
    (d) Après le passage de cette Loi et dans le cas d'une Loi antérieure par laquelle le Congrès devrait autoriser que les paiements directs aux individus soient faits à partir du compte de crédit national, mais pas dans le règlement des bons de réduction au détail, alors tous ces paiements doivent être calculés par la Commission Fédérale de Crédit comme une addition à la consommation nationale pendant la période dans laquelle ils doivent être payés.
    (e) Il est interdit à tout membre ou employé de la Commission Fédérale de Crédit de divulguer la réduction au détail ou toute autre information reçue ou employée en rapport avec la détermination de la réduction au détail avant que la réduction en question ne soit proclamée par le secrétaire du trésorier. Quiconque contrevient à une disposition du présent paragraphe doit être exclu ou licencié et doit être puni, sur déclaration de culpabilité, d'une telle violation par une amende de pas plus de $1,000, ou un emprisonnement de pas plus d'un an, ou tous les deux à la fois.
    Application de la Réduction au Détail
    SECTION 5. Après le passage de cette Loi la réduction au détail doit être appliquée dans le cadre d'achats de biens et services auprès des détaillants comme définie dans cette Loi, faits par des consommateurs qui sont des personnes physiques, pour l'utilisation personnelle du consommateur ou celle de sa famille et pas pour la vente, le commerce ou la fabrication. L'application de la réduction en question dans le commerce doit être attestée par des pièces justificatrices appropriées, formulaires prescrits par le secrétaire du trésorier. Ces Chèques doivent être utilisés dans le remboursement du détaillant pour la vente de biens et services à un prix compensé. Le but de cette Loi est de fournir un règlement continu par les banques aux détaillants pour vendre á un prix compensé comme prévu par la'article 7 de ce titre.
    Contrats et Règlements
    SECTION 6. (a)Aucun détaillant n'aurait le droit à une compensation sur les ventes au rabais à moins qu'il envoie une demande à la secrétaire du trésorier, et aie reçu, un certificat d'autorité ou une licence, et aie accepté de se conformer à ces règlements de la comptabilité analytique et à un taux maximum de bénéfice sur le chiffre d'affaires des ventes qui sera déterminé par le secrétaire du trésorier après des audiences publiques ouvertes à toutes les parties intéressées. Il est du devoir de la Commission Fédérale de Crédit d'être représentée à ces audiences, pour défendre l'intérêt général du public consommateur, et de subordonner toutes les questions d'intérêt particulier à celui du crédit national tel que défini dans ce présent titre. Les décisions de la Commission Fédérale sur le crédit national sont définitives. Le secrétaire du trésorier peut révoquer ou suspendre tout certificat d'autorité ou licence délivré par lui à tour détaillant après un préavis raisonnable et la possibilité d'auditionner le détaillant, sur preuve que ledit détaillant ne s'est pas conformé aux règlements sur la base desquels son certificat et sa licence ont été délivrés.
    SECTION 7.
    (a) Pour compenser le détaillant pour le déboursement de l'escompte de détail, toutes les banques aux États Unis, ses territoires et possessions, engagés dans le commerce inter-étatique, sont autorisées et dirigés à accepter toutes les pièces justificatrices attestant de l'escompte de détail et inclure dans les dépôts réguliers de leur clientèle qui détient des licences de décaisser la remise, et d'honorer ces bons comme s'ils étaient des dépôts en espèces au montant des déboursements mis en évidence.
    (b) Les banques entrant des crédits aux déposants en raison des bons de réduction au détail doivent les charges sur le compte de leurs notes en monnaie nationale, et le secrétaire du trésorier , ou son agent doit remettre à ces-dits banques, sur demande, les billets en monnaie nationale á une valeur nominale équivalente aux bons d'achat inscrits dans le registre de la banque. Les banques auront le droit de fixer des frais de service raisonnables à ces déposants pour les services rendus. Le montant de cette taxe doit être fixé par la Commission Fédérale de Crédit.
    (c) Les comptes de dépôt des détaillants rédigés par le présent procédé doivent être traités par toutes les banques en tant que partie de leur dépôts en circulation juste comme si le compte rendu a eu lieu grâce à l'actualisation des notes propres aux clients et les chèques qui en sont tirés doivent se faire comme d'habitude.
    Titre II - La Commission Fédérale de Crédit
    Organisation et Commission



    SECTION 201.

    (a) Pour réaliser l'objet de la Loi il est créé la Commission Fédérale de Crédit (appelé dans ce titre la "Commission"). La Commission doit être composée de 7 commissaires qui seront nommés par le Président par et avec l'avis et le consentement du Sénat. Nul ne doit être admissible à une nomination en tant que commissaire à moins qu'il soit un citoyen des États Unis et dans le jugement du Président qualifié pour développer des connaissances approfondies sur des problèmes économiques, industrielles et statistiques et d'effectuer efficacement les tâches requises par la présente Loi. Pas plus de quatre des commissaires doivent être membres du même parti politique. La durée de mandat des commissaires va expirer comme indiqué par le Président. Une à la fin de chacune des sept premières années après le passage de la Loi. La durée de mandat du successeur expirera sept années à partir de la date de l’expiration du mandat pour lequel son prédécesseur a été nommé, sauf un commissaire nommé pour combler une vacance survenant avant l'expiration de la période pour laquelle son prédécesseur a été nommé doit être nommé pour le reste de ces termes. Les commissaires doivent être admissibles pour une deuxième nomination et recevoir une pension de retraite équivalente à $xxxxx par an pour chaque année de service, mais pas plus de $xxxxzzz par an.

    (a) Les commissaires doivent être membres d'office du Conseil de la Réserve Fédérale.
    (b) Le Président doit désigner chaque année une des commissaires d'agir en tant que Président de la Commission. Chaque commissaire va recevoir un salaire de $xxxxxx par an. Aucun commissaire ne doit s'engager dans une autre affaire, vocation ou travail autre que celui de servir comme commissaire.

    Les Devoirs de la Commission

    SECTION 202

    (a) Il est créé un compte dans la trésorerie des États Unis qui sera le compte de crédit. Ce compte sera crédité de temps en temps à la direction de la Commission avec la différence entre la valeur du Dollar de la production nationale et celle de la consommation nationale, comme déterminé par la Commission, quand la valeur de la production nationale est plus grande que celle de la consommation nationale. A la fin de chaque période, le montant du compte de crédit national qui ne devrait pas être retiré dans cette période doit être radié. Si avant la fin de chaque période le compte du crédit national aura été complètement vidé alors les ventes et l'acceptation bancaire de bons de ventes en détail continuent au compte de détail autorisé, la commission peut à sa discrétion habiliter le secrétaire du trésorier à continuer de fournir des notes en monnaie nationale sur la demande des banques jusqu'à nouvel avis de la Commission et cette monnaie supplémentaire ne sera pas une charge sur le compte de crédit national dans toute période future. La Commission peut également réduire ou suspendre la remise de détail avant l'expiration d'une période en conformité avec les prochains chiffres pour la production et la consommation nationale qui pourraient être en sa possession.

    (b) La Commission devra trouver tous les voies et moyens raisonnables pour déterminer le compte de détail aussi précis que possible strictement en conformité avec les méthodes Prescrites en SECTION 4 du titre I de la Loi et sans aucune influence ou des conseils étrangers. Les décisions de la Commission concernant le compte en détail doivent être définitives.

    (c) La Commission doit établir un bureau statistique pour collecter et coordonner les données nécessaires à l'exécution des dispositions de la présente Loi et doit être guidée dans ces décisions par les faits révélés. Tous les départements statistiques de l'État Fédéral et de l'administration municipale doivent fournir cette aide et information comme requise par la Commission. La Commission doit avoir l'autorité de requérir des données et statistiques de toutes les organisations économiques, associations de commerce, affaires privés ce qui peut du reste être requis dans le jugement de la Commission pour exécuter les dispositions de cette Loi.

    (d) Il doit être le devoir de la Commission de fixer les frais de service pour le traitement des bons de réduction au détail par les banques pour leurs clients comme prescrit dans la Loi.

    (e) Il doit aussi être le devoir de la Commission de tenir des audiences sur et pour rendre publiques les bénéfices des grossistes, fabricants, premiers producteurs, et les spéculateurs, et de recommander au Congrès une Loi réparatrice ou des mesures fiscales spéciales en ce qui concerne ces gains si dans le jugement de la Commission, ils proviennent d'une augmentation irraisonnable dans l'usine, les matières premières ou des prix en gros qui, par la trop hausse de la valeur en Dollar du compte de crédit national va l'amener à contribuer à une inflation contenue artificiellement et la distribution inéquitable du revenu national total au détriment de toute catégorie ou section.

    Interférences dans les Fonctions de la Commission

    SECTION 203

    (a) Il est interdit à toute personne -
                (1) d'empêcher ou tenter d'empêcher par force, intimidation, menace, promesse ou de toute autre manière tout membre ou employé de la Commission les fonctions qui lui sont imposées par la Commission.
                (2) d'induire ou tenter d'induire avec des moyens similaires tout membre ou employé de la Commission pour prendre toute décision ou ordre en ce qui concerne toute question sous l'autorité de la Commission; ou
                (3) d'induire ou tenter d'induire, par des moyens similaires, tout membre ou employé à divulguer toute information quelle que soit, sauf à travers les canaux permis par la Loi.
                (b) Quiconque viole toute disposition de cette section sera puni sur la base d'une conviction d'une telle violation, d'une amende de pas plus de $bbbbb ou emprisonnement pas plus d'un an, ou tous les deux.

    Titre III - Les Dispositions Générales

    SECTION 301. Toute personne qui viole l'une des dispositions de cette Loi devra au cas où d'autres mesures répressives ne sont pas expressément prévues par cette Loi, soit punie sur la conviction d'une violation, d'une amende de pas plus de $1000 ou d'emprisonnement d'un an, ou tous les deux.

    SECTION 302. Le secrétaire du trésorier est autorisé à élaborer de telles règles et règlements qu'il jugera nécessaire pour l'exécution des dispositions de cette Loi.

    SECTION 303. Ils sont ci-après autorisés à transférer chaque année des sommes qui peuvent être nécessaires pour l'exécution des dispositions de la présente Loi.

    SECTION 304. Toutes les lois ou parties de lois inconsistants ou en conflit avec les dispositions de cette Loi sont abrogées dans la mesure de cette incompatibilité et conflit.

    SECTION 305. Au cas où toute disposition de cette Loi, ou son application à toute personne ou circonstance, est jugée invalide, ce qui reste de la Loi, et l'application d'une telle disposition à d'autres personnes et circonstances, ne sera pas ainsi affectée.   

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    Monnaies et comportements

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    La III ème guerre mondiale a déjà commencé, selon le Pape François !

    Que faire ?

    "Il existe de nombreuses manières d'organiser un système bancaire, celle que nous utilisons aujourd'hui est la pire de toutes." - Mervin King, gouverneur de la Banque d'Angleterre du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2013
    La Banque Centrale d'Angleterre, dans son dernier bulletin sorti le 14 mars 2014, démonte consciencieusement les idées fausses qui sont encore largement enseignées dans de nombreux cours d'économie à propos de la monnaie, et les remplace par une description complète de la réalité des faits.


    On doit souvent quitter les certitudes sociales établies, exemple... ci-dessus :-)



    et voici un article fascinant de Stéphane Tardif, comportementaliste animalier, qui a observé de très près le JEU DE LA MONNAIE que nous avons organisé vendredi dernier à ‪#‎NuitDebout‬ ‪#‎Monnaiedebout‬.
    Conclusion :
    Tous les espoirs sont permis, puisque, ce jeu le prouve, la façon dont nous enregistrons nos flux économiques influence clairement nos comportements et nos stratégies interpersonnelles.
    Suffirait-il donc de "Changer la monnaie pour changer la monde ?".
    Qu'en dites-vous, on essaye ?...


    LE JEU DE LA MONNAIE : UNE ÉTUDE COMPORTEMENTALE EMPIRIQUE SUR DES HUMAINS

    Woo.. y’a des jours comme ça..

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    Ce soir, j’ai participé à un jeu grandeur nature en tant qu’observateur externe. Le jeu de la monnaie. Le principe est simple, il s’agit d’un jeu de rôle où les joueurs sont placés dans des mini-sociétés (très mini, on était une quarantaine environ), avec différents paradigmes économiques. Le but était de tester lequel était le plus rentable, à l’échelle de la société.

    Dans chaque modèle économique, les joueurs s’échangeaient des cartes, représentant les ressources ou les services, et devaient accumuler des bonbons, représentant le bien commun, fruit de leur travail, en réunissant les cartes par 4 (identiques, peu importe la couleur). Une jolie métaphore permet de mieux visualiser : les cartes représentent les murs des maisons, en réunir 4 permet de construire la maison avec ses 4 murs, et le but de la société est d’accumuler les maisons (le bien commun).

    Quatre modèles économiques ont été testés, comparables deux à deux : deux modèles basiques, le don mutuel et le troc, et deux modèles complexes, le modèle actuel, l’agent dette, et le système de comptabilité mutuelle.
    Voici les règles précises (pour ceux qui aiment les détails) :

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    RÈGLE GÉNÉRALE :

    Chaque joueur doit « travailler » pour construire une maison en assemblant 4 murs, 4 cartes de jeu de la même figure : par exemple assembler 4 valets, ou 4 as, sans tenir compte des couleurs.
    Le jeu consiste à utiliser des règles économiques différentes pour faire circuler les cartes entre les joueurs, en regardant combien de maisons seront construites. Chacun peut ainsi sentir les effets des règles sur son propre comportement et sur le comportement des autres.
    Un notaire note chaque maison rapportée : il doit savoir mélanger vite pour redistribuer de nouvelles cartes ! Un animateur explique les règles, et mesure le temps.
    Le nombre de cartes a été choisi pour avoir 1 carré par joueur, plus 4 carrés de pioche : pour 20 joueurs, cela fait 80+16=96 cartes. On peut jouer à partir de 5 ou 6.

    Jeu 1 : le don.
    Chaque joueur reçoit 4 cartes tirées au hasard, au début et chaque fois qu’il ramène une maison au notaire. Comment être le plus efficace pour constituer le plus de carrés possibles ? Tout est permis entre les joueurs.
    Ce jeu pourrait se dérouler en 12mn, soit 6 tours pour les jeux avec comptabilité. On peut aussi donner une noix pour chaque maison et compter les noix à la fin.

    Jeu 2 : le troc.
    Chaque joueur reçoit 4 cartes tirées au hasard, au début et chaque fois qu’il ramène une maison au notaire. Un joueur peut seulement demander aux autres une carte qui lui est directement utile pour faire un carré, et seulement en donnant en échange une carte, sachant que par réciprocité la carte doit aussi être directement utile à l’autre. Personne ne peut être intermédiaire et personne ne doit « être utile » à l’autre, pour bien tester le troc.
    Ce jeu pourrait se dérouler en 12mn, soit 6 tours pour les jeux avec comptabilité. On peut aussi donner une noix pour chaque maison et compter les noix à la fin.

    Jeu 3 : la monnaie officielle.
    On peut obtenir une carte seulement en payant avec la monnaie officielle, 1 unité (papier coloré ou équivalent). Le banquier achète les maisons pour 5 (offrant ainsi un gain de 1 sur 5 ou 20%). Le banquier n’a pas de limite d’achat des maisons. Pour avoir de la monnaie officielle, il faut l’emprunter au banquier. Il faut lui rendre le double au bout de 6 tours (soit environ un doublement du capital en 24 ans, pour 3% d’intérêt par an et 4 ans par tour).
    Les tours sont mesurés par l’animateur (par exemple 2mn par tour). Le jeu est suspendu au bout de 6 tours pour régler les impôts et les crédits, avant de reprendre pour 6 tours.
    Chaque joueur paye des impôts à l’animateur (1 unité pour 6 tours) avant de rembourser les crédits. On peut payer seulement les intérêts des crédits à la fin des 6 tours, dans ce cas le principal reste dû à la banque. Si un joueur ne peut pas payer ce qu’il doit malgré la saisie des cartes en main du joueur, il va en prison. Il faut 2 banquiers pour noter les crédits avant le début, puis l’un vend (au hasard) les cartes et l’autre achète les maisons en notant chaque achat.

    Jeu 4 : comptabilité mutuelle.
    Chaque joueur doit disposer d’un crayon. Chacun reçoit un papier quadrillé pour faire sa comptabilité personnelle sous forme de courbe. Le trait horizontal est la ligne d’équilibre, la position de départ, avec la valeur 0. Le notaire vend les cartes, on paye en marquant un point sur le graff, 2 unités, 2 cases, par carte, dans le sens des importations/achats. Dans le sens des importations, le joueur peut s’éloigner de la ligne d’équilibre de 12 seulement : c’est la limite en importation.
    Le notaire achète les maisons pour 10 (gain de 2 sur 10 ou 20%) : on marque un nouveau point sur le graphe en remontant de 10 unités, 10 cases, dans le sens des exportations, le sens inverse des importations. Le notaire n’a pas de limite d’achat des maisons. Les tours sont mesurés par l’animateur (par exemple 2mn par tour). Il faut faire 6 tours au moins pour comparer.
    A chaque tour annoncé par l’animateur, chacun diminue, contracte, son solde de 10% arrondi à 1 supérieur : si on est à 5 on revient à 4, si on est à 12 on revient à 10, et inversement de l’autre côté de la ligne d’équilibre. Chacun doit vérifier la comptabilité de l’autre. Les prix sont multipliés par 2 par rapport au jeu précédent pour la simplicité des calculs de %. Il faut 2 notaires, l’un pour vendre les cartes et l’autre pour acheter les maisons en notant le nombre.

    bernard.gva (at) gmail.com : évolution du jeu de la corbeille des Les Valeureux et du jeu de Community Forge
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    En tant que comportementaliste vétérinaire, j’ai une approche à la fois scientifique (obéissant à un protocole rigoureux) et « basique » : je prends en compte les interactions entre les individus sans distinguer l’homme de l’animal, ce qui tend à s’observer de plus en plus ! Tant les humains qui manifestent des motivations basiques, par exemple dans la consommation excessive (c’est l’écureuil qui accumule les noix ou le chien qui enterre son os, puis l’oublient, n’est-ce pas…), que les animaux qui manifestent des comportements qualifiés auparavant « d’humain ».
    Donc je préfère prévenir tout de suite, tout ce que je vais raconter là est un beau tissu de conneries, issu de mon expérience et de mes connaissances ! Il n’y a rien de scientifique dans les affirmations que je vais formuler, tant sur l’expérience, qui était plus un jeu pour que les gens éprouvent d’autres modes de vie, que sur mon observation, très limitée (seul pour 40 personnes, en train de filmer en même temps, je n’ai pu observer que quelques groupes).
    Cependant, l’expérience et le jeu étant basés sur des règles simples, et l’échantillon de joueurs empiriquement représentatif (des jeunes, des vieux, les 3 sexes, toutes les races, les drôles, les timides, les bruyants, tout c’que vous voulez !), je me dis que les observations que j’ai faites mériteraient d’être testées plus rigoureusement…

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    PREMIER JEU : LE DON MUTUEL : ENVIRON 140 MAISONS

    C’est le mode de jeu qui a produit le plus de bien commun, loin devant les autres. Mais c’est aussi un résultat assez prévisible au vue des biais dans l’expérience. Les interactions sont altruistes (puisque chaque individu donne sans jamais avoir de garantie de retour), et très rapides. Puisque la seule chose à accumuler est le bien commun, personne ne peut tricher. Enfin rappelons que la société fait 50 personnes et qu’il n’y a qu’une seule ressource, en abondance. J’ai pu par contre observer des compétences différentes : très rapidement, des « crieurs » se sont manifestés, faisant des appels au don pour savoir qui avaient les cartes qui leur manquaient, augmentant ainsi drastiquement leurs chances de trouver les cartes qui leur manquaient, et donc leur efficacité.
    J’ai pu observer aussi vers la moitié de l’expérience que les joueurs formaient des petits groupes. La stratégie du crieur était répétée à plus petite échelle, certains n’ayant pas assez de voix pour hurler ou trop de timidité pour oser le faire…
    Cela montre donc quand même que le don est un mode d’interaction efficace pour des petites communautés. Par ailleurs, des communautés jouant à ce jeu avec des joueurs se connaissant, coopèrent donc beaucoup plus efficacement, et se réunissent très rapidement pour former un unique cercle (tout le monde voit tout le monde), et accumuler le plus de dons possibles.
    Je fais remarquer aussi empiriquement que c’est le mode d’interaction choisi en communauté familiale (caricaturalement) : les individus se donnent sans attendre de retour, et savent que la famille viendra les aider en cas de soucis.



    DEUXIÈME JEU : LE TROC : ENVIRON 50 MAISONS

    De la même façon que lors du premier jeu, les interactions étant très rapides, le troc a donc obtenu un score surestimé par rapport aux deux derniers jeux. Mais la comparaison avec le don mutuel en petite communauté peut s’établir, vu la simplicité des règles.
    J’ai pu observer les gens rapidement former des groupes, car une difficulté supplémentaire s’est vite présentée : autant, dans le cas précédent, pour interagir, il suffisait de trouver quelqu’un qui avait la carte qu’on voulait, autant dans ce cas-là, il fallait une interaction gagnant/gagnant, ce qui rendait plus rares les échanges. Et autant, dans le cas précédent, des petits groupes (4-5 personnes, donc une 20aine de cartes) suffisaient pour former un carré, autant dans ce cas, avec 4 cartes par main, il fallait bien plus de gens pour accélérer les échanges.
    Du coup, assez rapidement, les petits groupes ont commencé à fusionner, jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus que trois gros… puis deux…  puis un grand groupe de gens compactés. Devant l’impossibilité de circuler dans la société, le groupe a immédiatement éclaté après sa formation, des sous-groupes se sortant de la masse pour « respirer ».
    En tous cas, dans les deux cas, à aucun moment il n’était question de produire des comportements altruistes ou égoïstes. Les joueurs n’ayant pas d’autre choix que de produire pour la société, ils tentent juste de trouver, plus ou moins collectivement, la stratégie la plus efficace pour accumuler des ressources (ça dépend du tempérament des différents joueurs).
    C’est aussi un modèle de société qui ne peut s’adapter que sur des petites communautés. A grande échelle, à moins d’une transparence totale sur la surveillance des individus les uns sur les autres (ce que moi-même je conçois moyennement, aussi ouvert que je sois), des tricheurs pourraient apparaître et accumuler des ressources uniquement pour eux, se noyant dans la masse pour passer inaperçu.


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    A ce stade du jeu, je peux répondre à une critique qui m’a été formulé immédiatement après le jeu : on ne peut pas comparer des comportements humains et des comportements animaux, surtout pas en termes aussi simplistes que des comportements altruistes versus égoïstes. La psychologie (et certainement un tas d’autres courants de pensée) affirme que l’humain a tendance à produire des comportements aux intentions et aux mécanismes complexes. Certes, j’en conviens, chaque individu est unique. Ca n’empêche que quand tu prends les gens par paquet de millions, ils se comportent comme des moutons (et ça, aucune élite ne trouvera à me contredire). T’aura toujours une communauté d’irréductibles qui produira des stratégies inédites, mais la masse suivra la masse. C’est un peu ce qui fait le fondement d’une espèce communautaire et grégaire comme la nôtre.
    Morgan est un éthologue des années 80, qui a produit un canon, je cite « Nous ne devons en aucun cas interpréter une action comme relevant de l’exercice de facultés de haut niveau, si celle-ci peut être interprétée comme relevant de l’exercice de facultés de niveau inférieur ».
    Non pas que ce soit jamais le cas, ne soyez pas exclusif. Mais c’est l’idée, grosso modo, qu’on produit tous des efforts et des stratégies considérables pour satisfaire des besoins primaires, comme s’alimenter plus, s’amuser plus, copuler plus… Et ça se vérifie assez facilement (passée la mauvaise foi, les gens l’avouent humblement) : quelqu’un qui veut devenir plus fort ou plus riche le fait rarement pour tout donner gracieusement à la planète ensuite, y’a un minimum de contreparties… En pratique chaque stratégie produite va suivre un chemin différent, mais l’intention de départ est souvent proche (protéger ses proches, devenir plus fort, se venger).
    Les grands penseurs et les fins psychologues reniant leur nature animale critiqueront ce qu’ils voudront, mais dans une démarche scientifique et rigoureuse, le canon de Morgan se vérifie aussi bien que le pied dans la porte, croyez-moi (où aller vérifier vous-même, si vous êtes docteur, je ne vais pas refaire la démonstration).




    TROISIÈME JEU : L’ARGENT DETTE : POPULATION 9 – 31 BANQUE, DONC 40 MAISONS, ET 6 BANQUEROUTE

    Habillement présenté dans le jeu comme « le système actuel », ce qui incriminait un biais, forcément : les joueurs savaient qu’on n’était pas là pour en faire l’éloge, et que ce jeu risquait d’être le plus dur…
    Mais même averti, ils l’ont expérimenté dès le départ : la procédure d’emprunt à la banque était longue et potentiellement vite perçu comme inutile, et les échanges, à base de négociation de monnaie et de ressources, étaient lents et pénibles, car les joueurs se méfiaient les uns des autres.
    Dès le départ, des joueurs ont produits des stratégies très différentes : certains joueurs se sont assemblés en communauté, pour mutualiser leur bien et leur argent, et rembourser plus vite leur dette. D’autres se sont précipiter dans l’accumulation d’argent, en produisant le plus de maisons, ce qui permet d’abord de rembourser sa dette, puis ensuite… bah c’était variable, soit ils continuaient à construire des maisons, soient ils accumulaient juste les billets.
    D’ailleurs, une variable a été introduite au départ, proche de la réalité de notre monde contrairement aux deux cas précédents : tout le monde n’est pas parti avec le même capitale. Certains n’avaient pas de dettes au début du jeu, et leur ressenti sur ce démarrage lent, agressif, oppressant même selon certains, et bien eux ils ne l’ont pas ressenti.
    Par contre, tout le monde a ressenti que le système étant très limitant (accumulation de dettes), il fallait redoubler d’effort pour arriver à construire des maisons, quitte à employer « les moyens », je dirais.
    D’ailleurs, dès le départ, un joueur a immédiatement compris la stratégie la plus rentable de notre modèle économique actuelle, quand tu pars de rien (la règle du jeu le permettait, de part son modèle simplifié) : tu empruntes UN MAX DE THUNES, puis tu achètes un peu de toutes les cartes, et tu revends la carte qu’il manque aux autres à prix d’or, ce qui te permet d’accumuler ENCORE PLUS DE THUNES.
    On notera d’ailleurs que c’est le jeu qui a obtenu le plus grand écart dans la répartition des ressources entre les joueurs à la fin. Autant les autres jeux, tous les joueurs avaient à peu près le même nombre de bonbons à la fin, autant là, certains pouvaient acheter d’autres joueurs, et d’autres sont allés en case prison pour banqueroute !
    On observe la même chose dans notre monde avec le monopole des élites et des puissants sur les ressources. Ils deviennent tellement riches qu’ils ne savent même plus quoi acheter avec leur argent, mais ils continuent à en vouloir plus. Là on est vraiment dans l’aliénation dans la consommation, ou le comportement d’accumulation de ressource poussé à son paroxysme. Mais je m’avance un peu, et j’ai déjà perdu trop de lecteurs avec la première critique, je ne veux pas perdre tout le monde !
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    Ce qui me permet de rebondir sur une deuxième critique, qui peut aussitôt se ranger dans la case « oubli » : les joueurs sachant qu’ils jouaient à un jeu, ne faisaient pas comme dans la vraie vie, et donc oseraient tricher plus souvent, même si c’est amoral, que dans le monde réel, où les gens font rarement ça (c’est connu).
    La réalité est tout autre : je suis d’accord pour dire qu’un humain altruiste jouant à un jeu peut être le pire des connards, et vice-versa. Mais on s’en fout. On a un groupe d’humains, qui interagissent entre eux avec des stratégies très différentes, altruistes, égoïstes, ou intermédiaires (« ah lui il tente de m’arnaquer, j’aurai été gentil avec lui mais là non »). Qu’ils soient bons acteurs en train de simuler un tempérament qui n’est pas le leur, ou des joueurs agissant suivant leurs convictions et mimant leur tempérament réel, ou encore un mélange des deux, on s’en moque. Ce n’est pas ce qu’on mesure là, on veut juste avoir des joueurs différents pour produire des comportements différents, et voir comment les systèmes s’en sortent pour accumuler du bien commun et les comparer entre eux, c’est tout.
    Et je répète, tout ce que je dis est empirique, les observations et les interprétations que je formule doivent être traité comme des indices, pouvant donner des idées pour une étude plus poussée et rigoureuse. Ce n’est que le fruit de mon ressenti.




    Aller, on passe à la dernière, le test du modèle qui serait p’te cool pour nous sortir de la merde, n’est-ce pas…
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    QUATRIÈME JEU : LA COMPTABILITÉ MUTUELLE : ENVIRON 60 MAISONS

    Donc ce système montre une performance bien meilleure que l’argent-dette, ou la structure bancaire non contrôlée est la seule gagnante. Autant on ne peut la comparer au troc et au don mutuel, car les interactions, trop longue par rapport au don, sont trop éloignés de ce que ce serait dans n’importe quel situation réel, ou les 3 minutes que prennent la vérification de la transaction sont masquées par le fait que les gens ne font pas une course sur 7 minutes… autant par rapport à l’argent dette, et en tenant compte de ce biais, il a obtenu un score supérieur, ce qui montre bien son efficacité dans la production commune.
    A noter aussi que l’écart entre les joueurs était nettement moins marqué; même s’il y avait quand même aussi des riches et des « moins riches ».
    Ce jeu est basé sur un contrat de confiance, dès le départ : c’est l’idée qu’une sous-communauté décidant de tromper les règles pour son bien-être au détriment du reste, ne puissent pas émerger dans la société. Dans ce cas, c’était évident, si des joueurs complotaient, ils étaient vite repérer par les autres. Dans une société plus vaste, des mécanismes de régulation serait nécessaire pour garantir la sécurité des joueurs et établir le contrat de confiance : il s’agit en l’occurrence dans notre monde d’un système judiciaire, par exemple (les joueurs se vérifient l’un l’autre à chaque échange, si l’un d’eux décide de tricher, même si l’autre n’a pas la force de s’opposer à lui, il ne tentera pas le coup car il sait que le système est efficace pour le punir s’il est découvert ou dénoncé).
    La différence la plus marquante avec le système précédent d’argent dette, c’est l’absence de dette initiale justement. Du coup, autant le troisième jeu a démarré comme une course, autant là, les gens ont commencé par s’expliquer entre eux pour bien assimiler les règles, dans le calme, avant d’accélérer les échanges, tranquillement. Cette observation révèle pleins de choses intéressantes.
    D’abord, les joueurs n’ayant pas la pression extérieure de leur dette et du risque de banqueroute, n’ont pas commencé à courir derrière les billets comme si leur vie en dépendait, oubliant l’objectif de construire des maisons.
    Ensuite, les interactions entre les joueurs étaient nettement plus calmes. Autant, dans l’expérience précédente, beaucoup de joueurs ont exprimé leur frustration, certains ont même arrêté de jouer (de faire des échanges), plutôt que de négocier et se battre pour avoir des échanges avantageux. Mais ici, la vie était plus cool.
    Enfin, le fait que les joueurs se soient appropriés les règles du jeu (qui leur demande de se vérifier l’un l’autre, donc d’avoir compris les règles) a empêcher toute triche, et limitait les erreurs, contrairement à l’argent dette ou les échanges inégaux et désavantageux étaient quand même accepté, les joueurs se justifiant en affirmant se sentir obligés d’accepter l’arnaque, sans quoi ils avaient l’impression que rien n’avance sinon. Comme on me rétorque souvent que manifester, signer les pétitions, regarder des confs, faire de l’éducation populaire, enfin avoir une activité altruiste quoi, tout ça, ça sert à rien, je ferai mieux de m’occuper de moi-même et d’accepter le monde comme étant tel qu’il est, et me faire mon nid… je trouve vraiment amusant que ce système finit même dans un jeu par imposer une forme de résignation au joueur.
    Naturellement, il y a eu des erreurs de compta. Le plus amusant, c’est que l’erreur la plus fréquente, c’était pas un mauvais calcul sur la feuille de chacun (puisque les joueurs se vérifiaient plus ou moins l’un l’autre), mais en réalité, les joueurs ont carrément oublier de surveiller leur revenu de base, et oubliait de le noter une fois sur deux, trop concentré sur leurs échanges entre eux. Les échanges étant beaucoup plus positifs comme type d’interactions, et nécessitant un travail actif, les joueurs s’y investissaient en étant beaucoup plus concentrés et rigoureux, et en y prenant du plaisir, d’après-eux.



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    C’est avec ce genre d’expérience qu’un jour, les humains arrêteront de courir tous collectivement après leurs désirs illusoires, et feront l’expérience d’un mode de vie différent, pouvant procurer plus de sérénité et de bien-être.
    Peut-être alors qu’ils seront plus enclin à signer une pétition, rejoindre une association ou un mouvement, ou encore s’exprimer ouvertement sur ces sujets dans leurs cercles privés, ce qui est, au fond, la définition d’un citoyen dans une vraie démocratie qui s’éveille…
    Dr Dobi
    Je vous conseille l’excellente chaîne d’Horizon Gull, philosophie/psychologie, et son blogHacking Social, pour plus d’expériences sur les humains.
    Je vous conseille aussi la lecture du livre de Richard Dawkins, le Gène Égoïste, si vous souhaitez allez plus loin dans ce type d’expérimentation. Bonne lecture/visionnage😀

    3 RÉFLEXIONS SUR “LE JEU DE LA MONNAIE : UNE ÉTUDE COMPORTEMENTALE EMPIRIQUE SUR DES HUMAINS

      1. Ces disciplines m’intéressent beaucoup ! C’est pas exclu que je prenne des cours à l’avenir, et je regarde déjà des chaînes qui en parlent (comme le blog Hacking Social)
        J'aime
    1. Pour un capital social local. Le Polypoly.


      Pour une vraie démocratie économique de base. Cercles de création de capital ( 3C ).

      Le monde actuel vit dans un vieux système atroce et stupide qui pousse aux guerres car il détruit l'argent par la rigueur. Chaque remboursement de dette est une destruction d'argent qui aggrave les crises. Démonstrations:



      http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/05/destruction-de-la-monnaie-par-la.html

      http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/11/la-suisse-lavant-garde-de-la-robolution.html

      https://communities.cyclos.org/register/app/form

      Comment résister immédiatement et faire un capital et un crédit démocratique au niveau local ? Le polypoly (c).
      Un système simple pour échanger des biens et des services dans le cadre d’un club privé. L'unité de compte est par exemple le temps, la minute, l'heure ou le jour de travail, ou toute autre mesure culturellement acceptée localement. ( www.Wir.ch, SELS, TIMEBANK, francs locaux, nantos, Ithaca, ...)
      Comment ouvrir une banque locale sans intérêts par l'utilisation de simples cartes.


      Je vais maintenant vous apprendre à ouvrir une banque locale, ce qui est  facile à faire. Des banques locales analogues ont été établies en Suisse par des agriculteurs. Le banquier est un agriculteur, la banque se trouve dans une ferme, les clients sont des agriculteurs, et les propriétaires de la banque sont des agriculteurs. Puisque les banques sont très petites et dans de petites maisons, et parce que vous n'avez pas besoin de gros véhicules blindés et de sécurité personnelle, ces banques sont très économiques et efficaces. L’union de Raiffeisen et de Wir.
    2. http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html

    En mémoire de Bernard Maris, + RIP

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    Bernard Maris avait tout compris, ils l'ont tué ! RIP +

    Il y a tout juste un an Bernard Maris tombait sous les balles des fanatiques. Quinze ans plus tôt il avait publié ce qui constitua dans mon apprentissage personnel de l'économie comme un ouvrage de référence : "Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles". Cet ouvrage, bref, concis, limpide, incisif, acheva de me dessiller sur l'imposture de la pensée dominante qui pourtant gouverne une bonne part des décisions économiques depuis quatre décennies. J'en remets donc ici mes notes de lectures.
    Ciao Oncle Bernard. Tu nous manques.

    A travers un court pamphlet de 140 pages, Bernard Maris nous livre une virulente dénonciation des dogmes vendus par les néolibéraux, ainsi que leurs tendances au totalitarisme. L’humour dont il fait preuve n’enlève rien au sérieux de la démonstration. Paru en 1999, cet opuscule s’avère aujourd’hui d’une saisissante actualité devant les ravages réalisés par la dérégulation et le « tout marché ».
    Bernard Maris s’insurge en tout premier lieu contre la tendance à considérer l’économie comme une science exacte. L’économie en tant que science « dure » est un mensonge car elle repose sur deux axiomes totalement faux : la rationalité des acteurs et l’égalité de l’accès à l’information. Ce scientisme et cet utilitarisme poussés à l’extrême ont des effets ravageurs sur les sociétés humaines, d’autant plus que les économistes – contrairement à tous les autres responsables de la sphère sociale : médecins, ingénieurs … conducteurs de trains – ne sont tenus à aucune responsabilité vis-à-vis de leurs soi-disant prévisions (pages 14-15) (comment pourrait-on prévoir le comportement humain ? comment peut-on résumer celui-ci à des équations mathématiques, aussi complexes soient-elles ?). Deux points étayent de manière évidente ces effets ravageurs :
    -          L’incompétence généralisée du FMI dans toutes les zones du monde où il est intervenu (Amérique du Sud, Indonésie, Russie, crise asiatique … etc.[1]) (pages 70-77). Le FMI est à ce point incompétent qu’il n’en arrive même pas à gérer ses propres comptes internes : ainsi Bernard Maris relève qu’en septembre 1998, Michel Camdessus  se plaint qu’il ne lui reste plus que 4 à 5 milliards $ en caisse. Après audit de la commission économique du Congrès américain (sic…), il s’est avéré qu’il restait encore 70 milliards $ (page 76).
    -          La lamentable affaire LTCM (pages 63-70). LTCM était un fond hautement spéculatif crée par John Meriwether qui y embaucha deux prix Nobel d’économie : Myron Scholes et Robert Merton. Ces deux derniers, qui ont mis au point le modèle de Black et Scholes, prétendent décrire le comportement du marché grâce à des équations mathématiques. Les quelques succès enregistrés au départ font venir les fonds des principales banques d’investissement et encourage les traders de LTCM à prendre de plus en plus de risques, jusqu’à prendre des positions totalement ahurissantes pour un montant total de 1200 Mds$ (à l’époque l’équivalent du PIB de la France). Mais la propagation de la crise asiatique met LTCM au bord de la faillite, imposant une intervention de la Réserve fédérale américaine pour éviter une crise systémique. En 1998, LTCM avait donc déjà démontré les incommensurables risques de la finance mondialisée et incontrôlée.

    3/ DEVELOPPEMENT.

    Le paradoxe de Stiglitz (page 9) : si un marché est efficient du point de vue de l'information, autrement dit toute l'information pertinente est contenue dans les prix de marché, alors aucun agent n'est incité à acquérir de l'information sur laquelle sont fondés les prix. Mais si chacun n'est pas informé, certains agents paient pour devenir informés. Ainsi, un équilibre efficient au plan de l'information n'existe pas. Ce travail a exercé une influence considérable dans l'économie financière. Le dogme du marché efficient est donc un leurre.
    Pour fonctionner, le marché a besoin d’un élément exogène : « le crieur de prix », celui qui annonce le prix « d’équilibre » entre l’offre et la demande. Ce « crieur de prix » ne peut être interne au marché sinon celui-ci s’en trouverait faussé. C’est ce qui a nécessité initialement la création des Bourses, au départ institutions de Service public. Les Bourses sont indispensables pour fournir la « pertinence  de l’information ». Croire que le marché livré à lui-même est en soit efficient est donc un leurre : d’elle-même la Bourse est en fait un élément de régulation (pages 22-23) ! On peut par ailleurs se demander comment la privatisation des Bourses (et la concurrence entre elles que cela induit)  n’en arrivent pas à fausser le marché.
                Walras, l’un des pères de la pensée néoclassique[2], admet l’indispensabilité de cet élément exogène et est parvenu a démontrer par axiomes que le marché parvenait à obtenir une équilibre stable entre l’offre et la demande. Mais, Bernard Maris relève que ses axiomes sont illusoires : ils reposent sur une égalité parfaite de l’accès à l’information des acteurs (impossible selon le paradoxe de Stiglitz), une parfaite méconnaissance par les acteurs des intentions des autres (page 31) et surtout sur leur parfaite rationalité (ce qui est purement chimérique). Si le raisonnement de Walras est peut être bon, comme ses données de départ sont fausses, son résultat ne mène à rien (pages 19-26). Par ailleurs, le système de Walras suppose un marché à 100% concurrentiel et néglige donc tous les secteurs naturellement à tendances monopolistiques ou oligopolistiques (sans même parler de l’action de l’Etat). Walras envisage donc le marché dans un rapport à la totalité : tout ou rien. Cette binarité est non seulement irréaliste, mais surtout elle souligne la tendance totalitaire de la pensée walrassienne (page 30).
                Ainsi, à l’image des théories de Walras, les économistes mathématiciens basent leurs théories sur des axiomes et des postulats qui finissent par être laminés par les mathématiciens de la génération suivante (page 34)[3]. Maris cite ainsi l’exemple des travaux de Maurice Allais qui a démontré (« le paradoxe d’Allais ») que plus les gains étaient aléatoires, moins les acteurs se montraient rationnels, ce qui contredit là aussi l’un des postulats de Walras. Par son paradoxe, Allais contredit également un autre Prix Nobel d’économie proche de Milton Friedman : Georges Stigler. Et lorsque l’économiste français teste avec succès son paradoxe sur le friedmanien, celui-ci lui fait la réponse hallucinante : « ce n’est pas la science économique qui est fausse, c’est la réalité » (page 35). Le « grand » Milton Friedman n’est d’ailleurs pas en reste sur ce type de raisonnement de gourou : dans un article de 1953 il n’a ainsi pas hésité à avancer la thèse selon laquelle une théorie ne devait pas être testée par le réalisme de ses hypothèses mais par celui de ses conséquences (page 36) !
                Bernard Maris en déduit finalement que ces économistes mathématiciens ne sont que de purs logiciens, coupés de la réalité et inaptes à fournir de réelles prévisions (page 40) : cette science n’en est pas une et la « loi économique » est un oxymore (page 42). Il en revient donc auconcours de beauté de Keynes[4] : l’économie est avant tout faite de comportements humains, imprévisibles et généralement peu rationnels (pages 46-47). Dans ce contexte, les multiples appels à la « transparence » et à la « confiance » sont des non-sens : ce qui fonde justement le jeu boursier, c’est d’anticiper ce que feront les autres sans le leur dire (page 89).
                Bernard Maris s’insurge par la suite contre l’emprise des statistiques (page 93-99) qui, de même que le modèle de Walras, prétendent décrire la réalité en n’étant que de simples indications, potentiellement trompeuses.
                Rangé dans la catégorie des « penseurs », Alain Minc y prend également pour son grade. L’auteur ressuscite une de ses anciennes productions, Le Syndrome finlandais,  dans laquelle Minc annonce, en 1986, sûr de lui, la prochaine mise sous tutelle, à moins d’un énergique sursaut, de la France par l’Union soviétique (page 110). Dans La Mondialisation heureuse (1997), le thuriféraire des marchés n’a pas la plume plus heureuse (voir citation).
                Le libre-échangisme à tout cran n’est pas non plus sans fortes contradictions internes. Ainsi, par exemple, la quasi-position de monopole de Microsoft est une entrave au libéralisme, mais faire entrave à cette position est également une entrave au libéralisme … (page 115).


    4/ CITATIONS.

    BANQUE
    « Nous aurions du nous battre plus tôt pour la surveillance du secteur bancaire. »
                Michel Camdessus (directeur du FMI), Le Monde, 5/10/98, cité page 81.

    ETATS-UNIS / PRISON
    « La prison est l’allocation chômage américaine. »
                Robert Solow (prix Nobel d’économie 1987), cité page 51.

    EXPERT
    « En économie comme partout, l’expert est le raté ou le paresseux de la profession. Si quelqu’un ne réussit pas quelque part, il peut toujours s’y faire expert, en mobilier, tableaux de maîtres, ou fluctuations boursières. L’expert n’est là que pour justifier celui qui le paye. Seul le falsificateur et l’ignorant, pour des raisons différentes, ont besoin de l’expert. »
                Page 100.

    FMI
    « Tout le monde est d’accord pour dire que la gestion du Fonds est catastrophique. Mais le Fonds reviendra, avec toujours la même recette : laminer les classes moyennes, exploiter les pauvres, payer les riches. »
                Page 72.

    LANGAGE
    « Toutes les théodicées politiques ont tiré parti du fait que les capacités génératives de la langue peuvent excéder les limites de l’intuition ou de la vérification empirique pour produire des discours formellement corrects mais sémantiquement vides. »
                Pierre Bourdieu, Ce que parler veut dire, cité page 94.

    MAIN INVISIBLE
    « La main invisible, ruse hégélienne de la raison, raison dominant la raison des hommes, est un avatar du Saint-Esprit. »
                Page 130.

    MARCHE
    « Je ne sais pas si les marchés pensent juste, mais je sais qu’on ne peut pas penser contre les marchés. »
                Alain Minc, La Mondialisation heureuse, cité page 110.

    NEOLIBERALISME / TIERS-MONDE / ECOLOGIE
    « Les pays sous-peuplés d’Afrique sont largement sous-pollués. La qualité de l’air y est d’un niveau inutilement élevé par rapport à Los Angeles ou Mexico. Il faut encourager une migration plus importante des industries polluantes vers les pays moins avancés. Une certaine dose de pollution devrait exister dans les pays où les salaires sont les plus bas. Je pense que la logique économique qui veut que des masses de déches toxiques soient déversées là où les salaires sont les plus faibles est imparable. »
                Lawrence Summers (ancien chef économiste de la Banque mondiale, conseiller économie de Barack Obama), The Economiste, 08/02/92, cité page 10.

    STATISTIQUES
    « Les fabuleuses statistiques continuaient à couler du télécran. »
                Georges Orwell, 1984.
    [1] Et maintenant la zone euro …
    [2] Walras a été fortement critiqué par Keynes mais aussi par une partie des écoles d’obédience libérale, notamment l’école de Vienne, qui réfute l’intervention d’éléments extérieurs au marché.
    [3] On est frappé de constater comment la plupart de ces économistes mathématiciens semblent négliger les principes du théorème d’incomplétude.
    [4] Dans le concours de beauté de Keynes, on présente des photographies à des concurrents qui doivent noter chacune d’entre elles. Le gagnant doit trouver la note moyenne donnée par l’ensemble des concurrents. Pour Keynes, ce type de jeu, où l’on agit en fonction de ce que l’on croit être l’opinion moyenne ou probable, décrit bien le comportement des marchés boursiers.
    http://loeildebrutus.over-blog.com/2016/01/in-memorian-bernard-maris-lettre-ouverte-aux-gourous-de-l-economie-qui-nous-prennent-pour-des-imbeciles.html

    « L’impôt doit être impersonnel. Ce principe signifie que son prélèvement ne doit pas impliquer des recherches de type inquisitorial sur la vie des personnes. C’est là une exigence tout à fait primordiale si on admet que la finalité ultime de la vie dans une société démocratique est le respect de la personne humaine et son plein épanouissement » 

    Maurice Allais

    faible production = peu d'argent,
    production moyenne = production moyenne d'argent, 
    production abondante = argent abondant, 
    production automatique = argent automatique.

    Le vrai problème, se distribuer les produits surabondants grâce aux robots de plus en plus nombreux et efficaces.

    On finance des guerres avec des milliers de milliards, pourquoi pas la paix avec quelques centaines de milliards ?

    La Suisse, premier pays sans chômeurs et SANS IMPÔTS, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

    PAS DE DéCLARATION FISCALE, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

    Le vrai paradis fiscal, la nique aux enfers fiscaux voisins et éloignés ...

    On comble le trou SURTOUT PAR LE PARTAGE DES Créations Monétaires sans leur destruction automatique comme actuellement, sic, du néant à chaque création de dettes à intérêts composés exponentiels et au néant à chaque remboursement, ...ex nihilo et ad nihilo ... ce qui aggrave les crises...

    Ils doivent nous donner les chiffres des stocks et des flux des créations monétaires, en vertu du principe de la transparence ( Glasnost...). 

    Ces sommes énormes suffiront à couvrir tous nos besoins, publics et privés.

    On peut imaginer que 90 % des biens soient produits par des robots, il faudra bien nous les distribuer avec des tickets faciles à produire, tickets appelés argent...

    En cas improbable d'insuffisance, on peut imaginer une miette,  une MINUSCULE taxe AUTOMATIQUE sur les paiements électronique de plus de 100 mille milliards par année, sic...

    "les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs et de leurs flux. Nous demandons que les banques publient régulièrement leurs créations monétaires totales, leurs stocks et leurs flux, pas uniquement le bilan annuel et le compte de pertes et profits, qui cachent soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite." en haute fréquence, en nano secondes...
    Ils ont actuellement au moins sept manières d'abuser du système.

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/01/creation-monetaire-bancaire-du-neant-ex.html

    Reprise du contrôle des créations et flux monétaires pour le Souverain suisse, des milliers de milliards, chiffres secrets, au moins 3 mille milliards avec les devises, 200 milliards par année, quel enjeu !
    "Il existe de nombreuses manières d'organiser un système bancaire, celle que nous utilisons aujourd'hui est la pire de toutes." - 
    Mervin King, gouverneur de la Banque d'Angleterre du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2013
    La Banque Centrale d'Angleterre, dans son dernier bulletin sorti le 14 mars 2014, démonte consciencieusement les idées fausses qui sont encore largement enseignées dans de nombreux cours d'économie à propos de la monnaie, et les remplace par une description complète de la réalité des faits.


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html

    Switzerland: US Dominion ?

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    UNDERTAKING RELATING TO THE OVERSIGHT OF AFFILIATED MARKETS
    BETWEEN THE U.S. SECURITIES AND EXCHANGE COMMISSION AND
    THE SWISS FINANCIAL MARKET SUPERVISORY AUTHORITY
    Background
    1.
    In December 2007, pursuant to a corporate transaction, Eurex Frankfurt AG ("Eurex") acquired International Securities Exchange Holdings, Inc. ("ISE Holdings") and its wholly owned subsidiary, International Securities Exchange, LLC ("ISE, LLC") ("Acquisition"). Eurex is a wholly owned subsidiary ofEurex ZUrich AG, which is jointly owned and operated by Deutsche Borse AG ("DBAG") and the SIX Swiss Exchange AG ("SWX").
    2.
    In December 2008, ISE Holdings acquired a 31.54% interest in Direct Edge Holdings, LLC ("Direct Edge").
    3.
    SWX is headquartered in ZUrich and operates Switzerland's national stock exchange. It is subject to Swiss law, namely the Swiss Federal Act on Stock Exchanges and Securities Trading, and is supervised by the Swiss Financial Market Supervisory Authority] ("FINMA"). SWX is wholly owned by SIX Group AG. (Eurex ZUrich AG, SWX and SIX Group AG are collectively referred to as ''the Swiss Companies").
    4.
    ISE, LLC is a U.S. national securities exchange registered under Section 6 ofthe Securities Exchange Act of 1934 ("Exchange Act") and subject to oversight by the U.S. Securities and Exchange Commission ("SEC,,).2
    5.
    Direct Edge intends to register its two new wholly-owned subsidiaries, EDGX Exchange, Inc. ("EDGX") and EDGA Exchange, Inc. ("EDGA"), as national securities exchanges under Section 6 of the Exchange Act. Ifthe SEC approves the exchange registrations of EDGX and EDGA, EDGX and EDGA will be subject to oversight by the SEC.
    6.
    As used in this Undertaking, "U.S. Markets" means ISE, LLC, EDGX, EDGA and any national securities exchange registered under Section 6 ofthe Exchange Act that ISE Holdings may, in the future, control, directly or indirectly.3
    On January 1,2009, the Swiss Federal Banking Commission ('SFBC"), the Swiss Federal Office ofPrivate Insurance and the Swiss Anti-Money Laundering Control Authority merged to form FINMA, a new consolidated financial regulator for Switzerland.
    2 On December 12,2007, the SEC and the SFBC signed an Undertaking ("December 2007 Undertaking"), substantially similar to the one herein, relating to ISE, LLC. FINMA is the successor authority to the SFBC with respect to that Undertaking.
    3 In the event that ISE Holdings, in the future, controls, directly or indirectly, additional U.S. securities exchanges that would be covered by this Undertaking ("Future Exchanges"), the SEC will notify FINMA as soon as practicable. The Undertaking will not become effective as to Future Exchanges until appropriate regulatory approvals and new or supplemental corporate resolutions, as necessary, are finalized.
    Access to Information in Switzerland
    7.
    Irrespectiveofthenationality oftheowners ofaU.S.exchange,theSEChasastatutory obligation to oversee a U.S. exchange's compliance with its obligations under the Exchange Act.
    8.
    Persons who control a U.S. securities exchange~ whether foreign or domestic, have committed through their governing documents that, among other things, their books and records related to the activities ofthe exchange are subject at all times to inspection and copying by the SEC and the exchange, are deemed to be the books and records ofthe exchange for pwposes of and subject to oversight pursuant to the U.S. securities laws~ and will be kept in the United States.
    9.
    While the SEC anticipates that it will be able to secure most~ ifnot all, ofthe information it requires directly from the U.S. Markets, it may, from time to time, request that SWX or one ofthe other Swiss Companies provide the SEC with information related to the activitiesofthe U.S. Markets, includingbooks and records related to the activities ofthe
    U.S. Markets.
    10.
    Swiss legal provisions4 may restrict the Swiss Companies~ ability to provide the SEC directly with access to information~ including books and records, related to the activities ofthe U.S. Markets.
    Procedure for Delivery of Information
    11. In orderto facilitate theability ofthe Swiss Companies to meettheirobligations as owners ofa U.S. securities exchangeS in a manner consistent with Swiss law, the SEC and FINMA have developed a procedure by which FINMA undertakes to serve as a conduit for the delivery ofinformation and participate in oral exchanges between the SEC and the Swiss Companies6 ("Procedure"). Pursuant to this Procedure, where necessitated by Swiss law:
    1. Where the SEC makes a request to any ofthe Swiss Companies for information related to the activities ofa U.S. Market, including books and records related to the activities ofsuch U.S. Market, FINMA shall deliver to the SEC without delay any responsive information provided to FINMA by the Swiss Companies;
    4 These legal provisions may include, without limitation, Article 271 ofthe Swiss Penal Code.
    s Commitments by the Swiss Companies, in connection with their involvement in the activities ofthe U.S. Markets, to comply with the U.S. federal securities laws and the rules and regulations thereunder and to cooperate with the SEC will be reflected in binding corporate resolutions.
    6 The Procedure established under this Undertaking covers the Swiss Companies, as well as any other companies incorporated under Swiss Jaw that may become future direct or indirect owners ofthe U.S. Markets.
    2
    11. Written requests for information, including books and records, related to the activities ofa U.S. Market shall be made by the SEC directly to the Swiss Companies, and FINMA will be copied on any such requests; and
    111. A FINMA staffmember shall participate in any oral exchanges between the SEC and any ofthe Swiss Companies.
    12. Notwithstanding this Procedure, the Swiss Companies remain fully responsible for meetingall oftheirobligationsasowners ofaU.S. securitiesexchange,to besetforth in binding corporate resolutions.
    General Cooperation
    13. Through this Undertaking, the SEC and FINMA (collectively, "the Authorities") also express their willingness to cooperate with each other in the interest offulfilling their respective regulatory mandates, particularly in the areas ofinvestor protection, fostering market integrity, and maintaining confidence and systemic stability related to the oversight ofthe U.S. and Swiss markets that become affiliated through a common ownership structure as the result ofthe Acquisition, consistent with, and as permitted by, the laws and regulations that govern the Authorities.
    General Provisions
    14.
    This Undertaking does not create any legally binding obligations, confer any rights, or supersede domestic laws.
    15.
    In orderto enhancethe quality ofcooperation, from time to timerepresentatives ofthe Authorities intend to discuss the scope and operation ofthis Undertaking.
    16.
    This Undertaking will become effective upon approval by SEC Commission order of EDGX's and EDGA's applications for exchange registration.
    17.
    Once it becomes effective, this Undertaking will supersede the December 2007
    Undertaking.
    18.
    Cooperation in accordance with this Undertaking will continue until the expiration of30 days after either the SEC or FINMA gives written notice ofits intent to terminate to the other Authority. Ifeither Authority gives such notice, the Procedure will remain in effect with respect to all requests for information that were made by the SEC to any ofthe Swiss Companies before the effective date ofnotification until the SEC terminates the matter for which assistance was requested.
    3
    Contact Persons
    19. The following are the points ofcontact to this Undertaking:
    i. For FINMA
    Head, II International I Markets I Cooperation Swiss Financial Market Supervisory Authority Einsteinstrasse 2 3003 Berne, Switzerland Tel. 41-31-327 9418 Fax41-31-3279101
    Head, Markets Swiss Financial Market Supervisory Authority Einsteinstrasse 2 3003 Berne, Switzerland Tel. 41-31-327 92 50 Fax 41-31-327 91 01
    11. For the SEC
    Director, Office of International Affairs
    U.S. Securities and Exchange Commission 100 F Street NE Washington DC 20549 Tel. 202-551-6690 Fax. 202-770-9280
    Director, Division ofTrading and Markets
    U.S. Securities and Exchange Commission 100 F Street NE Washington DC 20549 Tel. 202-551-5500 Fax. 202-772-9273
    4
    Signed

     For the United States Securities and Exchange Commission

    Eugen Haltiner Chainnan For the Swiss Financial Market Supervisory Authority

    Urs Zulauf / Head, Strategic and CentiaJ. Services

    For the Swiss Financial Market Supervisory Authority


    https://www.sec.gov/about/offices/oia/oia_bilateral/switzerland_sfbc.pdf

    Débat sur le Revenu de Base au Sénat (19 Mai 2016)

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    faible production = peu d'argent,
    production moyenne = production moyenne d'argent, 
    production abondante = argent abondant, 
    production automatique = argent automatique.


    Le vrai problème, se distribuer les produits surabondants grâce aux robots de plus en plus nombreux et efficaces.

    On finance des guerres avec des milliers de milliards, pourquoi pas la paix avec quelques centaines de milliards ?

    La Suisse, premier pays sans chômeurs et SANS IMPÔTS, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

    PAS DE DéCLARATION FISCALE, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

    Le vrai paradis fiscal, la nique aux enfers fiscaux voisins et éloignés ...

    On comble le trou SURTOUT PAR LE PARTAGE DES Créations Monétaires sans leur destruction automatique comme actuellement, sic, du néant à chaque création de dettes à intérêts composés exponentiels et au néant à chaque remboursement, ...ex nihilo et ad nihilo ... ce qui aggrave les crises...

    Ils doivent nous donner les chiffres des stocks et des flux des créations monétaires, en vertu du principe de la transparence ( Glasnost...). 

    Ces sommes énormes suffiront à couvrir tous nos besoins, publics et privés.

    On peut imaginer que 90 % des biens soient produits par des robots, il faudra bien nous les distribuer avec des tickets faciles à produire, tickets appelés argent...

    En cas improbable d'insuffisance, on peut imaginer une miette,  une MINUSCULE taxe AUTOMATIQUE sur les paiements électronique de plus de 100 mille milliards par année, sic...

    "les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs et de leurs flux. Nous demandons que les banques publient régulièrement leurs créations monétaires totales, leurs stocks et leurs flux, pas uniquement le bilan annuel et le compte de pertes et profits, qui cachent soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite." en haute fréquence, en nano secondes...
    Ils ont actuellement au moins sept manières d'abuser du système.
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/01/creation-monetaire-bancaire-du-neant-ex.html

    Reprise du contrôle des créations et flux monétaires pour le Souverain suisse, des milliers de milliards, chiffres secrets, au moins 3 mille milliards avec les devises, 200 milliards par année, quel enjeu !

    « L’impôt doit être impersonnel. Ce principe signifie que son prélèvement ne doit pas impliquer des recherches de type inquisitorial sur la vie des personnes. C’est là une exigence tout à fait primordiale si on admet que la finalité ultime de la vie dans une société démocratique est le respect de la personne humaine et son plein épanouissement » 


    Maurice Allais

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html


    Sus aux impôts, aux enfers fiscaux. Prospérité et partage

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    « L’impôt doit être impersonnel. Ce principe signifie que son prélèvement ne doit pas impliquer des recherches de type inquisitorial sur la vie des personnes. C’est là une exigence tout à fait primordiale si on admet que la finalité ultime de la vie dans une société démocratique est le respect de la personne humaine et son plein épanouissement » 

    Maurice Allais


    faible production = peu d'argent,
    production moyenne = production moyenne d'argent, 
    production abondante = argent abondant, 
    production automatique = argent automatique.

    Le vrai problème, se distribuer les produits surabondants grâce aux robots de plus en plus nombreux et efficaces.

    On finance des guerres avec des milliers de milliards, pourquoi pas la paix avec quelques centaines de milliards ?

    La Suisse, premier pays sans chômeurs et SANS IMPÔTS, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

    PAS DE DéCLARATION FISCALE, NI POUR LES PERSONNES, NI POUR LES ENTREPRISES.

    Le vrai paradis fiscal, la nique aux enfers fiscaux voisins et éloignés ...

    On comble le trou SURTOUT PAR LE PARTAGE DES Créations Monétaires sans leur destruction automatique comme actuellement, sic, du néant à chaque création de dettes à intérêts composés exponentiels et au néant à chaque remboursement, ...ex nihilo et ad nihilo ... ce qui aggrave les crises...

    Ils doivent nous donner les chiffres des stocks et des flux des créations monétaires, en vertu du principe de la transparence ( Glasnost...). 

    Ces sommes énormes suffiront à couvrir tous nos besoins, publics et privés.

    On peut imaginer que 90 % des biens soient produits par des robots, il faudra bien nous les distribuer avec des tickets faciles à produire, tickets appelés argent...

    En cas improbable d'insuffisance, on peut imaginer une miette,  une MINUSCULE taxe AUTOMATIQUE sur les paiements électronique de plus de 100 mille milliards par année, sic...

    "les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs et de leurs flux. Nous demandons que les banques publient régulièrement leurs créations monétaires totales, leurs stocks et leurs flux, pas uniquement le bilan annuel et le compte de pertes et profits, qui cachent soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite." en haute fréquence, en nano secondes...
    Ils ont actuellement au moins sept manières d'abuser du système.

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/01/creation-monetaire-bancaire-du-neant-ex.html

    Reprise du contrôle des créations et flux monétaires pour le Souverain suisse, des milliers de milliards, chiffres secrets, au moins 3 mille milliards avec les devises, 200 milliards par année, quel enjeu !
    "Il existe de nombreuses manières d'organiser un système bancaire, celle que nous utilisons aujourd'hui est la pire de toutes." - 
    Mervin King, gouverneur de la Banque d'Angleterre du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2013
    La Banque Centrale d'Angleterre, dans son dernier bulletin sorti le 14 mars 2014, démonte consciencieusement les idées fausses qui sont encore largement enseignées dans de nombreux cours d'économie à propos de la monnaie, et les remplace par une description complète de la réalité des faits.
    Nous avons le plaisir de vous présenter le second livre  du triptyque

    Prospérité et partage
    Livre II/III

     




    Auteur : Janpier Dutrieux
    Rubrique : Sciences humaines
    Format : 14,8x21cm (Exlibris)
    Impression : Noir & Blanc
    Pages : 356
    N° ISBN : 979-10-94384-03-9


    Ce livre est disponible en format papier  (20 euros l’unité + port) et en version électronique (5 euros).



    Þ Vous pouvez également consulter quelques extraits de ce livre en vous rendant sur la page de notre site qui lui est consacrée et vous ouvre les liens vers les extraits des chapitres :





    Des déséquilibres économiques et sociaux. De la distribution des revenus aux dérives financières



    Nos économies ont vu leur taille multipliée par six pendant les cinquante dernières années du XXsiècle. Cependant, le modèle sur lequel elles s’appuyaient s’est épuisé dans les dernières décennies.
    Les changes flottants et l’augmentation des échanges internationaux ont singulièrement favorisé les distorsions sociales et les spéculations financières. L’Union européenne construite pour protéger les populations des errances mondiales a déçu. Dans un environnement  de crises du capital, de libre échange, de dettes, de faillite des budgets sociaux et d’excès financiers, la rente asphyxie la cohésion sociale. Confrontée à de nouveaux défis environnementaux, l’économie cherche un nouveau développement.

    Des déséquilibres économiques et sociaux. De la distribution des revenus aux dérives financières est le second livre du triptyque de Prospérité et Partage.  Il s’attache à analyser les altérations et distorsions aussi bien économiques, sociales que financières qui nous invitent à repenser notre modèle de prospérité et de répartition des revenus.

    Un index permet au lecteur de retrouver facilement les personnalités, les expressions et termes techniques mentionnés. L’ouvrage contient de nombreux tableaux statistiques qui facilitent l’étude et la comparaison des données dans le temps et dans l’espace.

    Janpier Dutrieux a travaillé sur les écoles sociales qui, des catholiques sociaux aux socialistes français, ont influencé les doctrines économiques contemporaines. En revisitant les théories et mécanismes économiques d’hier et d’aujourd’hui, il construit un modèle alliant la prospérité et le partage autour du jubilé, du crédit social et de la distribution des revenus et du patrimoine.


    http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html

    Nous avons le plaisir de vous présenter le second livre du triptyque
    Prospérité et partage
    Livre II/III
    Des déséquilibres économiques et sociaux. De la distribution des revenus aux dérives financières
    Auteur : Janpier Dutrieux
    Rubrique : Sciences humaines
    Format : 14,8x21cm (Exlibris)
    Impression : Noir & Blanc
    Pages : 356
    N° ISBN : 979-10-94384-03-9
    Ce livre est disponible en format papier (20 euros l’unité + port) et en version électronique (5 euros).
     A commander sur la page http://www.thebookedition.com/prosperite-et-partage-livre-ii-iii-janpier-dutrieux-p-137483.html
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    http://prosperiteetpartage.free.fr/prosperite-et-partage-livre-ii-des-desequilibres-economiques-et-sociaux-de-la-distribution-des-revenus-aux-derives-financieres.html
    Des déséquilibres économiques et sociaux. De la distribution des revenus aux dérives financières
    Nos économies ont vu leur taille multipliée par six pendant les cinquante dernières années du XXe siècle. Cependant, le modèle sur lequel elles s’appuyaient s’est épuisé dans les dernières décennies.
    Les changes flottants et l’augmentation des échanges internationaux ont singulièrement favorisé les distorsions sociales et les spéculations financières. L’Union européenne construite pour protéger les populations des errances mondiales a déçu. Dans un environnement de crises du capital, de libre échange, de dettes, de faillite des budgets sociaux et d’excès financiers, la rente asphyxie la cohésion sociale. Confrontée à de nouveaux défis environnementaux, l’économie cherche un nouveau développement.
    Des déséquilibres économiques et sociaux. De la distribution des revenus aux dérives financières est le second livre du triptyque de Prospérité et Partage. Il s’attache à analyser les altérations et distorsions aussi bien économiques, sociales que financières qui nous invitent à repenser notre modèle de prospérité et de répartition des revenus.
    Un index permet au lecteur de retrouver facilement les personnalités, les expressions et termes techniques mentionnés. L’ouvrage contient de nombreux tableaux statistiques qui facilitent l’étude et la comparaison des données dans le temps et dans l’espace.
    Janpier Dutrieux a travaillé sur les écoles sociales qui, des catholiques sociaux aux socialistes français, ont influencé les doctrines économiques contemporaines. En revisitant les théories et mécanismes économiques d’hier et d’aujourd’hui, il construit un modèle alliant la prospérité et le partage autour du jubilé, du crédit social et de la distribution des revenus et du patrimoine.

    https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzbVNVbUVWLWZ5T3lka1FkVUxlWmlkTVI2UE9r/view?usp=sharing
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