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Channel: François de Siebenthal
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Channel Details:
  • Title: François de Siebenthal
  • Channel Number: 29893992
  • Language: French
  • Registered On: August 16, 2014, 8:46 am
  • Number of Articles: 2306
  • Latest Snapshot: April 25, 2020, 11:15 am
  • RSS URL: http://desiebenthal.blogspot.com/feeds/posts/default?alt=rss
  • Publisher: https://desiebenthal.blogspot.com/
  • Description: Justice = Pax - Peace - Paz - Paix
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Pour ou contre le «revenu de base» ?

January 5, 2017, 4:58 am
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Après la Finlande, les Pays-Bas, l'Alaska, la Namibie, l'Ontario, le Québec, Lausanne en Suisse etc..., de plus en plus d'expériences sont en cours ...

http://www.liberation.fr/debats/2017/01/03/pour-ou-contre-le-revenu-de-base_1538872

Pour ou contre le «revenu de base» ?

Par Laurent Joffrin — 3 janvier 2017 à 17:06 (mis à jour à 18:40)


C’était une utopie, c’est maintenant un projet. Deux candidats à la primaire socialiste, Manuel Valls et Benoît Hamon, proposent d’instaurer un «revenu de base» alloué sans condition à tous les Français. La Finlande, la région Aquitaine, la ville d’Utrecht aux Pays-Bas, après la Californie ou l’Ontario au Canada, ont décidé d’expérimenter des dispositifs du même ordre. Au Sénat, à l’Assemblée, dans les think tanks de droite ou de gauche, on débat chaudement de la réforme. Le «revenu de base», ou encore «allocation universelle», ou encore «impôt négatif», est désormais entré à part entière dans le débat public.


Pour comprendre le sens de cette mesure qui peut changer la vie des très pauvres et révolutionner à terme l’architecture de l’Etat-providence autant que sa philosophie, on lira avec le plus grand profit le petit livre à la fois engagé et pédagogique du journaliste Olivier Le Naire et de sa fille, Clémentine Lebon, qui en expliquent avec limpidité les enjeux, les risques et les chances (1).


On connaît le principe général : assurer à tout citoyen et à toute citoyenne un revenu minimal, compris entre 500 et 1 000 euros, distribué sans condition aucune, que le bénéficiaire soit riche ou pauvre, qu’il fournisse ou non un travail rémunéré. Fondé sur un principe simple - tout individu, quelle que soit sa situation, a droit à un niveau de vie minimal décent, pour la raison qu’il fait partie de la communauté humaine -, le revenu de base présente deux avantages essentiels : il permet d’éradiquer l’extrême pauvreté qui frappe encore des millions de gens, y compris dans les sociétés riches ; il place les bénéficiaires en meilleure position pour accepter ou non un travail qui leur déplairait ou pour consacrer leur temps et leur énergie à des activités désintéressées, humanitaires, civiques ou créatives. Bien sûr, il suscite de nombreuses questions : s’agit-il de récompenser l’oisiveté, de généraliser «l’assistanat» dénoncé par la droite ? Comment le financer, sachant que sa mise en place supposerait un énorme budget (environ 300 milliards d’euros pour la France) ? Risque-t-on de dévaloriser le travail, qui reste le principal facteur d’intégration dans la société ? A ces interrogations, les auteurs répondent de manière précise et nuancée. La question du financement paraît la plus épineuse.


Pour trouver 300 millions d’euros, il faut intégrer dans le revenu de base d’autres prestations existantes. On risque alors de reprendre d’une main ce qu’on donne de l’autre. Ou bien il faut porter les prélèvements obligatoires à un niveau difficilement supportable. C’est pourquoi les promoteurs du projet estiment qu’il faut procéder par étapes : simplifier, généraliser et augmenter les minima sociaux dans un premier temps (le RSA est inférieur à 500 euros et une partie des bénéficiaires potentiels ne le réclame même pas, sans doute de peur de passer pour des assistés, ou bien par simple ignorance). Puis étendre le système à de nouvelles couches de la population. Tous, en tout cas, prescrivent une période d’essai menée à petite échelle, comme on le fait déjà dans plusieurs villes d’Europe.


Pourtant, avant même qu’on connaisse le résultat des expériences en cours, le revenu de base suscite des oppositions tranchées, à gauche notamment. Etrange réflexe : pour une fois que la gauche dispose d’une utopie concrète, manifestement bénéfique aux classes les plus démunies - en tout cas dans sa première étape, qui consiste à relever le revenu minimum -, on cherche à la discréditer avant même de l’avoir essayée. On trouvera un exemple de ce réflexe conservateur dans un autre livre, signé par des universitaires proches du mouvement Attac et dirigé par Daniel Zamora (2). Un ouvrage farci de références doctrinales qui illustre bien une vieille blague anglaise : «Quand un Britannique juge une idée irréaliste, il dit : "Votre idée est bonne en théorie, mais en pratique elle ne marche pas." Quand c’est un Français, il dit : "Votre idée est bonne en pratique, mais en théorie elle ne marche pas."»


Ainsi procèdent les auteurs de ce pamphlet. Sous prétexte qu’il existe une version libérale de la même idée, appelée «impôt négatif», ils la tiennent pour éminemment louche. Or, il s’agit d’un projet très différent : assurer un filet de sécurité aux plus démunis, mais renvoyer tout le reste de la protection sociale au marché, ce que les promoteurs du revenu de base ne recommandent nullement. Mais cela ne fait rien : dans la gauche sectaire, si un libéral dit qu’il fait jour à midi, il fait nécessairement nuit. Pour Attac, le revenu de base a pour défaut - purement théorique - de ne pas placer l’affrontement capital-travail au cœur du projet, d’offrir aux plus pauvres une compensation au lieu de s’attaquer au système lui-même, bref, de corriger le capitalisme au lieu de contribuer à l’abolir. A suivre ce raisonnement, toute réforme sociale est par nature suspecte, puisqu’elle risque de rendre le capitalisme plus humain et donc de prolonger son existence. Avec la gauche radicale, les pauvres peuvent attendre longtemps : comme en leur nom on demande tout, on est sûr qu’ils n’auront rien. Lecture facultative, donc, sauf pour les idéologues à œillères. Loin de cette cécité volontaire, mieux vaut réfléchir avec les altermondialistes, les écologistes et les réformistes ouverts au moyen d’améliorer la condition des plus défavorisés ici et maintenant et, à terme, de changer de système en donnant aux individus délivrés de l’obligation d’accepter n’importe quel travail, serait-ce le plus mal payé et le plus dur, la capacité de mieux choisir leur vie.


(1) Le Revenu de base, Actes Sud, 158 pp., 18 €.

(2) Contre l’allocation universelle, Lux, 112 pp., 10 €.

Laurent Joffrin

Le Conseil Communal de Lausanne accepte le postulat pour une expérience pilote dans la perspective du revenu de base inconditionnel (RBI)

Déposé le 6 octobre 2015 par le conseiller communal feu Laurent Rebeaud, le postulat demandant une étude sur la faisabilité et l’opportunité d’une expérience pilote dans la perspective du revenu de base inconditionnel a été accepté par le Conseil Communal de Lausanne mardi 12 avril 2016. Défendu par Léonore Porchet, présidente des Verts lausannois et conseillère communale, ce postulat permet à la Ville de Lausanne de faire office de commune pionnière en matière de politique sociale.
Le Conseil Communal de Lausanne s’adresse ainsi à la Municipalité afin de mettre sur pied un projet pilote, en faveur d’un échantillon de citoyens actuellement au bénéfice du revenu d’insertion. L’objectif de cette expérience est de vérifier l’un de postulats du RBI étayé par des sondages, selon lequel les bénéficiaires du RBI consacrent leur disponibilité nouvelle à la recherche d’un emploi salarié, dans l’activité d’une activité socialement utile ou dans entrepreneuriat.
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http://initiative-revenudebase.ch/blog/2016/04/12/experience-pilote-lausanne/
INFORMATION COMPLÉMENTAIRE
PDF :
  • Postulat de Laurent Rebeaud
  • Intervention parlementaire de Léonore Porchet
  • Dossier d’information Initiative RBI
Sites :
  • Campagne suisse pour le Revenu de base Inconditionnel
  • rbi-oui.ch
  • bien.ch
Contact :
  • Léonore Porchet, Présidente Verts lausannois, 079 350 67 43, leonore.porchet@verts-vd.ch
  • Ralph Kundig, Président BIEN.ch, Coordinateur romand Initiative RBI, 076 378 70 01, ralph.kundig@rbi2016.ch
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Rappel: Jeu de la monnaie à La Chaux de fonds en Suisse, près de Dijon

January 6, 2017, 4:37 am
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Mathieu Despont vous invite au Jeu de la monnaie




Jeu de la monnaie - La Chaux de fonds


samedi 7 janvier 2017 à 14:00 



Café de l'Universà La Chaux-de-Fonds





François de Siebenthal: Jeux des monnaies

desiebenthal.blogspot.com/2016/12/jeux-des-monnaies.html

5 déc. 2016 - Ainsi, on pourra inviter des gens à d'autres soirées jeu de la monnaie. Je ne te cache pas qu'on va faire une nouvelle soirée à Lausanne en ...

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François de Siebenthal: Qui crée la monnaie ?

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15 déc. 2016 - Obsolescence programmée: Liens avec la monnaie: Résumé L'obsolescence programmée ... François de Siebenthal: Création monétaire bancaire du néant, Ex .. ...... Ai-je participé excessivement à des jeux d'argent?

Comprendre monnaie-pleine par le jeu ! Tu veux apprendre en t ...

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François de Siebenthal
9 nov. 2016 - Comprendre monnaie-pleine par le jeu ! Tu veux apprendre en t'amusant ? Lejeu de la monnaie est fait pour toi ! Je t'invite donc à une soirée jeu. En 4 petits jeux ...

Jeu de la monnaie | Facebook

https://www.facebook.com/jeudelamonnaie/

Le jeu de la monnaie permet en 4 fois 12 minutes d'expérimenter 4 ... François de Siebenthal, Sel-alternative Monde, Christine Roullé and 3 others like this.

L'initiative sur la «Monnaie pleine» en douze questions - Le Temps

https://www.letemps.ch/economie/2014/06/.../initiative-monnaie-pleine-douze-questio...

3 juin 2014 - Le texte en faveur d'une «Monnaie pleine» vise la réforme complète du système ... Parmi ses soutiens, on trouve François de Siebenthal, économiste HEC .... «Les entreprises ne jouent pas lejeu de la préférence indigène» ...

Journal | Monnaie-pleine, Vollgeld, Moneta intera | Forum social ...

https://fsm2016.org/fr/groupes/monnaie-pleine-vollgeld-moneta-intera/

Administrateurs. Illustration du profil de François de Siebenthal · Logo du groupe Monnaie-pleine, Vollgeld, Moneta intera. Organisation Groupe Public Actif il y a ...

Jeux des monnaies Salut Comment ça va depuis de notre jeu de la ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/dPtCCQ2QyGu

François de Siebenthal
5 déc. 2016 - Salut Comment ça va depuis de notre jeu de la monnaie ? De mon côté, j'ai fait un montage avec les vidéos que j'ai faites durant la soirée. Voici donc le jeu de la ...

Comprendre monnaie-pleine par le jeu !

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François de Siebenthal
20 nov. 2016 - Comprendre monnaie-pleine par le jeu !

François de Siebenthal - rssing.com

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François de Siebenthal: Propriétaires de la fausse monnaie . ...... journalières, plus d'œuvres nobles, moins de travaux ..... 4 jeux différents autour de l'argent!

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Le revenu universel en dix questions

January 7, 2017, 5:56 am
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C’est le sujet du moment aussi en France et dans le monde. Au cœur de la primaire à gauche, le revenu universel est aussi défendu par certains responsables de droite. Le point sur cette proposition qui transcende les clivages politiques.

http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/0211661410966-le-revenu-universel-en-dix-questions-2055232.php

Régulièrement, comme une vieille rengaine, le revenu universel - que l'on appelle aussi revenu de base ou encore revenu minimum garanti - s'invite dans le débat public. Cette fois, plusieurs candidats de la primaire à gauche en ont intégré le principe dans leur programme. Un Benoît Hamon et un Arnaud Montebourg, pourtant sur le même créneau politique, allant même jusqu'à en faire leur principale différence.
Mais cette mesure s'est aussi retrouvée dans les programmes de certains candidats de la primaire de la droite, ou encore dans les propositions d'un think tank libéral comme Génération Libre. Les Echos font le point sur "ce dernier truc à la mode" - pour reprendre l'expression de François de Rugy, candidat à la primaire de la gauche pour le Parti écologiste - qui transcende les clivages politiques.

De quoi parle-t-on ?

Chaque mois, une somme fixe de plusieurs centaines d'euros est versée à chaque citoyen "quels que soient leurs revenus ou leur situation professionnelle" sans "besoin de justifier une recherche d'emploi ni de travailler en échange", précise la définition du Mouvement pour un revenu de base . Cette somme serait par ailleurs versée dès la naissance de l'individu jusqu'à sa mort. C'est pourquoi on parle de revenu universel et inconditionnel. Il s'agit de lutter contre la grande pauvreté en offrant à chacun suffisamment pour pouvoir subvenir à ses besoins basiques de survie.

D'où vient l'idée ?

On en trouve la première esquisse dans l'Utopie de Thomas More, publiée au début du XVIe siècle. Mais sa première formulation concrète a été avancée durant la Révolution française par le philosophe et député Thomas Paine, en 1795, dans « Justice agraire ». L'originalité du concept est qu'il fait du revenu de base un droit et non plus une charité, au même titre que les droits figurant dans la Déclaration des droits de l'homme, qu'il a défendue avec ferveur. Pour autant, il ne s'agit pas, dans son esprit, de lutter contre les inégalités, comme le prouve cette phrase emblématique de Thomas Paine : "je me fiche que certains soient très riches, du moment que personne n'est devenu pauvre en conséquence".



Une illustration réalisée pour la première édition du livre de Thomas More, écrit en latin, dans laquelle figure la première esquisse d\'un revenu universel. - Wikipedia
Une illustration réalisée pour la première édition du livre de Thomas More, écrit en latin, dans laquelle figure la première esquisse d'un revenu universel. - Wikipedia

L'idée est-elle de gauche ou de droite ?

Les deux ! Comme en témoigne la diversité des politiques qui s'en sont emparés. Si, du fait de son caractère social, l'idée paraît faire partie du corpus idéologique de la gauche, on la retrouve tout autant sous la plume de libéraux convaincus, voire de libertariens.
Car ces derniers y voient principalement une manière de simplifier les aides d'Etat, voire de les faire disparaître (et l'Etat providence avec elles), tout en responsabilisant l'individu. Le très libéral Milton Friedman défend ainsi en 1962 un impôt négatif - un montant fixe versé par l'Etat à tout individu dont les revenus sont trop bas - en échange de la suppression des minima sociaux et d'un impôt proportionnel.

Qui le propose aujourd'hui ?

Concrètement, seuls Yannick Jadot (EELV), Benoît Hamon (PS) et Jean-Luc Benhamias (Front démocrate) proposent un « véritable » revenu universel. Mais plusieurs candidats avancent des systèmes qui s'en inspirent. Manuel Valls, qui en a d'abord récupéré l'idée, avance maintenant un « revenu décent », qui se rapproche assez de l'allocation unique défendue par François Fillon.
Ce dernier propose un revenu réservé aux personnes déjà éligibles aux aides sociales et plafonné à 75% du Smic. Mais l'idée avait aussi séduit Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Frédéric Poisson pendant la primaire à droite. Aux élections européennes de 2014, c'est Christine Boutin qui en défendait l'idée. Trois ans plus tôt, Dominique de Villepin s'en était lui aussi emparé.

En 2011, Dominique de Villepin avançait l'idée d'un "revenu citoyen"


Qui en profiterait ?

Selon l'idée de départ, un revenu universel et inconditionnel s'adresse donc à tous, depuis la naissance jusqu'à la mort, sans condition de ressources. Dans les faits, les bénéficiaires varient selon les candidats : pour les puristes, comme Yannick Jadot ou Benoît Hamon, ce serait effectivement le cas. Pour d'autres, Manuel Valls ou François Fillon, il ne concernerait que les plus démunis âgés de plus de 18 ans.

Combien cela coûterait-il ?

Selon la fondation Jean Jaurès , qui a rédigé un rapport sur le sujet en mai dernier, un revenu de base universel et inconditionnel de 500 euros coûterait 336 milliards d'euros à l'Etat, 504 milliards pour 750 euros par mois et 675 milliards pour 1 000 euros, selon les trois scénarios étudiés.
Le chiffrage des candidats séduits par cette idée s'avère moins précis. Jean-Luc Benhamias, du Front démocrate, souhaite verser 800 euros par mois à chacun pour environ 300 milliards par an. Benoît Hamon, qui est à gauche le candidat le plus en pointe sur la question, veut d'abord verser 535 euros (le RSA-socle) puis progressivement monter jusqu'à 750 euros. Le tout pour 300 à 600 milliards d'euros. Manuel Valls, dont le projet s'adresse seulement aux personnes dans le besoin, veut verser 800 à 850 euros pour 30 milliards par an.

En 2014, Christine Boutin défend un "revenu de base"


Comment le financer ?

Il existe autant de méthodes pour le financer que d'économistes qui en défendent l'idée. Sans en privilégier une, le site du mouvement pour le revenu de base recense les principales méthodes existantes, qui vont de l'universalisation et la revalorisation du RSA à la redistribution de la rente pétrolière, en passant par le financement par l'impôt sur le patrimoine ou encore la transformation du mécanisme de la création monétaire.
A droite, c'est principalement la rationalisation du système des allocations qui séduit, accompagnée d'une "flat tax" (un impôt à taux unique), comme ce que proposait Nathalie Kosciusko-Morizet durant la primaire. A gauche, la simplification du système d'aide s'accompagne généralement d'une taxation plus importante sur les hauts revenus et le patrimoine, la lutte contre l'évasion fiscale ou encore la suppression de niches fiscales. Benoît Hamon propose par exemple de taxer le travail des robots.

Les Français en veulent-ils ?

Sur la question, les Français sont partagés. Deux sondages réalisés en mai dernier par BVA et Ifop donnent un avantage aux partisans du revenu de base (respectivement 51% et 60%). Ces enquêtes montrent que les personnes interrogées y sont favorables notamment parce que cela permet de simplifier le système d'allocations. A l'inverse, un sondage réalisé en novembre par Opinion-Way donne un résultat inverse (60% des sondés y sont opposés). A noter que le 5 juin dernier, les Suisses ont nettement rejeté (76,9 %) l'idée lors d'une votation populaire.

Quels sont les principaux arguments pour/contre ?

A droite comme à gauche, la lutte contre la pauvreté et la simplification sont les arguments les plus souvent avancés. Mais suivant le positionnement sur l'échiquier, la philosophie n'est pas la même. Les mouvements les plus à gauche y voient par exemple le moyen de rediriger la force de travail vers les productions locales ou le bénévolat, plutôt que vers les grandes entreprises, les citoyens n'étant plus tenus de travailler pour subvenir à leurs besoins vitaux. Milton Friedman raisonne différemment : pour lui, un revenu universel peu élevé, accompagné de la fin des minima sociaux, permettrait surtout de flexibiliser le marché du travail.
Les détracteurs du revenu de base dénoncent notamment son coût - à l'image d'Arnaud Montebourg qui parle d'un projet "irréalisable" - mais aussi un système qui pousserait à l'assistanat et détruirait la valeur travail - plus personne ne voudrait travailler avec un revenu assuré, sans contrepartie. Dans un autre registre, certains assurent qu'il tirerait les salaires vers le bas ; d'autres soutiennent que ce nouveau dispositif attirerait plus d'immigrés dans l'Hexagone.



Le très libéral Milton Friedman est à l\'origine d\'une proposition sur le revenu de base qui, selon lui, permettrait de flexibiliser le marché du travail. - AP PHOTO/AP/SIPA
Le très libéral Milton Friedman est à l'origine d'une proposition sur le revenu de base qui, selon lui, permettrait de flexibiliser le marché du travail. - AP PHOTO/AP/SIPA

Où cela a-t-il été testé ?

Parmi les pionniers, on compte la ville de Dauphin, au Canada. Les plus pauvres de ses 10.000 habitants ont reçu entre 1974 et 1979 une allocation fixe qui a laissé un souvenir positif en terme d'opportunités offertes. Depuis un an, la 4e plus grosse ville des Pays-Bas, Utrecht, verse à 300 citoyens au chômage et bénéficiaires des minimas 900 euros par mois. D'autres villes doivent suivre l'expérience. On compte aussi des expérimentations aux Etats-Unis et en Inde, auprès de populations particulièrement pauvres. Les résultats montrent que ces populations ont fait un usage très pragmatique des sommes qui leur ont été versées, notamment en s'achetant du matériel agricole pour pouvoir cultiver.
Dernier en date, la Finlande teste depuis le premier janvier 2017 le dispositif auprès de 2.000 personnes âgées de 25 à 58 ans et tirés au sort parmi des bénéficiaires des allocations chômage. Ils recevront 560 euros par mois pendant deux ans. Même s'ils retrouvent du travail entre temps, ils continueront à recevoir cette allocation alors qu'actuellement à partir de 400 euros de revenu, ils sont privés de l'allocation chômage. Il s'agit de tester l'incitation au travail d'un tel dispositif.
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Allais : psychologie en monnaie

January 8, 2017, 5:07 am
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 Il faut faire sauter tous les bouchons et distribuer l'abondance aujourd'hui possible pour tous les êtres humains, ce qui stabilisera les migrants partout dans le monde !
Si l'argent est liquide pour tous comme de l'eau courante avec au moins un RBi ( Revenu ou dividende de base inconditionnel ou universel...), plus besoin de grands réservoirs putrides ni de politiques stupides de rigueurs, d'austérités, de manques et de raretés qui font peur  et qui sont des échecs horribles partout !

L'argent est à l'économie ce que l'eau ou le sang est à l'être humain.


http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html




Allais : psychologie en monnaie


Cet article (d’avril-mai 2009) a été publié en pages 113-126 sous le chapitre 6 du livre collectif« Maurice ALLAIS et la science économique » aux édition Clement Juglar en 2010.
* * *
Psychologie et Monnaie : de la critique de l’Utilité espérée à l’approche « héréditaire, relativiste et logistique » de Maurice Allais qui a révolutionné la Théorie de la Dynamique monétaire in Maurice Allais et la Science économique, sous la direction de Arnaud Diemer, Jérôme Lallement, et Bertrand Munier (pp.113-126), Clément Juglar, Paris, mai 2010.

Psychologie et Monnaie (1) : de la Critique de
l’ “Utilité Espérée” à l’approche
“Héréditaire, Relativiste et Logistique” de Maurice Allais (2),
qui a révolutionné la Théorie de la Dynamique Monétaire.



Par Philippe Bourcier de Carbon

″Toutes les sciences ont progressé lorsque, au lieu de se quereller sur les premiers principes, on a commencé à s’attacher aux résultats. L’expérience montre que les opinions des gens “compétents” sont souvent tout à fait incompatibles avec les réalités, et que l’histoire des sciences est l’histoire des erreurs des gens “compétents”. Pour ce qui est de la “vérité” d’une théorie, nul autre critère ne peut être invoqué que sa concordance avec les faits. Entre deux théories, nous choisirons celle qui demeure au plus près de la réalité.″
Vilfredo Pareto


″As regards the criticism raised an in the last analysis, it would seem that the better the results of a theory, the more doubtful they should be considered. “Too good to be true”, such is the principle to which finally the scientific philosophy of the critics of the hereditary and relativistic theory seems to boil down. If science were based on this criterion, the best theories of physics, such as Newton’s theory of gravitation or Planck’s theory of quanta, would have to be rejected. But, as it would seem, the results of the commonly accepted theories are “too bad to be untrue”.″
Maurice Allais, 1986 {15b} p.37.


″Факти упрямая Вешь !″
Vladimir Illyitch Oulianov-Lénine, 1905 in Что делать ?



INTRODUCTION : De la Valeur à l’Utilité et à la critique de l’Utilité Espérée


La quête de rationalité recelée par les comportements humains, la recherche de normes de conduite devant l’appréciation de l’incertain, de l’aléatoire, ou du différé, comme la passion de rendre compte des comportements collectifs n’ont pu manquer de placer dès l’origine l’introspection et la psychologie positive au cœur des réflexions fondatrices de la Science Économique.
Science des échanges et des lois de de la coopération organisée entre les hommes, l’Économie soulève d’abord en effet, implicitement ou explicitement, la question du processus de la formation ou de la perception de la « Valeur » au sein d’un groupe humain, notion centrale, seule à même de saisir la finalité des comportements.

Depuis la publication du célèbre essai de Pierre Nicole La Logique ou l’Art de Penser, les mathématiciens et philosophes du XVIIème (Pascal, Fermat, Huyghens, Jacob Bernoulli…) avaient fait émerger peu à peu à partir de la notion de fréquence, le concept de Probabilité, puis celui d’Espérance mathématique et de « Valeur » d’un jeu de hasard. On sait comment, de Jacob Bernouilli à Karl Friedrich Gauss et Pierre Simon Laplace, du XVIIIème au XIXème siècle, cette démarche débouchera sur la découverte fondamentale de la Loi Normale des écarts ou Loi des grands nombres qui bouleversera définitivement le champ des Sciences.

Les travaux des philosophes utilitaristes anglais et écossais du XVIIIème siècle (Hume, Bentham…), avaient ouvert la voie à l’émergence de la notion d’Utilité économique, approche rationnelle et opérationnelle de la notion de Valeur économique, qui fut largement explorée au XIXème siècle par les marginalistes anglo-saxons et autrichiens (Stanley Jevons, Francis Edgeworth, Böhm-Bawerk, Von Wieser…), et fut surtout généralisée et systématisée par le Professeur de Lausanne, Vilfredo Pareto.

Or, dans le prolongement des réflexions sur la notion de conduite rationnelle face à l’incertain, à la suite des réflexions des « Lumières » et des mathématiciens du XVIIIème siècle (d’Alembert, Montmort, Nicolas et Daniel Bernoulli…), Daniel Bernoulli avait dû introduire, dès 1763, la notion d’Espérance morale (adoptée et généralisée au XIXème siècle par Pierre Simon Laplace) pour lever le Paradoxe de Saint Petersbourg, en proposant une règle de décision rationnelle pour le cas d’un jeu de pile ou face à l’Espérance mathématique théoriquement infinie, par la prise en compte de la fortune totale du joueur.

La rationalisation de la décision économique face au risque et à l’incertain procédait ainsi de la rencontre, devenue naturelle et inévitable, entre ces notions d’Utilité et d’Espérance morale : les travaux de John Von Neumann, l’inventeur de la Recherche Opérationnelle appliquée aux opérations navales du second conflit mondial, associé à Oskar Morgenstern, avaient en effet, dès avant les années 1950, étendu la théorie des jeux à l’Économie. Et, dans la ligne de ces réflexions, ce sera spécifiquement l’objet des essais de l’École américaine du début des années 50, avec M. Friedman, P. Samuelson, L. Savage, J. Marschak, que de tenter de fonder et de théoriser la notion d’Utilité Espérée.


LA RÉFUTATION PAR LA PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE : l’« Allais’ Paradox » (1952)


En France, le jeune Maurice Allais, ancien élève de l’École Polytechnique venait tout juste de publier son magistral « Économie et Intérêt » {3}, où il se montrait le disciple résolu de Vilfredo Pareto. Issu du corps de Ingénieurs de Mines, il avait déjà publié en 1943 un ouvrage de plus de 1.500 pages « À la Recherche d’une Discipline Économique », lequel, d’emblée, l’avait propulsé parmi les plus grands noms de l’économie de l’époque, et lui vaudra, 45 ans plus tard, à l’âge de 77 ans, d’être, enfin, le premier Français distingué par le Prix Nobel d’Économie. C’est alors que notre jeune économiste devait intervenir de manière décisive dans le débat sur l’Utilité Espérée ouvert par l’École américaine, en organisant à Paris en 1952 un colloque du CNRS sur le Risque, et en obtenant les participations de Paul Samuelson, de Milton Friedman, de Jacob Marschak, de Léonard Savage, de Bruno de Finetti, entr’autres.

Dédaignant en effet les délices et subtilités des appareils mathématiques, Maurice Allais porta alors d’emblée la réflexion au cœur de l’axiomatique, explicite ou implicite, qui fondait la théorie de l’Utilité Espérée proposée par l’École américaine, pour la réfuter victorieusement en mettant en évidence, à l’épreuve de l’expérience, son caractère artificiel et arbitraire, voire même, dans certaines configurations, entièrement contraire à la psychologie humaine effective {4} et {5}.

De fait, cherchant toujours, dans sa volonté de pragmatisme, à faire prévaloir les faits d’expérience face aux théoriciens anglo-saxons, Maurice Allais conçoit, à l’occasion de ce colloque ainsi devenu historique, des batteries de loteries simples ou conditionnelles, aux espérances mathématiquement équivalentes, auxquelles il soumet ses collègues présents au Congrès. Ce sont ces loteries, restées célèbres depuis lors, qui ont révélé expérimentalement des comportements psychologiques échappant systématiquement à l’axiomatique néo-Bernoullienne poposée par l’École Anglo-saxonne.

À peine la théorie de l’Utilité Espérée venait elle d’être considérée comme fermement établie par l’Establishment de la Science économique, que le désormais fameux « Allais’ Paradox » la ruinait en effet, en faisant apparaître que, contrairement à cette théorie, les comportements réels s’avéraient systématiquement déviés par un facteur psychologique proche de la préférence pour la sécurité au voisinage de la certitude {6}.

Cet effet, connu et enseigné depuis 50 ans outre-Atlantique, bien que toujours largement ignoré en France, hormis des initiés, a bouleversé depuis lors la théorie de la décision face au risque, et Maurice Allais en a déduit une généralisation au cas du Risque des conditions de l’Équilibre général, ainsi qu’une reformulation de son approche de l’efficacité économique maximale.

À 41 ans Maurice Allais venait ainsi, dès 1952, « de poser les bases d’un nouveau domaine de recherche » en introduisant les facteurs psychologiques dans l’analyse des décisions en incertitudes, et tout spécialement sous la forme de vérifications expérimentales, tant, malgré tout, force finit toujours par rester au vieil adage : Contra factum non valet argumentum !… {1}.

Mais notre économiste n’allait pas tarder à effectuer une nouvelle percée majeure dans le domaine de la psychologie collective expérimentale des sociétés, à l’intime des processus réels de l’économie.


LA PSYCHOLOGIE AU CŒUR DES PHÉNOMÈNES MONÉTAIRES : 
La reformulation Héréditaire, Relativiste et Logistique (HRL) de la théorie quantitative {9} à {10bis}.


Depuis 1952 la méditation sur les lois psychologiques sous-jacentes aux notions de Valeur et d’Utilité économiques ne devait plus quitter les réflexions de notre économiste, singulièrement à propos des thèmes concernant la théorie du Capital, la théorie de l’Intérêt, et bien sûr, la théorie de la Dynamique monétaire.

On sait que, pour ce qui est de la monnaie, les diverses écoles économiques se sont distinguées à partir de leurs interprétations divergentes de l’équation comptable de base de la théorie quantitative de la monnaie :

MV = PQ = D


Cette équation en effet n’exprime qu’une simple identité comptable, à savoir qu’au cours d’une période de temps donnée, la masse M des signes monétaires immédiatement mobilisables (et mobilisés) pour réaliser une transaction, multiplié par la vitesse moyenne V de circulation de l’unité monétaire (qui est aussi l’inverse de la durée moyenne T, entre la recette et la dépense, de rétention d’une unité monétaire) n’est autre que l’ensemble des transactions Q réalisées au cours de la période, valorisées aux prix P obtenus correspondants, volume financier QP qui représente également la Dépense globale D réalisée au cours de la période.

Les série statistiques économiques et monétaires disponibles fournissent des évaluations régulières de la masse monétaire en circulation M(t), ainsi que des taux de croissance annuels, trimestriels ou mensuels p(t) et q(t) de l’indice des prix et de la production : p = dP/Pdt et q = dQ/Qdt.

Les données statistiques disponibles présentent aussi ordinairement les séries historiques des revenus nationaux R(t) dont le taux d’expansion dR/Rdt peut être assimilé à celui de la dépense globale D(t) :

dR/Rdt = dD/Ddt


Les annuaires statistiques fournissent donc les taux de croissance du Revenu national R(t), tels que :

dR/Rdt = x(t) = dD/Ddt = p(t) + q(t)


Au cours des hyperinflations historiques, la production reste quasiment constante (q ~ 0), tandis que les prix s’envolent, et par conséquent, au cours de ces périodes le taux de croissance de la dépense globale D(t) est pratiquement équivalent à celui des prix : x(t) ~ p(t).

Par ailleurs, dans la pratique, les comportements psychologiques des agents économiques face à la monnaie les conduisent à désirer détenir à l’instant t un certain volume d’Encaisses monétaires, ou Encaisses désirées, en vue de réaliser leurs transactions, c’est à dire à formuler une Demande de Monnaie MD(t) peu différente de la monnaie effectivement disponible, M(t) :      MD(t) ~ M(t)

Dès 1953, Maurice Allais s’emploie à construire un modèle explicatif de cette demande de monnaie MD(t), qui puisse être corroboré par la confrontation avec les séries statistiques disponibles {7} et {8}.

Pour cela il est d’emblée amené à chercher à expliquer l’Encaisse Désirée Relative de monnaie, ou proportion ΦD(t) de la Dépense globale D(t) que les agents désirent détenir sous forme de monnaie :

MD  =  DΦD   (ΦD>0)


Maurice Allais commence en effet par constater que cette variable ΦD qui constitue aussi l’inverse de la vitesse désirée de circulation VD de l’unité monétaire, ou encore la durée moyenne désirée TD de rétention de l’unité monétaire entre recettes et dépenses, n’est autre que la variable d’ajustement qui traduit la psychologie collective devant le signe monétaire du groupe confronté à la réalité de la dépense globale D(t) du moment.
C’est donc cette psychologie collective qu’il s’agit de déchiffrer.

Pour ce faire, il constate ensuite que seule la dépense globale D(t) du moment constitue la contrainte objective, l’invariant psychologique sur lequel seront ancrées les appréciations collectives de la situation face à la monnaie, et que ces appréciations psychologiques ne pourront ainsi manquer d’être directement tributaires du taux d’expansion x de cette dépense globale :  

x = dD/Ddt


Mais l’intuition première qui ne cessera depuis les années 50 de guider Maurice Allais, et qu’il ne cessera de confronter avec les séries statistiques de l’histoire monétaire des XIXème et XXème siècles, consistera à considérer que cette attitude psychologique collective ne peut que procéder d’un effet de mémoire collective, consciente ou inconsciente, des expériences passées de la société face aux taux de variation x de cette même dépense globale D : c’est l’approche « Héréditaire » de la dynamique monétaire {7b} et {8b}.

L’approche Héréditaire de la dynamique monétaire.

Cherchant à synthétiser le plus directement possible cet effet de mémoire collective des taux passés d’expansion de la Dépense globale, Allais construit un indicateur Z(t) — qu’il baptise « Coefficient d’expansion psychologique » — basé sur la somme, jusqu’à l’instant t, des taux d’expansion passés x(t), déflatés par une fonction d’oubli de taux d’oubli instantané χ(t) qui pondère en fonction exponentielle de leur fraîcheur l’effet actuel du souvenir de ces taux passés sur l’attitude psychologique présente de la collectivité face à la monnaie.

Cette définition héréditaire du Coefficient d’expansion psychologique Z(t) conduit à l’équation différentielle qui traduit son caractère héréditaire, en exprimant que son accroissement instantané dZ n’est autre que l’accroissement relatif x(t)dt de la dépense globale D(t) diminué de l’oubli χ(t)Z(t)dt de Z(t), ce qui s’écrit :

dZ = (x – χZ)dt                  (1 : Équation Héréditaire) (3)


Le cas très particulier et tout théorique de la dynamique monétaire stationnaire, c’est à dire le cas où la Dépense globale D(t) ne dépend plus du temps, c’est à dire encore le cas où les taux d’expansion x restent toujours nuls, ne peut bien sûr manquer de constituer le terme de référence des distorsions de la psychologie collective face à la monnaie, qu’Allais cherche à modéliser, puisque ces dernières ont alors disparu, et que le « Coefficient d’expansion psychologique » Z s’est alors, évidemment, annulé lui aussi : Z0 = 0.

Il notera ainsi Φ0  l’Encaisse Désirée Relative de monnaie constante, qui n’est autre que la durée moyenne désirée constante T0 de rétention de l’unité monétaire entre recettes et dépenses, adoptée par la collectivité dans ce cas du régime monétaire stationnaire, terme de référence des distorsions de la psychologie collective ; et de même il notera χ0 la valeur, alors constante elle aussi, du taux d’oubli instantané χ(t) de la fonction d’oubli de la collectivité ainsi placée dans un tel environnement monétaire stationnaire.

Il ressort dès lors de cette démarche, qu’à tout moment t, les rapports ΦD(t)/Φ0 (= TD(t)/T0) ou encore χ0/χ(t), ne traduisent plus que les seules distorsions psychologiques héréditaires pures de la collectivité face à la monnaie, et que par suite, ils ne constituent plus que des fonctions psychologiques pures du seul Coefficient d’expansion psychologique héréditaire Z(t) à l’instant t.

La dimension Relativiste de la dynamique monétaire

Maurice Allais complète alors {9b} et {10} son approche Héréditaire des phénomènes monétaires par une hypothèse Relativiste portant sur l’existence d’une échelle de temps psychologique collectif (t’).
Partant en effet du constat que
« sur le plan économique l’échelle du temps ne peut être évidemment la même pour les opérateurs exerçant au cours d’une période de stabilité des prix, et pour ceux qui doivent décider lors d’une période où les prix changent d’heure en heure, comme ce fut le cas au cours de l’hyperinflation allemande de 1923 » {10b},
il en conclut qu’il doit donc exister une échelle de temps de la psychologie collective (t’), propre aux phénomènes monétaires, qui peut être définie, par rapport au temps physique ou historique (t) en formulant l’hypothèse Relativiste de la constance de l’oubli par unité de temps psychologique t’.
Ainsi cette hypothèse naturelle de la Relativité du temps (t’) de la psychologie collective s’exprime par la relation :

χ(t)dt = χ0dt’, ou dt’ = [χ(t)/χ0]dt,

qui conduit à l’invariance dans le temps des produits :

χ(t)TD(t) = χ0T0    ou encore    χ(t)ΦD(t) = χ0Φ0.


L’hypothèse Relativiste de Maurice Allais revient donc à admettre à tout moment t la proportionnalité de la vitesse de circulation de l’Encaisse désirée VD(t) avec le taux d’oubli instantané χ(t), et dès lors la formulation Héréditaire et Relativiste de la théorie quantitative de la monnaie conduit à écrire à tout instant t :

ΦD/Φ0 = χ0/χ = Ψ(Z) = TD/T0     avec    Ψ0 = Ψ(0) = 1            (2 : Équation Relativiste)


La durée moyenne désirée TD de rétention de l’unité monétaire entre recettes et dépenses se réduisant lorsque l’expansion s’accélère, la fonction psychologique héréditaire et relativiste Ψ(Z), ne peut être qu’une fonction monotone décroissante en Z.

Le caractère Logistique de la dynamique monétaire

Enfin, pour achever de spécifier sa modélisation de l’attitude psychologique collective de la société face à la monnaie, Maurice Allais formule la troisième hypothèse fondamentale de son approche, l’hypothèse de l’effet psychologique Logistique sur l’Encaisse désirée relative {9c}, {10d} et {10bis.b}, en postulant que le taux d’expansion de l’Encaisse Désirée Relative : dΦD/ΦDdt = dΨ/Ψdt  correspond à l’accroissement instantané du Coefficient d’expansion psychologique dZ/dt, multiplié par un facteur proportionnel à l’écart relatif entre cette Encaisse désirée relative et son maximum, supposé déterminé et fini. Cette hypothèse, qui exprime un effet de saturation de la fonction de distorsion psychologique Ψ(Z) pour les valeurs extrêmes de l’indicateur psychologique Z, conduit à écrire pour cette fonction psychologique Ψ(Z) l’équation suivante :

dΦD/ΦDdt = dΨ/Ψdt = – α[(ΨM – Ψ)/ΨM]dZ/dt  où  0<Ψ<ΨM        (3 : Équation Logistique)


dont la solution Ψ(Z) est la fonction logistique à deux paramètres (α > 0, b > 0) en Z :

Ψ(Z) = (1 + b)/[1 + beαZ]    où    ΨM  = (1 + b)


Maurice Allais confronte alors {10c} son modèle HRL, dépendant a priori de trois paramètres positifs α, b, et χ0, et construit autour des trois équations qui expriment le plus naturellement possible les trois hypothèses qui fondent son approche Héréditaire, Relativiste et Logistique de la psychologie collective face à la monnaie, avec les données historiques de quinze séries temporelles réelles des XIXème et XXème siècles concernant la France, les États-Unis et la Grande-Bretagne, ainsi que les sept hyperinflations suivantes observées sous des régimes fort différents :
  • Allemagne (1919-23),
  • Autriche (1921-22),
  • Grèce (1941-44),
  • Hongrie I (1921-24),
  • Hongrie II (1945-46),
  • Pologne (1921-24),
  • URSS (1922-24).

La confrontation systématique de son modèle HRL, dépendant des trois paramètres positifs α, b, et χ0, avec toutes les valeurs disponibles des données historiques réelles, conduit Maurice Allais à adopter la forme la plus simple possible pour la fonction logistique Ψ(Z), en conférant du même coup un statut universel dans le temps et dans l’espace à la relation entre les encaisses désirées relatives ΦD(Z) et le coefficient d’expansion psychologique Z — c’est-à-dire en énonçant une sorte de loi universelle de la psychologie collective des sociétés humaines — par l’énoncé de trois nouveaux postulats qui déterminent les valeurs universelles de ces trois paramètres positifs α, b, et χ0.

Postulat asymptotique

Maurice Allais énonce d’abord son postulat asymptotique : pour les très grandes valeurs de Z, et donc lorsque la fonction logistique Ψ(Z) devient très faible, comme du reste la durée moyenne désirée TD de rétention de l’unité monétaire qui lui est proportionnelle, situation caractéristique de la fin des hyperinflations, pour lesquelles l’effet héréditaire disparaît dans les comportements, seul comptant alors la situation de l’heure, le taux d’accroissement de l’encaisse désirée dΦD/ΦDdt (= dΨ/Ψdt) en vient à prendre une valeur postulée directement équivalente à l’opposé de l’accroissement instantané du coefficient d’expansion psychologique ( –dZ/dt).
Compte tenu de l’équation logistique 3, ce postulat fixe à l’unité la valeur du paramètre α : α = 1

Postulat de symétrie psychologique conjoncturelle autour de la stationnarité

Il poursuit par l’énoncé de son postulat de symétrie psychologique conjoncturelle : autour de la stabilité, pour laquelle le coefficient d’expansion psychologique est nul (Z = 0), l’intensité du comportement différentiel des opérateurs est postulée être identique pour les accroissements, comme pour les réductions, dZ du coefficient d’expansion psychologique, ce qui entraîne que la dérivée dΨ/dZ soit une fonction paire de Z au voisinage de Z = 0 (état stationnaire).
Ce postulat exige la valeur unité pour le paramètre b : b = 1 , le point Z = 0 et Ψ(0) = 1 , caractérisant l’état stationnaire, devenant dès lors le centre de symétrie de l’unique Loi logistique universelle décroissante Ψ(Z) qui traduit la distorsion psychologique collective déterminant dans toutes les sociétés humaines l’encaisse désirée relative en fonction du coefficient d’expansion psychologique Z :

Ψ(Z) = 2/[1 + eZ]  donc :  Ψ<2 em="" nbsp=""> (4 : Loi logistique universelle de distorsion psychologique)2>


Postulat de symétrie psychologique temporelle générale

Enfin Maurice Allais, propose son dernier postulat, qui élargit encore la portée de son approche HRL de la psychologie collective des sociétés, en énonçant son postulat de symétrie psychologique temporelle générale : les opérateurs économiques sont supposés tenir compte du passé dans leurs décisions comme il tiennent compte de l’avenir, postulat qui identifie le taux d’oubli instantané χ(t) au taux d’intérêt psychologique instantané i(t) :

χ(t) ≡ i(t) .


En conséquence, à partir des données financières de bonnes qualités portant sur la période 1880-1956 aux États-Unis, Maurice Allais établit une première évaluation de la valeur i0 = χ0 à environ 5% par an, ou 0,004 par mois (4), correspondant à la valeur universelle du taux d’intérêt psychologique instantané ou du taux d’oubli instantané en période de stabilité (Z = 0).

Du reste, une telle valeur du taux instantané d’oubli lors d’un régime monétaire stationnaire χ0, donc en l’absence de distorsion psychologique (Z = 0), de 0,004 par mois, correspond à un taux d’oubli quasi-total de la part des acteurs économiques (d’environ 99%) de la situation prévalant un siècle auparavant, soit une disparition totale de la mémoire collective au bout d’une période couvrant trois générations.
En fait la période moyenne θ0, dont la société tient habituellement compte (5) en pratique, consciemment ou non, dans ses décisions en l’absence de distorsions psychologiques (Z0 = 0), couvre environ les 20 dernières années (= 1/χ0) pour un taux d’intérêt ou d’oubli à l’équilibre i0 = χ0 = 0,004 par mois, soit environ 5% par an.

Mais la logistique universelle Ψ précise aussi alors que les taux psychologiques χ(t) ≡ i(t) ne peuvent être inférieurs à i0/2, soit à 0,002 par mois, c’est à dire que les taux d’intérêt psychologique instantanés restent supérieurs à 2,5% l’an, ce qui entraîne que la période prise compte en pratique par les collectivités humaines, pour le futur comme pour le passé, ne saurait en fait excéder 40 ans.

Cet horizon psychologique maximum correspond, aujourd’hui en France, à l’espérance de vie d’un homme de 36 à 37 ans, et d’une femme de 40 à 41 ans.

L’approche HRL de Maurice Allais propose ainsi — par l’énoncé de ses trois derniers postulats — de reconnaître un même modèle permanent et universel de psychologie collective à l’œuvre derrière les comportements historiques des sociétés humaines face à la monnaie réellement observés.

Ce modèle universel est alors synthétisé, par la loi logistique de distorsions psychologiques (équations n°4 et 3) d’une part, et par la loi héréditaire (équation n°1) d’autre part, qui est ainsi devenue :

dZ/dt = x(t) – 0.002[1 + eZ]Z


avec (en raison de l’équation relativiste 2 et de la fonction psychologique universelle 4) :

ΦD = Φ0Ψ(Z) = 2Φ0/[1 + eZ]


Les valeurs des masses monétaires (comme celles des autres éléments de la dynamique monétaire, tels les vitesses de circulation, les taux de croissance du revenu national, ou les mouvements des taux d’intérêt…) calculées selon ce modèle HRL universel, proposé par Maurice Allais, s’avèrent {2} étonnamment proches des valeurs des séries temporelles des masses monétaires réelles publiées dans les annuaires des XIXème et XXème siècles des différents pays, une fois estimées les valeurs Φ0 correspondantes, et une fois calées les valeurs initiales Z1 du coefficient Z, de telle sorte que soient pour chaque série rendues minimum les sommes des carrés des différences entre les logarithmes des valeurs calculées M* et ceux des valeurs réelles correspondantes des séries M réelles.

Or, une fois estimées pour chaque série les deux valeurs optimum de Φ0  et ZI, le calcul de la série des valeurs M*(t), à partir des séries réelles des revenus nationaux R(t) des annuaires (ou des P(t) dans le cas des hyperinflations pour lesquelles on ne dispose plus des séries R(t)), demeure totalement indépendant des séries des masses monétaires réelles M(t). Les processus d’ajustements du modèle HRL universel de Maurice Allais aux séries monétaires historiques réelles ne recèlent donc aucune circularité, et les coïncidences extraordinaires entre les séries calculées par le modèle universel HRL et les séries historiques réelles ne peuvent que contraindre tout esprit scientifique de bonne foi à s’interroger sur la réalité et l’universalité du phénomène de psychologie collective que ce modèle HRL de Maurice Allais met ainsi en lumière, comme l’illustre l’échantillon des deux graphiques joints en annexe.

Les coïncidences des séries calculées par l’approche HRL, à partir de l’estimation des deux seuls paramètres Φ0  et ZI, avec les séries temporelles historiques apparaissent en effet d’autant plus spectaculaires, si l’on considère que les plages des valeurs des séries réelles peuvent être d’ordres de grandeur très divers : ainsi, sur la période 1918-1941, l’indice du revenu national des États-Unis a évolué entre les valeurs 1,68 et 2,84 , alors que l’indice des prix a varié de 15 à 1,09.109 de décembre 1919 à octobre 1923 au cours de l’hyperinflation allemande, et même de 105 à 4.1029 (chiffre astronomique) de juillet 1945 à juillet 1946, au cours de celle de Hongrie.

Ces résultats démontrent que les sociétés, placées dans des contextes très divers, en situations courantes ou plongées dans l’hyperinflation, sous régimes capitalistes ou communistes, se comportent de la même façon, aujourd’hui comme par le passé, face à la monnaie, ce qui souligne bien l’existence de structures, invariantes dans l’espace et dans le temps, de la psychologie collective des sociétés face aux signes monétaires.

Vilfredo Pareto avait déjà du reste fait apparaître de telles structures permanentes de la psychologie collective en énonçant sa célèbre loi de répartition des revenus dans les sociétés.


VERS UNE THÉORIE GÉNÉRALE DE L’ACTUALISATION :Au cœur de la psychologie des comportements économiques  {11}, {12}, {13}, {14} et {15}.


L’identité formelle de l’expression mathématique de l’hypothèse Héréditaire (équation 1) de son approche, avec celle de la valeur actuelle capitalisée V(t) d’un flux de revenus instantanés futurs r(t), lorsque l’on inverse le sens du temps, dt devenant –dt , invitait par ailleurs Maurice Allais à énoncer son postulat de symétrie psychologique temporelle générale, assimilant le taux d’oubli instantané χ au taux d’intérêt psychologique instantané i .

Pour le vérifier aisément, il suffit en effet d’exprimer que l’accroissement instantané dV de cette valeur actuelle capitalisée n’est autre que l’excès de l’intérêt instantané au taux i(t) produit par cette valeur actuelle capitalisée i(t)V(t)dt sur le revenu non capitalisé instantané r(t)dt attendu, ce qui s’écrit :

dV = (iV – r)dt   soit   dV = (r – iV)dτ   si τ = -t   (1’ : Équation d’actualisation)


En identifiant ainsi le taux d’intérêt i(t) au taux d’oubli χ(t), distordu par les effets de la valeur Z(t) prise par le coefficient d’expansion psychologique de la collectivité, Maurice Allais pose les fondements d’une théorie générale de l’actualisation psychologique du passé ou de l’avenir au sein des sociétés, c’est à dire d’une théorie temporelle de la valeur, encore à expliciter entièrement.

En dévoilant la nature psychologique profonde de l’intérêt, il refonde la théorie de l’intérêt qui n’est plus ontologiquement réduit à la seule valeur d’équilibre du marché de l’épargne, comme l’affirmait John Maynard Keynes.
Bien au contraire, Maurice Allais la renouvelle entièrement {12b} en soulignant que ce sont précisément les écarts des valeurs du taux d’intérêt psychologique instantané, lequel fonde la perception collective de l’intérêt, avec celles des taux d’intérêt observés sur les marchés financiers de court et de long termes, qui jouent un rôle dynamique, dès lors explicitable, dans l’évolution de ces marchés, et donc de l’économie.

Ce faisant, Maurice Allais refonde, sur l’expérience des séries temporelles historiques, l’intuition de Ludwig Von Mises qui soutenait que
« l’intérêt n’est pas d’abord le prix payé pour la disposition du capital, mais qu’à l’inverse, c’est le phénomène psychologique qui génère l’intérêt qui explique pourquoi des méthodes de production moins consommatrices en temps sont mises en œuvre en dépit du fait que des méthodes plus consommatrices en temps de travail pourraient être d’un meilleur rendement..(..)..L’intérêt n’est pas plus le moteur de l’épargne, qu’il n’est la récompense ou la compensation pour une consommation différée, c’est le rapport d’appréciation des biens futurs en termes de biens actuels. Le marché des capitaux ne détermine pas le taux d’intérêt : il ajuste seulement le taux d’intérêt des prêts au taux originaire d’appréciation des biens futurs en termes de biens actuels » {12c}.

C’est donc, pour Maurice Allais, comme pour Ludwig Von Mises, le processus psychologique collectif de l’actualisation qui fonde en réalité l’intérêt, et non l’inverse.

Du reste, coefficient d’expansion psychologique Z, qui peut être aisément calculé à tout instant dans une économie, fournit une mesure de l’appréciation collective de la conjoncture.

Il est donc certain que le calcul systématique de cet indice dans tous les pays développés, apporterait un très grand progrès dans les analyses, comme dans les prévisions économiques, et serait d’un grand secours pour les autorités dans leur définition des politiques appropriées.

Ainsi par exemple, les écarts entre les séries des volumes M observés et M* calculés par le modèle HRL de la masse monétaire, reflètent les écarts entre les encaisses détenues M et désirées MD.
Or cet écart (M – M*) = (M – MD), qu’Allais appelle le « gap » joue un rôle décisif, inflationniste ou déflationniste, dans la dynamique monétaire, car il demeure, en première approximation proportionnel, à l’accroissement instantané de la dépense globale D(t) :

dD = λ(M – M*)dt  [10, p.144].


La détermination systématique de ce « gap » est donc susceptible d’éclairer très utilement les décisions des banques centrales, dans leurs politiques monétaires.

Par ailleurs, l’approche HRL de la dynamique monétaire de Maurice Allais peut être appliquée au marché d’un bien quelconque, et en particulier aux marchés boursiers et financiers. Les trois principales hypothèses, héréditaires, relativistes et logistiques de cette approche sont en effet aisément transposables à de telles études, en calculant des indices d’expansion psychologique convenables pour les marchés étudiés.

Quoique l’on puisse penser par ailleurs du « pouvoir d’explication » des phénomènes monétaires qu’apporte l’approche HRL de Maurice Allais, le fait demeure que cette approche met bel et bien en lumière des permanences numériques extraordinaires recelées par les séries statistiques monétaires réellement observées et publiées, et que le temps finira bientôt certainement par venir, en dépit de l’opiniâtreté des résistances, où, pour mener leurs analyses, les économistes entreprendront aussi couramment des calculs d’effets de mémoire que des calculs classiques d’actualisation {15c}.


L’HÉRITAGE ACTUEL DE L’« ALLAIS PARADOX » DANS LE CHAMP DE LA SCIENCE ÉCONOMIQUE : Daniel Kahneman, Prix Nobel 2002.


Si l’approche HRL de Maurice Allais — en dépit de son efficience éclatante face aux données observées, et bien que fort bien connue de ses pairs — n’a toujours pas, depuis près de quarante ans, rencontré la reconnaissance officielle qu’elle mérite, ses travaux sur les facteurs psychologiques collectifs des comportements économiques, ont en revanche — singulièrement depuis que l’« Allais paradox » est régulièrement enseigné dans les universités anglo-saxonnes — fécondé les recherches des économistes anglophones.

C’est ainsi qu’en 2002, l’Académie Royale de Suède a distingué l’œuvre du Professeur de Princeton et de l’Université de Jérusalem Daniel Kahneman
« pour avoir intégré dans les sciences économiques des aperçus provenant du champ de la recherche en psychologie, tout spécialement en ce qui concerne la formation du jugement humain et la prise de décision dans un environnement incertain »
en lui décernant le Prix Nobel de Sciences Économiques particulièrement pour la théorie des perspectives, base de la finance comportementale, ce prix étant partagé cette année là avec le Professeur Vernon L. Smith de l’Université George Mason de Virginie.

Par ses travaux menés depuis la fin des années 70 avec Amos Tversky et d’autre psychologues, le Professeur de Princeton a en effet développé l’économie comportementale (Behavioral Economics) et a apporté des prolongements à la théorie des jugements et des décisions en univers incertain.

Comme le souligne l’analyse de ses apports publiée par la Revue d’Économie Politique (6), la théorie des perspectives s’inscrit comme une théorie subjective de l’Utilité Espérée, en tentant de renouveler le débat sur le sujet de l’Utilité Espérée après la réfutation expérimentale de l’axiomatique initiale de cette théorie révélée par l’ Allais’ Paradox.


CONCLUSION : La malfaisance cynique et désinvolte d’un silence consensuel.


Voici en effet plus de quarante ans que Maurice Allais a publié, à 55 ans, son modèle HRL universel de psychologie collective face à la monnaie qui a révolutionné la dynamique monétaire {9d}, {10e} et {10bis.c}.

Voici plus de trois décennies qu’il n’a cessé de publier régulièrement des articles sur le sujet dans les grandes revues de l’establishment anglo-saxon de la Science économique, en ayant, dans leurs colonnes, toujours fourni tous éclaircissements demandés, et répondu publiquement, et chaque fois victorieusement, aux critiques dont il a pu être l’objet de la part de ses collègues les plus éminents… En vain, semblerait-il ?

Car depuis plus de 40 ans aucune reconnaissance publique de la percée HRL, décisive dans l’analyse des mécanismes de la psychologie collective des sociétés devant la monnaie, ne lui a été rendue à ce jour par la communauté des économistes.

À la faveur de ce silence convenu, l’approche HRL de Maurice Allais est désormais couramment, mais clandestinement, mise en œuvre par les bureaux d’analyse des banques centrales des grands pays, par ceux des grandes compagnies d’assurances, comme par les grands cabinets qui interviennent sur les marchés financiers.

Maintenir un silence officiel sur l’approche HRL de Maurice Allais, offre ainsi l’avantage de conserver ces clés incomparables d’analyses des marchés monétaires et financiers hors du champ des études universitaires, et donc d’en conserver le monopole en les confisquant à l’usage exclusif de clubs d’initiés. On peut comprendre tout l’intérêt d’une telle discrétion.

Mais, bien mieux encore, le silence de la communauté des économistes se prolongeant sur le sujet, en France, comme à l’étranger, il arrive même à présent que l’on puisse lire, dans les colonnes des grandes revues d’Économie, des analyses où l’auteur en vient à s’approprier cyniquement tel ou tel point fort et original de l’approche HRL de Maurice Allais, sans aucune référence sur l’origine de son inspiration… Est-ce ainsi désormais que carrières et réputations devraient donc se construire ?

Aujourd’hui en 2009, Maurice Allais, qui s’astreint à pratiquer encore la natation et l’exercice quotidien, demeurant ainsi dans une santé enviable, s’acharne à poursuivre la publication de son œuvre (7) — dans l’indifférence, semble-t-il, de ses collègues français et étrangers — à raison d’un livre de près d’un millier de pages tous les deux ou trois ans.
Il va aujourd’hui sur ses 98 ans, et les dernières tables de mortalité du moment en France publiées par l’INSEE ne lui accordent plus qu’une espérance de vie de l’ordre de 3 ans à peine…

Décidément, l’establishment scientifique de l’économie semblerait être devenu autiste à propos de Maurice Allais, ou serait-ce que, plus encore que d’autres milieux professionnels (8), il serait devenu désormais parfaitement indifférent au scandale ?

Il est vrai que les hommes exceptionnels ont toujours beaucoup dérangé….

Philippe Bourcier de Carbon,
président de l’AIRAMA


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Pour en savoir plus, références bibliographiques

               {1} Maurice Allais : Site internet « Maurice Allais » : http://allais.maurice.free.fr
               {2} Maurice Allais : « Fondements de la dynamique monétaire. », 1.302 pages, Clément Juglar, Paris, mai 2001
               {3} Maurice Allais : « Économie et Intérêt. », première édition : 2 volumes, 800 pages Imprimerie Nationale, Paris, 1947, deuxième édition avec une Introduction (pp. 19-265), ainsi que des Appréciations (111 pages), Clément Juglar, Paris, 1998.
               {4} Maurice Allais : « Le comportement de l’Homme Rationnel devant le Risque. Critique des Postulats et Axiomes de l’École Américaine. », Économetrica, octobre 1953, pp.503-546.
               {5} Maurice Allais : « La Psychologie de l’Homme Rationnel devant le Risque. La Théorie et l’Expérience (sondage sur la psychologie du risque. », Journal de la Société de Statistiques de Paris, janvier-mars 1953, pp. 47-73.
               {6} Maurice Allais : « Expected Utility Hypothesis and the Allais Paradox ; Contemporary Discussions of Decisions under Uncertainty with Allais’ Rejoinder. », Maurice Allais and Ole Hagen Editors, Reidel Publishing Company, DordRecht, 1979, 714 pages.
               {7}{7b} Maurice Allais : « Illustration de la Théorie des Cycles Economiques par des Modèles Monétaires non Linéaires. », Communication au Congrès Européen de la Société d’Économétrie, Innsbrück 1953. Résumé publié dans Économetrica, janvier 1954, pp. 116-120.
               {8}{8b} Maurice Allais : « Explication des Cycles Économiques par un Modèle Monétaire non Linéaire à Régulation Retardée. », Mémoire présenté au Congrès Européen de la Société d’Économétrie, Uppsala 1954. Metroéconomica, volume VIII, avril 1956, Fascicule 1, pp. 4-83.
               {9}{9b}{9c}{9d} Maurice Allais : « Des Effets Héréditaires et de la Relativité du Temps dans les Sciences Sociales. Application à la Théorie des phénomènes Monétaires. », Mémoire remis au Centre National de la Recherche Scientifique, Paris, 31 décembre 1963, 1.300 pages.
               {10}{10b}{10c}{10d}{10e} Maurice Allais : « Reformulation de la Théorie Quantitative de la Monnaie. », SEDEIS, Paris, septembre 1965, 186 pages.
               {10bis}{10bis.b}{10bis.c} Maurice Allais : « A Restatement of the Quantity Theory of Money. », American Economic Review, Vol. LIV, n°5 Décembre 1966, pp. 1123-1256.
               {11} Maurice Allais : « Forgetfulness and Interest. », Journal of Money, Credit and Banking, février 1972, pp. 40-71.
               {12}{12b}{12c} Maurice Allais : « The Psychological Rate of Interest. », Journal of Money, Credit and Banking, août 1974, pp. 285-331.
               {13} Maurice Allais : « La Formulation Héréditaire et Relativiste de la Demande de Monnaie et du Taux d’Intérêt. », Conférence et Séminaire des 5 et 6 mai 1980, Département d’Économétrie de l’Université de Genève, reproduits dans « Fondements de l’Analyse Monétaire et Conjoncturelle », V, pp. 105-177, Allais, ENSMP, Paris 1980.
               {14} Maurice Allais : « A New Empirical Approache of the Hereditary and Relativistic Theory of the Demand for Money. », in Articole in Memoria di Tullio Bagiotti, A. Agnati, D. Cantarelli, et A. Montesano, edit., Rivista Internazionale di Scienze Economiche e Commerciali, Oct.-Nov. 1985, n°10-11, pp. 905-948.
               {15}{15b}{15c} Maurice Allais : « The Empirical Approaches of the Hereditary and Relativistic Theory of the Demand for Money : Results, Interpretation, Criticisms, and Rejoinders. », Economia della Scelte Pubbliche, Journal of Public Finance and Public Choice (Fondazione Luigi Einaudi), 1986, pp. 3-83.
               {16} Philippe Bourcier de Carbon : « Maurice Allais, Prix Nobel d’Économie 1988 », Revue des Deux Mondes, janvier 1990, pp. 91-105.
               {17} Philippe Bourcier de Carbon : « Enjeux économiques, financiers et éthiques dans les sociétés modernes vieillissantes : Quelques pistes de réflexion« , Communication au Colloque Enjeux financiers et Éthique du 6 novembre 2002, CNAM, CNPF, CCEF, numéro spécial de Finance et Gestion, (à paraître), Paris, Mai 2003.







[1] Les numéros placés entre accolade { } renvoient aux références bibliographiques.
[2] Cf. {2}.
[3] Dont la solution est :   équation
[4] Exactement 4,87% : cf. Maurice Allais : « The Influence of the Capital Output Ratio on the Real National Income«  Économétrica, octobre 1962, p.714.
[5] Valeur moyenne pondérée du temps t, déflaté par un taux d’oubli instantané correspondant à 0,004 par mois.
[6] Christian Gollier, Denis J. Hilton, Eric Raufaste : “Daniel Kahneman et l’analyse de la décision face au risqué”, REP, 113 (3) mai-juin 2003.
[7] Une association internationale de personnalités scientifiques françaises et étrangères s’est du reste constituée pour l’aider dans cette tâche : l’AIRAMA Alliance Internationale pour la Reconnaissance des Apports de Maurice Allais en Physique et en Économie :
le site de Maurice Allais : http://allais.maurice.free.fr/
le site de présentation de l’AIRAMA et de ses objectifs : http://allais.maurice.free.fr/AIRAMA/Qui.htm
http://allais.maurice.free.fr/AIRAMA/objectifs.htm
[8] Maurice Allais, qui est aussi un très grand physicien — ce qui fait de lui un économiste toujours beaucoup plus soucieux des faits d’obsevation et des enseignements de l’expérience que de la théorie — a, après des difficultés réellement bien étranges, obtenu finalement de l’Académie des Sciences la publication de trois Communications au CRAS dans le domaine de la Physique :
  • – Communication du 23 Janvier 1997 : « Des régularités très significatives dans les observations interférométriques de Dayton C. Miller 1925-1926« .
  • – Communication du 26 Avril 1999 : « Nouvelles régularités très significatives dans les observations interférométriques de Dayton C. Miller 1925-1926« .
  • – Communication du de Décembre 2000 : « L’origine des régularités constatées dans les observations interférométriques de Dayton C. Miller 1925-1926 : variations de température ou anisotropie de l’espace ?  » Dans cette communication, Maurice Allais réfute toutes les critiques qui ont pu être faites sur les travaux de Miller, depuis Shankland (1955) jusqu’à nos jours.
Parallèlement à la publication de ses trois communications exceptionnelles dans le Bulletin des Compte-rendus de l’Académie des Sciences, Maurice Allais a publié, aux Éditions Clément Juglar à Paris, en mars 1997, un ouvrage de physique de 757 pages, sous le titre « L’Anisotropie de l’espace : La nécessaire révision de certains postulats des théories contemporaines. Tome I les données de l’expérience », ouvrage qui DEVAIT susciter les commentaires, remarques ou critiques des professionnels de la Physique, mais qui – là encore – n’a rencontré depuis plus de dix ans qu’un silence convenu et hostile… Décidément… !

http://combats-maurice-allais.info/allais-psychologie-en-monnaie/




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Sortir du Franc CFA !

January 8, 2017, 3:10 pm
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Description de la vidéo :

"Ajoutée le 8 janv. 2017 Le fervent activiste KEMI SEBA et sa ONG Urgences Panafricanistes menacent de boycotter les produits Français si les résolutions de sortie du CFA ne sont pas écoutées.

”La France ne peut pas permettre que ces ancien colonies crée leur propre monnaie pour avoir le contrôle total sur leur Banque centrale. Si cela se produit, ce sera une catastrophe pour le trésor public qui pourra entraîner la France au rang de 20 ème puissance économique mondial. Pas question de laisser les colonies française d’Afrique avoir leur propre monnaie ”

Nicolas Sarkozy lors d’une interview sur BFMTV en janvier 2016

La meilleure manière de détruire un pays c’est de détruire sa monnaie. La meilleure manière de réduire un peuple en esclavage, c’est de contrôler sa monnaie.

Les Africains ne cesseront de se plaindre des affres du système économique occidental et le FCFA qui leurs ont été imposé par les carcans de l'impérial colonial occidental des Rothschild.

Il est temps pour les Africains de développer des THÉORIES ÉCONOMIQUES KMT et de sortir du FCFA maintenant!!!"


Des 3.000 courriels du serveur de courriels privé de Hillary Clinton, rendus publics fin décembre 2015, près d'un tiers venait de son confidant intime Sydney Blumenthal, l'aide des Clinton, qui est devenu notoirement connu lorsqu'il a témoigné contre Monika Lewinsky. Dans un de ses courriels [11], daté du 2 avril 2011, on peut lire:

Le gouvernement de Qaddafi détient 143 tonnes d'or et un montant similaire en argent.... Cet or avait été accumulé avant la rébellion actuelle et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie pan-africaine basée sur le Dinar d'or libyen. Ce projet visait à offrir aux pays francophones africains, une alternative au franc français (CFA)

Sur la source de cette information, le courriel dit:

Selon des gens bien informés cette quantité d'or et d'argent représente plus de 7 milliards de dollars. Des fonctionnaires des services secrets français ont découvert ce projet peu après le début de la rébellion actuelle et cela a été un de facteurs qui ont influencés la décision du président Nicolas Sarkozy d'engager la France dans l'attaque sur la Libye. Selon ces personnes les plans de Sarkozy's sont motivés par les motifs suivants:

Un souhait d'obtenir une plus grande partie de la production de pétrole libyenne,
Augmenter l'influence française en Afrique du Nord,
Améliorer sa situation politique interne,
Offrir une opportunité aux militaires français de réaffirmer leur rôle dans le monde,
Répondre aux soucis de ses conseillers sur les projets à long terme de Qaddafi, pour remplacer la France comme pouvoir principal en Afrique francophone

Remarquablement absent est toute mention sur des soucis humanitaires. Les objectifs sont l'argent, le pouvoir et le pétrole.
D'autres confirmations explosives dans les courriels récemment rendus publics sont détaillées par le journaliste d'investigation Robert Parry. [12] Elles comprennent des admissions de crimes de guerre, d'entraîneurs d'opérations spéciales à l'intérieur de la Libye presque dès le début des protestations, et d'Al Quaeda intégré dans l'opposition soutenue par les États-Unis. Des thèmes-clef de propagande pour l'intervention violente sont reconnus n'être que des rumeurs. Parry suggère qu'ils pourraient bien émaner de Blumenthal lui-même. Ils comprennent l'accusation bizarre que Qaddafi avait une "politique de viols" comprenant la distribution de Viagra à ces troupes, une accusation que l'ambassadice des Nations Unies, Susan Rice, utilisait ultérieurement dans une présentation de l'ONU. Parry demande rhétoriquement:

Pensez-vous qu'il serait plus facile pour l'Administration d'Obama d'obtenir du support américain pour ce "changement de régime", s'il explique comment les Français veulent voler les richesses de la Libye et maintenir leur influence française néo-coloniale sur l'Afrique - ou est-ce que les Américains réagiraient mieux à des thèmes de propagande sur Gaddafi distribuant du Viagra à ses troupes pour qu'ils puissent mieux violer des femmes, pendant que ses tireurs d'éilite ciblent des enfants innocents? Bingo!
Renverser le schéma des finances globales

La tentative menaçante de Qaddafi pour établir une monnaie africaine indépendante n'était pas prise à la légère par les intérêts occidentaux. En 2011, Sarkozy aurait appelé le chef libyen une menace pour la sécurité financière mondiale. [13] Comment ce petit pays de six millions d'habitants pouvait poser une menace pareille? D'abord quelques informations d'arrière plan.
Ce sont les banques, et non pas les gouvernements, qui créent la plus grande partie de l'argent dans les économies occidentales, comme la Banque d'Angleterre confirmait récemment. [14] Cela se fait depuis des siècles par un processus appeléprêter avec une "réserve fractionnelle". A l'origine, ces réserves étaient de l'or. En 1933 le président Franklin Rooseveldt remplaçait l'or domestiquement par des réserves créées par la banque centrale, mais l'or restait la monnaie de réserve internationale.
En 1944 le Fond Monétaire International et la Banque Mondiale étaient crées à Bretton Woods, à New Hampshire, pour unifier ce système créé par les banques mondialement. Une règle du FMI disait qu'aucun argent en papier ne pouvait avoir de support d'or. Un approvisionnnement en argent, créé de façon privée comme une dette à intérêts, exige un approvisionnement en débiteurs continuel. Et durant la demie-siècle suivante la plupart des pays en développement se retrouvaient endettés envers le FMI [15]. Ces prêts venaient avec des conditions attachées, comprenant des politiques de "réformes structurelles" avec des mesures d'austérité et la privatisation des biens publics.
Après 1944 le dollar des EU était négocié de façon interchangeable avec de l'or comme monnaie de réserve. Et lorsque les États-Unis n'étaient plus capables de maintenir le soutien d'or de leur dollar, ils concluaient un accord avec l'OPEC pour soutenir le dollar avec du pétrole, créant le "pétro-dollar". Le pétrole ne serait vendu qu'en dollars, qui seraient déposés dans des banques de Wall Street et dans d'autres banques internationales.
En 2001, mécontent de la valeur diminuante des dollars que l'OPEC recevait pour son pétrole, Saddam Hussein d'Irak rompait l'accord et vendait du pétrole en euros. Un changement de régime suivait rapidement, accompagné de la destruction massive du pays.
En Libye, Qaddafi rompait l'accord également, mais il faisait plus que vendre son pétrole dans une autre monnaie.
Comme le bloggueur Denise Rhyne [16] détaille ces développements:

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016_03_01_archive.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/12/monnaies-pleines-centralisation-ou.html

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Lausanne: initiation à la permaculture.

January 9, 2017, 2:54 am
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Lausanne Cycle d’initiation à la permaculture – 

Soirée d’introduction mardi 14 mars à 19:00 - 22:00, 

Lausanne, Av. JJ Mercier 3, 

1003 

https://www.facebook.com/events/233379337097676/


021 311 50 46
info@polesud.ch


Congo: expériences

Des légumes produits localement, c'est de l'argent qui pousse.


Le Congo est très riche en tout, trop riche peut-être...


Commençons par de petites réalisations faciles à copier, pour le bien commun.

Comment démarrer par exemple un potager en permaculture

Un potager en permaculture est conçu de manière à imiter la nature du point de vue de la croissance des végétaux et de l'interaction entre les espèces. Aucun engrais ni pesticide n'est utilisé. Le potager en permaculture est composé de plantes indigènes, exploite la lumière du soleil et les ressources en eau de manière optimale, sur une surface souvent plus réduite que le potager traditionnel. Les principes de base de la permaculture étant de ne pas endommager l'écosystème et de s'appuyer sur les lois de la Nature, on obtient en conséquence des jardins extrêmement diversifiés et qui nécessitent relativement peu de soins.

Voici la création d'une butte autofertile à la façon canadienne, technique utilisée en permaculture.

Étapes

1
Se familiariser avec les plantes indigènes, les insectes et animaux de votre région.

2
Observer l'orientation de la parcelle à cultiver par rapport au soleil, aux vents et la quantité de lumière reçue.
3
Lister les plantes choisies et les regrouper en fonction de leurs besoins en lumière, en eau, et de leur sensibilité aux insectes.
4
Créer une ou plusieurs bordures. Les bordures sont des périmètres de terre surélevés de 15 à 30 cm. Elles ont un impact minimal sur le jardin car elles permettent de ne pas directement cultiver le sol, ce qui en épuiserait les éléments nutritifs. Une bordure doit être suffisamment large pour pouvoir y planter deux rangées de plantes, mais suffisamment étroite pour pouvoir en atteindre le centre.
5
Placer les plus grandes plantes de manière à ce qu'elles fournissent de l'ombre aux plantes plus petites et souvent plus sensibles au soleil.
6
Disposer les plantes qui requièrent davantage de soins près de la maison.
7
Placer les plantes avec les mêmes besoins en eau dans les mêmes bordures.Certaines plantes agissent comme insecticides pour d'autres! Par exemple, les soucis empêchent les invasions de vers dans les plants de tomates. Se renseigner auprès des jardineries locales pour développer ce type de relation entre les plantes de votre région.
8
Etaler du paillis sur les bordures. Le paillis empêche la prolifération des mauvaises herbes et enrichit la terre, ce qui élimine le besoin en engrais et désherbants chimiques. Les paillis se composent souvent de copeaux de bois, mais aussi de carton ou vieux journaux.
9
Composter. Le compost est un engrais naturel très efficace qui permet de réutiliser des déchets ménagers (épluchures de légumes/fruits non cuits, marc de café...) et des déchets verts (mauvaises herbes, feuilles mortes, gazon coupé...) mélangés avec de vieux papiers/cartons ou de la sciure.
10
Mettre en place un système d'arrosage optimal. Un arrosage en goutte-à-goutte (tube percé de petits trous et disposé le long d'une bordure) est un bon moyen de faire pénétrer l'eau directement dans le sol en évitant toute évaporation inutile. Arroser uniquement quand cela est nécessaire et faire varier les quantités d'eau selon les types de plantes. Récupérer l'eau des gouttières ou autres surfaces dans des barils, et recycler cette eau dans le système d'arrosage.
Publicité

Conseils

La conception d'un potager en permaculture dépend des types de plantes souhaités. En général, il faut essayer de loger le plus de plantes possibles dans chaque bordure et favoriser la diversité afin que les ressources soient conservées et que chaque plante puisse bénéficier aux autres. La bordure en "fer à cheval", arrangée en demi-cercle autour de l'aire de travail du jardinier, est très populaire. Ce modèle permet l'optimisation de l'espace cultivé et encourage l'interaction entre les plantes.
Prendre en compte le cycle de croissance des plantes lors de la conception du jardin. Une plante qui a déjà fleuri ou en fin de vie libère des éléments nutritifs dans la terre : planter une espèce en pleine croissance près de cette dernière lui permet de bénéficier de ces éléments.
Ne pas réserver des bordures ou des zones pour certaines saisons : il faut essayer d'utiliser toutes les surfaces constamment, et au maximum.

Utiliser des treillis ou des plantes suspendues. Ces méthodes aident à utiliser l'espace au maximum en offrant des zones d'ombre supplémentaires aux plantes qui en ont besoin, ainsi qu'à attirer certains insectes ou nuisibles loin des plantes situées en-dessous.
Faidherbia albida

https://docs.google.com/open?id=1y26cn9kXy81h3SM_rybyII_9rhLCmvz-OLR3HFVMWDdANriJPCNRzCxLRJR3




Arbre qui donne gratuitement un engrais naturel azoté, près de 300 % de croissance gratuite des plantes.

Des essais au Burkina Faso ont montré que la multiplication végétative du Gao, alias Faidherbia albida par bouturage est faisable, avec un taux de réussite d'environ 50%




http://bft.cirad.fr/cd/BFT_237_31-43.pdf











Agriculture: 60'000 %, (sic) de rendement théorique. ( soixante mille % ).




Au Malawi, les rendements du maïs ont augmenté jusqu'à 280 pour cent dans la zone sous le couvert des arbres par rapport à la zone en dehors de la canopée des arbres. En Zambie, les récentes observations ... ont montré que les rendements du maïs non fécondés à proximité des arbres Faidherbia moyenne 4,1 tonnes par hectare, comparativement à 1,3 tonnes à proximité mais au-delà de la canopée des arbres. Augmentations de rendement ont également été documentées dans le millet non fertilisés cultivés sous l'arbre en Afrique occidentale, pour le sorgho en Éthiopie, d'autres parties de l'Afrique, et en Inde, en plus de l'arachide et le coton. Souvent, le millet et le sorgho ne présentent aucune autre réponse aux engrais artificiels au-delà de celle prévue par la chute des feuilles de l'arbre.

http://www.kongo.l-h-l.org/?English:Alcacia_albida




http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/10/agriculture-60000-sic-de-rendement.html 
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La télévision est un fléau

January 9, 2017, 11:29 pm
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Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n'y a plus de doute : la télévision est un fléau. 

Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l'attention, l'imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l'alcoolisme, la sexualité, l'image du corps, le comportement alimentaire, l'obésité et l'espérance de vie.

Le neuromarketing, ils profitent des failles de votre cerveau...
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Les "trois singes sages ou manipulés"

January 9, 2017, 11:37 pm
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Les "trois singes sages"



J'ai toujours bien aimé et en même temps été intriguée dans ma jeunesse par ces trois petits singes. Voici selon Richard Cassaro, la réelle signification de ce symbole.
La signification secrète des ''trois singes sages''– cachée par l'Élite
Par Richard Cassaro, 12 mars 2012

Les ''trois singes sages'' (appelés également les ''trois singes mystiques'') est une ancienne icône sacrée dont la signification originale nous a intentionnellement été cachée par l’Élite. Connaître la vérité secrète de la directive du symbole ancien ''Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal'' (alors qu'en français on traduit de manière simpliste par ''ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire'') peut vous doter de moyens que vous ne pensiez pas possibles et changer votre vie à jamais. Dans cet article, nous dévoilerons la signification ancienne authentique du symbole, et nous verrons pourquoi cette signification a intentionnellement été dissimulée.


Si vous pensiez connaître la signification du symbolisme des trois singes sages, vous allez y repenser peut-être autrement.
L'Élite nous a appris (c'est à dire les médias de masse et leurs sociétés commanditaires) qu'il signifie de feindre l'ignorance devant la conduite fautive des autres plutôt que de la dénoncer :

''Dans le monde occidental, la phrase est souvent utilisée pour se référer à ceux qui font les choses de manière impropre, en regardant ailleurs, en refusant de le reconnaître, ou en feignant l'ignorance.'' (ou dit autrement, ne pas vouloir voir ce qui pourrait poser problème, ne rien vouloir dire de ce qu'on sait pour ne pas prendre de risque et ne pas vouloir entendre pour pouvoir faire « comme si on ne savait pas »)
---WikipédiaLe problème est que ''fermer les yeux'' sur la mauvaise conduite des autres n'est pas la signification authentique ou le message spirituel original oriental. C'est une signification de remplacement fausse et corrompue.

L'importance de l'ancien symbole d'origine


La portée du symbolisme original nous a été caché pour de bonnes raisons : la vérité est bien plus puissante, bien plus porteuse de force, plus magique et plus évolutive spirituellement que ce que l'Élite veut faire connaître aux masses.
''Le Mahatma Gandhi a fait une seule exception à son mode de vie non matérialiste, ce fut une petite statue des trois singes''
---Wikipédia


Le Mahatma Gandhi, l'un des héros mondiaux les plus aimés
Mizaru, cachant ses yeux, ne voit pas le mal. Kikazaru, couvrant ses oreilles, n'entend pas le mal. Iwararu, recouvrant sa bouche, ne dit pas le mal. Ils incarnent tous les trois le principe proverbial.
Mais qu'est-ce que cela veut dire exactement ?

Prenons la première phrase : ''Ne pas voir le Mal''. Elle veut dire juste ce qu'elle dit : ''Ne pas voir le mal,'' ou dédaigne le mal. Ne regarde pas le mal, ne l'observe ni ne sois séduit par lui, ne le désire pas, ne le laisse pas entrer dans ton système, pas même pour un seul instant.
Pourquoi non ?
Vous n'avez jamais bu du lait périmé ? Mangé de la viande avariée ? Du mauvais fromage ? Quand vous l'avalez, vous le digérez. Et quand vous le digérez vous en devenez malade. Votre corps l'absorbe, et quand votre corps réalise que ce n'est pas bon, il a besoin de l'expulser rapidement, d'une manière ou d'une autre.
C'est la même chose avec le mal. Quand nous voyons le mal, nous le digérons, et en le digérant le mal devient une partie de nous. Nous devons alors l'enlever d'une certaine façon, ce qui donne souvent un résultat négatif.
Pour beaucoup, cette idée de ''voir'' le mal équivaloir à ''digérer'' le mal peut sembler une ânerie. Mais il y a ici un puissant et profond principe à l’œuvre. Pour utiliser une comparaison simple, il y a un fait prouvé que voir la violence dans les médias (TV, films, jeux vidéo) nous fait penser et agir de manière plus violente :

''Des milliers d'études depuis 1950 ont posé la question de savoir s'il y a un lien entre le spectacle de la violence dans les médias et un comportement violent. Toutes, sauf 18 ont répondu oui. Une preuve écrasante venant de la recherche. La violence médiatisée peut contribuer à un comportement agressif, une désensibilisation vis à vis de la violence, des cauchemars et la peur des blessures. Regarder des émissions violentes est relié aussi à une moindre empathie envers les autres.''
Université du Michigan, système de santé
Voir de la violence nous fait agir avec plus de violence. Pareillement, quand nous ''voyons le mal'', nous l'intériorisons. Et quand nous l'intériorisons, il devient une part de nous, ce qui veut dire en fait que le mal a besoin de faire son chemin. S'il n'a pas d'exutoire, le mal ravage nos corps et nos esprits.
L'ancienne directive de ''Ne pas voir le Mal'' est une sage maxime qui cherche à nous protéger du mal en nous avertissant en premier lieu de ne pas le ''voir''.

Sculpture du 17ème siècle au-dessus de la porte d'un temple Toshogu à Nikko, Japon
La phrase suivante, ''Ne pas entendre le Mal'', repose sur le même principe. Quand nous entendons le mal, il devient une partie de nous. Notre corps l'absorbe comme une éponge. À nouveau, c'est comme manger de la viande avariée ; le corps ne peut le supporter, et a besoin de l'évacuer.
''Ne pas dire le Mal'' est un peu différent. Voir et entendre représentent deux des cinq sens (avec le toucher, le goût et l'odorat). Mais parler n'est pas l'un des sens. Voir et entendre impliquent tous deux d'intégrer quelque choses dans le corps, alors que parler implique d'en sortir quelque chose.
Le principe ''Ne pas dire le Mal'' est donc différent des deux autres. Dans un sens, on peut le voir comme le résultat des deux autres. En d'autres mots, si vous ne voyez pas le mal et n'entendez pas le mal vous ne direz pas de mal parce que vous serez purs. C'est la formule 1 + 1 = 2.
La question est :pourquoi cette simple sagesse nous reste cachée ? Si bien cachée que de nombreux américains se moqueront de l'explication authentique des trois singes sages que je viens de présenter ?
Ceux qui se moquent devraient réaliser que cette sagesse est ancienne et on peut remonter 2500 ans en arrière pour ce code de sagesse suivi par de multiples civilisations évoluées en Chine, en Inde, au Japon et ailleurs. Sa sagesse a été adoptée par de grands penseurs comme Confucius :

''Ne regarde pas ce qui est contraire à la droiture ; n'écoute pas ce qui est contraire à la droiture ; ne dis pas ce qui est contraire à la droiture ; ne fais aucun geste contraire à la droiture.''
---Confucius, 500 avt JCNous trouvons des idées semblables dans d'autres religions éloignées et systèmes spirituels. Un exemple en est le bouddhisme, ''Voie noble et juste'' qui est la directive pratique du Bouddha pour un développement éthique et mental dans le but de libérer l'individu de la souffrance, des attachements et de l'illusion ; et qui conduit finalement à comprendre la vérité de toute chose :

Compréhension juste
Pensées justes
Discours juste
Action juste
Mode de vie juste
Effort juste
Conscience juste
Concentration juste


Dans l'ancien zoroastrisme (1200 avt JC), les mots ''Humata, Hukhta, Hvarshta,'' exprimaient la principale idée de la religion. Ils définissaient la maxime ''bonnes pensées, bons mots, bonnes actions''.


Comme cette philosophie est simple et pure. Pour revenir d'un négativisme destructif, pour garder nos yeux des images et impressions qui ne sont pas constructifs pour notre croissance spirituelle.


Cette philosophie, qui a certainement été adoptée par Gandhi comme une vérité universelle, compare l'esprit à une feuille blanche, qui garde sa pure couleur quand elle est associée à ceux qui poursuivent des idéaux spirituels avec la même vision, qui refusent d'exposer leur esprit et l'esprit des autres à ''l'ordre inférieur des choses''.



Caché par l'Élite


Pourquoi, alors, les médias de masse propulsent-ils de plus en plus le mal sur nous ? Pourquoi sommes-nous bombardés de mal, de violence et de peur par tous les côtés ? Obligés de l'absorber, comme le lait périmé, la viande avariée et le mauvais fromage ?


Les films hollywoodiens deviennent de plus en plus tordus, maléfiques et sinistres.




Les films d'Hollywood nous obligent à violer l'ancienne maxime ''Ne pas voir le Mal''

Les jeux vidéo des enfants deviennent plus violents, sanglants, crus :



À gauche : photo d'un jeu vidéo pour enfant violent. À droite : les enfants réagissent à la violence de Columbine.
Les chaînes de télévision diffusent des programmes de plus en plus perturbants et imagés.





Des images et sons du mal venant de programmes TV sont stockés dans nos cerveaux. Quand le poste est éteint, ils hantent nos esprits – consciemment et inconsciemment – et rejaillissent en mauvais comportement
La musique est devenue plus violente avec les années, une bonne partie creuse, en termes de paroles, couvertures d'album, vidéos et art associé :



L'industrie musicale, possédée et distribuée par l'Élite, fait la promotion de la violence aux jeunes générations
Ajoutez à cela le poison qu'on est obligé d'ingurgiter avec les journaux d'informations à la TV et sur le câble. Les nouvelles chaque jour à la une sur toutes les chaînes se ressemblent : ''Dix morts, six enlèvements, quatre tués, deux assassinés, un brûlé, des bombes, le terrorisme arabe, la haine, la violence raciste, la corruption, les arrestations de masse, l'effondrement de l'économie, la guerre des sexes et al Qaida''.




Regarder les nouvelles à la TV ramène sur nous le mal, la violence, la peur et la négativité.
En regardant les nouvelles, nous voyons et entendons le mal tout le temps. Nous en sommes bombardés. Comment le ressentez-vous ? Triste, effrayant, nerveux, en colère, dépressif, etc.. D'accord ?
Qu'en est-il maintenant si vous découvrez que ce Mal vous est destiné...exprès ? L'Élite fait vraiment cela exprès. Leur but est de déstabiliser la société et de nous empêcher d'avoir de l'énergie. En même temps, ils nous cachent l'ancienne sagesse des trois singes, nous dérobant vraiment le principal outil/enseignement dont nous avons besoin pour nous défendre.
Comme de nombreuses grandes sagesses, l'ancien enseignement nous avertissant de ne pas voir, entendre et dire le mal a été subtilement mis à l'envers et il sert d'arme contre nous. La maxime a été transformée en outil de perversion – ''vois le mal, entends le mal, dis le mal''– un mécanisme de contrôle qui bloque la lumière, arrête la croissance spirituelle et entrave la noble et graduelle révélation d'une plus grande vérité, sagesse et réalisation spirituelles.



"Nous avons un quatrième frère, il n'admet pas le Mal, mais il a quitté le groupe pour une carrière politique"



Le mal qu'on nous a fait avaler de force fait beaucoup plus de dégâts qu'on ne l'imagine. Il a plus d'effet négatif qu'on ne le réalise. Il crée le cancer dans notre corps. Dans nos esprits. Nous sommes constamment exposés à un mal puissant et comme nous ne réalisons pas les dommages qu'il nous fait nous ne sommes pas conscients que nous essayons de le rejeter. Pire, nous sommes participants volontaires dans sa consommation, non par choix, mais parce que nous pensons que c'est normal, étant nés et ayant grandi dans la société, dans ce système. Nous ne réalisons pas qu'il a été conçu à dessein pour nous déstabiliser mentalement et physiquement, laissant le contrôle à l'Élite et maintenant les masses malades, réprimées, effrayées et serviles.


Se défendre


Que faire pour se défendre ?

Éteignez la TV ! Arrêtez de soutenir Hollywood ! Arrêtez d'acheter des tickets de cinéma ! N'achetez pas de journaux, ni de magazines. Résistez en ne regardant pas les nouvelles. Diffusez l'info et avertissez surtout les jeunes que le système est truqué, que le jeu a fait 'tilt'.

Prenez conscience qu'il y a de nombreux moyens positifs de rejeter le mal qui nous bouffe. L'exercice, la méditation, l'écriture, la lecture, la course à pied, le chant, le vélo. Dans l'antiquité les jeux olympiques ont été institués pour que les cités-états et les royaumes puissent exprimer la colère l'hostilité et le mal refoulés envers les autres par un moyen positif et même joyeux.




Les anciens organisaient des jeux olympiques pour canaliser de manière constructive le mal qu'ils ressentaient les uns pour les autres. Cette sagesse a été aujourd'hui perdue.

Oui, il existe un mal réel dans le monde (les terroristes avec des bombes, des meurtres, des lois qui enlèvent nos libertés et des difficultés économiques authentiques). Mais souvenez-vous toujours que le mal et la peur n'arrivent en réalité qu'en ''dehors'' et non pas ''en'' vous. Tout le négatif arrivant au dehors est hors de notre contrôle jusqu'à ce que nous puissions contrôler ce qu'il se passe en nous. Ceci commence avec le contrôle de nos sentiments et réactions aux événements extérieurs. Nous avons le pouvoir de changer ces événements et ce pouvoir réside dans un changement personnel. Ainsi, nous possédons chacun un immense pouvoir.
Dès que vous vous sentez apeuré, reconnaissez-le comme juste une pensée et demandez-vous consciemment : pourquoi ai-je peur ? La cause de ma peur est-elle une menace immédiate pour ma sécurité ou mon bien-être ? Si non, elle est alors complètement illusoire et devrait être éliminée. Nous sentons très souvent des choses que notre mental invente. Des choses qui peuvent arriver dans l'avenir, mais ne sont pas encore réelles pour nous. Si nous permettons à cette peur de persister, nous attirerons probablement les choses mêmes que nous redoutons. Repoussez ces pensées et concentrez-vous, en fait méditez, uniquement sur les choses positives que vous souhaitez voir arriver et non les résultats qui vous font peur.

En conclusion


L'ancienne signification authentique des trois singes sages a été censurée, bannie et éloignée de vous. Originaire de l'orient, la signification du symbole a été changée à l'ouest par les ''puissants qui ne devraient pas l'être'' et aujourd'hui l'icône des trois singes sages présentent quelque chose qui est totalement étranger à sa nature.


Si vous souhaitez voir un réel changement dans votre vie, vous voudrez peut-être imprimer une photo du symbole des singes et la garder sur votre bureau ou dans votre voiture. Faites ainsi comme Gandhi.


Traduit par Hélios



par Hélios


François de Siebenthal: Miséricordes suisses

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22 déc. 2015 - Fraudes démocratiques trop faciles, des péchés publics à ... Landsgemeinde vonSiebenthal, une des bases de la Suisse historique.

François de Siebenthal: 01/08/10

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1 août 2010 - Ce texte interdit d'utiliser des fonds publics pour financer des ..... Les péchés publics, selon St Nicolas de Flüe, provoquent les guerres, ...

François de Siebenthal: Qui crée la monnaie ?

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15 déc. 2016 - François de Siebenthal: Création monétaire bancaire du néant, Ex .. .... Giving publicbodies a larger role in money creation can help to stabilize the ..... Par ce sacrement, on obtient la rémission de tous les péchés personnels ...

François de Siebenthal: 01/11/09

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1 nov. 2009 - vaudoise accorde le statut d'institutions de droit public a 1'Eglise évangélique ...... Par ce sacrement, on obtient la rémission de tous les péchés ...

Famille de Siebenthal

www.de-siebenthal.com/

Jean de Siebenthal : La formation des élites en Suisse. ...... Que l'on voit, liliale et pure, se détacher Sur le rouge du sang rachetant nos péchés. ...... entreprise de désinformation qui a caché et occulté la réalité des faits au grand public qui, ...

page4_2 - Famille de Siebenthal

www.de-siebenthal.com/page4_02.htm

Le péché par omission est un péché bien réel, c'est même le seul que l'on puisse ... prétoires, de tous les lieux publics et de bien des écoles même chrétiennes.

page4_10 - Famille de Siebenthal

www.de-siebenthal.com/page4_10.htm

... ne cherchent qu'à éblouir un public crédule avec du clinquant et de la pacotille, ... Tous les péchéscapitaux y passent sauf peut-être la luxure : outre l'envie, ...

9 commentaires:


chantalouette10 avril 2012 à 12:03

Merci Hélios
Mon grand-père m'a fait découvrir les 3 singes quand j'étais adolescente, cependant, je n'ai pas le souvenir qu'il m'ai expliqué tout çà...

"Speak no evil", correspond je suppose à "Que ta parole soit impeccable" dans les 4 accords Toltèques?Répondre

Réponses



Hélios10 avril 2012 à 13:16

Tout à fait d'accord avec toi, Chantalouette, c'est ce que je me suis dit en traduisant. La vraie philosophie se retrouve partout sous différents langages et à toutes les époques.


Répondre



VJ10 avril 2012 à 14:45

Merci, j'envoie à mes enfants. Bonne journée. Bises aussi à Chantalouette.Répondre



Anonyme10 avril 2012 à 14:57

je m'interroge sur cette histoire de lait périmé et de viande avariée... je ne saisi pas ce à quoi ça se rapporteRépondre

Réponses



Hélios10 avril 2012 à 18:02

Ce n'est qu'une comparaison, cher anonyme...


Répondre



Danysis10 avril 2012 à 16:14

Mille merci(s) Helios ! Enfin la vérité est rétablie. J'espère de tout ♥ que certains qui liront ce texte, APPLIQUERONT ce qui est dit. Surtout cesser d'aller aussi chercher à se "flageller" par du tout et n'importe quoi du net ! ;-) ♥Répondre



Ngiu...10 avril 2012 à 17:02

Vraiment tres interessant!
Par contre, le mal a quelque chose d'hypnotique en même temps!
Je ne me vois pas, par exemple, stopper mes lecture ou visionnage d'histoire de survivant dans un univers post apocalyptique où la violence est la clef de la survie...
En meme temps, pour beaucoup de gens, je suis un peut malsain quand j'aborde le sujet du meilleur devenir pour notre societé...Répondre



Naphtaline Tonitruante2 juin 2012 à 13:29

pour ceux qui seraient intéressés par une conférence sur la TV (et notamment l'utilisation de la violence pour nous bourrer le crâne), c'est par ici !

http://www.youtube.com/watch?v=NvMNf0Po1wY&sns=fb

"Big Brother" ne nous espionne pas... il nous diverti et nous endort !Répondre



lasorciererouge16 avril 2013 à 15:03

http://nuage1962.wordpress.com/2013/04/14/le-sage-et-le-scorpion/Répondrea
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La création monétaire par les banques commerciales ou la BNS ?

January 9, 2017, 11:57 pm
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Blaise Rossellat avec Liliane Held-Khawam et 37 autres personnes.
17 h·
Notre collectif AAA+ se pose des questions: le revenu du seigneuriage, de la création monétaire des banques commerciales, est-il exonéré d'impôt? Ce revenu est-il déclaré par les banques? La loi est-elle appliquée?
En laissant partir la création monétaire dans les banques commerciales, la BNS a-t-elle respecté son contrat envers le Peuple?
La taxation de la création monétaire scripturale des banques commerciales comme n'importe quel produit en capital que toute entreprise soumise à l'impôt sur le revenu doit payer fait son entrée au parlement genevois par l'entremise de notre ami Patrick Dimier.
www.aaapositifs.ch

Taxer la création monétaire - Grand conseil Genève - Patrick Dimier - Bertrand Buchs
Les collectivités publiques oublient que la création monétaire échappe à l'impôts. Patrick Dimier le rappelle au grand conseil genevois le 16 décembre 2016. ...
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74Vous, Reginald Maitre, Philip Koenig et 71 autres personnes
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Commentaires


Dominique-Pierre Martin c'est manière de produire et d'échapper à l'impôt, et quel impôt ! est tout simplement scandaleuse, merci à Patrick de nous le rappeler.
J’aime· Répondre· 4· 16 h


Blaise Rossellat La banque commerciale, avec la complicité des services fiscaux de l'Etat ne paie aucun impôt sur le produit en capital lié à sa création monétaire scripturale contrairement à toute autre entreprise commerciale...

Il est de notre devoir de citoyen de demander une équité de tous les acteurs économiques face à l'impôt à nos représentants politiques car ce n'est clairement pas le cas actuellement...

Rappel de la loi sur l’imposition des personnes morales (LIPM)

Art. 12 Détermination du bénéfice net
Alinéa 1, lettre j)
"Les produits qui n’ont pas été comptabilisés dans le compte de résultat, y compris les bénéfices en capital, les bénéfices de réévaluation ou de liquidation ainsi que les montants des réserves et provisions transférées à l’étranger qui avaient été constituées en franchises d'impôt."

Excellente explication sur les mécanismes comptables en jeu donnée par Bernard devant un parterre de Conseillers d'Etat en charges des finances lors de l'AG de la BNS du 29 avril 2016:

https://www.youtube.com/watch?v=ucUo1cxQmhQ&index=11...



10 AG BNS 2016 G calcul du résultat Bernard

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Rémy Pilliard Excellente initiative. Il n'y a pas de raison que les banques s'enrichissent sur le dos des contribuables avec la monnaie scripturale et il est grand temps que ces richesses participent au fonctionnement de la société.
J’aime· Répondre· 4· 16 h


Blaise Rossellat Voici la question que j'ai posé lors de l'Assemblée générale de la BCGE du 26 avril 2016 à Blaise Goetschin devant 772 actionnaires présents dans l'espace Hypomène.

"Le bilan de la BCGE a augmenté, en passant de 14,1 milliards en 2009 à 20 milliards e...Voir plus
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Rémy Pilliard Le plus gros problème vient également du fait que la trop grande majorité des politiciens sont sous le coup de dettes envers les banques qui peuvent les manipuler à leur guise. Je suis d'accord avec vous que c'est inadmissible. D'autant plus qu'une ban...Voir plus
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Blaise Rossellat En réalité, ce que nous appelons la "monnaie" des banques est seulement la dette des banques envers les Agents Non-Bancaires (particuliers, employés, entreprises, associations, collectivités, États... tout sauf les banques).
Le total de la "monnaie" des banques est en réalité le total de tout ce que le secteur bancaire a prélevé sur l'économie réelle.
Explication :
Les banques inscrivent simplement dans leur passif comptable la valeur de tout ce qu'elle ont acquis à nos dépens (biens, services, travail direct ou indirect, titres, actions, contrats de crédit...). Ce passif ne pourra mathématiquement jamais être payé réellement, c'est-à-dire avec un transfert d'actif réel. C'est seulement un avoir, une promesse de la banque envers nous. Et nous acceptons d'utiliser ces dettes comme "bons d'achat" pour effectuer nos propres transactions réelles !

Une banque est donc seulement une entreprise qui enregistre par des "dettes fournisseurs" tout ce qu'elle prélève dans l'économie réelle (immeubles, fournitures, travail, parts d'entreprises, titres de crédit, de propriété...).

Le métier de banque, c'est D'ÊTRE en faillite.
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Rémy Pilliard Exactement, sauf que personne ne réquisitionne cette faillite. Tout le monde a peur que cette faillite soit la fin du monde. Il suffit de se remémorer les Too big to fail et les manipulations financières qui s'y ajoutent. Tout comme la faillite de Lehmann's qui n'était que de la poudre aux yeux pour engloutir une fausse dette et enrichir encore plus les grosses banques de type Goldmann Sachs etc. Les banques tiennent le monde par les c... si bien que personne n'ose dire quoi que ce soit. Pas même Trump et surtout pas Poutine.
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Blaise Rossellat Le fond de garantie bancaire en Suisse n'est alimenté que de seulement 6 milliards de francs. La masse monétaire est de 1600 milliards de francs... La garantie des 100'000 francs sert juste à faire croire aux épargnants que leurs économies sont en sécurité.

Ne pas oublier que l'épargne est un simple PRÊT à la banque qui vous donne une simple reconnaissance de dette (votre compte se trouve au passif du bilan de la banque).

Le jour où elle fait faillite, votre épargne disparaît. La seule solution, voter OUI à l'initiative Monnaie Pleine!

Voici une excellente question de Mathieu Despont posée à l'AG de la BNS qui résume très bien mon affirmation ci-dessus.

https://youtu.be/smfAoGJqkpQ



28 AG BNS 2016-N-dépôt de monnaie légale Mathieu

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Davy Zanolari sublime !!!!
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Chloé Fra Bravo Patrick ! Il était temps que nos autorités s'occupent de la cause des causes de notre récession (qui n'est pas un accident mais un effet systémique ! ) : la création monétaire par les banques commerciales !
Chapeau et merci ! :D
J’aime· Répondre· 7· 15 h


Rémy Pilliard Voter oui à monnaie pleine ce sera comme pour le RBI: Vu que ça contrecarre les projets des banques de s'en mettre toujours plus plein les fouilles, il n'y aura que 20% des Suisses qui seront suffisamment intelligents pour l'accepter, hélas.
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Davy Zanolari comme le dit Blaise, il est de notre devoir d'en parler à notre entourage....

Ne jamais oublier de dire que une fois que tu connais la réalité sur le secret bancaire alors tu ne peux plus voir le monde comme avant....

Il faut comprendre et tolérer que des gens aiment la monnaie car ceci leurs permet de faire vivre leurs famille et qu'ils trouvent le bonheur ainsi.

Certes ces gens là sont dans un total faux bonheur et vive dans un monde de bisounours.... mais je crois qu'il faut laisser le choix .

20%... !!!! c'est le résultat des votations pour le RBI ! non mais tu te rends compte ??? 20% sur une initiative comme ça !!!!! c'est JUSTE HALLUCINANT !!!!

Certes ce n'est pas passé .... et ce n'est pas car ce n'est pas passé qu'il faut enterrer le projet et ne plus en parler !

Sans oublier que les Suisse sont content de ne pas être entré dans l'europe et du coup les gens aiment avoir cet esprit conservateur ...

il y du bien ... comme ne pas être entré dans UE.... mais il y a du négatif comme ne pas avoir voté oui pour le RBI......

La Suisse est bien... et pas bien...

Les gens ont des croyances populaires qui date de 200Ans... c'est pas faux... mais c'est totalement dépassé ....

Les gens doivent mettre à jour leurs croyance populaire .... une fois ceci fait... peut être alors ils pourront voter intelligemment..
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Rémy PilliardDavy Zanolari Effectivement mais pas certain qu'ils arrivent une fois à ne pas se laisser influencer comme des moutons... (Ce qu'a bien compris l'UDC qui traite les Suisses comme des moutons à voir leurs affiches de campagnes !) Il ne suffit souvent pas ^d'être intelligent pour ne pas se laisser mener par les c... par ceux qui détiennent un pouvoir sur vous (comme les banques par exemple actuellement). Hélas ...
J’aime· Répondre· 2· 14 h


Davy ZanolariRémy Pilliard oui les banques possèdent le pouvoir de créer la monnaie donc possèdent le pouvoir de créer l'avenir commun. L'avenir commun que les banques nous créent est un enclos pour esclaves modernes.

Nous vivons dans un fake ! ...Voir plus
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Rémy Pilliard Une question se pose: En l'état actuel, est-ce qu'il est possible d'éviter cette guerre planétaire? J'ai toujours espoir qu'on arrive à renverser ce système financier ou qu'il se casse la gueule de lui-même et qu'on puisse repartir sur de bonnes bases ...Voir plus
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Chloé Fra

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Chloé Fra Pour le RBI, c'était 23%. J'y tiens, à ces 3% de plus ! ;)
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Rémy PilliardChloé Fra Merci mais ce n'est pas pour moi. Je serai peut être mort avant d'y arriver mais je ne renoncerai pas.
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Chloé Fra Bravo Rémy !
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Chloé Fra Quand on a compris la création monétaire, on comprend en effet que l'initiative 'Monnaie pleine' est une étape indispensable à un système monétaire équitable et juste ! Et j'envisage réellement un OUI au moment de la votation !
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Blaise RossellatRémy Pilliard, il tient à chacun d'entre nous de transmettre cette information à nos relations et amis!
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Rémy Pilliard C'est prévu. Je m'étais déjà beaucoup engagé aussi pour le RBI. Mais je ne perds pas espoir d'arriver à meilleurs résultats.
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Gérard Scheller En tous cas il n'y a pas de raison de partir perdant. Il est possible que le RBI et monnaie pleine doivent réapparaître plusieurs fois en votation pour que finalement ça devienne une évidence !
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Rémy Pilliard Abandonner ou désespérer ne font pas partie de mon vocabulaire !
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Blaise Rossellat"Nous n'arrêtons pas de faire des articles, des vidéos, des livres, des films, des conférences... mais comme beaucoup, la plupart des gens tombent encore des nues quand ils commencent à comprendre, et ça leur prend énormément de temps!

Nous ne pouvons...Voir plus



Manifeste des économistes déterrés : l'interview
Interview réalisée par Marie-Laure Leila Le Guen pour la parution du "Manifeste des économistes déterrés", une étude sur l'état actuel de…
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Rémy Pilliard C'est justement toutes ces entourloupes, toutes ces magouilles bancaires qui rendent le système si opaque et incompréhensible qui permet aux financiers (pas seulement les banques, les assurances et les boursicoteurs aussi) de mener le monde par le bout du nez et de faire ce qu'ils veulent en s'enrichissant toujours plus...
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Charly Pache C'est une bombe, bravo !!!! Si ça passe, adieu les somptueux bâtiments au centre ville pour les banques, adieu les salaires supérieurs aux autres branches, pour une industrie qui au final ne produit rien d'utile, juste de la dette publique et privée.
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Chloé Fra

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Rémy Pilliard Les dettes grecques, irlandaises,espagnoles, portugaises, italienne entre autres ne sont que la partie visible de cet iceberg de magouilles bancaires Et ils arrivent berner tout le monde avec ces fausses dettes !
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Davy Zanolari j'aime dire qu'ils nous bernent en nous hypnotisant !
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Chloé Fra

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Rémy Pilliard Faisons en sorte que ça arrive !
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Chloé Fra

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Rémy Pilliard C'est ce qu'on fait depuis des lustres, on les laisse faire et plus on va de l'avant moins on pourra les en empêcher !!! Curieux de voir si Trump va s'y intéresser avec toute ses annonces
J’aime· Répondre· 2· 14 h


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Chloé Fra

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Nicoletta Forcheri a répondu · 5 réponses · 9 h



Rémy Pilliard Exact, on ne devrait rien payer pour de l'argent qui est prêté ! Il devrait être prêté pour faire tourner l'économie pas pour créer des revenus fictifs.
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Blaise Rossellat L'argent n'est pas prêté, c'est justement là où le bas blesse... Il est simplement mis au passif du bilan de la banque...
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Rémy Pilliard Oui on l'a bien compris mais pour que le peuple et ceux qui ont moins de connaissances que nous comprenne, il faut justement utiliser des termes de ce genre, le prêt, les intérêts, etc. Parce que si vous dites qu'il faut interdire aux banques d'avoir d...Voir plus
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Blaise Rossellat Un prêt n'est pas un crédit, un prêt c'est quand je prête mon vélo, il existe avant. ;-)
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Rémy Pilliard Oui, mais comme je l'ai dit, beaucoup le comprennent comme tel. Sauf les banques qui réussiront trop facilement à manipuler ces termes pour embrouiller le monde. Et c'est pour cela qu'il faut éviter d'être trop rigoureux sur ces définitions. C'est plus facile à contrer !
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Votre réponse...





Antoine André super, un texte a-til été déposé? sur quelle forme? motion, postulat, interpellation?
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Blaise RossellatPatrick Dimier, peux-tu répondre?
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Roger KappBlaise Rossellat Sinon je propose qu'on en fasse une initiative :)
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Blaise Rossellat Pas besoin Roger Kapp, la remarque de Patrick Dimier est un simple rappel de respecter la loi fiscale existante qui n'est pas appliquée pour les banques!
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Roger KappBlaise Rossellat Je te rappelle que la Constitution a été abolie en 2000 (enfin le paragraphe réservant la création monétaire à la Confédération (nous)) …
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Blaise Rossellat Je parle de la loi fiscale cantonale:

Rappel de la loi sur l’imposition des personnes morales (LIPM)

Art. 12 Détermination du bénéfice net
Alinéa 1, lettre j)
"Les produits qui n’ont pas été comptabilisés dans le compte de résultat, y compris les bénéfices en capital, les bénéfices de réévaluation ou de liquidation ainsi que les montants des réserves et provisions transférées à l’étranger qui avaient été constituées en franchises d'impôt."
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15 choses qu'ils ne vous disent pas sur l'argent

January 10, 2017, 2:23 am
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On peut sans doute améliorer éventuellement la traduction ci-dessous


15 choses qu'ils ne vous disent pas sur l'argent

Par Ken MacIntyre



Inspiré par Ha Joon Chang « 23 Things They Didn’t Tell You About Capitalism » (2010) 


1. Les gouvernements, puisqu’ils ont le contrôle souverain total de leur devise, peuvent créer suffisamment d'argent pour assurer le plein emploi et pour financer toutes leurs activités. Il n'y a aucune limite à la création d'argent et de dire que « il n'y a pas d'argent» est aussi absurde que faux.



2. Les gouvernements dans leur pouvoir souverain, n'ont pas besoin d'emprunter quoi que ce soit aux institutions financières privées ou au FMI. Qu'ils empruntent et cherchent à «apaiser les marchés financiers» est une contrainte auto-imposée, un peu comme lacer vos lacets ensemble et prétendant que vous ne pouvez pas marcher (voir Warren Mosler ci-dessous).



3. Les gouvernements ne contrôlent pas l'offre d’argent, mais au contraire ont préféré choisir de sous-traiter la fourniture de l'approvisionnement en fonds publics aux banques commerciales.



4. Les gouvernements ont volontairement renoncé aux recettes publiques substantielles de la création monétaire appelée seigneuriage. En France ceci revient à une subvention aux banques privées de l'ordre de 40 milliards d’euros par an.


5. L'argent n'est pas une «chose», mais une relation juridique, une création de l'État. Il s'agit d'un système de jeton (aujourd’hui électronique), qui établit le système de créances sur les ressources.



6. L'argent n'est pas la richesse. La richesse est la terre, les ressources naturelles et les produits du travail humain. L'argent est seulement une créance sur la richesse.


7. La véritable richesse provient de la production de biens socialement utiles, des services et des investissements dans les infrastructures et les compétences. La spéculation sur les prix des biens ou parts sociales, et la promotion de la vente pyramidale (le processus appelé «libéralisation financière» ou «dérégulation») sont prédatrices et ces activités extractives ne créent pas de richesse.


8. Les banques sont la progéniture de l'État. Elles ont un quasi-monopole de création monétaire et les privilèges et protections légales des entreprises à responsabilité limitée. Elles font semblant d'être indépendantes et autonomes, mais comme des adolescents gâtés, au premier signe de difficulté, elles courent la maison en pleurant et en exigeant une protection illimitée.


9. Les banques ne prêtent rien. Ils créent de l'argent par le crédit à partir de rien et facturent des intérêts sur quelque chose qui ne coûte rien à produire. Le crédit crée une surcharge de dette supplémentaire sous la forme d'intérêt qui s’ajoute aux coûts de l'économie, mais, comme aucun argent supplémentaire est émis pour le couvrir, il n'y a jamais assez d'argent en circulation pour permettre à la dette d’être remboursée, provoquant faillites, récession et le chômage.


10. Le crédit bancaire ne va pas vers l'investissement productif, mais dans la spéculation des prix des actifs et des «prêts» à d'autres banques. Lorsque les commentateurs se réfèrent à la crise bancaire ils font allusion à l'effondrement continu de cette pyramide classique ou chaîne de Ponzi.


11. Les banques dilatent et contractent l'offre d’argent en créant des bulles des prix des actifs qui s'effondreront ensuite dans les récessions. C'est ce qu'on appelle «le cycle économique», mais il n'ya rien d'inévitable à ce sujet.



12. Il doit toujours y avoir un déficit dans les secteurs privé ou public pour que le système de l'argent fonctionne - quelqu'un quelque part doit toujours dépenser plus qu'il ne gagne.


13. L'argent ne peut entrer dans l'économie que de deux façons: le crédit émis par des banques privées ou les dépenses du gouvernement. Si l'assèchement du crédit se mets en place, seul le gouvernement peut remédier à l'insuffisance, ou bien il y aura une récession.



14. Si vous pensez que vous avez de l'argent à la banque », détrompez-vous. Les comptes bancaires ne sont que des écritures comptables qui représentent la promesse de la banque de payer, pas de l’argent réel.


15. Accroître l'offre d’argent par une émission du gouvernement n'est pas inflationniste, sauf dans les conditions du plein emploi. Contrairement au crédit bancaire, il n'ya rien d'intrinsèquement inflationnistes dans une émission monétaire par le gouvernement. La quantité de monnaie peut toujours être contrôlé par la fiscalité.

Sources
C H Douglas Social Credit (1924)
Warren Mosler - The Seven Deadly Innocent Frauds of Economic Policy (2010)
A. Mitchell Innes - What is Money? The Banking Law Journal, May 1913: http://moslereconomics.com/mandatory-readings/what-is-money/
Stephanie Kelton and others: Are There Spending Constraints on Governments Sovereign in their Currency? (April 2010)
NEF, Positive Money, Prof Richard Werner: Submission to the Independent Banking Commission (2010)
Prof Mary Mellor
Ann Pettifor (Editor) Real World Economic Outlook (2003)
Ha Joon Chang - 23 Things They Didn’t Tell You About Capitalism (2010)

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/01/la-creation-monetaire-par-les-banques.html






http://www.positivemoney.org.uk/2011/04/15-things-they-dont-tell-you-about-money/
A traduire à l'occasion:

15 choses qu'on ne vous a pas dites à propos de l'argent!

1. Governments in full sovereign control of their currencies can create sufficient money to ensure full employment and to finance all their activities. There is no limit to money creation and to say that 'there is no money left' is as absurd as it is untrue.

2. Governments with sovereign power do not need to borrow either from private financial institutions or the IMF. That they borrow and then have to 'appease financial markets' is a self-imposed constraint, rather like tying your shoelaces together and claiming that you can't walk (see Warren Mosler below).

3. Governments do not control the money supply but instead have chosen to subcontract the provision of the public money supply to private banks.

4. Governments voluntarily forego the substantial public revenue of money creation called seigniorage. In the UK this amounts to a subsidy to private banks of the order of £100 bn a year

5. Money is not a ' thing' but a legal relationship, a creation of the State. It is a token (these days electronic) system which establishes claims over resources.

6. Money is not wealth. Wealth is land, natural resources and the products of human labour. Money is only a claim on wealth.

7. Real wealth comes from the production of socially useful goods and services and investment in infrastructure and skills. Property or share price speculation and the promotion of pyramid schemes (the process called ‘financial liberalisation' or ‘deregulation’) are predatory and extractive activities which do not create wealth.

8. Banks are offspring of the State. They have a virtual monopoly of money creation and the legal privileges and protections of corporate personhood and limited liability. They pretend to be independent and self reliant but like spoilt teenagers, at the first sign of trouble, they run home crying and demanding unlimited handouts.

9. Banks do not lend anything. They create money as credit out of nothing and charge interest on something which costs nothing to produce. Credit creates an additional debt overhead in the form of interest which adds to costs in the economy but, as no additional money is issued to cover it, there is never enough money in circulation to enable debt to be repaid, causing bankruptcies, recessions and unemployment.

10. Bank credit does not go into productive investment but into asset price speculation and ‘loans’ to other banks. When commentators refer to the banking crisis they are referring to the ongoing collapse of this classic pyramid or Ponzi scheme.

11. Banks expand and contract the money supply creating booms and asset price bubbles which collapse into recessions. This is called 'the business cycle' but there is nothing inevitable about it.

12. There must always be a deficit in the private or public sectors for the money system to function - someone somewhere has always to be spending more than they are earning.

13. There are only two ways that money can enter the economy: credit issued by private banks or government spending. If credit dries up, only government can make good the shortfall or else there is a recession.

14. If you think that you have 'money in the bank', think again. Bank accounts are only accounting entries representing the bank's promise to pay, not real money.

15. Expanding the money supply by government-issued money is not inflationary except in conditions of full employment. Unlike bank credit, there is nothing intrinsically inflationary about government-issued money. Money issuance can always be controlled by taxation.












Viennent de paraître, cosignés avec Philippe Derudder : "Une monnaie nationale complémentaire" (préface de Pierre Rabhi) http://www.yvesmichel.org/webmaster/espace-economie-alternative/une-monnaie-nationale-complementaire et la réédition mise à jour de "la dette publique, une affaire rentable", http://www.yvesmichel.org/admin/espace-economie-alternative/la-dette-publique-une-affaire-rentable
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Article 2

January 11, 2017, 1:45 am
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Europe, l'hiver démographique se confirme.


Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays catholique du Sud...

La proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, plus particulièrement dans les pays du Sud qui "cumulent des difficultés" notamment économiques, ... confirme ce mercredi 11 janvier 2016 une étude de l'Ined.
...

...  la fécondité n'a cessé de baisser, souligne l'Institut, atteignant des niveaux très bas en Europe: 1,7 enfant en moyenne pour les femmes nées en 1974.

"Une contraception efficace, une arrivée des enfants plus tardive, une instabilité plus grande des unions, le souhait d'avoir avant tout un emploi alors qu'ils sont de plus en plus instables et l'incertitude économique croissante" ont pu favoriser cette infécondité, analyse-t-il.

C'est en Europe du Sud - jusqu'à une femme sur quatre née dans les années 1970 pourrait rester sans enfant en Espagne, Grèce et Italie - que le taux d'infécondité a progressé le plus rapidement.

Dans ces pays, qui cumulent "des difficultés sur le marché de l'emploi" et "des inégalités de genre encore très marquées qui rendent difficile la conciliation entre travail et famille", ce taux devrait encore augmenter, frôlant le pic atteint après la Première Guerre mondiale, prédit l'institut.


http://www.ined.fr/fr/publications/population-et-societes/femmes-sans-enfant-pic-en-europe/

François de Siebenthal: Monde, l'hiver démographique :

desiebenthal.blogspot.com/2010/03/monde-lhiver-demographique.html
18 mars 2010 - L'inventeur de l'expression « hiver démographique » est quant à lui le recteur Gérard-François Dumont, directeur de la revue Population et ...

Europe, l'hiver démographique

https://books.google.ch/books?isbn=2825100056
1989 - ‎Europe
La création de l'Institut Suisse de Démographie et de Développement, ISDD, dont ... François Geinoz François de Siebenthal Michel Tricot Préface par Philippe ...

** Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/4693uZT5moU
François de Siebenthal
Il y a 10 minutes - Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays ...

François de Siebenthal: La NASA et notre disparition

desiebenthal.blogspot.ch/2015/08/la-nasa-et-notre-disparition.html
20 août 2015 - l'hiver démographique. https://books.google.ch/books?isbn=2825100056 .... François de Siebenthal: Démographie : la chute a commencé.

europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction ...

www.abebooks.fr/...l'hiver-démographique.../geinoz-françois-siebenthal-françois-de-sua...
europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction de pierre chaunu de geinoz françois siebenthal françois de suarez antoine tricot michel ...

Livre - Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidoux ...

www.chapitre.com › ... › Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidou...
Introduction de Pierre Chaunu de Geinoz (François) / Siebenthal (François De) / Suarez ... commander et acheter le livre Europe : l'hiver démographique.

Europe, l'hiver démographique - Marie-Laure Beck, François Geinoz ...

https://books.google.com/books/about/Europe_l_hiver_démographique.html?id...
QR code for Europe, l'hiver démographique. Title, Europe, l'hiver démographique. Une publication de l'Institut suisse de démographie et de développement.

L'hiver démographique - Les Manants du Roi

archives.lesmanantsduroi.com/articles2/article71894.php
L'hiver démographique. Les Ecolo ont “gagné”, paraît-il, les élections européennes. Ils auraient également gagné, paraît-il, les élections régionales. Bien.
Termes manquants : siebenthal

Hommages - Pour que son souvenir demeure: Vladimir DIMITRIJEVIC

www.hommages.ch/Defunt/61932/Vladimir_Dimitrijevic
6 avr. 2011 - François De Siebenthal ... publié l'un de nos livres: "Europe, l'hiver démographique" et qui voulait en publier la suite sur les causes financières ...

Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/AvfwEXjnfgA
François de Siebenthal
3 févr. 2016 - Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants. Même la Migros en parle... Le numéro MM05 du 1er février 2016 est consacré aux familles.
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Les coûts selon le crédit social

January 11, 2017, 8:25 am
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Comment profiter des robots ? Une robolution économique.
Résumé:
L'ingénieur Clifford Hugh Douglas affirme que cette dernière demande a du bon sens puisque la technologie réduit de plus en plus le nombre de travailleurs nécessaires pour produire les biens ainsi que le nombre d'heures qu'ils doivent travailler.

Clifford Hugh Douglas affirmait qu'en raison du fait que le total des revenus reçus dans une période de production donnée est moins important que les prix ou les coûts générés dans cette même période, il en résulte une déficience dans le pouvoir d'achat dans cette période. C'est pour résoudre ce problème qu'il propose le crédit social.

Le théorème A+B

La production de crédits par ailleurs, qui temporairement peut faire apparaître la masse monétaire comme suffisante, conduit à la formation de « bulles » monétaires, vouées à s'effondrer mécaniquement, puisqu'au fur et à mesure que ces crédits payent leur dette associée, cette monnaie temporairement disponible disparaît.
Il apparaît alors, lorsque la bulle monétaire s'est mécaniquement effondrée, que la masse des biens produits est très supérieure à la monnaie réelle résultante, provoquant de facto une déflation, et une crise.
Il démontrait cette déficience alléguée avec son théorème A+B qui dit que si A représente les paiements versés à tous les consommateurs dans l'économie (par les salaires, dividendes et autre) et B représente les paiements faits par les producteurs qui ne sont pas versés aux consommateurs (tels que les coûts de base des édifices et du renouvellement de l'équipement) alors le prix total des biens produits doit égaler A+B au minimum ; mais puisque seuls les paiements A sont reçus par les consommateurs en revenus, alors les revenus disponibles sont moins grands que les prix générés dans cette même période de production.
Pour qu'un tel système soit soutenable, Douglas affirmait qu'une ou plusieurs des situations suivantes devait se produire :
  • Les gens s'endettent en achetant à crédit.
  • Les gouvernements empruntent et augmentent la dette nationale.
  • Les entreprises empruntent aux banques pour financer leur expansion de façon à créer de la nouvelle monnaie.
  • Les entreprises vendent en dessous de leurs coûts et font éventuellement faillite.
  • Un État gagne une guerre commerciale, endettant les étrangers envers nous pour nos surplus d'exportations.
  • Un État fait une vraie guerre, « exportant » des biens tels que des tanks et des bombes à l'ennemi sans s'attendre à un paiement en retour, en le finançant par des emprunts.
Si ces situations ne se produisent pas, « les entreprises doivent licencier leurs travailleurs, le chômage augmente, l'économie stagne, les impôts restent impayés, les gouvernements réduisent les services et nous avons la pauvreté générale, alors que physiquement nous pourrions tous vivre dans l'abondance ».

La solution du crédit social

Douglas pense que le crédit social peut corriger ce problème en s'assurant qu'il y ait toujours suffisamment de monnaie (crédits) en circulation pour acheter tous les biens qui peuvent être produits. Sa solution est définie par trois revendications principales :
  1. Qu'un « Bureau de crédit national » calcule sur une base statistique le nombre de crédits qui doit circuler dans l'économie ;
  2. Un mécanisme d'ajustement de prix qui reflète le vrai coût de la production ;
  3. Qu'un « dividende national » donne un revenu de base garanti à tous sans tenir compte du fait qu'ils aient ou non un emploi.
L'ingénieur affirme que cette dernière demande a du bon sens puisque la technologie a réduit le nombre de travailleurs nécessaires pour produire les biens ainsi que le nombre d'heures qu'ils doivent travailler.
Les idées de Douglas jouissent d'une grande popularité au cours de la Grande Dépression, mais pas assez toutefois pour réaliser son plan.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9dit_social

The Social Credit Analysis of Cost

August 31, 2016 SITE DU CRÉDIT SOCIAL TRADUIT PAR GOOGLE
lien en anglais —> http://distributistreview.com/social-credit-analysis-cost/

Analyse 
des coûts selon le crédit social
31 août 2016
Dans un souci de simplicité, l'acte d'accusation relatif au crédit social de l'ordre économique existant pourrait être réduit à la revendication suivante: le système financier n'est pas auto-liquidable.
Si l'on conçoit le système financier, qui est principalement composé des systèmes bancaires et de comptabilité analytique, comme une sorte de recouvrement de logiciel informatique qui lit et représente des faits économiques physiques en mesurant l'activité économique, l'idée de base est qu'au lieu d'équilibrer automatiquement L'accumulation des prix d'une part avec la distribution du revenu d'autre part, le logiciel existant est conçu pour générer un flux de coûts et donc de prix au cours de la production de tout bien ou service industriel qui dépassera nécessairement le pouvoir d'achat du consommateur

Qui est simultanément libéré sous forme de salaires, de salaires et de dividendes.

Il en résulte un manque chronique ou une insuffisance du pouvoir d'achat propre ou réel des consommateurs vis-à-vis des biens et services offerts, c'est-à-dire du pouvoir d'achat qui n'est pas dérivé de l'hypothèque des revenus futurs par la Banques.1


Un système financier autofinancé maintiendrait toujours les prix et les revenus des consommateurs en équilibre automatique, de sorte que l'acte de produire un volume déterminé de biens et de services distribuerait toujours, ipso facto, un pouvoir d'achat suffisant pour liquider, c'est-à-dire annuler Une fois pour toutes, les valeurs de prix correspondantes.

Le système actuel n'est pas auto-liquidable précisément parce qu'il génère des prix à un rythme plus rapide que celui de distribuer le revenu de consommation auquel ces prix pourraient être satisfaits.



J'ai déjà expliqué, dans l'article du mois dernier, pourquoi ce déséquilibre structurel entre les prix et les revenus est faux, tant sur le plan éthique que pragmatique. L'objectif du présent article sera d'élucider ce qui est responsable de l'écart.



Peut-être serait-il préférable de commencer par souligner que le manque particulier de pouvoir d'achat des consommateurs qui est en cause ici n'est PAS causé par des profits (y compris les bénéfices tirés des intérêts sur les prêts), par le réinvestissement de l'épargne dans de nouvelles entreprises productives , Ou par les politiques déflationnistes qui sont souvent, en période de ralentissement économique ou de crise financière, adoptées par les institutions financières. Douglas a admis que ces facteurs, et quelques autres, pouvaient exacerber une déficience du pouvoir d'achat de diverses manières, mais ils n'étaient pas la cause primordiale de ce qui est connu dans la littérature sur le crédit social comme «l'écart».
L'écart récurrent entre le prix et le revenu est dû plutôt à un défaut comptable, ou plutôt à une paire de failles comptables liées à la façon dont le capital réel, c'est-à-dire les machines et le matériel, est financéet comment ses coûts sont ensuite déterminés par rapport à tout revenu consommateur qui est Pendant sa production, son entretien ou son remplacement.



Il y a deux catégories de coûts qui sont associés au capital réel:

les frais d'investissement, les prélèvements des sociétés pour récupérer les coûts financiers de l'achat ou de la production d'usines, de machines et d'autres équipements,

et les charges d'exploitation,

Pour couvrir les frais d'exploitation de ce capital réel, y compris ses frais d'entretien et d'amortissement ou de remplacement.




Ensemble, ils constituent la composante des coûts en capital qui figure de façon si importante dans la structure des prix de tout bien ou service produit à l'aide de méthodes industrielles.
En vertu des conventions financières existantes, les entreprises (ou toute autre organisation productive) doivent récupérer la valeur financière du capital réel lui-même (afin de rembourser le prêt bancaire habituellement utilisé pour acheter ou fabriquer le capital réel)

L'argent, pendant toute la durée de son utilisation, pour couvrir l'ensemble des coûts associés à cette utilisation, c'est-à-dire la consommation industrielle du capital réel. En effet, ils doivent facturer pour le capital réel qu'ils emploient au moins deux fois plus, une fois pour faire face au coût purement financier et une fois (ou même plus d'une fois) pour faire face aux coûts de son utilisation et consommation réelles.

Nous pouvons nous référer à ce phénomène comme «le double coût du capital réel».
Pour rendre la situation plus concrète, permettez-moi d'illustrer les principes de base en jeu à titre d'exemple. Mon beau-frère, qui est un entraîneur personnel et possède sa propre entreprise de conditionnement physique, a récemment emprunté 100 000 dollars d'une banque pour acheter de l'équipement d'exercice. Afin de rembourser le prêt (nous ignorerons les paiements d'intérêts), il doit collecter 100 000 USD auprès de ses clients, mais il doit également inclure des frais d'amortissement de 100 000 USD afin que les machines puissent être remplacées après avoir été




Cela signifie que, en termes de coûts d'investissement seulement, mon beau-frère doit finalement récupérer 200 000 dollars des consommateurs (sans parler des frais d'entretien).

Même si nous supposons (ce qui est invariablement contraire au fait) que le coût initial des machines a étéentièrement distribué comme revenu aux travailleurs qui fabriquaient les machines,

seuls 100 000 USD auraient été distribués aux consommateurs en vertu de ces mêmes machines.




Clairement, 100k dans le revenu de consommateur ne peut pas compenser 200k dans des prix. Si, à titre d'exemple, les 100k des poches de consommation servaient à rembourser le prêt bancaire de 100k, la dette et le pouvoir d'achat s'annuleraient mutuellement (chaque prêt bancaire crée un dépôt et le remboursement de chaque prêt bancaire détruit Dépôt), mais cela laisse derrière lui des équipements dont la valeur de 100k sur le prixdevrait être calculée en fonction des prix et sur lesquels aucun pouvoir d'achat n'a été mis à disposition.





Or, si nous acceptons le principe selon lequel le système financier doit refléter exactement ou isomorphiquement les réalités physiques de l'économie, le double calcul du coût du capital réel est manifestement une erreur.




Plus spécifiquement, les charges d'investissement ne correspondent à aucune consommation physique ou réelle. S'ils doivent être traités, comme le traite notre système actuel, comme des catégories distinctes ou additionnelles de coût, ils sont complètement illégitimes4. Non seulement les frais d'investissement sont illégitimes, mais il y a aussi, si la question est examinée du point de vue correct Aucun pouvoir d'achat du consommateur qui est automatiquement créé et distribué au cours de la production (et en raison des frais d'investissement) avec lesquels ces charges pourraient être compensées et liquidées.



Afin d'obtenir une image plus claire du rôle que jouent les charges d'investissement dans la structure des prix des biens et des services,imaginez une chaîne de production impliquant un certain nombre d'entreprises différentes qui contribuent à divers stades de fabrication.Toutes les entreprises de cette chaîne qui disposent d'emprunts en capital en circulation intègreront une charge dans le prix de leur production intermédiaire pour respecter leurs échéanciers de remboursement et qui seront répercutées sur les entreprises subséquentes.

Ces entreprises subséquentes emprunteront à leur tour les emprunts nouvellement créés auprès des banques pour obtenir leurs matières premières, car la plupart de la production quotidienne repose sur des lignes de crédit renouvelables ou sur des découverts. Tout montant emprunté qui est utilisé pour payer, directement ou indirectement, les frais d'investissement des entreprises précédentes sera détruit dans les remboursements de prêts. Ainsi, bien que ce flux de crédit aux producteurs qui est affecté aux frais d'investissement contribue à l'accumulation des prix, il ne libère jamais de pouvoir d'achat pour les consommateurs avec lesquels les charges d'investissement peuvent être satisfaites. Pour cette raison, la composante capex des prix pourrait être assimilée au phénomène astronomique d'un trou noir. Il est théorisé que même la lumière elle-même ne peut échapper à un trou noir une fois qu'il a dépassé l'horizon des événements. De la même manière, l'argent, sous forme de crédit au producteur, entre dans le trou d'investissement à divers stades de la production, mais ne sort jamais comme revenu du consommateur ou sous toute autre forme. Non seulement cela, mais parce que chaque étape aura généralement ses propres frais d'investissement à ajouter aux prix, le trou est une boule de neige de la dette toujours croissante qui est transmis du producteur au producteur dans la chaîne de production jusqu'à ce qu'il se repose au détail Stade où il doit être liquidé par le consommateur.



Le premier défaut comptable peut donc se résumer comme suit: des impôts sont perçus correspondant à la valeur-valeur financière du capital réel qui est entièrement non représentée par le revenu du consommateur et qui n'aaucun rapport avec la consommation physique de ces actifs productifs.



Il y a cependant un second problème. Non seulement le système financier inclut une catégorie illégitime de coût pour lequel aucun pouvoir d'achat n'est distribué,

mais il ne fournit pas non plus suffisamment de revenus aux consommateurs pour satisfaire intégralement les coûts légitimes en capital qui peuvent être liés à la consommation de capital réel.



Pour revenir à l'exemple de mon beau-frère, il est vrai que si 100k avaient été distribués aux fabricants d'équipement comme salaires, salaires et dividendes, il y aurait suffisamment de pouvoir d'achat du consommateur libéré au cours de sa fabrication pour répondre Les coûts d'amortissement de l'équipement tel qu'il est consommé par l'activité de mon beau-frère. Et il est tout à fait approprié que les consommateurs paient pour l'utilisation du capital réel qui est employé dans la prestation de leurs services.

Toutefois, dans la pratique, chaque fois que le capital réel est fabriqué, la valeur totale du prix de ce capital n'est pas distribuée en tant que revenu aux consommateurs.




Pourquoi? Pour la simple raison que ces sociétés productrices de capitaux ont également leurs propres frais d'investissement et de recouvrement et tout crédit productif qu'ils doivent emprunter pour les matières premières ou les services d'autres sociétés doivent couvrir en partie les divers coûts en capital de tous Les autres entreprises dans les chaînes de production respectives. En d'autres termes, peut-être seulement 40k dollars pourraient avoir été distribués aux consommateurs à tous les stades de la production des machines d'exercice. Encore une fois, comment 40k de revenus peuvent-ils compenser 100k de prix? Il ne peut pas.



La deuxième faiblesse comptable du capital réel pourrait donc être résumée de la manière suivante: une certaine proportion du crédit producteur qui est dépensé au cours de la production du capital et qui figure ainsi dans les prix des biens d'équipement et des services est verrouillé Dans le système producteur et ne sort jamais du système de consommation, ou du moins pas au même rythme que celui où il est immobilisé, les valeurs de prix accumulées au cours de la production de capital dépassent les revenus qui sont simultanément distribués,

Laissant un écart entre les prix et les revenus.
En résumé, le caractère non liquidable du système financier actuel est principalement dû à la nature des coûts en capital, car ceux-ci sont calculés selon des conventions standard7.

Vous ne pouvez pas faire une insuffisance globale de revenu suffisante en réattribuant sa distribution. Il devrait également être clair que la situation ne cesse de dégénérer. Puisque la tendance générale du progrès économique est que le capital réel remplace la main-d'œuvre dans le processus de production, les coûts en capital augmentent continuellement par rapport au coût de la main-d'œuvre en proportion des coûts totaux et donc des prix. En d'autres termes, non seulement le système financier n'est pas auto-liquidable, il est de plus en plus non liquidateur.



Du point de vue du crédit social,

ce fossé structurel et toujours croissant entre les prix et les revenus est le problème social central;

C'est-à-dire le défaut technique essentiel qui afflige notre civilisation actuelle. Si elle n'est pas correctement remédié dans le temps, il peut aussi épeler la fin de cette civilisation. Comme un agent corrosif qui s'absorbe silencieusement et progressivement tout ce qui est encore sain dans la structure et le fonctionnement de la société humaine,

l'écart entre les prix et les revenus menace de dissoudre complètement le «crédit social» de la société ou le pouvoir des êtres humains agissant en association Atteindre les résultats escomptés.

(fin de l'article de Olivier heydorn)


Le pourquoi et le comment de la situation désastreuse dans laquelle nous nous trouvons sera l'objet de l'article du mois prochain.


lien en anglais —> http://distributistreview.com/social-credit-analysis-cost/


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(article rajouté pris dans la Chronique Agora début janvier 2017 le sujet s'y rapportant)


2ND ARTICLE








LES NOTES DE FERGHANE AZIHARI





Faut-il vraiment baisser les charges sociales ?

Les échéances électorales réaniment les débats sur la compétitivité de l'économie française. Les charges sociales qui pèsent sur le travail occupent une place centrale dans ces discussions. Ces charges sont régulièrement accusées d'être trop lourdes en plombant la rentabilité et la compétitivité des entreprises. Les propositions d'allégement se multiplient. Mais ces suggestions passent à côté de l'essentiel.

Rappelons tout d'abord quelques éléments basiques. Les cotisations sociales sont des sommes prélevées à la source sur le salaire des travailleurs pour financer la protection sociale : retraite, assurance maladie, chômage, accidents... Mais la distinction opérée entre les cotisations salariales et les cotisations patronales relève d'un artifice comptable, sans fondement économique puisque ces deux prélèvements ont la même incidence fiscale et se répercutent essentiellement sur la rémunération de l'employé.





La différence entre charges patronales et salariales n'est qu'un mythe politique

L'intérêt de cette distinction est politique. Elle permet d'entretenir l'illusion d'un modèle social fondé sur une redistribution acquise au terme d'une lutte acharnée contre les puissants. La mythologie sociale-démocrate sur les "droits sociaux" s'en trouve confortée, tout comme la légitimité d'un pouvoir politique qui usurpe son statut de protecteur des plus faibles.

En réalité, il n'en est rien.

C'est le travailleur seul qui finance sa protection sociale. Et il le fait dans des proportions qu'il connaît mal en raison de l'opacité qui caractérise le financement des services sociaux. L'administration n'a pas intérêt à se montrer transparente dans la mesure où la piètre performance de ses services serait mise à nu, ce qui changerait sans doute notre opinion sur "le modèle social que le monde nous envie".





Sur 218 euros de salaire, 118 euros partent en charges sociales que vous ne contrôlez pas

Il existe fort heureusement quelques organisations qui s'attachent à rétablir la transparence. C'est notamment le cas de l'Institut Molinari qui calcule régulièrement l'écart entre ce que verse l'employeur pour son salarié et ce que touche réellement le travailleur. En 2015 l'Institut a calculé que 118 euros partait dans les caisses de la Sécurité sociale chaque fois que le salarié moyen touchait 100 euros nets.

Les cotisations sociales constituent donc essentiellement du salaire différé. Quiconque proclame qu'il faut baisser les charges sociales milite en réalité pour la baisse des salaires.

Or personne n'est légitime à proclamer que les salaires sont trop élevés. La logique de marché implique au contraire de laisser le prix des services s'établir librement entre les parties contractantes.





La libéralisation des assurances sociales permettrait de gagner du pouvoir d'achat

Le problème des cotisations sociales est donc tout autre : il ampute le pouvoir d'achat réel des salariés qui se voient obligés d'affecter la moitié de leur rémunération pour renflouer des caisses de la Sécurité sociale insuffisamment performantes. Il conviendrait au contraire de soumettre ces caisses à un régime de libre-concurrence pour laisser les employés affecter le fruit de leur travail librement.

Les salariés seraient libres de s'assurer, ou pas, contre les risques de chômage et de maladie en fonction de leurs préférences et au prix qui leur paraîtrait juste. Ils seraient libres de capitaliser pour assurer leurs vieux jours.
[NDLR : La retraite par répartition est un système à bout de souffle. Vous devez déjà compter sur votre épargne pour vous assurer une retraite décente.

Savez-vous qu'avec 200 euros par mois dès maintenant vous pouvez vous constituer une retraite de ministre et avoir des revenus complémentaires dépassant 11 000 euros par mois ? Comment ? En suivant la méthode que notre spécialiste Eric Lewin vous expose ici.]

Les salariés retrouveraient ainsi la faculté d'épargner de manière plus productivepour s'assurer plus efficacement contre les aléas de la vie. Ils ne seraient plus obligés de déléguer leur protection sociale à une administration qui ne cesse d'être de plus en plus gourmande et intrusive tout en dégradant chaque jour la qualité de ses prestations.a
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Invitation du Conseil des Etats pour présenter l'initiative monnaie-pleine.

January 11, 2017, 8:54 am
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Le calendrier suisse pour le vote de l'initiative monnaie-pleine alias monnaies pleines ( avec notamment le respect du www.wir.ch )

La date du vote en Suisse se rapproche à grands pas. Peu de temps après la sortie du message du Conseil fédéral, 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/11/message-federal-relatif-linitiative.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/12/monnaies-pleines-ignorance-etou.html

voici l'invitation du Conseil des Etats pour présenter l'initiative avec des questions à y répondre. La réunion aura lieu en février. Avec comme invités notamment la Banque nationale suisse. 

Cette invitation officielle est un signe clair que le Parlement traitera notre sujet au printemps ou au plus tard lors de la session d'été, le vote pourrait avoir lieu dans le troisième ou quatrième trimestre de 2017 déjà.

Prenez contact avec votre député(e) préféré(e) pour le préparer, l'étape suivante sera le Conseil national. Merci

Quelques moyens pour faire réfléchir !


François de Siebenthal: Projet de loi d'application de monnaie-pleine

desiebenthal.blogspot.com/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

4 déc. 2015 - Remarques et améliorations à siebenthal at gmail . com ou ++ 41 21 ... Grâce à monnaie pleine, on peut maintenant faire un projet de loi  ou un contre-projet

Images correspondant à projet siebenthal

Résultat de recherche d'images pour "projet siebenthal"
Résultat de recherche d'images pour "projet siebenthal"

François de Siebenthal: Projet de lettre ouverte à la Banque Nationale ...

desiebenthal.blogspot.com/2016/04/projet-de-lettre-ouverte-la-banque.html

9 avr. 2016 - 2016 - http://www.de-siebenthal.com/Vix%20pervenit.htm ... ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, ...
M3 sans les fonds de pension !

Hourrah, les suisses-alémaniques se réveillent :-), ci-dessous...






Liebe Freunde

Ich bin Mitglied einer Gruppe von 24 welschen Aktionären, die zu Handen der GV der Nationalbank vom 29. April zehn Anträge gestellt hat.


Einige Anträge sind Vollgeld-trächtig. So fordern wir, dass Nationalbankgeld vom selbst geschöpften Geld der Banken unterschieden wird, da seine rechtlichen und ökonomischen Eigenschaften sehr unterschiedlich sind. Im weiteren fordern wir, dass alle Bürger ein Konto bei der SNB führen können.


Obwohl das Nationalbankgesetz solche Anträge, die dann an den Gesetzgeber weitergeleitet werden müssen, ausdrücklich zulässt, hat die SNB die Anträge von der Behandlung ausgeschlossen – mit windigen, durch keine gesetzlichen Grundlagen gestützten Argumenten.


Ich weiss, dass man in der Vollgeld-Bewegung mit der SNB pfleglich umgeht. Trotzdem finde ich, dass dieses Verhalten nicht toleriert werden kann. Zudem ist das Thema eine ausgezeichnete Plattform, die Geldschöpfung der Banken und die Vollgeld-Initiative zu thematisieren.

Was man aber sicher tun kann, ist, die Texte und Posts dazu kommentieren, liken und verlinken:


http://insideparadeplatz.ch/2016/04/06/die-nationalbank-will-missliebige-antraege-an-ihrer-aktionaersversammlung-nicht-zulassen/


http://www.christoph-pfluger.ch/2016/04/06/nationalbank-blockiert-unerwuenschte-antraege-an-die-generalversammlung/


https://www.vimentis.ch/dialog/readarticle/nationalbank-blockiert-missliebige-antraege/


http://www.politnetz.ch/artikel/22596-die-nationalbank-blockiert-einen-antrag-zur-unterscheidung-zwischen


Wenn es uns gelingt, das Thema in den Mainstream zu bringen, können wir lange vor der Abstimmung weitere Köpfe für die Vollgeld-Reform gewinnen.


Mit einem herzlichen Gruss in die Runde

Christoph Pfluger

Zeitpunkt

Werkhofstrasse 19

CH-4500 Solothurn

Tel. 032 621 81 12, Fax 032 621 81 10

christoph.pfluger@zeitpunkt.ch

www.zeitpunkt.ch

http://edition.zeitpunkt.ch

www.christoph-pfluger.ch



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888 ans des templiers ce vendredi 13

January 11, 2017, 1:21 pm
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LA RÉHABILITATION DES TEMPLIERS


Un sceau des templiers



Un montage prémonitoire ? Les deux nouveaux templiers ?



Ce vendredi 13 janvier 2017 ( sic, un vendredi 13, clin d'oeil...) sera une date spéciale pour les chrétiens férus d'histoire chrétienne. 

Allez prier dans l'un de ces lieux, surtout ce 

vendredi 13 :

https://www.google.ch/search?q=eglise+octogonale&rlz=1C1BOBA_enCH595CH596&espv=2&biw=1536&bih=810&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwiJ-sXQwrrRAhUCXhQKHS1zChwQ7AkIKA


Ouverture du concile de Troyes.


Ce concile est convoqué par le pape Honorius II à la demande d'Hugues de Payns, pour reconnaître officiellement l'Ordre du Temple, dont la règle, rédigée par Saint Bernard, est approuvée par le concile. L'ordre des Templiers a été fondé dix ans avant, sous l'impulsion du chevalier Hugues de Payns, à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Le roi de Jérusalem, Baudouin II, avait alors logé les premiers chevaliers sur l'ancien temple de Salomon, duquel ils tirent leur nom.

Il y aura 888 ans qu'aura été reconnue par le concile de Troyes en 1129 la règle d' une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon, plus connus sous le nom des TEMPLIERS.

Ce 13 janvier 1129, la mobilisation est forte. Sous l’autorité du légat pontifical Mathieu d’Albano - représentant du pape - sont réunis notamment les plus importants prélats des provinces ecclésiastiques de Sens et de Reims : les archevêques (Reims et Sens), les évêques (Chartres, Soissons, Paris, Troyes, Orléans, Châlons, Laon, Beauvais), les abbés (Clairvaux, Cîteaux, Vézelay, Pontigny, Trois-Fontaines, Saint-Denis de Reims, Saint-Étienne de Dijon et Molesme).

Quelques laïcs sont aussi présents, notamment : le comte de Champagne Thibaud II avec son sénéchal André de Baudement, ainsi que le comte de Nevers, Guillaume II.

Elle œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades, participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête ibérique. Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, elle constitua à travers l'Europe chrétienne d'Occident et à partir de dons fonciers, un réseau de monastères appelés commanderies.

Cette activité soutenue fit de l'ordre un interlocuteur financier privilégié des puissances de l'époque, le menant même à effectuer des transactions sans but lucratif avec certains rois ou à avoir la garde de trésors royaux.


Après la perte définitive de la Terre sainte consécutive au siège de Saint-Jean-d'Acre de 1291 ( année de la fondation de la Confédération helvétique avec le pacte fédéral rédigé dans un excellent latin, Confédération  héritière de son esprit et de ses découvertes spirituelles, religieuses, culturelles et notamment financières ), l'ordre fut victime de la lutte entre la papauté et le roi de France, Philippe le Bel. Il fut dissous par le pape Clément V le 13 mars 1312 à la suite d'un procès en hérésie, procès révisé notamment par le Pape Benoît XVI. Jacques de Molay, ... Grand Maître de l'Ordre, fut exécuté en mars 1314 sur un bûcher dressé sur l'île aux Juifs à Paris.

LA RÉHABILITATION DES TEMPLIERS

Il y a BIENTÔT 10 ans, le Vatican lavait les Templiers de toute accusation d’hérésie et du coup réhabilitait l’Ordre. Ce qui longtemps fut appelé légende, redevient réalité. Mais que savons-nous de cet ordre ancien réputé dans la construction de Cathédrales gothiques, comme Notre Dame de Paris ?


Rome, Jeudi 25 octobre 2007, coup de théâtre, une nouvelle publication lave les Templiers de toute accusation d’hérésie : le Vatican réhabilite l’Ordre. Ce qui longtemps fut appelé légende, redevient réalité.


L’histoire conte qu’en l’an 1119, neuf chevaliers français, dévots, religieux et craignant Dieu, se présentèrent au roi de Jérusalem Baudouin II. Ils lui révélèrent qu’ils avaient formé le dessein de s’établir en communauté et de protéger des larrons et des meurtriers les pèlerins ; et de garder les routes publiques. Comme l’emplacement de leur communauté était au lieu même de l’ancien Temple de Salomon, le nom leur fut donné de Chevaliers du Temple ou Templiers.


C’est ainsi que débuta la belle légende de l’Ordre religieux et militaire du Temple qui devait marquer toute la chrétienté de son empreinte et qui s’acheva sur le bûcher du 19 mars 1314 où le Roi Philippe le Bel fit brûler le dernier Grand Maître, Jaques de Molay.


Pour le Vatican, le motif principal de la publication des fac-similés des parchemins consiste à éclaircir les circonstances qui ont mené le pape Clément V à laver les Templiers du soupçon d’hérésie. Le pape avait certes suspendu l’Ordre, mais sans le dissoudre.

On sait que le procès s’est déroulé dans un climat de tensions politiques entre le pape et le roi de France, Philippe le Bel.


Engagé dans une dispendieuse guerre contre l’Angleterre, Philippe le Bel avait grandement besoin d’argent. À la fin des croisades où les chrétiens étaient contraints de quitter la terre sainte, les Templiers regagnèrent l’Europe, précisément la France d’où ils sont partis. Ils possédaient des richesses immenses, augmentées par les biens issus du travail de leurs commanderies (bétail, agriculture…). Mais en plus de cela, ils possédaient une puissance militaire équivalente à quinze mille hommes dont mille cinq cents chevaliers tous dévoués au pape. Une telle force ne pouvait que se révéler gênante pour le pouvoir en place engagé à guerrier contre les anglais.

Pour s’emparer des biens des Templiers, le roi avait mis en œuvre une stratégie de discrédit qui aboutit à l’accusation d’hérésie. Recourant à la torture, le roi réussit à obtenir des confessions sur des rites initiatiques qui auraient été pratiqués dans l’Ordre.

Au Concile de Vienne qui se tint le 16 octobre 1311 au sein de la cathédrale Saint-Maurice, Philippe le Bel fit pression sur le pape et obtint, par la bulle Vox in excelso, l’abolition de l’ordre.

C’est Philippe le Bel qui fut le grand gagnant dans cette affaire. La chute de l’ordre lui permit de renflouer les caisses de l’Etat dont le déficit aurait alors été comblé après plusieurs années.

Quant à Clément V, ancien archevêque de Bordeaux, comme les italiens de l’époque avaient un fort ressentiment contre un pape français, il finit par s’installer à Avignon en 1309, inaugurant ainsi, sur une résidence qui se voulait temporaire, la lignée des papes d’Avignon jusqu’en 1403.

La fin de ces deux souverains français sera attribuée à ce que la légende désignera par la malédiction des Templiers :

« Lorsqu’il monte sur le bûcher, le grand maître des Templiers, Jacques de Molay, lance, le 19 mars 1314 : « Clément, juge inique et cruel bourreau, je t’ajourne à comparaître dans quarante jours, devant le tribunal du souverain juge ». Quarante jours plus tard, le pape Clément V meurt à Roquemaure (Gard), et le 29 novembre 1314, Philippe IV le Bel meurt à son tour ».

La fin tragique des Templiers a contribué à générer des légendes à leur sujet. Celles-ci vont des rumeurs au sujet de leur association avec le Saint-Graal, jusqu’aux interrogations à propos de leurs liens éventuels avec les francs-maçons. De plus, certains groupements ou sociétés secrètes, tels que le Prieuré de Sion, la Rose-Croix ou encore certaines sectes, telles que l’Ordre du Temple solaire ou l’Ordo Templi Orientis, se réclameront par la suite de l’ordre, affirmant leur filiation en s’appuyant sur une pseudo-survivance de l’ordre ou en usurpant l’habit templier et en reprenant certains rites.

Avec la réhabilitation des Templiers, c’est un autre travail qui s’ouvre devant nous. Il faudra dissocier l’Ordre de ses fausses filiations et rétablir la vérité historique de chaque groupe.

Paul Nzinga N'ditu,

Rome, le 30 octobre 2007


Combien y a-t-il de Béatitudes évangéliques et quelles sont-elles ?

Il y a huit Béatitudes évangéliques :

1 Bienheureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux leur appartient.

2 Bienheureux les doux, car ils posséderont la terre.

3 Bienheureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.

4 Bienheureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.

5 Bienheureux les miséricordieux, car ils trouveront miséricorde.

6 Bienheureux les coeurs purs, car ils verront Dieu.

7 Bienheureux les pacifiques, parce qu’ils seront appelés enfants de Dieu.

8 Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour l’amour de la justice, car le royaume des cieux leur appartient.

Pourquoi Jésus-Christ nous a-t-il proposé les Béatitudes ?

Jésus-Christ nous a proposé les Béatitudes pour nous faire détester les maximes du monde et pour nous inviter à aimer et pratiquer les maximes de son Evangile.

Quels sont ceux que le monde appelle bienheureux ?

Le monde appelle bienheureux ceux qui ont en abondance les richesses et les honneurs, ceux qui vivent dans les délices et qui n’ont aucune occasion de souffrir.

Qu’est-ce que les pauvres en esprit que Jésus-Christ appelle bienheureux ?

Les pauvres en esprit, selon l’Evangile, sont ceux qui ont le coeur détaché des richesses :

en faisant un bon usage, s’ils les possèdent

ne les recherchant pas avec sollicitude, s’ils en sont privés

en souffrant la perte avec résignation, si elles leur sont enlevées.

Qu’est-ce que les doux ?

Les doux sont ceux qui traitent le prochain avec douceur, souffrent avec patience ses défauts et les torts qu’ils en éprouvent, sans querelle, ressentiment ou vengeance.

Qui sont ceux qui pleurent et cependant sont appelés bienheureux ?

Ceux qui pleurent et cependant sont appelés bienheureux sont ceux ;

qui souffrent avec résignation les tribulations,

qui s’affligent à cause des péchés commis,

des maux, et des scandales qu’on voit dans le monde,

de l’éloignement du paradis et du danger de le perdre.

Qui sont ceux qui ont faim et soif de la justice ?

Ceux qui ont faim et soif de la justice sont ceux qui désirent ardemment de croître toujours davantage dans la grâce divine et l’exercice des oeuvres bonnes et vertueuses.

Qui sont les miséricordieux ?

Les miséricordieux sont ceux qui :

aiment leur prochain en Dieu et pour Dieu,

ont compassion de ses misères spirituelles et corporelles,

et tâchent de le soulager selon leurs forces et leur état.

Qui sont les coeurs purs ?

Les coeurs purs sont ceux qui :

n’ont aucune affection au péché et s’en tiennent éloignés,

et qui fuient surtout toute sorte d’impureté.

Qui sont les pacifiques ?

Les pacifiques sont ceux qui :

conservent la paix avec le prochain et avec eux-mêmes,

et qui tâchent de mettre la paix entre ceux qui sont divisés.

Qui sont ceux qui souffrent persécution pour l’amour de la justice ?

Ceux qui souffrent persécution par amour de la justice sont ceux qui supportent avec patience les moqueries, les blâmes et les persécutions à cause de la foi et de la loi de Jésus-Christ.

Que signifient les diverses récompenses promises par Jésus-Christ dans les Béatitudes ?

Les diverses récompenses promises par Jésus-Christ dans les Béatitudes signifient toutes, sous divers noms, la gloire éternelle.

Les Béatitudes nous procurent-elles seulement la gloire éternelle du paradis ?

Les Béatitudes ne nous procurent pas seulement la gloire éternelle du paradis, elles sont encore les moyens de rendre notre vie aussi heureuse qu’il est possible ici-bas.

Ceux qui suivent les Béatitudes n’en reçoivent-ils pas déjà quelque récompense en cette vie ?

Si, certainement, ceux qui suivent les Béatitudes en reçoivent déjà quelque récompense même en cette vie, parce qu’ils jouissent déjà d’une paix et d’un contentement intimes qui sont le principe, bien qu’encore imparfait, de la félicité éternelle.

Ceux qui suivent les maximes du monde peuvent-ils se dire heureux ?

Non, ceux qui suivent les maximes du monde ne sont pas heureux, parce qu’ils n’ont pas la vraie paix de l’âme et qu’ils courent le danger d’être damnés.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/12/les-888-ans-des-templiers.html




Europe, l'hiver démographique se confirme.


Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays catholique du Sud...

La proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, plus particulièrement dans les pays du Sud qui "cumulent des difficultés" notamment économiques, ... confirme ce mercredi 11 janvier 2016 une étude de l'Ined.
...

...  la fécondité n'a cessé de baisser, souligne l'Institut, atteignant des niveaux très bas en Europe: 1,7 enfant en moyenne pour les femmes nées en 1974.

"Une contraception efficace, une arrivée des enfants plus tardive, une instabilité plus grande des unions, le souhait d'avoir avant tout un emploi alors qu'ils sont de plus en plus instables et l'incertitude économique croissante" ont pu favoriser cette infécondité, analyse-t-il.

C'est en Europe du Sud - jusqu'à une femme sur quatre née dans les années 1970 pourrait rester sans enfant en Espagne, Grèce et Italie - que le taux d'infécondité a progressé le plus rapidement.

Dans ces pays, qui cumulent "des difficultés sur le marché de l'emploi" et "des inégalités de genre encore très marquées qui rendent difficile la conciliation entre travail et famille", ce taux devrait encore augmenter, frôlant le pic atteint après la Première Guerre mondiale, prédit l'institut.


http://www.ined.fr/fr/publications/population-et-societes/femmes-sans-enfant-pic-en-europe/

François de Siebenthal: Monde, l'hiver démographique :

desiebenthal.blogspot.com/2010/03/monde-lhiver-demographique.html

18 mars 2010 - L'inventeur de l'expression « hiver démographique » est quant à lui le recteur Gérard-François Dumont, directeur de la revue Population et ...

Europe, l'hiver démographique

https://books.google.ch/books?isbn=2825100056
1989 - ‎Europe
La création de l'Institut Suisse de Démographie et de Développement, ISDD, dont ... François Geinoz François de Siebenthal Michel Tricot Préface par Philippe ...

** Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/4693uZT5moU

François de Siebenthal
Il y a 10 minutes - Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays ...

François de Siebenthal: La NASA et notre disparition

desiebenthal.blogspot.ch/2015/08/la-nasa-et-notre-disparition.html

20 août 2015 - l'hiver démographique. https://books.google.ch/books?isbn=2825100056 .... François de Siebenthal: Démographie : la chute a commencé.

europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction ...

www.abebooks.fr/...l'hiver-démographique.../geinoz-françois-siebenthal-françois-de-sua...
europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction de pierre chaunu de geinoz françois siebenthal françois de suarez antoine tricot michel ...

Livre - Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidoux ...

www.chapitre.com › ... › Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidou...
Introduction de Pierre Chaunu de Geinoz (François) / Siebenthal (François De) / Suarez ... commander et acheter le livre Europe : l'hiver démographique.

Europe, l'hiver démographique - Marie-Laure Beck, François Geinoz ...

https://books.google.com/books/about/Europe_l_hiver_démographique.html?id...
QR code for Europe, l'hiver démographique. Title, Europe, l'hiver démographique. Une publication de l'Institut suisse de démographie et de développement.

L'hiver démographique - Les Manants du Roi

archives.lesmanantsduroi.com/articles2/article71894.php

L'hiver démographique. Les Ecolo ont “gagné”, paraît-il, les élections européennes. Ils auraient également gagné, paraît-il, les élections régionales. Bien.
Termes manquants : siebenthal

Hommages - Pour que son souvenir demeure: Vladimir DIMITRIJEVIC

www.hommages.ch/Defunt/61932/Vladimir_Dimitrijevic

6 avr. 2011 - François De Siebenthal ... publié l'un de nos livres: "Europe, l'hiver démographique" et qui voulait en publier la suite sur les causes financières ...

Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/AvfwEXjnfgA

François de Siebenthal
3 févr. 2016 - Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants. Même la Migros en parle... Le numéro MM05 du 1er février 2016 est consacré aux familles.
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January 11, 2017, 1:33 pm
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Europe, l'hiver démographique se confirme.


Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays catholique du Sud...

La proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, plus particulièrement dans les pays du Sud qui "cumulent des difficultés" notamment économiques, ... confirme ce mercredi 11 janvier 2016 une étude de l'Ined.
...

...  la fécondité n'a cessé de baisser, souligne l'Institut, atteignant des niveaux très bas en Europe: 1,7 enfant en moyenne pour les femmes nées en 1974.

"Une contraception efficace, une arrivée des enfants plus tardive, une instabilité plus grande des unions, le souhait d'avoir avant tout un emploi alors qu'ils sont de plus en plus instables et l'incertitude économique croissante" ont pu favoriser cette infécondité, analyse-t-il.

C'est en Europe du Sud - jusqu'à une femme sur quatre née dans les années 1970 pourrait rester sans enfant en Espagne, Grèce et Italie - que le taux d'infécondité a progressé le plus rapidement.

Dans ces pays, qui cumulent "des difficultés sur le marché de l'emploi" et "des inégalités de genre encore très marquées qui rendent difficile la conciliation entre travail et famille", ce taux devrait encore augmenter, frôlant le pic atteint après la Première Guerre mondiale, prédit l'institut.


http://www.ined.fr/fr/publications/population-et-societes/femmes-sans-enfant-pic-en-europe/

François de Siebenthal: Monde, l'hiver démographique :

desiebenthal.blogspot.com/2010/03/monde-lhiver-demographique.html

18 mars 2010 - L'inventeur de l'expression « hiver démographique » est quant à lui le recteur Gérard-François Dumont, directeur de la revue Population et ...

Europe, l'hiver démographique

https://books.google.ch/books?isbn=2825100056
1989 - ‎Europe
La création de l'Institut Suisse de Démographie et de Développement, ISDD, dont ... François Geinoz François de Siebenthal Michel Tricot Préface par Philippe ...

** Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/4693uZT5moU

François de Siebenthal
Il y a 10 minutes - Europe, l'hiver démographique se confirme. Démographie: la proportion de femmes sans enfant ne cesse d'augmenter en Europe, surtout dans les pays ...

François de Siebenthal: La NASA et notre disparition

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20 août 2015 - l'hiver démographique. https://books.google.ch/books?isbn=2825100056 .... François de Siebenthal: Démographie : la chute a commencé.

europe l'hiver démographique préface de philippe pidoux introduction ...

www.abebooks.fr/...l'hiver-démographique.../geinoz-françois-siebenthal-françois-de-sua...
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Livre - Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidoux ...

www.chapitre.com › ... › Europe : l'hiver démographique. Préface de Philippe Pidou...
Introduction de Pierre Chaunu de Geinoz (François) / Siebenthal (François De) / Suarez ... commander et acheter le livre Europe : l'hiver démographique.

Europe, l'hiver démographique - Marie-Laure Beck, François Geinoz ...

https://books.google.com/books/about/Europe_l_hiver_démographique.html?id...
QR code for Europe, l'hiver démographique. Title, Europe, l'hiver démographique. Une publication de l'Institut suisse de démographie et de développement.

L'hiver démographique - Les Manants du Roi

archives.lesmanantsduroi.com/articles2/article71894.php

L'hiver démographique. Les Ecolo ont “gagné”, paraît-il, les élections européennes. Ils auraient également gagné, paraît-il, les élections régionales. Bien.
Termes manquants : siebenthal

Hommages - Pour que son souvenir demeure: Vladimir DIMITRIJEVIC

www.hommages.ch/Defunt/61932/Vladimir_Dimitrijevic

6 avr. 2011 - François De Siebenthal ... publié l'un de nos livres: "Europe, l'hiver démographique" et qui voulait en publier la suite sur les causes financières ...

Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/AvfwEXjnfgA

François de Siebenthal
3 févr. 2016 - Hiver démographique & la Migros ! L'Europe en manque d'enfants. Même la Migros en parle... Le numéro MM05 du 1er février 2016 est consacré aux familles.
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Invitations Revenu de Base Inconditionnel ( RBi) à Lausanne

January 11, 2017, 11:56 pm
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Bonne année 2017 !
En 2017, on fait évoluer la formule.
Pendant la période de campagne pour le RBI, la séance romande était surtout une séance de coordination entre des projets se faisant un peu partout.

Depuis l'été dernier, on revoit un peu les fondements du RBI, ce que l'on a envie de promouvoir maintenant que le cadre de l'initiative qui nous occupé pendant des années n'est plus.


Donc en 2017, chaque réunion mensuelle visera à approfondir un thème en particulier. (sans fermer la porte à des thèmes d'actualité)

Ce jeudi, le thème sera un peu particulier, vu qu'il sera consacré à notre nouvel outil de wiki qui servira de base de connaissance la plus exhaustive possible sur le RBI.
Ainsi que sur la validation des thèmes qui ont été proposés pour les soirées thématiques de toutes l'année.

Comme le format des soirées lausannoises n'est pas le format préféré pour les gens qui viennent de loin, nous proposerons aussi des journées (3-4 par années... les dates suivrons).

Tu peux déjà noter les dates des soirées:
Prochaines séances de l'année 2017:
12 janvier Jeudi
15 février Mercredi
16 mars Jeudi
12 avril Mercredi
11 mai Jeudi
14 juin Mercredi
13 juillet Jeudi
16 aout Mercredi
14 septembre Jeudi
11 octobre Mercredi
09 novembre Jeudi
13 décembre Mercredi

A tout bientôt

https://www.facebook.com/events/310260062703726/?active_tab=about


Le RDV est dans le bar-restaurant de Ticino, exceptionnellement pour cette fois.

***Nouveaux horaires***
18h30-19h00: accueil des nouvelles/nouveaux, présentation de notre organisation et infos sur le rbi

19h00-21h30: séance de travail
A "Bénévolat Vaud"
Av. Ruchonnet 1
Lausanne
(à 2 min à pied de la gare)

Thème de la soirée du 12 janvier:
- communication interne tiki wiki et sondages Facebook
- Planifications des journées de décisions

Il s'agit de la réunion romande de "génération RBI" qui a lieu tous les mois en alternance les mercredi et jeudi.
Pour en savoir plus sur notre structure, notre organisation et nos mode de décision => http://rbi-oui.ch/structure/

Il existe aussi des réunions plus locales dans tous les cantons.

Consultez et abonnez-vous à notre agenda sur la page: http://rbi-oui.ch/agenda/

Pour en savoir plus sur le RBI, visiter:
http://rbi2016.ch/


Pour financer le RBi, les monnaies-pleines

  • Invitation du Conseil des Etats pour présenter l'i...
  • Les coûts selon le crédit social
  • Europe, l'hiver démographique se confirme.
  • 15 choses qu'ils ne vous disent pas sur l'argent
  • La création monétaire par les banques commerciales...
  • Les "trois singes sages ou manipulés"
  • Sortir du Franc CFA !
  • Allais : psychologie en monnaie
  • Le revenu universel en dix questions
  • Rappel: Jeu de la monnaie à La Chaux de fonds en S...
  • Pour ou contre le «revenu de base» ?

  • More than just go to work, pay bills and die.
  • Finance: on ne peut pas se taire !
  • Le robot nous "dé-robotise" et nous libère...
  • Dette mondiale de 152`000 milliards de $

  • Les banques et leurs enrichissements illégitimes
  • Les deux parties de l'émission de radio courtoisi...
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La création monétaire des banques commerciales sur BFMTV.

January 12, 2017, 2:27 pm
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La création monétaire des banques commerciales sur BFMTV. 


Gaël Giraud fait une excellente remarque à ce propos!

https://youtu.be/Hr8Hw-ePzVA


  • 15 choses qu'ils ne vous disent pas sur l'argent

  • La création monétaire par les banques commerciales...
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La beauté de la création

January 12, 2017, 11:42 pm
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 St Nicolas de Flüe, St patron de la Suisse ET de la paix mondiale

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/600eme-anniversaire-de-nicolas-de-flue.html












L'un des plus grands scientifiques Isaac Newton dira 

" J'ai une croyance totale dans la Bible comme Parole de Dieu, écrite par ceux qu’il a inspirés. Je l’étudie tous les jours. " 
…
La Bible décrivait des réalités impossibles à savoir avec les moyens de l'époque que la science mettra longtemps à découvrir.

La création est faites d'éléments invisible (les atomes)(Hébreux 11:2) la science de l'époque était ignorante sur le sujet...

...Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas....

l'Océan contient des vallées et des montagnes (2 Samuel 22:15) ( Jonas 2:5 ) la science de l'époque disait que le fond de l'océan était plat... 

4... Je disais: Je suis chassé loin de ton regard! Mais je verrai encore ton saint temple. 5 Les eaux m'ont couvert jusqu'à m'ôter la vie, L'abîme m'a enveloppé, Les roseaux ont entouré ma tête. 6 Je suis descendu jusqu'aux racines des montagnes, Les barres de la terre m'enfermaient pour toujours; Mais tu m'as fait remonter vivant de la fosse, Éternel, mon Dieu!…


la Terre est une sphère (Ésaïe 40:22) à l'époque la science disait que la terre était un disque aplati /  

Ésaïe 40

…21
Ne le savez-vous pas? ne l'avez-vous pas appris? Ne vous l'a-t-on pas fait connaître dès le commencement? N'avez-vous jamais réfléchi à la fondation de la terre? 

22 C'est lui qui est assis au-dessus du cercle de la terre, 


Et ceux qui l'habitent sont comme des sauterelles; Il étend les cieux comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure. 23 C'est lui qui réduit les princes au néant, Et qui fait des juges de la terre une vanité;

Les étoiles sont innombrables (Jérémie 33:22) la science de ce temps disait qu'il n'y avait que 1100 étoiles...

l'air pèse du poids (Job 28:25) à l'époque la science disait que l'air était sans poids...

chaque étoile est différente (1 Corinthiens 15:4 ) à l'époque la science disait que les étoiles étaient toutes les mêmes/

le sang est la source de vie et de santé (Lévitique 17:11) la science de l'époque disait que les gens malades devaient être saignés /

l'Océan a des sources (Job 38:16) la science de l'époque disait que l'océan n'est du qu'à la pluie et aux fleuves/

la Lumière bouge (Job 38:19) la science de l'époque disait que la lumière est  immobile/

La Terre flotte dans l'espace (Job 26:7) La science de l'époque disait que la Terre reposait sur un large animal/

le vent tourne en cycle (Ecclésiaste 1:5) la science de l'époque disait que le vent était à sens unique

etc...
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Impeachment de Trump ? Provocations graves par les USA

January 13, 2017, 12:17 am
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Provocations guerrières désespérées vu la grave crise imminente ?
Recherches pour provoquer l' Impeachment de Trump ?
Aux USA, violations de domiciles diplomatiques en rupture de toutes les lois internationales dans une recherche désespérée de preuves inexistantes, drones et hélicoptères pour fermer l’accès des résidences diplomatiques russes. Refusant aux diplomates russes l’accès aux sites appartenant à leur pays sur le territoire américain, Washington viole tous ses propres engagements internationaux, constate la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova.
C’est dans la plus pure tradition des blockbusters hollywoodiens que les autorités américaines ont fermé l’accès des résidences diplomatiques russes à New-York et dans l’État du Maryland pour le personnel de l’ambassade de Russie, a annoncé jeudi la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.
 « Ce qui s’est produit cette nuit dans le Maryland ressemblait plutôt au tournage d’un blockbuster d’espionnage (…) Le déménagement s’est effectué sous un contrôle très serré des services secrets américains (…) qui avaient pris position dès la veille, en plaçant le long du périmètre du site des dizaines de véhicules, bloquant les entrées principales et de réserve et en installant de puissants projecteurs, alors que deux vedettes sillonnaient le golfe et des drones et deux hélicoptères équipés d’appareils optiques survolaient la zone », a raconté la diplomate aux journalistes à Moscou.
Et d’ajouter que des barbelés et des chiens pourraient bien compléter le tableau. « Et cela se produit dans le pays des juristes ! Cette démarche des Américains n’est sans doute rien d’autre qu’une tentative d’usurpation des biens russes. Tout cela se trouve en contradiction flagrante avec les engagements juridiques des États-Unis. Pire, cela ne correspond même pas au concept même d’État contemporain, sujet du droit international. En tant que membre des Nations unies et signataire de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques de 1961, Washington peut-il agir ainsi, à titre unilatéral, à l’égard des normes universellement reconnues sur son territoire ? », s’est indignée la diplomate.
Maria Zakharova en a profité pour rappeler que même sous le républicain-faucon Reagan, on n’observait pas une telle mentalité au sein de l’administration américaine.  « On ne touchait pas aux résidences diplomatiques russes malgré les cas d’expulsions de diplomates qui arrivaient parfois, mais on les a fermées de façon aussi barbare sous le démocrate convaincu Obama », a souligné Mme Zakharova.
Selon cette dernière, les autorités américaines ont levé l’immunité diplomatique de ces sites russes. « D’après certaines fuites dans la presse locale, les Américains ont d’ores et déjà pénétré dans cette résidence diplomatique russe, et certains hommes d’affaires lorgnent ce terrain », a déclaré la porte-parole. Washington a décidé d’expulser 35 diplomates russes que le président américain sortant Barack Obama a qualifiés « d’agents secrets ». En outre, son administration a fermé deux résidences diplomatiques russes sur le territoire des États-Unis, « datchas » où, aux heures de loisirs, les diplomates avaient l’habitude de faire griller des chachlik (du mouton en brochettes, ndlr).
En savoir plus: 

https://fr.sputniknews.com/international/201701121029559705-residences-russie-diplomates-usa-drones-helicopteres/

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Revenus aux banquiers ou revenus universels pour tous ?

January 13, 2017, 4:58 am
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La Banque centrale européenne fabrique du néant 60 milliards d'euros par mois et donne cet argent gratuitement seulement à ses amis banquiers. 

Le sauvetage des banques espagnoles a coûté par exemple plus de 60 milliards d'euros aux seuls contribuables espagnols, selon les chiffres 2015.

Les banques NOTAMMENT italiennes  doivent être sauvées et l'Etat italien cherche plus de 20 milliards d'euros en plus - ce qui sera insuffisant selon les experts.

Même les banques allemandes sont sur la sellette...  Bâle III est bloqué. Les banquiers commencent déjà un Bâle IV pour nous exploiter encore plus et ils profitent honteusement des malheurs des peuples et des réfugiés qu'ils provoquent à dessein pour en exploiter les détresses sur le dos de toujours plus de dettes mises sur le dos des familles de contribuables...

La seule solution est de sortir les banquiers du jeu ( ils ont gaspillé plus de 33'000 milliards d'€ rien qu'en Europe... ) ... et d'y introduire le revenu universel pour tous.

La banque est trop importante pour le bien commun pour la laisser aux seuls banquiers.

Ils trichent tout, les prix, les bourses, les contrats, les impôts, les taux, les mots, les vaccins, les médicaments, la nourriture, l'amour, l'eau, même les moteurs qui nous polluent ( VW, Renault, Fiat... )... Ils veulent des guerres atroces...

L'Europe n'est que mensonges, un tissu de mensonges plus gros les uns que les autres...

























  • La création monétaire par les banques commerciales... ou les monnaies-pleines suisses ?


  • La création monétaire des banques commerciales sur...
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  • Europe, l'hiver démographique se confirme. Dém...
  • 888 ans des templiers ce vendredi 13
  • Invitation du Conseil des Etats pour présenter l'i...
  • Les coûts selon le crédit social
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François de Siebenthal: Europe de tricheurs !

desiebenthal.blogspot.com/2016/11/europe-de-tricheurs.html
28 nov. 2016 - Ils se fichent de l'Europe entière et pas seulement des Suisses. ... que les 47 jugeseuropéens à l'origine des mensonges et de cette tromperie, ...

François de Siebenthal: Copenhague, les mensonges au pouvoir.

desiebenthal.blogspot.com/2009/10/copenhague-les-mensonges-au-pouvoir.html
26 oct. 2009 - Mensonges du CO2 http://video.google.fr/videoplay?docid=- ..... Vu qu'en Europe, en Allemagne et en Suisse notamment , il existe des vaccins ...

François de Siebenthal: Les mensonges odieux mais officiels sur les ...

desiebenthal.blogspot.com/2008/05/les-mensonges-odieux-mais-officiels-sur.html
8 mai 2008 - Comment imaginer les mensonges et manipulations qui allaient conduire à .... 4) les chercheurs européens ont brillé par leur silence quand ce ...

François de Siebenthal: L' Europe croule sous les particules fines. Les ...

desiebenthal.blogspot.com/2009/01/l-europe-croule-sous-les-particules.html
13 janv. 2009 - Malheureusement il y a eu une augmentation énorme des tumeurs à ... skypesiebenthal ..... Mensonges avec ou sans préjudice pour autrui…

edi05-05 - Famille de Siebenthal

www.de-siebenthal.com/edi05-05.htm
... fallait-il pas la leur signaler ? Jean de Siebenthal .... François de Siebenthal ..... Autre mensongeparmi d'autres : l'Europe c'est le plein emploi. Or c'est tout le ...

Jacques Sapir dénonce les mensonges de l'Union Européenne ...

www.businessbourse.com/.../jacques-sapir-denonce-les-mensonges-de-lunion-europee...
7 sept. 2016 - Dans cet entretien, Jacques Sapir dévoile le mensonge qui a fondé l'idée d'Europefédérale, le caractère anti-démocratique des instances ...

François de Siebenthal: Le plein emploi, c'est un revenu digne, selon ...

desiebenthal.blogspot.ch/2012/05/le-plein-emploi-cest-un-revenu-digne.html
17 mai 2012 - Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une ... L'ensemble des réseaux européens promoteurs d'un revenu de base ...

François de Siebenthal: Sarkozy et Clovis.

desiebenthal.blogspot.ch/2012/05/sarkozy-et-clovis.html
5 mai 2012 - M. François de Siebenthal est MBA et licencié en économie HEC de ... Il est venu évangéliser l'Europe, notamment la Suisse, l'Alsace et la montée vers la Pologne. ...... Mensongesavec ou sans préjudice pour autrui…
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