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Initiative monnaie pleine, questions fréquentes. FAQ.

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Monnaie pleine, Vollgeld, positive money.




Parmi le comité devant la BNS à Berne, deux romands, MM P. Mottier, tout à gauche sur la photographie, et F. de Siebenthal, le 3ème en partant de la droite.

Explications plus philosophiques de l' Université de Lausanne:   https://www.youtube.com/watch?v=BuyBlEWVF5k

http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/commandez-du-materiel-dinformation/

La solution ci-dessous...



 

Remarque liminaire:


Les machines, robots, ordinateurs rendent le "travail humain rémunéré " (dans chaque industrie) de plus en plus rare, c'est un fait. 
Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables mondialisées.  
Ce sont des gaspillages stupides . La seule solution est de promettre des revenus de base et la liberté de créer des emplois nouveaux payés de plus en plus par des robots et des machines. 

La politique de plein emploi doit être remplacée par une politique de la liberté de décider quoi faire hors de l’économie formelle pour de plus en plus des gens, parce que l’économie formelle ne nécessite plus le travail de tous les adultes - le revenu de base et le dividende créditiste pourraient être deux choses différentes car le dividende peut changer selon la performance de l’économie et le financement qui est aussi différent.

En effet, l' oeuvre humaine noble et digne n'est financée ni par les impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, car il est financé par la création d'argent nouveau sans dettes.

MONNAIE PLEINE OU VOLLGELD.

 La création monétaire est actuellement volée (sic) par le système bancaire. 

L’ écart entre les prix et le pouvoir d'argent est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts, nous voulons au contraire le remplir par la création d'argent nouveau sans dettes à travers le dividende et l'escompte.

Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires en vue de gaspillages honteux et polluants... Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté...

Pour être clair, nous soulignons aussi que l'argent pour la production sous un système créditiste continuerait être de l'argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.

C'est seulement le dividende et l'escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l'écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l'automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.

VIVE LA ROBOLUTION ou ROBOT-SOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.

Créons ces masses pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté...

Questions fréquentes:

Questions et réponses. Initiative monnaie pleine.

La Constitution et l’argent.

Comment la vie physique et personnelle est-elle maintenue ?

Par l’échange de produits et services.

Comment cet échange de produits et services s’accomplit-il ?

Au moyen de l’argent, qui existe de par nécessité sociale, afin

de rendre possibles les échanges de différents articles de valeurs

différentes.

Est-ce que la matière dont l’argent est fait a de l’importance?

Non. C’est le statut légal donné à l’argent par le sceau du gouvernement

qui fait que cet argent peut être accepté par tous comme

étant de l’argent véritable, qu’il soit fait de métal ou de papier.

Qui doit créer l’argent ?

Le gouvernement, représentant tout le peuple et les cantons.

Dans notre pays ( la Suisse), quel corps gouvernemental

représente tout le peuple?

L’assemblée fédérale.

Est-ce que la Constitution stipule qui doit créer notre argent?

Oui. C’est clairement défini:

Sous les lois actuelles, est-ce que notre gouvernement national

crée notre argent?

Non, seulement dans une très faible mesure.

Qui crée l’argent ?

Des compagnies privées, communément appelées banques,

créent présentement pratiquement tout notre argent.

Pourquoi des particuliers ont-ils usurpé et exercé le pouvoir

souverain d’émettre notre argent?

Parce que lorsque ce pouvoir est détenu et exercé par des particuliers,

ils peuvent contrôler — et contrôlent effectivement — tout

le système économique, social et gouvernemental, et en tirer des

profits énormes et illicites.

Sous notre système privé actuel de création de l’argent,

qu’est-ce que les banquiers obtiennent pour rien ?

Ils obtiennent l’intérêt sur l’argent qu’ils ont créé et prêté, et les

propriétés que les gens avaient amenées comme garantie, si les

prêts ne sont pas remboursés à une date déterminée.

Est-ce que l’ assemblée fédérale peut déléguer un pouvoir qui lui est réservé

par la Constitution comme étant une fonction publique, qui sera

exercé sans conditions par des intérêts privés en vue de profits ?

Non, pas sans violer la Constitution.

Est-ce que L’assemblée fédérale a délégué sans conditions à des intérêts privés, en vue de profits, le pouvoir de créer notre argent ?

Oui, par la loi des Banques, ainsi que d’autres lois subséquentes.

Pourquoi cette violation continue-t-elle ?

Parce que chaque fois qu’un Franklin, un Jefferson, un Jackson,

un Lincoln, un Kennedy ou tout autre homme public honnête a essayé de faire prendre conscience au peuple de cette fraude, les créateurs privés de l’argent — les banquiers internationaux — se sont levés en force et ils ont utilisé la presse qu’ils contrôlent, leurs politiciens lèche bottes, leurs banquiers serviteurs, leurs dociles membres du clergé, et leur pouvoir sur la prospérité des citoyens pour arrêter toute campagne pour la liberté économique. Jusqu’ici, ils ont réussi.

Comment le gouvernement peut-il récupérer son privilège d’émettre l’argent sans intérêts ?

Il n’a aucun besoin de récupérer ce qu’il n’a pas le droit de céder.

Il a encore ce droit, et doit immédiatement reprendre l’exercice

de ce plus important pouvoir constitutionnel.

Est-ce que la BNS et les banques cantonales sont réellement

pour le bien public (appartiennent au gouvernement)?

Elles ne le sont pas, la BNS et les banques cantonales sont

des sociétés anonymes pour la plupart.
Rapport de gestion, 


Elles ne sont pas plus fédérales ou cantonales que ne l’est la «Boulangerie fédérale» ou la «Blanchisserie vaudoise».



Qu’est-ce que la BNS ?

C’est une banque centrale, la banque des banquiers.



L’usure

Si les banques sont ainsi des manufactures de dettes où l’argent

est manufacturé dans le but de créer des dettes, l’argent est-il

émis avant tout à des fins usuraires ?

Oui. L’argent est mis au monde par les banques sous forme de

prêts, auquel un intérêt doit être payé par toute personne qui utilise

de l’argent.

Qu’est-ce que l’usure ?

L’usure est une violation du commandement, “Tu ne voleras

pas”, et est reliée à trois actions immorales spécifiques: 1. Exiger

un taux d’intérêt. 2. Exiger un intérêt sur tout

prêt non productif ou destructeur. 3. Exiger de l’intérêt sur un prêt

d’argent fictif que le prêteur crée, exigeant alors de l’emprunteur

un remboursement injuste. Dans ce cas, le prêteur récolte là où il

n’a pas semé de devient propriétaire de tout le réel.

L’usure est-elle immorale?

Oui, et elle va aussi à l’encontre de l’enseignement chrétien.

Les effets d’un système d’argent malhonnête

Qu’arrivera-t-il si le système d’argent actuel continue et si la

politique économique actuelle persiste ?

1. Des particuliers créeront l’argent pour leur profit personnel.

2. Des compagnies organisées pour la production, comme les

automobiles, l’acier, le textile, seront dominées par les créateurs de

l’argent.

3. Le gouvernement lui-même sera dominé par les ploutocrates

de l’argent.

4. La presse, dépendant des annonces reçues des compagnies

dominées par les banquiers, continuera de tromper la population.

5. Le système d’éducation continuera de cacher les vérités de

l’économie dans nos écoles.

6. Les citoyens, écrasés par les coûts insupportables de la

guerre et de la crise économique, seront portés à blâmer les gouvernements

démocratiques, et renonceront sans s’en apercevoir à

toutes les libertés déjà gagnées en retour des biens essentiels, que

les ploutocrates leur accorderont seulement en échange de leurs

libertés. Une dictature suivra automatiquement.

Les avantages d’un système d’argent honnête

Qu’arrivera-t-il après qu’un système d’argent honnête a été

établi? Un système d’argent honnête nous aidera à:

1. Redonner la souveraineté sur l’argent à ses possesseurs de

droit — le peuple — par l’entremise de l’assemblée fédérale.

2. Débarrasser l’assemblée fédérale des politiciens serviles.

3. Eliminer la domination du gouvernement par les manipulateurs

de l’argent qui ont souvent été la cause des guerres.

4. Garantir une paix durable parmi les nations dont les gouvernements

pourront passer des lois indépendantes des financiers

internationaux.

5. Rendre possible la véritable liberté de la presse et l’enseignement

de la vérité dans toutes les écoles, libérées une fois pour

toutes de la domination des créateurs de l’argent.

6. Permettre à la vertu chrétienne d’être pratiquée lorsque

n’existe plus la misère en face de l’abondance.

L’abbé Coughlin conclut son livre par ces mots:

Sans la liberté économique, les libertés physiques et politiques

ne veulent rien dire. Leur existence dépend presque totalement de

la liberté financière. Il est indispensable que nous reprenions

notre droit souverain d’émettre notre argent et d’en régler

la valeur. Il est indispensable que nous cessions de payer tribut aux

banques qui créent notre argent à partir de

rien et le prêtent en y attachant une taxe invisible. C’est la bourse

ou la vie.

Vous devez agir comme des apôtres qui ont appris la vérité.

Vous devez répandre l’évangile de la liberté financière même au

prix de votre vie... Formez vos bataillons, indépendants des dirigeants

de la presse, des politiciens et des poltrons ! Mettez de côté

votre léthargie !

Au nom du christianisme, je vous supplie de participer à la

répétition du miracle du Maître qui a nourri les foules affamées.

Cela peut être accompli en demandant l’institution d’un système

d’argent honnête... Les changeurs d’argent doivent être chassés du

temple. Si nous de cette génération, paralysés par

la drogue de l’indifférence et recroquevillés par les appels à l’égoïsme,

ne réussissons pas à déloger la loi des changeurs d’argent,

que personne ne pleure, n’honore et ne chante notre mémoire!

Paroles de Thomas Edison

«Il est absurde de dire que notre pays peut

émettre 30 millions $ en obligations, et pas 30

millions $ en monnaie. Les deux sont des promesses

de payer, mais l’un engraisse les usuriers,

et l’autre aiderait le peuple.»

Pourquoi le gouvernement devrait-il payer un intérêt à un

système bancaire privé pour l’usage de sa propre monnaie, qu’il

peut émettre lui-même, sans intérêt? C’est exactement ce que

les créditistes du journal Vers Demain soutiennent, lorsqu’ils demandent

au gouvernement fédéral de reprendre son pouvoir de

créer l’argent du pays. L’inventeur américain Thomas Edison, qui

était loin d’être un fou (quoique n’ayant fréquenté l’école que 3

mois, il comptait plus de 1000 brevets d’inventions à son actif), est

aussi d’accord avec cette demande des créditistes. Voici ce qu’il

disait dans une interview publiée dans le New York Times en 1928,

alors qu’il était de retour d’une inspection à la centrale électrique

en construction Muscle Shoals, sur la rivière Tennessee:

«Si la monnaie est émise par la nation, 30 millions $ pour le financement

de Muscle Shoals, ce sera la bonne chose à faire. Une fois

cette méthode d’émettre l’argent pour les développements publics

essayée, le pays ne retournera jamais à la méthode des obligations...

«Maintenant, il y a (Henry) Ford qui propose de financer Muscle

Shoals par une émission de monnaie (au lieu d’obligations). Très

bien, supposons un instant que le Congrès suit sa proposition. Personnellement,

je ne pense pas que le Congrès ait assez d’imagination

pour le faire, mais supposons qu’il l’ait. La somme requise est émise

directement par le gouvernement, comme toute monnaie doit l’être.

«Lorsque les travailleurs sont payés, ils reçoivent ces billets

des Etats-Unis. A l’exception peut-être que ces billets porteraient

la gravure d’un barrage au lieu d’un train ou d’un bateau, comme

certains billets de la Réserve fédérale l’ont, ils seront la même chose

que n’importe quel autre numéraire émis par le gouvernement,

c’est-à-dire, ils seront de l’argent.

«Ils seront basés sur la richesse publique existant déjà à Muscle

Shoals; ils seront retirés de la circulation par les salaires et bénéfices

de la centrale électrique. C’est-à-dire le peuple des Etats-Unis

recevra tout ce qu’il a mis dans Muscle Shoals et tout ce qu’il pourra

y mettre durant des siècles... le pouvoir sans fin de la rivière Tennessee...

sans taxes et sans augmentation de la dette nationale.

— Mais supposez que le Congrès n’y voit pas, qu’arrivera-t-il ?

demanda-t-on à Edison.

«Alors, le Congrès doit retourner à l’ancienne méthode. Il doit

autoriser une émission d’obligations. C’est-à-dire, il doit aller chez

les prêteurs d’argent et emprunter assez de notre propre monnaie

nationale pour achever ces travaux, et nous devons payer de l’intérêt

aux prêteurs d’argent pour l’usage de notre propre argent.

«C’est-à-dire, sous l’ancienne manière, chaque fois que nous

voulons augmenter la richesse nationale, nous sommes forcés

d’augmenter la dette nationale.

«C’est ce qu’Henry Ford veut empêcher. Il pense que c’est stupide,

et je le pense aussi, que pour le prêt de 30 millions $ de son

propre argent, le peuple des Etats-Unis soit obligé de payer 66 millions

$ — le montant total à payer avec les intérêts. Des gens qui

n’ont pas levé une pelle de terre ni contribué pour une seule livre de

matériel vont ramasser plus d’argent des Etats-Unis que le peuple

qui a fourni les matériaux et le travail.

«C’est ce qui est terrible avec l’intérêt. Dans toutes nos importantes

émissions d’obligations, l’intérêt à payer est toujours plus

gros que le capital. Tous nos grands travaux publics coûtent plus

de deux fois le coût réel. Tout le problème est là.

«Si notre nation peut émettre une obligation d’une valeur d’un

dollar, elle peut émettre un billet d’un dollar. L’élément qui fait

que l’obligation est bonne est le même qui fait que le dollar est

bon. La différence entre l’obligation et le dollar est que l’obligation

permet aux prêteurs d’argent de ramasser 2 fois le montant

de l’obligation plus un 20 pour cent additionnel, alors que l’argent

mis en circulation ne paye que ceux qui ont directement contribué

à la construction du barrage de quelque manière utile...

«Il est absurde de dire que notre pays peut émettre 30 millions

$ en obligations, et pas 30 millions $ en monnaie. Les deux sont

des promesses de payer, mais l’un engraisse les usuriers, et l’autre

aiderait le peuple. Si l’argent émis par le gouvernement n’était pas

bon, alors, les obligations ne seraient pas bonnes non plus. C’est

une situation terrible lorsque le gouvernement, pour augmenter la

richesse nationale, doit s’endetter et se soumettre à payer des intérêts

ruineux à des hommes qui contrôlent la valeur fictive de l’or.»

Annexe E

L’argent est créé par les banques

Témoignage de Graham Towers

Un des témoignages les plus clairs sur les

pratiques bancaires fut donné par Graham F.

Towers, Gouverneur de la Banque centrale du

Canada (de 1934 à 1955), devant le Comité parlementaire

canadien des Banques et du Commerce

au printemps 1939. Le rapport de ce comité

compte 850 pages. (Standing Committee

on Banking and Commerce, Minutes of Proceedings

and Evidence Respecting the Bank of

Canada, Ottawa, J.O. Patenaude, I.S.O., Printer

to the King’s Most Excellent Majesty, 1939.) La

grande partie du témoignage de Towers résulte

des questions de “Gerry” McGeer, K.C., ancien maire de Vancouver,

qui comprenait clairement le fonctionnement des banques.

Voici quelques extraits du témoignage de Towers (nous traduisons

de l’anglais):

Q. Mais il n’y a pas de doute que les banques créent elles-même

ce moyen d’échange?

Towers: C’est exact. C’est pour cela qu’elles existent… C’est

là le rôle des banques, tout comme une aciérie fabrique de l’acier.

(p. 287)

Le procédé de fabrication consiste à faire une entrée avec une

plue et de l’encre, ou au clavigraphe, dans un livre ou sur une

carte. C’est tout. (p. 76 et 238)

Chaque fois, et à toutes les fois qu’une banque accorde un prêt

(ou achète des titres), du nouveau crédit bancaire se trouve créé,

de nouveaux dépôts, de l’argent flambant neuf. (p. 113 et 238)

Généralement parlant, toute nouvelle monnaie vient d’une

banque sous forme de prêts. Tout l’argent en circulation a été à

son origine prêté par une banque. (p. 461 et 794)

Puisque tous les prêts sont des dettes, alors sous le système

actuel, toute monnaie est une dette. (p. 459)

C’est une erreur commune de croire que les banques prêtent

l’argent de leurs déposants. Elles ne le font pas du tout. (p. 398,

455, 590)

Graham Towers

298 Annexe E

Q. Lorsque le gouvernement présente aux banques des débentures

pour un montant de 1 000 000 $, un million de nouvelle monnaie,

ou d’un équivalent à la monnaie, est créé par le fait même ?

Towers: Oui.

Q. Est-il bien vrai qu’il y a là création d’un million de dollars de

nouvelle monnaie?

Towers: C’est exact.

Q. Et il en va de même lorsqu’une municipalité ou une province

va à la banque?

Towers: Ou aussi un individu qui emprunte.

Q. Ou lorsqu’une personne se rend à la banque?

Mr. Towers: Oui.

Q. Lorsque j’emprunte 100 dollars de la banque en tant que

citoyen privé, la banque fait une entrée comptable, et il y a une

augmentation de 100 dollars dans les dépôts de cette banque, dans

le total des dépôts de cette banque ?

Mr. Towers: Oui. (p. 238)

Q. Lorsque vous permettez aux banques commerciales

d’émettre des dépôts bancaires — qui, avec la pratique en vogue

aujourd’hui de se servir de chèques, constituent le moyen d’échange

avec lequel 95% des transactions sont faites par le public et le

privé — vous permettez virtuellement aux banques d’émettre un

substitut efficace à la monnaie, n’est-ce pas?

Towers: Les dépôts bancaires sont de la monnaie réelle dans

ce sens.

Q. De fait, ce n’est pas de la monnaie proprement dite, mais

plutôt des entrées comptables employées comme substitut à la

monnaie?

Towers: Oui.

Q. Alors nous autorisons les banques à émettre un substitut à

la monnaie?

Towers: Oui, je crois que c’est un exposé très juste de cette

fonction de la banque. (p. 285)

Q. 12 pour cent de la monnaie en usage au Canada est émise

par le gouvernement par l’hôtel des monnaies et la Banque du Canada,

et 88 pour cent est émis par les banques commerciales du

Canada sur les réserves émises par la Banque du Canada?

299 Annexe E

Mr. Towers: Oui.

Q. Si l’émission de la monnaie est une haute prérogative du

gouvernement, cette haute prérogative a été transférée du gouvernement

aux banques commerciales dans la mesure de 88 pour

cent?

Towers: Oui. (p. 286)

Q. Pourquoi un gouvernement ayant le pouvoir de créer l’argent

devrait-il céder ce pouvoir à un monopole privé, et ensuite

emprunter ce que le gouvernement pourrait créer lui-même, et

payer intérêt jusqu’au point d’une faillite nationale ?

Towers: Si le gouvernement veut changer la forme d’opération

du système bancaire, cela est certainement dans le pouvoir

du parlement. (p. 394)

Q. En ce qui concerne la guerre, pour défendre l’intégrité de la

nation, il n’y aura aucune difficulté à se procurer les moyens financiers

nécessaires, quels qu’ils soient?

Towers: La limite des possibilités dépend des hommes et des

matériaux.

Q. Et où existe une abondance d’hommes et de matériaux, il

n’y aurait aucune difficulté, sous notre système bancaire actuel, à

fournir les moyens d’échange nécessaires pour mettre au travail les

hommes et les matériaux pour la défense du royaume?

Towers: C’est exact. (p. 649)

Q. Admettriez-vous que tout ce qui est physiquement possible

et souhaitable, peut être rendu financièrement possible ?

Towers: Certainement. (p. 771)






Source : Louis Even, Sous le signe de l’abondance.


Le financement se fera donc aussi par de la création monétaire fondée sur les statistiques raisonnées des productions abondantes de plus en plus robotisées, par exemple on pourra payer tous ceux qui restent à la maison pour éduquer les enfants, on pourrait avoir par exemple deux fois le PIB sans problèmes car l'automation fait que les produits seront livrés sans inflation ( P= M/Q ) Prix constants car la Monnaie et la Quantité de biens peuvent augmenter sans problèmes vu les technologies actuelles. Le problème actuel est justement que les usines et les producteurs peuvent surproduire de tout, la seule chose qui manque, ce sont les revenus dont le symbole est l'argent et la chose la plus facile à produire, c'est justement l'argent, les symboles. On peut surproduire pour la guerre et pas pour la paix ? C'est complétement stupide ! Quelle est la différence ? Les choses sont là, les techniques sont là, les travailleurs sont là, est-ce qu'il manque quelque chose ? En tout cas pas la stupidité et les manipulations ! Ouvrez vos yeux et vos coeurs, il y a de plus en plus d'innocents qui meurent !

 Le nouvel argent ne vient donc pas de taxes ou de salaires, mais de la création de l'argent réellement donnée aux banquiers par milliards, voire plus depuis des siècles ...
Ces assouplissements quantitatifs doivent être donnés au peuple, pas pour les guerres et les primes pour de plus en plus rares nantis ... La nouvelle société suisse pour une véritable démocratie économique, distribuons enfin les revenus du progrès technique, des ressources naturelles, de l'automatisation de plus en plus efficace, grâce à des robots, des ordinateurs et des machines.
Une nouvelle société, les animaux sont libres, c'est à notre tour, les êtres humains libres, libérons-nous des chaînes de la servitude.
L' automatisation profitera à tous. Partageons la productivité massive, un dividende pour tous les peuples suisses, habitants de tous les États de la Confédération suisse, voici enfin une véritable démocratie économique, grâce aux robots, aux ordinateurs et aux machines.
Nous, Suisses, sommes tous des rois, et le premier devoir d'un roi est de contrôler la création monétaire.

Ils trouvent des milliards et des quadrillions pour des guerres stupides ou des banquiers cupides ( 1500 milliards "donnés" aux banquiers de l'UE par Merkozy..., nous préférons investir ces sommes dans la vraie paix. Donnons un revenu à tous dès la conception et jusqu'à la mort naturelle, les robots travaillent déjà pour nous, sachons monnayer leurs produits et les distribuer à tous, ce qui peut plus que doubler notre PNB. Il y a assez de travaux plus nobles et humains à faire, éduquez nos enfants, écrire, faire de la recherche, de l'art, s'occupez de nos parents, des handicapés, des faibles etc... Laissons aux robots le reste, il est stupide d'avoir des milliards sans limites pour faire des guerres atroces et pas ces mêmes milliards pour faire la paix sociale.
 Pour convaincre mon entourage, j'ai besoin de plus d'arguments pour dissiper leurs doutes:
1- Alors, on va payer (et forcément attirer) des immigrés ?
2- L'homme tend vers le fainéantise: comment ne pas engendrer ainsi des profiteurs ?
3- Est-ce que l'essai dans d'autres pays fut concluant ?
4- Pourquoi certains "socialistes" sont contre ?
5- Inconditionnel ?

1. Alors, on va payer (et forcément attirer) des immigrés ?

Seuls les habitants de la Suisse depuis plusieurs années sont concernés. Par contre, le concept est exportable, ce qui permet de stabiliser les populations, voir en Namibie, Brésil, Madagascar, Togo, etc...

2.  L'homme tend vers le fainéantise: comment ne pas engendrer ainsi des profiteurs ?

Matthieu, VI, 26

de Bible

1 citation Flux RSS de  Matthieu, VI, 26


Les hommes veulent des contacts, ils sortiront librement pour des tâches nobles.
Voir ligne directe de ce jour à la RTS, le rentier AI qui affirme qu'il veut travailler...

3. Est-ce que l'essai dans d'autres pays fut concluant ?

Alaska, Brésil, Namibie, Libye que des succès... En Lybie, ils ont fait la guerre pour stopper le succès...


François de Siebenthal: Khadhafi fait mieux qu'Obama, il distribue ...

desiebenthal.blogspot.com/.../khadhafi-fait-mieux-quobama...Partager
19 août 2009 – Selon le colonel Kadhafi, il n'y a qu'« une seule caisse en Libye », celle qui .... Il criera, au contraire, à l'injustice si on lui refuse son dividende.

Les miracles du revenu minimum garanti

 
Dans le cadre d’un projet pilote, les habitants d’un village déshérité ont reçu chaque mois l’équivalent de 10 euros. Deux ans plus tard, le bilan est vraiment positif, se félicite Herbert Jauch, le responsable du programme.

On débat dans de nombreux pays de l’instauration d’un revenu minimum garanti (RMG) qui ne soit assorti d’aucune condition contraignante. Pourquoi la Namibie a-t-elle pris les devants avec ce projet pilote ?

HERBERT JAUCH 



La Commission d’orientation nationale a, dès 2002, recommandé le versement d’un revenu minimum à tous les citoyens pour mieux s’attaquer aux inégalités sociales. La Namibie est, selon les Nations unies, le pays qui présente les plus grands écarts de revenus au monde. Comme le gouvernement n’a pu se décider à instaurer un RMG, les Eglises et les syndicats ont lancé un projet pilote. 

Pourquoi avoir choisi le petit village d’Otjivero ?
Nous voulions un endroit dans lequel il ne se passerait rien pendant au moins deux ans : pas de programme de création d’emplois, pas de projet d’aide au développement, pas de rentrées financières. Il ne devait y avoir que le revenu minimum, soit 100 dollars namibiens (environ 10 euros) par personne et par mois. Otjivero avait l’air d’être dans une situation tellement désespérée que nous avons pensé au début que le RMG ne servirait pas à grand-chose, hormis une légère réduction de la pauvreté. 

Recevoir de l’argent sans condition, sans travailler, est-ce que cela peut faire bouger les choses ?
Ce sont des préjugés auxquels nous nous heurtons en permanence. Si les gens d’Otjivero ne travaillent pas, ce n’est pas parce qu’ils sont paresseux mais tout simplement parce qu’il n’y a pas de travail. Le fait est qu’ils n’ont pas dépensé cet argent pour s’acheter de l’alcool et qu’ils ne l’ont pas dilapidé pour rien. 

Qu’en ont-ils fait ?
Nous avons pu observer une chose surprenante. Une femme s’est mise à confectionner des petits pains ; une autre achète désormais du tissu et coud des vêtements ; un homme fabrique des briques. On a vu tout d’un coup toute une série d’activités économiques apparaître dans ce petit village. Cela montre clairement que le revenu minimum ne rend pas paresseux mais ouvre des perspectives. 

Vous auriez pu parvenir au même résultat avec des microcrédits ciblés.
Contrairement aux microcrédits et à beaucoup de programmes d’aide au développement classiques, le revenu minimum a un impact non seulement sur la production, mais aussi sur la demande. En Afrique, le pouvoir d’achat se concentre en général dans quelques centres, ce qui force les gens à quitter les campagnes pour les villes, où les bidonvilles finissent par s’étendre. Le RMG permet à des régions rurales de se développer, il crée des marchés locaux et permet aux gens d’être autosuffisants. 

Quels effets avez-vous pu constater à Otjivero ?
Le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté est passé de 76 à 37 %. Avant l’expérience, près de la moitié des enfants étaient sous-alimentés, aujourd’hui ils sont moins de 10 % ; 90 % finissent leur scolarité, avant, ils n’étaient que 60 %. Et la criminalité a baissé. 

Pourquoi demandez-vous la création d’un RMG pour tous les Namibiens et pas seulement pour les pauvres ?
Cela demanderait beaucoup trop de travail et coûterait beaucoup trop cher de vérifier les besoins de chacun. De plus, il ne faut pas pénaliser les gens qui ont trouvé un travail ou qui se sont construit une existence. Celui qui gagne bien sa vie et qui est riche reverse le RMG à l’Etat par ses impôts. 

La Namibie pourrait-elle se permettre de verser un revenu minimum à tous ses habitants ?
La Commission d’orientation l’a calculé depuis longtemps. Le RMG coûterait 5 à 6 % du budget national. Pour le financer, il faudrait relever légèrement le taux maximum d’imposition, qui est de 34 % actuellement, et la taxe sur le chiffre d’affaires. Le gouvernement pourrait également introduire des prélèvements sur les exportations de matières premières et lutter contre l’évasion fiscale. 

Mais le versement du RMG serait très lourd à gérer.
Bien au contraire ! Les coûts de gestion représentent environ 10 %. A Otjivero, nous avons utilisé des cartes à puce personnelles pour l’identification des intéressés et ça s’est très bien passé. Et la poste namibienne affirme qu’il serait rentable pour elle d’ouvrir un bureau dans chaque ville en cas d’instauration du RMG. Même avec deux retraits d’argent sans frais par mois, ça vaudrait encore le coup. 

Qu’est-ce qui empêche la Namibie d’introduire le RMG ?
Le gouvernement n’est pas encore tout à fait convaincu. Notre ministre de l’Economie a compris que le revenu minimum constituait un instrument simple et bon marché pour changer les choses. Il y a cependant des résistances du côté du ministère des Finances et de notre Premier ministre, qui émet encore des réserves. 

L’expérience menée à Otjivero n’a-t-elle donc pas convaincu ?
La pression exercée par le Fonds monétaire international (FMI) n’est pas sans effet en Namibie. Le FMI a présenté des chiffres erronés sur le coût du RMG. Il prend par exemple en compte les plus de 60 ans, alors qu’ils ne sont pas concernés par le RMG. Il craint que la Namibie démontre que le RMG fonctionne. Ce système deviendrait alors très intéressant pour des pays comme le Brésil et l’Inde. 

Comment réagissez-vous à cela ?
Nous faisons le tour du pays avec des gens d’Otjivero pour qu’ils racontent leur histoire. Et nous sommes soutenus partout ! Nous espérons pouvoir arriver à nos fins dans le courant de l’année prochaine. L’important, c’est que la pression de la base soit forte. Quand les électeurs l’exigeront, la SWAPO, le parti au pouvoir, ne pourra plus dire que ça ne l’intéresse pas.


Plusieurs modèles:

Canada: Retour dans le passé de la « ville sans pauvreté »Actualités6 décembre 2012 Stanislas Jourdan

dauphin-manitoba
De 1974 à 1979, une expérimentation sociale connue sour le nom de « Programme MINCOME » visait à mettre en place un système de revenu de base garanti dans le petite ville de Dauphin, au Canada. Evelyn Forget fait partie des rares chercheuses ayant investigué sur ce sujet. Nous l’avons interrogé pour en savoir plus sur le contexte et les résultats de ses travaux de recherche.

Bonjour Evelyn, pouvez-vous nous dire pourquoi vous vous intéressez au revenu de base ?

Je suis professeur d’économie à la faculté de médecine de l’Université du Manitoba et mon intérêt de base concerne les coûts des soins de santé. Il n’y a pas besoin de travailler très longtemps dans la Santé pour réaliser que la plupart des cas que vous traitez sont les séquelles de la pauvreté. Les gens sont malades parce qu’ils sont pauvres.
Je connaissais l’expérience Mincome qui avait eu lieu dans les années 1970, mais je ne savais pas ce qui avait émergé des résultats. Je me demandais s’il y avait moyen de « revenir en arrière » et de trouver des participants afin de voir quel effet avait eu le revenu garanti sur leur vie et celle de leurs enfants.

Pouvez-vous nous rappeler le contexte de cette expérimentation ? Ainsi que ses principales caractéristiques ?

Evelyn Forget, 2012
L’expérience a été introduite en 1974 et a pris fin en 1979. Elle a été réalisée dans deux sites au Manitoba : la ville de Winnipeg (450.000 habitants à l’époque), et la petite ville de Dauphin (environ 10.000 personnes).
La particularité à Dauphin était que toutes les familles qui vivaient dans la ville (pas seulement un échantillon) ont participé à l’expérience et ont reçu le revenu garanti si leur revenu était trop bas. Tout le monde n’a pas reçu de l’argent, mais on avait promis à tous que si leurs revenus étaient assez bas, ils obtiendraient ce soutien financier. Le gens devaient simplement se présenter au bureau, remplir les formulaires et fournir leurs fiches de paie. Et bien sûr, on vérifiait leur identité.
Le but de l’expérimentation sociale était de savoir si les gens cesseraient de travailler ou travailleraient moins d’heures si on leur garantissait un revenu. Beaucoup de gens pensaient que les heures travaillées diminueraient de manière significative.
Pour ma part, j’étais curieuse de savoir s’il y avait d’autres effets – et notamment si les gens étaient en meilleure santé et s’ils restaient plus longtemps à l’école.

Justement, vous avez produit la recherche sociologique la plus importante sur cette expérimentation. Quels en furent les résultats les plus frappants ?

Mes propres recherches ne concernaient pas l’étude de l’évolution de l’effort de travail. D’autres économistes ont investigué ça dans les années 1980 et ils ont découvert que seulement deux groupes d’individus ont travaillé moins d’heures : les femmes mariées et les adolescents.
Les premières utilisaient effectivement le revenu garanti pour « acheter » elles-mêmes des congés de maternité plus longs. Quand elles quittaient le marché du travail pour donner naissance, elles restaient plus longtemps à la maison. Deuxièmement, les adolescents, et les garçons en particulier, ont réduit leurs heures de travail, car ils ont pris leur premier emploi à temps plein à un âge plus avancé.
C’était le point de départ de ma propre recherche. Je me suis demandé : s’ils ne travaillaient pas, cela signifiait probablement qu’ils restaient plus longtemps à l’école. Et c’est ensuite ce que j’ai démontré : le taux de réussite à l’école secondaire (Grade 12 = Terminale) a augmenté au cours de l’expérience.
Mes résultats les plus significatifs portent sur les coûts des soins de santé. J’ai utilisé les données des assurances-maladie pour démontrer que les taux d’hospitalisation ont diminué de 8,5% chez les sujets de l’expérience par rapport aux sujets dits « témoins ». J’ai expliqué cela par la réduction des « accidents et blessures » et la réduction des hospitalisations pour problèmes de santé mentale.

Avez-vous remarqué un effet négatif sur les prix, notamment de l’immobilier ?

Non, car ces statistiques n’étaient pas spécifiquement suivies. Et puis, il faut se souvenir que nous étions dans une période d’inflation massive à travers le pays, du coup il serait difficile d’attribuer les augmentations de prix au programme MINCOME.

Concernant la faible baisse du nombre d’heures travaillées, comment analysez-vous ces résultats ? Et sont-ils similaires aux autres expérimentations nord-américaines ?

En effet, peu de gens à Dauphin ont cessé de travailler, et même parmi ceux qui avaient un emploi à temps plein, très peu ont réduit leur temps de travail. En fait, un revenu garanti bien conçu (et celui-ci a été conçu comme un crédit d’impôt remboursable) incite les gens à travailler car il complète les revenus des travailleurs pauvres et est beaucoup plus efficace que tous autres types d’aide sociale.
Les expériences américaines ont révélé les mêmes résultats.

Certains nuancent ces résultats en expliquant que les gens anticipaient le fait que cette expérience aurait une fin ? Qu’en pensez-vous ?

Le régime de prévoyance qui existait à l’époque créait de fortes désincitations au travail. À l’époque, tout dollar gagné se traduisait par une baisse égale de leurs prestations. À l’inverse, le programme MINCOME créait une incitation à travailler, car seulement 50 cents pouvaient être pris. Sans avoir la certitude que le programme se poursuivrait, la plupart des gens croyait à l’époque que ce projet pilote serait généralisé à la fin de la décennie.
Mais plus généralement je ne trouve pas que les arguments du « programme temporaire » soient très convaincants. Ils sont même parfois contradictoire : si les gens étaient vraiment irresponsables, se projetteraient-ils quatre ans dans l’avenir pour décider comment se comporter aujourd’hui ?

Comment cela se peut-il que les effets de cette expérience n’aient pas été étudiés pendant si longtemps ? 

L’expérience avait été initiée par les gouvernements de centre gauche au début des années 1970. Puis ces gouvernements ont été remplacés tant au niveau provincial que fédéral, par le centre droit, notamment en raison des événements économiques des années 1970 – l’inflation, le chômage, l’augmentation du prix du pétrole, les taux d’intérêt élevés. Du coup, les gouvernements se sont désintéressés de la lutte contre la pauvreté et se sont préoccupés davantage d’autres enjeux comme la stabilisation du niveau des prix.
Quant à moi, j’ai eu connaissance de MINCOME car j’étais étudiante de premier cycle dans les années 1970, et mes profs d’économie nous disaient que cette expérience allait révolutionner la façon dont le Canada appréhendait les programmes sociaux. Selon eux, cela deviendrait le fondement de la justice sociale…

Est-ce que les habitants de Dauphin se souviennent de cette expérimentation ? Et qu’en pensent-ils ? Quid des chercheurs qui avaient travaillé sur le projet à l’époque ?

Oui, nous avons discuté avec ces deux groupes. De nombreux participants se souviennent et sont reconnaissants pour les opportunités que le MINCOME leur a offertes à eux et à leurs enfants. Tous nous ont mentionné le bienfait du programme pour l’Éducation, soit parce qu’ils avaient réussi à obtenir une formation professionnelle, soit parce que leurs enfants avaient pu étudié plus longtemps à l’école. La plupart pensent que cela aurait dû perdurer.
Les chercheurs – en particulier les enquêteurs qui étaient tous des jeunes diplômés – ont été touchés par leur expérience. Peu avaient la moindre idée de la profondeur de la pauvreté qui existait, ou même, de ce qu’était la vie rurale au Manitoba à l’époque. Aujourd’hui, beaucoup sont devenus universitaires ou sont des réformistes du système social.

Y-a-t-il d’autres expérimentations actuellement en cours de préparation au Canada ? Et s’il fallait en faire une autre, comment vous y prendriez-vous ?

Il n’y a aucune expérience à ma connaissance. Certains voudraient faire certaines choses différemment, mais je pense que cette expérience était vraiment très bonne. Après, obtenir les statistiques de santé fut beaucoup plus facile pour moi que les chercheurs de l’époque, parce que différentes sources de données sont devenues disponibles.

Est-ce que l’expérience a contribué à la diffusion du revenu de base au Canada ?

Question intéressante… Mais hélas non, beaucoup de gens ne sont pas encore à l’aise avec le concept de revenu de base, malgré l’évidence des résultats. Je parle à beaucoup de gens qui soutiennent le concept, mais beaucoup pensent que c’est trop cher et que les gens devraient simplement travailler pour vivre. Comme dans les années 1970, beaucoup de gens pensent que nous ne pouvons pas offrir une justice sociale.
Mais on reparle quand même du revenu garanti. La presse aussi en fait régulièrement mention. Au Canada, l’un des plus importants partisans est le sénateur conservateur Hugh Segal. Je ne suis pas sûr qu’il ait l’oreille de son groupe parlementaire, mais il tire la régulièrement la sonnette d’alarme parmi les hommes d’affaires et les politiciens.
Au Canada, les personnes âgées à faible revenu reçoivent un supplément, qui est une sorte de revenu garanti pour les personnes âgées. De même, les personnes ayant des enfants à charge reçoivent une prestation sociale à ce titre. Aucune de ces aides n’est aussi importantes que ce qu’elle devrait être, mais elles existent. En fait, un bon nombre des meilleures réformes de la protection sociale ressemble beaucoup à un revenu de base, bien qu’elles ne concernent qu’une partie de la population.
Je pense que la prochaine étape est bien évidemment d’envisager un revenu garanti pour le reste de la population. Cette perspective est-elle d’actualité  ?
Cette question n’est malheureusement pas à l’ordre du jour, du moins pas sous le nom de « revenu annuel garanti ». Je pense que les gens sont plus à l’aise avec des dispositifs comme le « crédit d’impôt familial remboursable », ce qui revient à la même chose. Nous évoluons progressivement vers le RAG (Revenu Annuel Garanti) au fil du temps, mais les événements économiques actuels interviennent de toute façon.
L’une des difficultés auxquelles nous sommes confrontés au Canada est notre système fédéral : seul celui-ci pourrait soutenir un tel système, mais les politiques sociales relèvent de la responsabilité des provinces. Il sera difficile de convaincre toutes les provinces d’accepter un tel régime social, ou alors il faudrait un leadership fort au niveau national. Or, je ne vois pas le gouvernement actuel faire une telle chose…
Le chemin est encore long, mais nous avons d’ardents défenseurs de cette idée dans l’échiquier politique. Tant que nous continueront de faire vivre cette idée, elle sera prise en compte !

Photo de couverture: La Gare de Dauphin, Manitoba PaternitéPas d'utilisation commercialePas de modification railsr4me - Traduit et adapté de l’anglais par Raphael Willems & Stanislas Jourdan

Le courage de taxer les robots

 
Les robots libérateurs !

Le crédit social peut nous sauver des guerres et nous procurer une vraie démocratie économique.

Il s'applique en s'adaptant aux conditions locales. La Suisse est l'un des pays qui l'applique le plus du fait de sa structure fédéraliste.


On peut rechercher l'idéal en une fois, mais il est plus efficace de l'appliquer par petites touches, et, au fur et à mesure des avantages prouvés, il deviendra indispensable.

Mais il faut avoir le courage de taxer les robots et d'en distribuer les revenus, afin de libérer chacun qui pourra alors choisir ses activités plus librement.

wir. reka, franc suisse, coupons locaux, amap,...

Ou même la création de monnaie. 
...

Maurice Allais est mort récemment, voici ci-dessous un résumé du travail sur lequel nous étions en train de travailler ensemble et qui l'enthousiasmait. Il était prêt à venir en Suisse pour défendre ses idées et notamment un projet d' initiative parlementaire ou populaire à la suisse:

La justice commence par une bonne monnaie.

Battre monnaie seulement pour le peuple:

Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent. 

Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle.

Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement. 

Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus.


I. L'Etat doit donc reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l'exercera par une commission indépendante jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

Soutenez une initiative constitutionnelle suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:

Initiative parlementaire ou populaire à la suisse.

Pour une Suisse sans dettes, ni impôts, taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l'argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.

État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :

1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation, chômage, création d'emplois, relance, environnement, infrastructures, transports, réduction du nombre d'Ambassades et d'outils d'informations tel Swissinfo... à l'heure de crises et de l'isolement du Pays sur la scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du 7.03. 2010).

2. Les "solutions" sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi  que les PME en augmentant le chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l'AVS.
3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent (notamment l'informatique et les robots de plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps qu'il réduit les besoins de main-d'oeuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers d'industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.

4. La crise de l'UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?

5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs Communes, PME, etc. dont  personnes morales et physiques (nous) dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d'intérêts... SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.

6. FED & IRS (deux archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d'intérêt conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes... par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s), «Too big to fail», Toxic Assets sont devenus des termes "familiers", à contrario du mécanisme pervers de la création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.

Ainsi :

 - le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l'argent à partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d'intérêts, alors que l'État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l'émettre gratuitement et ainsi, distribuer équitablement les plus values mensuelles à tous.

- A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut savoir que le taux d'intérêt et les Banquiers créent l'inflation, sinon et surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d'autant plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.

- Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement abdiqué, répercutent leurs "remboursements" sans amortissement aux chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.

- Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l'iniquité et les Banquiers possèdent la Terre qu'ils gèrent à leur guise, avec la majorité des Chefs d'Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.

Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l'argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l'opposé, de bonnes solutions existent et les voici :

Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre butreprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l'argent). C'est ce que nous voulons graver dans la Constitution fédérale pour le bien de tous et l'indépendance de la Suisse.

La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par un nouvel

Article 128a :

I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.

Il. Il l'exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ce but.

III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.

IV. L'émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un dividende et d'un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.

V. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu'elle aie ou non des sources de revenus.

VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.

      VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.

      VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent - sans Commission externe indépendante de type FINMA - de l'Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.

      IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d'or physique stocké qu'en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d'assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.

X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l'encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.

XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l'endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l'essence.

XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
       

Dispositions transitoires :

La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d'intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d'enfants conçus.

Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l'Assemblée fédérale (Plénum).

L'écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500'000.-.

Tout dividende social ou autre prestation sociale n'empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d'indépendant, créateur d'entreprise, etc.

L'obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.

Tout financement d'investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :

Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d'établissements distincts et indépendants :

1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.

2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.

3) Banques d'affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.

Indexation obligatoire de tous les engagements sur l'avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.

Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.

Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d'éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.

Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.

Supprimer les programmes d'achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.

Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.

Interdire toute dévaluation compétitive.

Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d'échange et de réserve.

Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec  un système approprié d'indexation.
 
Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.

Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique, papier...).

Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.


Conclusions :

 « Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »               

Maurice Allais, prix Nobel d'économie.


Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors coopérez à cette Initiative.


Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux "jouets" utilisés par certaines forces obscures. 

Merci.
  1. François de Siebenthal: Paris. Journée "création monétaire"

    desiebenthal.blogspot.com/.../paris-journee-creation-monetaire.html
    23 févr. 2012 – La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est identique ... François de Siebenthal:Création monétaire du néant à intérêts . ... concis ou non, courtois et pertinents, même très critiques sont appréciés.
    VousVous avez partagé ce résultat.
  2. François de Siebenthal: Lettre à mon curé sur la "création monétaire ...

    25 oct. 2011 – Même la "vraie" Opus Dei, prélature "catholique", l'a oubliée, quel .... La création de monnaie par les banques joue ici un rôle capital.
    VousVous avez partagé ce résultat.
  3. François de SiebenthalCréation monétaire du néant à intérêts ...

    desiebenthal.blogspot.com/.../creation-monetaire-du-neant-interets.ht...
    21 déc. 2010 – L'ÉTAT n'a PAS à payer d'intérêt sur l'argent qu'il est censé émettre LUI MÊME. Si vous aviez la créationmonétaire, auriez vous des dettes ?
    VousVous avez partagé ce résultat.
  4. François de Siebenthal: Inflation ? Comment la diminuer ? En tout ...

    7 déc. 2011 – La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est ... de sa propre monnaie, qu'il peut émettre lui-même, sans intérêt?
  5. François de Siebenthal - Blogger-Index

    23 févr. 2012 – La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est .... Précédents en 2009Cette saisie de faux titres américains, même si elle ...
    VousVous avez partagé ce résultat sur Blogger. · 31 janv. 2012
  6. François de Siebenthal - Blogger-Index

    23 déc. 2011 – Dans les grandes communes, il y a même des machines à lecture ..... La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est ...
    VousVous avez partagé ce résultat sur Blogger. · 23 févr. 2012
  7. la résistance aux corruptions - Compendium - Vix pervenit, les ...

    Texte à méditer : La monnaie ex nihilo ...est identique … à la monnaie des faux monnayeurs. ... + Hommage au Professeur Jean de Siebenthal .... Le pire vol, celui de la création monétaire par des banquiers sans scupules. ... Nous y avons même adjoint un prélat qui est docteur en droit civil et canonique, et qui a longtemps ...
    VousVous avez partagé ce résultat.
  8. François de Siebenthal RSS

    Il vient de la production des robots et de la création . ..... Et dans le même rayon, on relève la présence du collège de la Sallaz et de la petite école de ...
    VousVous avez partagé ce résultat sur Blogger. · 31 janv. 2012
  9. Crédit social - Wikipédia

    ... pas sur la monnaie réelle, mais la monnaie-dette (création de la monnaie avec ... donnée est moins important que les prix générés dans cette même période, ...
  10. Re: Taux d'intérêt et création monétaire - Les grands débats thomistes

    Auteur: François de Siebenthal (---.adslplus.ch... Il faut aussi savoir que la création monétaire (masse monétaire plus grande que les stocks d'or) .... à l'époque, il parle de prêter deux fois la même chose, or on prête plus de 100 fois la même...

Le chef-d'oeuvre de Louis Even
Tous ceux qui apprécient les écrits de Louis Even sur le Crédit Social se feront un devoir de se procurer ce livre, un chef-d'oeuvre de logique et de clarté. Pour les nouveaux lecteurs de Vers Demain, nous recommandons fortement la lecture de ce livre, qui donne d'une manière simple mais éclatante les meilleures explications possibles sur la nouvelle conception de l'économie qu'est le Crédit Social. La dernière mise à jour de l'édition imprimée date de juin 2008, qui contient une quinzaine de chapitres de plus que l'édition précédente de 1988.
312 pages, 14,5 cm x 21 cm, 15$ par la poste, de notre bureau de Rougemont

Du régime de dettes à la prospérité 
par J. Crate Larkin
C'est ce livre qui a fait découvrir à Louis Even le Crédit Social, et qui lui fit s'écrier: «Voilà une lumière sur mon chemin!» Ce livre a changé la vie de Louis Even; il pourrait changer la vôtre aussi! Ce livre de 112 pages met en valeur les buts et les fins de l'économie, de l'industrie et de la technologie. D'une actualité cuisante, c'est un oeuvre mémorable qu'il vous faut lire absolument.  Prix au comptoir (à nos bureaux de Rougemont): 5 dollars. Par la poste: 7 dollars pour le Canada, 10 $ pour les autres pays.
Pour télécharger la version PDF de ce livre, cliquez ici(ou sur la couverture du livre) (822 Ko)

Deux autres brochures de Louis Even sur le Crédit Social
Qu'est-ce que le vrai Crédit SocialLa première brochure, Qu'est-ce que le vrai Crédit Social, explique que le Crédit Social n'est pas un parti politique, mais une série de principes exprimés pour la première fois par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas en 1918, et que l'application de ces principes feraient l'organisme social et économique atteindre sa fin, qui est la satisfaction des besoins humains. Ces principes peuvent être appliqués par n'importe quel parti au pouvoir, et il n'y a aucun besoin d'un «parti du Crédit Social» pour les appliquer. C'est la brochure que nous recommandons à tous ceux qui étudient le Crédit Social pour la première fois, car elle contient un très bon résumé des principes créditistes (Le syllabaire du Crédit Social), et répond à la plupart des objections des adversaires.
Une finance saine et efficaceLa deuxième brochure, Une finance saine et efficace, est destinée à ceux qui possèdent déjà quelques notions du Crédit Social, mais veulent en savoir plus sur ses aspects techniques et la possibilité de son application dans le concret. Elle explique les trois propositions de base de Douglas pour un système financier sain, et comment ces propositions peuvent être appliquées: comment obtenir un équilibre constant entre les prix et le pouvoir d'achat, comment financer la production privée et publique, financer la distribution par un dividende social à tous, et finalement, ce qu'il adviendrait des taxes dans un régime de Crédit Social.
Deux brochures de 32 pages, 21 x 27 cm
3,00 $ chacune par la poste

Offre spéciale pour organiser des cercles d'étude
Pour connaître et comprendre la cause de la crise financière, il vous faut lire ces ouvrages très instructifs qui vous sont proposés à un prix spécial pour un temps limité, afin de former des cercles d'études dans vos paroisses, dans vos milieux:
    1) «Du Régime de Dettes à la Prospérité», 110 pages, une traduction par Louis Even du livre "From Debt to Prosperity" de J. Crate Larkin. L'édition originale anglaise comprend 96 pages. Louis Even, notre regretté fondateur, a eu le livre entre ses mains, en 1934 durant la crise économique. Après en avoir pris connaissance, il s'est dit : "C'est une lumière sur mon chemin, il faut que tout le monde connaisse cela".
    2) «Sous le Signe de l'Abondance», par Louis Even, 312 pages. Une conception nouvelle de l'économie, une merveille de simplicité qui fait voir clairement le non-sens de la misère en face de l'abondance.
    3) «Une Finance Saine et Efficace», par Louis Even, 32 pages, format-magazine, un ouvrage qui démontre clairement comment on pourrait appliquer les grands principes de la Doctrine Sociale de l'Église dans les faits concrets.
    4) «Les Proposition du Crédit Social expliquées en 10 leçons», par Alain Pilote, 148 pages, une vue d'ensemble à la lumière de la Doctrine Sociale de l'Église, une synthèse qui est utilisée dans nos semaines d'étude et dont plusieurs se servent pour former des cercles d'étude de par le monde.

Questions à la Banque Nationale Suisse. URGENT, délai à demain

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Monnaie pleine, Vollgeld, positive money.



Invitation pour l' AG du 24 avril 2015, délai prolongé.




Parmi le comité devant la BNS à Berne, deux romands, MM P. Mottier, tout à gauche sur la photographie, et F. de Siebenthal, le 3ème en partant de la droite.

Tout le monde peut être actionnaire de la Banque nationale suisse.
Le plus grand actionnaire est un allemand.

Si vous voulez participer à cette action le 24 avril 2015 dès 10h00, contactez-nous au 021 616 88 88 ou par mail siebenthal at gmail.com


Nous avons déjà près de 25 actionnaires de la BNS qui soutiennent notre action et nos questions à l' AG. Vous pouvez venir et posez vos propres questions.

Si vous voulez vous joindre aux actionnaires de la BNS et nous le faire savoir, merci de remplir le tableau ci-joint.

https://docs.google.com/spreadsheets/d/1sX-mkXbVHySPsH5PpMl1SLn3fHIYpwt-C3bAwaFskxg/edit?usp=sharing

ou le doodle ci-dessous

 "Assemblée générale BNS 2015" sur Doodle. Voici
le lien 
http://doodle.com/gsa88ayzrenhy3ma

Nos questions et motions posées à l' assemblée Générale de la BNS le 24 avril 2015:

4 questions et 4 motions pour l'Assemblée Générale 2015 de la BNS

Question 1 traitant de l’indépendance de la BNS
La Constitution suisse est la référence absolue en matière de mission assignée par la Confédération à la BNS. L’alinéa 2 de son article 99 est très clair quant à l’indépendance de la BNS (Note1).
La loi sur la BNS (2003) va jusqu’à préciser dans son article 6 : « « Dans l'accomplissement des tâches de politique monétaire visées à l'art. 5, al. 1 et 2, la Banque nationale et les membres de ses organes ne peuvent ni solliciter ni accepter d'instructions du Conseil fédéral, de l'Assemblée fédérale ou d'autres organismes. »
Or,  En se fixant un taux plancher en septembre 2011, la BNS a de facto transféré le leadership de  la gestion de sa politique monétaire à la Banque centrale européenne. En effet, tous les économistes savent que la politique monétaire d’un pays ne peut être indépendante si la monnaie du pays est liée par un taux fixe à une autre monnaie d’une part et que de l’autre côté, il y a libre circulation des capitaux (principe du triangle de l’incompatibilité). Or, il ne fait aucun doute qu’aussi bien juridiquement qu’économiquement, fixer un taux plancher avec l’euro équivaut à un taux qui vous soumettais à la zone euro, donc à une puissance étrangère.
Deux économistes ont confirmé la perte de l’indépendance de la BNS. L’un est le chef économiste de UBS qui a clairement dit sur la Radio suisse romande que la BNS n’était pas indépendante (2). L’autre est un professeur d’Economie à l’Université et directeur du Centre International d’Etudes monétaires et bancaires (3)  qui dit que la Suisse a été de fait membre de la zone euro avec le franc suisse « scotché » à 1.20 franc (Note 4)
Enfinon relevait  dans un article du Temps du 15 juillet 2011 le passage suivant :

« Alors que le franc s’envolait mercredi vers de nouveaux sommets, Thomas Jordan, vice-président de la Banque nationale suisse, a fermement rejeté toute idée d’arrimer la monnaie helvétique à l’euro. «Notre mandat principal est d’assurer la stabilité des prix. Lier le franc à l’euro entraînerait de nouveaux problèmes, comme la hausse des taux d’intérêt en Suisse. En outre, une telle opération nécessiterait de modifier la Constitution. Nous ne pourrions plus assurer l’indépendance de notre politique monétaire», a-t-il rappelé mercredi à Zurich lors d’un podium de discussion organisé par l’Efficiency Club. » (Note5).

La Constitution n’a pas été modifiée et le taux-plancher a été posé.
Au vu de ce qui précède, notre question est la suivante :
Quelle base légale, claire et pertinente, vous a permis d’enfreindre la Constitution en matière d’indépendance monétaire?


NOTES :
1.      Art. 99 Politique monétaire  de la Constitution Suisse :
1 La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d'émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération.
2 En sa qualité de banque centrale indépendante,la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération.
3 La Banque nationale constitue, à partir de ses revenus, des réserves monétaires suffisantes, dont une part doit consister en or.
4 Elle verse au moins deux tiers de son bénéfice net aux cantons.




5.       Extrait de l’article du temps «Lier le franc à l'euro créerait de nouveaux problèmes » de Juillet 2011

 http://www.letemps.ch/Page/Uuid/823b8ba4-ae59-11e0-8d13-d03d80d505be/Lier_le_franc_%C3%A0_leuro_cr%C3%A9erait_de_nouveaux_probl%C3%A8mes


Question 2 traitant de l’abandon du franc suisse
Il semblerait qu’avec la nouvelle plateforme de transactions financières T2S vous ayez renoncé volontairement (sans raison réglementaire) à utiliser le franc suisse au profit de l’euro. Votre vice-président explique ce choix dès le 3 novembre 2011 dans sa conférence publiée sur votre site Internet intitulé « Le franc fort et l’avenir de l’infrastructure des marchés financiers suisses » (Note 1).
Notre question est la suivante :
Votre choix est-il compatible avec le rôle institutionnel de la BNS de défenseur de la monnaie nationale mais surtout de son indépendance et de l’indépendance du pays dont la stratégie monétaire ne peut pas dépendre des décisions, de nature politique, de l’Union européenne ?
Notes:
Question 3 traitant du bilan de la BNS
Au moment précis de la fixation du taux plancher, nous avons relevé dans plusieurs articles anglo-saxons que la BNS était prête à racheter toutes sortes de titres en échange de liquidités illimitées. Nous étions alors en pleine crise des banques européennes  et de la zone euro.
Depuis, effectivement les grandes banques se sont délestées de certains actifs pourris. Actuellement, les dettes grecques par exemple ne sont plus en possession des banques commerciales privées mais bien des banques centrales européennes.
Or, alors que vous avez le privilège d’être aux commandes d’un établissement dont la prospérité était à la fois l’image du succès du pays et de la solidité de sa monnaie, la BNS a vu, sous votre leadership, non seulement fondre ses fonds propres mais les a vus basculer dans le négatif ! Quel paradoxe lorsqu’on se souvient que le dirigeant principal de la BNS a toujours insisté sur l’importance de renforcer  les fonds propres du bilan (1).
En d’autres termes, cette gestion calamiteuse aurait mis l’institution en faillite si elle n’avait le soutien illimité de la productivité de la Suisse mais aussi et surtout le patrimoine tant actuel que futur des suisses. A quel titre vous octroyez-vous ce droit et correspond-il toujours à la mission de l’établissement que vous dirigez ?
Cette dégradation de vos passifs a servi à investir les actifs du bilan pour 50% (environ) en euros et pour 85% en obligations d’Etat (dettes publiques). Il semble que tout le monde, excepté vous, a bien compris qu’il y aurait tôt ou tard des remises de dettes. Quel est donc le but masqué que vous poursuivez puisqu’il est objectivement impossible de maintenir des peuples entiers sous le joug d’intérêts privés ?
Des voix s’étaient élevées pour réclamer un fond souverain. Or, vous dites à la page 66 de votre rapport d’activités de 2012 :
« Associer le placement des réserves monétaires de la BNS à des intérêts stratégiques de la Suisse engendrerait un risque de conflit d’intérêts et mettrait potentiellement en danger l’indépendance de la BNS. Cette dernière pourrait même, à la limite, ne plus être en mesure de remplir sa tâche fondamentale. En plaçant de manière très diversifiée une partie de ses réserves monétaires en actions et en obligations d’entreprises, la Banque nationale peut tirer profit de la contribution positive du rapport risque/rendement qu’offrent ces catégories de placements ».
Les Fonds Souverains ayant précisément pour nature de protéger les intérêts des pays qui les détiennent, on voit mal en quoi il y aurait conflit d’intérêts dans le cas de la BNS. A moins bien entendu que ce ne fut de ces intérêts-là auxquels vous faisiez référence ! Mais dans ce cas, de quels intérêts peut-il s’agir ? Il n’est pas davantage possible, aujourd’hui, de voir où se trouve la diversification prônée.
Le bilan de la BNS est le bilan de votre gestion. Nous nous abstiendrons de le qualifier par respect pour le passé de cette institution. En revanche, toute cette gestion d’entreprise ne s’explique que si vous aviez décidé de forcer la Suisse à adhérer à la zone euro.
Alors la question est la suivante :
« Planifiez-vous d’adhérer à  la zone euro ? »
NOTES : 1- Pages 2 et 3 du document «  Conférence de presse de décembre 2009. http://www.snb.ch/fr/mmr/speeches/id/ref_20091210_tjn/source/ref_20091210_tjn.fr.pdf
Question 4 traitant du monopole de battre monnaie
La Constitution suisse a confié dans son article 99 alinéa 1 à la Confédération ceci : « 1 La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d'émettre des billets de banque appartiennent exclusivementà la Confédération. »
Or, nous constatons avec beaucoup d’inquiétude qu’un pouvoir de création monétaire a été confiée hors cadre légal et en tout cas de manière parfaitement illégitime à des entités privées -qui se trouvent être des banques- la liberté de créer de la monnaie ex-nihilo.
 Ces sommes créées par les banques commerciales hors de tout cadre légal (non prévues par la loi ni par la Constitution) sont considérées par certains experts comme de la fausse monnaie. Par ailleurs, voici ce qu’en dit le Conseil Fédéral dans une réponse à une interpellation par le député Muller Geri :
«  Réponse du Conseil fédéral du 25.04.2012
1. Les moyens de paiement légaux et ceux considérés dans les faits comme tels sont loin d'être sur pied d'égalité. Les moyens de paiement ayant cours légal font l'objet d'une énumération exhaustive à l'article 2 de la loi fédérale sur l'unité monétaire et les moyens de paiement (LUMMP). Etant donné les différences de solvabilité des établissements gérant des comptes, les avoirs à vue auprès des banques ne jouissent pas des caractéristiques des dépôts auprès de la banque centrale: la standardisation et la fongibilité.
Contrairement aux moyens de paiement légaux, nul n'est tenu d'accepter la monnaie scripturale des banques, à moins qu'un tel moyen de paiement ait été convenu par contrat, ou que les circonstances (l'usage) ou une disposition légale particulière l'exigent.
2. La fixation de l'unité monétaire et la désignation des moyens de paiement ayant cours légal font partie des compétences conférées par le monopole de la Confédération en matière d'émission du numéraire (art. 99 al. 1 de la Constitution). L'article 2 LUMMP précise que les moyens de paiement légaux sont les espèces métalliques, les billets de banque et les avoirs à vue auprès de la Banque nationale suisse (BNS). L'argent au sens du droit constitutionnel ne comprend pas la monnaie scripturale des banques qui, contrairement aux avoirs à vue auprès de la BNS, connaît un risque d'insolvabilité. La croissance des substituts monétaires est laissée à la libre appréciation des marchés, conformément à la conception du secteur privé ancrée dans la Constitution. La Confédération a toutefois la possibilité, dans le cadre de sa compétence législative, d'intervenir contre les développements qui échappent au contrôle du processus de création monétaire exercé par la BNS, ou qui sont susceptibles de miner d'une autre manière la confiance placée dans le numéraire émis par l'Etat. Le législateur a limité les possibilités des banques de créer de la monnaie scripturale, par le biais de dispositions légales régissant les réserves minimales, ainsi que par les prescriptions relatives aux fonds propres et aux liquidités inscrites dans la loi sur les banques.
3. Voir les chiffres 1 et 2. L'article 2 LUMMP indique clairement quels sont les moyens de paiement légaux. Comme l'ont montré les débats sur la garantie des dépôts menés dans le sillage de la crise financière, la population est consciente que les avoirs à vue en francs déposés auprès de banques ne sont pas garantis par la BNS. » http://www.parlament.ch/f/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20123305
Par le fait que vous fermiez les yeux sur la création monétaire faite par des banques commerciales, vous contrevenez à la législation (Constitution et loi sur la BNS) à plusieurs niveaux dont les principaux seraient :
1.      Vous partagez votre responsabilité de battre monnaie avec des entités privées et étrangères mettant de ce fait en danger l’indépendance du pays et la valeur réelle de la monnaie.
2.      La liberté de battre monnaie  - même scripturale-  en quantité quasi illimitée par des  tiers privés vous empêche de mener votre politique monétaire. Il semble bien au vu des quantités créées par les marchés que la masse monétaire que ce que vous gérez encore ne semble pas dépasser les 10% de la masse totale. Le graphique ci-dessous reconstitué par un spécialiste de la monnaie montre que vous semblez avoir perdu le contrôle de la politique monétaire.
Enfin, en autorisant d’autres entités illégitimes de créer de la monnaie, on peut se demander si vous n’outrepassez pas  les prérogatives que le législateur vous a octroyées.
Notre question est la suivante :
Le droit de battre monnaie est de la compétence exclusive de la Confédération. Ce droit a été délégué à la BNS. Or force est de constater que vous partagez cette compétence avec des organismes privées et étrangers. Qui a autorisé la monnaie scripturale bancaire qui aujourd’hui menace l’équilibre économique et financier et qui met en danger épargnes et caisses de pension ?




-Motion 1: Pour que la BNS protège efficacement la marque Franc suisse !

Le Conseil Fédéral a écrit :
"L'argent au sens du droit constitutionnel ne comprend pas la monnaie scripturale des banques".
Si "l'argent au sens du droit constitutionnel" s'appelle "Franc suisse", alors comment s'appelle la « monnaie scripturale des banques » ?
Du fait que ni la Confédération ni la BNS ne protège cette marque essentielle, les citoyens font la confusion entre la monnaie légale Franc suisse créée et gérée par la BNS, et les autres monnaies d'origine bancaire.
Or cette confusion diminue fortement la valeur de la propriété intellectuelle de la BNS et donc désavantage ses actionnaires.
Nous demandons le vote suivant :
"Que la BNS protège la marque Franc Suisse contre tout usage par tout autre organisme que la BNS, et pour toute autre monnaie que la monnaie légale créée et gérée par la BNS, et protège cette marque par tous les moyens possibles, y compris par des actions en justice, ou en fermant ou ne donnant pas de compte de réserve à la BNS aux organismes qui utilisent cette marque".

-Motion 2: Pour que la BNS mesure et publie la création monétaire distinctement du stock monétaire.


Actuellement, la BNS publie seulement le stock monétaire disponible dans ses comptes, et les stocks monétaires disponibles dans les bilans des banques commerciales.
Or la création monétaire est un paramètre très important pour comprendre et contrôler l'économie. Par exemple un crédit de 10 milliards fait par une banque pendant 2 jours est invisible dans les statistiques actuelles, alors que son rôle sur l'économie peut être énorme, en faisant par exemple monter les prix d'une action ou d'une matière première.
Nous demandons le vote suivant :
"Que la BNS publie au moins mensuellement le montant de toute création monétaire de la période mensuelle, en complément du montant du stock monétaire, dans ses comptes et dans les comptes des banques qu'elle surveille, et récole toutes les informations nécessaires à cet effet."

- Motion 3 : méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale Franc suisse

Aujourd'hui nul ne sait si les taux de change publiés s'appliquent ou non à la monnaie légale ou à d'autres monnaies, et nul ne sait comment ces taux sont calculés.
Nous demandons le vote suivant :
" Que la BNS publie la méthode mathématique précise qui permet de calculer le taux de change de la monnaie légale Franc Suisse, monnaie légale dont elle est seule responsable, et différencie clairement le taux de change de la monnaie légale Franc suisse des autres taux de change."

- Motion 4 : pour que la définition des banques en tant que seul pratiquant du dépôt de la monnaie légale Franc suisse soit appliquée.

Le mot « banque » est défini par la loi suisse comme le seul type d'organisation pouvant accepter des dépôts du public : cf LB article 1 §2 « Les personnes physiques ou morales qui ne sont pas assujetties à la présente loi [sur les banques] ne peuvent accepter des dépôts du public à titre professionnel. »
Le terme « dépôt » n'étant pas légalement défini, il est trompeur car l'usage actuel des banques montre que les dépôts sont traités comme des prêts envers la banque. Cela diffère largement du sens commun qui voit un dépôt en banque comme un dépôt dans le coffre d'une banque : le dépôt appartient au déposant et la banque ne peut l'utiliser à son propre compte et ne peut donc pas l'intégrer dans son bilan.
Or le public ne sait pas quelles banques offrent effectivement des dépôts en monnaie légale Franc suisse, monnaie légale gérée par la BNS.
Nous demandons le vote suivant :
« Que la BNS publie chaque mois la liste des banques qui offrent des dépôts en monnaie légale Franc suisse, monnaie légale dont la BNS est seule responsable, en ayant vérifié qu'il s'agit bien d'un dépôt qui reste en pleine propriété du déposant et qui n'est pas intégré au bilan de la banque."


Documents préparés notamment par Mme Liliane Held Khawam et MM Bernard Dugas, Patrick-Etienne Dimier et François de Siebenthal.




N:B: Prière de n'inscrire que vos noms et adresse sur la procuration ci-dessous, merci:

Procuration pour modification de l’ordre du jour et pour l’Assemblée Générale des Actionnaires 2015 de la Banque nationale suisse, ci-après BNS ou SNB.

IMPORTANT: afin d’être valide, la procuration doit être dûment complétée, datée et signée et doit parvenir à la BNS immédiatement. ( jetzt, vix, sofort...).




Exemple de procuration, Vollmachtbeispiel.
à envoyer à
M. François de Siebenthal,
ch. Des Roches 14,
CH 1010 Lausanne,
tél : 021 616 88 88.

Procuration pour modification de l’ordre du jour et pour l’Assemblée Générale des Actionnaires 2015 de la Banque nationale suisse, ci-après BNS ou SNB.


Le soussigné [nom et prénom / ou société]
………………………………………………………………………………………

demeurant à / siège social à
………………………………………………………………………………………

Désigne, pour me représenter ou agir en mon nom vis-à-vis de la BNS, avec pouvoir de substitution.

M. François ou Mme Maria Cecilia de Siebenthal, ch. Des Roches 14, CH 1010 Lausanne, tél : 021 616 88 88.

aux fins de le/la représenter à l’Assemblée Générale, ou à toute autre Assemblée Générale ayant le même ordre du jour, et d’y voter ou s’abstenir en son nom sur tous les points figurant à l'ordre du jour ou à faire figurer au dit ordre du jour les questions idoines ou encore de le faire inscrire au rôle des actionnaires.

En l'absence d'instructions de vote, le mandataire votera en faveur des résolutions mises à l'ordre du jour selon sa conscience.

Cette procuration restera valable au cas où de nouveaux éléments ou des propositions de résolution sont mis à  l'ordre du jour .

Date, lieu, signature :


https://docs.google.com/document/d/1n67DEu0tsiKLPckcanPlihXCP_7OwU5SSyB4XY3iK4g/edit?usp=sharing

Tableau des personnes positives:



Suite à donner à l’action protection du franc suisse à la BNS


Quelques idées en plus des questions et des motions, à préparer pour l’année prochaine.


Pour une BNS plus démocratique ! Propositions pour une nouvelle BNS.


La justice commence par une bonne monnaie.


Battre monnaie seulement pour le peuple:


Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d’œuvre et engendre un chômage permanent. 


Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle.


Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement. 


Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus. La BNS ouvre un compte à chaque suisse et lui alloue une action et un dividende fixé démocratiquement.


I. L'Etat doit donc reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l'exercera par une commission indépendante jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.



Pour une Suisse avec moins de dettes, d’impôts, de taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l'argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.


État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :


1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation, chômage, création d'emplois, relance, environnement, infrastructures, transports, réduction du nombre d'Ambassades et d'outils d'informations tel Swissinfo... à l'heure de crises et de l'isolement du Pays sur la scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du 7.03. 2010).


2. Les "solutions" sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi  que les PME en augmentant le chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.

3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps qu'il réduit les besoins de main-d’œuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers d’industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.


4. La crise de l'UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?


5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs Communes, PME, etc. dont  personnes morales et physiques (nous) dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d'intérêts... SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.


6. FED & IRS (deux archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d'intérêt conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes... par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s), «Too big to fail», Toxic Assets sont devenus des termes "familiers", à contrario du mécanisme pervers de la création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.


Ainsi :


 - le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts, alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement et ainsi, distribuer équitablement les plus-values mensuelles à tous.


- A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon et surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d'autant plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.


- Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement abdiqué, répercutent leurs "remboursements" sans amortissement aux chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.


- Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et les Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la majorité des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.


Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l’argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé, de bonnes solutions existent et les voici :


Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre butreprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l'argent). C'est ce que nous voulons graver dans la Constitution fédérale pour le bien de tous et l'indépendance de la Suisse.


La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par un nouvel


Article 128a :


I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.


Il. Il l'exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ce but.


III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.


IV. L'émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un dividende et d'un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.


V. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu'elle ait ou non des sources de revenus.


VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.


      VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.


      VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent - sans Commission externe indépendante de type FINMA - de l'Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.


      IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d'or physique stocké qu'en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d'assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.


X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l'encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.


XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l’essence.


XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.

       


Dispositions transitoires :


La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d'intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d'enfants conçus.


Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l'Assemblée fédérale (Plénum).


L'écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500'000.-.


Tout dividende social ou autre prestation sociale n'empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur d’entreprise, etc.


L'obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.


Tout financement d'investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :
Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d'établissements distincts et indépendants :


1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.

2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.

3) Banques d'affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.


Indexation obligatoire de tous les engagements sur l'avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.


Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.


Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d'éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.


Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.

Supprimer les programmes d'achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.

Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.

Interdire toute dévaluation compétitive.

Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d'échange et de réserve.

Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec  un système approprié d'indexation.

 Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.


Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelle que soit la forme de la monnaie( métallique, papier...).


Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.


Conclusions :


 « Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »               


Maurice Allais, prix Nobel d'économie.



Plus:

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/02/initiative-monnaie-pleine-questions.html


Assemblée générale 2015 – Dates et conditions d'admission

Dates et autres informations pour l'année 2015:

Date de l'Assemblée générale

24 avril 2015, à 10 heures

Lieu

Kulturcasino, Herrengasse 25, 3011 Berne

Envoi des invitations et des bulletins-réponse

27 mars 2015

Inscription

Les actionnaires souhaitant prendre part à l’Assemblée générale sont priés de commander leur carte d’admission, soit par courrier (en retournant le bulletin-réponse dûment rempli et signé à ShareCommService AG, Assemblée générale BNS 2015, Europastrasse 29, CH-8152 Glattbrugg), soit par voie électronique (sur la plate-forme en ligne de ShareCommService AG). S’ils choisissent la voie électronique, les actionnaires peuvent commander leur carte d’admission jusqu’au 22 avril 2015 à midi.

Qualité d'actionnaire

Tout actionnaire inscrit au Registre des actions est autorisé à participer à l'Assemblée générale (art. 37, al. 1, LBN).
Toute personne inscrite au registre des actions le 16 avril 2015 et n’ayant pas vendu ses actions jusqu’à l’Assemblée générale peut participer à celle-ci.
Seules seront prises en considération les demandes de reconnaissance reçues au registre des actions jusqu’au 15 avril 2015 à 9 heures.
La BNS ne reconnaît qu'un seul représentant par action (art. 3 du règlement régissant la reconnaissance et la représentation d'actionnaires de la Banque nationale suisse).

Envoi des cartes d'admission et des bulletins de vote

A partir du 10 avril 2015

Remise de propositions

Les actionnaires peuvent soumettre des propositions. Pour qu'elles soient portées à l'ordre du jour, elles doivent être signées par vingt actionnaires au moins et adressées au président du Conseil de banque, par écrit, d'ici le 13 février 2015 (art. 35, al. 2, LBN).
Aucune décision ne peut être prise sur des objets qui n’ont pas été portés à l'ordre du jour (art. 35, al. 3, LBN).

Représentation par la représentante indépendante

Le Conseil de banque a désigné Maître Beatrice Stuber-Jordi, notaire, ambralaw, Bundesgasse 26, 3001 Berne, et, en cas d’empêchement, Maître Adrian Müller, avocat, ambralaw, Bundesgasse 26, 3001 Berne, comme personne indépendante que les actionnaires peuvent charger de les représenter au sens de l’art. 689c CO.
Les actionnaires souhaitant se faire représenter par la représentante indépendante lors de l’Assemblée générale peuvent lui donner procuration et lui transmettre des instructions soit par courrier, à l’aide du formulaire de procuration et d’instructions, soit par voie électronique, au moyen de la plate-forme en ligne de ShareCommService AG. S’ils choisissent la voie électronique, les actionnaires doivent transmettre leur procuration et leurs instructions à la représentante indépendante jusqu’au 22 avril 2015 à midi.
La représentante indépendante observe, jusqu'au scrutin organisé lors de l'Assemblée générale, le secret absolu sur les instructions reçues, et ce y compris vis-à-vis de la BNS.
La représentante indépendante s'abstient de voter si elle reçoit des pouvoirs de représentation sans instructions de vote.
La BNS transmet à la représentante indépendante les bulletins-réponse signés qui lui sont adressés et qui ne comprennent ni déclaration personnelle de participation ni mention d'un mandataire, mais sont accompagnés d’ instructions de vote. En l’absence d’instructions de vote, la BNS considère ces bulletins-réponse comme inscriptions personnelles des actionnaires concernés.

Représentation par un autre actionnaire

Tout actionnaire peut autoriser par écrit un autre actionnaire à le représenter à l'Assemblée générale (art. 37, al. 2, LBN).
Les actionnaires souhaitant se faire représenter par un autre actionnaire sont priés de désigner ce dernier sur le bulletin-réponse.

Rapport financier et rapport de l’organe de révision

Le Rapport financier et le rapport de l’organe de révision peuvent être consultés à partir du 26 mars 2015 sur le site www.snb.ch, Publications, et à partir du 2 avril 2015, aux sièges de Berne et de Zurich de la Banque nationale. Ils peuvent être commandés par courrier (au moyen du bulletin-réponse) ou par voie électronique (sur la plateforme en ligne de ShareCommService AG).

Transmission d'informations

La convocation de l'Assemblée générale et les communications aux actionnaires sont faites par lettre envoyée aux adresses figurant dans le Registre des actions et par une publication unique dans la Feuille officielle suisse du commerce (art. 28 LBN).

Autorisons la BNS à distribuer de l’argent!

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L’INVITÉ Mardi 17 février 2015

Autorisons la BNS à distribuer de l’argent!

Michaël Malquarti*
Afin de combattre efficacement le risque de déflation, je propose d’introduire un nouvel instrument de politique monétaire agissant directement sur la consommation: la distribution d’une ration monétaire individuelle
Depuis la crise de 2008, les banques centrales ont déployé des moyens sans précédent afin d’éviter une crise systémique, puis de combattre la déflation. Si le premier objectif a été atteint, on ne peut pas en dire autant du deuxième. Pourtant, les outils utilisés par les banques centrales à travers le monde se limitent aux champs d’action conventionnels que sont le marché des taux, pour agir sur l’investissement, et éventuellement celui des changes, pour agir sur les exportations nettes. Ce n’est donc pas par leur originalité que ces mesures sont extraordinaires, mais par leur ampleur. Or, ces actions sont controversées à plusieurs titres: elles suscitent des doutes sérieux quant à leur efficacité; elles créent des distorsions au niveau de l’allocation des ressources; enfin, elles nécessitent des mesures macroprudentielles – parfois liberticides et inéquitables – afin d’en atténuer les effets collatéraux indésirables.
L’investissement et les exportations nettes ne représentent généralement qu’une fraction relativement faible du PIB (en Suisse, en 2013, 23% et 12% respectivement). Celui-ci comprend encore deux autres composantes, les dépenses publiques courantes (11% du PIB) et surtout la consommation (54% du PIB), sur lesquelles les banques centrales n’agissent pas directement.
Afin de combattre efficacement le risque de déflation, je propose d’introduire un nouvel instrument de politique monétaire agissant directement sur la consommation: la distribution d’une ration monétaire individuelle. Il s’agit en fait de mettre en application de manière concrète et équitable le fameux hélicoptère de Milton Friedman – dans le cadre d’une expérience de pensée, celui-ci a proposé de combattre la déflation en lâchant des billets de banque depuis un hélicoptère. Si ce concept est parfois évoqué, il prend presque toujours la forme d’une monétisation des dettes publiques. Ici, l’idée est radicalement différente: en pratique, chaque résident reçoit directement de la banque centrale une somme d’argent dont le montant et la fréquence éventuelle de renouvellement sont déterminés indépendamment du gouvernement et purement à des fins de politique monétaire. Il faut souligner qu’il ne s’agit pas de l’introduction d’un revenu inconditionnel, instrument de politique budgétaire dont le but est la redistribution des richesses et dont l’allocation est en principe stable en montant et dans le temps.
Ce nouvel instrument est libéral car chacun décide librement de l’utilisation de la ration reçue. Il est équitable car celle-ci, à défaut d’avoir la même utilité marginale, a le même impact pour tous. En outre, la ration augmente le pouvoir d’achat des ménages et les recettes fiscales sans augmenter le coût du travail ou le taux d’imposition, elle augmente la consommation tout en diminuant l’endettement. Enfin, étant donné que la banque centrale agit en toute indépendance, elle ne comporte pas de risque d’aléa moral particulier et garde intacte la nécessité de la discipline budgétaire.
La question du canal de distribution de cette ration n’est pas anodine et représente vraisemblablement la raison principale qui a empêché l’idée de Milton Friedman de dépasser le stade de l’expérience de pensée, en particulier si l’on veut que cet outil soit un vrai outil de contrôle pour la banque centrale. Or en Suisse, un tel canal existe: il suffirait de passer par l’assurance maladie de base, comme on le fait pour la redistribution du produit de la taxe sur le CO2. C’est simple, éprouvé et peu coûteux.
A titre d’exemple et pour donner un ordre de grandeur, en Suisse cette ration pourrait s’élever dans un premier temps à 100 francs par personne et par mois, c’est-à-dire, en termes annualisés, à environ 1,5% du PIB et, selon l’agrégat utilisé, à 1 ou 2% de la masse monétaire. Les moyens déployés seraient donc bien inférieurs aux achats de devises effectués par la BNS ces dernières années. En partant du principe qu’une grande partie de cette ration serait rapidement consommée, l’impact sur l’inflation devrait être ceteris paribus du même ordre de grandeur. En outre, l’introduction d’une telle ration, ou même la simple allusion à sa possible distribution, pourrait pousser les investisseurs étrangers à vendre la devise helvétique et donc à affaiblir le franc.
La Suisse peut jouer un rôle pionnier dans l’introduction de ce nouvel outil. Comme il comble aussi bien les partisans de la rigueur budgétaire que ceux du soutien au pouvoir d’achat, comme il n’entrave pas la dynamique du libre marché tout en améliorant le sort des plus démunis, il devrait obtenir un large consensus politique. De plus, l’exemple suisse pourrait inspirer le reste du monde, et en particulier nos proches voisins qui en ont encore plus besoin.
(Article paru dans la NZZ 
du lundi 16 février).

Directeur Adjoint, Banque SYZ
Vive les fonds souverains suisses ! 
Dividendes pour tous, comme en Alaska par exemple...

  • François de Siebenthal: Alaska Dividend program was ...

    desiebenthal.blogspot.com/.../alaska-dividend-program-was-designed.ht...
    20 août 2009 - Alaska Dividend program was designed thanks to... Social Credit individuals. Come please to the social credit international congress.
  • François de Siebenthal: Alaska dividend and Sarah Palin ...

    desiebenthal.blogspot.com/.../alaska-dividend-and-sarah-palin-history.ht...
    10 oct. 2008 - See Alaska: In a state where citizens already pay neither sales tax nor income tax, Alaska's Permanent Fund provides an annual dividend to ...




  • Aluminium, notre poison quotidien

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    Aluminium, notre poison quotidien -France 5-janvier 2012

    https://www.youtube.com/watch?v=-gAsSR6g7SU&app=desktop

    Sans le savoir, nous absorbons de plus en plus d'aluminium, pourtant toxique pour notre organisme. Quels sont les risques ?

    Valérie Rouvière mène l'enquête, auprès de scientifiques et de spécialistes, dans ce Doc du dimanche. 

    « Alerter les populations sur la toxicité de l'aluminium me paraît important. C'est un produit inutile. (...) Il n'apporte rien à l'organisme, si ce n'est des ennuis. » Président de Santé Environnement France, un réseau de 2 500 médecins français, le docteur Pierre Souvet s'alarme de voir cette substance chimique envahir notre quotidien. Extraite d'un minerai, la ­bauxite, l'alumine est présente dans une multitude de produits de consommation. Agent levant dans le pain, conservateur dans les charcuteries et les plats préparés, anti-agglomérant dans le sel, colorant dans les confiseries... l'aluminium se cache derrière les additifs et même dans le lait infantile. Il entre aussi dans la composition de cosmétiques — il facilite la pénétration des crèmes, durcit le vernis, blanchit les dents, bloque la transpiration — et les laboratoires pharmaceutiques l'utilisent comme adjuvant dans des médicaments et des vaccins. L'Autorité européenne de sécurité des aliments, qui a tiré la sonnette d'alarme il y a trois ans, conseille de ne pas consommer plus de 1 milligramme d'aluminium par semaine et par kilo de poids corporel. Mais comment éviter la surdose ? La quantité d'aluminium utilisée n'est jamais précisée sur les emballages et il n'existe aucune réglementation sur son utilisation. 
    Pourtant, les études sur la nocivité de l'aluminium se multiplient. Cette neurotoxine multiplierait par deux les risques de développer la maladie d'Alzheimer et l'hydroxyde d'aluminium présent dans les vaccins provoque chez certains une maladie grave : la myofasciite à macrophages. Neuropathologiste à l'hôpital universitaire de Créteil, le professeur Romain K. Gherardi pronostique : « Sur les métaux, on a des histoires qui se répètent. Ce qui est arrivé pour le plomb, le mercure et l'amiante arrivera aussi pour l'aluminium. »

     
    Vaccins ...évitez -les , faites confiance à votre organisme , renforcez plutôt votre immunité par des moyens simples et naturels ; une bonne hygiène de vie , nourriture saine , fraîche et variée , bio le plus possible , limiter la viande ( remplie de vaccins et autres produits  ) , s'aérer ; balade en nature , sport , et éviter les personnes toxiques , celles qui génèrent du négatif en nous ,car ça a aussi des effets sur notre santé , ce que le corps ne dit pas avec des mots , il le dit avec des maux ) quant aux vaccins c'est un non -sens ...ils affaiblissent votre corps , il y a derrière tout cela une grosse industrie qui se fait du fric au détriment de votre santé ...C'est par la peur que l'on maintient  une société ...

    Saints et sainteté au Moyen Âge à Lausanne et en Suisse romande

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    Par:  FTSR
     
    • Recherche - Histoire

    Saints et sainteté au Moyen Âge à Lausanne et en Suisse romande

    Les jeudis 19 et 26 février, 5, 12, 19 et 26 mars 2015 (18h00-19h00) - Palais de Rumine, Lausanne - Musée de Zoologie, auditoire XIX. Le 12 mars, la conférence sera donnée par Yann Dahhaoui (UNIL, Institut religions, cultures, modernité), "Inventer les origines du saint Nicolas : des frères Grimm au folklore catholique".



    Les liens:

    Cours public


    Le Centre d’études médiévales et post-médiévales
    de l’Université de Lausanne vous invite à son cours public annuel

    Saints et sainteté au Moyen Âge à Lausanne et en Suisse romande


    Le jeudi de 18 à 19 heures, au cœur de la ville.
    Musée de Zoologie, auditoire XIX
    Palais de Rumine
    Place de la Riponne 6, Lausanne
    L’entrée est libre.

    19 février
    • Stéphanie Manzi (UNIL, Section d’histoire), Le couvent des franciscains de Lausanne : de l'idéal de pauvreté de saint François aux réalités matérielles du XVIe siècle
    26 février
    • Alain Corbellari (UNIL, Section de Français), Sainte Elisabeth : une sainte allemande et "moderne" au prisme de l'hagiographie francophone
    5 mars
    • Jean-Claude Mühlethaler (UNIL, Section de Français) L’envers du décor : les saints facétieux
    12 mars
    • Yann Dahhaoui (UNIL, Institut religions, cultures, modernité), Inventer les origines du saint Nicolas : des frères Grimm au folklore catholique.
    19 mars
    • Brigitte Pradervand (Historienne de l’art indépendante), La représentation des saints au Moyen Âge en Suisse occidentale et le carrefour des Alpes.
    26 mars
    • Jean-Daniel Morerod (UniNe, Institut d’Histoire), La petite fabrique des saints dans l’Eglise de Lausanne, avant et après la Réforme

    Valère orgue ste Catherine phot BP Basse déf..jpg
    Sion, église de Valère, Mariage mystique de sainte Catherine d’Alexandrie, peinture attribuée à Pierre Maggenberg, détail, vers 1434-1437.

    Plan d'accès

    • Métro : M2, arrêt Riponne-M.Béjart.
    • Bus : 7 et 8, arrêt Riponne – 16, arrêt Pierre Viret.
    Le Musée de Zoologie se trouve au dernier étage du Palais de Rumine (ascenseur: niveau 5). Accès possible via la passerelle de la Cité.
    Une signalétique est mise en place pour l'auditoire XIX.

    Plan_Rumine.png


    Energie: batteries supercondensateurs

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    Première ligne de production de supercondensateurs en graphène en Chine

    Etude de graphène pour supercondensateur
    Etude de graphène pour supercondensateur
    La société chinoise Changzhou Cubic Energy Technology Co., Ltd a annoncé l'achèvement de la première ligne de production de supercondensateurs à base de graphène de la Chine. Cette ligne de production desupercondensateurs nouvelle génération à base de graphène a été mise en place à Changzhou le 10 janvier 2014.
    Cubic Energy Technology est spécialisée dans le développement de produits de stockage d'énergie à base de graphène pour les énergies renouvelables, les transports, l'électronique grand public et l'industrie. Son ambition est de fournir des composants de stockage d'énergie efficaces et fiables.
    Avec cette ligne de production automatisée, la société s'est dotée d'une capacité de production annuelle de 50 000 supercondensateurs en graphène de 3000 Farads.
    La société marque ainsi une nouvelle avancée dans les applications du graphène à Changzhou et fait un pas de plus dans le processus d'industrialisation du graphène. "Chaque installation sur la ligne de production est conçue et mise en place par nos soins. Nous avons tous les droits de propriété intellectuelle sur ces installations", a déclaré le Dr Zhang Xin, chercheur de la ligne de production.
    "Le graphène que nous utilisons est inférieure à 2 nm d'épaisseur avec une surface spécifique élevée et une conductivité électrique élevée", a ajouté Zhang. Les supercondensateurs sont des dispositif de stockage d'énergie très fiables et qui peuvent être chargés et déchargés des centaines de milliers de fois. La fonction magique du graphène s'est révélée avec succès lors des essais des premiers échantillons sortis de la ligne de production : les supercondensateurs se rechargent entièrement en quelques secondes.
    Le supercondensateur est un nouveau dispositif de stockage d'énergie, qui a un temps de recharge très court, une longue durée de vie, supporte une large plage de température, permet des économies d'énergie et une meilleur protection de l'environnement par rapport aux batteries. Le supercondensateur peut fournir une forte puissance électrique et peut remplacer entièrement ou en partie les batteries traditionnelles.
    La société Cubic Energy Technology n'a pas encore donné tous les détails sur lesperformances atteintes par ses supercondensateurs en graphène : densité d'énergie, taux d'auto-décharge, tension de fonctionnement... En effet, comme nous l'avons vu, tous les supercondensateurs en graphène n'offrent pas les mêmes capacités. Les performances dépendent de la qualité du graphène, des points de supports et espacements entre les feuilles de graphène, de l'électrolyte utilisée, de la qualité de fabrication du supercondensateur (chasser le plus d'air et d'eau possible), etc.

    La Chine met le paquet sur les technologies du futur

    Nous avions déjà parlé des avancées de la Chine dans le domaine des supercondensateurs dans notre article 5000 supercondensateurs CSRCAP 7500 Farads livrés en Chine. En fait, la Chine investit beaucoup dans les technologies d'avenir et notamment dans le graphène qui est un vrai matériau miracle découvert seulement en 2004 (cf Un supercondensateur en graphène stockant autant qu'une batterie plomb-acide bientôt commercialisé).
    Ainsi, depuis 2011 la ville-préfecture de Changzhou soutient l'industrie du graphène, encourage les instituts universitaires et les entreprises a collaborer pour mettre en place une industrialisation de la production de graphène, et recherche les entreprises en aval qui peuvent concevoir des applications de démonstration utilisant du graphène.
    L'institut Jiangnan pour le graphène a construit 11 laboratoires et centres d'analyse. 8 équipes de chercheurs travaillent sur les films conducteurs transparents en graphène, les batteries au lithium graphène, les supercondensateurs, la biomédecine, le graphène en trois dimensions, le refroidissement du film de graphite, etc.
    Pour les applications du graphène, la ville a construit la plus grande ligne de production nationale avec une capacité annuelle de production de 30 000 m² de film de graphène. La ville produit également 100 tonnes d'oxyde de graphite par an pour alimenter la ligne de production de graphène. Changzhou est ainsi à la pointe des avancées mondiales et à la tête du pays dans l'industrie des matériaux en carbone.

    Voici une vidéo sur ce matériau exceptionnel qu'est le graphène :
    Les supercondensateurs peuvent créer une rupture technologique pour un avenir meilleur.
    Faites connaître cette technologie en partageant cet article sur les réseaux sociaux :

    6 commentaires

    Juste un merci au passage pour ce site qui est vraiment au top de l'actualité des supercondensateurs, avec des articles bien détaillés et bien vulgarisés.
    Salut merci pour l'article super intéressant, je voudrais savoir si vous avez des informations quant au prix de ces supercondensateurs et où on peut s'en procurer. Stan
    @Stan :

    Bonjour,
    Non, nous n'avons pas encore d'informations sur le prix de ces supercondensateurs.
    Ils seront certainement vendus à un tarif très élevé dans un premier temps. Et rappelons aussi que nous n'avons pas eu d'information sur les performances atteintes par ces supercondensateurs : l'utilisation de graphène ne veut pas obligatoirement dire performances exceptionnelles...
    Bonjour,
    tout dépend de ce que l'on considère quand on parle de prix et performances élevées : si un assemblage de ces super-super-condensateurs offre un coût/performances équivalent à celui des actuelles batteries ion lithium (qui reste élevé, malgré leur prix en baisse), ce serait tout gagné : même à prix équivalent, leur durée de vie (cycles charge/recharge) serait sans commune mesure avec les actuels accumulateurs, sans parler du temps de charge (utilisables dans les transports comme ballastes ET comme accumulateurs de masse : aujourd'hui on couple batteries et de supercap...)
    cette découverte n'a t-elle pas été faite en premier par Richard Kaner et Maher El-Kady qui ont découvert cette nouvelle type de pile ? Ils ont accidentellement fait cette découverte en essayant de créer du graphène. Ca signifie que les chinois se sont très vite pencher sur le sujet et piquer l'idée ?

    Quoi qu'il en soit j'ai hâte de voir ces piles sur le marché, car mon smartphone se décharge très vite. le galaxy S4. Et est-ce qu'il y a moyen de reproduire ce genre de pile soit même à la maison ? Si oui comment ?
    @Ray31 :

    Bonjour Ray,

    Richard Kaner et Maher El-Kady sont loin d'être les seuls à avoir créé des super-condensateurs en graphène. Il existe aujourd'hui de nombreuses techniques pour créer du graphène de plus ou moins bonne qualité. De même, plusieurs techniques sont désormais possibles pour créer des supercondensateurs à base de graphène, et offrant des performances sensiblement différentes...

    PAMPLEMOUSSE Le meilleur des antibiotiques naturels !

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    L'EXTRAIT DE PÉPINS DE PAMPLEMOUSSE Le meilleur des antibiotiques naturels !



    Les vertus de l'Extrait de Pépins de Pamplemousse sont aujourd'hui reconnues.
    Découvrez dès maintenant ses bienfaits sur votre santé !

    Petite histoire du Pépin de Pamplemousse :
    En 1980 dans un petit village de Floride, le docteur Jacob Harich, jardinier à ses moments perdus, remarque que les Pépins de Pamplemousse se trouvant dans le compost de son jardin n'y pourrissent pas. Poussé par la curiosité, le docteur qui est aussi Physicien Lauréat du prix Einstein et immunologiste spécialisé dans la recherche des médicaments naturels, décide d'analyser de plus près l'étrange phénomène, le résultat est remarquable : le Pépin de Pamplemousse contient diverses substances qui ont une activité anti-microbiennes extrêmement efficace et plus inoffensive que tout antibiotique connu à ce jour.
    Mais ce n'est pas tout ! De nombreux instituts de recherche mondiaux lui découvrent vite de vastes propriétés. L'Extrait de Pépins de Pamplemousse s'avère efficace non seulement dans l'élimination d’environ 800 types de bactéries et virus mais aussi dans celle de 100 sortes de champignons ainsi qu’un qu'un grand nombre de parasites avec une efficacité redoutable. Il est 100% non toxique ! Il ne détruit pas les bactéries bénéfiques. Des tests récents ont montré son efficacité contre l'influenza (une forme pathogène très virulente) mais aussi en cas d'eczémas, de psoriasis, de pellicules, de verrues, de vaginite, gingivite et troubles intestinaux.
    En comparaison l'efficacité d'antibiotiques conventionnels se limite aux seules bactéries. L'Extrait de Pépins de Pamplemousse renforce les défenses immunitaires et allège les souffrances des personnes séropositives ou atteintes du sida.

    Substances des Pépins de Pamplemousse :
    Les pépins contiennent des bioflavonoïdes, du glucoside, de l'isosacuranétine, du néohespéridine, de l'hespéridine, du glucoside,... Arrêtons-nous là avec les termes scientifiques ce qu’il faut savoir c’est que l'Extrait de Pépins de Pamplemousse est un anti-microbien naturel des plus puissants. Il s'obtient généralement grâce à des installations industrielles lourdes où les pépins et les membranes de pulpe de pamplemousse sont pressés ou moulus.

    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse  est efficace pour :
    Bouche : aphtes, lèvres gercées, herpès des lèvres, maux de dents, gingivite, désinfection de la brosse à dents etc.
    Nez - Oreilles - Visage : rhume, pharyngite, rhinite, toux, enrouement, laryngite, maux d'oreille, hygiène des oreilles, acné, boutons, impuretés de la peau, rasage etc.
    Cheveux : shampooing médical, pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux de tête etc.
    Peau : petites coupures, petites brûlures, éruptions cutanées, dermatite, piqûre d'insecte. Il participe grandement à la guérison de psoriasis, zona, eczéma, urticaire, ulcère variqueux sur les jambes, verrues, mycose.
    Pieds : eczéma des orteils, hyper sudation, durillons, cors, verrues plantaires, ampoules etc.
    Ongles : onychomycose, panaris.
    Organes génitaux : vaginite, infections vaginales à germes divers, parasites du vagin, soins des organes génitaux, maladies des organes génitaux masculins.
    Et aussi : les grippes, les coups de froid, les gastro-entérites, les problèmes digestifs, les diarrhées, le déséquilibre dû au Candida Albicans. ulcère de l'estomac et du duodénum, candidoses et autres mycoses, maladies parasitaires et allergies etc.

    Usages interne :
    Ne jamais utiliser l'Extrait de Pépins de Pamplemousse pur, mais toujours dilué dans un verre d'eau, un jus de fruit, un jus de légume ou une boisson chaude. Verser 3 à 5 gouttes par jour à prendre en 2 ou 3 fois (suivant usage ou proposition thérapeutique) pendant ou en dehors des repas jusqu'à disparition des symptômes.
    Il est important d'observer les réactions de l'organisme et de partir d'une faible dose pour l'augmenter progressivement par la suite. En général, l'estomac s'habitue rapidement à ce traitement.
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse s'impose comme premier remède capable d'atteindre les multiples sortes de micro-organismes. Il est très efficace comme traitement des dysfonctionnements intestinaux et des rhumes.
    Il peut être avantageusement combiné avec d'autres médicaments naturels et peut même renforcer les effets d'autres plantes médicinales. Il ne faut cependant pas perdre de vue que toute maladie se manifeste dans le but de faire prendre conscience d'un certain malaise, l'Extrait de Pépin de Pamplemousse n'éradique donc pas la cause psychologique.

    Usages externes :
    Il est conseillé d'utiliser en même temps l'Aloe Vera qui favorise et accélère la régénérescence de la peau et des muqueuses. Il faut savoir que l'Extrait de Pépins de Pamplemousse se dilue dans de l'huile (amande douce, olives) pour l'application externe, et s'il arrive qu'il entre en contact avec les yeux, rincez immédiatement avec de l'eau tiède.

    Tolérance :
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse est 100% naturel. Cadeau de la nature, il est extrêmement bien toléré, il est aussi apprécié pour ses utilisations aussi diverses qu'efficaces, même dans le cas où tout autre remède aurait échoué. Le docteur Leo Galland de New York déclare : "Cette substance a une particularité unique. Quoiqu'elle fasse, elle le fait sans effet secondaire néfaste. Elle a le mérite d'être 100% non toxique."
    Dans certains pays ce produit est accepté officiellement comme un remède contre les candidoses et contre différentes formes de diarrhées. Ses applications thérapeutiques s'étendent jusqu'en médecine vétérinaire, et les animaux en tirent un grand bénéfice (vermifuge naturel).

    Un antibiotique idéal :
    Le Dr Allan Sachs aux Etats-Unis, a démontré que cet Extrait de Pépins de Pamplemousse si particulier répond aux critères qu'un antibiotique idéal devrait avoir :
    L'antibiotique idéal doit avoir une efficacité aussi large que possible puisqu’on connaît rarement avec précision les agents pathogènes.
    L'antibiotique idéal doit agir avec puissance et très rapidement.
    L'antibiotique idéal ne devrait pas avoir d'effets toxiques. (Pour cela il faudrait boire près de 1,3 litre d'Extrait de Pépins de Pamplemousse pour s'intoxiquer gravement).
    L'antibiotique idéal ne devrait pas affaiblir le système immunitaire.
    L'antibiotique idéal ne doit pas détruire les bactéries utiles à l'organisme.
    L'antibiotique idéal doit être naturel parce que les produits chimiques de synthèse peuvent avoir des effets secondaires imprévus sur l'organisme.
    L'antibiotique doit être hypoallergène. Cependant, certaines personnes sont allergiques aux agrumes donc aux pépins de pamplemousse, dans ce cas il est préférable de faire des essais à petites doses.
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse répond à tous ces critères, d'autre part il est à un prix très abordable. On ne connaît pas encore tous ses effets positifs et certains laboratoires s'y attèlent.

    Blindez vos défenses immunitaires :
    Parmi tous les compléments alimentaires l'Extrait de Pépins de Pamplemousse se distingue par son utilisation pratique en cas d'infections, inflammations, mycoses, allergies et nombreuses affections.

    Un agent désinfectant :
    Des études ont montré in vivo que l'Extrait de Pépins de Pamplemousse présente une efficacité de 100% (à 100 ppm) pour la désinfection de la peau à l'occasion de la préparation chirurgicale alors que l'efficacité de l'alcool est de 72%, et celle du savon chirurgical est de 98% (J-A. Botino et coll., Sao Paulo, Brésil).
    En raison d’absence de toxicité de l'Extrait de Pépins de Pamplemousse et surtout de son efficacité obtenue avec de très petites quantités, l'Extrait de Pépins de Pamplemousse est devenu l'agent désinfectant de choix utilisé dans plusieurs hôpitaux aux USA : 10 à 15 gouttes d'Extrait de Pépins de Pamplemousse sont utilisées dans l'eau de rinçage du linge. Deux à 4 gouttes par litre d'eau permettent de détruire les staphylocoques, streptocoques, l'aspergillus, la salmonelle et d'autres agents pathogènes retrouvés dans les tapis. L'Extrait de Pépins de Pamplemousse à des concentrations plus élevées (1%) est utilisé pour désinfecter les salles d'opération.
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse est aussi un moyen sûr et simple pour rendre potable l'eau : après avoir filtré, ajouter à l'eau claire 3 gouttes, agiter puis laisser reposer quelques minutes. En usage domestique, il est recommandé d'utiliser 2 gouttes par litre d'eau de rinçage.
    De même, l'Extrait de Pépins de Pamplemousse permet de traiter efficacement les fruits et légumes et de prolonger leur salubrité et leur qualité. À des concentrations aussi faibles que 30-50 ppm, leur durée de vie a été multipliée par 3 ou 4.
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse pourrait être un moyen pour désinfecter les eaux domestiques usées : 40 cl d'Extrait de Pépins de Pamplemousse permettent de traiter 1 million de litres d'eaux usées, laissant un résidu de coliformes fécaux inférieur à 1:100 ml (la norme en vigueur étant de 200:100 ml).

    Contre les maux de gorge :
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse a, in vitro, à faible concentration (1:80.000) une action bactéricide vis à vis des streptocoques. L'utilisation de 2 ou 3 gouttes d’Extrait de Pépins de Pamplemousse dans 15 cl d'eau, en gargarisme, pour traiter des angines occasionnées par ce germe a été conseillée.

    Contre les problèmes digestifs :
    Pour prévenir la diarrhée du voyageur, l'Extrait de Pépins de Pamplemousse est efficace à la dose quotidienne de 1 à 2 gouttes dans un verre d'eau ou de jus de fruit. Il est aussi efficace curativement à la dose de 2 gouttes dans un verre d'eau à midi et au coucher  (C-W. Lynn, Orlando, Floride).

    Un antibiotique naturel :
    Signalons, que l'Extrait de Pépins de Pamplemousse a permis de réduire la mortalité chez les Alpagas du Pérou, de 50% à 2%, alors que les vaccins et les antibiotiques classiques ne donnent que des résultats irréguliers pour traiter l'entérotoxinémie, la colibacillose et l'entérite chez les bébés Alpagas (G. Calderon et coll., Université San Marco, Lima).

    Un antivirus efficace :
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse a aussi des actions antivirales : inactivation in vitro de l'herpès virus de type 1 (10 minutes dans une solution à la concentration de 1:256), du virus de la grippe (W-M. Shannon, Southern Research Institute).
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse s'est montré aussi efficace vis à vis du virus de la rougeole en Amérique du Sud (Interlab, S.A.) et vis à vis de virus responsables d'affections chez l'animal : fièvre aphteuse, fièvre porcine africaine, le virus vésiculaire porcin et la grippe aviaire (ministère de l'agriculture, USA).

    Pour assainir la peau :
    Les actions antivirales, antifongiques et antibactériennes de l'Extrait de Pépins de Pamplemousse expliqueraient ses effets sur diverses affections cutanées : kystes, verrues, herbe à poux et sumac.
    Il est conseillé d'associer l'Extrait de Pépins de Pamplemousse, à la concentration de 1%, à d'autres huiles essentielles (camomille, thé des bois) et de réaliser une vaporisation. On peut aussi appliquer 2 à 3 gouttes du bout des doigts sur la région à traiter, puis d'imbiber d'eau, et de rincer quelques minutes après à l'eau froide. Pour les kystes et les verrues, des concentrations plus fortes peuvent être nécessaires (1 goutte recouverte, après absorption, d'un bandage).
    Des précautions d'utilisations de l'Extrait de Pépins de Pamplemousse sont conseillées. Il doit toujours être dilué avec 15 cl ou plus de liquide. En cas de contact avec les yeux, rincer avec de l'eau pendant 10 minutes. En cas de contact de produit pur avec la peau, rincer aussi (à l'exception des kystes et des verrues).
    De faibles dilutions de l'Extrait de Pépins de Pamplemousse appliquées sur la peau peuvent déclencher une sensation de picotement ou un blanchiment local, qui sont transitoires et anodins. En traitement d'attaque, on peut débuter par 6 gouttes trois fois par jour dans un verre d'eau, à prendre avant les repas.

    Intérêts pour les personnes séropositives :
    Des personnes séropositives ont obtenu rapidement des résultats très intéressants pour traiter des candidoses cutanées, ou de la bouche, avec un Extrait de Pépins de Pamplemousse, un traitement rarement évoqué dans le traitement classique des mycoses.
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse a été utilisé chez 20 personnes atteintes de vaginite à candida albicans (L.E. Todd et coll., Université de Nuevo Leon, Monterey, Mexique). L'Extrait de Pépins de Pamplemousse a été délivré toutes les 12 heures au cours de douches, pendant 3 jours. Quinze personnes furent guéries ; une fut guérie après une seconde séquence de traitement, suivie d'une application locale. Aucun effet toxique n'a été rapporté.
    L'Extrait de Pépins de Pamplemousse présente aussi d'autres actions qui pourraient être intéressantes aussi bien pour les personnes séropositives que pour les autres personnes. L'Extrait de Pépins de Pamplemousse a été utilisé pendant deux mois, avec succès, chez 200 personnes atteintes d'amibiase ou présentant une affection à Gardia intestinalis (L. Parish et coll., Food and Drug Administration). Ce traitement serait plus efficace que les traitements classiques. Ces résultats sont d'autant plus importants à souligner que ces affections parasitaires, qui ne sont pas limitées qu'aux régions tropicales, concerneraient un cinquième de la population mondiale (avec une fréquence plus élevée chez les homosexuels), et le plus souvent sans symptôme.
    L’extrait de pépins de pamplemousse possède des vertus antibiotiques naturelles sur de nombreuses souches de bactéries et même de virus, mais il agit aussi sur les souches de champignons provoquant des mycoses et sur des parasites unicellulaires. De nombreuses études ont été publiés sur l'extrait de pépins de pamplemousse et son action assainissante sur l'organisme en général. L'extrait de pépins de pamplemousse sera extrêmement utile dans les affections hivernales mais aussi au quotidien pour l'appareil digestif, le système uro-génital, l'arbre respiratoire ou la peau. Il contient essentiellement des bioflavonoïdes et différents glucosides ainsi que quelques protéines. Parmi les flavonoïdes, on retrouve la naringine et parmi les limonènes on trouve la limonine. Ces 2 substances ont des propriétés anti prolifération de cellules cancéreuses notamment les cancers du sein, de l'estomac, poumon et bouche. Si les études sont encore au stade de l'animal, il semble que les résultats soient très encourageant (de nombreux médecins le recommande en cure)
    Composition: Extrait hydro-alcoolique de pépins de pamplemousse, extraits de membrane de la pulpe de pamplemousse, bourgeon de cassis et glycérine d'origine végétale. 15% vol. alcool
    Conseils d'utilisation: 1 cuillère à café 2 fois par jour matin et soir dans un grand verre d'eau

    La vérité sur le
    pépin de pamplemousse

     
    2 avis
    rédigé le 25 février 2014 à 18h10
    Dominique Vialard
    • Pepin de pamplemousse - alternativesante.frPepin de pamplemousse - alternativesante.fr
    L'extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est considéré depuis une quinzaine d'années comme le meilleur antibiotique naturel. Et l'on a raison de le considérer comme tel. Depuis les travaux du Dr Jacob Harich qui l'ont popularisé dans les années 80/90, on n'a pas trouvé mieux. Cette histoire serait merveilleuse si le succès de cette médication n'avait rapidement attiré des escrocs et des margoulins de toutes espèces à l'affût d'un marché juteux...
    Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l'un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l''huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
    L'EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient). Avant de l'utiliser, rappelez-vous qu'il s'utilise toujours dilué et qu'il doit être évité sur les yeux. En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu'en traitement d'attaque pour toutes les infections, particulièrement :
    • Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires...
    • Les ulcères de l'estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
    • Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
    • Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques...
    • Les infections urinaires et cystites.
    • La fatigue chronique et l'affaiblissement immunitaire.
    • Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
    • En usage externe, l'EPP est aussi un recours dans bien des situations :
    • La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite...
    • La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d'insectes, verrues, mycoses...
    • Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux?
    • Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
    • Les ongles : onychomycose, panaris.
    • Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites...

    Pourtant, à l'expérience, il y a de quoi douter

    Malgré la réputation justifiéee de l'EPP, il m'est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses vertus. Pendant longtemps, j'ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma fille et je ne constatais aucun effet. J'ai ainsi tenté de guérir des rhumes, je l'ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais rien... Peut-être cela vous est-il arrivé aussi ! Un jour pourtant, j'ai trouvé un produit qui semblait fonctionner. J'en ai appliqué sur une piqure d'araignée qui s'infectait? Et là, ça m'a d'abord chatouillé fort puis tout a disparu.
    Alors j'ai compris qu'il y avait différentes qualités d'EPP et je me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ?

    On n'y comprend plus rien sur les étiquettes

    Pas facile de s'y retrouver. Les dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s'avèrent très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien dangereux. Sur les étiquettes, on lit parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou encore « à base de pépins et d'écorces » ou « de pépins et de pulpe »... Quant à la fabrication, le plus souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l'on trouve même de l'EPP sous forme de comprimés ou à usage cosmétique.

    De nombreuses fraudes signalées

    À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n'étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d'entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d'antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
    En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000. Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n'importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !

    Une légende merveilleuse... bien qu'écornée

    Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis,  jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique...
    Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l'EPP, seul, n'avait aucune activité antibactérienne (2). Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l'EPP et il s'agissait bien d'un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.

    D'ailleurs, les cultivateurs bio font grand usage de l'EPP

    La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l'utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d'infections à champignons, on s'en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles?). Alors si la méfiance s'impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l'EPP reste un excellent produit qu'il faut simplement savoir bien choisir.

    Des études rassurantes... enfin !

    Les troublantes constatations d'une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l'ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l'EPP n'a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l'Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).
    L'étude citée plus haut a ainsi confirmé que l'action de l'EPP s'étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu'à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L'extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes. Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l'EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l'ensemble de la flore s'en trouve améliorée.

    Intéressons-nous au procédé de fabrication industriel standard

    L'EPP est normalement produit à partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous ou Citrus maxima. Le plus souvent, on vous propose un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d'une extraction à sec.
    Grosso modo : les pépins sont séchés et réduits en poudre. Cette poudre est ensuite dissoute dans de l'eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et la pectine). Une autre opération de séchage permet d'obtenir une poudre concentrée. Ce concentré est mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l'eau puis chauffé sous haute pression. Puis il est refroidi, filtré et traité aux U.V.
    Américains ou Chinois fournissent les marchands Mais dans les faits, on ne sait pas comment est précisément fabriqué l'EPP. Car la réalité, c'est que si l'on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais fabricants dans l'Hexagone : la matière première est le plus souvent importée sous forme liquide. D'où vient-elle ?
    Les principaux fabricants sont américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable), allemands. Difficile de vérifier la qualité de l'extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n'importe quel pamplemousse... Et ça, les marchands d'EPP concernés se gardent bien de nous le dire. En plus, l'EPP est maintenant au centre d'une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà décidément une histoire à rebondissement?

    La guerre des bioflavonoïdes

    Même si certains fabricants font valoir des procédés d'extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque. C'est ainsi que la norme est d'utiliser 20% en moyenne d'extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit. Comment expliquer alors que l'on trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ? C'est à qui proposera le plus...

    Les petits calculs des marchands d'EPP

    Tout dépend en fait de la méthode de mesure utilisée. Il existe en effet deux techniques d'analyse quantitative des molécules :
    - la chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.
    - le test U.V. (l'absorption U.V. visible). Or le même extrait donnera pas exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3 fois plus. Si l'on vous annonce 1 200 mg, c'est que l'on a utilisé la méthode d'analyse U.V., 3 fois plus avantageuse dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l'extrait et pas seulement les bioflavonoïdes.
    Ainsi, un EPP titré à 800 mg selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de bioflavonoïdes. A moins que l'on ait rajouté artificiellement des flavonoïdes (d'où viennent-ils ?) dans le produit, ou l'écorce ou le péricarpe (l'enveloppe superficielle du fruit), ce qui se pratique aussi allègrement.
    Autant vous le dire tout de suite : cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l'extrait de pépin se suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.
    Quant au péricarpe, rien n'indique qu'il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui m'échappent, on m'explique qu'il permet d'obtenir plus facilement la mention bio...

    Faut-il préférer le bio ?

    Faut-il privilégier un EPP bio ? Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces d'intrants. Mais l'on en paiera le prix, pour une différence qui, en l'espèce, n'est pas déterminante. Pour le geste, on privilégiera tout de même l'achat de pépin de pamplemousse dans les boutiques bio.
    Car la meilleure filière qui soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus paradisi provenant d'Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement accéder à un label.

    Alors comment choisir sans se tromper ?

    Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :
    • Assurez-vous qu'il s'agit bien de pépins de Citrus paradisi.
    • Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
    • Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
    • Vérifiez qu'il n'y ait aucun additif autre qu'un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
    • Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l'EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l'étranger.

    Enfin des formules fiables !

    A force de chercher la meilleure formule possible, j'ai fini par en trouver une - ce qui n'exclut pas, bien entendu, qu'il y en ait d'autres. Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés ci-dessus mais en plus, elle est issue d'une fabrication française, assez rare, basée sur une macération et non sur une poudre de pépins.Vous pourrez vous la procurer en suivant ce lien.
    Les pépins importés d'Asie, entiers, sont mis en macération dans un mélange d'eau et de glycérine à raison de 20 g de pépins pour 100 ml. A travers des opérations de macération successives, on extrait ainsi l'ensemble des principes actifs et « non actifs » (ou considérés comme tels) du pépin et on obtient un produit concentré huileux naturellement titré à 400 mg de bioflavonoïdes. A ce taux là, on estime que l'action est déjà optimum.
    Au final, avec cet EPP basé sur le totum, notre organisme bénéficie de tous les principes du pépin : il filtrera ce dont il aura réellement besoin et éliminera le reste. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Tout est entièrement naturel dans ces EPP, excepté bien sûr le conservateur, qui peut être du sorbate de potassium par exemple, inoffensif. La fabrication est, de fait, contrôlée de A à Z. Ce type de produit ne court pas les rayons des boutiques mais il en existe bel et bien chez certains petits laboratoires.

    Passez un hiver tranquille !

    N'hésitez pas à préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d'EPP. L'authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées. C'est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s'adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes.
    Sources :
    (1) Identification of Benzethonium Chloride in Commercial Grapefruit Seed   Extracts ? Takeoka et al. J. Agric. Food Chem. 2001, 49, 3316-3320. Cosmetics and grapefruit seed extracts / quaternary ammonium compounds - 2004 - Kant. Laboratorium BS.
    (2) Aspects of the Antimicrobial Efficacy of Grapefruit Seed Extract and Its Relation to Preservative Substances Contained. - von Woedtke et al. Pharmazie. 1999 Jun ; 54(6):452-6.
    (3) Selon quelques sources scientifiques, les polyphénols du pépin de pamplemousse seraient convertis durant l'opération d'extraction (par une réaction chimique spontanée) en un ammonium quaternaire, l'hydroxybenzene diphenol (du triclosan en fait). La présence de ce composé en petite quantité dans le produit final serait donc plus ou moins naturelle (le procédé d'extraction étant, on l'a vu, souvent industriel) et expliquerait l'action antibactérienne de l'EPP. Mais en l'état de la recherche, ce n'est encore qu'une hypothèse parmi d'autres, hypothèse évidemment mise en avant par les gros industriels américains ou chinois (certains parlant même de présence naturelle de chlorure de benzéthonium !) mais qui est loin de faire l'unanimité.
    Pour les plus curieux, voir ici :
    http://www.mountainroseherbs.com/learn/grapefr.php 
    http://www.nhiondemand.com/viewcontent.aspx?mgid=503#207
     
    http://www.encyclopedia.com/doc/1G2-3435100356.html
    http://chemicaloftheday.squarespace.com/most-controversial/2010/1/27/the-truth-about-grapefruit-seed-extract.
    html
     http://www.itmonline.org/jintu/grapefruit.htm (
    4) Antimicrobial activity of grapefruit seed and pulp ethanolic extract - Cventniz et Vladimir-Knezevic. Acta Pharm. 54 (2004) 243?250. The effectiveness of processed grapefruit-seed extract as an antibacterial agent: II. Mechanism of action and in vitro toxicity. - Heggers JP et al. J Altern Complement Med. 2002 Jun; 8(3):333-40.

    LE JEÛNE, UN TRÉSOR À DÉCOUVRIR ET À EXPÉRIMENTER

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    Jeuner

    LE JEÛNE, UN TRÉSOR À DÉCOUVRIR ET À EXPÉRIMENTER

    Durant le carême, une cinquantaine de groupes dans toute la Suisse romande, rassemblant environ 600 personnes, vont à nouveau se lancer dans l’aventure du jeûne et s’ouvrir à une expérience où le corps se met au repos grâce à l’absence de nourriture, mais où l’âme est travaillée par ce qui surgit d’essentiel dans la vie. Une pratique qui permet également à chacun de vivre une expérience de solidarité en partageant le prix du repas non consommé avec des personnes défavorisées au Sud.
    De tout temps, le jeûne a offert un cadre propice à l’expérience spirituelle pour faciliter la rencontre… la rencontre avec Dieu, à travers sa Parole, et la rencontre avec son prochain, comme lieu de pratique de cette Parole vécue. Ancré dans une ascèse personnelle, dans un cadre donné et sur un temps limité, le jeûneur, ayant mis son corps au repos, fait siens les mots de Jésus: «L’homme ne vit pas seulement de pain mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu» (Dt 8,3). La Parole est nourriture et lumière. 
    Finalement, quelles que soient les motivations qui poussent quelqu’un à se mettre en chemin à la rencontre de Dieu, de l’autre et de soi, c’est une puissante expérience à vivre, à partager, à intensifier… et vous, amis lecteurs? de quoi avez-vous faim ?
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    Semaines de jeûne en carême 2015

     19 au 26 février à Sion Emmanuel Theler, 079 734 01 15 ; theler@netplus.ch, info: 26 janvier, 18h, Crypte de la cathédrale  20 au 27 février à Delémont, Centre St-François Possibilité aussi en résidentiel du 20 au 28 février Marie-Josèphe Lachat, 032 421 48 63 info : 22 janvier, 20h15, Centre Saint-François  21 au 27 février à Genève, Aïre-Le Lignon Vincent Baertschi, 079 259 75 62 v.baertschi@bluewin.ch info: 04 février, 20h, Paroisse Epiphanie, Pl. Lignon 32  21 au 27 février à Mulhouse (France) Jane-Marie Nussbaumer, 078 611 13 51 info: 06 février, 20h, Eglise Tabor, rue des Vergers 34, Mulhouse  22 au 28 février aux Franches-Montagnes Marulier Françoise, 079 421 13 75 francoise.marulier@bluewin.ch info: 26 janvier, 20h, salle sous l’Eglise, Le Noirmont  22 au 28 février à Genève, Eaux-Vives Abbé Olivier Jelen, Monique Chatelain, 022 736 66 66, mochatelain@bluewin.ch info: 06 février, 20h15, Paroisse St Joseph, Eaux-Vives  23 février au 1er mars à Savièse Véronique Luyet, 027 395 20 44 info : 04 février, 19h, salle paroissiale (entrée nord)  24 fév. au 03 mars à Sierre, Monastère Géronde Catherine Poscio, 027 455 73 00, 027 455 69 19 cat.@varioweb.ch  27 fév. au 03 mars à Fribourg, Centre Ste Ursule Philippe Hennebicque, 026 347 14 00 philippe@centre-ursule.ch Elisabeth Erb, 079 509 58 26, erbelisabeth@sensemail.ch info: 04 février, 20h, Centre Ste Ursule, rue des Alpes 2  27 février au 06 mars à Fully - Saxon Francine Ançay 077 / 454 25 05 fran6n.ancay@outlook.com info: 23 janvier, après la messe de 19h, Saxon  28 février au 07 mars à Aigle Eliane Martin, 024 466 56 74 ; elianemartin2@yahoo.fr info: 28 janvier, 19h, Chapelle St Jean  01 au 08 mars à Savièse Véronique Luyet, 027 395 20 44 info : 04 février, 19h, salle paroissiale (entrée nord)  04 mars au 10 mars à Vétroz / Ardon Corine Fournier, 079 455 19 45, fournier.corine@bluewin.ch Marie-Madeleine Gillioz, 078 895 52 78 info: 10 février, 20h15, Cure de Vétroz  04 au 10 mars à Montreux, Temple St Vincent Marie-Claire Chavan, 079 533 55 71 chavan.mc@bluewin.ch info: 11 février, 20h15, centre paroissial d'Etraz rue du Marché 10, Montreux  06 au 12 mars à Aubonne, chapelle St-Etienne Michel Durussel, pasteur, 021 331 58 02 michel.durussel@eerv.ch Info : 19 février, 19h, Chapelle des Charpentiers, Morges  06 au 12 mars à Grens Cécile Bailly, 022 362 00 49, cecilebailly@bluewin.ch info: 12 février, 20h, Chapelle de Signy  06 au 12 mars en Lavaux – Temple de Lutry Roland Besse, 079 656 00 22, rmc.besse@hispeed.ch info: 19 février, 20h15, Caveau du Singe Vert, Grand Rue 41, Lutry  06 au 13 mars à Courrendlin Abbé Maurice Quéloz, 032 435 51 75 ; 079 256 26 37 info: 27 janvier, 20h, Maison des Œuvres, Courrendlin  06 au 13 mars à Lausanne, St Amédée paroisse catholique, Rte du Pavement 97 Philippe Vaucher, 079 318 91 07, phv@bluewin.ch info : 19 février, 19h, chapelle de Béthusy  06 au 13 mars à Morges, paroisse catholique Brigitte Reymond, brigittereymond@bluewin.ch 078 790 14 17 info: 04 février, 19h30, paroisse catholique, salle 2  07 au 13 mars à Cheseaux-sur-Lausanne Katrin Fabbri, 079 332 38 09, katrin.fabbri@artdevie.ch info: 09 février, 20h, paroisse cath. du Bon Pasteur, Av. des Cerisiers 2, Prilly, salle sous l’église  07 au 13 mars à Renens Astrid Belperroud, 079 537 33 31 info: 12 février, 20h, chapelle Ste Claire, St-Sulpice, Ch. du Bochet 37, bus 30 (arrêt Russel)  08 au 14 mars, Les Fontenelles (Doubs-France) Jeûne et séance de yoga Sr Rose-Marie Prongué, 0033 3 81437179 retraite.chretienne@orange.fr info :09 février, 20h, chez les Soeurs  09 au 15 mars, à Boudry - Paroisse du Joran Sandra Conne, 032 842 54 24 ; 079 270 49 72 sandra.conne@eren.ch info: 04 février, 20h, Cure de Boudry, R. des Vermondins 18  11 au 18 mars à Mallerey, salle catholique Aline Gagnebin, 079 750 87 23 terrenouvelle.usbj@bluewin.ch info: 02 février, 20h, Foyer réformé (R. du Clos 3), Moutier  11 au 18 mars à Moutier, Foyer réformé Aline Gagnebin, 079 750 87 23 terrenouvelle.usbj@bluewin.ch info: 02 février, 20h, Foyer réformé (R. du Clos 3), Moutier  11 au 18 mars à St Imier, Maison paroisse réformée Aline Gagnebin, 079 750 87 23 terrenouvelle.usbj@bluewin.ch info: 02 février, 20h, Cure réformée de St-Imier  11 au 18 mars à Sierre, Monastère Géronde Josette Theytaz Délétroz, 078 605 38 60 jo@varioweb.ch 13 au 19 mars à Bussy-Chardonney Temple de Bussy, pasteur Sandro Restauri Joan Bachmann, 021 801 29 90 ; pybachmann@yahoo.fr info: 19 février, 19h, Chapelle des Charpentiers, Morges  13 mars au 20 mars à Bex, La Pelouse Silke Reymann, 024 463 04 76, silke.reymann@lapelouse.ch info: 24 février, 20h, Grand Parloir, Abbaye St Maurice  13 au 19 mars, Basse Broye (Payerne, Domdidier, Avenches) Abbé Joseph Demierre, 079 778 70 06, jose.demierre@bluewin.ch info: 18 février, 20h, Cure catholique, Domdidier  13 au 19 mars à Vich André Sauter , 021 331 58 03, andre.sauter@eerv.ch André Bourqui, 022 366 36 92, andre.bourqui@swissline.ch info: 04 février, 20h, Temple de Vich  13 au 20 mars à Martigny Gérard Puippe, 079 583 57 45 info: 13 février, 19h , à La Visitation à Martigny (bâtiment derrière l'église de Martigny-Ville)  13 au 20 mars à Genève, Servette-Vieusseux Micheline Gueissaz, 022 345 62 94, michelinegueissaz@bluewin.ch info : 19 février, 18h30, Paroisse Servette-Vieusseux, salle du Colibri (sous-sol)  13 au 20 mars à Lausanne, St-Joseph Paroisse catholique, Av. de Morges 66 Corinne Menthonnex, 078 842 98 65 c.menthonnex@bluewin.ch info: 09 février, 20h, paroisse cath. du Bon Pasteur, Av. des Cerisiers 2, Prilly, salle sous l’église  14 au 20 mars à Pomy, salle de paroisse Alexandre Mayor, 021 331 58 71 alexandre.mayor@eerv.ch info: 19 février, 20h, salle de paroisse, Pomy  14 au 20 mars à Lausanne, St-Sulpice Florence Delachaux, 079 675 95 12 Michel Duranton, 021 691 77 97 ; 079 881 82 01 info: 12 février, 20h, chapelle Sainte Claire St-Sulpice, Ch. du Bochet 37, bus 30 (arrêt Russel)  15 au 22 mars à La Chaux-de-Fonds Nicole Rochat, 076 412 31 71, nicole.rochat@eren.ch info : 10 février, 20h00, rue de la Cure 9  17 au 23 mars à Conthey Elisabeth Haymoz, 079 811 43 53 elise-haymoz@netplus.ch Marylène Bianco, 079 586 10 04, mbianco@netplus.ch info : 12 février, 19h30, Maison des jeunes, Plan-Conthey  18 au 24 mars à Chamoson Marguerite Carrupt, 079 66 88 571 marguerite.carrupt@gmail.com info : 26 février, 20h, Cure de Chamoson  18 au 25 mars, Payerne, Estavayer-le-Lac Salle Ste Anne, Estavayer-le-Lac Marie-Jeanne Sandoz, 026 663 35 58, m.j.sandoz@bluewin.ch Michèle Treuthardt, 026 660 23 43, mwt@pamatrex.ch  20 au 26 mars à Genève, Onex Gisèle Pellet, 022 792 40 55 info: 16 février, 20h, Eglise St-Marc, rue Racettes 2, Onex  20 au 27 mars à Genève Michel Genoud, 022 793 97 17, michel.genoud@gmail.com info: 02 mars, 19h, salle paroissiale du Christ-Roi, Ch. de l’Epargne 6, Petit-Lancy (TPG : 14, 21, 22, 23, K, L)  20 au 27 mars à St-Maurice Marguerite Giron, 024 485 19 44 info: 24 février, 20h, Grand Parloir, Abbaye St Maurice  22 au 28 mars à Neuchâtel Joseph Christe 032 724 29 72, 079 274 77 46 christejo@bluewin.ch Info: 18 février, 19h, Basilique (Eglise rouge)  22 au 29 mars à Savièse Fabienne Luyet, 079 723 26 57, fab.luyet@netplus.ch info : 04 février, 19h00, salle paroissiale, St-Germain/Savièse  24 au 31 mars à Lausanne (chapelle Béthusy) Pascal Veillon, 021 652 74 78, 079 353 67 27 mveillon@worldcom.ch info : 19 février, 19h, chapelle de Béthusy  26 mars au 1er avril à Bôle Paroisse de la BARC Sylvane Auvinet, 032 855 10 84, sylvane.auvinet@eren.ch info: 03 mars, 20h, Maison de paroisse de Bôle, rue de la Moraine 5 SEMAINES DE JEUNE EN RESIDENTIEL  20 au 27 février à Delémont, Centre St-François Possibilité aussi en résidentiel du 20 au 28 février Marie-Josèphe Lachat, 032 421 48 63 info : 22 janvier, 20h15, Centre Saint-François  08 au 14 mars, Les Fontenelles (Doubs-France) Jeûne et séance de yoga Sr Rose-Marie Prongué, 0033 3 81437179 retraite.chretienne@orange.fr info :09 février, 20h, chez les Soeurs  13 mars au 20 mars à Bex, La Pelouse Silke Reymann, 024 463 04 76, silke.reymann@lapelouse.ch info: 24 février, 20h, Grand Parloir, Abbaye St Maurice SEMAINE JEUNE & MARCHE 2015  20 au 27 mars à Genève Michel Genoud, 022 793 97 17, michel.genoud@gmail.com info: 02 mars, 19h, salle paroissiale du Christ-Roi, Ch. de l’Epargne 6, Petit-Lancy, (TPG : 14, 21, 22, 23, K, L) SEMAINE JEUNE & YOGA 2015 Sr Rose-Marie Prongué, 0033 3 81437179 retraite.chretienne@orange.fr info :09 février, 20h, chez les Sœurs.

    Ponction des déposants, vols légaux...

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    L’épisode chypriote a servi de répétition générale...

    Alerte : première application de la directive permettant la ponction des comptes bancaires



    Nous avions alerté ici en décembre 2013à propos de la Directive sur le redressement et la résolution des crises bancaires (BRRD pour Bank Recovery and Resolution Directive). 

    Ce texte européen inscrit dans la loi ce qui s’est produit à Chypre en avril 2013, on s’en rappelle : le système bancaire en faillite s’était renfloué en sollicitant les actionnaires et les détenteurs d’obligations – rien de plus normal – mais aussi en ponctionnant les déposants avec la confiscation des comptes de plus de 100.000 euros. 

    Il s'agit là d'un vol pur et simple, une remise en cause du droit de propriété. Et si le plancher de 100.000 euros peut rassurer la plupart des épargnants, il s’agit pourtant d’une illusion qui pourrait s’évanouir devant l’ampleur des pertes : Chypre à l’époque avait bénéficié de 10 milliards d’euros d’aide de l’UE et du FMI (soit les deux tiers de son PIB), mais qui pourrait verser une somme équivalente à un grand pays comme l’Espagne, l’Italie ou la France s’il connaissait une crise comparable ?

    L’épisode chypriote a servi de répétition générale et désormais tous les pays européens peuvent recourir à cette méthode. La transposition de la directive dans les droits nationaux doit intervenir au 1er janvier 2016 au plus tard, mais l’Autriche a devancé cette date car, justement, une de ses banques connait de graves difficultés. Hypo Alpe Adria a été nationalisée en 2009 suite à des investissements hasardeux, notamment dans les Balkans (son chiffre d'affaires est passé de 1,87 milliard d'euros en 1992 à 43,3 milliards d'euros en 2008 !). Après plusieurs renflouements pour un total de 5,5 milliards d’euros, le gouvernement autrichien a annoncé dimanche dernier qu’il ne verserait plus un euro et que la banque était placée "en résolution". Celle-ci a immédiatement annoncé qu'il pourrait lui manquer jusqu'à 7,6 milliards d’euros de fonds propres…

    Ce ne sont pas les actionnaires qui assumeront la perte (l’Etat détient la banque en totalité) mais ceux qui ont souscrit les obligations émises par la banque, et pour eux le préjudice sera de l’ordre de 50 à 70%. C’est bien joué : sans cette directive, l’Etat aurait du payer ! A priori les déposants ne seraient pas concernés cette fois, mais l’avertissement doit porter : la directive "BRRD" a été appliquée en Europe pour la première fois, sans prévenir, sans concertation, en l’espace d’un week end. Pour un Etat la tentation s’avère très forte, il peut arrêter les frais et faire reposer la perte sur les actionnaires, les détenteurs d’obligations et, éventuellement, les déposants. On ne prendra pas un grand risque en pariant que cette directive sera à nouveau utilisée en Europe.

    La décision du gouvernement autrichien ce 1er mars se révèle, à proprement parler, historique mais, comme c’est bizarre, les grands médias n’en disent pas un mot… 

    Désormais nul épargnant européen ne doit ignorer que sa banque peut être mise "en résolution" et ses comptes possiblement ponctionnés, le temps d’une annonce au journal télévisé un dimanche soir. 

    Non la crise n’est pas terminée, mais désormais les Etats reportent le renflouement des banques sur les actionnaires, les détenteurs d’obligations bancaires, et les épargnants, le plus légalement du monde, chacun est prévenu.


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    Finland & basic income or dividend

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    FINLAND: 65% of Parliamentary Candidates Favor Basic Income

    Eduskunta-parliament
    A vast majority of candidates running the next parliamentary elections in Finland said they agree with the principle of the basic income, reveals national media.
    With contribution from Johanna Perkiö
    As the general elections are approaching, the idea of basic income just breached an unprecedented milestone in Finland, with nearly 65.5% of all parliamentary candidates publicly supporting the policy.
    The report released by national media YLE is based on direct answers from candidates collected through an online platform launched. 1,642 running candidates participated – for a total of nearly 2,000. Among other questions, candidates were asked if they agree with the following statement: “Finland should implement a basic income scheme that would replace the current minimum level of social security.”
    Without surprise, the Greens candidates are the most favorable to the policy (99%), followed by the Left Alliance candidates (95%) and the Center (83%). Significant support is also found among the nationalist party ‘True Finns’ (57%) and the Swedish People’s Party (53%).
    Altogether, political parties committed to basic income could virtually represent between 40 and 60% of the votes – theoretically enough to form a government.
    On the other side, opponents to basic income are the Social Democratic Party (80% of their candidates), the Conservative Party (67%) and the Christian Democrats (57%).
    A wave of new political support for basic income have emerged last autumn when the opposition leader proposed to experiment basic income with pilots projects. According to a recent opinion poll, 70% of Finns endorsing basic income.
    The next parliamentary elections in Finland will take place on April 19th. It seems the opportunity for introducing basic income pilots in Finland – and Europe – have never been so close.
    Credit picture: CC hugovk

    About Stanislas Jourdan

    Stanislas Jourdan has written 11 articles.
    Co-Founder of the French Movement for basic income and coordinator of Unconditional Basic Income Europe. Also journalist in a previous life.

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/10/the-rubin-report-switzerland-basic.html


    As you know if you have read my articles, I have been concerned with the futility of trying to solve our economic problems by promoting small businesses, bringing manufacturing home from overseas, and  building our infrastruture, all noble ideas, but just efforts to postpone the inevitable. These measure don’t address the fact, whatever measures are taken, people aren’t needed anymore in sufficient capacity to put
    23,000,000 or 12,000,000 people, take a number, back to work
    .

    Phillips Electronics, manufacturer of most of our lighting modalities, just told the auto industry they needed to retire their robots as outmoded. They needed new ones that would eliminate all human contact as they’ve done in the manufacturing of their light bulbs.

    Only the continuation of unemployment insurance, far past its intended length, has averted turmoil if not actual revolution. Even the Republicans understand this and weakly protest, but go along knowing until some solution is devised they have no other
    alternative. I am happy to report that a Swiss economist, Francois de Siebenthal,
    presented a plan at a recent economic conference in Canada, that eases my concern. His plan is well on the way to being submitted to a vote by the Swiss having already gathered 40,000 signatures of the 100,000 needed in just a short time
    . Siebenthal’s plan would
    ensure “an unconditional basic income” for all Swiss citizens and legal residents.
    Realizing the futility of ever again providing full employment in an automated world, he proposes all Swiss share in the benefits of this new world and provide purchasing power to all, regardless of their lot in life. His plan replaces traditional welfare systems,
    including unemployment insurance, pensions, family allowances, student grants and disability payments. All will receive “dividends” from the wonders of man’s replacements. Suggested payments, converted into U.S. dollars, would be about $3,000 a month and a fair amount for each child. This would amount to about $9,000 a month for the average family. This would make us free to chose the work we want
    . He says Swizerland’s wide
    spread use of automation should continue and the profits shared with government money issued based on the value of it’s gross domestic products (GDP) and not on debt as all
    money is today. The   benefits   of   this   new   world   of     automation    must    be shared    by     all
    people.

    I am not so naive as to think our banksters, and their bought politicians will agree
    to such radical economics readily or that it will happen in my life time, but to continue  debt created money  and limiting it to 5 percent of society is doomed to fail as it has
    repeatedly thru history and those defending it will have to eventually be brought
    screaming and ranting into the 21st century.
    .

    I can’t wait to tell of how it took 99 years to get the Federal Reserve System audited  how the liberal politicians, almost universally, attempted to prevent it and the
    news media, even the financial organs, have failed to publicize it

    A bit of humor. Yesterday my dearly beloved said, “I hope those new chickens
    begin laying soon so I’ll have eggs for my Christmas cookies”. I retorted, “Last year you said, this is the last year I’m able to make cookies someone else will have to take over. I can’t do it anymore”. Her response, “Of course I
    m going to make cookies, that was last year”.

    Who said, “Only wine improves with age”


    Alton Eliason 


    www.totokettimes.com/aman.docx

    URGENT. Julian Assange par Darius Rochebin

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    L'interview de Julian Assange par Darius Rochebin , en direct ce dimanche 15 mars, TSR 1 , 13h20

    http://www.rts.ch/play/tv/direct
    redifffusion, ce lundi 16 mars à 02:05 sur RTS Deux

    Pardonnez-moi

    L'interview de Darius Rochebin
    Julian Assange

    à voir dès demain
    Le site internet de Pardonnez-moi

    "Depuis trente mois, Julian Assange, héros de la lutte pour une information libre, vit à Londres, refugié dans les locaux de l’Ambassade de l’Equateur. Ce pays latino-américain a eu le courage de lui offrir l’asile diplomatique quand le fondateur de WikiLeaks était persécuté par les gouvernements des Etats-Unis et de plusieurs de ses alliés (Royaume-Uni, Suède). Le seul crime de Julian Assange est d’avoir dit la vérité et d’avoir divulgué, via WikiLeaks, des révélations sur les sinistres réalités cachées des guerres d’Iraq et d’Afghanistan, et sur les manigances de la diplomatie américaine.

    Julian Assange, au même titre qu’Edward Snowden, Chelsea Manning et Glenn Greenwald, fait partie d’un nouveau groupe de dissidents qui, pour avoir révélé des vérités, sont désormais traqués et pourchassés non pas par des régimes autoritaires, mais par des Etats qui prétendent être des « démocraties exemplaires ».

    Dans son nouveau livre, « Quand Google rencontra WikiLeaks » (Clave intelectual, Madrid, 2014) dont l’édition espagnole est en librairie depuis le 1er décembre [1], Julian Assange va plus loin dans ses révélations, comme toujours formidablement documentées. Tout part d’une longue conversation d’Assange avec Eric Schmidt, le président exécutif de Google, en juin 2011. Ce dernier était venu interviewer le créateur de WikiLeaks pour un essai qu’il préparait alors sur l’avenir de l’âge numérique.

    Lorsque ce livre, intitulé « The New Digital Era » (2013), fut publié, Assange constata que ses déclarations avaient été changées et que les thèses soutenues par Schmidt étaient passablement délirantes et mégalomaniaques. Le nouvel ouvrage du créateur de WikiLeaks est donc sa réponse aux élucubrations du patron de Google.

    Parmi d’autres révélations, Assange raconte ici comment Google — et Facebook, Amazon, etc., — nous espionnent, nous surveillent et comment ce firmes transmettent ces informations aux agences d’espionnage des Etats-Unis. Il montre aussi comment la principale entreprise de technologie numérique est étroitement liée, de façon presque structurelle, au Département d’Etat. Assange affirme aussi que les grandes entreprises de la galaxie numérique nous surveillent et nous contrôlent bien plus que les Etats eux-mêmes.

    « Quand Google rencontra WikiLeaks » est une œuvre intelligente, stimulante et nécessaire. Un régal pour l’esprit. Le livre nous ouvre les yeux sur nos propres pratiques de communication quotidiennes, quand nous nous servons d’un téléphone intelligent (« smartphone »), d’une tablette, d’un ordinateur ou tout simplement quand nous naviguons sur Internet avec la candeur de celui qui se croit plus libre que jamais. Attention !, nous dit Assange, Comme le Petit Poucet, vous laissez derrière vous des traces de votre vie privée que certaines firmes, comme Google, recueillent avec le plus grand soin...

    Production:

    Suisse romande, 2015

    Durée:

    25 min

    Format:

    16:9

    Audio:

    Stéréo
    Rediffusion

    Code VPS:

    Poutine a disparu ?

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    POUTINE (ru, 17 mars 2015) – Par suite à notre dernier RU sur Kiev, nous avons eu quelques désabonnements, ce qui, selon notre feu ami Serge de Beketch, est le signe qu’on a touché un point essentiel. (Il a dit exactement ceci : « Si je n’ai pas des désabonnements après un article ou une émission, je me dis que j’ai tourné en rond »). Reparlons un peu de Poutine.
    D’abord il faut dire que W.W., le rédacteur de notre dernier RU, était une douzaine de fois en Russie et en Ukraine, entre autre pour faire une recherche locale sur la religiosité de Poutine. Ceci l’a amené par exemple jusqu’au monastère sur l’île de Valamo sur le lac Lagoda, une sorte de Lourdes pour les Orthodoxes. L’abbé du monastère l’a très bien reçu et renseigné. Il lui a montré par exemple la cellule de Poutine où celui-ci fait chaque année sa retraite spirituelle, au milieu du monastère. Il lui a aussi expliqué que la mère de Poutine est toujours restée croyante, qu’elle a toujours gardé ses icônes dans sa demeure au pied desquelles le petit Vladimir a grandi, qu’elle a mis, lors du baptême de Vladimir, une médaille de la Ste Vierge autour de son cou qu’il n’aurait jamais quittée pendant toute sa vie, jusqu’aujourd’hui. (On sait que la Sainte Vierge ne délaisse jamais ceux qui l’honorent.) Notre rédacteur a su aussi que Poutine est lié d’amitié avec le patriarche de toute la Russie, aussi bien l’ancien (Alexis II) que le nouveau (Cyrille). Il a su que Poutine fait des appels très croyants sur la télé en exhortant ses compatriotes à ne pas perdre leur religiosité, et surtout à ne pas détruire la Russie par l’avortement comme tant d’autres pays. Il a su qu’il attribue une prime de 9.200 Euro pour chaque 2ème enfant (et suivant) qui naît. Tout cela nous plaît énormément.
    Notre rédacteur a également pu visiter en audience privée trois patriarches orthodoxes pour savoir plus: les patriarches Filaret (Kiev), Ilja II (Tbilissi) et Mesrob II (Istanbul).
    Son opinion au sujet de la religiosité de Poutine est donc fondée, dans la mesure où c’est possible à un rédacteur déjà âgé de bientôt 78 ans. La même chose vaut pour son opinion négative sur l’Union Européenne, mais positive pour une Europe chrétienne à (re)bâtir.

    Revenons à cette prime de naissance initiée par Poutine. Voici quelques détails :
    Poutine a mis en place en 2006 un plan d’action publique destiné à soutenir les familles et à stimuler la natalité. La mesure-phare de ce programme est un « capital maternité » s’élevant à 9200 Euro (365.000 Roubles) attribué à chaque naissance à partir du 2ème enfant. Ceci se passe dans un pays où le salaire moyen est de 700 Euro environ. Par comparaison, en France les Allocations Familiales attribuent une prime de naissance de 923 Euro, donc un dixième de celle de Poutine. L’effort budgétaire obtenu par Poutine porte ses fruits. En effet, le nombre des naissances a dépassé celui des décès en 2013 pour la première fois depuis 1991. Le taux de fécondité est, quant à lui, passé de 1,17 enfants par femme en 1999 à 1,69 en 2012. Certains gouvernements locaux, sous l’impulsion de Poutine, y rajoutent encore. Ainsi la région d’Oulianovsk organise chaque année un « concours de bébés patriotes » : les enfants nés le jour de la fête nationale, le 12 juin, font gagner à leur famille une UAZ Patriot, voiture tout-terrain russe. Le 12 septembre est dès lors devenu dans cette région « le jour de conception », bien sûr 9 mois avant la fête nationale. On voit bien, nous sommes dans une logique pro-Vie. Que les croque-morts de l’Union Européenne écoutent !

    -  O.A.M.D.G.  -

    Chaque année, une semaine d'étude a lieu à Rougemont au Canada en 4 langues fin août suivie du congrès international début septembre (fête du travail au Canada), avec des pèlerinages facultatifs offerts. Repas, pèlerinages ( not. St Joseph, N-D du Cap et St Anne) et couchers gratuits pour tous nos invités des pays hors du Canada. 
    Autre période de formation en mai chaque année.
    Semaines d'études sur la démocratie économique
    Deux fois par année à Rougemont, basées sur le livre La démocratie économique         (ou Crédit Social) expliquée en dix leçons, par Alain Pilote.

    LES PROCHAINES SESSIONS D'ÉTUDE SUR LA DÉMOCRATIE ÉCONOMIQUE auront lieu:
    • du 21 avril au 2 mai 2015, suivi de notre semaine d’adoration du 3 au 10 mai 2015.
    •      soit au second qui se tiendra du 24 août au 4 septembre 2015; suivi de notre congrès annuel international, du 5 au 7 septembre 2015

    à Rougemont sera suivie par notre «Siège de Jéricho», semaine de prière devant le Saint Sacrement exposé.


    Initiative complotiste ?

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    L'initiative monnaie-pleine serait-elle complotiste ?

    Arguments pour répondre notamment à l'article du journal "Le Courrier..." en lien ci-dessous.

    M. Christian Gomez écrit :

    Je viens de poster ceci sous le titre:

    DEGRÉ ZÉRO

    Donc, cher Monsieur, hors du "Grand Soir", point de salut !
    Votre article sonne comme un message d'outre-tombe, d'un monde rempli de monstres, Lénine, Staline, Mao, Pol Pot ...., d'horreurs et de sang. Il sonne surtout incroyablement creux tant son indigence intellectuelle atteint des profondeurs abyssales. Je passerai sur les raccourcis de pensée qui fait de tous ceux qui ne pensent pas comme vous des complotistes anti-sémites de type pro-nazi. C'est trop bête et, surtout, ça pue trop le militant de base d'un marxisme léninisme archaïque. Je préfère relever toute l'étendue de votre ignorance que vous masquez sous un jargon marxisant que , d'ailleurs vous ne maitrisez même pas.
    En économie, je vous le dis tout net, Mr Felli, et avec tout le respect que je vous dois, vous êtes "une bille". Il n'y a pas besoin de faire appel au complot "judéo-maçonnique" pour avancer ces vérités simples que les plus grands économistes depuis Ricardo (Ricardo, Mr Felli, l'inspirateur de Marx!) jusqu'à des Minsky (Keynésien de gauche) ou Allais (Nobel 88, libéral mais non "laisser-fairiste") , en passant par Simons , Fisher, Friedman (mon Dieu, quelle horreur!!!), Tobin.... ont proclamé:
    1) Oui, dans un système bancaire à couverture fractionnaire, les banques créent de la monnaie par jeux d'écritures;
    2) oui, cette activité est dangereuse car elle engendre une instabilité chronique du système économique, le faisant passer sans cesse de l'euphorie à la récession, voire à la dépression...
    3)Oui, les profits liés à ce privilège sont injustifiables et devraient être récupérés par la collectivité, comme ils l'ont été dans le passé quand "battre monnaie"était encore un privilège régalien.
    C'est donc tout naturellement que les partisans de l'initiative populaire "Monnaie Pleine" invitent leurs compatriotes au débat car il est possible de changer cette situation sans faire , comme le souhaiterait Mr Felli, de la Suisse une deuxième "Corée du Nord"... Au contraire, il s'agirait pour les suisses, grâce à leur démocratie, de reprendre en main cet instrument essentiel de leur destin tout en montrant au monde une voie pour reconstruire un système financier solide, viable et juste.
    Mr Felli, je vous attends sur n'importe quelle estrade!
    Christian Gomez
    Texte ci-dessous de l'article mentionné.

    https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzV3pvTFY4QXA3MnR2ZjlNc2RHWDlJTlFrYmR3/view?usp=sharing

    Autres arguments:

    Analyse des réflexions de Monsieur Beitone sur la prétendue rumeur d'extrême droite à propos de la loi de 1973
    30 décembre 2011.

    par M. Étienne Chouard, professeur en Économie et gestion au Lycée Pagnol à Marseille,

    Lire le pdf en lien ci-dessous, plus lisible. Merci.

    https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTC1WMnRFRnJJMUN3VWJjS2ZJX1FWcm5IR200/view?usp=sharing

    Il se trouve que je défends vigoureusement —depuis 5 ans— une thèse importante, qu'on est en train de calomnier en la naturalisant d'extrême droite (on n'est pas plus aimable). Je vais donc tâcher, point par point, et de la façon la plus factuelle et incontestable possible, de répondre à ces objections calomnieuses.
    À L'ORIGINE DE LA CRITIQUE DE LA CRÉATION MONÉTAIRE PRIVÉE ?
    Il va falloir faire un travail de datation, mais pour ma part, j'ai l'impression de travailler sur ce sujet (avec André-Jacques Holbecq, Philippe Derudder, Maurice Allais et d'autres obscurs et courageux pionniers) bien avant que qui que ce soit de très visible médiatiquement en parle : les premiers échanges sur mon forum ("Reprendre le pouvoir sur notre monnaie") datent de l'été 2006. Les premiers écrits de Maurice Allais contre le pouvoir de création monétaire des banques privées datent de…1946, dans Économie et Intérêt (p 273 et s. par ex.). DE FAIT, la loi de 1973 ne fait que parachever une longue évolution, en accordant enfin le monopole de la création monétaire aux banques privées (par la confiscation totale à l'État de ce droit pour son propre usage).
    L'accusation (facile et sans preuve) d'être "loin d'être innocent" est-elle elle-même innocente ?
    Il est quand même choquant de voir sa propre pensée ainsi rangée, étiquetée, cataloguée avec les plus viles pensées qui soient, d'emblée, d'autorité. Cet article commence mal.
    Un livre écrit par un auteur devenu antisémite n'est pas automatiquement antisémite. En l'occurrence, le livre de Mullins n'est pas antisémite, pas du tout : c'est le travail d'une vie de recherche, autour d'un enjeu sociétal crucial, avec des preuves innombrables des faits allégués…
    Autre chose, donc, que l'article que je suis en train de commenter…
    Remarque importante : chacun peut constater que l'assimilation systématique de toutes les dénonciations des divers complots bancaires à une idéologie d'extrême droite a comme EFFET indiscutable D'INTERDIRE TOUTE DÉNONCIATION d'un quelconque complot bancaire, FONDÉE OU PAS. Certains esprits libres trouvent la manoeuvre un peu facile : la saloperie qu'est l'antisémitisme sert ainsi de bouclier formidable contre toutes les dénonciations, MÊMES FONDÉES.
    L'accusation systématique d'antisémitisme protège ainsi les banques les plus malhonnêtes. Ceci est UN FAIT.
    UNE RUMEUR ?
    • L'affirmation que le Président de la République Pompidou a été préalablement le Directeur de la banque Rothschild correspond à UN FAIT, parfaitement incontestable.
    Chacun peut se reporter à la définition du CONFLIT D'INTÉRÊTS pour vérifier si, en l'occurrence, il y a un risque ou pas pour l'intérêt général.
    • L'affirmation que ce Président (d'abord d'une grande banque privée, puis de la République) a signé en 1973, au nom du peuple français, une mesure qui consiste à obliger l'État à emprunter (principalement) aux banques privées l'agent dont il a besoin (quand il en manque) moyennant un INTÉRÊT RUINEUX, et surtout à un TAUX VARIABLE AU GRÉ DES HUMEURS DES MÊMES BANQUES (via des "agences" complices), cette affirmation est aussi UN FAIT, parfaitement incontestable.
    • L'affirmation que cette mesure est contraire à l'intérêt général (puisque tous les emprunts d'État sont devenus mécaniquement coûteux) ET favorable à l'intérêt des banques privées (qui perçoivent précisément ces intérêts, et dont fait partie, à plus d'un titre, la banque Rothschild elle-même) est encore UN FAIT, parfaitement incontestable.
    • La constatation que la dette publique française s'est progressivement envolée depuis cette année 1973, et que la charge de cette dette s'est envolée dans le même mouvement, cette constatation est encore UN FAIT, parfaitement incontestable.
    Controverse "loi de 1973" : Chouard vs Beitone (29 déc. 2011) 1/4 http://etienne.chouard.free.fr/forum/viewtopic.php?id=81
    Le fait que la loi de 1973 ait été abrogée en 1994 ne conduit apparemment pas ces innombrables blogueurs et autres auteurs de tracts à se poser la moindre question.
    De plus, bien avant cette loi, les banques commerciales assuraient déjà la création d’une bonne partie de la monnaie.
    Par ailleurs, la loi de 1973 ne fait que confirmer la possibilité ancienne pour le Trésor d’obtenir des avances auprès de la Banque de France dans le cadre d’une convention approuvée par le parlement.
    Bref, une analyse économique et historique même superficielle conduit à rejeter l’explication incantatoire par “ la loi de 1973 ”.
    Comme souvent, les rumeurs, en même temps qu’elles proposent une explication simpliste, occultent les vrais problèmes.
    • L'observation 1) que l'article 104 du traité de Maastricht a remplacé (quasiment mot pour mot) l'article 25 de cette loi de 1973 ; 2) que cet article 104 n'a fait l'objet de rigoureusement aucun débat pendant la campagne référendaire de 1992 (de la même façon que l'article 25 n'avait, lui non plus, fait l'objet d'aucun débat en 1972) ; 3) que ce remplacement d'un article de loi (qu'une autre loi pouvait encore défaire) par un article de traité entre plusieurs pays, a comme EFFET de rendre INACCESSIBLE aux électeurs français ce sabordage monétaire, cette triple observation est encore un FAIT, parfaitement incontestable.
    Je ne parle pas encore de la révolte qui peut légitimement envahir les citoyens qui découvrent trop tard cette honteuse trahison des prétendues élites ; je ne parle pour l'instant QUE DE FAITS
    ----------------------------
    • Par contre, l'affirmation que les constatations de fait ci-dessus sont UNE RUMEUR D'EXTRÊME DROITE, cette affirmation n'est PAS UN FAIT : c'est une calomnie, une rumeur malveillante, précisément.
    Nous sommes donc à fronts renversés : les affabulateurs sont ceux qui prétendent les dénoncer. Je ne suis évidemment pas d'extrême droite et je ne permets pas qu'on le suggère ainsi sans réagir : cet article ressemble plutôt à un commérage calomnieux.
    QUI OUBLIE DE "SE POSER DES QUESTIONS" ?
    L'abrogation de la loi de 1973 a eu lieu pour permettre son remplacement immédiat par l'article 104 de Maastricht, qui dit exactement la même chose. Tout le monde sait cela, y compris "les blogueurs", mais apparemment pas notre spécialiste.
    Effectivement, il y a longtemps que les banques privées se sont arrogé le droit de créer la monnaie. Tout le monde le sait, et tout le monde (sauf notre donneur de leçon) sait aussi que la loi de 1973 a amplifié le phénomène, qu'elle l'a même porté à son comble — crime de haute trahison contre l'intérêt général — puisque, désormais, l'État, qui pouvait encore jusque-là créer gratuitement la monnaie dont il avait besoin, ne peut plus le faire : à partir de 1973, tout le monde doit passer par la case (payante) "banque privée" pour avoir accès à la monnaie, même l'État ! Et Monsieur le dénicheur de rumeurs antisémites voudrait nous faire croire qu'il ne s'est quasiment rien passé d'important en 1973 ?
    C'est amusant.
    Ah oui ? La loi de 1973 ne ferait que confirmer une possibilité ancienne ?
    Notre défenseur de la loi de 1973 ne voit pas ce qui a changé en 1973 ?
    On va donc le rappeler en deux mots :
    - AVANT la loi de 1973, les (éventuels) intérêts (dont le TAUX était fixés par l'État lui-même) étaient versés à la Banque centrale, c'est-à-dire restaient dans les comptes du Trésor public, DONC SANS CHARGE D'INTÉRÊTS (si je verse un intérêt dans ma propre caisse, il ne me coûte rien : un enfant comprend ça, mais pas notre fin limier).
    - APRÈS la loi de 1973, les intérêts versés (dont les TAUX sont fixés par les marchés financiers dont les principaux acteurs sont… des banques privées ou des aigrefins à leur service) SORTENT des comptes publics (pour aboutir dans des poches très privées, souvent bancaires) ce qui constitue désormais UNE CHARGE publique (aujourd'hui, elle est d'environ 50 milliards par an, une paille).
    => Tout le monde, à gauche comme à droite, (tout le monde sauf notre grand chasseur de légendes urbaines) est en train de comprendre que CE FARDEAU DE LA SOUMISSION AUX MARCHÉS FINANCIERS ÉTAIT — dès le départ ! — incontestablement NON NÉCESSAIRE (et donc quelque peu étrange, de la part de "grands serviteurs" de l'État).
    Quand notre dénonciateur de fascistes nous avoue que son analyse économique et historique fut superficielle (sic), on comprend mieux ;-)
    Ah ! Soyez concentrés : on va nous expliquer les vrais problèmes, mais pas de façon simpliste, hein ?
    Au fait, ramener toute critique des intrigues bancaires à une rumeur antisémite, ce n'est pas simpliste, ça non. Et ça ne servirait pas, précisément, à occulter les vrais problèmes, par hasard ?
    Il est amusant, cet article, finalement.

    Citons en rapidement quelques uns :
    - La crise des dettes souveraines dans la zone euro, n’est pas d’abord liée au niveau d’endettement (le Japon, les États-Unis, la Grande Bretagne sont plus endettés),
    il s’agit d’une crise de la gouvernance au sein de la zone euro.
    Quand bien même la “loi de 1973″ expliquerait la montée de la dette publique en France (ce qui n’est pas le cas), elle n’explique pas la crise des dettes souveraines dans l’Union Européenne à laquelle il faut répondre ici et maintenant.
    - La France est bien passée d’un financement de la dette publique très largement administré dans le cadre du “circuit du Trésor”, à un financement par le marché.
    On peut préférer une moindre dépendance à l’égard des marchés financiers,
    mais sans oublier que le financement administré n’est pas sans inconvénients.
    Et sans oublier non plus que le passage au financement de marché était lié à la volonté d’obtenir des crédits à moindre coûts sur un marché plus profond et plus liquide.
    - La crise actuelle des dettes souveraines en Europe est d’abord une crise liée à l’ampleur des mouvements spéculatifs
    et la régulation insuffisante du système financier. C’est de cela qu’il faudrait discuter, et non de la loi de 1973.
    - L’augmentation brutale du taux d’endettement des Etats en Europe est d’abord la conséquence de la crise économique mondiale qui s’est déclenchée en 2007 à partir de l’éclatement de la bulle immobilière aux Etats-Unis.
    Ce qui est en jeu, c’est d’abord la relance de la croissance et l’abandon des politiques de rigueur qui ne peuvent qu’accroître la gravité de la situation économique.
    Parfaitement : la crise des dettes souveraines est DONC une construction de toutes pièces par d'infâmes spéculateurs qui choisissent leurs proies et créent les taux, les charges et les risques de défaut public sur des critères qui n'ont rien à voir avec l'intérêt général.
    L'expert appelle ça une "crise" (qui n'est pas une crise pour tout le monde, à l'évidence) ; moi, j'appelle ça un coup d'État.
    Si : la loi de 1973 fait bien partie de l'explication. On va résumer :
    La tenaille de la dette est composée de deux pinces :
    - première pince (loi 1973, puis art. 104 Maastricht 1992) : d'abord, priver l'État du pouvoir de créer lui-même la monnaie dont il pourrait avoir besoin.
    - deuxième pince (40 ans de budgets votés toujours en déficit) : ensuite, endetter l'État (lourdement mais progressivement, insensible-ment) pour qu'il ait un jour absolument besoin des marchés financiers (à cause de la première tenaille : tout se tient, le piège est intelligent).
    => Si aujourd'hui, l'État pouvait emprunter auprès de sa banque centrale, donc sans charge d'intérêts, il n'aurait plus à emprunter aux marchés financiers et il se ficherait bien de leur AAA d'escrocs.
    Est-ce que c'est clair ?
    Ou bien est-ce que c'est encore une rumeur d'extrême droite antisémite ?
    Cette phrase aux consonances scientifiques trompeuses est la manière technocratique pour décrire une trahison ; un exemple académique de novlangue.
    Mais c'est un virtuose de l'euphémisme : "On peut préférer une moindre dépendance"… Non : ON EXIGE UNE TOTALE INDÉPENDANCE de la puissance publique par rapport aux marchés financiers.
    Ah oui ? Lequels ? Au regard du tsunami monétaire actuel, notre chasseur de rumeurs antisémites va avoir du mal à équilibrer la balance.
    Mais je mets même mon collègue au DÉFI de donner un argument, UN SEUL, qui justifie un tant soit peu la forfaiture de 1973. UN SEUL…
    À moindre coût ?! Mais c'est une blague ?!? On se moque de qui, là ?
    - En 1972, l'État a la possibilité d'emprunter sans charge d'intérêt.
    - En 1973, une loi lui impose désormais une charge d'intérêt sur tous ses emprunts. Bilan actuel : 50 G€/an… Et ça grimpe !
    - Et la raison invoquée (sans rire), c'est pour avoir des crédits "à moindre coûts" (sic) ???
    Comment ça "à moindre coût" ???
    Cerise sur le gâteau : "Sur un marché plus profond et plus liquide"…
    — Diafoirus, sors de ce corps ! :-)
    Non, pas "d'abord" : ces mouvements spéculatifs S'APPUIENT SUR l'impuissance PRÉALABLE des États à créer la monnaie dont ils ont besoin, ils s'appuient sur la cruelle DÉPENDANCE des États : celle qui a été instituée quand ? En 1973. Et qui a été confirmée (et hissée au niveau constitutionnel ET international, de façon à la rendre inaccessible aux peuples) en quelle année ? En 1992. => Donc, BIEN AVANT.
    La loi de 1973 est la première d'une longue série de décisions qui ont dérégulé la finance : un État endetté ET privé de la création monétaire ne peut plus qu'obéir à ceux dont il a désormais besoin de l'argent.
    Ce n'est pas une "crise" : c'est un coup d'État, la prise de contrôle de notre force publique par des banques privées.
    Absolument pas. Cette analyse n'est pas clairvoyante : si la variation des taux tenait tous à la crise globale de 2007, les taux varieraient de façon comparable. Or, il n'en est rien : les taux varient du simple au décuple entre des États endettés dans les mêmes proportions. Non : la variation des taux est bien plutôt une instrumentalisation criminelle des taux par des malfaiteurs en bande organisée (dont les "agences") qui se goinfrent (parce qu'il faut garder à l'esprit que des taux très élevés —plus de 20% pour la Grèce !—, ça ne donne pas seulement une dette qui explose et des difficultés publiques à emprunter : ça donne aussi des revenus immenses —autant qu'indus— pour les créanciers, très privés, faut-il le rappeler).
    La croissance comme remède à un coup d'État… Hum.

    Sur ce dossier aussi, la dénonciation de la loi de 1973 n’est d’aucun secours.
    - En invoquant la loi de 1973, on passe sous silence l’essentiel : le traité de Maastricht et la définition qu’il donne des missions de la Banque Centrale Européenne. De nombreux économistes (P. Artus, J. Pisani-Ferry, H. Rey) ont souligné que pour mettre un coup d’arrêt à la crise de la dette, il faudrait que la BCE annonce un taux d’intérêt plafond sur les dettes publiques et son intention de racheter sans limitation les titres de dette si ce taux est dépassé sur le marché. J.C. Trichet, puis M. Draghi se sont refusés jusqu’ici à une telle politique en invoquant la lettre des Traités et le statut de la BCE.
    C’est cela qu’il faudrait changer et non la “loi de 1973″ abrogée depuis longtemps.
    - Enfin, il faut rappeler que si l’on souhaite accroître la part relative des consommations collectives dans le revenu national, il faut nécessairement réduire la part relative des consommations privées.
    Pour que cela se produise de façon compatible avec la justice sociale, il faut une réforme fiscale d’ampleur, donnant au système de prélèvement fiscal et social un caractère véritablement progressif.
    Croire que l’on peut répondre aux besoins sociaux en finançant par la création monétaire la construction d’école et d’hôpitaux ou la recherche scientifique c’est entretenir une illusion dangereuse.
    Certes, la science économique nous enseigne que la création de monnaie joue un rôle essentiel pour assurer la croissance en finançant par anticipation la création de richesses futures, mais cela n’est pas contradictoire avec la nécessaire prise en compte des contraintes de financement liées, notamment à la répartition plus ou moins équitable des revenus.
    Ce serait l’honneur de la gauche, surtout de celle qui veut changer radicalement l’ordre du monde existant, de poser les vrais problèmes plutôt que d’alimenter la rumeur fantaisiste sur la “loi de 1973″.
    Alain Beitone
    Dernier ouvrage paru : Dictionnaire de sciences économiques (Armand Colin), 2010.
    Point de vue | LEMONDE.FR | 29.12.11 | 10h15
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/12/29/la-loi-pompidou-giscard-rothschild-votee-en-1973-empecherait-l-etat-de-battre-monnaie_1623299_3232.html
    Taratata : le coût de la loi de 1973 est actuellement, pour la France, de 50 milliards d'euros par an (charge d'intérêts non nécessaires d'une dette elle-même non nécessaire car elle n'a servi, depuis quarante ans, qu'à payer les intérêts de cette même dette…) : chacun peut imaginer le rendement, en termes de "croissance", de ces 50 milliards s'ils étaient versés, chaque année, dans d'innombrables poches de pauvres (qui dépensent presque tout ce qu'ils gagnent, ce qui fait tourner l'économie), plutôt que dans de peu nombreuses poches d'ultra-riches (qui ne dépensent presque rien de ce qu'ils gagnent —tous leurs besoins étant satisfaits depuis longtemps—, et qui jouent ces gains dans leur casino de riches — les bourses— pour devenir chaque jour plus riches encore, ce qui revient à jeter cet argent public dans un puits d'où on ne le verra jamais ressortir, sauf contre intérêt — non merci).
    Hé !
    QUI "passe sous silence" l'article 104 du traité de Maastricht ?
    Pas nous, sûrement pas "les blogueurs"…
    L'auteur, par contre, oui. Ce qui rend insolite ce changement de cap.
    Et bien voilà ! Bienvenue au club ! :-) Voilà notre sycophante antifasciste qui réclame, devinez quoi : la possibilité pour les États d'emprunter à faible taux à leur banque centrale…
    C'était bien la peine de faire toute cette histoire !
    Dites, vous ne seriez pas en train de devenir un petit peu nazi, par hasard ? Parce que ça sent la dénonciation d'un complot, ça : la BCE qui refuse, Trichet qui refuse, Draghi qui refuse… Vous ne seriez pas un peu… disons… antisémite ? Attention hein ? Ça vient vite, "antisémite", ces temps-ci… Et les "antifas" rôdent, ils vous surveillent… Attention, donc: je vous sens sur une mauvaise pente, là : vous êtes en train de comprendre, et ça me fait un peu peur pour vous :-)
    Là, on se demande vraiment si notre anti-nazi a compris le sujet ou pas.
    Mais, Danube-de-la-pensée-économique, la loi de 1973 existe toujours (même abrogée) sous une autre forme : le traité de Lisbonne, article 123 : "Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l'Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite." Et c'est précisément cet article 123 qui constitue LE blocage que vous dénoncez enfin à votre tour…
    Passage obscur. Il y a un rapport avec le sujet ?
    Voilà : yaka, fokon… et surtout : sans toucher aux institutions, n'est-ce pas, car le problème n'est pas là. Bien sûr, bien sûr…
    Voilà donc UNE ILLUSION DANGEREUSE : des démagogues (perfides et mal intentionnés, attention) pourraient laisser croire que l'État pourrait emprunter sans charge d'intérêt pour des investissements publics (comme avant 1973, ou comme pendant les douze ans de la reconstruction, entre 1945 et 1958 où notre pays totalement dévasté et ruiné a pu, sans emprunter aux marchés financiers, assumer sans problème des besoins financiers colossaux !).
    => Logiquement, puisque ça coûte moins cher à l'État (sans coûter plus cher à personne !), ça devrait être mieux pour l'intérêt général…
    MAIS NON : C'EST UNE ILLUSION DANGEREUSE. Mais pourquoi ?
    Y A PAS DE POURQUOI : c'est une illusion dangereuse, on vous dit : TRÈS dangereuse même. Vous avez peur, hein ? Allez, circulez maintenant, y'a rien à voir par là, on vous dit…
    Voilà, c'est ça : la "science""économique"…
    Ah ? Un rôle essentiel ? Mais c'est intéressant, ça… :-)
    Bla bla bla.. "nécessaire"… bla bla bla "contraintes de financement"… bla
    Bla
    Voilà, c'est ça : "l'honneur de la gauche"… "vrais problèmes"… "rumeur fantaisiste"……..
    Pfff.
    L'honneur de la gauche serait de rendre au peuple sa souveraineté, à commencer par sa souveraineté monétaire, mais pas seulement.
    Par M.
    Étienne Chouard.
    Source:
    http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/index.php?2011/12/30/178-analyse-des-reflexions-de-monsieur-beitone-sur-la-pretendue-rumeur-d-extreme-droite-a-propos-de-la-loi-de-1973

    Depuis début juin 2009, un nouveau site "dette et monnaie" se propose de résumer tout ce qui a trait à la monnaie et à la dette publique
    C'est sur http://monnaie.wikispaces.com , avec renvoi automatique par http://www.detteetmonnaie.fr
    Nous n'oublions pas pour autant le site "faux-monnayeurs"
    Bonjour,

    Cette grille d'analyse des arguments rhétoriques est assez utile pour répondre à ce genre d'attaque.
    http://www.informationisbeautiful.net/visualizations/rhetological-fallacies/arguments-rhetologiques-fallacieux/

    C'est très bon signe, cela signifie que les arguments actuels sont difficiles à contrer autrement que par l'émotionnel...

    Sinon, l'antisémitiste étant déjà tombé, il manque encore le terroriste, le complotiste, dont la sous-espèce du septembriste est assez recherchée, l'ovniste, l'apollotiste, et le révisioniste, je crois avoir fait l'inventaire du petit entomologiste le plus habituel :-)

    Toutefois je me demande s'il ne vient pas d'identifier une nouvelle espèce, le banquiste, ou bien l'antibanquiste ?

    On as de la chance, Christoph, le cycliste ne fait pas partie de la liste des nuisibles actuellement ;-)

    Cordialement,
    Bernard Dugas


    Triste article du Courrier par
    ROMAIN
    FELLI*

    Le plein de confusions

    JEUDI 19 MARS 2015
    UN MONDE À GAGNER
    S’attaquer à Mammon, dénoncer le pouvoir des banques et de l’argent! Proposer au contraire de reconstruire l’économie sur des bases «saines», débarrassées de la spéculation, du parasitisme et de la corruption. Avoir enfin une monnaie forte qui ne soit pas manipulable par d’obscurs financiers! N’y a-t-il pas là la base d’un programme de gauche? Les syndicats et les mouvements progressistes ne devraient-ils pas embrasser de tels mots d’ordre?
    Non.
    Nous entendons simplement là la rhétorique classique de la théorie du complot (généralement antisémite) qui se pavane sous des oripeaux anticapitalistes.
    L’exploitation capitaliste produit un monde fantastique. La domination de classe, qui est si évidente pour ceux qui la subissent sous la forme de l’esclavage ou du servage, apparaît souvent diluée dans la société capitaliste. Le contremaître, le chef, le directeur des RH semblent être tout autant des victimes du système que la personne au bas de l’échelle. Ce caractère abstrait de la domination s’incarne alors dans des entités fétichisées, comme l’argent. C’est l’argent, semble-t-il, qui semble décider des délocalisations. Ce sont les «marchés», semble-il, qui exigent des baisses de salaire. Ce sont les banques, semble-t-il, qui refusent de prêter et condamnent le petit commerce.
    Ainsi la domination de la classe capitaliste s’efface. La question de la propriété des moyens de production (de l’industrie, du sol, etc.) disparaît au profit de la dénonciation du pouvoir obscur de l’argent. Dans le fond, toute la crise pourrait s’expliquer par les manipulations d’une caste de «banquiers cosmopolites» qui œuvreraient dans leur propre intérêt au détriment du «peuple». Ces explications par le complot, surtout celui attribué aux juifs, ont malheureusement jonché l’histoire de l’opposition au capitalisme, dès les origines du mouvement ouvrier: il suffit de se référer aux ignobles écrits antisémites de Proudhon. Elles permettent de laisser tomber la lutte des classes: travailleurs et patrons seraient à part égales victimes du pouvoir des banquiers parasites.
    Evidemment, les banques jouent un rôle-clé dans le développement du capitalisme, et certaines de leurs manipulations ont joué un grand rôle dans la crise de 2008. Mais il n’y a rien d’obscur là-dedans: ces actions découlent de l’incitation à la recherche du profit maximal, qui n’est pas un trait de caractère de certaines personnes, mais une nécessité systémique pour pouvoir survivre en tant qu’entreprise capitaliste. Surtout, la financialisation de l’économie ne découle nullement du pouvoir obscur des banques de créer de l’argent (même si l’affaiblissement de certaines régulations bancaires ont accéléré les choses) mais de l’accroissement massif de l’exploitation du travail depuis le début des années 1980 et de l’accaparement de la valeur créée par le capital. L’activité de la sphère financière et bancaire ne fait que traduire et amplifier les conséquences du néolibéralisme pour les travailleuses et travailleurs.
    Alors, bien sûr, des réformes sont nécessaires, dans une direction socialiste. Dans l’immédiat, il faut accroitre les régulations bancaires. Et la gauche aurait dû se saisir du «sauvetage» d’UBS pour demander qu’on la garde dans le domaine public. La socialisation du crédit, et son organisation démocratique et régionale (surtout pas aux mains de la BNS!), pour des projets économiques de transformation sociale et écologique peuvent constituer une demande stratégique. Mais cela n’a pas grand-chose à voir avec les dénonciations des milieux complotistes du pouvoir des banques.


    * ROMAIN FELLI,  le Courrier, Genève. Chercheur et militant.
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    Portrait de m346

    Le point de Godwin

    M. Felli , vous venez d'atteindre le point de Godwin. Félicitations !
    La "reductio ad hitlerum" de toute forme de réflexion qui dépasse le cadre strict d'un académicien subventionné est la rhétorique commune et indigente d'un esprit habité par le sentiment reptilien de la sécurité issu de la récitation du catéchisme sociocapitalocaviar. Nul doute qu'avec cette logorrhée tout dialogue est pourri d'avance et que vous ne serez jamais en porte-à-faux avec l'esprit mondain.
    Nul doute non plus, M. Felli, que vous continuerez à faire ce que font bien des chercheurs frétillants dans leur petit poste universitaire : brasser de l'air avec des mots convenus sans déranger qui que ce soit, pendant que le reste de l'Europe crève sous le poids de l'austérité. Avec cette attitude, le monde peut se décomposer tranquillement sous le poids de l'argent-dette, tandis que vous continuez à siroter, béatement et les yeux bien fermés, sur votre île de certitudes convenues, les cocktails sirupeux de la bien-pensance tiédasse, adombrés par nos impôts.
    C'est pourquoi je n'argumenterai pas contre tant de mauvaise foi, laissant aux lecteurs du Courrier le soin de lire d'autres articles publiés dans ce même journal, dont l'éditorial du 1er février de Philippe Bach, qui saluait l'ouverture d'un dialogue que vous tentez de refermer. Comme si l'absence de dialogue pouvait faire avancer la prise de conscience. De la part d'un soi-disant libre-penseur, bravo, magnifique autogoal.
    Eh bien M. Felli, restez dans votre petit bureau bien chauffé si vous ne voulez pas discuter, si vos arguments marginalisants - qui relèvent de la manipulation mentale, réduisant les gens qui ne pensent pas comme vous à des CONSPIRATIONNISTES ANTISÉMITES - se veulent incapables de contribuer au débat national. Je signale en passant que vous êtes ici à la limite du pénal, il ne manque plus que vous citiez des noms.
    Le plein de confusion, c'est justement votre gloubi-boulga indigeste, votre rideau de fumée, vos accusations sans fondements.
    Honte à vous.


    Invitation. Film sur Saint Maurice, alias St Moïse, Moïsha...

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    Dates de projections cinéma "Le sang et la sève"




    Ce long métrage raconte l’histoire exceptionnelle de l’Abbaye de Saint-Maurice d’Agaune (Suisse), le plus ancien monastère d’Occident, qui n’a jamais subi d’interruption et qui fêtera en 2015 les 1500 ans de sa fondation.

    Par des témoignages de chanoines de l’Abbaye, nous découvrons leur vocation, la vie religieuse, la Règle de saint Augustin. Leur vie actuelle est mise en perspective avec la longue histoire qui a façonné leur présent. 


    Yverdon - Cinéma Bel-Air


    lundi 23 mars 2015, 18h15, en présence du réalisateur


    Chaux-de-Fonds - Cinéma Scala


    lundi 23 mars 2015, 20h15


    Bienne - Cinéma Rex


    lundi 23 mars 2015, 20h15

    Les Breuleux - Cinéma Lux


    lundi 23 mars 2015, 20h00

    dimanche 29 mars 2015, 16h00


    Lausanne - Cinéma Bellevaux


    mardi 24 mars 2015, 19h00

    lundi 30 mars 2015, 19h00


    Vevey - Cinéma Rex


    mardi 24 mars 2015, 18h45


    Montreux - Cinéma Hollywood


    mercredi 25 mars 2015, 18h45


    Orbe - Cinéma Urba


    jeudi 26 mars 2015, 19h00


    Châtel-St-Denis - Cinéma Sirius


    dimanche 29 mars 2015, 14h30

    lundi 06 avril 2015, 17h30


    Echallens - Cinéma d'Echallens

    dimanche 29 mars 2015, 14h30


    Genève - Petit-Lancy - Ciné-Saussure


    mardi 31 mars 2015, 19h30, en présence du réalisateur


    Château d'Oex - Cinéma Eden


    lundi 06 avril 2015, 18h00, en présence du réalisateur


    Delémont - Cinéma La Grange


    samedi 25 avril 2015, 16h30

    dimanche 26 avril 2015, 17h00


    Tramelan - Cinéma Le Cinématographe


    mardi 28 avril 2015, 20h00


    Potager productif sur 10 m2

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    Il fait un potager bio hyper-productif sur 10 mètres carrés

    Il fait un potager bio hyper-productif sur 10 mètres carrés
    Il fait un potager bio hyper-productif sur 10 mètres carrés
    Réaliser un potager sur une petite parcelle de terrain devant sa maison c’est facile… Mais arriver à en retirer un rendement intéressant au point de devenir un modèle inspirant en la matière, c’est carrément remarquable!


    Luke Keegan, photographe, s’est fait repérer par les médias alternatifs pour son petit potager hors-norme. Il a été inspiré par ce couple de canadiens qui avaient aménagé un potager devant leur résidence mais que les autorités voulaient détruire. Après une controverse qui aura pris des proportions planétaires, les potagers urbains devant les résidences furent finalement autorisés par les élus de la Ville de Drummondville (au Québec)

    Interpellé par ce fait divers, Luke a donc décidé d’organiser son opération “Fuck the lawn” (« J’emmerde la pelouse ») et de montrer comment remplacer facilement une pelouse vide en un luxuriant potager.
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    Propriétaire d’un petit pavillon dans la banlieue d’Oakland, dans la baie de San Francisco, et lassé de tondre une pelouse inutile, il s’est lancé dans la culture de fruits et de légumes en permaculture à la vue de tous. La permaculture permet de concevoir cultures, lieux de vie et systèmes agricoles humains en utilisant des principes d’écologie, d’agronomie, de biomimétisme et de paysagisme pour reproduire la diversité, la stabilité et la résilience des écosystèmes naturels. En 2 mois, il a complètement transformé son jardinet d’une dizaine de m² en un fructueux potager qui a étonné tout le quartier. Ce qui lui a permis, par la même occasion, de créer des liens et du partage avec ses voisins.
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    Et pourtant, quand Luke a commencé à transformer son jardin, il avait très peu d’expérience. Il a dû faire de nombreuses recherches, consulter la pépinière locale et des amis qui avaient déjà expérimenté les cultures durables. Il a pris trois week-ends pour aménager la structure de base : mise en place de caisses en bois, remplissage avec du compost donné gratuitement par la ville puis installation du système d’irrigation artisanal (partie la plus complexe à mettre en place).Des copeaux de bois et des sciures ont complété le manque de pelouse. Et, finalement, il a planté ses fameuses graines. La roquette a poussé en premier, suivie des épinards… Puis des récoltes très variées vont suivre : radis, betteraves, carottes, haricots, oignons, tomates, etc.
    «Je ne peux pas vous dire combien de personnes, dans le quartier, j’ai rencontré tout en travaillant dans ma cour», a souligné Keegan, « certains arrêtent leur voiture et en descendent pour me parler et m’offrir des graines. J’aime les revoir ensuite avec un bon paquet de produits frais. C’est idéal pour briser la glace !». Après plus de deux ans, ses rendements sont parfois si prolifiques qu’il les offre aux passants en installant un panneau « légumes gratuits ». De quoi ravir de nombreux voisins !
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    Avec un peu de créativité, de bonne volonté et d’huile de coude, Luke Keegan, parfait citoyen lambda, va réussir à créer un jardin productif riche en surprises. Il démontre qu’il est possible à la fois de remettre de la vie dans son jardin mais surtout de produire une nourriture saine et bon marché qui permet de cuisiner des repas frais et bio ! Et, si vous n’avez pas la chance d’avoir un petit jardin bien à vous, sachez qu’il existe des jardins partagés dans la plupart des villes !
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    Sources : bioalaune.comlabioguia.com / journalexpress.ca / permaculture.fr

    https://mrmondialisation.org/il-fait-un-potager-bio-hyper-productif-sur-10-metres-carres/

    1 commentaire


    Non à l'eugénisme sur les embryons

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    Communiqué du comité national « NON au DPI » sur l‘orientation de la conférence de presse du Conseil fédéral


    Le Conseiller fédéral Alain Berset a présenté ce matin la position du Conseil fédéral concernant la « modification de l’article constitutionnel relative à la procréation médicalement assistée et au génie génétique dans le domaine humain ». Contre l’avis du Conseil fédéral, le comité interpartis « NON au DPI » rejette l’amendement constitutionnel. La modification soi-disante inoffensive crée la condition nécessaire pour le diagnostic préimplantatoire et ouvre ainsi les vannes à la sélection ciblée des êtres humains. Le comité interpartis composé de représentants du PBD, PDC, PEV, PS et UDC a lancé, sous la direction du PEV (Parti Evangélique) la campagne de votation contre l’amendement constitutionnel.
    Parce que le Conseil fédéral et le Parlement veulent permettre le diagnostic préimplantatoire (DPI), le peuple et les cantons voteront le 14 juin sur l’amendement constitutionnel qui devrait créer la condition nécessaire pour le DPI. Les conditions cadres pour le DPI sont réglées dans la loi fédérale sur la procréation médicalement assistée (LPMA). Celle-ci fut déjà approuvée par le Parlement en décembre 2014 et entre automatiquement en vigueur lorsque la nouvelle disposition constitutionnelle est acceptée et que le référendum contre cette loi n’est pas demandé.Le Conseil fédéral, dans son projet de révision de la loi sur la procréation médicalement assistée (LPMA), ne souhaitait permettre l’analyse du patrimoine génétique de gamètes ou d’embryons ainsi que leur sélection au travers du DPI que lorsqu’une maladie héréditaire grave ne pourrait pas être évitée autrement. Le Parlement a cependant massivement élargie les possibilités du DPI : Pas juste les couples ayant une prédisposition génétique, mais tous les couples ayant recours à la fécondation artificielle doivent avoir accès au DPI. Du reste, les examens d'anomalies chromosomiques doivent également être autorisés. Il serait ainsi possible d’éliminer des embryons porteurs de la Trisomie 21 avant l’implantation dans le sein maternel.

    Quiconque dit NON à l’amendement constitutionnel empêche la sélection ciblée des êtres humains
    Le comité national « NON au DPI » ne peut pas comprendre l’argumentation du Conseil fédéral de séparer le débat sur l’article constitutionnel de celui sur la loi sur la procréation médicalement assistée. Car quiconque vote Non à l’amendement constitutionnel le 14 juin, dit aussi non à la loi déjà adoptée !
    L’amendement constitutionnel sur le DPI permet non seulement une sélection ciblée des êtres humains tout en repor-tant ainsi la décision de savoir quelle vie est digne d’être vécue sur un laboratoire. Il ouvre aussi grand les portes pour toute méthode imaginable de procréation médicalement assistée (par ex. bébés sauveurs, don d’embryons, etc.). Afin d’empêcher ceci, le comité interpartis composé de représentantes et représentants du PBD, PDC, PEV, PS et UDC dit de manière résolue NON à l’amendement constitutionnel prévu.
    Lors de sa conférence de presse le 31 mars à 13h15 le comité national « NON au DPI » donnera des informations dé-taillées sur les arguments ainsi que sur la campagne électorale contre l’amendement constitutionnel.
    Berne, le 23 mars 2015/dm/jb/cm

    Fichiers :
    PID_MM_MK-Bundesrat_F.pdf [231 K]

    Société suisse de bioéthique


    Déclaration de principes de la Société Suisse de Bioéthique en 4 langues.
    La Société suisse de bioéthique, section romande
    1. L'être humain, avec son individualité et toutes ses potentialités, est présent dès le premier instant de la vie embryonnaire (ovule fécondé, accidentellement son équivalent uni- ou pluricellulaire). Il s'agit d'une évidence pour l'homme de science contemporain. 2. L'être humain se distingue des autres êtres vivants par le fait qu'il est corps et esprit. À ce titre, chaque être humain est une personne unique pleine de dignité et de liberté, qu'on ne peut réduire à un animal ou un objet matériels. 3. L'embryon humain possède la dignité et les droits fondamentaux reconnus à l'être humain. On ne peut porter atteinte à son intégrité ni le détruire, que ce soit intentionnellement ou par négligence. Construire pour l'embryon un statut artificiel, au gré de nos désirs, d'une idéologie, au gré des besoins de la science ou de ceux de la société, constitue un détournement irrecevable de la raison. 4. Toute destruction ou atteinte à l'intégrité d'un être humain sous le prétexte de son âge, de son sexe, de sa race, religion, maladie ou infirmité, est à rejeter et prohiber. 5. La science et la technique ne sauraient s'engager dans une recherche qui ferait fi de la dignité et des droits fondamentaux d'un être humain. Une prouesse de la médecine, si prometteuse qu'elle puisse paraître, n'est pas, en tant que telle, licite. L'admettre reviendrait à consacrer le droit du plus fort. 6. La législation en ces matières ne peut se satisfaire de faits accomplis ou de perspectives séduisantes. Elle doit prendre en considération aussi des normes éthiques, compatibles avec les exigences de l'être humain. 7. Le mariage et la famille sont le cadre naturel de la transmission et du développement de la vie humaine. Ces institutions donnent à l'enfant protection, sécurité et la formation qui lui sont indispensables. Garantir leur valeur demeure la tâche fondamentale de la société. 8. Finalement, ces principes ne ressortissent pas à telle croyance, telle morale, ou telle éthique particulières; ils s'appuient avant tout sur un bon usage de la raison.
    Grundsatzerklärung
    2. 1. Naturwissenschaftlich steht heute fest, dass der menschliche Embryo, mit allen seinen Anlagen, in allen seinen Entwicklungsstadien, ein menschliches Individuum ist. Dies gilt insbesondere sowohl für die befruchtete Eizelle als auch fr jeden ein- oder mehrzelligen Embryo. 2. Als leibgeistiges Wesen unterscheidet sich der Mensch von allen andern Lebewesen. Jeder Mensch ist einmalig und einzigartig, eine Person mit Würde und Freiheit. Er darf nicht auf die Stufe anderer Lebewesen oder materieller Objekte reduziert werden. 3. Der menschliche Embryo hat die Würde und die Grundrechte, die allen Menschen zustehen. Man darf ihn daher weder fahrlässig noch absichtlich schädigen oder vernichten. Die Konstruktion eines fiktiven Status für den Embryo nach Wunsch- und Zweckdenken, nach irgend-einer Ideologie, nach vermeintlichen Bedürfnissen von Wissenschaft und Gesellschaft, ist eine folgenschwere Verkehrung der Vernunft. 4. Jede Tötung oder Misshandlung eines Menschen unter Vorwand von Alter, Geschlecht, Rasse, Religion, Weltanschauung, Krankheit oder Gebrechen muss zurückgewiesen und verboten werden. 5. Wissenschaft und Technik dürfen sich nicht in Forschung einlassen, die Würde und Grundrechte des Menschen missachtet. Spektakulre medizinische Leistungen, so verlockend sie scheinen mögen, sind nicht schon als solche gerechtfertigt; andernfalls wrde die Macht des Strkeren gebilligt. 6. Die Gesetzgebung darf sich diesbezglich weder vollendeten Tatsachen noch verfhrerischen Aussichten anpassen. Sie hat sich nach ethischen Normen zu richten,die dem Wesen des Menschen entsprechen. 7. Ehe und Familie sind der naturgemsse Rahmen fr Zeugung und Entwicklung des menschlichen Lebens. Diese Institutionen geben dem Kinde Geborgenheit, Sicherheit und Förderung, die ihm unentbehrlich sind. Ihre Werte zu schtzen, ist fundamentale Aufgabe der Gesellschaft 8. Diese Grundsätze sind keineswegs nur eine Frage einer bestimmten Religion, Moral, Ethik oder Weltanschauung; sie ergeben sich schon aus den wissenschaftlichen Erkenntnissen und der Vernunft.
    Dichiarazione di principio
    3. 1. L'essere umano con la sua individualit e le sue potenzialit, presente dal primo istante della vita embrionale (ovulo appena fecon-dato, oppure, accidentalmente, anche il suo equivalente uni- o pluricellulare). Si tratta ormai di una evidenza per l'uomo di scienza contemporaneo 2. L'essere umano si distingue dagli altri esseri viventi per il fatto che corpo-e-spirito. A questo titolo ogni essere umano una persona unica, soggetto di dignit e libert, che non si pu ridurre al livello di un animale o di un oggetto materiale. 3. L'embrione umano possiede la dignit e i diritti fondamentali riconosciuti ad ogni essere umano. Non si pu attentare alla sua inte-grit, n intenzionalmente, n per negligenza. Costruire uno statuto artifi-ciale per l'embrione, a misura dei nostri desideri o di un'ideologia, o in base ai bisogni della ricerca scientifica o di quelli della societ, costituisce un pervertimento della ragione. 4. Ogni distruzione o attentato all'integrit di un essere umano, sotto il pretesto dell'et, sesso, razza, religione, malattia o infermit, da rigettare e condannare. 5. La scienza e la tecnica non possono impegnarsi in una ricerca che costituisca una sfida alla dignit e ai diritti fondamentali di un essere umano. Ogni progresso della medicina, per quanto promettente possa apparire, non di per s stesso lecito. Ammettere questo vorrebbe dire consacrare il diritto del pi forte . 6. La legislazione in questo campo non pu accontentarsi dei fatti compiuti o di prospettive seducenti. Essa deve ugualmente prendere in considerazione le norme etiche compatibili colle esigenze di ogni essere umano. 7. Il matrimonio e la famiglia sono il quadro naturale della tras-missione e dello sviluppo della vita umana. Queste istituzioni forniscono ai figli protezione, sicurezza e la formazione loro indispensabili. Garan-tire a tali istituzioni i valori che rivestono, un principio fondamentale al quale la societ deve attenersi. 8. Questi princpi non derivano necessariamente da un credo spe-cifico o morale o etico particolare; essi si appoggiano avantutto su un buon uso della ragione.
    Declaration of Principle (July 19, 1986)
    4. 1. The human being, with its individuality and all its potentials, is present from the first instant of embryonic life (fertilized egg, by chance its uni- or pluri-cellular equivalent). It is an obvious matter for the contemporary man of science. 2. The human being is distinguished from other living beings by the fact of being body and spiritual soul. Thereby each human being is an unique person full of dignity and liberty who cannot be reduced to an animal or material object. 3. The human embryo possesses dignity and the basic rights identified with the human being. His integrity can be neither diminished nor destroyed, wether intentionally or through negligence. To construct an artificial status for the embryo, to suit our desires, an ideology, the needs of science or of society, constitutes an unacceptable diverting of reason ! 4. Any destruction or impairment of the integrity of a human being on grounds of age, sex, race, religion, illness or infirmity is to be rejected and prohibited 5. Science and technology cannot engage in research which scorns the dignity and basic rights of a human being. An achievement in medicine, however promising it may appear, is not, as such, licit. So admitting would amount to sanctioning the law of the strongest. 6. Legislation on these matters cannot look only at past deeds or seductive perspectives. It must also take into consideration ethical norms compatible with the exigencies of the human being. 7. Marriage and the family are the natural setting for the transmission and development of human life. These institutions give a child protection, security and the training which are indispensable for it. Guaranteeing their worth remains a fundamental task of society. 8. Finally, these principles do not spring from any particular belief, morality or ethic ; they rest above all on a good use of reason.
    Congrès au CHUV /Lausanne ( Le CDC, www.pavie.ch avec la Société suisse de bioéthique)

    L'embryon : un homme (cf. Actes)

    L'embryon : un homme (cf. Actes)
    Déclaration fondamentale en quatre langues . Prof. Edgardo Giovannini : Ouverture du Congrès.(p. 15-20). Dr Adelheid Grüniger : La fertilisation in vitro (p. 23-26). Prof. Georges Cottier : Les bébés-éprouvettes : Problèmes éthiques (p.27-52).. Prof. Dominique Rivier : De la nécessité d'une formation éthique pour l'homme de science (p. 53-64) Dr Joaquim Huarte : Concepts fondamentaux d'embryologie (p. 65-68).Prof. E. Giovannini : Le statut de l'embryon (p. 69-90). Prof. Jean de Siebenthal : L'animation selon Thomas d'Aquin (p. 91-98). Dr Antoine Suarez : Engendré, non pas fabriqué (p. 99-123). François de Siebenthal : La bioéthique : Une nouvelle chance : Vers une écologie de l'amour (p. 125-130). Prof. Gérard Lefranc : La vie, objet de laboratoire (p. 131-143). Dr Françoise Pinguet : Régulation naturelle des naissances par auto-observation des signes de fertilité (p. 145-156). Dr Anselm Zurfluh : La démographie, un problème d'avenir ? (p. 157-171). Prof. Jérôme Lejeune : Le début de l'être humain (p. 173-.185). Mme Marie-Laure Beck : Dignité de la femme et nouvelles techniques (p.187-188). Prof. Claude Tricot : Réflexions esthétiques sur la vie (p. 189-192). M. Conrad Clément : Qu'est-ce que SOS Futures Mères ? (p.193-196). M. Raoul Pignat : SOS Futures Mères dans le Chablais (p. 197-198). Mme Chérina Henriksen : La vie n'est pas un calcul (p. 199-202). Pasteur Henri Coste : L'embryon, son avenir, mais aussi son passé (p. 203-206). M. Jean-Marc Berthoud : Défense de la famille chrétienne aujourd'hui (p. 207-212). M. Pierre Antonioli : Situation juridique (p. 213-220). Communion et libération : L'embryon : un homme ou l'audace d'un regard (p. 221-222). Dr Erwin Willa : Témoignage (p. 223-226). Prof. Jean de Siebenthal : Synthèse du Congrès (p. 227-229).

    Congrès 1989 Europe : l'hiver démographique
    Pierre Chaunu :Projections et prospectives
    Alfred Sauvy : L'Europe oublie ses hommes
    Michel Tricot Concepts fondamentaux de démographie
    Edgardo Giovannini Démographie et culture
    François de Siebenthal Liberté et famille

    Déclaration
    fondamentale en quatre langues
     . Prof. Edgardo Giovannini : Ouverture du
    Congrès.(p. 15-20). Dr Adelheid Grüniger : La fertilisation in vitro (p. 23-26).
    Prof. Georges Cottier : Les bébés-éprouvettes : Problèmes éthiques (p.27-52)..

    Prof. Dominique Rivier : De la nécessité d'une formation éthique pour l'homme de
    science (p. 53-64)
     Dr Joaquim Huarte : Concepts fondamentaux d'embryologie
    (p. 65-68).
     Prof. E.
    Giovannini : Le statut de l'embryon 
    (p. 69-90).Prof. Jean de
    Siebenthal : L'animation selon Thomas d'Aquin (p. 91-98)
    . Dr Antoine Suarez
    : Engendré, non pas fabriqué (p. 99-123).
    François de
    Siebenthal : La bioéthique : Une nouvelle chance : Vers une écologie de l'amour
    (p. 125-130)
    . Prof. Gérard Lefranc : La vie, objet de laboratoire (p.
    131-143). Dr Françoise Pinguet : Régulation naturelle des naissances par
    auto-observation des signes de fertilité (p. 145-156). Dr Anselm Zurfluh : La
    démographie, un problème d'avenir ? (p. 157-171).

    Prof. Jérôme Lejeune : Le début de l'être humain (p. 173-.185)
    . Mme
    Marie-Laure Beck : Dignité de la femme et nouvelles techniques (p.187-188).
    Prof. Claude Tricot : Réflexions esthétiques sur la vie (p. 189-192). M. Conrad
    Clément : Qu'est-ce que SOS Futures Mères ? (p.193-196). M. Raoul Pignat : SOS
    Futures Mères dans le Chablais (p. 197-198). Mme Chérina Henriksen : La vie
    n'est pas un calcul (p. 199-202). Pasteur Henri Coste : L'embryon, son avenir,
    mais aussi son passé (p. 203-206). M. Jean-Marc Berthoud : Défense de la famille
    chrétienne aujourd'hui (p. 207-212). M. Pierre Antonioli : Situation juridique
    (p. 213-220). Communion et libération : L'embryon : un homme ou l'audace d'un
    regard (p. 221-222). Dr Erwin Willa : Témoignage (p. 223-226). Prof. Jean de
    Siebenthal : Synthèse du Congrès (p. 227-229).
    Nous remercions aussi vivement notamment plusieurs autres artisans de ce travail, parmi lesquels les contributions de Mmes Métérié, Hélène Faure au secrétariat et à la dactylographie furent admirables, tout comme celles de M. et Mme Jean Brodard.
    Un grand merci à tous les auteurs des conférences et des écrits des actes et des séminaires de bioéthiques, sans oublier MM, Michel Pigois, Christian Bless, Dominique Faure, Adrien Englert, Denis Jacoby, Georges Toutounji et enfin François de Siebenthal avec Jacques Laithier, la cheville ouvrière de toutes ces oeuvres. 
    Certains participants occasionnels ont également joué un rôle très utile, MM. Gilbert Bornarel, Zannini par exemple.

    Remises des dettes.

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    Pourquoi les "puissants" ne veulent pas remettre les dettes ? 

    http://www.michaeljournal.org/maitres_du_monde.pdf

    Le système est très mauvais pour tous, sauf pour une infime minorité...
    On nous ment à tous et tout le temps...
    Ouvrez vos yeux, vos coeurs, vos esprits...

    La rigueur est stupide, rembourser toutes les dettes devenues exponentielles par des taux d'intérêts usuraires et une base monétaire rendue "infinie" par les créations monétaires du néant par les crédits est impossible. En effet, chaque remboursement détruit le montant d'argent remboursé... 

    Ce système est débile et démodé. De plus, on ne peut pas tout rembourser, car il y a trop de dettes et si on les rembourse, on détruit, sic, tout l’argent et on aggrave donc les crises...

    19 économistes au moins refusent l'austérité et la rigueur:

    Victoria ChickUniversity College London
    Frances CoppolaAssociate Editor, Piera
    Nigel Dodd, London School of Economics
    Jean Gadrey, University of Lille
    David GraeberLondon School of Economics
    Constantin GurdgievTrinity College Dublin
    Joseph HuberMartin Luther University of Halle-Wittenberg
    Steve KeenKingston University
    Christian MarazziUniversity of Applied Sciences and Arts of Southern Switzerland
    Bill MitchellUniversity of Newcastle
    Ann PettiforPrime Economics
    Helge Peukert, University of Erfurt
    Lord Skidelsky, Emeritus Professor, Warwick University
    Guy StandingSchool of Oriental and African Studies, University of London
    Kees Van Der PijlUniversity of Sussex
    Johann WalterWestfälische Hochschule, Gelsenkirchen Bocholt Recklinghausen, University of Applied Sciences
    John WeeksSchool of Oriental and African Studies, University of London
    Richard WernerUniversity of Southampton
    Simon Wren-Lewis,University of Oxford

    Exemple historique parmi beaucoup. Autres exemples tout en bas.

    L'empereur romain Hadrien, dans un acte de vraie souveraineté et de libéralité, annula les dettes dues par les citoyens au trésor public. Les rouleaux de comptes furent brûlés sur le forum de Trajan, ce que nous montre le revers de cette monnaie.

    Un licteur, portant la chlamyde met le feu à des documents devant trois citoyens qui l’acclament.

    La légende de revers RELIQVA VETERA HS NOVIES MILL ABOLITA signifie que les créances, pour un total de 900 000 sesterces, furent annulées cette fois.

    Un ouvrier vivait un an avec à peu près 1 000 sesterces = 760 euros environ.


    Pourquoi les "puissants" ne veulent pas remettre les dettes ? 

    "Combien de crises encore pour que l'argent redevienne le bien PUBLIC qu'il devrait être?"


    Signez l'initiative fédérale suisse monnaie pleine. Merci.


    Voici, mis en ligne plus tard, des articles que j'avais écrit et que Marie Louise Duboin, directrice de sa revue mensuelle
    - La Grande Relève -, avait fait paraître entre 2001 et 2004 (revue qui, je crois, est toujours mensuelle). 

    ...

    Ce faisant, les travaux de Jacques Duboin sont de leur côté tout à fait valables, instructifs et intéressants à plus d'un titre. Jacques Duboin (1879-1977) qui vécu donc presque centenaire, fut, en quelque sorte, le pendant français (laïc) de Louis Even (1885-1974) franco-canadien (catholique). Ces deux hommes, presque exactement contemporains dans leur longue vie, avaient correspondu et se connaissaient, mais la dimension religieuse a "gêné" quelque peu leurs relations qui restèrent cordiales, mais c'est dommage.

    Jacques Duboin fut, en son temps, un homme politique connu et fut témoin, acteur et observateur très attentif pendant une très longue période des principales questions économiques, sociales et monétaires essentielles.

    Ce faisant Jacques Duboin, et maintenant depuis plusieurs décennies sa fille Marie-Louise (physicienne retraitée) qui, d'ailleurs, participa et intervint sur la liste monnaie à laquelle j'ai participé aussi, cette liste est actuellement à peu près en sommeil vu le nombre de sujets qui y furent traités, donc le père et la fille Duboin effectuent et représentent un excellent travail sur l'économie et la finance, il ne faut pas hésiter, en toutes occasions, à répercuter leurs recherches. En France la référence historique principale dans le sujet de l'Économie Distributive, c'est Jacques Duboin.

    Ci-dessous ce lien qui comporte des ... articles parus dans La Grande Relève entre 2001 et 2004.


    http://www.economiedistributive.fr/Bienvenue

    Pourquoi les "puissants" ne veulent pas remettre les dettes ? 

    http://www.michaeljournal.org/maitres_du_monde.pdf

    On ne peut pas tout rembourser, car il y a trop de dettes et si on rembourse, on détruit, sic, tout l’argent et on aggrave donc les crises...

    Cette circulaire explique très bien le point de vue de Vers Demain sur la justice sociale, et offre une solution pour mettre fin au scandale de la pauvreté dans le monde. En plus du scandale de la pauvreté, cette circulaire contient aussi les articles suivants: «L'histoire du contrôle bancaire aux États-Unis», des paroles de Thomas Edison, un article de Louis Even: «L'argent, instrument de distribution», et un autre article d'Alain Pilote, «Il est impossible de rembourser les dettes des pays».

     http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/congo-experiences.html

    Chaque année, une semaine d'étude a lieu à Rougemont au Canada en 4 langues fin août suivie du congrès international début septembre (fête du travail au Canada), avec des pèlerinages facultatifs offerts. Repas, pèlerinages ( not. St Joseph, N-D du Cap et St Anne) et couchers gratuits pour tous nos invités des pays hors du Canada. 
    Autre période de formation en mai chaque année.
    Deux fois par année à Rougemont, basées sur le livre La démocratie économique         (ou Crédit Social) expliquée en dix leçons, par Alain Pilote.

    LES PROCHAINES SESSIONS D'ÉTUDE SUR LA DÉMOCRATIE ÉCONOMIQUE auront lieu:
    • du 21 avril au 2 mai 2015, suivi de notre semaine d’adoration du 3 au 10 mai 2015.
    •      soit au second qui se tiendra du 24 août au 4 septembre 2015; suivi de notre congrès annuel international, du 5 au 7 septembre 2015

    à Rougemont sera suivie par notre «Siège de Jéricho», semaine de prière devant le Saint Sacrement exposé.

    La dette odieuse est une jurisprudence1 avancée par certains auteurs en matière de droit international relative à une dette contractée par un régime, et qui sert à financer des actions contre l'intérêt des citoyens de l'État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle aussi de « dette odieuse » lorsqu'elle a été contractée par une dictature et qu'elle doit être remboursée lors de la transition démocratique.
    Dans cette optique, ces dettes sont considérées comme des dettes du régime qui les a contractées, et non pas de l'État en entier.

    Historique[modifier | modifier le code]

    Le Mexique[modifier | modifier le code]

    La doctrine a été formalisé sur le fait qu'en 1883 le Mexique avait dénoncé la dette contractée par l'empereur Maximilien en promulguant une loi dite "de règlement de la dette nationale" qui déclare: «Nous ne pouvons pas reconnaître, et par conséquent ne pourront être converties, les dettes émises par le gouvernement qui prétendait avoir existé au Mexique entre le 17 décembre 1857 et le 24 décembre 1860 et du 1er juin 1863 au 21 juin 1867».

    Cuba[modifier | modifier le code]

    Le second exemple est fourni par les États-Unis, qui ont refusé que Cuba paye les dettes contractées par le régime colonial espagnol. La Commission de négociation des États-Unis a refusé cette dette, la qualifiant de “poids imposé au peuple cubain sans son accord”. Selon ses arguments, “la dette fut créée par le gouvernement de l’Espagne pour ses propres intérêts et par ses propres agents. Cuba n’a pas eu voix au chapitre”. La Commission ajouta que “les créanciers ont accepté le risque de leurs investissements”. Les États-Unis ont obtenu gain de cause via le Traité de Paris en 1898. La dette a alors été entièrement annulée.

    Le Costa Rica[modifier | modifier le code]

    En 1923, une Cour d’arbitrage internationale, présidée par le juge Taft, président de la Cour suprême des États-Unis, déclara que les prêts concédés par la Royal Bank of Canada, une banque britannique (établie au Canada) au dictateur Tinoco du Costa Rica étaient nuls parce qu’ils n’avaient pas servi les intérêts du pays mais bien l’intérêt personnel d’un gouvernement non démocratique. Le juge Taft déclara à cette occasion que “le cas de la Banque royale ne dépend pas simplement de la forme de la transaction, mais de la bonne foi de la banque lors du prêt pour l’usage réel du gouvernement costaricien sous le régime de Tinoco. La Banque doit prouver que l’argent fut prêté au gouvernement pour des usages légitimes. Elle ne l’a pas fait.” (Juge Taft, cité dans Patricia Adams, Odious Debts, Probe International, Toronto, 1991, p. 168 in Eric Toussaint,La finance contre les peuples. La bourse ou la vie, CADTM/ CETIM Syllepse/ Liège/Genève/Paris, 2004).

    L'Irak[modifier | modifier le code]

    Après leur invasion en Irak, les États-Unis ont appliqué ce concept pour ne pas hériter de la dette de Saddam Hussein lors de l'annexion économique du pays 2. Médiatiquement, tout a été fait pour que le terme "dette odieuse" n'apparaisse pas au grand jour, car son application par les États-Unis marquerait que cette jurisprudence est bien existante auxxie siècle, ouvrirait la porte à tout pays héritier d'une dette de la part d'anciens régimes ainsi que des pays comme la Grèce, l'Irlande ou le Portugal qui pourraient en bénéficier, afin de se protéger du délabrement social. La situation s’est réglée au sein du Club de Paris, qui a annulé 80 % de la dette, sans finalement faire référence à la notion de dette odieuse, pour éviter que d’autres pays réclament l’annulation de leurs dettes en invoquant le même motif.

    Définition de la dette odieuse[modifier | modifier le code]

    Définition d'Alexander Sack[modifier | modifier le code]

    Alexander Nahum Sack, ancien ministre du Tsar Nicolas II, émigré en France après la révolution de 1917, professeur de droit à Paris et théoricien de la doctrine de la dette odieuse, écrivait en 1927 : "Si un pouvoir despotique contracte une dette non pas selon les besoins et les intérêts de l’Etat, mais pour fortifier son régime despotique, pour réprimer la population qui le combat, cette dette est odieuse pour la population de l’Etat entier. Cette dette n’est pas obligatoire pour la nation : c’est une dette de régime, dette personnelle du pouvoir qui l’a contractée ; par conséquent, elle tombe avec la chute de ce pouvoir."
    En 1982, la First National Bank of Chicago rappelait aux institutions financières :
    « Les conséquences exercées sur les accords de prêt par un changement de souveraineté peuvent dépendre en partie de l'usage des prêts par l'État prédécesseur. Si la dette du prédécesseur est jugée odieuse, c'est-à-dire si le montant du prêt a été utilisé contre les intérêts de la population locale, alors il se peut que la dette ne soit pas mise à la charge du successeur.»

    L'élargissement de la doctrine de Sack[modifier | modifier le code]

    Depuis les travaux de Sack au siècle dernier, de nombreux auteurs ont travaillé sur le sujet, notamment Patricia Adams, Joseph Hanlon ou encore les Canadiens Jeff King, Ashfaq Khalfan et Bryan Thomas. Le Centre for International Sustainable Development Law (CISDL) a proposé la définition suivante : “ Les dettes odieuses sont celles qui ont été contractées contre les intérêts de la population d’un Etat, sans son consentement et en toute connaissance de cause par les créanciers 3 . Le CISDL définit trois critères qui fondent le caractère "odieux" d'une dette4:
    • l'absence de consentement : la dette a été contractée contre la volonté du peuple.
    • l'absence de bénéfice : les fonds ont été dépensés de façon contraire aux intérêts de la population.
    • la connaissance des intentions de l'emprunteur par les créanciers.
    La définition donnée par le CISDL permet d'élargir la notion de 'dette odieuse' aux dettes contractées à l'égard de créanciers tant privés que publics (Banque mondiale, FMI, États, etc.) indépendamment de la nature du régime (qu'il soit légitime ou non). Au-delà de la nature de régime, la destination des fonds devrait donc suffire à caractériser une dette d’odieuse, lorsque ces fonds sont utilisés contre l’intérêt majeur des populations ou lorsqu’ils vont directement enrichir le cercle du pouvoir. Dans ce cas, ces dettes deviennent des dettes personnelles et non plus des dettes d’Etat qui engageraient le peuple et ses représentants. Rappelons d’ailleurs l’une des conditions de la régularité des dettes selon Sack : « les dettes d’État doivent être contractées et les fonds qui en proviennent utilisés pour les besoins et dans les intérêts de l’État ». Les dettes multilatérales contractées par des régimes, qu'ils soient dictatoriaux ou légitimes, auprès des institutions de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale, banques régionales de développement) dans le cadre de politiques d’ajustement structurel préjudiciables aux populations tombent donc également dans la catégorie des dettes odieuses.
    L’expert indépendant des Nations unies sur la dette extérieure, Fantu Cheru, affirmait en 2000 que ces plans d'ajustement structurel vont au-delà «de la simple imposition d’un ensemble de mesures macroéconomiques au niveau interne. Elles [sont] l’expression d’un projet politique, d’une stratégie délibérée de transformation sociale à l’échelle mondiale, dont l’objectif principal est de faire de la planète un champ d’action où les sociétés transnationales pourront opérer en toute sécurité. Bref, les programmes d’ajustement structurel (PAS) jouent un rôle de ‘courroie de transmission’ pour faciliter le processus de mondialisation qui passe par la libéralisation, la déréglementation et la réduction du rôle de l’État dans le développement national»5.
    Dans son projet d’article sur la succession en matière de dettes d'État pour la Convention de Vienne de 1983, le rapporteur spécial Mohammed Bedjaoui affirme : « En se plaçant du point de vue de la communauté internationale, on pourrait entendre par dette odieuse toute dette contractée pour des buts non conformes au droit international contemporain, et plus particulièrement aux principes du droit international incorporés dans la Charte des Nations Unies6».

    Pour la paix des coeurs. Neuvaine de Miséricorde.

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    Joyeuses Pâques, Christ est ressuscité.
    Il nous offre sa miséricorde totale et absolue.


    Une neuvaine (du latin novem, neuf) est dans l'Église catholique romaine une dévotion privée ou publique de neuf jours, destinée à obtenir des grâces déterminées.

    La neuvaine de Miséricorde commence idéalement notamment le Vendredi Saint ou tout autre jour de l'année:

    Francais:
    English:
    Spanish:
    Polish:

    Vous trouverez le message complet de Jésus à Sainte Faustine sur ce site:

    A l'occasion de notre montée vers Pâques, en ce jour de vendredi Saint...
    C'est l'occasion de voir ou de revoir ensemble ce film magnifique qui retranscrit vraiment bien le message Biblique concernant la Passion de Jésus Christ. Il est très dur, mais il est certainement à l'image de ce qu'à vécu Notre Sauveur. Soyons courageux et osons aller jusqu'au bout.
    Je vous invite à prendre le temps pour cela.


    La Passion du Christ:

    Le film en araméen, la langue du Christ, relate les douze dernières heures de la vie de Jésus-Christ, considérées comme les plus intenses de sa vie dans lesquelles Jésus-Christ institue l'Eucharistie. Il montre Jésus priant au mont des Oliviers, et résister à la tentation de Satan. On voit ensuite Jésus capturé par les autorités juives, et flagellé du fait de sa dénonciation par Judas auprès des Grands Prêtres. 

    Suite à cela on voit son jugement devant le préfet romain Ponce Pilate, ainsi que son passage devant Hérode, et sa condamnation à mort. 

    Le film étant coupé de flash back sur les moments principaux de la vie publique du Christ, comme le sermon des Béatitudes. 

    Heureux les pauvres en esprit,
    car le Royaume des Cieux est à eux.
    Heureux les doux,
    car ils recevront la terre en héritage.
    Heureux les affligés,
    car ils seront consolés.
    Heureux les affamés et assoiffés de la justice,
    car ils seront rassasiés.
    Heureux les miséricordieux,
    car ils obtiendront miséricorde.
    Heureux les cœurs purs,
    car ils verront Dieu.
    Heureux les artisans de paix,
    car ils seront appelés fils de Dieu.
    Heureux les persécutés pour la justice,
    car le Royaume des Cieux est à eux.
    Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on vous calomnie de toutes manières à cause de moi.
    Soyez dans la joie et l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux.



    Le film s'achève par la montée au Calvaire de Jésus et par sa crucifixion, avec Marie et Marie Madeleine comme témoins. Puis finit par la résurrection du Christ.


    Que Dieu vous bénisse et vous garde.

    Signatures pour une monnaie pleine.

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    Chers ami(e)s de l'initiative monnaie pleine.



    Récolte de signatures pour l' initiative monnaie pleine, actions les samedis à Lausanne, Genève, Yverdon...
    Lausanne: On est à nouveau au marché, place de la Palud, pour une récolte de signatures, ce samedi 18 avril :-)  dès 9h00 et jusqu'à au moins 13h30, verrée éventuelle après pour ceux qui ont le temps.

    Samedi 11 avril, 173 signatures rien qu'à Lausanne...

    Grand total suisse: 
    Objectif: 100.000 signatures valides
    Déjà été reçu: 
    51'179 (au 08.04.2015)




    Nous serions heureux que vous puissiez nous encourager et nous aider au moins un moment.

    Au plaisir de se voir, en vous souhaitent une bonne santé.

    François de Siebenthal​

    RSVP en indiquant votre horaire approximatif.
    RSVP même si vous ne venez pas, pour vérifier si vous recevez bien nos messages, merci.

    Samedi 11 avril, exemples...

    Autres possibilités:

    Genève, Voir avec Georges Sonntag
    Yverdon,  Voir avec Thomas Jenni
    Sion, Voir avec Dimitri Mottier


    Toute la Suisse:



    OBJECTIFS

    1. La Banque Nationale créera désormais seule de la monnaie scripturale électronique.
    2. Les banques ne pourront plus elles-mêmes créer de la monnaie scripturale, mais prêter seulement de la monnaie qui existe déjà.
    3. La Banque Nationale mettra en circulation de la nouvelle monnaie pleine moyennant un don (sans dette) au gouvernement federal, aux Cantons ou aux citoyennes et citoyens.




    à faire circuler à vos amis, merci.


    Swiss national bank + 30 %

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    Swiss central bank or swiss national bank, alias SNB,  on the stock market.






    Swiss spirit, one for all and all for one.


    The Christian Cross on his flag, his parliament and his money.
    An automatic dividend for all swiss habitants each month, thanks to robots.

     Bankers or banksters ?


    We need a modern money system.


    Our money, Dominus providebit...


    Our gouvernement giving swiss oaths, except one...



    Some of our team in front of the Swiss National Bank, our fight for a better money system, positive money...

    http://www.snb.ch/en/

    Most people don't realize that the central banks of Belgium, Japan, Greece, Switzerland, and South Africa are all publicly-traded. In times past, central clearinghouses were typically privately-owned while the issuance of bank-notes was the domain of competing banks. The fact that a few central banks still retain traces of their former private nature is a good reminder that centralized banking isn't necessarily the domain of the public sector.

    The Swiss National Bank, for instance, was founded in 1907 to take upon itself the issuance of national bank notes, hitherto provided by private banks. According to Hübscher and Kuhn (pdf), efforts to establish a wholly government-owned central bank were defeated in an 1897 national referendum. Opponents of the plan drew up an alternative proposal for a privately owned bank the structure of which would, according to Bordo, "not allow for state socialism or the public control of credit policy." One fifth of the new bank's capital would be given to the private banks to compensate them for the loss of their power to issue notes.

    Nowadays, SNB shares trade on the SIX Swiss Exchange. The original 100,000 shares are still outstanding, with 2,185 private shareholders owning about 37% of the float. Another 53% is owned by the cantonal governments and cantonal banks and the last 10% by other public institutions. The Swiss Federal council (Switzerland's federal government) doesn't own a single share, a contrast to most central banks which are 100% owned by their federal government. The largest private investor is Theo Siegert, who owns 5.95% of the float. The SNB provides all breakdowns here.

    Though the shareholders of the five central banks may to some extent "own" their nation's central bank, they don't exercise the same degree of control over their company that regular shareholders do. Here are some of the drawbacks to owning central bank shares:

    1. Capped dividends: The SNB's dividend is capped at 6% of the company's paid-up share capital. Because the SNB was originally capitalized with CHF 25 million, a large amount a hundred years ago but today a minuscule slice, aggregate dividend payments to all shareholders are limited to a mere CHF 1.5 million a year (around US$1.6 million), or CHF 10.50 per share. At today's stock price of CHF 1115, the shares yield just 1% or so.

    This is a stable dividend. The SNB has paid it going back to at least 1996 (the last annual report I could get my hands on). But unlike the typical common share, there is no chance of this dividend growing.

    2. Profits siphoned away: Nor will the profits that are not distributed to shareholders stay with the Bank. The lion's share of the SNB's remaining profits go to the state. Specifically, two-thirds of earnings are paid to the cantonal governments, and another third to the Federal council. In 2011, for instance, the SNB earned CHF 4.9 billion. A tiny CHF 1.5 million sliver was paid to shareholders while the various governments received CHF 1 billion (the balance was held over as reserve for the next year).

    Much like the SNB, the Bank of Japan (BOJ) pays a fixed dividend. The BOJ, established in 1882, trades on the JASDAQ for around ¥46,500 a share. The Bank is not permitted to pay more than 5% of its  ¥100 million in paid-up capital to shareholders. As is the case with the SNB, this was a large amount back in 1942, the last time the BoJ was capitalized, but today its amounts to just ~$10 million. The upshot is that the BOJ can only provide shareholders a piddling ¥5 million in aggregate dividends a year, or  ¥5 a share. This equates to just US$50,000 in aggregate dividend payments, or around 5 cents a share. Considering that total profits earned by the BOJ in 2011 amounted to  ¥503 billion (around $5 billion), the shareholders are getting peanuts.

    3. Minority position: Unlike the SNB, the Japanese federal government owns 55% of the Bank's shares. This puts private shareholders at an even larger disadvantage since they must play second fiddle to a dominant shareholder at all shareholder meetings.

    4. No residual claim: The Bank of Japan Act stipulates that should the Bank be dissolved, shareholders only get a return of initial paid-up capital. All residual assets belong to the national treasury. Thus shareholders get a mere  ¥100 million (around $1 million) back in case of dissolution, or around  ¥100 per share -- far less than the current  ¥46,500 a share. Genuine common shares would allow shareholders to getall residual assets.

    According the the National Bank Act, SNB shareholders are also restricted in their ability to claim residual assets:
    In case of a liquidation of the National Bank, the shareholders shall receive in cash the nominal value of their shares as well as reasonable interest for the period of time since the decision to liquidate the National Bank became effective. The shareholders shall not have any additional rights to the assets of the National Bank. Any remaining assets shall become the property of the new central bank.
    This means that each SNB shareholder is entitled to CHF 250 a share upon dissolution, far less than the current CHF 1320.- per share price of today.

    http://jpkoning.blogspot.ch/2013/02/central-banks-that-trade-on-stock-market.html

    I will be in Rougemont near Montréal, Canada, for 3 weeks

    Invitation to join us, every year, two periods, either April-May or August-September..

    Week of study  held in Rougemont, Canada in four languages end of August or in May followed by the Congress beg. of September

     or in April-May week of studies April 21 up to the 3 May. Adoration and Jericho up to the 10 May.

    Free stay & meals, free pilgrimages 
    ( St Joseph, N-D du Cap et St Anne )and free rooms for all our guests from countries outside of Canada.

    Cheers

    fds


    http://www.bloomberg.com/quote/snbn:sw





  • Money creation management by the Swiss National Bank.

    desiebenthal.blogspot.com/.../money-creation-management-by-swiss.htm...

    9 oct. 2013 - Money creation management by the Swiss National Bank. ... François deSiebenthal: Lettre à mon curé sur la "création monétaire .
  • François de Siebenthal: David against goliath, little swiss ...

    desiebenthal.blogspot.com/.../david-against-goliath-little-swiss-will.html

    2 juin 2014 - With the full power of new money creation exclusively in the hands of theSwiss National Bank, the commercial banks would no longer have the ...





  • Swiss national bank + 30 % Swiss central bank or swiss ...

    https://plus.google.com/.../az72nCnH9df

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    Il y a 34 minutes - Swiss central bank or swiss national bank, alias SNB, trades on the stock market. http://www.snb.ch/en/ Most people don't realize that the central banks of Belgium, ...


  • World population trend with total fertility rate below 2,2, i.e. near 1,5
    Only 2 persons near the year 2 470, just math.
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