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Fraudes démocratiques: cachotteries !

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Sceaux trafiqués, voir explications plus bas....

Moutier : les recours du 18 juin ne seront pas visibles

Le Conseil municipal avait décidé de permettre au législatif prévôtois d’accéder au dossier. Mais la Préfecture a prononcé une interdiction

MoutierLe chancelier Christian Vaquin (à gauche) et le maire Marcel Winistoerfer ont estimé ce lundi que l'opacité est privilégiée à la transparence.Remise en question de tout le système politique, institutionnel et judiciaire jurassien, avec des répercussions quant au système politique, institutionnel et judiciaire suisse et la position de celle-ci au niveau international.Votations No-Billag et www.monnaie-pleine.ch en danger

Les conseillers de ville de Moutier n’auront pas accès aux recours déposés lors du vote communaliste du 18 juin. Cinq citoyens se sont opposés à la décision du Conseil municipal du 19 décembre dernier, de permettre aux élus d’accéder au dossier de la procédure. La Préfecture du Jura bernois a ainsi interdit à la Municipalité de lancer une consultation jusqu’à nouvel avis. Le maire Marcel Winistoerfer, qui souhaitait la transparence, estime aujourd’hui que c’est l’opacité qui est privilégiée : « Chaque fois que nous voulons aller de l’avant, nous sommes freinés », regrette-t-il, tout en s’agaçant quelque peu : « Il faudra bien que ça avance une fois ! ». La Municipalité ne peut que prendre acte. Elle souhaite avancer sur le volet politique du transfert de la ville et laisser de côté l’aspect judiciaire.



Rappel chronologique des faits

30 octobre : l’exécutif prévôtois est interpellé lors de la séance du Conseil de ville pour mettre à disposition des élus le texte des recours.

8 novembre : l’exécutif prévôtois transmet par lettre la requête à la Préfecture du Jura bernois.

19 décembre : sans nouvelles de la Préfecture depuis six semaines, le Conseil municipal décide d’autoriser l’accès au dossier aux membres du Conseil de ville.

22 décembre : le Conseil municipal communique sa décision lors d’une conférence de presse en matinée. L’après-midi, la Préfecture accuse réception, par fax, de la lettre de l’exécutif prévôtois du 8 novembre. Elle invite les autorités communales à la prudence. Toujours le 22 décembre, cinq citoyens de Moutier font recours contre la décision du Conseil municipal.

3 janvier : par ordonnance du 28 décembre, la suppléante du préfet – au regard de l’effet suspensif découlant du recours des cinq citoyens prévôtois – interdit à la Municipalité de donner aux conseillers de ville l’accès aux dossiers de toutes les procédures de recours concernant le vote du 18 juin. La consultation prévue initialement dès ce lundi 8 janvier est suspendue jusqu’à droit connu. /rch + comm




https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20180108-Moutier-les-recours-du-18-juin-ne-seront-pas-visibles.html


Le Pape au Corps diplomatique

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Le droit à la vie, à la liberté et à l’inviolabilité de chaque personne humaine, le droit de former une famille, la liberté de mouvement, le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, le droit au travail… le pape François a défendu ces droits fondamentaux de la Déclaration universelle des droits de l’homme, ce 8 janvier 2018, devant le Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège.
Le pape a en effet consacré son traditionnel discours de vœux du Nouvel An à ce document, soixante ans après son adoption de la part de l’Assemblée Générale des Nations Unies (10 décembre 1948): « Après soixante ans, a-t-il déploré, il est regrettable de relever comment de nombreux droits fondamentaux sont aujourd’hui encore violés. »
Au fil de son long discours, le pape a formulé des vœux pour les pays ravagés par les conflits, notamment l’Irak, la Syrie, l’Ukraine, et divers pays d’Afrique. Il a plaidé pour « le désarmement intégral » : « La prolifération des armes aggrave clairement les situations de conflit et comporte des coûts humains et matériels considérables qui minent le développement ainsi que la recherche d’une paix durable. »
AK
Discours du pape François
Excellences, Mesdames et Messieurs,
Elle constitue une belle coutume, cette rencontre qui, en conservant encore vive dans les cœurs la joie de Noël, m’offre l’occasion de vous présenter personnellement les vœux pour l’année commencée depuis peu et de manifester ma proximité ainsi que mon affection aux peuples que vous représentez. Je remercie le Doyen du Corps Diplomatique, Son Excellence Monsieur Armindo Fernandes do Espiríto Santo Vieira, Ambassadeur de l’Angola, pour les paroles déférentes qu’il vient de m’adresser au nom de tout le Corps Diplomatique accrédité près le Saint-Siège. J’adresse une spéciale bienvenue aux Ambassadeurs venus de l’extérieur de Rome pour l’occasion, dont le nombre s’est accru suite aux relations diplomatiques nouées avec la République de l’Union du Myanmar, en mai dernier. De même, je salue les Ambassadeurs résidents à Rome toujours plus nombreux, parmi lesquels se trouve, à présent, l’Ambassadeur de la République de l’Afrique du Sud, tandis je voudrais dédier une pensée particulière à feu l’Ambassadeur de la Colombie, Guillermo León Escobar-Herran, décédé quelques jours avant Noël. Je vous remercie pour les relations fructueuses et constantes que vous entretenez avec la Secrétairerie d’État et avec les autres Dicastères de la Curie Romaine, en témoignage de l’intérêt de la communauté internationale pour la mission du Saint-Siège et pour l’engagement de l’Église catholique dans vos pays respectifs. Dans cette perspective se situe aussi l’activité du Saint-Siège concernant les Conventions, qui l’an dernier a vu la signature, au mois de février, de l’Accord Cadre avec la République du Congo et, au mois d’août, de l’Accord entre la Secrétairerie d’État et le Gouvernement de la Fédération Russe sur les voyages sans visa des titulaires de passeports diplomatiques.
Dans les relations avec les Autorités civiles, le Saint-Siège ne vise rien d’autre que de favoriser le bien-être spirituel et matériel de la personne humaine et la promotion du bien commun. Les voyages apostoliques que j’ai effectués au cours de l’année passée en Égypte, au Portugal, en Colombie, au Myanmar et au Bangladesh ont été une expression de cette sollicitude. Je me suis rendu au Portugal, en pèlerin, lors du centenaire des apparitions de la Vierge à Fatima, pour célébrer la canonisation des pastoureaux Jacinthe et François Marto. J’ai pu y constater la foi remplie d’enthousiasme et de joie que la Vierge Marie a suscitée chez les nombreux pèlerins venus pour l’occasion. De même en Égypte, au Myanmar et au Bangladesh, j’ai pu rencontrer les communautés chrétiennes locales qui, bien que numériquement réduites, sont appréciées pour la contribution qu’elles offrent au développement et à la convivialité civile de leurs pays respectifs. Des rencontres avec les représentants des autres religions n’ont pas manqué, témoignant combien les spécificités de chacune ne sont pas un obstacle au dialogue, mais plutôt la sève qui l’alimente dans le désir commun de connaître la vérité et de pratiquer la justice. Enfin, en Colombie, j’ai voulu bénir les efforts et le courage de ce peuple bien-aimé, marqué par un ardent désir de paix après plus d’un demi-siècle de conflit interne.
Chers Ambassadeurs,
Au cours de cette année, aura lieu le centenaire de la fin de la première Guerre Mondiale : un conflit qui a remodelé le visage de l’Europe et du monde entier, avec la naissance de nouveaux États qui ont pris la place des anciens empires. Des cendres de la Grande Guerre, on peut tirer deux avertissements, que malheureusement l’humanité n’a pas su comprendre immédiatement, arrivant dans le laps d’une vingtaine d’années à affronter un nouveau conflit encore plus dévastateur que le précédent. Le premier avertissement, c’est que vaincre ne signifie jamais humilier l’adversaire défait. La paix ne se construit pas comme une affirmation du pouvoir du vainqueur sur le vaincu. Ce n’est pas la loi de la peur qui dissuade de futures agressions, mais plutôt la force de la raison douce qui encourage au dialogue et à la compréhension réciproque pour aplanir les différences (Cf. JEAN XXIII, Lettre encyclique, Pacem in terris, 11 avril 1963, nn. 126-129). De cela découle le second avertissement : la paix se consolide lorsque les Nations peuvent traiter entre elles dans un climat de parité. Il y a un siècle – tout juste aujourd’hui –, le Président américain d’alors, Thomas Woodrow Wilson, l’a compris lorsqu’il a proposé la création d’une association générale des Nations destinée à promouvoir pour tous les États, indistinctement grands et petits, des garanties mutuelles d’indépendance et d’intégrité territoriale. Ainsi ont été jetées les bases de cette diplomatie multilatérale, qui a acquis progressivement au cours des années un rôle et une influence croissante au sein de la Communauté internationale tout entière.
Aussi bien les relations entre les Nations que les relations humaines «doivent […] [s’]harmoniser […] selon la vérité et la justice, en esprit d’active solidarité et dans la liberté» (Ibid., n. 80). Cela comporte « l’égalité naturelle de toutes les communautés politiques en dignité » (Ibid., n. 86), ainsi que la reconnaissance des droits mutuels, avec l’accomplissement des devoirs correspondants (cf. Ibid., n. 91). La condition fondamentale de cette attitude est l’affirmation de la dignité de chaque personne humaine, dont le mépris et la méconnaissance portent à des actes de barbarie qui offensent la conscience de l’humanité (cf. Déclaration universelle des droits de l’homme, 10 décembre 1948). D’autre part, «la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde » (Ibid., Préambule), comme l’affirme la Déclaration universelle des droits de l’homme.
C’est à cet important document que, soixante ans après son adoption de la part de l’Assemblée Générale des Nations Unis, advenue le 10 décembre 1948, je voudrais consacrer notre rencontre d’aujourd’hui. Pour le Saint-Siège, en effet, parler des droits humains signifie, avant tout, proposer de nouveau la centralité de la dignité de la personne, en tant qu’elle est voulue et créée par Dieu à son image et à sa ressemblance. Le Seigneur Jésus lui-même, en guérissant le lépreux, en redonnant la vue à l’aveugle, en s’entretenant avec le publicain, en sauvant la vie à la femme adultère et en invitant à prendre soin du voyageur blessé, a fait comprendre combien chaque être humain, indépendamment de sa condition physique, spirituelle ou sociale, mérite respect et considération. Du point de vue chrétien, il y a donc une relation significative entre le message évangélique et la reconnaissance des droits humains, dans l’esprit des rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Ces droits trouvent leur fondement dans la nature qui objectivement unit le genre humain. Ils ont été proclamés pour faire tomber les murs de séparation qui divisent la famille humaine et favoriser ce que la doctrine sociale de l’Église appelle le développement humain intégral, puisqu’il concerne la promotion de chaque homme et de tout l’homme, jusqu’à comprendre l’humanité tout entière (cf. PAUL VI, Lettre encyclique, Populorum progressio, 26 mars 1967, n. 14). Une vision réductrice de la personne humaine ouvre au contraire la voie à la propagation de l’injustice, de l’inégalité sociale et de la corruption.
Il faut, toutefois, constater qu’au cours des années passées, surtout suite aux bouleversements sociaux de ‘1968’, l’interprétation de certains droits s’est progressivement modifiée, de façon à inclure une multiplicité de ‘‘nouveaux droits’’, souvent en contradiction entre eux. Cela n’a pas toujours favorisé la promotion de relations amicales entre les Nations (cf. Déclaration universelle des droits de l’homme, Préambule), car des conceptions controversées des droits humains ont été exprimées, en contraste avec la culture de nombreux pays, qui ne se sentent pas par conséquent respectés dans leurs traditions socio-culturelles propres, mais plutôt négligés quant aux nécessités réelles qu’ils doivent affronter. Il peut donc y avoir le risque – paradoxal par certains côtés – que, au nom des mêmes droits humains, on en vienne à instaurer des formes modernes de colonisation idéologique des plus forts et des plus riches au détriment des plus pauvres et des plus faibles. En même temps, il convient d’avoir présent à l’esprit que les traditions de chaque peuple ne peuvent être évoquées comme un prétexte pour manquer au respect dû aux droits fondamentaux énoncés par la Déclaration universelle des droits humains.
Après soixante ans, il est regrettable de relever comment de nombreux droits fondamentaux sont aujourd’hui encore violés. Le premier d’entre tous ces droits est celui à la vie, à la liberté et à l’inviolabilité de chaque personne humaine (cf. Ibid., art. 3). Ce ne sont pas seulement la guerre ou la violence qui les compromettent. En notre temps, il y a des formes plus subtiles : je pense d’abord aux enfants innocents, rejetés avant même de naître ; non voulus parfois uniquement parce qu’ils sont malades ou malformés, ou à cause de l’égoïsme des adultes. Je pense aux personnes âgées, elles aussi bien des fois rejetées, surtout si elles sont malades, car considérées comme un poids. Je pense aux femmes, qui souvent subissent des violences et des abus y compris au sein de leurs propres familles. Je pense, ensuite, à ceux qui sont victimes de la traite des personnes qui viole la prohibition de toute forme d’esclavage. Que de personnes, surtout fuyant la pauvreté et la guerre, sont objet de ce commerce illicite perpétré par des sujets sans scrupules?
Défendre le droit à la vie et à l’intégrité physique signifie, ensuite, promouvoir le droit à la santé de la personne et de ses proches. Aujourd’hui, ce droit à la santé a adopté des implications qui  dépassent les intentions d’origine de la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui visait à affirmer le droit de chacun à bénéficier des soins médicaux et des services sociaux nécessaires (cf. ibid., art. 25). Dans cette perspective, je souhaite que, au niveau des instances internationales compétentes, on œuvre pour favoriser surtout un accès facile de tous aux soins et aux traitements sanitaires. Il est important d’unir les efforts afin qu’on puisse adopter des politiques en mesure de garantir, à des prix accessibles, la fourniture des médicaments essentiels pour la survie des personnes démunies, sans négliger la recherche et le développement des traitements qui, bien que n’étant pas économiquement importants pour le marché, sont déterminants pour sauver des vies humaines.
Défendre le droit à la vie implique également d’œuvrer activement pour la paix, universellement reconnue comme l’une des valeurs les plus hautes à rechercher et à défendre.
Cependant de graves conflits locaux continent à embraser diverses régions de la terre. Les efforts collectifs de la communauté internationale, l’action humanitaire des organisations internationales et les demandes incessantes de paix, qui s’élèvent des terres ensanglantées par des combats, semblent toujours moins efficaces face à la logique aberrante de la guerre. Cette situation n’entame pas notre désir et notre engagement pour la paix, conscients que sans elle le développement intégral de l’homme est hors de portée.
Le désarmement intégral et le développement intégral sont étroitement liés entre eux. D’autre part, la recherche de la paix comme condition préalable au développement implique de combattre l’injustice et d’éradiquer, de manière non violente, les causes de désaccord qui conduisent aux guerres. La prolifération des armes aggrave clairement les situations de conflit et comporte des coûts humains et matériels considérables qui minent le développement ainsi que la recherche d’une paix durable. Le résultat historique atteint l’année dernière avec l’adoption du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires, au terme de la Conférence des Nations Unies, visant à négocier un instrument juridiquement contraignant pour prohiber les armes nucléaires, montre combien le désir de paix est toujours vif. La promotion de la culture de paix en vue d’un développement intégral demande des efforts persévérants pour le désarmement et la limitation du recours à la force armée dans la gestion des affaires internationales. Je voudrais, par conséquent, encourager un débat serein et le plus ample possible sur la question, qui évite des polarisations de la communauté internationale sur un sujet aussi délicat. Tout effort dans ce sens, si modeste soit-il, représente un résultat important pour l’humanité.
Pour sa part, le Saint-Siège a signé et ratifié, également au nom et pour le compte de l’État de la Cité du Vatican, le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires, dans la perspective exprimée par saint Jean XXIII dans Pacem in terris, selon laquelle «La justice, la sagesse, le sens de l’humanité réclament par conséquent, qu’on arrête la course aux armements ; elles réclament la réduction parallèle et simultanée de l’armement existant dans les divers pays, la proscription de l’arme atomique» (n. 112). En effet, «qu’il y ait des hommes au monde pour prendre la responsabilité des massacres et des ruines sans nombre d’une guerre, cela peut paraître incroyable ; pourtant, on est contraint de l’avouer, une surprise, un accident suffiraient à provoquer la conflagration» ( Ibid. n. 111).
Le Saint-Siège réaffirme donc la ferme conviction «que les éventuels conflits entre les peuples ne doivent pas être réglés par le recours aux armes, mais par la négociation» (Ibid., n. 126). D’autre part, précisément la fabrication ininterrompue d’armes toujours plus sophistiquées et plus ‘‘perfectionnées’’ ainsi que la persistance de nombreux foyers de conflit – de ce que j’ai, plus d’une fois, qualifié de ‘‘troisième guerre mondiale par morceaux’’ – ne peut que nous faire répéter avec force les paroles de mon saint Prédécesseur : « Il devient humainement impossible de penser que la guerre soit, en notre ère atomique, le moyen adéquat pour obtenir justice […] Néanmoins, il est permis d’espérer que les peuples, intensifiant entre eux les relations et les échanges, découvriront mieux les liens d’unité qui découlent de leur nature commune ; ils comprendront plus parfaitement que l’un des devoirs primordiaux issus de leur communauté de nature, c’est de fonder les relations des hommes et des peuples sur l’amour et non sur la crainte. C’est, en effet, le propre de l’amour d’amener les hommes à une loyale collaboration, susceptible de formes multiples et porteuse d’innombrables bienfaits » (Ibid., nn. 127-129).
Dans cette perspective, il est d’une importance primordiale qu’on puisse soutenir toute tentative de dialogue dans la péninsule coréenne, afin de trouver de nouvelles voies pour surmonter les oppositions actuelles, d’accroître la confiance réciproque et d’assurer un avenir de paix au peuple coréen et au monde entier.
De même, il est important qu’on puisse poursuivre, dans un climat constructif de confiance accrue entre les parties, les diverses initiatives de paix en cours en faveur de la Syrie, pour qu’on puisse finalement mettre fin au long conflit qui a affecté le pays et causé d’effroyables souffrances. Le souhait général est que, après tant de destructions, arrive le temps de la reconstruction. Mais plus encore que la reconstruction des édifices, s’avèrent nécessaires la reconstruction des cœurs, le retissage de la toile de la confiance réciproque, préalables indispensables pour l’épanouissement de toute société. Il faut donc travailler à favoriser les conditions juridiques, politiques et sécuritaires, pour une reprise de la vie sociale, où chaque citoyen, indépendamment de son appartenance ethnique et religieuse, puisse participer au développement du pays. En ce sens, il est vital que soient protégées les minorités religieuses, parmi lesquelles se trouvent les chrétiens, qui depuis des siècles contribuent activement à l’histoire de la Syrie.
Il est aussi important que puissent retourner dans leur patrie les nombreux réfugiés qui ont trouvé accueil et refuge dans les nations limitrophes, surtout en Jordanie, au Liban et en Turquie. L’engagement et les efforts accomplis par ces pays dans cette situation difficile mérite l’appréciation et le soutien de toute la communauté internationale, qui est en même temps appelée à œuvrer pour créer les conditions en vue du rapatriement des réfugiés provenant de la Syrie. C’est un engagement qu’elle doit concrètement prendre en commençant par le Liban, afin que ce pays bienaimé continue à être un ‘‘message’’ de respect et de cohabitation ainsi qu’un modèle à imiter pour toute la région et pour le monde entier.
La volonté de dialogue est nécessaire également dans le bien-aimé Irak, pour que les diverses composantes ethniques et religieuses puissent retrouver le chemin de la réconciliation et de la cohabitation et collaboration pacifiques, tout comme au Yémen et dans d’autres parties de la région, ainsi qu’en Afghanistan.
J’adresse une pensée particulière aux Israéliens et aux Palestiniens, suite aux tensions des dernières semaines. Le Saint-Siège, en exprimant sa douleur pour ceux qui ont perdu la vie dans les récents affrontements, renouvelle son appel pressant à pondérer toute initiative afin qu’on évite d’exacerber les oppositions, et il invite à un engagement commun à respecter, en conformité avec les Résolutions pertinentes des Nations Unies, le status quo de Jérusalem, ville sacrée pour les chrétiens, les juifs et les musulmans. Soixante-dix ans d’affrontements rendent plus que jamais urgent de trouver une solution politique qui permette la présence dans la région de deux États indépendants dans des frontières internationalement reconnues. Même au sein des difficultés, la volonté de dialoguer et de reprendre les négociations reste le principal chemin pour arriver finalement à une cohabitation pacifique des deux peuples.
De même dans des contextes nationaux, l’ouverture et la disponibilité à la rencontre sont essentielles. Je pense surtout au bien-aimé Venezuela, qui traverse une crise politique et humanitaire toujours plus dramatique et sans précédent. Le Saint-Siège, alors qu’il exhorte à répondre sans tarder aux besoins primaires de la population, souhaite que soient créées les conditions afin que les élections prévues pour l’année en cours soient en mesure d’apporter une solution aux conflits existants, et qu’on puisse envisager l’avenir avec une sérénité retrouvée.
Que la communauté internationale n’oublie pas non plus les souffrances de nombreuses parties du Continent africain, spécialement au Sud-Soudan, en République Démocratique du Congo, en Somalie, au Nigéria et en République Centrafricaine, où le droit à la vie est menacé par l’exploitation abusive des ressources, par le terrorisme, par la prolifération de groupes armés et par des conflits persistants. Il ne suffit pas de s’indigner face à tant de violence. Il faut plutôt que chacun, dans son domaine propre, œuvre activement pour éradiquer les causes de la misère et pour construire des ponts de fraternité, condition fondamentale d’un développement humain authentique.
Un engagement commun pour reconstruire les ponts est urgent également en Ukraine. L’année qui vient de s’achever a connu de nouvelles victimes dans le conflit qui affecte le pays, en continuant à infliger de grandes souffrances à la population, en particulier aux familles qui résident dans les zones touchées par la guerre et qui ont perdu des proches, souvent des personnes âgées et des enfants.
Je voudrais précisément dédier à la famille une pensée spéciale. Le droit de former une famille, en tant qu’« élément naturel et fondamental de la société [qui] a le droit à la protection de la société et de l’État» (Déclaration universelle des droits de l’homme), est en effet reconnu par la Déclaration de 1948 elle-même. Malheureusement, on sait comment, surtout en Occident, la famille est considérée comme une institution dépassée. À la stabilité d’un projet définitif, on préfère de nos jours des liens fugaces. Mais une maison construite sur le sable des relations fragiles et instables ne tient pas. Il faut plutôt une roche, sur laquelle ancrer des bases solides. Et la roche est précisément cette communion d’amour, fidèle et indissoluble, qui unit l’homme et la femme, une communion qui a une beauté austère et simple, un caractère sacré et inviolable et une fonction naturelle dans l’ordre social (cf. PAUL VI, Discours à l’occasion de la visite à la Basilique de l’Annonciation, Nazareth, 5 janvier 1964). Je juge, par conséquent, urgent qu’on entreprenne de réelles politiques de soutien aux familles, dont par ailleurs dépendent l’avenir et le développement des États. Sans cette politique, en effet, on ne peut pas construire des sociétés en mesure d’affronter les défis de l’avenir. Le désintérêt pour les familles entraîne, en outre, une autre conséquence dramatique – et particulièrement actuelle dans certaines régions – qui est la baisse de la natalité. On vit un véritable hiver démographique ! C’est le signe de sociétés qui ont du mal à affronter les défis du présent et qui deviennent donc toujours plus craintives face à l’avenir, en finissant par se replier sur elles-mêmes.
En même temps, on ne peut oublier la situation de familles brisées à cause de la pauvreté, des guerres et des migrations. Nous avons trop souvent sous nos yeux le drame des enfants qui, seuls, traversent les frontières séparant le sud du nord du monde, souvent victimes du trafic d’êtres humains.
Aujourd’hui, on parle beaucoup de migrants et de migrations, parfois juste pour susciter des peurs ancestrales. Il ne faut pas oublier que les migrations ont toujours existé. Dans la tradition judéo-chrétienne, l’histoire du salut est essentiellement une histoire de migrations. Il ne faut pas non plus oublier que la liberté de mouvement, tout comme celle de quitter son propre pays et d’y retourner, fait partie des droits fondamentaux de l’homme (cf. Déclaration universelle des droits de l’homme, art. 13). Il faut donc sortir d’une rhétorique répandue sur la question et aller au fait essentiel que devant nous, il y a d’abord et avant tout des personnes.
C’est ce que j’ai voulu réaffirmer par le Message pour la Journée Mondiale de la Paix, célébrée le 1er janvier dernier, consacré aux: ‘‘[Les] migrants et [les] réfugiés: des hommes et des femmes en quête de paix’’. Tout en reconnaissant qu’ils ne sont pas toujours tous animés des meilleures intentions, on ne peut pas oublier que la majorité des migrants préfèrerait rester dans leur propre pays, alors qu’elle se trouve contrainte à le quitter « à cause des discriminations, des
persécutions, de la pauvreté et de la dégradation environnementale. […] Accueillir l’autre exige un engagement concret, une chaîne d’entraide et de bienveillance, une attention vigilante et compréhensive, la gestion responsable de nouvelles situations complexes qui, parfois, s’ajoutent aux autres problèmes innombrables déjà existants, ainsi que des ressources qui sont toujours limitées. En pratiquant la vertu de prudence, les gouvernants sauront accueillir, promouvoir, protéger et intégrer, en établissant des dispositions pratiques, « dans la mesure compatible avec le bien réel de leur peuple, …[pour] s’intégrer » (Pacem in terris, n. 106). Ils ont une responsabilité précise envers leurs communautés, dont ils doivent assurer les justes droits et le développement harmonieux, pour ne pas être comme le constructeur imprévoyant qui fit mal ses calculs et ne parvint pas à achever la tour qu’il avait commencé à bâtir (cf. Lc 14, 28-30)» (FRANÇOIS, Message pour la 51ème Journée Mondiale de la Paix, 13 novembre 2017, n. 1).
Je voudrais de nouveau remercier les Autorités de ces États qui se sont prodigués au cours de ces années pour fournir une assistance aux nombreux migrants parvenus à leurs frontières. Je pense d’abord à l’engagement de nombreux pays en Asie, en Afrique et dans les Amériques, qui accueillent et assistent un grand nombre de personnes. Je garde encore vivante dans le cœur la rencontre que j’ai eue à Dacca avec quelques membres du peuple Rohingya et j’aimerais renouveler  aux autorités du Bangladesh mes sentiments de gratitude pour l’assistance qu’elles offrent, sur leur propre territoire, à ces personnes.
Je voudrais ensuite exprimer une gratitude spéciale à l’Italie qui, ces années, a montré un cœur ouvert et généreux et a su aussi donner des exemples positifs d’intégration. Mon souhait est que les difficultés que le pays a traversées ces dernières années, et dont les conséquences persistent, ne conduisent pas à des fermetures et à des verrouillages, mais au contraire à une redécouverte de ces racines et de ces traditions qui ont nourri la riche histoire de la Nation et qui constituent un inestimable trésor à offrir au monde entier. De même, j’exprime mon appréciation pour les efforts accomplis par d’autres États européens, en particulier la Grèce et l’Allemagne. Il ne faut pas oublier que de nombreux réfugiés et migrants cherchent à rejoindre l’Europe parce qu’ils savent qu’ils pourront y trouver paix et sécurité, qui sont d’ailleurs le fruit d’un long cheminement né des idéaux des Pères fondateurs du projet européen après la seconde guerre mondiale. L’Europe doit être fière de ce patrimoine, fondé sur certains principes et sur une vision de l’homme qui plonge ses bases dans son histoire millénaire, inspirée par la conception chrétienne de la personne humaine. L’arrivée des migrants doit la pousser à redécouvrir son patrimoine culturel et religieux propre, de sorte que, reprenant conscience de ses valeurs sur lesquelles elle s’est édifiée, elle puisse en même temps maintenir vivante sa tradition et continuer à être un lieu accueillant, annonciateur de paix et de développement.
L’an passé, les gouvernements, les organisations internationales et la société civile se sont consultés réciproquement sur les principes de base, sur les priorités et sur les modalités les plus opportunes pour répondre aux mouvements migratoires et aux situations persistantes qui concernent les réfugiés. Les Nations Unies, suite à la Déclaration de New York pour les Réfugiés et les Migrants de 2016, ont initié d’importants processus de préparation en vue de l’adoption de deux Pactes Mondiaux (Global Compacts), respectivement sur les réfugiés et pour une migration sûre, ordonnée et régulière.
Le Saint Siège souhaite que ces efforts, grâce aux négociations qui s’ouvriront bientôt, conduisent à des résultats dignes d’une communauté mondiale toujours plus interdépendante, fondée sur les principes de solidarité et d’aide mutuelle. Dans le contexte international actuel, les possibilités et les moyens d’assurer à tout homme et à toute femme qui vit sur terre des conditions de vie dignes de la personne humaine ne manquent pas.
Dans le Message pour la Journée Mondiale de la Paix de cette année j’ai suggéré quatre ‘‘jalons’’ pour l’action : accueillir, protéger, promouvoir et intégrer (Ibid., n. 4). Je voudrais m’arrêter en particulier sur ce dernier, sur lequel s’affrontent différentes positions à la lumière d’autant d’évaluations, d’expériences, de préoccupations et de convictions. L’intégration est un “processus bidirectionnel”, avec des droits et des devoirs réciproques. Celui qui accueille est en effet appelé à promouvoir le développement humain intégral, alors qu’on demande à celui qui est accueilli de se conformer immanquablement aux normes du pays qui l’accueille, ainsi qu’au respect de ses principes identitaires. Tout processus d’intégration doit toujours maintenir au centre des normes qui concernent les divers aspects de la vie politique et sociale, la défense et la promotion des personnes, surtout de celles qui se trouvent dans des situations de vulnérabilité.
Le Saint Siège n’a pas l’intention d’interférer dans les décisions qui reviennent aux Etats, lesquels, à la lumière de leurs situations politiques, sociales et économiques respectives, et aussi des capacités propres et des possibilités d’hospitalité et d’intégration, ont la première responsabilité de l’accueil. Cependant, il estime nécessaire de jouer un rôle pour le “rappel” des principes d’humanité et de fraternité qui fondent toute société unie et harmonieuse. Dans cette perspective, il est important de ne pas oublier l’interaction avec les communautés religieuses, tant institutionnelles qu’au niveau associatif, qui peuvent jouer un rôle précieux de renfort dans l’assistance et la protection, de médiation sociale et culturelle, de pacification et d’intégration.
Parmi les droits humains que je voudrais rappeler aujourd’hui, il y a aussi le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, qui inclut le droit à la liberté de changer de religion (cf. Déclaration universelle des droits de l’homme, art. 18). On sait malheureusement combien le droit à la liberté de religion est souvent violé et la religion devient souvent ou l’occasion pour justifier idéologiquement de nouvelles formes d’extrémisme ou bien un prétexte à l’exclusion sociale, voire à des formes de persécutions des croyants. La construction de sociétés inclusives exige comme condition une compréhension intégrale de la personne humaine, qui peut se sentir vraiment accueillie quand elle est reconnue et acceptée dans toutes les dimensions qui constituent son identité, y compris religieuse.
Enfin, je souhaite rappeler l’importance du droit au travail. Il n’y a pas de paix ni de développement si l’homme est privé de la possibilité de contribuer personnellement, par son travail, à l’édification du bien commun. Il est regrettable de constater, au contraire, combien le travail est, en de nombreuses régions du monde, un bien rare. Peu nombreuses sont parfois les opportunités, surtout pour les jeunes, de trouver du travail. Il est souvent facile de le perdre non seulement à cause des conséquences de l’alternance des cycles économiques, mais aussi en raison du recours progressif à des technologies et à des machines toujours plus perfectionnées et plus précises, capables de remplacer l’homme. Et si, d’un côté, on constate une répartition inéquitable des offres de travail, de l’autre on relève la tendance à demander à celui qui travaille des rythmes toujours plus pressants. Les exigences du profit, dictées par la globalisation, ont conduit à une réduction progressive des temps et des jours de repos, avec comme résultat la perte d’une dimension fondamentale de la vie – celle du repos – qui permet à la personne de se refaire non seulement physiquement mais aussi spirituellement. Dieu lui-même s’est reposé le septième jour. Il l’a béni et l’a consacré « car il avait chômé après tout son ouvrage de création » (Gn 2, 3). Dans l’alternance du travail et du repos, l’homme participe à la “sanctification du temps” accomplie par Dieu et il ennoblit son travail, le soustrayant aux dynamiques répétitives d’un quotidien aride qui ne connaît pas d’arrêt.
En outre, les données publiées récemment par l’Organisation Mondiale du Travail sur l’augmentation du nombre d’enfants employés dans des activités de travail et du nombre des victimes des nouvelles formes d’esclavage sont un motif de particulière préoccupation. Le fléau du travail des mineurs continue de compromettre sérieusement le développement psycho-physique des enfants, les privant des joies de l’enfance, fauchant des victimes innocentes. On ne peut penser projeter un avenir meilleur, ni souhaiter construire des sociétés plus inclusives si l’on continue à maintenir des modèles économiques orientés vers le simple profit et l’exploitation des plus faibles, tels que les enfants. Eliminer les causes structurelles de ce fléau devrait être une priorité des gouvernements et des organisations internationales, appelés à intensifier leurs efforts pour adopter des stratégies intégrées et des politiques coordonnées visant à faire cesser le travail des mineurs sous toutes ses formes.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
En rappelant certains des droits contenus dans la Déclaration Universelle de 1948, je n’entends pas omettre un aspect qui lui est strictement connexe : tout individu a aussi des devoirs envers la communauté, visant à « satisfaire aux justes exigences de la morale, de l’ordre public et du bien-être général dans une société démocratique » (Ibid., n. 29). Le juste rappel des droits de tout être humain doit tenir compte du fait que chacun fait partie d’un corps plus grand. Nos sociétés aussi, comme tout corps humain, jouissent d’une bonne santé si chaque membre accomplit sa tâche, conscient que celle-ci est au service du bien commun.
Parmi les devoirs particulièrement impérieux, il y a aujourd’hui celui de prendre soin de notre terre. Nous savons que la nature peut être en elle-même meurtrière même quand il n’y a pas de responsabilité de l’homme. Nous l’avons vu cette dernière année avec les tremblements de terre qui ont touché diverses régions, particulièrement ces derniers mois au Mexique et en Iran, causant de nombreuses victimes, tout comme avec la force des ouragans qui ont touché plusieurs pays des Caraïbes jusqu’à atteindre les côtes des États-Unis et qui, plus récemment, ont investi les Philippines. Cependant, il ne faut pas oublier qu’il y a aussi une importante responsabilité de l’homme dans l’interaction avec la nature. Les changements climatiques, avec la hausse générale des températures et les effets dévastateurs qu’elle entraîne sont aussi une conséquence de l’action de l’homme. Il convient donc de faire face, dans un effort commun, à la responsabilité de laisser aux générations qui suivront une terre plus belle et plus vivable, en œuvrant, à la lumière des engagements pris à Paris en 2015, pour réduire les émissions de gaz nocifs pour l’atmosphère et dangereux pour la santé humaine.
L’esprit qui doit animer chaque personne comme les nations dans ce travail, est comparable à celui des constructeurs des cathédrales médiévales qui constellent l’Europe. Ces édifices imposants racontent l’importance de la participation de chacun à une œuvre capable de franchir les limites du temps. Le constructeur de cathédrales savait qu’il ne verrait pas l’achèvement de son travail. Néanmoins, il se prodiguait activement, comprenant qu’il faisait partie d’un projet dont jouiraient ses enfants, qui – à leur tour – l’embelliraient et l’agrandiraient pour leurs enfants. Chaque homme et chaque femme de ce monde – et en particulier celui qui a la responsabilité de gouverner – est appelé à cultiver le même esprit de service et de solidarité intergénérationnel, et être ainsi un signe d’espérance pour notre monde tourmenté.
C’est avec ces considérations que je renouvelle à chacun de vous, à vos familles et à vos peuples les vœux d’une année riche de joie, d’espérance et de paix.
Merci.
© Librairie éditrice du Vatican

Japon: nouvelles taxes

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La démographie japonaise est déjà pire que celle de l'Europe !


La Suisse, un paradis fiscal, 
le monde, un enfer fiscal de pire en pire !

Mauvaise nouvelle pour les voyageurs.
Taxe Sayonara : un mot japonais pour dire au revoir.
Une taxe de départ de 1 000 yens imposée aux étrangers ou Japonais quittant le territoire. 
Le Japon croule sous des dettes abyssales, près de 10 000 milliards d'euros, soit 250 % du PIB, le gouvernement cherche désespérément de nouvelles sources de revenus.
Lutte contre la trappe de liquidité ? 

On parle de taxes sur la vue depuis votre maison, sic, cf. en Californie, les attentats, sic. en France, la surface des terrasses, des toits, sic, de la longueur des rivières qui traversent votre terrain, etc...etc...

Taxes attentats, pluies, vue...



La "taxe attentat" a été créé en 1986 , ce n'est pas nouveau , c'est lié aux assurances et servirait à indemniser les victimes , et bien sur elle sera en augmentation chaque année...



Taxes prévues en France, sur la pluie, sic, en fonction de la surface des toits ou terrasses !
Taxes sur la vue en Californie par exemple... Plus ci-dessous...

Selon Agnès Verdier-Molinié, directrice de l'Ifrap, la France compte au moins, s.e.o.o. 365 taxes et impôts divers, une taxe par jour...

Oui à la distribution rendue possible par l'abondance des produits des machines et ordinateurs. mais au niveau financement, il faut chercher à éviter de créer encore plus de dettes à intérêts composés exponentielles écrasantes et orienter les nouvelles créations monétaires vers toutes les personnes dès leur conception par des coopératives locales 
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html
http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/02/la-plupart-des-taxes-sont-du-vol-pur-et.html

TOCQUEVILLE MAGAZINE

                (Libérer le capital et le travail pour vaincre la pauvreté)

                                                 LE FLASH

                                           (A diffuser largement)


LA TAXE CARBONE







La dernière nouvelle de l'année 2009 est que la taxe  carbone telle qu'elle
était prévue par le gouvernement a été refusée par le conseil
constitutionnel. Cette taxe, extrêmement cruelle il faut le dire, est due à
la « volonté d'un seul homme ». Cet homme n'est pas celui que l'on croit
; en effet le pouvoir n'est, en la circonstance,  que l'ombre portée d'un
riche pollueur de la planète qui, par un miracle de la fausse démocratie,
s'est emparé pour son usage personnel de l'illusion écologique ; c'est pour
lui faire plaisir que fut créé un ministère de l'écologie avec en
conséquence le ridicule et coûteux « grenelle de l'environnement ». Ce
pollueur  doit sa célébrité et son pouvoir abusif aux innombrables engins
motorisés qu'il a utilisé dans les endroits les plus beaux du monde. Ce
faisant, il s'est saisi  du pouvoir écolo, lequel met en danger l'économie
de la planète entière.

La cruauté vient de ce que, comme toute taxe, le nouvel impôt pèse
principalement sur les modestes et les pauvres qui sont atteints directement
dans leur capacité de circuler. Les riches peuvent s'en accommoder. Les
richissimes politiques et les gentilshommes de la Cour  ne s'en occupent pas
car ils vivent dans une bulle où il échappent aux problèmes du vulgaire.
Quant aux PME ou TPE qui forment les véritables forces vives de la nation,
elles  sont frappées de plein fouet n'ayant pas la possibilité de
délocaliser ou sinon avec de grandes difficultés.
Pour se défendre de l'accusation de taxer pour ramasser des sous, le pouvoir
a promis  que la taxe  carbone n'augmenterait pas les prélèvements
obligatoires et, en particulier,  un  nouveau monstre bureaucratique est
prévu à cette fin sous le vocable de « chèque vert ». Comment une
promesse  aussi monumentale peut-elle être énoncée sans que personne dans
les médias ne souligne son impossibilité? L'enchevêtrement incroyable,
inouï, et fantastique de l'empilement d'usines à gaz que représentent  les
prélèvements obligatoires rend absolument irréaliste toute prévision dans
ce domaine ; en outre,  le complexe énarcho-socialo aux affaires dépense
au-delà du possible et cherche de l'argent de tous cotés.

Ajoutons, pour compléter la description, que le projet est tyrannique par
définition puisqu'il prétend nous faire dicter nos comportements par le
pouvoir en place dans tous les domaines de la vie. Les écolos en se
présentant abusivement comme les seuls amoureux de la nature exercent dans
tous les pays ce pouvoir tyrannique. En outre, le projet de taxe combine le
tout et son contraire dans un équilibre évidemment absolument impossible à
trouver.

Le conseil   constitutionnel s'est  bien gardé de critiquer le principe de la
taxe.  Oubliant que la presse le prétend abusivement composé de
« sages »,  il ne voit aucun inconvénient à ce que le pouvoir ait voulu,
par un impôt,  lutter  contre le soleil ou les effets de la nature.

Pour rendre sa décision il s'est appuyé sur deux chimères. D'abord,
paraît-il, la taxe ne respectait pas le principe d'égalité des citoyens
devant l'impôt : c'est une pure chimère  car tout impôt, par nature,  est
contraire à l'égalité et il ne peut en être autrement ; la taxe, d'autre
part, tapait particulièrement sur les faibles et les pauvres, comme indiqué
plus haut, et cela ne semblait pas émouvoir particulièrement ce conseil
constitutionnel, pourtant composé de personnalités généralement adroites
dans la gestion et l'utilisation de la compassion.

Un autre prétexte fut invoqué : le pouvoir, par le mécanisme mis au point,
ne pouvait pas atteindre l'objectif  qu'il se donnait lui-même. Il était
prévu, en effet, d'épargner les transports routiers de voyageurs, le
transport aérien et 1000 sites  polluants d'une foule d'industries. Le
dispositif était, évidemment, un exercice d'équilibre dans une usine à gaz
de plus avec de multiples compteurs et de multiples contentieux en
perspectives ; les prétendus sages savent, du reste,  fort bien que les
usines à gaz administratives ne peuvent jamais fonctionner en vue de
réaliser des objectifs précis ; dans l'espèce en plus la lutte contre le
soleil n'est guère mesurable dans ses effets !

Compte tenu de cette analyse, le pouvoir a sans doute  raison de laisser  dire
dans la presse que l'on pourrait soupçonner une opération politique dans ce
rejet ; ce n'est, certes, pas pour nous rassurer, car les opposants ne
rejettent nullement l'objectif en lui-même et rêvent seulement de mijoter
une cuisine encore plus complexe. Pour ne pas avouer l'erreur initiale en
retirant purement et simplement le projet, il nous a été annoncé le 31
décembre qu'une autre mouture du texte serait présentée le 20 janvier.

C'est alors qu'une réjouissante  coïncidence s'est produite  à la
télévision le lendemain 1er janvier 2010 ;  elle montrait le cirque de
Monte-Carlo ; ce petit bout de territoire, qui offre un paradis aux étrangers
voulant échapper aux enfers fiscaux, est également célèbre pour son
cirque. Et chacun a pu voir en quelques minutes une ressemblance étrange avec
le cirque indéfiniment répété  de la « République Fromagère (R.F.) »
en France.

Un équilibriste est arrivé et ce fut en un instant un merveilleux spectacle.
Il se jucha  à deux mètres du sol et disposa une seule roulette. Son épouse
adorée lui jeta une première marche en bois et il monta sur cette marche
maintenant son équilibre  en combinant les contraires comme un quelconque des
40 ministres ou sous-ministres en vigueur ; et puis une deuxième planche, et
puis une troisième … jusqu'à la dixième.  A chaque nouvel étage, il
prenait le soin de nettoyer en quelque sorte la nouvelle marche : pourtant
c'était son épouse qui lui lançait l'objet et elle ne voulait certainement
pas lui « savonner la planche » comme cela se passe tous les jours entre
politiques de haut niveau ! Après avoir nettoyé, il gravissait la marche, on
ne sait comment, sans que tout s'écroule. En haut de la dixième marche
l'ovation fut fabuleuse.

Vint alors un exercice encore plus périlleux. Ayant détruit le travail
antérieurement  bien  fait, comme un quelconque des mêmes 40 ministres qui
refait sa copie, il entreprit ce deuxième exercice et empila
d'invraisemblables pièces roulantes les unes sur les autres lesquelles
avaient du mal à rester ensemble même sans lui. L'exercice précédent se
renouvela avec l'adjonction de simples planches jusqu'à le  conduire à se
hisser jusqu'à un sommet. Ce fut alors tout soudain l'effondrement : le
hasard le jeta par terre à la grande émotion du public et comme un
quelconque conseil constitutionnel l'aurait fait. Il avait du métier et pu
tomber avec grâce comme le font nos politiciens qui savent chuter avec
adresse même devant les juges les plus exigeants pour les autres. Tout
aussitôt il proclama qu'il remonterait, non  le 20 janvier, mais tout de
suite  et finalement il réussit son nouveau pari, sous une ovation immense.

Les ressemblances avec la « République Fromagère (R.F) »  sont
nombreuses avec quelques dissemblances.

Mêmes applaudissements de la foule devant l'habileté des acrobates.
Toutefois, dans le cirque monégasque, les spectateurs paient leur place avec
leur argent. Dans le cirque français ils sont conditionnés par la presse
dont l'essentiel  des recettes est due à la publicité publique, comme si
l'acrobate achetait lui-même les applaudissements.

L'acrobate du cirque privé ne peut réussir que grâce à un travail
incroyable et permanent sur des années. Idem dans la « R.F » ; le travail
d'équilibre est gigantesque et ses échos entremêlés remplissent
abusivement tous les jours les écrans,  les journaux et l'ordre du jour des
luxueuses, multiples et inutiles assemblées.

Sous l'angle des dépenses, du coté de Monte-Carlo, elles ne sont pas
immenses : un ménage et sans doute quelques auxiliaires avec en plus les
dépenses propres au chapiteau. Dans le cirque français, d'innombrables
acrobates  sont embusqués pour dériver en leur faveur la rivière argentée
que les esclaves-contribuables alimentent par la force de la loi. A ce sujet,
personne, semble-t-il,  ne met en lumière un fait important ; au coût propre
du cirque et à l'enrichissement fabuleux des acrobates, s'ajoute la
destruction de leurs propres talents ; ces acrobates sont souvent
intelligents, dynamiques et parfois diplômés ; autodidactes ou diplômés
ils consacrent leurs talents à un travail totalement destructeur et négatif.

Enfin le cirque de Monte-Carlo réjouit les spectateurs. Le cirque étatique
réjouit les seuls acrobates. Les millions d'autres subissent  les
délocalisations d'usines, le chômage, les salaires insuffisants,
l'écroulement des retraites et la désolante prospérité des restos du coeur
!

Michel de Poncins

LUNDI 4 JANVIER 2010

                                REMARQUE

               Les Flashs peuvent aussi être consultés

                           sur l'édition hebdomadaire de


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                                      lire

          L'avis de l'économiste Jean-Christophe Mounicq sur la crise

Les taxes actuelles sont du banditisme
Service de la dette
Dans tous les budgets de nos corps publics, au fédéral, au provincial au municipal, au scolaire, etc., il y a un item - et pas des moindres - qui n'est point du tout destiné à payer un service public. C'est celui qui porte la dénomination "Service de la dette".

Le dette n'est certainement pas un service public.
Bien plutôt le tribut à un asservissement public. L'argent attribué chaque année à cette fin ne construit ni n'entretient un seul pont, pas même un pouce carré de pavage.
C'est pourtant le point le plus sacré du budget. Le moins discuté, ou plutôt, pas discuté du tout. Dépense incompressible, dit-on. Incompressible, mais extensible car elle va généralement en grossissant avec les années. Tout ce qui a été construit au pays, en fait de routes, de ponts, d'écoles, d'églises, d'établissements publics, l'a été par la population du pays : les uns y travaillant directement, d'autres produisant ce qu'il faut en toutes sortes de choses pour répondre aux besoins de ceux qu'emploie le secteur public. Fruit, donc, du travail collectif de la population. Et pourtant, c'est la population du pays qu'on taxe ainsi chaque année, pour servir des intérêts à des gens qui n'ont nullement mis la main à l'ouvrage, qui souvent même sont de parfaits étrangers.
En cela, le mécanisme de la taxation est un mécanisme de vol. Légalisé, mais vol quand même.Toutes les cités, toutes les villes, tous les villages, ont dans leur budget cet item qui prend de force l'argent des citoyens sans rien leur donner en contrepartie.
Les voleurs font exactement comme cela. Avec cette différence que les voleurs, ceux que tout le monde appelle voleurs, agissent sans autorisation. Ils courent des risques : ils risquent la prison, le pénitencier. Tandis que les voleurs auxquels vont les taxes des citoyens ne risquent rien. Ils n'ont même pas à se déranger pour avoir le magot. Nos conseils municipaux, nos commissions scolaires se chargent d'exécuter le vol pour eux et de leur en passer dévotement le fruit. La police, les autorités, la loi, n'entrent en scène que contre ceux qui négligent ou qui refusent de céder ainsi leur argent. Le puni sera celui qui ose dire non aux agents des voleurs, aux percepteurs de taxes. Sa maison y passera. On ne lui dit pas tout à fait : "La bourse ou la vie !", mais : "Ta bourse, ou le chemin pour ta famille !"
I1 en va de même au gouvernement provincial. De même au gouvernement fédéral, ou c'est la prison pour celui qui ne veut pas se plier aux exigences des agents de ce vol légalisé. Développements publics
Même quand l'argent des taxes et des impôts sert réellement à payer des services publics, pourquoi taxer les individus pour payer les travaux, quand la capacité de production du pays peut fournir à la fois les développements publics et les produits à mettre sur le marché ?
Si la population du pays peut fournir les deux, il n'y a aucune raison de lui enlever le droit à des biens privés comme conditions pour lui permettre d'avoir des biens publics. Or, elle est capable de fournir les deux, quand il y a des centaines de mille bras qui s'offrent et dont la production dit n'avoir pas besoin. Une grande capacité de production n'est donc pas utilisée. Face à une capacité de production non utilisée, les taxes qui diminuent le droit des individus à des produits répondant à leurs besoins sont un vol.

Mesures de sécurité sociale

I1 y a aussi les impôts prélevés pour financer ce qu'on appelle la sécurité sociale : allocations familiales, pensions de vieillesse, pensions aux invalides, allocations aux mères nécessiteuses, etc.
I1 est certainement juste que, de quelque manière, chaque personne, employée ou non, bien portante ou malade, ait accès aux choses nécessaires à la vie. Mais dans un monde où la production abonde sans même employer tous les bras disponibles, pourquoi enlever aux uns pour permettre aux autres d'avoir quelque chose ? Pourquoi prendre dans l'assiette de Pierre pour mettre dans l'assiette vide de Paul, quand le garde-manger est plein à déborder ?
C'est pourtant cela qu'on fait financièrement, par les taxes, parce que le système financier est faux : il rationne devant l'abondance. Le maintenir et taxer devant l'abondance, c'est voler ceux que l'on taxe. Voilà donc encore une tranche des taxes modernes qui constitue un vol légalisé. Et il y en a d'autres.

Gouvernements hors de leur rôle

Les gouvernements aujourd'hui, et de plus en plus, entrent dans des fonctions qui ne sont pas les leurs propres. Ce n'est pas le rôle d'un gouvernement de faire ce que les personnes, les familles, les groupements libres, les corps intermédiaires, les administrations locales sont capables d'accomplir aussi bien et même mieux que le gouvernement. Si une entrave quelconque empêche les individus, les familles, les corps intermédiaires de bien remplir leur fonction propre, le gouvernement doit intervenir, non pas pour la faire à leur place, mais bien plutôt pour enlever l'obstacle que lui seul peut bien enlever. C'est le cas de l'obstacle purement financier. L'absence de moyens de paiement devant des moyens physiques puissants constitue un vice de finance.
Si, au lieu de corriger ce vice du système financier, correction qui ne peut bien être faite que par lui, le gouvernement taxe les citoyens pour se substituer aux familles ou aux corps intermédiaires, il commet plusieurs fautes. I1 néglige son rôle propre. I1 laisse le monopole financier se perpétuer et se fortifier. Il vole ceux qu'il taxe. I1 s'immisce dans ce qui n'est pas de son ressort. Le gouvernement se fait ainsi voleur en même temps qu'envahisseur. I1 donne comme excuse l'impuissance financière des groupements inférieurs, alors qu'il devrait supprimer la source de cette impuissance engendrée par un système financier mal ordonné.
C'est ainsi que le budget de la province de Québec a triplé ou presque en trois ans d'administration libérale (années 60). Et la dette publique a également triplé ou presque. Tout cela servi par les taxes, ou par des emprunts qui signifient des taxes à suivre.
Tous les gouvernements font de même Les contribuables se font pomper de plus en plus. Ce n'est pas seulement leur pouvoir d'achat qui en souffre. Leur liberté personnelle se fait gruger par les empiétements croissants de l'État et de ses bureaucrates.
Dans les conférences entre le Fédéral et les gouvernements provinciaux, il est surtout question de répartition des sources de fiscalité. C'est-à-dire décider quelle sera la part du fédéral et quelle sera la part des provinces dans l'argent à tirer des contribuables. Droits de taxer fédéraux et droits de taxer provinciaux. Les droits des citoyens n'entrent pas en considération. C'est pourtant pour eux qu'existent les gouvernements : pour les protéger, et non pas pour les dévaliser.
A quand une réunion des taxeurs et des taxés pour protéger les droits des seconds en limitant les pouvoirs des premiers ? Le vol légalisé que nous dénonçons comprend donc, au moins : Ce que le gouvernement soustrait de la population pour payer tribut au système qui endette la population à mesure qu'elle développe le pays ; Ce que le gouvernement enlève du pouvoir d'achat des individus, alors que la production offerte attend des acheteurs ; Ce que le gouvernement prend en taxes pour s'occuper de fonctions qu'il devrait laisser aux personnes, aux familles, aux corps intermédiaires ;
Tout ce qu'il prélève sur les fruits de la production actuelle, alors qu'une production potentielle demeure dans le néant par suite d'un système financier vicié que le gouvernement refuse de corriger ;
Tout ce que ce système de taxation comporte de frais onéreux qui seraient inutile sous un système de finance saine, conforme aux réalités de la capacité moderne de production. Dans le secteur public en même temps que dans le secteur privé. Le mécanisme actuel des taxes et des impôts, qui occupe tant les gouvernements, est donc bien un mécanisme de vol légalisé. Le voleur est surtout le monopole de l'argent et du crédit. Les agents du voleur sont les gouvernements. Les victimes sont les contribuables, c'est-à-dire, directement ou indirectement, toute la population.
Louis Even

J'ai découvert le Crédit Social grâce à une circulaire de 8 pages qui a été distribuée à la gare de Strasbourg au printemps 2005. Croyant au départ, à la lecture de la 1ère page, qu'il s'agissait d'une quelconque secte cherchant à répandre ses théories sous couvert de citations issues du Vatican et de la Bible enlevées de leur contexte initial, je me suis vite aperçu au fil de la lecture qu'il n'en était rien.
Cette circulaire explique à l'aide d'articles issues de la plume de M. Louis Even et Alain Pilote, le système bancaire, la création de l'argent dette avec toutes les conséquences néfastes sur la vie des gouvernements endettés et des peuples appauvris par le poids des taxes, tout celà avec des mots simples qui rendait la notion du Crédit Social accessible et compréhensible à "Monsieur Tout le Monde".
Cette circulaire m'a clairement ouvert les yeux sur le "mystère" de l'argent, sa création, et l'usage détourné qu'on font les financiers : les maux actuels ne proviendraient donc pas du système capitaliste en lui même, mais de l'outil qu'il utilise pour prospérer : l'argent en tant que but ultime (profit) et non comme simple instrument de comptabilité pour le commerce. Il m'a été enseigné au lycée que l'argent prêté par une banque provient de la fructification de l'argent déposé par d'autres épargnants sur les places financières (bourse, spéculation, obligation, etc...) : je sais maintenant que celà est faux. En fait, l'enseignement dispensé sur l'économie dans les écoles cherche à faire comprendre l'économie au élèves tel que le voudrait le système financier, afin qu'il ne soit pas remis en question par les générations à venir et qu'il puisse perdurer au profit d'une minorité le plus longtemps possible.
A lissue de la lecture de cette circulaire, j'ai cherché à en savoir plus sur le crédit social, grâce au site Internet http://www.versdemain.org. Ce site est encore plus explicite que la circulaire, surtout l'article "L'île des naufragés" et les extraits du livre "Sous le signe de l'abondance", : nul doute que le regard porté sur le système bancaire change !
Puissent davantage de citoyens être éclairés des vices du système financier actuel : les fondateurs et promoteurs du Crédit Social voient juste : le jour où la population aura conscience des réalités du système bancaire actuel tournées au profit d'une minorité, le Crédit Social sera demandé par le peuple défilant dans le Rue.
Tremblez, gouvernements complices du système bancaire vicié, vos jours sont comptés car la vérité finit toujours par triompher....
Damien



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Le CRÉDIT SOCIAL par Louis Even (SUITE et FIN promise)


17 mai 2005, par Renaud L a i l l i e r 
 [retour au début des forums]


Bonjour, je m'appelle Renaud L a i l l i e r, j'habite à Toulon. Je connais bien Louis Even. J'ai découvert le mouvement Créditiste, dont il est l'inspirateur direct, un jour, en ramassant inexplicablement sur le trottoir une page perdue, jaunie, sale et très abîmée du journal Vers-Demain que le vent avait poussé à mes pieds ! Louis Even est un pédagogue hors série. Beaucoup se sont exclamé après avoir lu Louis Even : "J'en ai appris plus en lisant Louis Even que trois ans d'études à l'université !". Les études financières ressemblent, par exemple, à un énorme volume intitulé : Histoire de l'Eglise, mais une fois lu ce gros volume (d'ailleurs fort ennuyeux et qui n'apprend rien d'essentiel), on se rend compte que l'on n'y parle jamais, ni du Pape, ni du Vatican, ni des cardinaux, ni des évêques, ni des curés, seulement quelque fois des enfants de choeur... Voici une bonne illustration de ce que l'on apprend en finances et système monétaire.


Avec Louis Even, l'on va directement au fond des choses les plus fondamentales ici bas. Il nous fait économiser beaucoup de temps et des errements sans fin dans l'abrutissement du verbiage politique qui nous éloigne des sujets de base. Je ne sais pas qui lira ces lignes. Mais je vous en conjure, lisez Louis Even (1885-1974) ses écrits sont de plus en plus d'actualité (j'écrit ceci le 17 mai 2005). Dans le Mouvement Créditiste (siège au Québec-Canada) il y a une version religieuse catholique très marquée qui (en France spécialement) irrite beaucoup de monde. Cette irritation n'est qu'un réflexe parfaitement injustifié. En effet, il ne faut pas faire attention à la "couleur de l'encre" si l'on lit quelque chose de fondamental et d'universel qui s'applique à tout le monde sans la moindre exception. Les athées, les agnostiques, les libres penseurs, ceux appartenant à toutes les religions et tous les partis imaginables, ceux qui sont sans religion ni philosophie d'aucune sorte, etc, ne bénéficient pas de la moindre indulgence de la part de l'administration fiscale, ni de leur banquier quand il en ont un, etc. Et, par ailleurs, tout le monde sait bien que les pays pauvres (rendus pauvres) sont écrasés de dettes impayables. Pour 1 dollar de dette en 1980 beaucoup de pays en ont remboursé 7 en 2002, et en doivent encore 4,5 en cette année 2002. Faut-il faire un dessin ? Qu'attend-t-on pour nous instruire avec Louis Even le promoteur du Crédit Social. Louis Even était un catholique, mais, à le lire, il fait peu de références à sa religion. Le Crédit Social qui fut découvert expérimentalement par l'ingénieur Ecossais Clifford Hugh Douglas (1879-1952). Quand on interrogeait ce dernier sur ses découvertes économiques expérimentales, il indiquait la plupart du temps à ses interlocuteurs de contacter directement Louiis Even, celui qui avait le mieux intégré l'essentiel de ses recherches. Alors ? Vite, mettez-vous à lire louis Even, et vous m'en direz des nouvelles. !

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Les taxes de trop

The Tax Poem

At first I thought this was funny...then I realized the awful truth of it.
Be sure to read all the way to the end!
Tax his land,
Tax his bed,
Tax the table
At which he's fed.

Tax his tractor,
Tax his mule,
Teach him taxes
Are the rule.

Tax his work,
Tax his pay,
He works for peanuts
Anyway!


Tax his cow,
Tax his goat,
Tax his pants,
Tax his coat.
Tax his ties,
Tax his shirt,
Tax his work,
Tax his dirt.

Tax his tobacco,
Tax his drink,
Tax him if he
Tries to think.

Tax his cigars,
Tax his beers,
If he cries
Tax his tears.

Tax his car,
Tax his gas,
Find other ways
To tax his ass.

Tax all he has
Then let him know
That you won't be done
Till he has no dough.

When he screams and hollers;
Then tax him some more,
Tax him til
He's good and sore.

Then tax his coffin,
Tax his grave,
Tax the sod in
Which he's laid.

Put these words
Upon his tomb,
'Taxes drove me
To my doom...'

When he's gone,
Do not relax,
Its time to apply
The inheritance tax.

Accounts Receivable Tax
Airline surcharge tax
Airline Fuel Tax
Airport Maintenance Tax
Building Permit Tax
Cigarette Tax
Corporate Income Tax
Death Tax
Dog License Tax
Driving Permit Tax
Excise Taxes
Federal Income Tax
Federal Unemployment (UI)
Fishing License Tax
Food License Tax
Gasoline Tax ( too much per litre)
Gross Receipts Tax
Health Tax
Hunting License Tax
Hydro Tax
Inheritance Tax
Interest Tax
Liquor Tax
Luxury Taxes
Marriage License Tax
Medicare Tax
Mortgage Tax
Personal Income Tax
Property Tax
Poverty Tax
Prescription Drug Tax
Provincial Income Tax
Real Estate Tax
Recreational Vehicle Tax
Retail Sales Tax
Service Charge Tax
School Tax
Telephone Federal Tax
Telephone Federal, Provincial and Local Surcharge Taxes
Telephone Minimum Usage Surcharge Tax
Vehicle License Registration Tax
Vehicle Sales Tax
Water Tax
Watercraft Registration Tax
Well Permit Tax
Workers Compensation Tax

STILL THINK THIS IS FUNNY?

Not one of these taxes existed 100 years ago, and our nation was one of the most prosperous in the world. We had absolutely no national debt, had a large middle-class, and Mom stayed home to raise the kids.
What in the hell happened? Can you spell 'politicians?'
And I still have to 'press 1' for English!?!?!?!?
I hope this goes around the world at least 100 times!!!!! YOU can help it get there!!!!  GO AHEAD - - - be an human !!!!!!!!!! SEND IT AROUND

Révélations de l' Allemagne !

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===EURO : PENDANT QUE LES GRANDS MÉDIAS ET TOUS LES PARTIS POLITIQUES (sauf l'UPR) GARDENT LE SILENCE, LA SITUATION CONTINUE D'EMPIRER===

En atteignant +906.941.417.444,22 € au 31 décembre 2017, le solde Target 2 de l'Allemagne dépasse les 900 milliards d'euros pour la première fois depuis la création de l'euro. 

C'est la Bundesbank allemande qui vient de le révéler : 

https://www.bundesbank.de/Navigation/DE/Aufgaben/Unbarer_Zahlungsverkehr/TARGET2/TARGET2_Saldo/target2_saldo.html

Au même moment, le solde négatif de l'Italie avoisine les -450 milliards d'euros et celui de l'Espagne les -400 milliards. (La France étant à peu près à l'équilibre)

Ces évolutions, qui confirment une nouvelle fois la justesse des analyses de l'UPR depuis dix ans, confirment par la même occasion que la fin inéluctable de l'euro approche.
----------------------
Les internautes qui ne sont pas familiers de nos analyses, ni de ce qu'est le solde Target 2, ni de ce que cela signifie quant à la non-viabilité de l'euro à long terme, peuvent se reporter aux nombreuses analyses développées par l'UPR depuis plusieurs années, et en particulier aux articles et vidéos suivants :

- 23 février 2012 : Pourquoi l’Allemagne envisage de sortir de l’euro ? https://www.upr.fr/vos-questions-nos-reponses/l_euro/pourquoi-l-allemagne-envisage-de-sortir-de-l-euro

- 20 décembre 2012 : L’euro est-il une monnaie commune ou une monnaie unique ?https://www.upr.fr/vos-questions-nos-reponses/l_euro/euro-monnaie-commune-ou-unique

- 19 juin 2015 : la conférence de Vincent Brousseau intitulée « L’euro avant, pendant, après », explique de façon très pédagogique ce qu'est le système Target 2, en particulier à partir de 1 h 36 min 05 secondes. https://www.upr.fr/conferences/vincent-brousseau-leuro-avant-pendant-et-apres

- 19 août 2015 : Ce que doit à ses consœurs une banque centrale qui quitte l’euro : La prime de sortie, par Vincent Brousseau. https://www.upr.fr/actualite/ce-que-doit-a-ses-consoeurs-une-banque-centrale-qui-quitte-leuro-la-prime-de-sortie-vincent-brousseau

- 14 février 2016 : Le graphique qui affole les européistes : « Target 2 », le retour !, par François Asselineau https://www.upr.fr/actualite/le-graphique-qui-affole-les-europeistes-target-2-le-retour

- 16 février 2016 : Pourquoi l'euro est condamné, par Vincent Brousseau. https://www.upr.fr/actualite/pourquoi-leuro-est-condamne

- 12 octobre 2016 : Les miracles d'Euro d'Alexandrie ont des limites, par Vincent Brousseau.https://www.upr.fr/actualite/france/miracles-deuro-dalexandrie-ont-limites-vincent-brousseau-responsable-national-questions-monetaires-passage-franc

- 26 décembre 2016 : Le crépuscule de l’euro, Targets : Le dégel de la pensée, par Vincent Brousseau https://www.upr.fr/actualite/crepuscule-de-leuro-targets-degel-de-pensee-vincent-brousseau

- 25 octobre 2017 : La sortie furtive de l'euro, par Vincent Brousseau. https://www.upr.fr/actualite/france/sortie-furtive-de-leuro-vincent-brousseau

- 28 octobre 2017 : Pourquoi le Frexit est-il si urgent ?, par Vincent Brousseau. https://www.upr.fr/actualite/france/frexit-urgent-vincent-brousseau

----------------------
CONCLUSION
---------------------
Le plus incroyable de toute cette situation, c'est qu'aucun grand média et aucun parti politique français - à part l'UPR - ne met en garde nos concitoyens sur cette inéluctable explosion à venir de l'euro, alors que cette explosion aura des conséquences d'autant plus graves sur notre économie et notre niveau de vie que la France n'aura pas su l'anticiper et sortir de l'euro à temps.

La connivence objective entre les dirigeants des grands médias et ceux des autres partis politiques, pour écarter tout débat national sur l'avenir de l'euro et pour tenir les Français dans l'ignorance de ce qui se passe vraiment, s'apparente à non-assistance à peuple en danger.

François Asselineau
6 janvier 2017

Monnaie-pleine: Uni de Fribourg, le 21.02

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 CONFÉRENCE

CAFÉ SCIENTIFIQUE : 

INITIATIVE MONNAIE PLEINE – 

PLEINE POUR QUI ?

En collaboration avec l'Université de Fribourg
CONFÉRENCE
Portes18:00 Début 18:00
De 18h00 à 19h30
Nous voterons bientôt pour ou contre l’initiative monnaie pleine qui veut rendre la Banque nationale seule responsable de l’émission de l’argent électronique. Mais comment débroussailler les enjeux pour tout un chacun ? Notre système doit-il vraiment être réformé et pourquoi ? Quelles seraient les conséquences pour notre porte-monnaie, nos entreprises ou les autres banques ?
Intervenants:
Prof. Sergio Rossi, Chaire de macroéconomie et d'économie monétaire, Unifr
Serge Gaillard, directeur de l'Administration fédérale des finances

Créations monétaires par Thomas Jordan

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Zürich mardi prochain 16 janvier.

"Comment la monnaie est créée par la banque centrale et le système bancaire"

par le Prof. Dr. Thomas Jordan, Président du directoire de la BNS


Die nächste Veranstaltung der Vortragssaison 2017/2018 findet statt am:

Dienstag, 16. Januar 2018, 18.00 Uhr, Pädagogische Hochschule Zürich, Gebäude LAA, Saal G001

Prof. Dr. Thomas Jordan
Präsident des Direktoriums Schweizerische Nationalbank
"Wie Geld durch die Zentralbank und das Bankensystem  geschaffen wird"

Gäste sind herzlich willkommen!

Trump & Davos

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The White House has confirmed that US President Donald Trump will visit Switzerland this month when he attends the World Economic Forum in the mountain village of Davos.
Trump will become the first sitting US president since Bill Clinton in 2000 to visit the WEF, a high-profile gathering of the world’s political and business elite which takes place this year from January  23rd to 26th.
In a statement on Tuesday, White House spokeswoman Sarah Sanders said Trump would attend in order to promote his ‘America First’ agenda, namely “American businesses, American industries and American workers”.
That seems a direct clash with this year’s WEF theme ‘Creating a shared future in a fractured world’, and indeed the whole ethos of the forum, which was set up in 1971 to help political and business leaders collaborate on global challenges. 
Last year’s summit, held around the time Trump was inaugurated, was attended by Chinese President Xi Jinping, who warned against the protectionist agenda pursued by Trump, saying globalization was “irreversible”. 
A spokesperson for the Swiss government told Swiss news agency ATS that President Alain Berset would meet Trump if he came to Davos. 
“A number of themes could be discussed, on a bilateral and international level,” said the spokesman.
Commenting on the news on its website, WEF said the presence of Trump “will allow participants to get a direct perspective on US political and economic priorities”.


Invitation just after Davos by the Gottlieb Dutweiler Institute & www.monnaie-pleine.ch

Invitation. Switzerland, an economic democracy


What is an economic democracy ? Swiss project partially based on Goldsborough Bill, an american project.

Invitation:  5 February 2018

Migros, one of the biggest swiss cooperative, belongs to the swiss people, why not the Swiss National Bank and the billions of the swiss francs illegal creation out of nothing by commercial banks?



BILL TO CORRECT MONEY CREATION IN USA IS PASSED BY HOUSE BY 289 VOTES TO 60; Goldsborough Measure Directs Reserve Board to Control Credit and Currency. 

This is an impressive document.  It articulates policy without specifying details.  It articulates:

1.       A sound rationale in its preamble for its authority to do so and concise reasons why it is needed – i.e. the precise cause of the gap.
2.       A restatement of Douglas’s principle that the purpose of production is consumption and that the best system is the one that gets goods into the hands of consumers as, when and if needed at the lowest possible cost.
3.       The basic framework for government administration departments is given;  Federal Credit Commission (FCC) and issue of debt-free money under the Treasury.
4.       Defines the just price mechanism by which the compensated price discount shall be calculated.
5.       The mandate to ensure no more credit is issued than can be supported by social credit – i.e. national productivity.
6.       A provision is made for dividends under the guidance of the FCC so that it can be properly factored with the compensated price (CP) in order to meet the policy objective of not causing inflation.
7.       Discount only applicable to consumers.

... more, 

https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzdTRGV05TSmw0dmx1QlRfM1BnRU1PMDEwd3Jv/view?usp=sharing


Winston Churchill summed it up so well:

“Who would have thought that it would be easier to produce by toil and skill all
the most necessary or desirable commodities than it is to find Consumers for
them? Who would have thought that cheap and abundant supplies of all the basic
commodities would find the science and civilization of the world unable to utilize
them? Have all our triumphs of research and organization bequeathed us only a
new punishment: the Curse of Plenty? Are we really to believe that no better
adjustment can be made between supply and demand? Yet the fact remains that
every attempt has failed. Many various attempts have been made, from the
extremes of Communism in Russia to the extremes of Capitalism in the United
States. They include every form of fiscal policy and currency policy. But all have
failed, and we have advanced little further in this quest than in barbaric times.
Surely it is this mysterious crack and fissure at the basis of all our arrangements
and apparatus upon which the keenest minds throughout the world should be
concentrated.” Winston Churchill (1930)

That “mysterious crack and fissure” is nothing more or less than a flawed cost accounting system that generates costs at a faster rate than it generates the means with which to meet them.  It is truly pitiful that one of his own countrymen, Douglas, had already brought it to the attention of many of the people in high office Churchill worked with, and yet he was so oblivious of, that he made these remarks.  The men who blocked the message to Churchill were the ponerologists of his day – men who were not their brother’s keeper, though they claimed to be so and were elected to do so.  Bob is spot on when he remarks “Today only a dimwit would deny that he got that right.  Alas, we are plagued by dimwits, and social sell-outs, aplenty in the political and economic spheres.”  The thing we are most dim about is the futility of the political process to affect change.  Lunatics are running the asylum.

Nothing will change until a critical mass of humanity wakes up to these basic truths and perceives their obvious fix.  Fill the GAP!  That should be our slogan.  Nothing else matters in relative comparison of importance.  We must help others to see this truth as best we can with the means at our disposal until the critical mass produces the needed combinatorial explosion.  ...

We are probably close to half way there right now.  Many more than that know exactly what the problem is – flawed banking lead by greedy sociopaths that want to rule the world.  But few know the fix.  Math gives me hope.


Sincerely, Dean

Douglas's/the social credit insight is summed up in the dynamically aware phrase "the rate of flow of total costs/prices exceeds the rate of flow of total individual incomes." In other words the problem is the dynamically dragging to a stop scarcity ratio between costs/prices and individual incomes....and the resolution of that problem is an inversion and transformation of that ratio....into an abundance ratio....

Steve H.

and see below...

Our Money, Our Banks, Our Country

5 February 2018
Money Creation in the Modern Economy
Switzerland is the most prominent semi-direct democracy today, with regularly occurring, publicly initiated and then binding referenda. In 2018, a referendum will be held to change the national constitution mandating a change in the monetary/banking system into a Chicago-Plan Style (Vollgeld). Although this has been studied for decades, no jurisdiction has yet taken action. The purpose of the conference is to examine this topic from all viewpoints and create a discussion among global experts as to the impact of this change in today’s economic environment.
  • How is money created in the general economy today?
  • Have the measures introduced since the global crash of 2007/2008 stabilized our banking system?
  • Why are debt levels increasing exponentially?
  • How has the structural monetary/banking system fundamentally changed over the last 50 years?
  • What are the social ramifications of this fundamental change?
  • Is a radical rethinking of our system feasible or is it only a pipe dream?

Information

Students and professors: 25 CHF, contact vollgeld@gdi.ch and send the credentials as PDF.
Date : 5 February 2018
Price : Full price: 650 CHF
GIC and CFA Members. Voucher code can be requested through Colleen Murphy for GIC and info@swiss.cfafor CFA.

GIC and CFA Members: 325 CHF

The conference fee includes all food and beverages. Participants registering less than two weeks before the event can pay by credit card only.

Event location GDI Gottlieb Duttweiler Institute 

Langhaldenstrasse 21
CH- 8803 Rüschlikon

( Gottlieb Duttweiler was +  the Founder of the Migros Coop. ).
Further

Languages:  German/French/English (simultaneous translation)


Changes to the programme

The programme is subject to change. If an event does not take place, fees will be refunded. Further claims are ruled out.


Cancellation

If you are unable to attend, please let us have your cancellation in writing. The fee will be reimbursed on cancellation thirty or more days before the event. After this term and until five full working days prior to the event we will charge 75% of the fee. In the event of later cancellations we will charge the full participation fee. Substitute participants welcome.


Hotel reservation

To benefit from special rates, please use the following email adresses and refer to the following code: VOLLGELD2018

Hotel Sedartis, Thalwil: info@sedartis.ch

Hotel Belvoir, Rüschlikon: info@hotel-belvoir.ch


Transport

There will be a free shuttle bus service between the GDI and the Hotel Sedartis Thalwil and Thalwil train station.



Positive money in Switzerland , Vollgeld , monnaie-pleine ?

A BILL
To provide a national monetary policy which will have a definite relation­ship to the requirements of domestic industry and trade under the condi­tions imposed by our power economy, which will enable the maximum production and consumption of needed and wanted goods and services to take place within the limits of domestic productive capacity, which will ensure the maximum delivery of needed and wanted goods and services to indi­viduals, and for other purposes.
Be it enacted by the Senate and House of Representatives of the United States of America in Congress assembled,
TITLE I – COMPENSATED RETAIL PRICES
Declaration of Policy
SECTION 1. Whereas it is the Constitutional prerogative of Congress to create money and regulate the value thereof, and whereas book entries represent­ing bank liabilities to their depositors, loan customers, or other owners or holders of such accounts have the force and fulfill all the functions of money and are hereby declared to be money, and whereas the value of money is its purchasing power over goods and services and all other forms of prop­erty or property rights or evidence of ownership of such rights and property, and whereas the purchasing power of money varies inversely with the price of such goods, services, property and property rights, and whereas under existing law regarding the creation of bank deposit liabilities and under existing law and custom with regard to private ownership, contract and in­debtedness the total sum of prices for goods and services produced tends to outrun the total amount of money available to buy them except at a financial loss to the producers of such goods and services, it is hereby declared to be the policy of Congress to adjust and control the volume of money so as to keep it equal at all times to the total sum of prices for goods and services on sale plus the total sum of the properly accounted unliquidated costs of goods and services in process of production in order to facilitate the maxi~ mum delivery of goods and services to the people of the United States in conformity with their desires and with the productive capacity of the national economy.
SECTION 2. In pursuance of such policy national currency notes are to be issued for financing a discount on prices to consumers at retail, as herein­after provided.
SECTION 3. As used in this title—
(a) The term "national currency notes" means United States currency legal tender in payment of all debts and taxes but not available to banks us
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part of their cash reserves against deposit liabilitieexcept on dollar-to-dollar ratio to aequivalent sum of their deposit liabilities.
(b) Thterm "retail discount" meanpercentage figure, to bdeter­mined by thFederaCrediCommission and published bthSecretary of thTreasury as hereinafter providedwhicmay be applieas a discount on thprices of goods and services offered by retailers to ultimate consumers.
(c) Thterm "compensated price" means thretaipricof goods and serviceafter the application of thretail discount. Sales of second hand goods will not be eligiblfor thretail discount.
(d) Thterm "retailermeans any seller ogoodsincludindwellings and services, to ultimatconsumers who are natural persons, for their individual or family use and not for resale, and also includes serviccorporations insofaas they supply serviceat retail to thpublic for personal or family use.
(eThterm "servicesmeans passenger transportation, distribution to homes of gas and electricity for domestic purposesrental ohomes, hospi­talizationmedical careeducationtheatricaentertainment, and any other professionaor non-professional services that may bsupplieby individuals, partnerships, or other organizationsprovided that the prices charged for all such servicearbased upon accepted principleof cost accounting.
(f) The term "national credit" means thamount of national wealth againswhich money may safely bissuewithout resulting in inflationary priclevels.
(g) Thterm "national credit account" means an account in thTreas­ury of the United States against which national currency notemay beissued for the purpose of giving effect to the provisions of this Act.
Determination of Retail Discount
SECTION 4.
(a) Beginning ninety days after thpassage othis Actthe retail dis­count for eacquarter shall be determined by the Federal Credit Commission and proclaimed by thSecretary of the Treasury on the first day of each quarter or at such other times as the Federal Credit Commissioshall recommend.
(b) Upon thpassagof this Act and until thretail discount ideter­mineand proclaimeaabove provided, thretail discount shall be 20 pecentum. Thereafter thretail discount shall bthapercentage which thdifferencbetween thmoney value onational productioand that of nationaconsumptiobears tthaonationaproduction. National produc­tioshall include all additions to existinvaluethat may bproduced in whatever categorof production, and shall includimports, but shall not includwrite-upof existinphysicacapital.National consumption shall includretail sales, but at thuncompensateretail price level, exportsanpropeallowances for depreciation, waste, and obsolescenceIn arriving at thesfigures only existinpriceand priclevelshall bused, in order that thproductioand consumptiovalues expressed shall alwaybe measured in terms of the existindollar.
(c) If nationaconsumption as hereabove described shall at any time ex­ceed nationaproduction no retail discount shall be proclaimed. After each proclamation of thdiscount thdata used in thdetermination thereof shall bmada matter of public record.
(dAfter thpassagof this Acand in the event of any subsequenAct
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by which Congress should authorize that direct payments tindividuals be made from the national credit account but not in settlement of retail dis­count vouchers, theall such payments shall bcalculateby the Federal Credit Commission as aadditioto national consumption during the period in which thearto bpaid.
(e) It shall bunlawful for any member or employee of the Federal Credit Commission to disclosthretail discount or aninformation re­ceived or employed in connection with thdetermination of the retail dis­count before said discount shall have been proclaimed bthSecretarof thTreasuryWhoeveviolates any provision othis subsection shall be dis­missed from such membership or employment and shall bpunishedupon conviction of such violationbfine of not more tha$1,000 or imprison­ment for not morthan one year, or both.
Application of Retail Discount
SECTION 5After thpassage othis Act thretail discount shall bapp­licable to purchaseof goodand services from retailers as definein this Act, madbconsumers who arnatural persons, for thpersonal usof the consumeor his family and not for resale, trade, or manufacture. The application of said retail discount in trade shall be evidenced bsuitable vouchers or forms prescribed bthe Secretary of the Treasury. Said vouch­ershall bused in reimbursinthretailer for selling goods and services at thcompensated price. Thintent of thiAct itprovide a continuous settlement through thbanks to retailers for sales at thcompensated pricas provided in section 7 of thititle.
Contracts and Regulations
SECTIO6.
(a) No retailer shall be entitled to compensation on sales at thdiscount unless hhaapplied tthSecretary othe Treasurfor, and has received, a certificatof authority or licenseand has agreed to conform to such regu­lations as to cost accounting and maximum ratof profit on turnover of sales as shall be determined by thSecretary of thTreasury after public hear­ings opeto all interesteparties. It shall be thedutothFederal Credit Commission tbrepresented asuch hearings, to defend the general inteest of the consuming public, anto subordinate all questions of special interestto that of the nationacredit as defined in this title. Decisions of thFederaCredit Commission as to the nationacredit shall bfinal.
(b) ThSecretary of thTreasurmay suspend or revoke any certificatof authoritor license issued by hito any retailer, after reasonablenotice and opportunity for hearintthretailerupon satisfactory evidence that the said retailer has not conformed tthe regulationunder which his cer­tificate or license has been issued. An order suspending or revoking the cer­tificate of license issueby thSecretary shall bfinaanconclusive unleswithin ninety days after its service the retailer appeals to the circuit court of appeals for thcircuit in which he is doinbusiness bfiling with the clerk of said court a written petition prayinthat thordeof thSecretary be set aside. Such order shall be stayed pendinthe disposition of appellatproceedings by thcourt. Thclerk of the court in which such a petition is fileshall immediately cause a copy thereoto bdelivered to the Secretary and he shall forthwith preparecertify, and filin the court a full and accu-
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rate transcript of the recorin thproceedingheld beforhim undethis subsectionthchargesthevidence, and thorder suspendinor revokinthe certificator license. Upon thfiling of thtranscript thcourshall have jurisdiction taffiror seasidthorder of the Secretary or tdirect him to modifhis order, and thfindings of the Secretaratthfacts, if supporteby thweight of evidence, shall bconclusive.
(c) Whoever falsifies anaccount relatintthe issuance of thdicount at retail, or thgoodpertaining thereto, shall be guilty of a misde­meanor. Whoeveby collusion falsifieaccountarisinin thcosts opro­duction and distribution tthretailers shall be guilty oconspiracy to defraud. Whoever violates any provision of thisubsectioshall be punishedupon conviction thereof, by a fine onot mortha$1,000 or imprisonment for not morthaone year, oboth.
Compensation of RetailerThrough Banks
SECTIO7.
(a) Iorder to compensatretailers for their disbursaothretail discount, all bankithe United States, itTerritories, and possessions, egageiinterstate commerce, are hereby authorizeand directed to accept all voucherevidencindisbursal othretail discount andincluded in thregular deposits of their customers who hollicenseto disburse the dis­count, and to honosucvouchers as ithey were cash deposits, in the amounof thdisbursals evidenced thereby.
(b) Banks entering credits to depositors oaccount of retail-discount vouchers shall charge them to their nationacurrency notes account,and the Secretary of thTreasury, or his agentshall deliver to saibanks, on re­quest, national currency notes to a facvalue equivalent tthe amount of the retail vouchers entered in the bookothe bank. Thbanks shall bentitled to make a reasonablserviccharge tsuch depositors for the services renderedThamount osuccharge shall bfixed bthFederaCrediCommission.  
(c) Retailersdeposit accounts writteup bthmethod hereipro­videshall btreateby all banks as part of their circulating depositjustas if thwrite-up haoccurred through thdiscounting of their customers' own notes, and thcheckdrawagainst theshall circulatin the usuamanner.
(d) Anperson whmakes a false entry oa retail discount voucheror who presents falsretail discounvoucher tbank fodeposit, or anretailewho manipulatehisaletotals in obtaininsettlemenof thcom­pensateprices shall be punished, upoconvictiothereof by a court of competent jurisdictionby a finonomorthan $10,000 or bimprison­ment for not morthan two years, obothand in addition hilicenstdispensthdiscounshall be revoked.
TITLII – FEDERAL CREDIT COMMISSION 
Organization oCommission
SECTION 201.
(aTcarry out thpurposeof this Act theris herebcreateFeeral Credit Commission (referred tithis titlathe "Commission").The Commissioshall be composed of seven Commissionerwho shall bap­pointed bthPresident by anwith thadvice and consenof thSenate.
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No person shall be eligiblfor appointment as Commissioner unless his citizeof thUniteStateand in thjudgmenof thPresident qualified tdeveloexpert knowledgoeconomic, industrial, and statistical problems antperform efficientlthdutierequireby this Act. Not morthan four of thCommissioners shall be members of thsampolitical party. Terms oofficothe Commissioners shall expireadesignateby thPresident, one at the end of each of the first seven years after the pasagof thiActThterof office of successor shall expire seven years from thdate of the expiration of the term for which his predecessor waappointed, except that anCommissioner appointed to fill a vacancy occur­ring prior tthe expiration of thterm for which his predecessowas appointeshall be appointefothremainder of such term. Commissionershall beligiblfor reappointment and shall receive a retirinpensioo$2,000 peannum for eacyear of service, but not in excess of $14,000 per annum.
(bThCommissionershall bex-officimemberof thFederal ReservBoard.
(c) ThPresident shall annually designatonof the Commissioners to act aChairmaof thCommission. Each Commissioneshall receive a salary of $20,000 peyear. NCommissioner shall engage in any other busi­ness, vocation, oemployment than thaof serving aCommissioner.
(d) ThCommissioshall havauthorittemploy and tfithcom­pensation osuch special experts, examiners, statisticians, clerks, and otheemployees ait may from timto time find necessary for the proper per­formancof its duties.
Duties of the Commission
SECTIO202.
(a) Theris hereby created an account in thTreasury of the United States to bknown as thnational credit account. This account shall bcredited frotime ttime at thdirectioof the Commission with thdif­ference between thdollar value of thnational production and that of thnational consumption, as determined by the Commissionwhen the value of thnational production is greater than that of thnationaconsumptionAt the end oeacperiod thamount in thnationacredit account which shall not have been drawn upoin that period shall bwritteoff. If beforthenof any period thnational credit account shall havbeen entireldrawn downwhilretail saleanbank acceptanceoretail sales vouchers arcontinuinathauthorized retail discount, thCommission may at itdis­cretionempower thSecretary of thTreasurto continutissunationacurrency noteupon thdemand of the banks until further noticfrom thCommission and such additionacurrency will not ba charge upon thnationacredit account in anfuturperiod. The Commission maalsrduce or suspenthretail discount beforthexpiration of any period in accordancwith later figures for national productionand consumption which may bin itpossession.
(b) ThCommissioshall use all reasonablways and meanto determine thretail discount aaccurately as possible strictly in accordancewiththmethodprescribein section of title I of this Acand without any extraneous influencor advice. Thdecisions of thCommission as to thretail discount shall bfinal.
(c) ThCommission shall establish and maintain a statistical bureau to
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collect and coordinatthe data necessary for carrying out thprovisions of this Act and shall bguided in its decisions by thfacts disclosed.All statistical departments of thFederaGovernment shall furnish sucaid and information as may brequired bthCommission. The Commission shall have authority to call for data and statistics froall economic organizations, tradassociations, and private businesswhich may be required in thjudg­ment of thCommission for carrying out the purposes of this Act.
(d) It shall bthduty of thCommission tfithe service charge for handlinof retail discount vouchers by thbanks for their customers as prescribed in this Act.
(e) It shall also bthduty of thCommission to hold hearings upon and to givpublicity to thearnings of wholesalers, manufacturers, primproducers, and commodity speculators, and trecommend tCongress remedial legislation or special tax measurewith respect to sucearningif in thjudgment of the Commission they arderived from an unnecessary rise in factory, raw material, or wholesalpricewhich by unduly raisinthe dollar valuof thnational credit account would causit to contributto an artificially sustained inflation and unfair distribution of the total na­tional income to thdisadvantage of any class or section.
Interference with Functions of thCommission
SECTION 203. (a) It shall bunlawful for any person –
(1) To prevent, or attempt to prevent, by force, intimidation, threat, promise, or in any other manner, any member or employee of thCommis­sion from exercising thfunctions imposed upon thCommission;
(2) To induce, or attempt to induce, by likmeans, any sucmember or employee to make any decisions or order, or to takany action with respect to any matter within the authoritof the Commission; or
(3) To induce, or attempt to induceblikmeans, any such member or employeto disclose any information whateveexcept through thchannels provided in this Act.
(b) Whoever violateany provision of this section shall be punished, upon conviction of such violationby finof not more than $1,000 or im­prisonment for not more than one year, or both.
TITLE III – GENERAL PROVISIONS
SECTION 301. Any person who violates any of the provisions of this Act shall, in cases where no other punishment is expressly provided in this Act, be punishedupon conviction thereof, by fine of not more than $1,000 or im­prisonment for onyearor both.
SECTION 302ThSecretary of thTreasuriauthorized to make such rules and regulations as hmay deem necessary to carry out the provisions of this Act.
SECTIO303Therarhereby authorized to be appropriateannually such sums as may bnecessary to carry out thprovisions of this Act.
SECTION 304. All laws and parts of laws inconsistent or in conflict with the provisionof this Act are hereby repealed to the extent of such inconsistency or conflict.
SECTION 305. If any provision of this Act, or thapplication thereof to any person or circumstanceis held invalid, the remainder of the Act, and the
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application of such provision to other persons or circumstances, shall not be affected thereby.

 *     *     *

Let one further word be added on the questioof the automatic cancella­tion of consumer credits. H. L. Northridgea SociaCredit technician, writes:
If the [B] theorem is true aallit itrue continuously. So long as thpresent systeof industriaaccountinis maintained (and Social Creditat least, doenot propose to alteit), slonwill it be impos­sibltrecover in full each cyclof productiocredit. It will thereforenot bsufficient tliquidatindustry's presendebt ban issue of con­sumer credit; every futurproductiocyclwill requirfresh issueof consumecredit if thproduction credit initiatinit ito brecovered in full. In other words, every futurproductiocycle will producan increment of debt, i.e."cancellation power," and it is this continuous stream of cancellation power that ithjustification for a continuous stream of consumer crediand the guarantee for itcancellation . . .  Thquestion of special machinery for retiring consumer credits does not arise at all, if their issuis properlrelated to the ascertained defi­ciency of purchasinpower.

As thmatter has sometimes been put, when consumer credits meet pro­ducer debts, it is lika positive chargof electricity meeting a negative charge. Thtwforces neutralizeach other and vanish. 

...


In this chapter "motivateeconomy" was defined only in termof con­sumer motivation, but it means producer motivation as well. Thfollowinexcerpt from thprospectus of thAmerican Social Credit Movement, 1133 Broadway, New York, 10, N. Y., includes both types of motivation: 
The object of Social Credit is the creation of a new democracy.
Social Credit will bring about economic democracy so that the promise of political democracy which inspired our forefathers can be fulfilled.

What is economic democracy? Many talk about it in a superficial way. Social Credit gives a clear fundamental answer. Economic democracy means that the individuals in society are gaining increased individual control over their material environment. Specifically it means that the individual is (1) able to command by increased purchasing power a greater amount of personal consumption-goods, and (2) able to exer­cise a greater choice in the productive occupations he wishes to enter. The tests of economic democracy are a rising standard of living for all and expanding opportunity for productive activity either in employ­ment or in leisure. The theory of democracy is that society is organized for the welfare of the individual. Social Credit is ultra-democratic and individualistic. Its goal is not the Regimented Work-State (cf. Russia, Germany, Italy) but the Leisured Society.
Douglas's second principle for financial redesign, "that the credits re­quired to finance production shall be supplied, not from savings, but be new credits relating to new production," does not say that these new producer­ credits should be created by the State. They could be, but they could just as well be bank credits as now. That would not matter, since the application of Douglas's first principle of cash credits of the population being collec­tively equal to collective cash prices for consumable goods would neutralize the bad effects of the working of the A B Theorem. His second principle is intended to obviate money shortages arising from savings and investments in fresh production.
CH. Douglas's most important books are Economic Democracy, pub­lished by Cecil Palmer, London, in 1920, Credit-Power and Democracy, published in 1920 by Cecil Palmer, London, and The Monopoly of Credit, published by Chapman and Hall, London, in 1931. Credit-Power and Democracy includes a Draft Scheme for the British Mining Industry, one of Douglas's very few blueprints of applied Social Credit. His first book, Eco­nomic Democracy, was published in America, too, hut has long been out of print. Another book of his, Social Creditwas brought out in a revised edi­tion in America (W. W. Norton, 1933) and carries as an appendix the Draft Scheme for Scotland. This last scheme inspired the drafting of a bill by the New Economics Group of New York which came to the attention of Congressman T. Alan Goldsborough, and with some modifications was in­troduced by him into Congress on August 23, 1935the day Aberhart swept the Alberta elections. A two-day hearing of this bill occurred the following spring. In 1937, after making further modifications, Congressman Golds­borough reintroduced his bill, and this timthere were protracted hearings at which testimony was given by Major L. L. B. Angas, James H. R. Crom­well, Professor Walter E. Spahr, and a number of others, the Social Credit point of view being presented by myself. Under the title of Monetary Policy of Plenty Instead of Scarcity: Hearings before the Committee on Banking and Currency, House of Representatives, Seventy-fifth Congress, on H.R. 7188, the testimony running to 611 pages was published by the United States Government Printing Office, Washington, D. C.
From a Social Credit point of view, thGoldsborough bill was loosely drawn in several places; it was revised by thTechnical Studies Depart­ment of the American Social Credit Movement, and the text they circulated
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among their members is reprinted below. This draft does not make provision for a specific issue of National Dividends, but sub-section (d) of Section 4, Title 1, anticipates subsequent Congressional action for National Dividends. A careful study of this bill will supply the answers to many questions relating to details of administration that no doubt sprang to the reader's mind after his first perusal of the Douglas blueprint for a producer-and-consumer motivated economy....


https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzclZ1TUhyWDFTaWQxVXJybThzam1MZWEyMDVB/view

FAIR USE CLAIMED FOR NON-COMMERCIAL AND STUDY PURPOSES ONLY

Excerpts from Gorham Munson, Aladdin’s Lamp:  The Wealth of the American People (New York:  Creative Age Press, 1945) 

THE AUTHOR'S WORKSHOP


This is an impressive document.  It articulates policy without specifying details.  It articulates:

1.       A sound rationale in its preamble for its authority to do so and concise reasons why it is needed – i.e. the precise cause of the gap.
2.       A restatement of Douglas’s principle that the purpose of production is consumption and that the best system is the one that gets goods into the hands of consumers as, when and if needed at the lowest possible cost.
3.       The basic framework for government administration departments is given;  Federal Credit Commission (FCC) and issue of debt-free money under the Treasury.
4.       Defines the just price mechanism by which the compensated price discount shall be calculated.
5.       The mandate to ensure no more credit is issued than can be supported by social credit – i.e. national productivity.
6.       A provision is made for dividends under the guidance of the FCC so that it can be properly factored with the compensated price (CP) in order to meet the policy objective of not causing inflation.
7.       Discount only applicable to consumers.

My only concern is that the CP is mandated to be via vouchers.  With our modern debit and credit card systems, it would be far better to just let retailers set their price and for consumers to have their accounts directly credited with the CP – as long as the issuing financial institution  (FI) is a domestic bank.  This will take businesses out of the equation for all electronic funds transactions. For payments by cash or cheque, the sales receipt can be presented to bank tellers for “deposit” and banks can use them to obtain credits from the FCC or the Treasury.  Upon further consideration, a voucher as envisioned by this act might be the best policy.

In order for FCC to properly compute the just price, it needs to know from each business:

1.       the exact level of retail consumer sales for the fiscal period
2.       the exact amount it spent on wages, earnings and dividends – it’s A costs
3.       the exact amount it spent on all other costs of sale – its B costs.

This must be reported by all businesses.  It is not much different than what is already done today.  All the requisite information is already tabulated for the purpose of computing business profit and subsequent tax liabilities.  It will be a simple matter to deduce these three numbers.  Appropriate punishments for non-compliance are warranted.

One thing I feel strongly against is section 201, Title 2 (b) where commissioners are ex-officio Federal Reserve Board.  Absolutely not!  We want people with demonstrated expertise in Social Credit economics.

I am not at all certain about the merits of section 202 (a).  It seems like flawed reasoning and not is step with the just price mechanism as I understand it – particularly the part about writing off the national credit.  If there is a shortage or surplus, it will not just go away.  It needs to be deliberately dealt with by way of adjusting the dividend and/or CP.  This sounds like a scenario where politicians tried to legislate a solution out of their depth. 

I don’t believe the penalties under section 203 are evenly remotely stiff enough.  These are essentially acts of treason that serve to undermine the very stability of our society.  Ditto for acts of malfeasance by FCC employees and/or third parties.

The R. L. Northridge quote on page 269 is particularly apropos and should be incorporated in the legislature preamble as the concrete justification for all of this in the first place; particularly the notion that it must be continuously be replenished and is not a one-time dispensation.

In general, I like how concise this is but again, I encourage everyone to consider all of the aspects raised in the specific recommendations of Liam Allone’s Economic Cures book.  It incorporates other important aspects not envisioned by this legislation – such as import/export and trade, incorporation of Jury as a fourth pillar of power that will trump the executive, legislative and judicial branches as the final recourse for We the People.  The rogue behavior of the present out-of-control three branches of governments everywhere are more than adequate justification for such a measure that needs to be enshrined in law.  A stable chair stands on four legs – not three.  Here is an excerpt from that book FYI.  Let me preface it with one remark.  It calls for eliminating the banks’ ability to issue money.  I back away from that stand because the simple truth is that interest is just profit.  That is not to say that I think any aspect of this proposal is unworkable.  Rather, I just think such a constraint is unnecessary.  What is necessary is that the gap be filled – period, end of story. 

The hyperlinks in the following web page clearly distinguish the original constitution, the revisions since its inception and the proposed revisions.  The original text that has been modified by proposed revisions are clearly cross-linked with the amendment – as are the actual amendments that have also been modified.

The cornerstones of this are:

1.       The law of love – do unto others…
2.       Jury enshrined as the supreme pillar of government.
Sincerely,

Dean


Here are some possible sources:




Monnaie pleine, courte vidéo de G. Foucher

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Urgent, radio, ce soir, 20h00

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Comment combler l'écart entre le petit pouvoir d'achat et les grandes productions automatisées ?

Une heure d'émission du Miroir des sciences d'Aligre FM 93.1 ce soir est consacrée aux monnaies locales complémentaires et citoyennes, avec notamment Philippe Derudder, et le cap 2018 du projet à Paris  
Pour suivre en direct => http://aligrefm.org

L’image contient peut-être : personnes assises
Une monnaie pour Paris
Pour découvrir le cap 2018 d'Une monnaie pour Paris on vous donne rendez-vous ce soir à 20h, dans l'émission « Le Miroir des Sciences » sur Aligre FM 93.1 !
Radio libre d'Île-de-France depuis 1981, fréquence 93.1 à Paris & IDF et sur http://aligrefm.org partout !
« Le Bou'SolLe StückLa Pêche, monnaie locale citoyenne francilienne et la Monnaie Locale Citoyenne: La Gonette sont les invitées virtuelles du Miroir des sciences, avec, pour en parler :
– Philippe Derudder, depuis le Québec, où sont nées les initiatives de Systèmes d’échange locaux dans les années 80
– Christophe Fourel, responsable de l’analyse stratégique au Ministère des affaires sociales et co-auteur du rapport « D’autres monnaies pour une nouvelle prospérité » en 2015.
– Lucas Rochette-Berlon, co-président de l’association « Une monnaie pour Paris ! »
– Maxime Chipoy, responsable d'une banque en ligne, AMF et UFC-Que Choisir. »
Belle année 2018 à vous !
http://aligrefm.org/p…/les-emissions/le-miroir-des-sciences/
https://miroirdessciences.wordpress.com/…/monnaies-locales…/


Le magazine Les Mondes du futur explore les pistes qui nous mènent vers le monde de demain. Cette recherche fait une large place aux témoignages des acteurs de terrain, des ingénieurs, des universitaires ou des sociologues, qui agissent aujourd’hui pour penser et préparer le futur.
Avec nos invités, nous réfléchirons sur le sens de notre société, de son état présent et de son devenir. Nous chercherons à donner la parole à des intellectuels, des responsables à différents niveaux de la société. Nous tenterons aussi de susciter aussi le témoignage des personnes « sur le terrain ». Nous privilégierons des invités peu fréquents dans les média.
Au fil des numéros, nous nous interrogerons sur des questions comme :
  • Que mangerons-nous en 2030 ?
  • Les Etats-nations sont-ils condamnés à disparaitre ?
  • Que nous apporte la mondialisation de l’Arctique ?
  • La ville durable peut-elle réduire ou accentuer l’égalité entre les groupes sociaux et en particuliers entre les femmes et les hommes ?
  • Comment retrouver le temps long grâce à la prospective ?
  • Quel visage démographique pour la France de 2030 ?
  • Littérature d’anticipation et science-fiction, quel regard sur le monde ?
Une émission de François Legrand, Florent Detroy et Nicolas Mignerey.

Les intérêts composés manquants

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Les faits, qui sont têtus, les comptabilités, et leurs analyses, démontrent qu'il y a notamment un écart grandissant entre le pouvoir d'achat réel et les prix des productions.

Les intérêts composés sont des exponentielles qui rendent les inégalités de plus en plus grandes en fonction du temps, exponentielles qui tuent des humains.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/10/banques-exponentielles-mortelles.html
Un écart que monnaie-pleine pourra facilement combler. http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/01/l-ecart-entre-les-prix-et-le-pouvoir.html Les intérêts composés manquants exponentiels sont aussi traités ici https://blog.rom1v.com/2011/12/comprendre-le-mystere-de-largent-et-le-probleme-des-interets-manquants/

De plus, les paradis fiscaux sont des boîtes noires pleines de liquidités qui ne reviennent pas dans les circuits réels, sans oublier les banques de l'ombre où se cachent des milliards qui sortent du réel. http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/05/financement-du-revenu-de-base.html

L'observatoire de la finance à Genève, dirigé par le Prof. Dembinski, a démontré que les flux financiers quittent massivement le réel pour partir dans le spéculatif.d'un commerce de promesses toujours plus repoussées dans un futur d'une catastrophe démographique , une chute contrairement aux prophètes aveuglés par les manipulateurs et autres spin docteurs...

Libérons les monnaies de l'inflation et des taux d'intérêts.

La monnaie est à l'économie ce que l'eau ou le sang est à l'être humain.

par + MARGRIT KENNEDY +

http://www.kennedy-bibliothek.info/data/bibo/media/GeldbuchFranzoesisch.pdf

http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/11/demographie-du-japon.html et https://www.cairn.info/revue-projet-2014-6-page-11.htm

Fausse monnaie aux USA !

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Résumé:

En 1969, Jérôme Daly contre sa banque, Jugement aux USA, Minnesota, 

Sans ce contrat d' hypothèque, y a-t-il 2 contrats légitimes ? 

Non car l' argent n'est pas la propriété de la banque, mais créé du néant...

Donc, il n'y a pas de contre-partie légitime

Le jury a déclaré que ..." Seul Dieu peut créer de rien..."

Solution au problème.

Les banques veulent saisir votre bien immobilier: attaquez les en justice !

« En 1969, un cas à la cour d'affaire du Minnesota, à impliqué un homme nommé Jerome Daly qui récusait la saisie de sa maison par la banque qui lui avait fait le prêt pour l'acheter. 
Son argument était que le contrat d'hypothèque exigeait que les deux parties, lui et la banque, aient chacun établi une forme légitime de propriété pour l'échange. 
Dans le jargon légal, ceci est appelé contrepartie [base d'un contrat. un contrat est fondé sur l'échange d'une forme de contrepartie pour une autre.] M. Daly expliqua que cet argent n'était pas, en réalité, la propriété de la banque. Car il était créé à partir de rien au moment de la signature d'accord du prêt. Vous rappelez-vous ce que "Modern Money Mechanics" déclare à propos des prêts? Ce qu'ils font, lorsqu'ils accordent un prêt, c'est accepter des obligations en échange de fonds. Les réserves sont inchangées par la transaction d'un prêt. Mais, déposer des fonds constitue un ajout au total des dépôts du système bancaire. En d'autres termes, l'argent ne vient pas de leurs actifs existants. La banque l'invente simplement, ne mettant en jeu rien du tout, hormis son obligation théorique sur papier. Alors que le jugement du litige progressait, M. Morgan, le président de la banque, déposa son témoignage. Et dans le mémorandum personnel du juge, il rappela que "le plaignant" - le président de la banque - "admis que, avec
la participation de la Réserve Fédérale [...] a créé de l'argent ou des avoirs sur ses livres comptables. L'argent et les avoirs ont vu le jour lorsqu'ils les ont créés. M Morgan admis qu'aucune loi des États-Unis lui permettait de réaliser ceci n'existait. Une contrepartie légitime doit exister et être remise pour entretenir l'obligation. Le jury n'a pas trouvé de contrepartie légitime et approuve. Il ajouta aussi, poétiquement, "Seul Dieu peut créer quelque chose de valeur à partir de rien". Et, sur cette révélation, la cour rejeta la demande de saisie de la banque, et Daly garda sa maison. Les implications de la décision de cette court sont immenses. Car à chaque fois que vous empruntez de l'argent à une banque, que ce soit pour une hypothèque ou une facture par carte de crédit, l'argent que l'on vous donne n'est pas seulement contrefait, il est illégitime comme forme de contrepartie. Et, par conséquent, annule le contrat de remboursement car la banque n'a jamais été en possession de cet argent. Malheureusement, de telles jurisprudences sont supprimées et ignorées. Et le jeu du transfert perpétuel de biens et de la dette perpétuelle continue. Ce qui nous amène à l'ultime question : Pourquoi? »
Donc une banque veut saisir les biens que vous avez acheté à crédit, il vous suffira de les poursuivre en justice en appliquant ce qui est décrit dans l’extrait, en leur disant que les banques n’ont pas de liquidité, n’ont pas d’argent, qu’ils le créent, les chiffres officiel le démontrent, le rapport entre l’argent en circulation, site Internet de la banque centrale européenne par rapport aux nombre d’habitants…


Solution au problème.


[PDF]Affidavit of Jerome DAly - Minnesota.gov

https://mn.gov/.../1969-06-26affidavitofJeromeDaly_tcm1041-11...

Traduire cette page
STATE OF MINNESOTA. SS s. COUNTY OF SCOTT *. JeroméDaly, being first duly sworn deposes and states that he is. Defendant in the above entitled action. That I was not served with, nor was the application for an Order nor were the Order to Show cause served upon Justice Mahoney dated June 24, 1969 served upon ...

Minnesota State Law Library: Legal Topics: The Credit River Case

https://mn.gov/law-library-stat/creditriver.html

Traduire cette page
10 sept. 2015 - Minnesota State Law Library Legal Topics Credit River Case Martin V. MahoneyJerome Daly First National Bank of Montgomery vs. ... On July 11, 1969, Mr. Justice C. Donald Peterson, acting for the Minnesota Supreme Court, directed Martin V. Mahoney, justice of the peace of Credit River Township, Scott ...

First National Bank of Montgomery v. Daly - Wikipedia

https://en.wikipedia.org/.../First_National_Bank_of_Montgomery_...

Traduire cette page
First National Bank of Montgomery v. Jerome Daly, Dec. 9, 1968 also known as the Credit River Case, was a case tried before a justice of the peace in Minnesota in 1968. The decision in that case is sometimes cited by opponents of the United States banking system. Contents. [hide]. 1 The trial; 2 The result; 3 Jerome Daly's ...

La banque ne peut plus saisir vos biens sur le forum Politique ...

www.jeuxvideo.com/.../1-55-741057-1-0-1-0-la-banque-ne-peut-plus-saisir-vos-bien...

21 janv. 2009 - 20 messages - ‎5 auteurs
En 1969, un cas à la court d'affaire du Minnesota, à impliquer un homme nommé Jerome Daly qui récusait la saisie de sa maison par la banque qui lui avait fait le prêt pour l'acheter. Son argument était que le contrat d'hypothèque exigeait que les deux partis, lui et la banque, aient chacun établi une forme ...



Guerres ou paix économiques ?

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On oublie C.H. Douglas, le seul à expliquer comment combler les écarts entre les pouvoirs d'achat et les prix des productions.

Solution au problème.

Capitalisme (5/6) KEYNES HAYEK, un Combat Truqué
[DOCUMENTAIRE ARTE 54'] Capitalisme (5/6) KEYNES HAYEK, un Combat Truqué ARTE
#crise #capital #économie #Keynes #Hayek#austérité #société #MarchéFinancier #Années30#CrackBoursier

Épisode 1 : https://www.facebook.com/lepetitrodeur/videos/1908527826088540/

Épisode 2 : https://www.facebook.com/lepetitrodeur/videos/1909811625960160/

Épisode 3 : https://www.facebook.com/lepetitrodeur/videos/1912875518987104/

Épisode 4 : https://www.facebook.com/lepetitrodeur/videos/1914691382138851/

SYNOPSIS :

C’est l’affrontement qui a modelé la pensée économique de tout un siècle. L’économiste autrichien Friedrich Hayek contre son confrère britannique John Maynard Keynes. Chacun défend ses idées pour sortir le capitalisme de la sévère dépression des années 1930, la pire crise qu’il n’ait jamais connue ? Pourquoi et comment ce débat qui semblait réglé dans les années 1930, ressurgit régulièrement depuis, et notamment après la crise économique de 2008.

SOURCES :

http://boutique.arte.tv/f9945-capitalisme_serie

http://www.dailymotion.com/video/x5o3g3z

https://info.arte.tv/fr/la-serie-documentaire-capitalisme

ACHETER :

http://amzn.to/2hXOghj

Nexus & monnaie-pleine

BNS, son symbole, St Martin.

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La vraie BNS, son symbole, St Martin qui donne la moitié de son manteau à un pauvre, l'autre moitié appartenant à l'empire...

Le contraire de symbolon, en grec, c'est diabolon...

Les actions de la Banque nationale sont cotées en Bourse. Des cantons, des communes suisses et des banques cantonales détiennent la majorité des actions. Le reste des actions est en mains de particuliers et d’entreprises. La Confédération ne possède aucune action.

La transformation de la BNS en une fédération de Coopératives Monétaires Cantonales et communales constitue certainement le plus sûr moyen de s’assurer d’une part que nous maîtrisons le flux d’émission et que celui-ci est assuré par la seule volonté du Souverain et en fonction de ses besoins propres. 


Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors coopérez à cette loi

Les solutions suisses:

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html 


François de Siebenthal: Monnaie-pleine, respect du Souverain ?

desiebenthal.blogspot.com/2016/11/monnaie-pleine-respect-du-souverain.html

23 nov. 2016 - Pour une Banque Nationale vraiment Suisse, BNS 3.0 ... Ainsi remanié, l'article 39 passait le cap du référendum en octobre 1891. Près de ...

Tests du revenu de base inconditionnel.

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Comblons l'écart entre le pouvoir d'achat et le pouvoir de production avec un dividende pour tous...

Après Lausanne, la Finlande, l'Alaska, la Namibie, la Hollande, le Canada, l'Inde, le Qatar, la Libye, l'Iran, le Brésil....
Une réalisatrice alémanique souhaite qu'un village de Suisse teste le revenu de base inconditionnel. L'expérience montrera notamment les effets sur les interactions sociales. Plusieurs communes se sont manifestées.

Un village de Suisse doit tester le revenu de base inconditionnel. L'idée vient de la réalisatrice alémanique Rebecca Panian. Elle veut connaître les interactions sociales qui en découlent ainsi que l'impact sur l'économie locale. Plusieurs communes sont intéressées.
L'idée de cette expérience est d'abolir les "blocages dans les têtes". En juin 2016, les Suisses avaient rejeté par 77% le revenu de base inconditionnel. La votation a laissé beaucoup de questions ouvertes, selon la cinéaste qui a rendu public cette semaine son projet.
Pour ce faire, elle a lancé un appel. Elle cherche un village qui serait prêt à tester dans la réalité le revenu de base inconditionnel. Durant un an, la commune-test devrait accorder à ses habitants un revenu garanti correspondant au minimum vital. Pour les adultes, ce serait 2500 francs et pour les mineurs, 625 francs par mois.

Lorsqu'une personne gagne moins, pour quelle que raison que ce soit, elle devrait recevoir le complément soit de la commune soit d'une source de financement externe.
Une solution pour les parents

"Les femmes ou hommes au foyer et les enfants seraient les principaux bénéficiaires de l'expérience", selon Rebecca Panian. Certains parents pourraient par exemple réduire leur temps de travail, sachant que le revenu de base est assuré, imagine-t-elle dans une interview à l'ats.

La commune idéale serait un village de 150 à 1000 habitants avec une répartition représentative d'actifs, de retraités, de jeunes, d'enfants, de chômeurs, de célibataires, etc. "J'ai conscience que mon projet peut paraître un peu fou. Mais je suis convaincue que l'expérience peut être financée si un village se lance dans l'aventure.


On est encore dans le flou s'agissant de l'argent nécessaire à une telle expérimentation. La réalisatrice se prononcera seulement une fois qu'elle aura connaissance de la commune qui se prêtera au jeu. Son projet a toutefois déjà suscité l'intérêt: en milieu de semaine, elle a reçu entre 20 et 30 propositions. La localité de Bergün dans les Grisons a par exemple été citée par deux fois.

Pas de proposition romande

Aucune localité romande n'a pour le moment répondu à Rebecca Panian. De ce côté de la Sarine, l'initiative avait pourtant rencontré un beau succès d'estime: à Genève, les citoyens du quartier des Pâquis avaient par exemple accepté le texte par 54% des voix, dans le canton de Vaud, la commune de Sarzens avait voté à 51,4% pour.
Rebecca Panian va désormais étudier les données collectées. Elle se rendra dans les communes intéressées. Selon la réalisatrice, cette expérience devrait apporter des enseignements que la théorie ne peut pas révéler. Un village représentatif dans sa population constituerait un espace idéal pour ce genre d'expérience, une sorte de mini-pays.
La réalisation de ce projet n'est cependant pas garantie. La population de la commune prête à se lancer devrait sans doute voter. Rebecca Panian souhaite tirer un film documentaire de l'expérience. La réalisatrice s'est déjà illustrée avec un autre film "Zu Ende Leben" (Vivre jusqu'à la fin) dans lequel elle accompagne un homme souffrant d'un cancer.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/12/monnaie-pleine-comblera-lecart.html

Journées paysannes, 17 & 18.02

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Invitation aux Journées paysannes 2018

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INVITATION - A diffuser autour de vous -

Chaque année, l'association Les Journées paysannes propose un week-end de réflexion, de rencontres, de prière, de soutien mutuel et de partage d'initiatives, le 3e week-end de février à Souvigny dans l'Allier.

Il s'agit de réunir les agriculteurs et plus largement les personnes qui pensent que le lien à la terre porte une espérance pour notre temps face à la crise économique, morale et spirituelle.

Les membres et amis de l'association se retrouveront cette année les 17 et 18 février et ils vous invitent à les y rejoindre pour échanger sur le thème "Comment être un chrétien paysan dans une agriculture mondialisée? / Cultiver à la lumière de la Liturgie et de la Règle de Saint Benoît". Nous aurons la joie d'écouter et d'échanger avec les personnes suivantes:

- Rod Dreher, Journaliste américain et auteur de Comment être chrétien dans un monde qui ne l’est plus ? Le pari bénédictin ;

- Mgr Jean-Philippe Nault, évêque de Digne, Riez et Sisteron ;

- Gilles Heriard-Dubreuil, représentant du Courant pour une écologie humaine ;

- un membre de l’Arche du Gwenves(29)

- un moine bénédictin

- Jean-Louis Laureau, fondateur des Journées paysannes

- Père David Réveillac (sous réserve), curé du groupement paroissiale de Gourdon (Lot)

- ... 

Programme détaillé (pdf)
Bulletin d'inscription (Pdf)
Covoiturage

Télécharger le programme détaillé des rencontres :
Programme JP 2018 -  PDF - 689.3 ko
Programme JP2018
Bulletin d’inscription et informations pratiques :
Bulletin d inscription 2018 -  PDF - 304.9 ko
Bulletin d inscription 2018
Nous soutenir en adhérant ou en s’abonnant à notre revue :
Abbo adhésion 2018 -  PDF - 406.7 ko
Abbo adhésion 2018
Nous soutenir en nous achetant du vin (livraison durant la rencontre)
Pub Vins Clos Frémur 2018 -  PDF - 232.8 ko
Pub Vins Clos Frémur 2018

COVOITURAGE : conducteurs et passagers, partagez vos trajets, inscrivez-vous ici : Covoiturage JP 2018
Inscriptions et renseignements :
Marie-Christine LEMOUZY
Tél : 06 77 52 14 62 ou 05 63 95 95 02
Courriel : mariechristinelg chez yahoo.fr
Crédit image : Designed by Freepik

Documents à télécharger


François de Siebenthal: Congo: expériences
20 juin 2012 - Des légumes produits localement, c'est de l'argent qui pousse. Le Congo est très riche en tout, trop riche peut-être... Commençons par de petites réalisations faciles à copier, pour le bien commun. Comment démarrer par exemple un potager en permaculture. Un potager en permaculture est conçu de ...
François de Siebenthal: Permaculture le 12 avril 2017
25 mars 2017 - Permaculture le 12 avril 2017. Madame, Monsieur, L'Institut de Recherche en Agriculture Biologique (FiBL) et le Service de l'agriculture et de la viticulture (SAVI) du canton de Vaud ont le plaisir de vous inviter à la visite du BioDiVerger de Marcelin le mercredi 12 avril 2017 14h00-16h00 gratuit et sans ...

Corruptions laitières

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Bonjour,

J’ai vu hier soir cette émission extraordinaire sur les produits laitiers français.

Je vous conseille très vivement de la regarder . Voilà le lien :


Et vous comprendrez comment Lactalis s’est arrangée pour ne pas produire ses comptes …

Et aussi comment les producteurs de lait se sont fait grugés en créant une coopérative nommée Sodiaal.

Puis des financiers ont créés plusieurs Holding nommées Sodiaal.

Sodial International est détenue à 51% par des Américains !!! Et où vont la majorité des bénéfices ? Dans Sodial International …

Vraiment consternant.

Meilleures salutations.

Michèle Herzog




Ajoutée le 17 janv. 2018

ABONNÉ 137 K
Abonnez-vous et retrouvez toutes nos émissions : https://www.youtube.com/user/cashinve... Fort de 4 000 références, le marché des produits laitiers est évalué à 27 milliards d'euros par an en France. Mais alors que les profits des géants du lait n’ont jamais été aussi élevés, le nombre d’éleveurs français en situation de crise n’a jamais été aussi important. En 2016, 10 000 producteurs de lait auraient ainsi mis la clé sous la porte quand d'autres croulent sous les dettes. L'équipe de Cash Investigation a enquêté sur le n° 1 mondial du secteur, Lactalis ainsi que sur la grande coopérative française Sodiaal – maison mère de Yoplait et de Candia. Présenté par Elise Lucet France 2 #cashinvestigation Toutes l'actualité de Cash Investigation http://www.francetvinfo.fr/replay-mag...https://www.facebook.com/cashinvestig...Twitter: @cashinvestigation

Vertus du chlorure de magnésium

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Toujours avec une cuillère en bois ou les mains

Les vertus du chlorure de magnésium sont notamment dues au Professeur Pierre Delbet, médecin, chirurgien et chef de service de l'hôpital Laennec durant la fin des années 1800.

Ces observations sur le terrain l'amène à une conclusion inquiétante:
les antiseptiques de l'époque utilisés à l'hôpital pour nettoyer les plaies, au lieu de combattre l'infection, l'aggravent!
Ce phénomène paradoxal de l’antisepsie de l'époque est dû au fait que les produits s'attaquent aux tissus sains diminuant la capacité de résistance et donc favorisant la prolifération bactérienne!

C'est donc en testant sur les blessés de la Première Guerre Mondiale une solution de chlorure de magnésium qu'il put observer des guérisons miraculeuses!

Toute l'histoire passionnante du chlorure ici:

Littérature: "Le chlorure de magnésium, un remède miracle méconnu", Marie-France Muller, Ed. Jouvance.



A quoi sert-il?!

Le Dr. Neveu fut inspiré par les travaux de Delbet et après un succès fulgurant sur un chien atteint de la maladie de Carré (poliomyélite du chien) et sur un veau atteint de fièvre aphteuse, il soigna ses patients pour les maladies suivantes:

  • bronchites et toutes les affections des bronches
  • pneumonie et toute les affections des poumons
  • maladies orl, angines
  • pleurésies
  • TOUTES LES MALADIES ENFANTINES (varicelles, rubéole, rugeole, coqueluche, oreillons)
  • diphtérie et poliomyélite
  • problèmes de peau (psoriasis, acné, coups de soleil, mycoses, allergies, piqûres, etc.)
  • problèmes liés aux os (arthrose, arthrite, rumathisme, ostéoporose, etc.)
  • problèmes liés à la digestion (intollérence, constipation, gastrite, ulcère, etc.)
  • problèmes émotionnels (depression, born-out, choc, stress)
  • problèmes liés au sommeil (insomnie)
  • etc.

Oû se procurer du chlorure de magnésium / nigari

En pharmacie, vous trouverez des sachets de chlorure de magnésium sous forme de cristaux.
Sous forme de crème, Delbiase (idéale pour les affections de la peau, telles que les boutons dus à la varicelle).
Sous forme de comprimés, Delbiase (idéales pour tout ce qui est affections internes des voies respiratoires, des tissus nerveux, etc.)
En magasin bio, vous pouvez acheter du nigari, sa forme la plus pure, moins chère et plus efficace encore.



Comment se soigner avec le chlorure de magnésium

Diluer le chlorure ou le nigari dans un verre d'eau (1cc), puis nettoyer la plaie avec cette préparation. Si la plaie est très sale, utiliser une bande de gaze embibée de la préparation.
En cas de doute d'une possible contamination de bactéries (tétanos, mais également toutes les autres maladies infantiles), boire directement la préparation. Selon la gravité, répéter jusqu'à 3x/jour!
Pour soigner les problèmes de peau, se procurer la crème Delbiase à mettre 3x/jour sur les boutons ou les plaies.



Tous les liens utiles ici:


Chlorure de magnésium, remède contre le Chikungunya et Ebola!

Comment prévenir et guérir la poliomyélite par le chlorure de magnésium, par le Dr. Neveu

Le chlorure du magnésium a not. les bénéfices suivants :

  • Il fonctionne comme un excellent purificateur du sang, qui aide à équilibrer le pH. Grâce à ce bienfait, le chlorure de magnésium nous aide à prévenir de nombreuses maladies.
  • Le chlorure de magnésium aide à éliminer l’acide qui s’accumule dans les reins, stimulant ainsi le bon fonctionnement et la santé des reins.
  • Il stimule les fonctions cérébrales et la transmission des impulsions nerveuses, en contribuant à l’équilibre mental général.
  • Il est idéal pour les sportifs ou les personnes qui font beaucoup d’exercices physiques puisqu’il aide à prévenir et à combattre les lésions musculaires, les crampes, la fatigue générale et/ou la fatigue musculaire.
  • Il stimule le bon fonctionnement du système cardiovasculaire,prévenant ainsi les maladies du coeur.
  • Il aide à dissoudre les niveaux de mauvais cholestérol, stimulant ainsi la circulation du sang et prévenant ainsi les maladies.
  • C’est un puissant remède anti-stress qui aide aussi à combattre la dépression, les nausées et la fatigue.
  • Il remplit un rôle très important dans la régulation de la température du corps.
  • Il prévient les problèmes comme les hémorroïdes, améliore la santé intestinale et aide dans les cas de colite, de constipation, entre autres.
  • Il prévient les problèmes de prostate et aide à les combattre.
  • Les recherches ont trouvé qu’il pouvait aider à prévenir et à lutter contre les tumeurs cancérigènes.
  • Il renforce le système immunitaire, aidant à prévenir et à lutter contre le rhume et les infections.
  • Il prévient le vieillissement prématuré, puisqu’il apporte vitalité au corps et stimule la régénération cellulaire.
  • Il est très important dans la prévention de l’ostéoporosecar il agit comme un fixateur de calcium sur les os.
  • Le chlorure de magnésium prévient la formation de calculs rénaux, empêchant que l’oxalate de calcium ne s’y accumule.
  • Il stimule la santé des femmes car il diminue les symptômes des règles et améliore la régulation hormonale.
  • Il lutte contre les radicaux libres, en évitant la formation de tumeurs et de verrues.
  • Le chlorure de magnésium stimule le nettoyage des artères, prévenant ainsi l’artériosclérose.

Les contre-indications du chlorure de magnésium

Bien que le chlorure de magnésium cache de nombreux bienfaits pour la santé, il est important de souligner que dans certains cas, il est contre-indiqué et il est préférable de ne pas en consommer ou de consulter un médecin au préalable.
  • Il est contre-indiqué pour les personnes qui souffrent de diarrhée, car il a un effet laxatif. 
  • Il doit être évité chez les personnes qui souffrent de maladie rénale,surtout dans les cas d’insuffisance rénale.
  • Il ne doit pas être consommé quand l’on souffre de colite ulcéreuse, car il peut rendre les diarrhées encore plus aigües.
  • Dans le cas où vous prenez des antibiotiques, le chlorure de magnésium peut diminuer l’efficacité de certains. Il est donc recommandé d’en prendre 3 ou 4 heures avant de consommer l’antibiotique.

Comment préparer le chlorure de magnésium ?

Le chlorure de magnésium peut se trouver déjà préparé, mais il y a une autre manière de le préparer à la maison. Vous aurez besoin de :
  • 1 litre d’eau
  • 30 grammes de chlorure de magnésium cristallisé
  • 1 cuillère en bois

Comment le préparer ?

Mettez le litre d’eau à bouillir et laissez-le refroidir. Ensuite, mettez-le dans un récipient en verre et dissolvez les 30 grammes de chlorure de magnésium cristallisé. Mélangez avec la cuillère en bois, couvrez bien et gardez.

Quelle dose prendre ?

La dose de chlorure de magnésium dépend du problème à traiter ou de l’âge. L’idéal est de consulter préalablement votre médecin pour connaître la dose exacte en accord avec nos besoins. Cependant, d’une façon générale, il est recommandé de prendre une dose d’une à deux cuillerées de chlorure de magnésium par jour, après 35 ans, et une demi cuillerée avant cet âge.

Monnaie-pleine, appel à des rédacteurs

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appel à un texte très court ( résumé) www.monnaie-pleine.ch qui sera distribué par la Confédération à tous les citoyen(nes)s suisses

Nous avons seulement 1650 caractères disponibles, avec les espaces (!) . ...

 Nous devons remettre le texte à la Chancellerie fédérale au plus tard le mardi 23 janvier 2018 à 12 heures.

Nous attendons vos très courtes propositions  envoyées à  M. Hansruedi.Weber at Vollgeld-Initiative.ch  si possible le dimanche 21 janvier ou lundi à 12hoo dernier délai, merci.( en l'une des 3 langues  officielles ). Je suis en voyage en Afrique, donc difficilement atteignable. Je serai heureux d'en avoir une copie.
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Merci



Monnaie-pleine, exemples de résumés

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Exemples de textes romands pour la Chancellerie suisse, le texte est-il vraiment si court ? 
J'ai des souvenirs de textes plus longs dans les votations précédentes !:

1) Texte avec modifications Wir, Reka, Cumulus et le lien internet monnaie-pleine.ch

Le véritable enjeu de l’initiative Monnaie Pleine, c’est la démocratie. Car qui crée la monnaie prend le pouvoir.
Après le Oui au tunnel du Gothard, imaginez-vous le Conseil Fédéral aller quémander un crédit à une banque? Qui aurait alors le pouvoir?
Quand une nouvelle école a été votée, la commune va demander un crédit pour la construire: qui a le pouvoir? Et pourtant, quelle loi a donné la décision finale au banquier?
Si vous pensez que la monnaie est un sujet complexe, alors votez Oui Monnaie Pleine.ch parce que le parlement va avoir 2 ans pour expliquer aux citoyens comment le système bancaire doit fonctionner et pour préciser la loi. Et vous pourrez voter à nouveau, avec une meilleure compréhension.
Qui a le temps de comprendre quand tous, nous travaillons dur pour gagner de l’argent? Alors que cet argent sur nos comptes est créé sans travail par les banques, comme des bons d’achat Cumulus, Reka ou WIR.
Qui a le pouvoir de changer cela? Nous tous, en votant Oui Monnaie Pleine.ch
Bien sûr, les banques s’inquiètent et vont jouer sur la peur.
Pourtant Monnaie Pleine autorise pour la première fois les banques à créer leur propre monnaie privée. Chacun pourra choisir la part de son épargne qu’il place en monnaie privée créée par la banque, pour le rendement, et la part qu’il dépose à la banque en monnaie légale de la BNS, pour garantir sa sécurité.
Comme les banques suisses vont être les seules à offrir ce choix, elles pourraient bien avoir encore plus de clients extérieurs: c’est du gagnant-gagnant, tout en douceur et en subtilité.
Les banques vont retrouver sans risque le métier éprouvé des banquiers privés suisses traditionnels.
par Bernard Dugas                   
2)

L’initiative populaire proposée aux citoyens suisses vise à mettre en place un système monétaire et financier capable d’éviter (1) les crises du type 2008 dont les conséquences obèrent encore notre avenir (taux d’intérêt négatifs, bulles spéculatives, coûts prohibitifs de sécurisation du système actuel…), (2)l’instabilité chronique de l’économie du fait des instruments de régulation problématiques actuels, (3)l’enrichissement sans cause des banquiers du fait du privilège d’émettre de la monnaie qu’ils se sont octroyés  au cours du temps (90% de la monnaie émise aujourd’hui), dont ils abusent souvent au détriment de la société.
La mesure préconisée pour changer la donne est simple :faire que les dépôts à vue utilisés dans les transactions deviennent une monnaie électronique émise et garantie par la BNS, exactement comme le sont aujourd’hui les billets en circulation. L’opération est pratiquement indolore pour les acteurs économiques principaux et présente des avantages considérables pour  tous : immunisation contre les risques systémiques à coûts moindres qu’aujourd’hui, maitrise de la création monétaire et de l’évolution économique par la BNS, meilleure efficacité de l’économie, bénéfices de la création monétaire alloués à la collectivité…), sans que soient mis en danger les capacités et les coûts de financement de l’économie, la position de la place financière et le fonctionnement libre de notre économie de marché.
Il s’agit de confirmer le vote de nos aïeux en 1891: la création de monnaie doit être un privilège de la BNS et ses bénéfices doivent être réservés au peuple suisse et non aux banques !
par Christian Gomez

3)

L’initiative Monnaie Pleine (MP) veut remplacer l’argent des comptes bancaires, qui n’est qu’un promesse de payer, par de la monnaie pleine et entière qui appartiendra physiquement aux détenteurs des comptes. Aujourd’hui, l’argent qu’on dépose à la banque se transforme en une promesse que fait la banque de le rendre quand on le demandera. Si la banque octroie un crédit, elle ne sort rien de sa caisse, elle promet simplement de donner de l’argent quand on le réclamera. Ce système a trois défauts majeurs. 1) L’« argent » à la banque n’est pas sûr puisque, simple promesse, il disparaît en cas de faillite de la banque. 2) Tout le système financier est instable puisque les banques créent 90% de « l’argent » en circulation par les crédits qu’elles accordent dans leur propre intérêt. Attirées par l’appât du gain, elles finissent toujours par créer trop d’argent, plongeant le monde dans des crises financières et économiques à répétition comme en 1929 et 2008 et des centaines de fois entretemps. 3) En 2008, il a fallu sauver l’UBS avec l’argent des contribuables pour éviter une crise économique sans précédent. Le risque est inhérent au système : comme le trafic des paiements dépend entièrement des banques, la faillite des plus grandes (« too big to fail ») arrêterait toute l’économie. MP propose une solution simple qui corrige d’un coup ces trois défauts sans aucun effet négatif sur l’économie ou le système bancaire : les banques devront remplacer toutes leurs promesses d’argent par des billets de banque, réels ou électroniques, qu’elles gèreront ensuite sur des comptes individuels appartenant physiquement à leurs titulaires.

Meilleures salutations
par Christoph Meier




Accepteriez-vous que des sociétés privées gèrent la police ?
Accepteriez-vous de payer des impôts en faveur d’entreprises privées ?
Accepteriez-vous que des lois soient édictées par des sociétés privées ?

Alors pourquoi acceptez-vous que l’argent soit créé par quelques banques privées ? Refusons de jouer avec des dés pipés. Changeons les conditions cadres : www.initiative-monnaie-pleine.ch





appel à un texte très court ( résumé) www.monnaie-pleine.ch qui sera distribué par la Confédération à tous les citoyen(nes)s suisses

Nous avons seulement 1650 caractères disponibles, avec les espaces (!) . ...

 Nous devons remettre le texte à la Chancellerie fédérale au plus tard le mardi 23 janvier 2018 à 12 heures.


Nous attendons vos très courtes propositions  envoyées à  M. Hansruedi.Weber at Vollgeld-Initiative.ch  si possible le dimanche 21 janvier ou lundi à 12hoo dernier délai, merci.( en l'une des 3 langues  officielles ). Je suis en voyage en Afrique, donc difficilement atteignable. Je serai heureux d'en avoir une copie.

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