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Viol nucléaire de notre neutralité, trop, c'est trop.

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Viol horrible de notre neutralité séculaire, trop, c'est trop...


La Banque Nationale Suisse investit grotesquement dans les armes nucléaires et not. des sous-munitions.


La banque centrale suisse, sic, a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.



L'AG de la BNS doit être annulée pour graves vices de forme.

Plus la situation se rapproche d’une guerre nucléaire, plus il sera difficile pour les deux parties de reculer – et c’est particulièrement le cas avec l’agresseur, surtout quand il prétend faussement qu’il est lui-même agressé.

C’est la raison pour laquelle les mensonges colportés par les dirigeants politiques de l’Ouest , y compris de la Suisse "neutre" qui finance 14 sociétés US nucléaires militaires, sic, doivent être exposés dans l’urgence.

L'AG de la BNS doit être annulée pour graves vices de forme


Vu la gravité des faits, je propose une dissolution de la SA BNS et la fondation d'une Coopérative bancaire intégrale citoyenne.



Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse en vidéo...


f.


L' assemblée générale... 
f.

 ... peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.




Heure, min
01:21:54
01:23:15
01:21
François de Siebenthal: Vote électronique douteux et non secret, votons pour le refuser !




Le Président de la BNS Jean Studer l'avoue en direct: les scrutateurs notamment ont la possibilité de vérifier les votes un par un (sic) donc le vote secret n'est pas secret !

Les graves tricheries dans les votations électroniques sont donc prouvées, notamment à 1 heure et 27 minutes et suivantes, confirmées par Me Patrick Dimier plus tard dans la même vidéo qui vaut procès-verbal en 3 langues !

L'assemblée n'a jamais accepté le vote électronique qui lui a été imposé unilatéralement.

Le vote déclaré secret n'est pas secret, même le Président l'a reconnu publiquement.

Les scrutateurs élus n'ont pas fait leur travail.

Neuf des dix demandes déposées légalement bien à l'avance n' ont même pas été mises à l'ordre du jour. Le Président de la Banque Jean Studer a déclaré que le conseil d'administration a trouvé , «que ... la loi, art. 36 a à e, ne s' applique pas !" (Dans l'enregistrement vidéo à 02h48 ...).

Le paragraphe f ci-dessous, n'est bien sûr pas mentionné, très probablement intentionnellement, par M. Jean Studer, ce qui est une forfaiture malencontreuse et très dommageable contre la démocratie directe voulue par le législateur et les traditions suisses ...

« ... elle ( l'Assemblée Générale ) peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.

Ceci est exactement ce à quoi étaient destinées les dix demandes., à savoir un changement dans la Loi sur la Banque Nationale...


  Art. 36 Attributions
L'assemblée générale a les attributions suivantes:
a.
elle élit cinq membres du conseil de banque;
b.
elle élit l'organe de révision;
c.
elle approuve le rapport annuel et les comptes annuels;
d.
elle décide de l'affectation du bénéfice porté au bilan;
e.
elle donne décharge au conseil de banque;
f.
elle peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.

De plus, nous pouvons établir par témoignages et enregistrements que chacun des votes de l'assemblée générale ont été modifiés par des actes extérieurs au cercle des actionnaires...


http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/video-de-l-ag-en-3-langues.html

Les médias sont très mal informés: la preuve, écoutez l' interview radio sur Forum par Mehmet Gultas de M. Blaise Rossellat...


La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.

et le coeur du sujet...

"Un émetteur de titres publiquement cotés a l'obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n'avoir aucune obligation de publication."
M. Bernard Dugas


Obama demande le soutien militaire de l’UE dans une guerre éventuelle contre la Russie...

Obama-Merkel
Selon un article du 23 avril publié par Deutsche Wirtschafts Nachrichten (Nouvelles économiques allemandes), le président américain Barack Obama «exige le déploiement actif de la Bundeswehr [forces armées de l’Allemagne, y compris leur Armée, la Marine et la Force aérienne] sur les frontières orientales de l’OTAN» en Pologne et dans les républiques baltes, rejoignant ainsi là-bas le quadruplement des forces américaines à proximité des frontières de la Russie.
Ceci est une violation absolue de ce que le dirigeant russe Mikhaïl Gorbatchev avait accepté en mettant fin à l’Union soviétique et au Pacte de Varsovie – organisation miroir de l’OTAN – et c’est aussi l’aboutissement d’un processus qui a commencé peu de temps après que Gorbatchev a accepté les conditions de l’Amérique, qui incluaient que l’OTAN «ne bouge pas d’un pouce vers l’est».
En outre, le journal DWN rapporte que le 25 avril, le Président des États-Unis tiendra une réunion au sommet à Hanovre en Allemagne, avec les dirigeants de l’Allemagne (Angela Merkel), de l’Italie (Matteo Renzi), de la France (François Hollande) et de la Grande-Bretagne (David Cameron). L’objectif présumé de cette réunion est l’obtention d’un accord pour établir, dans les pays de l’OTAN limitrophes de la Russie, une force militaire de ces cinq pays, une force menaçant la Russie d’une invasion, si ou quand l’OTAN décide par la suite qu’il faut répondre militairement à la menace de la Russie.
L’encerclement de la Russie par l’OTAN, avec des forces qui lui sont hostiles, est prétendument défensive – pas  offensive – contre la Russie, et est présenté comme tel par nos médias. Au cours de la crise des missiles cubains en 1962, JF Kennedy n’a pas considéré le plan de Nikita Khrouchtchev d’installer une base de missiles nucléaires à Cuba comme étant défensif de la part de l’URSS – et de même le président russe Vladimir Poutine ne considère pas l’opération américaine, autrement plus vaste, d’encerclement de la Russie comme une opération défensive. Le gouvernement des États-Unis et l’OTAN agissent comme si la Russie les menaçait, plutôt que de considérer qu’ils sont eux-mêmes une menace pour la Russie en l’encerclant – et leurs médias relaient ce mensonge comme s’il s’agissait d’une vérité digne d’être prise au sérieux. En fait, l’OTAN est déjà installée sur la frontière occidentale de la Russie.
Obama en rajoute donc maintenant aux sanctions économiques contre la Russie, qu’il avait imposées en raison de la prétendue annexion de la Crimée, après que les États-Unis et l’UE ont machiné un coup d’État pour renverser l’allié de la Russie, Viktor Ianoukovitch, qui avait dirigé l’Ukraine jusqu’en février 2014.
Même si les sondages en Crimée, parrainés par les Occidentaux, à la fois avant et après le coup d’État, avaient montré que plus de 90% des Criméens voulaient rejoindre la Russie, et juste après que ces derniers ont voté massivement pour la rejoindre, Obama a lancé des sanctions contre la Russie. Les armes nucléaires ont été préparées, tant du côté des États-Unis-UE que du côté russe, pour une éventuelle guerre nucléaire.
Ce n’est pas une simple restauration de la guerre froide – censément  basée sur le désaccord idéologique capitalisme-communisme ; il s’agit de mettre en place des forces pour une éventuelle invasion de la Russie, purement et simplement – une conquête brutale – bien qu’aucun média de masse majeur dans l’Ouest ne signale ce fait tel qu’il est.
La préparation actuelle ne signifie pas nécessairement qu’une guerre nucléaire s’ensuivra. La Russie pourrait accepter, quelles que soient les exigences de l’Occident, et donc perdre sa souveraineté. Par ailleurs, si la Russie s’accroche à son sol et refuse de céder sa souveraineté nationale, l’Occident – le leadership US et les directions dans ses pays alliés – pourrait cesser ses menaces toujours de plus en plus sinistres, et simplement se retirer des frontières de la Russie.
Fondamentalement, depuis 2013, la direction des États-Unis a décidé de reprendrel’Ukraine et a refusé de reconnaître le droit du peuple de Crimée de rejeter la nouvelle soumission à Kiev et de décider de son propre avenir. Fin février 2014, la direction russe a décidé de protéger la Crimée du type d’invasion qui a eu lieu par la suite dans l’ancienne région du Donbass en Ukraine, où l’opposition au coup d’État d’Obama était encore plus intense.
L’Occident continue d’affirmer que la Russie a, en quelque sorte, tort dans cette affaire. Cependant, étant donné que même le chef de Stratfor a qualifié ce qu’Obama a fait en Ukraine de «coup d’État le plus flagrant dans l’Histoire», et que le fait que ce soit un coup d’État orchestré par les États-Unis a été largement documenté sur les téléphones portables et autres vidéos, et dans l’enquête académique la plus minutieuse qui a été effectuée sur la question. Même Petro Porochenko, président de l’Ukraine et participant à l’événement, l’a reconnu comme étant un coup d’État. Et depuis, des preuves ont été apportées sur Internet, des préparatifs de l’ambassade des États-Unis, dès le 1er mars 2013, pour le coup d’État de février 2014. Des sondages commandités par le gouvernement des États-Unis ont même montré que les Criméens rejetaient massivement ce coup d’État et voulaient rejoindre la Russie.
Alors il faut répondre à la question : sur quelle base sont fondées les actions agressives de l’Ouest, menaçant la sécurité nationale de la Russie, autre que les propres ambitions impérialistes envers celle-ci, camouflées par des mensonges sur une Russie et un président Poutine agressifs dont les médias occidentaux ont massivement abreuvé le public ? Et c’est une base très inquiétante, et même préoccupante en ce qui concerne, essentiellement, le type de leadership dictatorial de l’Occident, plutôt que toute autre dictature en dehors de lui.
L’agression et la menace ici, viennent clairement de l’Occident contre l’Orient.
En janvier dernier, le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois interpellé le président américain Barack Obama sur son énorme mensonge selon lequel les armes anti-missiles, que l’Amérique installe en Europe, servent à protéger celle-ci contre les missiles nucléaires iraniens. Maintenant que les États-Unis reconnaissent que l’Iran n’a pas, et n’aura pas de missiles nucléaires, Obama intensifie ces mêmes installations en Europe au lieu d’y mettre fin, à proximité des frontières de la Russie. La seule vraie raison de leur présence, comme Poutine le soutient, est de permettre une attaque nucléaire soudaine de première frappe contre la Russie, pour désactiver ses capacités de rétorsion en quelques minutes.
La seule réponse rationnelle, pour le public occidental, à ce qu’Obama et ses alliés étrangers fomentent, est de comprendre ce qui se passe réellement, et de prendre des mesures contre leurs propres dirigeants, avant que les enjeux de plus en plus élevés de la confrontation ne deviennent catastrophiques. Dans ce cas, les populations des pays qui composent l’Occident politique doivent se défendre contre leurs propres dirigeants nationaux. C’est une situation fréquemment rencontrée dans les dictatures.
Pourtant, les principales questions ne sont pas posées dans la presse occidentale, qui les ignore. À moins que ces questions ne soient traitées publiquement – et vite – la réponse pourrait bien être définitive pour des millions de civils en Europe et ailleurs.
Plus la situation se rapproche d’une guerre nucléaire, plus il sera difficile pour les deux parties de reculer – et c’est particulièrement le cas avec l’agresseur, surtout quand il prétend faussement qu’il est lui-même agressé.
C’est la raison pour laquelle les mensonges colportés par les dirigeants politiques de l’Ouest doivent être exposés dans l’urgence.
Eric Zuesse


Résistances !






































Article original en anglais :
Obama Merkel
Traduit et édité par jj, relu par nadine, pour le Saker Francophone
Viol horrible de notre neutralité séculaire, trop, c'est trop...

La Banque Nationale Suisse investit grotesquement, ridiculement, absurdement, irrationnellement, déraisonnablement, dans les armes nucléaires.

La banque centrale suisse, sic, a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.


L'AG de la BNS doit être annulée pour graves vices de forme.

ridiculement, absurdement, irrationnellement, déraisonnablement


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