Miséricorde pour le mal "honoris causa " ?
Le loup dans la bergerie
Boycott de l'université "catholique" de Fribourg. qui a bénéficié notamment en 1949 d’une dotation d’un demi million de Francs grâce à l’engagement des évêques à procurer ces fonds par des quêtes nombreuses auprès des fidèles dans les églises à la condition qu’elle conserve son caractère d’université Catholique.
Cette condition n' est plus respectée...
" Honoris causa..." Ces gens savent-ils ce qu'est l'honneur ? L'honneur se gagne par des actes admirés par la collectivité...
Ils n'ont en tout cas plus de vergogne, vertu essentielle pour une vraie démocratie selon les sages grecs ( Du latin vĕrēcundia « crainte respectueuse, réserve, pudeur », voir tout en bas de ce message) et n'en savent même plus le sens, Ils se glorifient de leurs vices, de leurs ventres, de leurs sexes et en arrivent à tuer les plus faibles pour assouvir leurs désirs de puissance et de jouissance absolue et totalitaire...
L'évêque lui-même a fait publier un communiqué...
L'évêché de Lausanne, Genève et Fribourg a souhaité réagir à ces affirmations.
Le 11 novembre 2014, il précise:
" L'Université de Fribourg n'est pas et n'a jamais été une Université catholique, au sens juridique du terme», mais «une Université d'Etat fondée au XIXe siècle dans un canton catholique», traditionnellement appelée catholique.
...
Le Père Benoît-Dominique de la Soujeole, professeur
associé en théologie dogmatique, a déclaré
publiquement vouloir aussi boycotter le Dies
academicus...
Le Père Benoît-Dominique de la Soujeole, professeur
associé en théologie dogmatique, a déclaré
publiquement vouloir aussi boycotter le Dies
academicus...
Judith Butler, égérie de la théorie du genre, arrive en Suisse, invitée pour un doctorat "honoris causa " par la faculté de lettres de l’université de Fribourg
Les abus horribles et totalitaires du "genre", portes ouvertes aux pires violences sur les plus petits et les plus faibles...:
Un enfant torturé moralement et physiquement, puis tué (sic) par deux lesbiennes parce qu’il refusait d’en appeler une papa...
Sites sud-africains qui rapportent les faits :
>> http://www.thestar.co.za/index.php?fSectionId=128&fArticleId=3171828
>> http://www.iol.co.za/news/south-africa/lesbian-couple-guilty-of-gruesome-murder-1.270415#.UJpX-Ia6WSo
" Qu’être père vient d’être homme, ..."
Un petit garçon de 4 ans l'a payé de sa vie pour l'avoir compris:
Un enfant torturé et tué par deux lesbiennes parce qu’il refusait d’en appeler une papa
Papa ? Maman ? Les 2 ?
Un enfant de 4 ans a été torturé puis battu à mort pour avoir refusé d’appeler l’amante lesbienne de sa mère « Papa ».
C’est une histoire horrible, mais ce sera demain une histoire banale, vu le climat de folie qui souffle sur les pays des droits homosexualistes.
Mercredi, le tribunal régional de Vereeniging en Afrique du sud a statué qu’Engeline de Nysschen (33 ans ), et la mère de l’enfant Hanelie Botha (31 ans) sont coupables d’avoir assassiner l’enfant.
Bien que Nysschen a été reconnue coupable d’avoir infligé des violences, la juge s’est prononcée contre la mère qui n’a pas réagi face à la violence physique répétée de son enfant par Nysschen ainsi que pour avoir menti afin de la protéger.
Après que les parents du petit Jandre Botha ont divorcé, sa mère obtint sa garde auprès d’un tribunal. Puis, elle se mit en « couple avec une femme »…
Au bout d’un moment, celle-ci ne supporta pas que le petit garçon de 4 ans refuse de l’appeler « papa », malgré ses injonctions.
Elle finit par battre et torturer le petit, sans que sa mère ne réagisse ni ne proteste, jusqu’à ce que mort s’en suive.
Les deux lesbiennes tentèrent sans succès de faire croire que le garçonnet avait glissé dans sa baignoire. Mais les médecins comprirent vite que cette version n’était pas crédible, au vu des terribles blessures subies par l’enfant : fracture du crâne et lésions cérébrales, jambes, clavicules, mains et bassin cassés…
Les Témoignages devant le tribunal des employés du couple de lesbiennes a indiqué que le garçon a été agréssé violemment pour avoir refusé les demandes répétées d’appeler Nysschen « Papa ».
A l’heure où l’on veut chambouler la notion de parentalité, ne comptez pas sur les médias occidentaux pour rapporter ce genre de faits divers.
Le principe de précaution ? Seulement quand ça arrange.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
http://www.iol.co.za/news/south-africa/lesbian-couple-guilty-of-gruesome-murder-1.270415#.UJpX-Ia6WSo
http://actualitechretienne.wordpress.com/2012/11/10/un-enfant-tue-par-deux-lesbiennes-parce-quil-refusait-den-appeler-une-papa/
Cette université fondée sur l’ancien collège Saint Michel transformé en académie de droit en 1763 fut propulsé en 1889 au rang d’université Catholique sous l’impulsion des catholiques suisses. Elle y accueillera en 1890 une faculté de Théologie.
...
C’est sur le site de la Miséricorde qui abrite en son sein l’institut de Théologie que l’auteur et promotrice des études pseudo-scientifiques de la théorie du genre sera accueillie et y recevra le titre de docteur honoris causa.
Si vous vous interrogez sur l’opportunité de la venue de Judith Butler au sein de cet établissement catholique, vous pouvez vous adresser au recteur: guido.vergauwen@unifr.ch13 novembre 2014
De puissants lobbies sont en train d’imposer l'idéologie du genre comme une dictature.
Extrait d'un texte issu d’une catéchèse prononcée par le père Mario Pezzi – le prêtre qui, avec Kiko et Carmen, constitue le trio dirigeant du Chemin néocatéchuménal :
"[...] En 2012, le pape Benoît XVI a prononcé, lorsqu’il a présenté ses vœux de fin d’année à la curie romaine, un discours historique dans lequel il a affirmé que nous étions aujourd’hui confrontés à un changement qui fera date, semblable à celui qui s’est produit au temps de la chute de l'empire romain et de l’invasion des peuples barbares. Les bases de la société, de la civilisation catholique sont en train de disparaître. Le pape Jean-Paul II avait lui aussi déclaré, à Fatima en 1982 : “Ce qui était autrefois considéré comme un péché, a aujourd’hui acquis droit de cité”.Au cours de l’histoire, il y a eu de très nombreuses attaques contre la famille chrétienne. Le dernier en date de ces assauts violents est représenté par ce que l’on appelle l’idéologie du genre. De puissants lobbies sont en train d’imposer cette idéologie comme une dictature. Parmi les racines philosophiques qui sont à l’origine de ce monstre qui menace nos familles, surtout dans les écoles, il y a le marxisme. Dans la pensée de Marx, la thèse selon laquelle l’essence de l’homme consiste à pouvoir se créer lui-même est liée au dépassement des genres sexuels et à la destruction de la famille.Le débat relatif au genre s’est ensuite transféré surtout aux États-Unis, où l’idée qu’il y a deux sexes a été complètement dépassée.De deux genres on est passé à cinq : homme, femme, homosexuel, lesbienne et transgenre. Mais en cohérence avec l’organisation antinaturaliste, puisque l’homme peut se créer lui-même, on en est arrivé à 17 genres. Il y a même, aujourd’hui, des gens qui en dénombrent 51 : qui dit mieux ?Par ailleurs la théorie du genre révèle son origine gnostique. L'ennemi, d’après la gnose, ce n'est pas le sexe en soi, mais bien le sexe dans son aspect procréatif, parce que faire naître des enfants signifie contribuer à l’œuvre créatrice du dieu mauvais.On a découvert que le féminisme radical est intimement lié au culte satanique. Lorsque le pape François a été interrogé à propos de ces agressions, il a déclaré : elles sont le fruit du démon qui veut détruire.Le mythe du dépassement des genres se retrouve également dans les formulations gnostiques de la franc-maçonnerie, aux degrés d’initiation les plus élevés, avec l’adoration du démon, celui-ci étant représenté avec des caractéristiques androgynes.La théorie du genre implique une redéfinition anthropologique complète de l’essence de l’homme. La tentative faite par l’homme de prendre la place de Dieu.Elle trouve ses origines historiques dans la planification antinataliste qui a été mise en place à partir des années Soixante, avec la propagande en faveur de la contraception et de l’avortement et la campagne de promotion de l’utilisation de la pilule RU 486. Lorsque la formule "family planning", qui signifie planification familiale, a été adoptée par la conférence des évêques des États-Unis, le Vatican est intervenu pour demander un changement de formule. Parce que celle-ci est trompeuse. Le chrétien ne planifie pas.Que dit l’Église de cette idéologie du genre ? Le pape Benoît XVI avait déclaré, en citant Gilles Bernheim, le grand rabbin de France :"Celui-ci conteste sa propre nature. La manipulation de la nature, qu’aujourd’hui nous déplorons pour ce qui concerne l’environnement, devient ici le choix fondamental de l’homme à l’égard de lui-même. L’être humain, désormais, existe seulement dans l’abstrait, qui ensuite, de façon autonome, choisit pour soi quelque chose comme sa nature. L’homme et la femme sont contestés dans leur exigence qui provient de la création, étant des formes complémentaires de la personne humaine. Cependant, si la dualité d’homme et de femme n’existe pas comme donné de la création, alors la famille n’existe pas non plus comme réalité établie à l’avance par la création. Mais en ce cas aussi l’enfant a perdu la place qui lui revenait jusqu’à maintenant et la dignité particulière qui lui est propre. Bernheim montre comment, de sujet juridique indépendant en soi, il devient maintenant nécessairement un objet, auquel on a droit et que, comme objet d’un droit, on peut se procurer. Là où la liberté du faire devient la liberté de se faire soi-même, on parvient nécessairement à nier le Créateur lui-même et enfin, par là, l’homme même. Dans la lutte pour la famille, l’être humain lui-même est en jeu". [...]"
Posté le 13 novembre 2014 à 09h44 par Michel Janva | Catégorie(s): Culture de mort : Idéologie du genre
Un peu de bon sens, que diable ! Ouvrez vos yeux et vos coeurs ...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/11/la-mere-du-genredocteur-honoris-causa.html
Monsieur,
A la minute 03:47 - Abbé Grosjean totalement halluciné par la théorie du genre consistant à nier l'altérité sexuelle (Gender Theory). Débat avec Najat Vallaud-Belkacem (PS), Emmanuel Pierrat (Avocat), Henri Guaino (UMP), Barbara Pompili (EELV) et Bruno Gollnisch (FN) dans Mots Croisés présenté par Yves Calvi.
Voir cette autre interview d'Abbé Grosjean sur BFM TV :
http://www.youtube.com/watch?v=2EJSkT...
https://www.youtube.com/watch?v=cOnXqOUqQcw
http://www.diocese-lgf.ch/medias/actualites/articles/article/mgr-morerod-sexprime-sur-les-reactions-liees-au-dies-academicus.html
http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/11/la-mere-du-genredocteur-honoris-causa.html
Réaction officielle:
Monsieur,
Mgr Morerod a bien pris connaissance de votre message et vous invite à lire le communiqué paru aujourd'hui sur le site du diocèse, en consultant le lien suivant : http://www.diocese-lgf.ch/ medias/actualites/articles/ article/dies-academicus- reactions-parvenues-a-leveche. html.
Je vous prie, Monsieur, d'agréer l'expression de ma considération distinguée.
Camila Gross Nachef
Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg
Secrétariat personnel de l’évêque
Camila Gross Nachef
Théologienne
Rue de Lausanne 86, CP 512, CH - 1701 Fribourg
DIES ACADEMICUS : RÉACTIONS PARVENUES À L'EVÊCHÉ
le lundi 10 novembre 2014 à 16h59
La prochaine remise par la Faculté des Lettres de l'Université de Fribourg, le 15 novembre, du titre de Docteur honoris causa à la chercheuse Judith Butler, contributrice majeure dans les études de genre, a amené plusieurs personnes à interpeller l'Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg pour demander une suppression de cette distinction.
QUELQUES PRÉCISIONS :
L'Université de Fribourg n'est pas et n'a jamais été une Université catholique, au sens juridique du terme (dont les normes actuelles sont régies par la ConstitutionSapientia Christiana, publiée par le pape Jean-Paul II le 29 avril 1979). C'est une Université d'Etat fondée au XIXe siècle dans un canton catholique, et on l'a traditionnellement appelée "Université des Catholiques Suisses". Pour cette raison, une quête est proposée chaque année aux catholiques suisses, dans le but de favoriser une certaine présence catholique dans des projets interfacultaires.
La Faculté de Théologie est la seule formellement liée à l'Eglise, et elle a un Grand Chancelier qui est le Maître général des dominicains. Celui-ci doit approuver les doctorats honoris causa de la Faculté de Théologie, mais il n'a absolument aucun rôle dans les autres Facultés. Dès la fondation de l'Université, l'Etat de Fribourg (notamment le Conseiller d'Etat Georges Python) a souhaité que l'évêque du diocèse n'ait pas son mot à dire sur la vie interne de l'Université, et pour cette raison il a pris contact avec l'Ordre dominicain en ce qui concerne la Faculté de Théologie.
Soucieuse de la polémique autour des études de genre, une commission des évêques suisses suit actuellement la question et communiquera ultérieurement sur le sujet.
Fribourg, le 10 novembre 2014
Le Service diocésain de la communication
https://www.youtube.com/watch?v=7waAbs5hDa0 A la minute 03:47 - Abbé Grosjean totalement halluciné par la théorie du genre consistant à nier l'altérité sexuelle (Gender Theory). Débat avec Najat Vallaud-Belkacem (PS), Emmanuel Pierrat (Avocat), Henri Guaino (UMP), Barbara Pompili (EELV) et Bruno Gollnisch (FN) dans Mots Croisés présenté par Yves Calvi.
Voir cette autre interview d'Abbé Grosjean sur BFM TV :
http://www.youtube.com/watch?v=2EJSkT...
https://www.youtube.com/watch?v=cOnXqOUqQcw
MGR MOREROD S'EXPRIME SUR LES RÉACTIONS LIÉES AU DIES ACADEMICUS
le mercredi 12 novembre 2014 à 17h08Le Dies Academicus du 15 novembre sera à l'Université de Fribourg l'occasion de plusieurs manifestations simultanées, comme les 125 ans de la Faculté de Théologie et la remise du doctorat honoris causa par la Faculté des Lettres à Mme Judith Butler. Les activités d'une Faculté sont décidées à l'intérieur de celle-ci, sans que les autres soient consultées. Certains me demandent de supprimer la Messe duDies (célébrée par le Grand Chancelier de la Faculté de Théologie) : ce serait une manière de gâcher le jubilé d'une Faculté (mais aussi l'expression de la foi d'enseignants et étudiants de toutes les Facultés) à cause d'une décision à laquelle elle n'a pris aucune part. En d'autres termes, ce serait donner aux personnes qui ont promu ce doctorat un veto effectif sur l'expression de la vie de foi d'autres membres de la communauté universitaire. Qui plus est, la situation invite plutôt à la prière...
Il est évident que certains aspects des études en genre mettent en cause des aspects centraux de la vision chrétienne de l'homme. En particulier, et S. Jean-Paul II avait beaucoup insisté sur ce point : c'est en tant que homme et femme que l'homme est créé à l'image de Dieu (et en brouillant l'image, on rend plus difficile la reconnaissance de ce dont elle est image). Ici, la tradition judéo-chrétienne intègre une vérité naturelle (pas seulement culturelle) considérée comme évidente à travers l'histoire : c'est par l'union d'un homme et d'une femme que la vie est transmise, et ce fait est un fondement de la vie en société.
Comme cela a déjà été communiqué, une commission de la Conférence des évêques suisses prépare un texte sur les études en genre. La préparation de ce document a été décidée bien avant l'annonce de la remise du doctorat honoris causa à Mme Judith Butler, et il est bon de laisser cette commission achever son travail de manière sérieuse. Une suggestion : cela pourrait être combiné avec un colloque organisé par la Faculté de Théologie de Fribourg sur les études en genre, afin de permettre un vrai débat académique interne à l'Université, puisque c'est aussi à cela que sert la présence commune de différentes Facultés dans une même Université. On voit particulièrement bien dans un tel contexte que c'est en argumentant, plutôt qu'en insultant (je pense à certains messages reçus), que l'on peut à la fois défendre ses propres idées et discuter celles des autres. L'insulte donne l'impression que l'on n'a pas d'argument.
+Charles Morerod, évêque de Lausanne, Genève et Fribourg
http://www.diocese-lgf.ch/medias/actualites/articles/article/mgr-morerod-sexprime-sur-les-reactions-liees-au-dies-academicus.html
Vergogne, indispensable à la vraie démocratie.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 vergoigne « sentiment de honte » (Roland, éd. J. Bédier, 1705); 1553 vergogne (La Bible, s.l., impr. J. Gérard, Esdras, 8, 22); 2. 1588 [éd.] sans vergongne « sans honte, sans scrupule » (Montaigne,Essais, III, 5, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, p. 847). Du lat. class. vĕrēcundia « crainte respectueuse, réserve, pudeur », lat. de l'époque impériale « honte devant une chose blâmable », dér. de verēri « craindre; révérer, respecter, appréhender »; actuellement ne s'emploie plus que dans la loc. sans vergogne.
l’Esprit souffle où et quand il veut), c’est « la révolution catholique pour l’Europe » qu’observe déjà et appelle de ses vœux le cardinal Walter Brandmüller, président émérite du Comité pontifical des sciences historiques, dans une lumineuse conférence donnée lors la journée de commémoration du 50e anniversaire de la proclamation de saint Benoît patron de l'Europe, qui s'est tenue le 25 octobre à Nurcie (texte intégral traduit en français sur le site Benoît et moi) : « N'oublions pas, dit-il, que l'Église est non seulement annonciatrice de l'Évangile de Jésus-Christ, mais elle s'est toujours également considérée comme la gardienne du patrimoine spirituel naturel, du vrai, du beau et du bon. La grâce présuppose la nature. C'est pourquoi avant même l'annonce de l'Évangile de Jésus-Christ, la contribution de l'Église à l'avenir de l'Europe consiste dans la restauration – pour ainsi dire – des fondements naturels de la vie humaine, de la société humaine. »
Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 vergoigne « sentiment de honte » (Roland, éd. J. Bédier, 1705); 1553 vergogne (La Bible, s.l., impr. J. Gérard, Esdras, 8, 22); 2. 1588 [éd.] sans vergongne « sans honte, sans scrupule » (Montaigne,Essais, III, 5, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, p. 847). Du lat. class. vĕrēcundia « crainte respectueuse, réserve, pudeur », lat. de l'époque impériale « honte devant une chose blâmable », dér. de verēri « craindre; révérer, respecter, appréhender »; actuellement ne s'emploie plus que dans la loc. sans vergogne.
“Les ténèbres ne peuvent pas chasser les ténèbres, seule la lumière le peut. La Haine ne peut pas chasser la haine, seul l'Amour le peut.” ...(Martin Luther King).
l’Esprit souffle où et quand il veut), c’est « la révolution catholique pour l’Europe » qu’observe déjà et appelle de ses vœux le cardinal Walter Brandmüller, président émérite du Comité pontifical des sciences historiques, dans une lumineuse conférence donnée lors la journée de commémoration du 50e anniversaire de la proclamation de saint Benoît patron de l'Europe, qui s'est tenue le 25 octobre à Nurcie (texte intégral traduit en français sur le site Benoît et moi) : « N'oublions pas, dit-il, que l'Église est non seulement annonciatrice de l'Évangile de Jésus-Christ, mais elle s'est toujours également considérée comme la gardienne du patrimoine spirituel naturel, du vrai, du beau et du bon. La grâce présuppose la nature. C'est pourquoi avant même l'annonce de l'Évangile de Jésus-Christ, la contribution de l'Église à l'avenir de l'Europe consiste dans la restauration – pour ainsi dire – des fondements naturels de la vie humaine, de la société humaine. »
C’est parce qu’ils ont pris conscience de l’urgence de cette refondation humaine et sociale que certains catholiques COMME VOUS ont rallumé les fourneaux – intellectuels et spirituels – chez vous et dans ce pays de France où, comme aimait à le dire le bienheureux Paul VI, « se cuit le pain de la chrétienté »."
SOYEZ BÉNIS !