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Channel: François de Siebenthal
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Dettes US ! 400 trillions ?

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et c'est incomplet, manque notamment Medicare... en incluant tous les contrats, privés, états, compagnies, armée, y compris les CDS et dérivés réels, chiffres hors bilans, comptes miroirs, shadow banking, OTC, flux offshore, total des dettes, estimation à plus de 400 trillions us, 400 mille milliards.( le FMI parle de 200 Trillions "seulement" )

ci-dessous déjà en 2012 !


Ils veulent le chaos, Ordo ab chaos... illuminati...


Subprimes, over-primes, ceux qui surnagent chaque jour en polluant au carbone...

Depuis 2007 et l’explosion de la crise des subprimes rien, je dis bien rien n’a changé. Nous vivons depuis maintenant presque 9 ans un combat titanesque, dantesque, je dirais même d’anthologie entre les forces inflationnistes et les forces déflationnistes.

On pourrait croire qu’il ne se passe rien parce que finalement ces deux adversaires de force presque identique se « compensent » et donc pour le commun des mortels, pour l’être humain normal il n’y a ni vraiment d’inflation, ni vraiment de déflation, finalement il ne « se passe pas grand chose », c’est le calme plat, une forme de stabilité en réalité profondément trompeuse.

Ce phénomène de déflation et d’inflation (ce qui est totalement contradictoire) je lui ai donné le nom il y a quelques années d’indéflation pour décrire la coexistence de deux concepts radicalement opposés qui pourtant coexistent dans les faits en raison justement de ce combat de titans qui est à l’œuvre aujourd’hui.

L’économie est déflationniste !

L’économie mes chers amis est déflationniste. Elle est déflationniste structurellement et conjoncturellement.
Structurellement car par définition, le capitalisme vise toujours à faire mieux avec moins, à produire plus pour moins cher, à augmenter sa productivité et son efficience.
En termes conjoncturels, l’économie traverse une phase encore plus déflationniste dans la mesure où la mondialisation, la globalisation, les progrès de l’informatique et de la robotique sont profondément déflationnistes aussi. Enfin, il ne faut pas oublier la démographie partout orientée vers le vieillissement des populations au mieux et au pire comme au Japon vers la réduction de la population aussi bien active que totale.
L’économie mondiale, globalement est donc profondément déflationniste, or dans un monde qui repose sur une pyramide de dettes en augmentation constante, la déflation est le pire des scénarios, la déflation entraîne l’insolvabilité et l’effondrement du système. Il faut donc par tous les moyens combattre la déflation.

On ne peut combattre la déflation que par l’inflation !

Pour éviter la déflation, il n’y a pas d’autre choix que d’invoquer les forces maléfiques de l’inflation !!! Pour ce faire les banques centrales du monde entier ont décidé de politique de taux d’intérêt proches de zéro ou négatifs, on peut même décider d’injecter de l’argent créé de toutes pièces à travers des « rachats d’actifs » ou autres plans appelés QE par exemple.
Tout cela amène à augmenter de façon très importante la quantité de monnaie disponible dans le système économique. Cela vient également biaiser complètement le processus de fixation des prix puisque l’argent est gratuit, l’argent ne coûte rien.
Résultat ? Nous obtenons la formation de bulles financières ou spéculatives monumentales. Nous assistons à la coexistence de deux phénomènes contradictoires avec l’augmentation de certaines choses et la baisse de certaines autres. Si les salaires des gens baissent par exemple, si les matières premières baissent parce qu’il n’y a pas de croissance, l’immobilier monte toujours, et les actions montent encore, sans parler des obligations !!!
C’est cela l’indéflation. Mais globalement, vues par les « gens d’en bas », les choses finalement semblent relativement stables.

Rien n’a changé, la déflation gagne toujours d’où une fuite en avant nécessaire

Dès que l’on arrête les « stimuli » monétaires et les injections de monnaies, l’économie retrouve sa tendance naturelle à savoir la déflation. Il est impossible d’en sortir sauf à changer la nature des facteurs qui l’expliquent à savoir la mondialisation, les progrès techniques, la nature même du capitalisme et enfin la démographie.
Comme nous ne remettons en cause aucun de ces facteurs déflationnistes (je ne juge pas, je constate froidement) il est évident que je peux vous annoncer sans me tromper que la déflation va se poursuivre.
Comme la déflation entraîne au bout du compte l’insolvabilité généralisée (les dettes augmentent, les PIB baissent, donc tout le monde termine par une faillite retentissante), et que personne ne veut d’un effondrement total du système, il n’y a qu’une seule issue… lutter contre cette déflation en utilisant l’inflation donc en jouant sur la quantité de monnaie.

D’où l’idée que plus c’est pourri mieux c’est !!!

Et oui, le raisonnement est très simpliste mais pour le moment il fonctionne à merveille. Plus la situation est pourrie, plus l’économie est mauvaise et déflationniste plus les autorités financières, les banques centrales et autres mamamouchis de l’économie seront obligés pour éviter l’effondrement de créer tout plein de billets tout neufs !!! Et cela va faire monter les actifs comme les actions, les obligations, et l’immobilier que l’on va se dépêcher d’acheter non pas parce que c’est intelligent de le faire à long terme mais parce ce que, à court terme, le prix des actifs va forcément monter.

Plus c’est pourri donc, plus les taux baissent et l’argent coule à flot, plus le risque inflationniste revient et donc l’or augmente !

Mais retenez bien une chose. Les prix de l’or ne prennent en compte qu’une seule chose : le risque inflationniste. Les prix de l’or ne prennent pas du tout en compte le risque d’insolvabilité qui serait la conséquence ultime de la victoire de la déflation dans ce combat de titans.
Dans tous les cas, l’économie actuelle est morte et votre épargne aussi. L’économie est morte parce qu’au bout du compte, soit l’inflation soit la déflation gagneront et dans les deux cas votre épargne sera laminée, soit par une hyperinflation soit par des faillites.
La seule question est de savoir combien de temps les autorités mondiales sauront piloter ensemble la situation pour maintenir ce statut quo, et franchement, aujourd’hui bien malin celui qui peut le dire. Cela peut durer encore 10 ans comme prendre fin dans un mois. Il ne faut pas non plus oublier le risque de choc exogène qui viendrait enrayer cette belle stratégie bien fragile de nos banques centrales. Le moindre grain de sable peut provoquer un effondrement presque immédiat.
Vous devez avoir conscience de ce combat entre inflation et déflation, vous devez avoir conscience de la fragilité extrême de ce système et du statut quo dont nous bénéficions tous.
En attendant mes chers amis, préparez-vous, il est déjà trop tard !
Charles SANNAT
Insolentiae signifie impertinence en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com »

La fin du dollar



122_trillion_dollars-122,000,000,000,000_USD

Myret Zaki (Genève) : "La fin du dollar"

A écouter attentivement :
Qu'en pensez-vous ?

La City & WallSteet attaquent-ils l'euro pour sauver le Dollar et la Livre en perpétuant pour un temps le faible taux d'intérêt incroyable des dettes astronomiques UK-US ?

http://www.radiocourtoisie.fr/3381/libre-journal-de-la-vieille-europe-du-29-mai-2012-la-fin-du-dollar-actualites-europeennes/





Taux grecs, plus de 20 %, impossible, inique et odieux..
Tous les chiffres US et de la FED sont trichés, son inflation est à plus de 10 %, son taux de chômage est d'environ 20 %, son PIB est surestimé de plus de 30 %. 

Exemples d'usure, l'usure est partout...:

Les formes de l'endettement
Nombreuses sont les formes que prend l'endettement chronique - en 1999 déjà, nous en avons identifié plus d'une vingtaine. Les quatre cas présentés ci-dessous représentent les transactions les
plus répandues, observées dans toutes les régions de Madagascar depuis des années, si on prend la
vanille comme "chiffre" pour "culture de rente", tout en admettant que les clous de girofle, le café,
le tabac et d'autres produits de rente suivent les mêmes règles.
• riz - riz: on emprunte 10 daba de riz en période de soudure, et on rembourse 20 à 30
daba après la récolte - le taux d'intérêt est donc de 100 à 200% sur une période
allant de quelques semaines à quelques mois
• argent - riz: on emprunte 3.000 MGA en période de soudure, et on rembourse après récolte
sous forme de 1 daba de paddy (13 à 15 kg), qui en vente ouverte vaut 10.000
MGA - le taux d'intérêt se situe donc entre 200 et 300% sur une période allant
de quelques semaines à quelques mois
• argent - vanille: on emprunte 3.000 MGA en période de soudure, et on rembourse après récolte
sous forme de 1 kg de vanille verte, qui en vente ouverte vaut 12.000 MGA - le
taux d'intérêt est donc de 300% sur une période allant de quelques semaines à
quelques mois, souvent même plus
• argent - argent: on emprunte 10.000 MGA pour rembourser 15.000 ou 20.000 MGA à la fin du
mois - le taux d'intérêt est donc de 50% à 100% pour un mois.


Petit crédit mais maxi intérêts... 

Grand crédit, mega intérêts, plus de 1'000 réels sur la durée, sic 

USA 400'000 mille milliards de dollars de dettes ( sic, déficit fiscal, plus medicare, plus Fannie Mae etc ...).

Plus les dettes privées et cartes de crédit à plus de 20 %, plus de 300 % du PIB US.








Canada: Le gouvernement a emprunté PAR EXEMPLE 37 milliards $ à un taux de 1043% ( plus de mille pour-cent, SIC 1'000, MILLE... ), voir LA démonstration ci-dessous...

Dans son rapport de novembre 1993, le vérificateur général du Canada disait que sur la dette nette de 423 milliards $ accumulée par le gouvernement canadien de 1867 à 1992, seulement 37 milliards $ avaient été dépensés pour des biens et services, alors que le reste (386 milliards $, ou 91% de la dette) consistait en frais d'intérêt, ce qu'il a coûté au gouvernement pour emprunter ce 37 milliards $ (c'est comme si le gouvernement avait emprunté ce 37 milliards $ à un taux de 1043%!). En novembre 1995, une étude du Mouvement Desjardins arrivait à la même conclusion: sur la dette fédérale de 543 milliards $ en date du 31 mars 1995, 487 milliards $ (ou 90%) sont le résultat d'intérêts composés. En d'autres mots, le capital dépensé pour des biens et services a déjà été remboursé plus de dix fois!
Tout cela pour démontrer que tout intérêt demandé sur de l'argent créé, même à un taux de 1%, est de l'usure, un vol, une injustice.
dette des Etats-UnisLa dette des États-Unis suit la même courbe que celle du Canada, mais avec des nombres dix fois plus gros:
Comme c'était le cas pour le Canada, les premières hausses significatives de la dette publique des États-Unis ont eu lieu durant les périodes de guerre: Guerre Civile américain (1861-65), Première et Deuxième Guerres mondiales. De 1975 à 1986, la dette est passée de 533 milliards $ à 2073 milliards $. En 2004, cette dette atteint les 7000 milliards $. Pour la même période, 1975-1986, la dette du Canada a donc augmenté plus rapidement que celle des États-Unis (9,3 fois pour le Canada, contre 3,8 fois pour les États-Unis). L'explication: les taux d'intérêts étaient plus hauts au Canada durant la même période.
Qu'est-ce qu'un milliard?
Quand nous parlons de millions et de milliards, nous parlons de très grosses sommes, qui sont peut-être difficiles à se représenter: Il y a un milliard de secondes, la première bombe atomique n'avait pas encore fait explosion. Il y a un milliard de minutes, le Christ était encore sur la terre. Et pour dépenser un milliard de dollars, un client devrait dépenser 100 $ à la minute pendant 19 ans.
Mais quand nous parlons de la dette des Etats-Unis, ce n'est pas de milliards qu'il faut parler, mais de milliers de milliards, ou trillions (1 suivi de 12 zéros). En 1986, la dette des Etats-Unis était de 2 trillions $. 2 trillions de billets de 1 $ placés bout à bout feraient 186 millions de milles de long (300 millions de kilomètres), soit de la terre au soleil aller-retour. Si une personne avait à dépenser 2 trillions $ à un taux de 1900 $ à la minute, cela lui prendrait 2000 ans. En 1981, lorsque la dette des Etats-Unis atteignit le cap du premier trillion de dollars, le Président Reagan illustra ce chiffre par cette comparaison: «Si vous aviez dans votre main une pile de billets de 1000 $ de seulement 4 pouces (10 cm) de hauteur, vous seriez millionnaire. Un trillion de dollars représente une pile de billets de 1000 $ de 67 milles (107 kilomètres) de hauteur.»
La pointe de l'iceberg
Si les dettes des gouvernements représentent des sommes énormes, elles ne représentent que la pointe de l'iceberg: en plus des dettes publiques, il existe aussi les dettes privées (individus et compagnies)! Ainsi, en 1994, la dette totale du Canada était de 2800 milliards $, avec moins de 600 milliards $ d'argent en circulation. Et et 1992, aux Etats-Unis, la dette publique était de 4000 milliards $ (4 trillions $), et la dette totale, 16 trillions $, avec seulement 950 milliards $ d'argent en circulation.
service de la detteLe service de la dette
En 1996, le gouvernement canadien a dépensé 49 milliards $ pour payer l'intérêt sur la dette, soit environ un tiers des revenus du gouvernement. Pour financer cette dette, le gouvernement émet des obligations, dont la très grande partie est achetée par les banques et autres institutions financières. 
Concernant la vente de ces obligations aux banques, le gouvernement est un vendeur imbécile: il ne vend pas ses obligations aux banques, il en fait cadeau, puisque ces obligations ne coûtent absolument rien aux banques, car elles créent l'argent pour les acheter. Non seulement les banques obtiennent ces obligations pour rien, mais elles en retirent de l'intérêt (payé par les taxes des contribuables).
Marriner EcclesWright PatmanEst révélateur sur ce sujet l'échange qui eut lieu entre M. Wright Patman (photo de gauche), Président du Comité de la Chambre des Représentants des Etats-Unis sur la Banque et le Numéraire, et M. Marriner Eccles (photo de droite), Président de la «Federal Reserve Board» (Banque centrale des Etats-Unis), le 30 septembre 1941, au sujet de la création de 2 milliards $ par la «Réserve Fédérale»:
Patman: «Où avez-vous pris l'argent pour acheter ces 2 milliards $ d'obligations du gouvernement?»
Eccles: «Nous les avons créés.»
Patman: «Avec quoi?»
Eccles: «Avec le droit d'émettre du crédit, de l'argent.»
Patman: «Et il n'y a rien d'autre en arrière, sauf le crédit du gouvernement.»
Eccles: «Nous avons les obligations du gouvernement.»
Patman: «C'est exact, le crédit du gouvernement.» 
La solution: un argent sans dette créé par la société
Cela nous met sur la piste de la solution au problème de la dette: si les obligations sont basées sur le crédit du gouvernement, pourquoi le gouvernement a-t-il besoin de passer par les banques pour faire usage de son propre crédit? 
voir aussiThomas Edison
Ce n'est pas le banquier qui donne la valeur à l'argent, mais le crédit du gouvernement, de la société. La seule chose que fait le banquier dans cette transaction, c'est d'apporter une écriture, des chiffres, qui permettent au pays d'utiliseer sa propre capacité de production, de faire usage de ses propres richesses.
L'argent n'est pas autre chose que cela: un chiffre. Un chiffre qui donne droit aux produits. L'argent n'est qu'un signe, une création de la loi (Aristote). L'argent n'est pas la richesse, mais le signe qui donne droit à la richesse. Sans produits, l'argent n'a aucune valeur. Alors, pourquoi payer pour des chiffres? Pourquoi payer pour ce qui ne coûte rien à fabriquer?
Et puisque cet argent est basé sur la capacité de production de la société, cet argent appartient aussi à la société. Alors, pourquoi la société devrait-elle payer les banquiers pour l'usage de son propre argent? Pourquoi payer pour l'usage d'un bien qui nous appartient? Pourquoi le gouvernement n'émet-il pas directement son argent, sans passer par les banques?


dette du Canada

Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie, 
selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).

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Pollution www.m-c-s.ch

L'EFF utilise le ruban bleu pour symboliser leur défense de la liberté d'expression

 


Entre 1946 et 1990, aux États-Unis, les revenus d'intérêts sont passés de 3,6 à 14,7% du revenu des particuliers; le PNB réel s'est accru dans une proportion de 1 à 3,8 alors que le PNB monétaire a augmenté selon un rapport de 1 à 25,7, si bien que l'indice de déflation du PNB a grimpé dans une proportion de 1 à 6,8; les salaires se sont élevés dans une proportion de 1 à 27,1; toutefois, les recettes publiques ont augmenté selon un rapport de 1 à 33,9 et les intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5 (sic).

Si de nombreux économistes ont écrit au sujet de la « poussée des salaires », la « poussée des intérêts et des impôts » n'est jamais mentionnée dans les manuels d'économie...

Cette poussée tue la poule aux oeufs d'or.

Si de nombreux économistes ont écrit au sujet de la « pseudo surpopulation», la « chute démographique » n'est jamais mentionnée dans les manuels d'économie... alors qu'elle a déjà commencé en Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Portugal...

La solution ?



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