↧
Banque nationale suisse, AG 2018, commentaires
↧
Balélec, EPFL, Zelig, UNIL, & jeu de la monnaie.
Comment mieux comprendre dans ses tripes l’argent, les systèmes économiques et l’initiative «Monnaie Pleine». Avec notamment Diana-Alice Ramsauer et Ondine Yaffi, Mathieu Despont et son équipe bénévole.
Jeu de la Monnaie à Etoy le 21 avril 2018. Dans le cadre d'un congrès sur l'initiative Monnaie Pleine: http://www.initiative-monnaie-pleine.ch------- Dérouler pour voir le chapitrage -------- A cette occasion Etienne Chouard est venu jouer avec nous et Gérard Foucher a mis son beau costume cravate pour jouer le rôle de banquier. Nous avons expérimenté le principe de la monnaie pleine. Nous avons eu moins de gens en prison que d'habitude. Il semble bien que le monnaie pleine change quelque chose. Les règles du jeu, le kit de démarrage et bien d'autres ressources sur: https://jeu-de-la-monnaie.org ---------------- Accès directs ------------ 3:13→ Explication pour le déroulement du Jeu n°1 9:51→ Début du Jeu n°1 16:25→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°1 20:08→ Explications pour le déroulement du Jeu n°2 24:52→ Début du Jeu n°2 31:13→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°2 38:48→ Explications pour le déroulement du Jeu n°3 49:52→ Début du Jeu n°3 1:10:05→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°3 1:13:24→ Etienne Chouard n'a pas payé l'impôt ! 1:18:00→ Explications pour le déroulement du Jeu n°4 1:25:48→ Début du Jeu n°4 1:29:54→ Temps mort pour la contraction du solde 1:38:22→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°4 1:39:18→ Comparaison du nombre de maisons construites dans chaque jeu. 1:40:00→ Conclusions du Jeu de la Monnaie. Voici la page du blog dédiée à cette session du jeu: https://jeu-de-la-monnaie.org/2018/04... Me faire un don en monnaie libre Ğ1 : https://martouf.ch/donG1 Pour me suivre: Mon site: https://martouf.chFB: https://www.facebook.com/martouflesyn...Twitter: https://twitter.com/martouf_vert Mon génial micro-enregistreur numérique: http://amzn.to/2najQw2
Vendredi 4 mai, juste avant Balélec, le célèbre festival à l’EPFL, avait lieu au Zelig, le bar de l’UNIL, le «Jeu de la monnaie».
Comment mieux comprendre dans ses tripes l’argent, les systèmes économiques et l’initiative «Monnaie Pleine». Avec notamment Diana-Alice Ramsauer et Ondine Yaffi, Mathieu Despont et son équipe bénévole.
Jeu de la Monnaie à Etoy le 21 avril 2018. Dans le cadre d'un congrès sur l'initiative Monnaie Pleine: http://www.initiative-monnaie-pleine.ch------- Dérouler pour voir le chapitrage -------- A cette occasion Etienne Chouard est venu jouer avec nous et Gérard Foucher a mis son beau costume cravate pour jouer le rôle de banquier. Nous avons expérimenté le principe de la monnaie pleine. Nous avons eu moins de gens en prison que d'habitude. Il semble bien que le monnaie pleine change quelque chose. Les règles du jeu, le kit de démarrage et bien d'autres ressources sur: https://jeu-de-la-monnaie.org ---------------- Accès directs ------------ 3:13→ Explication pour le déroulement du Jeu n°1 9:51→ Début du Jeu n°1 16:25→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°1 20:08→ Explications pour le déroulement du Jeu n°2 24:52→ Début du Jeu n°2 31:13→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°2 38:48→ Explications pour le déroulement du Jeu n°3 49:52→ Début du Jeu n°3 1:10:05→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°3 1:13:24→ Etienne Chouard n'a pas payé l'impôt ! 1:18:00→ Explications pour le déroulement du Jeu n°4 1:25:48→ Début du Jeu n°4 1:29:54→ Temps mort pour la contraction du solde 1:38:22→ Ressentis et discussion à propos du Jeu n°4 1:39:18→ Comparaison du nombre de maisons construites dans chaque jeu. 1:40:00→ Conclusions du Jeu de la Monnaie. Voici la page du blog dédiée à cette session du jeu: https://jeu-de-la-monnaie.org/2018/04... Me faire un don en monnaie libre Ğ1 : https://martouf.ch/donG1 Pour me suivre: Mon site: https://martouf.chFB: https://www.facebook.com/martouflesyn...Twitter: https://twitter.com/martouf_vert Mon génial micro-enregistreur numérique: http://amzn.to/2najQw2
↧
↧
BNS, souverains suisses et monnaie-pleine ?
Ils laissent la création monétaire et ses milliards de bénéfices aux banques commerciales ! Ils sont payés près d'un million par année et ne défendent pas les suisses mais leurs complices grassement achetés. Trop, c'est trop !
↧
Was führt die Schweizerische Nationalbank ? Ja zum Vollgeld !
Die Schweizerische Nationalbank führt als unabhängige Zentralbank die Geld- und Währungspolitik des Landes...
Wirklich ? Nein !
Die Geldmacht liegt in den Banken
↧
Prof. Sergio Rossi pour monnaie-pleine
Sergio Rossi, l'esprit critique de la finance
Votations 10 juinNon conformiste, l’économiste tessinois s’illustre dans le débat sur l’initiative «Monnaie pleine». Portrait.
Rares sont les professeurs d’université en Suisse à bénéficier de l’aura médiatique de Sergio Rossi. Le directeur de la Chaire de macroéconomie et d’économie monétaire de l’Université de Fribourg parcourt le pays et les plateaux télé à la faveur, cette fois-ci, de l’initiative populaire «Monnaie pleine». Et il s’estime plutôt doué pour faire comprendre au commun des mortels ce qui se cache derrière cette proposition, soumise au vote le 10 juin prochain. «Si on ne permet pas aux gens de comprendre, il vaut mieux aller jouer au tennis plutôt que de participer à un débat.»
Charismatique, Sergio Rossi? À Fribourg, ses cours se concluent généralement sous les applaudissements. «C’est que je ne dois pas être si mauvais», sourit le professeur, né dans une famille modeste de Bellinzone. Son père, un employé des PTT devenu syndicaliste, est mort lorsqu’il avait 9 ans. Sa mère a alors quitté sa profession de secrétaire pour s’occuper de lui. Le Tessinois retourne encore tous les week-ends dans son canton où réside sa compagne.
Longtemps, Sergio Rossi a consacré toute son énergie à sa carrière académique. «Dans ce monde où il n’y a que des requins et des loups, je me suis appliqué à construire ma carrière et à publier le plus possible», explique-t-il.
Dans ce parcours, 2008 sera une année charnière. Il vient d’être promu professeur ordinaire à Fribourg après huit ans passés à faire la navette entre le chef-lieu sarinois et le Tessin, enseignant dans les deux cantons. Et tout à coup, la crise financière dite des subprimes éclate. L’avis de cet économiste non conformiste – hétérodoxe, comme il se qualifie lui-même – est alors de plus en plus sollicité. Et pour cause: Sergio Rossi rejette l’approche néolibérale. Il plaide en faveur d’un système financier au service de l’économie réelle. Une espèce rare dans les facultés.
«Pas la faute de Maurer»
«Au niveau académique, je suis sans doute quelqu’un qu’on essaie souvent d’éviter parce que je critique l’approche dominante.» Mais sur la scène médiatique, ça marche. Sergio Rossi s’invite dans le débat politique national en 2015, lorsque la BNS abandonne le taux plancher du franc suisse face à l’euro. En 2016, il prend position en faveur de l’initiative «Pour un revenu de base inconditionnel», qui sera rejetée par 77% des votants. Il est sollicité jusqu’en Corée du Sud pour des interviews à ce sujet.
Vulgariser, encore. Il parle d’un enjeu d’alphabétisation économique. «Il ne faut pas laisser l’économie aux mains des seuls technocrates. C’est un domaine qui a un tel impact sur la société! Et en tant que professeur, j’estime aussi que je dois rendre quelque chose au contribuable.»
Aujourd’hui, le Tessinois s’engage donc dans le débat sur «Monnaie pleine». «Ce texte, estime-t-il, a le mérite de vouloir éviter des crises systémiques en obligeant les banques à revenir à leur fonction originale. Plutôt que servir la spéculation, elles devraient servir l’économie réelle.»
Le système proposé aux Suisses n’a pourtant jamais été pratiqué. De l’avis du conseiller fédéral en charge des Finances, Ueli Maurer, l’expérience serait risquée et manquerait sa cible. «Il n’a pas compris, soupire Sergio Rossi. Mais ce n’est pas de sa faute. Il n’est pas spécialiste en économie monétaire.»
S’il a rejoint le camp de «Monnaie pleine» sur le fond, après s’être tout d’abord montré très critique, Sergio Rossi reste en désaccord sur la solution. Le professeur soutient une approche plus douce que celle des initiants. «Mais il est important de voter oui pour donner un signal», plaide-t-il. Voter n’est pourtant pas participer à un sondage. «C’est vrai, admet-il, mais l’initiative n’a aucune chance de passer la rampe. Si le oui atteint 25%, ce serait déjà une manière de faire comprendre aux banquiers et aux politiciens qu’on n’est pas à l’abri d’une crise systémique. La majorité l’emporte, mais elle n’a pas forcément raison.»
Un révolutionnaire?
La politique. Voilà un autre monde, qui, comme celui de l’académie ou de la finance, adule ou déteste Sergio Rossi. Le Parti socialiste tessinois l’a sollicité à trois reprises pour figurer sur sa liste au Conseil des États, en 2011, 2015 et 2019. Il a refusé. «Je n’ai pas les qualités pour cela. Je trouve que la plupart des politiciens sont intéressés par leur propre carrière.» Celui qui avoue ne pas savoir faire des compromis sur le plan académique aurait sans doute de la peine à les supporter en politique.
À 50 ans, sous son costume impeccable et ses airs affables, le professeur tessinois cacherait-il un révolutionnaire? Il hésite. «Je pense qu’il faut changer la structure du système monétaire.» Pour le reste, il faudra au préalable s’entendre sur la définition du mot révolution.
(24 heures)
Créé: 12.05.2018, 14h10
Votre avis
Avez-vous apprécié cet article?
https://www.24heures.ch/suisse/sergio-rossi-esprit-critique-finance/story/13900638↧
↧
Papst Franziskus: „Nein zu einem Geld, das regiert, statt zu dienen.“
PAPST FRANZISKUS: "NEIN ZU EINEM GELD, DAS REGIERT, STATT ZU DIENEN"
Die Vollgeld-Initiative gibt hierauf eine klare Antwort. Der neue Artikel 99 der Bundesverfassung soll heissen: "Der Bund gewährleistet die Versorgung der Wirtschaft mit Geld und Finanzdienstleistungen. Er kann dabei vom Grundsatz der Wirtschaftsfreiheit abweichen." Damit wird grundsätzlich geklärt, dass das Geldwesen eine Gemeinwohlaufgabe ist, ähnlich wie der Strassenbau oder das Rechtswesen, und der Bund eingreifen kann, wenn die Finanzmärkte sich vom "Gesamtinteresse des Landes" entfernt haben. Das heisst, es gibt kein Recht mehr auf die "absolute Autonomie" der Finanzmärkte und zerstörerische Finanzspekulationen, sondern diese können zur Not vom Gesetzgeber verboten werden. Dafür schafft die Vollgeld-Initiative die notwendige Grundlage in der Bundesverfassung, regelt aber - außer zum Thema Geldschöpfung - keine Einzelheiten. Die Vollgeld-Initiative beendet die Geldschöpfung der Banken, nur noch die Nationalbank stellt Geld her - im Blick auf das "Gesamtinteresse des Landes".
↧
La Banca nazionale svizzera & moneta intera ?
↧
Une 3ème faillite de l'UBS ?
Combien sont à venir ? Quid du risque systémique sur les monnaies ?
Notamment après la crise des pays émergents et la faillite à milliards de Long Term Capital Management et de l'UBS reprise par la SBS en 1998, une réforme inefficace s'est réalisée par les accords de Bâle 2, soit en droit européen par les Directives 2006/48/EC et 2006/
Après la crise des subprime, l'UBS a fait une 2ème faillite, sauvée in extremis par les contribuables suisses, qui le paient encore vu que l'UBS ne paie presque plus d'impôts vu l'amortissement des dettes et pertes gigantesques... et devrait respecter Bâle 3 ... http://www.bis.org/bcbs/ basel3_fr.htm qui sont des mesures insuffisantes.
Seule notre initiative monnaie-pleine peut encore nous sauver d'une guerre mondiale atroce. http://www.initiative- monnaie-pleine.ch
Faudra-t-il vraiment une 3ème faillite de l' Union de Banques Suisses pour que l'on comprenne la ruse et la cupidité maladive du système actuel ?
Faudra-t-il vraiment une 3ème faillite de l' Union de Banques Suisses pour que l'on comprenne la ruse et la cupidité maladive du système actuel ?
La première avec LTCM, la seconde avec les subprime, la 3ème peut être évités par
Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
http://desiebenthal.blogspot.ca/2014/12/le-conseil-federal-suisse-admet-le.htmlEn récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )...
En une seconde, lors de cette création "magique", ils assument un maximum de graves fautes qui nous volent tous, sauf eux qui se paient la part du lion, ce sont des contrats léonins, et de plus en plus vu les exponentielles dans le temps...
Ils nous volent aussi notre temps, nos épargnes, nos lignées...
Ce système arrive en fin de course, il n'a tenu que par la croissance démographique et c'est l'une des raisons des fortes migrations inhumaines favorisées par ce système qui a besoin d'esclaves pour se maintenir.
Les politiques de rigueur exigent le remboursement de ces montants, donc leurs destructions, ce qui aggrave la crise.
Juridiquement, qui est le vrai propriétaire des montants ex nihilo créés puis détruits ?
Historiquement, ils ont fait croire qu'il y avait plus de lingots de métaux précieux qu'en vérité ( mensonges), puis on fait des reçus sur ce néant ( Faux dans les titres, puis fausse comptabilité ), puis se sont associés ( vols en bandes organisées ), puis ont pris de forts intérêts ( péché mortel selon Vix pervenit sur ce néant ( donc des taux infinis ), vols par astuce, puis on exigé des faillites par cupidité maladive, ce qui tue les plus faibles... voir https://monnaie.wikispaces. com/Cr%C3%A9ation+mon%C3% A9taire A gauche, chez Étienne Chouard, les 2 piles des livres des économistes ayant écrit sur la création monétaire par les banques privées. La pile de droite (2 livres) est celle des (2) "économistes" (Paul Jorion qui s'est inspiré d' Helmuth Creutz) qui considèrent que les banques commerciales ne créent pas de monnaie. Helmut Creutz pourtant démontre l'horreur économique des taux d'intérêts qui volent à chaque cycle de contrats 99% de la population...
http://desiebenthal.blogspot.com/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.htmlhttp://desiebenthal.blogspot.ch/2015/08/confessions-of- swiss-banker.html
Un banquier suisse, votre serviteur, explique en 3 minutes l'arnaque de la création monétaire, avec le Canada comme exemple.
Vidéo Facebook :
https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/vb. 152656254942354/39897163364414 7/?type=3&theater
Tiré de l'émission "Qu'est-ce qu'elle a ma girl" de becurioustv.com.
La suite de la démonstration est encore plus précise, particulièrement entre 10:00 et 13:00 !
La pression monte !François de Siebenthal: UBS, une 3ème faillite ?
desiebenthal.blogspot.com/2015/08/ubs-une-3eme-faillite.html
29 août 2015 - Notamment après la crise des pays émergents et la faillite à milliards de Long Term Capital Management et de l'UBS reprise par la SBS en ...François de Siebenthal: Campagne monnaie-pleine
desiebenthal.blogspot.ch/2018/03/campagne-monnaie-pleine.html?m=1
22 mars 2018 - UBS et Credit Suisse produisent à eux seuls environ 50% de .... la faillite d'une grande banque systémique ne met plus en danger le trafic des ...Ce n'est pas la Suisse qui a sauvé UBS - - Bilan
www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/ce-nest-pas-la-suisse-qui-sauve-ubs
2 avr. 2014 - Aux faits, l'Histoire préfère toujours, ou presque, les contes de fées.UBS, au bord du gouffre financier en octobre 2008, a fait l'objet d'un ...↧
Leurs stratégies de manipulations
1) Distraire
TV, Radio.... Les coupables ne sont pas les banquiers mais les états et les politiciens
2) Problèmes créés
Crises voulues, planifiées et leurs "solutions" pires
3) émotions.
Les réfugiés provoqués par leurs politiques.
4) Culpabilisation
« Geld muß verdient sein! » - L'argent doit être gagné...
Dit Ueli Maurer dans Arena.
Toujours et encore cette culpabilisation du quidam.
Alors pourquoi est-ce que les banquiers le fabriquent à partir de rien ? 🙃
5) Brouillage.
Mélanger les sujets pour embrouiller les idées
6) Enfantillages
Notre système marche bien, pourquoi changer ?
7) Ignorance et bêtise
Les banques commerciales créent l'argent, mais c'est normal et mieux. Il faut des dettes...
8) Médiocrité
On vous procure 2 milliards, mais ne regardez pas les 57 milliards en réserve et les 100 milliards de création monétaire dissimulée.
9) Vos esprits et vos âmes ?
On veut votre bien et on l'aura, on prête l' oreille avec grands intérêts, exponentiels, c'est mieux pour vous
Macron ?
La BRI à Bâle
↧
↧
Geldschöpfung in der Schweiz
↧
Confusion du Conseil fédéral !
J
Leurs prédécesseurs ont recommandé de
° Refuser la retraite ;
° Refuser les congés payés ;
° Refuser l'assurance invalidité ;
° D'adhérer à l'Europe ;
° Refuser le Revenu de Base Inconditionnel ;
° etc.
Les nantis possèdent de plus en plus, les pauvres sont de plus en plus pauvres (une soixantaine de personnes possèdent plus que la moitié la plus pauvre de l'humanité) ...
Et le CF dit <<< le modèle actuel a fait ses preuves >>>
Et vous continuez à croire qu'ils sont au service du peuple ?
Non, Sérieusement ?
Le Conseil fédéral nous a averti en 1904, mais il a bien changé...
° Refuser la retraite ;
° Refuser les congés payés ;
° Refuser l'assurance invalidité ;
° D'adhérer à l'Europe ;
° Refuser le Revenu de Base Inconditionnel ;
° etc.
Les nantis possèdent de plus en plus, les pauvres sont de plus en plus pauvres (une soixantaine de personnes possèdent plus que la moitié la plus pauvre de l'humanité) ...
Et le CF dit <<< le modèle actuel a fait ses preuves >>>
Et vous continuez à croire qu'ils sont au service du peuple ?
Non, Sérieusement ?
Cédric Paroz
qui recopie ici un commentaire de Serge Rigel :
L’argent est toujours un enjeu de pouvoir. Aujourd'hui, le pouvoir de la création monétaire est presqu’entièrement aux mains des banques privées. L'initiative Monnaie pleine répartit le pouvoir de l’argent en restituant la responsabilité de la masse monétaire à l’Etat, légitimé et contrôlé démocratiquement. Notre argent devrait-il être créé par des managers qui reçoivent des millions de bonus en faisant augmenter la masse monétaire jusqu'à ce que la bulle éclate, ou devrait-il être soumis au contrôle d’employés de l'État qui ne tirent aucun profit personnel de leur mandat ?
Le ”livret de votation” devient un ”livret de confusion”
Le Conseil fédéral trompe les citoyens et détourne l'argent public pour sa propagande.
Recours de l'initiative Monnaie pleine du 13.4.2018
http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/conseil-federal/
Tout élève apprend à faire la différence entre un rapport objectif et des commentaires d’opinion. Dans la brochure fédérale, cette différence n’existe pas. Dans la partie du livret sensée décrire objectivement les faits, le Conseil fédéral prend position autant que dans la partie « Les arguments du Conseil fédéral ». Le comité d'initiative, quant à lui, n'a disposé que d’une seule page pour faire valoir ses arguments. Donc sept pages contre et une page pour. Cela n’a rien à voir avec une information objective. Il s’agit d’un abus de pouvoir manifeste de la part du Conseil fédéral.
FAUX, FAUX ET FAUX, hallucinant!
un seul exemple: « Garantie de 100'000.- sur les dépôts des clients des banques” Le Conseil fédéral et les opposants ne disent pas que cette garantie est limitée à 6 milliards pour toute la Suisse, et qu’elle correspond donc à 1.4% des avoirs à vue en Suisse!!
En cas de crise, courrez vite, y en aura pas pour tout le monde! – avec Alain Berset.
qui recopie ici un commentaire de Serge Rigel :
L’argent est toujours un enjeu de pouvoir. Aujourd'hui, le pouvoir de la création monétaire est presqu’entièrement aux mains des banques privées. L'initiative Monnaie pleine répartit le pouvoir de l’argent en restituant la responsabilité de la masse monétaire à l’Etat, légitimé et contrôlé démocratiquement. Notre argent devrait-il être créé par des managers qui reçoivent des millions de bonus en faisant augmenter la masse monétaire jusqu'à ce que la bulle éclate, ou devrait-il être soumis au contrôle d’employés de l'État qui ne tirent aucun profit personnel de leur mandat ?
Le ”livret de votation” devient un ”livret de confusion”
Le Conseil fédéral trompe les citoyens et détourne l'argent public pour sa propagande.
Recours de l'initiative Monnaie pleine du 13.4.2018
http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/conseil-federal/
Tout élève apprend à faire la différence entre un rapport objectif et des commentaires d’opinion. Dans la brochure fédérale, cette différence n’existe pas. Dans la partie du livret sensée décrire objectivement les faits, le Conseil fédéral prend position autant que dans la partie « Les arguments du Conseil fédéral ». Le comité d'initiative, quant à lui, n'a disposé que d’une seule page pour faire valoir ses arguments. Donc sept pages contre et une page pour. Cela n’a rien à voir avec une information objective. Il s’agit d’un abus de pouvoir manifeste de la part du Conseil fédéral.
Quelle honte! Le conseil fédéral à qui nous payons des salaires énormes avec nos impôts et qui nous mente si ouvertement et honteusement à la TV publique, pour laquelle on paie des redevances très chères, pour justement que le service public ne nous mente pas!!!!!
Notamment, lorsque M. Berset dit qu’avec la Monnaie Pleine c’est la « BNS qui devra gérer les crédits » alors que maintenant c'est les « gentilles banques privées proches de nous » qui s’en occupent et que ça n’a strictement rien à voir! Quelles foutaises!!!
Que soi-disant des « réglementations strictes » ont été « mises en place et renforcées » alors que l’endettement global bat tous les records et qu’aucune « réglementation » ne peut combattre l’usure de monnaie-dette portant intérêts et créée de rien par les banques privées, qu’on impose à toutes les sociétés!
Que la Monnaie Pleine sans dette ni intérêts « risquerait de provoquer de l’inflation » alors que c’est justement les intérêts portés sur la monnaie-dette, émise par des banques privées à partir de rien, qui sont la cause principale de l’inflation de plus en plus galopante, des dettes de plus en plus énormes et de la détérioration de plus en plus flagrante de tous les standards vitaux de la société ! Quelle HONTE, M. le « conseiller fédéral »!
un seul exemple: « Garantie de 100'000.- sur les dépôts des clients des banques” Le Conseil fédéral et les opposants ne disent pas que cette garantie est limitée à 6 milliards pour toute la Suisse, et qu’elle correspond donc à 1.4% des avoirs à vue en Suisse!!
En cas de crise, courrez vite, y en aura pas pour tout le monde! – avec Alain Berset.
François de Siebenthal: Fake news du Conseil fédéral !
desiebenthal.blogspot.com/2018/04/fake-news-du-conseil-federal.html
25 avr. 2018 - sur les dépôts des clients des banques” • Le Conseil fédéral et les ... depuis la création de la Banque nationale en 1904 sous forme de billets.François de Siebenthal: Rapport du Conseil fédéral sur la politique ...
desiebenthal.blogspot.com/2016/12/rapport-du-conseil-federal-sur-la.html
22 déc. 2016 - Le Conseil fédéral rejette l'initiative «Monnaie pleine» sans ...... 54 Message du 13 juin1904 à l'appui d'un projet de loi créant une banque ...↧
Articles à commenter, merci
l'Agefi fait le tour des partis politiques: article ci-dessus, commentaires à envoyer à redaction@agefi.com, merci
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
Manipulation et enfumage dans Le Temps, à critiquer et commenter, merci.
Les banques créent-elles spontanément des dépôts bancaires?
Dans le sillage de la crise financière de 2008, l’émission de monnaie de la part des banques commerciales est aujourd’hui fréquemment critiquée, notamment par les tenants des cryptomonnaies et les partisans de l’initiative «Monnaie pleine», écrit l’économiste Jonathan Massonnet, de la Haute Ecole de gestion de GenèveL’initiative «Monnaie pleine», qui vise à laisser à la Banque nationale suisse la totalité de l’émission des francs, part de l’idée que les banques créent de la monnaie à travers leur activité de crédit. Le problème serait que, quand elles octroient des crédits sans ressource préalable, les banques n’émettent en réalité qu’une promesse de monnaie: les banques offrent du «virtuel contre du réel», donc «achètent» des ressources (un titre) aux emprunteurs en ne «vendant» rien en contrepartie.Cela se pourrait dans un «système à réserves fractionnaires», au sein duquel les banques ne détiennent en monnaie centrale (les billets de banque et les réserves auprès de la banque centrale) que l’équivalent d’une fraction de leurs engagements, en particulier les dépôts à vue. Aussi les déposants ne retrouveraient-ils qu’une partie de leurs dépôts à vue quand ils décideraient de les retirer en billets, la différence constituant une promesse que les banques ne peuvent, par définition, jamais tenir.Une lecture tronquée de l’histoireSi séduisant qu’il soit, cet argumentaire ne résiste pas à l’étude de l’émission monétaire et de la comptabilité à partie double, à laquelle l’activité bancaire est soumise. Déjà, les initiants proposent une lecture tronquée de l’histoire de la monnaie, qui n’est pas uniquement le fait du prince ou de l’Etat, mais également celui du marchand et du banquier, la monnaie étant appelée (elle est endogène) par l’activité économique.
Dans le sillage de la crise financière de 2008, l’émission de monnaie de la part des banques commerciales est aujourd’hui fréquemment critiquée, notamment par les tenants des cryptomonnaies et les partisans de l’initiative «Monnaie pleine», écrit l’économiste Jonathan Massonnet, de la Haute Ecole de gestion de Genève
L’initiative «Monnaie pleine», qui vise à laisser à la Banque nationale suisse la totalité de l’émission des francs, part de l’idée que les banques créent de la monnaie à travers leur activité de crédit. Le problème serait que, quand elles octroient des crédits sans ressource préalable, les banques n’émettent en réalité qu’une promesse de monnaie: les banques offrent du «virtuel contre du réel», donc «achètent» des ressources (un titre) aux emprunteurs en ne «vendant» rien en contrepartie.
Cela se pourrait dans un «système à réserves fractionnaires», au sein duquel les banques ne détiennent en monnaie centrale (les billets de banque et les réserves auprès de la banque centrale) que l’équivalent d’une fraction de leurs engagements, en particulier les dépôts à vue. Aussi les déposants ne retrouveraient-ils qu’une partie de leurs dépôts à vue quand ils décideraient de les retirer en billets, la différence constituant une promesse que les banques ne peuvent, par définition, jamais tenir.
Une lecture tronquée de l’histoire
Si séduisant qu’il soit, cet argumentaire ne résiste pas à l’étude de l’émission monétaire et de la comptabilité à partie double, à laquelle l’activité bancaire est soumise. Déjà, les initiants proposent une lecture tronquée de l’histoire de la monnaie, qui n’est pas uniquement le fait du prince ou de l’Etat, mais également celui du marchand et du banquier, la monnaie étant appelée (elle est endogène) par l’activité économique.
L’émission monétaire par les banques
Ceci renvoie à l’étude de l’émission de la monnaie par les banques, qu’il s’agit de mener sans se donner une monnaie centrale préexistante (au contraire des partisans de la théorie du multiplicateur monétaire). Faisant table rase, les initiants pensent que les banques créent de la monnaie par la voie du crédit bancaire: en octroyant ex nihilo un crédit à un client, une banque ouvre à son passif un dépôt à vue et inscrit à son actif le crédit. Si elle laisse croire que la monnaie procède d’une création spontanée, une telle affirmation n’est pas valide pour deux raisons:– Il n’y a pas de création nette de la part de la banque puisque le client est créancier (il est titulaire d’un dépôt à vue) de celle-ci, qui est elle-même créancière (au niveau du crédit) de ce même client, d’où la nullité de l’opération d’ensemble.– Les banques n’ouvrent jamais ex nihilo de dépôts à vue, ces derniers étant toujours le résultat d’une opération économique, à savoir un paiement. En pratique, les banques ouvrent des lignes de crédit, sur lesquelles les clients tirent (ce qui inscrit des crédits à l’actif des banques) pour effectuer leurs paiements (pensez à l’exemple du crédit à la construction), cela au bénéfice des payés, qui deviennent alors titulaires de dépôts à vue. Elles ne peuvent devenir créancières (en achetant un titre au payeur) qu’en devenant simultanément débitrices (en vendant un titre au payé), la comptabilité à partie double interdisant toute alchimie telle que décrite ci-dessus.Si la monnaie procède des paiements, c’est que toute émission monétaire revêt un objet, qui est le fait du circuit économique. Il faut ainsi étudier l’émission monétaire des banques dans le cadre de la production, de la transmission (sur le marché financier) et de la consommation des richesses (des revenus), la question n’étant jamais celle de l’identité de l’émetteur de la monnaie, mais bien celle de la cause de l’émission monétaire.En cela, il ne s’agit pas de nier les pathologies (notamment en regard de la financiarisation) du système économique, et de croire que les réglementations bancaires actuelles sont suffisantes pour les soigner, mais bien de replacer l’émission de monnaie dans la réflexion économique.L’erreur des initiants est de tenir un discours légaliste sur la monnaie, qui nie (et vise à les ignorer) les implications de la comptabilité à partie double pour l’activité bancaire, et déconnecte entièrement la monnaie de la production nationale. La principale prémisse de l’initiative «Monnaie pleine», à savoir le pouvoir des banques de créer ex nihilo un actif financier net (et un pouvoir d’achat) étant fausse, il devient difficile de justifier la réforme radicale que celle-ci propose.
Ceci renvoie à l’étude de l’émission de la monnaie par les banques, qu’il s’agit de mener sans se donner une monnaie centrale préexistante (au contraire des partisans de la théorie du multiplicateur monétaire). Faisant table rase, les initiants pensent que les banques créent de la monnaie par la voie du crédit bancaire: en octroyant ex nihilo un crédit à un client, une banque ouvre à son passif un dépôt à vue et inscrit à son actif le crédit. Si elle laisse croire que la monnaie procède d’une création spontanée, une telle affirmation n’est pas valide pour deux raisons:
– Il n’y a pas de création nette de la part de la banque puisque le client est créancier (il est titulaire d’un dépôt à vue) de celle-ci, qui est elle-même créancière (au niveau du crédit) de ce même client, d’où la nullité de l’opération d’ensemble.
– Les banques n’ouvrent jamais ex nihilo de dépôts à vue, ces derniers étant toujours le résultat d’une opération économique, à savoir un paiement. En pratique, les banques ouvrent des lignes de crédit, sur lesquelles les clients tirent (ce qui inscrit des crédits à l’actif des banques) pour effectuer leurs paiements (pensez à l’exemple du crédit à la construction), cela au bénéfice des payés, qui deviennent alors titulaires de dépôts à vue. Elles ne peuvent devenir créancières (en achetant un titre au payeur) qu’en devenant simultanément débitrices (en vendant un titre au payé), la comptabilité à partie double interdisant toute alchimie telle que décrite ci-dessus.
Si la monnaie procède des paiements, c’est que toute émission monétaire revêt un objet, qui est le fait du circuit économique. Il faut ainsi étudier l’émission monétaire des banques dans le cadre de la production, de la transmission (sur le marché financier) et de la consommation des richesses (des revenus), la question n’étant jamais celle de l’identité de l’émetteur de la monnaie, mais bien celle de la cause de l’émission monétaire.
En cela, il ne s’agit pas de nier les pathologies (notamment en regard de la financiarisation) du système économique, et de croire que les réglementations bancaires actuelles sont suffisantes pour les soigner, mais bien de replacer l’émission de monnaie dans la réflexion économique.
L’erreur des initiants est de tenir un discours légaliste sur la monnaie, qui nie (et vise à les ignorer) les implications de la comptabilité à partie double pour l’activité bancaire, et déconnecte entièrement la monnaie de la production nationale. La principale prémisse de l’initiative «Monnaie pleine», à savoir le pouvoir des banques de créer ex nihilo un actif financier net (et un pouvoir d’achat) étant fausse, il devient difficile de justifier la réforme radicale que celle-ci propose.
20 minutes explique l'IMP, avec Ch. Gomez en interview:
La crise économique de 2008 est encore dans tous les esprits, et pèse encore sur les économies occidentales. Ce traumatisme a créé des volontés de mieux contrôler le système financier, et de lui donner de la stabilité. L’initiative Monnaie Pleine s’attaque donc à la création d’argent.
La Suisse, laboratoire d'idéesÉtudiée par de nombreux économistes, la solution proposée par Monnaie Pleine reste une nouveauté dans le paysage politique. Tout comme le Revenu de base inconditionnel (RBI), rejeté dans les urnes le 5 juin dernier, l'idée est apparue dans le débat par le biai de l'initative populaire, et s'attaque au système économique et financier jugé déficient.
Face à ces innovations, la classe politique reste sceptique. Dans le cas de Monnaie Pleine, la majorité des décideurs estiment suffisantes les mesures prises après la crise de 2008, notamment le paquet «too big to fail», qui exige par exemple que les banques disposent de davantage de capital destiné à absorber les pertes.
La BNS seule aux commandes
Comme le veut la Constitution, la Banque nationale suisse (BNS) en détient le monopole pour ce qui est des billets et pièces, mais la monnaie scripturale échappe à ce principe. Or, elle représente désormais 90% de l’argent en circulation. Cet argent virtuel est crée lorsque des banques octroient des crédits.
Dans l’idée des initiants, la BNS serait seule aux commandes de la création de monnaie scripturale, autorisant ou non les banques à donner des crédits, et agissant sur la masse totale de cet argent via des subventions à la Confédération ou aux cantons.
Scepticisme et prudence
La quasi-totalité des partis ainsi que des milieux économiques sont sceptiques, craignant que cette solution limite et complique l’obtention de crédits par les clients des banques. Le ministre chargé des finances Ueli Maurer a également exprimé son inquiétude pour l’indépendance de la BNS, qui serait seule aux commandes de la masse monétaire helvétique, et deviendrait donc l’objet des convoitises politiques.
De plus, la proposition est un concept jamais testé ailleurs, et ferait de la Suisse un cobaye, estime l’Association des employés de banque. Des conséquences inattendues risqueraient de mettre à mal la stabilité du pays
Henri Temple, un Français, parle de l'IMP ans un journal français et nous invite à Paris
ÉCONOMIE
RENDRE SA MONNAIE AU PEUPLE : UN EXERCICE DE VRAIE DÉMOCRATIE ET DE SAINE ÉCONOMIE
AUJOURD'HUILa monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
À propos du référendum suisse du 10 juin prochain
La monnaie n’est pas un phénomène facile à comprendre. Le prix Nobel américain Stiglitz la définit par ses trois fonctions d’échange, de compte (et évaluation), de réserve (et thésaurisation). Stiglitz reprend la définition de la monnaie donnée par Aristote il y a vingt-cinq siècles, tout aussi vraie et intangible que les théorèmes contemporains d’Euclide, Thalès, Pythagore, Archimède.
Or, pour assumer sans désordre ses fonctions, la monnaie doit être adaptée à ce qu’elle mesure en restant sincère et stable. Que dirait-on d’un décimètre en caoutchouc ou d’un poids qui perdrait son contenu de plomb ? Depuis la nuit des temps, on a tenté de donner cette stabilité à la monnaie en utilisant des biens utilisables pour d’autres usages possibles (une sorte de troc transposé), dont le besoin et la diffusion géographiques permettent l’échange universel, et dont la rareté relative assure la stabilité des cours : blé, sucre, cauri, bronze, argent et or. Assez tôt dans l’histoire, le pouvoir politique a estimé qu’il était d’ordre public de garantir la sincérité de la monnaie. D’ailleurs, l’État se paye (le « seigneuriage ») pour ses missions d’émission, de frappe ou d’impression, et de contrôle.
Pourtant, il y eut des tentatives hasardeuses et catastrophiques de remplacer l’or par des billets censés le représenter : les billets de John Law sous la Régence, puis les assignats de la République. En 2008, c’est l’affaire des subprimes. Mêmes causes, mêmes effets : émission incontrôlée de monnaie scripturale par les banques privées, qui consentent des crédits insensés avec de l’argent qu’elles n’ont pas. Ce seront les contribuables qui devront financer les banques privées en faillite technique ; et ils ont aussi parfois perdu leurs économies et leur maison…
Le peuple suisse a dû, lui aussi, payer pour sauver certaines banques privées qui s’étaient mises en danger. Mais la seule vraie démocratie au monde a décidé de revenir à de sains principes. Certes, on a tenté d’organiser le secteur bancaire pour prévenir le retour d’un tel fléau ; ce sont les accords Bâle III (2010). Mais il demeure que les taux de couverture de la banque par ses fonds propres ou empruntés sont très faibles (de 2 à 10 %). Et les accords Bâle III ont ignoré le hors-bilan qui est la cause du krach de 2008… Depuis 1973 (suppression de l’équivalence garantie or/dollar), le système monétaire et bancaire est instable et injuste : il autorise des fortunes spéculatives indécentes et provoque la ruine odieuse des plus méritants et utiles à la société. Le Serpent monétaire européen (Bâle I) n’y a pas résisté. À l’heure actuelle, selon le FMI (2017), la dette du secteur non financier de l’économie mondiale a atteint un montant record de 152.000 milliards de dollars, soit plus du double (2,25) de la richesse mondiale. Certains auteurs chiffrent le total de toutes les dettes souveraines et privées à un million de milliards de dollars. Cette bulle est nécessairement vouée à éclater.
Le projet suisse « Monnaie pleine » a un triple mérite : il est démocratique, puisque le projet de loi est soumis au référendum par une initiative populaire ; il est constitutionnel, car le but est d’inscrire dans la Constitution le contrôle monétaire par l’État ; il est économiquement sain, empêchant l’apparition de bulles.
Voici ce qu’en disent les promoteurs de cette votation :
1) Seule la Banque nationale créera la monnaie scripturale ;
2) Les banques ne pourront plus créer de la monnaie scripturale ; elles ne prêteront que de l’argent existant ;
3) La Banque nationale pourra mettre en circulation la nouvelle monnaie aussi par des versements sans dette à la Confédération, aux cantons et aux citoyens.
1) Seule la Banque nationale créera la monnaie scripturale ;
2) Les banques ne pourront plus créer de la monnaie scripturale ; elles ne prêteront que de l’argent existant ;
3) La Banque nationale pourra mettre en circulation la nouvelle monnaie aussi par des versements sans dette à la Confédération, aux cantons et aux citoyens.
La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Un colloque est organisé le 24 mai prochain, de 14 h 00 à 18 h 00, à l’Assemblée nationale française sur le thème « Demain : quelle monnaie pour quel monde ? », 126, rue de l’Université, Paris VIIe. (Pour des raisons de sécurité, inscription obligatoire avant le 18 mai.)
A commenter
Bonne journée
Roland
Roland Leimgruber
Attaché de presse Suisse romande
078 776 21 42
↧
Monnaie-pleine par M. Christian Gomez
↧
↧
Résumé de monnaie-pleine
Voici une vidéo de moins de 3 minutes qui résume bien les avantages de www.monnaie-pleine.ch
et un résumé de monnaie-pleine
Qui crée les Francs ?
La création monétaire : un don gratuit sans intérêts grâce aux progrès techniques, aux machines, ordinateurs, robots, à la productivité... Surtout pas de dettes par les crédits bancaires, c'est le piège à c... dans lequel le monde entier est tombé. Presque chaque Franc qui circule est une dette, alors qu'on devrait avoir un actif, un franc suisse qui doit appartenir aux Suisses. Par un tour de passe-passe subtil, ils ont réussi à nous louer à nous-même nos propres francs. Nous sommes "le Souverain" et on doit louer nos avoirs, un comble ! Et si on remboursait toutes les dettes, par la rigueur, il n'y aurait plus aucune monnaie qui circulerait, ce qui serait encore pire ! Compris ? Pas facile de comprendre un système si stupide, mais voilà, voilà, ils ont réussi à nous enfumer ! De plus, et en pire, à chaque remboursement, cette monnaie est détruite, sic, tirée du néant, ex nihilo en latin, retour au néant ! Et hop, eux, ils gagnent le pouvoir et gardent les intérêts sans passer par la case "droits de Seigneuriage" ! Et zou, circulez, trimez, suez, éreintez- vous, il n'y a rien à voir !
Mais on a aussi le Léman, Farinet, Wir, Reka, Miles, Cumulus, Bitcoin, des Sels... qui sont dans l'initiative et ses commentaires et qui seront donc protégés par la Constitution. Voulez-vous que des sociétés privées gèrent la police ? Des impôts en faveur de privés ? Des lois faites par des sociétés privées ? Les esclaves ne doivent surtout pas comprendre qu'ils sont esclaves ! Libérons-nous tous les uns les autres ! Un pour tous, tous pour un ! Votons OUI le 10 juin à la vraie démocratie économique www.monnaie-pleine.ch
La création monétaire : un don gratuit sans intérêts grâce aux progrès techniques, aux machines, ordinateurs, robots, à la productivité... Surtout pas de dettes par les crédits bancaires, c'est le piège à c... dans lequel le monde entier est tombé. Presque chaque Franc qui circule est une dette, alors qu'on devrait avoir un actif, un franc suisse qui doit appartenir aux Suisses. Par un tour de passe-passe subtil, ils ont réussi à nous louer à nous-même nos propres francs. Nous sommes "le Souverain" et on doit louer nos avoirs, un comble ! Et si on remboursait toutes les dettes, par la rigueur, il n'y aurait plus aucune monnaie qui circulerait, ce qui serait encore pire ! Compris ? Pas facile de comprendre un système si stupide, mais voilà, voilà, ils ont réussi à nous enfumer ! De plus, et en pire, à chaque remboursement, cette monnaie est détruite, sic, tirée du néant, ex nihilo en latin, retour au néant ! Et hop, eux, ils gagnent le pouvoir et gardent les intérêts sans passer par la case "droits de Seigneuriage" ! Et zou, circulez, trimez, suez, éreintez- vous, il n'y a rien à voir !
Mais on a aussi le Léman, Farinet, Wir, Reka, Miles, Cumulus, Bitcoin, des Sels... qui sont dans l'initiative et ses commentaires et qui seront donc protégés par la Constitution. Voulez-vous que des sociétés privées gèrent la police ? Des impôts en faveur de privés ? Des lois faites par des sociétés privées ? Les esclaves ne doivent surtout pas comprendre qu'ils sont esclaves ! Libérons-nous tous les uns les autres ! Un pour tous, tous pour un ! Votons OUI le 10 juin à la vraie démocratie économique www.monnaie-pleine.ch
Avec mes meilleures salutations
Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE
Tél: o21 616 88 88
↧
Les élus servent les banques
Arrêter de discutailler sur les conséquences, innombrables et entêtantes ; refuser d'ergoter à propos des effets (seconds) de notre impuissance (première) et orienter obstinément nos pensées et nos conversations sur la cause des causes de tous ces maux qui nous affligent.
( Etienne Chouard )
https://youtu.be/P_Y1sN2T7LE
Votez oui à monnaie-pleine.ch
↧
Vollgeld & Interlaken
*** Bitte weiterleiten! ***
Liebe Zukunfts-Aktivisten
Eine Abkehr von den bankgesteuerten Finanzexzessen ist möglich! Geld muss den Menschen dienen und nicht umgekehrt!
Am 10. Juni gibt es eine Volks-Abstimmung zum „Vollgeld". Mit einem „Ja"darf dann zukünftig nur noch die Nationalbank (SNB) das Geld schöpfen! Das Giralgeld wird dann „vollwertiges Geld", im Gegensatz zu heute, wo es nur ein „Versprechen" auf Bargeld ist.
Nur in der Schweiz kann darüber abgestimmt werden und auch weltweit diesen Ball ins Rollen bringen. Packt also eure Chance und legt am 10. Juni ein entschlossenes "JA" in die Urne beim Thema „Vollgeld"!
Heute schöpfen die Geschäftsbanken durch Kreditvergaben immer mehr Geld, schon über 90% der gesamten Geldmenge! Das meiste davon landet im Finanzcasino, in dem sich mittlerweile 60 X (!) mehr Geld bewegt als in der Realwirtschaft.Diese Spekulationsexzesse bedrohen Mensch und Erde. Auch die schon schwer errungenen sozialen und ökologischen Projekte drohen diesem kranken Kredit-System mit seinem Zwang zum Wirtschaftswachstum zum Opfer zu fallen.
Mit einem „Vollgeld-System“ könnte die SNB neue Gelder geordnet als Kredite für die Realwirtschaft bereitstellen. Die SNB könnte auch direkt das „Vollgeld“ an die Kantone, Gemeinden oder ans Volk weitergeben und damit den Zwang zum Wirtschaftswachstum reduzieren.
Heute schöpfen die Geschäftsbanken durch Kreditvergaben immer mehr Geld, schon über 90% der gesamten Geldmenge! Das meiste davon landet im Finanzcasino, in dem sich mittlerweile 60 X (!) mehr Geld bewegt als in der Realwirtschaft.Diese Spekulationsexzesse bedrohen Mensch und Erde. Auch die schon schwer errungenen sozialen und ökologischen Projekte drohen diesem kranken Kredit-System mit seinem Zwang zum Wirtschaftswachstum zum Opfer zu fallen.
Mit einem „Vollgeld-System“ könnte die SNB neue Gelder geordnet als Kredite für die Realwirtschaft bereitstellen. Die SNB könnte auch direkt das „Vollgeld“ an die Kantone, Gemeinden oder ans Volk weitergeben und damit den Zwang zum Wirtschaftswachstum reduzieren.
Geschäftsbanken wären bei einem „Vollgeldsystem“ nur noch als reine Dienstleister für uns tätig. Praktisch würden wir unsere Konten bei der Bank weiter betreiben wie bisher. Unser „Voll-Geld" wäre dann vor einer Bankenkrise sicher.
Obwohl das „Vollgeldsystem" von vielen namhaften Wirtschaftsexperten mit fundierten Sachargumenten unterstützt wird, wehren sich Politiker, Medien und Banken dagegen. Die "Nein-Kampagne" sämtlicher grossen Parteien erstaunt wenig, da eben diese einen bedeutenden Teil ihrer Spenden, welche in der Schweiz nicht offen deklariert werden müssen, aus dem Bankensektor bekommen. Seitens der Gegner wird nun viel Geld ausgegeben um Angst vor einer bevorstehenden Veränderung zu schüren - eine unfaire aber leider wirkungsvolle Taktik in einem Abstimmungskampf. Feste Argumente gegen das Vollgeld haben sie nicht.
Erste Umfrageergebnisse zeigen einen leichten Vorsprung der Gegner, aber auch sehr viele Unentschlossene. - Ein Grossteil der Bevölkerung hat sich mit dem Vollgeld einfach noch nicht richtig beschäftigt. Und hiermit haben wir noch eine realistische Chance die Vollgeldabstimmung zu gewinnen! Dazu brauchen wir allerdings weitere aktive Mitstreiter, die besonders auf Privat-, Vereins- und Verbandsebene die Argumente der Vollgeldinitiative bekanntmachen.
Obwohl das „Vollgeldsystem" von vielen namhaften Wirtschaftsexperten mit fundierten Sachargumenten unterstützt wird, wehren sich Politiker, Medien und Banken dagegen. Die "Nein-Kampagne" sämtlicher grossen Parteien erstaunt wenig, da eben diese einen bedeutenden Teil ihrer Spenden, welche in der Schweiz nicht offen deklariert werden müssen, aus dem Bankensektor bekommen. Seitens der Gegner wird nun viel Geld ausgegeben um Angst vor einer bevorstehenden Veränderung zu schüren - eine unfaire aber leider wirkungsvolle Taktik in einem Abstimmungskampf. Feste Argumente gegen das Vollgeld haben sie nicht.
Erste Umfrageergebnisse zeigen einen leichten Vorsprung der Gegner, aber auch sehr viele Unentschlossene. - Ein Grossteil der Bevölkerung hat sich mit dem Vollgeld einfach noch nicht richtig beschäftigt. Und hiermit haben wir noch eine realistische Chance die Vollgeldabstimmung zu gewinnen! Dazu brauchen wir allerdings weitere aktive Mitstreiter, die besonders auf Privat-, Vereins- und Verbandsebene die Argumente der Vollgeldinitiative bekanntmachen.
Zum Beispiel könnt ihr dieses Mail über all eure Kanäle weiterleiten. Wenn dies auch nur von 10% der Empfänger gemacht wird, könnten innerhalb kürzester Zeit die meisten Schweizer erreicht werden.
Weitere Infos findet ihr unter: www.vollgeld-initiative.ch und www.vollgeld-und- gerechtigkeit.ch
Auf diesen Seiten werden auch viele Infoveranstaltungen zum Vollgeld aufgelistet.
Sehr interessant wird z.B. diesen Freitag (18.5.) um 20h die Podiums-Veranstaltung im Zentrum Artos in Interlaken werden (Alpenstr.58). Dort treffen der Grossrat und Kader von der Postfinance Luca Alberucci (Gegner) und der Geschäftsführer von derGemeinschaftsbank in Basel Jean-Marc Decressonnière (Befürworter) aufeinander. Der Vollgeld-Kampagnenleiter Raphael Wüthrich und die Schweizer Schutzpatronin Helvetia werden ebenfalls erwartet.
In der Fernsehsendung „Arena" am 11. Mai gab es ein pro und contra zum Vollgeld mit dem Finanzminister und Bundesrat Ueli Mauer, der es schwer hatte Argumente gegen Raphael Wüthrich von der Vollgeldinitiative vorzubringen:
https://www.srf.ch/play/tv/ arena/video/abstimmungs-arena- vollgeld-initiative?id= 83346b59-1d90-44c7-82f9- 727a59ee2732&station=69e8ac16- 4327-4af4-b873-fd5cd6e895a7
Viel Erfolg beim verbreiten der Vollgeld-Intentionen und herzliche Grüsse!
Isabelle und Uwe
Auf diesen Seiten werden auch viele Infoveranstaltungen zum Vollgeld aufgelistet.
Sehr interessant wird z.B. diesen Freitag (18.5.) um 20h die Podiums-Veranstaltung im Zentrum Artos in Interlaken werden (Alpenstr.58). Dort treffen der Grossrat und Kader von der Postfinance Luca Alberucci (Gegner) und der Geschäftsführer von derGemeinschaftsbank in Basel Jean-Marc Decressonnière (Befürworter) aufeinander. Der Vollgeld-Kampagnenleiter Raphael Wüthrich und die Schweizer Schutzpatronin Helvetia werden ebenfalls erwartet.
In der Fernsehsendung „Arena" am 11. Mai gab es ein pro und contra zum Vollgeld mit dem Finanzminister und Bundesrat Ueli Mauer, der es schwer hatte Argumente gegen Raphael Wüthrich von der Vollgeldinitiative vorzubringen:
https://www.srf.ch/play/tv/
Viel Erfolg beim verbreiten der Vollgeld-Intentionen und herzliche Grüsse!
Isabelle und Uwe
Ps. Gerne kommen wir zu einer von euren Versammlungen dazu, um bei der Vollgeld-Darstellung zu helfen. Isabelle als „Helvetia" (Bild im Anhang) und Uwe als ihr Finanzminister.
In Uwe's Buch „Jeder kann die Zukunft mitgestalten" wird auch das „Vollgeld" vorgestellt. Gratis zu bestellen oder herunterzuladen unter:www.aktivZUKUNFTsichern.com
Isabelle und Uwe Burka
La Vulpillière 10
CH 1070 Puidoux
0041 21 946 34 39
0041 77 520 07 02
und
Hof-Maiezyt
CH 3804 Habkern
www.hofmaiezyt.ch
uweburka@posteo.org
Geschenk-Buch:
"Jeder kann die Zukunft mitgestalten"
unter: www.aktivZUKUNFTsichern.com
↧
Faillite d'une banque suisse !
Débâcle de la Caisse d'épargne de Thoune, la liquidation est achevée. 6300 épargnants y auront laissé plus du tiers de leurs avoirs.
Cette faillite retentissante a eu des conséquences durables sur le secteur des banques régionales, désormais mieux surveillé et soumis à un droit qui protège mieux leur clientèle.
Le 28 décembre 2005, les créanciers de la Caisse d'épargne et de prêts de Thoune (Spar+Leihkasse Thun/SLT) ont été informés du rapport final de la procédure, indique mercredi le liquidateur Bernhard Binzegger, du cabinet Ernst & Young. Le dividende final avait été versé à la mi-décembre.
Les quelques 6300 créanciers de 5e classe - soit les épargnants - ont récupéré en tout 346 millions de francs, somme représentant 60,7% de leurs avoirs. Les petits créanciers ont reçu un total de 86 millions tandis que les créanciers privilégiés ont touché 467 millions. Au total, ce sont donc 899 millions qui ont pu être sauvés.
Les quelques 6300 créanciers de 5e classe - soit les épargnants - ont récupéré en tout 346 millions de francs, somme représentant 60,7% de leurs avoirs. Les petits créanciers ont reçu un total de 86 millions tandis que les créanciers privilégiés ont touché 467 millions. Au total, ce sont donc 899 millions qui ont pu être sauvés.
Mieux que prévu
En quatorze ans de procédures, le liquidateur est parvenu à atténuer un peu les pertes subies par les épargnants. Ce ne sont finalement «que» 223 millions de francs de leurs bas de laine qui sont partis en fumée, contre 258 millions de francs initialement devisés.
Deux explications à cela. Primo, les instituts qui avaient participé aux emprunts de la SLT auprès de la centrale d'émission des banques régionales ont assumé une part de responsabilité un peu plus grande que prévu (+15,5 millions).
Secundo, l'ensemble des autres banques, par convention passée au sein de l'Association suisse des banquiers (ASB), ont couvert les dépôts d'épargne à hauteur de 30'000 francs, au lieu des 10'000 francs privilégiés. Il en a découlé un surplus de 19,4 millions de francs.
Surendettée suite à sa mauvaise gestion de la flambée immobilière de la fin des années 1980, la SLT avait sombré en octobre 1991. Après analyse des comptes de l'établissement, aucune des grandes banques de l'époque n'avait accepté de le sauver.
Deux explications à cela. Primo, les instituts qui avaient participé aux emprunts de la SLT auprès de la centrale d'émission des banques régionales ont assumé une part de responsabilité un peu plus grande que prévu (+15,5 millions).
Secundo, l'ensemble des autres banques, par convention passée au sein de l'Association suisse des banquiers (ASB), ont couvert les dépôts d'épargne à hauteur de 30'000 francs, au lieu des 10'000 francs privilégiés. Il en a découlé un surplus de 19,4 millions de francs.
Surendettée suite à sa mauvaise gestion de la flambée immobilière de la fin des années 1980, la SLT avait sombré en octobre 1991. Après analyse des comptes de l'établissement, aucune des grandes banques de l'époque n'avait accepté de le sauver.
Un choc très médiatisé
Après le dépôt de bilan, les images télévisées des files de petits épargnants devant les guichets fermés de l'établissement avaient fait le tour du monde. Deux mois après la fermeture, 45% des avoirs des créanciers avaient été honorés. Trois acomptes ont ensuite été versés en 1996, 2000 et 2002.
Cette récupération partielle n'a toutefois pas permis d'éviter plusieurs cas sociaux, des personnes se sont retrouvées à charge des communes. Le liquidateur a pensé à eux dans son rapport final: il a réservé les 100'000 à 300'000 francs qui ne seront jamais attribués (26 créanciers restent introuvables) aux collectivités concernées.
Ces fonds ne seront toutefois versés qu'en 2016. Thoune recevra les 5/7e de la somme, Spiez et Saanen chacun 1/7e. Les frais à engager pour la restitution de quelques dizaines de francs à chaque créancier à cette date auraient été disproportionnés, explique le liquidateur pour justifier ce don.
Plus jamais ça
En attendant, les milieux bancaires et politiques ont tiré les leçons de ce naufrage retentissant. Une telle faillite est très peu probable aujourd'hui et n'aurait pas les mêmes conséquences sociales, affirment deux experts.
«Les banques ont fait le ménage», explique Hans Geiger, professeur à l'Institut d'économie bancaire suisse de l'Université de Zurich. La grande majorité des établissements régionaux - il en reste quelque 80 contre environ 200 au début des années 1990 - se sont en particulier unis dans le groupe RBA.
Grâce à cette alliance, «une perte de l'ampleur de celle qu'avait essuyé la SLT pourrait aujourd'hui être absorbée», estime Hans Geiger.
Beat Bernet, professeur aux Hautes études commerciales (HEC) à St-Gall, ajoute qu'actuellement la gestion des risques est beaucoup mieux maîtrisée, même dans les petits instituts bancaires.
«Les banques ont fait le ménage», explique Hans Geiger, professeur à l'Institut d'économie bancaire suisse de l'Université de Zurich. La grande majorité des établissements régionaux - il en reste quelque 80 contre environ 200 au début des années 1990 - se sont en particulier unis dans le groupe RBA.
Grâce à cette alliance, «une perte de l'ampleur de celle qu'avait essuyé la SLT pourrait aujourd'hui être absorbée», estime Hans Geiger.
Beat Bernet, professeur aux Hautes études commerciales (HEC) à St-Gall, ajoute qu'actuellement la gestion des risques est beaucoup mieux maîtrisée, même dans les petits instituts bancaires.
Une surveillance plus étroite
A cela s'ajoute que le contrôle de la Commission fédérale des banques (CFB) a lui aussi été renforcé. L'autorité de surveillance est en mesure de remettre beaucoup plus tôt à l'ordre les établissements qui se seraient aventurés sur une pente dangereuse.
La loi sur les banques a en effet été modifiée suite à la débâcle de la SLT, rappelle le professeur saint-gallois. En cas de faillite, le liquidateur doit immédiatement payer jusqu'à 5000 francs aux déposants. Les créances privilégiées sont en outre aujourd'hui protégées jusqu'à concurrence de 4 milliards de francs, soit quatre fois plus qu'avant la révision de la loi.
( NdE, Quel est le montant des dépôts bancaires en Suisse ?
Ok, maintenant on sait que le fond de garantie de base dispose de CHF 3 milliards. Mais quel est le montant total que ce fond est sensé garantir ?
La BNS nous renseigne à ce propos, fin 2016, les engagements résultants des dépôts de la clientèle se montent à CHF 1770 milliards.
Il y a donc CHF 1770 milliards de dépôts dans les banques en Suisse qui sont garantis par CHF 3 milliards.
On a donc un ratio de 0.17% de couverture !
Donc qu’est ce qui est le plus faible ? Une monnaie pleine à 100% car les comptes de trafic de paiement sont hors du bilan des banques ou une promesse couverte à 0.17% ?
Reste qu'une faillite ne peut jamais être totalement exclue, concède Beat Bernet. ...
swissinfo et les agences
Faits
Le 3 octobre, sur avis de la Commission fédérale des banques, la Caisse d'épargne et de prêts de Thoune (SLT) ferme ses guichets.
Prise dans l'euphorie de la flambée immobilière des années 80, la SLT a prêté plus d'argent que ses fonds propres ne le lui permettaient à des débiteurs à risques.
Les principales victimes de cette faillite sont les quelque 6300 épargnants qui ont confié leurs économies à la SLT. Ils n'en récupéreront finalement qu'un peu plus de 60%. Près de 223 millions de francs sont partis en fumée.
La SLT a été la première victime d'un crise amplifiée par la chute des prix de l'immobilier, qui a fait disparaître en quelques années plus de la moitié des 200 banques régionales de Suisse.
En 1999, la justice acquitte le responsable des crédits de la SLT.
Début 2006, 14 ans après la débâcle, le liquidateur annonce la clôture du dossier.
Prise dans l'euphorie de la flambée immobilière des années 80, la SLT a prêté plus d'argent que ses fonds propres ne le lui permettaient à des débiteurs à risques.
Les principales victimes de cette faillite sont les quelque 6300 épargnants qui ont confié leurs économies à la SLT. Ils n'en récupéreront finalement qu'un peu plus de 60%. Près de 223 millions de francs sont partis en fumée.
La SLT a été la première victime d'un crise amplifiée par la chute des prix de l'immobilier, qui a fait disparaître en quelques années plus de la moitié des 200 banques régionales de Suisse.
En 1999, la justice acquitte le responsable des crédits de la SLT.
Début 2006, 14 ans après la débâcle, le liquidateur annonce la clôture du dossier.
↧
↧
Projet de contrôler les votes du 10 juin
Vrai et faux sceau d' urnes vaudoises à Lausanne
Projet pour améliorations, corrections, critiques etc... aux personnes de bonne volonté et leurs amis
Vrai et faux sceau d' urnes vaudoises à Lausanne
Projet pour améliorations, corrections, critiques etc... aux personnes de bonne volonté et leurs amis
URGENT, à la délégation de contrôle des élections de l'OSCE pour la Suisse.
OSCE Contacts
The main Contacts portal.OSCE Secretariat
Wallnerstrasse 6
1010 Vienna
Austria
Tel: +43 1 514 360
Fax: +43 1 514 36 6996
OSCE...: Demande d'aide contre des fraudes démocratiques en Suisse:
Vote du 10 juin 2018 de www.monnaie-pleine.ch
L'une des raisons principales du risque de tricheries est le vol de notre souveraineté monétaire, pour plus de 600 milliards de francs , sic, six cents milliards de francs...
Nous demandons simplement de revenir à l'esprit et à la lettre de la constitution de nos parents qui a été trafiquée.
Le peuple suisse a été clairement et volontairement floué lors de la votation sur la nouvelle constitution de 1999. Voici la preuve. Voici les articles de la Constitution consolidée du 19 avril 1874 qui traitent de la politique monétaire:
Article 38
1 La Confédération exerce tous les droits compris dans la régale des monnaies.
2 Elle a seule le droit de battre monnaie.
3 Elle fixe le système monétaire et peut édicter, s’il y a lieu, des prescriptions sur la tarification de monnaies étrangères.Article 39
1 Le droit d’émettre des billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire appartient exclusivement à la Confédération. ...
The main Contacts portal.
OSCE Secretariat
Wallnerstrasse 6
1010 Vienna
Austria
Tel: +43 1 514 360
Fax: +43 1 514 36 6996
Wallnerstrasse 6
1010 Vienna
Austria
Tel: +43 1 514 360
Fax: +43 1 514 36 6996
OSCE...: Demande d'aide contre des fraudes démocratiques en Suisse:
Vote du 10 juin 2018 de www.monnaie-pleine.ch
L'une des raisons principales du risque de tricheries est le vol de notre souveraineté monétaire, pour plus de 600 milliards de francs , sic, six cents milliards de francs...
Nous demandons simplement de revenir à l'esprit et à la lettre de la constitution de nos parents qui a été trafiquée.
Nous demandons simplement de revenir à l'esprit et à la lettre de la constitution de nos parents qui a été trafiquée.
Le peuple suisse a été clairement et volontairement floué lors de la votation sur la nouvelle constitution de 1999.
Voici la preuve. Voici les articles de la Constitution consolidée du 19 avril 1874 qui traitent de la politique monétaire:
Article 38
1 La Confédération exerce tous les droits compris dans la régale des monnaies.
2 Elle a seule le droit de battre monnaie.
3 Elle fixe le système monétaire et peut édicter, s’il y a lieu, des prescriptions sur la tarification de monnaies étrangères.Article 39
1 Le droit d’émettre des billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire appartient exclusivement à la Confédération. ...
Ce vol l'a été par les votes par correspondance, Plus de 90 % des suisses votent ainsi ou par électronique.. Les enveloppes qui viennent d'être distribuées le 15 mai 2018 pour le vote du 10 juin 2018 sont toujours transparentes sous fort spot lumineux depuis le début des votes par correspondance,
Bâle-Campagne, pionnier suisse en la matière, l'a introduit en 1979 déjà, rapidement suivi par Appenzel-Rhôdes Intérieures, Soleure et Saint-Gall, et vu les pré-dépouillement, il est trop facile de tricher pendant les 4 semaines, surtout les votes des suisses de l'étranger qui reçoivent le matériel en avance.La plupart des autres cantons l'ont fait au cours de la première moitié des années 90. …
Les votes électroniques sont encore plus facilement falsifiables et les sources des programmes ne sont toujours pas publiques.
Doutes sérieux reconnus par les plus hautes autorités lors du vote à Moutier !
La Confédération et le Canton de Berne notamment reconnaissent la valeur de presque toutes nos plaintes depuis des années.
Certaines des sages mesures prises concrètement à Moutier ( ci-dessous ) doivent être appliquées à tous les votes en Suisse.
Cette votation de Moutier peut et doit devenir le modèle de votations au-dessus de tout soupçon, avec des améliorations ( urnes transparentes, matériel de vote surnuméraire de couleur différente et contrôle de celui-ci avant, pendant et après à l'unité près, y compris toutes les impressions surnuméraires, y compris les maculatures ou les essais dans les imprimeries concernées...
Ils ont pris enfin des mesures sérieuses pour éviter les irrégularités trop nombreuses et si faciles lors du vote de Moutier (BE) sur son appartenance cantonale:
plusieurs observateurs de la Confédération,
sceaux et câbles pour sceller chaque urne
suppression du dépouillement anticipé,
contrôle du vote par correspondance,
du registre des électeurs,
interdiction du vote électronique
et information dans les homes de personnes âgées
et contrôles près des poubelles des cases postales
et dans les locatifs.
Avec les différentes enveloppes de couleurs jaune, bleue et verte, ils auraient pu en profiter pour en faire des enveloppes toutes vraiment opaques, le simple doute et la facilité de tricher dans chaque greffe communal avec un simple téléphone muni d'une lampe de poche est grotesque, il n'y plus de secret de vote, ce qui ouvre la porte aux mesures de rétorsion, licenciements, mobbing, pressions etc..., c'est ridicule, on le fait pour l'argent, des enveloppes opaques, ( banques, poste...) mais pas pour les votes, depuis le début, le système est fait pour tricher facilement..
Tricheries et souricières électorales possibles dans chaque commune...mobbing et licenciements...tours de passe passe...pour couvrir les corruptions...
Fraudes électorales en Suisse: il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes par d'autres...dans le circuit des postes et dans chaque greffe municipal.
Les enveloppes internes des votes par correspondance au dépouillement depuis plusieurs jours sont transparentes sous fort spot lumineux ou lampe de poche d'un simple téléphone mobile. Ce qui signifie que toutes ou une grande partie de ces enveloppes vont probablement être trafiquées pour plusieurs milliers de voix ( quelques voix suffisent parfois). Une entrevue par exemple avec M. Mühl, responsable cantonal vaudois, avait fait apparaître que ce problème était possible au niveau de chaque commune et qu'une motion postulat parlementaire avait été déposée au niveau cantonal pour changer la procédure du vote par correspondance, sans succès réel. Le système est de facto fait pour tricher facilement.
Ces enveloppes jaunes supplémentaires sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. Vu les plus de 40'000 imprimées en plus, plus 15% de "maculature"...par l'imprimeur, il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes par d'autres plus "justes". On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu'ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d'envoi signée et à des licenciements injustes....
Le processus postal est aussi ouvert à des manipulations pendant toute la durée du vote par correspondance, les enveloppes sont trop facilement ouvrables, interchangeables et leurs contenus peuvent aussi être trop facilement échangés sans laisser de traces.
On fait aussi état de captations de votes dans les EMS...
Il est apparu aussi que les signatures des initiatives et référendum sont aussi saisies par informatique…
Fraudes électorales trop faciles….
Premier exemple de réactions et résistances:
Postulat Réf : 03/POS/086
demandant au Conseil d'Etat une modification de la LEDP
( loi sur l'exercice des droits politiques ) ou de son règlement d'application
concernant les votations ou élections.
Développement
Le système de votation par correspondance», généralisé depuis un peu plus d'une année dans
notre canton, semble donner entière satisfaction. Le vote par correspondance est en vigueur
depuis bon nombre d'années dans d'autres cantons et se déroule de manière performante.
Chaque citoyenne et citoyen reçoit son matériel de voté à domicile, et tout est prévu pour le
cas ou une personne l'aurait égaré; î'administration communale dispose de tout le matériel:
Enveloppes de transmission, cartes d'électeurs, enveloppes jaunes et les bulletins électoraux
officiels.
Actuellement, le vote anticipé par correspondance peut se faire soit par envoi postal, ou en
déposant l'enveloppe de transmission dans une boîte, prévue à cet effet, devant le greffe
municipal. Par mesure de facilité, toutes les enveloppes de transmission arrivent donc au
même endroit, au secrétariat municipal,
C'est donc au secrétaire municipal qu'incombe la tâche de relever la boîte et de rassembler
toutes les enveloppes de transmission; mais son travail ne s'arrête pas là. Il doit encore ouvrir
les enveloppes de transmission, contrôler la carte d'électeur afin que celle-ci porte bien la
date de naissance et la signature de l'électeur. Ce travail accompli, il répertorie les cartes
d'électeurs et classe les enveloppes de vote.
Dans toutes les communes du canton, les secrétaires municipales sont des personnes
assermentées, à l'égard desquels-les une grande confiance est accordée. Cependant, si l'on
veut éviter qu'une commune de notre canton ne se trouve un jour face à un problème de
fraude électorale, il serait judicieux de modifier cette manière de procéder.
Plus de rigueur, concernant la séparation des pouvoirs, voudrait que le dépouillement des
votations et élections se réalise de A à Z par le bureau du conseil communal ou général. Par
contre, si une partie du travail de dépouillement doit, pour diverses raisons, être accompli par
le secrétariat municipal, celui-ci devrait disposer de matériel de remplacement de couleur
différente; ceci permettrait de pouvoir justifier, le cas échéant, des commutations éventuelles.
Mieux encore, le matériel de remplacement pourrait être à disposition des citoyennes et des
citoyens, non pas au greffe municipal, mais dans les préfectures.
Au vu de ce qui précède, je demande par voie postulat; une modification de la LEDP ou de
son règlement d'application, par l'adjonction d'un article permettant d'éviter tout
désagrément, de lever toute ambiguïté et permettre ainsi au personnel des administrations
communales, de pouvoir effectuer leur travail en toute sérénité,
Corcelles-près-Payerne, le 23 octobre 2003
Réf : 03/POS/086
Edouard Jaquemet
Canton de Vaud, l'historique de soupçons fondés.
...
Deux partis ont demandé à être scrutateurs, notamment à Lausanne et au niveau cantonal. La convocation était fixée à 8h00, à la caserne des pompiers. Or, deux témoins, dont M. Jean de Siebenthal, Dr ETHZ et Prof. EPFL, peuvent certifier que le travail a commencé à 5h00 du matin afin de ne remettre que les enveloppes jaunes au dépouillement. Ce qui signifie que toutes ou une grande partie des enveloppes jaunes ont très probablement été trafiquées pour plusieurs dizaines de milliers de voix. Une entrevue avec M. Mühl, responsable cantonal, a fait apparaître que ce problème était possible au niveau de chaque commune et qu'une motion postulat parlementaire avait été déposée au niveau cantonal pour changer la procédure du vote par correspondance. Ces enveloppes jaunes sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu'ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d'envoi signée.
Il est apparu aussi que les signatures des initiatives et référendum sont aussi saisies par informatique…
On a aussi connaissance d'un rapport faisant état d'irrégularités aux élections fédérales.
Contrôle US et des sociétés secrètes
.
Tous les processus démocratiques vaudois étaient en fait concentrés à Berne, par la société Bedag AG, en main du canton de Berne. Les programmes informatiques sont anglais, de Cambridge Technology Partners ( rappel du scandale Facebook... ), société appartenant aux USA, Novell SA, qui vient de racheter le Linux allemand pour mieux contrôler les logiciels dits libres. Les porteurs du dossier peuvent démontrer des procédures identiques téléguidées pour les votations électroniques genevoises, ou encore notamment par l'attribution des votes de l'étranger dans les cantons bascules, par commune d'origine ou dernier lieu de résidence, voir par affectation arbitraire ! N'oublions pas les votes trafiqués dans les EMS et les hôpitaux ( vote Lamal dans le canton de Glaris, 16 votes ), l' ONU en Valais, la nouvelle constitution à Lucerne ou au Tessin.
L'un des porteurs du dossier a travaillé pour les plus grandes sociétés US de l'informatique, notamment sur l'appel d'offre des ambassades suisses dans le monde, ou du matériel Tempest Otan avait été offert. Le choix fait à l'époque a offert un véritable Emmental de sécurité avec des trous béants, qui se sont confirmés lors de différentes affaires, notamment celle des fonds en déshérences.
Conseil
Il faut se faire nommer scrutateur pendant les 3 semaines des votes par correspondance pour éviter les pré-dépouillement, source de tricheries trop faciles.
08.05.2018, 16:09
Elections cantonales 2017: une femme et son fils ont aidé le fraudeur présumé
L'homme aurait subtilisé du matériel de vote envoyé par la poste pour voter à la place des destinataires, au profit de son parti.KEYSTONE
Réagir à cet article
JUSTICE L'homme arrêté dans le cadre de l'enquête sur les fraudes électorales constatées durant les dernières élections cantonales valaisannes avait deux complices qui devraient être sanctionnés par une ordonnance pénale.
L'auteur présumé de fraude électorale lors des élections cantonales valaisannes de mars 2017 avait deux complices. Le Ministère public haut-valaisan ne l'a découvert que tardivement au cours de l'enquête.
Une femme et son fils ont aidé l'auteur présumé à manipuler une soixantaine de bulletins de vote, a indiqué mardi à l'ats le procureur haut-valaisan Rinaldo Arnold, confirmant une information du Walliser Bote. Les deux complices devraient être sanctionnés par une ordonnance pénale.
Le fraudeur présumé, un Suisse de 30 ans domicilié dans le Haut-Valais et membre de l'UDC au moment des faits, avait été appréhendé peu après les élections. Il devrait être jugé dans les prochaines semaines pour vol, faux dans les titres, fraude électorale.
A lire aussi : Fraude électorale dans le Haut-Valais: l'auteur présumé a été arrêté
L'homme aurait subtilisé du matériel de vote envoyé par La Poste pour voter à la place des destinataires, au profit de son parti. La justice a enquêté sur dénonciation des communes de Viège, Brigue et Naters. Des citoyens s'étaient plaints de n'avoir pas reçu leur matériel de vote alors que les registres indiquaient qu'ils avaient voté.
ATS
https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/elections-cantonales-2017-une-femme-et-son-fils-ont-aide-le-fraudeur-presume-755991
Votations & fraudes, appel à témoins
Il est apparu aussi que les signatures des initiatives et référendum sont aussi saisies par informatique…
Fraudes électorales trop faciles….
Premier exemple de réactions et résistances:
Postulat Réf : 03/POS/086
demandant au Conseil d'Etat une modification de la LEDP
( loi sur l'exercice des droits politiques ) ou de son règlement d'application
concernant les votations ou élections.
Développement
Le système de votation par correspondance», généralisé depuis un peu plus d'une année dans
notre canton, semble donner entière satisfaction. Le vote par correspondance est en vigueur
depuis bon nombre d'années dans d'autres cantons et se déroule de manière performante.
Chaque citoyenne et citoyen reçoit son matériel de voté à domicile, et tout est prévu pour le
cas ou une personne l'aurait égaré; î'administration communale dispose de tout le matériel:
Enveloppes de transmission, cartes d'électeurs, enveloppes jaunes et les bulletins électoraux
officiels.
Actuellement, le vote anticipé par correspondance peut se faire soit par envoi postal, ou en
déposant l'enveloppe de transmission dans une boîte, prévue à cet effet, devant le greffe
municipal. Par mesure de facilité, toutes les enveloppes de transmission arrivent donc au
même endroit, au secrétariat municipal,
C'est donc au secrétaire municipal qu'incombe la tâche de relever la boîte et de rassembler
toutes les enveloppes de transmission; mais son travail ne s'arrête pas là. Il doit encore ouvrir
les enveloppes de transmission, contrôler la carte d'électeur afin que celle-ci porte bien la
date de naissance et la signature de l'électeur. Ce travail accompli, il répertorie les cartes
d'électeurs et classe les enveloppes de vote.
Dans toutes les communes du canton, les secrétaires municipales sont des personnes
assermentées, à l'égard desquels-les une grande confiance est accordée. Cependant, si l'on
veut éviter qu'une commune de notre canton ne se trouve un jour face à un problème de
fraude électorale, il serait judicieux de modifier cette manière de procéder.
Plus de rigueur, concernant la séparation des pouvoirs, voudrait que le dépouillement des
votations et élections se réalise de A à Z par le bureau du conseil communal ou général. Par
contre, si une partie du travail de dépouillement doit, pour diverses raisons, être accompli par
le secrétariat municipal, celui-ci devrait disposer de matériel de remplacement de couleur
différente; ceci permettrait de pouvoir justifier, le cas échéant, des commutations éventuelles.
Mieux encore, le matériel de remplacement pourrait être à disposition des citoyennes et des
citoyens, non pas au greffe municipal, mais dans les préfectures.
Au vu de ce qui précède, je demande par voie postulat; une modification de la LEDP ou de
son règlement d'application, par l'adjonction d'un article permettant d'éviter tout
désagrément, de lever toute ambiguïté et permettre ainsi au personnel des administrations
communales, de pouvoir effectuer leur travail en toute sérénité,
Corcelles-près-Payerne, le 23 octobre 2003
Réf : 03/POS/086
Edouard Jaquemet
Canton de Vaud, l'historique de soupçons fondés.
...
Deux partis ont demandé à être scrutateurs, notamment à Lausanne et au niveau cantonal. La convocation était fixée à 8h00, à la caserne des pompiers. Or, deux témoins, dont M. Jean de Siebenthal, Dr ETHZ et Prof. EPFL, peuvent certifier que le travail a commencé à 5h00 du matin afin de ne remettre que les enveloppes jaunes au dépouillement. Ce qui signifie que toutes ou une grande partie des enveloppes jaunes ont très probablement été trafiquées pour plusieurs dizaines de milliers de voix. Une entrevue avec M. Mühl, responsable cantonal, a fait apparaître que ce problème était possible au niveau de chaque commune et qu'une motion postulat parlementaire avait été déposée au niveau cantonal pour changer la procédure du vote par correspondance. Ces enveloppes jaunes sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu'ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d'envoi signée.
Il est apparu aussi que les signatures des initiatives et référendum sont aussi saisies par informatique…
On a aussi connaissance d'un rapport faisant état d'irrégularités aux élections fédérales.
Contrôle US et des sociétés secrètes
.
Tous les processus démocratiques vaudois étaient en fait concentrés à Berne, par la société Bedag AG, en main du canton de Berne. Les programmes informatiques sont anglais, de Cambridge Technology Partners ( rappel du scandale Facebook... ), société appartenant aux USA, Novell SA, qui vient de racheter le Linux allemand pour mieux contrôler les logiciels dits libres. Les porteurs du dossier peuvent démontrer des procédures identiques téléguidées pour les votations électroniques genevoises, ou encore notamment par l'attribution des votes de l'étranger dans les cantons bascules, par commune d'origine ou dernier lieu de résidence, voir par affectation arbitraire ! N'oublions pas les votes trafiqués dans les EMS et les hôpitaux ( vote Lamal dans le canton de Glaris, 16 votes ), l' ONU en Valais, la nouvelle constitution à Lucerne ou au Tessin.
L'un des porteurs du dossier a travaillé pour les plus grandes sociétés US de l'informatique, notamment sur l'appel d'offre des ambassades suisses dans le monde, ou du matériel Tempest Otan avait été offert. Le choix fait à l'époque a offert un véritable Emmental de sécurité avec des trous béants, qui se sont confirmés lors de différentes affaires, notamment celle des fonds en déshérences.
Conseil
Il faut se faire nommer scrutateur pendant les 3 semaines des votes par correspondance pour éviter les pré-dépouillement, source de tricheries trop faciles.
08.05.2018, 16:09
Elections cantonales 2017: une femme et son fils ont aidé le fraudeur présumé
L'homme aurait subtilisé du matériel de vote envoyé par la poste pour voter à la place des destinataires, au profit de son parti.KEYSTONE
Réagir à cet article
JUSTICE L'homme arrêté dans le cadre de l'enquête sur les fraudes électorales constatées durant les dernières élections cantonales valaisannes avait deux complices qui devraient être sanctionnés par une ordonnance pénale.
L'auteur présumé de fraude électorale lors des élections cantonales valaisannes de mars 2017 avait deux complices. Le Ministère public haut-valaisan ne l'a découvert que tardivement au cours de l'enquête.
Une femme et son fils ont aidé l'auteur présumé à manipuler une soixantaine de bulletins de vote, a indiqué mardi à l'ats le procureur haut-valaisan Rinaldo Arnold, confirmant une information du Walliser Bote. Les deux complices devraient être sanctionnés par une ordonnance pénale.
Le fraudeur présumé, un Suisse de 30 ans domicilié dans le Haut-Valais et membre de l'UDC au moment des faits, avait été appréhendé peu après les élections. Il devrait être jugé dans les prochaines semaines pour vol, faux dans les titres, fraude électorale.
A lire aussi : Fraude électorale dans le Haut-Valais: l'auteur présumé a été arrêté
L'homme aurait subtilisé du matériel de vote envoyé par La Poste pour voter à la place des destinataires, au profit de son parti. La justice a enquêté sur dénonciation des communes de Viège, Brigue et Naters. Des citoyens s'étaient plaints de n'avoir pas reçu leur matériel de vote alors que les registres indiquaient qu'ils avaient voté.
ATS
https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/elections-cantonales-2017-une-femme-et-son-fils-ont-aide-le-fraudeur-presume-755991
Votations & fraudes, appel à témoins
.
La nouvelle constitution suisse "votée" en 1999 l'a été par tricheries des votes par correspondance. Le vote par correspondance a été conçu pour tricher très facilement, les preuves ci-dessous et dans les liens. Les gains ? Des centaines de milliards
Deux cantons, Lucerne et le Tessin, ont vu leurs résultats changés sur le Teletext en trichant.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/10/berne-bedag- agfraudes-un-rappel-des.html
Les USA et sa CIA est intervenue dans les processus démocratique de très nombreux pays.
https://reseauinternational.net/la-cia-au-service-de-la- democratie-dans-le-monde/
Pourquoi ?
L'une des raisons principales est le vol de notre souveraineté monétaire, pour plus de 600 milliards de francs, sic, , comme l’explique très bien ci-dessous Mme Liliane Held-Khawam
Extrait:Depuis que l’on tape sur le clou ici et ailleurs, les autorités politiques et monétaires ont fini par admettre un fait: le droit régalien de battre monnaie a été offert à l’élite bancaire suisse et internationale.Cela n’a pas été fait par négligence ou parce que la législation n’a pas suivi la technologie depuis le 19ème siècle comme veulent le faire croire certains auteurs.Non.Le peuple suisse a été clairement et volontairement floué lors de la votation sur la nouvelle constitution de 1999. Voici la preuve. Voici les articles de la Constitution consolidée du 19 avril 1874 qui traitent de la politique monétaire:Article 38
1 La Confédération exerce tous les droits compris dans la régale des monnaies.
2 Elle a seule le droit de battre monnaie.
3 Elle fixe le système monétaire et peut édicter, s’il y a lieu, des prescriptions sur la tarification de monnaies étrangères.Article 39
1 Le droit d’émettre des billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire appartient exclusivement à la Confédération.
2 La Confédération peut exercer le monopole des billets de banque au moyen d’une banque d’Etat placée sous une administration spéciale, ou en concéder l’exercice, sous réserve du droit de rachat, à une banque centrale par actions, administrée avec le concours et sous le contrôle de la Confédération.
3 La banque investie du monopole des billets de banque a pour tâche principale de servir en Suisse de régulateur du marché de l’argent, de faciliter les opérations de paiement et de pratiquer, dans les limites de la législation fédérale, une politique de crédit et une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays.
4 Le bénéfice net de la banque, déduction faite d’un intérêt ou d’un dividende équitable à servir au capital de dotation ou au capital-actions et après prélèvement des versements à opérer au fonds de réserve, revient au moins pour les deux tiers aux cantons.
5 La banque et ses succursales seront exemptes de tout impôt dans les cantons.
6 La Confédération ne peut ni suspendre l’obligation de rembourser les billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire, ni décréter leur acceptation obligatoire, sauf en temps de guerre ou de perturbations de la situation monétaire.
7 Les billets de banque émis doivent être couverts par de l’or et des avoirs à court terme.
8 La législation fédérale édicte les dispositions relatives à l’exécution de cet article.La Constitution réformée du 18 avril 1999 dit ceci:Art. 99 Politique monétaire
1 La monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie et celui d’émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération.2 En sa qualité de banque centrale indépendante, la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération.Vous constaterez comme moi que la monnaie scripturale a disparu de la nouvelle constitution. Elle est sous-entendue dans l’appellation « monnaie fiduciaire« . La monnaie scripturale des comptes de virement de la BNS peut ainsi être créée par la BNS OU déposée par les banques commerciales.A travers l' »indépendance » offerte à la BNS qui vient s’ajouter à l’absence de référence à la monnaie scripturale, les pleins pouvoirs ont été donnés à la banque nationale, qui a pu par son silence confirmer le transfert de la création monétaire aux établissements bancaires.D’ailleurs, il n’est un secret pour personne que la BNS est inféodée aux grands établissements financiers supranationaux (banques centrales, banques commerciales too big to fail, gestionnaires d’actifs) suisses, mais surtout allemands et américains.La Suisse a plus besoin d’ouvrir une enquête sur ce thème que d’introduire une nouvelle législation qui donnerait encore plus d’importance à cet établissement.Liliane Held-KhawamAffaires de Bâle, de l'UDC, de l'ONU, de la révision de la constitution, de la vente d'or de la BNS, de la LAMAL….
Les résultats de Lucerne ont été probablement inversés, comme en 1999, les résultats de Lucerne et du Tessin avaient simplement été inversés.
Je suis moi-même sûr d'avoir vu en 1999 ces deux cantons comme NON sur teletext pendant au moins 30 minutes...
Le nom du lucernois UDC SVP témoin et actif contre ces tricheries doit être retrouvé, espérons qu'il sera possible de le retrouver...
Tricheries comme en 1999 ?Votation no 453 en 1999
Résultats dans les cantonsArrêté fédéral relatif à une "mise à jour" de la Constitution fédérale
Canton Electeurs Votants % Particip. Oui Non % Oui % Non Zurich 779'916 313'406 40.18% 189'439 117'795 61.7% 38.3% Berne 675'107 214'043 31.71% 131'661 81'091 61.9% 38.1% Lucerne 230'080 120'602 52.42% 67'814 50'792 57.2% 42.8% Uri 25'422 8'919 35.08% 3'490 5'258 39.9% 60.1% Schwyz 83'803 35'828 42.75% 12'036 23'491 33.9% 66.1% Obwald 22'008 10'520 47.8% 4'892 5'463 47.2% 52.8% Nidwald 26'666 11'515 43.18% 4'641 6'702 40.9% 59.1% Glaris 24'573 9'785 39.82% 2'934 6'819 30.1% 69.9% Zoug 64'096 27'443 42.82% 14'693 12'546 53.9% 46.1% Fribourg 156'258 38'417 24.59% 27'564 10'297 72.8% 27.2% Soleure 163'583 77'159 47.17% 40'172 36'113 52.7% 47.3% Bâle-Ville 122'032 51'271 42.01% 38'672 12'008 76.3% 23.7% Bâle-Campagne 174'807 56'699 32.44% 36'998 19'087 66.0% 34.0% Schaffhouse 48'361 30'575 63.22% 12'098 16'744 41.9% 58.1% Appenzell Rhodes-Ext. 35'439 17'833 50.32% 7'946 9'750 44.9% 55.1% Appenzell Rhodes-Int. 9'917 4'574 46.12% 1'549 3'006 34.0% 66.0% Saint-Gall 282'785 102'763 36.34% 49'210 53'070 48.1% 51.9% Grisons 127'450 39'508 31% 20'083 18'697 51.8% 48.2% Argovie 350'264 118'724 33.9% 57'779 60'016 49.1% 50.9% Thurgovie 140'451 62'439 44.46% 24'522 36'589 40.1% 59.9% Tessin 192'487 120'313 62.5% 82'443 32'095 72.0% 28.0% Vaud 365'099 63'892 17.5% 47'750 15'206 75.8% 24.2% Valais 182'263 38'714 21.24% 18'905 19'073 49.8% 50.2% Neuchâtel 104'636 25'971 24.82% 17'907 7'558 70.3% 29.7% Genève 208'113 57'002 27.39% 47'438 7'806 85.9% 14.1% Jura 47'905 8'954 18.69% 6'674 2'086 76.2% 23.8% Suisse 4'643'521 1'666'869 35.9% 969'310 669'158 59.2% 40.8%
Rappel du 11 avril 1999la nouvelle constitutionIl fallait la double majorité...Doutes à Lucerne, Vaud ( distribution trop tardive des documents...) ou au Tessin, forts soupçons de tricheries, Valais avec 50,2 % (seulement 168 voix de différence) et d'Argovie avec 50,9 %., Grisons, par 51,8 % des voix, et à Soleure, par 52,7 %
Un des présidents du comité contre était M. Ulrich Schlüer (UDC/ZH). Voir aussi Joseph Huber de Kriens, Obernau...
Toute la campagne des pro était basée sur des mensonges.
Mensonges:
Ce n'est qu'une toilette du texte, rien de fondamental...Les intérêts des Suisses ont été vendus à bas prix.
Vente de l'or suisse
PACS introduit en cachette...
La nouvelle constitution n'est à l'évidence pas ancrée dans la population.
Bradage des droits populaires au profit d'instances internationales.
Les valeurs de la vieille Confédération ont été honteusement trahies
En Suisse, si l'annulation d'un important scrutin ne s'est encore jamais produite, en revanche il arrive que certains fraudeurs soient mis en examen et avouent leurs forfaits, comme à Bâle ou à Payerne.Nous cherchons des scrutateurs et des témoins.François de Siebenthal: Viols de la Constitution !
9 févr. 2017 - Viols de la Constitution ! Ce jour est à marquer d'une pierre noire ! Ce n'est pas la première fois qu'ils violent la volonté populaire... Exemple ci-dessous, des milliards distraits pendant des années... Résistons et agissons immédiatement.François de Siebenthal: La Suisse à genoux par des traîtres ?
31 janv. 2017 - Viols de la Constitution ... (Outre le fait que les conseillers fédéraux n'ont pas prêté serment sur le droit européen mais sur la Constitution fédérale suisse.) ... Cette violation consciente de la Constitution est-elle déjà un rapprochement à la pratique de l'UE de ne respecter ses propres accords à caractère ...
La fraude électorale inclut tous les processus ayant pour objet d'influencer le résultat d'élections, de façon à garantir ou favoriser (augmenter la probabilité) un résultat voulu. Toutes les sociétés utilisant le système des votes sont confrontées au problème, et cherchent à s'en prémunir (au moins officiellement). Le succès en la matière est une condition pour se prévaloir du label démocratique.
La fraude électorale peut trouver un point d'application à chaque élément du scrutin :
la campagne électorale dont la propagande qu'il faut distinguer de l'information, incluant l'affichage et les professions de foi des candidats,
l'organisation des bureaux de votes et du scrutin, dont les bulletins de vote
les listes électorales
le décompte des voix ou scrutinage, voir bourrage d'urne ci-dessous,
la publication des résultats.
Pour chacun de ces éléments, on donnera les techniques de fraude et les parades
Sommaire:
1 fraude portant sur la composition du corps électoral
1.1 Pour y remédier
2 fraude portant sur l'organisation du bureau de vote
2.1 le bourrage d'urne
2.1.1 Pour y remédier
2.2 le vote public
3 Fraude portant sur la proclamation des résultats
3.1 la proclamation irrégulière
4 Fraude portant sur la campagne électorale
4.1 la propagande inégale
5 fraude portant sur les candidatures
5.1 la diffamation des candidats adverses
5.2 le rejet des candidatures adverses
5.3 la diffamation des partis adverses
5.3.1 Pour y remédier
6 Quelques cas emblématiques
6.1 la fraude pendant la période « Algérie française »
fraude portant sur la composition du corps électoral
Elle vise à l'élimination indue des électeurs a priori défavorables, et à l'inscription indue des électeurs a priori favorables à un camp. Ces deux techniques, souvent utilisées conjointement, emploient des moyens similaires. Des complicités dans les services administratifs sont nécessaires :
Dans le cadre d'un vote par circonscription : le déplacement d'électeur (mais sans inclure le « charcutage électoral », consistant à tailler les circonscriptions en fonctions des données électorales passées : même si l'effet sur le résultat est indéniable, et même si ces opérations soulèvent toujours des hauts cris, elles sont rarement considérées comme de la fraude au sens propre).
Dans le cadre d'un vote sur plusieurs lieux : le vote multiple (par inscription sur les différentes listes)
le secret sur la composition du corps électoral : cas de la Coupole, organe exécutif de la maffia calabraise). Ce type de disposition empêche de connaître le pourcentage des suffrages exprimés sur le nombre d'électeurs potentiels.
la fixation de délais courts pour l'inscription sur les listes électorales avec un lieu d'inscription centralisé ou distant, ou une procédure compliquée. Ce type de disposition limite naturellement le nombre d'électeurs inscrits au nombre de citoyens informés, que l'on peut sélectionner.
la modification des règles de citoyenneté (exemple: ivoirisation) qui consiste en une élimination d'un corps d'électeurs supposés opposants
le vote des absents : Il s'agit de faire voter des gens qui ne votent, qui donc n'iront pas vérifier l'erreur. Cela inclus évidemment des « personnes âgées », voire, si on en croient certaines rumeurs, des morts. Pour cela, il suffit de présenter des procurations ou autres artifices similaires. En outre, contrairement au bourrage d'urne dont on peut considérer qu'il s'agit d'une variante, cette fraude ne risque pas de multiplier au-delà du raisonnable le nombre de bulletins puisque le vote est associé à un électeur réel. Comme exemple français, on citera la suspicion sur le corps électoral parisien à la suite de quelques affaire, qui ont conduit à une révision complète en 2001 (?), laquelle se révélera dans une certaine mesure un remède pire que le mal (exclusion de vrais parisiens mais dont la nouvelle adresse n'était pas connue) ; et bien sur les rumeurs relatives à la Corse, source de blagues notoires.
Pour y remédier
fraude portant sur l'organisation du bureau de vote
le bourrage d'urne
Cela consiste à remplir introduire dans l'urne une grande quantité de bulletins favorables. Cela peut être réalisé avant l'ouverture, pendant le vote (introduction de plusieurs bulletins en même temps), ou même après le vote.
On peut aussi ne fournir pour l'un des partis en présence que des bulletins tâchés ou endommagés ou facilement endommageables, qu'on pourra comptabiliser comme nuls selon les règles en vigueur.
Variante des pays technologiquement avancés : maintenance défectueuse des machines de vote électronique. La fraude est difficilement prouvable : on invoque plutôt la fatalité, la malchance, d'autant que le problème touche indifféremment toutes les candidatures.
Pour y remédier
il convient d'utiliser des urnes transparentes, de comptabiliser le nombre de votants pour s'assurer que le nombre de bulletins correspond, de limiter les manipulations qui cachent l'urne et son contenu (notamment le transport : il faut donc dépouiller sur les lieux du vote), de s'assurer que lors du dépouillement on ne détruit pas de bulletins (afin d'éliminer les votes dissidents)
pour remédier au point 2, il faut envoyer des bulletins par la poste au corps électoral en même temps que les professions de foi et disposer des délégués électoraux dans les bureaux de vote susceptibles de dresser une protestation s'ils constatent la non identité des bulletins fournis et des bulletins distribués voire de faire intervenir la force publique interrompre les opérations de vote.
il convient d'inscrire dans les règlements électoraux la vérifications préalable du bon fonctionnement des appareils, et soumettre au juge les cas de concentration de problèmes dans les circonscriptions traditionnellement favorables à un certain camp.
le vote public
Dans un contexte social très contraignant (dictatorial ou non), le vote public (i.e. on connaît le vote de chaque électeur) donne des résultats conformes à ce que l'opinion croient devoir être le « bon » vote du point de vue des pouvoirs établis. Dans un tel contexte, le vote à main levée ou toute autre technique similaire assure des majorités confortables, souvent qualifiée de « soviétiques » (type : 100 % de voix favorables sur 99,9% de participation).
Même dans des contextes plus démocratiques, sans pression directe sur les électeurs, certains membres de la communauté peuvent estimer qu'il est plus raisonnable d'accorder sa voix au parti le plus susceptible de l'emporter, si on ne veut pas risquer une punition collective (la perte d'avantages tels que des privilèges fiscaux ou des subventions). En soi, ce phénomène est inévitable et normal (non frauduleux). Mais il peut être exploité par des menaces parfois à peine voilée, qui peuvent être considéré comme de la fraude.
Fraude portant sur la proclamation des résultats
la proclamation irrégulière
Un vote est très souvent réalisé dans de nombreux endroits. Il suffit donc, pourvu que l'information circule mal, de se « tromper » volontairement sur les totaux sans toucher aux résultats intermédiaires pour obtenir des améliorations éventuellement suffisantes.
Il convient donc de se méfier de tout délai entre la fin du scrutin et la proclamation des résultats tout comme de la centralisation excessive des résultats nécessitant le transport sur de longue distance des bulletins dépouillés et des documents de scrutin. Le transport est un moment favorable à la disparition d'une partie des bulletins (cette disparition tient compte des résultats précédents pour une région donnée)
Fraude portant sur la campagne électorale
la propagande inégale
Lorsqu'une des parties en présence influence voire contrôle les media, il lui est facile de s'assurer la maîtrise du discours et de limiter voire empêcher la propagande électorale des partis opposés. C'est le moyen moderne par excellence, car il respecte formellement les règles du vote et, faute d'indicateurs pertinents et reconnus (qui ne sont pas toujours en place), il est difficile à prouver (ce n'est qu'une question d'opinion).
Elle peut revêtir diverses formes :
une partie ou ses sympathisants possède l'essentiel des médias de diffusion de masse (influence générale de grands patrons propriétaires de presse avant l'ère audiovisuelle ; monopole des télévisions et radios par l'état, comme au début de la Vème république française ; concentration des radios et télévisions entre les mains d'un groupe financier ou des ses ramifications, comme dans l'Italie actuelle, ou dans les mains de sympathisants politiques, comme dans l'audiovisuel public français)
le budget des campagnes électorales, s'il n'est pas contrôlé ou limité, donne un accès inégal aux moyens de propagande sans pouvoir invoquer la fraude
fraude portant sur les candidatures
la diffamation des candidats adverses
Si partout les campagnes électorales regorgent de coups bas et notamment de diffamations et fausse nouvelles, les pays où l'information circule mal (par exemple à cause d'une faible alphabétisation ou d'un développement insuffisant des media) sont particulièrement sensibles à la propagation de rumeurs et de toutes sortes de fausses nouvelles visant à discréditer les opposants ou leurs options politiques. Ces manipulations de l'information peuvent être considérées comme relevant de la propagande inégale.
le rejet des candidatures adverses
En interdisant de se présenter aux candidats adverses, par exemple, en refusant un agrément de candidature (Iran), en limitant leur rayon d'action ou en les emprisonnant (Russie) sous des motifs divers quoique fantaisistes (corruption, homosexualité, etc. selon la sensibilité du pays)
la diffamation des partis adverses
Dans les pays occidentaux, pendant la guerre froide, le slogan favori concernant les candidats des partis communistes disait que leur élection amènerait l'Armée Rouge aux frontières dans la semaine suivant l'élection.
Pour y remédier
Dans le cas de propagande inégale, la loi écrite et la publicité de celle-ci, en ce qui concerne les règles électorales, protège les droits de l'opposition et de la dissidence. Ces lois doivent rendre publics les lieux d'affichage réservé à la propagande électorale, les conditions d'accès à ces lieux, l'interdiction d'afficher dans les lieux inadéquats, les sanctions en cas d'arrachage ou de recouvrement des affiches dans les lieux adéquats.
Les lois sur les délits de presse et la diffamation contribuent à la moralisation de la politique. Bien entendu, l'instruction civique est le meilleur moyen de contrôle de la vie publique par le citoyen, tandis qu'une justice efficace et reconnue comme telle limite la portée des accusations infondées.
Vous avez dit " fraude électorale " ?
Affaires de Bâle, de l'UDC, de l'ONU, de la révision de la constitution, de la LAMAL….
En Suisse, si l'annulation d'un important scrutin ne s'est encore jamais produite, en revanche il arrive que certains fraudeurs soient mis en examen et avouent leurs forfaits, comme à Bâle il y quelques jours ou à Payerne. Prouver leur culpabilité et les condamner relève alors d'une mission de Titan. D'autant plus que l'accusé pense agir dans l'intérêt de tous : pour lui, il s'agit ni plus ni moins d'une pratique courante, qui fait que les gens votent là où ils ont des attaches… En bref : une " coutume vaudoise " !
A l'affiche ces derniers temps, la plus grande production hollywoodienne raconte les déboires du système électoral américain. Le monde se gausse du premier fiasco présidentiel en Floride, promis à une carrière fructueuse dans les annales de la démocratie. A chaque nouvel épisode, l'Oncle Sam met en scène internationale les disfonctionnements du système d'élection, saupoudrés de soupçons de manœuvres frauduleuses, dopant de circonstance dans la course effrénée à la Blanche Maison.
Fraude électorale ? Chez nous aussi on en parle, depuis bon nombre d'années ; au chapitre " Elections ", l'Affaire vaudoise avance à tâtons, découvrant des dessous peu enclins à précipiter l'électeur vers les urnes.
Noyé dans ces cascades d'affaires politico judiciaires, le citoyen ne sait plus trop où donner de la tête, remettant à plus tard la considération des magouilles électorales. Profitons du reality sitcom d'Outre-Atlantique pour montrer du doigt les manœuvres frauduleuses qui sévissent ça ou là dans nos contrées.
Très populaire, la prouesse consistant à ressusciter les morts le dimanche du scrutin n'est pas des plus efficaces, au vu de l'imagination déployée par certains candidats pour gonfler leurs scores électoraux. Peu scrupuleux, ces têtes de listes en mal de voix dégainent alors leurs panoplies de magicien. Information et vigilance, voilà tout ce qui compose l'artillerie du citoyen. Un petit panorama des stratagèmes couramment utilisés ne sera donc pas un luxe .
Le scénario est le suivant :
· Bulletins invalides :
Une mine de crayon cachée sous les ongles fait une trace qui invalide le vote-
· Bourrage des urnes :
Des milliers de bulletins supplémentaires sont imprimés et servent à remplir les urnes pendant le transport ou même avant l'ouverture des bureaux.
· Inversion pure et simple des résultats.
On se trompe de ligne
· Tricherie dans la mémoire des ordinateurs
Affaire Marcos, couper/coller, etc….
Dégoter les faux électeurs potentiels :
C'est l'embarras du choix :
adhérents au parti, résidant bien-sûr hors de la circonscription
amis et membres de la famille d'un sympathisant
fonctionnaires (menaces de perte d'emploi, promesses de titularisation ou d'avancement). Pour certains, les inscriptions sur les listes se font à leur insu, grâce à la récupération par les fraudeurs de copies de leurs pièces d'identité.
demandeurs d'emplois, de logements, ou de diverses autorisations
personnes décédées ayant contracté, de leur vivant, une procuration de vote, dont la radiation des listes est volontairement retardée.
Produire une fausse attestation de domicile :
soit une adresse bidon
soit un faux certificat d'hébergement (chez une personne consentante ou contrainte, voire même à son insu). On peut découvrir ainsi des domiciles auxquels sont affiliés plus de trente personnes.
Enregistrer les faux électeurs au Bureau des Elections :
Simplement à partir d'imprimés de demande d'inscription", préalablement remplis, sans voir physiquement la personne. Ces imprimés sont transmis, par lots de centaines, directement au personnel administratif, par la main de complices bien placés.
Faire avaliser l'inscription par la Commission électorale :
Ce bureau est généralement tenu par des complices, ce qui fait de la Commission un simple bureau d'enregistrement. Au sortir de la réunion, les vraies et fausses cartes d'électeurs sont émises. Ensuite ça se complique un peu…
Transmettre la carte au faux électeur :
soit en l'adressant directement au vrai domicile du fraudeur (il faut alors trafiquer les bordereaux postaux)
soit en envoyant cette carte à l'adresse fictive, auquel cas quelqu'un la récupère. Sinon, les " n'habite plus à cette adresse " sont retournés à l'envoyeur, en l'occurrence la Mairie. A ce stade, les cartes frauduleuses sont soustraites par des complices. Les faux électeurs les reçoivent à leur vrai domicile, ou les récupèrent le jour même du scrutin.
Finaliser l'opération :
Le faux électeur se rend au bureau de vote.
Les organisateurs s'appliqueront à contrôler la docilité de chaque faux électeur, non pas en vérifiant le contenu de son vote (puisqu'il reste secret), mais en s'assurant que celui-ci a bien fait acte de présence le jour du scrutin, et apposé sa signature.
De tels imbroglios impliquent l'intervention d'un réseau d'activistes plus ou moins dense. La distribution des rôles principaux ressemble à cela :
La tête pensante :
Il ne s'agit pas forcément du candidat. C'est le " cerveau " qui détermine les grands axes de l'opération, sélectionne et organise les procédés de fraude, désigne ses sous-fifres ; il est le seul à connaître la quasi-totalité des membres du réseau.
Ce grand manitou a une mémoire tellement performante qu'il peut repérer au premier coup d'œil les fausses cartes émises par la Commission Electorale.
Son mot d'ordre : " si vous radiez dix personnes, il faut en réinscrire huit ! "
Le recruteur :
Il prospecte à la recherche de faux électeurs potentiels. Après avoir déterminé les moyens d'inciter ou de contraindre le futur inscrit, il utilise toutes les extensions du réseau pour entrer en contact avec lui.
Le secrétaire :
Son travail consiste à assurer la conformité des inscriptions aux règles administratives. Il doit notamment faire accepter le système des inscriptions par correspondance au personnel de Mairie.
Les complices :
Ils se composent d'une grande partie du personnel administratif de Mairie, de nombreux membres du Conseil Municipal et du Bureau, de militants du parti, d'amis ou de membres de la famille.
Côté résultats, l'efficacité de ces manœuvres frauduleuses est indéniable. En s'appropriant quelques centaines ou milliers d'électeurs supplémentaires, on peut gagner une élection. Et ainsi de suite…
Exemples
Un jeune homme de 22 ans a été arrêté dans l'Ohio, soupçonné d'avoir procédé à une centaine de fausses inscriptions sur les listes électorales en utilisant des noms farfelus comme Dick Tracy, Mary Poppins, Michael Jordan ou George Foreman.
Chad Staton, domicilié à Defiance dans l'Ohio, situé à 226 km à l'ouest de Cleveland, la capitale de l'Etat, a avoué à la police lundi avoir rempli environ 130 cartes électorales en inventant les noms et les adresses.
Le jeune homme, connu pour être un toxicomane au crack, a indiqué avoir été recruté pour aller inciter les gens à s'inscrire sur les listes électorales. Il a précisé qu'on lui avait proposé de le payer soit en argent liquide soit directement en drogue. La police a d'ailleurs saisi des produits illicites au domicile de la femme qui l'avait recruté, et qui travaillait pour une association défendant les droits des noirs américains.
Elections à Bâle: deuxième candidat soupçonné de fraude électorale
16:58 BÂLE - Peu après qu'un député radical bâlois a avoué avoir falsifié des bulletins de vote, un autre candidat au Grand Conseil se trouve dans le collimateur du ministère public. Le Démocrate suisse Eric Weber aurait offert à une femme d'acheter son matériel de vote.
Le ministère public enquête depuis jeudi contre Eric Weber, candidat sur la liste des DS. Une information de la «Basler Zeitung» est à l'origine de l'enquête, a indiqué samedi le ministère public.
Selon un porte-parole du ministère public, un homme a été entendu vendredi. Une autre personne ainsi qu'Eric Weber doivent encore être interrogés. Vu les recherches du quotidien, une perquisition n'a vraisemblablement plus beaucoup de sens.
L'enquête pénale a été ouverte en raison de délits poursuivis d'office: présomption de corruption électorale, de fraude électorale ou de captation de suffrages. Actuellement, il existe seulement un soupçon; ce dernier peut être infirmé ou confirmé.
Dans la «Basler Zeitung, M. Weber a démenti. Selon le président des DS bâlois Markus Borner, Eric Weber est actuellement à l'étranger et inatteignable. Les reproches sont des mensonges et le témoin n'est pas crédible. Pour lui, il s'agit d'un mauvais coup de campagne électorale. M. Borner évoque une animosité personnelle entre le témoin et un membre des DS. Ceux-ci envisagent de porter plainte.
© ATS
Ils trichent les jugements, les expertises, les plaidoiries, la BCV, les fonds de pension, Swissair, Fareas, les tunnels de Glion, Tridel, M2, Expo 02, les salaires honteux et maintenant, pourquoi se gêner, même la démocratie...
Cette missive, importante pour le bien commun,
est uniquement numérique.
Alors n'hésitez pas
à la transmettre maintenant
à toute personne intéressée, en la faisant suivre par forward ( faire suivre ou transmettre ) de votre logiciel e-mail, merci. Le monde sera tout-de-suite meilleur grâce à vous.
Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
Avec mes meilleures salutations
Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE
Tél: international ++ 41 21 616 88 88
http://desiebenthal.blogspot. ch/2015/12/projet-de-loi- dapplication-de-monnaie.html
http://desiebenthal.blogspot. ch/2015/12/swiss-positive- money-social-credit.html
↧
Assemblea Banca Nazionale Svizzera 2018, Impressioni
↧
Monnaie-pleine en bande dessinée
Le Grand Secret : le Franc Suisse et l'argent privé! Pour tout comprendre sur l'initiative Monnaie Pleine en quelques dessins.
Une bande dessinée d'Helen Von Allmen.
Télécharge la planche en format pdf et fait-la circuler autour de toi ! http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/…/VGI_Flyer_VonAllm…
↧