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Révélations: banques suisses et Bilderberg

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Révélations sur des banques suisses et les Bilderberg!




Cette interview d’un ancien banquer Suisse, réalisée à Moscou le 30 Mai dernier et traduite pour LaPresseGalactique.com, risque d’en surprendre plus d’un. Je ne peux pour ma part affirmer que tout ce que dit cet homme est juste, mais pour avoir fait des recherches sur les Bilderberg par le passé, j’ai la certitude pour nombre des informations contenues dans cette interview, qu’elles sont vraies. Je laisse donc tout cela à votre discernement. Je pense moi aussi, comme il est dit dans cette interview, que la vérité mise au grand jour peut largement contribuer à arrêter ces gens dans leur folie.
Les Bilderberg, c’est comme les chemtrails, une majorité n’en a jamais entendu parler alors même que c’est du domaine public. Pour ceux qui ne connaîtraient donc pas, il s’agit d’un groupe qui s’est formé en 1952 et réuni pour la première fois en 1954 à l’hôtel Bilderberg (d’où son nom), à Oosterrbeek aux Pays-Bas. Il est composé des gens les plus riches de la planète qui se retrouvent chaque année à grands renforts d’argent et de protection policière, et convient les personnages les plus utiles à leurs plans, venant du monde de la politique, des banques, de l’industrie et des médias, à la condition que rien ne sorte jamais de leurs réunions. Un égo flatté étant souvent prêt à toutes les bassesses, on ne sait officiellement rien du contenu de ces sauteries si ce n’est que l’ordre mondial en est l’étendard. Qu’on s’interroge au moins sur ce que peuvent avoir de démocratiques de telles messes qui décident dans le secret des nantis des orientations du monde.


Cette année, quelques jours après les gesticulations médiatiques du G8 à Deauville, la réunion des Bilderberg se déroule du 9 au 12 Juin au Grand Hôtel des Bains à Saint-Moritz en Suisse. Pour ce qui est des Français, seront vraisemblablement présents Jean-Claude Trichet (BCE), Pascal Lamy (OMC), Henri de Castries (AXA) et Thierry de Montbrial (IFRI), qui sont des habitués du genre. L’omerta comme toujours sera de rigueur et les médias traditionnels n’en parleront pas.
A ceux qui en lisant ces lignes vont crier au conspirationnisme, je n’ai qu’une chose à dire. Renseignez-vous, ne demeurez pas ignorants de tout, juste parce que vous avez trop peur au fond de vous d’envisager l’idée que vous ayiez vécu dans un monde qui n’est pas du tout celui auquel vous croyez. Il est très inconfortable de penser que l’on puisse avoir été manipulé, mais il est libérateur de pouvoir regarder les choses en face et de reprendre le pouvoir de dire non. Informez-vous, cherchez par vous même, et quoi qu’il advienne, ne nourrissez pas la colère, mais contribuez à diffuser la vérité et à dissoudre ainsi l’ancien monde.
Le Passeur. 8 juin 2011.



Révélations stupéfiantes d’un banquier suisse « initié » – Interview réalisée à Moscou le 30 mai 2011.
Q : Pouvez-vous nous dire quelque chose à propos de votre implication dans le business des banques suisses ?
A : J’ai travaillé pour les banques suisses durant plusieurs années. J’étais l’un des top directeurs de l’une des plus grandes banques suisses. Durant mon travail j’étais impliqué dans les paiements, les paiements directs en cash à une personne qui a tué le président d’un pays étranger. J’étais présent lors de la rencontre durant laquelle il a été décidé de fournir l’argent cash à l’assassin. Cela m’a donné des maux de tête terribles et a troublé ma conscience. Ce n’était pas le seul cas qui était vraiment mauvais mais c’était le pire. C’était une instruction de paiement sur ordre d’un service secret étranger écrite à la main et donnant l’ordre de payer un certain montant à la personne qui avait tué le top leader d’un pays étranger. Et ce n’était pas le seul cas. Nous avons reçu plusieurs de ces lettres écrites à la main venant de services secrets étrangers donnant l’ordre de payer cash à partir de comptes secrets pour alimenter des révolutions et les assassinats de personnes. Je peux confirmer que ce que John Perkins a écrit dans son livre « Confessions of an Economic Hit Man ». Il y a réellement un système qui existe là et les banques suisses sont impliquées dans de tels cas.
Q : Le livre de Perkins est aussi traduit et existe en Russe. Pouvez-vous nous dire de quelle banque il s’agit et qui en était responsable ?
A : C’était l’une des trois plus grandes banques suisses à cette époque et il s’agissait du président d’un pays du Tiers-Monde. Mais je ne veux pas révéler trop de détails parce qu’ils me trouveront très facilement si je dis le nom du président et de la banque. Je risquerais ma vie.
Q : Vous ne pouvez nommer aucune personne dans la banque non plus ?
A : Non je ne le peux pas, mais je peux vous assurer que cela est arrivé. Nous étions plusieurs personnes dans la salle de conférences. La personne en charge du paiement physique du cash est venu vers nous et nous a demandés s’il était en droit de payer un montant si élevé en cash à cette personne, et l’un des directeurs a expliqué le cas et tous les autres ont dit OK, vous pouvez le faire.
Q : Est-ce-que cela est souvent arrivé ? Est-ce-qu’il s’agissait d’une sorte de «Slash fund» (fond cassé) ?
A : Oui. Il s’agissait d’un fonds spécial arrangé dans un endroit spécial dans la banque, d’où toutes les lettres codées arrivaient de l’étranger. Les lettres les plus importantes étaient écrites à la main. Nous devions les déchiffrer et elles contenaient l’ordre de payer un certain montant de cash depuis des comptes pour l’assassinat de personnes, de fonds pour les révolutions, les grèves, les fonds pour toutes sortes de partis. Je sais que certaines personnes qui sont les Bilderberg étaient impliquées dans de tels ordres. Je veux dire qu’ils donnaient des ordres pour tuer.
Q : Pouvez-vous nous dire en quelle année ou décade cela s’est produit ?
A : Je préfère ne pas vous dire l’année précise mais c’était dans les années 80.
Q : Aviez-vous des problèmes dans ce travail ?
A : Oui, un très gros problème. Je ne pouvais pas dormir durant plusieurs jours et après un moment j’ai quitté la banque. Si je vous donne trop de détails ils me traceront. Plusieurs services secrets de l’étranger, pour la plupart parlant anglais, ont donné des ordres de fournir des fonds pour des actes illégaux, même l’assassinat de gens à travers les banques suisses. Nous devions payer sur les instructions de pouvoirs étrangers pour l’assassinat de personnes qui n’avaient pas suivi les ordres des Bildeberg ou du FMI ou de la Banque Mondiale par exemple.
Q : Ce sont des révélations stupéfiantes que vous êtes en train de faire. Pourquoi ressentez-vous l’urgence de dire cela maintenant ?
A : Parce que les Bildeberg vont se rencontrer en Suisse. Parce que la situation du monde empire de plus en plus. Et parce que les plus grandes banques en Suisse sont impliquées dans des activités sans la moindre éthique. La plupart de ces opérations sont en dehors des bilans comptables (balance sheets). C’est au multiple de ce qui est déclaré officiellement. Il n’y a pas de vérification et tout arrive sans taxes. Les figures impliquées ont un tas de zéros. Il s’agit de montants énormes.
Q : Alors il s’agit de billions ?
A : Il s’agit de beaucoup plus, il s’agit de trillions, complètement non vérifiés, illégaux et au-delà du système de taxe. Grossièrement on vole tout le monde. Je veux dire que la plupart des personnes normales payent des taxes et se soumettent aux lois. Ce qui se produit ici est complètement à l’opposé de nos valeurs suisses, telles que la neutralité, l’honnêteté et la bonne foi. Durant les rencontres où j’étais impliqué, les discussions allaient complètement à l’encontre de nos principes démocratiques.

Vous voyez, la plupart des directeurs des banques suisses ne sont plus des locaux, ils sont étrangers, la plupart Anglo-saxons, soit Américains ou Anglais, ils n’ont aucun respect pour notre neutralité, ils ne respectent pas nos valeurs, ils sont opposés à notre démocratie directe, ils se servent seulement des banques suisses pour leurs opérations illégales. Ils utilisent d’énormes montants d’argent créés à partir de rien et détruisent notre société et les peuples du monde uniquement par avidité. Ils cherchent le pouvoir et détruisent des pays entiers tels que la Grèce, l’Espagne, le Portugal ou l’Irlande, et la Suisse sera l’un des derniers en ligne. Et ils utilisent la Chine comme travailleurs esclaves. Et une personne telle que Josef Ackermann, qui est un citoyen suisse et le « top man » d’une banque allemande, utilise son pouvoir par avidité et ne respecte pas les gens comme vous et moi. Il a quelques problèmes juridiques en Allemagne et maintenant aussi aux USA. Il est un Bildeberg et s’en fiche de la Suisse ou d’un autre pays.
Q : Est-ce-que vous êtes en train de dire, que quelques unes des personnes que vous mentionnez seront présentes pour le meeting des Bildeberg à Saint-Moritz en Juin ?
A : Oui.
Q : Donc ils occupent effectivement dans une position de pouvoir ?
A : Oui. Ils possèdent d’énormes quantités d’argent à leur disposition et l’utilisent pour détruire des pays entiers. Ils détruisent notre industrie et la construisent en Chine. D’un autre côté, ils ouvrent les portes en Europe pour tous les produits chinois. La population européenne gagne de moins de moins sa vie. Le but réel est de détruire l’Europe.
Q : Pensez-vous que la rencontre des Bildeberg à Saint-Moritz a une valeur symbolique ? Parce qu’en 2009 ils étaient en Grèce, en 2010 en Espagne et regardez ce qui leur est arrivé. Est-ce que cela signifie que la Suisse doit s’attendre à quelque chose de mauvais ?
A : Oui. La Suisse est l’un des pays le plus important pour eux, parce qu’il y a tant de capitaux ici. Ils se rencontrent là parce que, à part d’autres choses, ils veulent détruire toutes les valeurs défendues par la Suisse. Vous voyez, c’est un obstacle pour eux, la Suisse ne faisant pas partie de la communauté européenne ou de l’Euro, n’est pas totalement contrôlée par Bruxelles et ainsi de suite. Concernant les valeurs, je ne parle pas de grosses banques suisses, parce qu’elles ne sont plus suisses, la plupart d’entre elles sont dirigées par les Américains. Je parle du vrai esprit Suisse que les gens chérissent et maintiennent haut. C’est certain que cela a une valeur symbolique, comme vous le disiez, concernant la Grèce et l’Espagne. Leur but est de constituer une sorte d’élite exclusive qui a tout le pouvoir et d’appauvrir tout le reste des gens.
Q : Pensez-vous que le but des Bildeberg soit de créer une sorte de dictature mondiale, contrôlée par les institutions mondiales (global corporations), dans lesquelles il n’existera plus du tout d’Etats souverains ?
A : Oui et la Suisse est le seul endroit qui reste avec une démocratie directe et se trouve en travers de leur route. Ils utilisent le chantage du « too big to fail » (trop grand pour tomber), comme dans le cas de l’UBS (Union de Banques Suisses) pour placer notre pays dans un état de grande dette, de la même manière qu’ils l’ont fait pour d’autres pays. A la fin peut-être qu’ils veulent faire à la Suisse ce qu’ils ont fait à l’Islande, avec toutes les banques et le pays en banqueroute.
Q : Et ainsi l’étendre à la communauté européenne ?
A : Bien sûr. La communauté européenne est sous le joug des Bildeberg.
Q : Que pensez-vous qui pourrait stopper ce plan ?
A : Eh bien, c’est la raison pour laquelle je vous parle. C’est la vérité. La vérité est le seul moyen. Mettre la lumière sur cette situation, les exposer. Ils n’aiment pas être sous le feu des projecteurs. Nous devons créer la transparence dans l’industrie banquière et à tous les niveaux de la société.
Q : Ce que vous êtes en train de dire c’est qu’il existe un côté correct du business des banques suisses et quelques grosses banques qui utilisent dans le mauvais sens le système financier pour leurs activités illégales.


A : Oui. Les grandes banques entraînent leurs équipes avec des valeurs anglo-saxonnes. Ils les entraînent à devenir avides et sans pitié. Et l’avidité est en train de détruire la Suisse et tout le monde. En tant que pays nous avons une majorité de banques opérant à travers le monde, si vous regardez les petites et moyennes banques. C’est seulement les grandes banques qui opèrent au niveau mondial qui posent problème. Elles ne sont plus suisses du tout et ne se considèrent pas comme telles.
Q : Pensez-vous que ce soit une bonne chose que les gens exposent les Bildeberg et montrent ce qu’ils sont en réalité ?

A : Je pense que le cas de Strauss-Khan constitue une bonne chance pour nous, parce qu’il montre que ces gens sont corrompus, malades dans leur esprit, tellement malades qu’ils sont remplis de vices et ces vices sont gardés secrets sous leurs ordres. Certains d’entre eux comme Strauss-Khan violent des femmes, d’autres sont sado-maso, ou pédophiles et beaucoup pratiquent le satanisme. Lorsque vous allez dans certaines banques, vous voyez ces symboles sataniques, comme à la Banque Rothschild à Zurich. Ces gens sont contrôlés par le chantage à cause des faiblesses qu’ils ont. Ils doivent suivre les ordres ou ils seront exposés, seront détruits ou même tués. La réputation de Strauss-Khan n’est pas seulement tuée dans les médias, il pourrait littéralement être tué également.
Q : Puisque Ackermann fait partie du comité dirigeant des Bildeberg, pensez-vous qu’il y est un preneur de décisions important ?



A : Oui. Mais il y en a beaucoup d’autres, comme Lagarde, qui sera probablement prochainement à la tête du FMI, alors ils sont capables de choses terribles. S’ils ont le sentiment de perdre le contrôle, comme les manifestations en Grèce et en Italie maintenant et l’Italie sera la prochaine, alors ils peuvent faire un autre Gladio. J’étais proche du réseau Gladio. Comme vous le savez, ils ont été les instigateurs du terrorisme payé par l’argent américain afin de contrôler le système politique en Italie et d’autres pays européens. Concernant le meurtre d’Aldo Moro, le paiement s’est effectué au moyen du même système dont j’ai parlé.
Q : Ackermann prenait-il part à ce système de paiement d’une banque suisse ?
A : (Sourire)…. Vous êtes le journaliste. Examinez sa carrière et la rapidité avec laquelle il est parvenu au top.
Q : Que pensez-vous qui peut être fait pour les entraver ?
A : Eh bien, il y a beaucoup de bons livres qui sont sortis et expliquent le background et relient les points entre eux, comme celui que j’ai mentionné de Perkins. Ces gens ont réellement engagé des gens qui se font payer pour tuer. Certains d’entre eux ont eu leur argent de banques suisses. Mais pas uniquement, ils disposent d’un système bien établi dans le monde entier. Il faut exposer au public ces gens qui sont prêts à tout pour garder le contrôle. Et je veux dire « tout ».
Q : Nous pourrions les stopper en les exposant ?
A : Oui, dire la vérité. Nous sommes confrontés à des criminels réellement sans pitié, aussi de grands criminels de guerre. C’est pire que les génocides. Ils sont prêts et capables de tuer des millions de gens juste pour demeurer au pouvoir et garder le contrôle.
Q : Pouvez-vous expliquer de votre point de vue, pourquoi les médias occidentaux sont plus ou moins silencieux concernant Bildeberg ?
A : Parce qu’il y a un accord entre eux et les propriétaires des mass medias. Vous ne parlez pas de ça. Ils les ont achetés. Certains des personnages clés des médias sont également invités aux meetings mais on leur demande de ne pas faire de rapport sur ce qu’ils ont vu et entendu.
Q : Dans la structure Bildeberg, existe-t-il un cercle interne qui connait les plans et puis, il y a une majorité qui suit seulement les ordres ?
A : Oui. Vous avez le cercle intérieur qui pratique le satanisme et puis il y les naïfs ou les gens plus ou moins informés. Quelques personnes pensent même qu’ils font quelque chose de bien, le cercle extérieur.
Q : Selon les documents exposés et leurs propres déclarations, les Bildeberg ont décidé en 1995 de créer la communauté européenne et l’Euro, alors ils ont pris des décisions extrêmement importantes.
A : Oui et vous savez que le cercle des Bildeberg a été fondé par le Prince Bernard, un ancien membre des SS et du parti Nazi et qu’il a aussi travaillé pour IG Farben, qui a subsidiairement produit Zyclon B. L’autre gars était à la tête de l’Occidental Petroleum qui entretenait des relations étroites avec les communistes en Union soviétique. Ils ont travaillé des deux côtés mais vraiment, ces gens sont des fascistes qui veulent contrôler tout et tout le monde et celui qui se met en travers de leur plan est éliminé.
Q : Le système de paiement dont vous parlez hors opérations normales est-il compartimentalisé et se fait-il en secret ?
A : Dans ces banques suisses les employés normaux ne savent pas que cela se passe. C’est comme un département secret à l’intérieur de la banque. Comme je l’ai dit, ces opérations se font hors de la balance commerciale, sans aucune supervision. Certaines sont situées dans le même bâtiment, d’autres sont au dehors. Ils possèdent leur propre sécurité et des zones spéciales dans lesquelles seules des personnes autorisées peuvent pénétrer.
Q : Comment gardez-vous ces transactions hors du système international Swift ?
A : Eh bien, quelques-uns des listings de Clearstream étaient vrais au début. Ils ont juste inclus des faux noms pour faire croire aux gens que toute la liste était fausse. Vous voyez, eux aussi commettent des erreurs. La première liste était vraie et vous pouvez tracer beaucoup de choses. Vous voyez, il y a des gens autour qui découvrent des irrégularités et la vérité et la disent. Après cela, bien sûr il y a des procédures légales et ces gens sont forcés de la fermer. La meilleure façon de les arrêter est de dire la vérité, de les mettre sous le feu des projecteurs. Si nous ne les stoppons pas, nous finirons par devenir leurs esclaves.
Q : Merci pour cette interview.
Peter Odintsov – Moscou, le 30 mai 2011.
Source originale.– Traduit par Nicole pour LaPresseGalactique.com
Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

http://noxmail.us/Syl20Jonathan/
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← On parle du Bilderberg sur France Culture!

Interventions à l’AG de la BNS

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Retranscription des interventions lors de l’AG de la BNS. alias Banque Nationale Suisse du
Vendredi 29 avril 2016

Résumé:
Investissements très contestables de la BNS:



Gaz de Schiste :  3 milliards $ investi dans les actions de compagnies américaines actives dans le gaz de schiste, le pétrole et le charbon, elle a perdu 899 millions $ depuis juin 2014. 11 entreprises ont déjà fait faillites pour une perte sèche de 49 millions $ et un gouffre financier d'un milliard $ à fin septembre 2015.


Chute de plus de 50% des actions du secteur, les brokers mandatés par la BNS (Blackrock, sic, et probablement UBS et Goldman Sachs) continuent d'investir dans des junk bond dans des domaines interdits par la charte éthique de la banque.


Le pétrole, charbon et schiste ne sont pas les seules acquisitions qui transgressent la charte éthique de la Banque puisqu’elle investit également dans Apple, Facebook, les armes à sous-munition, les bombes nucléaires US 

par exemple... 
Aecom (United States), Aerojet Rocketdyne (United States), BWX Technologies (United States),BAE Systems (United Kingdom), Bechtel (United States), Boeing (United States), Charles Stark Draper Laboratory (United States), Engility (formerly TASC, United States), CH2M Hill (United States),Leonardo- Finmeccanica (Italy), Fluor (United States), General Dynamics (United States), Honeywell International (United States), Huntington Ingalls Industries (United States), Lockheed Martin (United States), Moog (United States), Northrop Grumman (United States), Orbital ATK (United States), Raytheon (United States), and Textron (United States).
et les OGM transgéniques de Monsanto. 
Au total, c’est une aide de plus de 37 milliards $ que la BNS apporte aux entreprises américaines.

Neuf propositions refusées

Le conseil de banque a refusé de soumettre neuf des dix propositions à l’assemblée générale au motif qu’elles ne portent pas «sur le cadre constitutif de la BNS sous l’angle du droit des sociétés». Comme ces dernières «visent à attribuer de nouvelles tâches à la BNS ou à implémenter de nouveaux concepts de politique monétaire, elles n’entrent pas dans les attributions de l’assemblée générale.»
La proposition figurant à l’ordre du jour est donc la seule qui a été retenue par le conseil de banque. Mais du fait que la BNS ne dispose pas des compétences pour agir dans le sens voulu par les actionnaires, elle a été transformée en une proposition de révision de la loi sur la banque nationale à l’intention de l’Assemblée fédérale.
La décision du conseil de banque choque le collectif AAA+: «Il est incompréhensible et difficilement admissible qu’un organe dont ce n’est pas la compétence se permette d’écarter de l’ordre du jour, neuf de nos propositions, en les déclarant irrecevables.»
Jean-Philippe Buchs 





Tableau récapitulatif des interventions sur les propositions AAA+.

Temps début
Temps
fin
Durée
Interventions sur les propositions AAA+
00:07:37
00:09:40
02:03
A. Patrick Dimier - Vérification participants et vote à main levée
00:10:35
00:11:40
01:05
B.Christian Sutter - Vote électronique ni main levée ni vote secret.
01:21:54
01:23:15
01:21
C. François de Siebenthal - Refus vote électronique non secret
01:36:05
01:40:10
04:05
D. Marc Studer - Cotation ? Proposition 7 : Investissements BNS ?
01:43:40
01:47:10
03:30
E. Pilar Ackermann - Proposition 5 : Méthode de calcul du taux de change
01:47:37
01:51:20
03:43
F. Nicolas Etter - Proposition 6 : Séparation comptabilité interne
01:51:40
01:57:55
06:15
G. Bernard Dugas - Calcul du résultat
01:58:10
02:01:05
02:55
H. Patrick Dimier - Vote électronique non secret, vote à bulletin secret
02:18:20
02:19:35
01:15
I. Gérald Rossellat - Conflit intérêt Economie Suisse et USS
02:30:05
02:31:05
01:00
J. Denis Bucher - Conflit intérêt KPMG et Economie Suisse
02:40:42
02:46:50
06:08
K. Lionel Rossellat - Proposition 8 : Accès registre, PV et votes publics
02:57:25
03:02:05
04:40
L. François de Siebenthal - Proposition 1 : Appellation « franc suisse »
03:19:10
03:22:20
03:10
M. Philip Koenig - Proposition 3 : Compte de virement à la BNS
03:35:28
03:36:21
00:53
N. Mathieu Desponts - Proposition 2 : Dépôt de monnaie légale
03:36:21
03:39:50
03:29
O. Bernard Dugas PBM - Proposition 4 : Cumul de la création
03:39:50
03:41:53
02:03
P. Frédéric Deslarzes - Proposition 9 : Action de la BNS
03:41:53
03:46:08
04:15
Q. Blaise Rossellat - Proposition 10 : Compte de financement souverain
Temps Total (min)

51:50



Tableau récapitulatif de toutes les interventions.

Sujet
Temps début
Temps
fin
Durée
Déroulement AG BNS 29 avril 2016
0. Bienvenue
00:00:00
00:06:10
06:10
Jean Studer
1. Ouverture et Scrutateurs
00:06:10


Jean Studer
00:07:37
00:09:40
02:03
A. Patrick Dimier - Vérification participants et vote à main levée



Jean Studer
00:10:35
00:11:40
01:05
B. Christian Sutter - Vote électronique ni main levée ni vote secret



Jean Studer - Vote scrutateurs à main levée et constats préliminaires
00:16:10
00:17:32

Peter Schöpf - Données de vote



Jean Studer - Actionnaires vérifiés
Allocution
00:18:00


Jean Studer
2. Exposé
00:42:40
01:06:15

Thomas Jordan
3. Présentation du rapport de l'organe de révision
01:06:30


Jean Studer
01:08:30
01:08:50

Philipp Rickert - KPMG



Jean Studer
01:10:32
01:16:38

Marco Saba - Normes comptables non respectées



Jean Studer
01:17:02


Peter Schöpf - Test vote électronique
01:21:54
01:23:15
01:21
C. François de Siebenthal - Refus vote électronique non secret



Jean Studer - Les scrutateurs ont la possibilité de vérifier les votes
4. Approbation du rapport financier 2015
01:24:30


Jean Studer
01:36:05
01:40:10
04:05
D. Marc Studer - Suspension cotation ? Proposition 7 : Investissements BNS ?
01:40:22
01:42:20
01:58
Marco Saba - Rapport financier non conforme aux normes comptables



Jean Studer
01:43:40
01:47:10
03:30
E. Pilar Ackermann - Proposition 5 : Méthode de calcul du taux de change
01:47:37
01:51:20
03:43
F. Nicolas Etter - Proposition 6 : Séparation comptabilité interne
01:51:40
01:57:55
06:15
G. Bernard Dugas - Calcul du résultat
01:58:10
02:01:05
02:55
H. Patrick Dimier - Vote électronique non secret, vote à bulletin secret



Jean Studer - Lien monnaie pleine ?
02:02:55
02:03:25

Alfred Gysi - Demande la fin de la discussion et le vote



Peter Schöpf - Vote électronique
5. Affectation du bénéfice
02:05:25


Jean Studer
02:08:55


Peter Schöpf - Vote électronique
6. Décharge du Conseil de banque
02:10:00


Jean Studer
02:10:35


Peter Schöpf - Vote électronique
7. Election de cinq membres du Conseil de banque
02:12:10
02:14:11

02:16:53


Jean Studer - Départ Alfredo Gysi
Jean Studer - Présentation des membres du Conseil de Banque nommés par le Conseil fédéral pour 2016-2019
Jean Studer - Présentation des membres du Conseil de Banque pour élection par l’Assemblée générale pour 2016-2019
02:18:20
02:19:35
01:15
I. Gérald Rossellat - Conflit intérêt Economie Suisse et USS
02:20:30


Jean Studer
02:20:30


Peter Schöpf - Vote électronique
8. Election de l'organe de révision
02:25:40


Jean Studer
02:30:05
02:31:05
01:00
J. Denis Bucher - Conflit intérêt KPMG et Economie Suisse



Jean Studer
02:32:00


Peter Schöpf - Vote électronique
9. Proposition d'actionnaires …
02:33:15


Jean Studer
02:40:42
02:46:50
06:08
K. Lionel Rossellat - Proposition 8 : Accès registre, PV et votes publics



Jean Studer
02:53:37


Peter Schöpf - Vote électronique
10. Discussion générale
02:55:00


Jean Studer
02:56:20
02:57:25

Walther Grober - Prix publicité billet 50Fr
02:57:25
03:02:05
04:40
L. François de Siebenthal - Proposition 1 : Appellation « franc suisse »
03:02:10
03:05:20

Marcus Smiter - Critique Euro, Contrôle sur la circulation des capitaux
03:05:17
03:07:25
02:08
François Meylan - Investissements de la BNS dans l’armement 
03:07:28
03:19:10

Reynold Harringer - Porte parole de l'Initiative Monnaie Pleine
03:19:10
03:22:20
03:10
M. Philip Koenig - Proposition 3 : Compte de virement à la BNS
03:22:29
03:24:24
01:55
Roger Kapp - Investir dans la transition
03:24:31
03:25:20

Jean Studer - Le buffet risque d’être froid
03:25:18
03:29:40

Markus Meyer - Monnaie Pleine comme chenille à papillon
03:29:39
03:30:25

Jean Studer
03:30:30
03:31:25

Christof Pfluger - Conférence suppression espèces Londres
03:31:27
03:33:16
01:49
Denis Bucher - Risque financier des investissements fossiles
03:33:24
03:35:28

Marc Studer - Remarques variées,
03:35:28
03:36:21
00:53
N. Mathieu Desponts - Proposition 2 : Dépôt de monnaie légale
03:36:21
03:39:50
03:29
O. Bernard Dugas - Proposition 4 : Cumul de la création monétaire
03:39:50
03:41:53
02:03
P. Frédéric Deslarzes - Proposition 9 : Action de la BNS
03:41:53
03:46:08
04:15
Q. Blaise Rossellat - Proposition 10 : Compte de financement souverain



Jean Studer
03:47:00
03:55:10

Thomas Jordan - Réponses aux questions
11. Conclusion
03:55:15
03:56:34

Jean Studer

Lien vers la vidéo sur le site de la BNS :

Lien vers les interventions décrites dans ce document : https://www.youtube.com/playlist?list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s




0. Bienvenue

1. Ouverture et scrutateurs

00:07:37
00:09:40
02:03
A. Patrick Dimier - Vérification participants et vote à main levée
Lien vers les intervention A et B :

« Mon nom est Patrick Dimier. Je suis avocat honoraire à Genève, Docteur en science politique et en éthique politique.

Je vous remercie pour votre proposition, je serais tenté de dire camarade Studer, tant la manière dont le comité, le komintern serais-je tenté de dire, prévoit l'assemblée de ce qui est notre soviet suprême… Non, j'arrête. Je voulais mettre un petit peu de gaieté.

Monsieur le Président, j'aimerais vous demander une chose qui me paraît essentielle et préalable. Vous êtes-vous, à titre personnel, et Monsieur Jordan, en tant que président de l'assemblée générale des actionnaires, assurés que toutes les personnes qui sont ici assemblées sont bien de actionnaires ?

Et ma deuxième demande est de vous demander de procéder à l'ensemble des votes à main levée, et non pas avec le petit boîtier que vous nous avez remis, qui est muni de plus petits bulletins de vote, et comme ces bulletins de votes sont identifiés, ne représente plus un vote à bulletin secret, ce qui est en violation avec le règlement de la banque. Je le demande paisiblement et je suis sûr que vous allez m'approuver. Merci. »


00:10:35
00:11:40
01:05
B. Christian Sutter - Vote électronique ni main levée ni vote secret

« Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale,

L'article 38, alinéa 2 de la Loi sur la Banque nationale stipule « les votes et les élections ont lieu à main levée. Ils ont lieu au scrutin secret sur décision du président ou sur demande de 20 actionnaires présents. La loi est claire. Le vote électronique n'est ni un vote à main levée, ni un scrutin secret. Je propose donc qu'on respecte la loi en procédant à un vote à main levée.

Merci. »

Jean Studer : 15:52 16:11
« Conformément à la tradition en place dans notre assemblée, le président que je suis a décidé que les votes auront lieu sous forme de scrutin secret, conformément à l'habitude prise au sein de notre assemblée.

Jean Studer : 17:33 17:59
« Merci mesdames et messieurs les actionnaires, d'être venus si nombreux à notre assemblée de ce jour. C'est une des assemblées les plus fréquentées dans la récente histoire de la Banque nationale suisse et je peux ainsi rassurer Monsieur Dimier sur le fait que ceux qui votent sur les décisions qui sont portées à l'ordre du jour sont bien sûr des actionnaires dûment contrôlés. »

Allocution Président

Lien vers l’intervention de Marco Saba sur les normes comptables non respectées :https://www.youtube.com/watch?v=47vG5ZKMo3k&index=3&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

Lien vers l’explication des modalités de vote, par Peter Schöpf, secrétaire général : https://www.youtube.com/watch?v=lP6YxsSWHrA&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=4

2. Exposé de Thomas Jordan

3. Présentation du rapport de l'organe de révision

01:21:54
01:23:15
01:21
C. François de Siebenthal - Refus vote électronique non secret
Lien vers l’intervention C :

« Mon nom est François von Siebenthal, je suis de Lausanne. J'aimerais intervenir sur la procédure de vote électronique. Je refuse et je demande à toute la salle, s'il vous plaît, de refuser le vote électronique, car à l'entrée, lorsqu'on nous a donné le vote électronique, on a scanné notre identité et notre numéro. Ce vote n'est pas secret et les statuts de la Banque nationale suisse prévoient que le vote peut être secret. Je demande le vote par scrutateurs, on vous pousse vers le vote par électronique petit à petit, je demande à ce que vous soyez conscients, que l’onpeut tricher le vote électronique, c'est prouvé dans de nombreux pays, je veux vraiment vous prierde refuser le vote par électronique, d'autant plus qu'il y a des boîtiers qui ne marchent pas, et ce vote n'est pas secret, votre nom est associé à votre vote, c'est une forfaiture, ce n'est pas un respect des statuts propres de la Banque nationale suisse, et je demande un vote à main levée s'il vous plaît, pour oui ou non on accepte un vote électronique ou pas, et je recommande à la direction de cette salle, et au directeur et au président, de bien vouloir faire un vote à main levée, à la Suisse, comme une Landsgemeinde, s'il vous plaît, merci. »

Jean Studer 01:23:19 01:24:31
« Je peux rassurer Monsieur de Siebenthal, d'abord lui dire que, une nouvelle fois, que le Président a décidé que le vote aurait lieu au scrutin secret, qu'il ne me paraît pas immédiat qu'un vote à main levée soit un scrutin secret, je peux vous assurer ensuite que aucun organe de la banque n'a accès au vote en fonction de vos codes d'entrée, c'est seulement si une contestation est émise lors d'un vote que les scrutateurs auraient la possibilité de vérifier que celui qui a émis la contestation s'est bien prononcé contre la proposition au moment du vote, on peut pas effectivement avoir voté quelque chose et le contester par la suite. C'est seulement dans ces conditions-là qu'on vérifie quel a été le vote de la personne qui porte la contestation. Il n'y a pas de contrôle du vote électronique, qui est d'ailleurs désormais une pratique étendue en Suisse, également sur le plan des votations communales, cantonales ou fédérales. »

4. Approbation du rapport financier pour 2015

01:36:05
01:40:10
04:05
D. Marc Studer - Suspension cotation ? Proposition 7 : Investissements BNS ?
Lien vers l’intervention D :
Lien vers la réponse de Jean Studer :

« Monsieur le Président, Madame, Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires, avant de valider les comptes, j’avais deux points à relever :

le 15 janvier 2015, (Jean Studer : « Pardon Monsieur je crois que vous portez le même nom que moi, ce qui est un honneur » Marc Studer : « Moi de même. » Jean Studer : « Donc vous vous appelez Monsieur Studer mais je ne connais pas votre domicile. » Marc Studer : « Ah oui pardon, excusez-moi, alors Marc Studer, Etoy, dans le canton de Vaud »), en décidant de lâcher le taux plancher le 15 janvier 2015, la Banque nationale s’est auto-infligé une perte que je qualifierai de conséquente. Lors de l’Assemblée générale d’avril 2015, dans cette même salle, au moment du vote sur la répartition des dividendes, un petit actionnaire a soulevé avec beaucoup de bon sens la question de savoir s’il était sage et pertinent de verser grassement à la Confédération, aux Cantons et aux autres de juteux dividendes alors même que la perte de janvier était déjà connue. Une opération que certains analystes financiers apparentent à un versement de dividendes fictifs.

Ma première question, et j’en ai deux, Monsieur le Président, est la suivante : Comment, au regard de la stabilité et de l’image de marque de la BNS, analysez-vous la réaction du marché à la publication des résultats 2015, qui a nécessité, du jamais vu, une suspension de la cotation de l’action BNS le 4 mars 2016 ?
[Pour contrer la force du franc suisse, les investissements de la BNS ne sont plus aujourd’hui dans la monnaie de notre pays. La page 80 du rapport de gestion 2015 nous précise que 42 % des actifs de la BNS sont en Euros et 32 % en dollars. On peut se poser la question suivante : la BNS se voit-elle dicter ses investissements, et par là, est-elle encore indépendante ? Que va nous apprendre la liste des investissements en Europe : un soutien aux entreprises solaires et éoliennes allemandes qui menacent directement nos barrages et l’indépendance énergétique de la Suisse ? De plus, l'an passé, dans cette même salle, un actionnaire s'était étonné que l'un des plus gros actionnaires de notre banque soit un étranger. D’autre part, les actionnaires de la Banque nationale suisse ont le pouvoir théorique de cette institution, mais en réalité ce sont les notaires et autres représentants de la banque et des Cantons qui détiennent en ce pouvoir, un simple coup d’œil sur le résultat des votes le prouve : en 2015, 465 actionnaires étaient représentés par la représentante indépendante disposant de 12'984 actions].

Si vous permettez, j’enchaine sur la deuxième question : vous avez parlé tout à l’heure de transparence, qui était quelque chose d’important. La BNS répète aux médias qu’elle ne dévoile pas la liste de ses investissements. Grâce au fait qu’elle possède 32% d’actifs en dollars, nous avons pu trouver sur le site de la SEC (la Security and Exchange Commission), le gendarme financier américain, la liste des positions de la BNS et nous avons, à notre grand étonnement, trouvé des titres, bon certains titres spéculatifs, mais aussi des investissements dans des sociétés actives dans les armes à sous-munitions, les OGM, le pétrole, le charbon, les gaz de schiste, ce dernier secteur d’ailleurs étant passablement secoué. Or, dans l’article 3.2 des directives générales de la Banque nationale suisse sur la politique de placement, repris en pages 73 et 79 du rapport de gestion, il est indiqué « la Banque nationale suisse renonce à investir dans les entreprises qui produisent des armes prohibées par la Communauté internationale qui violent massivement les droits humains fondamentaux ou qui causent de manière systématique de graves dommages à l’environnement. » [http://www.snb.ch/fr/mmr/reference/snb_legal_richtlinien/source/snb_legal_richtlinien.fr.pdf]

Par ailleurs, la charte de la Banque nationale suisse sur l’environnement précise en outre « Il faut absolument faire rimer impératifs économiques et impératifs écologiques à long terme. C’est dans cet état d’esprit que la BNS assume sa responsabilité écologique. »  [http://www.snb.ch/fr/mmr/reference/umweltleitbild/source/umweltleitbild.fr.pdf]

Ma question, Monsieur le Président, dans une optique de transparence, ne serait-il pas important d’ouvrir aux actionnaires qui le désirent la liste de vos investissements et de compléter la charte de la BNS pour l’environnement en rajoutant au champ des exclusions les secteurs d’investissement suivants : gaz de schiste, pétrole de schiste, schiste bitumineux, pétrole, charbon, nucléaire, tout type d‘armement, OGM ? Je vous remercie. »


01:40:22
01:42: 20
01:58
Marco Saba - Rapport financier non conforme aux normes comptables
Lien vers l’intervention de Marco Saba :https://www.youtube.com/watch?v=oJtlwObSRj8&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=7

« Je réponds à ce qui a été dit par le Président, à savoir que le bilan de la banque serait bien conforme au Swiss GAAP. J’affirme, quant à moi, que le bilan de la banque n’est pas conforme au Swiss GAAP 4, qui sont les normes comptables qui traitent notamment des flux de trésorerie, suite à une campagne que nous menons depuis deux ans, où nous contestons, pour les banques, la façon dont est comptabilisée la création de monnaie.

En effet, nous nous attaquons à la façon dont sont comptabilisés les flux de trésorerie. Dans le bilan de l’année passée, ce poste était repris mais sous une forme qui ne reflétait pas la création de monnaie. Suite à la campagne que moi-même et l’initiative populaire pour la  « Monnaie pleine » menons pour dénoncer cette comptabilisation erronée des flux de trésorerie et de la création de monnaie, la réponse de la Banque nationale suisse et de la Banque centrale européenne a été la suivante : « On ne publie plus les flux de trésorerie ». Ca c’est « the smoking gun », comme on dit, c’est l’indice qui ne trompe pas, il n’y a pas de volonté de clarté et de transparence dans la pratique comptable et on n’admet pas que le fait d’assortir les règles comptables d’un certain nombre de dérogations, pas seulement sur les flux de trésorerie et autres, il y a d’autres exceptions qu’on trouve dans les notes du bilan, il y a donc d’autres dérogations aux principes comptables « Swiss GAAP».

Ca signifie tout simplement qu’on ne respecte pas ces principes, ces normes comptables. »


01:43:40
01:47:10
03:30
E. Pilar Ackermann - Proposition 5 : Méthode de calcul du taux de change

« Bonjour Monsieur le Président, Bonjour le Conseil de banque, et les actionnaires. Madame Ackerman, vous vous souvenez ?

Écoutez je suis un peu abasourdie, avec tout ce qui s'est dit jusqu'à maintenant, ma question elle a l'air peut-être un peu déplacée, mais peut-être elle se rapporte toujours au bilan quand même. Pour les taux de change, Comment la banque… Aujourd’hui, on ne sait pas si les taux de change par rapport aux devises internationales publiés s’appliquent ou non à la monnaie légale ou à d’autres monnaies scripturales bancaires. De plus, nul ne sait comment ces taux sont calculés (valeur de clôture du dernier échange à l’instant t, moyenne des taux sur une période donnée ?) ou à partir de quelles places boursières est décidé le taux de référence ? Le «franc WIR» est-il pris en compte, alors que c’est une monnaie bancaire qui utilise l’unité monétaire «franc » définie par la Loi fédérale sur l'unité monétaire et les moyens de paiement (LUMMP), comme les autres monnaies bancaires ?

Les taux de change pour les calculs relatifs aux formalités douanières sont d’une importance majeure pour le commerce international. Quel est le lien entre les taux douaniers et les taux de change utilisés par les banques et par la BNS ?

Le paramètre primordial pour fixer un taux de change, autrement dit une cotation, pour un titre, y compris un titre monétaire, est la quantité de titres créés : par exemplequand Apple a multiplié par sept le nombre de ses actions, sa cotation dans le même temps a été divisée par 7.

Or, pour la cotation du «franc suisse », quel nombre d’unités monétaires est pris en compte ? Quand la quantité de monnaie légale est de l’ordre de 600 milliards dans le bilan de la BNS, il y a près de 1600 milliards de substituts monétaires dans le passif des banques : pour expliquer, entre le montant de monnaie légale seul, et le total de ces deux monnaies, de l’ordre de 2’200, il y a presque un facteur 4.

En toute logique, les opérateurs des marchés doivent être indépendants des émetteurs de titres, ce qui était en apparence, en apparence seulement, le cas quand tout le monde croyait que les banques ne créaient pas de monnaie. Maintenant qu’il est clarifié que les banques créent des substituts monétaires en plus grande quantité que la monnaie légale, il serait anormal qu’un créateur de monnaie soit juge et partie à la cotation de sa propre monnaie.

Comme rien n’est publié sur le sujet, il est difficile de se faire une opinion sur le fonctionnement actuel du système de cotation du « franc unité monétaire » en Suisse, dont la BNS est responsable. L’absence de cadre précis posé par le responsable du système monétaire suisse pourrait expliquer les récentes affaires de manipulation des cours de change, si les opérateurs ne disposent d’aucune limite claire et précise quant à la méthode de calcul des cours.

Devant l’exigence de transparence à laquelle la BNS est soumise, en compensation de son indépendance, la BNS peut-elle clarifier la méthode de cotation des taux de change par rapport aux devises internationales ?  Et notamment en identifiant les intervenants, les responsables et les moyens utilisés pour calculer ces taux de change.

Voilà, c'est un peu long...»


01:47:37
01:51:20
03:43
F. Nicolas Etter - Proposition 6 : Séparation comptabilité interne
Lien vers l’intervention F :

« Mon nom est Nicolas Etter. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale suisse, chers étudiants, j'ai enseigné à l'université de Lausanne, j'ai toujours plaisir à m'adresser à des étudiants.

La BNS SA gère la monnaie du Peuple suisse souverain, au nom du Peuple suisse, qui a délégué cette charge à ses élus au Parlement, qui ont eux-mêmes délégué la charge à la BNS SA.

Quand une banque gère les titres d’un client, les titres sont hors du bilan de la structure de gestion, dans ce qui est appelé les « actifs sous gestion ». De la même manière, la gestion de la création, de la destruction et du stock des unités monétaires en existence ne devrait pas être confondue avec la gestion de la comptabilité interne de la BNS SA.

Il serait logique que les comptes de virement en monnaie légale, les stocks d’espèces, et la comptabilité des réserves monétaires soient gérés hors du bilan de la BNS SA, dans une comptabilité séparée, comme des « actifs sous gestion ».

Cela a aussi l’intérêt de protéger la comptabilité monétaire du Peuple souverain de tout risque lié au capital ou au financement de la BNS SA, car les montants en jeu dans la comptabilité monétaire sont à la taille, vous le savez, d’un pays, pas d’une société « presque normale », dont les actions sont cotées en bourse.
Le choix d’une gestion de la monnaie légale dans le bilan de la BNS SA ou d’une gestion hors du bilan en tant qu’« actif sous gestion », n’est pas défini par la Loi sur la Banque nationale.

Le choix actuel a été fait sans qu’aucune justification de ce choix n'ait été portée à la connaissance des citoyens suisses. La Loi sur la Banque nationale permet de modifier ce choix en toute liberté, or, pour notre part, nous estimons que la deuxième seconde alternative est la meilleure : la gestion hors du bilan en tant qu’actif sous gestion correspond exactement au besoin de gestion des valeurs patrimoniales du Peuple suisse, qui ont été confiées par ledit Peuple à la garde de la Confédération, qui les a elle-même confiées à la garde de la BNS SA.

Une séparation comptable claire permet d’éviter toute confusion. Ne serait-il donc pas préférable que la comptabilité de la monnaie légale fiduciaire et scripturale ainsi que des réserves associées se fasse en dehors du bilan de la BNS SA, à l’image des actifs sous gestion dans une banque patrimoniale ?

Je vous remercie de votre attention»


01:51:40
01:57:55
06:15
G. Bernard Dugas - Calcul du résultat
Lien vers l’intervention G :https://www.youtube.com/watch?v=ucUo1cxQmhQ&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=11

« Mesdames et Messieurs, bonjour. Je m'appelle Bernard Dugas et j'habite à Genève.
La première fois que j'ai regardé les comptes de la BNS pour 2015, j'ai vu que le bilan est passé de 561 milliards à 640 milliards : la BNS a donc gagné pour septante-neuf milliards d'actifs en 2015.
Puis je regarde le résultat : une perte, moins vingt-trois milliards ! Comment est-ce possible d'avoir une perte quand on gagne autant d'actifs ?
Je me suis interrogé. Une entreprise fait du résultat, fait du bénéfice, quand elle « possède plus » à la fin qu'au début : j'ai un capital, j'achète, je vends, j’amasse des richesses, des actifs, c'est ma fonction d'entreprise. Mon résultat c'est la « résultante » des gains et des pertes, c'est ce qui reste, l'augmentation des actifs, l'augmentation de la fortune.
Comptablement, le bénéfice net est souvent un peu supérieur à l'augmentation du bilan : parce que certaines dépenses ne sont pas reconnues comme des charges nécessaires par les services des impôts.
Cela c'est pour toutes les entreprises normales, mais une banque, est-elle une entreprise normale ?
La procédure comptable d'une entreprise normale, c'est une vielle recette : on prend le résultat d'exploitation, on ajoute les gains sur les ventes ou la réévaluation des actifs. Pour la BNS ce sont principalement des pertes sur les titres, cette année. Et voilà ! C'est prêt : moins vingt trois milliards. Mais alors, où est passé le reste ?

L'explication à laquelle j'arrive, c'est qu'une banque, ce n'est pas une entreprise normale, car une banque « crée de la monnaie ».

Quand une banque achète des actifs, des titres Apple par exemple pour 1 Million, en pratique, elle ne paye pas son achat : elle ajoute 1 Million sur le compte de son fournisseur d'actions, et c'est fini.
Je ne sais pas si la caméra peut voir distinctement. Au début, comme pour toute entreprise, on achète un actif et on augmente une dette. Une entreprise normale, elle vient ensuite payer l'actif qu'elle a reçu, qu'elle a acheté, en perdant les actifs liquides, la monnaie. Et donc une société normale revient à l'état initial.

Mais une banque, elle garde l'augmentation de l'actif parce qu'elle ne paye jamais.

Elle augmente ses dettes, puis elle ne donne aucun actif en échange des actifs qu'elle reçoit. Elle gagne de nouveaux actifs, ce qui constitue un « produit en capital », mais tout cela ne passe pas dans le compte de résultat, ni dans la ré-évaluation des actifs antérieurs : c'est invisible dans la « recette de cuisine » des comptables, parce que la recette est une procédure opérationnelle, issue d'une vision limitée, pour les entreprises normales, vision qui a oublié les principes de base de la comptabilité.
Je résume : j'achète des machines, qui valent 1 million… Je les ajoute à mon actif, ma richesse augmente… mais je ne les paye pas, je donne juste un papier avec écrit dessus : "ce papier vaut 1 million, je le mets sur votre compte chez moi »… et le vendeur accepte ! C'est merveilleux, comme cela je peux devenirrapidement riche, non ?…

Eh bien, le truc d'une banque, c'est  ça ! La monnaie d'écriture, la monnaie scripturale, c'est une dette fournisseur « qui reste », qui n'est jamais payée.

Or un comptable habitué aux entreprises normales va suivre la procédure normale des entreprises normales, en ignorant la faculté cachée des banques : obtenir un revenu en actifs par la création de dette dans son passif, ce que l'on appelle de la « monnaie d'écriture », la monnaie scripturale.

Pourtant, perdu dans sa procédure habituelle, le comptable a oublié la loi. Et la loi est claire : je vous invite à lire la LIFD, donc la loi sur les impôts fédéraux par exemple, « Troisième partie ...imposition des personnes morales,  … Art. 58 Le bénéfice net imposable comprend : [au point] a. le solde du compte de résultats… [et au point] c. les produits qui n'ont pas été comptabilisés dans le compte de résultats, y compris les bénéfices en capital, les bénéfices de réévaluation et de liquidation,... »

La loi dit qu'il faut tenir compte de tous les produits, y compris le gain en actifs obtenu par la création monétaire, afin d'établir le bénéfice net d'une banque, et en particulier de la BNS. Un achat d'actif par une banque, c'est un gain en actifs, un produit en capital, c'est une prise de possession qui n'est pas payée par la caisse, qui ne sera jamais payée par un échange d'actif : c'est un revenu en nature, et les revenus en nature font partie du bénéfice.

Ainsi quand on tient compte du revenu en actifs, perçu par la BNS, le résultat de la BNS est largement positif malgré les pertes sur la valeur des actifs déjà au bilan, puisque son actif de bilan a augmenté de plus de septante-neuf milliards, en ayant déjà tenu compte des pertes. Et il y a sans doute des détails à ajouter, au niveau technique.

Toujours est-il que, je ne peux que vous faire constater, que le résultat présenté dans le rapport financier ne tient pas compte des revenus en actifs, des revenus en nature provenant de la création monétaire, qui sont invisibles dans le résultat d'exploitation.

De ce fait, le rapport financier ne présente pas une image fidèle de la situation de la BNS. Je refuse pour cette raison le rapport présenté, et je vous invite à prendre toutes les mesures qui s'imposent devant cette omission monumentale. Personne ne pourra plus dire « je ne savais pas ».

C'est une omission monumentale, certes, mais quelles sont les conséquences ? Les conséquences sont très grandes pour tous les citoyens suisses, car c'est toute la distribution du bénéfice aux Cantons et à la Confédération qui est faussée.

Merci de votre attention. »


01:58:10
02:01:05
02:55
H. Patrick Dimier - Vote électronique non secret, vote à bulletin secret
Lien vers l’intervention H :https://www.youtube.com/watch?v=BNBieSEympo&index=12&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« J'aimerais commencer si vous me le permettez, par deux phrases à l'adresse de notre président. Je ne savais pas que notre président était un défenseur de la RBI. La RBI, dans ma vision du monde, c'est la Rhétorique Bancaire Internationale. Et la Rhétorique Bancaire Internationale, monsieur le Président, vous le savez mieux que moi, c'est un vaste casino, et j'imagine qu'il y a peut-être une coïncidence avec la salle où nous nous trouvons aujourd'hui.

Plus sérieusement, je reviens sur mon intervention tout à l’heure (interpellation par le président) cela pour dire que je reviens, à la suite de l'intervention de Monsieur de Siebenthal, vous ne pouvez pas en toute sincérité, et ne toute légalité, prétendre qu'un vote par lequel on vous identifie est un vote à bulletin secret. C'est une erreur, c'est une faute, et j'invite très sincèrement cette assemblée, qui est à mes yeux l'expression même de notre Peuple, de notre pays, c'est qu'il y a ici des citoyens, cela ne se voit nulle part ailleurs dans une Banque nationale.

C'est parce que ça nous y tenons, que vous devez, absolument, préserver les règles qui font fonctionner ce pays. Nous avons le choix entre un vote à main levée et un vote à bulletin secret. Vous vous êtes déterminé pour un vote à bulletin secret, c'est votre autorité, vous êtes le Président, et c'est bien sûr comme ça qu'on va faire. Mais alors c'est un vote à bulletin secret. C'est pas un vote qui est faussement secret, et par lequel on peut vous identifier par la suite, c'est une supercherie, et je tiens à le dire, si nous persistions dans cette erreur fondamentale, nous nous retrouverons avec un cas difficile sur cette assemblée générale.
Merci beaucoup. »

5. Affectation du bénéfice porté au bilan

6. Décharge du Conseil de banque

7. Élection de cinq membres du Conseil de banque

Lien vers la présentation des membres du Conseil de Banque nommés par le Conseil fédéral pour 2016-2019 - Jean Studer :

Lien vers la présentation des membres du Conseil de Banque proposés pour élection par l’assemblée générale pour 2016-2019 - Jean Studer :
https://www.youtube.com/watch?v=j5gZBEkPoms&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=14


02:18:20
02:19:35
01:15
I. Gérald Rossellat - Conflit intérêt Economie Suisse et USS
Lien vers l’intervention I :

« Mon nom est Gérald Rossellat et je viens de Genève.

Monsieur le Président, Madame et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale,

« Nous voulions souligner ici le conflit d'intérêt potentiel des deux membres du comité directeur d'Economie Suisse, Monsieur Heinz Karrer, président d'Economie Suisse, et Monsieur Olivier Steimer, membre du comité directeur d'Economie Suisse, ainsi que de Monsieur Daniel Lampart, premier secrétaire général de l'Union syndicale suisse, assimilables à mon avis, à un groupe de pression, qui est en principe proscrit par le point 10 du Memorandum of Understanding sur la sélection des membres du Conseil de banque signé par le Département fédéral des finances et la BNS le 22 mars 2011 : « 10. Les groupes de pression, aussi importants et représentatifs soient-ils, n’ont pas droit à un siège au Conseil de banque. »

Il serait peut-être intéressant d'avoir un représentant parmi les petits actionnaires de la BNS.

Merci.»

8. Élection de l'organe de révision

02:30:05
02:31:05
01:00
J. Denis Bucher - Conflit intérêt KPMG et Economie suisse
Lien vers l’intervention J, précédée de la proposition de Jean Studer pour KPMG comme réviseur :https://www.youtube.com/watch?v=VWBF7TO4Hw8&index=16&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« Denis Bucher, Ferney-Voltaire.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale suisse.

L'article 47, alinéa 2 de la LBN stipule que « les réviseurs doivent être indépendants du Conseil de banque » comme vous l'avez rappelé, et j'ai une question, sur un conflit d'intérêt potentiel.

Vous disiez qu'il n'y a pas de lien entre le Conseil de banque et KPMG. Or, sauf erreur, KPMG est membre d'Economie suisse et il y a des membres du Conseil de banque qui sont aussi membres d'Economie suisse.

Donc ma question c'est : « est-ce que vous confirmez ces deux faits ? », je pense que oui, mais c'est ma première question, et ma deuxième question c'est : « que comptez-vous faire, vu ce qui me semble être un conflit d'intérêt ? ».

Merci beaucoup.»

9. Proposition d'actionnaires (la seule qui ait été acceptée par la BNS)

02:40:42
02:46:50
06:08
K. Lionel Rossellat - Proposition 8 :Accès registre, PV et votes publics
Lien vers l’intervention K, précédée de rappels par Jean Studer sur les statuts de la BNS à propos des propositions d’actionnaires, puis rappel de la recommandation du Conseil de banque de voter NON à la proposition des AAA+ :https://www.youtube.com/watch?v=57KdgGOdN9A&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=17

« Bonjour, mon nom est Lionel Rossellat, de Thonex.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale,

Je fais partie du collectif qui a adressé dans les temps et dans les formes 10 propositions au Président du Conseil de banque dont une seule vous est soumise au vote aujourd'hui et ce, pour la première fois depuis 2006, selon le magazine Bilan paru cette semaine. Il était temps que nous arrivions.

Malheureusement, notre proposition originale, soumise au vote, a été tronquée.

En effet, notre texte spécifiait que « Dans la mesure où cette décision de l’Assemblée Générale est compatible avec la Loi fédérale sur la Banque nationale suisse (LBN), le Conseil de Banque et la Direction Générale peuvent l’appliquer en l’état. S’il s’avérait que cette décision n’était pas compatible avec la LBN ou avec une autre loi fédérale, alors cette décision constitue une proposition de révision de la loi à l’intention de l’Assemblée fédérale, soumise au Conseil Fédéral, conformément à l’article 36 alinéa f de ladite loi.»

Le Conseil de banque a donc modifié arbitrairement notre texte pour le transformer directement en proposition de révision de la Loi sur la Banque nationale. Nous demandons à ce que le vote porte sur l'intégralité de la proposition originale que nous avons signée.

Nous regrettons, par ailleurs, que notre argumentaire n'ait pas été adressé à tous les actionnaires ici présents avant cette Assemblée afin qu'ils puissent valablement se déterminer. De même, nous regrettons que le Conseil de banque ait juste recommandé de rejeter la proposition sans contre-argumenter. M. Jean Studer nous a assuré par courrier que nous pourrions développer notre argumentaire durant l'Assemblée, ce dont je le remercie.

Dans la mesure où l'accès aux autres actionnaires pourraient continuer à être compliqué, j'invite également tous les actionnaires intéressés à rejoindre notre action à partager leurs coordonnées avec nous à l'issue de cette Assemblée. Et j'en viens maintenant aux arguments plus spécifiques.

Comme l'a rappelé le président du Conseil de banque dans son discours d'introduction de l'Assemblée générale l'année passée, la BNS est régie par la Loi sur la Banque nationale (LBN) et est obligée de rendre compte. L'article 2 de la LBN stipule que « sauf disposition contraire de la présente loi, la Banque nationale est soumise aux dispositions du code des obligations (CO) relatives à la société anonyme. »

Dans la Loi sur la Banque nationale, tant dans le Chapitre concernant les dispositions relevant du droit de la société anonyme que dans celui concernant l'Assemblée générale, on ne trouve pas d'article concernant le procès-verbal de l'Assemblée et la communication du registre des actionnaires. On doit donc inférer qu'il faut se rapporter aux dispositions du Code des obligations relatives à la société anonyme !

L'article 697, alinéa 2, relatif au renseignements et consultation, stipule que « les renseignements doivent être fournis dans la mesure où ils sont nécessaires à l'exercice des droits de l'actionnaire. [Ils peuvent être refusés lorsqu'ils compromettraient le secret des affaires ou d'autres intérêts sociaux dignes de protection.] »

L’article 686, alinéa 1 dit que la société tient un registre des actions. Elle tient ce registre de manière à ce qu’il soit possible d’y accéder en tout temps en Suisse. Or, la consultation du registre pour exercer notre droit d’actionnaire nous a été refusée par la BNS sous l’argument qu’une demande générale de consultation du registre des actions ne peut être autorisée pour des raisons de droit à la personnalité des actionnaires. Il nous a été ajouté que si un actionnaire prouve qu’il a besoin d’information sur l’inscription dans le registre de certains autres actionnaires afin d’exercer ses droits d’actionnaire, le Conseil de banque décide de la demande au cas par cas. Dans la mesure où l’inscription au registre des actionnaires est facultative, la divulgation de l’identité est obligatoire de par la LBN, pour la participation à l’Assemblée générale. Et cette Assemblée est filmée avec une diffusion publique en temps réel, selon la volonté du Conseil de banque. Ainsi, il est difficile de comprendre sa soudaine préoccupation sur la consultation privée de la liste des participants et du registre des actionnaires. En outre, il ne s’agit pas d’une publication mais bien d’une consultation limitée au cercle des actionnaires qui sont obligés de communiquer entre eux par la loi. De plus, une préoccupation pour les personnes humaines ne peut être retenue pour les actionnaires de droit public, qui ne sont que l’émanation du Peuple souverain. Il est donc en outre indispensable de connaître le détail des participations des collectivités et établissements de droit public ainsi que leurs prises de position, par essence publiques, sur les décisions de l’Assemblée générale.

[L'article 697f, alinéa 2, relatif aux délibérations et communications, stipule que « tout actionnaire peut, dans l'année qui suit l'assemblée générale, exiger de la société un exemplaire du rapport et des prises de position. »]

L'article 702, alinéa 2 précise que le procès-verbal « mentionne : 1. le nombre, l'espèce, la valeur nominale et la catégorie d'actions représentées par les actionnaires, les organes, ainsi que les représentants indépendants et les représentants dépositaires ; 2. les décisions [et le résultat des élections] ; 3. les demandes de renseignements et les réponses données ; 4. les déclarations dont les actionnaires demandent l'inscription. »

La loi n’interdit pas de diffuser le procès verbal. Pourquoi modifier la loi puisqu’elle ne l’interdit pas ?

Il ne tient qu’au Conseil de banque de distribuer le procès verbal, comme le font les autres sociétés anonymes en Suisse. Voilà pourquoi nous demandons que le procès verbal de l’Assemblée générale soit effectivement diffusé sur leur demande aux actionnaires de la BNS, y compris la liste de participation à l’Assemblée générale et les prises de position des actionnaires de droit public, que le registre des actionnaires soit consultable par tout actionnaire qui le demande, pour l’exercice de ses droits et devoirs explicites d’actionnaire, en application du Code des obligations. Et pour cela, nous demandons que le vote porte sur la totalité de notre proposition. J’ajoute que la fondation Ethos, dans sa grande sagesse, recommande de voter pour cette proposition.

Je vous remercie de votre attention. »

[Ainsi que l'alinéa 3 du même article, très clair pour le coup : « les actionnaires ont le droit de consulter le procès-verbal. ».

Or, tant la consultation du registre pour exercer notre droit d'actionnaire que la diffusion du procès-verbal nous ont été refusés par la BNS sous l'argument qu'une « demande générale de consultation du registre des actions ne peut être autorisée pour des raisons de droit de la personnalité des actionnaires. Il nous a été ajouté que« Si un actionnaire prouve qu’il a besoin d’informations sur l’inscription dans le registre de certains autres actionnaires afin d’exercer ses droits d’actionnaire, le Conseil de banque décide de la demande au cas par cas ».

Dans la mesure où l’inscription au registre des actionnaires est facultative, la divulgation de l’identité est obligatoire de par la LBN pour la participation à l’Assemblée générale, et cette Assemblée est filmée avec une diffusion publique en temps réel selon la volonté du Conseil de Banque. Ainsi, il est difficile de comprendre sa soudaine préoccupation sur la consultation privée de la liste des participants et du registre des actionnaires, difficile à justifier. En outre, il ne s’agit pas d’une publication, mais bien d’une consultation limitée au cercle des actionnaires qui sont obligés de communiquer entre eux par la LBN.

De plus, une préoccupation pour les personnes humaines, ne peut être retenue pour les actionnaires de droit public qui ne sont que l’émanation du Peuple souverain. Il est donc en outre indispensable de connaître le détail des participations des collectivités et établissements de droit public ainsi que leurs prises de position, par essence publiques, sur les décisions de l’Assemblée générale.

Voilà pourquoi nous demandons que le procès-verbal de l’Assemblée générale soit effectivement diffusé, sur leur demande, aux actionnaires de la BNS y compris la liste de participation à l’Assemblée générale et les prises de positions des actionnaires de droit public et que le registre des actionnaires soit consultable par tout actionnaire qui le demande pour l’exercice de ses droits et devoirs explicites d’actionnaire ainsi que le précise le Code des obligations. »]


10. Discussion générale

02:57:25
03:02:05
04:40
L. François de Siebenthal - Proposition 1 : Appellation « franc suisse »
Lien vers l’intervention L :
https://www.youtube.com/watch?v=7jpt1-MKn0o&index=18&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale, chers étudiants, chers invités, chers actionnaires.

Le thème que je vais aborder est primordial.

La Loi fédérale sur l’unité monétaire et les moyens de paiement institue dans son article premier que « l’unité monétaire suisse est le franc» et dans son article second que les « moyens de paiement ayant cours légal sont : a. les espèces métalliques, que vous avez dans votre poche,émises par la Confédération ; b. les billets de banque émis par la Banque nationale suisse, que vous avez dans vos poches; c. les avoirs à vue en francs auprès de la Banque nationale suisse. »

Le Conseil Fédéral a précisé en 2012, grâce à Geri Müller, Conseiller national, que « l’argent au sens du droit constitutionnel ne comprend pas la monnaie scripturale des banques qui, contrairement aux avoirs à vue auprès de la BNS, connaît un risque d’insolvabilité » si « l’argent au sens du droit constitutionnel » s’appelle « le franc suisse», alors comment s’appelle la « monnaie scripturale des banques» ?

Du fait que ni la Confédération ni la Banque nationale suisse ne protègent cette appellation essentielle, les citoyens font la confusion entre la monnaie légale « franc suisse», créée et gérée par la Banque nationale suisse, et les « substituts monétaires» d’origine bancaire issus de la création monétaire par les banques commerciales, du néant, ex-nihilo. En effet, « selon un sondage effectué dans le cadre d’un travail de Master à l’Université de Zurich, seules 13% des personnes interrogées savaient que des banques d’affaires privées créaient également, de manière surtout électronique, de l’argent par le biais de crédits».

L’unité monétaire déterminée par l’article 1 de la Loi monétaire est le « franc », pas le « franc suisse». L’usage de l’adjectif suisse désigne spécifiquement la monnaie légale du Peuple suisse, créée et garantie par la Banque nationale suisse, et cet usage du mot « suisse» ne peut être permis s’il « est de nature à tromper sur la provenance géographique, la valeur ou d’autres qualités de produits,» conformément à l’article 7 alinéa 2a de la Loi fédérale pour la protection des armoiries publiques et autres signes publics du 5 juin 1931.

La banque WIR, par exemple, est tout à fait claire quand elle ouvre des comptes et des crédits en « francs WIR » à ses clients, ceux-ci savent que les « francs WIR » sont créés par la banque WIR, et ne sont garantis par la banque WIR à la valeur d’un « franc suisse » que dans la mesure où la banque WIR reste en existence. Pour le « franc WIR », l’adjectif « WIR » derrière le nom « franc » indique clairement l’origine du titre et le responsable de la garantie, qui est bien dans ce cas la Banque WIR et aucunement la Banque Nationale Suisse.

« La Banque nationale suisse doit protéger et défendre l’expression « franc suisse » à l'instar d'une marque, désignant exclusivement la monnaie légale du Peuple suisse. En particulier pour faire cesser la confusion qui règne actuellement avec des substituts monétaires bancaires, surtout électroniques.
La Banque nationale suisse ne devrait-elle pas obliger les banques à indiquer à leurs clients et créanciers, de manière claire et évidente, dans les contrats et les relevés de compte correspondant que leurs francs ne sont pas de la monnaie légale?
En ajoutant, à l'instar de la banque WIR, l'acronyme de la banque derrière l'unité monétaire « franc », tel que le franc UBS, le franc Crédit suisse, le franc Banque cantonale genevoise, le franc Banque cantonale zurichoise. En précisant que son « franc X » est un titre public créé et émis par la banque X et non pas par la Banque nationale suisse, et garanti par la banque X, sans aucune garantie de la Banque nationale suisse. Mais également en rappelant que ce «  franc X» n’est pas un moyen de paiement légal, avec renvoi à l’article 1 et 2 de la Loi sur les unités monétaires en Suisse. 

Merci beaucoup de m'avoir écouté. »


03:05:17
03:07:25
02:08
François Meylan - Investissements de la BNS dans l’armement 
Lien vers l’intervention de François Meylan :

« Bonjour,
François Meylan, Meylan Finance, Lausanne, j’aimerais venir sur un point qui me semble très important : c’est l’image de marque de notre banque nationale et de ses placements, et c’est vrai que c’est désagréable pour nous les actionnaires de voir ponctuellement les journaux parler que, dire ou plutôt énoncer que la Banque nationale suisse soutient certains secteurs à risques, notamment considérés par beaucoup d’institutions de prévoyance comme des secteurs à exclure.
Alors j’aimerais rebondir sur le point de Marc Studer tout à l’heure qui était très intéressant sur le soutien notamment, par les placements de la Banque nationale suisse, à l’industrie de l’armement. Donc on ne va pas venir sur ce qui est conventionnel et ce qui est prohibé comme armement, je pense qu’on parle des mines anti-personnelles, je suis moi-même officier supérieur au sein de notre armée, et je suis très attaché à notre capacité de défense, par contre j’ai deux questions, ou plutôt une question pour Monsieur Jordan :
« Est-ce que notre portefeuille-titres, puisque c’est le nôtre, puisqu’on est tous actionnaires, on est tous propriétaires de la Banque nationale suisse, est-ce que notre portefeuille-titres contient des titres en euros de la société Dassault Systèmes, qui fabrique le Rafale, chasseur bombardier avec lequel l’Arabie Saoudite massacre des populations civiles au Yemen ? » En tant qu’actionnaire, je pense qu’on ne peut pas soutenir ça.
L’autre question :
« Est-ce que notre portefeuille actions-dollars a des titres d’une société américaine qui est d’ailleurs florissante, qu’est Lockheed Martin, qui fabrique le chasseur bombardier furtif F35, avec lequel on va aisément, allègrement bombarder une partie du Moyen-Orient ? Alors est-ce que vous pouvez juste me dire si dans nos portefeuilles, on a ces deux titres : Dassault Système et Lockheed Martin ? »

Merci. »

Lien vers l’intervention de Reynold Harringer - Porte parole de l’initiative Monnaie pleine :
https://www.youtube.com/watch?v=TtQoSLsVY_8&index=21&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s


03:19:10
03:22:20
03:10
M. Philip Koenig - Proposition 3 : Compte de virement à la BNS
Lien vers l’intervention M :https://www.youtube.com/watch?v=o8k5bQ00LnY&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=22

« Bonjour, Philip Koenig, Sion.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale suisse,

« Comme l'a précisé le Conseil fédéral en 2012, « les moyens de paiement légaux et ceux considérés dans les faits comme tels sont loin d’être sur des pieds d’égalité. […] Étant donné les différences de solvabilité des établissements gérant des comptes, les avoirs à vue auprès des banques ne jouissent pas des caractéristiques des dépôts auprès de la banque centrale : la standardisation et la fongibilité. Contrairement aux moyens de paiement légaux, nul n’est tenu d’accepter la monnaie scripturale des banques».

Nous rappelons également que l’article 84, al 1 du Code des obligations, qui définit clairement que «le paiement d’une dette qui a pour objet une somme d’argent se fait au moyens de paiement ayant cours légal dans la monnaie due.».

L’article 3, alinéa 3 de la Loi fédérale sur l’unité monétaire et les moyens de paiement stipule que « les avoirs à vue en francs auprès de la Banque nationale suisse doivent être acceptés en paiement, sans limitation de la somme, par tout titulaire d’un compte à la Banque nationale suisse.».

Actuellement, à notre connaissance, un compte de virement à la BNS est le seul moyen de pouvoir utiliser la monnaie légale scripturale, celle créée par la BNS. Il serait logique que les citoyens puissent utiliser au quotidien la seule monnaie légale avec pouvoir libératoire, de forme électronique et garantie sans limite directement par la BNS. En effet, utiliser seulement des billets peut se révéler dangereux pour la sécurité du porteur, et bientôt limité par la loi.

En outre, cette possibilité existe concrètement, puisque les employés de la BNS l’utilisent quotidiennement sans qu’aucun inconvénient n’ait été publié par la BNS à ce jour.

Quels sont les moyens que la BNS met en œuvre pour permettre aux citoyens de ce pays de respecter la loi en payant les biens et services avec de la monnaie scripturale légale ?

La solution s'impose d'elle-même : il faut que la BNS ouvre un compte de virement en monnaie légale à chaque citoyen qui le demande et qui désire respecter la loi de son pays.

Je vous remercie pour votre attention. »


03:22:29
03:24:24
01:55
Roger Kapp - Investir dans la transition, pas dans les polluants
Lien vers l’intervention de Roger Kapp :
https://www.youtube.com/watch?v=dA4px_ez2uY&index=23&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« Roger Kapp, Je suis de Genève.

Monsieur le Président, Madame, Messieurs, chers actionnaires, j’aimerais vous interpeller en toute bienveillance, en ma qualité de citoyen.
Sur les investissements de la Banque nationale suisse, NOTRE banque nationale. Comment et pourquoi investissez-vous dans du pétrole, du charbon, du gaz et du pétrole de schiste, en violation de la charte sur l’environnement dont vous vous êtes dotés, et à l’insu du peuple suisse, comment et pourquoi, alors que le XXIème siècle est déjà bien entamé, alors que la COP21 à Paris nous a rappelé que nous devons cesser de subventionner les énergies fossiles, continuez-vous à « investir » dans ces domaines ? Ils ne sont même plus rentables. Aidez-nous plutôt à financer la transition. Maintenant que nous sommes entrés dans l’Anthropocène, notre survie dépend de notre action à tous. Et le Professeur Tille ici présent, je ne pense pas qu’il me contredira. Ne pourrait-on pas s’attendre à ce que NOTRE banque nationale donne l’exemple ?

Merci Mesdames et Messieurs. »

Lien vers l’intervention de Jean Studer - Risque de buffet froid :

Lien vers l’intervention de Markus Meyer - Monnaie pleine :
https://www.youtube.com/watch?v=iDH_T1RhC78&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=25


03:31:27
03:33:16
01:49
Denis Bucher - Risque financier des investissements fossiles
Lien vers l’intervention de Denis Bucher - Risque financier des investissements fossiles :

« Denis Bucher, Ferney-Voltaire, je suis déjà intervenu tout à l’heure. Là c’est sur un autre sujet.

Ma question est la suivante, on va faire très court et rapide et efficace : Donc l’idée, c’est que… on a vu tout à l’heure, certains ont soulevé le problème que la Banque nationale aurait des investissements contraires aux statuts, comme les gaz de schiste par exemple, certains l’ont déjà soulevé. Ce n’est pas de ça que je vais parler, et notamment pas de la catastrophe environnementale qu’on connaît tous, qui est lié à ce genre d’extractions qui sont catastrophiques aussi pour le climat. Je vais parler d’autre chose, c’est en deux mots, c’est le très gros risque financier que court la Banque nationale, que court la Suisse par effet ricochet, sur ce type d’investissement.

Monsieur Jordan a parlé de « bulle » à un moment donné, il a parlé de risques dans les investissements, et qu’il fallait les éviter, et qu’il fallait garantir une stabilité pour la Banque nationale. Or, les spécialistes de ce domaine considèrent que le gaz de schiste est une bulle financière et que c’est les prochains subprimes. Donc j’espère que le Conseil de Banque est conscient de ces choses-là et s’il ne l’est pas, je vous invite à lire le livre d’un économiste, d’un docteur en économie, qui est Thomas Porcher, un français, qui a écrit là-dessus, et qui a fait un livre sur les gaz de schiste, sans prendre l’argument environnemental. Il ne s’est intéressé qu’au côté économique. Et il est arrivé à la conclusion que c’était une catastrophe, sans prendre l’argument environnemental. Donc ma question était simple, ou ma remarque :  Est-ce que vous êtes conscients de ce risque ? Est-ce que la Banque nationale fera le nécessaire pour éviter ce gros risque pour la Banque nationale, et donc pour la Suisse, par ricochet ?

Merci beaucoup. »


03:35:28
03:36:21
00:53
N. Mathieu Desponts - Proposition 2 : Dépôt de monnaie légale
Lien vers l’intervention N :https://www.youtube.com/watch?v=smfAoGJqkpQ&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s&index=28

« Je m'appelle Mathieu Desponts, je viens de Montreux.

Je ferai très très vite.

En écoutant les orateurs précédents, j'ai cru comprendre que, en fait, mon billet de banque, ici, de la BNS, qui est quelque chose qui est garanti, si je le mets dans une banque, c'est probable qu'il soit transformé en substitut monétaire, qu'il soit mis dans le bilan de la banque, et j'aimerais donc savoir dans quelle banque je peux aller pour faire un vrai dépôt, comme si je faisais un dépôt de titre, comme une action BNS par exemple.

Je sais qu'il y avait PostFinance qui le faisait, elle a été transformée en banque, du coup la garantie n'est plus illimitée.

Je voudrais savoir si la BNS a une liste de banques qui pratiquent encore le dépôt, ou si elle n'existe pas, si la BNS peut la faire ?

Merci »


03:36:21
03:39:50
03:29
O. Bernard Dugas - Proposition 4 : Cumul de la création monétaire
Lien vers l’intervention O :https://www.youtube.com/watch?v=RTvIXYDWmxM&index=30&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« Merci.
J'ai en fait deux questions.
Une courte, c'est : est-ce que la Banque nationale suisse pourrait signer le « Code suisse des bonnes pratiques pour le gouvernement d'entreprise ». C'est un code qui a été mis au point par plusieurs universitaires, dans le domaine éthique sur le gouvernement d'entreprise. Et en particulier, c'est un code qui a été établi par Économie Suisse.
Le deuxième point c'est : vous connaissez tous le PIB, on entend parler tous les jours du PIB, le Produit Intérieur Brut. Et je voudrais vous parler du PBM, le Produit Brut de Monnaie, une statistique qui manque cruellement pour comprendre et contrôler le système monétaire.
Actuellement, on peut calculer le stock d’unités monétaires en existence, parce que toute la monnaie en existence est dans le bilan soit de la BNS soit dans le bilan des banques commerciales, mais il n'est pas publié de manière précisément sous ce nom-là.
Par contre il est impossible de trouver le cumul de la création d’unités monétaires entre deux clôtures de bilans. Or, sans le cumul de la création d’unités monétaires, il manque des variables dans l'équation de conservation des unités monétaires, comme dirait un chimiste.
Vous avez tous un compteur d’eau à la maison. Pour la monnaie, il n'y a pas de compteur ! C’est comme si les Services industriels de Berne vous demandaient de déclarer chaque mois combien il reste d’eau dans votre baignoire, sans mesurer le cumul de l’entrée d’eau potable avec un compteur : l’eau potable serait gratuite. La consommation d’eau potable ne serait pas mesurée, elle resterait inconnue.
Or, une banque crée plus de monnaie que la variation visible de son stock de monnaie, parce que les destructions compensent des créations. Et c'est donc… Ne pas connaître le PBM, le produit Brut de Monnaie en Suisse, c'est comme ne pas connaître le PIB et n'avoir accès qu'au bilan des entreprises suisses, ce n'est pas cohérent.
Je prend un exemple : une banque se fait un crédit de 50 milliards pour que Jérôme Kerviel (vous devinerez la banque…) achète des titres pendant deux jours, voire quelques millièmes de seconde, puis cette monnaie est détruite (mais le bénéfice n'est pas détruit, lui). Par contre, cette création de monnaie est invisible dans les statistiques mensuelles actuelles, alors que son rôle sur l’économie peut être majeur, en faisant par exemple monter les prix d’une action ou d’une matière première : c'est la spéculation, la bulle, par la création de monnaie.
Et surtout, le principe même de cotation de titres est basé sur la connaissance du nombre de titres émis. Quand Apple a multiplié le nombre de ses actions par sept, le prix de ses actions a mathématiquement été divisé par sept.
Or les unités monétaires sont des titres, et en l’absence de publication officielle du nombre de titres monétaires créés, nous, les citoyens, nous sommes dans l’impossibilité de négocier correctement les prix des titres monétaires (c’est-à-dire les taux de change) et le prix des biens et services, libellés selon ces titres monétaires, à commencer par nos salaires.
Un émetteur de titres publiquement cotés a l'obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n'avoir aucune obligation de publication.
Le PBM, le Produit Brut de Monnaie, c'est simplement la mesure du carburant de l'économie, et c'est l'information stratégique que nous demandons à la BNS.
Merci. »

03:39:50
03:41:53
02:03
P. Frédéric Deslarzes - Proposition 9 : Action de la BNS
Lien vers l’intervention P :https://www.youtube.com/watch?v=Vj2Jczt5W78&index=29&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« Mon nom est Frédéric Deslarzes et j'habite en Valais, à Vollèges.

La création monétaire est le pouvoir régalien, le pouvoir du Souverain, et le Souverain, c’est le Peuple, soit l’ensemble des citoyens suisses. Seuls les citoyens peuvent voter pour des décisions relatives au fonctionnement de la Confédération. Il est donc logique et démocratique que chaque citoyen dispose d’une voix de vote à la BNS et partage les bénéfices de la BNS : un citoyen, une voix !

Il est aussi normal que seuls les citoyens puissent disposer de ce droit essentiel comme pour tous les votes touchant à la vie de la Confédération. La BNS est déclarée indépendante de la Confédération, et cela se traduit par l’interdiction à la Confédération d’être actionnaire.

Or, l’article 6 de la Loi sur la banque nationale, sur l’indépendance de la BNS, prévoit que « dans l’accomplissement des tâches de politique monétaire visées à l’article 5, alinéas 1 et 2, la Banque nationale et les membres de ses organes ne peuvent ni solliciter ni accepter d’instructions du Conseil fédéral, de l’Assemblée fédérale ou d’autres organismes ».

Par cohérence avec le raisonnement sur la Confédération, il serait logique d’appliquer ce même raisonnement pour tout « autre organisme » aussi. En conséquence, aucun autre organisme ne saurait être actionnaire de la BNS pour assurer son indépendance. Il reste seulement comme possibles actionnaires ceux qui ont le droit de vote fédéral, les citoyens suisses, pour exercer directement leur pouvoir régalien Souverain, le droit de la création monétaire.

A noter que l’article 7 de la Loi sur la Banque nationale du 23 décembre 1953, abrogé lors de la révision de la loi adoptée en 2004, stipulait que « seuls les citoyens suisses et les collectivités suisses de droit public, de même que les sociétés en nom collectif et en commandite et les personnes morales ayant leur domicile principal en Suisse [pouvaient] être inscrits dans le registre des actions ou admis à souscrire de nouvelles actions ».

Ne serait-il pas logique que chaque citoyen reçoive une action de la BNS afin que la BNS prenne la forme d'une société coopérative plutôt qu'une société anonyme ? 

Je vous remercie de votre attention. »


03:41:53
03:46:08
04:15
Q. Blaise Rossellat - Proposition 10 : Compte de financement souverain
Lien vers l’intervention Q :https://www.youtube.com/watch?v=uAKg9fRmluU&index=31&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

« Blaise Rossellat, CEO de Starlac Energie SA, de Chêne-Bougeries.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de banque, Mesdames et Messieurs les actionnaires de la Banque nationale suisse,

Actuellement la BNS a réalisé plus de 600 milliards d’investissements à partir de création ex-nihilo d’unités monétaires légales, dont très peu d’investissements en Suisse, voire aucun, selon les données publiées auxquelles nous avons accès.

En parallèle, tous les entrepreneurs suisses constatent une baisse de financement préoccupante et la baisse d’activité correspondante, au moins en corrélation. Divers médias s’en font l’écho en parlant de « credit-crunch » pour les PME et TPE, qui sont le cœur de l’économie suisse. L’injection de monnaie dans le tissu industriel et innovateur ne fonctionne plus, et c’est pourtant une nécessité vitale.

Pourquoi la BNS n’investit-elle pas en Suisse ? Cela répond, semble-t-il, à la préoccupation d’éviter tout risque de prise d’intérêt de lobbies particuliers au détriment de l’intérêt commun. L’expérience montre que cette peur est justifiée quand un petit groupe de personnes, même exceptionnellement vertueux, dispose de la concentration exceptionnelle du premier pouvoir régalien du Souverain d’un pays, la création monétaire sans limite.

Pourtant, il existe une solution simple pour laquelle la Suisse est mondialement connue : la démocratie ! Une votation pour un projet revient à ce que chacun attribue le budget du projet. Au final, chaque bulletin de vote équivaut au versement d’une part de financement au projet. Le Peuple suisse sait depuis longtemps que la véritable indépendance en politique, c’est l’équilibre des intérêts personnels de chaque citoyen. Avec les moyens technologiques actuels, il est tout à fait réalisable que chaque citoyen reçoive de la BNS un compte d’investissement alimenté par la création monétaire de la BNS. En parallèle, les entrepreneurs suisses porteurs de projets innovants exposent leurs idées et demandes de budget correspondantes.

Chaque citoyen attribue alors la part de financement qu’il choisit en son âme et conscience aux différents projets proposés, en tant que Souverain administrateur de son Canton et de sa Confédération. Imaginons que chaque citoyen doit décider de l’attribution de 1000 francs, cela ferait environ 8 milliards à distribuer à l’économie réelle : un ballon d’oxygène vital. Chaque citoyen participe ainsi directement au conseil d’administration de la Suisse. On peut voir ce processus comme un « crowdfunding » officiel directement alimenté par la création monétaire, qui apparaît enfin dans sa nature profonde : le droit de vote économique du Souverain, celui qui indique dans quelle direction nous voulons et devons travailler.

Par nature, il est de la responsabilité de la BNS de déterminer combien créer de « francs suisses » légaux à cet usage. Comme toute création monétaire, cette création monétaire entraîne la dilution correspondante de la monnaie qui favorise la baisse de son taux de change. Plus la BNS crée de monnaie de cette manière, plus le taux de change baisse et plus l’économie réelle est bien financée, c’est un cercle vertueux qui se met en place. On obtient en outre une véritable séparation du pouvoir entre celui qui décide combien de nouvelle monnaie il faut, et ceux qui décident à quel usage cette nouvelle monnaie sera utilisée au mieux. C’est précisément l’analogie économique et monétaire de la séparation entre le pouvoir législatif, qui décide du budget, et le pouvoir exécutif, qui l’utilise.

Et voici ma question : la BNS ne pourrait-elle pas attribuer à chaque citoyen qui en fait la demande, un compte de financement souverain ?
L’usage de ce compte serait limité à financer des projets présentés dans une base de projets suisses, que la BNS devrait organiser en parallèle. La BNS déciderait chaque année du montant de monnaie légale qu’elle crée à cet usage. Elle mettrait ce montant à disposition en parts égales sur ces comptes de financement souverain, pour financer directement l’économie réelle suisse de manière démocratique »

Je vous remercie de votre attention. »

Lien vers les réponses aux questions posées, par Thomas Jordan :https://www.youtube.com/watch?v=seUMg6khOfo&index=32&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s

11. Conclusion

Lien vers le discours de fin par Jean Studer :
https://www.youtube.com/watch?v=_u3M3-kVpdg&index=34&list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s




L'Etat et les banques: Myret Zaki et Etienne Chouard

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Cette conférence a eu lieu ce samedi 11 février 2017 à Genève.

Lien vers la totalité de la conférence:



merci pour cette superbe journée et soirée notamment à Etienne Chouard, Myret Zaki, Greg de usfprod.ch ... et Chloé Fra notamment pour http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/interventions-lag-de-la-bns.html


5 ANS APRÈS, LE HOLD-UP CONTINUE
MYRET ZAKI & ETIENNE CHOUARD
Conférence . Samedi 11 février 2017 . 18h30
Quatre ans après leur première rencontre, Myret Zaki, éditorialiste au magazine économique suisse «Bilan» et Etienne Chouard, professeur, blogueur et militant politique français, se retrouvent pour faire le point sur la situation des relations entretenues entre l’état et les banques.
Dérivés financiers, finance de l’ombre, crash systémique, avenir du dollar, etc.. autant de sujets qui seront abordés sous l’angle des postulats de la démocratie comme levier ou contrainte des peuples, du keynésianisme et des constitutions.
Contact pour plus d’informations: info@usfprod.ch - 076 224 12 60
Ouverture des portes à 17h30
Entrée libre, buvette et petite restauration sur place

Conférence précédente avec Miret Zaki et Etienne Chouard à la Fonderie Kugler

Votations: tricheries reconnues par les autorités !

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Des fraudes massives dans toute la Suisse !
Votations: trop de doutes sérieux reconnus par les plus hautes autorités !
La Confédération et le Canton de Berne notamment reconnaissent la valeur de presque toutes nos plaintes depuis des années.
Ces sages mesures prises concrètement ( ci-dessous ) doivent être appliquées à tous les votes en Suisse. 
Cette votation de Moutier peut et doit devenir le modèle de votations au-dessus de tout soupçon.

Ils prennent enfin des mesures sérieuses pour éviter les irrégularités trop nombreuses et si faciles lors du vote de Moutier (BE) sur son appartenance cantonale: 
plusieurs observateurs de la Confédération, 
suppression du dépouillement anticipé, 
contrôle du vote par correspondance, 
du registre des électeurs, 
interdiction du vote électronique 
et information dans les homes de personnes âgées 
et contrôles près des poubelles des cases postales 
et dans les locatifs.

Une simple lampe de bureau ou une lampe de poche à LED suffit pour voir le vote par transparence et changer l'enveloppe interne et son contenu si nécessaire...
Images de fraudes:



En raison de l'importance de ce scrutin, le gouvernement bernois a arrêté ce dispositif d'entente avec l'Office fédéral de la justice (OFJ) et les autorités prévôtoises. L'objectif est de clore d'une manière exemplaire la Question jurassienne le 18 juin prochain et d'éviter tout recours auprès des tribunaux.

"On veut renforcer la confiance des ayants droit dans la votation et éviter des soupçons d'irrégularités", a souligné le chancelier du canton de Berne Christoph Auer mardi à Moutier. "C'est une première en Suisse qu'une votation soit accompagnée de tant de mesures", a relevé Jean-Christophe Geiser, responsable de ce dossier à l'OFJ.

Sept observateurs fédéraux

La Confédération enverra sept observateurs qui seront présents dans le local de vote et lors du dépouillement. Ils ne pourront toutefois pas intervenir directement mais seulement rédiger un rapport. Cette action s'inscrit dans le cadre de la mission des bons offices de la Confédération.

Ces juristes mandatés par l'OFJ devront sensibiliser les directions des homes pour personnes âgées au traitement réservé au matériel de vote de leurs pensionnaires. Ces observateurs devront aussi sensibiliser le personnel de la Poste de Moutier en le rendant attentif au sujet de l'élimination du matériel de vote jeté près des cases postales.


La chancellerie d'Etat bernoise va surveiller mensuellement les fluctuations du registre des électeurs. Il s'agit ainsi de déceler d'éventuelles irrégularités, ainsi que de prévenir un tourisme électoral. "Pour l'instant, nous n'avons rien décelé de particulier", a relevé le maire de Moutier Marcel Winistoerfer.

Vote par correspondance

Le gouvernement ne supprimera pas le vote par correspondance comme l'avaient souhaité les autorités communales. La loi ne prévoit cette restriction du droit de vote qu'en cas de difficultés du service postal, de découverte de tentatives de manipulation ou de troubles de l'ordre public.


Mais pour garantir un traitement irréprochable du matériel de vote, les enveloppes-réponses pour le vote par correspondance seront libellées à l'adresse de l'OFJ. Les enveloppes seront conservées dans des urnes scellées à Berne avant d'être transportées à Moutier pour le dépouillement.


Il n'y aura pas de dépouillement anticipé. Les opérations ne vont débuter qu'à la fermeture du local de vote dimanche. Au terme du dépouillement, les bulletins seront remis à la préfecture du Jura bernois. Ils ne seront détruits qu'après la publication du résultat définitif du scrutin.



Image issue d'un article pour la recherche "Christoph Auer Moutier" (source : 24heures.ch)

Le vote de Moutier sera hautement supervisé

24heures.ch-31 janv. 2017
Le 18 juin, lorsque Moutier votera sur son appartenance cantonale, ... mardi à Moutier le chancelier du canton de Berne Christoph Auer. «C'est ...
Image issue d'un article pour la recherche "Christoph Auer Moutier" (source : RJB)

Cinq mesures pour surveiller le vote de Moutier

RJB-2 févr. 2017
Virginie Simonin, adjointe au chancelier de Moutier; Marcel Winistoerfer, maire de MoutierChristoph Auer, chancelier du canton de Berne; ...
Image issue d'un article pour la recherche "Christoph Auer Moutier" (source : Le Temps)

Des observateurs fédéraux pour surveiller le vote de Moutier

Le Temps-31 janv. 2017
Des observateurs fédéraux pour surveiller le vote de Moutier ... la confiance des citoyens-électeurs», dit le chancelier bernois Christoph Auer.
Image issue d'un article pour la recherche "Christoph Auer Moutier" (source : tio.ch)

Super controlli per il voto a Moutier

tio.ch-31 janv. 2017
MOUTIER - Il canton Berna ha varato un dispositivo eccezionale volto ... ha sottolineato oggi a Moutier il cancelliere bernese Christoph Auer.

Image issue d'un article pour la recherche "Christoph Auer Moutier" (source : Der Bund)

Urnengang unter Bundesaufsicht

Der Bund-31 janv. 2017
Im Juni stimmt Moutier über seine Kantonszugehörigkeit ab. ... Neben dem bernischen Staatsschreiber Christoph Auer und Christian Vaquin, ...


L'UE surveille le vote suisse - La Côte

www.lacote.ch/articles/economie/l-ue-surveille-le-vote-suisse-621862


12 janv. 2017 - FISCALITÉ DES ENTREPRISES - Un rejet de la loi sur la RIE III le 12 février porterait à conséquence sur les relations entre la Suisse et l'Union ...

Vote de Moutier sous surveillance - Bluewin

https://www.bluewin.ch/.../mesures-pour-un-vote-exemplaire-le-18-juin-a-mouti.html


Il y a 1 heure - Le canton de Berne prend des mesures pour éviter des irrégularités lors du vote de Moutier (BE) sur son appartenance cantonale: ...

Une simple lampe de bureau ou une lampe de poche à LED suffit pour voir le vote par transparence et changer l'enveloppe interne et son contenu si nécessaire...
Images de fraudes:
https://www.google.ch/search?q=fraudes+siebenthal&rlz=1C1BOBA_enCH595CH596&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwiDvvizrOzRAhUBWhQKHUmPCfIQ_AUICCgB



The Swiss Votes 2016-2017-2018: What’s Next?

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“What Would You Do If Your Income Were Taken Care Of?“ at Times Square in New York City, 14 May 2016




Swiss positive money. What’s Next?


The new money is not coming from taxes or salaries but from the money creation actually given to the bankers by billions or even quadrillions...

These quantative easings are to be given to the people, not for wars or bonuses for the happy fews...


Swiss Open Society to a real economical democracy, let's distribute the incomes from more and more automation, thanks to robots, computers and machines.
A new society, some animals in farms are now free, it's our turn, let's free human beings from the chains of serfdom.

Automation will benefit to all. Let's share the massive productivity, a dividend for all swiss peoples, habitants of all the States of the Swiss Confederation, a real economical democracy, thanks to robots, computers and machines, animals are free, it's our turn, let's free human beings from the chains of serfdom.
We, swiss, are all Kings, and the first duty of a King is to control the money creation.


The Swiss Universal Basic Income 


Vote 2016: What’s Next?


Below is an impressive document. It articulates policy without specifying details. It articulates:

1. A sound rationale in its preamble for its authority to do so and concise reasons why it is needed – i.e. the precise cause of the gap.


2. A restatement of Douglas’s principle that the purpose of production is consumption and that the best system is the one that gets goods into the hands of consumers as, when and if needed at the lowest possible cost.


3. The basic framework for government administration departments is given; Federal Credit Commission (FCC) and issue of debt-free money under the Treasury.


4. Defines the just price mechanism by which the compensated price discount shall be calculated.


5. The mandate to ensure no more credit is issued than can be supported by social credit – i.e. national productivity.


6. A provision is made for dividends under the guidance of the FCC so that it can be properly factored with the compensated price (CP) in order to meet the policy objective of not causing inflation.


7. Discount only applicable to consumers.

Reflections, Lessons Learned and Perspectives











“What Would You Do If Your Income Were Taken Care Of?“ at Times Square in New York City, 14 May 2016

On June 5, 2016 all Swiss citizens were asked if they would like to amend their federal constitution with a Universal Basic Income (UBI). The proposal was declined, but the campaign not only prepared us for future discussions on social welfare in Switzerland, it also gave us the key insights for how we can talk about the future of work and income in general. This text is focused not only on the Swiss voting process and result, but includes representative polling data from voters. It is an attempt to explain the factors that led to the result and where this story might continue — for it was only the beginning of a debate still to be had.
23.1% — The Beginning of a Transformation

Switzerland is probably one of the most conservative countries on the planet. Here, political change happens steadily, but very slowly. Many indicators show the typical Swiss non-experimental voting habit. The strongest evidence might be a glimpse into the history of citizen’s initiatives. For more than 100 years, every Swiss citizen has the right to hold a public “citizen’s initiative” to change the federal constitution. Out of a total 206 national votes on a citizen’s initiatives since 1891, only 22 were majority votes. This is part of why Switzerland, despite “direct democracy” as we call it, remains a reliable partner as a nation and is not subject to sudden and abrupt changes.



The “Biggest Question” in Berlin/Germany in front of Brandenburger-Tor, 29 May 2016


You can get a sense of Swiss voting behavior by considering the fact that the Swiss voted against longer holidays in 2012. The vote is an example of the conservative and, in many cases, realistic approach in political decision making. It is evidence of the assumption that, if given the power to decide on issues (as opposed to presidential elections), it is very unlikely people will decide on something that is harming for society as a whole. In fact, almost all major political achievements in the last century have taken decades to establish on a national level and many debates and votes have taken place before institutionalizing new political ideas into actual policies. The best example is probably the establishment of a national pension scheme, which was proposed in a citizen’s initiative in the 1920s and was not accepted by voters until after World War II (1947).
In that sense, the 23.1% approval for a radical policy like UBI is a success in Swiss terms. The result was surprising for many insiders and observers. Even for the campaigners (myself included), this approval rate was not something we expected at all. here was almost no support across the parliament, influential institutions, as well as parties across the political spectrum. However, despite the political establishment turning their back on the basic income proposal, the debate on the vote on June 5, 2016 was one of the most intensive and substantial in years.





How was it possible to provoke such a heated conversation despite the overall chances of turning the UBI into law being low? The survey data indicates a simple answer: voters — to a large extent — are convinced that UBI is the social policy of the future. Overall, 69% of the voters in the representative survey expect a second vote on UBI in the future. A whole 63% of voters who chose to vote against the policy still believe in an ongoing debate about this in the future (see source above). The impression of the UBI as a “policy for the future” is also supported by the fact that a new generation of young adults (age 18–30) showed a much higher approval rate (35%) to the UBI proposal (Survey 2, p. 4). Millennials (age 18–25) show even higher support rates.
The cited survey results overall contribute clearly to the assumption that Universal Basic Income will play a major role in future discussions of how we can and will organize social justice.

A Landmark Vote: Defining the Next Steps in Social Justice Reform






“Creating the Floor” in Bern/Switzerland at Federal Square, 14 October 2013
It was not by accident that the vote on Universal Basic Income in Switzerland was a landmark vote, defining a new pathway and a response toward the future of work creating social policy. The referendum was designed to shift the general debate about social justice towards a new understanding of the interrelation of work and income.
The discussion was based on a proposal to add three new articles in the Swiss constitution:
1st: The national state is required to establish an Unconditional Basic Income.
2nd: The Basic Income has to ensure all Swiss residents a life in dignity and participation in public life.
3rd: The legislation [created by the Swiss parliament] has to set the necessary rules accordingly, especially to organize the financial part.
The proposal sets the main goals to establish a society with Universal Basic Income, yet it does not give answers to many key questions that naturally follow. For example: “How exactly will the UBI be introduced? What tax scheme would have to be set up in order to make it work?” The campaign and the debate around the Swiss vote was what I would call a political discussion about a vision. Instead of trying to deliver all the answers and give a detailed plan, we urged for a visionary — but serious — debate about how we want to live together in the future under our Federal Constitution.
Deep rooted change such as the introduction of a UBI needs time — for it would redefine the social structures of an entire country under a reformulated constitution. Proposing UBI, we are following the Swiss pattern of having a visionary public debate in order to get closer to what we really want to achieve politically.

Main Argument for UBI: Technological Change






“Robot Protest” with author’s daughter in the front in Downtown Zurich/Switzerland, 1 May 2016
In voter surveys, we tested which arguments for the UBI were the strongest. We discovered a few factors that were convincing in the course of the campaign, e.g. UBI would subsidize unpaid work (see source below). The strongest argument for voters, however, was their belief that, “many traditional types of work will become redundant and that basic income is needed to attain new lifestyle models.” Overall, 72% agreed with this description. Amongst women, young voters and those in urban areas, agreement was even higher (see source below).






Despite Switzerland still being a very comfortable place to live in terms of social security and the job market, there is a relatively established feeling that current technological change will require new forms of living and re-organization of social welfare. Basic Income is generally seen as an answer to technological change and its consequences.
No immediate change in course is necessary. Switzerland has a comparably high standard of living and low unemployment rate. But what happens when technological change actually leads to more pressure on the middle class, as many experts predict? It is likely that policy proposals like UBI will be seen as a solution.

Reasons for a “No”

The survey data gives us an important understanding of why Swiss citizens voted against UBI this time. Amongst other factors, virtually all participants of the survey who voted with a “No” would agree with the description that, “everybody should generate an income from employment if possible” (see source below).





Survey question: “Everybody should generate an income from employment if possible”, yellow are No-Voters, blue are Yes-Voters. Left column: “very important” to right column: “very unimportant”

It indicates how deeply rooted the notion of the “protestant work ethic” still is and how it connects to political views, as well as to our way of live. In our modern economic circumstances this conviction translates to the general feeling that only a job that generates some kind of monetary income (on the market) justifies a life in dignity. A UBI clearly undermines this basic rule of capitalism and is therefore a threat to the current system — a system that has served itself for centuries. In a country where citizens vote against more holidays, this notion might not be surprising. Still, these facts show us the complexity of how our beliefs on the issues of work and income overlap. The same participants indicated in the same survey, that they believe that the subsidy of unpaid work (e.g. care work, volunteer work etc.) is a good argument for the UBI.
I am certain that it will be necessary to look deeper into patterns of how people currently think about economic status and into their definitions of income, work and labor.

Three Patterns of the Swiss UBI Movement






It’s done! Crowd in Basel/Switzerland on voting day 5 June 2016
When reading the survey parallel to the voting results, some interesting patterns appear that ought to be considered. Sitting in front of the data, my biggest question was if there were indications of certain patterns that could be described as “movements” or — at least — as groupings with a strong set of shared interests, beliefs or values that would be more likely to vote for UBI. Three key patterns appeared:
Age Group 55–65
As mentioned earlier, young voters were strongly attracted by the idea of UBI. However, there is a second age group that was more inclined to put a “Yes” into the ballot box. This group is about 10–15 years away from the Swiss standard age for retirement at age 65 (Survey 2, p. 4). There has been a lot of reflection on this particular group lately, as a whole set of research shows low access percentages to the job market. For this group especially, reentering the market of a fast developing economy after being excluded is a major problem. At the same time, day to day politics have mostly been proposing further cuts to pension funds and an increase in the retiring age as a response.





What age groups voted for/against UBI? Yellow No-Voters, blue Yes-Voters. Note: 45–59 years old substantially more Yes-votes. Analyzing age group 55–65 (not in this graphic) were significantly more likely to vote yes.

The state’s retiring scheme is being reformed nearly on a yearly basis. To this age group, Basic Income appears a rather logical step: instead of putting even more pressure on people aged roughly between 55 and 65 by making them find a job, it would make more sense to enable them to concentrate on what they can offer to re-enter a job market, or even outside of such a market. The survey also indicates what that could be: people want to educate themselves to keep up with a continuously developing job market and particularly people in an older age group want to spend more time with their grandchildren (Survey by Demoscope in Dec. 2015, download via www.basicincome2016.org).
Post Materialists
The endorsement of a UBI as being of interest at all of the Swiss Green Party, which is the only established party that supported UBI in the course of the UBI campaign,is evidence of a second pattern: the UBI is in line with the worldview of the post-materialists. Our second survey clearly shows a strong correlation between so called post-materialistic preferences and the political openness to the introduction of UBI (Survey 2, p. 10). This group or movement can be described as the classic mixture of voters affiliated with either the left party or the green party whose political beliefs are traditionally focused on solidarity and pacifism. This group’s political ideas are often descendants of the political movements of 1968 and the environmental movement in the 1980s, but they are not bound to one age group. Overall, 59% of post-materialists voted for UBI.
Avantgarde
The third pattern can be called “globalized individualists,” or simply the “avantgarde” (Survey 2, p. 11). Individuals who can be labeled as the avantgarde typically value migration and new lifestyles in general, and view traditions negatively. In large part, this group is urban. Their work is project-based, and they participate in the so-called “gig-economy.” They can also be referred to as “digital nomads,” but this might only describe part of the pattern. Over half of participants who can be identified as the avantgarde voted “yes” for the UBI policy.
This group might also be the strongest driver for the UBI campaign itself, as many who worked with us identify with this set of values.

Policy for All — Discourse for All






Let’s discuss UBI from all angles. “Biggest Question” in Geneva/Switzerland, 14 May 2016
Based on observations, it would be presumptuous to finish with a complete follow-up strategy for the realization of a UBI policy. Still, the Swiss referendum hints at a series of conclusions and follow-up thoughts.

It’s the Debate — Stupid

The proposal and the movement started out with a handful of people and eventually grew into a grassroots’ organization that collected the necessary signatures to force a national vote. Nobody and nothing involved in the process was attached to the Swiss establishment in the realms of politics or big money. The result: 23% approval of the proposal. So why would this poorly organized attempt still stir by far the strongest debate about social justice and the future of work in years in Switzerland — and even on a global level?
As I have laid out in this text, there are many answers to that. One key element, though, might be courage. The courage to truly force a debate on issues we might not already have all the answers to. And that might also be the reason why people participate in the debate: in order to find answers in the process.
As shown, direct democracy might be the best tool for forcing these kinds of political issues into the public debate. Representative democracies, with their structural bias toward parties and institutions, may have a challenging time involving the general public to the same degree that it was possible in Switzerland.

Innovation by the Many

The general innovation procedures involving research, experts, political insiders and financial backing from the economic realm might not be the full answer to the problems we’re facing today. The Swiss vote exemplifies this trend. The proposal, as well as some of the most innovative aspects of the debate, were not drawn from established players in Swiss politics, but from the public discourse itself.
The UBI vote shows that the final voting decision is still hugely influenced by established institutions. But general interest in the issue, and openness to participating in a serious debate, indicate the value of exploring alternative pathways in the making of future policies. The best way to encourage this kind of debate is to propose a visionary policy and welcome everybody to the debate.

The Future Needs UBI

Installing UBI as a policy is far from being off the table. The same day Swiss citizens were voting against the introduction of a UBI by a 76.9% margin, 69% declared their expectation of a second vote in the near future. And a total 62% think that UBI now is rather on the table and up for debate than done as a topic. Amongst younger voters and Millennials, 78% think that the 2016 vote was “just the beginning.”






All of this is taking place in a time of substantial economical transformation. Due to technological change and inappropriate social policy over the last 30 years, net-income for the middle class has stagnated or has even declined, as a recent UBS study shows, amongst others.
The election of Donald Trump as the next president of the United States was clearly influenced by that baseline. Low-income folks, and those in the middle-class who fear the same destiny, were far more likely to vote for Trump, as an analysis of the New York Times suggests.
In this climate of uncertainty and the rise of populist answers to the growing social justice problem, a universal basic income for all members of society might just be the key element to shape future debates.

Patterns of the Current State






The current state of abundance requires new economic models and policy
In western countries like the US, as well as in Germany, socio-economic challenges are mostly tackled by introducing a minimum wage or other classical social mechanisms and policies. There were noticeable successes recently with minimum wage referendums in Washington D.C., Arizona, Washington State and Colorado. This indicates a growing base that believes there must be a change in terms of economic justice.
In Finnland, the state institution for social welfare started an experimentwith unconditional payments for 2,000 social security recipients starting 1 January 2017. And in the US, we see both a multi-million dollar experiment by tech accelerator Y-Combinator and the freshly founded Basic Income advocacy group called “Economic Security Project,” with several research partners and a aspired funding of $10 Mio.
In Switzerland, the political climate towards socially innovative policies is hard to predict. Recently, apart from the UBI movement, there have been examples of a rise in the political influence of non-partisan groups and new progressive-liberal think tanks like “Operation Libero.”
In Switzerland, the next national referendum is at least five years off. Still, there is a collection of projects on a local scale either to be confirmed or to be completed. In the city of Lausanne, unconditional payments will be tested in the realm of social welfare. In Zurich, a similar plan is to be confirmed by the city council. And an independent lottery fund wants to hand out basic incomes funded by an online crowd.

Patterns of the Next Level

One obvious next step to take about UBI in Switzerland is to test it small scale, e.g. on a local level. Besides the fact that Lausanne and Zurich are already taking action, a total of 44% of the Swiss support the idea to experiment with UBI and even 79% of yes-voters are convinced about trials.





The Swiss want to go forward with UBI by trials.

Similar actions are currently taken in the Netherlands, Finnland and Canada. So what would be the primal reason to do experiments around UBI in Switzerland and if so, what should we do different?
  1. In Switzerland, not only have citizens direct power on the national level but also in their states (Kantons) and even in their cities. In designing a trial to test UBI on a local level, it will be necessary and valuable at the same time to start with a local referendum. Most likely, this will happen in a urban area, where there were much higher approval ratings.
  2. Instead of focusing only on UBI as a tool to enhance/replace social welfare (like in the experiments in the Netherlands and Finnland) or erase poverty, in Switzerland there is the chance to address society as a whole. That would mean to set up a trial which not only had recipients who receive social welfare or other assistance but also people who receive income by working in different industries and even people who are living of capital income. My hope would not only be that results are more complete on the potential effects of a UBI but it would certainly shape the debate about UBI in a more holistic and comprehensive way.





The Swiss are willing to make local trials happen, either in a state (41%) or in a city (36%)

After all it will be important to keep an open flow of research and experiences across attempts to gather information on UBI. Not only in order to strengthen arguments and possibilities of political feasibility, but also to complement the many projections towards the concept of a UBI and to be able to give better answers to the many sophisticated and legitimate questions we have today.
So my final question is: If we were to run an experiment in Switzerland soon, what would be most important issues, focuses or premises to experiment with, for YOU?





Usure ? Le pape François au combat

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NdE: le Pape a dit "sans faire des calculs mesquins et sans exiger des intérêts impossibles" , en effet, le système fait des contrats impossibles, donc iniques et nuls, puis que des contrats impossibles sont nuls..., le texte écrit officiel VIS triche en écrivant une maladresse, un mensonge ou une manipulation, ci-après en rouge, le texte anglais écrit justement ...  impossible...) ...
Preuve: la vidéo ci-dessous à 22 minutes, 22 secondes et suivantes notamment...


le Pape a aussi dit : "L'usure est un péché grave..."



La traduction de Zenith est juste, celle de VIS est douteuse, trafiquée, maladroite ou fausse...
Zenith:
« Prions pour qu’en ce jubilé, le Seigneur enlève de notre cœur à tous cette envie d’avoir plus, l’usure »: c’est l’appel du pape François à l’audience de ce mercredi 10 février, Place Saint-Pierre, devant des dizaines de milliers de visiteurs du monde entier.
Il a insisté: « Si le jubilé n’atteint pas nos poches, ce n’est pas un vrai jubilé. »
Voici notre traduction intégrale de la catéchèse donnée par le pape François en italien.
A.B.
Catéchèse du pape François
http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/impossible.html

LIRE RELIGIEUX

Le pape François au combat



Le pape François, avec l’appui de son secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin (au centre sur la photo), exerce une activité diplomatique plus intense que jamais au Vatican et dans le monde.
Photo: Alberto Pizzoli / Pool / Agence France-PresseLe pape François, avec l’appui de son secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin (au centre sur la photo), exerce une activité diplomatique plus intense que jamais au Vatican et dans le monde.

Celui que ses partisans appellent affectueusement « le bon pape François » n’a pas que des amis. Oubliez les opposants à la morale sexuelle de l’Église ; la grogne dont il est question dans Les ennemis du pape, un solide livre d’enquête du journaliste italien Nello Scavo, provient de sources beaucoup plus musclées.


Le 4 février dernier, comme le rapportait Le Figaro trois jours plus tard, les Romains matinaux ont eu la surprise de voir sur les murs de leur ville des affiches dénonçant le pape pour sa « gestion trop autoritaire » des problèmes de l’institution. Cette campagne anti-François est attribuée à certains catholiques conservateurs qui contestent « les positions réformatrices du pape ». Ils ne sont pas seuls, confirme Scavo, déjà auteur d’un ouvrage dans lequel il démontrait le courage de Bergoglio sous la dictature argentine.

En publiant la lettre d’exhortation apostolique La joie de l’Évangile (2013) et l’encyclique Loué sois-tu (2015), François a créé l’émoi dans les hautes sphères capitalistes. Dans le premier texte, rappelons-le, il s’en prenait aux théories de « la main invisible du marché » et des « retombées favorables », allant même jusqu’à évoquer « une économie qui tue ». Dans le second, le pape reconnaissait la responsabilité humaine dans le phénomène du réchauffement climatique, remettait en question la pertinence des OGM et critiquait encore un capitalisme destructeur.

De telles prises de position, note Scavo, lui ont valu des attaques en règle de la part des élites financières, déterminées à lui rabattre le caquet. Le magazine The Economist a qualifié François de « léniniste » et les têtes d’affiche républicaines John McCain, Sarah Palin, Paul Ryan, Jeb Bush et Marco Rubio se sont empressées de discréditer ce pape qui, selon eux, ne devrait pas faire de politique. La banque J.P. Morgan, selon Scavo, aurait même exercé des représailles indirectes en réservant une évaluation négative à deux entreprises, Unilever et Vodafone, pour les punir d’avoir financé des congrès favorables à la doctrine sociale catholique.

Une diplomatie active

Or, le pape, contrairement aux voeux de ces barons du capitalisme à qui il semble donner mauvaise conscience, n’hésite pas à se jeter dans la mêlée. Scavo montre avec force détails que François, avec l’appui de son secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, exerce une activité diplomatique plus intense que jamais au Vatican et dans le monde.

Le pape, raconte le journaliste, a joué un rôle de premier plan dans le récent rapprochement entre Cuba et les États-Unis, de même que dans l’entente entre ces derniers et l’Iran sur le nucléaire. Ces initiatives ont heurté le premier ministre d’Israël, Benjamin Nétanyahou, partisan de la ligne dure envers l’Iran, et les ultraconservateurs américains. On peut déjà prévoir un conflit, sur ces questions, entre le pape et le président Trump.

L’activité diplomatique et politique du souverain pontife ne s’arrête pas là. François et ses émissaires, en effet, luttent énergiquement contre le florissant commerce des armes, contre la traite des personnes que nourrit le problème des réfugiés, contre les multinationales qui réduisent des millions de personnes au travail forcé, contre les mafieux de toutes sortes, qu’il a récemment excommuniés, et contre la vieille garde de la curie, jalouse de ses privilèges.

Résultat : la CIA espionne le pape argentin, les cathos conservateurs, alliés aux requins capitalistes, s’activent à le discréditer, la mafia menace ses proches et les terroristes islamistes cherchent à le tuer (notamment à Manille, en janvier 2015), résume Scavo, journaliste spécialisé en crime organisé et en terrorisme international, qui confie avoir reçu des menaces après la parution de son livre en italien. Même s’il est aux abois, le pape choisit le combat.

Dans La face cachée du pape François (Max Milo, 2016), le politologue français Paul Ariès contestait le courage du souverain pontife et le présentait comme un réactionnaire faussement réformiste. L’enquête de Nello Scavo, sur l’essentiel, lui donne tort, en montrant plutôt que ce pape est l’honneur du catholicisme.
Les ennemis du pape
★★★ 1/2
Nello Scavo, Traduit de l’italien par Geneviève Lambert, Novalis, Montréal, 2016, 396 pages

Aluminium dans tous les vaccins testés!

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Des traces d' aluminium, de mercure ET DES NANOPARTICULES TOXIQUES trouvées dans tous les vaccins testés!


La teneur en aluminium dans les vaccins dits inactivés est six mille fois ( 6'000 fois, sic ) supérieure à la limite légale en Allemagne de l' eau potable !

(Ht) En 2016, l'organisme de bienfaisance AGBUG e. V. a fait don de plusieurs milliers d'euros pour l'étude des éléments contenus dans les vaccins actuels . 


AGBUG a publié sur son site Web aujourd'hui les conclusions du premier lot. (...) plus Ici  ET http://www.impfkritik.de/pressespiegel/2017020701.html


Tous les 16 vaccins contiennent des traces d'aluminium, même si pas déclarées.

Gardasil Gardasil 9 et Synflorix contiennent deux fois plus d'aluminium qu' indiqué.
https://professeur-joyeux.com/moi-laluminium-nai-rien-a-faire-vaccin/


Tous les 16 vaccins vérifiés contiennent de traces de mercure.

Huit des 16 vaccins contiennent des traces de nickel.
Six des 16 vaccins contiennent des traces d'arsenic.
15 de 16 vaccins contiennent des traces d'uranium.


Ce que l’on sait

- Les sels d’aluminium sont neurotoxiques (InVS, 2003 – Académie de Médecine, 2012).

- Les sels d’aluminium ont un possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien (Marisol Touraine, 2012).

- Les sels d’aluminium utilisés dans les vaccins migrent vers le cerveau (travaux de l’INSERM – Données confirmées par l’Académie de Médecine, 2012).

- Les publications scientifiques de qualité sont de plus en plus nombreuses à alerter sur les effets secondaires graves des sels d’aluminium vaccinaux (voir bibliographie).


L’aluminium : ce poison légal qui met en danger la santé humaine



par le libère-terre(son site)
Aluminium, un poison répandu dans l'alimentation... mais pas seulement. Dans les médicament aussi, les cosmétiques, et plus grave : les vaccins. J'ai décidé de porter ici mon propre témoignage ainsi qu'une mise en lumière plus générale sur ce poison qu'est l'aluminium. Beaucoup ont écrit dessus, peu l'on vécu. je souhaite que cet éclairage fasse venir une prise de conscience.





A l’occasion de l'émission sur France 5 le 14/2 enquête de Santé, je décide ici de briser le tabou que France 5 n'a pas voulu écorner pour des raisons évidentes (protéger le discours de la vaccination), quand cela avait été fait plus tôt sur France 3 le 22/01 « Aluminium notre poison quotidien »





L’aluminium, ce poison légal, est présent partout dans notre alimentation moderne, et parfois en quantités significatives. Ce qui est le cas de certaines crèmes cosmétiques, les vaccins (adjuvant d’activation), certains dentifrices, déodorants (anti transpirants), des conserves telles que du lait pour bébé, ou encore l’eau du robinet (adjuvant de floculation).





On peut en citer d’autres, la liste n’étant pas exhaustive bien entendue, tel que pourrait vous le dire le docteur souvet (du même reportage).





(voir aussi http://www.laprovence.com/article/a-la-une/ple-docteur-souvet-part-en-guerre-contre-laluminiump-pfrance-5-diffuse-ce-dimanche-)





Papier alu mis en contact avec des substances acides, pains et viennoiseries (dans la conservation du levain) et biscuits, après champoings, fars, vernis…. Et autres cosmétiques de type teinture notamment, crèmes (anti agglomérant) comme dans les crème solaires…





L’aluminium se cache dans de très nombreux produits, ses effets sont considérables, et plutôt du genre irréversible. Comme de nombreux métaux lourds il est toxique (sauf les oligo-éléments et autres non métabolisés car non réactifs), il constitue un poison qui, grâce aux lobbies industriels, n’est pas pris en compte en France comme étant potentiellement dangereux alors que les effets délétères sont connus et avérés.





L’aluminium est considéré par certains comme neurotoxique pour l’homme. Issu de la bauxite importée d’Afrique, il le devient notamment sous l’hydrate d’alumine, forme la plus courante utilisée dans la chimie.





Utilisé dans certains aliments, cosmétiques, médicaments, tous les vaccins quasiment, l’eau du robinet souvent, c’est un scandale sanitaire.





http://cdurable.info/L-eau-du-robinet-est-elle-dangereuse-pour-notre-sante-alzheimer,804.html





En Grande Bretagne, il avait été mesuré des quantités dans le lait infantile de 0.4 à 0.63 mg/litre soit trois fois plus de que ce qui est utilisé pour l’eau du robinet (0.2 mg/l). C’est ce qui a mis le feu aux poudres (de lait) pour ainsi dire…


Alors que l’aluminium est en cause, la désinformation règne !





Pour des raisons de coût, ce produit reste dans les processus industriels.





Si l’aluminium a fait polémique en grande Bretagne (et exit la France au passage), c’est parce que avant 6 mois la barrière encéphalique n’est pas formée, faisant pénétrer dans le cerveau des enfants de grandes quantités de ce produit, ce qui, étant donné que l’aluminium reste dans les tissus, va causer des maladies neurologiques graves à l’âge adulte, une fois la dose limite* dépassée ainsi plus rapidement.





(*Il existe néanmoins une norme européenne conseillée* de l’EFSA : 1 mg/kg et par semaine : ce qui est déjà en fait beaucoup…)





(*Ce qui veut dire que les industriels en font strictement ce qu’ils en veulent, ce qu’ils ne se privent pas de faire).





L’aluminium est utilisé comme additif en agent levant, de blanchiment, le sulfate d’alumine est utilisé comme agent de transformation de réaction pour des substances comme les amidons modifiés, c’est aussi un conservateur générique (charcuterie, plats préparés), un antiagglomérant (présent même dans le sel de table), un colorant alimentaire, un pénétrant pour les crèmes, un durcissant pour le vernis à ongle, un agent anti-transpirant dans les déodorants…





Parfois les publicitaires mentent carrément, enlevant l’aluminium sous forme chlorhydrate et s’en ventant avec grand renfort de pub… pour le remettre discrètement sous une autre forme chimique mais ça reste de l'aluminium.





Il est présent pour une dizaine d’additifs alimentaires, dont le E541 (boulangerie), le E173 (colorant), le E520 (épaississant), le E1452 (émulsifiant), le E559...






Bien que l’approche en dose limite utilisée par la réglementation est soit de fait une arnaque (déjà personne n’est sensible à la même dose pour commencer…), il est impossible en définitive de calculer le cumul absorbé par une même personne dans une même journée. Sauf à dire que, nous explosons forcément ce maximum quotidiennement à cause des produits multiples utilisés.





Car dans la pratique, les fabricants en usent énormément. Il n’y a bien que le bio pour ne pas utiliser l’aluminium.





Pour la vaccination, pratiquement tous les vaccins sont à l’aluminium, et en particulier les vaccins conçus sur le sol Français. En cause principalement en effet "secondaire", la MFM. C’est une maladie auto-immune grave neuromusculaire !!!.





Car il a été démontré que, dans le muscle, en particulier à l’endroit de la vaccination, puis ailleurs aussi, l’aluminium des vaccins persistait dans les tissus très longtemps (des années) chez les personnes qui déclarent une MFM, leur donnant des douleurs musculaires et des fatigues chroniques. Il a été mise en évidence en particulier une relation avec l’adjuvant aluminium et non pas uniquement une relation avec un vaccin donné.





Une étude du docteur Romain Gherardi met en cause chez la souris les vaccins à l’aluminium, avec une neurotoxicité dans le cerveau évidente.





De nombreux autres articles sont parus à ce jour sur le sujet dans le monde...





Après le vaccin, les anti-transpirants chargent considérablement le corps avec l’aluminium. Les sels d’aluminiums seraient aussi été impliqués dans le cancer du sein avec des cosmétiques appliqués localement.





Les vaccins peuvent être fabriqués en utilisant le phosphate de calcium avec le même bénéfice que l’hydroxyle d’aluminium, mais avec une garantie d’innocuité car le calcium est, lui, métabolisé normalement par l’organisme.. dans les os !





Ce composé alternatif a été supprimé des vaccins sans autre justificatif que le profit industriel. Lorsque Pasteur a fusionné avec Mérieux, il a abandonné la fabrication des anciens vaccins à base de calcium, pour privilégier une unique chaine de fabrication préconisée par l’Institut, chaîne répandue à l’époque, et donc conservée depuis.





En témoignait ainsi Marc Girard, directeur scientifique pasteur de 84 à 88, dans le reportage de France 3.





Sanofis-pasteur a même été jusqu’à affirmer que son laboratoire n’a jamais fait de vaccin à base d’adjuvant au calcium, pour ensuite revenir sur cette déclaration (il en existait bien un en 2008, supprimé depuis).





En règle générale, il semble que les laboratoires Sanofis-pasteur-merieux (ce consortium en fait) ne fabrique à ce jour plus aucun vaccin autre qu’avec de l’aluminium.





On savait pourtant alors que l’aluminium favorisait la production d’IGE (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/707792) , impliquée dans les réactions allergiques, et plus généralement dans les problèmes immunitaires comme pour la MFM.





À ce sujet, on ne parle que de cette maladie liée à l’immunité, alors que d’autres maladies immunitaires sont en cause.





Pour terminer, j’en parle de source sûre, et j’enlève le conditionnel, puisque votre serviteur est personnellement concerné. Je donne ici relativement courageusement mon propre témoignage, en preuve et à charge (et c'est là que l'anonymat tant contesté par le pouvoir sert !).





Depuis une dizaine années, à chaque fois que je fais la vaccination pour la grippe, environ exactement 7 à 15 jours plus tard, après que les réactions immunitaires du vaccin sont effectives, je contracte une éruption allergique cutanée systématique et de plus en plus forte d’année en année. Cette éruption met plusieurs mois à se dissiper incomplètement.





D’abord discrète et quasi invisible, elle est devenue handicapante depuis ces trois dernières années. Bien que reconnu génétiquement comme étant dans la communauté des allergiques, je mets à ce jour en cause le vaccin.





En effet, si le corps médical attribue ma réaction à une Dermatite Atopique érythémateuse, je l’ai bien développée à la suite des injections du vaccin de la grippe. La maladie ne se déclare essentiellement qu’après la vaccination et s’estompe de plus en plus difficilement après.





Plus grave encore, je fais d'autres poussées éruptives inexplicables alors qu'avant j'en faisait pas. Mais elles sont sans commune mesure avec celle qui suit la vaccination.





Devant la fulgurance de la dernière réaction de 2011 (j'aurais pu croire avoir eu de nouveau contracté la variole, or c'est impossible !), J’ai donc décidé d’arrêter le vaccin… (malgré les risques de grippe) et ce, malgré également le discours médical, que bien entendu je ne crois plus, d’autant plus que la D.A. est une maladie héréditaire qui ne se déclare normalement* que pendant l’enfance… Ce qui n’est mystérieusement (d’après le corps médical) pas mon cas : cherchez l’erreur !.





(*en fait, je connais avec certitude au moins une cause pour laquelle l’adulte la déclare !).





Pour moi, il n’y a donc plus de mystère à ma maladie. J’en tire enfin les conséquences (il était temps). Bien entendu, je fais partie des pauvres malheureux qui ont une prédisposition génétique aux allergies. Mais mon cas est répertorié nulle part. Il est juste concerné par le lien entre aluminium et maladies immunologiques.





Par ailleurs, La médecine n'étant pas capable de me soulager, surtout au niveau des douleurs, ayant des érythèmes extrêmement et anormalement douloureux, j'ai pu avec succès avoir de bons résultats avec la phytothérapie, que j'ai dû m'auto prescrire après des recherches poussées sur Internet (au passage : parfois la phyto ça se prescrit aussi), les médecins étant "infoutus" de bien me conseiller, bien au contraire...





Non seulement j'ai été victime de l'aluminium, mais également j'ai dû subir l'incapacité de la médecine (voir le mépris du sachant) vis-à-vis des malades de la D.A., avec en cause aussi le manque de moyens de recherche. Abandonné, je n'ai eu mon salut qu'a la présence d'esprit de rechercher seul et vite une alternative. (et je ne suis même pas guéri, juste quej'essaye de garder les choses sous contrôle, étant comme vous quotidiennement toujours exposé. depuis je cours derrière le train de la santé, mais peut-être il aurait mieux valu ne pas le laisser filer...)





Depuis, je relativise fortement sur la capacité qu'a la médecine à faire son travail : il vaut mieux agir en cas de doutes et ne pas tout croire, je puis vous l'affirmer.





Combien d’autres cas en France vont à l’insu des Français causer des maladies auto-immunes diverses, des dégénérescences cérébrales, des cancers du sein et peut-être d’autres maladies, parce que l’usage de l’aluminium (et d’autres produits) n’est (ne sont) pas règlementé(s), voire interdit(s), comme il le devrait(aient) ?.





De plus en plus de Français sont ou deviennent des allergiquesà divers degrés, et certains ne le savent même pas, et surtout ne savent pas qu'ils vont devenir malade. Si moi suis concerné, je fais le pari que la sensibilisation à l’aluminium est bien plus rependue et plus potentielle qu'on voudrait bien nous le faire croire... Mais à des degrés divers.





Il faut comprendre que la maladie se déclare n'importe quand. Il n'y a pas de règles : pourquoi telle année alors qu'avant tout se passait bien ? mystère... Des enfants verront la réaction dès les premiers vaccins, mais cela n'est pas obligatoire, voici ce que je peux vous en dire...





Car si l’Aluminium est mise en cause directement par les personnes ayants des prédispositions immunologiques héréditaires, la population entière reste concernée, au même titre que pour l’amiante, le mercure, le plomb… pour ne citer que dans les métaux déjà connus et reconnus.





Pire encore que le "quand," le "n'importe qui" est aussi probable...





Pour faire comprendre l'étendue du problème, il faut savoir que les déficiences de type génétiques ne sont pas uniquement du ressort de la génétique seule mais aussi de l'épigénétique, ce qui fait qu'un individu peut déclarer de son vivant une maladie que normalement il ne devrait pas contracter d'après les seules loies génétiques. Et qui plus est, à n'importe quel moment. J'ai le droit de le dire, je l'ai vécu, ayant combiné en fait les deux problèmes. Ayant fait des recherches sur le sujet, j'affirme aussi que l'épigénétique suffit à elle seule à expliquer certains cas.





Ce point de vue est largement mis entre parenthèse par la communauté scientifique (sans le nier), mais qui néanmoins mène activement des recherches dans ce sens depuis bien des années...





Il en ressort que la définition des malades de demain sera différente de celle supposée hier... Oui la médecine a beaucoup à apprendre.... de ses patients, quand elle veut bien les écouter, chose qui n'est visiblement pas si évidente que cela...





L’AFFSAPS, à ce jour, refuse de mettre en cause l’utilisation de l’aluminium dans les vaccins. Les parents qui refusent l’administration d’un vaccin à leur enfant se retrouvent dans l’illégalité, même si le lien est démontré par affiliation génétique (parent malade et reconnu comme tel avec relation avec les vaccins) démontrant ainsi que les enfants courent notoirement un risque.





L’EFSA, à ce jour, n’impose pas aux industriels de limite à l’utilisation de l’aluminium. Songez simplement aux containers que vous manipulez tous les jours contenant des denrées alimentaires ou en contact avec, mais aussi des médicaments divers… Et puis il y a les additifs criminels, bien entendu.





À ce jour, le plein permis de nous empoisonner la vie est délivré. Y compris sur ordonnance. Et s’il n’y avait que l’aluminium encore, mais ce n’est qu’un petit exemple des méfaits de l’industrie capitaliste…





Un petit post-scriptum toutefois.





Il n'est malheureusement pas question d'arrêter les vaccinations en général, mais il faut ouvrir l’œil. Mon conseil : en cas de défaillance immunitaire ou neurologique quelconque constatée après le vaccin ou connue héréditairement, il sera bon d'arrêter promptement la vaccination. Sachez que le serpent ne prévient pas plusieurs fois. A la moindre alerte : arrêtez. Sinon il y aura des séquelles importantes assurées.





J'estime avoir "gagné" le droit de l'affirmer ici, sans que nul ne me le conteste.





Et pour les autres : il faudrait une mobilisation générale pour qu'enfin les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités. Tout le monde est potentiellement exposé en fait. Un jour ou l'autre. Pourquoi attendre ? Ah oui, je sais, c'est l'histoire une certaine autruche mythique qui visite le fond d'un bac à sable...


76 Réactions



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Ecoutez

11 février 2017 : USA - Lien : MERCURE - AUTISME - Confirmé par les scientifiques !
 
Après l'hyperactivité confirmée par les scientifiques comme étant liée au MERCURE c'est au tour de l'autisme !
L'auteure a vu juste il y a 20 ans, avec en plus une solution pour tous !
Selon l'article :
"Les amalgames dentaires de la mère augmentent l'exposition de l'enfant au mercure - avant et après la naissance..."
"Lien AUTISME-MERCURE validé par les scientifiques"
Mais... les politiques ferment toujours les yeux et les médecins nient !
 
 
A quand un procès mondial contre
- Les amalgames au MERCURE
- Les vaccins au MERCURE
- Les médicaments au MERCURE... tous testés "scientifiquement" et mis sur le marché par nos autorités de "santé" ?
 
- Toute mère devrait lire le livre et suivre le traitement 100% naturel avant de tomber enceinte !
- Donnez la chance à votre foetus afin qu'il ne soit pas imprégné de MERCURE !
- Ni les jeûnes, ni les régimes alimentaires ne permettent d'évacuer les métaux lourds !
- Lisez les 248 signes avant-coureurs.... avant que vous ayez un enfant autiste ou hyperactif ou atteint d'une maladie rare !
- Ne touchez pas à vos amalgames avant de lire le livre, vous le regretteriez comme de nombreux lecteurs !
- La dépose des amalgames n'empèche pas la venue d'un enfant autiste !
- Ecartez-vous des chelations chimiques qui possèdent de très nombreux effets dévastateurs sur les organismes !
- Si votre enfant est souvent malade, lisez le livre afin qu'il retrouve son immunité !
- Si vous prenez des médicaments, posez-vous la question quant à leurs utilités face aux effets dévastateurs des métaux lourds !
- Si vous attrapez la grippe fréquemment, les bronchites, les angines... votre immunité est déficiente !
- Si vous doutez encore que TOUS LES VACCINS contiennent du MERCURE... c'est que vous n'avez pas lu le livre et les recherches pointues de l'auteure, découvrez la supercherie des fabricants !
 - Lisez le livre de la découverte en avance sur les scientifiques, qui propose une solution... la seule qui n'altère pas la santé des enfants autistes empoisonnés et qui ne vide pas le porte-monnaie des parents !
- N'attendez pas que les scientifiques prouvent que vos maux sont dus au MERCURE : vos intolérances, vos allergies, vos migraines, vos acouphènes, votre asthme, votre eczéma, votre psioriasis, votre zona, vos mycoses, vos insomnies, etc.
- N'attendez-pas : ni l'autisme, ni la sclérose en plaques, ni le cancer, ni les tumeurs au cerveau, ni des dialyses !
- N'attendez pas que les scientifiques prouvent que les 248 signes cliniques indiqués dans le livre sont véridiques !

"Maladies liées aux métaux lourds. Plombages, vaccins, médicaments... quand le mercure et l'aluminium pètent un plomb !" est le livre de l'espoir et de la vérité pour tous depuis 2001, le livre de la solution pour tous les malades, le livre préféré des malades, le seul qui apporte des explications et une solution parfaite !

SOIGNONS la CAUSE - Nous avons tous le CHOIX !
Faut-il le rappeler : aucun régime, ni vitamines ne permettent d'évacuer les métaux lourds... attaquons-nous à la CAUSE : les METAUX !
Aucun test ni appareil ne permettent de quantifier les métaux lourds dans un organisme !
Le traitement le plus performant pour une désintoxication 100% naturelle vécue par l'auteure, pour bébés, enfants et adultes.
Prise en charge et conseils pratiques par des professionnels expérimentés à disposition des malades : Dr Kisfaludy et Francine Lehner
20 ans d'expérience.
 
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Abus de la Banque Nationale Suisse

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Diverses organisations dans toute la Suisse et à l'étranger sont en train de coordonner des actions concrètes envers la BNS pour lui demander d'arrêter les investissements notamment dans les entreprises très polluantes de gaz de schiste, de l’énergie fossile, de Monsanto et surtout des armes nucléaires américaines, une violation crasse de notre neutralité séculaire. 

Voir not.  "Les investissements de la BNS dans l’industrie fossile aux Etats-Unis : une catastrophe financière et pour le climat: http://www.artisansdelatransition.org/rapports.html (publiée aussi en allemand via fossil-free.ch). 

Des activités sont envisagées pour, dans et devant l'AG BNS du 28 avril 2017. 

Un échange de vue et des alliances sont nécessaires.
François au 021 616 88 88




Mathieu Despont Il est encore temps d'acheter des actions BNS et de venir à l'AG de la BNS pour dénoncer ces irresponsables.
Avec le collectif AAA+ nous sommes déjà allé aux 2 dernières AG de la BNS. La prochaine aura lieu le 28 avril.

Voici la vidéo de l'AG 2016 => https://www.youtube.com/playlist...

On y dénonce tous ces investissements foireux. Mais le président nous dit que le buffet refroidi et qu'il faudrait raccourcir....
Là on était 10% de la salle seulement, mais quand on sera la majorité de la salle ça va changer.

Vendredi, c'était le dernier moment pour déposer des motions qui seront inscrites à l'ordre du jour. Notre collectif AAA+ en a déposé à nouveau. (si on ne nous censure pas la majorité des motions comme l'année dernière !!!)
Notamment sur la gestion des investissements. C'est pas clair, il y a des faisceaux de soupçon qui nous poussent à penser que la BNS délègue la gestion de ses investissements au fond BlackRock dont le vice président est Philip Hildebrand l'ancien président du directoire de la BNS qui a été forcé à la démission pour cause de délit d'initié. Il se pourrait bien qu'il gère toujours en arrière plan les investissements de la BNS..

La BNS a perdu 1 milliard en investissant dans le gaz de schiste US... dans des sociétés controversées qui ont fait faillite.
Est-ce que ce n'est pas là une technique pour black Rock pour éponger ses pertes ? .. les revendre à la BNS ??
J’aime· Répondre· 1 h




Francs suisses ? Des dettes ou des actifs ?

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Sauras-tu répondre à la question?

Source:
LUMMP: https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19994336/index.html
Selon le Conseil Fédéral la monnaie sur les comptes en banque sont des "substituts monétaires" : https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20123305


C) http://michaeljournal.org/juvdm/

À l'extrême limite, l'avare se prive de tout pour ne manquer de rien.

La monnaie a au moins 7 fonctions principales. Une fonction suffit pour être une monnaie. 
Mais la monnaie ne doit jamais être traitée comme une marchandise, c'est la cause principale des crises si on viole ce principe. La monnaie devient alors une dette au lieu d'être ce quelle est, un actif. Ce détour est la pire des perversions, une perversion sociale qui détruit tous les actifs.

1) Moyen d'échange — notion la plus familière —

2) Unité de compte par chiffrage, 

3) Réserve de valeur, les économistes modernes ( Keynes, Douglas, Gesell, Dugas etc...) discutent de cet aspect qui est contradictoire, car si on thésaurise, on retire de la monnaie donc on assèche le sang des organismes économiques, comme aussi en politique de rigueur on détruit de la monnaie. Pour prendre une image parlante, dans un pays comme la Suisse où l'eau courante est là automatiquement au robinet, personne ne fait de réserves d'eau, ce qui évite des frais et des risques notamment sanitaires. L'argent doit couler comme de l'eau courante et irriguer la société, gratuitement par la création monétaire calibrée scientifiquement en fonction des biens réels et des connaissances. L'abondance est là, il faut la distribuer. C'est aussi simple que çà.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html

4) Norme de paiement différé 

5) Surtout moyen d'orienter le futur par les investissements, masses monétaires fabriquées du néant, ex nihilo en technique bancaire moderne, qui sont un bien commun à se distribuer équitablement.

6) Contrôler ou orienter les prix notamment par des baisses de prix aux consommateurs  compensées aux producteurs, grâce à la création monétaire, bien commun à tous.

7) Distribuer un pouvoir d’achat à tous les habitants de la nation concernée et ainsi bénéficier des avantages des techniques, des robots, des machines, grâce à la création monétaire, bien commun à tous.

Un banquier suisse, votre serviteur, explique en 3 minutes l'arnaque de la création monétaire, avec le Canada comme exemple.
Vidéo Facebook :
https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/vb.152656254942354/398971633644147/?type=3&theater
Tiré de l'émission "Qu'est-ce qu'elle a ma girl" de becurioustv.com.

curioustv.com/fr/show/qu-est-ce-qu-elle-a-ma-girl/episode/19-mai-les-suisses-aiment-ils-vraiment-leurs-banques

La suite de la démonstration est encore plus précise, particulièrement entre 10:00 et 13:00 ! La pression monte !
https://www.youtube.com/watch?v=dmwtBcU0qtA


Commentaires :


La plus importante actuellement est la cinquième pour profiter des nouvelles techniques et éviter les pollutions et les gaspillages, puis la 6ème et la 7ème, actuellement monopolisées par des privés sans scrupules qui créent 100 % de la monnaie sous forme de dettes à intérêts composés impayables dans la durée. Ils vendent le temps et des symboles ( qui devraient ne rester que des symboles de mesure comme des mètres, des kilogrammes ou des degrés de température) et rendent ainsi esclaves les populations du monde entier dans un système inhumain, la matrice financière qui détruit l'argent à chaque remboursement (sic...) et qui pousse aux guerres, aux gaspillages, aux pollutions et aux catastrophes naturelles...

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/03/remises-des-dettes.html

La rigueur détruit la monnaie…

«Prétendre que notre monde, auteur des merveilleux progrès mécaniques, scientifiques et intellectuels des  dernières années, n’est pas capable d’établir un système, une combinaison de comptabilité et d’émission de billets qui reflète fidèlement les faits de la production, à mesure qu’ils changent de temps à autre, c’est de beaucoup dépasser les bornes de la crédulité d’un public exaspéré.» (Douglas.)

Si l’on veut une monnaie qui travaille pour nous et non contre nous, il faut d’abord voir à sa nature: qu’elle soit une monnaie-Crédit au lieu d’une monnaie-Dette. On devra ensuite, pour que le système économique remplisse efficacement son rôle de production et de distribution des produits, faire disparaître la disparité entre le pouvoir d’achat et les prix de vente. La méthode la plus efficace pour établir l’équilibre semble être d’élever le pouvoir d’achat et de diminuer les prix, simultanément.
Comment y arriver d’une façon pratique?
Une prospérité générale et permanente dépend évidemment d’un équilibre constant entre un niveau de production élevé et un niveau également élevé de consommation. On maintient cet équilibre en satisfaisant constamment les besoins vitaux des consommateurs au moyen de produits actuels des producteurs. Pour que les consommateurs puissent exercer un appel efficace sur les produits, ils doivent avoir suffisamment de monnaie pour se procurer ces produits. Une demande sans monnaie, c’est-à-dire sans l’outil indispensable, est impuissante, inefficace.
La seule limite justifiée à la satisfaction des besoins de la nation; c’est la limite de sa capacité de production. Cette capacité de production n’est actuellement utilisée que dans une faible proportion seulement. Il faudrait avoir suffisamment de monnaie disponible pour exprimer exactement la demande de produits. La monnaie, faisant office de pont entre les désirs et les produits, doit reposer sur le CRÉDIT RÉEL, c’est-à-dire sur le degré d’aptitude de la nation à livrer aux consommateurs les biens dont ils ont besoin.
En d’autres termes, la monnaie doit refléter véritablement les faits de la RICHESSE RÉELLE. La monnaie étant le moyen accepté pour exprimer efficacement une demande de produits disponibles, l’équilibre entre l’aptitude de la nation à produire et son aptitude à acheter ses produits doit s’effectuer par la monnaie.
Le relèvement permanent des affaires demande donc de hausser la consommation au niveau de la production. La nation, à la fois acheteuse et consommatrice des produits, doit pouvoir acheter ce qu’elle produit. ( Larkin).

Le régime actuel du crédit constitue ce qu'on appelle « le système capitaliste » ou « le capitalisme » tout court. 

Ce système suppose, à tort, que la valeur des choses séparées de leur substance a, en elle-même, une utilité économique et que, par conséquent, on peut tirer de cette valeur séparée des choses un intérêt fixe ; tandis qu'au contraire, considéré en lui-même, ce procédé a les traits caractéristiques de la pire forme d' usure cachée et meurtrière, les avaricieux sont alors au pouvoir et l'avarice mène au malheur des tous, y compris des avares. 

À l'extrême limite, l'avare se prive de tout pour ne manquer de rien...

Pourquoi des milliers de milliards pour les avaricieux, les banquiers ou les guerres et pas pour la paix ?

Les réfugiés doivent quitter leurs pays à cause de ces banquiers qui abusent de notre argent et se paient des bonus honteux qui achètent leurs consciences et TUENT par millions...

http://www.becurioustv.com/fr/show/qu-est-ce-qu-elle-a-ma-girl/episode/19-mai-les-suisses-aiment-ils-vraiment-leurs-banques

Explications un peu plus 

philosophiques de l' Université de 

Lausanne: 

et de monnaie-pleine:

et surtout


Tous une action de la BNS & dépôt gratuit.

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Nathalie Ruegger de la BAS conseille de déposer l’action BNS à la BNS, comme vous avez tous, y compris les étrangers, le droit de le faire et c’est gratuit, au contraire de la BAS dans laquelle vous devez ouvrir un compte.



La correspondance est en anglais !


 




François de Siebenthal: BNS. Invitation à tous. 28 avril 2017, à 10 ...

desiebenthal.blogspot.com/2017/01/bns-invitation-tous-28-avril-2017-10.html

21 janv. 2017 - Invitation à tous. 28 avril 2017, à 10 heures. Nous travaillons pour faire une BNS au moins 3.0. Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative ...

Interventions à l'AG de la BNS Retranscription des interventions lors ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/SYzB5nZRBWj

Il y a 5 jours - Retranscription des interventions lors de l'AG de la BNS. alias Banque Nationale Suisse du Vendredi 29 avril 2016 Tableau récapitulatif des interventions sur les ...

2016 04 20 Francois de Siebenthal BNS podcast - YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=uOF1XmKcN0w
24 avr. 2016 - Ajouté par Lemumble Ensemble
2016 04 20 Francois de Siebenthal BNS podcast. ... 2016 04 20 Francois deSiebenthal BNS podcast ...




Je recommande de ne pas signer cette procuration !
















Assemblée générale 2017 – Dates et conditions d'admission


Dates et autres informations pour l'année 2017:
Date de l'Assemblée générale

28 avril 2017, à 10 heures
Lieu

Kulturcasino, Herrengasse 25, 3011 Berne
Envoi des invitations et des bulletins-réponse

29 mars 2017
Inscription

Les actionnaires souhaitant prendre part à l’Assemblée générale sont priés de commander leur carte d’admission, soit par courrier (en retournant le bulletin-réponse dûment rempli et signé à ShareCommService AG, Assemblée générale BNS 2017, Europastrasse 29, CH-8152 Glattbrugg), soit par voie électronique (sur la plate-forme en ligne de ShareCommService AG). S’ils choisissent la voie électronique, les actionnaires peuvent commander leur carte d’admission jusqu’au 26 avril 2017 à midi.
Qualité d'actionnaire

Tout actionnaire inscrit au Registre des actions est autorisé à participer à l'Assemblée générale (art. 37, al. 1, LBN).
Toute personne inscrite au registre des actions le 20 avril 2017 et n’ayant pas vendu ses actions jusqu’à l’Assemblée générale peut participer à celle-ci.
Seules seront prises en considération les demandes de reconnaissance reçues au registre des actions jusqu’au 19 avril 2017 à 9 heures.
La BNS ne reconnaît qu'un seul représentant par action (art. 3 du règlement régissant la reconnaissance et la représentation d'actionnaires de la Banque nationale suisse).
Envoi des cartes d'admission et des bulletins de vote

A partir du 18 avril 2017
Remise de propositions

Les actionnaires peuvent soumettre des propositions. Pour qu'elles soient portées à l'ordre du jour, elles doivent être signées par vingt actionnaires au moins et adressées au président du Conseil de banque, par écrit, d'ici le 10 février 2017 (art. 35, al. 2, LBN).
Aucune décision ne peut être prise sur des objets qui n’ont pas été portés à l'ordre du jour (art. 35, al. 3, LBN).
Représentation par la représentante indépendante

Sous réserve de la décision du Conseil de banque, Maître Beatrice Stuber-Jordi, notaire, Notariat Stuber-Jordi, Thunstrasse 72, 3074 Muri bei Bern, et, en cas d’empêchement, Maître Olivier Jann, notaire, Notariat Stuber-Jordi, Thunstrasse 72, 3074 Muri bei Bern, continuera d'assumer la fonction de représentant indépendant des actionnaires au sens de l’art. 689c CO.
Les actionnaires souhaitant se faire représenter par la représentante indépendante lors de l’Assemblée générale peuvent lui donner procuration et lui transmettre des instructions soit par courrier, à l’aide du formulaire de procuration et d’instructions, soit par voie électronique, au moyen de la plate-forme en ligne de ShareCommService AG. S’ils choisissent la voie électronique, les actionnaires doivent transmettre leur procuration et leurs instructions à la représentante indépendante jusqu’au 26 avril 2017 à midi.
La représentante indépendante observe, jusqu'au scrutin organisé lors de l'Assemblée générale, le secret absolu sur les instructions reçues, et ce y compris vis-à-vis de la BNS.
La représentante indépendante s'abstient de voter si elle reçoit des pouvoirs de représentation sans instructions de vote.
La BNS transmet à la représentante indépendante les bulletins-réponse signés qui lui sont adressés et qui ne comprennent ni déclaration personnelle de participation ni mention d'un mandataire, mais sont accompagnés d’instructions de vote. En l’absence d’instructions de vote, la BNS considère ces bulletins-réponse comme inscriptions personnelles des actionnaires concernés.
Représentation par un autre actionnaire

Tout actionnaire peut autoriser par écrit un autre actionnaire à le représenter à l'Assemblée générale (art. 37, al. 2, LBN).
Les actionnaires souhaitant se faire représenter par un autre actionnaire sont priés de désigner ce dernier sur le bulletin-réponse.
Rapport financier et rapport de l’organe de révision

Le Rapport financier et le rapport de l’organe de révision peuvent être consultés à partir du 23 mars 2017 sur le site www.snb.ch, Publications, et à partir du 6 avril 2017, aux sièges de Berne et de Zurich de la Banque nationale. Ils peuvent être commandés par courrier (au moyen du bulletin-réponse) ou par voie électronique (sur la plateforme en ligne de ShareCommService AG).
Transmission d'informations

La convocation de l'Assemblée générale et les communications aux actionnaires sont faites par lettre envoyée aux adresses figurant dans le Registre des actions et par une publication unique dans la Feuille officielle suisse du commerce (art. 28 LBN).
Date de la prochaine Assemblée générale

27 avril 2018, à 10 heures


DISPOSITIONS RELEVANT DU DROIT DE LA SOCIÉTÉ ANONYME

La Banque nationale suisse est une société anonyme fondée sur une loi spéciale. Les droits des actionnaires sont définis dans la loi sur la Banque nationale (www.admin.ch); les dispositions du code des obligations relatives à la société anonyme sont applicables à titre supplétif (art. 2 LBN).

CAPITAL-ACTIONS ET DIVIDENDE

Le capital-actions de la Banque nationale est de 25 millions de francs. Il est divisé en 100 000 actions nominatives d’une valeur nominale de 250 francs. Les actions sont entièrement libérées (art. 25, al. 1, LBN).
Sur le bénéfice porté au bilan, un dividende représentant au maximum 6% du capital-actions est versé (art. 31, al. 1, LBN).

COURS BOURSIERS ET VALEUR FISCALE

L'action de la BNS est cotée au segment Domestic Standard de la Bourse suisse SIX Swiss Exchange.
Symbole/ISIN: SNBN / CH0001319265
Etant donné le dividende maximal de 6% prévu par la loi, l'évolution du cours de l'action de la BNS est plus proche de l'évolution d'obligations à long terme exemptes de risques que de celle d'autres actions.





LIBÉREZ Chelsea Manning, Julian Assange & Edward Snowden, FREE Chelsea Manning, Julian Assange & Edward Snowden

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Chelsea Manning, Julian Assange & Edward Snowden



ANYTHING TO SAY? A Monument to Courage

Unveiling Davide Dormino’s statue in tribute to Chelsea Manning, Julian Assange and Edward Snowden



LIBÉREZ JULIAN ASSANGE

& SNOWDEN

Manning



CAMPAGNE MONDIALE D’ACTIONS POUR LIBÉRER JULIAN ASSANGE – FONDATEUR DE WIKILEAKS !

« # JA4Me » est composé de bénévoles et ne dispose d’aucun budget. Aucun don ne sera sollicité ou accepté à aucun moment.
Si vous souhaitez faire un don de soutien, s’il vous plaît faites un don direct à WikiLeaks !

LE TEMPS DE LA PATIENCE EST TERMINÉE, MAINTENANT, NOUS PRENONS DES MESURES !

Cette campagne est organisée par des sympathisants de WikiLeaks qui ne peuvent plus tolérer l’hypocrisie, la conduite illégale et les manœuvres malveillantes des gouvernements qui persécutent Julian Assange, Cyber-militant Australien, rédacteur en Chef et porte-parole de WikiLeaks. Craignant une extradition aux États-Unis où il fait l’objet de poursuites judiciaires et toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt international lancé par la Suède, il vit réfugié à l’ambassade d’Équateur à Londres depuis juin 2012.

Les actions « # JA4Me » se produiront le dernier jour de chaque mois. Il n’y a pas de format rigide pour les actions et aucune structure organisationnelle. Elles sont complètement décentralisées. Laissez parler votre imagination…

Mettez votre espace numérique aux couleurs de «FREE JULIAN ASSANGE» Avec des bannières de campagne téléchargeables, des affiches, des autocollants, des fonds d’écran, des images de profil pour les réseaux sociaux !
PARTAGEZ UN MAXIMUM SVP !!!
Merci.

http://www.finalscape.com/campagne-mondiale-dactions-pour-liberer-julian-assange-fondateur-de-wikileaks/

CAMPAGNE MONDIALE D’ACTIONS POUR LIBÉRER JULIAN ASSANGE – FONDATEUR DE WIKILEAKS ! | FINALSCAPE



They said and are paying for it
AssangeJulian Assange, born in 1971, publisher and journalist, is best known as the editor-in-chief of the whistleblower website WikiLeaks which he co-founded in 2006. WikiLeaks achieved particular prominence in 2010 when it published US military and diplomatic documents leaked by Bradley Chelsea Manning.
« To keep a person ignorant is to place them in a cage.»

ManningBradley Chelsea Manning, born in 1987, is a US soldier assigned in 2009 to an army unit in Iraq as an intelligence analyst. Manning had access to classified database which he leaked in 2010 to WikiLeaks.
« I am the type of person who likes to know how things work. And, as an analyst, this means I always want to figure out the truth.»

SnowdenEdward Snowden, born in 1983, is an American computer professional. He worked for the CIA (Central Intelligence Agency), the DIA (Defense Intelligence Agency) and the private intelligence contractor Dell, inside a National Security Agency outpost in Japan. In 2013, he released numerous NSA documents to the press.


« I do not want to live in a world where everything I do and say is recorded.»


Edward Snowden, Chelsea Manning and Julian Assange: our new ...

https://www.theguardian.com › Opinion › The NSA files
3 sept. 2013 - Slavoj Žižek: As the NSA revelations have shown, whistleblowing is now an essential art. It is our means of keeping 'public reason' alive.
Termes manquants : siebenthal

Asile politique en Suisse pour Assange et Snowden Public Group ...

https://www.facebook.com/groups/anythingtosaysuisse/

EDWARD AND JULIAN, YOU ARE WELCOME IN SWITZERLAND!!! .... ManningAssange,Snowden : trois lanceurs d'alerte directement concernés par la fin du mandat d' .... Olive Pastis, François de Siebenthal and Martial Garcia like this.

Asile politique en Suisse pour Assange et Snowden 공개 그룹 ...

https://ko-kr.facebook.com/groups/1602760876603271

Traduire cette page
Manning, Assange, Snowden : trois lanceurs d'alerte directement concernés par la fin du mandat d' ...Julian Assange avait promis d'être extradé au USA si tel… .... Olive Pastis님, François de Siebenthal님과 Martial Garcia님이 좋아합니다.

François de Siebenthal: Canada: une histoire de deux systèmes ...

desiebenthal.blogspot.ch/2015/04/canada-une-histoire-de-deux-systemes.html

24 avr. 2015 - (c) Date de l'article, sinon 2000 Famille de Siebenthal, Lausanne, Suisse. ... ChelseaManningJulian Assange & Edward Snowden · Être ...

François de Siebenthal - Rssing.com

siebenthal1.rssing.com/chan-29893992/all_p7.html

François de Siebenthal: Khadhafi fait mieux qu'Obama, il distribue . ...... Julian Assange, au même titre qu'Edward Snowden, Chelsea Manning et Glenn ...

François de Siebenthal: Assange libre pour Noël ?

desiebenthal.blogspot.ch/2016/12/assange-libre-pour-noel.html

11 déc. 2016 - Il y a 4 jours - Vidéos explicatives par François de Siebenthal sur youtube, ..... Les pédophiles veulent la guerre · Alex Jones Julian Assange ...

URGENT. Julian Assange par Darius Rochebin L'interview de Julian ...

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/1ePkhdj6Cj8

15 mars 2015 - Julian Assange par Darius Rochebin L'interview de Julian Assange par Darius Rochebin , en direct ce ... François de Siebenthal - Google+.

Wikileaks: recherché par toutes les polices du monde, Julian Assange ...

www.lacote.ch/.../wikileaks-recherche-par-toutes-les-polices-du-monde-julian-assange-d...
29 sept. 2014 - Technologie - Julian Assange, le fondateur de Wikileaks à l'origine de plusieurs scandales politiques internationaux, est enfermé dans ...

Assange appelle le Royaume-Uni et la Suède à lui rendre la liberté

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/4pLPnDCBJZv

7 févr. 2017 - Assange appelle le Royaume-Uni et la Suède à lui rendre la liberté

Assange: des révélations sur Macron dans les mails de Clinton

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/YKtAKdM7m9c

4 févr. 2017 - Assange: des révélations sur Macron dans les mails de Clinton

Asile politique en Suisse pour Assange et Snowden Public Group ...

https://www.facebook.com/groups/anythingtosaysuisse/

Asile politique en Suisse pour Assange et Snowden has 547 members. Ce groupe est relié à ... Olive Pastis, François de Siebenthal and Martial Garcia like this.

François de Siebenthal - Rssing.com

siebenthal1.rssing.com/chan-29893992/all_p47.html
François de SiebenthalAssange dead or tortured ? desiebenthal.blogspot.com/2016/12/assange-dead-or-tortured.html. Il y a 4 jours - Vidéos explicatives par ...

Tous les articles – Page 156 – l1D

https://l1d.fr/category/all/page/156/
WikiLeaks founder Julian Assange speaks during a press conference inside the ... Il s'agit de François de Siebenthal, économiste et banquier, qui en quelques ...

NEW BREAKING NEWS Julian ASSANGE Is Alive And Well ...

wefeedviral.com/?p=2615

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9 déc. 2016 - Julian ASSANGE Is Alive And Well source. ... François de Siebenthal December 9, 2016. lies from global news, shame on you, as usual ...

Invitation: ONU, le 20 mars, de 14h00 à 16h00

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La trisomie 21 est un arrangement chromosomique naturel qui a toujours fait partie de la condition humaine, qui existe dans toutes les régions du monde et qui a généralement des conséquences différentes sur le style d’apprentissage, les caractéristiques physiques ou la santé.
Un bon accès aux soins de santé, aux programmes d’intervention précoce et à une éducation ouverte à tous, ainsi que des travaux de recherche appropriés, sont indispensables à la croissance et au développement de l’individu.
En décembre 2011, dans sa résolution A/RES/66/149, l'Assemblée générale a décidé de proclamer le 21 mars Journée mondiale de la trisomie 21, qui sera célébrée chaque année à partir de 2012. Elle invite tous les États Membres, les organismes compétents du système des Nations Unies et les autres organisations internationales, ainsi que la société civile, y compris les organisations non gouvernementales et le secteur privé, à célébrer comme il se doit la Journée, afin de sensibiliser l’opinion publique à cette question.
Le 21 mars 2016 marque le 11ème anniversaire de la Journée mondiale de la trisomie 21. Pour cet événement, Down Syndrome International se concentrera sur : « Les bénéfices d’un environnement inclusif pour les enfants d’aujourd’hui et les adultes de demain ».

Pour entrer aux Nations-Unies, l’inscription est gratuite mais obligatoire! Inscrivez-vous ici[link to the Google Form].

Pour toute question, contactez-nous : contact@stopdiscriminatingdown.com

La conférence est organisée par:
cid:08AB34BD-8D3D-4361-939E-7E848D8DEAA6cid:image001.jpg@01D2893E.B8D41490

«L'État et les banques, 5 ans après, le hold-up continue» & Myret Zaki et Etienne Chouard

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http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/abus-de-la-banque-nationale-suisse.html

Cinq ans après leur première rencontre, Myret Zaki, rédactrice en chef du magazine économique suisse «Bilan» et Étienne Chouard, professeur, blogueur et militant politique français, se retrouvent pour faire le point sur la situation des relations entretenues entre l’état et les banques. Dérivés financiers, finance de l’ombre, crash systémique, monnaies (locale, scripturale, pleine), banques centrales, keynésianisme, démocratie, constitution, élections, tirage au sort, sont les sujets qui ont été abordés lors de cette longue discussion. La seconde partie de la conférence (questions et discussions avec le public) sera publiée prochainement. Fonderie Kugler - Genève - février 2017 Captation - icyprod Montage et son - usfprod Musique : Mountain Range - It's lonely around People, Too - Bad Panda Records

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/abus-de-la-banque-nationale-suisse.html

'Inde: bancarisation "totale"(itaire).

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L'Inde paraîtrait le modèle idéal de bancarisation "totale"(itaire).


Curieusement, depuis quelques semaines, on entend moins parler de l'Inde et de ses tribulations monétaires.

"Silence" complice?...
(29 janvier 2017)


""Il n’a fallu que sept jours après l’annonce surprise du premier ministre indien, Narendra Modi, de démonétiser 86% du cash de l’Inde, avant que Bill Gates, l’homme le plus riche de la planète avec 92 milliards $, ne se pointe à New Delhi. Il rencontra Modi et le félicita pour son acte, malgré le fait que cela créa une catastrophe financière sans précédent et de la misère pour des centaines de millions d’Indiens. Gates parla d’une « initiative courageuse du gouvernement ».

Selon la BBC, Gates a pressé Modi de laisser les compagnies de téléphonie mobile pénétrer le marché du financement à la consommation. Dans un discours, Bill Gate a dit : « … ces services (numériques financiers) peuvent transformer votre téléphone mobile en une sorte d’agence bancaire numérique, vous permettant de payer pour des biens et services, de transférer de l’argent et même d’obtenir un prêt en un simple clic… Un mouvement vers le domaine numérique (en d’autres mots, l’élimination ultime du cash, une mine d’or potentielle pour Microsoft, que Bill Gates défend depuis longtemps) coupera les coûts de transactions, permettra aux gouvernements de payer les bénéfices directement aux personnes qui en ont besoin, et rendra le crédit plus facile et moins coûteux pour tout le monde. »




Un nouveau système de paiement électronique a été dévoilé à des banquiers lors d’une réunion secrète à New York

Grâce à Bill Gates, le plan du Deep State est clair : premièrement, rendre des centaines de millions de citoyens supplémentaires accros à la drogue dispendieuse et toxique qu’ils vendent : la dette. C’est ce qu’il voulait dire quand il dit qu’un système financier numérique, sans cash, permettrait aux gens « d’obtenir un prêt en un simple clic, » et de « rendre le crédit plus accessible et moins coûteux pour tout le monde. » Avec les citoyens occidentaux étouffés par la dette, l’État profond doit élargir ses horizons, et Gates apporte sa contribution. Deuxièmement : piéger l’argent des gens dans le système bancaire, sans possibilité de retirer du cash. Troisièmement : numériser les besoins vitaux de l’humanité (comme l’argent) afin de s’octroyer un contrôle maximal et rendre possible la « désactivation » des fauteurs de troubles qui n’adhèrent pas au projet mondialiste qui leur est imposé.""






Ci-dessous le lien de l'article complet




Renaud







http://www.businessbourse.com/2017/01/29/monnaicide-destruction-planifiee-de-vos-epargnes-de-liberte/

Jeu de la monnaie, alias jeu des monnaies

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Une soirée entre amis ?
Une fête de bureau ?

Une salle de classe ?
Une conférence
Un week-end
Un stage
Une université

Jeu de la monnaie, alias jeu des monnaies, alias jeu de la monnaie-pleine, alias jeu des monnaies-pleines ou vides ?

Nous nous déplaçons en Suisse romande ou dans le monde entier pour organiser le jeu de la monnaie à partir de 10 joueurs.


"Parce que l'expérimentation vaut plus que n'importe quelle présentation." 
Laurent, joueur.

++ 41 21 616 88 88, François





Invitation: Taxer les robots?

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Invitation: Taxer les robots? Genève Ma. 21 Février 2017, 18h30. Uni Dufour, U600. 


réponse: non. Ne taxer ni les humains ni les robots. Avec notre système de souveraineté monétaire on peut se passer des impôts...



Ils disent:.... «Il faut taxer les robots comme s'ils avaient un salaire»...
C'est faux...


Propagandes actuelles...
Les propositions visant à taxer les robots se multiplient. Contrairement à la France avec Benoît Hamon, la Suisse ne s'est pas encore emparée du débat. Malgré la disparition programmée de milliers de postes de travail
Dans les romans d’anticipation d’Isaac Asimov, le comportement des robots était régulé par trois lois: ne pas porter atteinte à un humain, obéir aux ordres et – pour autant que cette loi n’entre pas en contradiction avec les deux autres – protéger leurs propres circuits. Un cadre juridique vite devenu insuffisant dans le monde d’Asimov des années cinquante. L’écrivain et biochimiste americano-russe a donc complété, dans l’un de ses derniers romans, le dispositif par une loi zéro: un robot ne peut porter atteinte à l’humanité dans son ensemble.
En 2017, si les robots ne menacent pas encore l’ensemble de l’humanité, ils pourraient pourtant pousser des millions de personnes au chômage. Face aux craintes de raréfaction du travail, l’idée de réinventer les principes de la fiscalité en taxant les robots gagne de plus en plus de partisans dans toute l’Europe.

Un nouveau statut de «personne électronique»

En France, le candidat à la présidentielle Benoît Hamon en a fait l’un de ses thèmes phares en vue de financer un revenu de base inconditionnel. En Espagne, le puissant syndicat UGT souhaiterait instaurer des charges de sécurité sociale supplémentaires aux entreprises qui utilisent des robots. Le parlement européen vient, lui, de voter une résolution visant, à terme, à créer un nouveau statut de «personne électronique».
A Genève, l’avocat fiscaliste Xavier Oberson est l’un des précurseurs du débat sur la fiscalité des robots. Un domaine où «tout reste à faire», explique-t-il lundi au Temps, à la veille de sa conférence publique «Taxer les robots?» à l’Université de Genève*. Pour le professeur de droit fiscal, le développement de l’intelligence artificielle permet désormais de produire des robots plus autonomes, capables de progresser seuls dans la hiérarchie de l’entreprise.
Une donnée qui n’a plus rien à voir avec de la science-fiction. Selon l’OCDE, l’automatisation pourrait détruire 9% des postes de travail en moyenne et 12% en Allemagne. La Suisse, avec sa main-d’œuvre onéreuse et ses pôles d’innovation que sont les écoles polytechniques, est également concernée. Pour compenser les pertes de recettes fiscales ou de cotisations sociales liées à la robotisation, il est temps que la Suisse crée une personnalité fiscale spécifique aux robots, estime Xavier Oberson qui vient de publier une étude à ce propos dans la revue spécialisée Pratique juridique actuelle.

Une taxe sur le «salaire» des robots

Le fiscaliste préconise de commencer par taxer l’activité des robots en calculant le «salaire hypothétique» attribuable au robot. Une somme correspondant à ce qu’un travailleur aurait perçu pour effectuer le même travail. «Cela s’effectuerait sur le modèle de la taxe sur la valeur locative» qui correspond à ce que le propriétaire d’un bien immobilier gagnerait en louant son logement à un tiers. Une première étape. Les avancées technologiques devraient par la suite permettre de calculer des cotisations sociales aux robots et de les assujettir à la TVA en leur attribuant une capacité contributive propre.
Pour le fiscaliste, il n’y a rien de farfelu dans l’idée de taxer des êtres faits d’algorithmes ou de boulons. Une «évolution inéluctable», selon Xavier Oberson, qui fait le parallèle avec la création du statut de personne morale à la fin du 19e siècle. «Aujourd’hui, plus personne ne le remet en question. Dans dix ans, il en sera probablement de même concernant la taxation des robots.»

Invitation: Taxer les robots? Genève Ma. 21 Février 2017, 18h30. Uni Dufour, U600. 

Un fantasme de la «bourgeoise 4.0»

Pourtant, cette perspective dérange. Certains entrepreneurs craignent une explosion de la bureaucratie et d’être taxés une deuxième fois – Xavier Oberson concède avoir reçu plusieurs mails «bien sentis» à ce propos. Mais les patrons ne sont pas tous d’accord. Bill Gates, milliardaire et fondateur de Microsoft, souhaiterait, lui, que les robots soient taxés au même niveau que les travailleurs, pour éviter notamment que «la peur vis-à-vis de l’innovation l’emporte sur l’enthousiasme».
Le syndicaliste Christian Weber n’est pas de cet avis: «On est arrivé à la fin du modèle de taxation du travail, critique le président de la commission industrie chez Unia Neuchâtel. Ceux qui investissent aujourd’hui dans l’industrie sont des gens courageux. Au lieu de taxer ceux qui produisent des richesses, taxons plutôt le capital.»
Christian Weber est également contrôleur de qualité dans une entreprise qui produit des machines de précision. Pour lui, «l’industrie suisse a déjà payé le prix de l’automatisation. Ce qui était à faible valeur ajoutée a déjà été délocalisé en Asie. C’est là-bas que la robotisation menace le plus. La fin du travail n’est qu’un fantasme de la bourgeoisie 4.0».

Des contacts politiques à tous niveaux

Xavier Oberson a reçu plusieurs sollicitations de politiciens suisses et étrangers. Il préfère pourtant taire leur orientation politique, pour ne pas biaiser le débat d’entrée de jeu. L’avocat fiscaliste estime que, pour qu’une telle taxe soit efficace, c’est à l’OCDE de s’emparer du sujet: «On a vu comment cette organisation a réussi à bouleverser les régimes fiscaux. Mais elle prend pourtant le chemin inverse avec la mise en place d’incitations à la robotisation.»

*Conférence – Mardi 21 Février 2017, 18h30. Uni Dufour, U600. Taxer les robots? Leçon d’ouverture de printemps donnée par Xavier Oberson

Invitation: Taxer les robots? Genève Ma. 21 Février 2017, 18h30. Uni Dufour, U600. 


réponse: non. Ne taxer ni les humains ni les robots. Avec notre système de souveraineté monétaire on peut se passer des impôts...



Ils disent:.... «Il faut taxer les robots comme s'ils avaient un salaire»...
C'est faux...


Invitation: Unil, Liberté et Gratuité...

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Vous en avez rêvé... nous l'avons fait!!!
Voir le travail de 19 metteurs en scènes romands, en même temps, au même endroit:
Simone Audemars, Cisco Aznar, Jo Boegli, Vincent Bonillo, Dominique Bourquin, Domenico Carli, Ludovic Chazaud, Armand Deladoëy, Sandra Gaudin, Fabrice Gorgerat, Benjamin Knobil, Sarah Marcuse, Yann Mercanton, Andrea Novicov, Paola Pagani, Marielle Pinsard, Jean-Michel Potiron, Jérôme Richer et Matthias Urban

Pour célébrer son 25ème anniversaire de programmation, 
Liberté et Gratuité a invité les metteurs en scène fidèles du théâtre à s’associer à des chercheurs de l’UNIL issus de toutes les facultés:
Yohan Ariffin, Marc Audétat, Samuel Bendahan, Laura Bernardi, Jean-François Bert, Anne Bielman, Maya Burger, Danielle Chaperon, Yves Erard & Joséphine Stebler & Marco Motta, Jacques-Antoine Gauthier, Alain Kaufmann, Adria Le Boeuf, Daniel Maggetti, Silvia Mancini, Lise Michel, Stéphane Morandi, Nelly Niwa, Marie Santiago et Denis Tappy.

Chaque chercheur a, selon son domaine d’étude, décliné la thématique Liberté et Gratuité pour nourrir l’inspiration d’un artiste. Pour en débattre, chaque binôme a alors embarqué à Ouchy le temps d’une croisière sur le Léman ! De retour sur la terre ferme, l’amorce d’un projet théâtral a germé.

GRANGE25=ART+UNIL rend compte sur scène de ces 19 rencontres, sous formes de saynètes de dix minutes. Elles mettent à l’honneur l’art et le savoir et remettent en jeu les conventions habituelles des représentations.

La Grange et son foyer ouvriront leurs portes pour 3 jours de fête et de spectacles, de formes et de contenus inédits, un colloque, le vernissage d’une publication-anniversaire, de la musique et des cocktails !

Prix libre! Programme complet, informations et réservations sur www.grangededorigny.chou au 021 692 21 24 / 27


Le refus de la gratuité !


Le refus de la gratuité !

On peut imaginer que toutes les choses soient produites par nos esclaves les robots qui en plus, nous les distribuent gratuitement...

Et bien, il y en aura qui préféreront faire des guerres atroces en croyant sincèrement que ce n'est pas possible, sic et resic... et j'en connais...
suivez mon regard...
vers les banquiers et les financiers
L'année de la miséricorde, c'est aussi pour eux...

qui ne font rien et veulent tout pour eux...

Le refus de la gratuité reste le vrai problème des humains aveuglés par la cupidité, l'avarice, la voracité, l'égoïsme, les mauvaises habitudes, le manque de confiance, les jalousies, etc...



Le refus de la gratuité ! 
Le pire péché !
C'est en fait de l'orgueil ... 
ou de la peur !

Les avares se privent de tout 
pour ne manquer de rien...

Les pauvres se privent du peu 
qu'ils ont et peinent
pour que d' autres aient tout juste le nécessaire
pour survivre ...
alors que les riches polluent sans vergogne
avec des déchets éternels et mortels...


ILS parlent de 10 MILLIONS d'immigrés potentiels, 

MAIS C'EST presque MILLE MILLIONS...

LES  PUISSANTS LIEU-TENANTS, 
QUI ONT TOUT MAIN-TENANT, 
comprendront-ils ENFIN 
quand ils n'auront plus RIEN ?...

Si vous ne voulez pas recevoir un revenu de base , vous refusez votre part de la création monétaire, du progrès technique, de la production des robots, machines, ordinateurs, nous sommes volés, tous, et depuis longtemps, des milliards, et les politiques de rigueur et d'austérité sont des rideaux de fumée pour nous voler ...





Grange25 = art+unil


du 2 au 4 mars 2017

Une proposition inédite pour les 25 ans de programmation du Théâtre La Grange de Dorigny


Mise en scène générale : Benjamin Knobil et Ludovic Chazaud
Projet et concept : Ludovic Chazaud, Lise Michel, Marika Buffat, Dominique Hauser

19 capsules théâtrales de 10’ chacune, issues de binômes artiste/chercheur

Pour ses 25 ans de programmation, La Grange de Dorigny invite les metteurs en scène fidèles du théâtre à s’associer à des chercheurs de L’UNIL de toutes les disciplines ! Ensemble, ils vont combiner leurs réflexions autour du thème phare de cet anniversaire : « Liberté et Gratuité ». En amont, chaque expert va selon son domaine d’étude décliner la thématique pour nourrir l’inspiration de l’artiste associé. Avec cette matière-là, chaque binôme ira le temps d’une croisière sur le Léman débattre de ses idées pour que, de retour sur la terre ferme, germe l’amorce d’un projet théâtral.

Grange 25 = Art+UNIL rendra compte sur scène de ces 19 rencontres sous forme de saynètes de dix minutes. Elles mettront à l’honneur l’art et le savoir et remettront en jeu les conventions habituelles de représentation. Un week-end prometteur d’étonnantes créations !

Jeudi 2 mars :Vernissage de la Publication
18h00 : Ouverture du bar en musique
18h45 : Partie officielle
19h30 : Spectacle 
20h45 : Pianococktail de Géraldine Schenkel
Vendredi 3 mars :
De 13h30 à 17h
 
: à l’Anthropos Café (bâtiment Amphipôle): colloque « Sciences et Théâtre : hybridations, télescopages, inventions », organisé en collaboration avec Interface sciences-société UNIL
18h : Ouverture du bar
19h : Spectacle
Samedi 4 mars :
18h :
 Ouverture du bar
19h : Spectacle 
21h30 : Soirée dansante
Le cahier où l’on trouve toutes les informations (horaires, contenu) sur ces 3 jours, c’est ici :
 Pour les groupes de 10 personnes ou plus, nous ne prenons pas les réservations sur formulaire, merci de nous appeler au 021 692 21 27 pour effectuer votre réservation!

La BNS affaiblit la valeur du franc.

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La Banque nationale suisse (BNS) semble être à nouveau intervenue sur le
marché des changes pour freiner l'appréciation du franc. Les avoirs à vue
des banques et de la Confédération auprès de l'institut d'émission ont
augmenté de 4.5 milliards de francs la semaine dernière, à 543.5 milliards.
C'est ce qui ressort des statistiques hebdomadaires publiées lundi par la
BNS et fait penser à une intervention, estiment courtiers et économistes. La
semaine précédente, les avoirs à vue avaient augmenté de 4 milliards. Leur
évolution constitue un bon indicateur quant à d'éventuelles interventions de
la BNS sur le marché des devises pour affaiblir la valeur du franc.
L'institut d'émission achète des devises étrangères, notamment des euros, et
inscrit les montants correspondants en francs sur les comptes détenus par
les banques commerciales auprès de la banque centrale.


Morning News | 21.02.2017 - Swissquote Bank

Sujet du jour



Qui est Theo Siegert, le deuxième actionnaire de la Banque nationale suisse (BNS), après le Canton de Berne? L’homme d’affaires allemand de 69 ans reste très discret sur ses activités en Suisse. Entré dans le capital de la BNS en 2008, ce professeur honoraire d’économie à l’Université de Munich a toujours défendu son placement comme un pur investissement financier. Il justifiait alors ce choix par le «professionnalisme et la solvabilité des gardiens de la monnaie» en Suisse.
A l’époque, les actions de la BNS n’étaient pas considérées comme un bon placement. Neuf ans plus tard, dans le contexte des taux d’intérêt négatifs, la banque est devenue relativement intéressante pour les gros investisseurs, même à 1,5% de rendement. La valeur de l’action a pris plus de 60% en un an et a dépassé les 2000 francs en octobre 2016.
Réseau des plus influents
Comment l’Allemand a-t-il pu flairer la bonne affaire? Theo Siegert fait partie d’une dynastie d’entrepreneurs de Düsseldorf très bien implantée dans les milieux économiques et financiers. On le retrouve dans de nombreux conseils de surveillance: Deutsche Bank, Ergo, Merck, Henkel, DKSH, EON. Avec sa femme et ses enfants, il détient près de 10% d’Orell Füssli, qui imprime les billets de banque en Suisse.
Il est président du conseil de surveillance du think tank libéral Stiftung Marktwirtschaft, qui a récompensé Jens Weidmann, président de la Banque centrale allemande, en 2014. Enfin, il est vice-président de l’influent cercle de l’industrie de Düsseldorf.
Qui a fait décoller la BNS?
En 2012, il était déjà en possession de 5995 actions. Depuis, il fait grimper cette part à 6595 actions. L’investissement est aujourd’hui rentable et rapporte chaque année une rente de près de 100 000 francs.
Avec 6,6% des actions, Theo Siegert est le plus grand actionnaire de la BNS, après le Canton de Berne mais devant celui de Zurich. Les cantons et les banques cantonales contrôlent cependant de leur côté la Banque centrale à près de 75%. L’Allemand n’a en outre rien à dire sur la conduite de l’institution, dont l’indépendance est préservée par la loi.
Est-il à l’origine de l’envolée du cours à l’automne 2016? Personne ne peut l’affirmer. La faiblesse du capital flottant – combiné au fait que la BNS ne vaut que 175 millions de francs en Bourse, moins que la Banque centrale grecque – permet facilement de faire monter ou descendre le cours.
De son côté, Theo Siegert ne commente jamais sa participation à la BNS. A l’assemblée générale annuelle des actionnaires, en mai, il se fait toujours représenter. Officiellement, il ne s’intéresse pas à la politique monétaire du pays. «Un actionnaire silencieux», résume le HandelsZeitung. L’Allemand veut rester «l’actionnaire invisible» de la Banque nationale. Et toucher ses dividendes, sans faire de bruit. (24 heures)
(Créé: 07.02.2017, 21h58)

Qui paie les impôts en France?

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Qui paie les impôts en France? ça va vous mettre de bonne humeur!!!!!
Pour satisfaire votre curiosité !
Mais qui va payer les impôts en France
qui va rester pour payer les impôts en France ?
> > > > > > > > > Sportifs
Jean Alesi réside en Suisse
Marion Bartoli réside en Suisse
Julien Benneteau réside en Suisse
Arnaud Boetsch réside en Suisse
Arnaud Clément réside en Suisse
Nicolas Escudé réside en Suisse
Guy Forget réside en Suisse
Richard Gasquet réside en Suisse
Henri Leconte réside en Suisse
Sébastien Loeb réside en Suisse
Paul-Henri Mathieu réside en Suisse
Gaël Monfils réside en Suisse
Christophe Moreau réside en Suisse
Amélie Mauresmo réside en Suisse
Stéphane Peterhansel réside en Suisse
Cédric Pioline réside en Suisse
Alain Prost réside en Suisse
Gilles Simon réside en Suisse
Wilfried Tsonga réside en Suisse
Vincent Rives réside en Irlande
Jean-Philippe Gatien réside aux USA

Artistes" : Chanteurs
Charles Aznavour réside en Suisse
David Hallyday réside en Suisse
Johnny Hallyday réside en Suisse
Patricia Kaas réside en Suisse
Florent Pagny réside Argentine
Michel Polnareff, réside aux USA
Marie Laforêt réside en suisse
Renaud réside à Londres
Yannick Noah réside aux USA
(le "personnage préféré des français, effondré de la montée du FN en France" !!!)

Acteurs"
Daniel Auteuil réside en Belgique
Emmanuelle Béart réside en Belgique
(la donneuse de leçons pour les "sans papiers en France"!!!)
Lætitia Casta réside en Angleterre
José Garcia réside en Belgique
David Habibi réside au Canada
Alain Delon, &n bsp réside en Suisse

Patrons et Actionnaires"
Jacques Badin (Carrefour) &n bsp réside en Belgique
Thomas Bata (marque de chaussures Bata) réside en Suisse
Famille Baud (dont Jean Baud), (marques Franprix et Leader Price, 2 à 3 milliards de CHF) réside en Suisse.
Lotfi Belhassine, président d'Air Liberté réside en Belgique.Il a fui la France car l'ISF représentait 93% de ses revenus.
Claude Berda, AB Groupe réside en Suisse
Des membres de la famille Bich (Groupe Bic) réside en Suisse
Michèle Bleustein-Blanchet, Publicis réside en Suisse
Corinne Bouygues réside en Suisse
Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frères propriétaire des eaux Cristalline, Vichy Célestins et Saint-Yorre réside en Suisse.
Des membres de la famille Mulliez (propriétaire de Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi) réside en Belgique.
Georges Cohen, informatique et armement réside en Suisse
Bernard Darty, fondateur de Darty réside en Belgique
Jean-Louis David, salons de coiffure réside en Suisse
Membres de la famille Defforey , Carrefour réside en Belgique.
Membres de la famille Despature (dont Paul-Georges Despature), propriétaire des marques Damart et Somfy, réside en Suisse et en Belgique.
Paul Dubrulle, quo-créateur du Groupe Accor et ancien sénateur-maire de Fontainebleau réside en Suisse.
Des membres de la famille Ducros réside en Suisse
Pierre-François Grimaldi (i Bazar) réside en Belgique
Éric Guerlain réside en Angleterre
Daniel Hechter, créateur réside en Suisse
Philippe Hersant, groupe Hersant réside en Belgique
Philippe Jaffré, ancien président d'Elf réside en Suisse
Robert Louis-Dreyfus réside en Suisse.
Membres de la famille Mimram résident en Suisse et à Monaco.
Des membres de la famille Nonancourt, propriétaire des champagnes Laurent-Perrier réside en Suisse.
Denis Payre, fondateur de Business Objects réside en Belgique ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a embauché 100 personnes
Membres de la famille Peugeot réside en Suisse.
Jean Pigozzi, héritier des voitures Simca réside en Suisse.
Michel Reybier, ancien PDG de Justin Bridou réside en Suisse
Jacques Tajan, commissaire priseur réside en Belgique
Membres de la famille Wertheimer , Chanel réside en Suisse
Antoine Zacharias, ancien PDG de Vinci réside en Suisse
Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa nationalité française pour rejoindre Monaco

Auteurs
Christian Jacq réside en Suisse
Marc Lévy réside au Royaume-Uni
Michel Houellebecq réside en Espagne

C'est marrant, je n'ai pas vu ton nom!
Et ce sont ces tartuffes qui viennent à la télévision, te donner des cours de morale, et te parler
de la faim dans le monde et de la régularisation des sans-papiers !!!

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/invitation-taxer-les-robots.html

Pédocriminels et finances

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Les réseaux pédocriminels d'élite, partie I: de Joris Demmink à l'affaire Alcacer en Espagne.




Les réseaux pédophiles d’élite n’existent pas ? Même si beaucoup continuent à le dire, la réalité c’est que dans nos belles démocraties, de très nombreux politiciens nationaux, de hauts magistrats, de hauts fonctionnaires, depuis la police jusqu’à l’enseignement, sont des amateurs de chair fraîche. Et en plus, ils sont sadiques. Mais, il faut dire que cela va avec leur penchant pour le satanisme.



On va encore me traiter de complotiste mais je m’en fiche. Pour moi, il est urgent que tout le monde sache qui nous dirige et ce qu’ils font aux enfants.

Ils vivent sur le dos des peuples, et sont au service d’une autre élite, bien plus difficile à cerner. Pour l’instant, on va se concentrer sur les sbires de cette élite : nos dirigeants.

On parlera bientôt des cas français, qui ont beaucoup de mal à éclater pour de nombreuses raisons, parmi lesquelles la couardise des médias, les lois en matière de diffamation ou encore le népotisme de bas étage qui est devenu un mode de gouvernance généralisé. Passons.

On a vu qu’en Angleterre, la liste des députés pédophiles, que ce soit à droite ou à droite (pardon, au parti dit « travailliste »), a une furieuse tendance à s’allonger. Surtout depuis que l’affaire Jimmy Savile a éclaté en octobre 2012. Le scandale couvait depuis des années, mais on a laissé cet ex star de la BBC, présentateur pendant des années de l’émission Top of the Pops et pédophile notoire, mourir de sa belle mort, avec son titre de noblesse et ses distinctions d’Israël ou de l’ordre de malte.

Aujourd’hui on recense plus de 400 victimes de Savile, qui a sévi depuis le début des années 60. Je parie que lui aussi, on va tenter de le faire passer pour un « prédateur isolé », mais il faudra quand-même nous expliquer certaines bizarreries. Par exemple, pourquoi Savile avait-il les clés d’un hôpital psychiatrique et d’orphelinats ? Enfin, on reparlera de lui une autre fois.



Pays Bas : le cas Joris Demmink

Pendant dix ans, de 2002 à novembre 2012, Demmink a ét

é secrétaire général du ministère de la Justice des Pays Bas. Pourtant, des accusations graves concernant des actes pédocriminels ont été faites contre lui à plusieurs reprises. Quand il a été nommé en 2002, une quarantaine d’éléments et d’accusations portaient contre Demmink. En 2003, deux magazines ont évoqué ces faits[1], mais ils ont été condamnés en justice à rectifier leurs propos.



Impunité

En octobre de la même année, un jeune prostitué a porté plainte contre Demmink, mais il a été condamné en juillet 2004 à deux mois de sursis pour avoir fait de fausses déclarations. De fait, il a changé de version lors de son interrogatoire par la police. Il faut dire que ce témoin impliquait Demmink dans le tournage d’un snuff movie pédo porno en République Tchèque. Au cours duquel un enfant est mort.

Ainsi, Demmink a passé trente ans au ministère de la Justice, où ce spécialiste des affaires concernant les mineurs a pu étouffer tranquillement tous les scandales naissants.

On comprend mieux pourquoi l’association Martijn, qui revendique de pouvoir violer les mineurs, a été tolérée aux Pays Bas jusqu’en juin 2012[2].

Deux victimes aujourd’hui adultes ont affirmé que Demmink les avait violées lors d’un voyage en Turquieà la fin des années 90, quand elles avaient 12 et 14 ans. L’une des deux victimes a même connu mes menaces de mort peu après avoir accusé “la super élite hollandaise”, comme l’a dit le jeune homme. A 14 ans, il avait quitté sa famille en Turquie, et avait vite été forcé à travailler dans un bordel d’Amsterdam où, dit-il, il a rencontré Demmink. Il l’a revu ensuite quand Demmink lui avait demander de venir chez lui à La Hague. C’est là que Demmink l’a violé. Apparemment, une troisième victime en Turquie s’est faite connaître auprès des autorités US.

Le 4 octobre 2012, Chris Smith, président de la commission Helsinki, autrement appelée Commission on Security and Cooperation in Europe, un machin US, a témoigné que Demmink a été accusé d’actes pédophiles sur des enfants de 11 à 15 ans. Cela, lors d’une réunion sur le trafic d’enfants.

Il a dit que les autorités hollandaises avaient étrangement négligé d’interroger trois témoins clés dans ce dossier. Un autre député, membre du comité des affaires étrangères, a ajouté que Demmink avait pesé de tout son poids pour faire cesser les enquêtes sur le réseau pédophile local et sur sa manie du tourisme pédophile. Il n’aurait pas hésité à intimider des journalistes et des témoins.

Parmi les personnes qu’il eut été judicieux d’entendre, le policier turc Mehmet Korkmaz, qui a expliqué que dans les années 90, il enlevait des garçons pour que Demmink les viole[3]. Deux victimes ont confirmé avoir été recrutées par ce flic, et les trois sont d’accord pour témoigner.



Un autre de ces témoins est Necdet Menzir, ancien chef de la police d’Istambul, a confirmé la présence de Demmink en Turquie dans les années 90, puisque ses hommes étaient chargés de sa protection. Ce que Demmink nie fermement bien sûr.

Et le troisième témoin important qui n’a jamais été interrogé par les enquêteurs, c’est Huseyin Celebi, ancien chef des services secrets. En 2006, il a rédigé un rapport sur les voyages pédophiles de Demmink en Turquie dans les années 90 et au début des années 2000. Par exemple, en 1995 Demmink était dans la ville de Bodrum, et les flics ont du intervenir dans une partouze à laquelle il était présent, et où des enfants étaient violés parce qu’un coup de feu avait été tiré. Son rapport mentionne aussi des faits similaires commis par le même Demmink en Roumanie et en République Tchèque.

On aurait aussi pu interroger Huseyin Baybasin, un homme d’affaires, trafiquant de drogue et politicien kurde condamné à perpétuité pour meurtre, kidnapping et trafic de drogue aux Pays Bas (il passe pour le « Pablo Escobar européen »), qui a accusé Demmink en 2007 d’avoir conspiré avec les autorités turques pour le faire plonger. Il explique que les services turcs faisaient pression sur les Pays Bas parce qu’ils avaient des preuves que Demmink violait de jeunes enfants en Turquie dans les années 90. A ce propos, la technique est bien connue puisque les anglais ont carrément créé des bordels dans des orphelinats pour piéger les fonctionnaires et politiciens étrangers.

L’avocat de Baybasin détient plusieurs enregistrements vidéos et un rapport de la police turque au sujet des activités pédocriminelles de Demminck.



Les connexions

Enfin, Demmink est aussi apparu dans l’enquête sur la disparition du jeune allemand Manuel Schadwald, qu’on a retrouvé dans les bordels de Rotterdam. D’après les témoins, Demmink était l’un des pontes de ce réseau qui importait des enfants de Pologne. Pour cela, Demmink n’a eu que six mois de sursis et 240 heures d’intérêt général.

Cette affaire n’est autre que celle qui a été à la base de la découverte du réseau Zandvoortdans les années 90, par l’association belge Morkhoven. Des dizaines de CD Roms contenant des images pédopornos ont été découverts, des enfants disparus ont été reconnus par des parents à travers toute l’Europe, mais personne ou presque n’a été arrêté (et surtout pas en France) à part celui qui avait révélé l’affaire, malgré qu’on était là face à un réseau international de trafic d’enfants.

Toutefois, on peut se demander pourquoi les Etats-Unis se mêlent du réseau pédophile hollandais, car ils ont pas mal de travail à faire chez eux. De fait, via l’ambassade US à La Hague, le Département d’Etat US, recherche des témoins et des victimes potentielles. L’ambassade US explique : « Demmink a été l’un des membres les plus influents durant ces trente dernières années, de par ses postes consécutifs au ministère de la Justice, d’abord en tant que directeur général de l’administration, puis comme directeur général des Affaires Internationales et étrangères, et depuis 2002 en tant que plus haut fonctionnaire du ministère comme secrétaire général ».

Et ils parlent carrément d’un « scandale de trafic d’enfants international dans lequel est impliqué Demmink », qui dure depuis le milieu des années 90.

Pour autant, la justice hollandaise a estimé qu’il n’y avait pas matière à investiguer davantage. On a même vu que ce sont les victimes qui sot détruites, jamais le pédo en chef. Pas de chance, les US, eux, trouvent ces allégations crédibles.

Ils ont demandé à la Turquie de leur faire parvenir des éléments de preuves, et on sait que Demmink a été éjecté de Turquie, certainement pas sans raisons.







Les autorités hollandaises étant décidées à ne rien faire, des citoyens ont lance le site ArrestDemmink.comafin de faire cesser les activités de ce pédocriminel de haut rang. Qui n’a d’ailleurs pas agi seul, et beaucoup de têtes risquent de tomber parmi ses complices et parmi ceux qui l’ont aidé à dissimuler la vérité durant toutes ces années.

L’association Rebecca Project for Human Rights demande aussi une investigation sur l’étouffement de l’affaire.

Mais aux Pays Bas comme en France, en Belgique, en Angleterre, en Espagne et partout ailleurs, les autorités protègent les réseaux pédophiles. Ainsi dès la fin des années 70, la cour de justice de La Hague avait employé deux juges pédophiles, Stolk et Rueb. Pour un peu, l’affaire aurait été rendue publique, mais à force de pressions et d’intimidations, et aussi après plusieurs meurtres[4], et la victime a été condamnée à vie en 1982, l’année où Demmink est arrivé au ministère de la Justice.



En 1998, l’opération Rolodex a amené les enquêteurs dans les bordels d’Amsterdam, où ils se préparaient à arrêter quelques personnages influents parmi lesquels des politiciens et hauts fonctionnaires. Demmink figurait sur la liste, mais dès qu’il a été cité, l’investigation a pris fin. Certains affirment que c’est Demmink qui a fait stopper l’enquête. Et déjà à l’époque, le témoin clé a déclaré qu’on avait tenté de le tuer.

Dans cette affaire aussi, on plusieurs décès très opportuns. On a parlé du chauffeur de Demmink et de la pédiatre Lebruyere, mais l’avocat d’un des témoins, le jeune qui a dénoncé le snuff movie, est aussi mort en 2008 dans un accident de moto. Gerrit Ulrich, témoin clé du dossier Znadvoort (du nom de la ville hollandaise où vivait Ulrich et où ont été trouvées les images pédos) a été assassiné par son ex copain.

L’un de ceux qui ont couvert Demmink est Hirsch Ballin, ex ministre de la justice et de l’Intérieur qui a toujours déclaré que les accusations contre son ami étaient infondées ou pas crédibles. Ballin est fortement soupçonné d’avoir couvert le trafic de drogueà grande échelle dans le pays, via l’IRT, un service de police inter régional. En 1996, un rapport parlementaire a montré que de grandes quantités de drogue avaient été introduites et vendues dans le pays avec l’aide du gouvernement. Peu après la publication du rapport, le président de la commission, Maarten van Traa, a été tuée dans un accident de voiture.

Auparavant, le conseiller juridique de la reine Beatrix, Frits Salomonson[5], a été écarté suite à une affaire de pédophile. Il était aussi l’amant de Gerrit Ulrich, trafiquant d’enfants qui apparaît dans l’affaire Zandvoort, et appréciait beaucoup les petits garçons marocains, d’après ses voisins. Le prince Claus, mari de la reine Beatrix, faisait la tournée des bars gays de New York avec Salomonson en 1982. Bien sûr, les services US détiennent quelques photos de ces escapades. Pendant le procès de Salomonson, un couple a expliqué avoir vu Claus dans un bordel, alors qu’il était avec des garçons de 12 ou 13 ans. Salomonson a aussi été fortement soupçonné de blanchir l'argent de la drogue via sa société Text Lite.


Ger van Roon est un ami de Demmink. Prof de droit à Amsterdam, il se trouve que des gamins débarquant à la gare centrale depuis les pays de l’Est se rendaient directement dans son appartement, où des partouzes avaient lieu, d’après des rapports de police. Van Roon était en contact avec certains membres de la bande de Zandvoort, comme Karel Massdam ou encore Lothar Glandorf, patron de moult bordels avec des mineurs à Rotterdam. Il aurait vendu des centaines d’enfants et d’ados depuis l’Angleterre et l’Europe de l’est, et Demmink était client de ses bordels. Van Roon a aussi été impliqué dans le dossier Rolodex.

On pourrait aussi parler du père de la reine Beatrix, le prince Bernhard des pays bas, créateur du Bilderbergavec David Rockefeller, et ancien SS qui a hébergé sur son yacht Jumbo VI des orgies pédophiles auxquelles le témoin X1 de l’affaire Dutroux a dit avoir été présent.





Espagne : l’affaire Alcacer

L’histoire, c’est ce qu’on a appelé le « crime d’Alcacer» : la disparition, la séquestration, la torture et le meurtre de trois ados du village d’Alcacer âgées de 14 et 15 ans, Míriam, Antonia et María Deseada. Elles ont été enlevées durant la nuit du vendredi 13 novembre 1992, alors qu’elles faisaient du stop pour aller en discothèque dans le village d’à côté (2,5 km). Deux apiculteurs qui participaient aux recherches ont retrouvé les corps le 27 janvier 1993, 57 jours après, à moitié enterrés dans une fosse, dans un lieu désertique appelé La Romana, près du barrage de Tous.

L’autopsie, du moins ce qui en a été dit dans les médias, a fortement choqué l’opinion, car les trois gamines avaient subi des abus sévères. Anglés a été vu en voiture avec Ricart ce soir-là et ils auraient embarqué les trois filles qui faisaient du stop. Elles auraient été violées dans une maison abandonnée près du lieu où on les a retrouvées, puis tuées d’une balle dans la tête et enterrées. D’après la théorie officielle, les ados se sont laissé emmener sans trop de résistance. C’est d’ailleurs ce qu’a raconté Ricart. Mais ce n’est pas ce que montrent les blessures sur les corps.

Très vite, les enquêteurs ont désigné Antonio Anglés et Miguel Ricart, deux petits délinquants, comme auteurs des faits. Le premier, qu’on considère comme l’auteur des meurtres, est toujours en cavale, pendant que son copain a été condamné à 170 ans de prison à l’issue d’un procès controversé. Il a fait des déclarations contradictoires et tellement irréalistes qu’une reconstitution n’a pas été possible. De fait, certains ont évoqué la piste d’un réseau criminel adepte de snuff movies.



Les faits

Les gamines ont disparu entre l’entrée du village de Picasent où elles ont été vues pour la dernière fois, et la discothèque, alors qu’il y avait du monde partout dans les rues. Certains disent qu’elles ont été dans la discothèque ce soir-là, mais le lieu exact de leur disparition est flou. Dès que les parents ont signalé les disparitions, le lendemain matin, les recherches ont démarré avec la participation de nombreux habitants.

On n’a retrouvé les corps que parce que des pluies intenses les avaient en partie déterrés. Comme par hasard, on a retrouvé dans la fosse un gant appartenant à Ricart, une douille et un document officiel appartenant à Enrique Anglés Martins, frère d’Antonio Anglés.

La Guardia Civil s’est donc pointée chez les Anglés, et Antonio a pris la fuite. Il est resté un mois dans une ville de la région, et aurait failli être arrêté dans une autre. Depuis, sa piste réapparait de temps en temps, mais toujours trop tard. Finalement, il serait parti en Irlande en 1993, depuis Lisbonne, et en 2000 celui qui était alors secrétaire d’Etat à la sécurité, Marti Fluxa, et l’actuel chef de la police, Juan Cotino, ont déclaré qu’on avait retrouvé des ossements en Irlande, et qu’ils pourraient bien appartenir à Anglés. Anglés est toujours parmi les criminels les plus recherchés par Interpol, et à la mi janvier on apprend que des proches d’Angles ne sont plus sur écoute depuis 2009.

Pour certains, comme l’auteur de « Autopsia en la Romana », les filles ont été enterrées dans un autre endroitavant d’être enterrées à la Romana[6]. D’après lui, elles ont probablement d’abord été enterrées à La Albufera, un grand lac où le sol a les mêmes caractéristiques que celles de la terre retrouvée sur les corps des enfants.

On n’a pas trouvé de traces biologiques des trois filles dans le véhicule de Ricart, avec lequel elles sont censées avoir été amenées à la Romana.



On n’a pas trouvé de traces non plus sur le lieu de l’enterrement qui est censé être la scène de crime : pas de sang, pas de cheveux, rien à part le gant de Ricart et le document d’Anglés. On ‘na pas retrouvé les mains manquantes, ni les dents manquantes sur les corps. La seule chose qui a été trouvée dans une maison en ruine à proximité, c’est un pendentif trouvé dans le grenier, qui a été reconnu par l’une des familles.

Les spécialistes de scène de crime n’étaient pas encore arrivés de Madrid quand on a trouvé et déterré les corps.

Les familles des deux criminels se sont considérablement enrichies depuis les faits. Et 13 ans après, la seule preuve que Ricart et Anglés sont coupables vient des aveux de Ricart et des objets retrouvés sur place. La reconstitution n’a pas permis d’éclaircir le déroulement des faits. La chronologie est des plus aléatoires, et même en changeant plusieurs fois de version, la Justice n’est pas parvenue à faire une reconstitution.

Plusieurs suspects ont été arrêtés, et le 27 janvier, quand on a retrouvé les corps, on a décidé que les coupables étaient Ricart et Anglés.

Avant ce jour-là, un certain nombre de « coïncidences » ont eu lieu.

- Sept jours plus tôt, les autorités avaient promis de mettre une équipe spéciale pour enquêter sur les faits, équipe qui n’est jamais arrivée.

- Deux jours plus tôt, Fernando Garcia, le père d’une des trois ados qui était très actif dans l’enquête, était parti à Londres pour lancer un appel sur la BBC au cas où les filles auraient été victimes de réseaux de traite des blanches à destination des pays arabes. Il y était allé à l’invitation de Raymond Nakashian, un milliardaire dont la fille avait été kidnappée quelques années plus tôt[7].

- La veille, il a été décidé que les enquêteurs venus de Madrid devaient repartir le 27 au matin, mais l’équipe de remplacement n’est jamais arrivée. Si bien que durant plusieurs heures, notamment quand on a retrouvé les corps, il n’y avait pas d’enquêteurs spécialisés. Du coup, c’est une équipe de la gendarmerie locale qui a déterré les corps.

- Ce matin là, deux apiculteurs décident, en plein hiver, d’aller voir leurs ruches et découvrent par hasard les corps à moitié enterrés. Quand l’un de ces apiculteurs a été interrogé par un enquêteur indépendant, simple citoyen, il lui a dit que ce qu’il désirait le plus au monde était de dire la vérité de ce qu’il s’est passé ce jour-là aux parents des trois filles.

Luis Romero Villafranco, président du Barreau de Valence, s’est proposé pour défendre les intérêts des familles. Le procès s’est déroulé de mai à septembre 1997 et Ricart, qui avait un avocat commis d’office, a été condamné à 170 ans de prison.



Quelques questions

De faux témoignages ont été présentés par l’accusation, comme celui d’un patron de bar qui aurait vendu trois sandwichs aux deux accusés, alors qu’il ne les avait pas vus ce soir-là. Pourtant, ce fut un témoignage clé de la procédure.

A l’inverse, on peut s’étonner qu’Enrique Anglés, dont le nom apparaît sur le document trouvé à La Romana, n’ait pas été interrogé dans les heures qui ont suivi la découverte des corps, alors que son frère devait être interrogé. Pas de chance, il a eu le temps de s’enfuir, on ne sait trop comment.

On sait aussi que Ricart vendait de la drogue à la sortie de l’école de Miriam.

Et on peut se demander pourquoi elles auraient fait du stop alors qu’il leur restait à peine un kilomètre à faire. Pourquoi sont-elles allées en boite alors qu’elles n’avaient pas d’argent sur elles ? D’ailleurs, Miriam aurait dit à son frère qu’elle n’allait pas à la discothèque, et des amies pensaient les trouver ailleurs, à Zass.

Pourquoi les procès verbaux sur la découverte des corps ne correspondent pas avec ce qu’ont vu les deux apiculteurs ?

Pourquoi les flics n’ont-ils pas pris au sérieux les témoignages de proches des trois filles, qui ont été entendus dans les heures suivant les disparitions, alors que ces déclarations auraient permis de les localiser et peut-être de trouver qui les avait kidnappées. En effet, 48 heures après la disparition des filles, des proches d’Anglés ont déclaré à un témoin, portier à la discothèque de Picassent où elles sont allées, qu’elles étaient enterrées dans un chalet près de Picassent

Ce sont le père d’une des filles, Fernando Garcia, et le journaliste Juan Ignacio Blanco qui ont creusé plus en avant et ont soulevé quelques lièvres. Ce qui leur a valu pas mal d’ennuis.

D’après les autopsies des ados, elles ont été torturées de manière extrêmement sadique et ont été agressées par au moins sept personnes différentes. Aucun des poils retrouvés sur les corps n’appartenaient à Ricart ou Anglés. Pourtant, la justice a conclu qu’il était « invraisemblable » que d’autres personnes aient participé aux tortures et aux meurtres. Quant aux sévices subis, ils ne sont pas sans rappeler certaines pratiques sataniques.

Les faits ont eu lieu une nuit de pleine lune, on a retrouvé des dents cassées chez les trois filles, dues à des « coups contrôlés » et de coups beaucoup plus sauvages à tel point que les cervicales ont été touchées. L’intention était vraisemblablement de provoquer le maximum de douleur. Le légiste Frontela a compté une trentaine de fractures au total. Chez deux des filles, les extrémités du corps n’avaient plus de peau bien que les corps étaient vêtus, et l’une d’elles n’avait plus de peau dans le dos bien que ses vêtements étaient intacts.



Et bien que les faits sont censés s’être produits à La Romana, aucune trace de sang n’y était visible.

Desirée a été poignardée à deux reprises plusieurs heures avant sa mort, probablement pour le rituel qui consiste à boire du sang. Les trois ont été coupées à l’épaule. On a retrouvé des objets, dans l’estomac de Miriam et dans le vagin de Desirée, objets étranges composés de restes d’animaux. Les trois ados ont été achevées, semble-t-il, d’une balle dans la tête. Mais on n’a pas retrouvé les douilles à La Romana.

Après tout cela, les corps ont été lavés, puisqu’on n’a retrouvé aucune trace de sang. Les ongles ont été coupés et enlevés, et une partie des cheveux et poils pubiens aussi ont été retirés. On a retrouvé deux pierres dans les sinus d’Antonia.

Parmi les violences qu’elles ont subies, des mutilations qui empêchent d’admettre qu’elles ont sagement fait le trajet de 800 mètres entre la maison en ruines et la fosse où elles ont été enterrées, en marchant et sans perdre de sang.

Ricart n’a cessé de se contredire, alors qu’il le seul à défendre la thèse officielle, souvent contre l’évidence.

Des témoins se contredisent aussi : les gendarmes présents quand on a déterrés les corps disent que les filles étaient enveloppées dans un bout de moquette, mais pour trois civils également présents (les deux apiculteurs et le type des pompes funèbres) il s’agissait d’un tapis et même d’un tapis de valeur. Quoi qu’il en soit, aucune trace de sang n’y apparaissait, ni même aucune trace de boue alors que les corps des filles étaient recouverts de boue et qu’ils sont censés être restés dans ce tapis durant 75 jours.

Et pourquoi le ministère de l’Intérieur a-t-il versé de l’argent aux familles Anglés et Ricart ?

On ne peut pas poser ici toutes les questions qui mériteraient de l’être, j’y reviendrai plus tard. Mais la procédure, comme la couverture médiatique, les investigations, les prises de positions des uns et des autres, tout a été assez obscur depuis le départ.



Depuis, on nage dans le bourbier



En 1997, une enquête a été menée sur un français soupçonné d’être en relation avec la disparition des filles. Demeurant dans un chalet à Alberique, il possédait aussi un immeuble à Marbella, ville côtière assez chic, sans jamais avoir de revenus. Lui aussi était en relation avec le milliardaire Raymond Nakashian.

En janvier de la même année, sur deux plateaux télé, Fernando Garcia et Juan Ignacio Blanco ont déclaré qu’ils avaient trouvé quatre des coupables des meurtres. Ils désignent :

- Alfonso Calvé, qui était gouverneur d’Alicante, il a été chef de cabinet du directeur général de la police, et était responsable des « fonds spéciaux » de la police. On va reparler de lui un peu plus bas, car ce psychiatre de formation était l’un des quatre actionnaires d’une maison de repos d’Alicante de laquelle une ado a disparu à la même époque. Il est membre de la Royal Society of Saint Goerges, un club dirigé par la reine d’Angleterre et qui a des succursales partout dans le monde. Son but, dit le site web de la société, est de développer l’amour de l’Angleterre et assurer les intérêts du pays dans le monde. Les premières succursales de ce truc ont été créées à New York en 1770 et à Philadelphie en 1772. La branche de la Costa Blanca à laquelle appartient Calvé a été créée en avril 1991 et inaugurée pour le St George’s day le 23 avril 1992. Parmi les invités qui s’y affichent, des diplomates anglais, des aristocrates comme le Duc et la Duchesse de Wellington, le journaliste et politicien anglais Michael Portillo et bien d’

- José Luis Bermudez de Castro, producteur de cinéma. Apparemment, il est assez ami avec Calvé pour que celui-ci fasse disparaitre des éléments à charge dans une magouille financière.

- Francisco Laina, qui était haut fonctionnaire au ministère de l’Intérieur

- Luis Solana, frère de Javier Solana et ex patron de Telefonica membre du PSOE, le parti socialiste, on le dit assez proche du roi Juan Carlos. Aujourd’hui il dirige une compagnie d’investissement orientée vers les nouvelles technologies. Il a aussi de nombreuses décorations : Medalla al Mérito Constitucional , la Cruz de Oro de la Cruz Roja, la Gran Cruz al Mérito Naval, la Cruz de Plata de la Guardia Civil y Guardia Civil Honorario.







Selon eux, ces types font partie d’un « réseau de sadiques sexuels » responsable de la disparition de « près de 150 fillettes et adolescentes qui ont pu subir la même fin tragique que Toni, Mirian et Desirée ».

Immédiatement, les quatre personnes dénoncées se sont drapées dans leur vertu et ont contre attaqué. Francisco Garcia et Juan Ignacio Blanco ont donc été poursuivis, ce qui ne leur faisait pas peur car finalement, ils avaient hâte de pouvoir démontrer l’implication des quatre. Le journaliste qui les a laissé parler en direct, Pepe Navarro, a réaffirmé que leur enquête était solide et fiable, et que de toute manière il fallait la prendre en compte, il a du verser des indemnités pour injures et calomnie. Le ministère de l’Intérieur a répliqué en réclamant une émission entière pour démentir. Quant à Garcia et Blanco, ils ont du faire des excuses publiques, également diffusées.

Y compris par la mère d’une des trois adolescentes, qui a porté plainte contre Garcia parce qu’il a diffusé les images des corps et des autopsies. De fait, les familles sont divisées : Garcia, le père de Miriam, et les parents d’Antonia, pensent que des personnes importantes sont impliquées, alors que la mère de Desirée Hernandez exclut cette hypothèse, et pense que ce sont de petits délinquants qui ont aidé Ricart et Anglés à tuer les filles. Mais, tout le monde admet que les assassins étaient plus que deux.

L’association Clara Campoamor, qui dit aussi réclamer la vérité sur le massacre, prend également ses distances avec ces dénonciations, tout en affirmant que l’analyse de différents poils confirme qu’il y avait bien « un troisième assassin ou quelqu’un qui est intervenu dans l’enterrement ». De plus, l’association admet le récit de Ricart comme étant relativement vrai.

Les condamnations ont été sévères dès le départ contre Fernando Garcia et Juan Ignacio Blanco, le but étantde les ruiner et de les faire taire. Le 16 décembre 2012, Juan Ignacio Blanco a été acquitté des poursuitespour la diffusion de photos des autopsies, ce qui aurait choqué la mère d’une des fillettes, qui a porté plainte.Il risquait deux ans de prison mais on n’avait pas de preuves que c’était lui qui les avait diffusées.



Bref, il semble bien que le but est d’enterrer définitivement toute l’affaire, qui décidément commence à faire trop de bruit en Espagne.



D’autres disparitions



Cette liste n’est pas exhaustive et je reviendrai sur toute cette affaire assez rapidement, plus en détail.

1) En 1992 ont également disparu deux copines de 15 et 16 ans, Virginia Guerrero Espejo et Manuela Torres Bouggefa, dans le nord du pays, alors qu’ils partaient faire du camping. La dernière fois qu’elles ont été vues, le 23 avril 1992 (sept mois avant les trois disparitions d’Alcasser), elles faisaient du stop vers Aguilar de Campo au retour de la discothèque « El Jardín de Cupido » à 20 km de là. Depuis, on n’a pas la moindre piste quant à ce qui a pu leur arriver. La mère de Virginia pense que sa fille est toujours en vie puisqu’on n’a pas retrouvé les corps, mais elle refuse toujours de parler à la presse.

En octobre 2001, les médias ont parlé de crânes retrouvés quelque part, mais après analyse, on a dit qu’ils dataient de la guerre civile. Depuis, aucune piste sérieuse.

2) Dans la nuit du 29 au 30 octobre de la même année, c’est Gloria Martinez, 17 ans, qui disparait d’une clinique de repos à Alfas del Pi près d’Alicante, à 100 km à peine de Picassent et Valence. Ses parents avaient décidé de l’envoyer dans une clinique de repos, « Torres de San Luis », où les patients sont répartis dans des bungalows le long d’une autoroute, pour des problèmes d’anxiété et d’insomnie. Depuis un an, Gloria était suivie par la psychiatre Soler, puis a cessé de la voir et son état aurait empiré, si bien que finalement Soler a recommandé qu’elle passe quelques jours à la « clinique ».

Gloria aurait disparu au vers une heure et demie du matin, sans ses lunettes alors qu’elle ne voyait rien, gavée de sédatifs, aurait traversé les jardins, passé plusieurs murs (dont un de deux mètres de haut) et se serait évanouie dans la nature par une nuit sans lune. Depuis, plus de nouvelles malgré une récompense d’un million de pesetas promis par une association.

La clinique Torres de San Luis appartenait à une société anonyme composée de quatre associés, dont Alfonso Calvé, le gouverneur d’Alicante. Les gens y allaient pour se reposer ou pour des pathologies non sévères. Ce n’était pas vraiment une clinque, plutôt une maison de repos.

D’ailleurs selon les responsables de la clinique, la nuit de sa disparition, Gloria était attachée à son lit. Elle aurait demandé à aller aux toilettes, l’infirmière l’aurait détachée et Gloria l’aurait frappée avant de s’enfuir. Cela, malgré une importante dose de calmants.

Les flics auraient fouillé les alentours sans rien trouver. Et on a considéré qu’il s’agissait d’une simple fugue, après tout Gloria ne voulait pas aller dans cette clinique.



Et puis en 1994, un nouveau juge d’instruction débarque sur l’affaire, et ordonne de fouiller les plantations autour, les ravins, les égouts, et aussi toute la clinique, jusqu’à la fosse septique. Où on a retrouvé un sac avec des effets personnels de Gloria Martinez, contenant des sous vêtements et une ceinture. Là, l’infirmière présente lors de la disparition change de version et déclare que Gloria avait uriné sur elle-même et qu’il a fallu la changer.

Une analyse graphologique de l’écriture de Gloria le 29 octobre montre qu’elle avait reçu une forte dose de sédatifs. On relit les dossiers de l’époque et on constate qu’aucune trace de sa fuite n’a été trouvée. Le sol n’était pas piétiné, personne n’a rien vu…

Quant à la clinque, on s’aperçoit qu’elle était déficitaire, et Gloria était la seule patiente ce jour-là. Une rumeur s’est mis à courir qu’un auxiliaire incompétent l’avait tuée par overdose d’analgésiques.

Bien plus tard lors du procès, la société anonyme Zopito et Soler ont été condamnées à payer 104.000€ de dédommagement aux parents de Gloria.

3) Le 14 janvier 1989 dans la même région de Valence que les disparitions d’Alcacer, trois autres jeunes ont disparu à Macastre, deux filles de 15 ans et un garçon de 14 ans.

Cinq jours plus tard, on retrouve le corps de Rosario dans une cabane à Macastre, et le 27 janvier on retrouve un pied de sa copine Pilar dans la rue Alcacer à Valence. Le 8 avril, c’est le corps de Francisco qui est retrouvé pas loin de la cabane, et le 24 mai des enfants tombent dans le village voisin de Turis un corps de femme âgée de 18 à 25 ans auquel il manquait une main et un pied, et qui avait été battue avant sa mort. Les flics l’attribuent à Pilar, mais d’après sa famille le corps était « méconnaissable ». D’autant que le cadavre avait une cicatrice à la jambe, que Pilar n’avait pas, si bien que la famille ne croit pas à sa mort. En juin 1989, on retrouve un pied appartenant à ce corps, un peu plus loin. Puis en 1999 on retrouve des ossements dans un sac plastique à Macastre, ceux là proviennent bien de Pilar.

D’après l’autopsie de Rosario, celle-ci serait morte le 16 janvier, deux jours après la disparition, d’une asphyxie liée à une overdose et à l’inhalation de monoxyde de carbone.

Deux des corps ne présentaient pas de trace de violence, mais le troisième a été démembré avec une scie mécanique. Ce qui n’a pas empêché les flics d’évoquer des décès par overdose[8]. D’après eux Rosario aurait été la première à faire une overdose, puis Francisco est parti chercher de l’aide et est tombé 400 mètres plus loin. Par contre, on n’explique pas avec cette théorie comment le corps de Pilar s’est retrouvé à Turis avec un pied coupé à la scie mécanique.

Sur l’une des victimes de Macastre et sur l’une de celles d’Alcacer, on a retrouvé le même liquide rouge dans les parties génitales.

Et d’après certains enquêteurs, Rosario aurait été tuée à petit feu et obligée à prendre de la drogue. Certains disent qu’elle a été violée, d’autres disent que non. Autour de la cabane, les enquêteurs auraient retrouvé les traces d’au moins quatre hommes différents.

Francisco est mort d’une balle de pistolet automatique dans la tête, calibre 9 mm, le même type que les flingues de la Guardia Civil et de la police. Mais, certains disent qu’on lui a tiré dessus alors qu’il agonisait déjà. Le scénario d’une sorte de chasse se dessinait, d’autant que dans la même zone on a retrouvé le corps d’une femme mutilée à la tronçonneuse.

Entre 1985 et 1995, dans la zone de Macastre – Valence, 23 jeunes ont disparu et 18 cadavres de jeunes ont été retrouvés.



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Pour conclure, la question à se poser est : cela est-il impossible en France ? On parlera bientôt des Etats-Unis, où les choses ne sont pas plus brillantes, de l’Angleterre, du Portugal, de l'Irlande, qui méritent qu’on s’y arrête car là-bas aussi les connexions entre la classe politique et le réseau pédophile sont claires, même si ces affaires ont été étouffées jusqu’à présent.


Evidemment il se passe la même chose en France, et cela va aussi finir par se savoir. Même si le secret est bien gardé à force de menaces, chantages et exactions diverses et variées... Un proverbe turc ne dit-il pas "Celui qui dit la vérité doit avoir un pied à l'étrier"? Mais enfin, trop de gens savent de quoi il retourne, trop de tarés sont désormais carbonisés, le grand déballage doit aussi commencer chez nous.





[1] Notamment les promenades de Demmink dans les parcs du sud d’Eindhoven, pour aller chercher des prostitués mineurs. Les enfants étaient ensuite violés dans sa limousine de fonction. Comme par hasard, le chauffeur de Demmink est mort rapidement dans des circonstances étranges. Tout comme la pédiatre Joyce Labruyere, qui a été tuée en 1991 après avoir déposé une plainte concernant cette affaire.


[2] Le fondateur de l’association Ad van den Berg, a été condamné en 1987 pour avoir violé en gamin de 11 ans, et a maintenu que l’enfant était « consentant » (accessoirement, il n’y a qu’à voir la tête de van den Berg pour comprendre que c’est impossible). Van den Berg se revendique aussi comme le trésorier du « Pedophile Political Party ».


[3] Demmink lui a demandé des garçons et Korkmaz a été chercher deux gamins des rues qui avaient déjà quelques délits à leur actif. Il leur a proposé un job et les a envoyés l’hôtel Akgun d’Istambul. Ca a recommencé le lendemain.


[4] En l’occurrence, trois jeunes filles, un chef de la police et de la femme Stolk.


[5] Il était aussi membre du conseil d’administration du groupe Suez, qui a longtemps été dirigé par Etienne Davignon, cité par plusieurs victimes du réseau pédophile belge comme étant l’un des tarés qui tenaient ce réseau.


[6] En raison de la présence de sédiments différents sur les corps (boue argileuse) et dans la fosse, mais aussi de la géographie des lieux, difficiles d’accès à pied et inaccessibles avec un véhicule à quatre roues comme l’Opel corse de Ricart.


[7] Une affaire extrêmement suspecte, notamment par son dénouement : « un homme perd son porte-feuille en faisant son jogging et une passante le rapporte au commissariat ; il contient le brouillon de la lettre d'enlèvement et l'endroit où est détenu la fillette, ainsi que les coordonnées des complices », dixit Wikipedia.


[8] Une thèse qui serait étayée par le fait que les trois jeunes trainaient dans le quartier de Burjassot où ils auraient appris à inhaler du benzol.

Posté par Ceri à 23:02 - Pédo criminalité - Commentaires [8] - Permalien [#]
Tags : affaire Alcacer, corruption, cover-up, Joris Demmink, Luis Solana, pédocriminalité, réseaux pédophiles

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Une liste de personnes impliquées dans des rituels sataniques et pédophiles en Angleterre vient d'être diffusée. Cette liste a été établie à partir du témoignage d'une victime et d'un membre du réseau qui a décidé de balancer, deux témoins en contact avec une association appelée Ritual Abuse Information Network & Support (RAINS). Toute une liste de personnes est citée: politiciens, acteurs, journalistes, flics, médecins, entrepreneurs, curés, noblillons... et aussi plusieurs lieux où on a des chances de tomber sur cette bande de maboules lors des grandes dates sataniques.



RAINS vient en aide aux victimes d'abus rituels, qui semblent être aussi courants en Angleterre qu'aux USA. Elle publie aussi des études sur les traumatismes liés à ces abus qui sont particulièrement sadiques. Évidemment, les autorités nient la réalité de ces violences sataniques, grâce à des "médecins" qu'on retrouve souvent dans ces réseaux ou dans ceux du contrôle mental. Dans cette liste, on trouve d'ailleurs quelques-uns de ces propagandistes nocifs.

Dans ces pages, on lit les noms des membres du réseau, mais aussi de certaines victimes. On lit aussi que certains membres ont été liquidés, en général parce qu'ils représentaient une menace pour le réseau.

On apprend que, comme dans les déclarations des témoins X de l'affaire Dutroux, des adolescentes ont été utilisées pour mettre au monde des bébés qui sont ensuite sacrifiés. Qu'on est adepte des rituels de viols collectifs, de sacrifices, que chacun a son rôle, entre les chefs, les pourvoyeurs d'enfants, les chauffeurs, les financiers (parmi lesquels figurerait Elton John)...





Au sujet de Lord Montagu (né en 1926), on peut préciser qu'il est réputé depuis une bonne soixantaine d'années pour ses frasques homosexuelles (ce qui lui a valu une condamnation dans les années 50 quand c'était interdit), et il se réclame bisexuel.

En 1953, il est même accusé d'avoir cherché les faveurs d'un boy scout de 14 ans. Il a nié, la justice n'a pas trouvé de preuves et il ne s'est rien passé. Cependant, il est marié et père de famille.

Ledit Lord Montagu a aussi été l'un des grands défenseurs de la cause LGBT, et selon moi il représente typiquement l'infiltration des pédophiles dans la lutte pour les droits des gays. EN tout cas, il fait aujourd'hui figure de martyr de la cause dans la presse commerciale.

Montagu vit donc à Beau lieu dans un grand château de 80 chambres, installé sur une propriété de 8.000 acres où se tiennent une bonne partie des cérémonies de cette bande de dingues, dont il serait le ou l'un des Grands Maîtres. Il y a même une abbaye cistercienne du XIIIe siècle dans la propriété.

Madame Montagu, quant à elle, explique à la presse people à quel point on s'amuse chez eux, à Noël (date satanique, faut-il le préciser). D'habitude, il y a entre 25 et 40 invités lors de ces réjouissances et elle achète autour de 200 cadeaux, dit-elle au magazine People.

Allez savoir pourquoi, le château de Beaulieu est en partie ouvert aux visites durant la période des fêtes, et des animations y sont même organisées, le tout pour un ticket d'entrée de 17£.

Par ailleurs, Lady Montagu aime bien s'afficher dans les oeuvres de charité du coin, et organiser des grandes soirées de collecte de dons pour ses bonnes oeuvres.







On va s'arrêter sur Virginia Bottomley, épouse de Peter Bottomley. Les deux ont été des députés conservateurs, proches de Thatcher.

Virginia Bottomley fait partie de la direction de la London Schools of Economics, l'antre de l'utralibéralisme.

En tant que secrétaire d'État à la santé, Virginia a couvert les abus sexuels commis dans les institutions publiques, et n'a pas tenu compte des nombreux rapports qui lui ont été remis à ce sujet.

D'ailleurs pour elle, les abus sexuels rituels, au sujet desquels elle a réclamé une étude à un certain Jean la Fontaine en 1991, sont "un mythe". Et depuis ce rapport qui fait encore référence, on ne parle plus d'abus rituels en Angleterre. Il faut dire qu'il était temps d'étouffer toutes ces affaires de rituels sataniques qui commençaient à sortir un peu partout.

Quant à Peter Bottomley, alors que sa carrière politique semblait bien partie, il s'est soudain mis au second plan derrière sa femme. Il s'est mis à la charité, avec la Church of England Children's Society censée venir en aide aux enfants vulnérables.

Il était aussi membre du Monday Club, dont plusieurs membres venaient violer des gamins pris dans les orphelinats, à Elm Guest House, au début des années 80.

Quant à Ted Heath, hélas on ne le présente plus. Cet ancien premier ministre conservateur s'est fait pincer dans des toilettes publiques avec des mineurs, puis on le retrouve à Jersey, quand Savile lui amenait des gamins sur son yacht le Morning Cloud, on le retrouve aussi à Elm Guest House, dans les orphelinats du Pays de Galles et dans l'affaire du Kincora Boy's Home à Belfast.

Cela a probablement servi à le faire chanter, car souvent des photos étaient prises lors des partouzes. Les anglais lui reprochent d'avoir vendu le pays à l'Europe.

A son sujet, il y a déjà eu des accusation selon lesquelles il était sataniste et qu'il avait déjà sacrifié des enfants et y prendrait un réel plaisir. D'après un témoignage (invérifiable ou presque) il a été le plus haut sataniste à devenir premier ministre. Certaines cérémonies se seraient déroulées dans le bois de Clapham.



Lord McAlpine, trésorier dans le gouvernement Heath, est lui aussi grillé depuis très longtemps. Proche de Savile, accusé d'avoir été présent dans des partouzes au Pays de Galles, il a pourtant remporté des procès contre des journaux qui avaient déclaré qu'il était pédophile. Récemment, il a même poursuivi 10.000 personnes qui avaient diffusé les mêmes accusations sur Tweeter.

Le magazine Scallywag l'avait accusé d'être pédophile dans les années 90, en s'appuyant sur une dizaine de témoignages différents. Là aussi, les victimes étaient des enfants placés dans des institutions. Toute l'affaire a été soigneusement étouffée, par la police et par la justice.

On lit aussi le nom d'un certain Dr Bill Thompson, prof de criminologie, expert auprès des tribunaux en matière d'abus sexuels sur les mineurs et grand négateur des viols sur mineurs puisqu'il a fait partie du conseil d'administration de la False Memory Syndrome Foundation, qui dit que les psys implantent des faux souvenirs aux victimes d'abus sexuels dans l'enfance, surtout s'il s'agit d'abus rituels. Thompson continue à dire que les abus rituels n'existent pas, que les victimes mentent et que les gens qui prennent ça au sérieux sont des paranoïaques. Sa spécialité, c'est de décrédibiliser les victimes en disant que ce sont des délinquants, des alcooliques, des dépressifs...

En 2003, la police a effectué une perquisition chez lui dans le cadre d'une enquête sur de la pédopornographie, et Thompson avait réagi en menaçant la police de poursuites en justice. En tout cas, il ne semble pas y avoir eu de suites bien que les flics aient trouvé des images pédophiles. Mais, il a dit que c'était pour son travail d'expert auprès des tribunaux.

Michael Portillo, journaliste devenu député conservateur et ministre de la Défense, a déjà été mentionné dans d'autres affaires de réseaux pédophiles, notamment au Pays de Galles et à Elm Guest House et des photos compromettantes de lui circuleraient. Il serait en lien avec le réseau de Derek Laud, lobbyiste proche des conservateurs, lui aussi cité dans plusieurs affaires.



Le Dr Tony Baker est encore un de ceux qui nient l'existence des abus rituels alors qu'il y participe régulièrement. Il est psychiatre spécialisé dans les enfants et les adolescents, et on imagine que les victimes d'abus sexuels, surtout en réseaux, ne risquent pas de trouver beaucoup de crédibilité à ses yeux. Il dit, lui aussi, que ces souvenirs sont implantés par le thérapeute. Il aurait aussi fait enlever ses enfants à une mère qui n'avait rien à se reprocher, parce qu'elle avait dénoncé des abus.

Il a été accusé, semble-t-il plusieurs fois, d'avoir violé des enfants, y compris dans le cadre de ses "expertises".

Même la page Wikipedia en français de Ruth Kelly mentionne qu'elle serait membre de l'Opus Dei. Elle est passée par Oxford et la London School of Economics, puis a été député et ministre de l'Éducation et de l'Économie sous Tony Blair jusqu'en 2010, quand elle a rejoint la banque HSBC.



Terry Grange était chef d'une police locale au Pays de Galles, a pris sa retraite en 2007 et est mort en 2012. Après une longue carrière, puisqu'il serait entré dans l'armée à 15 ans. Il y a eu un petit scandale en 2008 quand la presse a dévoila que Grange utilisait sa carte de crédit professionnelle pour se payer des restos et des hôtels avec sa maîtresse.

Il a même raté une réunion importante pour la retrouver, et lui envoyait des mails sans équivoque dans la journée. Ce qui est étonnant dans cette affaire, c'est que la dame a tout balancé aux flics sur leur relation à peine deux mois après qu'elle ait pris fin.

Il était aussi le flic responsable de l'unité des abus sexuels sur les mineurs et la gestion des criminels sexuels.

Paul Boateng est un député du Labour, prêtre méthodiste entré au ministère de la Santé (il était en charge des services sociaux et de la santé mentale) puis de l'Économie, "responsable des questions de l'enfance" pour l'Union Européenne lors de la présidence britannique en 1998. Il a été anobli en 2010 et passe pour un militant des droits de l'homme. D'après le document, il a été cité par plusieurs victimes comme étant un membre du réseau. Aujourd'hui, Boateng est directeur non exécutif d'Aegis Defense Services, une boite de sécurité militaire privée.



Dans cette page, on apprend qu'une junkie membre du réseau est chargée de ramener des enfants des rues pour qu'ils se fassent massacrer. Que certains membres sont dans le réseau depuis leur enfance puisque leurs parents y étaient aussi. Qu'un certain nombre de ces dingues ont assisté aux funérailles de Ted Heath, l'ancien premier ministre pédophile, et sataniste, donc, mort en juillet 2005.





Un certain Tony Heaford est cité en haut de la page. Il s'agit d'un ancien conseiller de Rochdale, le coin de Cyril Smith, député libéral, pédophile et grand ami de Jimmy Savile, qu'on trouve aussi à Jersey, au Pays de Galles, à Elm Guest House. Il se trouve qu'en 1990, les services sociaux de Rochdale ont enlevé 21 enfants de cinq familles car ils étaient victimes de sévices et que leurs parents étaient fortement soupçonné d'être membres d'un réseau satanique.

Hors, Heaford a mis toute son énergie pour étouffer l'affaire et que les enfants reviennent dans leurs familles. Il a même dit que ces enfants "ont été séparés de leurs parents durant un temps incroyablement long, malgré la décision rendue dans le dossier original, selon laquelle les abus sataniques étaient un mythe". On notera donc que la justice a déclaré en 1991 que les abus rituels n'existaient pas, mais a aussi posé une injonction interdisant aux enfants de parler de l'affaire. Cherchez l'erreur.

Il y a aussi notre ami Cyril Smith qui est mentionné, mais ce grand ami de Jimmy Savile est mort il y a déjà quelques années. Apparemment, il a été cité par plusieurs survivants de ce réseau satanique, ce qui n'est pas étonnant.

Smith est un politicien libéral de Rochdale, dont il est devenu maire en 1966, puis député en 1972. Smith s'occupait beaucoup des activités liées à la jeunesse. Il est mort tranquillement en 2010 bien que de nombreuses accusations de pédophilie aient émaillé sa carrière. Mais, quand l'affaire Savile a éclaté, on a commencé à regarder de plus près des affaires de réseaux pédophiles qui avaient été soigneusement enterrées par le passé, et dans lesquelles Cyril Smith était cité par des victimes.

Un autre député libéral de Rochdale, Simon Danczuk, a expliqué que Smith violait régulièrement des garçons et que tout a été fait pour couvrir l'affaire. Dans les années 60 et 70, il a été dit qu'il violait des gamins dans un orphelinat de Rochdale qu'il avait co fondé, qu'il finançait et dont il avait les clés. Danczuk a demandé une enquête sur un probable étouffement de tout cela par le MI5, qui était parfaitement au courant de ses penchants pédophiles mais n'a rien fait pour l'arrêter. En effet, il y a des accusations selon lesquelles le MI5 a empêché les enquêteurs de travailler sur Smith lors d'une investigation concernant un meurtre.

En 1978 il s'est rapproché de Ted Heath pour créer un nouveau parti au centre. A cette époque, Cyril Smith traîne à Elm Guest House, cette auberge chic à Londres qui a été transformée en bordel pour pédophiles. De nombreux membres du Monday Club, un groupuscule ultra conservateur, s'y rendaient et abusaient d'enfants pris dans les orphelinats du coin. Le MI5 prenait des photos et vidéos de certaines des partouzes qui se tenaient à Elm Guest House.

On trouve encore sa trace dans l'affaire des orphelinats du Pays de Galles, où le MI5 semble avoir utilisé le réseau pédophile pour compromettre diverses personnalités politiques.

Aujourd'hui, Rochdale est connue pour la prostitution de mineurs, et des types viennent de loin pour y chercher des jeunes dans les toilettes publiques, selon un policier du coin.

Certains gamins (même pas 10 ans) étaient carrément emmenés dans des toilettes publiques à Manchester par leurs professeurs. Ou alors, des types,dont Cyril Smith, venaient à l'école pour se taper des enfants.

En 1990, une vingtaine d'enfants ont été retirés à leurs familles à Rochdale, car là encore on soupçonnait l'existence d'abus de type sataniques. Un gamin de quatre ans avait décrit un sacrifice rituel d'enfants. 16 de ces victimes ont été placées et envoyée à la Knowl View School, réputée pour avoir elle aussi été transformée en bordel pédophile. L'école a été fermée en 1995 pour éviter le scandale.

Apparemment, quelqu'un avait fait chanter Cyril Smith dans les années 60, et les services ont envoyé un de leurs agents, Rose Finesilver, pour le sortir de là. Ce qu'elle a fait grâce à l'aide des frères Kray, deux frères mafieux, pédophiles et amis de Jimmy Savile qui trainaient dans la haute société. En fait, un pays étranger faisait pression sur lui car il était homosexuel, afin qu'il leur serve d'agent d'influence. Mais en réalité il s'agit probablement de pédophilie.

Richard Ingrams est l'éditeur d'un journal satirique bien connu, Private Eye. L'un de ses fils est mort enfant, et sa fille s'est mariée avec un secrétaire privé de la reine Elisabeth 2.

C'est surtout Peter Mandelson qui est intéressant. Ce petit fils de ministre a participé à plusieurs Bildbergs, est commissaire européen à la DG Commerce, et a déjà été accusé par plusieurs personnes d'être un sataniste. Dans cette liste, il est précisé qu'il est impliqué dans des cultes en France et à Bruxelles, qu'il aime les garçons, qu'il paie cash pour avoir des garçons à disposition. Il aurait ordonné des tortures graves sur un ado de 17 ans qui avait eu la mauvaise idée de le faire chanter. Le corps a ensuite été découpé et jeté à la mer.

Mandelson est très proche du business international.Malgré deux affaires de corruption, sa carrière politique s'est poursuivie jusqu'à Bruxelles en 2004. Il est membre de l'association de Rocard et DSK A Gauche en Europe, et en 2008 il est devenu président de la fondation Ditchley, un espèce de groupuscule mondialiste dont les membres sont présents dans plein de groupuscules assimilés. Il a aussi été anobli.

Au début de sa carrière, il était communiste. Puis il a rejoint les rangs des jeunesses socialistes, financées par la CIA et le MI6. En 2002, quand Mandelson a été pris dans l'opération Ore, alors qu'il cherchait à acheter de la pédopornographie, Tony Blair l'a protégé en émettant un ordre de ne pas diffuser son nom dans la presse. D'aucuns disent qu'il serait l'un des pions des Rothschild, et qu'il aurait arrangé un deal de 500.000£ d'aluminium pour eux, par exemple.



Margaret Hodge est très intéressante, et on a déjà parlé d'elle. Elle a dirigé le conseil d'Islington, un arrondissement de Londres où vivait Tony Blair et dans lequel les 12 orphelinats publics ont connu des affaires de réseaux pédophiles. Des affaires qu'elle s'est acharnée à étouffer, bien entendu. En 2003, Tony Blair a créé le ministère de l'Enfance spécialement pour elle. Pendant le scandale de l'orphelinat de Jersey, elle s'en est pris aux journalistes qui remuaient la fange laissée par ses petits copains.

Le mari de Mme Hodge a dirigé le National Council for Civil Liberties (NCCL, devenu "Liberty"), un groupe militant pour les droits civiques, qui a collaboré avec un groupe de pédophiles réunis dans le Paedophile Information Exchange, dont on a déjà parlé. Ce groupe a milité pour l'abaissement de l'âge de la majorité sexuelle et la légalisation de la pédophilie. Dedans, on avait par exemple le ponte des services sociaux Anglais, qui passait pour la référence en matière d'abus sur les mineurs, Peter Righton, John Stamford qui a créé le magazine Spartacus, ou encore le Dr Moris Fraser, pédopsychiatre...

En bas de la page, on lit le nom d'un certain Professeur Gisli Gudjonsson, prof de psychologie qui lui aussi est fréquemment appelé par la défense en tant qu'expert dans des affaires d'abus sexuels sur mineurs et les cas d'abus rituels. Il serait payé 6.000£ par le culte pour chaque victime d'abus rituels qu'il parvient à discréditer.

Il est lié à Tony Baker, Charles Clarke, Bill Thompson et Jean la Fontaine, et a publié des "études" sur les faux souvenirs (une invention du pédophile Ralph Underwager) et les "fausses confessions" de victimes.

On se souvient que ce sont précisément ces théories qui ont permis de discréditer des centaines de témoignages de victimes d'abus sexuels rituels commis dans des écoles et jardins d'enfants à travers tous les États-Unis et même le Canada dans les années 80. Aujourd'hui, on parle encore de "panique des abus rituels" et tout cela passe pour une vague de délire profond qui aurait traversé le pays.



Christopher et Christine Downs, dont on parle dans cette page, se seraient donc suicidés car le culte leur avait dit que s'ils ne le faisaient pas, ils seraient torturés et tués de toute manière. Cela, parce qu'ils seraient devenus une menace pour ce groupe. En effet, on trouve une trace du suicide de ce couple dans la presse anglaise: on les a retrouvés morts dans leur véhicule en avril 2007. Quelque temps avant, le mari avait été accusé d'avoir violé des prostituées dans les années 80. C'est un test ADN qui l'aurait confondu des années après. Enfin bref, là non plus on n'est jamais remonté jusqu'au réseau.

On parle aussi d'une certains Cheri Walker, "enfant non enregistré", sans état civil. Née dans le réseau et destinée à ne pas en sortir. Elle a été sacrifiée à Halloween dans le chateau de Beaulieu.



Ali Dizaei est cité comme un responsable de la police de Londres, d'origine iranienne. C'était l'un des plus hauts officiers musulmans de la police métropolitaine, et il était un chantre de l'antiracisme chez les flics... Il a fait une très brillante carrière jusqu'en 2010, quand il a été condamné pour avoir manipulé une affaire (il s'en est pris à un entrepreneur et a monté un dossier bidon contre lui) et a pris quatre ans de taule. A un moment, la victime s'est complètement rétractée et il a été acquitté un moment, mais les preuves étant là et Dizaei a finalement été re condamné.

En 2000, Dizaiei a été sous le coup d'une enquête, soupçonné d'utiliser des drogues et des prostituées et de travailler pour l'Iran. C'était l'Operation helios, qui a coûté 7 millions de livres et a mobilisé 50 enquêteurs, la plus chère pour une seule cible.

Alan Johnson est un politicien travailliste de Londres, ministre de l'Intérieur en 2010. Il a remplacé Ruth Kelly (autre membre du réseau déjà citée) au ministère de l'Éducation en 2006. L'année d'après, il était secrétaire d'Etat à la Santé.

Sir Stephen Richards est un juge à la cour d'appel. Il a eu une drôle de mésaventure en 2006: il a été accusé d'agression sexuelle dans un train, mais a finalement été acquitté parce qu'on a dit que ce n'était pas lui. Pourtant, il avait déjà été accusé pour des faits d'exhibitionnisme dans ce même train auparavant.

Michael Hames était un chef de la police métropolitaine, responsable de la section des publications obscènes dans les années 90. Évidemment, peu d'affaires de snuff movies ont été éludées, même si quelques producteurs de pédopornographie ont pu être attrapés.

Paul Kernaghan est un militaire qui a dirigé la police anglaise, puis est passé à Europol, spécialiste du contre terrorisme. En 2009, il est nommé chef de la mission de police de l'Union européenne pour les territoires palestiniens, qui ont couvert divers abus dans les tarritoires occupés. En 2010 il est devenu responsable des enquêtes sur a chambre des lords. Lui aussi a assisté, selon le document, à des riteuls sataniques au Masonic Hall.



Peter Hain est un autre politicien du Labour, qui est passé par divers secrétariats d'État, dont ceux du Pays de Galles et de l'Irlande du Nord. Il fait partie du Privy Council, un comité consultatif de la Reine d'Angleterre. En 2007, il a été candidat à la direction du Labour mais il a du s'écarter de la vie politique quand on a découvert qu'il n'avait pas déclaré 100.000£ de donations.

Il y a aussi une liste de quelques contributeurs financiers de culte: un acteur dénommé Ian McClellan, un présentateur télé et DJ radio, Dale Winton, mais aussi Elton John, l'actrice TV Pam Saint Clement ou la chanteuse KD Lang. Ensemble, ils auraient versé 80.000 £ en une année.

On lit le nom de Peter Tobin, qui est passé pour un prédateur isolé lui aussi. Le document dit qu'il a violé des gamines, mais surtout qu'il en a tué plusieurs. Sa carrière devant les tribunaux a démarré en 1993 quand il a été condamné pour les viols de deux gamines de 14 ans. Il avait tenté d'échapper à la justice en se planquant dans une secte (Jesus Fellowship).

Libéré, il est venu comme homme à tout faire à l'église St. Patrick à Glasgow, et n'a pas obéi à son contrôle judiciaire. Jusqu'à ce qu'il soit soupçonné du meurtre d'une étudiante polonaise de 23 ans, qui nettoyait l'église St Patrick pour se faire un peu d'argent. Il a été condamné pour le viol et le meurtre, puis en 2007, les flics mènent l'enquête sur la disparition d'une ado de 15 ans, Vicky Hamilton.

Vicky avait disparu le 10 février 1991. Mais en 2007, on a mené des recherches dans une ancienne maison de Tobin, et on y a trouvé le corps de l'adolescente ainsi que celui de Dinah McNicol, âgée de 18 ans et disparue le 5 août 1991 alors qu'elle faisait du stop.

Tobin a été condamné pour ces meurtres en 2008 et 2009. Suite à cela, la police a lancé l'opération Anagram pour retracer le parcours criminel de Tobin. On a pensé qu'il avait pu commettre trois autres meurtres non élucidés à Glasgowà la fin des années 60.

Patricia Thornton est dans la liste, et il est précisé qu'elle a été infirmière pendant 20 ans dans l'orphelinat de Jersey, Haut-de-la-Garenne, là où les abus et meurtres d'enfants ont eu lieu. Il semble même qu'elle y avait des responsabilités dans les années 50-60. Thronton a été interviewée par la presse au moment du scandale, niant avoir jamais vu quoi que ce soit de louche là-bas: "C'est terrible si c'est vrai, mais je n'ai vu aucune preuve quand j'étais là. Je trouve juste difficile de croire que toutes ces choses horribles se passaient et que je n'ai rien su", aurait-elle déclaré, probablement avec des trémolos dans la voix. En 1996, Thornton a reçu une médaille pour services rendus par la Reine d'Angleterre, probablement parce qu'elle n'a cessé de répéter qu'il ne s'est rien passé à Haut de la Garenne.

Une victime qui était à l'orphelinat dans les années 60 s'est plainte d'avoir été intimidée par d'anciens employés, et on peut se demander si Thornton n'est pas derrière.

Fiona McKeown est la mère de Scarlet Keeling, une adolescente de 15 ans violée et tuée en 2008à Goa en Inde, où la famille était venue pour 6 mois. On a accusé deux touristes de l'avoir tuée, mais personne n'a été condamné. Apparemment, la gamine traînait dans les fêtes locales et prenait quelques produits hallucinogènes depuis quelque temps. D'ailleurs, elle vivait toute seule dans un hôtel, sans que cela n'inquiète ses parents. McKeown a sept autres enfants par cinq pères différents.



Le député Mark Oaten était membre du parti libéral, mais il a du mettre fin à sa carrière après qu'on l'ait dénoncé dans la presse comme ayant payé un jeune prostitué de 23 ans et a fait des partouzes avec deux prostitués.

Cette affaire est tombée pile au moment où Oaten entrait dans le combat pour remporter la tête du parti, en 2006. En tentant de se justifier dans les médias, il a expliqué qu'à l'âge de 9 ans il a eu une relation avec un homme plus âgé, et cela durant deux ans. Rien que de très normal, en somme.

Dans le document, il est précisé que Oaten a été pris en photo alors qu'il était avec une des victimes du réseau, très certainement pour le faire chanter, mais que Oaten ne semblait pas plus inquiet que cela.

Sir Matthew Farrer était un proche de la Reine depuis les années 60 et il était son avocat depuis 1994. Il s'est occupé de plusieurs contrats de mariage de la famille royale et d'autres affaires comme les impôts royaux, avec son cabinet d'avocats Farrer & Co.

Jimmy Tarbuck est un acteur, qui a été accusé d'avoir agressé sexuellement un garçon dans les années 70, mais n'a jamais été condamné. A la suite du scandale lié à Jimmy Savile et ses centaines de victimes, Tarbuck a été arrêté et entendu par les flics.

Le comte Spencer est le frère de Lady Di, qui a elle-même très pronbablement été victime d'abus dès son enfance. Spencer fait dans le journalisme et dans le caritatif, notamment à destination des enfants. Sa première femme est tombée dans la drogue et l'anorexie mais officiellement, il n'y a aucun problème entre eux.



Inglaterra : Una lista elocuente de miembros de una red pedo satánica



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Source(s) : Donde Vamos / Par Ceri, le 03.02.2014 / Relayé par MetaTV(metatv.org)
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Commentaires sur Les réseaux pédocriminels d'élite, partie I: de Joris Demmink à l'affaire Alcacer en Espagne.



En effet, comment croire une seule seconde que ces cercles sataniques n'existent pas? Il y a eu trop d'événements ces derniers temps et votre article est très documenté (hélas quand on voit le nombre de victimes).

Sur un autre genre, un certain Benjamin Fullford en parle régulièrement aussi.


Posté par jericho, jeudi 24 janvier 2013 | 1 recommandation Recommander | Répondre



La deuxième vidéo a été traduite: (il serait bien de l'incruster dans le billet)

http://www.dailymotion.com/video/xuokty_pedocriminalite-l-injustice-hollandaise-affaire-rolodex-joris-demmink_news?


Posté par ROD, jeudi 24 janvier 2013 | Recommander | Répondre



A propos de l'Espagne également, l'affaire Edelweiss, secte de nazis pédophiles dont le gourou vit sa peine de prison de 168 années commuée en 6 ans effectifs, un record mondial...:
http://www.pedopolis.com/pages/les-affaires/1975-affaire-edelweiss/


Posté par Vassak, dimanche 27 janvier 2013 | Recommander | Répondre




" secte de nazis pédophiles" et aller encore les méchants nazis....
en regardant dans la mauvaise direction c' est sûr que vous élucider les affaires.
bien cramponner à vos certitudes imbéciles.


Posté par bernard, dimanche 27 janvier 2013 | Recommander | Répondre



Lis le ce texte avant de dire que je me cramponne à quoi que ce soit...ce serait préférable peut-être que je donne un lien vers une affaire de rabbin pédophile?


Posté par Vassak, dimanche 27 janvier 2013 | Recommander | Répondre




"rabbin pédophile" intéressant la réponse.
T'as raison, continue à raconter n' importe quoi. ce sont de très méchant nazis qui ont ressuscités et l' extrême droite est derrière tous ça...
D' ailleurs ils sont aux commandes partout et on ne voit qu 'eux derrière toutes ces affaires. La FM c'est des nazis et le b'nai brith c' est tout pareil.
Pour ceux qui ont entrouvert les yeux, ouvrez les très grand, et vous comprendrez un peu plus, sur ce qui se passe réellement, c' est limpide pourtant, mais pour cela il faut jeter aux orties tous ce que vous pensez savoir et ce que l' on vous a appris. Terminé, je ne supporte pas les désinformateur ou les imbéciles qui s' imaginent savoir.


Posté par bernard, dimanche 27 janvier 2013 | Recommander | Répondre



Bernard n'a peut être pas entendu parler des néo-nazis non plus.
Avant de troller, il vaut mieux s'informer (proverbe européen)


Posté par jericho, dimanche 27 janvier 2013 | Recommander | Répondre



Moi j'ai posté un lien qui concernait une très grosse affaire espagnole(au moins 70 cas), dont les pédophiles concernés ont joui d'une indulgence inouïe (zéro année de prison pour les sous-fifres) au cours de deux procès différents(Madrid et Ibiza). Toi, qu'as-tu à proposer à part ton délire sur le b'nai brith et la FM?

Je vais même pas répondre à tes insultes implicites tellement c'est de la merde, mais on peut quand même continuer à parler si tu as des vrais arguments. On peut même parler des sabbatéens si tu veux...si tu en connais des sabbatéens espagnols, dis moi.


Posté par Vassak, dimanche 27 janvier 2013 | Recommander | Répondre







Quelques membres du Bohemian Club

David Rockefeller grand banquier, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, entre autres...
Nelson Rockefeller grand banquier, et membre du CFR, et de MAJI - ou MJ12- entre autres... Très lié au lobby militaro-industriel américain, c'est lui qui a placé au pouvoir Nixon et Kissinger
Henry Kissinger ancien ministre des affaires étrangères de Nixon, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, et de MAJI - ou MJ12- entre autres...
Theodore Roosevelt président des Etats-Unis de 1901 à 1909William Howard Taft président des Etats-Unis de 1909 à 1913Calvin Coolidge président des Etats-Unis de 1923 à 1929Herbert Hoover président des Etats-Unis de 1929 à 1933Harry Truman président des Etats-Unis de 1945 à 1952Dwight Einsenhower président des Etats-Unis de 1953 à 1961John Edgar Hoover directeur du FBI de 1924 jusqu'à sa mort en 1972
Richard Nixon président des Etats-Unis de 1969 à 1974Gerald Ford président des Etats-Unis de 1974 à 1976Ronald Reagan président des Etats-Unis de 1981 à 1988
George H.W. Bush président des Etats-Unis de 1989 à 1992, père de George W. Bush, ex-directeurd e la CIA, membre des Skull and Bones, du CFR, de MAJI, entre autres
Bill Clinton président des Etats-Unis de 1993 à 2000
George W. Bush fils de George H.W. Bush. Président des Etats-Unis de 2001 à 2008, membre des Skull and Bones
Jeb Bush frère de George W. Bush, et gouverneur de FlorideDick Cheney vice-président des Etats-Unis de 2001 à 2008, ministre de la défense de Bush père de 1989 à 1992
Karl Rove principal conseiller de George W. Bush
Colin Powell ministre de la défense de Bush père et ministre des affaires étrangères de Bush fils de 2001 à 2004James Baker III ministre des affaires étrangères de Bush père
Caspar Weinberger ministre de la défense de Reagan, de 1981 à 1987William Casey directeur de la CIA sous Reagan, de 1981 à 1987
William Webster directeur du FBI de 1978 à 1987
George Schultz ancien ministre des affaires étrangères de Reagan, ancien ministre de la Défense de Bush-père, membre du CFRArnold Schwarzenegger gouverneur de CalifornieVernon Walters ancien chef d'état major de l'Armée américaine
Eliott Richardson ancien ministre de la défense américainPaul Volker président de la FED, la banque centrale américaine, de 1979 à 1987Alan Greenspan président de la FED de 1987 à 2005Malcom Forbes milliardaire américainCharles Schwab président de Charles Schwab & Co, l'une des plus grosses sociétés de gestion financière et d'investissements boursiersRiley P.Bechtel PDG de Bechtel Corporation, l'un des leaders mondiaux dans le secteur du batiment et travaux publics, et à qui l'état américain accorde de très gros contrats, aux USA ou à l'étranger.David Packard co-fondateur de la société Hewlett-PackardLou Gerstner président d'IBMAlex Mandl vice-président d'AT&THenry Ford II PDG de Ford Motor Company de 1945 to 1960; petit-fils de Henry FordJack Welsh PDG de General ElectricAntonin Scala juge à la Cour Suprême américaineJoseph Califano ancien ministre de la Justice de Nixon et ReaganNewt Gingrich leader ultra-conservateur du Parti RépublicainPete Wilson ancien gouverneur de CalifornieHelmut Schmidt ancien chancellier allemandValery Giscard d'Estaing ancien président français, membre du Groupe de Bilderberg, concepteur de la Constitution Européenne
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Tony Blair premier ministre britannique de 1997 à 2007, également membre du Groupe de Bilderberg
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