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Dès que s’est amorcé le soulèvement populaire des "Gilets Jaunes », le 17 novembre 2018, les médias ont commencé à médiatiser le général Pierre de Villiers (wikipedia), ancien CEMA écarté par Macron en juillet 2017, peu après son élection.
Sur Europe 1, un prétendu « Gilets Jaunes » a même appelé de ses voeux l’arrivée d’un militaire au pouvoir en désignant le général de Villiers, censé incarner un homme intègre défenseur de la souveraineté de la France et gardien du bien commun de la nation, homme providentiel d’une France qui se cherche un chef. Cet appel à Villiers émanait semble-t-il de milieux sionistes comme l’a rapporté le site Panamza : http://www.panamza.com/031218-devilliers-israel-otan/
En réalité, cet homme qui a servi les Présidents Hollande et Macron, et qui fut familier de la classe politique républicaine des vingt dernières années, a rapidement intégré le cabinet américain BCG (Boston Consulting Group) huit mois après avoir démissionné de l’armée française.
Coqueluche des milieux conciliaires Vatican II, et même catholiques traditionnels, la personnalité de cet autre membre du clan Villiers se révèle plutôt à l’opposé de l’image que les médias tentent de donner de lui.
Ce documentaire vidéo, réalisé par un commentateur royaliste du Cercle Richelieu, présente la pensée du général Pierre de Villiers, telle qu’il l’exprime dans ses deux derniers livres (« Servir », « Qu’est-ce qu’un chef ? »).
Le général Pierre de Villiers n’est rien d’autre qu’un mondialiste avéré, serviteur du fédéralisme européen qui vient, ennemi de la patrie française.
C’est alors qu’il était CEMA (avril 2014 jusqu’en juillet 2017) que l’Etat français a armé les djihadistes envoyés en Syrie et financés par l’Arabie Saoudite et le Qatar, avec la complicité d' Israël, provoquant une persécution des Chrétiens d’Orient qui n’a pas connu d’équivalent depuis le génocide arménien.
Le 6 août 2017, le général de Villiers bénéficiait d’un article élogieux (Général de Villiers, la grandeur d’un militaire) du sioniste militant franco-israélien Gilles-William Goldnadel. Ce même Goldnadel membre du Crif depuis 2010, n’étant autre que l’avocat de Philippe de Villiers, frère aîné du général éponyme (référence).
Le sionisme du général de Villiers ressort clairement de sa participation à la politique mise en oeuvre par les gouvernants qu’il a servis dans son rôle de CEMA.
Munis de tels états de service, le personnage se prêterait bien à une fausse reprise en main de la France, si la situation devenait ingérable par Macron, mais en réalité sous le contrôle des maîtres du jeu mondialiste, sous le drapeau du national-sionisme.
DOCUMENTAIRE : Le Général de Villiers : ULTIME ARNAQUE!
Alors que les enveloppes de vote par correspondance le sont !
Urne bourrée ?
Qui a contrôlé ?
Qui a compté ?
Doutes sérieux !
Le PLR genevois a accordé sa confiance à Pierre Maudet par 341 oui, contre 312 non et 56 abstentions, mardi soir lors d'un vote à bulletins secrets durant l'assemblée extraordinaire du parti.
Commentaire de Mme Michèle Herzog suite à ce communiqué paru dans plusieurs journaux, dont 20 minutes, le Matin, etc...
10.06.2018, 14:21 Heures
Excellents résultats pour l'initiative Monnaie pleine. Félicitations aux personnes qui ont alerté la population sur le problème lié à la création de la monnaie scripturale pour les banques (création de monnaie incontrôlable). Le fait que la ville de Genève ait accepté cette initiative est un signal très fort.
Michèle Herzog
Notre commentaire après le changement des résultats:
: Tous les résultats sont très douteux car il est beaucoup trop facile de manipuler le processus des votes, surtout les votes électroniques et ceux par correspondance.
Nous avons des certitudes de tricheries démocratiques trop faciles et prions toutes les personnes courageuses de réfléchir, s’informer et réagir.
Pour avoir parlé avec quelques uns d'entre eux à la sortie, ils sont à 100 lieues de vouloir nous récupérer. Ils étaient très étonnées de nous voir là. Ils étaient aussi étonnés de découvrir qui nous étions vraiment. Positivement étonnés !
Cravate rouge sur fond chemise blanche avec costume bleu de Trump
Les dollars Kennedy et Trump ont du rouge...
Le sceau rouge sur les dollars est celui des rois
Le sceau vert est celui des banquiers.
Le blanc chez les Indo-européens est utilisé pour symboliser la première fonction (pouvoir temporel et religieux / magie) le rouge pourpre pour la seconde fonction (guerre, sang, martyr) et le bleu / noir pour la troisième (possession / richesse)
en France, les couleurs sont fleurdelisée or sur fond azur. Gilets jaunes or j'ajouterais aussi le jaune or comme couleur impériale en Chine.
14 déc. 2015 - Le dollar du FED, en vert, pour la poche de quelques banquiers, avec des intérêts, pour le malheur des multitudes. Le dollar Kennedy, en ...
22 nov. 2010 - Kennedy. La piste du dollar libre. C'était le 22 Novembre 1963. Assassinat à Dallas du président américain John F. Kennedy. Une nouvelle ...
Un rapport révèle que l’ONU emploie 3 300 pédo-criminels, responsables de 60 000 viols au cours des 10 dernières années, la réalité semble bien pire encore
Par Lerebelle - janvier 12, 2019
Un ancien haut fonctionnaire de l’ONU a dénoncé un réseau de pédophilie aux proportions massives impliquant des milliers d’employés de l’ONU et impliquant des dizaines de milliers d’enfants innocents.
Un dossier effrayant publié par un ancien haut fonctionnaire des Nations Unies révèle que les employés des Nations Unies ont commis plus de 60 000 viols au cours de la dernière décennie. De plus, le dossier estime que l’organisation emploie actuellement au moins 3 300 pédophiles.
En l’espace de dix ans, sous couvert de fournir de l’aide, les Nations Unies ont littéralement violé et pillé des pays du monde entier. Le problème est devenu si incontrôlable qu’il a incité l’ancien dirigeant de l’ONU, Andrew Macleod, à dénoncer et à remettre les preuves à la secrétaire britannique du Département pour le développement international (DFID), Priti Patel.
Selon le rapport exclusif du Sun, le dossier révèle qu’en plus des 3 300 pédophiles qui travaillent pour l’organisation, des milliers d’autres agresseurs sexuels «prédateurs» ciblent spécifiquement les emplois caritatifs pour se rapprocher des femmes et des enfants vulnérables.
Selon Macleod, quiconque a tenté de dénoncer cet horrible scandale a été viré !
Partageant son dossier avec The Sun, le professeur Macleod a averti la nuit dernière que le scandale de ces abus sexuels en spirale était de la même échelle que celui de l’Église catholique.
Alors que le rapport révèle qu’il y a 3 300 employés actuels qui sont des pédophiles actifs sur la liste de paie de l’ONU, Macleod estime que le nombre réel est beaucoup plus élevé.
«Il y a des dizaines de milliers de travailleurs humanitaires dans le monde qui ont des tendances pédophiles, mais si vous portez un T-shirt de l’UNICEF, personne ne vous demandera ce que vous faites. “Vous avez l’impunité de faire ce que vous voulez. “Il est endémique dans l’ensemble du monde caritatif à travers le monde”. “Le système est dysfonctionnel, et aurait dû s’arrêter il y a quelques années.”
Selon le rapport au Sun :
Le professeur Macleod a travaillé comme chef de l’aide pour l’ONU dans le monde entier, y compris dans des emplois de haut niveau dans les Balkans, au Rwanda et au Pakistan – où il était chef des opérations du Centre de coordination des urgences de l’ONU. Il fait campagne pour des contrôles bien plus sévères sur les travailleurs humanitaires sur le terrain ainsi que sur les abuseurs pour qu’ils soient traduits en justice, et veut que le Royaume-Uni mène le combat. Le sombre chiffre de 60 000 agressions du professeur est basé sur la reconnaissance du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, que durant l’année 2016, les Casques bleus et le personnel civil des Nations Unies ont maltraité 311 victimes sur une période de douze mois.
L’ONU admet également que le nombre véritable de cas contre son personnel est le double de celui étant rapporté, sachant que les chiffres en dehors des zones de guerre ne sont pas rassemblés de façon centralisée. Le Prof. Macleod estime également qu’un seul sur 10 de tous les viols et agressions commis par des membres du personnel des Nations Unies est signalé, car même au Royaume-Uni, le taux de signalement n’est que de 14%. Sur la base des preuves fournies par le Pr Macleod, l’ex-ministre Priti Patel – qui a démissionné en novembre l’année dernière – a accusé cette semaine des hauts fonctionnaires du DFID de faire partie de la dissimulation.
“Les viols commis sur des enfants sont financés par inadvertance en partie par des contribuables britanniques”, a expliqué Macleod.
“Je sais qu’il y a eu beaucoup de discussions aux échelons supérieurs des Nations Unies pour dire que “quelque chose doit être fait” mais rien d’efficace ne s’est produit, et si vous regardez le dossier des lanceurs d’alerte, ils ont été virés”.
“Nous considérons que c’est un scandale à l’échelle de celui de l’Église catholique, sinon pire.“
Comme le “Free Thought Project” le signale depuis des années, aucun de ces prédateurs n’est tenu responsable, et comme le montre ce rapport, et paradoxalement seuls ceux qui exposent ce scandale sont renvoyés.
Dans le monde entier, un énorme réseau de pédophiles a été découvert en Haïti – impliquant des gardiens de la paix internationaux des Nations Unies ainsi que d’autres hauts fonctionnaires du monde entier – et personne n’a été emprisonné.
Pendant des années, des casques bleus de l’ONU, leurs commandants de haut niveau et d’autres «membres du personnel» du monde entier sont venus en Haïti pour avoir des rapports sexuels avec des garçons et des filles dès l’âge de 12 ans.
En Haïti seulement, plus de 300 enfants se sont manifestés au cours de la dernière décennie avec ces affirmations et seule une infime partie des accusés ont déjà été confrontés à une quelconque forme de responsabilité. Quand on pense que c’est l’organisation sur laquelle les gouvernements du monde comptent pour maintenir la paix… il n’est pas étonnant que nous soyons dans un état de guerre perpétuel.
La chaîne Al Jazeera, dont le nom signifie littéralement « l'île », basée à Doha au Qatar, est lancée le 1ernovembre1996, par le cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, émir du Qatar, qui vient d'arriver au pouvoir en renversant son père. Elle vise à rompre la mainmise des Saoudiens sur le paysage médiatique international arabe, à briser le contrôle des gouvernements arabes sur l'information nationale et donc à libéraliser le paysage médiatique arabe. Pour représenter au mieux son public arabe, Al Jazeera ne prend pas seulement des journalistes libanais3mais des journalistes de tous les pays arabophones. Le noyau dur de l'équipe éditoriale d'Al Jazeera provient de BBC Arabic Television4.
MBS, alias Mohamed Ben Salman, l'homme fort en Arabie saoudite, a lancé de très graves menaces et un appel d'offre international pour faire du Qatar une île. et détruire ce pays par tous les moyens.
Il existe une société secrète des disciples de Saint Jean le Baptiste, dont le noyau est formé des descendants directs de ses disciples d'il y a près de 2'000 ans
Ils sont des milliers et baptisent encore notamment dans les fleuves du Jourdain, du Tigre et de l'Euphrate.
Ils sont à mi-chemin entre les juifs et les chrétiens et se cachent des musulmans car ils risquent la mort immédiate, encore maintenant.
Leurs femmes sont parmi les plus belles, sensibles, douces, éduquées, intelligentes, priantes, soignantes etc.... comme on peut l'écouter dans le conte des mille nuits et une nuit.
Il y a un moyen secret pour entrer en contact avec eux qui m'a été donné quand je travaillais en Irak pour le CICR.
Ils m’appellent "cousin ".
Ils peuvent orienter des moyens financiers considérables.
Le nom Benyahia signifie normalement leur amour de St Jean Baptiste ( Yahia ) , Ben, fils de....
Sept soeurs de Sainte Mère Teresa, invitées au Yemen pour y travailler pour la paix, et beaucoup d'autres personnes volontaires auprès d'elles, ont été récemment assassinées par deux commandos en deux lieux différents et à deux dates différentes. La seule survivante travaille encore au Yemen.
Il y a plusieurs choses qu'on ne peut pas acheter, notamment l'honneur, l'amour, la santé, la vie éternelle.
On peut essayer d'acheter la paix car elle vaut plus que tout l'or du monde.
Solution:
Une issue possible est expliquée dans notamment nos messages précédents, nos livres, articles, sites internet, blogs, actions en faveur de vraies et justes monnaies et de démocraties économiques.
Il vous reste à corroborer les autres parties impliquées, toutes les personnes qui sont venues nous voir en Suisse sont d'accord de participer à propager ces idées et à établir la vérité sur la mort de notamment les sept soeurs de Mère Térésa, et tout faire pour éviter une tentative de meurtre du pape lors de sa venue à Abou Dhabi en début février ou au Maroc en mars...
En effet, à l’invitation du cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyane, prince héritier d’Abou Dhabi, et de nombreux autres personnalités de la région, le pape François se rendra dans cet émirat du Golfe persique du 3 au 5 février prochain, puis au Maroc en Mars, pour contribuer à la paix entre toutes les personnes et religions de bonne volonté.
Shéhérazade nous l’avait raconté dans notre enfance, les richesses d’Aladin sont infinies. Grâce à sa lampe, le jeune garçon de modeste famille a pu ainsi épouser la fille du sultan. Dans sa version américaine, « Aladdin » est aussi immensément riche. Il gérerait actuellement près de 15 000 milliards de dollars (14 000 euros), soit 7 % des actifs financiers mondiaux. Mais Aladdin a un maître, c’est BlackRock, le premier gestionnaire d’actifs au monde, qui a mis au point cette plateforme informatique, qui, comme la lampe du conte, renferme la puissance du monde moderne, celle de l’intelligence artificielle. Mardi 28 mars, Larry Fink, le patron de BlackRock, a annoncé qu’il allait donner encore plus de travail à son génie numérique. Sa société va basculer une partie de ses investissements, jusque-là gérés par des analystes humains, vers une gestion par les algorithmes d’Aladdin. Ce que les financiers appellent passer de la gestion active, décidée par des hommes, à la gestion passive, déterminée par le logiciel.
La finance est l’un des premiers terrains d’expérimentation de l’intelligence artificielle, ces programmes informatiques capables de gérer des masses de données considérables et surtout d’apprendre et donc de s’améliorer sans cesse, comme le fait un enfant en découvrant le monde. Elle est la version dématérialisée du robot industriel. Avec lui, l’informatique ne s’attaque plus aux métiers manuels ou d’employés, ni aux champions d’échecs ou de jeu de Go, mais aux métiers à forte valeur ajoutée : médecins, avocats, journalistes, investisseurs… Selon Bloomberg, Aladdin va ainsi remplacer Pete Stournaras qui gérait un portefeuille de six milliards de dollars chez BlackRock et en était l’un des analystes vedettes. L’intelligence artificielle signe-t-elle le « déclin de l’empire humain », comme le titre joliment le dernier livre de Charles-Edouard Bouée, le patron du cabinet de conseil Roland Berger ? Ce n’est pas si simple.
Victoire de la machine sur l’analyste
Car la victoire de la machine sur l’analyste chez BlackRock, est aussi la conséquence d’une évolution majeure du monde de l’investissement. Dans un univers très réglementé, où les taux d’intérêt sont très bas, les investisseurs, qui confient leurs économies aux gérants comme BlackRock ou Vanguard, se méfient de plus en plus de l’intuition des hommes et préfèrent le confort du suivi des indices, comme le CAC 40 en France ou le S&P 500 aux Etats-Unis.
Wasn't it Munson who said in Alladin's Lamp that one of the mistakes economists make is jumping in and out of time with their abstractions/opinions derived from their theoretical models rather than looking at the empirical cost accounting data, realizing that cost is an ever present factor they cannot afford to misinterpret or forget about and hence cognite on the validity/reality of A + B?
On Tuesday, April 15, 2014 2:45:28 AM UTC-7, Wallace Klinck wrote:
Attention All:
Wesleyan University was gifted American Social Credit Leader Gorham Munson’s papers and library on Social Credit and has apparently managed to organize this material for public access, evidently without restriction. The collection should allow one to appreciate the extent of activity of the Social Credit movement in America during the 1930s and into the mid-1940s. The following link will bring the reader to the appropriate website:
The extensive Abstract is very helpful although it may not be totally correct in every detail. Of course, Douglas and Munson were not in complete agreement on all issues. Munson accepted Douglas’s economics essentially without challenge but the two did not have entirely compatible views regarding certain aspects of politics and/or history. Especially valuable items in the collection would be the periodicals the New Age and New English Weekly.
... et agissons ! by François de Siebenthal; 70 videos; 1,105 views; Last updated on Sep 16, 2018 ..... From Qatar, Mr. Benoît Ouellet, canadian social crediter.
Le rosaire est le nom d'une prière composé de quatre chapelets d'oraison, consacrée à Marie. En 1883, le pape Léon XIII décrétait que le mois d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à "la Saint Reine du Rosaire". Depuis, octobre est traditionnellement resté le mois du Psautier de Marie. Le P. Jacques Nieuviarts, assomptionniste, nous en dit plus. Publié 5 octobre 2017.
Chaque année les Dominicains organisent à Lourdes le pèlerinage du Rosaire. La prière du rosaire comprend 150 "Je vous salue Marie" partagés en trois parties. Quelle est son origine ? Comment le réciter ?
Le "Je vous salue Marie" n'est pas apparu d'un seul coup. Cette prière à Marie est née peu à peu dans la piété de l'Eglise, pour ne se fixer dans sa forme définitive que vers 1500. Pourtant, dès le 12e siècle, saint Bernard contribua à développer cette prière à Marie sous la forme naissante du chapelet ou du rosaire. Et Saint Dominique au siècle suivant, en répandit l'usage, prescrivant à ses religieux de porter un chapelet à leur ceinture. La grande peste de 1349, qui ravagea tous les royaumes d'Europe, amena les foules à un surcroît de piété, qui contribua également à l'essor de la piété mariale. Et c'est en fait au siècle suivant que cette prière prit le nom de Rosaire.
Le Pape Pie V engagea l’Église entière à cette prière, face à l'avancée turque qui menaçait l'Europe. C'est ainsi que fut attribuée au Rosaire la victoire décisive de Lépante, en 1571. La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a été instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de cette victoire. En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le mois d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à "la Saint Reine du Rosaire". Depuis, le mois d'octobre, durant lequel comme au mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé le mois du Rosaire.
Au sens strict, le chapelet est un "petit chapeau" ou comme une couronne. On avait en effet coutume, au Moyen Age, de couronner de roses les statues de la Vierge, chaque rose symbolisant une prière, d'où le mot de rosaire.Un chapelet de roses
Un rosaire comprend 150 "Je vous salue Marie", qui rappellent les 150 Psaumes, et on a longtemps appelé le Rosaire Psautier de Marie. Les 150 "Je vous salue Marie" furent partagés en trois parties, en l'honneur de la Trinité. Puis chaque partie en cinq dizaines, chacune étant précédée d'un Notre Père et suivie du Gloire au Père ou Gloria, en l'honneur de la Sainte Trinité.
Méditer l'histoire du Salut
Le Rosaire est ainsi une forme de prière répétitive et très simple, durant laquelle on médite sur la place de Marie dans le mystère du salut, pour s'y associer. Cette prière en effet n'est pas pure répétition : elle est méditation, accueil du mystère de Dieu qui touche et rejoint nos vies. Le chapelet ou le rosaire sont ainsi une méditation de l'Evangile, l'accueil pour le croyant, de la vie du Seigneur.
Dans la récitation du chapelet, chaque mystère est annoncé ou médité et suivi d'une dizaine de chapelet. Pour ne pas perdre le compte, les fidèles utilisaient un collier de cent cinquante grains, nommé "patenôtre",qui est à l'origine des chapelets actuels. Le rosaire a longtemps compté quinze mystères, répartis en 3 séries : les mystères joyeux, douloureux et glorieux, ce qui amenait aux 150 Je vous salue Marie, qui en faisaient le Psautier de Marie. Mais Jean-Paul II a rajouté en 2002 cinq nouveaux mystères : les mystères lumineux. Contemplons donc cette immense fresque de la foi.
Les mystères joyeux
Les premiers mystères que l'on prie sont les mystères joyeux. Ils rappellent et contemplent le mystère de la naissance et l'enfance de Jésus. Ce sont : 1. L'Annonciation : l'ange Gabriel est envoyé par Dieu à Marie, pour lui annoncer qu'elle serait mère du sauveur (Luc 1, 26-38). 2. La Visitation : Marie rend visite à Elisabeth, enceinte elle aussi, malgré son âge et sa stérilité. Elle mettra au monde Jean-Baptiste. Marie chante alors son action de grâce à Dieu, dans le Magnificat (Luc 1, 39-56). 3. La Nativité : la naissance de Jésus à Bethléem et la joie des bergers et des pauvres, l'adoration aussi des mages venus d'Orient (Luc 2, 1-21). 4. La Présentation de Jésus au Temple, comme la Loi juive le demandait pour tout premier-né masculin. Joseph et Marie se conforment à cet usage. Syméon et Anne reconnaissent en l'enfant le Messie attendu par Israël (Luc 2, 22-40). 5. Le Recouvrement de Jésus, lorsque Jésus est retrouvé au Temple, au terme de trois jours, au cours du pèlerinage effectué par Joseph et Marie comme c'était la coutume (Luc 2, 41-51).
Les mystères lumineux
Les mystères lumineux, introduits par Jean-Paul II en 2002 sont tout entiers centrés sur la personne de Jésus : « Si l'on veut indiquer à la communauté chrétienne cinq moments significatifs - mystères lumineux - de cette période de la vie du Christ, il me semble, dit Jean-Paul II, que l'on peut les mettre ainsi en évidence : 1. au moment de son Baptême au Jourdain (Marc 1, 21), 2. dans son auto-révélation aux noces de Cana (Jean 2, 1-12), 3. dans l'annonce du Royaume de Dieu avec l'invitation à la conversion : (Marc 1, 15, Marc 2, 3-13, Luc 7, 47-48), 4. dans sa Transfiguration (Luc 9, 35 ) et enfin 5. dans l'institution de l'Eucharistie, expression sacramentelle du mystère pascal (Jean 13, 1). Chacun de ces mystères est une révélation du Royaume désormais présent dans la personne de Jésus.
Les mystères douloureux
Les mystères douloureux s'associent à la Passion et à la mort de Jésus : 1. L'agonie de Jésus au jardin des Oliviers (Matthieu 26, 36-56), 2. la Flagellation (Marc 25, 15), 3. le Couronnement d'épines (Matthieu 27, 27-31), 4. Le Portement de la Croix (Luc 23, 26-30) et 5. Le Crucifiement et la Mort de Jésus sur la Croix (Jean 19, 17-37).
Les mystères glorieux
Les mystères glorieux méditent tour à tour : 1. La Résurrection de Jésus (Matthieu 28, 5-8), 2. L’Ascension (Marc 16, 19-20), 3. La Pentecôte (Actes 2, 1-13), 4. L'Assomption de Marie (Apocalypse 12, 14-16) et 5. Le Couronnement Marie dans le Ciel (Apocalypse12, 1).
L’Église a coutume de répartir la prière et la méditation de l'ensemble de ces mystères du Rosaire sur les jours de la semaine, pour qu'ils irriguent ainsi l'ensemble de la vie : le lundi et le samedi, les mystères joyeux, le mardi et le vendredi, les mystères douloureux, le mercredi et le dimanche, les mystères glorieux, et le jeudi, les mystères lumineux.
Au rythme de la vie humaine
Jean-Paul II à plusieurs reprises a redit la richesse de cette prière, ainsi dans cette homélie du 29 octobre 1978 : "Je voudrais, disait-il, attirer votre attention sur le Rosaire. [] Le Rosaire est ma prière préférée. C'est une prière merveilleuse. Merveilleuse de simplicité et de profondeur. Dans cette prière, nous répétons de multiples fois les paroles de l'Archange et d'Élisabeth à la Vierge Marie. Toute l'Église s'associe à ces paroles. Sur l'arrière-fond des Ave Maria défilent les principaux épisodes de la vie de Jésus Christ. Réunis en Mystères joyeux, douloureux et glorieux, ils nous mettent en communion vivante avec Jésus à travers le Coeur de sa Mère, pourrions-nous dire. En même temps, nous pouvons rassembler dans ces dizaines du Rosaire tous les événements de notre vie individuelle ou familiale, de la vie de notre pays, de l'Église, de l'humanité : c'est-à-dire nos événements personnels ou ceux de notre prochain, et en particulier de ceux qui nous sont les plus proches, qui nous tiennent le plus à coeur."
C'est ainsi que la simple prière du Rosaire s'écoule au rythme de la vie humaine.
Disque 1 : 1. I. The Annuciation 2. II. The Visitation 3. III. The Nativity 4. IV. The Presentation 5. V. The Finding in the Temple 6. VI. The Agony in the Garden 7. VII. The Scourging of Jesus 8. VIII. The Crowing of Jesus with Thorns
Disque 2 : 1. IX. Jesus carries His Cross 2. X. The Crucifixion 3. XI. The Resurrection 4. XII. The Ascension 5. XIII. The Descent of the Holy Ghost 6. XIV. The Assumption of our Lady 7. XV. The Crowning of the Blessed Virgin Mary 8. Passacaglia
Coups de poings à travers les barreaux, menaces de mort explicites: le Lausannois de 39 ans incarcéré dans la province indonésienne de Papouasie a reçu des visites inquiétantes fin janvier dans sa cellule d'un centre de détention de la police à Wamena. J. S. a lancé un véritable appel au secours à l'agence de presse AP, qui a publié samedi des extraits de sa lettre manuscrite de deux pages. «Ce qui m'a frappé, c'est l'indifférence totale des gardiens, écrit-il. Je me demandais même s'ils n'allaient pas leur ouvrir les portes de notre cellule pour leur permettre de nous harceler à l'intérieur ou de nous emmener.» Selon le Vaudois, ces agresseurs étaient des membres d'une milice paramilitaire indonésienne. Leurs coups s'ajoutent à des conditions de détention déjà pénibles, entre l’exiguïté des cellules, l'unique repas quotidien et la saleté de l'eau.
Les forces de l'ordre du district de Jayawijaya ont fait la Une des médias du monde entier ce lundi, à cause d'une méthode d'interrogatoire inhumaine, qui consiste à utiliser un énorme serpent pour forcer les suspects à parler. Il faut dire qu'un grave conflit oppose le gouvernement indonésien et les populations autochtones de Papouasie. Des ONG dénoncent régulièrement les abus commis par les autorités dans cette partie de l'île, sous le contrôle de Jakarta depuis 1963. Mais dans le cas de J. S., le responsable de la police régionale Tonny Ananda nie tout mauvais traitement et déclare que les responsables «font de leur mieux» pour satisfaire les demandes du détenu. «Il est toujours mécontent et invente de mauvaises histoires pour discréditer la police indonésienne», ajoute l'officier.
Le Polonais d'origine, installé en Suisse depuis des années, a été arrêté l'été dernier. Il est accusé de comploter avec des indépendantistes papous. Le Vaudois a toujours nié toute implication dans ce réseau. Selon ses proches, J. S. est peut-être un touriste en mal d'adrénaline, mais pas un militant politique. Son procès est en cours. L'acte d'accusation retient des discussions avancées sur Messenger entre J. S. et un leader séparatiste papou. Le Polonais se serait proposé pour trouver des armes à feu. De la pure manipulation digne d'un procès politique, se défend-il. S'il est condamné, il pourrait passer au moins 20 ans en prison.
Depuis le mouvement Occupy Wall Street aux USA en 2011 et celui des Gilets jaunes en France, des millions de citoyens sur la planète ont pris conscience que la supercherie a assez duré ! « We are the 99 % » et nous ne pensons pas que la seule finalité de l’humanité soit de produire, de « con-sommer » et de passer son existence à comparer les prix dans une économie de marché mondialisée. Il va nous falloir choisir entre la survie d’un système absurde, stupide et violent qui fait du profit sa seule finalité, et la survie de notre humanité et de notre environnement. C’est donc soit la survie des peuples (les 99 %), soit la survie d’un système contrôlé par 0,01 % de la population pour son seul bénéfice. […] Pour sortir de la crise monétaire absurde dans laquelle nous sommes englués, nous proposons une réforme monétaire inspirée du « 100 % Money » et un assouplissement monétaire pour les peuples (QE4P), c’est-à-dire, premièrement un contrôle de la totalité de la masse monétaire en circulation par l’État et deuxièmement un revenu d’existence pour tout un chacun. Il est évident que ces réformes ne pourront se faire qu’au niveau de l’État français en commençant par la nationalisation de toutes les banques françaises. Sans souveraineté nationale, aucun combat politique n'est possible ; sans souveraineté, on peut déclarer tout de suite forfait contre la mondialisation libérale. Nous pensons qu'il n'est pas utile de faire de la politique au niveau national si l'on ne parle pas de : 1/ Comment fonctionne le système monétaire ? 2/ Qui contrôle l'émission monétaire actuelle ? 3/ La possibilité de réformer cette émission de façon à ce que cela soit bénéfique à l'ensemble des citoyens, et non pas à une infime minorité. Dans le cadre d'un mouvement international, International Movement for Monetary Reform, le Mouvement Monnaie Juste (MMJ) est un mouvement citoyen qui a pour principal objectif d'alerter les citoyens sur l'injustice du système monétaire actuel et sur les solutions de remplacement comme le 100 % monnaie ou l'Initiative Monnaie Pleine proposée par une votation le 10 juin 2018 en Suisse par exemple. Premiers signataires : Philippe Bourcier de Carbon (Fondateur de l'AIRAMA, économiste), Valerie Bugault (Dr en droit privé), Marie-Louise Duboin, Gérard Foucher (Auteur), Christian Gomez (Ancien banquier, Dr en sciences économiques), Bruno Guigne (Ancien sous-préfet, Normal Sup', ENA), Marc Jutier (Auteur, ingénieur), Serge Latouche (Professeur émérite, Dr en sciences économiques), Gilles Poncet, Luciens Pons, Jean Remy (Ancien banquier international), Jacques Sapir (Directeur d'études à l'EHESS, Dr en sciences économiques), François de Siebenthal (Premier signataire de l'Initiative Monnaie Pleine), Henri Temple (Professeur honoraire de droit économique), Jean-Claude Werrebrouck (Agrégé d'économie). Mouvement Monnaie Juste – mouvement-monnaie-juste.blog4ever.comGroupe facebook.com/groups/815794531806269/ (2400 membres) 4e de couverture de « La MONNAIE, hier, aujourd'hui et demain - € $ £ ₽ ¥ - Du dictât des banquiers à une civilisation adulte » Après lecture de cet ouvrage, la monnaie n'aura plus de secret pour vous. Dans ce document d'histoire, d'économie et de philosophie, vous découvrirez tout ou presque sur la monnaie, les banques, les cercles du véritable pouvoir en Occident, le fonctionnement du système monétaire actuel et les alternatives à ce système fondamentalement inique, violent et absurde. Cet ouvrage, forcément politique, vous permettra de nourrir votre réflexion sur la monnaie, la démocratie et une nouvelle façon d'envisager la civilisation. Ce document, un concentré de subversion, a pour fonction de vous raconter l'histoire des monnaies et des banques (partie I), de vous expliquer le fonctionnement du système monétaire actuel (partie II), de vous présenter les cercles du véritable pouvoir (partie III), de vous exposer les alternatives au système à réserves fractionnaires (partie IV) et de partager une vision de ce que pourrait être une civilisation une fois débarrassé du "cancer" de la monnaie des banquiers. L’objectif est simplement de vous fournir un document qui fasse le tour de ces questions si « capital » : la monnaie, les banques, le pouvoir en Occident et les alternatives à ce système fondamentalement mortifère : la monnaie-dette et son corollaire la pensée de marché, le capitalisme. Ce livre est enrichi de 575 liens URLs directement cliquables depuis un blog de l'auteur. Table des matières et liens du livre - fraternitecitoyenne.blog4ever.com/liens-du-livre Après lecture de cet ouvrage, la monnaie n'aura plus de secret pour vous. Dans ce document d'histoire, d'économie et de philosophie, vous découvrirez tout ou presque sur la monnaie, les banques, les cercles du véritable pouvoir en Occident, le fonctionnement du système monétaire actuel et les alternatives à ce système fondamentalement inique, violent et absurde. Cet ouvrage, forcément politique, vous permettra de nourrir votre réflexion sur la monnaie, la démocratie et une nouvelle façon d'envisager la civilisation.
La monnaie n'est qu'un moyen pour mobiliser l'énergie humaine et son émission devrait légitimement appartenir aux institutions représentant les citoyens et... ce n'est pas le cas aujourd'hui ! Notre société est fondamentalement absurde et profondément injuste à cause d'un système monétaire qui est, de fait, une énorme supercherie. Comme l'affirmait Irving Fisher en 1935 lors de l’écriture de son ouvrage méconnu 100% Money : « Et si notre système monétaire n’avait jamais été véritablement réfléchi ? » Le système monétaire ne serait qu’une pure contingence de l’histoire, modelée au cours des siècles par l’appât du gain des banquiers. Il serait la cause principale des épisodes récurrents de boom et de dépression dont souffrent les économies capitalistes depuis le début de son histoire, c'est-à-dire depuis "l'invention" de la monnaie ou de sa création ex nihilo par les banquiers.
Ce document, un concentré de subversion, a pour fonction de vous raconter l'histoire des monnaies et des banques (partie I), de vous expliquer le fonctionnement du système monétaire actuel (partie II), de vous présenter les cercles du véritable pouvoir (partie III), de vous exposer les alternatives au système à réserves fractionnaires (partie IV) et de partager une vision de ce que pourrait être une civilisation une fois débarrassé du "cancer" de la monnaie des banquiers. L’objectif est simplement de vous fournir un document qui fasse le tour de ces questions si « capital » : la monnaie, les banques, le pouvoir en Occident et les alternatives à ce système fondamentalement mortifère : la monnaie-dette et son corollaire la pensée de marché, le capitalisme. Ce livre est enrichi de 575 liens URLs directement cliquables depuis un blog de l'auteur.
Quelques thèmes abordés dans cet ouvrage : histoire de la monnaie depuis l'Antiquité, naissance de la Banque d'Angleterre, combat de Roosevelt contre les banquiers, création de la Fed, histoire des monnaies en France, histoire de la Banque de France, quantitativisme, le paradoxe de Triffin et l’effondrement des accords de Bretton Woods, le FMI, masse monétaire : M0, M1, M2 et M3, ratio Cooke, ratio McDonough, accords de Bâle, Bilderberg, Commission Trilatérale, CFR, French American Foundation et son programme Young Leaders, la Société du Mont Pèlerin et la fondation Saint-Simon, la BRI, l’État profond américain, monnaie fondante de Silvio Gesell, le crédit social du Major Clifford Hugh Douglas, les Créditistes du Canada, l’économie distributive de Jacques Duboin, Maurice Allais, chartalisme, néochartalisme, sociétalisme, écosociétalisme et Théorie Relative de la Monnaie, crypto-monnaies, Quantitative Easing, Irving Fisher, Revenu d'Existence, Gandhi, Ruskin, NAIRU, Potlatch. La Part maudite et la Notion de dépense, la Revue du M.A.U.S.S., propagande, théorie du complot, Skolimowski, philosophie pour une Nouvelle Civilisation, connaissances et valeurs, …
Biographie
Marc Jutier est né à Paris le 11 août 1962, d'une mère canadienne, philosophe et mathématicienne, et d'un père ingénieur et chercheur à l’Inserm. Ingénieur de l’École Polytechnique de Montréal, il a travaillé à Montréal et à Paris comme ingénieur commercial en informatique. Il a fait plusieurs longs voyages en Asie (Népal, Tibet, Inde, Indonésie, Thaïlande, Birmanie). Il a construit sa maison. Il est père de deux filles.
Il a été candidat aux élections législatives de 1997 à Paris ; membre du Parti Socialiste d'août 2011 à novembre 2016 ; mandataire fédéral de Dordogne pour la Motion 4 (Stéphane Hessel) lors du congrès d'octobre 2012 à Toulouse ; candidat pour la tête de liste PS aux élections régionales pour la Nouvelle-Aquitaine en février 2015 ; candidat à la candidature de la Primaire citoyenne de 2017, organisée par PS et ses alliés pour désigner leur candidat à l'élection présidentielle, il a abandonné faute d'un nombre suffisant de parrainages internes et il a été candidat aux élections législatives de 2017 en Dordogne.
Livres : - Nouvelle Civilisation 2012. Éd. PASCAL, 2008. - Le Guide de l'écologie Politique. 108 propositions pour une civilisation qui s’éveille. Éd. ALIAS, 2003. - Carnet de route d'un jeune iconoclaste. Le 21e siècle sera… ce que nous en ferons. Éd. du Fraysse 1999. - La MONNAIE, hier, aujourd'hui et demain. Du dictat des banquiers à une civilisation adulte Site : jutier.net Blog : marcjutier.over-blog.fr Page facebook.com/jutier.marc Chaîne : youtube.com/user/MarcJutier
M. Hervé Falciani a travaillé dans la tanière du dragon de l'opium et des drogues HSBC, groupe bancaire international britannique présent dans 84 pays et territoires et rassemblant plus de 60 millions de clients, et a remis beaucoup d'informations bancaires aux autorités de nombreux pays...
27 banquiers condamnés à de la prison en Islande et à Londres, dont un à 14 ans de prison ferme, mais aucun aux USA ! et seulement 40 millions payés par HSBC à Genève...
4 août 2015 - Historique, première condamnation à de la prison ferme (14 ans) au motif de manipulation motivée par la cupidité. Un ex-courtier d'UBS ...
1 nov. 2013 - Vaccinations: La cupidité est-elle «bassesse de caractère» intentionnelle ? Bravo à un genevois averti et courageux. Jusqu'à présent, l'article ...
27 sept. 2015 - Aléas moral, banquiers pervers et cupides. Les jeux des banquiers... Pile ou face ? Face, je gagne, pile, tu perds et tu dois payer par tes impôts ...
13 févr. 2009 - Pourquoi fournir de l'alcool aux alcooliques ? de l'argent aux cupides ? Lacupidité est pire que l'alcoolisme, elle tue des millions d'innocents.
29 août 2015 - Faudra-t-il vraiment une 3ème faillite de l' Union de Banques Suisses pour que l'on comprenne la ruse et la cupidité maladive du système ...
14 oct. 2013 - Les vaccins et l'Unicef ! L'Onu cupide est dangereuse pour votre santé ! .... ou de son personnel. Posted by François de Siebenthal at 11:23:00 ...
24 sept. 2008 - Suite à la crise financière mondiale, les représentants des pays du Sud, ce mardi 23 septembre, ont dénoncé un système financier "cupide" ...
3 sept. 2015 - Selon les experts de l'union de Fribourg, une autre forme d'usure vorace est trop pratiquée par des personnes cupides et égoïstes, celle de la ...
4 août 2015 - Historique, première condamnation à de la prison ferme (14 ans) au motif de manipulation motivée par la cupidité. Un ex-courtier d'UBS condamné à 14 ans de ...
Question avec demande de réponse orale O-000113/2016 à la Commission Article 128 du règlement Michael Theurer, Sylvie Goulard, Cora van Nieuwenhuizen, Enrique Calvet Chambon, Sophia in 't Veld, Lieve Wierinck, Frédérique Ries, Petras Auštrevičius, Ilhan Kyuchyuk, Dita Charanzová, au nom du groupe ALDE
Objet: Effets anticoncurrentiels d'une prise de participation globale par de grands investisseurs institutionnels
La Commission veille au respect des règles de concurrence de l'Union dans le but de garantir une concurrence juste et équitable et d'améliorer le fonctionnement des marchés européens. Cela devrait profiter aux consommateurs, aux entreprises et à l'économie européenne dans son ensemble.
Selon nos informations, les dix plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22 000 milliards de dollars et sont également présents en Europe.
Parmi ces investisseurs, beaucoup sont à la fois grands et diversifiés, comme BlackRock ou Vanguard. Il n'est pas rare qu'ils possèdent de nombreuses parts dans des entreprises qui sont des concurrents directs, voire parfois dans toutes les entreprises d'un secteur. BlackRock détient par exemple des participations dans chacune des 30 entreprises du DAX allemand.
Même s'ils se retrouvent rarement actionnaires majoritaires d'une seule et même société, les effets de cette situation sur la concurrence sont semblables à ceux d'une situation d'oligopole. Puisque les investisseurs ont des intérêts dans une multitude d'entreprises, ils n'encouragent nullement les organes de direction à se livrer concurrence. Ce manque de concurrence conduit à une perte de revenu aussi bien pour les consommateurs que pour l'économie dans son ensemble.
1. Des études ont-elles été menées sur les effets qu'ont les grands investisseurs institutionnels diversifiés sur les marchés européens? Selon la Commission, quelles sont les répercussions d'une prise de participation globale sur les marchés européens? Quelles conséquences a-t-elle sur les prix et sur l'innovation au sein de l'Union?
2. La Commission considère-t-elle que la réglementation en vigueur en matière de concurrence est suffisante pour faire face aux possibles effets anticoncurrentiels d'une prise de participation globale? Dans la négative, de quelle matière estime-t-elle qu'elle devrait être modifiée?
3. Quelles sont les actions que la Commission compte entreprendre pour promouvoir la concurrence dans ce domaine?
à l'intention de la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures
sur la lutte contre la corruption et le suivi de la résolution de la commission CRIM
(2015/2110(INI))
Rapporteure pour avis: Julia Pitera
PA_NonLeg
SUGGESTIONS
La commission du contrôle budgétaire invite la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures, compétente au fond, à incorporer dans la proposition de résolution qu'elle adoptera les suggestions suivantes:
– vu les recommandations figurant dans sa résolution du 23 octobre 2013 sur la criminalité organisée, la corruption et le blanchiment de capitaux: recommandations sur des actions et des initiatives à entreprendre,
vu les informations que contient le rapport anticorruption de l'Union européenne, présenté par la Commission le 3 février 2014 (COM(2014)0038),
– vu la proposition de directive du Parlement européen et du Conseil relative à la lutte contre la fraude portant atteinte aux intérêts financiers de l'Union au moyen du droit pénal (COM(2012)0363),
A. considérant que le crime organisé, la corruption et le blanchiment des capitaux dans l'Union européenne et le reste du monde se développent et influent négativement sur la sécurité des citoyens européens et les intérêts économiques du continent, risquant de saper la confiance de la population dans la démocratie et les institutions de l'Union;
B. considérant que la criminalité organisée, la corruption et le blanchiment des capitaux font peser de graves menaces sur l'économie de l'Union européenne en grevant les recettes fiscales des États membres et de l'Union européenne dans son ensemble, et constituent des risques importants pour la fiabilité des projets bénéficiant de fonds publics européens, les organisations criminelles évoluant dans divers secteurs, qui, dans bien des cas, relèvent de la gestion publique;
C. considérant que la protection des intérêts financiers de l'Union doit permettre de garantir que les recettes et les dépenses inscrites au budget contribuent à la réalisation des priorités et des objectifs de l'Union, ainsi qu'à l'accroissement de la confiance des citoyens, qui doivent être assurés que leur argent est utilisé en entière adéquation avec les buts et les politiques de l'Union;
D. considérant qu'en 2014, 1 649 irrégularités ont été signalées comme frauduleuses et portant atteinte au budget de l'Union, pour un total de 538,2 millions d'euros, tant au niveau des dépenses que des recettes, mais qu'il n'existe aucune donnée officielle sur le pourcentage des fraudes imputables à la criminalité organisée;
E. considérant qu'en vue de renforcer les mesures en vigueur, telles que la convention sur la protection des intérêts financiers de l'Union européenne (convention PIF), destinées à lutter contre la fraude, la corruption, le blanchiment d'argent et toute autre activité illégale portant atteinte aux intérêts financiers de l'Union, la Commission a présenté deux propositions d'instruments de droit pénal, à savoir la directive PIF et le règlement portant création du Parquet européen, visant à garantir une plus grande efficacité de l'instruction et une meilleure protection de l'argent des contribuables dans l'espace de liberté, de sécurité et de justice de l'Union;
F. considérant que la lutte contre la fraude, la corruption et le blanchiment des capitaux et la récupération de l'argent de la délinquance et de la criminalité dans l'Union doivent être un souci prioritaire de l'action politique des institutions de l'Union, et que, dès lors, la coopération policière et judiciaire entre les États membres revêt une importance capitale;
G. considérant que la capacité des organisations criminelles à adapter leur action à différents contextes territoriaux et sociaux leur permet de diversifier leur activités en tirant d'importants bénéfices du trafic de drogues, de la traite des êtres humains, du trafic de déchets et de l'immigration clandestine, et d'infiltrer les marchés licites en s'assurant, dans l'ombre, de la connivence de "cols blancs" et de fonctionnaires corrompus;
H. considérant que l'hétérogénéité des systèmes juridiques et administratifs des États membres complique la lutte contre la criminalité organisée et le blanchiment des capitaux;
1. fait observer que le crime organisé, la corruption et le blanchiment des capitaux possèdent généralement une dimension transfrontalière qui requiert une coopération étroite entre les autorités nationales compétentes, ainsi qu'entre ces autorités et les institutions européennes, notamment au moyen de bases de données nationales, un soutien de la part des instruments de l'Union et un plan d'action européens pour que ces phénomènes soient éradiqués;
2. préconise l'adoption d'une définition commune de la criminalité organisée au niveau européen, y voyant un moyen indispensable de renforcer la lutte contre ce fléau;
3. souligne que le plan d'action européen pour éradiquer le crime organisé, la corruption et le blanchiment des capitaux devrait être doté des ressources financières suffisantes pour être efficace sans qu'il soit porté atteinte aux principes de subsidiarité et de proportionnalité;
4. constate que la Commission a proposé un large éventail de mesures pour combattre ces crimes et délits et que des résultats sont déjà visibles (par exemple l'échange d'informations automatique ou la directive sur la lutte contre le blanchiment des capitaux); encourage les États membres à tirer tout le parti possible des mesures d'ores et déjà en place et juge essentiel de promouvoir des techniques communes d'enquête permettant de comparer la criminalité organisée et de mettre en place des structures nationales spéciales à cet effet, pour constituer un réseau opérationnel d'échange d'informations en articulation avec Europol;
5. constate avec inquiétude que la traite des êtres humains se professionnalise de plus en plus et que cette activité dégage des profits de plus en plus importants pour les réseaux de passeurs et de trafiquants du fait de l'afflux permanent de réfugiés en Europe; invite la Commission et les États membres à renforcer la coopération internationale contre les filières de passeurs afin de faire cesser le trafic d'êtres humains et de réduire le plus possible l'influence des réseaux de passeurs;
6. attire l'attention sur le fait qu'en 2015, la Grèce a bénéficié du versement d'environ 655 millions d'euros provenant des programmes nationaux et du dispositif d'urgence d'appui face à la crise des réfugiés; demande à la Commission de s'assurer de la bonne utilisation de ces moyens et de l'informer des résultats de ses investigations;
7. fait remarquer que les États membres et la Commission ont l'obligation de lutter contre la fraude conformément à l'article 325 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne et est favorable à l'incorporation de clauses antifraude dans les propositions législatives à portée financière;
8. s'inquiète de l'augmentation des fraudes à la TVA, notamment des fraudes dites "carrousel"; invite tous les États membres à participer à Eurofisc dans tous ses domaines d'activités afin de faciliter l'échange d'informations pertinentes pour combattre ce type de fraude;
9. salue la communication de la Commission du 24 février 2016 dans laquelle elle propose un plan d'action destiné à réformer le système de TVA; demande à la Commission d'y intégrer des dispositions relatives à la lutte contre la fraude transfrontalière à la TVA; rappelle que, selon les estimations de la Commission, les pertes subies par l'Union européenne au titre de cette fraude s'élèvent chaque année à environ 50 milliards d'euros;
10. souligne que, à cet égard, le Parlement et le Conseil doivent, d'urgence, parvenir à un accord sur la directive relative à la lutte contre la fraude portant atteinte aux intérêts financiers de l'Union au moyen du droit pénal (directive PIF); constate que seule l'obstruction opposée par le Conseil à l'inclusion de la TVA dans le champ d'application de la directive empêche l'obtention de cet accord; invite le Conseil à revoir sa position à la lumière de l'arrêt rendu par la Cour dans l'affaire Taricco (C-105/14), qui confirme sans ambiguïté l'appréciation juridique du Parlement;
11. prend note des discussions en cours au sein du Conseil sur le projet de règlement établissant le Parquet européen comme élément essentiel du plan d'action; souligne que, pour pouvoir, avec efficacité, enquêter sur les infractions relevant du champ d'application de la directive PIF, engager des poursuites contre leurs auteurs et les traduire en justice, le Parquet européen doit disposer de compétences étendues pour lutter contre les crimes et délits portant atteinte aux intérêts financiers de l'Union, quelle que soit sa structure définitive; demande aux États membres de mettre à disposition les moyens humains et financiers nécessaires à la création du Parquet européen;
12. fait observer que la fraude et l'évasion fiscales coûtent mille milliards d'euros chaque année à l'Union européenne; souligne qu'il convient de porter une attention toute particulière aux paradis fiscaux et aux pays qui se livrent à des pratiques fiscales opaques ou dommageables, problème grave qui touche chaque Européen en particulier;
13. se félicite que le G20 soit parvenu à un accord visant à appliquer une nouvelle norme mondiale destinée à renforcer la transparence fiscale, alignée sur l'excellente norme appliquée par l'Union européenne; demande que cet accord soit mis en place rapidement et souhaite une surveillance efficace de la fraude et de l'évasion fiscale à l'échelle internationale; se félicite que, au niveau de l'Union, la Commission européenne ait signé, en février 2016, des accords impliquant l'échange d'informations fiscales avec des pays tels qu'Andorre et Monaco, comme elle l'a fait avec la Suisse, le Liechtenstein et Saint-Marin en 2015;
14. rappelle que la transparence est l'instrument le plus efficace pour lutter contre les abus et les fraudes; demande à la Commission d'améliorer la législation dans ce domaine, en rendant obligatoire la publication des données relatives à tous les bénéficiaires des fonds européens, y compris les données relatives à la sous-traitance;
15. est d'avis que l'emploi d'une méthode de saisie commune des avoirs des groupes criminels dans l'Union constitue une mesure dissuasive pour les délinquants et les criminels; invite les autorités compétentes des États membres à partager leurs meilleures pratiques en la matière dans les instances de réunions existantes comme, entre autres, le Comité consultatif de coordination de la lutte antifraude (COCOLAF); invite les États membres à transposer rapidement la directive sur la confiscation des avoirs résultant de la criminalité et à promouvoir la réutilisation de ces biens à des fins sociales, conformément au principe de subsidiarité, et à souscrire à un programme européen d'échanges de bonnes pratiques en matière de gestion des avoirs confisqués, destiné à favoriser leur utilisation à des fins sociales;
16. invite les États membres à développer leur coopération administrative, policière et judiciaire pour le dépistage des avoirs d'origine criminelle dans l'ensemble de l'Union, ainsi que pour leur saisie et leur confiscation, et à perfectionner le dispositif des bureaux de recouvrement des avoirs, qu'il y a lieu de doter de moyens suffisants;
17. fait observer que les organisations criminelles collaborent avec d'autres entités et peuvent exercer certaines activités avec la complicité de "criminels en col blanc" (personnes liées aux entreprises et aux banques, dont des agents de la fonction publique à tous les niveaux de prise de décision, etc.) qui n'appartiennent pas aux organisations criminelles mais représentent des intérêts profitables aux deux parties;
18. demande aux États membres de mettre en place des structures spécialisées au niveau national pour détecter les organisations criminelles et exclure des marchés publics les opérateurs économiques impliqués dans des pratiques de corruption et de blanchiment de capitaux;
19. rappelle que la criminalité organisée utilise des sociétés de construction spécialisées dans le terrassement, pour le blanchiment de capitaux et l'élimination illégale de substances toxiques qui provoquent une pollution environnementale; pour lutter contre ces pratiques, demande à la Commission de procéder à des contrôles anti-criminalité auprès d'entités contractantes et sous-contractantes qui obtiennent des marchés dans de grands projets d'infrastructure financés par le budget de l'Union;
20. s'inquiète de la pratique couramment employée par des entreprises criminelles impliquées dans le blanchiment de capitaux, qui consiste à soumettre des offres en dessous du prix coûtant lors d'appels d'offres portant sur de grands travaux; demande à la Commission d'inclure une évaluation économique des propositions pour les entreprises qui obtiennent les marchés et pour la sous-traitance;
21. encourage les États membres à ratifier rapidement la quatrième directive sur la lutte contre le blanchiment de capitaux afin de garantir des conditions égales entre les différentes formes juridiques, notamment les entités juridiques telles que les fondations et les constructions juridiques semblables aux fiducies;
22. rappelle le rôle fondamental des banques en matière de blanchiment de capitaux et invite à cet égard la Commission à élaborer une proposition visant à assurer une totale transparence des flux bancaires, non seulement pour les personnes physiques, mais aussi pour les personnes morales et les fiducies (trusts);
23. demande le retrait de l'agrément bancaire accordé aux établissements impliqués dans des cas avérés de blanchiment de grandes quantités d'argent;
24. est préoccupé par le fait que les paiements aux groupes de visiteurs en 2014 ont été réalisés à 71,15 % en espèces; attire l'attention sur l'étude de la Cour des comptes dans laquelle celle-ci juge extrêmement préoccupante la pratique consistant à procéder au remboursement en espèces des frais exposés par les groupes de visiteurs; demande instamment l'abolition pure et simple des versements en espèces aux groupes de visiteurs;
25. invite l'Union européenne à présenter une demande d'adhésion au groupe d'États contre la corruption (GRECO) du Conseil de l'Europe et à honorer les obligations d'information qui lui incombent en vertu de la convention des Nations unies contre la corruption, à laquelle l'Union est partie; demande à la Commission de présenter dans les meilleurs délais son deuxième rapport sur la corruption dans l'Union européenne et d'y faire figurer des informations sur les institutions de l'Union elles-mêmes, absentes du premier rapport, ou, à défaut, si son deuxième rapport n'est pas prêt dans les mois prochains, de remettre un rapport distinct sur les institutions européennes, qui viendra compléter son premier rapport;
26. se félicite qu'en décembre 2014, le Parlement, le Conseil et la Commission, après quatre années de discussion, aient conclu un accord sur la réforme de la protection des données dans l'Union renforçant, notamment, la protection des données des personnes physiques ainsi que la coopération entre les services répressifs dans les États membres de l'Union européenne;
27. relève que, depuis janvier 2014, les institutions de l'Union ont l'obligation de se doter de règles internes sur les lanceurs d'alerte afin de les protéger contre les représailles, pour garantir que les fautes ou les méfaits graves au sein de l'administration européenne sont révélés au grand jour; déplore que certaines institutions n'appliquent pas encore ces règles; encourage néanmoins les États membres de l'Union à mettre en place un programme de protection européenne pour les lanceurs d'alerte et les témoins à charge;
28. souligne que les programmes tels que Hercule, Fiscalis et Périclès et la directive proposée par la Commission européenne en février 2013 pour protéger les intérêts financiers de l'Union européenne et préserver l'euro de la contrefaçon, ont vocation à lutter contre les activités criminelles illégales, internationales et transfrontalières, et demande qu'ils fassent l'objet d'une rationalisation et d'une coordination plus étroite;
29. se dit inquiet face à la baisse des ressources mises à disposition par les États membres pour lutter contre le commerce illicite du tabac; demande à la Commission de prévoir, lors de la signature de nouveaux accords avec les fabricants de tabac, que la partie des recettes générées par ces accords qui revient aux États membres soit affectée, dans leur budget, aux mesures de lutte contre la contrebande de produits illégaux du tabac;
30. salue le programme de 18 mois du Conseil de l'Union pour les présidences néerlandaise, slovaque et maltaise qui prévoit, parmi ses priorités, une stratégie de lutte globale et intégrée contre la criminalité organisée, ainsi que la lutte contre la fraude portant atteinte aux intérêts financiers de l'Union, et englobe les travaux concernant l'instauration du Parquet européen, la réglementation en matière de protection des données, ainsi que la promotion et la sauvegarde de l'état de droit et des droits fondamentaux;
31. met l'accent sur l'importance de responsabiliser davantage le personnel politique; préconise d'instaurer des dispositions contraignantes frappant d'inéligibilité au Parlement européen et d'interdiction d'exercice dans les institutions et autres organes de l'Union européenne les personnes ayant été condamnées ou ayant participé à des actes relevant de la criminalité organisée, du blanchiment d'argent, de la corruption ou à d'autres infractions graves.
RÉSULTAT DU VOTE FINAL EN COMMISSION SAISIE POUR AVIS
Date de l’adoption
20.4.2016
Résultat du vote final
+:
–:
0:
24
1
2
Membres présents au moment du vote final
Nedzhmi Ali, Inés Ayala Sender, Zigmantas Balčytis, Dennis de Jong, Martina Dlabajová, Luke Ming Flanagan, Ingeborg Gräßle, Bogusław Liberadzki, Verónica Lope Fontagné, Dan Nica, Georgi Pirinski, Petri Sarvamaa, Claudia Schmidt, Bart Staes, Michael Theurer, Marco Valli, Derek Vaughan, Anders Primdahl Vistisen, Tomáš Zdechovský
Suppléants présents au moment du vote final
Richard Ashworth, Caterina Chinnici, Cătălin Sorin Ivan, Benedek Jávor, Karin Kadenbach, Marian-Jean Marinescu, Markus Pieper, Julia Pitera, Miroslav Poche, Patricija Šulin
Suppléants (art. 200, par. 2) présents au moment du vote final
Georg Mayer
AVIS sur la lutte contre la corruption et le suivi de la résolution de la commission CRIM
Jakub Fabian Skrzypski et Simon Magal ont commencé leur procès devant le tribunal de district de Wamena. Tous deux ont été accusés de trahison, en vertu d'une loi qui date de l'occupation hollandaise (sic) ...
Jakub Fabian Skrzypski: premier citoyen étranger assujetti à l'article Makar
Jayapura JAKUB FABIAN SKRZYPSKI (JFS) Le Polonais et le Papou sont accusés d'avoir commis des infractions pénales contre la sécurité de l'État. La police a déterminé que Jakub avait enfreint l'article 106 du Code pénal et / ou l'article 110 du Code pénal et / ou l'article 111 du Code pénal en liaison avec les articles 53 du Code pénal et 55 du Code pénal.
L'article 106 du code pénal est une allégation à l'encontre de personnes soupçonnées de trahison. Ce qui signifie que tout ou partie du territoire du pays tombe entre les mains de l'ennemi ou sépare une partie et le territoire du pays, menacé d'emprisonnement à perpétuité ou d'un emprisonnement maximal de vingt ans, en vertu d'une loi qui date de l'occupation hollandaise (sic) ...
Cet article est associé à l'article 110 du Code pénal, à savoir le complot: Un consensus néfaste pour commettre des infractions au titre des articles 104, 106, 107 et 108 est menacé sur la base des menaces pénales contenues dans ces articles. Cela signifie que la prétendue trahison a été précédée d'un accord ou d'un accord. Cela indique qu'il y a plus d'une personne qui a été accusée d'avoir commis le crime. Contre Jakub, la police l’a inculpé de Simon Magal (Colombie-Britannique). SM a été arrêté à Timika le 1er septembre 2018. Tous deux ont été confiés directement au groupe de travail spécial sur la Papouasie (Satgassus) et à la direction générale des enquêtes criminelles (Ditreskrimum) de la police régionale de Papouasie.
En France, des milliers de personnes, plus de 7'000 inculpés, sic...
Plaintes pour crime contre l'humanité auprès du tribunal pénal international.
Je vous suggère de le faire afin que ces criminels financiers soient arrêtés et jugés dans les plus brefs délais. Article 7 du traité de Rome signé par 120 pays.
Ce tribunal juge les individus responsables de génocide, notamment en Afrique, au Congo, , de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité ( fraudes comptables et usure exagérée qui tue des millions d'innocents ) et d'agression ( trop souvent par armées et polices privées, blackwater etc... ).
Adresse du Président et du Procureur :TPI/ICC/PCI - Aoude Waalsdorpweg 10 - 2597 A K La Haye - Pays Bas (NL). Téléphone :310705151515.
Découverte de la ferme biologique de Songhai, au Bénin, projet lancé il y a trente ans par le frère Godfrey Nzamujo et aujourd'hui référence en matière de développement.
Last week I had occasion to visit the Italian island of Sardinia and spend a few hours meeting with the founders and managers of a commercial trade exchange called Sardex. Here below is an abbreviated report of what I learned. The pdf version of the report can be found here.
Sardex, a brief report by Thomas H. Greco, Jr. August 15, 2015 I recently spent a few days on the Italian island of Sardinia conferring with the founders and administrators of Sardex ( https://www.sardex.net/?lang=en or http://www.sardex.net/), a commercial credit clearing exchange that has been notable for its success in organizing small businesses and service providers on this island of about 1.6 million people.
I’ve known about Sardex since almost its beginning five years ago and have corresponded over the past few years with Giuseppe Littera, one of its founders, but this was the first opportunity I’ve had to get an inside look at their operation. I came away with a pretty good understanding of how they operate and the impression that the Sardex structures, procedures, and protocols come closer to optimal than any other trade exchange I’ve seen. It appears to be a developing model that is both scalable and replicable.
I will not attempt to provide here a comprehensive report or detailed analysis, rather I will highlight a few major points and provide some sources of additional information for those who are interested in doing their own research.
Some highlights: Current membership: ~3,000 Current transaction turnover: ~1.5 million euro equivalent per month Expected turnover for 2015: 50 million Velocity of credit circulation: 12 times per year Employees included as sub-accounts: 1,000
When I asked about the key factors that account for their success, here is some of what I was told:
1. Founders are dedicated to the mission to relocalize and rehumanize the economy and to reconnect people by enabling the creation of interest-free local liquidity based on the production capacity of local businesses.
2. Social solidarity and cultural cohesion, while very important and part of the mission, were NOT a pre-existing factor that would account for their early success. In fact, they have had to work hard to develop social solidarity and cooperation amongst their members, but this is now changing. One account broker told me, “I can see how behavior of many of our members has changed. When the financial crisis first began, they were starting to lay off employees or cut their wages, and they were reluctant to spend their euros. This made matters worse as the circulation of money slowed down. But as they began to participate in the process of earning and spending trade credits, they began to increase pay to their workers and to invest in their education. In one case, when a member’s shop was burglarized, other members stepped up to help by donating some of their trade credits to help their fellow member recover from the loss.”
That anecdote demonstrates the differences in behavior that results when people experience scarcity compared to when they experience abundance. In this case, the scarcity of euros caused behavior to change in the direction of reduced willingness to spend and the contraction of overall economic activity. But their experience with trade credit was much different. Realizing the greater availability of trade credits, and finding it easier to earn them, leads people to experience abundance and to be more generous and spend more liberally.
3. I was surprised to learn that the Sardex revenue model relies mainly upon initiation fees and annual membership fees (collected in euros); and that they had decided early-on to stop charging fees on transactions. For me, that approach is counter intuitive in that I have long held the view that recruitment would be most successful if membership were made easy, low cost, and risk free, and that it seems reasonable to apply the principle that users pay in proportion to the amount of services they receive. In this case, that principal would mean that those that receive more credit clearing services should pay more. Well, this may be a case where successful practice trumps rational theory. Marketing specialists should look closely at the dimensions of this phenomenon.
There is however some logic in this approach in that, since the cost of participation is relatively fixed, members should seek to maximize the benefits of their membership by trading more within the network. Initiation fees are set according to the size of the business and range from 150 to 1,000 euros. Annual membership fees are likewise based mainly on turnover and range from 350 to 2,500 euros.
4. Strong member support by an effective staff of brokers who help to arrange trades, especially for those that have high earning capacity to avoid excessive accumulation and high positive trade credit balances.
5. Recruitment strategy tries to replicate the supply chain, i.e., bring in businesses that are the suppliers of existing members or prospective members.
6. “Solidarity threshold.” Requirement that members offer their goods and services for trade credit at the same prices as their euro prices, and that payment be accepted 100% in trade credit on all transactions of less than 1,000 euros. “Blended trades,” i.e., payment in a combination of trade credits and euros are allowed on larger purchases, according to a sliding scale).
7. (a) Restrict membership to companies that have a registered office in Sardinia. This promotes social solidarity and excludes large multi-national corporations. (b) Avoid “saturation” (accepting too many members that offer the same line of products or services). [While I am fully supportive of the former of these, and would indeed, permanently exclude multi-national companies, this latter practice of avoiding saturation I consider to be of use only in the initial stage of establishing credit clearing as a credible means of exchange and an effective source of local liquidity. Ultimately, I believe that membership must be open to any community-based small or medium enterprise (SME) that meets the basic qualifications for membership. Of course, not all of them will qualify for lines of credit.]
8. Fully compliant with reporting and tax regulations. Transparency is a matter of fundamental importance.
9. Emphasis on monetizing the unused capacity of members. Connecting unused supplies with unmet needs is a primary benefit of credit clearing services.
The Sardex company has been consulting with other groups to replicate their system in seven other regions around Italy. In the future, Sardex is planning to initiate a rebate program to bring consumers into the trading community, which will enhance the circulation of local trade credits, make Sardex better known, and stimulate more sales for their business members.
Here below is a list of a few of the many reports and sources of information about Sardex. Readers are invited to add others as comments
From an idea to a scalable working model: merging economic benefits with social values in Sardex, by Giuseppe Littera, et al, at the London School of Economic, Inaugural WINIR Conference, 11-14 September 2014, Greenwich, London, UK.
You can get a pretty good picture of the distinctive features of Sardex by viewing Giuseppe Littera’s presentation that was made (in English) at a conference in Volos, Greece, in 2014. It is to be found on YouTube at, https://youtu.be/rvaL2A8juz0
Report (in Italian) in the Italian daily newspaper, La Repubblica: Dalla Sardegna al resto d’Italia. Sardex inventa la moneta complementare. “Abbiamo ripensato l’economia.” [English translation needed.]
La création de l'Institut Suisse de Démographie et de Développement, ISDD, dont ... François Geinoz François de Siebenthal Michel Tricot Préface par Philippe ...
Affiliate Program Table of Contents 1. Welcome Letter 2. Introduction-what is an affiliate program? 3. How to sign up & get started 4. Suggestions on how to get the most out of the affiliate program Dear Affiliate, Welcome to the Affiliate Program! Thank you for looking at our Affiliate Program. We have designed the program to benefit your organization – financially of course, but also by increasing traffic to your website and by enhancing the message and image of your organization. Your participation in the program will also serve to spread the word about Demographic Winter: the decline of the human family. Most people are unaware of much of the information provided by the scholars in Demographic Winter. Your active participation in the Affiliate Program will help increase awareness about these important issues. Please consider the extra benefits of becoming a Partner or Advocate. Again, thank you for participating and helping to promote this important film! Sincerely, Barry McLerran Producer Introduction to the Affiliate Program The Affiliate Program is designed to reward YOU for promoting Demographic Winter How it works: 1. You select which promotion tool(s) (referred to in this document as “Creative’s”) you would like to use to promote the film a. Banner Ads b. Trailer Links c. Text Links d. Invisible Codes Add theses Tools to your website, blog, myspace, facebook, other networking sites, email blasts, newsletters, or anywhere else you can think of—just get the word out & watch the money come rolling in! 2. We track your referrals from those tools 3. We pay you a negotiated rate for EVERY sale that results from that referral a. We will pay you per sale that comes as a result from your referral For example: let’s say you add the banner ad to your site and we’ve negotiated that we will pay you 30% for every sale that results from referrals from your site. Then, in one month 2,000 people click on the banner ad and it leads them to our website; and 100 of those referrals BUY a DVD, we will then pay you $6 for every one of those sales! That’s $600, for doing virtually nothing! SELL THE DVD as a Partner or Advocate Give traffic to your website a boost: The subject of demographic winter is building momentum right now, so increase traffic to your website by doing an article on the subject, an editorial or a message from your organization’s leader. As PR for the film and the subject increases, so will people looking for information on the internet. Why not bring them to your site for answers and links to the film, thus associating your organization with this important topic in their minds. Sell DVDs on your website: As a Partner or Advocate you can sell DVDs on your website by: 1. Placing an ad on your website and encouraging sales 2. All sales coming from your website will be tracked 3. Your organization will earn 30% of every sale from your website – that’s $6.00 per DVD! Buy in bulk and make more per DVD: Your organization can buy DVDs in bulk and sell direct and: 1. Make a higher percent profit for fewer sales 2. Use for a fundraising dinner. Give a presentation, show the film, sell the film for the $19.95 price and ask for additional donation 3. Sell them on your website for a higher profit than if we handle it 4. Buying it now will enable you to use it for a fundraiser before it goes out to the general audience, after which they will no longer be available for fundraising 5. Use it for publicity for your organization in local media 6. Buying in bulk will get you the fundraising and PR package 7. Selling to your membership and encouraging them to buy multiple copies to give out will help create a “buzz” around this documentary, aiding your PR, aiding the awareness of the importance of family, aiding in a wider distribution of this important message Please email us for bulk order discount pricing information. The release date for this film will be March 7. How to Sign Up & Get Started Now that you have an idea of what the affiliate program is and how it can benefit you and your organization, you are ready to sign up and start earning that extra cash! Please follow these easy instructions to get started. If at any time you have questions, or need help with this process please call us at 1-800-896-9525. How to get started: 1. If you haven’t done so already, fill out the Affiliate Program Application form. a. We will review your application, and contact you if you if you have been approved. 2. After you have been approved, you will be provided with an Affiliate login, Affiliate ID and a password, and the link to the Affiliate Login Page (which can also be found on the homepage). 3. Once, you have logged into the Affiliate Login Page, please check your Affiliate Profile information, make any necessary changes. Also, please change your password! 4. Next, select the creative’s that you would like to use to promote Demographic Winter a. “Images” are banner ads that you can select and use the link that the Affiliate Generator gives you (?) to paste onto your website. (Most popular option) b. “Text” creative’s are text that you copy and paste onto your website, or in a blog, an article or another place where a text link makes sense. c. “Invisible” links are links that conceal the fact that it is indeed an affiliate link because some merchants feel that consumers won’t click on obvious affiliate links. But, do not worry, the invisible links still have your individual affiliate ID information embedded in their link scripts. * If you are in a country where English isn’t the primary language and you would like to be a part of the affiliate program please contact us and we will work with you individually in setting up special Creative’s for you. 5. After you have selected the creative’s-you should copy and paste the codes into another document (see the Affiliate excel spread sheet that you can download on the Affiliate Program webpage) 6. Give your creative affiliate codes to your webmaster and have them put the links on your website, or wherever you desire the codes to be. 7. Next, check your Affiliate account periodically to see if it has been effective, and that there aren’t any discrepancies. The Payment Process You will be paid the First Friday of every month for the previous month’s sales. Before each payment date we will reconcile all transactions and contact you if there are any discrepancies. Please check your account every week to stay current on your activity level. Please see the following section to see our suggestions on how to make the affiliate program even more effective. How to be more effective Below are a few suggestions that we have found to make any affiliate program more effective: 1. Affiliate programs work the best when the product you’re promoting is relevant to your website. If your site is not relevant, we may still approve you to be an affiliate, however you may not see significant benefit. 2. Banner ads (Image Creative’s) work great! However, if you have too many banner ads on your website already, then it just becomes “noise.” We highly suggest you limit the number of banner ads you have on your website. 3. Also, try different placements of your banner ads. If you keep the banners in the same spot for a long time (depending upon how frequently each visitor visits your site) they can become stagnant, reducing their effectiveness. 4. Try using multiple referral methods. Use a banner ad, and use a Text Creative to point to www.DemographicWinter.com.
On appelle crash démographique, ou « hiver démographique », l'hypothèse, vérifiée en Europe (en particulier en Allemagne et en Italie) et dans plusieurs ...
21 sept. 2010 - Mais tout va bien, au pays de la Logique et de la Raison Pure. Le livre: " Europe: l'hiver démographique" en parlait déjà en 1989. ( Édition l'age ...
10 juin 2009 - Le livre: " Europe: l'hiver démographique" en parlait déjà en 1989. ( Edition l'age ... nos excuses. Posted by François de Siebenthal at 08:26:00 ...
Aeules Europe : l'hiver démographique 141 28.1.89 3. Akademiker u. Sur les droits de l'enfant 215 28.5.96 5. Algoud François-Marie Vers Dieu ou vers la Bête ?
The other part is abour our work in Philippines among other countries where we got the nihil obstat & imprimatur from the Church and and Elim support among others...
Bishop Benjamin J. Bargain of Daet and Mr. Grace Economics Willy Pearl Elim Communities of Quezon City.
Executive Directors: Three deacons, if possible married with many children.
Auditors: Check and balance, the elders, 2 or 3, men and women.
Central Monetary Authority - The Parish Priest
Under the Supervision of the Diocesan Bishop
Guided by God's Laws, the Canon Law,
the Govemment Laws
And the Diocesan Decrees and Statutes
Source
Admin
Basic
Spiritual
Material
ofFunds
Needs
Needs
Needs
Tithes
Parish
Infra-GHQ
Training and
Lending
Tithes or
As Priest
Lot and
Formation
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The Tenth
Manager
Building
of members
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Board of
Village
Periodic
Supplies
Donations
Elders
Center
Retreats
For Offices
w / in &
and
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Consultants
Leaders
Recollection
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Staff
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Catechesis
Fixed
or
and
Centers &
Evangelizadon
Immovable
Pledges
Personnel
Leaders
Missionaries
Assets
Sacrifice
MSK
MSK
Sacrements
Scholarship
Offerings
Leaders
Centers
Sacramentels
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From
For
For
Guidance
For
Admin,
Honoraria
Acquisition
Counseling
Periodic
Staff
and
Construction
Consultation
Grace
Personnel
Allowances
Supplies
Referrals
Sharing of
and
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Maintenance
Bonding
Goods
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Management
and
wl members
and
Members
and Staff
Mass Media
& Other LBS
Services
Immediate beneficiaries Ail Contributors to the Tithing Program
Targeted immediate beneficiarieswAil parishioners
Targeted beneficiaries coverage = Ail people of the Lord God
Consolidation of charge for Concepts on Banking,
Cooperativism, Social Credit, Pondo ng Pinoy, Filipinos
PondoAnd coined as Grace Economics
Contour by MQP as Experience
Bank.
Changes from the old methods... the success of banking.
To help the needy et non-members can supply the desired items on ... anddreamsin life.
...
GUIDE
For the establishment of the "Lord's Bank"
Offerings:
I am offering this booklet to:
In the patron of the Municipality of Nabua, Camannes Sur, where I was born, The Beloved Cross and the Virgin Katipanan, basic basic safety signs;
In my late parents: Candido et Teodora Guadalupe Parcero Binondo Gavina. They gave me life and naghubog, together with my brothers and relatives ...
In my Hon. Bishop Benjamin J. Almoneda and clergy of the Diocese of Daet, province 'of Camarines Norte;.
In my ...Rural Bank of Paracale, Mr. Clan Julio and Dra. Merle Ramores, Mr. Clan Vicente and Mrs. Sanchez, Jr.., The Children's Atty. Joseph and Mrs. Pajarillo and wonderful families in the Parish. Flyover Land, Paracale, Jose Panganiban, Vinons and Contour, Paracale;
In Other magnanimous I became partners in ministry to the Lord's Vineyard.
Msgr. QuirinoCIParcero, HP
The current management of the Holy ...Including the Catholic Church's experience of chronic poverty in the world, and many miscellaneous factors, neglect, addictions, excessive politics and more and especially abandonment and in compliance with the Commission and holy God. If so, this booklet is a desire to return to the Divine Plan of God for the glory of God and the salvation of man. Important care and should just go back and live about ... the Lord, which is the main topic to establish a BANK OF LORDS.
The thoughts that were involved here is the result of gold mental wanted to create a new community: The Code of the Holy Catholic Church, the Central Bank and Security and Exchange Commission of the Philippines, the Social Credit of Canada, the Fund Cardinal Gaudencio Rosales's Pinoy Manila, the Filipinos Fund Bishop Benjamin J. of Daet and Mr. Grace Economics Willy Pearl Elim Communities of Quezon City.
The Author - MQP
1. The Bank.
Definitions. ...funds, limited only, from the investor / investor and the investor deposits 1) to extract and use them if they need the money. 2) to be loaned with profit / interest and coating the non payment of promised time frame and 3) to be used to exchange different types of currency (currencies), and other human needs.
Bank of the Lord, and funds the gift of God's grace is not limited Being the eternal God and owns all the lives and livelihoods of people - money or...and whatever they are, wherever and never / forever.
Importance .. Kahn how, there are resources to meet each person eventually ...a delight for Food (food ), Clothing (clothing), Housing (sheftr) Moulding (education) and its LifestyleOlfestyle).
Bank of the Lord, God answers all human needs. He is the Creator and Father eventually cared nature He created. He is the Son
Redeemer that sacrificing and Mercy are endless for the devil. He is the Holy Ghost Lover that raises and gives life.
k). Properties. Need unity, cooperation and loyalty of ... / the debtor, who sealed the Act and the rules .../ Institution to be assured and continuing its operations in accordance with the Law / Commandment Church suggestive of Government / Holy lèlesya and Government-Town 1 State.
Bank of the Lord, surely the unity, cooperation and honesty because there is only one God in the Trinity Community, Father, Son and Holy Spirit - which sealed the love.
2.Kapitai
a) Investment. The aggregate turnover of ...and deposits may sink,or recover stolen.No security ...Bank. Operation may be stopped, unless renewed, again ...capital. You should really protect the Bank of superintendent (management) at all times.
Bank of the Lord, not suffer loss, no recovered. Being, the people doing the supervision, possible theft. ...
devotion to the Lord just 2) sils serve not only as servants, but servants may actually lbig, so 3) always ana the Lord for all the work and things, to think only in the glory of God and the salvation of man , and not the pers, honor or pleasure purposes.
....And if it has planned to build. the shelter of the guard in the field? ... and estimate the inheritance ...Luke 14:28. You should only estimate the Halageof Financedestined for the need ... in time, in different ways and play. Should not neglect the need of the people involved in the exercise.
Financial auditing.Required ... approved and the Auditor Evaluationof record entered (income) and ... (expenses) on a daily,monthly and annual. ... audit for running and employees; inventory of all its transactions and equipment / instruments.
3. lkapu.
The Tithing isone-tenth (1/10) of any grace and gift of God to every man for the Lord. Leviticus 27:30-33. Patient love andkindness. 1 Corinthians 13:4.
Provided the Levites Meeting Tent.Numbers 18:21-29.....Deuteronomlo 12à0.8 to 9, inpriestAaron. Numbers 18:28 best.18:29 ET Numbers Hebrewpriest Melkisedek 7:11-8.
Give as you ibihlgay him. Sirat 35:9. So give... according to him, not unhappy ...; love of God nagbiblgay welcome. God is able to enrich you in all things so you do not want to even mention and multiply as your charity. 2 Corinthians 9:7-8. Give, and you will receive an abundance measure, packed together, shaken and overflowing pour into your bosom. Sépagkot sutukatin you scale you use.Luke6:38. ...giving moreblessedthan receiving. Acts 20:35.
The sows little will reap little, and sowed much to g's a plenty. 2 Corinthians9:8.
Terms Deuteronomy 14:22-29. Loyalty...26:13-15. The Lord is a neutral judge Sirat 36:12. Tobias kept 1:6-9 condemned the legality of the Pharisees Luke 18:9-14.
a) Life. ... All life and all human life from God. Tithing is only asking for the Lord.
In the presence of God you lay your collected; ...was there with insecticide or no rust destroy and thieves. You mayalreadyknowwhereyour treasure is, there will your heart. Matthew 6:20-21.
You know the grace of our Lord Jesus Christ: As you nagpakadukha he rich to wealthy enjoy his misery. 2 Corinthians8:9.
Large-hearted people may be more wealthier; person may turn stingy especially poverty. This is kind abound: watered the nandidilig. Proverbs 11:24-25.
b) Period. The period between the first two eternity forever. May 24 hours a day. How much for the Lord, are not more than two hours? Do Nailalaan Poon patin sa sa parriamagitan of worship, prayer and service to Him and to fellow human beings?
They wanted to share to help with the saints, for Aboi they can and, I said, more - strictly voluntary and they asked us to share the blessings of the divine service. More PE aminginaasahan they giving themselves to us Pangimon and also because the will of God. 2Corinthians 8. :3-5.
Sincerely can trust Yahweh, ..
Do not hang on own thoughts. Remember him in all your ways ....Proverbs 3:5-6.
3) To whom I work and depriving myself of pleasure? It may be no significance and bad business.
C)Brains. Conform to the ant ... he stores food in the summer, gathering live in during the summer ...Proverbs 6:6-8.Six things Yahweh hates, seven are an abomination in his will : 1) haughty eyes 2) tongue liar 3) hand ...innocent blood 4) rogue scoundrel 5) feet go quickly to evil 6) False witness and 7) who sows discord among brothers.Proverbs6: 16-19. Yahweh gives wisdom, his mouth come knowledge and understanding.Proverbs 2:6.
1) Because it's your hlnlllng and notlong life or wealth for yourself, or death of your enemies, ...prompts youto decide to ...,I grant you ....
My comments:
Bad translations from Rome.
Example in the recent papal encyclical Caritas in Veritate...
Pawnbroking is not monte di pietà...
Can we translate the concept hospital by bordel or brothel or whorehouse?
65. … Furthermore, the experience of micro-finance, which has its roots in the thinking and activity of the civil humanists — I am thinking especially of the birth of pawnbroking — should be strengthened and fine-tuned. This is all the more necessary in these days when financial difficulties can become severe for many of the more vulnerable sectors of the population, who should be protected from the risk of usury and from despair. The weakest members of society should be helped to defend themselves against usury, just as poor peoples should be helped to derive real benefit from micro-credit, in order to discourage the exploitation that is possible in these two areas. Since rich countries are also experiencing new forms of poverty, micro-finance can give practical assistance by launching new initiatives and opening up new sectors for the benefit of the weaker elements in society, even at a time of general economic downturn.
Real translation and its importance:
A mount of piety is an institutional pawnbroker run as a charity in Europe from the later Middle Ages times to the 20th century, more often referred to in English by the relevant local term, such as monte di pietà (Italian), mont de piété (French), or monte de piedad (Spanish).
In Switzerland, e.g. the cantons of Bern and Zürich enacted elaborate laws for the regulation of the business. In Zürich the broker must be licensed by the cantonal government, and the permit can be refused only when the applicant is known to be a person underserving of confidence. Regular books have to be kept, which must be at all times open to the inspection of the police, and not more than 1% interest per month may be charged, just to cover the costs and not for profits, as asked by the Church, i.e. permitted by Medici Pope Leo X’s usury-for-a-good-cause: the Monte di pieta, so-called “charity banks” operated in the Renaissance in the name of the poor, with no profits. A loan runs for six months, and unredeemed pledges may be sold by auction a month after the expiration of the fixed period, and then the sale must take place in the parish in which the article was pledged. No more than two persons at a time have ever been licensed under this law, the business being unprofitable owing to the low rate of interest. In the canton of Bern there were once two pawnbrokers. One died and the other put up his shutters. The Zürich cantonal bank, however, conducts a pawnbroking department, which lends nothing under 4s. or over £40 without the special sanction of the bank commission. Loans must not exceed two-thirds of the trade value of the pledge, but 80% may be lent upon the intrinsic value of gold and silver articles. The swiss establishments make practically no profit.
3...The mischief has been increased by rapacious usury, which, although more than once condemned by the Church, is nevertheless, under a different guise, but with like injustice, still practiced by covetous and grasping men....
On September 28, 1980, Sis Luli Nakar received a spiritual revelation. The late Fr ...2009 Elim Communities • Springs Foundation Inc. • All Rights Reserved.
You Can Be Healed by Willy Nakar... The Beauty of Prayer by Didi Nakar Marañon ...Enjoy relaxing melodies of well-loved Elim songs and new instrumental ...
In the year 2000, Presiding Elder Bro Willy Nakar and Keeper of the Vision Sis LuliNakar shared a new direction for Elim, as inspired by Isaiah 54:2-3: Enlarge ...
Hunger in the world, population growth, wars, bad distribution of wealth, and the ever-increasing gap between the rich and the poor, call for a neutral and objective reflexion. We admit that there will always be disparities, but the present situation calls for urgent solutions, and most of the problems are yet to receive any beginning of efficient realization, except for a few rare exceptions.
After years spent studying the recent demographic phenomena, and because of their relationship with the present banking crisis, I can affirm that the following facts are of the utmost importance, their seriousness having been anticipated by only a few civilizations in the past. The non-respect of natural laws inscribed in nature will cost a high price, and the more we wait, the higher the bill will be for us, our children, and our grandchildren.
The main facts
The present demographic crisis in Europe is the most serious in history. One of the worst situations is that of Italy, with an average fertility rate of 1.2 children per woman, even 0.8 in Northern Italy. Soon Spain will beat Italy in this demographic pit. In the near future, Europe will have to consecrate more than half of its Gross National Product to the elderly. The European States will be ruined because of the lack of young people. The European economy is already declining. In an absurd reaction against this, some voices are raised in the mass media to promote the active euthanasia of the elderly and disabled. (Laws along this line have already been voted in in Zurich and the Netherlands.)
Most of the Western Nations can no longer manage to pay the interest on their debts nor control them, to the detriment of primary tasks. For example, Italy is socially bankrupt because of its taxes. There is widespread corruption, a decline of the GNP, the failure of the school system, young people on drugs, and the ever-increasing cost of health care (more than 50 billion Swiss francs in Switzerland alone): all of these facts carry a heavier burden on society. National pensions plans are going bankrupt.
The productivity due to robots and computers could save us, but it will have to be redistributed in a just way.
The role of credit and its demographic consequences
Today's economy is based on loans. The public does not know that banks take huge liberties with the loans they make. If, for example, there are 100 dollars in deposits, the U.S. banking system lends a hundred times this 100 dollars, which makes $10,000, or a creation of $9,900 out of nothing. This creation of money is possible thanks to the trust in the banks and the law of large numbers, which says that it is never all of the depositors who will withdraw their savings at the same time. The globalization of the world economy aggravates this situation of the “miraculous” creation of money by the banks, which creates skyrocketting debts.
Since human nature has its limits, many people have begun to realize the limit of this system of the creation of money out of thin air, and its human cost, especially regarding unborn babies. There is a shortage of babies in every western nation, and the present crisis is due to this shortage. If all the depositors in the world wanted to withdraw their savings all at once, there would be a huge financial crisis. This is going to happen in developed nations because of the ageing of the population. We should be smart enough to prevent this fall, and prepare alternative solutions, by favoring families.
The role of interest rates
Through sudden raises of the interest rates and money creation, banks become gradually the owners of the real wealth of the nations, since all the fictitious money they lend has to return to them, plus the interest.
Families or small businesses borrow when the interest rates are low, and most often, are forced to pay back these loans when the rates are high. The consequence is the absence of children and the collapse of the economy.
In some nations, the real rate of interest is 7% per month, which amounts to 125% per year (shylocking), whereas the inflation rate is 9%. These rates are usurious, and are the plain representation of greed. And there are even worse systems.
The interest plays an even more pernicious role, when money is lent to developing nations. In this case, these loans are granted with advantageous rates, provided the creditor nations apply birth control policies (like China's one child policy, which brings about forced abortions and the massacres of girls). This is the beginning of a vicious circle, with debts causing the sacrifice of human persons to the modern Moloch. Human rights and freedoms are crushed by the economic system.
Taxes and the social budget
Nations have borrowed from private banks huge sums of money which, for the most part, is scriptural money created out of nothing. This money is based on the wealth of the whole nation. This creation of money out of thin air is legalized, but immoral, just like abortion which, even legalized, remains a crime in the sight of God. These huge sums of borrowed money bring about ever-increasing debt payments, which take an increasing part of government budgets, leaving less money for health, education and other services, creating unemployment, cuts, stress, quarrels, divorces, downsizing, restructuration plans, etc.
The solution is obvious: the State must create its own money, interest free. Savage capitalism eats up its own children, but so slowly that some people actually get used to it.
Interest and usury condemned
Cardinal Ratzinger recently said that there are over 40 million (declared) abortions per year in the world. This means that if one counts the abortions through coils and abortive pills (undeclared), for the last ten years, there have been one billion human beings killed, not to mention those who were not conceived because of the prevailing contraception mentality. This slaughter is the worst of history. What are the causes?
In the Old Testament, God and the Church have always condemned any interest on the loan of money as usury, and not just high rates of interest, especially through the teachings of St. Thomas Aquinas. (See also Josue 3:15 and 4:18, Chronicles 12:15, Isaias 8:7 and 24:2, Daniel 8:16, Exodus 22;25, Nehemias 5:5, Leviticus 25:36, Psalms 15:5, Jeremias 15:10, Ezechiel 18:8, Proverbs, and in the New Testament, Matthew 25:27 and Luke 19:23.) In the Lord's Prayer (the “Our Father”), which Christians recite every day, the Latin version uses the words “debita nostra” (reported in Matthew 6:12: “forgive us our debts”), which has also to be understood in the literal sense, as taught by the Catechism of the Catholic Church.
There is no difference between interest and usury, for it is the very principle of charging interest on time that is pernicious. Besides, it is obvious that the higher the interest, the more harmful it is. The condemnations of greed by Pope Pius II are very harsh: “heretical theories that are appaling and abominable.”
The penalty for this type of crime is the same as for all those who take part in an abortion: excommunication. Popes Paul II, Sixtus IV, Innocent VIII, Alexander VI, Julius II, and Leo XIII in Rerum Novarum also strongly condemned interest. ( an other form of voracious usury...)
The encyclical Vix Pervenit
On November 1, 1745, Pope Benedict XIV issued the encyclical letter Vix Pervenit, addressed to the Bishops of Italy, about contracts, and in which usury, or money-lending at interest, is clearly condemned. On July 29, 1836, Pope Gregory XVI extended this encyclical to the whole Church. It says:
“The kind of sin called usury, which lies in the loan, consists in the fact that someone, using as an excuse the loan itself — which by nature requires one to give back only as much as one has received — demands to receive more than is due to him, and consequently maintains that, besides the capital, a profit is due to him, because of the loan itself. It is for this reason that any profit of this kind that exceeds the capital is illicit and usurious.
“And in order not to bring upon oneself this infamous note, it would be useless to say that this profit is not excessive but moderate; that it is not large, but small... For the object of the law of lending is necessarily the equality between what is lent and what is given back... Consequently, if someone receives more than he lent, he is bound in commutative justice to restitution...”
The interest in one of the factors that triggers inflation, and not the opposite. Pope John Paul II's encyclical letter Veritatis Splendor reminds us that there are intrinsic evils and absolute sins. To ignore them may suppress personal sin (according to St. Thomas Aquinas, the borrower commits no sin), but society pays for this misdeed, even at the cost of its own disappearance, and those who favor the ignorance of the sin of usury are responsible for endangering the survival of the population.
What comforts us, however, is that this condemnation of usury is repeated in the new Catechism of the Catholic Church, at the end of the comments on the Seventh Commandment.
Impossible contracts are null
It is impossible to pay back interest-bearing loans, either they are compound or not. Take the following example: Croesus borrows a principal of 100 at the birth of Christ. If one applies an interest rate of 10%, the sum to be paid back in the year 2000 is (100 x 1,12000), or six times ten to the power of eighty-four, or a number with 84 zeros, which simply blows the mind... It would represent 10 to the power of 68 houses for every person on earth. It is obvious that it is impossible to respect such a contract.
A French mathematician, M. Levy, showed that, after a while, all the wealth in the world will be owned by the banks, through the simple application of mathematical rules.
Money is a human creation which, if the interest is admitted, begets more money. This money is not only a sign; it really causes deaths and injuries, in every area. It is more prudent to forbid any new organism that is self-reproducing (like viruses, the development of new species in vitro, etc.), including abstract concepts like money that have consequences in real life. The common good called “money” is in the hands of people without scruples. It is a duty for society to take back control over the issuance of money.
It is said that everything has a cost, and so the interest would be the cost of money. However, money is not a thing, a commodity, but a sign, a common good that belongs to all, just like water or air. It is precisely the dream of the greedy to make people pay for the air and water they consume. Money is a universal, and to leave its creation into the hands of the supporters of death is a crime.
Today, money is more and more invested in labor-saving technology rather than in creating jobs. The interest causes the repayment of loans to the banks to go before the wages of workers, and to prefer to lay off these workers instead of paying them. This is how human rights work today: money, a sign or abstraction, comes before the human person, a reality. Where is the dignity of the fathers of families, who are not bankers? Besides, bankers do not have large families, for money comes even before their own children.
Abortion: a sacrifice to Moloch
This swindle of the “creation” of money by the banks, and the widespread use of interest on the loan of money, favor economic crises and abortion when loans have to be paid back. In Switzerland, the first reason given by women who had an abortion is the repayment of loans, contracted by themselves or their families. We know that there are other reasons (hedonism, selfishness, fashions, social pressure, frivolity, ignorance, etc.), but to shut up our eyes and do nothing against one of the causes is neither scientific nor Christian. To let the people who earn money without working (by collecting the interest on their loans) crush the poor who are defenseless, is ridiculous. However, to defend the poor is far from being ridiculous.
History of ancient Egypt shows the close link between mortgage rates and the decline, even disappearance, of the population. (See the analysis of Belgian historian Pirenne on the 20% rates that caused the deadly exposition of children to the sun.)
The new Catechism of the Catholic Church maintains the condemnation of interest and its harmful role at the end of the comments on the 7th Commandment, which forbids to steal. As lay people, we must make this condemnation understood by all, for it is a liberation for the poor; moreover, an economy based on investment in real developments and improvements (and not simply hoardingmoney through the gimmick of the interest rates), is much more dynamic, and favors a reduction of prices, while rewarding those who take risks in investing in new developments.
Justice is necessary to achieve holiness. It is too easy to wash one's hands of the matter by saying that one understands nothing in economics. Economics is not so complicated, especially when one takes the trouble to humbly study solutions that are finally more practical than those who manipulate public opinion want to make you believe.
For many centuries, the Church has been suffering, because her sons are prisoners of a huge disinformation campaign. Maurice Allais, 1988 Nobel Prize winner in Economics, wrote that the present international financial system is the biggest disinformation system in human history. The sons of darkness control this disinformation and crush the weak, often with the help of the ignorant of good faith. Let us unmask them, to give some fresh air amidst this general atmosphere of corruption.
What to do?
Why not react now? The human race has survived for centuries without this so-called creation of money at interest by banks, and even with no banks at all. So, why not abandon these inhuman and outrageous interest rates that know no limits and steal time from us as educators of our children? The interest is time stolen from fathers and mothers.
Nations spend billions for research in physics. Let us spend a few million to study more carefully the social doctrine of the Church and the practical solutions it entails in favor of a sound economy. Let us create a center of studies and formation for social action.
Let us make the promise made to Abraham possible. The earth is huge and generous, as well as the seas. All the serious experts, after long studies (cf. Julius Simon), admit that our planet can feed all the population to come in the future. In fact, those who believe that the earth is overpopulated neither believe in God nor in His promise. Let us learn again to utter this greeting of the sons of Abraham: pax, peace, shalom, salam... This peace, as Blessed Mother Teresa of Calcutta said, will come on earth only if abortions are stopped, and if we accept those who are different, the disabled.
A salary for housewives
Housewives, mothers who stay at home, work just as hard as those who are hired in the workforce. They deserve a real salary, which will create more job opportunities, boost consumption and the economy, and allow the Gross National Product to double. It was possible to finance two world wars, so there is no reason why it would not be possible to finance this wage to housewives. In Canada, it is estimated that the work of housewives represents 46% of the GNP. So it is simple justice, as Pope John Paul II said, to reward them with a salary.
Is is true that:
The less the children in a family, the less vocations to sharing and generosity?
The best school to teach the principle of subsidiarity is a large family?
The main flaw in world politics is this generosity in the existence of intermediary bodies?
The contraception mentality is directly aimed against large families?
The system of interest directly attacks the family?
The interest is a theft of time and children?
The creation of money through interest is a lie and a swindle, a theft to the detriment of future generations (unborn children)?
Can any person of good will take part in this slaughter, by action or omission? Can we stand up and stop this mechanism?
Is the teaching of St. Thomas Aquinas on usury still valid today? Can the time that belongs to God be stolen? This is a good explanation for stress.
Any human invention that has no limits is monstrous; the system of interest rates has no limits. Moreover, a means of exchange, or unit of measurement, cannot multiply by itself. If money breeds more money today, it is at the expense of our own children. This is criminal!
It is easy to show that the present crisis is in large part due to this search for zero population growth, based on flawed facts and analysis. What a mistake it is to think that the earth cannot support all of the present population, whereas Europe alone could feed many times the world's population, not to mention the resources of the oceans that are barely developed.
For those who say: “We will have to change the way our deposits are managed in banks,” I reply: “This is true, and you will be rewarded a hundredfold, for a dynamic economy will benefit all, unless your selfishness make you sad to see others happy. How sad it would be it you were in such a situation, especially since you risk eternal damnation.
All this work is done with the hope that a few simple economic concepts can be explained for the good of the poor, the unborn, especially in Third-World countries. Don't believe those who complicate everything to keep their control over the economy, for billions of human beings will never be born because of this control. True love cannot accept interest, but it can accept just profit. Let us entrust the future of mankind to the family, with mothers having for their model, Mary.
In other words, it was easier to say of those involved in transactions
the usurious nature of which was doubtful, that they ought not to be
disturbed, than either to try to apply the principles of the usury
doctrine to the complex facts of the situation or still less to make the
gigantic efforts required to orient the economy away from financial
speculation and emphasis on individual enrichment toward an
economy based on production for use and a recognition of the
claims of society as a whole.
This change in the Church’s approach to usury did not pass
unnoticed. Various authors explained it in various ways, commonly
arguing, however, that in modern times the nature of economic
activity or the function of money differed essentially from what
obtained in the middle ages.42 In our last section we will try to
understand what really happened when we try to understand what
the Church’s teaching on usury should mean for Christians today.
4. Argumentation in support of scholastic doctrine
Before proceeding to look at the significance for us today of
the Church’s prohibition of usury, I want to argue anew for the
correctness of the teaching of Vix pervenit, based on St. Thomas’
argumentation, which looks to the consumptible nature of money
as the key point. I do this so that we might approach the question of
the meaning of the usury rule with a positive appraisal of the
scholastic doctrine and regard it as something that must be understood
rather than disregarded as a relic of the past.
We might remember that as far back as Ejiciens thinkers had
distinguished between something loaned that “deteriorates in use”
and something that, “when it is lent, is neither diminished nor
Is Usury Still a Sin? 465
43I noted above that St. Thomas rejected the “wear and tear” argument;
however, this argument seems to me the best reason why it is licit to charge for the
use of something such as a house, whose ownership is separable from its use.
44Ryan, Distributive Justice, 176.
deteriorated.”43 Money is certainly the most common representative
of the latter class, but is not the only one. As we saw, St. Thomas
based his argument on the more general class of consumptible things.
And I think that if we look at more humble consumptibles, such as
food or drink, we might be able to look at the question afresh and
understand the Church’s doctrine better. Let us consider the
following analogy.
Suppose we have a small businessman who owns a catering
service, catering food and drink, and let us suppose further that all
the supplies that accompany the food and drink are disposable, such
as plastic forks, paper napkins, etc., so that there is nothing he
provides to his customers that he must reuse. Now what may he
licitly charge his customers for? For the replacement cost of the food
and drink and the other disposable supplies, certainly. In addition, he
may charge each customer for a share of the overhead for his shop,
including rent, utilities, etc., his delivery van, for wages for any
employees, for any legitimate interest payments he must make, and
for a “return for his labor of organization and direction, and for the
risk that he underwent.”44 But as regards the food and other
consumptibles that he provides, it is hard to see how he can charge
a customer for more than the amount purchased. If he furnishes 100
bottles of wine, the caterer may charge what it will cost him to
replace a similar kind and amount of wine. Anything he charges a
customer in addition must come from one of the other titles I
mentioned above, such as costs incident to the running of his
business and wages for his employees and for himself.
This last is what is generally called profit, a term that is often
used loosely and inexactly. As we see here, Ryan reduces it to the
proprietor’s labor, plus his entrepreneurial abilities and risks. It is not
an open-ended invitation to charge as much as the market will bear,
but rather there must exist some title of justification such as Ryan
enumerates here. Looked at in this way the limiting of the reimbursement
for the consumptibles sold seems obvious. Of course the
caterer cannot charge for 110 bottles of wine if he delivers only 100.
His profit, in reality his salary and compensation for risk, etc., comes
466 Thomas Storck
45“The great majority of businessmen in competitive industries do not receive
incomes in excess of their reasonable needs. Their profits do not notably exceed the
salaries that they could command as hired managers, and generally are not more
than sufficient to reimburse them for the cost of education and business training,
and to enable them to live in reasonable conformity with the standard of living to
which they have become accustomed” (Ryan, Distributive Justice, 190).
46Pesch, Lehrbuch der Nationalökonomie/Teaching Guide to Economics, vol. 5, bk. 2,
200.
47Another way of looking at this example that yields the same conclusion is to
regard a mutuum of money as a sale. As in the case of the caterer who provides 100
otherwise and is not gained at the expense of expecting more in
return than what he supplied.
We can now easily apply this analogy to loans of mutuum.
Supposing someone is in the business of making loans, then similar
expenses could justly be taken from customers. The montes pietatis
acted in similar fashion. Of course the montes were not profit-making
in the sense that they intended to earn more than their expenses,
including salaries. But according to Ryan’s analysis of business, no
business is profit-making in the sense that it can justly seek as wide
profits as it can obtain. The owner can seek a fair “return for his
labor of organization and direction, and for the risk that he underwent.”
Although one cannot calculate such returns with mathematical
exactness, neither can one maintain that they have no theoretical
limit.45 And even if one were to argue that there should be no limit
on such a return for labor, skill and risk, still that is not the same as
saying that usury for the lending activity itself may be taken, for we
have seen that here the entrepreneur can require only the same
amount as the consumptible good that he has provided, “the equality
of what is given and returned,” as Benedict XIV taught.
Of course in the case of our caterer he receives immediate or
nearly immediate payment for his expenditure on food and other
consumptibles. A loan, however, is generally paid back after a period
of time, or gradually during such a period. Is not the lender entitled
to some compensation on account of this delay? No, for “the mere
time differential by itself does not cause a difference in value. There
must be added the possibility of earning a profit in the intervening
time period.”46 In other words, one must have a title such as lucrum
cessans or damnum emergens to justify receiving interest, for the mere
fact of delay by itself does not equate to the right to contract for
more than the principal.47
Is Usury Still a Sin? 467
bottles of wine and receives as part of his total payment the price of the 100 bottles,
no more and no less, if we look at money loaned as a sale of money we see that the
price of $100 is obviously $100. Any other just charges come from the same titles
as the caterer had, such as overhead expenses, wages, etc. For the product provided,
money, one can charge only what it is worth, which is always its face value.
I have argued both that the Church has not changed her
teaching on usury and that one can make a reasonable argument for
the validity of the intrinsic injustice of usury itself. On both these
points, it seems to me, assent to the scholastic teaching is not where
the real difficulty is. That lies elsewhere, in the question, what does
it mean? Or better, does it have any meaning except as an empty and
antiquated formalism? Assuming that we accept at least some of the
extrinsic titles and other practices that grew up during the Renaissance,
would adherence to the usury prohibition today make any real
difference in our economic and legal practices?
5. Application of usury theory to contemporary economies
If what I have said is correct—if, based both on arguments
from reason as well as on a failure to find that the Church ever
retracted her papal and conciliar teaching on usury, it is the case that
the “law governing loans consists necessarily in the equality of what
is given and returned”—then there are two chief questions that
concern us in this last section. In the first place, returning to my title,
Is Usury Still a Sin?, we have to ask what effect the intrinsic evil of
usury should have on the moral conduct of the Christian. Is there
anything that Christians should do or avoid in their financial or
economic behavior as a result of the sinfulness of usury? Secondly,
what meaning does usury have in an economy hopelessly enmeshed
in all kinds of interest-bearing transactions as a matter of course and
without a thought as to any justifying title? Given that for centuries
theologians have found it easy to justify most forms of interest, are
we committing the Church to a ridiculous anachronism, a relic of
the past? Are we hankering after a silly formalism in order to justify
something that it is easier and more honest simply to call interest on
a loan?
In regard to our first question, in light of the various Roman
decisions of the nineteenth century and of the 1917 Code, no one
468 Thomas Storck
48“Even higher rates of interest are not unheard of, as one Indiana payday lender
offered a loan of $100 with interest of $20 per day—an APR of 7,300%” (John
Skees, “The Resurrection of Historic Usury Principles for Consumption Loans in
a Federal Banking System,” Catholic University Law Review 55, no. 4 [Summer
2006]: 1132). As late as the mid-1970s most state usury laws set a limit of 10%, and
the model Uniform Consumer Credit Code proposed a maximum of 18%
(Lawrence P. Galie, “Indexing the Principal: the Usury Laws Hang Tough,”
University of Pittsburgh Law Review 37, no. 4 [Summer 1976]: 764).
49The 1978 Supreme Court decision, Marquette National Bank v. First of
Omaha Service Corp., 439 U.S. 299, made inevitable the eventual demise of state
laws regulating interest rates.
can be condemned for taking the legal or customary rate of interest
on a loan, provided that it is not excessive. The reason for this, I
argued above, is that the complexity of modern finance renders it
safer simply to allow moderate interest than to engage in probably
fruitless endeavors to determine the presence or absence of extrinsic
titles. The Church presumes these titles to exist generally and makes
the judgment that even if in some cases they do not, it is better for
the sake of consciences to ignore that fact. The remedy always exists,
moreover, for restitution to be made via almsgiving in case a
penitent is troubled or there seems a well-founded and probable case
of real usury.
Of course, it should go without saying that the interest rates
of loansharks and others on so-called payday or similar loans, which
can reach even 500% per annum, have clearly no justification in any
extrinsic title, and no Catholic can lawfully have anything to do with
such loans.48 Such usury is a serious offense against justice and ought
to be strictly prohibited by the civil law. Unfortunately, since 1978
in the United States judicial decisions and the gradual repeal of state
laws regulating usury have allowed such gross injustices to flourish.49
The ecclesiastical decisions of the 1820s and 1830s were
addressed to confessors and did not purport to change the usury
doctrine as expressed in Vix pervenit. So even though no one can be
criticized for taking moderate interest, I think that in some cases one
can detect the presence of usury in modern interest. For example,
while it is certainly correct to point out that today there is usually
opportunity for productive investment, and that therefore those who
put money out at mutuum but would otherwise invest it in some
manner are entitled to claim lucrum cessans, this reasoning does not
always hold. In certain cases of depression or recession, “the profit
Is Usury Still a Sin? 469
50Paul Samuelson, Economics, 9th ed. (New York: McGraw-Hill, 1973), 336.
51John F. Cronin, Economics and Society (New York: American Book Co., 1939),
131.
52John P. Kelly, Aquinas and Modern Practices of Interest Taking (Brisbane: Aquinas
Press, 1945), 33.
53Summa theologiae II-II, q. 78, a. 2, ad 2.
expectations of businessmen are likely to be so low that they would
not employ men and machines on new investment projects even if
you let them borrow temporarily at a zero interest rate.”50 In such
cases “some savings will follow the sterile path of debt-financed
consumption, with eventual repayment at the expense of current
consumption.”51 In other words, in such situations a lack of
consumer demand makes spending on productive investment
unprofitable, so it is likely that someone putting money out at
mutuum is not truly forgoing investment profit, because no profit is
to be had for the time being. Thus when there is excess savings with
no outlet for profitable use, it is hardly in accord with the common
good to reward those who choose to loan by giving them a rate of
interest based on a merely hypothetical opportunity cost.
We must remember that since the extrinsic titles were never
given official approval except as compensation for lost opportunities
for investment earnings “they can never be advanced as a justification
of a general loan system based on motives of profit.”52 Thus it
seems hard to justify lucrum cessans for those who have no real
intention of making investments, simply because such opportunities
are readily available to all. What of ordinary savers who desire to put
their money into insured savings accounts at banks and who because
of inexperience or fear of loss have no desire to invest in business
ventures, even to buy shares of stock or mutual funds? They are not
undergoing a real loss of investment income on account of their loan
of money to the bank, since otherwise they might have simply
hidden the money in a mattress. I do not see how the merely
theoretical possibility that they could make gains from investments
applies to them, since they are too risk-averse to do so. Can they
licitly claim interest on bank accounts and under what title? I think
there is a reason for thinking such interest just, but it is not one of
the extrinsic titles that theologians approved. It is the mere fact of
inflation. “He who receives a loan of money . . . is not held to pay
back more than he received by the loan”53—but with our ability to
470 Thomas Storck
54Garrick Small, “Rapacious Usury: Fact or Fiction?” unpublished paper
presented at the Campion Fellowship meeting in Toongabbie, Australia, in January
2002, p. 7. Used with permission of the author.
monitor the level of inflation in an economy, we realize that money
simply left alone, as in a mattress, will actually diminish in value.
Therefore payment for inflation for money deposited in a bank or
credit union seems just.
Moreover, it does seem possible to roughly distinguish a just
rate of interest, anything above which would be usury. If we
consider the rate of interest on government bonds, historically the
safest investment possible, as risk-free for all practical purposes, we
can then examine other interest rates in their light. The following
discussion refers to Australian interest rates.
For example, on 5 January 2002, the ten year government bond
rate was 5.21%, and home mortgages were 6.3% while inflation
was about 2.5%. The gap between home mortgage rates and
government bonds of about 1.1% was due to the riskiness of
lending to home buyers compared to the government. By
subtracting inflation, the government bond rate is reduced to
about 2.7% which is known as the real rate of interest. Markets
anticipate a fall in rates, so there is a negligible liquidity preference
effect. This means that 2.7% of the loan interest on government
bonds, home mortgages and all other lending is purely the
result of the expectation of the lender for a return in excess of the
principle. That looks suspiciously like usury.54
This analysis justifies the interest paid on government bonds only on
the basis of inflation, apparently without considering the presence or
absence of any extrinsic title. Nevertheless it suggests an interesting
way of approaching the question. Another method of analysis is to
recall that interest legitimately taken is compensation for an investment
opportunity forgone. Thus a just rate of interest could in
principle be formulated based on the expected return of an investment
which the lender had the opportunity of profiting by, assuming
that it was possible to specify a general rate of profit for any particular
place and time.
Abstracting from statutory regulation of interest, and from any
special expense or risk of loss incurred by a lender . . . the
criterion [of a just rate of interest] is the just rate of profit from
investment. This does not mean that the just rate of interest is
Is Usury Still a Sin? 471
55Lewis Watt, “Usury in Catholic Theology” in Readings in Economics, ed.
Richard Mulcahy (Westminster, Md.: Newman, 1959), 278.
56Kelly, Aquinas and Modern Practices of Interest Taking, 20.
57“The Idea of a Christian Society” in Christianity and Culture (San Diego:
Harcourt, Brace Jovanovich, [1939] 1977), 77.
58Pope Benedict also commends credit unions in his encyclical, Caritas in veritate,
65.
exactly the same as the just rate of profit . . . [for] the profits of
any business are due, at least in part, to the activities of those who
are running it; and also that ordinary investment involves
financial risks which are not inherent in loans of money. Consequently
. . . the just rate of interest will be lower than the just
rate of profit. How much lower? Evidently by as much as
corresponds to the differential advantage of lending rather than
investing.55
We must remember that “the modern world . . . has ordered
its economic affairs with little reference to moral scruples, and in
such a world it is exceedingly difficult to assess the moral implications
of loan contracts.”56 Often we will agree with T. S. Eliot’s
confession: “I seem to be a petty usurer in a world manipulated
largely by big usurers.”57 The point of these last examples is simply
that even in an economy that gives and receives interest as a matter
of course we can at times distinguish what might be legitimate
interest from what is probably usury. Although the praxis of the
Church for the past two hundred years has been not to disturb
consciences on the subject, that does not mean that there is anything
wrong with discussion of the matter and with attempts to identify
usury where it is present. An increased consciousness of the evil and
the ubiquity of usury today (cf. Rerum novarum) cannot but help to
make Christians more aware of what to our ancestors was one of the
greatest of sins.
Another benefit of discussion of the presence of usury in
today’s financial transactions is that it might lead to steps to establish
institutions which avoid or minimize usury. One possible means of
overcoming loansharking, for example, is an institution with some
resemblance to the medieval montes pietatis, the credit union.58 A
commercial bank has stockholders who expect to receive a return on
their investment. If establishing a commercial bank can be considered
as a legitimate investment activity, then some return for the
472 Thomas Storck
59One very important topic which space prevents me from taking up is the
question of bank-created money. Although it would be possible for a banking
system to work otherwise, ours operates by creating money as debt. Most of the
money supply today originates in this way. The banking system creates money out
of nothing and yet banks charge interest on this money as they loan it out to
borrowers. Almost all of the interest on such loans seems to be nothing but usury.
See Rupert J. Ederer, “Is Usury Still a Problem?” Homiletic & Pastoral Review 84,
nos. 11–12 (August–September 1984): 18–20.
60Islamic banks claim to engage in risk-sharing agreements with their borrowers,
although there is some dispute about whether in fact they do that as much as they
claim. See Timur Kuran, “Islamic Economics and the Islamic Subeconomy,”
Journal of Economic Perspectives 9, no. 4 (Fall 1995): 155–73. Kuran claims that the
whole notion of Islamic banking originated with Maududi (or Mawdudi), an
Indian/Pakistani Moslem theorist of the mid-twentieth century. But see the two
bibliographies on Islamic banking, part of a bibliography on Islamic law, the first
of which lists works earlier than Maududi’s activity: Law Library Journal 78, no. 1
(Winter 1986); the section on Islamic banking is at 161–62. The update appeared
in the same journal, vol. 87, no. 1 (Winter 1995); the section on banking appears
at 122–25.
bank stockholders is just. But still, whatever the stockholders receive
must be paid for by higher interest rates on loans and higher bank
fees. This is not the case with credit unions, which are not profitmaking
institutions in that sense. Of course they pay wages to their
employees, as did the montes pietatis, and for the necessary expenses
of providing loans.59
Today the only financial institutions that operate with the
goal of avoiding usury altogether are Islamic banks.60 If usury is
unjust, why are Christians not as active in promoting these sorts of
financial institutions as Moslems? Let us in conclusion look briefly
at a few more financial practices and institutions which Christians
might promote were we to recover the zeal for economic justice that
characterized Catholics at an earlier period.
The whole Christian doctrine of property with its responsibilities
of ownership which the modern world has forgotten is wrapped
up in this question of money and the taking of interest thereon.
If I am in possession of money, I am in possession of something
that is vital to the society in which I live. I, as a Christian,
therefore, have very definite responsibilities with respect to the
ownership of that money. Christian morality knows of no theory
of an unqualified and unconditional ownership of property of any
description. Property must be used according to its true end and
purpose and in the case of money that true end and purpose is as
Is Usury Still a Sin? 473
61Kelly, Aquinas and Modern Practices of Interest Taking, 46–47.
62Pius XI, Quadragesimo anno, 49 (Paulist translation).
a means of exchange. Therefore, the wrongful withholding of
that money from circulation for the purpose of making a profit
by waiting is a misuse of property.61
Such a doctrine of money is akin to Paul VI’s doctrine of property
in Populorum progressio.
[P]rivate property does not constitute for anyone an absolute and
unconditioned right. No one is justified in keeping for his
exclusive use what he does not need, when others lack necessities
. . . . If certain landed estates impede the general prosperity
because they are extensive, unused or poorly used, or because
they bring hardship to peoples or are detrimental to the interests
of the country, the common good sometimes demands their
expropriation. (23–24)
Clearly expropriation of funds that are being used merely in idle
usury should be a last resort, and normally the law will use financial
incentives and penalties to direct such funds toward uses more in
accord with the common good. But no Catholic need be afraid to
acknowledge that “the public authority, in view of the common
good, may specify more accurately what is licit and what is illicit for
property owners in the use of their possessions.”62 A Christian
society, then, by outlawing true usury completely, and by forbidding
or discouraging the kinds of contracts that during the Renaissance
helped undermine the usury prohibition among both theologians
and merchants, would seek to direct money toward its proper use.
Some form of credit union might be adequate to provide financing
for non-productive consumer loans. The demand for commercial
credit could be satisfied either by merchants diverting funds from
investments, and licitly claiming lucrum cessans, or by some form of
commercial credit union run by associations of businesses.
Just as in the Great Depression of the 1930s, so also now
events are forcing theologians and moralists to turn their attention to
the economy. But in reality, Catholics should have as lively a sense
of the demands of the moral law relative to the economy as they do
relative to sexuality or war.
474 Thomas Storck
63Cronin, Catholic Social Principles: the Social Teaching of the Catholic Church Applied
to American Economic Life, 43.
In the Middle Ages, it was taken for granted God’s law applied
to the totality of life. The idea of a double standard of morality,
with a strict code for private life and a minimum of moral
obligation for business and public life, is an innovation based on
philosophical and religious individualism of the eighteenth
century.63
However far we are today from a Christian society or a Christian
economy, the goal “to impress the divine law on the affairs of the
earthly city” (Gaudium et spes, 43) is always present. With respect to
usury the Church has been clear in setting forth a principle, a
principle it is true that must be intelligently applied to the complex
circumstances of financial life, but which nonetheless is a standard for
both individual and social conduct. The doctrine on usury establishes
a social goal, and even if we cannot fully achieve that now there are
various intermediate goals that we can work toward implementing. G
THOMAS STORCK is the author of The Catholic Milieu, Foundations of a
Catholic Political Order, Christendom and the West and numerous articles and
reviews on Catholic culture and social teaching. He is a member of the editorial board
of The Chesterton Review.
Maurice Allais, a french Nobel price, described the ex nihilo ( ex nihilo means out of nothing, out of thin air, out of a pen, out of a computer, out of a subtle robbery from your pocket...) creation of money by the banking system as identical to the creation of money by “counterfeiters,” the only difference being that those who profit are different.
He proposed, therefore, that although all banks would be private, except for the Central Bank, all income derived by the Central Bank’s creation of money should be returned to the State, enabling the latter, under present circumstances, to do away with practically the whole of the progressive tax on income. This would eliminate the present circumstance where profits and their beneficiaries are not transparent. Such revenues, he wrote, “merely generate inflation, and by encouraging investments that are not really profitable for the community...
The Wall Street Pentagon Papers: Biggest Scam In World History Exposed – Are The Federal Reserve’s Crimes Too Big To Comprehend ?
By David DeGraw, AmpedStatus What if the greatest scam ever perpetrated was blatantly exposed, and the US media didn’t cover it? Does that mean the scam could keep going? That’s what we are about to find out. I understand the importance of the new WikiLeaks documents. However, we must not let them distract us from the new information the Federal Reserve was forced to release. Even if WikiLeaks reveals documents from inside a large American bank, as huge as that could be, it will most likely pale in comparison to what we just found out from the one-time peek we got into the inner-workings of the Federal Reserve. This is the Wall Street equivalent of the Pentagon Papers. I’ve written many reports detailing the crimes of Wall Street during this crisis. The level of fraud, from top to bottom, has been staggering. The lack of accountability and the complete disregard for the rule of law have made me and many of my colleagues extremely cynical and jaded when it comes to new evidence to pile on top of the mountain that we have already gathered. But we must not let our cynicism cloud our vision on the details within this new information. Just when I thought the banksters couldn’t possibly shock me anymore… they did. We were finally granted the honor and privilege of finding out the specifics, a limited one-time Federal Reserve view, of a secret taxpayer funded “backdoor bailout” by a small group of unelected bankers. This data release reveals “emergency lending programs” that doled out $12.3 TRILLION in taxpayer money – $3.3 trillion in liquidity, $9 trillion in “other financial arrangements.” Wait, what? Did you say $12.3 TRILLION tax dollars were thrown around in secrecy by unelected bankers… and Congress didn’t know any of the details? Yes. The Founding Fathers are rolling over in their graves. The original copy of the Constitution spontaneously burst into flames. The ghost of Tom Paine went running, stark raving mad screaming through the halls of Congress. The Federal Reserve was secretly throwing around our money in unprecedented fashion, and it wasn’t just to the usual suspects like Goldman Sachs, JP Morgan, Citigroup, Bank of America, etc.; it was to the entire Global Banking Cartel. To central banks throughout the world: Australia, Denmark, Japan, Mexico, Norway, South Korea, Sweden, Switzerland, England… To the Fed’s foreign primary dealers like Credit Suisse (Switzerland), Deutsche Bank (Germany), Royal Bank of Scotland (U.K.), Barclays (U.K.), BNP Paribas (France)… All their Ponzi players were “gifted.” All the Racketeer Influenced and Corrupt Organizations got their cut. Talk about the ransacking and burning of Rome! Sayonara American middle class… If you still had any question as to whether or not the United States is now the world’s preeminent banana republic, the final verdict was just delivered and the decision was unanimous. The ayes have it. Any fairytale notions that we are living in a nation built on the rule of law and of the global economy being based on free market principles has now been exposed as just that, a fairytale. This moment is equivalent to everyone in Vatican City being told, by the Pope, that God is dead. I’ve been arguing for years that the market is rigged and that the major Wall Street firms are elaborate Ponzi schemes, as have many other people who built their beliefs on rational thought, reasoned logic and evidence. We already came to this conclusion by doing the research and connecting the dots. But now, even our strongest skeptics and the most ardent Wall Street supporters have it all laid out in front of them, on FEDERAL RESERVE SPREADSHEETS. Even the Financial Times, which named Lloyd Blankfein its 2009 person of the year, reacted by reporting this: “The initial reactions were shock at the breadth of lending, particularly to foreign firms. But the details paint a bleaker and even more disturbing picture.” Yes, the emperor doesn’t have any clothes. God is, indeed, dead. But, for the moment at least, the illusion continues to hold power. How is this possible? To start with, as always, the US television “news” media (propaganda) networks just glossed over the whole thing – nothing to see here, just move along, back after a message from our sponsors… Other than that obvious reason, I’ve come to the realization that the Federal Reserve’s crimes are so big, so huge in scale, it is very hard for people to even wrap their head around it and comprehend what has happened here. Think about it. In just this one peek we got at its operations, we learned that the Fed doled out $12.3 trillion in near-zero interest loans, without Congressional input. The audacity and absurdity of it all is mind boggling… Based on many conversations I’ve had with people, it seems that the average person doesn’t comprehend how much a trillion dollars is, let alone 12.3 trillion. You might as well just say 12.3 gazillion, because people don’t grasp a number that large, nor do they understand what would be possible if that money was used in other ways. Can you imagine what we could do to restructure society with $12.3 trillion? Think about that… People also can’t grasp the colossal crime committed because they keep hearing the word “loans.” People think of the loans they get. You borrow money, you pay it back with interest, no big deal. That’s not what happened here. The Fed doled out $12.3 trillion in near-zero interest loans, using the American people as collateral, demanding nothing in return, other than a bunch of toxic assets in some cases. They only gave this money to a select group of insiders, at a time when very few had any money because all these same insiders and speculators crashed the system. Do you get that? The very people most responsible for crashing the system, were then rewarded with trillions of our dollars. This gave that select group of insiders unlimited power to seize control of assets and have unprecedented leverage over almost everything within their economies – crony capitalism on steroids. This was a hostile world takeover orchestrated through economic attacks by a very small group of unelected global bankers. They paralyzed the system, then were given the power to recreate it according to their own desires. No free market, no democracy of any kind. All done in secrecy. In the process, they gave themselves all-time record-breaking bonuses and impoverished tens of millions of people – they have put into motion a system that will inevitably collapse again and utterly destroy the very existence of what is left of an economic middle class. That is not hyperbole. That is what happened. We are talking about trillions of dollars secretly pumped into global banks, handpicked by a small select group of bankers themselves. All for the benefit of those bankers, and at the expense of everyone else. People can’t even comprehend what that means and the severe consequences that it entails, which we have only just begun to experience. Let me sum it up for you: The American Dream is O-V-E-R. Welcome to the neo-feudal-fascist state. People throughout the world who keep using the dollar are either A) Part of the scam; B) Oblivious to reality; C) Believe that US military power will be able to maintain the value of an otherwise worthless currency; D) All of the above. No matter which way you look at it, we are all in serious trouble! If you are an elected official, (I know at least 17 of you subscribe to my newsletter) and you believe in the oath you took upon taking office, you must immediately demand a full audit of the Federal Reserve and have Ben Bernanke and the entire Federal Reserve Board detained. If you are not going to do that, you deserve to have the words “Irrelevant Puppet” tattooed across your forehead. Yes, those are obviously strong words, but they are the truth. The Global Banking Cartel has now been so blatantly exposed, you cannot possibly get away with pretending that we live in a nation of law based on the Constitution. The jig is up. It’s been over two years now; does anyone still seriously not understand why we are in this crisis? Our economy has been looted and burnt to the ground due to the strategic, deliberate decisions made by a small group of unelected global bankers at the Federal Reserve. Do people really not get the connection here? I mean, H.E.L.L.O. Our country is run by an unelected Global Banking Cartel. I am constantly haunted by a quote from Harry Overstreet, who wrote the following in his 1925 groundbreaking study Influencing Human Behavior: “Giving people the facts as a strategy of influence” has been a failure, “an enterprise fraught with a surprising amount of disappointment.” This crisis overwhelmingly proves Overstreet’s thesis to be true. Nonetheless, we solider on… Here’s a roundup of reports on this BernankeLeaks: Prepare to enter the theater of the absurd… I’ll start with Senator Bernie Sanders (I-Vermont). He was the senator who Bernanke blew off when he was asked for information on this heist during a congressional hearing. Sanders fought to get the amendment written into the financial “reform” bill that gave us this one-time peek into the Fed’s secret operations. (Remember, remember the 6th of May, HFT, flash crash and terrorism. “Hey, David, Homeland Security is on the phone! They want to ask you questions about some NYSE SLP program.”) In an article entitled, “A Real Jaw-Dropper at the Federal Reserve,” Senator Sanders reveals some of the details:
At a Senate Budget Committee hearing in 2009, I asked Fed Chairman Ben Bernanke to tell the American people the names of the financial institutions that received an unprecedented backdoor bailout from the Federal Reserve, how much they received, and the exact terms of this assistance. He refused. A year and a half later… we have begun to lift the veil of secrecy at the Fed… After years of stonewalling by the Fed, the American people are finally learning the incredible and jaw-dropping details of the Fed’s multi-trillion-dollar bailout of Wall Street and corporate America…. We have learned that the $700 billion Wall Street bailout… turned out to be pocket change compared to the trillions and trillions of dollars in near-zero interest loans and other financial arrangements the Federal Reserve doled out to every major financial institution in this country.… Perhaps most surprising is the huge sum that went to bail out foreign private banks and corporations including two European megabanks — Deutsche Bank and Credit Suisse — which were the largest beneficiaries of the Fed’s purchase of mortgage-backed securities…. Has the Federal Reserve of the United States become the central bank of the world?… [read Global Banking Cartel] What this disclosure tells us, among many other things, is that despite this huge taxpayer bailout, the Fed did not make the appropriate demands on these institutions necessary to rebuild our economy and protect the needs of ordinary Americans…. What we are seeing is the incredible power of a small number of people who have incredible conflicts of interest getting incredible help from the taxpayers of this country while ignoring the needs of the people. [read more]
In an article entitled, “The Fed Lied About Wall Street,” Zach Carter sums it up this way:
The Federal Reserve audit is full of frightening revelations about U.S. economic policy and those who implement it… By denying the solvency crisis, major bank executives who had run their companies into the ground were allowed to keep their jobs, and shareholders who had placed bad bets on their firms were allowed to collect government largesse, as bloated bonuses began paying out soon after. But the banks themselves still faced a capital shortage, and were only kept above those critical capital thresholds because federal regulators were willing to look the other way, letting banks account for obvious losses as if they were profitable assets. So based on the Fed audit data, it’s hard to conclude that Fed Chairman Ben Bernanke was telling the truth when he told Congress on March 3, 2009, that there were no zombie banks in the United States. “I don’t think that any major U.S. bank is currently a zombie institution,” Bernanke said. As Bernanke spoke those words banks had been pledging junk bonds as collateral under Fed facilities for several months… This is the heart of today’s foreclosure fraud crisis. Banks are foreclosing on untold numbers of families who have never missed a payment, because rushing to foreclosure generates lucrative fees for the banks, whatever the costs to families and investors. This is, in fact, far worse than what Paul Krugman predicted. Not only are zombie banks failing to support the economy, they are actively sabotaging it with fraud in order to make up for their capital shortages. Meanwhile, regulators are aggressively looking the other way. The Fed had to fix liquidity in 2008. That was its job. But as major banks went insolvent, the Fed and Treasury had a responsibility to fix that solvency issue—even though that meant requiring shareholders and executives to live up to losses. Instead, as the Fed audit tells us, policymakers knowingly ignored the real problem, pushing losses onto the American middle class in the process.” [read more]
Even the Financial Times is jumping ship:
Sunlight Shows Cracks in Fed’s Rescue Story It took two years, a hard-fought lawsuit, and an act of Congress, but finally… the Federal Reserve disclosed the details of its financial crisis lending programs. The initial reactions were shock at the breadth of lending, particularly to foreign firms. But the details paint a bleaker, earlier, and even more disturbing picture…. An even more troubling conclusion from the data is that… it is now apparent that the Fed took on far more risk, on less favorable terms, than most people have realized. [read more]
In true Fed fashion, they didn’t even fully comply with Congress. In a report entitled, “Fed Withholds Collateral Data for $885 Billion in Financial-Crisis Loans,” Bloomberg puts some icing on the cake:
For three of the Fed’s six emergency facilities, the central bank released information on groups of collateral it accepted by asset type and rating, without specifying individual securities. Among them was the Primary Dealer Credit Facility, created in March 2008 to provide loans to brokers as Bear Stearns Cos. collapsed. “This is a half-step,” said former Atlanta Fed research director Robert Eisenbeis, chief monetary economist at Cumberland Advisors Inc. in Sarasota, Florida. “If you were going to audit the facilities, then would this enable you to do an audit? The answer is ‘No,’ you would have to go in and look at the individual amounts of collateral and how it was broken down to do that. And that is the spirit of what the requirements were in Dodd-Frank.” [read more]
Here’s the only person on US TV “news” who actually covers and understands any of this, enter Dylan Ratigan, with his guest Chris Whalen from Institutional Risk Analytics. This quote from Whalen sums it up well: “The folks at the Fed have become so corrupt, so captured by the banking industry… the Fed is there to support the speculators and they let the real economy go to hell.”
The Progressive’s Matthew Rothschild has a good quote: “The financial bailout was a giant boondoggle, undemocratic and kleptocratic to its core.” Matt Stoller on NewDeal 2.0:
End This Fed The Fed, and specifically the people who run it, are responsible for declining wages, for de-industrialization, for bubbles, and for the systemic corruption of American capital markets. The new financial blogosphere destroyed the Fed’s mythic stature…. With a loss of legitimacy comes a lack of public trust and a vulnerability to any form of critic. The Fed is now less respected than the IRS…. Liberals should stop their love affair with conservative technocratic myths of monetary independence, and cease seeing this Federal Reserve as a legitimate actor. At the very least, we need to begin noticing that these people do in fact run the country, and should not. [read more]
In case anyone is confused into believing that this is just another right vs. left partisan issue, enter Fox Business host Judge Andrew Napolitano with his guest Republican Congressman Ron Paul, who is, of course, a longtime leading Fed critic. Paul hopes to see some Wikileaks on the Federal Reserve:
The Sunlight Foundation shines a light on Bank of America and the Federal Reserve’s brother money manager BlackRock:
Federal Reserve Loan Program Allowed Bank of America to Benefit Twice Bank of America was one of several banks that was able to play both sides of a Federal Reserve program launched during the 2008 financial crisis. While Bank of America was selling its assets to firms obtaining loans through the Fed program, the investment firm BlackRock—partially owned by Bank of America—was potentially turning a profit by using those loans to buy assets similar to those sold by Bank of America. [read more]
Gretchen Morgenson at the New York Times jumps into the act:
So That’s Where the Money Went How the truth shines through when you shed a little light on a subject…. All of the emergency lending data released by the Fed are highly revealing, but why weren’t they made public much earlier? That’s a question that Walker F. Todd, a research fellow at the American Institute for Economic Research, is asking. Mr. Todd, a former assistant general counsel and research officer at the Federal Reserve Bank of Cleveland, said details about the Fed’s vast and various programs should have been available before the Dodd-Frank regulatory reform law was even written. “The Fed’s current set of powers and the shape of the Dodd-Frank bill over all might have looked quite different if this information had been made public during the debate on the bill,” he said. “Had these tables been out there, I think Congress would have either said no to emergency lending authority or if you get it, it’s going to be a much lower number — half a trillion dollars in the aggregate.” [read more]
Welcome to the “global pawnshop:”
The Fed Operates as a “global pawnshop:” $9 trillion to 18 financial institutions What the report shows is that the Fed operated as a global pawnshop taking in practically anything the banks had for collateral. What is even more disturbing is that the Federal Reserve did not enact any punitive charges to these borrowers so you had banks like Goldman Sachs utilizing the crisis to siphon off cheap collateral. The Fed is quick to point out that “taxpayers were fully protected” but mention little of the destruction they have caused to the US dollar. This is a hidden cost to Americans and it also didn’t help that they were the fuel that set off the biggest global housing bubble ever witnessed by humanity. [read more]
“No strings attached.” Financial reporter Barry Grey unleashes the truth:
Fed report lifts lid on Great Bank Heist of 2008-2009 The banks and corporations that benefited were not even obliged to provide an account of what they did with the money. The entire purpose of the operation was to use public funds to cover the gambling losses of the American financial aristocracy, and create the conditions for the financiers and speculators to make even more money. All of the 21,000 transactions cited in the Fed documents―released under a provision included, over the Fed’s objections, in this year’s financial regulatory overhaul bill―were carried out in secret. The unelected central bank operated without any congressional mandate or oversight. The documents shed light on the greatest plundering of social resources in history. It was carried out under both the Republican Bush and Democratic Obama administrations. Those who organized the looting of the public treasury were long-time Wall Street insiders: men like Bush’s treasury secretary and former Goldman Sachs CEO Henry Paulson and the then-president of the New York Federal Reserve, Timothy Geithner…. The Fed documents show that the US central bank enabled banks and corporations to offload their bad debts onto the Fed’s balance sheet. Now, in order to prevent a collapse of the dollar and a default by the US government, the American people are being told they must sacrifice to reduce the national debt and budget deficit. But as the vast sums make clear, the “sacrifice” being demanded of working people means their impoverishment―wage-cutting, mass unemployment, cuts in health care, Social Security, Medicare, Medicaid, etc. The very scale of the Fed bailout points to the scale of the financial crash and the criminality that fostered it…. The entire US capitalist economy rested on a huge Ponzi scheme that was bound to collapse… The banks were able to take the cheap cash from the Fed and lend it back to the government at double and quadruple the interest rates they were initially charged―pocketing many billions in the process…. The ongoing saga of the looting of the economy by the financial elite puts the lie to the endless claims that “there is no money” for jobs, housing, education or health care. The ruling class is awash in money. [read more]
Here’s an old Jim Rogers interview from two years ago when this whole thing was originally going down:
Here are two videos that I made last year, with an assist from Alan Grayson and Dylan Ratigan: The Wall Street Economic Death Squad – Part I
The Greatest Theft in History – Wall Street Economic Death Squad – Part II
And on a final note, you may as well rock out to this new song while Rome burns… WORLD PREMIERE ~ Ben Bernanke: Public Enemy #1 – Mr. Big Shot (((Music Video)))
Ben Shalom Bernanke is wanted for violating the United States Constitution, committing acts of financial terrorism and crimes against humanity. As a leading member of the Global Banking Cartel, he is considered a highly dangerous enemy combatant. Citizens of the United States hereby demand that he be properly detained under the laws and customs of war.
The Cardinal has set up a £3 million appeal for Westminster Cathedral which he fears will be forced to close within a decade if cash is not found for urgent repairs Photo: HEATHCLIFF O'MALLEY
Cardinal Cormac Murphy O'Connor, 76, made the astonishing claim at a lavish fund-raising dinner at Claridges which secured pledges of hundreds of thousands of pounds for the catholic church. The Cardinal, dressed in his full clerical regalia, said in a speech at the black tie dinner that he had worried whether the dinner should go ahead because of the troubled economic times. But he went on to say that in 1989, with the collapse of the Berlin wall, that "communism had died". In 2008, he said, " capitalism had died". The remarks will cause dismay in Downing Street as the Cardinal's remarks will be interpreted as a signal that the entire economic order has collapsed. The Government has clashed with the Cardinal before over homosexual adoption, abortion and the Embryology Bill. One Whitehall source said: "We would like the church to work with us, not against us." The remark caused astonishment in the ballroom, where the dinner was held, to launch an £8 million Faith in the Future appeal for money for the work of the bishops in England and Wales. One guest who was present, who declined to be named, said: "I could hardly believe my ears. The Cardinal announced that, in his view, that Communism had died in 1989 and capitalism had died in 2008 because of the credit crisis. "His remarks were part of a carefully considered thesis that it was capitalism that had got us into this mess and had died because of it. It was not just remarkable that he thinks that but it was remarkable that he said it in a room packed with some of the richest and most influential catholics in the land. Those same capitalists pledged a six figure sum to the church appeal." The four course dinner, with a champagne reception, had been provided free of charge by Derek Quinlan, the property developer, who owns Claridges who is worth an estimated £60 million. Sir Rocco Forte, the hotelier and prominent Roman Catholic, was in charge of the decoration. He decked out the ballroom in red flowers and red lights to match the Cardinal's clerical outfit. The guest list included Baroness Williams, the Lib Dem peer and former Labour Cabinet minister, Lord Brennan, the Labour peer, Lord Guthrie, the former Chief of Defence staff, the Conservative MP Nicholas Soames, and a clutch of bishops from England and Wales. Nicola Benedetti, the violinist, serenaded the guests and Julie Etchingham, the presenter of the ITV News at 10, compèred the proceedings. Last month the Cardinal, 76, issued a statement on the economic crisis which said: "Religious leaders are not normally economists, however, they cannot ignore the damaging human consequences of the rise and fall of economic indicators. Behind the gloomy headlines are cities, neighbourhoods, families, individuals deeply affected by the economic breakdown; and the hardest hit will be the poor: those already struggling to survive. Christians have a paramount concern for the poor. This "preferential option for the poor" is a constant theme in Catholic social teaching". A sopokesman for the Cardinal said: "They were private remarks at a private dinner." The Cardinal has also set up a £3 million appeal for Westminster Cathedral which he fears will be forced to close within a decade if cash is not found for urgent repairs. Parts of the building, which opened in 1903 but has never been completed, are in danger of structural collapse. The cathedral is recognised as one of the finest examples of Victorian architecture and Byzantine art. The remarks by the Cardinal come as leading bishops in the Church of England have launched a withering attack on the Government, questioning the morality of its policies. Five of the Church's most senior figures said the Government now presided over a country suffering from family breakdown, an unhealthy reliance on debt and a growing divide between rich and poor. The Rt Rev Nigel McCulloch, the Bishop of Manchester, accused Labour of being "beguiled by money'' and "morally corrupt''. He said: "The Government believes that money can answer all of the problems and has encouraged greed and a love of money that the Bible says is the root of all evil. It is morally corrupt because it encourages people to get into a lifestyle of believing they can always get what they want.'' The Rt Rev Tom Wright, the Bishop of Durham, said: "Labour made a lot of promises, but a lot of them have vanished into thin air,'' he said. "We have not seen a raising of aspirations in the last 13 years, but instead there is a sense of hopelessness. "When a big bank or car company goes bankrupt, it gets bailed out, but no one seems to be bailing out the ordinary people who are losing their jobs and seeing their savings diminished.'' The bishops of Hulme, Winchester and Carlisle joined in the attacks.
Kucinich "...the manipulation of the Federal Reserve!"
The WIR Bank, formerly the Swiss Economic Circle (German: Wirtschaftsring-Genossenschaft), orWIR, is an independent complementary currency system in ...
The Swiss WIR, or: How to Defeat the Money Power. by Anthony Migchels on April 19, 2012. For eighty years a major not for profit, private currency has been ...
The Swiss WIR Bank is the best example we have of a successful large-scale mutual credit clearing system that has stood the test of time and continues to thrive.
29 janv. 2016 - Other banks can create other kind of private money, like the bank wir, www.wir.ch and are responsible for payment transactions, wealth ...
Lors de notre déplacement au siège de l'ONU en Suisse, un banquier suisse gilet jaune me donne son avis et ses idées sur la banque, une rencontre sympathique et je pense impossible en France et celui-ci me parle au sujet de la monnaie pleine. Merci a ce Monsieur pour son franc parlé et son soutien envers les français gilet jaune de France ... https://www.youtube.com/watch?v=k1EnrgLLuDc&app=desktop#dialog
27 mars 2017 - Toutefois, la motion UDC, loin de faire la fixation que d'aucuns lui prêtent sur la franc-maçonnerie, a voulu appréhender des problématiques ...
9 mars 2010 - Tout est dédié à la gloire de cette secte secrète qu' est la Franc-maçonnerie : Dès l'entrée extérieure, les initiés y voient leurs symboles, deux ...
Mais parmi tous les mécanismes concentrationnaires, il en est un plus subtil et plus puissant, dont l'ignorance était quasi totale il y a QUELQUES ANNéES.... Aussi suis-je bien obligé de l'exposer en détail. C'est le mécanisme bancaire qui multiplie les méfaits de l'usure et du crédit. En effet, d'un côté, par l'addition des intérêts il double, puis quadruple toute dette en quinze puis trente ans, d'un autre côté, par le subterfuge du crédit et de la monnaie scripturale, il vampirise toutes les richesses mobilières et surtout immobilières d'une nation, puis du monde.
L'usure a toujours été interdite par le Droit canon romain, puis par le Coran. Le catéchisme du concile de Trente est formel: "Tout ce qu'on prend au delà de ce qu'on a donné est usure... c'est pourquoi le prophète Ézéchiel (18-17) dit que Celui-là sera juste qui n'aura rien pris au-delà de ce qu'il aura prêté . Et Notre Seigneur nous ordonne, dans Saint-Luc (6-35), de prêter sans en rien espérer. Ce péché a toujours été considéré, même par les païens, comme un crime très grave et très odieux" et le concile ajoute, "c'est ce qui fait dire à Cicéron que prêter à usure ou tuer un homme c'est la même chose. Et en effet, ceux qui prêtent à usure vendent deux fois une même chose, ou ils vendent ce qui n'est point".
Il faudrait bien peu connaître l'histoire des civilisations pour s'imaginer qu'il ne s'agit là que d'un principe de morale et non pas d'un principe fondamental de bonne organisation de la société civile... car il n'y a qu'une seule clé pour les Deux Royaumes (celui de la Terre et celui du Ciel).
La civilisation égyptienne a duré quelques cinq mille ans; elle ignorait la monnaie. Les diverses civilisations mésopotamiennes se sont effondrées les unes après les autres, au bout de quelques siècles, s'entre-déchirant, s'entre-détruisant. Elles connaissaient non seulement le trafic des lingots, mais l'usure, c'est-à-dire le "croît de l'argent" comme l'appelle le code d'Hammourabi. L'intérêt pouvait légalement atteindre 25% et montait jusqu'à 100 et 140%...
L'Encyclopaedia Britanica (article Money, édition de 1929) souligne que l'écroulement de la Grèce au VIème siècle comme l’effondrement de l'Empire romain sont également dus à l'usure. Ainsi que l'a montré G. Ferrero dans: la Grandeur et le déclin de Rome, Jules César fut brisé pour s'être montré incapable de résoudre "la gigantesque accumulation d'intérêts inaliénables qui avaient concentré toute la richesse en quelques mains, réduisant les petits propriétaires en esclavage".
Vous commencez à soupçonner pourquoi Cicéron est plus dur dans ses jugements que les Pères de l'Église!
Précisons que le mot usure ne s'applique pas au taux pratiqué mais au caractère du prêt (Il n'en est pas de même du mot : usurier. Cependant les auteurs anglais qualifient d'usure le prêt à la production de l'argent qui n'existe pas, de l'argent négatif). Le prêt de consommation est seul qualifié d'usure dans les textes canoniques, le prêt à la production n'est pas un prêt, mais un apport de capital à une entreprise dont l'activité fournit des bénéfices. Ce prêt à la production n'est-il pas licite? Oui, dans certaines limites du taux de l'intérêt, mais non quand celui-ci atteint 50% à 60%, tel est cependant le taux réel des avances bancaires modernes.
Pour le comprendre, il faut étudier la constitution et le développement de la Banque d'Angleterre, type du système bancaire moderne, né en pays protestant où l'usure avait été autorisée par Elisabeth.
En 1694, Guillaume d'Orange, devenu Guillaume III d'Angleterre, n'avait plus d'argent pour payer son armée. Ce Hollandais, dont le succès avait été financé par les banquiers protestants de son pays, va — juste retour des choses — être pris dans l'engrenage des usuriers anglo-hollandais. Un syndicat d'usuriers, dirigé par William Paterson, lui proposa la combinaison suivante: a) Le syndicat privé avancera au gouvernement un prêt en or de 1 200 000 livres, au taux de 6%, le capital et l'intérêt étant garantis par l'État et payés en or; b) en récompense, le syndicat privé a le droit de s'appeler Banque d'Angleterre; c) comme le syndicat se démunissait ainsi de tout son capital pour financer le prêt, il avait en échange (?) le droit d'émettre et de négocier des billets à ordre jusqu'à la concurrence des 1 200 000 livres prêtées en or, à l'Etat.
Jusque-là, seul l'Etat avait le droit régalien de battre monnaie, c'est lui qui aurait pu et dû émettre ces billets gagés sur l'or qu'il avait emprunté. Le syndicat, abusant de son titre de Banque d'Angleterre, fit imprimer des billets reconnus valables à Londres, puis dans tout le pays, sous caution morale du roi et matérielle du prêt en or. C'était génial, le public avait confiance en des papiers que la Banque — n'ayant plus de capital — était incapable de rembourser. Ainsi est né le crédit moderne en argent-papier, véritable contrefaçon du Credo.
Par cet abus de confiance envers le peuple anglais, doublé de haute trahison envers le roi, dit Thomas Robertson (1), le clan des usuriers doubla d'un trait de plume sa fortune. Elle fit même plus que doubler, puisqu'il touchait non seulement l'intérêt sur son prêt en or, mais l'intérêt sur les billets en papier qu'il se mit à prêter — le 6% sur le capital initial devenant du 12%, en huit ans il doublait à nouveau (2).
Ainsi la Banque avait créé une double dette, l'une du gouvernement — lequel, après tout, empochait l'or — l'autre du peuple anglais. L'endettement simultané du gouvernement et du peuple ne fera que croître sans cesse, le gouvernement faisant évidemment tout retomber sur le peuple par le système des impôts. Telle est l'origine de la Dette nationale anglaise, nulle avant Guillaume III et qui atteignait, en 1948, 24 milliards de livres. Le mécanisme comporte trois stades: usure, dette, impôts, dont 60% servent à payer les intérêts de la dette.
Guillaume III continua à emprunter à la Banque jusqu'à concurrence de 16 millions de livres-or. Et celle-ci émit la même somme en billets. Bien plus, comme les billets avaient cours au même titre que l'or, même à l'étranger, la Banque avança désormais au gouvernement du papier... cautionné par lui, et non plus en or. Le tour était joué. Il est évident qu'à ce moment-là le gouvernement aurait pu reprendre son droit régalien et décider d'imprimer lui-même, les billets; il n'aurait ainsi jamais eu d'intérêts à verser ni de dette nationale en boule de neige.
Au début, la banque n'émit des billets que jusqu'à concurrence de l'or prêté, et conserva une réserve-or destinée à couvrir les demandes de remboursement. Petit à petit, elle s'aperçut que les gens préféraient manier des billets plus légers que l'or, et qu'on pouvait émettre des billets en se contentant de garder une réserve de 10%.
Mises en goût par une opération aussi fructueuse, les banques se multiplièrent comme des champignons. Entre 1694 et 1830, on trouve dans les îles Britanniques 684 banques privées, émettant chacune ses propres billets.
En dehors de toute considération morale le prêt à la production suffit à déséquilibrer toute économie qui n'est pas purement agricole ou pastorale, c'est à dire la seule économie où le "croît biologique", don de Dieu, éternellement renouvelé, peur dépasser le "croît de l'argent" lorsque le taux est faible. L'industrie, elle, ne fait que transformer, et par l'extraction, épuiser
Tout d'abord, c'est l'inflation. Il y a dix fois plus de signes monétaire légaux en 1836 qu'en 1694. Or cette monnaie-papier n'est pas seulement prêtée mais dépensée directement par les banques, qui jouent ainsi le rôle de commerçants. Elles peuvent ainsi faire marcher leur commerce, avec seulement 10% du capital réel, tandis que les industriels qui veulent lancer une usine ou constituer un stock empruntent aux banques, au taux de 6%, des billets qui ne représentent quasi rien et hypothèquent leurs moyens réels de production pour du vent. Cela explique le peu de faillites des banques et la vampirisation des industries et du commerce par les "banques d'affaires".
Toutefois, en 1836, le gouvernement britannique eut conscience du danger. Après une enquête secrète, le chancelier Robert Peel prit l'initiative du Bank Charter Act de 1844. Cette lois retira aux quelques 600 banques privées le droit d'émettre des billets en ne reconnaissant qu'à la -seule- Banque d'Angleterre, obligée cette fois d'avoir une couverture-or de 100% — ce qui dura jusqu'en 1914...— Aujourd'hui, la couverture n'est plus que symbolique.
Pauvre gouvernement! Les 600 banquiers se réunirent en un nouveau syndicat, le Joint Stock Banks- et -remplacèrent l'émission des billets interdits par l'émission de chèques facilitant l'avance bancaire, c'est à dire l'ouverture de crédit en compte courant. Ce n'était qu'une émission camouflée de billets, et d'autant plus avantageuse qu'elle allait servir principalement à enfler la production des gros emprunteurs et non à faciliter la consommation des petits, comme la monnaie légale.
C'était un nouveau coup de génie. Cette fois, ce n'est plus le roi qui cautionnera l'émission, ce sont les déposants, par suite d'une confusion habilement entretenue.
Le secret de la toute-puissance bancaire dans le monde entier, précise Robertson, réside dans le fait suivant: "Lorsqu'un individu dépose aujourd'hui 1 000 £ en espèces à la banque, celle-ci ne prête pas ces 1 000 £ à un autre client, mais les garde en réserve, et prête en avance bancaire, ou par chèque 9 000 £, c'est à dire neuf fois le montant du dépôt qu'elle a reçu". C'est le premier client qui constitue la réserve de 10%... alors que le bon public croit que toute Banque n'est qu'un intermédiaire qui avance l'argent mis chez elle en dépôt, soit 1 000 £ pour 1 000 £. C'est d'ailleurs ce qui est déclaré dans tous les traités orthodoxes, et qui était officiellement inscrit dans l' Encyclopaedia Britanica jusqu'en 1910; mais dans l'édition de 1929, vous lisez que "les banques prêtent en créant du crédit, elles créent leurs moyens de paiement ex nihilo" précise M. R. Hawtrey, secrétaire adjoint au Trésor.
En général, l'emprunteur a déposé des garanties. S'il ne peut rembourser son emprunt, la banque saisit les garanties et fait là un bénéfice absolu, pendant que l'emprunteur, lui, fait faillite. S'il rembourse, la banque touche 6% sur 9000 £, soit 54% sur les 1 000 £ qui lui avait été déposées jadis, joli bénéfice pour avoir fait un simple jeu d'écriture. L'opération est annulée, la somme inscrite est rentrée dans la colonne Avoir, elle annule le montant porté en sortie dans la colonne Doit. Les 9 000 £ se dissolvent dans le vent, d'où elles étaient venues!...
De là le pouvoir quasi magique des banques. Non seulement elles créent et détruisent de la monnaie, mais des affaires. Elles provoquent des booms, des crises artificielles, des périodes de suractivité ou de chômage, suivant que — comme une coquette — elles accordent ou non leurs faveurs, c'est-à-dire des crédits de compte courants. Elles sont maîtresses du "cycle du commerce". Leur pouvoir est invincible, quel que soit le parti qui triomphe temporairement. Elles concentrent progressivement tout entre leurs mains, sur la ruine des nations.
Lorsqu'en 1919, Vincent C. Vickers — gouverneur de la Banque d'Angleterre depuis 1910 — s'apercevra de cette destruction irrémédiable, il démissionnera et commencera à dénoncer cet engrenage implacable (3). Il en résultera l'Official Governmental Report on Finance and Industry, dit MacMillan Report (4), au Parlement anglais de 1931, puis le Canadian Government Report of the Committee on Banking and Commerce, de 1939 (5), qui confirmèrent tous ces faits et révélèrent que le mot: dépôt bancaire est une escroquerie verbale, il fait croire à un actif alors qu'il représente au contraire un passif, une dette des emprunteurs. Il faut lui substituer l'expression "crédit financier" ou mieux "argent négatif".
Avec ce système une banque peut tout acheter, tout faire passer entre ses mains, puisqu'elle peut doubler en deux ans non seulement son capital réel mais l'argent qu'on lui dépose. Elle réalise l'idéal concentrationnaire, n'ayant besoin ni de déplacer des hommes, ni de rassembler des machines, quelques traits de plume suffisent. C'est la reine des machines-en-papier! (ndlr, les ordinateurs)
Pas de concentration sans destruction
Le mécanisme moderne du Crédit, portant sur la production va conduire au même effondrement que la simple usure de l'antiquité, portant sur la consommation , car il ne possède plus d'autorégulation venant des signes monétaires légaux, de l'argent accumulé ou thésaurisé, de l’épargne.
Lorsque des consommateurs investissent leur épargne, tout d'abord, le taux d'intérêt réel reste limité, inférieur à 10% mais surtout, l'industrie qui emprunte ne peut se développer qu'en fonction de cette épargne, de ce surplus qui n'a pas été dépensé pour la consommation. À moins de fabriquer des objets superflus, cette industrie risque peu de surproduire, c'est-à-dire de produire au-delà des possibilités d'achat des consommateurs. Tandis que dans le cas du financement par les banques, qui émettent une monnaie scripturale anticipée , basée sur l'hypothèse de la vente des objets produits, les exploitations de la production s'enflent à une vitesse dépassant les pouvoirs d'achat réels qui sont désormais négligés et ignorés.
Il s'en suit une hystérie de la production qui offre l'alternative: chômage ou guerre pour la destruction des biens qui encombrent le marché.
Il y a donc deux financements possibles de caractères totalement opposés: l'un provenant de l'épargne, de l'argent en supplément et l'autre projeté par anticipation . Dans le premier cas, l'autorégulation doit venir de l'offre des capitaux existants, dans le second, de la demande en besoins primaires les plus certains.
Ainsi le financement bancaire — mis en lumière — est tout indiqué pour la construction et l'équipement immobilier profitant à l'ensemble du pays. Là où il n'y a point à craindre de surproduction, c'est vraiment la demande qui fixe l'émission. Ce sont les besoins en logements, en routes, en ponts, en hôpitaux, en écoles, en forêts, qui cette fois, deviennent les régulateurs de la monnaie scripturale anticipée, si dangereuse dans ses anticipations. Mais dans ce cas, seuls des offices régionaux — et non une banque de crédit centralisée (6) — permettraient d'avoir la confiance du public de la région et le contrôle effectif des besoins proches. Comme là, il s'agit de prêt de consommation et non plus de production, il ne peut plus être question d'intérêt. La Région ne peut être usurière. Le mécanisme bancaire, en tant que mécanisme , est utilisé sans compromission avec l'usure, il possède son autorégulation organique: la connaissance de la communauté dans ses besoins propres. C'est le seul cas où posant le Bien au départ, nous le récoltons à l'arrivée.
Lorsque s'ajoutent les méfaits de prêt à intérêt de taux scandaleux, de la monnaie scripturale non freinée par les besoins et de l'hystérie de la production, on dévale à roue libre vers la destruction obligatoire.
La ruine vient, d'une part de la Dette nationale et de ses intérêts reportés sur le peuple par l'impôt qui n'est plus "juste", ne répondant pas à un service rendu. Aussi se pose la question: faut-il rendre à César ce qui est à Mammon?
La ruine est augmentée par l'inflation qui déprécie les biens du travail et qui est telle qu'en juillet 1945, les banques réunies des îles Britanniques possédaient en caisse 600 millions de £ et avaient accepté environ 5 400 millions de £, soit neuf fois plus, en reconnaissances de dettes, prêts, avances, investissements. Ces 5 400 millions n'ayant aucune existence réelle ont été créés par les banques, à partir de rien, depuis 1844, au taux de 1 million par semaine (7).
Le système est très exactement satanique. L'homme ne peut rien créer ex-nihilo. L'argent-négatif ou dette peut, et doit, être détruit par un jeu d'écritures sur le grand Livre: la colonne Avoir équilibrant la colonne Doit. Mais subsiste l'intérêt à payer, qui ne le peut être que grâce à une nouvelle création ex-nihilo d'argent-négatif et ainsi de suite... Il se produit une boule de neige de dettes, une marée d'argent-négatif, de néant, qui augmente sans cesse et entraîne à la destruction obligatoire des biens réels.
Le chaos économique qui conduit chaque pays à l'alternative: révolution ou guerre, provient d'une méconnaissance de vérités élémentaires, tant des marxistes d'ailleurs, que des économistes libéraux. Marx, en effet, n'a nullement soupçonné le mécanisme de l'argent-négatif, et a reporté ses attaques contre le profit et la propriété. Ces derniers ayant toujours été défendus — dans de justes limites — par l'Église, mère des Pauvres, la sagesse commandait de chercher une autre explication.
La voici. Pour qu'il n'y ait pas coexistence de surproduction et de sous-consommation, il faut que le revenu national puisse acheter la production nationale donc lui soit égal (8) — la soupape des exportations étant de plus en plus réduite dans un monde qui s'unifie (9).
Or tout prix comporte deux parts: l'une de travail, l'autre de capital, l'une a) de salaires personnels (directs ou indirects mais versés à des personnes pour leur consommation), l'autre b) de rémunération des capitaux engagés, qui sont des capitaux d'argent-négatif en majeure partie — la monnaie légale servant à peine à 5% des échanges (avoua lors de l'enquête précitée M. C. Towers, gouverneur de la Banque du Canada). Tel est le phénomène a + b découvert expérimentalement par le major Douglas en 1920 et au sujet duquel M. de Valera déclarait en 1942: "Malgré mes demandes réitérées, aucun économiste n'a pu me démontrer la fausseté de ce théorème".
Si donc les producteurs touchent un total a, ils ne peuvent, en aucune façon, acheter un total a + b ; le revenu national reste toujours inférieur à la production nationale. Il y aura toujours des surplus et les consommateurs seront toujours en état de sous-consommation. Telle l'origine du phénomène surabondance-misère qu'aucun dirigisme ne peut réduire.
Faut-il souligner que plus la structure productrice est concentrée, plus les investissements dans d'énormes machines sont gigantesques, plus b croît aux dépens de a dans l'équation, moins les salarié peuvent acheter leur production, plus la misère augmente, ce qui se vérifie depuis un siècle, quelle que soit l'augmentation continue des salaires (10).
Le remède financier — dont nous avons déjà montré dans nos autres chapitres la valeur économique — consiste d'une part dans le micro-machinisme et la décentralisation diminuant b. Et d'autre part, dans le retour à l'Etat de son droit régalien de battre monnaie, enfin dans l'utilisation de crédit public retrouvé, sans intérêt , pour la construction des services publics nationaux, régionaux (routes et hôpitaux, écoles et forêts) où la part de salaires personnels est maxima et qui sont en dehors du circuit Production, dans lequel doit jouer seulement la monnaie légale (11).
Faut-il faire remarquer que, quelle que soit la Distribution: structure du commerce et répartition des biens parmi les citoyens, cela ne joue qu'à l'intérieur de a . Il peut y avoir des injustices, des bénéfices scandaleux ou un gaspillage dû à une cascade d'intermédiaires, mais les Salaires totaux, plus ou moins bien répartis, doivent d'abord permettre d'acheter la Production totale.
Le système bancaire actuel, autrement dit l'usure-à-l'argent-négatif ne peut rien créer de positif, il est très exactement inverti. Il prospère en temps de guerre, s'épanouit, apporte la prospérité matérielle aux ouvriers requis en usine, aux fournisseurs de l'État et aux fabricants de munitions, pendant que la fleur de la nation est tuée ou mutilée. Il languit en temps de paix, se contracte, apporte le rétrécissement du pouvoir d'achat, les faillites, banqueroutes, le chômage et toutes les misères à la clé. Pourquoi ce paradoxe?
Il y a toujours assez de pouvoir d'achat pour les buts de guerre PARCE QUE les biens créés sont détruits. Ainsi la sous-consommation peut être ordonnée au nom du patriotisme, tandis que la surproduction est liquidée.
Il ne s'agit point de mettre au pilori les banquiers actuellement inconscients, mais de considérer les faits. Les faits sont les suivants, ils crèvent les yeux: l'usure-à-l'argent négatif conduit à fournir toujours assez d'argent pour la guerre, la mort et la destruction et jamais assez pour la paix, la vie et la construction. Plus la guerre est terrible, dévastatrice, plus de pouvoirs d'achat sont créés, plus le flot d'argent-négatif s'enfle ainsi que les bénéfices des usuriers. Mais ce gonflement ne peut avoir lieu avec des biens qui encombreraient le marché, puisque les salaires sont toujours insuffisants pour les acheter, et ne peut avoir lieu que dans un seul cas, celui de la destruction délibérée des stocks. Le système ne fonctionne avec efficacité ( efficiency ) que si l'on détruit des biens réels (12). Il conduit implacablement à la guerre.
Jean Gaston BARDET (1950)
Extrait de: DEMAIN, C'EST L'AN 2000! de Jean-Gaston BARDET (éd. Jacques Petit, Angers, 1950)
Jean-Gaston BARDET (1907-1989) architecte et urbaniste, professeur international, il fut en poste dans de nombreux endroits du monde, Europe, Afrique, Moyen-Orient, les Amériques, en particulier l'Amérique Latine, dont le Mexique, où il travailla à six reprises.
LE SUPER MÉCANISME CONCENTRATIONNAIRE
Mais parmi tous les mécanismes concentrationnaires, il en est un plus subtil et plus puissant, dont l'ignorance était quasi totale il y a trente ans (NDLR, écrit en 1950, donc en 1920). Aussi suis-je bien obligé de l'exposer en détail. C'est le mécanisme bancaire qui multiplie les méfaits de l'usure et du crédit. En effet, d'un côté, par l'addition des intérêts il double, puis quadruple toute dette en quinze puis trente ans, d'un autre côté, par le subterfuge du crédit et de la monnaie scripturale, il vampirise toutes les richesses mobilières et surtout immobilières d'une nation, puis du monde.
(1) In -Human Ecology-, (Maclellan ed. 240 Hope Street, Glasgow), admirablement documenté mais dont nous n'acceptons pas le remède.
(2) Savoir doubler l'intérêt fait partie de la science bancaire... Ainsi en est-il de la vente à crédit -mensuel- à 8%, qui est en réalité à 16%, et qu'on tente de généraliser en Europe (en 1950)
(3) Economic Tribulations (Badley Heat, 1941).
(4) Publié par H. M. Stationary Office (Londres, 1931)
(5) Publié par Hing's Printer (Ottawa, 1939)
(6) Dont les méfaits sont dénoncés par Robertson, -op. cit-, et le thomiste irlandais R. P. Denis Fahey in -Money manipulation and Social Order-, (Brown and Nolan. Dublin).
(7) Tel est le montant de l'impôt secret perçu sur toute la communauté de l'espace financier britanique, qui le paie non avec du vent mais avec son travail et ses propres biens réels. Et ce chiffre de 5 400 millions ne comporte pas toutes les acquisitions et investissements dans les affaires nationales ou internationales qui se montent au moins à 5 000 autres millions.
(8) Molotov, longtemps ministre des affaires étrangères de l'URSS, avoua que la seule chose qu'il craignait était que cette égalité soit réalisée en Occident...
(9) La recherche des grands espaces financiers, les accords financiers entre plusieurs nations n'ont, au fond (et peut-être inconsciemment), pour but que de trouver... chez les autres, de l'argent que l'on ne peut trouver chez soi; mais le théorème reste inéxorablement valable pour l'espace considéré!
(10) Le personnel de certaines usines s'appauvrit au fur et à mesure que s'accroît leur modernisation. Il pouvait acheter, en 1947, environ la moitié de la production, et deux ans après seulement le quart, car la modernisation entraîne un accroissement des charges du capital et une diminution des pouvoirs d'achat. Cf. l'article de Georges Levard, in "revue d'Action Populaire" de décembre 1950.
(11) L'abîme qui sans cesse augmente entre le "progrès" matériel et le progrès moral, vient de ce que la production matérielle n'est plus organique. Elle n'est plus financée par le croît naturel, par les propres réserves des industries, mais par anticipation, par dettes d'argent-négatif. Elle s'enfle à une vitesse qui dépasse toute maturation possible des individus. Cela est fondamental pour comprendre l'hystérie de la production.
(12) Aussi les faillites des industries sont-elles acceptées avec complaisance par les banques, c'est une des soupapes de sûreté qui empêchent la chaudière d'éclater. Par contre, les bons "Serra"émis sans intérêt au Kenya, vers 1921, ou les "billets coopératifs" sans intérêt, J.A.K., au Danemark en 1931, furent stoppés par les banques nationales, car les professeurs d'économie démontrèrent (!!) "que c'était un gros -désavantage- pour tout le monde (!) d'emprunter sans intérêt". Qu'en pensent les constructeurs de petites maisons familiales... qui paient deux fois leur maison ?
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